PREMIÈRES AMOURS 01

PREMIÈRES AMOURS 01



Il y a peu je me serais damné pour être là ou je suis aujourd'hui. Mais finalement aujourd'hui, je ne suis plus si convaincu.

Elle s'était blottie contre moi, sa tête posée sur mon bras, je sentais son souffle contre mon épaule, ça me chatouillait un peu mais c'était agréable. Je sentais la douceur de sa joue contre ma peau. Je n'osais plus bouger, j'avais peur de la réveiller. Lisa, c'est ma copine, c'est la première fois que nous dormons ensemble. Enfin c'est surtout elle qui dort, moi je ne dors pas vraiment. 

Je me sens un peu tendu. La douceur de sa peau, contre moi, cette douceur infini contre la dureté de ma cage de chasteté. La chaleur de son corps contre la froideur du métal autour de ma bite. La tendresse de son contacte contre la dureté de ce contacte contre la queue. Cette dureté sans pitié, implacable qui ne laisse aucun espoir de libération.

Au dessus de mon lit il y avait la photo d'une de mes idoles, je jeune champion Jérémy Brosso. Vous avez sans doute entendu parler de lui. C'est un champion de sport universitaire, il est en plus très beau gosse et il fait du mannequina. C'est aussi lui qui assure la promotion des ces dispositifs de chasteté dont on parle tant depuis deux ans. 

J'en porte un depuis maintenant plusieurs mois.

Les filles, elles adorent ça. Elles adorent les garçons qui en portent un en permanence. C'est pour faire plaisir à ma copine que j'ai accepté d'en mettre un.  Elle me le rend par sa tendresse, sa gentillesse. Elle est très attentionnée avec moi maintenant mais …

Enfin vous comprenez, j'ai juste dix huit ans … Je porte ce truc depuis trois  mois … Je ne me suis pas branlé depuis trois mois … C'est pas cool ça … Surtout si on sais que je me branlais tous les jours !

… 

Non c'est pas vrai, ça ne rend pas sourd !

Par contre ça soulage, ça détend. Et là j'en aurais bien besoin. La présence de ma copine contre moi ne me laissait pas de marbre. Depuis le premier baiser que nous avions échangé ce soir, je sentait ma cage à bite se refermer, comme si elle devenait de plus en plus petite. Au premier baiser ma queue avait commencé à prendre du volume, doucement au départ puis avec plus de force. Maintenant la pression était maximum, à la limite de la douleur. Mais à la limite seulement, c'était seulement très désagréable, vraiment très désagréable. 

Ma queue poussait de toutes ses forces contre les parois de ma cage, l'anneau appuyait sous mes testicules et c'était certainement ça le plus désagréable. Pour le reste ça pouvait aller. 

Lisa bougeait, j'entendais un léger murmure et son bras me caressait le corps depuis mon épaule jusqu'à mon dispositif de chasteté. Sa main se posait sur mes testicules, elle ne bougeait plus. Je n'osais plus bouger moi non plus. Dans ma cage la pression devenait subitement encore plus forte. 

Je ne parvenais pas m'endormir, en plus comme j'étais allongé sur le dos, j'allais ronfler c'est sûr.

Vous savez les parents des jeunes fille de mon âge, leur pères surtout, sont très rassurés de savoir que le garçon que leur fille fréquente portent un dispositif de la marque PK. Ils sont sécurisés, et les garçons ne peuvent rien faire, de coquin en tout cas. On est obligé de rester sages !

Et moi je restais sage ! 

On avait fait un câlin, un gros câlin même. 

Elle m'avait donné un baisé, je le lui avait rendu. Non pas que je ne voulais pas le garder … Mais je dis n'importe quoi là !

Elle m'avait donné un autre baiser. Je l'avais prise dans mes bras. On avait prévu depuis quelques temps de dormir ensemble et justement on était chez moi, dans ma chambre, mes parents étaient absents et … finalement … elle m'avait ouvert la chemise et m'avait couvert de baiser sur tout le torse. 

C'est là que ma queue a commencé à protester, c'est là que je l'ai sentie devenir vraiment plus grosse vraiment plus dure. Puis elle a poussé contre les parois de ma cage, de toutes ses forces. 

Dans ma tête c'était un peu la panique, Lisa faisait glisser ma chemise sur mes épaules puis sur mes bras, je me retrouvais torse nue. Elle semblait faire une pause. J'en profitais pour lui ouvris son corsage. Elle s'était habillée pour sortir ce soir là. Elle portait un soutient gorge très sexy en dentelles. 

Je passait délicatement un doigt sous un de ses seins, juste à la limite du tissus, sa peau était douce, très douce et je la sentais frémir. Toujours avec délicatesses je recommençais mais en glissant le bout de mon doigt sous l'étoffe. Elle se penchait vers moi et m'embrassait avec passion.

'' Ça s'ouvre par derrière !''

Elle me donnait carte blanche. Je la prenais alors dans mes bras et la serrait contre moi. Je prenais bien le temps de lui caresser le dos en lui donnant des baisers pleins de tendresse dans le cou tout en recherchant le sésame, le petit dispositif d'ouverture. C'était un petit crochet qui ne résistait pas bien longtemps. Elle se révélait alors torse nue elle aussi. Je pouvais enfin voir sa fine poitrine, ses deux seins menus et élégants. Comment ne pas y toucher ? Comment ne pas les caresser ? Je ne cherchais pas à résister et c'est avec douceur que j'y posais les mains. 

Ils étaient fermes autant que doux. Ils se relevaient et devenaient plus fermes sous l'effet de mes caresses. J'y déposais quelques baisers et du bout de ma langue je lui chatouillais les tétons.

Lisa n'était pas si sage que je le croyais. Si pour moi c'était la première fois que je me retrouvais avec une fille, nue dans mon lit, ce n'était pas la première fois qu'elle se retrouvait avec un garçon dans cette situation. Elle avait plus d'expérience que moi !

Me repoussant en arrière elle s'allongeait sur moi. Je refermais mes bras sur elle. Ma queue protestait toujours et c'était la seule chose qui arrivait encore à me distraire des seins et de la peau de Lisa. 

Elle couvrait mon corps de baisers en commençant par mes épaules, je ne pouvais que me laisser faire et la caresser. J'aurais certainement pu faire plus mais j'en avais pas envie. Quand elle arrivait à mon nombril elle ne ralentissait pas le mouvement, ouvrait mon pantalon et continuait plus bas.

Elle me massait les couilles, c'était pas la première fois qu'elle se retrouvait dans ce genre de situation je vous dis. Elle prenait mes mains et le posait sur ses seins en me regardant avec une petit sourire. A cet instant la seule chose que je sentais c'était la pression de ma queue contre ma cage à bite.

A mon tour je lui caressait tout le corps, je relevais le torse et l'embrassais également. Elle m'avait montré l'exemple et quand j'arrivais à son pantalon je faisais comme elle. Elle me laissait faire et quelques minutes plus tard nous nous retrouvions tous les deux entièrement nus sur mon lit.

Mon dispositif se relevait de toutes ses forces devant moi. Lisa s'en amusait. 

Lisa : J'adore voir un mec comme ça moi !

Elle disait ça sans malice, enfin je suppose. Elle me caressait les couilles et s'amusait avec ma cage. 

Moi : Tu sais j'ai fait un moulage avant de porter ce truc.

Je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça. Ça m'a échappé. Elle me regardait alors avec un regard plein se surprise et de curiosité.

Lisa : Tu fais voir !

Comme c'était prévu que je mettes le dispositif, j'avais pris soin de me faire un moulage de ma  bite. On trouve sur internet des kit pour faire ça facilement et le résultat était parfait. Je sortais le dispositif de sa cachette. Elle me l'arrachait des mains et l'examinait sous tous les angles.

Elle avait l'air fascinée. 

Lisa : Tu as de la ficelle ?
Moi : Bein non sur moi là, non pas vraiment !
Lisa : Des lacets ?
Moi : Oui ça j'en ai.

Je me relevais, ma cage se relevait devant moi et Lisa regardait tout ça d'un air vicieux. Avant que j'ai le temps de réagir, elle passait un des lacets dans mon dos, faisait une boucle puis une autre autour de la base de ma bite en plastique, repassait le lacet derrière mes cuisses et … Je me retrouvais avec une copie de ma queue bien en place, bien relevée, elle était appuyée sur ma cage. J'en croyais pas mes yeux, j'avais un instant l'impression de voir ma bite  à sa place …

En fait elle est toujours à sa place, je vous rassure, mais je ne peux plus m'en servir pour le moment c'est tout. Elle me tirait alors contre elle. Se collait contre moi, m'écrasait ses seins contre mon torse et glissait ma bite en plastique entre les cuisses. 

Elle se masturbait contre ma queue en caoutchouc. Là j'avais la cervelle en feu.

Avant que je ne comprenne tout ce qui se passait, elle me repoussait contre mon lit, je retombais sur le dos les bras en croix. C'était génial, un instant encore je voyais ma queue bander, comme quelques mois avant, quand  j'étais encore … Quand je pouvais encore me branler librement.

Elle s'allongeait sur moi, je ne comprenais pas vraiment ou elle voulait en venir mais c'était cool. Je sentais de nouveau la douceur de son corps, de sa peau. Elle se masturbait en frottant son entre-jambe sur mon ventre. J'étais en transe, ma queue hurlait à la mort, mon cœur allait exploser.

Lisa : C'est la première fois que tu te retrouves ainsi avec une fille.

Je faisais oui de la tête.

Lisa : Ce n'était pas une question !

Je souriais mais en fait, je ne savait plus trop quoi faire.

Sans prévenir elle soulevait le bassin et s'empalait sur ma bite en plastique … Je manquais d'air !

Elle se penchait de nouveau sur moi et m'embrassait en laissant ses seins me caresser le torse. Elle relevait également son bassin le rabaissait, je voyais ma bite s'enfoncer en elle et en ressortir.

Lisa : Suis le mouvement, soulève ton bassin comme moi, et suis le rythme.

Sans réfléchir, sans penser à rien, sans rien ressentir je m'exécutais. Sans rien ressentir, c'était ça le pire, je ne ressentait rien, cette bite était morte, froide et morte … C'est vrai qu'elle était en plastique aussi et c'était terriblement frustrant. Je lui caressais la poitrine, je lui caressais tout le corps. Elle se tortillait avec plaisir entre mes doigts, ça c'était génial.

Elle me guidait, me disait ce que je devais faire. Elle me disait quelles caresses elle voulait, quels baisers elle souhaitait. Je m'exécutais ! J'avais la tête en feu, je n'étais plus qu'un automate pour son plaisir. Je voulais lui demander mais je connaissais déjà la réponse, ce n'était pas la première fois qu'elle se retrouvait dans les bras d'un garçon et elle n'était plus vierge.

Dans ma tête c'était la folie, je me disais que j'allais apprendre ce qui plaît aux filles, ce qui lui plaît et que le jour ou je serait libre, le jour ou …

Par dessus tout j'aurais voulu retirer mon dispositif, je ne ressentais rien sinon ma queue qui poussait contre les limites de ma cage. Je regardais le bas de mon ventre et c'était la folie, je voyais ma queue entrer et sortir du sexe de ma copine. 

Elle se laissait tomber sur le côté et m'entraînait avec elle, elle me guidait et je me retrouvais au dessus d'elle dans une position plus conventionnelle. Elle passait ses jambes dans mon dos et m'invitait à continuer le mouvement. Je me lâchais. J'avançais et reculais le bassin en suivant le rythme qu'elle m'imposait. Je ne réfléchissais plus, dans ma tête il n'y avait plus rien, mon cœur battait fort et ma respiration était totalement irrégulière.

Elle se tordait entre mes bras, elle gémissait puis criait de plus en plus fort. Je l'ai senti trembler entre mes bras, je l'ai vu faire des grimaces, son visage se déformait sous l'effet du plaisir. Je l'ai entendu hurler puis retomber sur le dos en me criant de tout arrêter. Elle avait joui, elle avait pris son pied, elle … Moi je n'avais rien senti sauf les barreaux de ma cage. 

J'étais essoufflé, impressionné, étonné, je ne m'attendait pas à ça de sa part. Elle m'avait utilisé comme un sex-toy, je n'avais servi qu'à son plaisir.

J'étais en sueur, je m'effondrais à côté d'elle, je la regardais, elle me souriait. On ne disait plus rien. On ne bougeait plus.

Plus tard, bien plus tard, je la prenais dans mes bras. Elle retirait mon gode, je me dégageais des lacets, elle se glissait contre moi, tout contre, tirais la couette sur nous, me donnait un baiser sur le torse et se laissait aller, elle s'endormait. 

Elle avait l'air d'un ange, c'était un démon qui cachait bien son jeux mais elle avait l'air d'un ange. 

Je me sentais frustré comme jamais, je m'attendais à ce que la première fois, ma première fois ça soit autre chose.  Je m'attendais à en obtenir un vrai plaisir, un autre plaisir, là, je me sentais surtout frustré. Il manquait quelque chose. Depuis trois mois je vivais dans la frustration, mais là, la frustration avait dépassé tout ce que je pouvais imaginer. Une toute petite chose en moi me disait d'être heureux mais une toute petite chose seulement. Pour le reste ce n'était que … Frustration !



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

30 Mai 2020

J 151




PHILIPPE Saison 3 ( ép 28 à 40 )

PHILIPPE
EP 28 : C'EST REPARTI POUR UN AN



Alors là j'étais dégoûté !

Mes deux tontons m'avaient roulé et il n'y avait pas qu'eux, mon Papy aussi et si ça s'arrêtait là ... il y avait aussi tout le personnel de la maison, Alex par exemple … Je suis sûr qu'il connaissait ce détail à propos des dispositifs à clé unique lui aussi.

On ne peux vraiment faire confiance à personne !

Vous imaginez que je n'ai pas traîné. J'avais retiré le dispositif quelques instants plus tard et j'arrivais au cours … En retard. 

Le prof : Alors là bravo Monsieur Brosso, bravo ! Premier cours de l'année, premier retard aussi ! 
Moi : Faut pas perdre les bonnes habitudes !

La classe était pliée de rire, et moi je me retrouvais dans la salle d'attente du bureau du directeur. Avec Nadine je discutais, on se racontait nos vacances. Nadine c'est la secrétaire, elle est adorable, on se connaît bien, elle me voit souvent. C'est elle qui me donne mon billet pour revenir en classe à chaque fois que je me fais jeter du cours … C'est à dire souvent !

Nadine : Tu étais sur Magic Island. Tu en as de la chance, tu t'es bien amusé au moins ?

Je lui disais ou j'étais. L'endroit est célèbre et convoité. Et comme le directeur n'arrivait pas je lui racontais.

Nadine : Mais qu'est-il arrivé à ton nez ?

C'était guéri mais  j'avais encore quelques marques.

Moi : Rien on nous a agressé, ils étaient cinq et il a fallu que je me défende !
Nadine : Mon dieu cinq. Tu n'as pas été trop blessé j'espère !
Moi : Moi ! Pfff ! Non presque rien ! Bon il m'ont cassé un peu le nez mais tu aurais vu leurs têtes … Eux ils ont passé quelques semaines à l'hôpital … 
Nadine : Quelques semaines … ? Ça va j'ai compris tu me racontes des bêtises. Qu'est-ce qu'il t'est arrivé ?
Moi : Mauvaise chute !
Nadine : Rien de trop grave ?

Le directeur arrivait et en me voyant …

Le directeur : Non pas lui ! Tout se passait si bien depuis deux mois ! Nadine donnez lui son billet de retour et laissez moi reprendre l'année calmement, je refuse formellement de me mettre en colère aujourd'hui !

Là je ne vous cacherais pas que j'étais surpris. C'est la première fois qu'il me la faisait celle là. Je retournais dans ma classe presque déçu, il me manquait … Je sais pas moi … Je ne m'étais même pas fait engueulé … 

Le premier soir je retrouvais Théo. Tout l'interna dormais, enfin quand je dis tout. Je suppose qu'il devait y en avoir qui se branlaient. Mais bon, quand on peut pas dormir il faut bien s'occuper, surtout si on fait partie de la petite moitié qui ne portait pas de dispositif de chasteté ...

Bein justement moi je ne pouvais pas dormir. Ça vous étonne peut être ?
Ça faisait des mois que je portais ce truc autour de ma queue et c'est seulement aujourd'hui que je l'avais retiré, et en plus j'avais même pas eu le temps de me détendre, enfin de me branler, mais vous aviez rectifié. Il avait fallu que je me dépêche, puis j'étais arrivé en retard à mon cours puis j'avais attendu une heure devant le bureau du directeur puis je m'étais fait jeté par le directeur qui n'avait même pas voulu m'engueuler … J'étais tout retourné moi !

Donc ça faisait des mois que je portais ce truc … Enfin des mois peut être pas, des semaines oui, là ça en faisait plusieurs mais des mois peut être pas. Mais bon de toutes façon c'était trop, beaucoup trop. Je vous l'ai déjà dit plus d'une fois, moi ce truc, JA-MÉ ! Enfin maintenant je dirai … PLU-JA-MÉ !

A partir de maintenant je vais plutôt m'amuser avec ma queue et avec le cul de mes petits camarades et c'est un peu pour ça que j'avais entraîné Théo sous la douche ce soir de premier jour. 

Je me déshabillais rapidement … 

Oui vous aviez deviné … Je bandais !

Théo faisait un peu la gueule en voyant ça mais bon vous commencez à le connaître, et nous savons tous que quelquefois il est un peu ronchon ! 

Moi : Bêê alors doudou tu fais la gueule ?
Théo : Tu m'appelles doudou toi maintenant ? Oui je fais la gueule !
Moi : Bôôôa ! Mais tu sais que ça te va à merveille ton truc !
Théo : Tu peux parler toi, tu ne le portes plus et tu ne vas pas le remettre de tout le reste de l'année.

Il bandait ferme le petit Théo, enfin il essayait ! De là à dire qu'il y arrivait. Moi je rigolais, je bandais ferme, ma queue était presque à la verticale. A la verticale mais pointant vers le  haut je vous rassure et en face de moi Théo avec son dispositif qui se redressait tristement me faisait pitié. 

Je le prenais alors dans mes bras, depuis deux mois j'avais tenu plus d'une fois ce corps que je connaissais bien maintenant. Il frémissait et c'est sans doutes de le sentir ainsi que j'étais brusquement saisi par un violent élan de romantisme et n'avais plus qu'une seule envie … L'enculer !

Oui je sais, mais dites vous bien que je viens d'avoir dix sept ans et le romantisme … Ça me fait bander ! Remarquez j'ai peut être une perception personnelle du romantisme ?

Je ne lui sautais pas dessus pour autant. Bon ça va je sais me tenir. Je l'entraînait sous la douche, là je le prenais dans mes bras, il tremblait pourtant il ne faisait pas froid. On s'embrassait, on se caressait, il me lavait la queue avec douceur, je lui tripotais tranquillement son dispositif de chasteté, je m'attardais sur ses couilles. Elles ne formaient qu'une seule grosse boule, déjà bien ferme. Il me laissait faire.

On se savonnait partout l'un l'autre. Ici les douches restent ouvertes toute la nuit, il y avait peu de chances qu'on soit dérangé. Dans les salles vides, le son résonnait et si une porte s'ouvrait on l'entendrait, même sous la douche .

Je le serrais contre moi, je glissais ma queue entre ses cuisses, juste en dessous de son dispositif qui se redressait contre mon ventre. Je passais mes mains sous ses fesses et le tirait vers moi. Il ne faisait plus la gueule, il me souriait et m'embrassait. 

Ses baisers devenaient plus entreprenants, je sentais ses lèvres sur mon cou, sur mes épaules, le relevais la tête et recevais l'eau sur mon visage, comme une  pluie chaude et douce. Puis son visage descendait contre mon torse, je sentais ses lèvres me chatouiller doucement les téton, ensuite c'était le bout de son nez. Il sait y faire le petit Théo. C'est moi qui lui ai tout appris ! … Bon d'accord je déconne, il savait faire avant de me rencontrer.

Il s'était penché contre moi puis accroupi et maintenant je luis caressais les épaules, le haut de son dos, je lui caressais les cheveux et l'idée de lui faire un shampooing me traversais l'esprit … '' Mais c'est n'importe quoi ! '' , je me disais dans ma tête. '' Enfin c'est pas le moment quoi ! ''.

Et au moment ou sa langue passait sur mon gland je rigolais à l'idée que j'avais eu quelques instants plus tôt. Il arrêtait et me regardais.

Théo : C'est moi qui te fais rire ?
Moi : Non ! C'est dans ma tête …
Théo : Ah parce qu'il y a quelque chose dans ta tête maintenant ?
Moi : Beuh … !

Il reprenait et avalait d'un trait ma queue sur toute sa longueur. Là je ne disais plus rien. Je préférais le laisser faire, de nouveau je relevais la tête en arrière, passais ma main sur ma nuque et finalement je me faisais un shampooing pendant que lui me suçait la queue avec la plus grande douceur.

Il faisait une pause, je le sentais relever la tête, je l'entendais soupirer en me voyant faire puis il reprenait. Quand je terminais de me rincer les cheveux, je lui caressais de nouveau les épaules, le haut du dos, et de nouveau je passais mes mains sur ses cheveux. 

J'avais la bouteille de shampooing dans la main et finalement …

Moi : Ne bouge plus et ferme les yeux.

Sans attendre je lui passais du shampooing sur la tête et lui lavais les cheveux. Je l'ai senti sursauter, ça a dû le surprendre mais pendant que je lui massais le cuir chevelu je sentais sa langue qui s'enroulait autour de ma queue, je sentais sa glotte qui me chatouillait le gland … Enfin je ne sais pas trop ce que je ressentais mais je vous jure que c'était super agréable. Je finissait par lui rincer la tête. Il se relevait, me regardait.

Théo : Tu es grave toi ! On ne me l'avais jamais fait ça. 
Moi : Tu as aimé ? 

Il pouffait de rire.

Moi : Je dis ça parce que moi j'ai beaucoup aimé ce que tu me faisais.

Je le prenais dans mes bras et c'est moi qui le couvrais de baiser. 

Théo : Vas-y je vais te laver les cheveux à mon tour.
Moi : Déjà fait !
Théo : Ah oui ! C'est vrai.

Moi : Mais tu fais bien d'en parler … Retourne toi tu seras mignon !
Théo : Bien fait d'en parler … Pfff … ( il poussait un grand soupir en levant les yeux au plafond ) .

Mais il s'exécutait, il se retournait, se penchait en avant en s'appuyant contre le mur, il écartait les jambes et retournait la tête ver moi. Je l'embrassais avec passion et prenait position. Je me sentais inondé de romantisme et si dans ces cas là je pousse bien à fond sans réfléchir, je ne sais pas ce qui m'a pris, je vieilli sans doute. J'ai alors enfoncé ma queue dans son cul avec douceur, je le serrais contre moi, nos deux langues se caressaient l'une l'autre. J'y allais avec force mais aussi avec lenteur, je lui laissais tout le temps nécessaire pour qu'il se détende, je sentais son muscle anal envelopper ma queue. C'était à la fois une pression forte et douce. 

Je passais une main sur sa gorge et le serrais fort, sans pour autant lui couper la respiration. Il respirait plus fort, plus je m'enfonçais plus il respirait fort et quand mon ventre s'écrasait sur les fesses il poussait un grand gémissement : '' Ah oui c'est bon, j'aime quand tu me prends comme ça ''.

Je poussais alors un peu plus fort et lui écrasait les fesses, ma queue se calait bien confortablement au fond de son cul. Il gémissait de nouveau encore plus fort. Je me retirais alors, toujours avec lenteur. Il ne se retenais plus et gémissait avec une sorte de sanglot dans la voix.

Je revenais, en accélérant tout doucement le mouvement, il gémissait. Je me retirais et à chaque mouvement accélérais. Quelques instants plus tard, mes mouvements étaient devenus violents et rapides. Il gémissait de plaisir, j'y étais venu progressivement, il ne cachait pas qu'il aimait. Il m'encourageait à continuer, il en redemandait et je lui en donnais. 

Mes coups étaient rapides, violents, amples. Mon bassin claquait fort contre ses fesses. Je le retenais dans mes bras mais il n'essayait pas de se sauver. Il avait passé un bras dans son dos et me caressait le côté droit, il passait par moment la main dans mon dos comme pour me retenir. Il avait la tête penchée en avant et j'avais un peu l'impression qu'il pleurait mais ce n'était qu'une impression.

J'ai gémi à mon tour, j'ai râlé de plaisir, j'ai gueulé de toutes mes forces au moment ou j'ai joui en lui. J'ai tremblé puis je me suis écroulé sur lui. Je le tenais serré contre moi mais c'est lui qui me retenait. Ma queue était encore bien enfoncée en lui, on ne bougeait plus, c'est seulement quelques instants plus tard que je me retirais, je bandais encore mais moins et moins dur.

Je le couvrais de baisers sur les épaules. Il se retournait face à moi, me prenait dans ses bras, il avait éjaculé, il avait joui lui aussi. On partageait un long moment de douceur intime quand on a entendu des applaudissements. 

De surprise Théo a hurlé, j'ai hurlé moi aussi mais c'était pour faire comme lui … En même temps je regardais autour de nous, c'était Peter !

Vous vous souvenez de Peter, c'est lui qui donne des soirée coquine dans sa chambre, il ne porte pas de dispositif et en profite pour enculer tout ceux qui veulent bien le laisser faire. ( Ep 11 ).

Peter : Et bien les filles, ça c'était quelque chose !
Moi : Tu es là toi ! Alors ça t'a plu ? Tu es arrivé quand ?

Théo ne disait plus rien, il regardait Peter et semblait faire la gueule, on était toujours dans les bras l'un de l'autre.

Peter : Ça fait un moment que je suis arrivé, tu avais l'air bien en forme. Il faudra que tu nous emmène ton copain un de ses soirs.
Moi : Si ça te tente, je te le prête !
Théo : Hé, hééé !
Peter : C'est bon pour moi, je viens de me vider les couilles également, sinon ça n'aurait pas été de refus !
Théo : Ho, hooo !

Je donnais un baiser sur l'épaule de Théo qui arrêtait de râler.

Peter se joignait à nous et on terminait notre douche.

Peter : Alors vous avez fait quoi pendant vos vacances.
Théo : Magic Island !
Peter : C'est pas vrai tu as fait comment pour réserver, il paraît qu'il faut s'y prendre des mois à l'avance …
Moi : Ma famille à une maison sur place !
Peter : Ah oui ça explique j'aurais du m'en douter.Tu as des entrées partout toi !
Théo : Je suis aussi allé dans l'espace.
Peter : Non ! J'y crois pas ! Raconte !

Finalement Théo et Peter sympathisaient, Peter lui racontait.

Peter : Et toi Philippe tu as trouvé ça comment ?
Théo : Il n'est pas venu avec nous lui, il s'était fait mal au nez !
Moi : Enfoiré, c'était pas la peine de lui dire.
Peter : Allons bon qu'est ce qu'il t'es arrivé au nez ?

Agacé je revenais dans les vestiaires pour me sécher et m'habiller. Ils me retrouvaient quelques instants plus tard, Peter rigolait, Théo lui avait raconté.

Peter : Et bien on m'en dit de bonne à ton sujet. Tu as fait fort. J'aurais bien aimé aller avec vous.

Théo rigolait mais là c'est moi qui faisait la gueule. On finissait par revenir à notre chambre. Peter et Théo s'entendaient bien finalement, Peter l'invitait à passer le voir dans sa chambre. Je marchais devant et eux me suivaient en rigolant.

Moi : Mais pourquoi tant de haine Théo ? Il ne fallait pas lui raconter toutes les conneries que j'ai fait.
Théo : C'était juste de la vengeance !
Moi : Vengeance ! Mais j'ai rien fait moi ! Je t'ai juste enculé !
Théo : Tu voulais me prêter tout à l'heure !
Moi : Bein si je ne peux plus dire de conneries moi …
Peter : Tu n'aurais plus qu'à te taire, c'est vrai !



PHILIPPE
EP 29 : LUIDJI M'ALLUME



La semaine suivante se passait tranquillement. Je m'étais retrouvé avec le même colocataire que l'année précédente. L'autre allumeur de Luidji qui me montrait sa bite tous les matin au réveil l'année précédente.

Un de ces jours il va falloir qu'on règle ça !

En plus, il ne se contentait pas de me montrer sa bite, il bandait, il me montrait sa bite en érection.

Remarquez là je m'emporte, la première semaine avait passé et je n'avais pas encore vu le bout de sa queue à celui-là, même pas sous la douche. Ça me manquait un peu, c'est vrai quoi, c'est pas la peine d'avoir un colocataire canon, exhibitionniste et bien monté si on ne peut pas se rincer l’œil.

Ah vous pensiez que je râlais ? Oui d'une certaine manière je râlais mais c'était uniquement parce que j'avais pas le droit de toucher … Non ! En fait je vais pas me plaindre, il est canon tout de même, il est bien foutu, simplement j'aurais bien aimé pouvoir y toucher moi ! Un matin, nous n'étions pas encore levé.

Luidji : Tu ne portes toujours pas de dispositif de chasteté toi ?
Moi : Non mais tu rigoles. Moi ! Ça ! JA-MÉ !
Luidji : JA.MÉ ??
Moi : Si tu préfères … Jamais ! … Tu n'avais pas traduit ?
Luidji : Et tu vas faire comment l'année prochaine à la fac ?
Moi : Je trouverais une solution, je ne sais pas encore comment je vais faire mais … Mais c'est quoi tes conneries ? Tu sais très bien qu'on ne peut pas entrer avant l'âge de dix neuf ans !
Luidji : Dix huit !
Moi : Non dix neuf !
Luidji : Ils ouvrent une nouvelle classe de préparation, accessible dès l'âge de dix huit ans. Pour les bons élèves !
Moi : Ouai ! Donc j'ai rien à craindre … Là je ne suis pas concerné !

Il rigolait de ma réponse.

Luidji : Et bien moi je suis déjà inscrit !

Et disant cela, il relevait sa couverture et se dévoilait pour la première fois de cette année entièrement nu à mes yeux. Il portait un dispositif de chasteté. Je regardais ça avec des yeux tout ronds qui ressortaient de ma tête et qui le faisaient rire.

Luidji : Je n'avais encore jamais essayé mais finalement c'est pas si désagréable, c'est stimulant.
Moi : Tu aimes ?
Luidji : Ouai ! C'est super cool ! Ça ne fait pas mal ! On peut bouger librement !
Et surtout … Ça motive !
Moi : Ça motive quoi ?
Luidji : Je ne sais pas comment t'expliquer. Tu devrais essayer tu verrais !

Essayer, essayer, je ne vais pas lui raconter que j'ai déjà essayé. Il serait capable de se moquer de moi. Bon c'est vrai que ça ne gêne pas pour bouger, mais c'est pas une raison.

C'est pas désagréable ! C'est pas si agréable que ça non plus !

Et en tout cas, moi ça ne m'a pas motivé !

Il s'habillait devant moi, il prenait le temps, il n'est jamais pressé, là ça n'a pas changé ! L'année précédente il me le faisait souvent aussi. Il prenait tout son temps pour passer ses vêtements, bien les ajuster mais … là j'avais l'impression qu'il prenait encore plus son temps.

Il me semblait que l'année précédente il enfilait son caleçon plus rapidement, là il prenait vraiment son temps, il enfilait un T-shirt, puis sa chemise qu'il ajustait en gardant les fesses à l'air, et la bite en cage, à l'air aussi. Je ne pouvais pas détacher les yeux de son truc. C'est fou comme c'est sexy un mec en cage !

Je me demandais même si c'était pas plus calme de voir sa bite se relever , plus calme dans ma tête je veux dire. Là il n'y avait plus que ses couilles qui se balançaient et sa queue ratatinée dans une petite cage qui semblait si petite. La cage se redressait devant lui, la bite tentait désespérément de s'élancer vers le ciel, telle une tour penchée forte, fière, puissante. Je vais finir par devenir poète si ça continue. Mais rien de dépassait, la tour penchée s'arrêtait au premier étage.

Finalement c'était pire que quand il se baladait à poil, enfin pire dans ma tête je veux dire, je bandais comme un fou moi. C'est vrai que plus rien ne m'en empêchait depuis une petite semaine. Et là, j'étais pris d'une violente poussée de romantisme … J'avais envie de lui sauter dessus et de l'enculer !

Il avait ajusté sa cravate, la chemise était parfaitement ajustée également et c'est seulement à ce moment qu'il allait enfiler son caleçon. Même pas ! Le fou il enfilait un jockstrap ! Vous savez ce genre de sous vêtement qui ne maintient que les couilles, enfin la bite aussi. Mais je veux dire par là que ça laisse les fesses à l'air et il a un cul le gars. Je ne vous dis pas ! Je me disais '' Je vais craquer, je vais craquer, je vais craquer … ''.

J'ai été héroïque … J'ai pas craqué !

Je ne sais pas comment j'ai fait mais j'ai pas craqué. Remarquez j'étais pas plus avancé, j'ai pas débandé du reste de la journée, j'avais son cul devant mes yeux toutes la journée et quand c'était pas son cul c'étaient couilles et sa cage que j'avais devant les yeux.

Toute la journée, dans ma tête je me disais : '' Je vais craquer, je sens que je vais craquer. Mon cœur ne tiendra pas une année entière à ce rythme !''

On faisait une longue séance de sport dans l'après midi, je me défoulait, je me défonçais, j'étais à fond, je bandais tout de même. En plus il y avait les corps de tous mes camarades très légèrement vêtus. Il faisait chaud et une grande partie d'entre eux terminaient même torse nue. Ils étaient tous jeunes, beaux, musclés, élégants, sveltes … Je vais craquer je vous dis !

Les muscles roulaient sous la peau et la peau se moulait avec finesse sous les vêtements de sport. Partout ou je tournais le regard il y avait des corps attirants. Je me suis noyé dans le romantisme. Les culs les plus ronds, j'avais envie de les défoncer. Les bosses les plus visibles entre les cuisses j'avais envie de les voir de plus prêt, je les imaginaient en forme ( en érection pour ceux qui ne suivent pas ) et j'avais une folle envie de me les prendre dans le cul.

Cette année il y avait plus de la moitié des élèves qui portaient un dispositif de chasteté et ça se voyait. Les tenues de sport sont suffisamment minces et moulantes pour ne rien dissimuler. Et je ne vous dis pas comment c'est sexy un mec en tenue moulante dont l'élasticité du tissus trahie la présence d'un dispositif PK, c'est encore plus sexy que quand il est à poil.

Je vais craquer je vous dis. Mon cœur aura lâché avant la fin de l'année !

Ensuite on se retrouvait sous la douche, douches collectives. Mes camarades rigolaient en me voyant. Je bandais comme un fou. Rien à faire je ne contrôlais plus rien, je n'essayais même plus. Personne ne restait très longtemps sous la douche, ils sortaient les uns après les autres en faisant du bruit et en rigolant. La moitié portait un dispositif de chasteté, d'autres avaient une grosse molle qui pendait lourdement devant eux à chacun de leurs mouvement, quelques un bandaient aussi, comme moi.

J'allais sortir, Luidji passait juste devant moi et d'un geste rapide, presque accidentel, me caressait les couilles … '' Tu as l'air en forme toi dis-donc, encore plus que d'habitude … ''.

C'est vrai que c'est pas la première fois que j'ai bandé sous la douche.

Sans le faire exprès, enfin, sans l'avoir prémédité je lui caressait moi aussi les couilles, ma main remontait sur sa cage et ma queue à ce contact semblait se contracter encore plus … Je dis ' semblait ' parce que j'étais déjà au maximum.

Je ne vous dis pas mais c'est pas ça qui risquait de me calmer.

Les premiers sortaient déjà des vestiaires, j'arrivais en dernier, je m'installais dans un coin et m'habillais rapidement. Je bandais. Je sortais à mon tour, pour une fois je n'étais pas le dernier, il restait un mec qui se dépêchait, il bandait, et un autre qui prenait son temps. Mes yeux se sont attardés sur lui, il portait un dispositif céramique.

Son corps était bronzé, il avait sans doute passé ses vacances au soleil. Il était bronzé de partout. Bronzage intégral comme j'aime. La couleur blanche mate du dispositif ressortait bien sur sa peau ambrée et satinée. Je sentais une montée de romantisme qui me prenait. Il n'avait pas un poil sur tout le corps, et ses muscles étaient fins, parfaitement dessinés et parfaitement proportionnés. J'avais là encore une violente envie de lui défoncer le cul et de vérifier au toucher chacun de ses muscles, à l’œil c'est bien mais des fois il faut voir de plus prêt.

Je sais de quoi je parle, je suis peut être encore jeune mais je commence à bien connaître mon sujet !

Je rattrapais rapidement le reste du groupe. Il y avait Luidji devant moi, il portait un costume comme nous tous. Son pantalon était parfaitement ajusté, je n'avais jamais remarqué à quel point ces pantalons nous mettaient en valeur. Ça ne donnait pas dans le genre exhibitionniste, non, c'était des costumes parfaitement classiques et très sobres. Jusque là ils m'avaient toujours paru austères mais en voyant le cul de Luidji devant moi une nouvelle bouffée de romantisme me montait au visage et je m'imaginais là, lui sautant sur le dos, lui arrachant son pantalon, je l'aurait alors poussé en avant, il se serait penché sur un banc et je l'aurait culbuté là. Sans autres préambules, sans prévenir, sans me préoccupé de nos autres camarades. Ils auraient regardé le spectacle et à la fin ils auraient applaudi.

Et à la fin oui ! Quand Luidji m'aurait supplié de le laissé, juste après qu'il m'ait imploré de ne pas le lâcher, de lui en donner encore plus. Quand n'en pouvant plus j'aurais finalement décidé que c'était bon, qu'il avait son compte, que j'avais pris assez de plaisir quand … Ouai, à la fin j'aurais réajusté ma cravate et je serais reparti avec une allure digne ...

Ouai ! Alors ça c'était une grosse crise de romantisme ou alors j'y connais rien !

J'ai pas craqué !

En y repensant je me demande si c'était vraiment nos costumes qui me faisaient cet effet. Ça venait peut être juste de moi. Et puis j'ai bien fait de ne pas me laisser aller finalement. Je crois que je me serais fait remarquer !

Un peu plus tard on se retrouvait tous au réfectoire. Je bandais. D'ailleurs je me demandais si à un moment de la journée javais débandé. Je me souvenais qu'à chaque fois que je m'étais posé la question et bien je bandais  ! Enfin c'est pas ce que je voulais dire. Simplement je ne me souvenais pas si il y avait un moment dans la  journée ou je n'avais pas bandé ?

Il m'avait vraiment allumé ce matin là Luidji. Je ne m'en étais pas remis de toute la journée. Il faut bien se dire aussi que c'est vraiment sexy un mec en cage, je ne parle pas de moi là. Je parle des autres, parce que moi … JA – MÉ … ! C'est pas négociable ! Si jamais quelqu'un veut me faire porter un de ces trucs, je vous jure, je ne sais pas ce que je fais, mais je le fais …

En tout cas, cette  histoire ne m'avait pas coupé l’appétit. J'ai mangé comme un goinfre !

Ce soir là dans la chambre, Luidji était studieux comme à son habitude. C'est tout lui ça, soit il joue les allumeurs et les exhibitionnistes, soit il fait l'innocent et fait semblant d'étudier. Enfin semblant peut être pas, lui, il est bon, il a des notes qui feraient plaisir à mon père, si  j'avais les mêmes bien sûr mais il faut pas rêver, là il n'y a aucune chance !

Et puis comment voulez-vous que je me concentre moi ? On était dans une école de garçons, la moitié de mes camarades de classe portaient un dispositif de chasteté, je trouve que les garçons sont particulièrement sexy avec un truc pareil sur la queue et précisément mon colocataire en portait un depuis peu et tous les matins désormais j'aurais droit au spectacle de sa queue en cage.

Luidji : Tu sais il paraît qu'il y a des plages qui autorisent les porteurs à se balader à poil.
Moi : Ouai je sais ! Ça s'appelle des plages naturistes !
Luidji : Non ! En fait sur les plages naturistes c'est pas bien vu de porter un truc comme ça.

En  disant ça il s'était mis torse nue.

Moi : J'ai entendu parler de ça moi aussi.
Luidji : Tu sais, tu peux te mettre à poil aussi, si tu veux !

En disant ça il avait retirer le reste de ses vêtements, il se retrouvait à poil et faisait les cent pas à travers la chambre.

Moi : C'é ta bunne tonne didé ta bon ravi …
Luidji : Tu disais, j'ai pas trop compris là.

Je prenais une grande respiration, avalais ma salive .

Moi : C'est pas une bonne idée …
Luidji : Mais si tu faisais comme moi, tu pourrais te mettre à poil aussi sans que ça ne devienne inconvenant. Tu mets une PK toi aussi et c'est réglé.

J'avalais à nouveau ma salive. Je me disais : '' Je vais craquer, je sens que je vais craquer '' , je le regardais faire, c'est vrai qu'on nous l'a dit. Quand on porte un dispositif PK on n'est pas vraiment nu … Donc … !

Je bandais. J'avais comme un doute, il me semblait que quelques instants plus tôt je ne bandais pas mais j'étais même pas sûr.

Luidji : Tu sais que tu es bien foutu !
Moi : Qu'est-ce que t'es pas plumé toi !

Il me regardait bizarrement.

Luidji : Tu es fatigué toi !
Moi : Fai la bouté géante !

Vous m'excuserez si je ne traduit pas mais je ne sais même plus ce que je disais à ce moment. Et puis j'ai arrêté de parlé à ce moment là. Il me faisait bafouiller l'autre zouave !

Luidji : Tu sais j'aime bien me balader à poil comme ça.
Moi : …
Luidji : Avant j'osais pas, j'avais peur de te mettre mal à l'aise.
Moi : G... ?

Mais qu'est ce qu'il raconte il me fait le coup tout les matins.

Luidji : C'est cool que ça te dérange pas ! Surtout que maintenant c'est beaucoup plus convenable. Enfin pour moi …
Moi : Rh … !

Mais j'ai jamais dit que ça me dérangeait pas, ça m'affole c'est tout.

Luidji : Tu sais on est vraiment bien comme ça. Et puis je sais que  je ne vais pas bander, je peux me laisser aller, je me sens bien, dans mon corps. Tu devrais vraiment essayer !
Moi : Gh, Gh …
Luidji : Tu sais il y en a plein qui font ça, qui se mettent à poil comme moi là  parmi les porteurs.
Moi : C … C …

Non mais franchement il va pas me faire ça tous les soirs maintenant. Il me le faisait déjà tous les matins …

Je vais craquer je vous le dis, je vais craquer !



PHILIPPE
EP 30 : LES SOIREES CHEZ PETER



Les jours qui suivaient je remarquais que Luidji ne prenait plus la peine de mettre des sous vêtements. Le matin il passait rapidement sous la douche, je ne sais pas ce qui leur prenait mais de plus en plus de porteurs se baladaient à poil dans les couloir pour aller à la douche, juste une serviette sur l'épaule au lieu de la porter en pagne autour de la ceinture. Ensuite, dans la journée, sous son pantalon il ne portait rien … Euh … Sauf bien sûr le petit truc qu'il ne pouvait pas retirer.

Moi je gardais un sous vêtement pour aller à la douche parce que je bandais. Sous la douche ça faisait rigoler tout le monde, surtout ceux qui portaient un de ces trucs. Ils me taquinaient et comme avec les années ils étaient plus nombreux ils se lâchaient. Il ne se passait pas un jour, surtout le matin, qu'au moins un de ces nouveaux porteur me conseillait de faire comme lui …

… 
… Mais tu attends quoi toi ? Le fils Brosso ?
… C'est ton père en plus qui les fabrique !
… Tu pourrais montrer l'exemple au moins ! 

Je peux vous garantir qu'en plein jour, personne ne faisait le clown en racontant ce qui se passait plusieurs fois par semaine dans la chambre de Peter ! J'en repérais rapidement plusieurs et je peux vous assurer qu'eux il ne me disait pas de mettre un truc comme le leur. 

Vous connaissez l'expression : '' Il faut des baisés ! '' ? Ouai bein dans ces cas là il ne faudrait pas oublier qu'il faut aussi des baiseurs … Éh ,éh , éh, j'avais choisi mon camp !

Sous les douches, dans les vestiaires, je ne cachais plus mes érections, remarquez j'ai jamais réussi à les dissimuler vraiment, mais là je n'essayais même plus. Je faisais mon fier. Remarquez comme je ne traînais plus sous les douches pour arriver quand c'était possible après tout le monde, je n'arrivais plus en retard aux cours. 

Un jour ou je croisais le directeur dans le couloirs, il me disait, non sans une certaine malice.

Le dir : Mr Brosso, mais je vous croyais malade. Ça va faire trois semaines que je ne vous ai pas vu dans mon bureau pour être arrivé en retard à votre cours !
Moi : Vous me taquinez Mr le directeur, vous me taquinez ! Faites attention je suis parfaitement capable de mobiliser votre salle d'attente pendant des heures si je veux.

Il rigolait.

Le dir : Là c'est vous qui me taquinez Mr Brosso. Mais faites moi plaisir, continuez comme vous faites maintenant.

Je continuais ma route avec un grand sourire, bien sûr mes notes ne s'amélioraient pas mais le nombre de mes sanctions était en chute libre. Comme quoi, ces histoires de cul, ça a du bon dans les études !

Le soir Luidji se déshabillait avant d'aller prendre sa douche, il y arrivait à poil, la serviette sur l'épaule. Il en revenait à poil, quelquefois il traînait dans les couloir, il lui arrivait même de s'arrêter dans une chambre. Juste à côté de notre chambre, nos voisins portaient tous les deux un dispositif … Luidji restait à poil toute la soirée, sauf s'il devait sortir. Moi je voyais ça, je bavais d'envie, l'envie de l'enculer. 

Un jour que je me changeais j'entendais Luidji.

Luidji : Si tu veux te mettre à poil, il n'y a pas de problème mais tu mets un dispositif alors. Sinon c'est pas loyal. Tu peux te branler quand tu veux toi, pas moi ! Tu peux te faire plaisir toi, pas moi ! C'est déjà assez dur comme ça, si en plus c'est pour te voir bander, et pourquoi pas te branler pendant que tu y es …

Le ton était agacé, il ne parlait plus de la même manière que quelques semaines plus tôt. 

Éh, éh, je savais bien moi que c'était pas si cool qu'il le disait ! Et je vous le rappelle : Moi, ça  JA-MÉ !

Régulièrement, si vous préférez, plusieurs fois par semaine je me glissait discrètement sans prévenir dans la chambre à Peter. J'y allais aussi quand j'étais invité je vous rassure. J'y avait emmené Théo, il ne pouvait plus faire grand chose le pauvre Théo avec son truc autour de sa queue. Je ne l'avais bien sûr pas prévenu de ce qui l'attendait, il en avait bien une petite idée mais le mieux c'est de voir par soi-même.

Moi : Bon Théo tu te mets à poil !
Théo : Alors là c'est direct, pas de préliminaires !
Peter : Je me mets à poil moi aussi si tu veux.

Rapidement on était tous les trois à poil. Peter s'installait dans son large fauteuil.

Peter : Suce moi la queue !

Je me penchais sur Peter, accroupi juste à côté de lui et commençais à lui caresser la bite. Je bandais ( vous vous en doutiez ! Bon d'accord ... )

Peter : Mais qu'est-ce que tu fabriques toi ?
Moi : Beuh ! Je te suce la bite !
Peter : Mais c'est pas à toi que je parlais. Allez, toi viens t'installer à côté de moi. 

Théo s'accroupissait et me donnait un coup d'épaule, pousse-toi de là toi !

Il caressait ensuite avec douceur la queue de Peter. Là dans cette situation Peter c'est un chef, il sait exactement ce qu'il faut faire. C'est simple il ne fait rien ! Il laisse faire ! Je les regardais. Je bandais ( oui je sais vous vous en doutiez ), je commençais à me tripoter un peu la bite.

Peter me tapais sur le dos de la main.

Peter : Tu connais la règle, pas de branlette. Il y en a qui ne peuvent pas faire ça ici. Si tu veux te faire plaisir tu les sollicites.
Moi : C'est la nouvelle philosophie ?
Peter : Parfaitement. Il faut penser aux autres. Tous tes camarades qui ne peuvent se faire plaisir qu'en te faisant plaisir.

Théo changeait de bite, il suçait la mienne maintenant. C'était pas la première fois, j'appréciais de plus en plus. Il faut aussi dire qu'il faisait ça de mieux en mieux. En quelques mouvement de tête ma queue s'écrasait contre le fond de sa gorge. 

Il continuait à masturber doucement la queue de Peter et avec l'autre main il me caressait le ventre puis la cuisse. Au bout d'un petit moment il changeait de nouveau, il continuait à me caresser les cuisses. Son visage s'écrasait contre le ventre de Peter, qui maintenant lui retenait bien la tête en appuyant dessus.

C'était mon tour de nouveau, Théo avalait ma queue et sans états d'âme que moi aussi j'appuyais sur sa tête de toutes mes forces. Il lâchait la queue de Peter et tentait de se dégager avec ses deux mains. Je le retenais et ne finissais par le lâcher que quand je voyais qui allait manquer d'air. 

Il relevait la tête et râlait : '' Non mais tu veux me tuer ! ''.

Il passait à Peter et ne s'occupait plus de moi. Peter guidait sa tête avec les deux mains. Je tournais le visage vers Théo et on échangeait un baiser, puis un autre et finalement pendant que Théo suçait Peter moi j'embrassais Peter le caressais. Ça aussi j'aimais bien.

Moi : A moi, à mon tour.

Je donnais une tape sur la tête à Théo. Qui me répondait par un doigt d'honneur sans relever la tête. La queue de Peter glissait sur toute sa longueur dans la bouche de Théo et s'écrasait au fond de sa gorge.

Moi : Bon si c'est comme ça !

Je me relevais et me lubrifiait la queue. Sans rien demander à personne je prenais position et enfonçais ma bite dans le cul de Théo. Histoire de me venger je la lui enfonçais bien à fond dans un mouvement rapide et violent.

C'est ce qu'on appelle '' Pan dans l'cul !''.

Jeu eu comme l'impression qu'il voulait gueuler mais il était bâillonne par la queue de Peter. Il voulait se relever mais j'appuyais sur sa tête et j'étais en position de force. Il voulait se dégager Théo mais n'y parvenait pas. Peter ne faisait rien, il laissait faire. Il faut dire que lui il n'avait pas fait grand chose depuis le début de cette  affaire. Il était allongé les deux bras derrière la tête et il regardait avec un grand sourire satisfait.

Je me retirais et en même temps lâchais la tête à Théo qui là râlait vraiment et avant qu'il n'ait le temps de dire quelque chose je revenais à la charge. Ma queue s'écrasait au fond de son cul et la seule chose pouvait dire … C'était un cri de plaisir. 

Il respirait fort, Peter lui montrait de la tendresse en lui caressant la joue. Moi j'étais déchaîné, plein d'un immense romantisme. J'avançais et reculais mon bassin avec vigueur et force. Je n'avais pas envie de traîner aussi j'accélérais le mouvement. Théo poussait des cris gutturaux, comme il pouvait, avec la queue de Peter dans la gorge, il faisait ce qu'il pouvait le pauvre. 

Puis brusquement j'ai éjaculé, sans prévenir, presque sans l'avoir vu venir ( un peu quand même mais j'avais rien dit ), j'ai éjaculé plusieurs fois et à chaque fois j'ai poussé de toutes mes forces mon bassin contre le cul de Théo avant de lui écraser les fesses en appuyant mon ventre de toutes mes forces.

Théo avait posé sa joue sur la cuisse de Peter et râlait de plaisir.

Je me relevais, enfilait vite fait mon pantalon et repartais me coucher. Au moment ou je sortais je voyais Peter qui prenait ma place, son colocataire arrivait. Je me disais que celui là il risquait d'être frustré ce soir, il porte un dispositif et s'il n'avait trouvé personne pour le soulager il n'aurait que le droit de regarder …

Il est comme ça Peter, c'est pas un tendre et il aime bien jouer avec la frustration des porteurs. 

J'arrivais dans ma chambre. Luidji était à poil, il avait l'air tendu le pauvre. Moi j'étais complètement détendu, cool, relax et c'est à moitié en chantant que je lui demandais si tout allait bien pour lui.

Il me regardait l'air presque méchant. Il lâchait son ordinateur et me faisait face, les jambes écartées. Je pouvais voir à quel point il était tendu. Son dispositif se relevait avec force, la cage était bien remplie et la peau de sa bite ressortait par les trous d'hygiène. Ses couilles formaient une grosse boule bien pleine et qui semblait bien dure.

Moi : C'est cool ce truc, tu as raison !
Luidji : Ouai c'est cool ! ( sur un ton qui n'avait rien de convaincu )
Moi : Et on se sent … C'est difficile à décrire … On se sent … Fort …
Luidji : Tu me fais chier là !

Je le regardais un peu surpris. Il avait passé quelques semaines dans sa cage et sa manière de voir les choses avait un peu changé. Ça m'amusait beaucoup, il n'était plus aussi convaincu.

Moi : Et tu le portes combien de temps ton truc.

Là il faisait la gueule !

Luidji : Je le sentais bien moi ce truc au début. Au bout de deux semaines j'étais tellement enthousiaste que j'ai validé pour jusqu'à la fin de l'année.


Luidji : Puis je me disais que, comme ça, j'aurais de l'expérience pour l'année prochaine …


Luidji : Tu sais la classe de préparation.


Luidji : Il faut porter le truc du premier jour au dernier jour, vacances comprise.


Luidji : Je ne sais pas comment je vais faire …
Moi : Pour l'année prochaine ?
Luidji : Mais non, essaye de suivre un peu. Non pour cette année.

Le ton de sa voix montrait un peu plus que de l'agacement. Il était à cran.

Moi : Pour cette année ?
Luidji : OUI POUR CETTE ANNEE !
La il était vraiment à cran !

Il s'était levé en disant cette dernière phrase puis il rasseyait. Il était nerveux. 

Luidji : On m'a dit que j'aurais envie de me défouler en sport. Que je serais bien meilleur, que je pourrais me concentrer, que je serais plus fort.


Luidji : Il ne faut pas les croire ! C'est l'enfer !

Je sais qu'il a mal dormi cette nuit là, il m'a souvent réveillé. C'était sans le faire exprès mais je l'ai entendu se retourner et se retourner encore pendant toute la nuit. 

Quand je me suis réveillé, il dormais, il était allongé sur le dos, sa couverture était relevée. Il était nu, magnifique, tellement sexy, sa cage était pleine mais sans excès. Bien pleine, il avait juste une grosse molle. Il avait l'air paisible. 

Quelques instants plus tard il se réveillait. Il ouvrait les yeux et nos regards se croisaient.

Luidji : Tu fais quoi là ?
Moi : Rien je te regarde.
Luidji : tu n'as rien d'autre à faire ?

Sa queue se réveillait aussi et je voyais la pression monter.

Moi : Moi j'adore !
Luidji : Tu adores quoi ?
Moi : Voir un mec en cage, avec sa queue qui se révolte et tente de sortir.
Luidji : C'est malin !
Moi : Bein ouai moi je trouve ça tellement sexy.
Luidji : Tu me trouves sexy ?
Moi : Bein ouai !
Luidji : Connard !



PHILIPPE
EP 31 : LUIDJI ABUSE



Vous l'avez compris, il était ronchon. Vous connaissez le proverbe …

Érection du matin … ( désolé j'ai toujours pas trouvé de suite ) !
Érection contrariée … Ronchon pour la journée !

Oui là c'est bon, ça marche et en plus ça lui va bien ! 

Luidji avait passé les deux premières semaines enthousiaste comme pas deux. Sur sa lancée il avait signé pour un an. Deux semaines encore plus tard il avait dépassé son délai de rétractation et se retrouvait obligé, engagé, encagé pour le reste de l'année scolaire. 

C'est ballot parce que là il commençait à le regretter. Il ne commençait pas seulement, il le regrettait vraiment. Il commençait à en baver. J'y suis passé, je sais ce que c'est. On peut tenir le coup quand on n'a pas le choix. Le dispositif est indestructible et si on ne peut pas le retirer on le garde. Il est parfaitement étudié et je sais de quoi je parle je connais les inventeurs ( éh, éh, éh ), donc si on enferme quelqu'un dans ce truc, il y reste. On parle même d'un dispositif qui ne pourrait pas être retiré … Jamais … Vous vous rendez compte ? … Enfermé pour toujours ! Il n'y aura jamais de volontaires pour un truc pareil ! Ça c'est clair.

En attendant Luidji il en bavait et prenait seulement maintenant l'étendu de l'engagement qu'il avait pris. Il aurait pu attendre la fin de l'année mais vous savez c'est ça la jeunesses. On ne réfléchit pas toujours à ce qu'on fait !

Oui bon c'est pas la peine de me rappeler que moi, avec Joey … Ça va, j'en suis revenu ! ( ep 19 )

Enfin ce matin, il le vivait mal, demain ça ira peut être mieux. Avec le temps il apprendra à supporter. De toutes façons il n'a pas le choix. Il faisait des grimaces le pauvre Luidji en se levant. Il partait prendre sa douche, et là, je remarquais qu'il mettait sa serviette autour de la taille. Au retour il avait toujours sa serviette autour de la taille …

C'était fini, l'enthousiasme du début était terminé !
Moi je bandais et je me vengeais de tous ces jours ou il m'avait échauffé la cervelle, tous ces matins ou il se levait avec la trique, tous ces jours ou je ne pouvais que regarder, ou je n'avais pas le droit de toucher …

Mais je dis n'importe quoi moi là. Ça ne va pas être mieux pour moi cette nouvelle situation. Pour lui je ne dis pas et je m'en moque. Mais pour moi, je n'ai toujours pas le droit de toucher, c'est certainement pas Luidji qui va me laisser l'enculer, en tout cas pas tout de suite. Et là devant moi je le voyais se tortiller en enfilant son caleçon, et moi je me voyais me tortiller pour enfiler mon slip. Il y avait un truc qui ne voulait pas rentrer dedans ! Bein oui je bandais !

D'accord j'allais me montrer à Luidji tous les matins, ça allait bien lui échauffer la cervelle entre les oreilles, il serait en manque tous les jours, toute la journée mais … C'est que lui aussi il m'échauffe la cervelle dans ma tête, et encore plus que par le passé. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point il est sexy mon petit Luidji avec son truc sur sa bite !

On était tout beau, tout propre comme tout les matins et on finissait par sortir de la chambre pour aller aux cours. 

Une fois de plus je n'ai pensé qu'à Luiji, je le voyais partout, y compris là ou il n'était pas. Je ne pensais plus qu'à sa bite que j'avais vu se relever tous les matins, je la voyais maintenant enfermée dans une cage minuscule. Enfin quand je dis que je pensais plus qu'à sa bite, j'exagère un peu tout de même, je pensais aussi à ses couilles. Ce matin elles étaient bien lâches sous la douche, elles tombaient et se balançaient mollement sous la cage.

Quand je pense qu'il y en a qui voulaient que je travaille à l'école mais ils ne se rendaient pas compte qu'il n'y avait que des garçons que la moitié de ces garçons portaient un dispositif de chasteté que moi les filles ne m'intéressent pas que ce sont les garçons qui m'attirent moi qu'il n'y a rien de plus sexy qu'un mec qui porte une cage de chasteté que tous les matins il y a mon voisin de chambre qui m'allumait la cervelle et que le reste de la journée je ne pensais plus qu'à lui alors forcément ensuite pendant tout le reste de la journée je voyais sa bite en cage ses couilles pendantes au point que tout ce qui ressemblait à un homme me faisait bander et me donnait l'envie de lui sauter dessus et de l'enculer et pas seulement parce que je suis romantique mais tout simplement : PARCE QUE !

Et tout ça sans aucune ponctuation ! C'est vous dire dans quel état j'étais. 

Je vais craquer !

Le soir c'était toujours un peu plus calme, vous l'aviez deviné je suppose mais Luidji ne se baladait plus à poil dans la chambre. Trop dur à gérer pour lui ce truc. Je connais j'y suis passé. Son regard avait changé, il faisait un peu moins son fier. Je remarquais plusieurs fois que son regard se perdait dans mon entre jambe. 

Luidji : TU FERAIS QUOI TOI A MA PLACE ?

Je sursautais, il avait presque gueulé cette phrase, comme ça, sans prévenir. Je me retournais vers lui.

Moi : Mais pourquoi tu me cris dessus ? J'ai rien fait moi !
Luidji : Excuse moi ! Mais tu sais c'est pas facile à supporter ce truc ça va bientôt faire un trimestre que je le porte et … Tu ferais quoi toi à ma place ,
Moi : Tu veux vraiment que je te le dise.
Luidji : Oui je sais tu n'as jamais porté ce truc mais tu dois bien avoir une idée.
Moi : Enfin jamais, c'est un bien grand mot …
Luidji : Tu as déjà porté ce truc ?
Moi : Oui pendant plus d'un mois il n'y a pas si longtemps.
Luidji : J'y crois pas !

Il me regardait, semblait se demander si je plaisantais ou pas. Plus d'une fois j'avais répété et répété encore … JA-MÉ …

Luidji : Et tu as des conseils.

Je respirais profondément, me relevais, baissais mon pantalon, ma queue se relevait presque à la verticale …

Moi : Suce moi la queue !

Luidji me regardait l'air incrédule. Moi dans ma tête je me disais '' Soit il m’envoie son poing dans la figure, soit il me suce la queue. J'espère que j'ai correctement estimé la situation. ''

Luidji me regardait droit dans les yeux, je ne savais plus quoi dire. Il regardait ensuite ma queue. Déjà  c'était bon signe je n'avais pas reçu son poing dans la figure !

Finalement il se mettait à genoux devant moi, il n'avait pas l'air convaincu et il hésitait. J'avais correctement estimé la situation. Il était en manque, tellement en manque qu'il aurait sucé un mec le pauvre. C'est idiot ce que je viens de dire, ' il aurait sucé un mec ', non il n'aurait pas seulement, il le faisait et le mec, c'était moi. Cool je vais pouvoir le former, lui expliquer comment il faut faire … Au moment ou ses lèvre touchaient mon gland je relevais les sourcils l'air satisfait et quand je sentais sa langue sur ma queue j'affichais un très large sourire.

Il y allait doucement, pas convaincu, hésitant, un instant j'ai cru qu'il se forçait. Il relevait la tête.

Luidji : Tu es sûr ?

Je faisait oui de la tête. Il reprenait.

Luidji : Tu as déjà essayé ?

Je confirmais. Il reprenait de nouveau.

Luidji : Tu es vraiment sûr ?

Avec un grand soupir, je hochais la tête de bas en haut.

Luidji : Tu …
Moi : Bon tu me la suces ma queue ou merde, on ne va pas y passer la nuit !
Luidji : Ok, Ok, Ok …

Là c'était bon, il ouvrait la bouche en grand et baissait la tête sur ma queue, je la voyais rentrer lentement bien à fond. Il s'appliquait, je ne sentais pas les dents et rapidement un court instant je sentais la douceur du fond de sa gorge. Je gémissais de plaisir.

Là je dois vous avouer qu'il m'a bluffé le lascar. C'était peut être la première fois qu'il faisait ça mais il y avait déjà pensé plus d'une fois, c'est sûr !

Rapidement il semblait y prendre goût. Ma queue rentrait presque en entier, il avait tout de même du mal quand elle arrivait au niveau de la glotte. C'est normal quand on n'est pas habitué, si on y va trop fort on risque de vomir. Il gérait bien, il savait se retirer avant et rapidement il synchronisait sa respiration et s'en sortait vraiment bien.

Je lui caressait les cheveux. D'un geste rapide il repoussait ma main avec la sienne. Je recommençais, il faisait pareil.

Moi : Mais c'est bon, tu me laisse te caresser les cheveux ?
Luidji : ( relevant la tête ) Tu ne m’appuies pas sur la tête parce que là je …
Moi : Je ne t'appuierai pas sur la tête mais tu me laisses te caresser les cheveux.
Luidji : Si je veux me relever …
Moi : Si tu veux te relever je ne te retiendrai pas mais tu me laisse te caresser les cheveux ? T'es du genre pénible toi !

Finalement il reprenait. Je posais mes deux mains sur sa tête et appuyais doucement. A plusieurs moment je le sentais paniquer et relever la tête, je prenais le plus grand soin à ne surtout pas le retenir. Il finissait pas me faire confiance. 

Sa langue me caressait la queue sur toute sa longueur, puis il prenait mon gland dans sa bouche et avec sa langue me prodiguait des caresses digne d'un spécialiste. Je gémissais de plaisir. 

J'avais posé mes deux mains sur ses joues et je le guidais. Par réflexe mon bassin se relevait un peu comme des convulsions. Il relevait la tête à chaque fois et râlait. C'est vrai que quand on a pas l'habitude c'est pas confortable mais c'était pas ma fautes, c'était juste un réflexe.

Il restait là un long moment, ma queue à moitié enfoncée dans sa bouche, avec la langue il caressait le gland, c'était bon. Je lui caressais les joues et la gorge avec douceur. 

Moi : Allez à fond ! Essaye !

Je le sentais prendre une longue respiration suivie de quelques  mouvement de la tête, ma queue s'enfonçait et ressortait, il recommençait plusieurs fois de suite, c'était divin. Et dire il faisait des manières pour commencer. Brusquement sans prévenir son visage s'approchait de mon ventre, je sentais ma queue qui s'enfonçait, j'ai cru qu'il n'y arriverait pas puis j'ai senti son nez qui touchait mon ventre et aussitôt il se relevait. Il était tout rouge et reprenait son souffle.

Luidji : Tu es vraiment sûr que ça va m'aider ? J'ai l'impression que c'est pire maintenant.

Je me penchais vers lui, lui donnais un baiser sur la bouche, il me rendait mon baiser. On se prenait dans les bras et on se relevait. Nous étions enlacés au milieu de la chambre. Lui tout habillé, moi le pantalon sur les pieds. Je retirait mon t-shirt et repoussais mon pantalon. J'étais nu. Il se laissait aller et me caressait le corps.

Je glissais mes mains sous sa chemise et lui la lui retirais. Il se laissait faire. Je l'avais tant de fois vu nu. Tant de fois j'avais eu envie de caresser ce corps superbe et là j'en sentais la chaleur, la douceur et je goûtais à ses baisers, il embrasse bien en plus. 

Dans le même mouvement j'ouvrais son pantalon et en m'agenouillant devant lui je le repoussais sur ses chevilles. Il relevait les pieds et son pantalon était écarté à son tour. Il était presque nu devant moi, je dis presque nu à cause de ce truc qu'il avait entre les cuisses, sur sa bite. C'était superbe à voir, c'était sexy et je bandais de plus en plus ( comme si c'était possible ).

J'admirais un long moment son dispositif, il n'y a rien de plus beau, de plus sexy qu'un dispositif céramique. Il avait encore les trace su bronzage de l'été passé et ce contraste était comme hypnotisant. Je lui caressais l'intérieur de ses cuisses et lui gobais les couilles. Ça ne semblait pas le calmer !

Remarquez, c'est normal, c'est pas comme ça qu'on calme quelqu'un. 

Moi : Retourne toi, et penche toi en avant !
Luidji : ???
Moi : ( en lui donnant un baiser très doux dans le cou ) Je vais t'enculer, ça va te calmer.

Il avait l'air tétanisé, dans son regard j'ai cru voir un instant de panique mais il obtempérait. 

Je savais qu'il faudrait y aller doucement, je me lubrifiais donc abondamment et lui glissait un doigt dans le cul.

Il a gémi de plaisir. Il a gémi très fort. J'ai senti tout son corps se contracter, frémir, trembler. C'est à cet instant qu'il a éjaculé et c'était pas en silence !

Luidji : Tu avais raison ! 
Moi : Euh …
Luidji : Ah c'était bon, tu avais raison. Je me sens mieux là !

Il se relevait, se retournait, et me donnait un baiser sur la joue.

Luidji : Merci ! Tu es un amour !
Moi : Euh …

Mais qu'est ce qu'il me fait là ? J'ai dis que j'allais l'enculer … Et … Il y a un truc que j'ai pas compris là. Je pouvais voir que la pressions dans sa cage avait baissé. Maintenant son dispositif se balançait entre ses cuisses avec légèreté. Moi je bandais toujours comme un malade.

Luidji : Bon on se fait une douche et puis dodo !

Quelques instants plus tard je le voyais se savonner sous la douche, il avait retrouvé le sourire et semblait totalement détendu. Moi j'étais dégoûté. Je n'osais pas me branler, je savais qu'il l'aurait mal pris. Il m'avait assez souvent dit qu'il ne voulait pas voir ça. 

De retour dans la chambre il s'est couché, il était à poil, et il s'est endormi en quelques instants. 

Pas moi !

C'est quoi qui s'est passé là ( excusez le style mais là je bug ) ! Non mais c'est vrai, c'est quoi qui s'est passé là ? J'ai pas compris ! C'est lui qui porte le truc et c'est moi que je suis frustré ?

Il y a quelque chose qui ne va pas là !



PHILIPPE
EP 32 : VACANCES IMPROVISEES



J'ai mal dormi cette nuit là. J'ai même très mal dormi. Je bandais, je n'avait pas joui moi et je n'osais pas me branler. Ça m'aurait calmé mais, bon, je n'osais pas. Je me suis réveillé je ne sais pas combien de fois et à chaque fois je voyais Luidji dormir. Il était allongé sur le dos, de temps en temps il bougeait. 

Par moment son dispositif ressortait sous sa couverture, à d'autres moments c'étaient ses fesses que je pouvais admirer. Il a un joli cul mon copain Luidji et je m'étais fait une fête de l'enculer. Je rêvais en regardant son cul, je rêvais mais ça ne veut pas dire que je dormais. C'était plutôt un cauchemar.

Il y avait à quelques mètres de moi un garçon adorable qui portait un dispositif de chasteté PK. Un garçon qui était en manque et qui ne tarderait pas à exprimer à nouveau son manque d'ici peu. Un garçon qui malgré son manque d'expérience suçait assez bien, je suis sûr qu'il va devenir un véritable spécialiste avec un peu d'entraînement celui-là. Il avait en plus un cul et je me sentais débordant de romantisme moi à ce moment. 

Je bandais, j'admirais ses fesses et me voyais en train de l'enculer. Je m'y voyais bien là, surtout que je savais que j'y viendrait, je savais qu'un jour il serait encore plus en manque et que ce jour là je pourrais laisser s'exprimer mon romantisme naturel … Et pan dans l'cul  !

C'est lui qui me réveillait le matin suivant en m'attrapant les couilles et en les serrant dans sa main. C'était pas pour me faire mal, juste pour me taquiner, ça a marché je me suis réveillé tout de suite. Comme tous les matins, douche, habillage laborieux, moi c'est la bite qui ne voulait pas rentrer dans mon slip, lui c'était son dispositif qu'il ajustait avec délicatesse.

C'est ainsi que se terminait le premier trimestre. J'étais frustré, heureusement qu'il y avait Peter et ses soirées libertines. 

J'arrivais à la maison pour les vacances, les journées étaient belles, la saison chaude était terminée mais le soleil ne le savait pas encore. Mon père me tombait dessus. 

Père : Monsieur Brosso Philippe ! Tu pourrais m'expliquer ce qui t'arrive ?
Moi : C'est pas moi papa je te jure, j'ai rien fait, si ça se trouve j'étais même pas là !
Père : Mais qu'est ce que tu racontes ? Je viens de recevoir une note de ton directeur qui me transmet quelques félicitations pour toi et m'informe que tu n'as pas été viré d'un seul cours depuis plus d'un mois. Il rajoute aussi que pendant les deux mois précédents ton comportement s'était considérablement amélioré. Bravo Philippe ! Tu n'as plus qu'à travailler un peu mieux et tu devrais devenir un élève acceptable. 
Moi : C'est bien alors ?
Père : J'aimerais juste savoir à quoi tu pensais quand tu te défendais si vite à l'instant.
Moi : Quand ça ?
Père : Il y a quelques secondes quand tu me disais '' C'est pas moi papa !''.
Moi : Ah ! Tu parles de ce moment là ? ...
Père : Oui !
Moi : Bein je ne pensais à rien. 
Père : Tu es sûr ?
Moi : Bein oui !
Père : Alors pourquoi tu …
Moi : Au cas ou … On ne sait jamais …
Père : Et tu n'as donc rien fait ?
Moi : Pour une fois …
Père : Philippe tu me fatigues !
Moi : Bien papa ! Si tu veux papa !
Père : CE N'ETAIT PAS UNE REQUETE ! Fout moi le camp tu m'énerves !
Moi : Je peux aller faire un tour en moto ?
Père : Vas ou tu veux, tant que tu ne reviens pas entre deux gendarmes et que tu ne défrayes pas les chroniques !

Il était dans de bonnes dispositions j'en ai profité. Il ne me fallait pas longtemps pour remplir un sac à dos et enfourcher ma moto. Un peu plus tard dans l'après midi je me disais qu'il valait mieux prévenir. Je téléphonais donc à mon pè … Euh ? … 

Je téléphonais donc à ma mère …

Moi : Allo maman, papa m'a dit que je pouvais aller ou je voulais aussi comme il fait beau j'en profite pour me faire deux semaines de camping …
Ma mère : Bien mon chéri ! Si ton père est d'accord je ne vois aucune raison de m'y opposer … Tu as tout ce qu'il te faut ?
Moi : Pas de problème j'ai tout prévu.
Ma mère : Bien alors amuse toi bien mon trésor.

Je ne suis pas sûr qu'elle ait tout compris mais c'est pas grave. Si mon père ne m'appelle pas dans l'heure pour m'engueuler c'est que tout va bien, c'est qu'il est d'accord ! Le soir je m'arrêtais dans un hôtel, j'avais une petite carte de crédit qui me permettait de régler mes menues dépenses.

Il ne me fallait pas une heure pour repérer un petit gars en livret de garçon d'étage, mignon comme un cœur. Le soir même le dernier service qu'il effectuait, c'était dans ma chambre, je me faisais livrer une bouteille de champagne et deux verres. Je sais je n'ai pas l'âge pour acheter de l'alcool mais dans un hôtel c'est pas comme dans un bar, et puis le champagne c'est pas vraiment de l'alcool.

Le garçon : Vous avez commandé deux verre monsieur, vous attendez quelqu'un .
Moi : Peut être est-il déjà là !

Oui je sais 'la ficelle est grosse' mais ça a marché. Moins de dix minutes plus tard il me frottais le dos sous la douche avant que je ne lui frotte le siens. En plus il portait un de ces dispositifs. C'est incroyable mais les porteurs de ce genre de truc ne sont décidément pas farouches.

On se séchait rapidement avant de nous jeter sur le lit. C'est frénétiquement que je le prenais dans mes bras et le couvrais de baisers. Il me couvrait de caresses. On roulait l'un sur l'autre, nos bras se mélangeaient. 

Je me sentais très tendrement romantique moi au moment ou j'ai vu qu'il portait un dispositif, c'était un modèle en résine mais décoré, la PK en sort régulièrement avec des inclusions, des couleurs, des reflets. 

Il était déjà vraiment mignon et avec ce dispositif sur lui il était craquant et sexy … J'ai craqué ! Ça devait bien finir par arriver tout de même …

Je me retournais pour pouvoir lui gober les couilles pendant qu'il me suçait la queue. Je lui glissais un doigt dans le cul, il en faisait de même. J'appuyais alors mon bassin contre son visage, ma queue s'écrasait au fond de sa gorge, il tenait le coup le gars, il avait l'air d'aimer. 

Je lui enfonçais un second doigt dans le cul et commençais à les agiter. Je l'entendais gémir et se tortiller de plaisir. J'y allais plus fort, plus vite, je lui caressais les couilles avec force. Il me suçait avec vigueur.

C'est alors que plein de romantisme je me relevais, le retournais, l'allongeais sur le ventre. Il se laissait faire. Pour finir je m'allongeais sur lui, prenais position, ma queue bien en face de l'ouverture de son petit cul, je lubrifiais et lui enfonçait ma queue jusqu'à la garde. Il gueulait mais c'est pas ça qui me calmait.

Je m'enfonçais dans son cul, j'en ressortais, j'y retournais … De plus en plus vite. Mes coups de bassins devenaient violents, et mon ventre claquait fort contre ses fesses. Il râlait, il gueulait, je devinais qu'il adorait, il mordait l'oreiller et tremblait dans mes bras. 

Je me retirais puis le retournais sur le dos. Je lui relevais alors les jambes et j'y retournais. Il me regardais bien droit dans les yeux, il était vraiment mignon et quand je baissais les yeux vers son dispositif l’excitation montait en moi et mes mouvements devenaient encore plus frénétiques.

J'ai vu ses yeux se retourner au moment ou il a juté, je l'ai senti alors trembler de tout son corps, il jouissait. Je ne me calmais pas, bien au contraire, je me donnais à fond, et quelques instants plus tard je jouissais dans son cul. 

Les derniers mouvements de mon bassin devenaient particulièrement violents, je poussais mon bassin contre son cul et je le tirais vers moi de toutes mes forces. Il gardait la bouche ouverte, aucun son n'en sortait. Je finissais immobile puis je me laissais tomber sur lui. 

Nos bras se refermaient sur l'autre, j'étais encore en lui et nous profitions d'un moment de tendresse et de douceur. 

Il s'est réveillé en même temps que moi, et est rapidement parti prendre son service. Je passais lui dire au revoir juste avant de partir et enfourchais ma moto. Avant de m'engager sur les routes désertes vers le soleil couchant tel un pauvre cow-boy solitaire … ( Vous imaginez la scène ? Je suis pas sûr d'être très crédible là ? ) . Enfin … Surtout qu'on était le matin !

Dans la journée suivante je m'arrêtais dans un camping très classe ou on pouvait louer des mobile-home. Les journées étaient belles mais la saison touristique était toutefois terminée et on n'avait plus besoin de réserver. Rapidement autour de la piscine couverte je faisait connaissance avec un bar-man sublime. Il était bronzé à souhaits, et j'imaginais déjà le contraste que devais faire un dispositif céramique contre sa peau. 

Je ne le lâchais pas des yeux de tout le temps que j'ai passé au bar. Il était musclé, mince, grand et il avait un sourire ravageur. J'étais fou amoureux avant l'heure du souper. Le soir il ne faisait pas encore nuit, on frappait à ma porte. C'était le bar man. Il avait une bouteille à la main.

Il était plus vieux que moi, il me regardait droit dans les yeux quand il s'est déshabillé. Il gardait ce sourire ravageur en exhibant sa musculature. J'avais le droit de toucher et je ne m'en privais pas. Moi aussi je me déshabillais. Il retirait un vêtement j'en faisais de même. Il a terminé à poil avant moi. J'étais presque déçu de ne pas trouver le dispositif céramique que j'avais imaginé mais j'étais ravi de découvrir une bite de très belle taille qui faisait envie.

C'est moi qui ai pris l'initiative et me suis retrouvé à genoux devant lui en premier. Il était taquin et appuyait sur ma tête tout en me balançant des coups de bassin. Comme il remarquais que j'encaissais sans faillir il appuyait avec force sur ma tête, j'en prenait plein la bouche. 

On inversait les positions, je ne me retenais pas non plus d'appuyer sur sa tête et je lui balançais des coups de bassins sans me retenir. Il encaissait encore mieux que moi.

Il me renversait sur le lit, me sautait dessus, on roulait l'un sur l'autre. Il me mordillait un peu partout sur le corps. Ça devenait violent, je sentais ses ongles qui me labouraient le dos, ses dents sur ma peau, il m'écartais les jambes et je me sentais envahi par son sexe, envahi jusqu'à la gorge ( même si j'exagère un peu là ). Il ne montrait aucune tendresse au moment ou il m'a pénétré, il montrait le même romantisme que le mien quand j'encule quelqu'un. Il a lubrifié sa queue pris position et  poussé de toutes ses forces. J'ai hurlé !

Un peu plus tard, c'est moi qui le retournait, il glissait du lit et atterrissait sur la tête. J'ai fait pareil, un jour je suis tombé sur le nez mais la tête c'est moins grave. On est des mec et en général dans la tête il n'y a pas grand chose … 

Vous me dites si vous pensez que je viens de dire une connerie là !

Je le réinstallait sur le ventre et, à mon tour, je me lubrifiais la queue bien comme il faut avant de lui défoncer le cul. Il hurlait, j'en faisais de même, c'est vrai quoi, il n'y a pas de raison qu'il soit le seul gueuler !

En cette saison il n'y a pas grand monde dans le camping et c'est mieux. On se serait fait remarqué autrement. Il a voulu se venger de ce que je venais de lui faire, il m'a retourné, je me suis écrasé contre le mur, il m'a enculé sans ménagement. J'ai gueulé, j'ai hurlé je me suis débattu, il ne me lâchait pas, j'ai gémi, je l'ai imploré mais quand il me lâchait c'est moi qui l'attrapait et je l'enculais sans aucune tendresse à nouveau, de la même manière. C'est lui alors qui à gueulé, hurlé et s'est débattu …   

Je ne sais pas lequel de nous deux était le plus fort, on a terminé par un match nul ! 

Il avait une bosse sur la tête, ça c'était quand il est tombé du lit.

J'avais des traces de griffures sur le dos, ça c'était quand il m'a fait un câlin viril avant de m'enculer.

Il avait des traces de dents sur le bras, ça c'était quand …  Ça je ne sais plus tiens !

J'avais un bleu sur la fesse, ça c'était au moment ou je suis tombé sur le derrière.

Il était écorché au niveau du coude, ça c'était quand il s'est retourné et que son bras à frotté contre le mur.

J'avais un œil au beurre noir, ça c'était quand il s'est retourné et que j'ai pris son coude dans l’œil. 

On avait dû nous entendre de loin là, on n'avait pas vraiment été discrets. Pfffiu … C'était quelque chose !

Le lendemain au bar on échangeait des regards complices pendant qu'il me servait un café. On ne parlait pas mais on affichait tous les deux un large sourire. 

Lui : C'était quelque chose.
Moi : Je trouve aussi !
Lui : Tu viens de loin ?
Moi : Deux jours de moto !
Lui : Tu penses rester longtemps dans le coin ?

Finalement je suis resté plus d'une semaine , et il m'a fallu un mois pour m'en remettre. Non je déconne, ça s'est toujours terminé par un match nul et seulement quelques hématomes.

Les jours passaient il fallait bien penser à rentrer à l'école. En évitant de passer à la maison j'aurais préféré mais bon j'avais pas le choix. J'avais repoussé au maximum, j'arrivais à la maison la veille de mon retour à l'école. Mon père me tombait sur la couenne.

Père : PHILIPPE ! Quand tu décides de partir en vacances tu pourrais le demander tout simplement !
Moi : Oui papa !
Père : ' Oui papa ' ! C'est tout ce que tu trouves à répondre ?
Moi : Oui papa ! Pardon … Non papa ! Mais c'est pas moi que j'ai pas fait ! C'est toi que tu m'as dit que … 
Père : Philippe s'il te plaît respire quand tu parles, là tu bafouilles. 
Moi : Oui papa !
Père : Ne te stresse pas comme ça et respire ! Tu sais que des fois tu me fatigues ! Tu sais que tu va bientôt avoir dix huit ans, ça ne me gêne pas que tu prennes un peu plus de liberté, d'autonomie. Alors si tu veux partir en vacances, préviens. Là tu m'as un peu mis devant le fait accompli, le gouverneur qui venait juste d'arriver et qui espérait te voir avait l'air un peu surpris que je ne sache pas quoi lui répondre …
Moi : Oui papa !

Il m'envoyait me changer dans ma chambre, finalement ça c'était bien passé. En montant dans les escaliers je l'entendais parler avec ma mère …

Père : Ma chérie, tu sais il y a des jours ou je me demande si ton fils n'est pas un peu … Idiot … En tout cas c'est pas lui qui va me succéder à la tête de la PK.
Mère : Mais enfin, tu sais qu'il est encore très jeune, il faut lui laisser le temps de grandir en maturité.
Père : Il va bientôt avoir dix huit ans …




PHILIPPE
EP 33 : UN SOIR DE DEBAUCHE



Pour commencer : A l'intention de mes lecteurs réguliers il faut bien se dire que toute ressemblance avec les deux fols dingues René et Benoît que Philippe rencontre  dans cet épisode et les responsables de l'équipe de tournage René et Benoît qu'on rencontre dans l'épisode six de la série David n'est pas du tout mais pas du tout accidentelle …

...

Mais c'est vrai ça ! Depuis que je vous dis que je viens d'avoir dix sept ans … Bein je vais en avoir dix huit ! Comme le temps passe ! Ça ne nous rajeuni pas tout ça ! Mais en attendant je reprenais la route de mon école.

A mon âge avancé, j'avais le privilège de pouvoir sortir le week-end. Enfin sortir le soir, je veux dire, et traîner un peu. Boite de nuit et tout ça … Bon je n'y avait droit qu'une seule soirée par semaine mais c'était déjà bien. Il y avait aussi une condition … Il fallait que tout se passe bien ! Celui qui rentre ivre, ou entre deux gendarmes par exemple, serait consigné jusqu'à la fin de l'année scolaire. Et en plus un rapport serait envoyé à ses parents …

Bon je me tenais bien. J'avais entendu parler d'une boîte de nuit très cool, tout à fait le genre que mon père aurait fait fermer s'il avait pu.

C'était un endroit douillet, il y avait des banquettes en mousse ou on s'enfonçait et d’où quelquefois on avait du mal à ressortir. Surtout si quelqu'un venais s'asseoir sur vous sans vous remarquer.

Ça m'est arrivé !

J'étais tranquillement vautré au fond d'un de ces fauteuil en mousse, deux garçons se sont approché, l'un des deux s'est assis à côté de moi l'autre sur mes genoux.

J'en ai profité pour passer mes bras autour de lui, il était à moitié tourné ver son camarade et a passé un bras derrière ma tête par dessus mon épaule. Ils discutaient. Aucun des deux ne m'avait remarqué, pourtant je suis mignon comme tout moi, et de bonne compagnie.

Je les regardais, ils discutaient sans se préoccuper de moi. Un moment plus tard le garçon qui était à côté est reparti. L'autre à tourné la tête dans ma direction. Il me tenait par le cou, j'avais passé mes bras autour de lui. On était donc dans les bras l'un de l'autre.

Lui : Salut !
Moi : Salut.

Il était mignon, un peu plus vieux que moi mais à peine, il avait une bonne tête. Il était mince et musclé. Ça je le savais parce que je le tenais dans mes bras.

Lui : Ça fait longtemps que tu es là ?
Moi : J'étais là juste avant que tu n'arrives.
Lui : Je ne t'avais pas vu venir.
Moi : Tu ne m'as pas vu non plus quand tu t'es assis sur mes genoux.

Il me donnait un baiser sur la bouche.

Lui : Je me suis assis sur tes genoux ?

Je faisais oui d'un mouvement de la tête. Il me donnait un nouveau baiser.

Lui : Oui mais je ne t'avais pas vu venir, tu es du genre discret toi !

Il était ivre !

Lui : Moi c'est René, je suis un artiste.
Moi : Philippe, je suis étudiant.

C'est tout naturellement qu'il glissait sa main sous ma chemise.

René : C'est mignon tout ça dis donc.

Je glissais ma main entre ses cuisses et la remontait jusqu'à son sexe. Il m'a semblé qu'il écartait doucement les jambes, comme pour m'aider.

René : Tu m'as pas l'air trop farouche toi !

On s'embrassait de nouveau mais plus passionnément.

Moi : Tu es artiste ? Et tu fais quoi ?  De la peinture ?

Il faisait non de la tête et de nouveau m'embrassait avec beaucoup de sensualité. Il se laissait alors glisser à coté de moi, comme il était de travers, ses jambes se retrouvaient sur mes genoux. Je lui caressais l'entre jambe, il me caressait la main.

Il me tirait vers lui et je me retrouvais allongé sur lui, il avait refermé ses bras sur moi, nos chemises étaient ouvertes et sa peau était douce, chaude et douce. J'entendais une voix à côté de nous. C'était son camarade qui était revenu avec deux verres.

René se redressait doucement, je suivais le mouvement. Il prenait un verre et me le tendais puis se réservais l'autre.

Son copain : Bon je retourne me chercher un autre verre moi, pour moi ! ( hips )

C'était de l'alcool. J'ai hésité  un moment avant de … Vider le verre d'un trait ! … René me regardait l'air amusé, il vidait son verre également, me tirait vers lui et me caressait en m'embrassant avec beaucoup de science.
Puis il se relevait.

René : Il faut que j'y aille moi. Tu viens avec moi ?

J'avais envie de le voir de plus près ce loustic. Il m'avait l'air bien allumé, bien chaud je décidais de le suivre. On sortait, j'avais mon casque moto dans la main et comme il n'était pas en état de prendre sa voiture il est monté derrière moi, j'ai toujours un casque de secours.

On arrivait chez lui un peu plus tard. Il habitait dans un loft au dernier étage d'un ancien bâtiment industriel. C'était grand, il n'y avait qu'une seule salle mais c'était vraiment grand. La décoration se limitait surtout à un grand désordre. Des vêtements traînaient un peu partout, les livres, sur une étagère une véritable collection d'appareils photo argentiques plus ou moins anciens. Quelques vieilles caméras trônaient dans un coin entourés de quelques appareils de projections et de projecteurs. Un mur au fond était totalement dégagé et peint en blanc. Il y avait comme une sorte de scène devant. Des tentures suspendues partageaient les différents espaces.

Plus loin il y avait des photos. Des photos de danseurs, de danseurs très légèrement vêtus sur scène, de danseurs nus toujours sur scène …

Moi : Tu es artiste danseur ?

Il faisait non de la tête. Il retirait ses vêtements sans rien dire, il gardait un petit sourire et un regard coquin.  Il se retrouvait entièrement nu devant moi. Il était bien foutu, il bandait rapidement. Il était bien monté également !

René : Alors comment tu trouves la bête ?

Je m'étais assis sur un lit, et lui répondait par  un sourire. Il me sautait dessus. En rigolant j'ouvrais les bras en grand pour le recevoir.

Il me prenait dans ses bras et me couvrait de baisers. J'en faisais de même, un à un mes vêtements volaient à l'autre côté de la salle, on était nu, on riait, on faisait les fous, et nos caresses n'en finissaient quand nous glissions sous la couette.

René : Tu veux m'enculer ?

Il n'avais pas l'air bien compliqué ce garçon. Je faisais oui de la tête. Il se retournait sur le ventre et écartait les cuisses. Les bras repliés et la tête sur les bras il commençait à gémir de plaisir, je ne l'avais pas encore touché.

Je vous jure que là on ne se prenait pas la tête. Je m'allongeais sur son dos, me frottais contre lui, ma peau appréciais la douceur de sa peau. Je lui mordillais doucement les épaules, lui caressais les bras qu'il écartait  avant de lui caresser le torse, puis de descendre vers ses fesses.

Je me relevais et le chevauchais, mes mains parcouraient son corps avec force et douceur. Les petits gémissements qu'il poussait m'indiquaient que j'étais sur la bonne voie, que ce que je faisais lui plaisais.

Une caresse, un baiser puis une autre caresse et encore un baiser …

J'arrivais rapidement à ses reins et mes doigts se glissaient entre ses fesses, il écartait les jambes, un doigt glissait un peu plus profond, il poussait un gémissement plus fort. Il avait tourné la tête et je le voyais de profil, il arborait un grand sourire jovial tout en continuant à gémir doucement …

Je m'asseyais sur ses fesses et continuais à lui caresser le dos, par moment mon visage se penchait sur le sien et j'y déposais un baiser. À cet instant son sourire devenait plus large.

Je me déplaçais un peu et me retrouvais à genoux entre ses cuisses qu'il écartait largement. De nouveau mes mains s'attardaient sur ses fesses, mes doigts passaient avec plus d’insistance entre ses fesses. J'explorais cette zone, je m'attardais sur l'ouverture de son cul, je massais plus fermement cette partie tout particulièrement, je lubrifiais puis rapidement y glissais un doigt.

Il gémissait de plaisir, il ne tentais pas de se dégager. Un deuxième doigt suivait. Là j'ai cru que rené allait se relever, il a bougé les bras, les as repliés sous lui. Il a doucement poussé comme pour relever son torse puis s'est laissé retombé, suivait alors un long gémissement .

Je glissais mon autre mains sous lui, sous ses couilles, je les massais en même temps que je lui massais le cul. Là j'ai cru qu'il ronflait, qu'il s'était endormi. J'ai un peu tambouriné deux doigts sur sa prostate et les gémissements sont revenus. Il s'était peut être endormi finalement !

Je lui massais les couilles et prenait dans ma main sa queue, il bandait ferme. Par moment il contractait ses cuisses, comme s'il voulait soulever son bassin mais c'était sans résultats. Seuls ses gémissements devenaient plus bruyants.

Je lui lubrifiais longuement le cul et sans trop m'occuper de ce qu'il en pensait. C'est vrais que c'est lui qui m'avait parler le l'enculer en premier. Je plaçais ma queue en position et je la lui enfonçais au fur et à mesure que je m'allongeais sur son dos.

Au moment ou mon visage se posais sur son épaule, je donnais un dernier coup de bassin, ma queue était complètement enfoncée dans son cul, il poussait un long, très long gémissement … '' Oh oui, c'est bon '' .

Je m'accrochais alors à ses épaules, me retirais et revenais avec un peu plus de force bien à fond. J'appuyais bien mon bassin contre ses fesses et recommençais. Il semblait pousser avec ses bras, comme pour se cambrer, pour se relever mais c'était toujours sans résultats.

Je continuais mes mouvements avec plus de force, et plus vite. À chaque fois que mon ventre s'écrasait contre ses fesses il soupirait fort dans un râle de plaisir. Je me lâchais.

Mes mouvements devenaient rapides et violents, il râlait des '' Oui, encore '' , ou des , '' C'est bon vas y '' , ou encore des , '' Défonce moi le cul '' … Il aimait ça encore plus que moi le lascar. Je ne me retenais plus, mon ventre claquait contre ses fesses et il criait puis un peu plus tard quand mon ventre claquait contre ses fesses on criait tous les deux.

Je le sentais trembler, j'ai cru que j'allais jouir à ce moment. Je me suis laissé tombé sur lui la queue bien enfoncée dans son cul, je poussais de tout mon poids contre ses fesses et ne bougeais plus.

De nouveau j'ai cru qu'il s'était endormi, mais au premier mouvement de ma part je l'ai entendu gémir. Je me suis retiré, il a râlé. Je l'ai retourné sur le dos, il a râlé de nouveau mais n'a pas résisté. Je lui ai relevé les cuisses pour déposer ses chevilles sur mes épaules ( là je vois qu'il y en a qui connaissent déjà la position ), je me suis appuyé sur lui repliant ainsi ses jambes contre son torse, et je l'ai enculé …

Le mouvement était rapide, violent. Il a ouvert les yeux et m'a regardé droit dans les yeux. Il ouvrait la bouche et je sentais son souffle rapide et fort, il râlait à chaque fois que mon bassin s'écrasait contre son cul. Il réagissait bien surtout que je ne le ménageais pas, j'y allais de toutes mes forces, le plus vite possible, je n'hésitais pas à lubrifier autant que nécessaire et j'appuyais de tout mon poids.

En même temps je le masturbais, il avait une grosse molle mais c'était trop cool de la tripoter. Son souffle devenait irrégulier, je le branlais avec encore plus de force et sans prévenir il jutait. Il jouissait bruyamment et il jutait abondamment. J'avais la tête en feu et je jouissais à mon tour, je jutais dans son cul avant de me laisser tomber sur lui.

On était en sueur. On ne bougeait plus.

Brusquement René se relevais en me renversant sur le lit. Il relevait mes jambes et me donnait une claque sur la fesse. Il m'a fait mal le con, je vous jure, je suis sûr que ma fesses devait être toute rouge.

René : Lève toi limace tu as assez dormi, tu auras le temps de dormir quand tu seras mort mais en attendant debout.

Je m'étais endormi, je regardais le réveil juste à côté du lit, il indiquait toujours la même heure. Il m'avait laissé dormir pendant presque trente secondes …

On passait sous la douche ou on partageait encore un petit moment de douceur, un petit câlin quoi ! Il avait la pêche d'un coup, on aurait dit qu'il venait de récupérer après une bonne sieste. Moi je commençais à fatiguer, surtout que la nuit avançait, elle avançait même tellement qu'elle allait se terminer, on était maintenant très tôt le matin.

René : Viens par là toi, j'ai encore un truc là …

Il était à l'autre bout du loft, derrière des tentures. J'allais voir ce qui se passait. Deux projecteurs puissants s'allumaient, j'avais le temps de mettre ma main devant mes yeux pour me protéger de l'éblouissement, sans me demander mon avis il me photographiais sous tous les angles. J'ai vu les photos, on ne me reconnais pas vraiment et je préfère … On ne sais jamais avec ma famille …

Le garçon que nous avions laissé dans la boite de nuit entrait en hurlant !

Benoît : René tu es un enfoiré ! Je ne t'aime plus ! … Hips … Demain je te quitte … Hips … Tu m'as laissé tombé, je t'ai cherché partout moi, t'étais ou ? Dis ! Ou t'été ?

Il me regardais …

Benoît : Toi … Hips … T'es pas René toi ? …
Moi : Bein non moi c'est Philippe !
Benoît : Bon alors toi Phiiiiilpp, si tu vois René tu pourras … Hips … lui dire que  … que … que … Hips … Philippe …
Moi : Vas y je t'écoute, je ferai le tri après !
Benoît : T'es qui toi ?
Moi : Philippe, bein tu en tiens une couche là dis donc !
Benoît : Oué Philippe, bon, vue que … Hips … René il est pas là … Si tu le vois tu pourras … Hips … Lui dire que … Hips … Entre nous c'est fini !
Moi : C'est d'accord, mais il ne doit pas être bien loin, il était là tout de suite.
Benoît : Dis moi Phii... t'es avec quelqu'un là toi parce que moi je suis célibataire moi maintenant ? Bon j'vais m'coucher !

René réapparaissait.

René : Ah te voilà toi Benoît !
Benoît : René tu sais pas comment tu … Hips … m'as manqué … Hips ... Ohhh René je t'aime moi René.

Je préférais les laisser à leur joyeuse réconciliation de leur si courte et si soudaine rupture. Ils étaient en train de se faire un gros câlin au moment ou je sortais.

On n'avait pas vraiment d'heure pour rentrer à l'interna, il ne fallait pas trop abuser mais si on était clean, la direction de l'école restait cool. Je n'avais bu qu'un verre d'alcool en début de soirée, j'avais donc les idées claires. Ça se passait bien même s'il était vraiment très tard.

Je passais prendre mon petit déjeuner avant d'aller à ma chambre ou je dormais pendant le reste de la matinée.



PHILIPPE
EP 34 : REPÉRÉ


Finalement l'hiver commençait bien. Il y avait les soirées coquines dans les dortoirs, vous savez ces fameuses soirées chez Peter. Il y avait ces soirées en boite le week-end. Ça me faisait supporter la frustration de ne pas pouvoir enculer Luidji comme je l'aurais voulu.

Mais un soir que je passais à la maison …

Mon père : Ça va mon petit Philippe ? On me dit que tu deviens plus sérieux à ton école !
Moi : Euh ! Oui ! Ça va !

D’instinct je prenais un air méfiant !

Mp : Tu t'amuses bien le week-end ? Tout se passe bien ?
Moi : Euh ! Oui ! Ça va !

Pendant tout le repas il était charmant, il s'inquiétait de ma santé et de mes occupations. Vers la fin du repas je me demandais ce que j'avais bien pu faire de travers. Il m'inquiétait là et je me demandais s'il n'avait pas une maladie incurable. Bein oui franchement, mon père était brusquement charmant, on pouvait se poser des questions … !

Il me parlait de mon permis de conduire … Pour ceux qui n'auraient pas tout suivi, j'allais avoir dix huit ans … Il m'autorisait à m'inscrire. Je m'attendais au pire ! Il rajoutait même …

Mp : Pour tes dix huit ans je pense même que je vais t'offrir une voiture.

Mes couverts m'en tombaient des mains, j'avais plus faim …

Moi : Papa tu vas pas mourir ?

Il m'agace, j'ai du mal à le supporter quelquefois mais c'est mon père et je l'aime. Il relevais la tête, ma mère le regardait. J'avais donc bien deviné, j'allais fondre en larmes.

Mp : Non tout va bien mon fils ! Je ne vais pas mourir, enfin un jour oui comme tout le monde mais pour l'instant c'est pas au programme !
Moi : C'est maman alors … ? ( avec un sanglot dans la voie )
Ma mère : Non mon chéri, ce n'est pas prévu pour moi non plus, je ne vais pas mourir …
Moi : Papy ? Tonton Luc ? Tonton Bob ? … Ils sont peut être déjà morts et tu attendais le désert pour me le dire … Le majordome ? le chien ? ...

Là je paniquais. Mais c'est vrai quoi, mon père était adorable avec moi, attentionné et il parlait de me faire un cadeau … A ma place vous auriez paniqué aussi …

Mp : Philippe ! Personne ne va mourir et nous n'avons pas de chien ! 
Moi : C'est vrai ça, j'avais oublié ! Tu me rassures là papa !

Je recommençais à manger. Mon père poussait un long soupir. Je ne disais plus rien mais je me posais des questions dans ma tête.

Après le repas je remontais dans ma chambre mais rongé d'inquiétude je gardais une oreille dans les escaliers et là j'entendais mon père qui parlait avec ma mère.

Mon père : Tu sais que ça m'inquiète de plus en plus ma chérie mais il faudra se résinier, ton fils est à moitié idiot !
Ma mère : Comment ça MON fils ! 

Ma mère prenait ma défense et remplaçait le '' Ton fils '' par '' Notre fils '' …

Mp : Mais il y a pire … Ses sorties, ses fréquentations … Je craint que ton fils, pardon … notre fils …  n'ait les même déviances que ses deux oncles et ça ne peut pas venir de moi !
Ma mère : Je te rappelle que ses deux oncles, comme tu dis, ce sont avant tout tes deux oncles. En aucun cas il ne sont une branche de Ma famille !

Là je devenais tout pâle. Merde j'étais repéré, mon père savait que j'étais attiré par les garçons. Il fallait faire quelque chose !

Dans un premier temps, sans rien dire à personne, je paniquais ! 

C'était un bon début ! Si jamais il avait confirmation de ses doutes, il risquait de … Ou de … Enfin je n'avais pas la moindre idée de ce qui allait faire mais j'étais sûr qu'il le ferait … Et pire encore même … Et en plus il risquait de me faire porter un dispositif de chasteté PK et comme je l'ai déjà dit … Ça JA – MÉ !

Ne faites pas gaffe si il y a une légère incohérence dans le paragraphe précédent mais c'est l'effet panique !

Pendant les semaines qui suivaient je ne sortais plus le week-end. Je ne fréquentais plus les soirées de Peter. Je ne regardais plus le cul de mon colocataire et là je ne  vous cache pas que c'était pas des plus facile. Je peux le voir tous les soirs quand il dort. Peu à peu une idée germait dans ma tête, n'oublions pas que je suis plus futé que j'en ai l'air. Au mieux j'arriverais à me faire dispenser de porter un dispositif PK, au pire j'arriverais à me faire dispenser de porter un dispositif PK … 

Je ne sais pas si je suis clair là ? … Pas sûr !

Tout se passait bien jusqu'aux vacances suivantes, j'avais mes dix huit ans à ce moment là. J'avais réussi mon permis de conduite et on m'offrait une superbe voiture décapotable blanche. 

J'en menais pas large !

Le jour même je demandais si je pouvais passer mes vacances chez mes deux oncles. 

Mp : Mais c'est une très bonne idée, on ne les voit presque jamais, il faudra leur dire de venir plus souvent …

Il les déteste et les méprise. Il me préparait un sale plan ! Il n'y avait plus de doute sur ce point ! Je priais que mon plan fonctionne, je croisais les doigts !

Arrivé chez mes oncles, je me sentais un peu mieux, pas vraiment rassuré mais je me sentais mieux. Je demandais à Alex de passer me voir dans ma chambre le soir même.

Alex me retrouvais dans ma chambre, il avait apporté du chocolat chaud … Il est mignon Alex et il sait me consoler. Me voyant très inquiet il ne me posait pas de questions mais me faisait un câlin. J'étais en manque, ça faisait plusieurs semaines que je n'avais pas touché à un mec. Je n'osais plus … 

Alex me serrait dans ses bras, ici je savais que personne ne nous dérangerais, je me laissais aller. C'était la première fois depuis que j'avais entendu la discussion entre mon père et ma mère.

Les baisers d'Alex étaient chauds, ils me réconfortaient. Il ne m'avait pas encore retiré sa chemise que déjà je me sentais mieux. C'est moi qui lui retirais la chemise en premier. La dernière fois que je l'avais tenu dans mes bras c'était l'été précédent à la villa. Son bronzage avait disparu depuis un moment mais sa peau était toujours aussi douce. 

Je l'embrassais sur les tétons, puis dans le cou, puis sur les tétons, puis … rapidement il me déshabillait, et me couvrait de baisers. C'était pas la première fois avec lui mais c'était toujours très agréable. Ses lèvres étaient douces, ses caresses étaient tendres sur mon visage ou sur mon corps. Mon pantalon tombait sur le sol. Je ne l'avais pas vu venir, je bandais, il se mettait à genoux et me suçait ma queue sans plus de formalité.

Je lui caressais les cheveux et appuyais doucement sur sa tête. Il avalait rapidement ma queue jusqu'à la gorge, c'était doux, c'était chaud, c'était humide et sa langue me caressait le gland avec une extrême douceur. Je sentais le fond de sa gorge qui appuyait sur le bout de ma queue et me donnait un grand plaisir.

Au bout d'un moment je me tortillais, j'avais envie de lui sucer la queue moi aussi. Il se relevait, j'avais encore le pantalon sur les chevilles, il se relevait face à moi, contre moi, tout contre moi... Il se penchait vers moi, me donnait un baiser, j'en profitais pour ouvrir son pantalon qui tombait à son tour sur ses chevilles.

C'était la première fois que je le revoyais nu depuis les dernière grandes vacances. Je me mettais à genoux à mon tour et lui rendais le plaisir qu'il m'avait donné. Sa queue se relevait et je la prenais dans la bouche. Je la suçais avec plaisir. Il me guidait avec deux mains et me caressait les cheveux, il appuyait très doucement sur ma tête.

On échangeait plusieurs fois de suite la position et il finissait pas me faire tomber sur lit en rigolant et par se laisser tomber sur moi. On roulait l'un sur l'autre, il me suçait la queue en position pour que je suce la sienne en même temps. 

C'était agréable et un moment j'oubliais tous mes soucis. J'oubliais mon père qui avait deviné que j'étais gay, lui qui était homophobe et qui méprisait mes deux oncles à cause de ça.

On se retrouvait dans une autre position, il me chatouillait le dos avec ses lèvres, sa langue. Il me mordillait les épaules doucement, je frissonnais, ça chatouille et je sentais ma queue se durcir un peu plus à chaque fois. Ensuite c'est avec son nez qu'il me chatouillait, il descendait vers le creux de mes reins, il me faisait rire et je frissonnais.

Je me retournais, mon corps glissait sur le sien et son corps glissait sur le mien. Nos bras, nos jambes se mélangeaient. C'était  bizarre tout ça, avec Alex ce soir je ne me sentais pas du tout romantique … Je m'exprime mal, il faut dire que j'ai une vision très particulière du romantisme. C'est simple, une bonne dose de lubrifiant, je pousse et … Pan dans l'cul !

C'est ça ma perception particulière du romantisme … Ça doit être ça !

En attendant avec Alex ce soir là, c'était avant tout douceur et câlins. J'étais allongé sur le ventre, il était allongé sur le dos, enfin mon dos, sur son ventre … Ouai c'était dans ce sens. Il me glissait alors dans l'oreille : '' Je vais te prendre ? ''. Puis il ne bougeait plus il me regardais, son menton posé sur mon épaule. 

Alex : Béh alors, tu ne dis rien ?
Moi : Qu'est ce que tu veux que je dise ?
Alex : Je te demande si tu veux que je te prenne …
Moi : Ah ! C'était une question ?

Il poussait un grand soupir, se relevait et me massait les fesses avec intensité. Rapidement il insistait sur mon petit trou du cul. Doucement il y glissait un doigt, puis deux. Puis il me massait la prostate et déjà je sentais le plaisir monter en moi.

Il est vrai que je m'était abstenu pendant plusieurs semaines après le commentaire de mon père. Et là j'appréciais vraiment ce moment. Il y allait doucement, il devait sans doute avoir une autre perception du romantisme que moi. 

Je sentais son corps chaud s'allonger sur moi. Je sentais une pression sur mon anus. C'était une pression douce et forte, ses mains caressaient mes bras et se lèvres caressaient mon cou.

Il poussait, il poussait avec douceur mais il poussait. Je ne résistait, je ressentais une légère douleur, mais ça en valait la peine, juste après je ressentais un grand plaisir, puis un très grand plaisir suivi par un plaisir intense. J'ai tremblé et j'ai joui, j'ai juté. 

C'est venu comme ça sans prévenir, brusquement je me suis senti submergé et le plaisir m'a absorbé, m'a envahi. C'était tellement bon, Il s'en ai rendu compte et c'est avec une grande douceur qu'il continuait à enfoncer sa queue dans mon anus. Il y allait lentement, je sentais chaque centimètre s'enfoncer.  J'avais le souffle court. Et si je ne jutais plus et commençais à débander je continuais toujours à jouir, c'était un orgasme qui ne dépendait pas de ma bite, ça ne venait que de mon cul et c'était tellement bon.

Je râlais de plaisir, je gémissais de plaisir, j'en redemandais. Il m'en donnait. Il enfonçait sa queue bien à fond et ressortais. Il revenait toujours bien à fond et ressortais. Le plaisir continuait à monter en moi. Mon visage exprimait une grimace mais c'était avant tout du plaisir. Je jouissais sans interruption. J'avais l'impression de jouir par ma queue mais je ne jutais plus. Pendant un long moment j'ai joui à sec comme ça, uniquement par le cul.

Au moment ou il jouissait en moi les mouvements de son bassin devenaient irréguliers, rapides et violents. J'ai joui une dernière fois à ce moment, nous avons tremblé et nous avons cessé de bouger.

Plus tard nous sommes passé sous la douche et nous nous sommes retrouvé allongé l'un à côté de l'autre. On a parlé une bonne partie de la nuit. Je lui ai raconté la discussion que j'avais entendu, je lui ai parlé de mon inquiétude. 

'' Il va faire quoi mon père si … ? '' … '' Et puis si quoi , d'abord ? ''

Je lui expliquait mon idée, j'avais échafaudé un plan pour convaincre mon père que je n'étais pas gay. Vu qu'il était complètement homophobe ça valait mieux !

Un peut plus tard dans la nuit Alex me laissait dormir, il approuvait mon idée par certains côtés, par d'autres il me disait que c'était ridicule. Dans la famille après tout il n'y a que mon père qui était homophobe … Et que de toutes façons c'était pas lui le chef ! Mais même si c'était pas lui le chef c'était tout de même mon père !

J'ai bien dormi cette nuit là. Je me sentais bien, détendu, pour la première fois depuis que j'avais entendu ce que mon père avait dit, j'avais bien dormi.

Le lendemain matin je sautais dans ma voiture, je ne vous ai pas raconté, tout le monde l'a admiré et tout et tout. Mais j'avais d'autres soucis en tête. Mon père soupçonnait que j'étais gay et ça pouvait poser un vrai  problème pour moi !

J'arrivais donc dans ce centre pour la jeunesse que ma famille avait sponsorisé juste à côté des installations sportives que ma famille avait sponsorisé, pas loin du centre culturel que ma famille avait sponsorisé …Bon je passe les détails ! … J'y retrouvait ma vieille copine Juliette … 

Elle ne m'attendait pas mais semblait ravie de me revoir, en quelques secondes elle redevenait charmeuse, pour ne pas dire racoleuse. 

Je lui donnais un baiser, au dernier moment sa bouche glissait et nos lèvres se rencontraient dans un baiser tendre, surprenant mais tendre que je n'essayais même pas de fuir !




PHILIPPE
EP 35 : LE RETOUR DE JULIETTE



( ET JE NE VOUS DIS PAS MAIS LE RETOUR DE 
TERMINATOR A CÔTÉ … C'EST RIEN ! ENFIN ÇA M'A
FAIT MOINS PEUR )


Elle tentait un nouveau baiser, je le lui accordais sans faire de manière et le suivant c'est moi qui le lui volais. Pour son plaisir !

Vous ne pouvez pas imaginer le boulot que c'est que de faire croire à tout le monde qu'on est pas gay quand on n'est pas hétéro. Bein oui il faut bien se dire que je n'ai pas de copines moi ! Enfin si quelques unes mais, c'est que des mecs. 

Bon il va falloir y remédier. Je terminais la matinée avec des jeunes de mon âge, il y avait beaucoup de fille et au début je me demandais comment j'allais gérer cette affaire. Le problème s'est vite réglé tout seul, Juliette toujours incroyablement attentionnée s'en occupait. C'est simple elle m'accaparait et aucune autre fille ne pouvait plus m'approcher !

Elle a de bons côtés la petite Juliette, je me disais que si c'était un mec ce serait la fille idéale … ( J'ai pas dit une connerie là au moins ? )

On discutait, on jouait au billard … Et elle me regardait droit dans les yeux en disant ...

Juliette : Ce qui est bien avec le billard, c'est que c'est un jeux qui se joue avec une queue !

Tout le monde éclatait de rire, moi je gloussais en avalant ma salive … Je ne paniquais pas plus que depuis ces dernières semaines et donc sur ce commentaire je décidais de l'inviter à dîner. Elle appréciait et pour me remercier elle me donnait un baiser très tendre tout en m'écrasant ses mamelles contre mon torse. 

Ses copines ne parvenaient pas à dissimuler leur fou rire. Je les voyais comploter entre elles. J'avais oublié de prévenir que j'avais une invité mais chez mes tontons c'est pas bien grave. Ils étaient simplement un peu surpris que ce soit une fille, et en plus c'était Juliette.

Là c'est elle qui paniquait un peu, vous imaginez être reçue dans une telle maison. Mes deux oncles sont un peu comme les seigneurs de la province et la maison est un truc de fous, mais elle la connaissait déjà. Tout la monde la mettait à l'aise. Alex s'était rapidement organisé pour assurer le service à table et il était aux petits soins pour Juliette. Elle appréciait sa gentillesse, mes deux oncles ne posaient pas …  ne se posaient pas de question. J'avais remarqué que ces deux là ne se posaient plus de questions à mon sujet depuis longtemps. Même quand je faisais n'importe quoi … Alors inviter une fille …

L'après midi j’emmenais ma nouvelle conquête faire un grand tour en voiture.

Juliette : Elle est vraiment superbe ta voiture.
Moi : Et on peut même retirer le toit.
Juliette : Retirer … ?
Moi : Ouai ! On appuis sur le petit bouton là et le toit se replie dans le coffre mais là il fait encore un peu froid.

C'était un toit rigide évidemment, mon père ne va pas acheter de la camelote c'est pas son genre, il faut respecter un certain standing. En fait je ne savais pas quoi dire, j'étais seul avec une fille et déjà ça c'était insolite. Mais je ne savais pas quoi faire, pas quoi dire, j'étais gauche … Ah si seulement c'était un mec ce serait bien plus simple. Enfin là je n'étais plus en train de dire n'importe quoi, je me contentais de le penser, c'était déjà bien !

Juliette : Il y a des roues aussi !
Moi : Euh oui il y a aussi des roues …
Juliette : Quatre ?
Moi : Cinq même avec la roue de secours …

Vous voyez là l'étendue du désastre. J'avais réussi un premier contact mais on fait quoi après ?

Ça s'intéresse à quoi une fille ? Je ne sais déjà même pas comment c'est fait, je ne peux pas non plus savoir comment ça marche. 

Au moment ou je passais une vitesse une main se posait sur la mienne. Je me raidissais par réflexe mais je parvenais à ne pas retirer ma main et à ne pas crier comme une folle. Elle avait ressenti ma gêne mais mettait ça sur le compte de mon éducation, ma famille. Il ne faut pas oublier que mon papa c'est le fabriquant de ces dispositif de chasteté tellement à la mode. 

Juliette : Ne t'inquiète pas tout va bien se passer !

Bon ça, c'était une menace ou j'y connais rien ! '' Mais qu'est-ce que je suis venu faire dans cette galère moi ? Ah si ! Je me souviens c'est pour faire croire à mon papa que je ne suis pas hétéro … Euh ! Non, c'est pas ça ! C'est pour faire croire à mon papa que je suis hétéro !'' … Voilà !

Même moi je n'arrivais plus à me suivre !

Juliette me caressait le bras, je laissais faire … 

Juliette : Tu sais j'ai beaucoup aimé ce tour en aéroglisseur que tu m'avais fait faire l'an dernier.

Là j'avais une idée, je faisais demi tour et revenais à la maison. Arrivé devant la maison j'y fonçais comme un fou, j'en ressortais peu après de la même manière. Juliette ne comprenait plus rien, et on repartait vers les hangars …

Je m'arrêtais juste à côté d'un avion bimoteur à hélices  … 

Moi : Tu es déjà monté dans ce genre d'avion ?
Juliette : Tu sais conduire ça ?
Moi : On dit piloter pas conduire. Il faut avoir seize ans. ( là je gonflais le torse )
Juliette : Et pour la voiture c'est dix huit ?
Moi : Bein oui je sais ! ( là mon torse se dégonflait tout seul )

Alors là les filles je ne vous dis pas   … ( pardon je voulais dire les mecs ) … Mais pour emballer une fille, un tour en avion c'est radical. Après ça elle était encore plus folle de moi. En plus on peut prétexter qu'on doit rester concentré sur le pilotage, ce qui fait qu'on évite de trop parler et comme je ne savais pas quoi dire … Ça m'arrangeait un peu tout de même !

Le soir je l'invitais à souper à la maison. Après le repas on flirtait dans le jardin, je voyais les rideaux des fenêtre s'ouvrir et j'apercevais par moment le visage d'un de mes oncles. Je sais d'habitude ils ne se posent pas de questions mais je pense qu'à ce moment précis ils devaient s'en poser plein !

Un peu plus tard dans la soirée je ramenais Juliette chez elle. Elle ne voulais pas me lâcher, on s'embrassait, mon cœur battait très fort. C'était l'émotion et je jouais gros comme vous allez pouvoir le constater. 

Juliette : Tu as déjà dormi avec une fille ?
Moi : Euh ! Une seule à la fois ? Jamais ! ( en rigolant ) 
Juliette : Tu n'es pas sérieux ! Réponds moi …
Moi : Jamais, non jamais je te jure !
Juliette : Avec une famille comme la tienne ça ne doit pas être facile !
Moi : Bein non, à la maison si j'essaye d'emmener une fille ça ferait tout un drame, je te garantis que mon père serait averti dans la seconde !
Juliette : Et ici ?
Moi : Mes deux oncles sont plus cool eux !
Juliette : Tu crois qu'on pourrait dormir ensemble un jour ?
Moi : Tu dirais quoi à tes parents pour t'absenter ?
Juliette : Que je vais dormir chez une copine !
Moi : Tu crois que tu pourrais dire à tes parents que tu vas dormir chez une copine ce soir ?

Bon vous voyez le plan se dessiner là ? On était dans les bras l'un de l'autre et finalement je dois reconnaître que ça embrasse bien, enfin celle là, elle embrassait bien. Ah il ne faut pas dire … '' ÇA embrasse '' quand on parle des filles … Désolé ça m'a échappé ! 

Elle sortait alors son téléphone, je laissais faire. Elle appelait d'abord sa copine puis ses parents. Le problème était réglé. Elle avait jusqu'à dix heures le lendemain matin. J'étais piégé, je m'étais piégé tout seul. Là j'ai paniqué encore un peu plus. '' Mais comment ça va se terminer cette affaire ? ''. Mais bon je n'avais plus le choix, il fallait aller jusqu'au bout !

Je la ramenais à la maison. J'arrivais sans difficulté à la faire rentrer, c'est vrai que parmi les employés personne ne faisait plus attention à mes excentricités et Alex choisissait de ne rien voir et se détournait à notre passage ... Il soupirait fort à ce moment mais il se détournait.

À peine la porte de ma chambre refermée Juliette me sautait dessus. J'étais pris de cour. Elle voulait m'embrasser, j'avais plus trop le choix. Je lui rendais chacun de ses baisers. Je la serrais dans mes bras avec tendresse. 

Mais franchement ils font comment les autres mecs avec ces airbags, nous ( les mecs ) on a de jolis muscles, décorés de jolis tétons. Elles, les filles elles ont bien deux téton ( moins élégants ) collé sur deux masses gélatineuses qui font blg, blg, blg quand on veut y toucher. 

Je veux pas me plaindre mais je vous jure, c'est pas facile tous les jours !

Je passais mes mains un peu partout, même là ou le contact était douteux, en commençant par les hanches ( là ça va ) je remontais ensuite mes caresses vers le haut de son dos ( là ça va encore ) puis forcément, y avait pas l'choix, une main passait sur sa poitrine ( là ça va moins bien , tout de suite ). Heureusement que j'avais juste dix huit ans et qu'à dix huit ans on bande facilement sinon ça n'aurait pas marché mon truc. 

J'essayais de penser à autre chose, je l'embrassais dans le cou. Sous l'oreille, je revenais à ses lèvres, je l'entendais gémir doucement. Elle me semblait plus lourde d'un coup. C'est vrai que quand je la lâchait sur le lit elle se laissait tomber.

Je restais un petit moment sans bouger pour reprendre mes esprit, c'était pas le moment de mollir. Je bandais ferme. D'une main je lui caressais le visage, avec douceur. Ma main descendait le long de son cou, puis suivait la courbe des épaules. Je faisais une pause pour me rappeler le mode d'emploi que j'avais lu la veille … Ah oui maintenant c'est la poitrine …

Blg, blg, blg …

Pardon je ne le referai plus !

Donc … Les mamelles … Doucement je tentais d'ouvrir son corsage, je cherchais les boutons, la fermeture à glissière ou je sais pas quoi moi … Mais comment ça s'ouvre ce genre de truc ? 

Elle rigolait, je ne savais plus quoi faire … Elle me tirait vers elle, je perdais l'équilibre et la catastrophe arrivait, je lui tombait dessus, juste sur les airbags... 
Peuhhh , bon de toute façons il faudra y passer alors …

Juliette : Ça s'ouvre dans le dos !

Mais c'est que c'est futé ce truc, il y avait des petit crochets. Doucement je les ouvrais, c'était vraiment pas le peine de s'énerver finalement ... Son corsage s'ouvrait devant mes yeux effrayés. Il y avait encore le truc là juste en dessous. Vous savez le … soutien-gorge, moi ce genre de truc j'en porte pas ! Le vêtement en lui même n'est pas vraiment moche, non, mais c'est ce qu'on y met dedans … J'étais en sueur !

Juliette semblait amusée par mes maladresses. Bon ça en fait au moins un des deux qui s'amuse ! Parce que moi je vous jure je ne m'amusais pas !

Juliette décidait finalement de prendre les affaire en main. Elle me repoussait sur le côté, je préférais laisser tomber, pardon je voulais dire … Je préférais me laisser tomber, résister était au dessus de mes forces. Je me retrouvais allongé sur le dos, elle me chevauchait. Je transpirait de plus en plus, je ne sentais même plus mes jambes. Elle retirait son soutien-gorge. Tient ce truc ça s'ouvre par devant ? C'est pas logique une fille ! … 

Elle était torse nue, au dessus de moi. Je me sentais piégé. 

Elle se penchait sur moi et déposais sur mes lèvre un baiser puis encore un autre puis encore un puis … Pfff … Je me disais qu'elle finirait bien par se calmer ! Avec des doigts aussi rapides qu'agiles elle ouvrait ma chemise sur toute sa hauteur depuis le cou jusqu'à ma ceinture. Je couinais quand elle arrivait à la ceinture.

Suivait un autre baiser passionné sur mon ventre.

Juliette : Reste calme, ne bouge pas, laisse toi faire, ça va très bien se passer.

Là je gloussais en avalant ma salive, mais je la laissais faire. Maintenant je ne sentais plus mes bras … Elle me couvrait alors la poitrine de baiser, ça c'était cool, puis me chatouillait avec le bout de ses tétons. Hiiiii ! Ça chatouille ça je ne m'y attendais pas. J'ai commencé à gémir et à trembler pour me dégager, elle a pris ça pour un encouragement et a ouvert ma ceinture, mon pantalon et ma braguette. J'étais pétrifié, incapable de bouger, je ne sentais même plus ma queue. Je ne savais même plus si je bandais ou pas ! C'est tout dire !

Mais la nature est bien faite car si ma cervelle ne savait plus quoi faire ma queue elle bandait, de ce côté tout allait bien. Juliette à regardé pendant quelques instant ma bite puis a relevé la tête. Elle me regardait avec un regard à faire peur. J'avais la trouille mais comme je ne pouvais plus bouger … Elle penchait de nouveau la tête et me prenait la queue dans sa bouche. J'avais envie de me faufiler, de me sauver en hurlant comme une fille mais je me contrôlais.

Finalement elle ne fait pas ça trop mal, il faudra que je lui montre un de ces jours. Un plan à trois avec un mec, comme ça je pourrais m'occuper et lui montrer comment il faut faire … Mais qu'est ce que je raconte moi ? Je vais pas bien ! 

Non, sérieusement elle fait ça très bien même. Rapidement ma queue rentrait dans sa bouche sur toute la longueur. Elle profitait que je soulève mon bassin pour me retirer totalement mon pantalon. J'étais dans une position peu enviable là. Nu entre les bras d'une fille torse nue … Wouah ! 

J'avais les bras en croix, un sourire probablement idiot sur le visage, je la regardais. Elle se relevait et avec la lenteur et la langueur d'une strip-teaseuse amateur retirait tout ce qui lui restait sur elle. J'ouvrais grand les yeux, c'était probablement la seule fois de ma vie ou j'aurais l'opportunité de voir comment c'était foutu une fille. Elle me tombait dessus. J'avais pas eu le temps de voir moi ! 

Bon il était temps que je me ressaisisse. Je la prenais dans mes bras. Je la serrais fort, ça fait bizarre au début, ensuite je faisais comme avec un mec. Je caressais toute la peau qui se présentait, j'embrassais toute la peau que je pouvais atteindre surtout sans oublier les masses gélatineuses sur le haut du corps. J'avais retrouvé l'usage de mes bras et de mes jambes. 

On roulait l'un sur l'autre, finalement quand je me retrouvais dessus il fallait bien reconnaître que c'était confortable les deux trucs gonflés, on a pas l'impression de faire du camping ! Et quand c'est elle qui se retrouvait sur moi ça chatouillait, et puis c'est pas lourd une fille, elle avait l'air volumineuse comme ça à voir mais toute nue elle était plutôt menue. 

Je la couvrais de baisers sur le ventre mais quand j'arrivais à son nombril j'étais alors pris d'un doute … Oui mais ça se passe comment plus bas ? … Il n'y a rien à sucer là ? … 

Elle devait deviner mon léger désarrois, me tirait vers elle, nos deux visages se retrouvaient face à face. Avec une main elle me guidait, elle guidait ma queue bien en place. D'habitude moi je passe par l'autre côté, dans ce sens je ne sais pas comment ça marche moi !

Juliette : Vas y ! Pénètre moi !

Je retenais mon romantisme habituel et j'y allais tout doucement. Au départ ça surprend, il y a moins de résistance qu'avec un mec, ça rentre tout seul, je m'enfonçais avec méfiance, bein c'est que je ne savais pas ou j'allais là ! Elle m'embrassait pour m'encourager, j'avais un sourcil relevé d'un air interrogateur, ça la faisait rire. Elle me donnait des baisers plus chauds, plus sensuel. Je retrouvais le sourire et m'enfonçais totalement, doucement mais bien à fond. J'appuyais alors mon ventre contre le siens. 

Ouééééé ! J'avais réussi ! C'était pas gagné cette affaire au départ mais … C'est vrai qu'elle m'a un peu aidé ! Pour la suite je faisais comme d'habitude, je commençais des mouvements de va et vient, doucement puis plus rapidement. Je changeais de rythme,  je la couvrais de caresses et de baisers. 

Et je me disais que c'était à ce moment que j'aurais voulu que mon père entre dans la chambre. Éh, après ça il me foutrait la paix, ça devrait calmer ses soupçons ça ! Je me lâchais, elle avait refermé ses jambes derrière mes fesses et m'encourageait et me guidait avec les mouvements de tout son corps. Finalement j'étais content de moi.

Je ne voulais pas jouir tout de suite, je prenais mon temps. Au bout d'un long moment je faisais une pause. 

Moi : On inverse la position ?

Là je me sentais devenir tout pâle, j'avais dit une connerie !

Juliette : Ça marche !

Un instant de panique dans ma tête, à nouveau je perdais l'usage de mes bras et de mes jambes. Elle me retournais sur le dos, je me laissais faire, puis elle me chevauchait. Elle s’empalait sur moi. Je me sentais rassuré, c'est pas à cette position que je pensais mais ça ferait très bien l'affaire. Elle se penchait sur moi, ses cheveux me chatouillaient, ses seins aussi ( vous avez vu je suis en progrès!) et ses mains qui me caressaient tout le corps. Je lui rendais chacune de ses caresses.

C'est elle qui imprimait le mouvement, je la suivait en relevant le bassin au même rythme. Elle gémissait, puis ses gémissements se transformaient en cris puis ses cris en hurlement de plaisir. Elle faisait des grimaces. Je sentais des contractions au niveau de ma queue et c'est finalement au moment ou elle poussait des cris que je jouissais et jutais en elle … 

J'ai pas tout compris mais je m'attendais à pire. Un peu plus tard chacun s'endormait dans les bras de l'autre. J'ai finalement bien dormi mais le réveil devait être violent !

La porte de ma chambre s'ouvrait avec violence et j'entendais les hurlements de mon père.

Mon père : Alors là tu ne vas pas t'en sortir aussi facilement toi. Tu vas voir je vais faire de toi un homme que tu sois d'accord ou pas. Alors c'est qui, comment s'appelle-t-il. 

Je relevais le torse et regardait mon père, j'étais pétrifié.

Mon père : Alors il va me montrer son visage cette espèce de connard, de grosse tafiole !

Juliette totalement terrifiée, se relevait alors et cachant ses seins montrait son visage. Mon père devenait tout blanc !

Mon père : Heu ! Mademoiselle ! Je … terriblement désolé mademoiselle ! Je vous présente toutes mes excuses ! Il y a là une terrible méprise !

Il ressortait alors de la chambre comme un automate. 

Je vous l'avais bien dit, c'est pas croyable tout le travail qu'il faut pas faire pour pas faire croire à son papa qu'on pas hétéro quand on est pas gay. 

Bon c'est pas ça, c'est pas ce que je voulais dire mais vous avez traduit !




PHILIPPE
EP 36 : APRES UNE NUIT D'AMOUR



Mon père ressortait de ma chambre. Il faisait une drôle de tête, il semblait à la fois rassuré et effondré. C'était difficile à dire. Il avait l'air retourné le pauvre. 

Finalement ça c'était bien passé !

Alex entrait et la porte ouverte j'entendais des hurlements dans le couloir, je reconnaissais la voix de mon oncle Bob. 

Alex : Et bien tu as fait du propre mon garçon ! Surtout ne bougez pas d'ici je m'occupe de tout et vous tiens au courant de tout ce qui se passe !

Il repartait et maintenant même la porte fermée j'entendais les hurlements. Ça me faisait tout drôle, à la maison quand ça gueule comme ça, c'est toujours mon père qui gueule et moi qui m'en prend plein la tête … Là c'était un peu différent, les aînés, c'étaient mes oncles Luc et Bob et là c'était eux qui gueulaient et c'était mon père qui en prenait plein la tête.

Juliette se levait mais ne voulant pas dévoiler sa nudité partait dans la salle de bain avec la couette sur le dos. Je me retrouvais à  poil au milieu de mon lit.

J'ai entendu des phrases du genre …

'' Antoine tu es peut être le maître du monde mais ici tu ne me parles pas sur ce ton ! '' . Ça c'était mon tonton Bob, on m'a dit plus tard que mon père l'avait traité de '' grosse tapette '', c'est vrai ça c'est vexant, mon tonton Bob n'est  absolument pas gros.

'' Tu t'attendait à le trouver dans les bras d'un homme ? '' , là c'était tonton Luc et il reprenait : '' tu vas immédiatement présenter des excuses à ton oncle ''. 

Ça me faisait tout bizarre, en temps normal c'est mon père qui parle fort et je crois que c'était la première fois que j'entendais quelqu'un lui parler sur ce ton.

Ça se calmait, je n'entendais plus rien. 

Moi : Ça va Juliette ?
Juliette : ( depuis la salle de bain ) Non pas vraiment !
Moi : Mais qu'est-ce qui ne va pas ma puce !

Je suis un vrai gentleman quand je veux moi vous avez vu ça … '' ma puce '' ! 

Juliette : Mais tu te rends pas compte du désordre qu'on a provoqué. Je vais dire à ton père que c'est ma faute, je ne veux pas que tu ais des problèmes.
Moi : Alors là certainement pas ! Ce serait pire. Mon père est spécial, laisse moi gérer la situation !

Alex entrait de nouveau, il apportait le petit déjeuner. 

Alex : J'ai pensé que ce serait plus calme dans ta chambre.

Il faisait une pause, me regardait, j'étais à poil sur mon lit.

Alex : Tu n'as plus de couette ?
Moi : C'est Juliette elle est …
Alex : Ah ok !
Moi : Ils en sont ou là ?

Juliette arrivait elles s'était habillée !

Alex : Tout va bien les jeunes. Au dernières nouvelles ton père menaçait de te déshériter et ton oncle Luc menaçait de le dénoncer au publique s'il osait. 
Juliette : Le dénoncer ?
Alex : ( en servant le petit déjeuner ) Histoire de lui faire honte ! Monsieur Luc est le plus gros directeur de presse de la planète, il dirige je ne sais combien de centaines de journaux à travers la planète et je ne sais combien de chaînes de télé … 
Juliette : Oui mais tout ça appartient à la PK !
Alex : Certes mais en partie seulement de plus monsieur Antoine n'a pas le pouvoir de lui en retirer la direction, son frère monsieur Djé a rédigé lui-même le contrat ! Combien de sucre Mlle Juliette ?
Moi : En un mot il ne peut rien faire !
Alex : Au fait si je peux vous donner un conseil … Vous devriez rester dans votre chambre jusqu'à ce que ça se calme. Philippe, ton grand père arrive !
Moi : Oui mais il a de la route à faire !
Alex : C'est pour ça qu'il a pris un Jet, l’hélicoptère n'était pas assez rapide.

Bon là vous vous dites que je ne contrôlais plus rien … C'est un fait ! Mais bon si mon grand père s'en mêlait tout devait bien se passer !

Un peu plus tard Alex revenait il se proposait de ramener Juliette, il lui semblait préférable que je reste sur place. Peu après le jet se posait sur la piste privée, mon grand père était dans les murs.

Il commençait par venir me voir, je lui racontait … Et c'est ensemble que nous descendions dans le grand salon. Mon père était dans un coin, il regardait par la fenêtre. Luc était dans son bureau, et Bob également dans son bureau. Ils nous rejoignaient.

Quelques secondes plus tard c'était l'engueulade …

- Quoi ! Tu as osé traité ton oncle de grosse tafiole  ?
- Tapette Djé il a dit tapette …
- Tu vas présenter des excuses à ton oncle !
- Papa je te rappelle que je ne suis pas n'importe qui, pas un obscur conservateur d'art moi en tout cas !
- Je ne vois pas le rapport, tu n'est que le directeur d'une multinationale et si tu parles encore comme ça à tes aînés ton père pourrait bien te virer !
- Et moi je ne suis pas un obscur conservateur d'art ! ''

...
Je pense qu'il ont mis du temps avant de remarquer que j'étais sorti.

Bein oui il faut bien me comprendre, j'étais dépassé par les événements et ne contrôlais plus rien. C'était pas la peine que je reste plus longtemps. J'étais venu en voiture aussi je prenais une moto de sport dans le garage, une tenue complète et je faisais route. 

Un peu plus tard sur la route, je m'arrêtais au '' Refuge des Cotes '', c'est une sorte de bar, un endroit étonnant, on m'en avait parlé. Il fait bar, salon de thé, bibliothèque et on ne sait trop quoi. Le temps était morose, il n'y avait personne sauf le gérant. C'était un homme de plus de quarante ans sympathique et souriant. 

Moi : Dites donc, il n'y a pas grand monde aujourd'hui.
Thom : C'est le temps et il faut bien dire aussi que c'est pas la pleine saison.

Je regardais par la baie vitrée, d'un côté on pouvait voir la mer et de l'autre la forêt. Le ciel devenait noir, la luminosité baissait, on se serait cru le soir pourtant on était en début d'après midi.

Moi : Vous faite à manger ?
Thom : Je peux te dégeler quelque chose. Désolé en cette saison les cuisines sont fermées.
Moi : Ça marche, tu me proposes quoi ?
Thom : J'ai une petite merveille, un cassoulet maison .
Moi : Ouai maison, je vois le genre, et surgelé en plus !

Il rigolait.

Thom : Parfaitement, c'est moi qui l'ai cuisiné, c'est moi qui l'ai emballé et c'est moi qui l'ai surgelé ! … Tu vas voir, c'est une recette maison !

Il avait raison, il était bon son cassoulet. Ensuite il me proposait un café. La cheminée était allumée, on s'installait devant, le temps passait on ne disait rien. J'oubliais peu à peu la scène qui devait encore continuer à la maison. 

Thom se levait. 

Thom : Je vais fermer, si tu veux rester …

Je ne bougeais pas, je restais là tranquille, plongé dans une sorte de mélancolie. La nuit n'avait pas été facile et le début de la journée, je préférais ne plus y penser. Thom s'installait juste à côté de moi. 

Thom : Tu as l'air un peu perdu ?

Il posait sa main sur la mienne, il avait les manches relevées et ses bras était recouverts d'une fourrure épaisse. Sans penser à rien je lui caressais le bras, sa fourrure était douce.

Thom : En tous cas tu n'es pas farouche.

Il m'embrassait sur la bouche et je lui rendais son baiser. Il me caressait le visage, passais sa main sur mon cou, il faisait preuve de beaucoup de douceur. Ça me changeait, la nuit avait été pleine d'émotions. C'est vrai que Juliette n'est pas vraiment violente mais … Bon … Ouai … Un mec c'est tout de même bien mieux et là au moins je sais comment ça marche.

Thom était un ours, mes copines ( là je parle des mecs ) sont jeunes, ils ont mon âge et aucun n'est aussi poilu que Thom. Mais c'est vrai que sa fourrure était douce, épaisse, noire et vraiment douce finalement. Il était brun, très brun et sa peau était bronzée. Il avait fermé la porte, on ne serait pas dérangé. Il jetais un gros tapis sur le sol, juste devant le feu, s'allongeait et m'invitait à le suivre. 

Je lui faisais un grand sourire et me penchais sur lui. Ma main passait sous sa chemise, il en faisait de même.

Thom : C'est mignon ça, tu n'as pas un poil sur le corps. J'aime bien.
Moi : Toi par contre tu as une vraie fourrure.
Thom : Tu aimes ?
Moi : C'est doux ! Je ne suis pas habitué mais jusque là ça me plaît. 

On échangeait des baisers, je lui suçais les téton, ses poils me chatouillaient mais j'étais surpris. J'avais toujours pensé que les poils ça devait être rugueux, mais là sa fourrure était vraiment douce, rapidement j'en redemandais.

Il prenait l'initiative de me retourner sur le dos et de commencer à me déshabiller. Il me retirait ma chemise en premier et couvrais mon torse de baisers et de caresse. A chaque fois que son corps se posait sur le mien je sentais sa fourrure tellement douce. Quand je le retournais sur le dos à mon tour je continuais à profiter de cette douceur en m'allongeant sur lui. 

Je le regardais droit dans les yeux au moment ou j'ai ouvert son pantalon. Il me souriait, il levait la main pour me caresser le visage, je glissais ma main dans son pantalon. Pas un instant je n'avais imaginé qu'il pourrait porter un dispositif de chasteté et je crois que si ça avait été lé cas j'aurais crisé. Je vous jure que là, j'avais vraiment envie d'une queue et la sienne était belle.

Il soulevait le bassin pour m'aider à faire glisser son pantalon et en même temps que je le lui retirais je me penchais sur lui et prenait sa queue dans la bouche. Il était circoncis, j'aime bien. Je lui chatouillait le gland avec le bout de la langue, puis je le lui suçais plus fermement. Pour finir je prenais sa queue dans ma bouche jusqu'à la gorge. Ma langue la léchait sur toute sa longueur. Il gémissait déjà de plaisir.

Thom : Bein dis donc mon bonhomme, tu sais y faire toi !

Il soupirait fort, il respirait fort, il appuyait doucement sur ma tête pour m'encourager. Je n'en avais pas vraiment besoin. Là c'était autre chose que ce que j'avais eu la nuit dernière. Une belle bite, une poitrine musclée et bien poilue, bien virile. C'était quand même bien mieux.

Je me lâchais et le caressait de toutes mes mains, et je regrettais de n'en avoir que deux. Il me caressait les bras, ses mains étaient fortes et douces. Il était nu dans mes bras, j'avais encore mon pantalon mais ça ne devait pas durer bien longtemps. Il me retournait sur le dos, me prenait dans ses bras avec virilité, je sentais tous ses muscles qui m'enveloppaient, je me cramponnais à lui.

Quand il me relâchait c'était pour m'ouvrir mon pantalon et me le retirer. Il me suçait la queue à son tour, relevait la tête et me regardait dans les yeux.

Thom : Je vais te prendre !

Ce n'était pas une question mais je lui répondais en refermant mes jambes dans son dos. Avec force, d'une manière décidée, il me tirait vers lui, me soulevait les jambes, posait mes chevilles sur ses épaules, s'appuyait sur moi. Son bassin s'approchait de mes fesses et quand sa queue touchait mon anus je poussais un petit gémissement.

Il ne s'arrêtait pas, il continuait à avancer son bassin et je sentais sa queue s'introduire dans mon cul, doucement mais fermement. Un instant j'étais saisi, j'ouvrais ma bouche en grand mais aucun son n'en sortait.

Il me regardait avec beaucoup d'attention, il faisait très attention à toutes mes réactions tout en continuant à me pénétrer. Au moment ou son bassin touchait mes fesses il se penchait sur moi et m'embrassait avec passion. Toujours en m'embrassant il se retirait et revenait, il commençait son mouvement de va et vient.

Je gémissait pas le nez, il avait sa bouche collée sur la mienne. Ça le faisait rire et il accélérait le mouvement. Un peu plus vite, toujours avec force, avec virilité, mais toujours avec douceur. Il était bien monté, sans plus mais bien monté et je ne vous dis pas comment j'ai apprécié, j'avais envie de hurler de plaisir. 

Ça me changeait tellement de la nuit dernière.

Je refermais mes jambes dans son dos, je le retenais, quand il se retirait je serrais les jambes plus fort et me détendais quand il s'enfonçait en moi. 

Je n'ai pas vu le temps passer. Nous sommes resté un long moment dans les bras de l'autre. Par moment il ne bougeait plus mais je continuais à trembler de plaisir. Le plaisir ne cessait de monter de plus en plus et quand il s'est lâché c'était un orgasme comme j'en avais jamais eu. J'ai éjaculé en même temps. C'était le pied. Il a repris alors ses mouvement plus rapidement. Je l'ai senti trembler dans mes bras un peu plus tard, il jouissait dans mon cul. 

Il s'est laissé tombé sur moi, ne bougeait plus. Juste sa bouche qui me donnait des baisers puis il a relevé la tête, me souriait et se relevait, il se retirait alors à ce moment seulement. 

Je me sentais tellement bien à ce moment. J'avais oublié mon père, Juliette, la famille, j'étais bien !

L'après midi était bien avancé, il fallait que je rentre. 

On se rhabillait, un dernier baiser et je reprenais ma moto. Sur la route je me disais que ça serait peut être bien si je passais voir Juliette. Je m'étais servi d'elle, je n'allais pas la garder dans mes relations, mais j'avais envie de rompre avec élégance. Je lui expliquerais que … Avec mon père … Et tout ça … Ensuite on se verrait moins … Puis on ne se verrait plus … 

Et hop ! 

Elle était juste derrière sa fenêtre quand je passais devant chez elle. Elle descendait dans la rue et courait vers moi. Je lui donnais un baiser et la prenait dans mes bras. Elle m'a trouvé très tendre à ce moment. Je ne lui ai pas dit que je venais de me faire enculer et que j'avais pris mon pied …

J'ai préféré la laisser croire que c'était le plaisir de la retrouver … C'était presque des adieux déguisés en un '' A bientôt ''. Elle n'avait pas eu de nouvelles de la maison, c'est à ce moment que je réalisais, c'est vrai ça, que je les avais tous oublié. 

J'étais parti, ils s'engueulaient. Je revenais il n'y avait pas un bruit dans la maison, en plus j'avais oublié mon téléphone donc si quelqu'un avait voulu me joindre j'étais mal. 

Je rencontrais Alex en premier …

Moi : Alors on en est ou ?
Alex : A la mie-temps. En fait je pense qu'ils ont tellement gueulé qu'ils n'ont plus de voix.

Mon père passait et c'est avec une petit voix qu'il me disait '' Bonsoir Philippe ! ''.




PHILIPPE
EP 37 : VOILA UNE BONNE CHOSE DE FAITE




Le souper était calme. Mon père n'avait absolument rien dit sur ma disparition pendant une grande partie de la journée. Le Jet de mon grand père était dans le hangar, l'hélicoptère de mon père garé à côté … L'ambiance était glaciale.

Je ne savais pas si je pouvais dire quelque chose, si ce serait une bonne idée ou … 

Moi : A part ça la journée s'est bien passée, vous avez fait quoi !

Tous les regards se tournaient vers moi. 

Mon père penchait la tête sur le côté il semblait se dire : '' Non mais je rêve, il est vraiment con ou bien … ? ''. Vous savez j'arrive à deviner ce qu'il pense quelquefois … Je suis plus futé que j'en ai l'air !

Mon grand père me regardait, là je ne savais pas ce qu'il pensait. J'imaginais qu'il se disait : '' N'en rajoute pas s'il te plaît mon petit Philippe … ''.

Un court instant j'ai cru que mon oncle Luc allait éclater de rire. Pour ce qui est de Bob, il était toujours fâché, il n'avait pas aimé se faire traiter de grosse tapette …

Bob : Et toi Philippe tu as passé une bonne journée ? Avec des copains ou des copines ? ( il jetait en même temps un regard vers son neveux Antoine, mon papa donc )

Suivait un silence de plomb. Alex sortait de la salle à manger, je pouvais voir à son expression qu'il allait éclater de rire …

Moi : Tout va bien alors ?
Mon père : Mon petit Philippe, s'il te plaît n'en rajoute pas tu en as déjà assez fait !
Bob : Tu as encore de la chance il t'appelle '' mon petit Philippe '' il ne te traite pas de grosse tapette !
Luc : Nous n'avons pas été de bons oncles peut être ? ( à l'intention de mon père )
Moi : Bein si mon tonton Luc vous avez été merveilleux !
Luc : Toi aussi tu es un amour Philippe mais je ne parlais pas de toi.
Mon père : ( en haussant le ton ) C'EST POSSIBLE MAIS …
Mon grand père : ( sur un ton très sec ) Tu fais attention à ce que tu vas dire Antoine …

Quelques secondes plus tard, c'était l'engueulade …

Je voyais Alex qui revenait dans la salle à manger, quand il a vu la scène il a éclaté de rire et a fait demi tour sans franchir la porte. Je continuais à manger sans plus m'occuper du reste de la famille …

Luc : Antoine tu devrais avoir honte !
Mon père ( Antoine ) : Peut être mais au moins mon fils c'est pas une grosse tapette !
Bob : Connard !
Mon grand père : ( là il hurlait ) SILENCE ! Je ne veux plus entendre un mot !

Personne ne disait plus rien ! Sauf une toute petite voie …

Moi : ( à l'intention du valet qui faisait le service ) Je reprendrais bien un peu de lapin moi … 

Tous les regards se tournaient vers moi de nouveau, le valet me servait.

Mon père : Papa, tu ne vas pas me contredire si je te dis que Philippe ne nous succédera pas à la tête de la PK ?
Grand père : Je ne suis pas sûr qu'il en ait envie.
Mon père : Il faudra donc prendre des mesures pour la suite.
Grand père : Fait attention à ce que tu penses autant qu'à ce que tu vas dire ! Si tu penses à '' Déshériter '', dans dix secondes tu ne seras plus directeur de la PK !

Je voyais mon père avaler sa salive, ce dernier commentaire l'avait calmé.

Mon père : On pourrait assurer son avenir économique.
Luc : Et toi Philippe tu en penses quoi ?
Moi : Votre chef est braiment bon, son '' Lapin chasseur '' mérite trois étoiles !
Luc : ( se tournant vers mon père )  Tu as raison Antoine, sur ce dernier point je suis d'accord avec toi !
Mon père : Il ne dirigera pas l'entreprise familiale !
Luc : En six mois elle serait en faillite !
Moi : Tonton Luc là tu exagères, mois qui croyais que tu étais mon allié !
Luc : Je suis sûr que tu vas aimer le dessert mon petit bonhomme ! C'est une spécialité du chef.
Moi : Super !

Ils me regardaient tous et quand l'un commençait à rire les autres le suivaient avec un rire nerveux. Pour finir plus personne ne gueulait, tout le monde rigolait. Le seul qui ne rigolait plus c'était Alex qui venait de revenir et qui visiblement ne comprenait plus rien.

A la fin de mes vacances je revenais à mon école.

J'y retrouvais mes copines garçons et filles ( même s'il n'y avait pas de filles ), il y en a je vous jure dans certaines situations on pourrait le croire pourtant. J'étais content de mon coup, vous aviez bien sûr deviné que c'est moi qui avait tout organisé, j'avais demandé à Alex d'envoyer un message affolant à mon père, j'étais sûr qu'il sauterait dans le premier hélicoptère pour venir remettre de l'ordre dans cette affaire et ça avait marché … 

J'avais un sourire en permanence, je me sentais libéré. Mes proches le remarquaient, mes profs le remarquaient, le dirlo le remarquait, en fait il n'y avait que Nadine qui ne le remarquait pas, Nadine c'est la secrétaire du directeur et comme je n'étais plus envoyé que rarement chez le directeur elle ne me voyait pas tout de suite. 

Mon colocataire aussi le remarquait.

Luidji … Lui par contre il faisait la gueule. Il me regardait avec un regard triste. Le soir c'est moi qui me déshabillais devant lui, il m'avait fait le coup depuis je ne sais plus combien de temps, je me vengeais. 

Tous les matin en m'habillant je jetais un œil discret dans sa direction, il avait du mal à dissimuler son malaise, son dispositif de chasteté se relevait et moi ça me faisait bander, c'est ma queue qui se relevait. Je prenais bien le temps d'ajuster mes vêtement, la chemise, la cravate, les chaussettes, le jock (  j'en mettais un maintenant pour l'allumer encore plus ). Je terminais enfin par le pantalon et les chaussures. Il bavait de frustration en me voyant faire … Je me vengeais.

Au bout de quelques jours. Luidji s'approchait de mon lit, je venait de me coucher, il y avait juste ma tête qui dépassait.

Luidji : Dis moi Philippe … 
Moi : … hmmm ...
Luidji : Si on recommençait le truc que tu m'a fait un jour.
Moi : Qué ! ( je relevais la tête )
Luidji : Tu sais le jour ou tu m'a enculé !
Moi : Mécéquemoijetéjaméenculé !
Luidji : Tu as dit quoi là ?
Moi : ( je reprenais mon souffle ) Je t'ai pas enculé, tu as tout arrêté avant. 
Luidji : Oui, peut être mais c'était bon.

Une demie seconde plus tard j'étais assis sur mon lit j'avais relevé la couette.

Moi : Ok tu fais ce que je te dis !

Il ne fallait surtout pas louper une telle opportunité !

Luidji : Ok !
Moi : Suce moi ! ( j'écartais les jambes )

Luidji semblait se résigner, il hésitait moins que le première fois remarquez ( Ep 31 ), rapidement il prenait ma queue dans sa bouche. Je sentais sa langue qui me caressait la bite sur toute sa longueur. Il insistait sur le gland, puis c'était le fond de la bouche que je sentais, sa glotte peut être. Il avait fait des progrès le bougre. M'aurait-il fait des infidélités ? 

Une chose était sûre, il avait dû y penser, il avait fait de réels progrès. Il avait dû y penser beaucoup et ça faisait son effet. Au bout de quelques instant j'ai dû le freiner, il allait me faire jouir. Je ne voulais pas jouir dans sa bouche mais dans son cul.

Ma respiration s'accélérait, plus rapide et plus forte. Je me retenais, je le retenais comme je pouvais en le guidant avec mes mains. Cette fois ci il ne m'avait pas empêché de lui caresser les cheveux. Je me contractais, je me crispais, je sentais que ça allait venir. Il ne m'écoutait pas et continuait à me sucer la queue, et je vous jure qu'il avait fait de vrais progrès. Je contractais mes cuisses et brusquement me relâchais.

Je lui jutais dans la bouche, plusieurs fois de suite j'ai lâché de belles éjaculations. À ce moment il tentait de relever sa tête mais là c'est moi qui le retenais. Il l'avait cherché après tout. Quand je le lâchais quelques instants plus tard, il relevait la tête en fronçant les sourcils.

Moi : Ça va mieux, tu te sens plus détendu ?

Il faisait non de la tête.

Moi : Bon maintenant tu avale.

Il avalait.

Luidji : Et tu crois vraiment que ça, ça va me détendre, d'avaler je veux dire. 
Moi : Tu aurais préféré cracher par terre … Beurk … 
Luidji : Tu te moques de moi là ?
Moi : Non, j'abuse de toi c'est différent. Bon ne nous laissons pas distraire, c'est de ta faute, en fait c'est dans ton cul que je voulais éjaculer mais tu as été trop efficace !

Il poussait un grand soupir en faisait non de la tête.

Moi : Allez on y retourne, quand je bande bien ferme je t'encule.
Luidji : Tu es sûr ?
Moi : Non ! Mais on verra bien !
Luidji : Non ... mais … ?

J'appuyais sur sa tête et il y retournait, de nouveau il me suçait la queue, toujours aussi bien. Là je me demandais si ça ne valait pas la peine de le laisser faire et de jouir de nouveau dans sa bouche. Il faisait ça vraiment bien le bougre. Il relevait la tête.

Moi : Bon là tu bandes assez !

Je bandais bien ferme en effet. J'aurais bien continué un peu plus longtemps. Au moins dans les soirées de Peter celui qui portait le dispositif la fermait et faisait ce qu'on lui demandait. Pour peu ce serait lui qui allait commander. Ceci dit, là il voulait que je l'encule, j'allais pas me plaindre et refuser sous prétexte que …

Il prenait position, à genoux face à mon lit. Je prenais position juste derrière lui et commençais à lui lubrifier le cul avec un puis deux doigts. Il ne disait rien, je le sentais se contracter tout en essayant de se détendre. Par moment il gémissait. J'y allais doucement. 

Au moment ou je le sentais suffisamment détendu je décidais de passer à la deuxième étape. Je m'assurais que je bandais toujours. Pas de problème de ce côté ma bite se dressait fièrement. Je la lubrifiait abondamment puis la positionnait juste en face de son petit cul. Je me penchais sur lui, l'embrassais longuement. Je sentais son inquiétude à chacun de ses mouvements. Je poussais doucement, son corps se contractait. Je poussais un peu plus et je sentais son anus se dilater. La vache il était étroit ! Il se contractait encore plus et poussait un cri. 

Je ne bougeais plus, il respirait fort, il gémissait à chacune de ses respirations mais ne résistait pas. Ça résistait mais c'était pas de sa faute. Je l'embrassais sur le dos, il se détendait un peu, je le mordillais à la base du cou. Il poussait un petit cri de surprise et je sentais son cul se détendre. J'en profitais pour rentrer plus loin. Il parvenait à ne pas trop se contracter et ma queue glissait bien à fond.

Là il poussait un long gémissement de douleur, comme une plainte, un sanglot presque silencieux. Là il dégustait, je ne bougeais plus, il se cramponnais, je me retirais et de nouveau ce long gémissement. Je revenais à la charge et je sentais tout son corps trembler, tout ses muscles se contracter. Il jutais, je ne sais pas s'il jouissait mais il jutais et je sentais son anus se contracter sur toute la longueur de ma queue. Ça faisait comme un massage inattendu et je jutais à mon tour, mais moi je jouissais. 

Rien ne m'avait alerté, aucun signe à l'avance, je ne m'y attendait même pas mais c'était génial. J'ai vibré de tout mon corps, dans mes bras Luidji pleurait. Je lui faisais un gros baiser sur l'épaule et me retirais doucement. Il pleurait, il avait juté en effet. 

Avec douceur je lui caressais le dos, je le réconfortais. Il ne disait rien, s'essuyait et se couchait. Mon sentiment était mitigé, j'avais pris un pied, je ne vous dis pas mais pour ce qui est de mon pote Luidji ça, il avait l'air moins convaincu. 

Toutefois il a bien dormi, moi je me suis réveillé plusieurs fois dans la nuit. C'était sa réaction qui m'avait un peu perturbé, je pensais à lui et je m'inquiétais un peu.

Le lendemain je voulais prendre de ses nouvelles.

Moi : Ça va Luidji ?
Luidji : Pauv con, ça fait un mal de chien ton truc, il faudrait le mettre sous clé.
Moi : Nan ! Ça c'est hors de question !
Luidji : Oui je sais … Ja-Mé ! 
Moi : Ouai ! Parfaitement, mais ça t'a soulagé comme je l'avais dit … ?
Luidji : Pauv con !

Ouai bon, ça me rappelait quelque chose ça. Je me disais que ça devrait lui passer, ça avait bien passé à Théo. J'étais content de moi finalement, il restait à peut prêt trois mois avant la fin de l'année scolaire. J'avais le cœur léger, mon père avait accepté l'idée de ne pas me mettre la direction de la PK entre les mains. C'était plutôt cool cette histoire, je ne serais pas obligé de faire des études de droit, de gestion, d'économie et de je ne sais quoi encore. De toutes façons je n'aurais pas eu mes diplômes !

Je ne serais pas obligé de porter un dispositif de chasteté. Même mon père laissait tomber l'affaire ! Je n'hériterais pas du gros de la fortune mais elle est tellement immense qu'un tout petit bout me suffirait pour vivre tranquillement.



PHILIPPE
EP 38 : PETIT RETOUR A LA NORMAL



A part Luidji qui me regardait de travers pendant plusieurs jour. Il paraît qu'il avait toujours mal au cul une semaine plus tard … Le pauvre loulou, pfff, la petite nature. Tout le monde remarquait que j'avais le sourire et me le disait.

Vous n'allez pas le croire mais le directeur m'a fait venir dans son bureau pour me demander si je n'étais pas malade … Ils sont tout de même gentils dans cette école. Je ne me faisais plus virer des mes cours et le directeur voulait s'assurer que tout allait bien pour moi !

Moi : Ne vous inquiétez pas Monsieur le directeur, tout va bien.
Le dir : Vous savez Mr Brosso, votre père m'a contacté !
Moi : Il il a dit quoi ? ( une brève panique traversait mon esprit )
Le dir : Rien de mal rassurez-vous jeune homme. Il m'a dit qu'il faudrait réétudier entièrement l'orientation de vos études. 
Moi : Ouf ! Ok là ouai ça va !
Le dir : Et quels seraient vos choix ?
Moi : Un truc avec des fleurs !
Le dir : Un truc avec des fleurs ! Vous pourriez être plus précis là ?
Moi : Bein moi j'aime bien les fleurs et tant que c'est vert et que ça pousse ...
Le dir : Jardinier ? 
Moi : Les jardins, oui, un truc comme ça !
Le dir : Oui ! Je vois et vous en avez parlé avec votre père ?
Moi : Bein non !
Le dir : J'ai peur qu'il ne trouve pas ça très valorisant !
Moi : Oui mais c'est vous aussi, vous me demandez moi je dis !

Il réfléchissait longuement …

Le dir : Des études en botanique ?
Moi : Ça fait pousser des fleurs les botaniques ?
Le dir : C'est plus compliqué que je ne le pensais cette affaire ! ( là il avait pensé à haute voie )


Le dir : BIOLOGIE VEGETALE !

Il avait dit ça assez fort et je sursautais.

Moi : Il y a des fleurs dans ce truc ?
Le dir : Ça concerne tout ce qui touche de loin et de près les fleurs, les plantes, arbres, gazon …

Il n'y a pas à dire il sait comment il faut me parler !

La discussion continuait un long moment. Je lui racontais que souvent j'allais au musée, le Musée de la Ville est très bien fourni. 

Le dir : Et si je vous demandais de formuler un choix secondaire vous me répondriez ?
Moi : Beau Arts !
Le dir : Ça a l'avantage d'être précis … Mais là je pense que ça ne passera pas mieux auprès de votre père que jardinier … Mais des études en biologie si on considère la décision de votre père de ne pas vous confier la direction de la PK, le soutient de votre mère, l'intervention de votre grand père et le soutient de vos deux oncles …
Moi : Ah vous avez vu tout le monde ?
Le dir : J'ai vu tout le monde … et donc, c'est un choix qui devrait pouvoir se réaliser … On dit donc biologie végétale !

Les jours suivants j'affichais un sourire encore plus large. Quelques jours plus tard encore on me convoquait de nouveau dans le bureau du directeur … Devais-je m'inquiéter ?

Le dir : Monsieur Brosso, votre requête a été longuement étudiée. Votre oncle Bob qui comme vous le savez sponsorise nombre d'activités culturelles de tous type ainsi que notre musée se fait un plaisir de vous recevoir dans un des organisme culturel qu'il dirige. Votre oncle Luc vous invite à faire un stage (ou plusieurs) dans les bureaux du journal culturel de votre choix … Je ne sais pas pourquoi ces deux là se sont arrêté sur votre deuxième choix !
Moi : Ils sont gentils avec moi !
Le dir : C'est sûr que dans votre cas, avec votre famille, vous ne devriez avoir aucune difficulté pour trouver un stage …
Moi : Éh, éh !
Le dir : Il n'y a pour le moment aucune opportunité de stage en laboratoire aussi j'ai pensé vous proposer une stage dans la PK Beaux Arts Université !

Là je faisais la gueule, je ne souriais plus. Mais c'est quoi ce plan ? Il me propose quoi là ?

Moi : Mais c'est l'université PK … Et il me semble qu'il faut porter le truc Là … J'ose même pas dire le mot …
Le dir : On vous dispensera de porter un dispositif de chasteté pour ce court séjour. C'est juste pour vous permettre de …

Je ne porterai pas de dispositif, et je serai le seul …

Le dir : … découvrir le travail dans une école …

Et ils ont tous le feu au cul les étudiants là bas …

Le dir : … le travail qui se fait dans une école Beaux Arts de référence …

Je pensais à Ludo, il était chaud Ludo et il était là bas …

Le dir : … Vous pourrez découvrir ainsi tranquillement …

Et si jamais ils sont tous comme Ludo …

Moi : C'est une excellente idée ça Monsieur le directeur !
Le dir : … Ah ! … Bien on va organiser ça pour … Disons la semaine prochaine. 
Moi : Oué ! Génial !
Le dir : Vous m'étonnerez toujours Mr Brosso, je pensais que ce serait plus difficile que cela de vous convaincre d'accepter un stage dans cette université.

Le dimanche dans l'après midi je prenais ma voiture, sac à dos sur l'épaule, l'université PK est à près de cinq kilomètres et je n'allais tout de même pas y aller à pied. Sur la route je me disais que comme ça je serais toujours aussi loin de la maison. La direction que prenait ma vie me convenait de plus en plus !

J'étais reçu comme un prince, on me donnait une chambre à un lit. Dans ma tête je pensais qu'avec un colocataire ce serait plus pratique mais je n'avais pas de colocataire … Pfff … Dommage il n'y avait qu'un lit ! 

Il y avait des cours magistraux ( comme dans toutes les écoles ) mais il y avait surtout des ateliers. Là on pouvait mettre les doigts dans la peinture, on a fait une bagarre, je me suis retrouvé barbouillé de toutes les couleurs. C'était le premier jour, il ne m'ont pas épargné mais je me suis défendu. 

Le soir aussi il a fallu que je me défende, deux étudiants son venu me voir dans ma chambre, ils avaient emmené de la bière. C'est interdit mais si on ne peut plus picoler aux Beaux Arts, c'est plus les Beaux Arts.

Rapidement la soirée à dégénérée. L'un des étudiants m'a demandé si je portais le dispositif de chasteté depuis longtemps mais quand j'ai répondu que je n'en portais pas le second m'a répondu … '' alors là ça m'troue l'cul !'' … ! … '' Et ils t'ont laissé venir ici ? '' .

Celle là il ne fallait pas la louper au passage … '' Ça m'troue l'cul !'' … Éh, éh, c'est avant tout de la théorie mais si on passait à la pratique. Aussi prenant l'air idiot, d'après mon père j'ai des aptitudes pour ça !

Moi : Mais c'est donc vrai, tous les étudiants portent ce genre de truc ici ?
Dodo : Bein oui parfaitement, tu ne le savais pas ?
Moi : Bein on m'avait bien parlé un peu de ce genre de coutume mais j'avais du mal à y croire.
Willy : Moi j'en portais un déjà un an avant de venir ici !
Moi : Bein mince alors et ça ressemble à quoi ? On peut voir ? J'en ai jamais vu !

Vous me croyez j'espère ! 

Ils rigolaient en échangeant des regards complices, on terminait la bière et ils baissaient leurs pantalons. Dodo sur la lancée retirait tous ses vêtements ce qui semblait amuser Willy. Sans attendre je me penchais sur Dodo, lui tâtais les couilles et le dispositif, c'était le même que j'avais porté l'été précédent. Il avait les couilles bien pleines, bien fermes, bien dures et je sentais la pression dans sa cage.

Moi : Je peux toucher ?

Dodo éclatait de rire.

Dodo : Il ne fallait surtout pas demander avant ! Enfin mieux vaut tard que jamais !
Willy : Et toi tu nous montre ton truc !
Dodo : Mais enfin il a dit qu'il n'en portait pas !

J'avais déjà retiré mon T-shirt.

Willy : Ça veut pas dire qu'il n'a pas un gros machin !

Le reste de mes vêtements était déjà à l'autre bout de la pièce. J'étais nu devant eux, je bandais et j'avais un large sourire béat sur la figure.

Willy s'approchait de moi et me prenait la queue dans la bouche, il passait sa langue sur mon gland, je sentais sa douceur, c'était chaud et ça ne faisait pas de doute, ce n'était pas la première fois, il savait faire.

Quelques instants plus tard c'est Dodo qui prenait la place. Lui aussi il faisait ça bien. Moi je ne faisais rien, enfin si, je gémissais de plaisir mais à part ça … Rien. Je me laissais faire, ils se passaient le relais, je n'avais pas besoin de demander. Au bout d'un moment, tout de même, je me décidais à les encourager en leur caressant les cheveux.

Je m'allongeais sur le tapis, les jambes écartées, doigts et orteils en éventail. Ils étaient adorables ces deux petits gars, tout à fait adorables. L'un me suçais la queue, l'autre les couilles. Ils me faisaient ça avec douceur et tendresses puis il y avait aussi les caresses, les guili-guili, je frissonnais et ce n'était que sous le plaisir de leur douceur.

Ensuite venaient les baisers, pendant que l'un continuait à me sucer la queue avec expertise, l'autre m'embrassait sur la bouche. Ses baisers descendaient le long de mon corps en passant par les épaules, le torse. Il s'attardait sur ma poitrines et mes tétons et pendant que je frémissais de plaisir ses mains me caressaient le corps et se glissaient partout ou c'était agréable.

Son camarade me suçait la queue, me massait les couilles avec une très grande douceur ainsi que les cuisses, les jambes et quand le premier arrivait au niveau de mon bassin ils échangeaient un long baiser puis échangeaient les position. Et tout reprenait !

Ils me faisaient penser à Ludo, ils étaient aussi chaud que lui. Je laissais faire et j'en profitais, je me délectais, j'étais aux anges. Ils n'oubliaient pas une zone de mon corps. Régulièrement un doigt se glissait entre mes fesses, c'était pas pour me déplaire. Je ne sais pas lequel a commencé mais je ne le lui reproche pas, bien au contraire.

Ils me caressaient partout sur le corps avec tellement de douceur. Un doigt s'attardait un peu plus longtemps entre mes fesses et forçait un peu le passage, je gémissais de plaisir et je laissais faire. Là encore je laissais faire.

Au moment ou j'ai réagi, c'était pour les encourager en leur caressant la tête, je caressais ensuite leurs corps, ils avaient la peau douce, je bandais encore plus, ma queue était aussi dure que du bois.

Un des deux prenait position, face à mon lit, jambes écartées il se penchait en avant et m'offrait son cul. Je me relevais, je le caressais encore, lui donnais quelques baisers sur le dos puis en position je poussais ma queue contre son cul. Elle rentrait sans résistance, c'était doux, j'y allais doucement ( je ne sais pas ce qui m'a pris ), je prenais tout mon temps et il semblait apprécier. En un mouvement lent j'enfonçais ma queue sur toute sa longueur. Je ne sais pas si je vous l'ai dit mais je suis assez bien monté. Pas géant mais bien tout de même.

Il gémissait de plaisir. Son camarade se collait à moi contre mon dos. Je sentait sa cage tout en haut de mes cuisses, juste en dessous de mes fesses. Sans, il aurait été en position pour m'enculer. Il me prenait dans ses bras, me serrait fort et suivait mes mouvements quand je me retirais et y revenais puis quand mes mouvements se répétaient, lentement au début puis plus rapidement, encore plus rapidement et finalement très rapidement.

Je limais mon premier camarade pendant un long moment, je posais mon menton sur son épaule et regardais son visage de profil. Il avait les yeux fermés, par moment il faisait une petite grimace, il serrait les dents, il respirait fort. Je le sentais trembler ou alors c'était l'autre qui m'embrassait dans le dos.

Le premier respirait de plus en plus fort, je lui tripotais les couilles et c'est à ce moment qu'il a juté, il a poussé aussi un petit cri de plaisir. J'ai senti son cul se contracter sur ma queue, juste ce qu'il fallait pour me faire jouir à mon tour. Je jutais alors dans son cul.

Le second des garçons, dans mon dos suivait la situation et savait donc ou on en était. Il me serrait alors de toutes ses forces et m'embrassait sur le dos. Il finissait pas me lâcher, je me retirais. On se détendait allongés sur le tapis en discutant.

Un peu plus tard je bandais de nouveau. Vous savez à dix sept ans il ne me faut pas longtemps pour récupérer. Euh ? J'ai dit dix sept ? Bon je vais faire une mise à jour j'en ai dix huit maintenant. 

Bon pour la mise à jour, on verra un autre jour, pour le moment j'ai un cul à défoncer. Le second garçon qui avait été si câlin se mettait à genoux face à mon lit, il se penchait en avant. C'est à ce moment que j'ai eu une monté de romantisme ( vous voyez ce que je veux dire ? ). Je prenais alors position, me lubrifiais bien la queue et son cul. Je lui enfonçais ma bite dans le cul bien à fond directe sans préliminaires. Il a un peu gueulé mais bon il a aimé !

Je l'ai limé pendant un long moment, je n'arrivais pas à juter alors je continuais. Je me retirais et m'enfonçais bien à fond en appuyant mon bassin sur ses fesses, puis je recommençais. 

Le premier gars que j'avais pris nous regardait en rigolant, enfin c'est surtout son copain qu'il regardait. Sa tête le faisait rire. Il encaissait bien le petit gars et au moment ou je l'ai senti jouir j'ai éjaculé moi aussi. Je l'ai serré fort dans mes bras. 

On a continué la soirée à poil dans ma chambre, il restait de la bière !

Dodo était en première année, Willy lui était en deuxième année. Ils étaient amusants, ils me racontaient que les études n'était pas si faciles qu'on aurait pu le croire mais, d'après eux, ça en valait la peine. Il faut être passionné mais on s'amuse bien et il y a une bonne ambiance. 

C'est et ça reste une école PK donc la réputation garanti un déboucher à la fin des études. C'est pour ça qu'ils avaient choisi cet établissement sinon, ce genre de soirée (comme celle que nous venions de passer) était plus facile dans une autre école.

Dodo : Ici ça reste tout de même un peu austère !

Il disait ça en secouant sa cage de chasteté avec la main. 

Willy : Et toi tu vas venir ici aussi l'année prochaine ?
Moi : Alors ça moi Ja-Mé ! Moi je ne porte pas ce genre de truc là, alors ça certainement pas.
Dodo : Il y a des jours ou on regrette …
Willy : Et d'autre ou on ne changerait rien !

Bon dans l'école ou je suis, en dernière année près des deux tiers des étudiants portaient un dispositif de chasteté, ici c'était tout les étudiants et pas qu'eux.



PHILIPPE
EP 39 : ON RIGOLE, ON RIGOLE



Les deux semaines qui suivaient étaient tout simplement géniales, j'avais presque envie de rester dans cette école et je l'aurais fait si je n'étais pas obligé de porter un de ces dispositifs. Il y avait une bonne ambiance, les enseignants connaissaient leurs sujets. En fait j'ai beaucoup bossé pendant cette courte période, je ne faisais pas seulement le con le soir dans ma chambre. Même si tous les soir il y avait au moins un étudiant qui passait me voir … 

C'était encore mieux que dans mon école, j'étais le seul à ne pas porter un dispositif de chasteté dans un campus qui ne comptait que de jeunes hommes, des dizaines de milliers de jeunes hommes en chaleur, frustrés, en manque et qui en redemandaient !

Enfin des dizaines de milliers, peut être pas ! Des milliers je ne dis pas mais des dizaines peut être pas !

Mais enfin ils étaient en manque tout de même ! Moi bien sûr j'étais venu pour étudier, pour voir si ce genre d'études me conviendrait et vous vous doutez bien que sérieux comme je suis je n'ai absolument pas tenté de profiter de la situation … Éh, éh, éh !


Ne me dites pas qu'il y en a un qui m'a cru là ?!

Non c'est pas mon genre ça de rester sérieux. J'en ai profité au maximum. Vous savez on vous dit que le dispositif de chasteté vous libère l'esprit et vous permet de vous concentrer sur votre activité, qu'on fini par ne plus y penser … Je ne sais pas moi je ne l'ai pas porté assez longtemps mais il y avait un étudiant très doué en sculpture. Il avait réalisé une reproduction du David de Michel-Ange mais il l'avait fait avec un harnais autour du torse et des épaules, un collier clouté autour du coup les lanières cloutées autour des bras des poignées et des chevilles, il lui avait aussi mis un dispositif de chasteté et un gode dans la main droite … Le tout en argile cuite, un mètre cinquante de haut, c'était superbe … 

Les profs ne se sont pas formalisés pour si peux, et son œuvre était exposée dans la grande salle des étudiants. La statue faisait rigoler tout le monde mais personne n'y trouvait rien à redire …

Après ça on va vous dire que le dispositif, on n'y pense plus du tout … Franchement je me demande à quoi il pensait le gars si c'était pas à ça !

Finalement l'endroit était génial, j'y serais bien resté mais je n'étais pas disposé à payé le prix exigé, à savoir, porter un dispositif de chasteté comme c'est de règle dans l'université PK … Et puis on avait un truc en végétalisation de prévu pour moi. Les beaux arts c'était le deuxième choix, j'en aurais bien fait mon premier choix mais bon … Mon père était dans de bonnes dispositions mais il ne faut pas trop rêver, il y a des limites.

La seconde semaine venait de commencer quand j'apercevais une tête connue. Non c'était pas Ludo, lui il étudiait dans un autre bâtiment, nous on avait un campus pour nous, on était un peu isolés par rapport aux autres étudiants dits sérieux …

C'était Benoît que je retrouvais un jour, c'est un gars que j'avais rencontré un soir en boîte, il était avec René ce jour là … ? … Ça ne vous dit rien ? Mais si il était avec René, j'avais terminé la soiré avec René, ils étaient bourrés, ils m'avaient bien fait rigoler tous les deux … Toujours pas ? ( Épisode 33 )

Moi : Benoît ! Ça va toi ? Mais je ne savais pas que tu étais là ! Tu es étudiants ici ?

Il me regardait en fronçant les sourcilles.

Benoît : Té ki toi ? J'te connais pas !
Moi : Mais si, bon on n'a pas discuté bien longtemps mais on s'est rencontré il y a quelques mois en boite, tu étais avec René !
Benoît : Ah tu es un ami à René, il fallait le dire tout de suite !

Là il me faisait un grand sourire.

Moi : Bein je connais un peu René oui !

On est allé boire un verre il y avait une cafétéria ou on ne vendait pas d'alcool mais ou on pouvait prendre un café. Il ne se souvenait pas de moi, ça ne m'étonnait pas vraiment remarquez. La dernière fois il était complètement ivre. 

L'université n'était pas une prison, mais ce n'est pas pour autant qu'on pouvait s'absenter sans justifications. Le soir même Benoît et moi décidions donc de faire le mur … Dehors il y avait une voiture qui attendait. C'était René.

René : Mé té ki toi ? 

En me voyant, lui non plus ne me reconnaissait pas. On n'allait pas se formaliser pour si peu ! Nous étions à côté de sa voiture.

Moi : Philippe !
René : Salut Philippe … 

Il glissait sans plus de formalité une main sous ma chemise en me faisant la bise.

René : C'est mignon tout ça dis donc.
Moi : Ouai je sais tu m'as déjà fait le coup il y deux mois !
René : Je suis sûr que c'est pas vrai, je ne fais pas ça à tout le monde !
Benoît : Je te jure c'est pas vrai, il fait ça à tout le monde !
René : N'écoute pas l'autre grosse salope, il est trop puritain quelquefois !
Benoît : Connasse ! C'est toujours pareil avec toi, dès que tu vois un garçon mignon tu ne me connais plus !
René : Mais non c'est pas vrai ça Benoît !
Benoît : J'en ais assez, je te quitte René …

Quelques secondes plus tard ils se tenaient bien serrés dans les bras, ils s'embrassaient avec passion, ils m'avaient complètement oublié. On montait tous les trois dans la voiture et on démarrait. 

Moi : Dites moi tous les deux, si j'ai bien compris vous êtes ensemble ?
René : Ça dépend, tu es libre ?
Benoît : Alors là tu es vraiment une grosse salope, tu dragues devant moi maintenant. C'est clair cette fois-ci je te quitte, c'est fini entre nous !
René : Enfin Benoît, tu es vraiment une pauvre fille !
Benoît : Maintenant il me méprise, c'était pas comme ça quand on s'est rencontré, mais ça y est, avec cette allumeuse tu couches avec lui une fois et il te méprise.
René : Tu crois pas que tu en rajoutes une peu ? Et puis c'est mieux comme ça. Je ne peux pas te sortir, te présenter, et … C'est fini tu as raison descend.

La voiture s'était arrêtée à un feu rouge, ils se regardaient et se sautaient littéralement dans les bras l'un de l'autre. Ils s'embrassaient avec passion.

René : Je t'aime moi Benoît !
Benoît : Moi aussi je t'aime !
René : Tu es l'homme de ma vie !
Benoît : Non c'est toi qui est l'homme de ma vie !

Le feu passait au vert !

René : Je ne te quitterai jamais Benoît.
Benoît : Tu parles quand tu en auras mare de moi tu me largueras !
René : Tu sais que tu es vraiment une grosse chieuse !
Benoît : T'as vu comment tu me parles ! C'était pas comme ça au début, il y a trois mois …

Le feu passait au rouge. Ils se regardaient sans rien dire. Puis tombaient dans les bras l'un de l'autre de nouveau. 

Benoît : Tu es l'homme de ma vie
René : Je ne te quitterai jamais.
Benoît : Je t'aime !
René : Non moi je t'aime encore plus !
Benoît : C'est moi que je t'aime encore …
Moi : Bon ça va là, c'est vert !!!

La voiture redémarrait. Un peu plus tard on arrivait chez René, je reconnaissais le quartier. Finalement ils étaient peut être plus compliqués qu'il ne m'avait semblé au début ces deux là.

Nous arrivions sur le pallier. Ils avaient à peine eu le temps de se faire une petite scène, du genre :

'' C'est moi que je t'aime le plus ''… 
'' Non c'est moi '' … 
'' Nan c'est pas toi c'est moi '' … 
'' Tu me fais chier '' … 
'' Avec toi c'est toujours pareil '' … 
'' Je te hais ''

Ils étaient enlacés et s'embrassaient avec passion devant la porte, René me passait les clés sans lâché son amant. Y a pas à dire … C'est beau l'amour ! J'entrais, ils me suivaient sans se lâcher, semblaient rouler jusqu'au lit ou ils se laissaient tomber, je suivais et me laissais tomber sur eux. Instantanément il m'agrippaient et me couvraient de baisers. 

Je saisissais fermement le premier que je pouvais attraper et lui arrachais sa chemise, il ne se défendait pas et en faisait de même à l'autre. L'autre, le troisième c'était rené qui était allongé sur le lit, Benoît le chevauchait et moi j'arrivais en deuxième position. Je tenais Benoît dans mes bras et l'embrassais sur les épaules. Mes mains se dirigeaient rapidement vers sa ceinture, j'ouvrais son pantalon et je me retrouvais tout con, tout surpris de constater que Benoît portait un dispositif de chasteté. J'aurais dû m'en douter pourtant !

René ne bougeait plus, il était allongé les bras en croix et il ronflait. Benoît n'y faisait pas attention et continuait à caresser son camarade. Il se relevait, laissait tomber son pantalon, je me penchais sur René, le cajolais et lui ouvrais son pantalon à son tour. C'est à ce moment qu'il s'est réveillé. En pleine forme, d'un mouvement rapide auquel je ne m'attendais pas il me retournais sur le dos. 

Je me laissais faire vous imaginez ! Deux hommes voulait me faire subir les derniers outrages et abuser de moi, je n'allais tout de même pas me défendre. Pendant que Benoît me sautait dessus pour me retirer ma chemise, René se débarrassait du reste de ses vêtements avant de m'arracher mon pantalon. J'allais certainement pas me défendre. 

Benoît : Quoi !? Tu ne portes pas de dispositif toi ? 
Moi : Bein non !
Benoît : Ah il y en a qui ont de la chance !

Aussitôt après il me suçait la bite pendant que René prenait position pour que je lui suce la sienne.

Benoît avait la bite en cage aussi il faisait ce qu'il pouvait le pauvre, peu après il suçait René, et René lui il me suçait à ce moment. Si une bouche se libérait je l'embrassais, quand la queue de René sortait de la bouche de Benoît j'embrassais Benoît avant de prendre la queue de René dans la bouche à mon tour. 

Il gémissait René, il gémissait de plaisir. J'aurais moi aussi gémi de plaisir si je n'avais pas eu la bouche pleine mais je faisais tout de même du bruit avec ma bouche.

D'un geste René me faisait signe de prendre place, c'est ce que je faisais, une violente montée de romantisme plus tard Benoît se redressait et hurlait. Je l'avais enculé jusqu'à la garde d'un mouvement rapide et violent. 

C'est vrai quoi je ne pouvais pas savoir moi que c'était une petite nature enfin ! Bon René lui a attrapé la tête et lui enfournait de nouveau la queue dans la gorge pour le faire taire et moi je continuais. Il avait le cul serré ou alors c'est que j'y étais allé un peu fort. Mais comme il ne disait plus rien je continuais et j'accélérais même.  

René se relevait, passait vers le réfrigérateur et revenait avec trois canette de bière dans les mains. Je ne bougeais plus et sans me retirer, la bite toujours bien garée dans le cul de Benoît je buvais tranquillement ma bière. Benoît s'était relevé, j'avais passé mon bras par dessus son épaule, il buvait la sienne tranquillement. René s'installait sur la tête du lit pour siroter sa bière également.

Moi je restais bien en position, prêt à repartir. Un moment plus tard, nous avions tous reposé nos canettes, je reprenais les mouvements rapides dans le cul de Benoît. 

René : Au fait quand est-ce que tu me présentes ton prof de mise en scène ?
Benoît : Je sais … Je sais pas … Là peux pas … haaaa ! … Là peux pas parler … 

J'avais repris les mouvements comme je vous disais et il dégustait !

René : De toutes façons Benoît avec toi c'est toujours pareil, on ne peut jamais parler …

Là c'était trop, je pouffais de rire, et c'est plié de rire que je retombais sur le dos de Benoît, j'avais encore quelques convulsions de mon bassin et je jutais, je jouissais en rigolant, c'était une première ça ! Je voyais le visage de Benoît de profil il faisait une grimace informe et râlait de plaisir. Il jouissait lui aussi, j'avais la main sur son dispositif de chasteté et je vous confirme qu'il jutait. 

René repartait chercher une autre bière. Enfin une pour chacun.

Un peu plus tard, nous étions tous les trois allongés sur le lit.

René : Tu aurais pu me le présenter plus tôt ton copain.
Benoît : Mais je viens juste de le rencontrer.
René : Il devait bien être quelque part et ça m'étonne que tu ne l'ais pas encore rencontré. ( puis à mon attention ) Il a un vrai radar dans la tête pour repérer les mecs mignons.
Benoît : Mais il m'a dit que tu le connaissais.
René : Nan, moi connaissais pas !

Il ouvrait de nouvelles canettes de bière …

Moi : Mais si on se connaissait tous les trois.

Je leur racontait alors la dernière rencontre.

René : J'étais assis sur tes genoux tu dis … Bein mince alors je devais en tenir une belle … OUI ! Maintenant je me souviens, j'ai fais des photos de toi, justement je me demandais qui c'était sur les photos …

La nuit avançait et allait se terminer, René nous ramenait à l'école. On était un peu débraillé et le directeur nous tombait dessus.

Le directeur : Et bien ça fait toujours plaisir de voir qu'il y en a qui sont toujours en avance pour aller au cours !

D'abord on a sursauté. Ensuite on s'est fait engueuler …



PHILIPPE
EP 40 : LA ON NE RIGOLE PLUS



Et voilà, c'est le dernier épisode de la saison. 
On a suivi les aventures de David depuis Décembre 2014 … ( 28 épisodes un seul était prévu au début )
On a suivi les tribulation de Djé depuis Octobre 2017 … ( 93 épisodes cinq étaient prévus )
On suivait les déambulation de Philippe depuis Février 2019 … ( 40 épisodes … Heu !!! … Là je n'avais pas prévu de minimum )
Finalement je dois dire que je ne sais plus trop quoi rajouter à cette tout ça aussi j'ai décidé de prendre du recul vis à vis de cette  histoire. 
Il n'y a pour l'instant aucune suite prévue !
Ce n'est probablement pas définitif mais pour le moment aucune suite n'est annoncée. En fonction des idées que je pourrait avoir une suite, une autre série est possible. J'ai aussi pensé à ne plus écrire que des groupes d'histoire racontant des épisodes de la vie de ces héros. Par exemple en cinq épisodes '' Le mariage de Djé '', ou encore en trois épisodes un moment particulier dans la vie d'un des personnages … Rien n'est décidé. 
Aussi nous dirons donc '' Au revoir '' à ces trois personnages pour le moment  ( voilà, comme ça, en bougeant doucement la main de gauche à droite ) … 






Le séjour dans cette école avait été trop court. J'avais vraiment envie d'y aller mais le prix en était trop élevé. Il fallait porter un dispositif de chasteté et comme vous le savez … Ça moi Ja-Mé !

Et c'est pas négociable !

J'avais complètement oublié que le choix de mes études était ' Biologie Végétales ' et non pas beaux arts … Mais je savais que mon père ne lâcherait pas, je devais faire des études qu'il considérait sérieuses ! Je réfléchissais à un plan pour le convaincre. J'avais bien réussi à le convaincre que je n'étais pas gay et ça, c'était pas gagné. Une chose était sûre, c'est les Beaux Arts que je voulais faire. 

Le dernier mois avant les vacances allait commencé. J'avais complètement oublié la petite Juliette, je ne me disais même pas … 

… Mais qu'est-ce qu'elle devient la petite Juliette  depuis l'autre jour …

Ou encore.

… J'aimerais bien revoir Juliette … 


Non même pas ! Je l'avais complètement oublié. Remarquez avec la nuit qu'elle m'avait fait passer, je préférais avoir oublié parce que quand je m'en rappelais, mais je dis n'importe quoi j'avais choisi de ne me rappeler de rien et j'y parvenais très bien. 

Je continuais ma petite vie tranquille dans laquelle il n'y avait aucune place pour une fille. Elle avait servi, elle m'avait aidé à me tirer d'une situation qui aurait pu devenir critique, il n'y avait plus qu'à la jeter … Oui je sais là je suis lourd, mais je vous jure que j'ai honte … ( Éh, éh, éh)

Le premier soir qui a suivi mon retour, Luidji avait l'air tout triste, je me suis approché de son lit, on a parlé, il était résigné. Il supportait bien son dispositif maintenant, il avait envie ( besoin ) d'un peu d'aide. Vous savez comment je suis serviable, je me proposais. Mais uniquement pour faire plaisir ( comment je suis faux cul moi quand je dis des trucs pareil  ! ).

Et bien j'ai pas regretté, il suce rudement bien maintenant le petit Luidji. Je sentais sa langue qu'il promenait avec délicatesse sur mon gland, puis sur le corps de ma bite. Je sentais ses lèvres se refermer sur ma queue. Je sentais ma queue s'enfoncer lentement dans sa bouche et je sentais enfin mon gland s'écraser au fond de sa gorge, il convulsait une seconde et je ressentais un plaisir immense sur ma queue. 

Je préférais alors passer à la suite sinon je sentais que j'allais lui juter dans la bouche et c'est pas ce que j'avais visé au départ. Il ne faisait plus de difficultés pour se mettre en position, à genoux sur le sol, le corps penché sur son lit, il me laissait lui lubrifier longuement le cul, il ne réagissait presque pas quand je me mettais en position, il ne semblait pas se crisper quand il sentait ma queue contre son anus. Il me glissait juste d'une voie très douce.

Luidji : Vas y doucement, s'il te plaît …

J'avais une violente monté de romantisme qui garantissait des hurlements de sa part mais brusquement j'ai eu un peu pitié, ou je ne sais pas. Finalement je poussais tout doucement, il gémissait longuement pendant tout le temps que ma queue s'enfonçait puis il poussait une sorte de sanglot au moment ou mon ventre s'écrasait sur ses fesses. 

Je faisais une pause, une pause courte mais une pause tout de même. Il semblait apprécier, je me retirais alors doucement, il gémissait de plaisir puis peu à peu j'accélérais les mouvements, il gémissait de plus en plus fort de plaisir. Ça ne durait pas bien longtemps il jutais en premier, je le serrais dans mes bras puis je jutais à mon tour en gémissant de plaisir, je terminais par quelques coups violents, il manquait d'air et on se calmait.

Il a bien dormi Luidji cette nuit là, j'étais fier de moi, de mon dévouement, je m'étais sacrifié pour lui être utile … ( je ne sais pas si je n'exagère pas en disant sacrifié ? ) …

Deux jours plus tard, en revenant d'un entraînement sportif, avec Dominique ( Je ne vous ai jamais parlé de lui ? … Bon mais vous n'imaginez pas que je vous raconte tout quand même ). 

Dominique donc, une petit gars qui a le feu au cul, il fait partie des deux tiers qui portent un tel dispositif. On avait discuté un moment puis on se retrouvait sous les douches. Je vous rassure il n'y avait pas de cours après aussi je n'y serais pas en retard ma moyenne d'engueulade n'augmenterait pas !

Je ne lui ai pas demandé son avis, il était là presque à poil juste à côté de moi ( je dis toujours presque quand je parle de quelqu'un qui porte un dispositif parce que à cause du dispositif justement, c'est pas complètement ), il était beau. C'est d'un geste totalement naturel que je passais ma main sur son dos. Avec douceur le lui savonnais le dos en commençant par son épaule gauche puis en terminant sur la fesse droite. Il se retournais vers moi, s'approchait de moi, je sentais sa cage de chasteté contre ma cuisse. Jusque là je ne bandais pas mais à partir de là ça a changé. Il voulait me prendre dans ses bras mais je le tenais à distance en lui savonnant le ventre. Voyant cela il se lubrifiait abondamment puis me savonnait en se frottant contre moi. C'était câlin, douceur et tendresse. L'eau ne coulait plus et on se savonnait l'un l'autre, on se savonnait tellement que quand il s'est retourné c'est rentré tout seul. Presque sans qu'on le fasse exprès. 

Lui je vous rassure c'est pas une petite nature comme Luidji, quand on l'encule il ne pleure pas, il en redemande. Il ne m'avais pas sucé mais bon, avec tout le savon qu'on avait utilisé, je veux bien le comprendre …

Ma queue glissait toute seule, je n'avais pas à forcer, c'était le grand confort mais c'était bon. Rapidement je passais à la vitesse supérieure, mon ventre claquait de plus en plus fort contre ses fesses, il râlait de plaisir, il en redemandait et je lui en donnais. 

Il a joui en premier, il a abondamment juté, j'ai senti son cul se resserrer et devenir plus étroit. Ça m'a stimulé et j'ai juté peu après. 

On s'est rincé, on a fait un petit câlin puis on est reparti chacun de notre côté. Je retrouvais mon étude.

Le lendemain je me retrouvais dans la chambre de Peter. Bein oui quoi, Peter je ne vous parlais plus de lui mais il ne perdait pas ses habitudes. Théo s'y rendait régulièrement mais ce soir je retrouvais un garçon que je n'avais jamais vu que de loin, Joss, il ne portait le dispositif PK que depuis peu de temps. Il faisait comme de nombreux élèves. Prévoyant d'entrer à l'université PK il avait décidé de tester le dispositif. Juste histoire de savoir s'il pourrait le supporter.

Il était en manque. Sexuellement en manque, manque de branlette dans son cas, je supposais que c'était tout. Vous savez mon grand père qui a participé à la mise au point de ces dispositifs ainsi que Antoine son vieux copain avec qui il y a travaillé m'ont raconté. Au début quand on porte ce truc, c'est dans la bite que ça se passe, ensuite c'est dans la tête, ensuite c'est un souvenir, une nouvelle réalité …

Pour ce qui est donc de supporter ou pas ce truc … Si on n'a pas le choix on n'a pas le choix et on le supporte. L'objet est en titane indestructible donc … Ma très courte mais trop longue expérience personnelle m'oblige à confirmer qu'ils ont raison ! Joss n'allait pas tarder à s'en rendre compte donc.

Il me suivait sous les douches. Je ne vous ai raconté que quelques uns des événements qui s'y sont passé. Joss donc me suivait, j'en profitais pour bien me montrer à poil, je m’exhibais longuement dans les vestiaires, il n'y avait personne mais j'apercevais Joss qui, très mal dissimulé derrière une armoire, me matait tel un voyeur.

Je passais sous la douche, j'étais seul, à part Joss, qui se glissait dans un coin. Je faisais semblant de ne pas le remarquer, me savonnais et ne tentais pas de retenir mon érection. Je me massais la queue. Au bout d'un moment Joss se tortillait trop, c'était amusant et je le regardais en rigolant. Il le remarquait, je suppose qu'il devait devenir tout rouge. Il tentait de se sauver mais je le rattrapais facilement. 

Il jouait les voyeurs, il était en tort et j'avais bien l'intention d'en profiter. Je l'entraînais au milieu des douches, lui tendais le savon et lui faisais signe de se laver. Je rinçais bien ma bite, ça a meilleur goût. Il était tétanisé. Je prenais un air sévère, et lui faisait clairement comprendre ce que j'attendais de lui.

Moi : SUCE !

Bein quoi ? … J'avais dit ''clairement'', non ? 

Il semblait pétrifié, il se mettait à genoux et finalement avec beaucoup d'hésitation il s'exécutait. Il ne s'en sortait pas si bien que ça. Il ne portait le dispositif que depuis peu de temps et même s'il était en manque, il ne l'était pas encore suffisamment !

Je lui donnais des conseils puis au bout d'un moment je décidais de passer à des choses plus sérieuses. Je le relevais et le prenais dans mes bras, je lui caressais le corps et l'embrassais. Il était toujours tétanisé puis peu à peu il se détendait, me rendait mes caresses et mes baisers. 

Bon là il s'en sortait mieux, il embrassait bien et ses mains étaient douces. Au bout d'un bon moment je lui glissais à l'oreille.

Moi : Retourne toi je vais te prendre …

Il n'avait pas l'air de comprendre tout de suite.  

Moi : Tu préfères jouer les voyeurs, tu sais le mieux c'est de toucher !

Il avait l'air terrifier, et c'est comme un robot qu'il se retournait, il se penchait en avant. Je lui lubrifiais le cul et prenait position. Je le sentais trembler. Je poussais il râlait de douleur. Je poussais plus fort, il râlait de nouveau. Son cul était bien serré et résistait. Je poussais encore plus fort et je sentais son anus se dilater, s'ouvrir. Ma queue rentrait, il était étroit, je sentais tous ses muscles se contracter. Ça passait ma queue s'enfonçait bien à fond, mon ventre s'écrasait sur ses fesses. Il hurlait, à chaque respiration il hurlait. Rapidement il se dégageait sans que j'ai le temps de réagir, il chialait. Il se sauvait sans demander son reste, moi je jutais, mon cœur battait très fort et je jutais mais je ne jouissais pas. C'était bizarre. 

Par la suite, je passais à autre chose et tout continuait à bien se dérouler. Mon quotidien se passait ainsi, très bien jusqu'au jour ou on m'appelait dans le bureau du directeur. L'esprit léger, je m'y rendais. Nadine avait une mine sombre en me voyant.

Moi : Quelque chose ne va pas Nadine ?

Elle est gentille Nadine, je l'aime bien, c'est elle qui me donnait mes billets pour revenir en cours à l'époque ou je me faisais souvent virer par le prof. On se voyait souvent à cette époque.

Nadine : Non … Moi ça va … Enfin … C'est pour toi …

Là elle commençait à m'inquiéter. On ne me faisait pas attendre. J'entrais dans le bureau. Il y avait là ma mère qui avait une mine sombre, mon père qui avait un regard sombre. Là je vous jure il m'a fait peur, mais vraiment peur. J'avais brusquement envie d'appeler mon papy. À cet instant j'ai vraiment pensé que j'aurais besoin de lui. Juste derrière le bureau il y avait le directeur qui me regardait d'un air navré. Il est gentil avec moi depuis quelques mois le directeur. 

Le directeur : Voulez-vous bien vous asseoir Monsieur Philippe.

Je sentais comme un froid, un froid glacial. Je prenais place, j'avais l'impression que si mon père avait eu un fusil à la place des yeux je serais déjà mort.

Mon père : Tu n'as aucune idée de la raison de notre présence ici ?

Bêtement je hochais la tête de droite à gauche.

Mon père : Tu te souviens de la petite Juliette de qui tu as si honteusement abusé.

Je réfléchissais un instant puis remuais la tête de haut en bas.

Mon père : Tu te souviens de la manière dont l'a traitée.

Et mince moi qui avait réussi à l'oublier celle là … Je faisais oui de la tête.

Ma mère : Oh mon chéri, tu n'aurais pas pu rester sage.
Mon père : Et bien bravo tu as réussi ton coup !

J'étais dans la merde, il avait fini par comprendre que ce n'était qu'une mise en scène. J'étais mal, mais vraiment mal ! Je paniquais !

Moi : Mais non papa, c'est pas ça, c'est pas parce que ce que tu crois pas, en fait … Euh …
Mon père : ( Il montait le ton ) Ne dis donc pas n'importe quoi, tais-toi tu bafouilles. Juliette est enceinte c'est tout, il n'y a rien à rajouter. Tu vas être père de famille, et moi je vais être grand père.
Moi : Pas cool ça ! ( ça m'échappait et j'avais une toute petite voie )
Mon père : ( le ton montait toujours ) NON PAS COOL ÇA ! Non mais tu te vois père de famille.
Moi : Beinnnnnnnnnn … 
Ma mère : Mais tu ne vas jamais t'en sortir.
Moi : Mais quand même maman.
Mon père : Tu es à peine capable de lacer tes chaussures ...
Moi : Oh béh si quand même … 
Mon père : Tais-toi, ne me coupe pas la parole . Alors tu vas assumer cette nouvelle responsabilité ! Tu vas te marier. Juliette entrera dans la famille. N'espère pas vivre uniquement sur tes rentes, tu vas travailler. Dans un premier temps tu vas faire tes études en Biologie Végétale, comme tu le souhaites mais dans la PK Université. Tu as intérêt à avoir tes diplômes sinon je t'embauche à mon bureau et je serai alors sur ton dos toute la journée. Ensuite tu seras un père exemplaire et un mari exemplaire !

J'étais livide ! Je regardais mes chaussures. Il abuse tout de même, je sais lacer mes chaussures depuis longtemps. Je ne disais plus rien, mon cœur battait fort, tellement fort que j'avais l'impression que mes côtes allaient exploser. Là j'étais mal. Je me demandais ou mon plan avait bien pu foirer. C'est vrai ça quoi, comment on fait pour tomber enceinte la première fois ? Enfin, la première fois pour moi je veux dire !

Mon père : Tu ne dis rien ?
Moi : Bein non papa, enfin si papa mais … Euh … Qu'est … Qu' … Je sais pas quoi dire moi.
Mon père : Tu dis juste '' …  Oui papa ! ''
Moi : Bien papa, euh , pardon je voulais dire … Oui papa !

Je suppose que vous avez deviné la suite, enfin la suite immédiate. La PK université, c'est la PK … Et le port du dispositif PK est obligatoire, il n'existe aucune dispense !

Pas cool ça !

INDEX

                          Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'...