Le roy 13 Terre en vue

 Le roy 13

Terre en vue



Tous les jours les personnages importants venaient nous proposer leur bite à sucer ou à se prendre dans le cul. Nous ne savions pas s'ils étaient des personnages importants et puissants et dans le doute mes camarades hésitaient à leur refuser leurs faveurs. Il me fallait beaucoup de diplomatie pour refuser sans les vexer. Pour moi ce genre de truc c'était pas pour moi.


Comme je vous le disais, moi je suis un vrai mec et un vrai mec ne se fait pas enculer, c'est lui qui encule !


Ceci dit il n'aurait certainement pas fallu me proposer plusieurs fois de retirer ma cage pour enculer un de mes camarades. Surtout que quand on est arrivé j'étais le seul à avoir préservé mon cul.


De fait j'étais le seul à m'être privé de tout plaisir sexuel, vu que notre cul était tout ce qui nous restait pour prendre du plaisir. J'avais l'impression que ça faisait des mois que ça durait cette situation. C'était un truc de fou. C'était pire que la première fois ou j'avais gardé le dispositif pendant trois mois. Vous vous souvenez ? C'était quand le marchand m'avait laissé le dispositif sur moi et était reparti avec la clé.


Pendant cette période j'avais su me préserver en évitant trop de stimulations, rester calme ça aide mais là je ne pouvais pas. Non seulement le bateau n'était pas très grand, mais en plus il n'y avait pas vraiment de place pour s'isoler et seuls mes camarades et les petites mains portaient un vêtement. Et pour ce qui est du vêtement il était minuscule … c'était le dispositif de chasteté. Les autres, les voyageurs de marque et l'équipage du bateau étaient à poil, ils avaient tous de grosse queue, et ou que je regarde, je voyais des corps nus, musclés, beau, fermes et de grosses queue qui se balançaient lourdement …


Chaleur ! Chaleur !


En plus dès qu'il y en avait un qui ne savait pas quoi faire, il en profitait pour enculer tranquillement un des porteurs de ce dispositif. Je vous dis, j'étais le seul à avoir réussi à préserver mon cul. C'est vraiment pas pour moi ça. Moi je suis un mec, un vrai !


Mes camarades y étaient tous passé plusieurs fois. Toutes les petites mains aussi, mais pour certains on peut se demander si ce n'est pas leur fonction principal dans la traversée.


Un jour je discutais avec Hohaquim, un des passagers, il avait une belle grosse bite, bien longue, bien lourde, toujours à moitié en érection. Ce devait être l'ambiance qui le mettait dans cet état. Il ne me faisait pas envie, j'avais moi aussi une belle grosse queue mais bon, c'est vrai qu'à cette période je ne pouvais pas trop m'en servir. Par contre ma grosse queue était toujours en semi-érection, ma cage était pleine, bien pleine en permanence. C'était de la folie, j'avais envie d'enculer quelqu'un. Je rêvais la nuit et quand je ne dormais pas j'avais ce spectacle devant les yeux … Ah je vous jure, il ne se privaient pas, il ne se retenaient pas non plus.


Et Hohaquim était le premier. Il venait souvent discuter avec moi. Pour commencer il me tripotait les couilles, juste pour me taquiner. J'évitais de lui rendre la politesse, il l'aurait pris comme une invitation et là je n'aurais jamais pu me débarrasser de lui. Il aurait absolument voulu m'enculer.


Ensuite on parlait. Par moment il bandait un peu plus. Presque à chaque fois, sans prévenir, il attrapait un de mes camarades ou une petites mains et lui disait seulement …


Viens par là toi ! Tu n'as rien à faire, suce moi donc un peu !


Et la pauvre petite main s'exécutait. Là, juste devant moi. Il se mettait à genoux devant le gars et prenait sa queue dans la bouche. Hohaquim le laissait faire, le petit savait y faire. Et Hohaquim continuait à discuter avec moi. Il était détendu … Moi pas !


Il me racontait comment ça se passait à la cour du roi, j'avais du mal à le suivre par moment. Je regardait la scène qui se passait juste à côté de moi. Il n'était pas rare que si je regardais ailleurs, il y avait au moins un autre duo qui s'était formé également.


Ma queue protestait à n'en plus finir. La cage était trop petite, ça ne pouvait être que ça. C'était terrible, je m'imaginait à sa place, j'imaginais que c'était ma queue qui entrait et ressortait de la bouche du petit gars. J'imaginais ses lèvres, sa langue qui me caressaient le gland et ma queue protestait toujours plus. J'en pouvais plus,


C'est pendant des moment comme celui-ci que je me serais damné, si on m'avait proposé un contrat avec les démons de tous les mondes, j'aurais signé !


Je tentais de rester stoïque et c'était pas facile !


Juste à coté de nous, un passager qui était tranquillement en train de se faire sucer par un de mes camarades, lui demandait de se retourner. Mon camarade s'exécutait sans discuter et sans attendre le passager lui enfilait sa queue dans le cul.


Là je vous jure il me fallait bien des efforts pour rester concentré. J'aurais volontiers pris la place de ce passager. J'aurais volontiers défoncer le cul de mon camarade, je savais que ce serait tellement bien. Mais tout ce que pouvait faire ma queue c'était forcer contre des barreaux indestructibles de cet acier d'Extrêmasie. C'était infernal, heureusement que la fin approchait.


Le passager glissait sa queue dans le cul de mon camarade, elle disparaissait totalement en moins d'une seconde. Le ventre du passager s'écrasait contre les fesses de mon ami qui râlait.


L'autre y allait fort, il y allait de toutes ses force, ma queue protestait, je ne montrait rien. Hohaquim ne disait plus rien, il regardait et laissait faire son partenaire qui lui, n'avait pas arrêté de sucer, la queue de Hohaquim s'enfonçait et disparaissait dans la gorge de son vide couille mais Hohaquim, lui, ne faisait plus rien.


Au bout d'un moment Hohaquim s'adressait à son vide couilles.


On va faire comme eux, tu te retournes et je vais t'enculer !


Le pauvre semblait surpris, et plus peut être même. Combien de fois s'était-il fait enculé depuis le début de la journée, ne serait-ce que depuis le début de la journée ? J'en ai vu qui se faisait enculer plusieurs fois par jours, mes camarades et moi avions le droit de refuser, nous n'étions pas des petites mains mais des passagers chastes. Mais les petites mains ou petites bites, c'est comme on veut, n'ont pas ce droit. Si on leur dit de prendre position ils prennent position et se font enculer.


Il prenait position mais ne parvenait pas à cacher une certaine crainte. Il faut bien se dire aussi que Hohaquim en avait une grosse.


Hohaquim lubrifiait rapidement et encore plus rapidement enfonçait sa queue, son énorme queue en un mouvement rapide, un mouvement bien directe et bien à fond. Sa victime à hurlé mais n'a pas bougé.


Ensuite suivaient des mouvent de va et vient rapides. Hohaquim se lâchait. Ses coups devenaient rapidement violents, son ventre claquait quand il s'écrasait contre les fesses du petit gars. Et c'était reparti, un autre coups de bassin, encore un coup de queue bien à fond, et un claquement bruyant.


Hohaquim le saisissait par les hanches et le tirait vers lui au moment ou il avançait son bassin avec force. Les coups devenaient de plus en plus rapides, de plus en plus violent, j'avais le vertige.


Je m'imaginais tantôt à la place de l'un et j'avais presque l'impression de ressentir la douleur de sa bite qui me défonçait le cul, je vous jure j'avais mal au cul rien que de le voir et tantôt je m'imaginais à la place de l'autre, et là c'était ma queue qui glissait avec fluidité dans le cul de ma victime. Oui ma victime parce que je vous jure que dans ce cas je ne me retenais pas, j'y allais de bon cœur.


En réponse, je sentais la morsure des barreaux de ma cage à bite.


Tu as l'air tout bizarre ? Me faisait remarquer Hohaquim.


Il avait raison, j'étais perdu dans mes pensées. Et sa question me réveillait.


Tu sais Flesh, tu me laisses faire et ça te fera du bien. Regarde lui, disait-il en me montrant de la main le pauvre gars qu'il enculait. Regarde le lui, il gueule, il déguste je ne dis pas. Mais après, ça ira mieux.


Je n'étais pas vraiment convaincu et ça le faisait rire.


Tu veux vraiment pas que je t'encule. Tu sais tous ces mecs en tirent vraiment du plaisir sinon il ne se laisserais pas faire …

Oui bein moi j'ai déjà essayé et je n'en ai pas tiré du plaisir.

Oui bon, je ne dis pas la première fois ça fait toujours un peu mal mais ensuite avec un peu d'entraînement ça ne fait plus mal du tout !


Il était marrant dans son genre Hohaquim, il était marrant mais je n'étais toujours pas convaincu. C'est là qu'il à joui dans le cul du gars. À côté de nous l'autre duo avait terminé et chacun était reparti vaquer à ses occupations.


Je manquais de souffle, la tête me tournait, j'étais en manque et je vous jure je me serais damné pour pouvoir tirer mon coup, mais c'était sans espoir !


Des cris.


Terre, terre en vue !


Tout le monde se précipitait vers l'avant du bateau, on regardait mais on ne voyait rien, il n'y avait plus un bruit pendant un long moment. Puis de nouveau un bruit.


Là, là, juste en face.


On apercevait le plus grand bâtiment de la ville qui se dessinait. C'était le palais royal, le reste de la ville apparaissait, le haut du quartier administratif, puis finalement on apercevait la côte. Là tout le monde chantait.


On y sera ce soir. Me disait Hohaquim. Tu ne veux vraiment pas que je t'encule. Il y a beaucoup de monde là bas et on ne se reverra peut pas avant longtemps.

C'est un souvenir de toi dont je me passerai. Lui répondais-je.


Personne ne tenait plus en place, au début on avait l'impression que le bateau n'avançait pas, mais plus on approchait plus il nous semblait qu'on avançait vite. C'était l'agitation qui dominait à ce moment. Le bateau prenait position sur le quai, les cordages étaient lancés.


Un officiel du port montait à bord et nous appelait. Il était bien plus âgé nous, il devait avoir au moins quarante ans. Bien musclé, bien bâti, bien monté, il avait une queue énorme qui pendait lourdement à chacun de ses mouvements. On le remarquait bien surtout qu'il ne portait qu'un harnais.


Les passagers chastes par ici, avec moi.


Nous prenions notre balluchon et le suivions.


Vous êtes cinq on m'a dit et un accompagnateur. C'est qui l'accompagnateur ?

Moi répondait Jaffaµ.

Bien et tu accompagnes qui ?

Moi ! Répondais-je.

OK , tu sais qu'un partie de ton salaire lui sera reversé.

Oui je sais !

C'est ridicule, tu sais que tu n'aura pas besoin d'un serviteur ni d'un vide couille ?

Bein oui je sais !

Enfin c'est toi qui décide, si tu veux on peut encore le renvoyer.


Je voyais un éclair de panique dans les yeux de Jaffa.


Non, non, Jaffa et moi on ne se sépare pas !


Je voyais un sourire rassuré sur le visage de Jaffa.


Bon allez ! Direction le premier cercle ! Déclarait l'officiel.



A suivre




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Le roy 12 L'arrivée au bateau

 Le roy 12

L'arrivée au bateau



J'avais réussi à préserver mon cul pendant toute la traversée en caravane. Je ne vous raconte pas le nombre de propositions que j'avais eu. Tout le monde voulait me défoncer le cul !


Mais moi je ne voulais pas qu'on me défonce le cul. J'avais déjà un peu essayé et je n'avais pas aimé. Non mais franchement vous avez déjà essayé ? Ça fait mal ! Non soyons sérieux, j'ai une grosse bite et je préfère être celui qui s'en sert !


D'accord en ce moment je ne pouvais pas m'en servir mais c'était pas une raison, c'était une situation qui ne devait pas durer. C'était prévu. Je m'imaginais quand je serais au premier cercle, toutes ces ' petites mains ' qui me tourneraient autour, qui me courtiseraient, qui me feraient des papouilles et que je pourrais enfiler à volonté. Dans ce sens ça me dérangeait beaucoup moins.


Jaffa était toujours auprès de moi et souvent je pensais à ce jour qui viendrait ou je l'épouserais, j'épouserais aussi une femme. Pas que pour avoir des enfants mais aussi pour le plaisir. Bon avec une femme je n'avais rien fait, rien essayé et il fallait que je résiste à la tentation, sinon, mon voyage s'arrêterait ici et en plus je risquerais d'être condamné à porter le dispositif pendant un moment, un long, un très long moment.


Mais nous étions entre hommes donc, la tentation ne posait aucun problème.


Dès notre arrivée au port, une ' petite main ' nous conduisait à la capitainerie. Personne ne faisait attention à nous. Ici c'était un peu comme dans une caserne à ciel ouvert. Que des hommes ! Il y avait des personnalité, notables et officiers et les petites mains. On passait pour des petites mains …


On nous conduisait sur un bateau, il devait quitter le port le jour même aussi nous n'avions pas le temps de visiter quoi que ce soit dans la ville. Enfin, la caserne, c'était un casernement.


On aurait bien aimé visiter un peu le port, mais là ça ne rigolait plus, le bateau nous attendait pour partir. Il a fallu se dépêcher, on nous a conduit directement au bateau, là on s'est trouvé un petit recoin pour pouvoir nous reposer, la nuit tombait.


On s'est réveillé en plaine mer le lendemain, plusieurs de mes camarades ont été malades mais pas moi ! Enfin un peu, mais un tout petit peu. Seul Jaffa n'était pas dérangé par le roulis, il avait déjà pris le bateau lui, mais j'avais jamais vu autant d'eau à la fois, c'est pour ça …


Il y avait des passagers important, des VIP, eux ils avaient des cabines mais elles étaient toute petites. Vous l'avez compris, c'était pas le grand confort. Surtout que les passagers de classe ne portaient pas ce dispositif maudit que je devait garder encore pour un moment et que, arrivé à ce moment de l'histoire j'avais surtout envie de retirer, de jeter, de brûler, de casser … Même si je savais que le truc en métal que je portais était incassable et ne brûlait pas.


Je l'aurais bien jeté par dessus bord !


Donc les passagers importants ne se privaient pas de venir nous courtiser, ils nous proposait de dîner avec eux, leur ordinaire n'était pas le même que le nôtre. Ils arrivaient comme ça, sans prévenir, on les voyais pourtant venir de loin. Ils arrivaient avec la queue fière, bien relevée, j'avais mieux mais moi je ne pouvais pas m'en servir. J'imaginais le jour ou je retirerais mon dispositif. Je m'y voyais, je savais que là, je pourrais me venger de toutes ces frustrations. C'est Jaffa qui en ferais les frais. C'est sur lui que je me vengerais en premier. Ensuite je sauterais sur toutes les petites mains qui passeraient à ma portée.


Mais Jaffa, ce serait le premier !


Jaffa aimait bien se faire défoncer le cul, avec lui ça ne traînait pas. Le premier passager qui est arrivé vers lui avec une grosse dure qui se redressait devant lui l'a constaté. Même moi j'étais surpris de voir ça.


Le passager avançait ver Jaffa, Jaffa se mettait à genoux. Le passager s'avancer encore un peu et caressait les cheveux de Jaffa et Jaffa prenait dans la bouche la queue du gars qui était pourtant bien longue, bien ferme, et bien grosse. Dans ma tête je me disais que la mienne devait être à peu près de sa taille. Je savais que Jaffa pouvait l'avaler jusqu'à la garde, et il m'en faisait la démonstration.


Il appuyait son visage contre le ventre du passager, il prenait avec toujours la même facilité la queue de son partenaire, elle glissait sans aucune résistance et allait se caler dans la gorge, jusqu'au fond de la gorge de Jaffa. Il ne me surprenait pas vraiment, il me l'avait fait plus d'une fois ça.


Le ventre du passager s'écrasait sur le nez de Jaffa. Jaffa passait ses bras autour des cuisses de son partenaire et le tirait vers lui. Il lui caressait les fesses et avalait sa queue, il glissait ses doigts entre les fesses du passager. Il les glissait avec de plus en plus de passion.


Il finissait pas glisser un doigt dans le cul du passager. Celui-ci s'est alors contracté a poussé un long gémissement, Jaffas s'est lui aussi contracté. Le passager jutait dans sa bouche et Jaffa à tout avalé, il a continué à sucer la queue du passager pendant encore un moment puis a retiré sa tête.


Je regardais ça, j'aurais fait n'importe quoi pour pouvoir prendre la place du passager. J'étais en manque, et ce spectacle m'excitait au plus haut. Dans sa cage ma queue protestait, elle hurlait silencieusement et elle se redressait. Ça se voyait, la cage était pleine et se relevait, c'était ridicule mais que pouvais-je y faire. J'en pouvais plus, je sentais que j'allais craquer. Pourtant que pouvais-je faire ?


Nous étions toujours nus, et quand on avait une réaction comme la mienne, c'était aussi visible que si je on ne portait rien. Enfin presque …


Le passager ne débandait pas totalement, Jaffa prenait de nouveau cette queue qui lui était proposée. De nouveau Jaffa la prenait dans sa bouche, j'étais juste à côté d'eux et je voyais la queue du passager redevenir dure, bien dure, il bandait de nouveau.


  • Retourne toi, maintenant je vais t'enculer ! Ordonnait le passager.


Jaffa n'hésitait pas une seconde, il se relevait, regardait bien dans les yeux le passager, lui donnait un baiser sur les lèvres et se retournait. Il se penchait alors en avait et laissait faire.


J'étais juste à côté d'eux, autour de nous il n'y avait plus personne. Tout le monde était parti, ils avaient eux aussi la même réaction que moi. Ils se sentaient à l'étroit dans leurs cage. Je parle là de mes camarades et comme vous le savez nous portions tous un dispositif de chasteté.


Le passager prenait rapidement place. Il lubrifiait, il était prévoyant et avait tout ce qu'il fallait. Puis au moment ou il était prêt il poussait.


Jaffa poussait un cri suivi par un gémissement. C'était du plaisir, je ne pouvais pas en douter. Je l'avais pratiqué le petit Jaffa et je savait comment il fonctionnait. Il aimait bien ce genre de situation. C'est vrai que c'était le seul rôle qu'il pouvait encore jouer.


Le passager s'enfonçait rapidement, il s'enfonçait bien à fond, son ventre s'écrasait sur les fesses de Jaffa. Il poussait alors, il appuyait avec force. Jaffa retournait la tête et le passager l'embrassait.


Ils avaient sans doute bougé ou alors c'est moi qui m'était rapproché sans m'en rendre compte. Ma main frôlait le bras de Jaffa. Il me laissait faire et en profitait pour me tripoter les couilles. Je ne vous raconte pas mais ça ne me calmait pas vraiment. Ma queue protestait encore plus, avec encore plus de force. C'était presque douloureux.


Je suis un mec moi ! Actif, uniquement actif. Et j'avais là, sous les yeux un mec qui était superbe, passif, et qui se faisait enculer. Je lui caressais le dos, ma main descendait sur ses reins puis sur ses fesses pendant que le passager de marque le limait avec force.


  • Glisse un doigt ! Me demandait le passager.


Je ne le faisait pas répéter, mes doigts glissaient entre les fesses de Jaffa et je glissais mon index dans le cul de Jaffa qui gueulait un peu plus fort. Ça semblait amuser le passager. Mon doigt entrait, ça résistait bien un peu mais je forçais.


Le passager forçait aussi, il accélérait le mouvement. Ses coups devenaient plus forts, plus rapide et j'agitais mon doigt. Jaffa gueulait et en redemandait.


Le passager venait juste d'éjaculer, et il continuait. Il tenait bien le coup et ses coups de bassin devenaient violents, vraiment violents je veux dire.


Ce jeu devait durer encore un long moment. Jaffa se tortillait par moments et tremblait. J'aurais bien aimé me faire sucer par mon compagnon Jaffa. Mais que pouvais-je faire ? Je laissais faire et me retirais du jeux.


Le passager semblait en profiter pour accélérer encore la vitesses et la force des coups et finalement lui aussi gémissait avec force. Il donnait des coups violents et ne se retirait plus comme il le faisait. Il jouissait, il jutait.


Un filet de liquide blanc le confirmait quand il s'est retiré.


Il ne nous a pas salué, il s'est essuyé puis il est reparti. Il m'a juste lancé.


  • La prochaine fois ce sera ton tour.


Je ne répondais rien, c'est vrai que j'étais retourné. Ma queue hurlait toujours. A ce moment j'étais tellement en manque que j'aurais presque pu dire oui à une telle proposition. Pourtant vous savez que c'est pas pour moi ce genre d'acrobatie. Non moi je suis un mec, un vrai et un vrai mec, il encule il ne se fait pas enculer.


Il ne fallait pas plus de quelques jours pour que j'arrive à ma destination et comme là bas je ne garderais pas mon dispositif de chasteté, je pourrais montrer à tout le monde que je suis un mec, un vrai, un dur, un tatoué … Euh enfin non pas tatoué mais à part ça …


Mais je vous jure qu'au bout d'un moment avec la bite enfermée dans ce genre de dispositif diabolique on finit par avoir des idées bizarres. Non mais franchement c'est vrai ça. Me faire enculer … J'ai déjà essayé remarquez. Quand je dis que je n'aime pas et que c'est pas pour moi, au moins je sais de quoi je parle.


Il y en a qui disent qu'ils n'aiment pas et qui n'ont jamais essayé et qui donc en fait ne savent pas. Peut être qu'ils aimeraient si ça se trouve …


Bon mais je parle, je parle, je parle. Mais ça ne fait pas avancer mon histoire tout ça, surtout que la traversée n'était pas terminée. Surtout que je ne me calmais pas. A part les petites mains, ou les petites bites comme vous voulez, et notre équipe mes cinq camarades avec Jaffa, tout le monde, tous les passagers importants ne portent pas ce dispositif maudit.


Ceux là étaient tranquilles, certains étaient mariés et avaient au moins une femme, quelques uns avaient aussi un époux sous clé, comme il convient, comme la morale l'exige. Dans mon équipe tout le monde était célibataire, les petites mains aussi mais eux au moins il servaient à quelque chose. C'étaient les vide couilles des personnes importantes.


Je le savais, dans quelques jours, le temps du voyage et nous serions au premier cercle, autour du roi. Nous serions libérés, je pourrai alors me laisser aller, il y aurait Jaffa à mes côtés, et Jaffa, moi, je l'aimais bien. Il m'affolait quand il se faisait enculer devant moi mais bon, lui il était résigné. Ce serait ça sa vie, il servirait de vide couille mais comme il aimait ça il ne se plaignait pas.


Ça devenait dure pour moi, mais je tiendrais le coup. Je n'allais pas craquer quelques jours seulement avant la fin de ce voyage. Les cinq ans suivraient seraient tranquilles pour moi, je pourrais m'amuser un peu, je deviendrais moi aussi un personnage important.


Vous vous imaginez je serai alors une membre du premier cercle autour du roi. J'aurais de l'influence, enfin c'est à supposer. Ensuite je reviendrais dans mon village, je prendrais une femme, et j'épouserais aussi Jaffa. Comme il portait déjà un dispositif de chasteté, ça ne poserait aucun problème. Avec tout l'argent que j'aurais gagné, je m’achèterais un grand troupeau de mouton et peut être même un machine à filer la laine, ils en font des gros maintenant qui peuvent filer …


Ces rêves m'aidaient à tenir. Ma queue protestait presque en permanence à partir de ce moment. Tous ces corps nus, toutes ces bites qui se balançaient librement, ces grosses bites, les petites étaient sous clés. J'avais l'impression de devenir fou mais cet avenir, cette belle promesse d'avenir me tenait debout.


Heureusement parce que ma queue continuait à protester de plus en plus fort.


A suivre


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Le roy 11 La caravane administrative

 Le roy 11

La caravane administrative



La caravane administrative était absolument étonnante. Il y avait tout un tas de voitures tirées par de drôle de bestioles qui ressemblaient à des dromadaires mais ce n'était pas ça, ils n'avaient pas de bosse. Tout le monde sais que ces pauvres bêtes ne supportent pas la chaleur. Les bestioles qui tiraient nos charrettes avaient presque la même tête, avec un cou très long et portaient aussi une fourrure épaisses qui ressemblait à celle d'un mouton.


Ce genre de bestioles n'avaient pas l'air commode et vous crachaient facilement à la figure mais elles marchaient à un peu plus de cinq kilomètres heures sans jamais s'arrêter. Elles pouvaient avancer comme ça pendant une semaine sans manger et sans boire. Après il leur fallait du repos …


Mais on avançait tout de même de plus de cent vingt kilomètres en une journée et les sept cent kilomètres que nous devions parcourir seraient fait en moins d'une semaine.


On dormait dans les charrettes, on mangeait dans les charrettes et si on voulait se dégourdir les jambes, on sautait de la charrette et on suivait tranquillement le mouvement à pied. Ça n'allait pas bien vite mais comme ça ne s'arrêtait pas … Même la nuit on avançait.


Rapidement, dès le lendemain du départ, tout le monde prenait ses habitudes. C'était une petite ville qui se mettait en marche, il y avait l'équipes de la caravane, tous des petites mains qui portaient un dispositif de chasteté. Il y avait des passagers de marque, eux ne portaient pas ce genre de dispositif et ils croyaient que le cul des autres étaient à leur disposition. Il y avait les pilotes, pour eux, le cul du personnel était à leur disposition. Et il y avait le tout venant, nous et d'autres passagers ordinaires.


C'était monotone et un peu ennuyeux, on n'avait pas grand chose à faire. Souvent j'allais discuter un moment avec le pilote. Il y en avait plusieurs, ils se relayaient. Ils étaient installé dans les voitures de tête. On appelait voiture les véhicules qui servaient à transporter des passager. Les charrettes servaient à transporter le tout venant, passager y compris. On s'installaient comme on pouvait pour dormir, ça marchait pas trop mal. Les pilotes étaient bien installés, ils avait des hamacs pour dormir, pas besoin de repousser des caisses ou des paniers pour pouvoir s'allonger.


J'apprenais plein de choses. Il y avait les petites mains, c'était tout le petit personnel qui cuisinaient ou rangeaient ou servaient à boire, enfin toutes les petites corvées du quotidien. On les appelait ainsi mais on aurait plutôt du les appeler les petites bites. Ils portaient tous un dispositif de chasteté, un peu comme nous mais, eux, le porterait en permanence sauf en cas de démission.


Ils couraient le long de la caravane qui s'étalait sur plus de deux kilomètres, avec en son centre, jusqu'à vingt chariots en largeur. C'était une grande caravane. Les voitures étaient réservées aux voyageurs de marque, nous on était installés dans une charrette dans le quartier avant de la caravane.


Les petites bites, pardon je voulais dires les petites mains servaient à toutes les corvées, ils assuraient aussi la maintenance, les pannes, les roues cassées par exemple. Ils pouvaient aussi servir à faire plaisir aux passagers qui ne portaient pas de dispositif de chasteté, sur ce point, mes camarades n'étions pas concernés. Mais ça aussi on pouvait le faire.


Quand je voyais mes camarades rejoindre des passagers je me souvenais de cette douleur que j'avais ressenti quand mon recruteur m'avait enculé la veille de notre départ. Il n'avait pas suivi, il n'avait pas pris la caravane, il était reparti pour recruter plus de monde.


On nous avait confié au commandant de la caravane, il devait nous conduire a bon port, au Port des Grands Fonds précisément. Nous avions déjà du retard par rapport au programme prévu. Ce n'était pas bien grave mais il fallait être sérieux. Nous allions à la cour du Roi !


Je me souviens un jour, j'étais dans un des chariots de tête avec un pilote, il était en pause.


J'aimerais bien t'enculer Flèsh.

NON ! Ça c'est pas pour moi, j'aime pas me faire enculer et la cage à bite je ne la porte que pour le voyage.

OK !


Il n'insistait pas, il n'avait même pas l'air vexé de mon refus. On continuait à discuter jusqu'au moment ou il penchait la tête hors de la voiture.


Éh, toi là bas, tu peux venir j'ai deux mots à te dire !


Quelques instants plus tard une ' petite main ' grimpait dans la voiture. Entre temps le pilote avait commencé à se caresser la queue et bandait mou, mou peut être mais il bandait quand même.


Suce moi la queue ! Ordonnait-il au gars.


Il ne faut pas oublier qu'on était toujours nus. Sauf bien sûr ceux qui portaient un dispositif de chasteté. Ce qui avec les petites mains représentait la plus grosse partie des personnes dans la caravane. Et les autres se considéraient comme des maîtres qui disposaient d'un droit de cuissage sur le petit peuple. C'était totalement vrai pour ce qui est des petites mains.


Le gars ne protestait pas, il se penchait sur la queue du pilote qui rapidement devenait un peu plus grosse et surtout bien plus ferme. On devinait qu'il avait de l'expérience, il prenait la queue du pilote en entier sans difficulté, elle lui rentrait dans la gorge avec une étonnante facilité.


J'admirais le travail, il faisait ça bien. Son nez s'écrasait contre le ventre du pilote qui était aussi son chef, d'une certaine manière. Celui-ci appuyait sur la tête du serviteur, pour lui c'était tout à fait normal. Le serviteur ne se défendait pas, il encaissait sans broncher. Il ne bronchais pas non plus quand il recevait des coups de bassin, il encaissait. Lui aussi devait trouver ça tout à fait normal. Il encaissait et il semblait même y prendre un certain plaisir. Il n'avait pas besoin qu'on le l'encourage.


Il relevait la tête dès que son partenaire retirait sa main mais c'était pour mieux replonger et pour mieux avaler la queue du pilote jusqu'au fond de la gorge.


Le pilote se détendait complètement, il penchait la tête en arrière et gémissait de plaisir. Il caressait alors les cheveux de l'employé petite main. Il lui caressait les cheveux sans pour autant tenter d'appuyer sur sa tête. Là il le laissait faire.


Je voyais la queue du pilote entrer et ressortir rapidement et avec régularité de la bouche de l'employé. Par moment le pilote soulevait son bassin avec force mais son partenaire encaissait, c'était à peine croyable.


Ils étaient à un mètre de moi, je n'avais qu'à tendre le bras pour pouvoir les toucher mais ça aurait été une invitation, une proposition et j'aurais alors du y passer moi aussi, et vous savez que c'est pas pour moi ça.


Ma queue protestait de toutes ses forces, je sentais les barreaux de la cage se refermer sur moi. Je sentais ma grosse queue confinée dans une cage trop petite, beaucoup trop petite. J'avais maintenant une certaine expérience dans le port du dispositif de chasteté mais là, ça devenait dur. Ils me chauffaient la cervelle le pilote.


Retourne toi, je vais t'enculer ! Déclarait calmement le pilote.


Le ' petites mains ' ne faisait pas de manières, il se relevait, trouvait à quoi il pourrait s'accrocher et prenait position.


C'est à ça que ça sert d'être un chef ! Déclarait le pilote en se relevant.


Il caressait les fesses de son partenaire, lui glissait deux doigts dans cul, le gars tremblait d’appréhension sans doute. Lui lubrifiait le cul et sans prévenir se penchait sur le petit gars et lui enfonçait sa grosse bite dans le cul en un mouvement décidé.


Le p'tit bite gémissait de plaisir, il gémissait fort, il râlait. Et quelques instants plus tard il gueulait. Le pilote enfonçait et ressortait sa queue de son cul. Il ne se retenait pas, il y retournait et ne tenait pas compte des plaintes de la p'tit bite.


Ils adorent tous ça ! Déclarait-il. J'ai un droit de cuissage total sur toutes les petites bites du convoi.


En disant cela il accélérait le mouvement, il y allait avec force et faisait claquer son ventre contre les fesses de son partenaire. J'étais terrifié mais je bandais tout de même, en fait j'avais tellement envie de prendre sa place. J'avais tellement envie de pouvoir enculer moi aussi le subalterne qui passerait à ma porté. Ma queue continuait à protester, elle me faisait presque mal.


Tu seras dans quel cercle ? Me demandait le pilote tout en continuant à buriner le cul mec.

Le premier !

Alors ce droit de cuissage, tu l'aura aussi. Tu sais comment ça marche là bas ?


Je faisais non de la tête. Le pilote prenait dans ses bras son partenaire, le serrait très fort contre lui et poussait son bassin contre ses fesses. Et continuait à m'expliquer.


Il y a deux cercles, le premier est celui des jouisseurs, ce sont des serviteurs mais ils ne portent jamais aucun vêtement. Ils servent le roi, ils peuvent l'approcher au plus près.

On est directement en contact avec le Roy ?

Tout à fait bonhomme, tu seras courtisé, j'ai fait parti du premier cercle moi aussi il y a quelques années. Tu verras c'est cool.

Et on va me courtiser ? Vraiment ?


Je bandais toujours à le voir, il semblait se frotter contre les fesses de son vide couilles, mais il avait introduit son gros pénis bien à fond dans le cul du petit. Le gars était plus petit que lui.


Ensuite il y avait le second cercle …


là j'écoutais avec attention.


Ce sont tous des petites bites. Ils sont tous des serviteurs mais ils sont aussi au service du premier cercle.


Il terminait sa phrase en burinant avec force le cul du son partenaire. Il y allait le plus vite possible. Le pauvre gars gémissait et se tordait dans tous les sens, je devinais que ça ne devait pas être seulement par plaisir. Je me souvenais de cette fois juste avant de partir ou je m'en étais pris plein le cul et j'imaginais ce que devait ressentir le ' p'tit bite ' entre les mains de notre pilote, avec sa queue bien à fond et bien installée, bien plantée.


Il avait une grosse queue le pilote, elle était bien large et bien ferme. Ça devait faire mal mais j'étais en manque et j'avais presque envie de me porter volontaire pour me faire enculer. Seulement je savais que quelques jours plus tard je pourrait jouir autant que je voudrais, j'aurais droit de cuissage sur tout un tas de monde autour de moi.


Le pauvre gars se cramponnait en recevant les derniers coups de bite dans le cul. Le pilote se lâchait et finissait par jouir dans ses gémissements et dans les plaintes de son partenaire. Les derniers coups étaient violents. Je vous jure je les ai presque senti, je me rappelais la veille de notre départ.


Il congédiait le ' p'tit bite ' en le félicitant, il lui donnait une claque sur la fesse et s'essuyait la queue.


On disait quoi nous ? Reprenait le pilote en se retournant vers moi …


J'avais la tête en feu, j'avais mal au cul, j'avais la queue qui hurlait dans sa cage. En un mot, j'étais retourné. Les images se bousculaient, le droit de cuissage, l'idée d'être courtisé, être en contact avec le Roy tous les jours …


Je ne regrettais vraiment pas d'avoir signé moi !



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

La ceinture 05 Marshal

 La ceinture 05

Marshal



La ceinture c'était aussi ça. Kevin le découvrait, il n'y aurait jamais cru. Vu de loin, c'est un monde d'hommes, une monde d'hommes très masculins, très viril. Ceci dit, c'était un monde viril.


Romain était très viril, il était bien monté, il avait un très beau corps, et on le sentait entrer se disait Kevin. Il se souvenait de la nuit précédente, il y avait goutté. Il avait aimé mais il gardait en lui une certaine peur en le voyant enfoncer sa queue dans le cul de Marshal. C'était quelque chose de s'enfoncer un truc pareil dans le cul. Il avait aimé mais il l'avait senti passé.


Kevin entrait dans le salon, il était à poil, il attrapait une serviette et se séchait. Les deux autres le regardait, Marshal semblait apprécier le corps du jeune Kevin.


  • Tu l'as essayé ? Demandait Marshal.

  • Oui bien sûr, il faut bien. On va passer quelques temps ensemble.


Kevin leur faisait un sourire un peu idiot. Que pouvait-il répondre. C'était un peu humiliant, il se sentait réduit au niveau d'une gourmandise. Mais c'est vrai que la personne à qui était destinée la gourmandise était sexy, sexy et viril.


Il regardait Marshal, il regardait tout particulièrement son entre jambe. Marshal n'avait aucun poil sur tout le corps, sa cage se relevait mais rapidement il se détendait et elle retombait puis se balançait lourdement. Il avait une grosse paire de couille. La cage, elle était de taille standard.


Ton épilation définitive a bien tenu.

J'ai remis ça plusieurs fois. Ce n'est jamais définitif. Mais ce ne sont que des retouches. Mais j'avais autant de poil que toi, Romain.

Moi je l'ai fait la nuit dernière ! Rajoutait Kevin.

Si tu n'avais pas trop de poils, une fois peut suffire. Lui répondait Marshal.


Ils restaient comme ils étaient, nus,et s'installait confortablement devant la télé. Marshal sortait quelques bières et ils parlaient.


Marshal avait été le premier passager de Romain. Ils étaient resté ensemble pendant à peu près dix ans. On l'avait nommé Marshal parce qu'il avait été trouvé dans une petite ville des états unis. Condamné à quarante ans pour avoir volé de quoi manger et s'habiller dans un supermarché de la Ceinture. Là bas il l'appelait la Couronne.


Romain venait d'avoir son permis de conduire, il avait déjà fait un tour du monde et là il repartait en solitaire. On lui avait confié son premier camion, un engin magnifique. Depuis il l'a acheté et il continue ses tours du monde en livrant sa marchandise, toujours en respectant les délais.


Il s'était marié. Dans le monde extérieur bien sûr, il voyait sa femme quatre fois par an et on ne peut pas dire qu'il avait vu grandir ses enfant. Mais quatre fois par ans, il retournait voir sa famille, il y passait deux semaines. C'était des période de repos et de détente, il oubliait la Ceinture. Sa femme avait divorcé depuis longtemps mais il y avait encore ses enfants.


Son cadet avait quinze ans et son aîné dix sept passés. Ils avaient l'âge de venir le voir mais n'étaient jamais venu sur la Ceinture. Il espérait bien les recevoir un jour. Pas en même temps, mais au moins un après l'autre. Enfin, un jour.


Kevin commençait à connaître un peu mieux son nouveau maître. Il le trouvait de plus en plus sexy. Lui n'avait pas l'intention de raconter sa vie, c'était trop tôt sans doute. Pour Marshal, c'était pareil. Marshal n'avait jamais donné son identité, pas même son prénom. Kevin s'appelait réellement Kevin mais c'est tout ce qu'on savait de lui.


Kevin s'est endormi sur place, quand ses deux camarades sont allé se coucher, il dormait sur le canapé. Il y avait plusieurs chambre dans l'appartement, il était vraiment bien logé. L'Assitant Marshal.


Oui le titre de passager est réservé à ceux qui accompagnent un conducteur mais si le passager venait à changer d'activité et se retrouvait dans un autre boulot, il prenait alors le titre d'Assistant. C'était le cas de Caracas ou de Marshal, et ce quelque soit le grade qu'ils obtenait, jusqu'à la fin de le peine. Moment ou ils pouvaient retirer leur dispositif de chasteté.


Pour Caracas ce serait trois ans plus tard mais pour Marshal, il lui en restait encore quinze.


La nuit avançait et comme le but était de dormir, chacun prenait une chambre, on en réservait une pour Kevin, les portes restaient grande ouvertes. Romain jugeait qu'il était assez grand et futé pour comprendre qu'il pouvait s'installer ou il voudrait.


C'est au milieu de la nuit qu'il se réveillait, une veilleuse s'allumait dès qu'il a bougé. Sans faire de bruit il visitait l'appartement et retrouvait son hôte, son nouveau maître, la chambre vide. Ses vêtements étaient posés sur le lit. Il comprenait le message mais choisissait finalement de se glisser dans le lit de Romain.


Il ne lui avait pas fallu bien longtemps pour apprendre a apprécier la douceur et la force de son nouveau maître, et il se disait aussi que,finalement il fallait bien s'habituer à sa présence.


C'est une caresse de Romain qui le réveillait. Il faisait déjà jour. Il était encore tôt. La main de Romain glissait rapidement vers la cage de Kevin. Romain gardait les yeux fermés, et embrassait son amant dans le cou, juste au milieu du dos, là ou ça fait guili-guili. Kevin se réveillait en tremblant.


Romain lui tripotait les couilles, il aimait bien ça Romain, tripoter les couilles des petits gars qui portaient un dispositif de chasteté. Kevin avait passé une nuit calme mais à ce moment sa queue se réveillait et se rendait compte que la cage était minuscule.


Kevin en profitait pour réajuster le dispositif, il tirait sur la peau dans un sen, dans l'autre et sentait la queue de Romain qui gonflait et remontait entre ses cuisses. C'est à ce moment que Kevin à commencé à flippé. Une grosse queue comme celle-là, c'était nouveau pour lui et même s'il savait que ça passerait, même si ce n'était la première fois, il y avait une légère panique qui le prenait à l'idée de se faire défoncer le cul avec ce gros truc.


Romain bandait ferme et Kevin désespérément entravé n'y parvenait pas. Romain prenait son temps. Il se régalait de la douceur de la peau de Kevin, il était musclé Kevin, finement musclé mais musclé tout de même et sa peau fraîchement épilée était d'une douceur qui enchantait Romain, il se régalait.


Romain caressait avec une grande douceur la peau de Kevin. Le corps de Kevin était lisse et chaud. Romain aimait ces moments, quand il sortait de ses rêves et qu'il recevait dans ses bras un corps imberbe et qui portait une cage à bite.


Ils étaient tous les deux allongés sur le côté, Romain se rapprochait, il visait bien le cul de Kevin et sans prévenir d'avantage, le gars s'y attendait, il ne risquait pas d'être surpris. Romain poussait avec une certaine force. Il ne voulais sans doute pas s'y reprendre à deux fois.


Kevin hurlait, ça rentrait, ça rentrait plus vite que prévu, ça rentrait trop vite. Kevin respirait à fond et tentait de détendre tous ses muscles. Il savait que résister serait plus violent et certainement plus douloureux. Là il manquait d'air, il gémissait et c'était une plainte qu'il poussait.


Romain était très gentil mais il fallait que ça passe, ça devait passer. Et là ça passait, ça résistait bien un peu, Romain se retirait, à peine, juste pour faire baisser la pression puis revenait en force, et là ça passait bien à fond.


Romains respectait une pause pour laisser Kevin se détendre, puis il commençait à limer le cul de son partenaire. Il se retirait presque complètement puis revenait. De nouveau il s'enfonçait bien à fond avant de ressortir. Il prenait son temps. Kevin gémissait sans qu'on ne parvienne à savoir si c'était du plaisir pur ou autre chose.


La queue de Romain glissait lentement dans le cul de son passager. Il se rapprochait et en même temps le tirait vers lui. Quelques instants plus tard Romain écrasait son ventre contre les fesses de Kevin. Le pauvre manquait d'air. Il en bavait, il appréciait bien un peu mais il dégustait. Il gémissait un peu moins fort mais il gémissait toujours.


Romain jouait avec le cul de Kevin, il enfonçait sa queue, poussait fort en écrasant son bassin contre le cul de Kevin puis se retirait. Il marquait une pause, Kevin semblait reprendre son souffle puis recommençait.


Au bout d'un moment Romain repoussait Kevin et l'allongeait sur le ventre, il s'allongeait ensuite sur lui. Là c'était avec une certaine violence qu'il pénétrait son jeune passager. Le testait-il ? Voulait-il savoir si ce très jeune homme de dix sept ans pourrait encaisser ? Ou prenait-il simplement du plaisir sans se poser de question.


Ses coups devenaient particulièrement violents et de plus en plus rapides. Kevin était écrasé sous les coups et s'enfonçait dans le lit puis quand Roman se retirait Kevin semblait rebondir. Il tenait toujours, il ne jouissait pas vraiment mais il tenait le coup.


Il a fallu un moment à Romain avant de jouir dans le cul de Kevin. Mais il s'est lâché il s'est lâché de toutes ses forces et le dernier coup de bassin était un coup de fou. De nouveau Kevin à hurlé. Il a hurlé aussi fort que Marshal la veille au soir dans le salon.


Ça ne faisait pas de doute, Romain était viril.


Romain s'est retiré, du sperme coulait de l'anus dilaté de son partenaire. Il avait pris son plaisir. Kevin ne bougeait pas, il récupérait. Il se relevait un peu plus tard et se dirigeait vers la salle de bain d'où revenait déjà Romain.


Au passage Romain lui donnait un baiser sur l'épaule.


Kevin n'avait pas juté, pas une goutte. Romain ne se posait même pas la question. C'était peut être un saint comme avait dit Caracas, mais même les saints on des revers vicieux à notre époque.


Maintenant Romain retrouvait toute sa gentillesse, toute sa douceur. Ils s'habillait. Romain regardait Kevin qui ajustait son pantalon moule boules qui mettait en valeur son dispositif de chasteté et dénonçait aux yeux de tous sa situation d'esclave. Car somme toute, c'était un esclave.


Tout propres, et bien habillés il se rendaient à la salle à manger. Un majordome arrivait en les entendant.


Souhaitez-vous prendre votre petit déjeuner ici messieurs ?

Non, nous allons descendre au restaurant. Marshal y est déjà je suppose ?

Tout à fait, il m'a demandé de le prévenir quand vous seriez prêts. J'ai fait descendre vos vêtements.


Là il parlait des achats que Kevin avait fait la veille. Nos deux voyageurs prenait l'ascenseur.


Tu as remarqué ? Demandait Kevin.

Quoi donc .

Le majordome, il ne porte pas de cage de chasteté.

Ça ne m'étonne pas, si tu n'as pas de condamnation tu n'est pas obligé.

Oui mais Marshal lui, il en porte.

Marshal est riche, il peut avoir une appartement de nabab, il peut aussi avoir des employés. Il doit porter un dispositif de chasteté à cause de sa condamnation et porter le pantalon qui le montre.

Et il peut avoir des employés qui sont libres …

Tout à fait. Et si tu veux mon avis, le majordome doit avoir une grosse queue. Et c'est pour ça que Marshal l'a embauché.


Kevin regardait Romain avec un regard étonné.


Je l'ai pas mal pratiqué Marshal ! Rajoutait Romain.


Marshal leur avait réservé une table dans le coin VIP. Il leur faisait servir un petit déjeuner gastronomique. Puis venait leur dire au revoir.


Vous partez ?

Il faut bien ! Répondait Romain.

Tu repasses quand tu veux, tu sais, tu es chez toi ici. Tu as vu j'ai de la place pour recevoir et de toutes façons je dirige aussi l'hôtel et là il y a toujours des chambres libres.


Ils se faisaient l'accolade, Marshal serrait la main à Kevin.


J'ai été très content de faire ta connaissance bonhomme. Je te souhaite une longue et belle route. J'ai réservé ma voiturette pour vous conduire à votre camion, j'y ai mis tes vêtements. Ne cache pas le plus important !


Rajoutait-il en lui attrapant les couilles. Du tac au tac, Kevin lui attrapait les couilles aussi. Marshal avait lui aussi ce pantalon moule boules obligatoire dans son statut de semi esclave.


Les deux hommes se retrouvaient dans le camion un petit quart d'heure plus tard. Kevin rangeait ses affaires.


J'ai suivi la liste! Il me reste un peu d'argent. Disait Kevin en tendant les quelques billet qui restaient à Romain.

Garde le. C'était pour toi, si quelque chose te faisait envie.


Romain mettait le camion en marche. Les moteurs faisaient vibrer tout l'ensemble. Kevin s'installait à la place passager. Il était accueilli par une main bien virile qui lui saisissait les couilles.


Jusque là, depuis qu'il s'était fait enculer au réveil il avait un peu oublié sa cage mais il s'en rappelait, il ne pensait plus qu'à ça quand le camion se mettait en mouvement.


Nous avons deux parking à passer, soit plus de huit cent kilomètres à faire, nous devrions arriver vers quatorze heures. Ensuite on décharge et on passera la nuit dans le camion. Ça ira pour toi ?


Kevin faisait oui de la tête, et essayait de trouver une position confortable, il n'osait pas réajuster son dispositif devant Romain.


Tu devrait réajuster ton dispositif, j'ai comme l'impression que tu n'es pas à ton aise … Lui faisait remarquer Romain.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


La ceinture 04 Sur la Ceinture

 La ceinture 04

Sur la Ceinture



Tous les quatre cent kilomètres environ il y avait un parking. Oh il n'y avait pas de grandes installations partout. Souvent ça se limitait à un parking, toujours de grande taille. Un supermarché, toujours très grand, un restaurant et des installations sanitaire.


Il n'y avait pas toujours de poste de police mais ça ne voulait pas dire qu'on pouvait faire n'importe quoi. Il y avait une surveillance très pointue sur toute la longueur de la Ceinture, plusieurs fois la circonférence de la terre comme je vous le disais.


Sur les grands axes il était interdit de s'arrêter en dehors des parking prévus à cet effet, il était interdit de conduire plus de huit heures par jours, ça limitait la vitesse du transport, mais c'était pour la sécurité. Là aussi c'était très surveillé.


Nous ferons une pause au second parking. Déclarait Romain.


Kevin ne disait rien, il était fatigué et son dispositif commençait à le travailler. Romain glissait sa main sur sa cage et lui tripotait les couilles.


Et là, tout se passe bien .

Ça va, ça va.


Par moment Kevin oubliait totalement sa cage à bite. Le spectacle qui s'offrait à lui était étonnant. Il était dans la cabine à presque cinq mètre de haut et c'était un point de vue étonnant. Rien à voir avec les voitures, à cette hauteur tout change. On voit le monde sur un autre angle.


Les autres camions aussi, ils étaient tous gigantesques. Le sien faisait cinquante mètres de long, c'était le plus grand, il n'y en avait pas de plus long mais il y en avait beaucoup. Ils roulaient à bonne vitesse, les huit cent kilomètres pour rejoindre le parking ou ils passeraient la nuit serait fait dans le délai prévu par les règles de sécurité.


Le camion était équipé d'un système de pilotage automatique qui pouvait remplacer le pilote sur les lignes droites. En théorie il devait toujours y avoir un pilote aux commandes mais dans la pratique, les pilotes avaient l'habitude de s'absenter de temps en temps.


Certains préféraient faire la sieste au volant, de loin on voyait quelqu'un au volant, c'était suffisant pour ne pas avoir d'ennuis. Romain laissait Kevin surveiller que tout allait bien.


Kevin était à la foie fasciné et affolé, c'est qu'il ne savait pas conduire le pauvre.


Plus tard Romain revenait et s'installait à la place passager.


Tu viens d'où ? Demandait-il.

De partout et de nulle part.

On m'a dit que tu avais vingt ans ?

En fait j'en ai dix sept !


Kevin ne parlait pas facilement, il fallait pratiquement lui arracher chaque réponse. Puis il finissait par demander.


J'ai pas bien dormi, je peux faire une sieste ?

Bien sûr ! Lui répondait Romain.


Kevin passait à l'arrière du poste de pilotage. Au passage Romain lui glissait la main sur sa cage, il lui saisissait les couilles avec force.


C'est ça qui te travaille ?

J'ai pas réussi à dormir plus d'une heure.

C'est normal mais ça va passer, tu verras.

Ça va être de plus en plus dur ?

En fait non, on s'habitue, le plus dur c'est le début.


Puis Romain parfaitement reposé laissait Kevin s'installer dans la couchette, la grande. Il y en avait deux une grande et une petite. La grande permettait de dormir à deux, c'est là que Romains prévoyait de dormir, il ne serait plus seul mais c'est ce qu'il voulait.


Romain vivait seul dans son camion depuis un an. Depuis qu'il avait libéré Toby. Une présence lui manquait. Il commençait à se sentir seul. Romain était content de cette rencontre, Kevin semblait bien, il lui plaisait beaucoup.


C'est vrai qu'il était mignon Kevin, petit mais mignon. Romain n'avait jamais eu de passager aussi jeune mais dans cette région du monde limité à la ceinture, il n'y avait pas de règles. Les passagers étaient considérés comme de la marchandise, ils avaient des droits bien sûr mais ils avaient surtout le droit de la fermer et de faire ce qu'on leur demandait.


La police surveillait toutefois qu'ils soient bien traités. Il y avait une brigade spécialisé et la police était sensibilisée, enfin en théorie …


Plus tard, bien plus tard Kevin revenait et s'installait à la place passager, à sa place.


Tu as réussi à dormir ? Demandait Romain.

Plus ou moins. Répondait kevin, mais ça va mieux.

Tu vas nous préparer à manger ? Lui répondait Romain.


Il y avait tout ce qu'il fallait, congélateur, micro-onde, Kevin s'en sortait à merveille.


Tu cuisines divinement ! Lui disait Romain.


Kevin n'était pas bavard, il répondait par un sourire, c'était du surgelé ! Romain devinait que sa cage devait encore le travailler. C'était normal se disait-il. Mais il va s'habituer. Ils s'habituent toujours, il faut leur laisser un peu de temps.


Les kilomètres défilaient, Romain était le seul à parler. Il racontait à Kevin comment fonctionnait la Ceinture. Il lui expliquait ou ils étaient, ou ils allaient, Kevin finissait par lui demander comment ça allait se passer pour lui.


Tu vas avoir une remise de peine. Répondait Romain. Sauf bien sûr si tu te sauves et qu'on te rattrape, sinon ce sera automatique. Ensuite on verra, je libère toujours mes passagers quand c'est possible, même si leur peine n'est pas terminée. Ils peuvent alors commencer une nouvelle vie. Caracas n'est toujours pas libre, il le sera dans trois ans, il avait pris pour quinze ans lui. Mais tu as vu, il prépare son avenir.

Je garderai le truc pendant dis ans ?

Oui en général la remise de peine est de dix ans. Mais attention tu ne pourras quitter la Ceinture que dans vingt ans. La remise de peine n'est pas reconnue en dehors de la Ceinture alors que la première condamnation reste valide.

Je croyais que la Ceinture …

Les condamnations obtenues sur la Ceinture sont suivies dans le monde extérieur. Ce n'est pas réciproque c'est tout !

Et les remise de peine ne sont pas suivies elles.

Tout à fait, si tu te fais arrêter à l'extérieur avant la fin de ta peine, vingt ans dans ton cas, on t'arrête et le décompte repart à zéro. En plus tu pars directement pour la Sibérie.

Ce sont des lois à la con !

Je te l'accorde.


Une alarme résonnait, on approchait du parking. Le camion ralentissait, il se déportait doucement vers la voie de droite à l'approche de l'entrée du parking. Si personne ne prenait les commandes il était programmé pour entrer dans le parking et s'arrêter aussitôt l'entrée passée. Romain prenait les commandes, il s'installait à proximité de la sortie, il serait prêt pour repartir le lendemain matin.


Ils venaient de rouler un peu plus de huit heures d'affiler et maintenant le camion devait s'arrêter pour les seize heures à venir. C'était la règle et sur la Ceinture personne n'aurait l'idée de ne pas la respecter.


Souvent vu de loin, du reste du monde, on pouvait penser que la Ceinture était une zone de non droit, une zone ou il n'y avait pas de règles. Kevin constaterait chaque jour un peu plus qu'en fait c'était le contraire.


Romain invitait Kevin à sortir jusqu'au restaurant.


Il ne faut pas rester enfermé dans le camion, on va sortir quelques heures, ça va nous changer d'air.


Sans rien dire Kevin suivait. Une voiturette automatique venait les chercher, les parkings sont toujours gigantesques sur la Ceinture. Le restaurant était de belle taille mais n'était pas si grand que le précédent.


Romain était accueilli chaleureusement, le directeur du restaurant venait le saluer et le prenait dans ses bras. C'était Marshal. Il trouvait à Romain et à son nouveau passager une place bien tranquille d'où il pourrait voir à la fois la salle et le parking.


C'est moi qui invite ! Déclarait Marshal. Ça me fait trop plaisir de te revoir Romain, il y avait longtemps.

J'étais en Afrique ! Lui répondait Romain.

Tu es toujours en voyage toi, combien de fois as-tu fait le tour du monde .

Je ne sais pas. Répondait Romain. Je te présente un nouveau, c'est Kevin, mon nouveau passager. Ça ne fait que depuis hier. Il en a pris pour vingt ans.

La remise de peine n'a pas encore été confirmée alors.

Ça ne devrait poser aucun problème.


Marshal s'installait à la table avec ses invités, il passait la commande et pendant que Romain et Kevin soupaient il se racontait à l'intention de Kevin.


Les deux hommes se connaissaient. Marshal était plus vieux que Romain. Il avait été le premier passager de Romain. Le pilote ou conducteur n'est pas nécessairement plus âgé que son passager. C'était presque vingt cinq ans plus tôt. Plus de dix ans avant de rencontrer Caracas, Romain venait d'avoir son permis et partait pour sa première traversée continentale en solitaire, il avait vingt quatre ans, il avait rencontré Marshal qui venait d'en prendre pour quarante ans.


Marshal venait d'avoir trente ans, il était bien plus vieux que Romain mais quand leur regards se sont croisés. Tout était clair pour Romain, et il l'a acheté. Marshal était considéré comme une tête brûlé et personne ne voulait lui donner une autre chance, les services de la police l'ont presque donné à Romain certainement en pensant qu'il les reverrait tous les deux.


Finalement tout s'est bien passé. Un peu plus de dix ans plus tard, Romain confiait son compagnon aux bon soin d'un industriel qui rachetait des restaurants et des hôtels sur la ceinture. Marshal n'a pas pu bénéficier de remise de peine et il lui reste encore quinze ans à faire. Mais il les faisait en gérant un restaurant, et même s'il n'était pas libre, il était riche et c'est lui qui dirigeait.


Eh oui ! Expliquait Marshal à Kevin. C'est comme ça que ça se passe sur la ceinture. Il y a tout un tas de monde qui porte un dispositif de chasteté comme toi et qui sont devenus des gens importants et qui assurent le bon fonctionnement de la Ceinture.


Quand il quittait la table, Marshal relevait son tablier et montrait avec une certaine fierté la marque que son dispositif de chasteté laissait apparaître au travers de son pantalon. Il portait lui aussi un pantalon réglementaire. Tant qu'il porterait ce dispositif il porterait la tenue réglementaire, c'était la règle.


Il invitait Romain à se détendre chez lui. Il était bien logé maintenant Marshal, un appartement au dernier étage de son hôtel. Un bain bouillonnant, sur la terrasse, un truc chauffé ou on pouvait se prélasser même en hiver.


Les trois hommes se retrouvaient rapidement à poil dans la baignoire. L'eau était chaude, et les bulles les chatouillaient. Ils se laissaient aller, Marshal s'amusait à tripoter les couilles de Kevin. Il inspectait le corps du jeune homme.


Ensuite il se retournait ver plus intéressant, il tripotait les couilles et la bite de Romain. Il était bien monté Romain et Marshal avait aimé être avec lui. Il le retrouvait, il plongeait la tête dans l'eau et lui suçait longuement la queue. Il ne relevait la tête que pour respirer, Romain ne faisait rien, absolument rien.


Tu sais Kevin, je pense que c'est le meilleur suceur que j'ai connu.

Tu vas voir je vais y travailler ! Répondait Kevin.


Romain et Marshal se prenaient dans les bras, ils se caressaient, s'embrassaient. Kevin ne disait rien, il tentait de rester calme. Sa cage se relevait sous la pression de sa queue qui protestait. Des bourrelets de peau se formaient et débordaient de la cage. Ce n'était pas confortable mais Kevin ne disait rien, son cœur battait fort et son désir sexuel montait, le manque se faisait sentir. Ça ne faisait pas bien longtemps qu'il était sous clé, mais il était jeune et à son âge il ne faut pas grand chose pour provoquer une érection, et les érection à son âge peuvent être violentes.


Là c'était la frustration qui était violente.


Romain et Marshal était allongés sur le tapis dans le salon, il faisait froid sur la terrasse, Kevin baignait dans l'eau tiède, seule sa tête dépassait. Du coin de l’œil il regardait les deux corps de ses camarades qui glissaient l'un contre l'autre.


Même si ça ne faisait pas bien longtemps qu'il portait son dispositif il avait bien l'impression que c'était la cause de ses tracas, sa queue protestait comme jamais. Ce n'était pas encore l'impossibilité de se faire plaisir qui le travaillait, c'était … C'était presque insupportable.


Marshal se penchait sur le sexe de Romain, il le prenait dans sa bouche, il le prenait bien à fond, sa queue entrait bien à fond, elle se forçait un passage dans sa gorge, et ça rentrait.


Kevin n'en revenait pas il voyait le ventre de Romain s'écraser sur le visage de Marshal. Puis elle ressortait, Kevin respirait, et de nouveau elle entrait et Kevin ressentait le choc du ventre de Romain sur le nez de Marshal. Romain recommençait encore et encore, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ça devenait violent et Kevin manquait d'air. Il aurait bien aimé être à la place de l'un des deux … Mais lequel ?


Romain s'allongeait sur le sol, sur le dos, il écartait les jambes et laissait Marshal faire. Marshal ne se calmait pas, il aimait bien se faire défoncer la bouche et envahir la gorge. C'est lui qui alors baissait la tête et la relevait aussi vite que quand Romain dirigeait la manœuvre.


Son nez s'écrasait avec une force inouï sur le ventre de Romain au moment ou la queue de Romain dilatait la gorge de Marshal. Kevin se demandait comment il pouvait bien encaisser un truc pareil. Il était retourné le pauvre et sa queue le torturait dans une cage devenue minuscule.


Romain réagissait et commençait à retenir la tête de Marshal. Doucement il la prenait entre ses mains, doucement il la guidait vers son visage et tendrement il l'embrassait. Doucement, avec une immense tendresse il se collait à lui.


Romain retournait son partenaire lentement en le guidant pas d'infinies caresses, il l'allongeait sur le ventre, prenait position, et avec une force qui se voyait depuis l'autre côté de la vitre, depuis le bain bouillonnant sur la terrasse il enfonçait sa queue dans le cul de Marshal qui hurlait. Qui hurlait mais sans pour autant essayer de se dégager.


Dans la position qu'ils étaient tous les deux et d'où il était, Kevin pouvait tout voir, il voyait parfaitement la queue de Romain, son énorme queue disparaissait dans le cul de Marshal. Il voyait le mouvement, c'était excitant, et à ce moment là, Kevin aurait surtout voulu un peu plus de calme, il ne voulait pas voir ça, c'était trop excitant pour lui, mais il ne pouvait pas détourner les yeux.


Kevin manquait d'air, il aurait voulu intervenir mais voilà … C'est la place de Romain qui le faisait le plus envie. Celle de Marshal lui faisait peur. Romain est bien monté, vraiment bien monté. Il frissonnait de penser que ce serait sa place, celle qu'occupait Marshal je veux dire.


Il avait un peu la trouille, surtout que les coups que Romain portait devenait vraiment violent, il se retirait et revenait bien à fond en un mouvement qui ne devait même par durer une seconde. Puis les coups devenait moins rapide, il devaient devenir un peu plus violent peut être, mais était-ce encore possible.


Romain balançait un coups particulièrement violent mais ne se retirait pas, il continuait à appuyer avec force contre le cul de Marshal. Il jutait, Romain jutait et ses râles de plaisir ne cachait pas son plaisir, il jouissait et ne cherchait pas à le cacher.


Kevin entendait ses cris de plaisir depuis la terrasse. Il manquait d'air le pauvre, ça faisait peu de temps qu'il portait son dispositif mais il était déjà en manque.


Romain se retirait, un filet de sperme coulait du cul de Marshal.


Marshal se retournait un filet de sperme coulait encore de sa cage.


Kevin sortait du bain, il avait la peau toute ratatiné le pauvre mais sa cage se redressait avec force.



A suivre




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