30 Décembre 2020

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Une visite surprise

 Une visite surprise



On était le week-end, j'étais tranquillement installé dans mon garage à bricoler je ne sais plus quoi quand on sonnait à la porte. J'allais ouvrir, c'était Joël !


Joël c'est mon doudou !


Bon on n'habite pas ensemble, on a trop peur de devenir un vieux couple routinier avec les enfants qui viendraient nous voir  … Mais qu'est-ce que je raconte moi ? ' Avec les enfants …' ! Bon on se limiterait à un poisson rouge …


Enfin bref, c'était mon doudou, il passait me voir et avait emmené avec lui des copains que je ne connaissais pas.


Il me présentait Willy et Samy. Willy était un beau gaillard qui dépassait en taille Joël … Joël c'est mon doudou … Oui je sais je me répète mais je suis ému à chaque fois que je le vois. Il faut dire qu'il a une grosse queue et c'est la première chose à laquelle je pense à chaque fois que je le revois. Après ça passe, après je pense à autre chose, enfin des choses sérieuses quoi. Du genre est-ce que j'ai pas oublié d'acheter de la bière pour les invités ? Ou un truc du genre, j'ai bien refait le stock de capote, et de gel. Il me reste du gel ? Enfin des trucs de circonstance et de première importance … 


Samy était bien aussi, il était de belle taille et de belle carrure, un teint très mat, la peau marron, très jolie … Je les faisais rentrer. Joël ... Joël c'est mon doudou … Bon d'accord j'insiste plus tout le monde le sait maintenant.


Donc Joël s'installait confortablement sur le fauteuil, les deux autres se partageaient le canapé, je leur apportait une bière pendant que Joël ... Joël c'est mon … Oui, bon, OK ! … Il faisait les présentations. C'étaient de vielles connaissances à  lui qu'il n'avait pas revu depuis des années. Ils étaient tous les deux dans le coin et étaient passé le voir.


Je me sentais tout fébrile, et je les observais d'un œil distrait. Ils étaient tous les deux bien bâtis, épaules larges, cuisses épaisses et une belle bosse prometteuse juste là ou on a envie de la voir. 


– Qui prendrait une petite pipe ? Demandait Joël.

– On ne fume pas tu as oublié ? Lui répondait Willy.

– Mais qui te parles de fumer ? Rajoutait Joël.

Il rigolait doucement en avalant une gorgée de bière.


– Dis moi Charly, tu serais mignon. Tu peux montrer à notre ami Willy de quoi on parle.


Je n'attendais que cela, et c'est donc très rapidement que je m'accroupissais entre les jambes de Willy, lui caressait les cuisses en remontant vers son sexe. Je ne vous cacherai pas qu'à ce moment j'étais ému, il était super canon et je m'attendais à trouver quelque chose d'effrayant. Enfin j'espérais.


Il se laissait faire l'animal, il avait bien eu une réaction de surprise au début mais il se laissait faire. Je lui ouvrais la braguette et je découvrais en effet quelque chose d'effrayant. Il était bien monté, il avait une belle grosse queue bien grasse, bien épaisse qui rapidement devenait bien raide.


J'arrivais encore à me la prendre dans la bouche, pas en entier, là il ne faut pas rêver mais sur une bonne partie de sa longueur. Il faut dire que mon doudou est bien équipé également, mon doudou c'est Joël mais je pense que vous le saviez déjà, aussi j'ai de l'entraînement. Willy appréciait et me le faisait savoir. Il gémissait de plaisir et me caressait les cheveux. 


A côté de lui Samy avait du mal à tenir en place. J'entendais un '' Vas y ! '' qui venait de Joël, ça devait lui être destiné, un encouragement. Quelques instant plus tard, je sentais qu'il baissait son pantalon. J'attendais qu'il se soit réinstallé pour passer voir de quoi il retournait.


Lui aussi il était bien foutu, il était tout pareil que le premier, c'en était à se demander s'il n'était pas jumeaux, ils n'étaient pas de la même couleur mais à part ça … J'étais bien parti et je continuais sur le second. À son tour je lui prenait la queue dans la bouche. Willy se relevait et retirait tous ses vêtements avant de reprendre place.


C’est tout excité que je passais de l'un l'autre. Je prenais bien le temps de faire réagir chacun et m’attardais suffisamment pour faire monter le plaisir de celui que je suçais sans pour autant oublier l'autre. 


Joël me regardait faire, il avait l'air amusé le guignol, il était tranquillement installé sur le fauteuil, il n'avait pas bougé, il avait gardé ses vêtements et quand il se levait c'était pour aller chercher  une autre bière. Il en ramenait pour tout le monde, il les posait sur la table et s'en ouvrait une. J'avais une queue dans la bouche et comme je ne pouvais pas parler j'agitais la main dans sa direction. Il comprenait, m'ouvrait une canette et me la posait dans la main. Je continuais encore quelques instants à sucer, je ne sais plus lequel c'était mais c'est pas grave, puis décidait de faire une pause histoire de me remboîter la mâchoire. C'est qu'ils étaient bien montés ces deux là et tout le monde sait que c'est du boulot que de sucer une queue comme il convient. Et si en plus la queue est de belle taille … 


Ils en profitaient pour se déboucher une bière également. 


Joël … Joël c'est mon … Oui c'est vrai j'arrête pas de le répéter … Donc Joël me lançait.


– Tu devrais te mettre à l'aise mon petit Charly.


Je comprenais le message et retirait tranquillement mes vêtements. Je le faisait face à Joël, il me regardait avec un regard complice et un petit sourire un peu vicieux. Au moment ou je retirais mon pantalon il se penchait vers moi et me tripotait les couilles, je le laissais faire. 


Quand je me suis retourné ver les deux lascars, vous auriez vu la tête qu'ils ont fait. Je porte un dispositif de chasteté, ils ne le savaient pas et ne cachaient pas leur surprise.


L'un restait là l'air idiot, l'autre faisait un syncope, enfin j'ai bien cru. Vous savez, je l'aurais volontiers ranimé mais finalement c'était pas nécessaire. C'est debout devant eu que je terminait ma bière, ils en faisaient de même, leurs regards étaient insistants sur ma bite en cage.


– Je vous avais bien dit que vous auriez une surprise. Disait Joël.

– Je ne m'attendais pas à ça. Lui répondait Willy.

– Et il est toujours comme ça ? Continuait Samy.

– Toujours ? … Répondait Joël … Ah oui ! De temps en temps il le retire mais rarement. Dis moi Charly, ça fait combien de temps là ?

– Un peu plus de huit mois . Lui répondais-je.


On terminait notre bière et j'entendais Joël … '' Allez, on y retourne ! ''.


Il était toujours habillé, c'était le seul, mais je voyais qu'il bandait. Le petit vicieux jouait les voyeurs, les spectateurs, il se rinçait l’œil et il se tripotait la queue à travers son pantalon. 


Je reprenais ma position, caressais les deux grosses queue qu'on me proposait. Elles n'avaient pas débandé. Puis je recommençais à les sucer l'une après l'autre. 


C'est Willy qui à commencé en premier. Il s'est levé, s'est glissé juste derrière moi et s'amusait à me tripoter ma cage de chasteté, il me malaxais les couilles en même temps avec force. Il me faisait presque mal mais je laissais faire. C'est son pouce qui glissait vers mon cul, vers l'ouverture de mon petit derrière. Il me lubrifiait et l'enfonçait avec force. Il me faisait couiner l'animal. Je commençais à me douter que ce n'était pas un tendre et un nœud se formait dans mon ventre.


Vous savez cette sensation qu'on éprouve quand on va se faire enculer par un mec pour la première fois, on ne sait pas comment il est foutu. Là je le savais et ce n'était pas rassurant. Je ne savait pas s'il serait tendre, doux, câlin ou si ce serait une brute.


Même si ça devait être une brute, je savais que je pouvais encaisser. Mais ça me faisait quand même tout drôle dans mon ventre. Je continuait à sucer son copain Samy qui me caressait doucement la tête. Il ne tentais pas d'appuyer sur ma tête pour me forcer à prendre sa queue en entier dans la bouche. De toutes façons ça ne rentrait pas, enfin pas en entier.


Willy continuait à me lubrifier le cul, il y mettait deux doigts maintenant. 


C'est sans prévenir qu'il se plaçait et en un mouvement violent m'enfonçait sa queue jusqu'à la garde. J'ai hurlé, j'ai relevé la tête et j'ai hurlé. Il se retirait avec vigueur pendant que son copain appuyait sur ma tête et, profitant que j'avais la bouche bien ouverte y faisait rentrer sa queue encore plus profond que juste avant. Willy revenait alors avec force et son ventre claquait contre mes fesses.


Là c'était trop, je tentais de me dégager. Les deux lascars me bloquaient, me retenaient et m'empêchaient totalement de bouger. J'entendais Joël, un léger fou rire m'indiquait qu'il semblait apprécier le spectacle. Je l'avais presque oublié celui là.


Willy me retenait, sa queue bien garée dans mon cul, il me tenait par les hanches et me tirait bien fort vers lui. Samy appuyait sur ma tête, là je commençait à avoir des problème, je ne pouvais plus respirer. Il me relâchait à temps, je relevais la tête pour reprendre son souffle, Willy en profitait pour me limer le cul. Je râlais, gémissais mais je laissais faire, j'avais le souffle court et ce n'était pas que de la faute à Samy. 


J'avais retrouvé mon souffle et Samy à nouveau appuyait sur ma tête, il bandait toujours autant et c'était avec une grande violence que Willy me limait le cul maintenant. Le plaisir envahissait tout mon ventre et je commençais à trembler. La douleur du début était oubliée, maintenant c'était un plaisir de plus en plus intense qui la remplaçait.


De nouveau Samy n'avait plus besoin de retenir ma tête, je le suçais avec passion. Plein le cul, plein la bouche, j'étais aux anges. J'en redemandait par des gémissements bien audibles maintenant. 


Je recevait un coup de bite dans le cul particulièrement fort. Sans prévenir, Willy jouissait en moi et ne se retenait pas. Il ne se posait pas de questions, il prenait son plaisir et ne s'inquiétait pas du mien, pas plus que de mon déplaisir. 


Quelques instants plus tard il se retirait, faisait quelques commentaire de satisfaction. J'étais sonné, Samy se relevait et prenait sa place.


Lui aussi me pénétrait en un mouvement rapide et décidé, mais là, j'étais bien détendu et ça passait tout seul. Là c'est de plaisir que j'ai hurlé, j'ai tremblé et j'en ai redemandé.


Il me limait avec des mouvements amples et régulier. Il y allait plus en douceur que son copain mais c'était pas moins agréable, bien au contraire et ça durait dans le temps.


Je tremblais de plus en plus, mes gémissements devenaient plus forts et mes gestes plus désordonnés. Je relevais le torse et il me prenait dans ses bras, il me serrait fort en me caressant. Il continuait à me limer le cul et là c'est moi qui jouissais. Je jutais abondement au travers de ma cage de chasteté. 


C'était tellement bon. Je jouissais avec ma queue et en même temps je jouissais avec mon cul. J'ai encore gémi de plaisir, j'étais par moment pris de convulsions, et je tremblais. Il continuait à me limer et je continuais à jouir, il faisait durer le plaisir pour lui mais c'est moi qui en profitais.


Quand je l'ai entendu gémir, il penchait sa tête en avant et m'embrassait sur l'épaule, je tournais le visage vers lui et nos lèvres se rencontraient, il me donnait un baiser passionné au moment ou il jutais en moi. Il a joui, je l'ai senti trembler, je l'ai senti frémir.


On ne bougeait plus. Sa main s'attardait sur mes couilles, il me les malaxait avec force et me glissait à l'oreille.


– Huit mois, j'y crois pas !

– C'est pourtant bien ça. Lui répondais-je.


Nos deux corps se séparaient, les deux autres applaudissaient. J'étais sonné et je ne comprenait pas tout de suite. Joël, vous savez Joël mon doudou, et bien je l'avait complètement oublié celui-là. 


On s'enfilait encore une petite bière en discutant.


– Et toi Joël ? Tu ne participes pas ? Lui demandait Willy.

– Ne t'inquiète pas pour moi. Tout à l'heure il va me sentir passer.


Je lui lançais alors un '' Même pas peur !''. J'étais un peu retourné, je venait de jouir pendant un long moment et je me sentais bien, tellement bien.


On est passé sous la douche, ils voulaient voir comment je faisais pour me laver. Ça les a fait rire. L'après midi avait passé vite finalement. On se rhabillait, on échangeait nos téléphones, ils me laissaient.


Joël, m'embrassait avant de partir et me glissait à l'oreille … '' Tu  perds rien pour attendre toi, je te retrouve tout à l'heure !''


Je lui lançais en réponse un '' Même pas peur ! ''.




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


Sous la douche 3

 Sous la douche 3



C'était une soirée portes ouvertes … Enfin entrouvertes … A l'occasion de l'ouverture de la zone détente, sonna, hammam, piscine … Enfin la piscine c'était pas nouveau, ils l'avaient rajouté à la liste sinon juste sonna, hammam ça fait faisait un peu triste. C'est à peu près tout ce qu'il y avait de nouveau. La plus grosse partie de l'établissement était et restait la salle de sport et de musculation.


J'en avais profité pour venir visiter, il y avait un tarif spécial découverte pour les nouvelles têtes. A cette époque je ne connaissait pas encore Denis. 



Denis, vous voyez de qui je parle ? Allons ! Mais si, celui qui fait le con avec les clients et qui finalement se retrouve la bite en cage pour le reste de sa carrière ici … Remarquez, ça ne scandalisait personne, on estimait à cette époque que plus du tiers des hommes portaient ce genre de dispositif, par conséquent, même si ça restait encore quelque chose de surprenant, ça l'était de moins en moins. Donc porter ce dispositif n'avait rien de vraiment exceptionnel ou d’humiliant. C'était même souvent une source de fierté dans ce genre d'endroit. 


Ah oui, moi c'est Charly et vous devez le savoir j'en porte un moi aussi. On évite le plus souvent de se faire remarquer dans les endroits comme les plages (même naturistes) ou les piscines ( la règle qui autorisera à ne rien porter  d'autre dans ces endroits ne sera réellement en vigueur que quelques années plus tard). Donc je faisais comme tous les porteurs, j'évitais de me faire remarquer inutilement, mais ce club de gym avait une réputation, on disait que tout le personnel portait ce genre de dispositif, et qu'on avait le droit de se balader à poil dans tout l'établissement. Ce soir de soirée spéciale, c'était le cas. Par contre dans le coin, douche, sauna, hammam, piscine et bain bouillonnant c'était le cas en permanence.


C'est Denis qui me recevais. Il m'expliquait comment ça marchait, le règlement … Ils n'ont pas un règlement bien compliqué … Il me laissait me déshabiller et attentait que je sois entièrement à poil pour me donner une tenue de sport lycra, et me disait également en me la tendant que ce soir, ce n'était pas une obligation et qu'on m'invitait à rester nu. 


A l'accueil, l'employé de service portait une tenue complète, T-shirt et shirt aux couleur du club, avec marqué en gros sur le dos '' A Votre Service''. Les tenues qui sont proposées aux clients sont les mêmes mais c'est pas marqué '' A Votre Service '' dans le dos. Ça ne ferait pas sérieux !


Pas obligatoire donc ! Je déclinais donc la proposition et le remerciais de la tête.


– Je vois que vous portez un dispositif de chasteté ! C'est très apprécié ici, vous savez !

– Oui, c'est un choix de vie …


Je passais donc dans la salle suivante avec sur l'épaule une serviette de taille moyenne, j'essayais par réflexe de me la passer autour de la taille, ça passait, ça faisait bien le tour mais il était difficile de faire un nœud pour la faire tenir. C'était bien étudié !


Si quelques clients parvenaient je ne sais pas comment à la faire tenir, la plupart des clients faisaient comme moi et portaient leur serviette sur l'épaule sans chercher à dissimuler une jolie bite moitié molle qui pendait devant eux et se balançait à chacun de leurs mouvements. 


La mienne protestait, et si elle pendait c'est parce qu'elle n'avait pas d'autre choix. Confinée dans sa cage elle ne parvenait pas à se relever. C'est sans doute pour cela qu'elle protestait, si j'avais retiré la cage à ce moment je vous garantis que ma queue se serait relevée à la verticale, plaquée contre mon ventre sans que je ne puisse rien y faire.


Ah ils étaient beau les clients, moi je suis mignon et relativement mince mais à côté d'eux je faisais un peu … Bouboule … Mais on me regardait quand même. Excepté à l'accueil le personnel ne portait que le haut de la tenue et tous, par contre, portaient un dispositif de chasteté. Je n'avais jamais vu autant de personnes avec un tel dispositif dans un même endroit et ça aussi me faisait tout drôle. Je me demandais si le gars qui m'avait reçu en portait un aussi.


Je ne tardais pas à avoir ma réponse, il était passé dans la salle de muscu, de dos je pouvais admirer ses fesses. Ils doivent sans doute tous faire du sport ici, le contraire serait étonnant, tout le personnel était très repérable. Ils était les seuls à porter un T-shirt, avaient des cuisses superbe, musclées, fermes et élégantes, ça leur allait bien. Juste au dessus des cuisses un cul, je ne vous dis pas, ma queue en faisait une jaunisse et protestait comme jamais. Elle parvenait même à soulever le dispositif par moment, et à chaque ouverture d'aérations de la cage, la peau formait comme des bulles. C'était joli à voir mais pas très confortable. 


Et je ne risquais pas de me calmer, au moment ou Denis se retournait, je pouvais admirer un superbe dispositif de chasteté avec bouclier ivoire … Ça lui allait bien, il était sexy comme ça, je rêvais de l'enculer, je rêvais qu'il m'encule … Bon c'est vrai que vu le choix qu'on avait fait l'un comme l'autre, c'était une conclusion peu probable. 


Les clients allaient et venaient, aucun n'avait mis la tenue habituelle, elle n'était pas obligatoire, tout le monde s'en passait et avait choisi de rester à poil. La serviette servait pour s’asseoir, on la posait sur le siège avant d'y poser ses fesses. C'est toujours comme ça qu'on fait. 


J'avais rapidement l'impression qu'il y avait comme une grosse décontraction du côté des employés, j'apprenais que les patrons étaient absents. Bon nombre de clients faisaient de la muscu sur différents appareils entièrement nus en discutant, je me rendais compte que tout le monde appréciait. Ils ont par la suite demander à ce que ce genre de soirée soient plus fréquente. 


Denis, le gars qui m'avait reçu, allait et venait, il ramassait tout ce qui pouvait traîner, d'habitude il gérait les tenues mais ce soir il n'y en avait pas, il restait les serviettes mais ça c'est pas le plus compliqué. 


Il passait devant l'ouverture d'un couloir qui conduisait aux douche quand je le voyais disparaître. Mais je dis bien disparaître, il passait, quelqu'un le tirait par le  bras, et il avait disparu. Le mouvement avait été rapide, il fallait vraiment regarder dans la bonne direction pour repérer quelque chose. Je décidais d'aller voir ça de plus près. 


Il était pas rendu bien loin le Denis, je le retrouvait au milieu du couloir serré de près par deux mecs. Serré de près, pris en sandwich. Ils se serraient très fort contre lui, le retenaient, le caressaient, l'embrassaient et lui … Et bien il se laissait faire, il leur rendait leurs baisers, leurs caresses. Je restais là à les regarder. Dans sa cage, ma queue protestait comme jamais. C'était de la folie. 


C'étaient deux clients qui avaient attrapé Denis, et Denis il ne se défendait pas vraiment. Un d'entre eux ouvrait la porte d'une douce individuelle, il y en a plusieurs, il l'y entraînait pendant que le second m’attrapait par le bras.


– Viens avec nous toi aussi, je crois que ça devrait te plaire.


Pourquoi il m'a entraîné avec eux ? Parce que je portais moi aussi une cage à bite … Parce qu'elle se redressait devant moi sous l'effet de la pression … Parce que la pression était telle qu'elle en devenait visible … Parce que  j'avais une tête d'abruti qui semblait dire '' Oh oui, moi aussi ! '' … Parce que je gardait la bouche ouverte alors que ne voulais rien dire …


Enfin quelque chose comme ça quoi !


J'entrais dans la cabine de douche seulement quelques secondes après Denis et le premier client. Et déjà je le retrouvais à genoux devant le client à lui sucer la queue. Il était bien monté. Je restais quelques secondes à regarder, j'étais un peu surpris, que déjà le mec qui m'avait attrapé appuyait sur mon épaule pour que je me mette moi aussi à genoux. C'est seulement à ce moment que j'ai remarqué que lui aussi il en avait une belle et qu'il bandait.


J'ai fait comme Denis, j'ai pas résisté !


Il n'a même pas eu le temps d'appuyer sur ma tête, j'avalais sa queue avec délectation. Elle était de belle taille mais juste à ma taille. Je me faisais une joie de me la prendre dans le cul quelques instants plus tard. Enfin c'est bien comme ça que ça va se finir cette histoire ? … Enfin … C’est à espérer quoi ! … 


Je passais mes mains autour de ses cuisses, je les glissait sur ses fesses, elles étaient fermes et je le tirais vers moi. Mon visage s'écrasait sur son ventre, sa queue s'écrasait au fond de ma gorge. Il avait l'air surpris, j'étais rapide mais il me laissait faire, il me caressait seulement les cheveux avec douceur. 


A côté c'était un peu plus violent. Le gars tenait la tête de Denis entre ses deux mains et c'est sans ménagement qu'il la tirait de toutes ses forces vers lui en donnant des coups de bassin. Denis encaissait, il faisait des bruits bizarres, d'un œil je pouvais voir ce qui se passait. Denis avait du mal et semblait vouloir se dégager ou au moins retenir son partenaire mais celui-ci ne lui en donnait pas la possibilité.


– Regarde, le mien s'en sort mieux, bien mieux. J'ai pas besoin de forcer moi … Disait un des deux mecs en parlant de moi.

– On échange ?


Sitôt dit … Je me retrouvais avec la bite de l'autre dans la bouche. Il était plus violent mais je ne résistais pas. C'est plus moi qui penchait la tête en avant pour avaler sa queue, c'est lui qui me l'enfonçait avec force en me donnant des coups de bassin et en appuyant sur l'arrière de ma tête. J'aime bien aussi, quand on fait tout le travail à ma place. Mais bon, là il faut savoir encaisser !


Je voyais du coin de l’œil le pauvre Denis qui semblait avoir toujours un peu de mal pour se prendre la queue de son partenaire, pourtant elle n'était pas plus grosse que celle du mien. Il avait eu du mal au début avec remarquez. Denis c'est peut être une petite nature finalement. Avec ses airs de beau gosse, et ses allures de voyeurs maladroit, du genre de ceux qui n'arrivent pas à se dissimuler, on aurait pensé qu'il s'en sortirait mieux que ça.


Le ventre du gars qui m'avait pris en main s'écrasait avec régularité sur mon nez. J'avais réussi à me synchroniser, quand il avançait son bassin je le tirais vers moi et avançait le visage en avant. J'en ai pris plein la gueule, juste comme j'aime …


Denis semblait s'énerver et cherchait à m'imiter. Il faisait de gros efforts, il avançait lui aussi le visage mais il encaissait moins bien que moi. 


Nous étions assis contre un mur, les deux clients faisaient attention à ne pas nous éclater la tête contre le mur quand il nous défonçaient la glotte. C'était la seule attention qu'ils nous accordaient. Pour le reste ils y allaient sans aucun ménagement. Denis était tout rouge et semblait suffoquer. Quand brusquement sans prévenir le gars lui maintenait le visage en place, sa queue bien enfoncée bien à fond. 


Je voyais Denis paniquer, c'est qu'il ne pouvait plus respirer le pauvre, les gémissements de l'autre indiquaient qu'il était en train de jouir et se lâchait dans la gorge de Denis. Quelques instants plus tard le gars qui me défonçait la gorge me faisait le même coup. 


Il me retenait le visage contre son ventre, sa queue bien calée au fond de ma gorge, je sentais sa sève qui se répandait, je ne respirais plus, je le retenais avec force contre moi et quand il voulait se dégager je continuais à le retenir …


– Tu en veux encore ? Eh bien ! Tout à l'heure si tu es sage.

Ils ressortaient aussitôt. On restait là un peu hagard Denis et moi, on se regardait, il avait une salle tête, il était tout rouge et il toussait un peu, quelques gouttes de sperme coulaient de sa bouche. Moi j'avais le goût dans la bouche et je ne voulais rien en perdre. Je me relevais et pouvais voir que j'avais la même tête de zombie que Denis. C'était cool !


La porte de la douche s'ouvrait de nouveau et deux hommes entraient. Le premier passait la main sur ma nuque et appuyait sur mon épaule en me disant.


– Allez en position, suce .


Je ne le faisais pas répéter, je tombais à genoux devant lui et prenais sa queue dans la bouche. Il était un peu plus petit que le précédent, la taille idéale, celle qui rentre sans difficulté sur toute sa  longueur. Ce qui ne veut pas dire qu'on ne la sent pas passer quand elle écarte la glotte pour bien se loger à l'entrée de la gorge profonde. 


J'écrasais mon visage contre son ventre. Il semblait surpris, j'avais été plus rapide que lui. Son copain s'était positionné devant Denis qui n'avait pas bougé et était toujours assis sur le sol, le dos appuyé contre le mur. 


Rapidement mon mec prenait les commandes, je n'avais plus qu'à laisser faire et à encaisser. Il prenait ma tête fermement entres ses mains. La tirait vers lui, la maintenait appuyée, la retenait quand il me balançait des coups de bassin. Il était un peu violent lui aussi mais sa queue avait exactement la bonne taille pour se loger et j'ai adoré. Denis semblait avoir plus de mal.


La porte s'ouvrait de nouveau. Deux hommes entraient, là il bandaient déjà bien ces deux là. L'un d'entre eux glissait sa mains entre mes cuisses et m'attrapait les couilles. Il me les tirait avec force m'obligeant à me relever, je me retrouvais alors sur mes  jambes, penché vers le premier qui me retenait la tête pour que je continue à le sucer, et derrière moi le mec me lubrifiait le cul avant de me le défoncer sans préliminaires. 


Il s'était glissé bien à fond en quelques seconde. Là je vous jure que je l'ai senti passer. Il m'a fait mal le con mais rapidement j'en redemandais, et rapidement il m'en redonnait. Il y allait avec force, j'avais voulu gueuler mais j'étais bâillonne par une belle bite qui me pénétrait jusqu'à la gorge et m'écrasait la glotte. J'étais aux anges.


Finalement Denis était vraiment une petite nature encore à cette époque. Il avait du mal. Il cherchait à se dégager mais aucun des deux mecs qui étaient sur lui ne voulaient le lâcher. Ils lui tenaient les mains coincées dans le dos et pendant que l'un lui burinait le cul l'autre lui défonçait la bouche.


C'est là que j'ai senti ce goût de sperme couler dans ma gorge, c'était bon. Le gars s'est retiré, il m'a donné une tape amicale sur la joue, comme pour me féliciter et est sorti. Quelques instants plus tard un autre gaillard prenait sa place. 


Les coups que Denis recevaient dans le cul étaient vraiment violents, il gémissait, puis, satisfait le mec se retirait en libérant le cul de Denis il avait  joui. L'autre jouissait dans sa bouche, on voyait le sperme couler par la commissure des lèvres de Denis. 


Un autre mec m'envahissait la bouche. Deux autres prenaient place un dans la bouche de Denis l'autre dans son cul. On me libérait le cul, le gars avait juté et joui lui aussi. Il se faisait remplacer.


Le plaisir n'avait fait que monter, et à part quelques moment désagréables, c'est le plaisir qui dominait. Je me sentais envahi, je sentais tout mon corps vibrer, ça commençait par le cul puis par un peu plus profond dans mon ventre. Le plaisir s'était ensuite répandu dans mon torse, dans mon cœur, dans mes poumons, mon estomac … Bon j'arrête là le cours d’anatomie … C'est tout mon corps qui vibrait de plaisir. Je jutais, et même à ce niveau c'était agréable, je n'éjaculais pas je jutais, un flot de sperme coulait de ma cage de chasteté. Un plaisir que je n'ai pas si souvent ressenti …


Je ne sais pas combien de personne sont passés dans cette douche ce soir là. J'ai sucé au moins six queue, et je m'en suis pris presque autant dans le cul. Avec Denis on s'est retrouvé à moitié morts, intransportables, amorphes, liquéfiés, brisés, comblés. On est resté là un long moment, incapable de bouger. Lui il avait dégusté, moi je m'étais régalé … Un peu trop peut être, ça avait été un peu fort quand même. Il m'a fallu plusieurs jours pour que je puisse m’asseoir normalement, sans me souvenir de cette soirée au premier contact de mes petites fesses contre le siège. 


J'ai bien cru qu'on nous avait oublié, mais non. Quand les collègues de Denis sont entré il on été horrifié de me voir là. Au départ c'était juste une petite vengeance contre Denis car c'était à cause de lui si tout le monde devait porter une dispositif de chasteté en permanence. Moi je n'avais été qu'une victime collatérale, je n'étais pas prévu au programme. Et ils ont vraiment eu peur que ça ne fasse des histoires.


Finalement on était dans une douche, j'ai pris une douche, j'ai repris des couleurs, j'ai repris forme humaine, et avant de partir de ce club … J'ai pris un abonnement … Ils m'ont même fait une réduction !




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26 Décembre 2020

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