Madame 08 Madame revient

 Madame 08

Madame revient



Teddy se sentait mieux, mais il y pensait tous les jours. Cette soirée lui avait rappeler le plaisir. C'était pourtant à cause de ce plaisir s'il était dans cette situation. Quelques semaines plus tôt, c'était parce que, alors gavé de plaisir, il avait accepté de porter un dispositif de chasteté.


Maintenant il le regrettait, oh il pouvait mettre fin à cette situation dès qu'il le déciderait mais maintenant c'était le luxe, c'était son niveau de vie qui le retenait. Il faut bien reconnaître qu'il vivait dans un réel luxe. 


Le besoin de recommencer cette petite expérience de la veille se faisait sentir. Il pensait même à essayer ça avec une femme, pourquoi pas ? Mais ou et comment rencontrer une partenaire qui accepterait un homme qui porterait un tel dispositif ? C'était pas très clair dans sa tête. 


Au niveau de son boulot, tout allait bien, très bien même. Le secret de ce petit dispositif était resté total et personne ne devait se douter de quoi que ce soit en dehors de la maison. Un soir Jonaz arrivait, il venait de vérifier que tout était en ordre …


– Madame revient ! Elle sera là samedi dans la journée.

– On ne pensait plus la revoir ! Rajoutait Teddy.

– Parle pas de malheur, je suis trop jeune pour prendre ma retraite. On est super bien payé et on travaille moins que n'importe ou ailleurs.

– Il y a du nouveau ? Demandait Rufus.

– Elle m'a seulement dit qu'elle organisait une petite fête, dans le genre de celle qu'on avait organisé pour la mort de son mari.

– C'est vrai qu'elle aime bien organiser des petites fêtes. Rajoutait Teddy.


Elle en avait organisées plusieurs depuis, je ne vous ais pas raconté mais bon ça n'aurait fait qu'alourdir le récit. 


– Tu seras là bien sûr Teddy.

– Avec plaisir, je vous donnerai un coup de main.

– Tu veux rire, toi tu fais partie des cadres de l'entreprise, tu feras partie des invités. 

– Et même qu'on devra dire ' Vous ' à notre ami Teddy, c'est la règle, c'est le protocole. Rajoutais Rufus.


Après cette bonne nouvelle tout le monde allait se coucher. 


Teddy avait une certaine appréhension de revoir Sacha ( Madame ), ils avaient été amants et la dernière fois qu'il avait vu Madame, c'était le jour ou elle lui avait demandé de mettre le dispositif de chasteté. En y repensant il avait l'impression de s'être fait avoir. C'est vrai il pouvait se libérer quand il voulait, il lui suffisait de donner sa démission. Mais voilà, il était très bien payé et avait des avantages, il vivait dans un certain luxe pour ne pas dire un luxe certain.


Jonaz organisait le décor, il avait l'habitude, il contactait les différents traiteurs les musiciens et le personnel pour assurer le service … Il était connu dans les agences d'intérim. 


Madame arrivait enfin. Ce jour là Teddy n'était pas allé travaillé, il avait voulu l'attendre. Le chauffeur était allé chercher Madame à l'aéroport, la Rolls entrait lentement dans le parc, elle roulait jusqu'à l'entrée de la maison et s'arrêtait juste devant la porte. 


Madame sortait, une jambe qui n'en finissait pas s'aventurait hors de la voiture. Teddy se souvenait de la première fois qu'il avait vu Madame, c'était au cimetière. Elle portait une robe blanche, je veux dire le jour de son retour. Au cimetière aussi, remarquez.


On ne pouvait même pas deviner si Madame portait des bas ou pas, la robe était tellement légère, tellement transparente qu'on avait l'impression que Madame était presque nue. En fait on ne voyais pas sa peau, c'était une illusion, un tissus couleur chaire était recouvert de dentelles blanches, et les dentelles donnaient l'impression que c'était sa peau qui apparaissait juste en dessous. 


Pour la poitrine, je ne dis pas, ce n'était pas par transparence qu'on pouvait voir son décolleté et en plus il était plongeant, il plongeait même très profond. Madame n'avait pas changé, elle était fidèle à elle même.


Teddy était sous le charme et sa queue se manifestait, il bandait mais la cage retenait totalement cette manifestation de virilité. Teddy ne montrait rien, il avait oublié les avertissements que lui avaient donné ses camarades. Il se revoyait dans les bras de cette beauté, il se souvenait de la douceur de sa peau, de ses caresses, de ses baisers. Il n'avait plus qu'une hâte, la tenir dans ses bras, il la laisserait lui retirer son dispositif de chasteté, il montrerait à quel point il était en manque et prendrait bien son temps de lui faire l'amour, plusieurs fois il lui ferait l'amour.


Madame sortait de sa voiture, elle était rayonnante, le chauffeur lui tenait la main, comme pour l'aider. Elle lui souriait et lui disait quelques mots. Son regard se tournait vers son majordome Jonaz qu'elle saluait également et vers Teddy à qui elle faisait un très large sourire. Il arrivait vers elle, elle l'embrassait … sur la joue !


L’accueil n'avait rien de glacial mais Teddy avait l'impression de prendre une douche froide. Sa queue protestait encore, et provoquait un peu de douleur tant la pression était grande.


Le chauffeur avait fait le tour de la voiture et ouvrait la portière de l'autre côté. Un homme en sortait. Il était grand, il faisait une bonne tête de plus que Teddy.


Il avait un visage harmonieux, une belle silhouette, il présentait très bien dans  un costume qui ne dissimulait pas une très belle musculature. Le pantalon non plus ne cachait pas les cuisse, pas plus qu'il ne cachait une bosse prometteuse en haut de ses cuisses. C'était presque aussi indécent que le décolleté de Madame. 


Mais Teddy préférait toutefois le décolleté.


Il essayait de faire bonne figure et cachait comme il pouvait sa mauvaise humeur soudaine. Surtout que Madame continuait à prendre ses distances avec Teddy. Elle ne l'invitait pas à rester, il comprenait rapidement qu'il était de trop et très discrètement préférait disparaître.


Il retrouvait ses quartiers et faisait la gueule tout seul dans son coin, juste à côté de la piscine. C'est là que Rémi l'a retrouvé plus tard, bien plus tard dans la nuit.


– Jonaz m'a raconté …

– Je suis dégoûté. Lui expliquait Teddy.

– Tu sais, si ça peut te réconforter, tu n'est ni le seul ni le premier.


Teddy commençait à s'en douter mais il avait espéré … Il regardait Rémi.


– Je m'occupais des espaces verts d'un grand hôtel, très bien payé, le boulot était prenant et j'avais beaucoup de responsabilités. Madame m'a regardé et je lui ai plu, le soir elle avait besoin de quelques chose, quand je suis arrivé dans sa chambre elle ne savait même plus de quoi il s'agissait. Je n'en suis ressorti que le lendemain matin.

– Elle sait ce qu'elle veut ! Et maintenant tu es piégé, comme moi.

– Comme toi, oui je peux partir quand je veux. Je sais que je n'aurais aucun problème pour me trouver un autre boulot, elle ne s'y opposera pas, elle a soutenu la carrière de tous ceux qui nous on précédé et qui on choisi de partir. Le jour ou tu décideras de partir, tu verras, toi aussi tu trouveras un poste de directeur ou elle te le trouvera …

– C'est déjà ça !

– En fait elle n'est pas bien méchante, elle est comme ça, c'est tout !

– Oui mais quand je l'ai vu, j'ai …

– Tu as pensé à ma proposition de l'autre jours ?

– La proposition malhonnête ?

– Oui c'est ça ! 

– Pourquoi pas, mais tu me fais pas mal !


Là on peut supposer que Teddy craquait. Rémi se penchait sur lui et lui donnait un baiser, rapidement le baiser devenait passionné. Les mains de Rémi se promenait sur le corps de Teddy qui laissait faire, il fermait les yeux et un court, un très court instant il avait peut être l'impression que c'était Madame qui lui donnait ce baiser. Mais vraiment un très court instant.


Rémi prenait la main de Teddy et l'entraînait dans sa chambre. Teddy suivait, il n'avait pas envie de résister, son cœur battait très fort. Le souvenir de la première foi l'encourageait à continuer. Quand ils arrivaient dans la chambre à Rémi, celui-ci attrapait Teddy par les épaules l'embrassait, lui retirait son T-shirt et le prenait dans ses bras.


Teddy était retourné, dans sa tête il y avait Madame, sur sa peau il y avait les mains de Rémi qui le caressaient et sur ses lèvres il y avait les lèvres de Rémi. Finalement, ce n'était pas si désagréable. Puis c'est Teddy qui commençait à déshabillé Rémi.


Rapidement ils se retrouvaient entièrement nus. Rémi se laissait tomber sur son lit et entraînait dans sa chute son camarade Teddy. Puis c'était des câlins chauds et tendres. Teddy était en manque, la présence de Madame l'avait totalement retourné. C'est elle qu'il avait dans la tête quand il refermait ses bras sur le corps de Rémi. A par la douceur de la peau, il n'y avait pourtant rien de comparable il personne ne pouvait confondre.


Rémi se fixait la ceinture prévue pour le gode, Teddy paniquait un peu. Ensuite Rémi y fixait un gode. Là Teddy s'angoissait vraiment.


– Je l'ai choisi tout petit !

– Il n'est pas si petit que ça !

– Allons, il fait moins de quatre centimètre de large, celui que tu avais l'autre jour en faisait plus de cinq, presque six même à un endroit.


Teddy regardait de plus près, et respirait très fort, ne disait rien et avalait sa salive. Il n'avait pas vraiment l'air convaincu. Tout se bousculait dans sa tête, il se souvenait du plaisir incroyable que lui avait fait découvrir Rémi quelque temps auparavant. 


Après un dernier gros câlin, Rémi lui demandait de prendre position, à quatre pattes. Teddy avait un gros nœud dans l'estomac mais il décidait d'aller jusqu'au bout. Si seulement ça pouvait le calmer. Sa queue protestait tellement fort depuis qu'il avait revu Madame qu'il n'en pouvait plus, c'était plus que seulement inconfortable. 


Rémi procédait avec douceur, pour commencer il lui caressait les fesses, il lui lubrifiait le cul, délicatement. Teddy se souvenait de la première fois et se détendait. La boule dans son estomac ne disparaissait pas pour autant. Mais il frissonnait au moment ou Rémi lui glissait un doigt dans le cul, sans prévenir.


Le doigt glissait facilement, un doigt c'est pas trop gros, et Teddy frissonnait de plaisir. Sa queue ne se calmait pas !


Rémi passait à autre chose, il prenait position, se penchait sur le dos de son partenaire. Là Teddy commençait à trembler mais c'était uniquement d'appréhension. La prochaine étape commençait à l'inquiéter. Puis c'est la pression qu'il ressentait sur son cul qui l'inquiétait. Rémi avait bien pris le temps de le détendre …


Il poussait, ça résistait, Teddy se détendait en respirant bien à fond et Rémi poussait de nouveau. C'est comme un cri que Teddy poussait,  un hurlement silencieux, il ouvrait la bouche en faisant une grimace terrifiante. Il ouvrait la bouche mais aucun son n'en sortait.


Par contre la queue de Rémi, s'enfonçait lentement. Teddy ne bougeait pas, il était impossible de savoir s'il appréciait ou non. Il se laissait faire c'est tout, il ne bronchait pas.


Le ventre de Rémi s'écrasait sur sur les fesses de Teddy. Là Teddy soupirait, et gémissait, les trois centimètre de diamètres trouvaient facilement leur place. Teddy se laissait tomber sur le ventre, les bras en croix et les jambes écartée, Rémi ne s'y attendait pas il avait suivi et était tombé sur Teddy, sa queue s'était bien calé, bien à fond et là Teddy gueulait. Ce n'était pas que de la douleur, loin de là. Il gueulait mais il ne demandait pas à Rémi de se retirer. Il gémissait pourtant, il gueulait, il râlait, il manquait d'air mais à aucun moment il ne se défendait pas.


Avec lenteur, Rémi ressortait et revenait. De nouveau Teddy gueulait mais là c'était sûr il gueulait de plaisir. Il tremblait également. C'était nouveau pour lui. La première fois avec un doigt il avait éprouvé un plaisir intense, là c'était un gode de presque quatre centimètres sur dix huit et c'était tout simplement divin. 


Quelques instants plus tard, c'était des '' Encore, ou vas y défonce moi le cul ! '' qu'il criait. Rémi s'étonnait bien un peu mais il savait se dévouer, il accélérait le mouvement et peu après son ventre claquait quand il frappait les fesses de Teddy. 


Teddy prenait son pied, il ne le cachait pas et faisait beaucoup de bruit.


Pour lui c'était nouveau mais c'était tellement bon. C'était une révélation. Il tremblait de plaisir quand l'orgasme est arrivé, il s'est senti submergé par le plaisir, il a joui, il a éjaculé sans pourtant se tripoter avec une main. Il a crié de nouveau à ce instant. Rémi à continué à lui limer le cul encore un moment. Teddy terminait la séance en sueur, il était hagard, il avait le regard vide mais il semblait tellement bien.


Rémi se retirait et s'appuyait de tout son poids sur le dos de son partenaire. 


– Ça va ?

– C'est le pied, je ne savais pas qu'on pouvait jouir comme ça par le cul.

– Si c'était vraiment la première fois, tu sais que là tu m'épate Teddy. J'ai du mal à y croire …


A suivre


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C'était donc sa femme

 C'était donc sa femme




Elle m'avait donné rendez-vous dans cette brasserie connue, on était à l'heure de pointe et elle avait commandé deux repas. 


Je me demandais bien pourquoi j'avais accepter de la rencontrer, dès le départ l'idée m'avait parue totalement ridicule. Dans ma tête je me répétais toujours la même question.


– Mais pourquoi ais-je accepté ce rendez-vous ?


Je ne la connaissais pas mais ça ne faisait aucun doute, c'était bien elle, une femme encore très belle, très élégante elle était plus jeune que je ne le pensais. Bien plus jeune. Elle aurait du avoir entre quarante et cinquante ans mais enfin, elle était pas encore arrivée à trente. Ceci dit, elle était très belle.


– Ah c'est donc vous ! Me disait-elle sur un ton sec.

– Heu … bein … oui.


Là je ne vous dis pas mais je ne me sentais pas vraiment à mon aise. J'espère que vous me comprenez. Non seulement c'était la première fois que je la rencontrais mais en plus cette rencontre me paraissait tellement déplacée, tellement incongrue.


Mais franchement cette histoire n'avait pas de sens. Cette situation n'était pas convenable mais pas seulement c'était totalement déplacé.


– Mais prenez place voyons ! Me disait-elle sur un ton neutre.


Je tentais de bafouiller quelques mots de politesse mais finalement, je préférais me taire et prenais place. Je m'installais en face de la dame, en fait je ne savais pas vraiment ou me mettre. Elle avait commandé une choucroute.


– Depuis combien de temps dure cette aventure ? Me demandait-elle.


Il m'avait bien dit que sa femme était directe. Elle l'était de toutes évidences.


– Pas loin de six mois. Bafouillais-je.

– Il me semblait que ça devait durer depuis plus longtemps. Et ça ne vous dérange pas vous ?

– Bein non, mais oui, enfin je savais pas moi !

– Vous n'étiez pas au courant ?

– Enfin pas au début …


Suivait un long moment de silence, heureusement la choucroute était généreuse autant que délicieuse. C'est pas comme ça que j'allais garder la ligne mais je vous jure que ce n'est pas ce qui me préoccupait à ce moment précis. 


– je comprend qu'au début mais enfin vous avez forcément fini par l'apprendre.

– Oui enfin, non mais c'est que … Je sais plus moi ! Là j'ai failli craquer.


Je pensais surtout à ses mains, Kevin avait des mains très douces et j'imaginais les sentir sur mon corps. Quelques jours plus tôt il était passé me voir, comme ça juste pour le plaisir. Je revivais la scène , il s'est glissé dans mon dos puis m'a pris par les hanches. 


Je sentais ses mains douces et fortes qui se refermaient sur moi avec des gestes calculés. Il était plus grand que moi, il posait son menton sur mon épaules, je tournais le visage vers lui et je sentais alors la douceur de ses lèvres. Ses baisers étaient doux et suaves, je me souviens, dès le premier jour c'est ce que j'ai remarqué chez lui. Il était câlin. 


Je ne voudrait pas critiquer mais sa femme avait de la chance, à sa place je ne le laisserais pas partir. 


Il était tellement câlin, il savait me faire vibrer me faire trembler quand il m'embrassait dans le cou. Quelquefois il y mettait les dents. Oh pas pour me faire mal mais juste pour me faire réagir, et ça marchait je vous jure.


Il savait m'embrasser les tétons avec les dents, il y mettait les dents du  haut et la langue, il me mordillait les tétons avec tellement de douceur. Il ne pouvait pas me faire mal de cette manière, il me coinçait le téton entre ses dents et sa langue. Et là je vous jure il me faisait frémir.


– Vous restez protégés j'espère ? Me demandait la dame.

– Oouibiensûr ! Lui répondais-je en bafouillant. 


Je me souvenais de la première fois, c'est moi qui avait demandé, exigé même qu'on reste couvert. Le préservatif, c'est pas un caprice. Et puis comme ça on reste serein, et vous connaissez la maxime … Restons serein mon canari ! … Nan c'est moi qui invente .


Il avait bien réagi, il n'en avait jamais utilisé mais quand on a toujours le même partenaire ou la même dans son cas, c'est logique et normal. Mais là les situations changeaient. 


Après on s'était lâché, je n'ai jamais imaginé à ce moment qu'il avait une femme, il me l'a dit bien plus tard. J'ai pas compris, et je ne comprends toujours pas d'ailleurs. J'avais alors imaginé que c'était un PD honteux, qui ne s'assumait pas. Mais finalement non, même pas. Il était bi ! Mais pas pour faire des manière ou pour suivre la mode, non, il était bi. Juste bi.


Il lui avait semblé normal et surtout plus simple de se trouver une compagne et tout se passait bien pendant des années, mais avec le temps … je vous rassure tout continuait à bien se passer, mais il m'a rencontrer et tout naturellement il a voulu essayer, m'essayer. 


Il était canon, je ne vous dis pas, j'ai trouvé ça flatteur et j'ai pas posé de questions, en tout cas pas avant le petit déjeuner du lendemain matin … ' Thé ou café ? ' , il m'a répondu ' Chocolat ' …


Il était beau comme un prince, un peu plus de quarante ans, blond, le corps lisse, totalement imberbe. C'était pas totalement naturel mais bon, on va pas en faire une histoire. Il prenait soin de lui et faisait du sport et avait de très belles proportions. Il ne m'a fallu bien longtemps pour tomber sous le charme.


– J'ai toujours du mal à imaginer mon mari se faire enculer ! Déclarait la dame.

– Oh mais c'est du tout comme ça que ça se …


Je ne parvenais pas à terminer ma phrase, et je piquais du nez sur la choucroute. Elle me regardait droit dans les yeux, je me sentais mal.


– C'est vous qui vous faites défoncer le cul. Oui là je reconnaît un peu mieux mon mari.

– GGG …


La je vous jure c'est tout ce que j'ai réussi à dire. Bon d'accord, j'ai pas beaucoup insisté non plus.


Elle me regardait d'une manière étrange, elle me faisait un peu peur. On continuait à manger en silence. Je n'osait pas trop la regarder, elle me mettait mal à l'aise.


Je pensais à Kevin, c'est vrai qu'on ne se voyait pas tous les jours mais on se voyait régulièrement, plusieurs fois dans la semaine. Pendant des mois il m'avait caché qu'il était marié puis à force discuter, avec le temps, on avait fini par apprendre à se connaître.


Clairement il ne quitterait pas sa femme, il était amoureux. Avec moi c'était une autre relation, mais il était amoureux aussi … Finalement c'était une situation plutôt agréable, il y avait bien sûr de ma part une relation affective, j'étais de plus en plus séduit mais je garderais ma liberté et mes petites habitudes. Mais quand on serait ensemble, on serait entièrement l'un à l'autre. 


J'adorais sa manière de me prendre dans ses bras, j'adorais sa manière de me prendre … Il savait être très viril et très doux. Et ses vingt deux centimètres bien larges je savais les encaisser jusqu'à la garde. 


– Avec ma femme j'ai pas le droit de passer par derrière ! M'a-t-il dit un jour, en pleine action, il faisait une pause puis comme un sauvage raffiné il reprenait avec force.


Moi j'aime bien quand on passe par derrière, je suis passif et j'adore les actifs bien montés. Avec lui j'étais gâté !


– Vous avez sans doute remarqué que mon mari a des besoins sexuels très importants ?

– Gni ouin beuh raitre … Lui répondais-je, elle me mettait mal à l'aise, mais elle ne me faisait pas répéter et c'était pas plus mal …


La première fois j'ai pris un pied terrible, il m'a retourné sur le ventre, il était couvert bien sûr, il m'a lubrifié comme il fallait puis il s'est allongé sur moi. Je sentais tout son corps qui me caressait, sa peau était tellement douce, son corps était fort, et ses caresses étaient fermes.


J'ai tout suite gémi de plaisir mais quand il a voulu me pénétrer, là j'ai eu mal à me retenir, j'ai hurlé de plaisir, en une petite seconde j'ai pris un pied terrible. Il avait une grosse queue mais qu'est ce qu'elle était bonne. Bien ferme, bien longue et bien large. Elle glissait malgré tout avec douceur et je la sentais s'enfoncer. Je sentais chaque centimètres, chaque millimètres qui s'enfonçait en moi. 


Je sentais aussi mon anus se dilater, c'était terrible, c'était bon, je hurlais ' Encore … ' et encore des ' Encore ' ou des ' Oui vas y défonce moi le cul !'.


C'est ce qu'il a fait mais il l'a fait avec une douceur qui n'avait d'égal que sa virilité. Son corps glissait sur le mien, il me mordillait l'épaule, je gigotais sous l'effet du plaisir. Il me retenait et si par réflexe je tentais de m'échapper il me retenait dans ses bras avec force et me limait le cul de plus en plus vite.


– Vous n'allez pas tarder à voir que ses besoins sont vraiment important. Me faisait remarquer sa femme. Vous savez seule, j'ai du mal à les satisfaire … Aussi je me demandait si …


Il me l'a fait souvent, ensuite il lime, il peut limer pendant plus d'une demie heure. Il change de rythme, il accélère. Ses mouvement deviennent plus amples ou moins amples, il ne joue pas que sur la vitesse. Par moment il se retire et reviens bien à fond en un mouvement violent et rapide.


Là il faut que je me cramponne mais c'est le pied.


Puis quand il sent que je n'ai plus qu'une envie, grimper au rideaux, il se lâche et c'est là qu'il jouit, il éjacule, il gémit de plaisir, parfois il gémit fort. Ensuite il me sert dans ses bras, il me sert fort puis tout se calme. 


On les sent bien passer, bien à fond ces quelques derniers instants de délire.


– Vous savez, je ne suis pas possessive.

– Grond ?

– Non mais c'est vrai que seule comme je vous disais, j'ai du mal à le satisfaire. On pourrait peut être s'y mettre à deux !

– Bleu ?

– Oui à deux !


Elle marquait une pause, pour voir ma réaction et reprenait.


– Il faudra bien sûr vous assurer qu'il ne me ramène pas une maladie vénérienne, ça je ne l'accepterais pas. Mais pour le reste …

– Bouhin ! 


Ne cherchez pas comprendre ce que je répondais, elle ne semblait pas non plus chercher à comprendre ce que je disais. 


– Je vous demanderais bien sûr de rester discret, au minimum, il n'y a rien de choquant si deux hommes, deux amis, passent une soirée ensemble mais si vous pouviez éviter de vous embrasser en public ou de vous peloter …

– Bah ça fait ba sa lors ! Lui répondais-je un peu surpris.

– Et si ce n'est pas trop demander je vous demanderais aussi de me laisser les week-end.

– Bhhhhh ! Bein oui quoi, comme vous pouvez le voir, j'étais surpris.

– Ceci dit je vous laisserai le vendredi soir, c'est une soirée très propice à des sorties en boites pas exemple. Je sais que William aime bien sortir en boite de temps en temps .

– William ? M'étonnais-je.

– Mon mari s'appelle William ! Vous ne le saviez pas ?

– Kevin ! Répondais-je, là d'un coup  j'arrivais à parler ...

– Ah , je vois. Il s'est présenté à vous sous une autre nom.

– Kevin !

– Un petit brun moustachu …

– Un grand blond imberbe …


Il y avait brusquement un grand silence entre nous. Je ne savais plus quoi dire et elle ne disait rien. Nous étions arrivés au dessert. 


– J'ai comme l'impression qu'il y a méprise rajoutait-elle.

– Heuuuuuu … 

– Il semblerait que vous ne soyez pas l'amant de mon mari. Votre amant n'est pas mon époux. Déclarait-elle en se levant. J'aurais aimé, vous m'aviez l'air très sympathique.

– Héééééé !


Elle laissait quelques billet sur la table, c'est vrai que c'est elle qui m'avait invité, me saluait et se retirait.


Elle avait prononcé la dernière phrase à haute voix et tout le monde autour me regardait. 


Je vous jure qu'à ce moment là, je ne savais vraiment plus ou me mettre !


FIN 




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Madame 07 Entre hommes

 Madame 07

Entre hommes



Teddy n'avais jamais pensé vivre de cette manière. Mais finalement il s'y habituait. Il faut dire aussi qu'il y avait une certain confort pour ne pas dire un certains luxe. Les jours passaient, pour Teddy le monde qu'il découvrait était nouveau. Il ne cherchait pas à avoir des contacts avec d'autres femmes. Comment s'y serait-il pris. Il pouvait bien sûr donner du plaisir, les caresses les étreintes les baisers pouvaient, bien placés, satisfaire une femme mais pour lui la frustration serait au delà du supportable.


Il se souvenait aussi très souvent à cet échange avec Rémi. Au début il n'avait pas pensé recommencer, il n'avait jamais penser avoir des relations intimes avec un homme. Oh il n'était pas homophobe, en fait, il n'était pas concerné. Il n'avait jamais eu de problème pour se trouver une partenaire sexuelle, mais là depuis maintenant des semaines, tout était différent.


Il avait étudié la situation, et finalement avait décidé de continuer comme ça pendant quelques temps, il en profiterait pour économiser, il n'avait pas de frais, la voiture, le logement, la nourriture étaient fournis et dans un certain luxe comme je vous le disais. Dans quelques temps il donnerait sa démission, et passerait à autre chose …


C'est ce qu'avaient fait plus d'un locataire de la maison avant lui. C'est pour cette raison que la maison était loin d'être pleine. Il y avait le personnel de maison qui était célibataire, et le personnel d'entretien de différents postes célibataires également. Les autres hommes qui travaillaient dans la maison portaient aussi un tel dispositif mais s'ils étaient mariés, ils ne logeaient pas ici. 


Rémi était, de tous les locataires de la maison le plus beau. Il avait un corps parfait, un visage harmonieux et sourire à tomber à la renverse. Ils se voyaient tous les jours Teddy et lui. L'entretien de la maison était assuré par les occupants, Teddy en était dispensé parce qu'il travaillait à l'extérieur, c'est vrai qu'il était absent du matin au soir. Mais il participait toutefois de bon cœur à chaque fois qu'il était présent, ses colocataires appréciaient le geste.


Un mois passait ainsi, monotone. Souvent Teddy pensait à sa patronne et ancienne amante. Elle donnait de ses nouvelles, c'est Jonaz qui recevait les information, c'est normal, c'était lui le majordome de la maison et c'est lui qui supervisait son bon fonctionnement pendant l'absence de Madame. Il transmettait les nouvelles aux autres.


Madame était retenue par des affaires urgentes, et ne rentrait toujours pas.  Les camarades de Teddy commençaient les paris … Ils étaient convaincu qu'elle ne rentrerait pas seule … 


Tout allait bien, sauf que pour Teddy cette vie devenait lourde à supporter, il ne savait même plus depuis combien de semaines il avait sa queue enfermée dans cette cage en titane. Son corps devenait de plus en plus beau, il se défoulait dans le sport. Tous les jours après le boulot, il courait quinze kilomètres avant de faire une longue séance de musculation. Il avait fait une épilation définitive, tout comme ses camarades, ils trouvaient ça plus pratiques. 


Le soir ils soupaient tous ensemble, les jours étaient encore longs et ensuite ils se retrouvaient sur la terrasse pour déguster un rafraîchissement. La piscine était chauffée et c'est entièrement nus qu'ils y plongeaient et s'y baignaient. 


Teddy ne s'en rendait pas encore compte mais son regard changeait. Il ne regardait plus ses camarades de la même manière, maintenant il les admirait, il regardait leurs corps avec des yeux pleins de désirs et de frustration. La frustration venait de lui, le désir venait d'eux.


En plus ils étaient bien allumés, surtout Rémi, et ne se retenaient pas de se frôler, et quelquefois quand ils se retrouvaient à deux, ils échangeaient quelques caresses et quelques baisers. Teddy les as surpris à plusieurs reprises.


J'ai dit à deux ? Ils n'étaient pas toujours que deux, en fait c'était quand Teddy avait le dos tourné. Ils ne voulait pas l'embarrasser. Et lui faisait semblant de ne rien voir jusqu'à ce soir là. 


Les nuits devenaient bien plus courtes, mais il faisait encore très chaud, il y avait une canicule, et même si l'automne était déjà là, pas depuis longtemps c'est vrai mais elle était là, on se serait cru en plein été. 


Teddy remarquait Rémi, qui était assis seul au bout de la terrasse, il regardait le ciel qui peu à peu devenait noir. Teddy s'approchait, il avait pris deux bières, il connaissait les goûts de son ami. Teddy avait sur lui un pantalon ample en toile légère, c'était idéal pour la saison chaude. Il s'asseyait sans rien dire, proposait la bière à Rémi qui la prenait en le remerciant.


Rémi était torse nue et c'est à ce moment que Teddy remarquait qu'il ne portait  que sa cage de chasteté.


Les lumières s'allumaient autour de la piscine, c'était de petite lampes de très faible puissance, c'était juste pour l'ambiance. 


Teddy ne savait pas par quoi commencer, il ne savait pas s'y prendre, il voulait lui parler de cette journée ou Rémi lui avait fait découvrir un nouveau plaisir. Mais il bafouillait plus qu'il ne parlait. Rémi était là depuis déjà plusieurs années, avec Jonaz, il était le plus ancien et il en avait vu d'autres.


Tu veux partager un petit plaisir avec moi ? Demandait Rémi.


Un goûte de bière semblait se coincée dans la gorge de Teddy, c'est vrai que Rémi était directe. Teddy l'avalait et comme il ne parvenait pas à articuler un mot, il faisait oui de la tête.


Rémi prenait la main de Teddy et l'entraînait ver le fond du jardin, il y avait un recoin tranquille. Il savait parfaitement que les autres avaient compris en les voyant partir ainsi mais il savait aussi que personne ne viendrait les déranger.


Rémi était nu, il ne portait que son dispositif de chasteté qui brillait sous l'effet de la faible lumière. Il ouvrait le pantalon de Teddy et le laissait tomber sur ses chevilles. Teddy ne portait rien d'autre, sauf bien sûr sa cage à bite, le même modèle que Rémi. Il y avait de la pression dedans. Rémi était calme de ce côté mais ça ne durait pas. 


Il prenait Teddy dans ses bras et la peau bien que brûlante ne les blessait pas, c'était une douceur intense mais c'était une chaleur infernale. Leurs lèvres se rencontraient et leur baisers aussi étaient torrides. Ils se caressaient l'un l'autre et c'est pas ça qui risquait de calmer la pression presque douloureuse qui se manifestait désormais dans les deux cages de chasteté. La peau ressortait par les ouvertures, et les queues devenaient dures, elles poussaient avec force et l'anneau tirait la peau sous les couilles. Ça devenait douloureux.


Il s'allongeaient sur un matelas de jardin très épais et très confortable et les deux corps roulaient l'un sur l'autre. Chacun embrassait son partenaire, d'abord sur la bouche puis sur la partie de peau qui passait à porté, c'était l'épaule, c'était le torse, l'était l'omoplate ou la fesse.


Faute de pouvoir se mélanger intimement, c'étaient les bras et les jambes qui se mélangeaient et chaque mouvement était prétexte à une caresse et à un baiser. Teddy s'attendait à ce que Rémi renouvelle le plaisir très intime qu'il lui avait fait connaître. Mais au lieu de cela, il attrapait on ne sait ou une bite en caoutchouc d'assez belle taille. Voyant cela, Teddy s'inquiétait.


– C'est pas un peu gros, je pense pas pouvoir me prendre un tel truc.


Sans répondre Rémi retournait Teddy sur le dos et lui fixait le gode, juste au dessus de son dispositif, il y avait les ceintures pour ça. Teddy se retrouvait avec un bite en plastique à peu près à l'endroit ou se redressait sa vraie queue quelque semaines plus tôt. Le gode devait avoir la taille de sa vraie queue et il était perturbé de se voir avec ce truc. Sa queue était toujours là, mais ne pouvait pas se relever, pourtant elle tentait désespérément, elle poussait de toutes ses forces.


Rémi donnait alors à Teddy un tube de gel lubrifiant en lui disant … '' A toi de jouer !''.


Rémi ne mettait pas longtemps avant de réagir. Il prenait le contrôle de la situation. Avec son corps il caressait celui de Rémi qui maintenant s'offrait à lui. Il le retournait et le retournait encore, il cherchait peut être dans quel sens il allait procéder. 


Rémi décidait d'intervenir, il se laissait retomber sur le dos, écartait es jambes et les passait de chaque côté de Teddy qui s'approchait. Il était toujours hésitant, pas sûr d'avoir bien compris. Il se penchait sur Rémi qui refermait ses jambes dans son dos.


Teddy suivait le mouvement, il lubrifiait généreusement le cul de son partenaire ainsi que son gode. Comme je vous disais le gode était de la taille de la queue à Teddy, il avait l'habitude de manipuler un truc pareil, même si par moment il avait l'impression d'avoir oublié. Il prenait position et poussait. Le gode entrait lentement dans le cul de Rémi.


Rémi penchait la tête en arrière, il gémissait de plaisir. Teddy paniquait un peu, il avait un peu peur de blesser son camarade mais tous se passait bien. Rémi refermait ses jambes avec force dans le dos de Teddy. Encore un tout petit effort et le gode disparaissait totalement dans le cul de Rémi qui poussait une longue plainte.


Quand Teddy baissait les yeux il était comme saisie. Il avait par moment l'impression qu'il était réellement en train d'enculer son camarade avec sa vraie queue. Sa queue protestait dans sa cage mais les sensations que ressentait Teddy étaient troubles. Son contact physique ou son visuel ne lui indiquait pas la même chose et son cerveau était leurré.


Il ne savait pas, il ne savait plus. Le touché tactile, cette peau chaude, brûlante et douce, c'était pour de vrai. Les réaction de son partenaire, c'était aussi pour de vrai. Il avait aussi l'impression de ressentir l'anus de son partenaire autour de sa queue, ça aussi il avait l'impression que c'était pour de vrai. 


Son ventre s'écrasait contre les fesses de son partenaire, il avait passé ses mains sur ses cuisses et le tirait vers lui. Il sentait Rémi frémir, trembler, il plaçait ses chevilles sur ses épaules puis se lâchait. Il se retirait et revenait avec force.


Rémi râlait de plaisir et tentait de s'agripper à Teddy et de le retenir. 


Rémi recommençais avec force puis avec régularité, il s'enfonçait et ressortait. Il y allait tout doucement pour commencer puis accélérait. Rapidement Rémi gueulait de plaisir. 


Teddy avait vraiment l'impression d'y être, il manquait une sensation mais c'était sans doute son imagination qui délirait mais il avait l'impression, il avait vraiment l'impression de tout ressentir. 


Il se laissait retomber de tout son poids sur son partenaire, et de nouveau la chaleur de la peau, la douceur des caresses et les baisers suaves le troublait. Il prenait son pied à ressentir les réaction de son amant. Il prenait un plaisir particulier à provoquer chez lui les réactions. 


Rémi tremblait, il  avait choisi c'est vrai un gode de grosse taille, Teddy retrouvait sa queue qui était de cette taille justement et Rémi y trouvait des sensations fortes. C'était donc un vrai plaisir qu'il partageaient. Un plaisir troublant mais un plaisir intense.


Teddy relevait le bassin et le rabaissait en donnant un coup de gode dans le cul de son partenaire, ses mouvements était alors rapides et violents. Il n'avait plus peur de le blesser, tout se passait bien. C'était un véritable plaisir pour les deux participants. 


Rémi serrait très fort dans ses bras son partenaire Teddy. Les deux hommes étaient très beaux tous les deux mais il n'y avait personne pour les regarder, pour les admirer. Les muscles bandaient et roulaient sous la peau. Les mains de l'un caressaient et massaient le corps de l'autre. Rémi râlait de plaisir, Teddy transpirait, il y était, là pendant un moment il avait oublié sa cage, il s'y croyait vraiment. Son cœur battait vite, sa respiration était rapide et au moment le plus chaud il sentais que Rémi éjaculait, et tremblait.


C'est à ce moment que Teddy à son tour, à joui. Il a également éjaculé dans un plaisir qu'il avait presque oublié. Il  n'a pas compris tout de suite, inondé de plaisir il s'est laissé tomber sur son camarade, les corps étaient brûlants et se retrouvaient. Ils étaient encore mélangés, je voulais dire le gode ceinture de Teddy était toujours en place, chacun s'en rendait compte. 


Mais c'est Teddy qui était le plus retourné, pour lui tout ça c'était nouveau, il avait joui et il ne comprenait pas vraiment comment c'était possible. Il baissait les yeux et voyait sa queue bien plantée dans le cul de son partenaire mais le plaisir ne venait pas de là, c'était impossible. 


C'est avec sa queue qu'il avait joui, qu'il avait éjaculé, qu'il avait ressenti ce plaisir. Il se sentait bien, pour la première fois depuis que Rémi lui avait fait découvert le plaisir de la prostate, il se sentait bien.


Il se laissait retomber à côté de son camarade qui râlait au moment ou le gode sortait de son cul. Là Teddy n'a rien ressenti. Il passait sa main sur sa cage et il devait se rendre à l'évidence, il avait bien éjaculé. Il avait encore du mal à y croire. Il ne comprenait pas comment c'était possible.


Rémi comprenait la surprise de Teddy.


– Tu sais Teddy, le sexe c'est surtout dans la tête que ça se passe !


Les deux hommes se retrouvaient allongés sur le dos, Teddy avait toujours cette étonnant érection, mais c'est vrai qu'elle n'avait rien de naturel. Un gode, ça ne débande pas !


– Alors ? Demandait Rémi.

– Terrible ! Répondait Teddy. Je m'y croyais vraiment.

– Ça arrive quelquefois, la prochaine fois on inverse les rôles.


A suivre



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Madame 06 Nouveaux statuts

 Madame 06

Nouveaux statuts



Teddy de nouveau n'évoluait plus dans le même monde que la veille, il avait une violente impression d'avoir été dégradé. Pendant des mois il avait été le petit chouchou, il avait eu une vie de rêve, une vie à laquelle il n'avait jamais rêvé. Il avait vécu dans un luxe incroyable. Au niveau matériel il ne manquait de rien, il était toujours dans un très grand confort.


Le lendemain il se levait tôt, il y avait  le réveil, déjà il regrettais la douceur de la peau de sa patronne. Il n'y avait pas non plus le majordome Jonaz. Il se préparait, son dispositif de chasteté le travaillait, ça commençait, il ne le portait pas depuis bien longtemps mais déjà, ça commençait à le travailler dans sa tête, et pas que …


Le dispositif est indolore, pas toujours confortable mais toujours indolore. Madame ne voulait pas torturer ses anciens amants. Elle voulait seulement … Mais que voulait-elle au juste ? Ce n'était pas très clair cette histoire.


Il descendait dans la cuisine pour prendre son petit déjeuner. Il y trouvait Jonaz.


– Tu ne fais pas le service auprès de Madame ce matin ?

– Mais non, elle est absente. Elle est dans les îles, je ne sais pas trop lesquelles, elle se déplace quelquefois très vite … Il n'y a personne dans la maison, on est libre de faire tout ce qu'on veut. En fait on n'a que l'entretient courant de la maison. 


Ils continuaient à discuter un moment, Jonaz s'inquiétait de savoir si tout se passait bien pour Teddy, s'il supportait bien son dispositif. 


– Et on doit le supporter combien de temps ce truc ?

– Tu connais Jonathan ?


Teddy faisait non de la tête.


– Mais si, le grand blond qui assure l'entretient des véhicules.

– Ah oui ! Je vois maintenant ! Il est ici également ?

– Non, lui il est marié, mais il est sous clé également, tout comme nous. Il est marié avec Ines, c'est elle qui a la clé. 

– Ines, la femme de chambre ?

– C'est ça. Madame veut que tout le monde se comporte bien. Tous les hommes qui travaillent dans la maison sont sous clé, tout comme nous. 

– C'est sa femme qui a la clé ?

– Et elle a intérêt à ce que son mari reste sage, elle peut le libérer quand ils sont ensembles, seuls, mais je pense qu'avec Ines, il ne doit pas s'amuser plus souvent que nous …


Après le petit déjeuner Teddy se rendait à son bureau. Le ton avait changé là aussi. Un nouveau secrétaire ne se levait même pas  pour le saluer. Alors que lui saluait tout le monde comme il le fait tous les matins.


– Et bien Jimmy, vous ne dites plus bonjour maintenant ?

– C'est plus la peine, tu ne devrais plus rester très longtemps à ton poste. Répondait Jimmy sur un ton assez méprisant. 

– Peut être mais est tu sûr de rester aussi longtemps que moi. Pour l'instant rien n'a changé pour moi, mais pour toi ça pourrait arriver et plus vite que tu ne le penses.


Tout le monde était au courant, tout le monde savait que les amours avec Madames étaient terminées. Teddy a tout de suite compris qu'il fallait tenir son petit monde pendant cette période transitoire. Un peu plus tard, Jimmy lui présentait des excuses. Teddy les acceptait, l'incident était oublié.


Madame ne passait pas voir Teddy comme elle le faisait régulièrement. Peu avant c'était quelquefois une source de gêne pour Teddy, maintenant elle lui manquait et sa cage de chasteté devenait seconde après seconde une nouvelle source de gêne. Si il travaillait, si il était concentré, il n'y  pensait pas mais sinon c'était une présence de chaque seconde, de chaque instant.


La journée se passait sans encombre, les supérieurs de Teddy ne modifiaient pas leur comportement, ils savait que la rupture ne voulait pas dire un renvoie, il savait que sa promotion était maintenue et qu'il avait toujours l'oreille de la patronne. 


Puis le jour suivant se passait de la même manière, et le jour suivant encore, ce qui nous conduisait au week-end. Chaque jour le personnel de maison recevait les consignes de la part de Madame. Elle prolongeait son voyage, ça ne dérangeait personne. C'est pas qu'elle était désagréable, comme je vous disais au début de cette histoire, le personnel de maison l'appréciait beaucoup. 


A part cette manie qu'elle avait de mettre tous les hommes qui l'entouraient en cage, elle était très agréable … Il y avait plus de personnes que nécessaire et le travail était donc d'autant plus décontracté. Ils étaient tous très loin du surmenage. Teddy qui travaillait à l'extérieur faisait sans doute partie de ceux qui travaillaient le plus parmi les habitants de la maison.


Les week-end, enfin les premiers week-end Teddy les passait à la maison. Il n'étaient pas prisonniers il était libre de faire ce qu'il voulait et il en avait les moyens, mais … Ça le perturbait cette affaire. Il faisait de longues promenade dans le parc. Sans être gigantesque le parc était de belle taille et on pouvait facilement se donner l'illusion de s'y perdre.


Il y rencontrait Rémi, le chef jardinier. Rémi était allongé au soleil, juste derrière un bosquet, il était tranquille, on ne pouvait pas le voir et s'il n'avait pas fait un signe, Teddy ne l'aurait pas vu.


Teddy approchait, son camarade se faisait bronzer torse nue et le recevait avec un large sourire. Là Teddy constatait que son camarade n'était pas seulement torse nue, il ne portait sur lui que son dispositif de chasteté. Il avait le même modèle. Tout le monde, enfin tous les hommes qui vivaient et travaillent dans la maison était dans la même situation, sauf bien sûr, l'amant du moment. 


Quand Madame se lassait de son nouvel amant, elle l'équipais avec une cage à bite. Il était bien sûr libre de refuser mais très peu le faisaient. Elle savait s'y prendre, toujours avec beaucoup de tendresse et toujours d'une manière très convaincante. Le nombre de ses anciens amants qui continuaient dans cette voix était plus faible. Mais ils étaient libres de partir quand ils le voulaient. Les règles étaient simples.


Teddy s'allongeait à côté de Rémi.


– Alors tu t'habitues facilement ? Demandait Rémi.

– Ça peut aller mais des fois c'est dur.

– Il faut te détendre, il faut savoir se donner un peu de plaisir de temps en temps. Tu verras ça aide à vivre.

– Et on fait ça comment ?


Rémi avait un corps magnifique, c'est vrai qu'il avait lui une activité physique, il travaillait toujours torse nue quand le temps le permettait et il était déjà bronzé. Sa peau semblait être d'une grande douceur. Pour la première fois de sa vie Teddy sentait sa queue se contracter en regardant le corps d'un homme. C'était sans doute le manque, depuis maintenant trois semaines il  n'avait pas eu la moindre érection, des tentatives oui, de nombreuses tentatives mais aucune n'avait réussi.


Il s'installait, Rémi l'y invitait, lui aussi et lui aussi se mettait entièrement nu, enfin presque entièrement nu sur ce petit espace de gazon parfaitement bien entretenu. Puis tous les deux somnolaient.


La queue de Teddy le travaillait, elle protestait de plus en plus. Il n'arrivait pas à se calmer et par moments bougeait, Rémi le remarquait. 


– Tu es tendu ? Demandait Rémi.

– Tu fais comment toi ?

– Tu veux que je te montre ?


Teddy hésitait à répondre, puis.


– Tu veux me faire quoi ?

– Tu me laisses faire !

– … 


Teddy hésitait, il ne savait plus quoi dire mais c'est finalement le manque et la frustration qui gagnait, et il y avait aussi la curiosité … 


– Tu vas pas me faire mal ?


Rémi pouffait de rire. Il relevait légèrement le corps, se retournait vers Teddy. Teddy restait tétanisé. Rémi lui donnait un baiser sur la joue. Teddy frissonnait et commençait à rigoler, Rémi lui donnait alors un baiser très doux sur les lèvres.


Un instant Teddy ne bronchait pas. Il tournait la tête vers …


– Tu crois vraiment que ça va m'aider ?


Rémi passait sa mains sur le torse de Teddy. Teddy a la peau très douce, il était totalement épilé et Rémi était dans le même cas. La main de Rémi partait de la gorge et avec une infinie douceur descendait vers les tétons puis continuait sur le nombril et finalement en arrivait à ses couilles, il les tripotait, toujours avec une grande douceur.


Dans sa cage la queue de Teddy protestait comme elle ne l'avait jamais fait depuis qu'elle y était. 


– Tu sais là, ça devient désagréable.


Rémi s'allongeait alors sur le corps de Teddy qui refermait ses bras sur son camarade. Les corps ondulaient l'un sur l'autre, les deux hommes s'embrassaient avec passion. 


Teddy avait la cervelle en feu, ce plaisir était nouveau pour lui. La peau est toujours douce et brûlante même si elle ne donne pas cloques. Simplement Teddy ne savait pas que la peau d'un homme pouvait être aussi douce que la peau d'une femme. Et il y avait ce dispositif de chasteté, enfin ces dispositifs, le sien qui maintenant le torturait sans pour autant être vraiment douloureux, et le dispositif de Rémi. Teddy le sentait contre lui et ça l'excitait. 


Teddy se laissait aller, il savait qu'il ne risquait pas de se faire défoncer le cul, pour ça il n'était pas encore prêt. Il savourait ces baisers épicés, Rémi avait une barbe naissante, il se délectait de la douceur de la peau qui tout comme la sienne était totalement épilée, et ce corps qui tout comme le sien était musclé et ferme.


C'est la bouche de Rémi qui prenait le même chemin que sa main quelques instants plus tôt, Rémi l'embarrassait dans le cou puis un peu plus bas puis encore un peu plus bas, il s'attardait longuement sur les tétons avant de continuer vers le nombril. Quand Rémi arrivait au sexe de Teddy, il lui prenait les couilles dans la bouche et les lui gobait longuement.


Teddy se saisissait, se contractait mais se laissait faire. Sa queue continuait à protester encore plus, il respirait fort. 


Sans prévenir, c'est avec un peu de salive que Rémi se lubrifiait le doigt avant de le glisser dans cul de Teddy. Il y allait doucement, il prenait bien son temps et lubrifiait plusieurs fois. Teddy laissait faire, il était surpris mais comme Rémi ne lui faisait absolument pas mal, il se laissait faire.


Avec un bras Rémi caressait le corps de Teddy, avec la bouche il lui tripotait les couilles en les lui gobant, et avec le doigt il lui caressait le cul, il lui caressait d'une manière très intime. Son doigt était entré sans difficulté, Teddy était comme sonné, se demandant si c'était agréable ou pas. Mais il devait bien constater que ce n'était pas désagréable du tout il se disait que ça devait être très agréable …


Il y a des jours comme ça dans la vie ou les choses ne son pas si claires, ou il y a comme un flou sur ce que l'on ressent.


Teddy respirait fort, très fort mais lentement. Rémi avait relevé la tête, il regardait son camarade qui maintenant se détendait totalement. Il y avait toujours cette pression dans la cage de chasteté mais à part ça, tout le reste du corps restait totalement détendu.


Rémi agitait maintenant son doigt, il l'enfonçait le plus profond qu'il pouvait, un doigt c'est pas très gros et il glissait dans le cul de Teddy sans aucune douleur pour lui. Bien au contraire, au bout de quelques minute à frapper avec une certaine force sa prostate le plaisir commençait à monter.


C'est à ce moment que Rémi arrêtait tous ses mouvements. Il laissait son doigt dans le cul de Teddy mais ne le bougeait plus. Teddy respirait fort et maintenant il respirait vite, son cœur battait fort.


Rémi donnait quelques baisers sur le torse de Teddy puis sans prévenir il recommençait à lui masser la prostate avec des mouvements rapide et ferme. Pas de violence mais tous les muscles de Teddy se sont contracté. Teddy à eu ce qui pouvait ressembler à une convulsion et a poussé un long gémissements. C'était l'expression d'un plaisir d'un très grand plaisir.


Teddy retombait tout mou, il se laissait faire de nouveau, sa queue continuait à protester mais d'un manière moins violente, c'est en tout cas ce qu'il lui semblait.


Rémi continuait, faisait une pause puis reprenait avec un peu plus de force que juste avant. Il glissait un deuxième doigt, Teddy râlait mais là encore il laissait faire. Il s'offrait totalement aux caresses de son partenaire et à ce massage de l'anus qui était tout nouveau pour lui mais tellement agréable. 


Un plaisir nouveau pour lui envahissait tout son corps, il finissait par trembler, pourtant ils étaient tous les deux au soleil et il ne faisait pas froid. Par moment les tremblements devenaient plus forts et ressemblaient à des convulsions. 


Teddy ne contrôlait plus rien, il était comme possédé par un plaisir qui venait de son corps, de l'intérieur de son corps. Les baisers les caresses n'y étaient plus pour rien. Le plaisir inondait tout son corps par l'intérieur jusqu'au moment ou sans qu'il ne comprenne tout à fait ce qui se passait il éjaculait et il jouissait comme ça ne lui était jamais arrivé.


Rémi arrêtait tout, il retirait ses doigts. Teddy continuait à trembler un moment. Son corps n'avait pas ' fonctionné ' comme d'habitude. Le plaisir avait été intense mais c'était un nouveau plaisir. 


Teddy était sonné. Sonné mais ravi, et maintenant il se sentait tellement bien. Sa queue s'était calmée, elle ne protestait plus … 



A suivre



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PHILIPPE EP 48 La famille s’agrandit

 PHILIPPE EP 48

La famille s’agrandit

ou

Philippe accouche


( Enfin vous aurez corrigé, c'est pas Philippe qui accouche c'est sa femme, même si ça lui fait toujours tout drôle quand on lui rappelle qu'il est marié … Donc c'est pas lui qui accouche mais ça devrait quand même lui faire de l'effet )



Les mois passaient. Donc plusieurs fois par semaine je faisais la fête. Mais tout les week-end je me retrouvait à la maison, en famille … Famille je vous hais … Oui je sais c'est banal. Mais je voudrais vous y voir moi.


Mon père me regardait comme un juge inquisiteur qui sait tout mais qui à décidé de ne rien dire, pas un reproche ! Remarquez mes notes étaient surveillées. J'étais au dessus du minimum acceptable, pas beaucoup au dessus mais au dessus. Il n'était pas habitué à plus remarquez. Si brusquement mes notes avaient augmenté il m'aurait envoyé chez un médecin …


Ma mère était toujours charmante, elle a toujours été gentille avec moi mais toujours d'accord avec mon père. Elle venait me saluer et me faire la bise et était toujours accompagnée de Juliette … Ça vous rappelle quelque chose ça … Juliette ? J'espère bien, c'est ma femme !


Bon il fallait que je la vois tous les week-end, remarquez j'avais réussi à grappiller quelques heures, je faisais commencer le week-end le samedi midi et j'arrivais à le terminer le dimanche soir, j'avais eu mon père à l'usure, il avait accepté de me laisser partir en fin d'après midi le dimanche, avant le souper …


Finalement je m'en sortais bien.


Surtout que Juliette, je ne vous raconte pas mais elle était devenue difforme, c'était une horreur, à la voir je me demandais si elle n'attendait qu'un seul enfant. A voir comment elle avait gonflé, je penchais pour quatre ou cinq. C'était affreux !


Après ça il y en a qui vont se demander pourquoi je ne suis pas attiré par les filles moi. Je vous jure qu'elle n'avait rien d'attirant, en plus elle me faisait la gueule. Remarquez ça ne me dérangeait pas vraiment, elle me faisait la gueule depuis le jour de notre mariage alors … J'étais habitué !


On ne parlait pas de moi, aucun mot, pas le moindre sous entendu sur mon emploi du temps et mes activités. Pourtant il était impossible que mon père ne soit pas au courant. C'était bien la peine tout ça, j'avais payé de ma personne avec Juliette pour que mon père ne se doute pas que j'étais gay, maintenant c'était loupé, et il s'en foutait. 


Ça valait bien la peine, je suis pas près de recommencer moi ! Je suis dégoûté !


Heureusement il y avait le reste de la semaine. Et le reste de la semaine c'était bien moins sinistre. En général en début de semaine je passais dans la maison close locale. 


Non mais il n'y a pas que des filles, il y en a mais ça c'était pas pour moi. Il y avait aussi des garçons, ils étaient tous très beau, on me faisait un prix. En fait le prix je m'en moquais, c'était la fortune familiale qui payait. Et elle avait les moyens …


On connaissait mes goûts, le lit était toujours comme je les aime, et les hôtes … Alors là les hôtes, ils étaient tous très beau, il y en avait un qui ne venait jamais à mes soirées, pourtant il était invité à toutes. Il avait une peau foncée, j'ai toujours eu une attirance pour ces peaux mates et foncées. Il avait une peau plus douce encore que la soie des draps, son corps était d'une élégance distinguée, musclé mais pas difforme. 


Il avait aussi une bite sympathique, pas un truc gigantesque pas un truc  inutilisable, elle était juste énorme mais juste comme il fallait. Il me faisait un strip-tease, il me faisait rire, il avait un sourire rayonnant et des yeux violets. Je vous jure qu'il n'aurait pas fallu grand chose pour que je le demande en mariage celui là. Mais bon j'étais déjà un peu marié !


On se retrouvait tous les deux nus au milieu du lit, je le tenais dans mes bras, je l'embrassais, il me caressait. Je sentais la chaleur de sa peau brûlante et douce. Il commençait à me caresser le corps avec une incroyable douceur, je lui donnais un baiser en lui caressant la queue, il en avait une belle, comme je les aime. 


Grosse !


Mes baisers descendaient sur ses épaules, puis sur ses tétons. Je continuais à lui caresser la queue qui prenait un peu plus de volume, elle était comme je les aime je vous dis.


Longue !


Puis mes baisers descendaient sur son ventre, son nombril et j'approchais de sa queue qui était comme je les aime. 


Bien ferme !


Je ne prévenais pas quand je la prenais dans la bouche. Ma langue lui caressait le gland, elle passait tout autour encore et encore. Il réagissait et frémissait. Certains clients ne font rien et laissent l'hôte leur procurer du plaisir moi j'ai toujours considéré que le plaisir devait se partager, même si un des deux paye ! Bein oui, s'il y en a un qui n'avait pas compris, c'était un bordel !


Il me caressait les cheveux, je lui suçais la queue. Il pouvait éjaculer plusieurs fois de suite, en tout cas c'est ce qu'on m'avait dit. J'avais bien envie de vérifier. J'avais envie de me prendre une giclée dans la bouche et une autre dans le cul. Sa queue était superbe et si je ne me la prenais pas dans le cul, là je savais que j'allais criser.


Mais je voulais aussi qu'il me gicle dans la bouche. Je faisait glisser sa queue dans ma bouche et j'appuyais mon visage de plus en plus. Sa queue entrait dans ma gorge, là ça devenait sérieux. Je gardais le visage le plus longtemps possible bien appuyé contre lui. 


Il m'encourageait en appuyant sur ma nuque doucement, il ne me retenait pas et retirais sa main si je manifestais le désir de relever la tête. Mon nez s'enfonçait maintenant dans son ventre. Les caresses de sa main devenaient plus fermes. 


Sans prévenir il se relevait et me proposait de m'asseoir sur le sol au pied du lit, ma tête arrivait  juste à la hauteur de son sexe. Toujours sans rien dire il me glissait alors sa queue dans la bouche et commençait à me la limer doucement. Il me baisait la bouche. C'était affolant. Il entrait de plus en plus profond, il y mettait plus de force mais toujours, il restait très attentif à mes réactions, si je tentais de me dégager c'est lui qui se retirait.


Puis il reprenait. Il finissait par bien me tenir la tête avec les deux mains, là il ne me retenait plus, il me tenait et me laissait l'impression de ne plus pouvoir me dégager. Là il aurait fallu que j'insiste pour me dégager mais il m'aurait laissé. 


Sa queue s'enfonçait jusqu'à ma gorge, là je le sentais passer, mes yeux se remplissait de larmes, je pleurais sous l'effort. C'est pas tous les jours facile. Quelques coups de bassin lui échappaient et étaient particulièrement durs à encaisser. Et bien j'ai encaissé !


Il éjaculait quelques instants plus tard dans ma bouche, en même temps il enfonçait sa queue dans ma gorge et terminait d'éjaculer dans ma gorge. J'étais sonné.


Ma queue qu'on avait un peut tendance à oublier, on n'avait pas trop le choix, protestait fort quelquefois dans sa cage. La pression devenait intense, c'est aussi pour ça que je voulais me prendre sa queue dans le cul, c'était le seul moyen que j'avais trouvé pour me calmer.


Je restais là un moment sans bouger avec sa bite dans la bouche et comme je ne le repoussais pas il prenait bien le temps pour se retirer. Et quand sa queue ressortait totalement de ma bouche, elle était toute propre, je n'avais rien perdu, j'avalais.


Il me regardait, me donnait un baiser et me conseillait de passer à la salle de bain. J'étais tout rouge en larme et couvert de salive mais je n'avais rien perdu, j'avais tout avaler. Je me passait le visage sous l'eau froide et reprenais des couleurs un peu moins vives avant de revenir.


Il s'allongeait à côté de moi, me faisait un câlin et me proposait un flûte de champagne, je me sentais bien, il avait réussi à me détendre de la journée que j'avais passé avec mes parents et surtout de ma femme …


Un peu plus tard j'en redemandais. De nouveau je lui suçais la queue mais là, j'en voulais plus. Il l'avais compris, il me glissait rapidement un doigt entre les fesses. Et tout aussi rapidement il commençait à explorer mon cul avec un doigt. Ma réaction lui indiquait que c'était bien ça que je voulais. 


Je me retournais sur le ventre. Il s'allongeait sur moi, prenait le temps de me caresser et de me lubrifier. Tout d'abord il commençait à me stimuler avec un doigt. Il prenait son temps …


Vous savez dans cette maison de luxe on n'est pas chronométré. On a toute la nuit si on veut, et le champagne est offert par la maison et on peut dormir sur place, seul ou pas … C'est comme on veut. Enfin pour moi, peut être pas pour les autres clients mais moi, j'étais un VIP.


Il y mettait deux doigts maintenant, et le plaisir montait vite. Vous savez j'étais très sensible, très entraîné à cette époque. Je devenais particulièrement passif et jouisseur. Je me demande pourquoi je dis à cette époque, ça n'a pas changé en fait.


J'adorais quand je sentais sa queue prendre position, je frémissais. Je tremblais quand il a commencé à pousser, j'ai d'abord serré les fesses, histoire de rigoler. Il a compris, il m'a donner un baiser dans le cou et à poussé, j'ai résisté, il a poussé plus fort et j'ai craqué, j'ai lâché. Sa queue s'est enfoncé d'un coup dans mon cul, son ventre s'est écrasé sur mes fesses et j'ai hurlé.


Soudainement il ne bougeai plus. Il me demandais : '' Ça va ? ''. Je faisais oui de la tête, il prenait le temps de me laisser encaisser puis il reprenait il se retirait et revenait. Dans un premier temps ses mouvements étaient lents, fermes et décidés mais lents. Ils devenaient plus rapides, et encore plus rapide. 


J'avais envie de me faire défoncer le cul, et c'est ce qu'il m'a offert. Il m'a défoncé le cul, je râlais de plaisir, je gueulais et par moment je hurlais même. Et lui entrait et ressortait de mon cul, plus je criais, plus il y allait. 


Je jouissais, je jouissais comme un fou, pas avec ma queue mais avec mon cul. Le plaisir peut devenir aussi intense mais il dure plus longtemps, bien plus longtemps. En fait je trouvais ce plaisir de plus en plus agréable et peu à peu j'oubliais le plaisir que me donnait ma queue seule. 


Il a fini par se retirer, je tremblais de plaisir, il avait éjaculé et c'est à ce moment que moi j'éjaculais. Et j'ai joui à ce moment. J'ai joui comme un fou.


C'est à cette époque que j'ai commencé à oublié mon propre sexe dans les relations sexuelles. Je vous rassure, le reste du temps j'y pensais souvent. Le matin au réveil, sous la douche et par moment aussi dans la journée.


Quand je prenais la douche à la fac après le sport, je bandais fermer mais avec la cage personne ne s'en rendait compte. Je me demandais souvent si mes camarades étaient dans le même état que moi. Pour quelques uns oui ! On discutait de temps en temps entre camarades.



On devait être en cours de biologie, je ne sais plus de quoi il s'agissait quand le directeur de la fac entrait sans prévenir dans la salle de cours, il y avait le chauffeur de mon père juste derrière lui.


– Monsieur Brosso, votre famille vous demande tout de suite !


Mon sang s'est glacé dans mes veines. Il se passait quelque chose de grave. Avec des gestes incertains j'allais ramasser mes notes et mon livre.


– Laissez tout, Monsieur Brosso, laissez tout on s'occupera de ramasser vos affaires, c'est urgent.


Je comprenait tout mon père avait eu une attaque ou quelque chose comme ça. Sans poser de question je fonçais et sans qu'il comprenne ce qui se passait le chauffeur courait derrière moi pour rejoindre la voiture.


– Oh mon dieu, oh mon dieu … Marmonnais-je. Là je vous jure que je m'angoissais. Je pensais à mon père ou à ma mère.

– Mais attendez moi Monsieur Brosso, il n'y a aucune raison de paniquer ! Me lançait le chauffeur.

– Que se passe-t-il c'est mon père, c'est ma mère ?

– Mais aucun des deux, Monsieur Brosso, vos parents vont très bien c'est votre femme !


Je m'arrêtais net et je me retournais vers le chauffeur qui finissait par me rattraper.


– Et qu'est ce qu'elle a encore fait celle-là ?

– Rien de grave Monsieur Brosso, elle accouche !

– Et c'est pour ça qu'on me dérange, comme si je pouvais y faire quelque chose. Et puis il parait que ça dure neuf mois cette histoire, il doit y avoir une erreur, on n'est mariés que depuis huit mois …


Je m'apprêtais à repartir dans l'autre sens. 


– Vos parents vous attendent à la clinique ! Monsieur Philippe, huit mois de mariage mais il me semble qu'un mois plus tôt … Me faisait remarquer le chauffeur. 

– Ah oui c'est vrai ! Répondais-je.


Là je me disais que si je n'y allais pas mon père allait encore m'engueuler. Comme ça faisait un moment que je ne l'avais plus sur le dos je préférait suivre le mouvement, il m'attendait, il valait mieux y aller.


Nous arrivions à la clinique un bon quart d'heure plus tard. On me faisait entrer, je me retrouvais avec une tenue de chirurgien avec la capuche et tout, enfin je ne sais pas comment ça s'appelle tout ça. On me faisait entrer dans la salle de travail et là c'était le cauchemar. 


Il y avait Juliette, sur le siège de travail, elle avait les cuisse bien écarter et là, c'était affreux, vous savez les filles, on déjà des formes disgracieuses mais là … 


J'avais comme l'impression que la fente s'ouvrait, vous savez la fente qu'elle a entre les cuisses, et bien c'était bien plus large que la dernière fois, et en plus il y avait comme un truc dedans. Elle hurlait, ça me rappelait moi avec le mec quelques jours plus tôt dans la maison close. Enfin l'autre jour c'était du sérieux, pas comme là …


Je commençais à m'inquiéter, je me demandais si tout était normal … Ça s'ouvrait encore et là on pouvait y glisser le poing. Ceci dit je n'avais pas envie d'y mettre même un doigt. 


Elle hurlait encore, les infirmiers l'encourageaient, ça s'ouvrait encore plus et c'était pas beau à voir, c'était une tête. Et le gamin était moche, c'était un cauchemar. J'étais sûr de n'y être pour rien là moi … 


Et là c'était le trou noir !


Plus tard on m'a raconté. Un peu après mon père est entré avec ma mère. Comme il ne me voyait pas il a râlé après moi.


– On ne peut décidément pas compter sur cet abruti de Philippe ! Râlait-il.


Un infirmier prenait ma défense en expliquant que j'étais là quelques instants plus tôt, c'est peu après qu'on m'a retrouvé, j'étais allongé sur le sol, j'étais tout pâle, je ne comprenais plus rien j'étais perdu. J'entendais mon père dire : '' Il n'a pas servi à grand chose mais au moins il est là !''. Je ne comprenais pas tout et les murs dansaient partout autour de moi et en plus le sol bougeait lui aussi.


Il se sont mis à deux pour me sortir de là, je bafouillais. 


– Mais il est pas beau, il est affreux, en plus il est difforme, moi je veux bien un enfant mais je veux qu'il soit normal …


On tentait de me rassurer mais finalement ils ont préféré m'allonger sur un lit et me laisser récupérer. J'ai pu voir le gamin un peu plus tard. Finalement vous savez il n'était pas si laid que ça, il était même mignon, tout le monde me disait qu'il me ressemblait, moi je ne trouvais pas mais ça faisait plaisir à ma mère alors … 


A suivre ( mais plus tard ) 


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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