Jeune adulte 18 Soirée privée

Jeune adulte 18 Soirée privée



J'étais un peu sonné par cette vision. Pourquoi était-il ici. Lui aussi il fréquentait ces soirées. Je demandais à Thomas s'il connaissait cette personne, mais Thomas ne l'avait pas vu, Thomas n'avait rien remarqué. Je lui décrivais comme je pouvais. A aucun moment je n'ai pensé que c'était pour moi qu'il était là. Comment aurait-il pu savoir ou j'étais ?


Mais c'est qui ce type dont tu me parles ?

Rien, rien de bien grave. Ne fais pas attention, oublie ce que je viens de dire.


Une heure plus tard, nous arrivions chez notre client.


C'était une sorte de château, une grande demeure bourgeoise du XIX em siècle. Il y a avait un grand parc autour de la maison et le château était au bout d'une allée, il fallait passer une grosse grille en fer forgé.


C'est un homme très bien habillé qui venait nous recevoir, il allait serrer la main à Thomas, discutait quelques instants avec lui puis quand il se retournait vers moi me tâtait les couilles.


Oui en effet, mes invités devraient être contents, surtout qu'il a l'air sexy.


La situation était claire, nous n'étions qu'un tas de viande fraîche pour nos hôtes. C'étaient des couche tard, ils avaient déjà une longue soirée qui précédait.


On nous conduisait dans une petite salle pour que nous nous mettions en tenue, c'est à dire à poil pour ceux qui n'auraient pas compris,


Dans un premier temps, mes amis et moi souhaitons voir une spectacle érotique et porno avec pénétration comme tu sais si bien faire mon petit Thomas. Après on verra …


Quelques instants plus tard nous entrions dans le salon, je suivais Thomas il m'avait dit de me détendre et j'étais détendu. Il saluait l'assemblée en s'inclinant, en se pliant presque à 90 degrés, puis il s'écartait pour me présenter, j'en faisais de même. Là on m'applaudissait.


Très bien ton camarade, très bien ! Et il porte ce dispositif en permanence ? Demandait l'homme qui nous avait reçu.

Oui en permanence ! Répondais-je.


Sans plus attendre Thomas se glissait dans mon dos et me caressait le torse, Il m'embrassait sur les épaules, d'un coup je me sentais calme et détendu, là, j'étais vraiment détendu. Je glissait mes mains non pas dans mon dos mais dans le dos de Thomas qui était juste derrière moi. Je le caressais avec les mains.


En face de nous il y avait quatre homes, dont celui qui nous avait invité. Deux d'entre eux déjà se caressaient l'entre jambe.


Thomas glissait sa queue entre mes jambes, elle se redressait fièrement et comme elle était de belle taille elle apparaissait devant moi, me soulevait les couilles et nos spectateurs ne cachaient pas leur satisfaction.


Je me laissait aller, j'appuyais ma tête sur l'épaule de Thomas en me redressant en arrière, il me tirait contre lui. La fatigue montait aussi je ne résistais pas, en plus je n'en avait pas envie. Je savais comment tout cela allait se terminer, j'en avais déjà pris plein le cul dans la soirée et je me sentais prêt à m'en prendre encore et encore.


La nuit avançait et toutes les nuits, ça me le fait toutes les nuit mais passée une certaine heure ma queue se réveillait avec force quelquefois, elle ne se calmait que le matin, bien après mon réveil.


Ma cage se relevait, je ne pouvais rien y raire, et je m'y sentais à l'étroit. Je sentais ma queue comme étranglée par les barreaux de ma cage. Les caresses de Thomas ne me calmaient pas.


Un de nos hôtes se levait et venait vers nous, il m’attrapait le sexe, couille et la cage avec force et il s'amusait à me tripoter les couilles. Il ne faisait pas semblant, il me tripotait et me faisait un peu mal, surtout que je bandais.


Il bande ! Déclarait-il aux autres en reprenant sa place.


Thomas me faisait tourner sur moi-même, nous nous retrouvions face à nos spectateur mais de profil. Avec douceur, je ne résistais pas et l'usage de la force était inutile, Thomas appuyait sur ma nuque en me tirant vers lui avec l'autre main sur mon ventre. Je me repliais en deux et m'appuyais sur une table basse.


Tout était prévu et Thomas m'avait déjà lubrifié le cul, après une telle soirée, j'étais bien ouvert et j'étais aussi en confiance avec Thomas. Dans ses bras je me sentais en sécurité.


Il reculait, je le sentais prendre position son gland juste contre mon anus. Je respirais bien à fond, il me déposait un baiser très doux sur le haut de mon dos puis sans prévenir il s'enfonçait en moi dans un mouvement rapide et ferme. Je relevais la tête en poussant un long gémissement. No spectateurs applaudissaient et criaient de plaisir.


Un d'entre eux ouvrait son pantalon et sortait sa queue. Il bandait et quelques instants plus tard il se branlait. Quelques minutes plus tard ils se branlaient tous les quatre.


Thomas me limait le cul, lentement, longuement, il avait des mouvements amples. Il se retirait presque totalement et revenait bien à fond, lentement, il ne me bousculait pas et le plaisir montait. J'avais déjà joui plus tôt, au boulot, et là je sentais le plaisir monter de nouveau, encore un peu plus haut, encore un peu plus intense. Déjà je tremblait.


Un de nos hôte se levait et se dirigeait vers moi, il se mettait devant moi et me glissait sa queue dans la bouche. Il me prenait la tête et me retenait pendant qu'il m'enfonçais sa queue plus profond, bien à fond dans ma gorge.


Les trois autres de nos hôtes retiraient tous leurs vêtements, ils venaient vers nous. L'un attrapait Thomas et à deux l’entraînaient un peu plus loin. Je jetais un œil quelques instant plus tard, Thomas était allongé sur le dos les jambes en l'air. Un des deux hommes lui défonçait joyeusement le cul et l'autre s'amusait avec sa bouche.


C'était la première fois que je voyais mon doudou de faire enculer avec quelqu'un d'autre que nos potes de la boite.


Personne ne me prévenait mais le dernier de nos hôtes, je l'avais presque oublié celui-là, arrivait dans mon dos et m'enculait sans autre formalité. Il m'attrapait avec force et glissait une main sur mes couilles. Il me tripotait vigoureusement et par moment me faisait un peu mal. Ça fait parti du plaisir, enfin de leur plaisir.


Il me limait avec force, avec une certaine violence même. J'encaissais sans difficultés, j'encaissais même avec un certain plaisir. Puis brusquement, sans prévenir les deux hommes qui étaient sur moi décidaient de me retourner. Je me retrouvais alors sur le dos, un d'entre eux me soulevait et m'écartait bien les jambes et m'enculait avec toujours autant de violence.


J'avais l'impression que j'allais exploser de plaisir. J'étais tellement bien dilater qu'il entrait tout seul, bien lubrifié aussi, ça ne résistait pas. Le second écartait bien les jambes, juste au dessus de mon visage et m'enfonçait sa queue dans la gorge.


Ma queue ne manifestait plus, mais plus du tout. Je la sentais bien, sur tout que ces deux mabouls s'amusaient avec mes couilles sans ménagements. Mais ma queue ne manifestait pas, elle restait molle, grosse, ça oui mais molle. C'était une grosse qui prenait toute la place dans la cage et je suis sûr que ça aurait été très agréable si les deux clients avaient arrêté de m'écraser les couilles.


Je ne pouvais plus bouger ils m'immobilisaient tout les deux, je ne pouvais même pas tourner la tête et je n'entendais rien. J'avais les cuisse de l'un sur les oreilles. Ils me retenaient tous les deux par les chevilles.


Ils changeaient de position. Ils avaient tous les deux une grosse bite et finalement ça ne changeait pas grand chose. Pendant de très longues minutes ils me limaient avec force, avec vigueur. Ils changeaient de rythme, de position de nouveau et avant que j'ai eu le temps de réagir, c'étaient les deux autres hommes qui étaient sur moi.


Un d'entre eux avait une queue particulièrement grosse. Je n'arrivais pas à la prendre dans la bouche comme je le voulais mais dans mon cul, ça passait.


Celle là, je l'ai sentie passer, je vous jure, et si j'avais eu la bouche vide, j'aurais hurlé. Celui là il ne me faisait pas mal aux couilles mais au cul. J'étais sonné, c'était de la folie, j'ai tenu le coup, je n'ai pas faibli. Ils étaient surpris quand je refermais mes jambes et que je tentais de le retenir de toutes mes forces. Ils ont décidé de faire une pause.


Chacun d'entre eux avait joui plusieurs fois, ils étaient bien allumés et arrivé à ce moment de la soirée, enfin de la nuit, ils bandaient mou. Thomas n'avait pas ce problème, mais dans son cas, c'est pas humain. Il bandait sur commande, moi je n'avais pas cette aptitude.


Je bandais mou également, j'avais une grosse queue qui se faisait bien remarquer tant elle remplissait la cage mais elle n'exerçait aucune pression. C'était même confortable. Je sentais bien les barreau de la cage, je me sentais bien confiné mais c'était sans aucune pression, sans aucune douleur, sans aucune gêne. C'était même agréable.


Trois de nos hôtes s'étaient endormi, enfin un avait disparu, deux étaient sur le fauteuil et le dernier était en train de négocier avec Thomas. Thomas m'a confirmé que j'avais fait bonne impression, ça leur avait plus un petit gars tout mignon qui encaisse et qui garde tout le temps sa queue renfermée.


On n'avait pas donné d'explications, on ne leur avait pas dit que je n'avais pas la clé, que j'appartenais à un mouvement religieux chaste. Que si je ne récupérais pas la clé, je resterais comme ça pendant probablement très longtemps. On ne leur avait pas expliqué qu'on ne peut pas quitter le groupe religieux auquel j'appartenais.


On avait traîné encore un moment un des hommes voulait que je le suce. Je ne me faisais pas prié, vu le montant qu'ils nous offraient pour s'amuser avec nous. Thomas nous regardait, ensuite on terminait la soirée, j'avais de plus en plus de mal à rester éveillé et je laissais nos hôtes s'amuser avec mes couilles et ma cage. Mes couilles se resserraient sous ma cage et formaient une grosse boule, une double grosse couille.


Quand on est reparti le jour se levait, j'étais épuisé. Thomas conduisait, il décidait de rentrer terminer la nuit à la boite de nuit. C'était le plus près, et c'était sur la route vers l'appartement.


Nos clients de la nuit nous avaient pressé jusqu'à la moelle,je me sentais vidé, épuisé et vidé. Je m'écroulais et m'endormais, pourtant le jour se levais. Encore un ou je n'irais pas à la fac, encore un ou je me ferais remarqué, encore un jour ou, cette information serait rapportée à ma famille.


C'est là que j'ai réagi. J'avais complètement oublié mon confesseur, enfin si c'était bien lui. Là j'avais un doute, était-ce bien lui que j'avais vu la veille au soir, était-ce bien lui ? À ce moment j'avais un doute, et je m'endormais à moitié rassuré.


J'avais rêvé, ce n'était pas mon confesseur que j'avais vu la veille.


L'après midi était déjà commencé quand je me réveillais, l'équipe était encore au petit déjeuner, avec Thomas nous les rejoignions. On était reposé, comme je vous le disais, on ne buvait pas. Pas d'alcool je veux dire aussi nous n'avions pas la gueule de bois, on s'était couché très tard c'est tout. Le bar man de la boite venait me donner mon téléphone, je l'avais oublié la veille. Distraitement je vérifiais mon courrier.


Il y avait plus de cinquante mails qui avaient tous été envoyé dans la nuit.


Finalement je devais me rendre à l'évidence, c'était bien mon confesseur que j'avais vu la veille avant de quitter la boite.



A suivre




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Jeune adulte 17 Ça continue

Jeune adulte 17 Ça continue



Non mais c'est vrai, jusque là j'avais toujours fait ce qu'on me demandait. J'avais même accepté de porter une cage de chasteté parce que c'était dans nos coutumes, pourtant je vous jure que c'est quelque chose ça. C'est vrai que maintenant j'avais découvert un autre plaisir, et finalement j'avais bien l'impression de ne pas perdre au change.


C'est à ce dispositif que je devais mon succès. C'est vrai que j'avais, j'avais eu peut être, je ne sais pas comment dire, mais au départ j'avais une belle bite, si je me souviens bien. Maintenant c'était mon cul que tout le monde convoitait. Et ça me plaisait de plus en plus.


Ce soir là je suis sorti tôt, j'avais décidé de me faire un petit restau, je choisissait un chinois. Je veux dire un restaurant chinois, sinon c'est pas comme ça que je l'aurais dit.


J'aurais dit … ' Je me faisais un chinois ! ' . Vous remarquerez la subtilité du langage. J'invitais Thomas, on était vendredi et ensuite on traînerait dans un bar puis un autre avant d'aller en boite.


J'avais débranché mon téléphone, je ne voulais pas être dérangé à chaque instant. Et de toutes façons, je ne pensais qu'à une chose … M'éclater !


J'ai appris plus tard que mes parents avaient attendu jusqu'à minuit !


On est arrivé dans la boite comme des vainqueurs, on chantait. Oh ce n'était pas l'alcool, on chantait parce qu'on était content c'est tout. La soirée est monté en température très vite, on s'était mis à poil, on se préparait déjà pour le spectacle.


La boite de nuit se remplissait rapidement, la musique prenait toute la place et la soirée était lancée. Tout le monde remuait son cul sur la piste, quelques uns remuaient et montraient leurs culs sur la scène et le spectacle commençait. Comme d'habitude, les sketchs érotiques se succédaient, les strip-teases aussi et par moments la scène était envahie par des clients parmi les fidèles qui venaient danser avec nous, l'équipe de la boite.


Comme d'habitude je terminais à poil, ne gardant sur moi que le petit truc que je ne pouvait pas retirer et mon harnais. Thomas était particulièrement déchaîné ce soir là. Il montait sur scène, se glissait entre les clients. C'était au moment ou la scène était ouverte à tous. Il était à poil, lui aussi ne portait qu'un harnais et il bandait, il s'approchait de moi, se plaçait juste devant moi.


Tout autour de nous des mecs dansaient, ils se glissaient contre nous, leurs corps contre le notre. Je pouvais voir des mains glisser sur le corps de mon doudou Thomas. J'en oubliais presque celles qui glissaient sur le mien, sur mes fesses, sur mes couilles.


Thomas s'approchait de moi jusqu'à me toucher, il me prenait dans ses bras et m'embrassait. On glissait l'un sur l'autre, nos corps glissaient l'un sur l'autre. Je sentais sa queue se redresser entre mes cuisses et me soulever les couilles, je le retenais fermement contre moi. Il me tenait dans ses bras avec force.


On dansait, le DJ passait la séance de slows, j'appréciais la douceur de sa peau et sa chaleur. Par moment j'avais même l'impression qu'il était le seul à me toucher, j'en oubliais les autres mains qui glissait partout sur mon corps. Je ne ressentais que la peau de Thomas, les caresses de Thomas, le corps de Thomas. Il était là juste devant moi et moi j'étais là dans ses yeux.


Il me faisait tourner entre ses bras. Je glissais mes bras dans mon dos et continuais à le caresser comme je pouvais. Il penchait son visage sur moi et m'embrassait dans le cou, je penchais ma tête en arrière. Il me retenait en glissant ses mains sur mes cuisses. Et les autres mains me caressaient sur le reste de mon corps, et me tripotaient les couilles.


Plusieurs doigts tentaient l'intrusion ultime et cherchaient à se glisser dans mon cul. Plusieurs y parvenaient, et c'était un nouveau plaisir plus intense et plus pénétrant qui me faisait vibrer. Je respirais fort et je râlais de plaisir.


C'était Thomas qui me lubrifiait le cul, là je le reconnaissais. Il mettait une grosse dose de gel et quand il jugeait que c'était suffisant, il prenait un peu de recul, juste ce qu'il fallait pour se positionner et revenait vers moi dans un mouvement lent, et c'est doucement que sa queue s'enfonçait dans mon anus.


De nombreuses autres mains, me caressaient les fesses, un doigt par ci, par là tentait lui aussi une intrusion et glissait dans mon cul. Je me cambrais, mais ce n'était pas uniquement à cause des ces doigts qui s'invitaient c'était du à la grosse queue de mon doudou. Il savait ce qui me faisait réagir le bougre.


Je me penchais en avant, il me retenait et me pénétrait plus facilement. Plus facilement pour moi bien sûr.


Il me tirait en arrière, mon corps se cambrait et je le sentais glisser en moi mais avec plus de force. Mon cul se resserrait dans cette position, et je le sentais plus, bien plus. Il aimais bien quand ça forçait un peu et ne se privais pas de me retenir dans cette position, cambré en arrière.


J'aimais bien quand ça glissait moins bien, quand je devenais plus étroit et je ne résistais pas à sa manière de me retenir, de me tirer vers lui, de me pénétrer. Bien au contraire, j'en redemandais.


Et toujours des mains partout sur mon corps, sur mes couilles. Certains aussi en profitaient pour m'embrasser, je rendais un baiser pour chaque baiser volé.


Par moment un groupe, une grappe s'accrochait à moi et à Thomas et nous étions comme porté, transporté. Pas moment je ne touchais plus le sol et je vous jure qu'à ce moment je la sentais bien la queue de Thomas, c'était douloureux, délicieusement douloureux. Je criais mais il n'y avait personne pour m'entendre et me venir en aide. Heureusement, je n'avais aucune envie de me faire secourir.


Avec force et régularité la queue de Thomas glissait dans mon cul. Il l'enfonçait bien à fond et poussait alors encore de toutes ses forces. Je râlais, je criais, je gueulais et Thomas ne me lâchait pas, ne faiblissait pas.


Je ne sais pas combien de temps ça a duré, je sais seulement que je l'ai senti passer.


Thomas s'est retiré, je me suis retourné vers lui et je l'ai pris dans mes bras, je l'embrassais alors avec passion.


Je sentais un mec juste derrière moi qui prenait position, il avait baissé son pantalon et c'est une queue énorme qu'il plaçait juste face à mon cul. Je passais une main derrière et je surveillais ce qui se passait.


Il m'enfonçait sa queue dans le cul, comme ça, sans rien demander à personne. Thomas voulait réagir mais je le retenais. Il se contentait alors de me tenir dans ses bras. C'est un pro vous savez, il surveillait et gardait le sourire.


L'autre mec, je ne savais même pas qui c'était me burinait rapidement. Il s'enfonçait sans aucun ménagement, sans aucun respect pour moi, puis se retirait avec tout autant de force. Il revenait alors et ressortait, il ne cessait d'accélérer le mouvement.


Partout autour de nous, il y avait une foule qui dansait, plusieurs avaient baissé leurs pantalons et se masturbaient. D'autres encore se mettaient à genoux et suçaient toutes les queues qui arrivaient à leur porté.


Plus d'une fois c'était la fièvre dans cette boite mais ce soir là, c'était le top. On n'a jamais fait aussi chaud depuis.


Autour de nous, plus personne ne dansait, autour de nous c'était une partouze. Un enculait l'autre en se faisant enculer par un mec qui lui même ... On a vu une queue leu leu comme ça de près de cinquante personnes. Mais c'était totalement exagéré, je dirais, tout au plus cinq ou six, ce qui est déjà bien.


Mais il y en avait plusieurs.


Le gars qui me limait, qui me démontait proprement le cul continuait à me limer et je le sentais trembler, c'est tout ce que j'ai senti au moment ou il a joui en moi. Quelques derniers coup de bite particulièrement violents, puis plus rien, il ne bougeait plus, il marquait une pose avant de se retirer.


Thomas a réagi immédiatement, il m'entraînait dans les coulisses, là personne n'était autorisé à nous suivre.


Ensuite tout s'est calmé.


La tension est retombée.


Tout le monde semblait un peu sonné. Quand je dis tout le monde je parle des clients, pour ce qui est de l'équipe, Thomas et moi étions les seuls à avoir participé à ce moment de délire. Nous aussi nous nous calmions.


J'avais mal au cul mais j'étais content !


Vous devez l'avoir compris, il ne me faut pas grand chose à moi pour que je sois content. Dans un premier temps c'est en rigolant que Thomas comptait mes suçons, je comptait les siens. Plusieurs m'avaient mordu aussi, dans ce moment de fièvre je n'avais rien senti, mais il y avait tout de même des marques de dents.


On a modifié le programme, ma prestation et celle de Thomas a été annulé pour qu'on puisse s'en remettre. Mais après ça pendant le reste de la soirée l'ambiance était étrange, il y avait la moitié de la salle qui était survoltée et l'autre moitié était anormalement calme.


On s'est fait engueuler par le boss. C'est pas qu'il n'avait pas aimé mais, c'était déplacé, il nous a fait toute une histoire, nous disant que c'était un établissement honorable et respectable …


là d'accord, tout le monde rigolait. Mais c'est vrais que c'était un peu trop, et que trop c'est pas toujours bon pour le commerce. Le Bar n'a pas fait une recette record, c'était plutôt le contraire.


Mais c'est vrai, le boss avait raison quand il nous disait.


Pendant que les clients s'enculent, ils ne picolent pas !


Enfin on était content, on avait bien rigolé. Thomas me proposait de le suivre pour le reste de la soiré, il avait une soirée et son client lui avait demandé s'il n'aurait pas un copain avec une cage à bite.


La demande était assez rare. Des clients qui en portaient, ça c'était pas si rare que ça mais des clients qui en demandaient c'était plus rare. Mais c'était déjà arrivé. En plus il avait négocié le tarif et c'était un tarif élevé.


Je l'embrassait et lui répondait oui.


Ce serait une première pour moi, et une avancée dans ma carrière. La soirée se terminait. Avec Thomas nous décidions de partir un peu plus tôt. Il y avait une ambiance terrible et à un moment je remarquais cette silhouette dans un coin, une silhouette qui ne bougeait pas, ne se faisait pas remarquer mais qui me semblait familière. Je ne pouvais pas voir les traits de son visage avec l'éclairage de la boite.


Moi j'étais sous la lumière, sous les projecteurs, j'étais presque nu et ne portais que ma cage de chasteté et je m’exhibais sur la scène, je dansais, je remuais mon cul et j'excitais la foule. On hurlait mon nom, j'étais une star, j'étais le roi de la soirée et c'était comme ça à chaque soirée que je pensais dans cette boite.


Je finissais par saluer, Thomas venait me rejoindre et saluait aussi. On prenait le micro pour souhaiter une bonne soirée à tout le monde puis, sous les cris de cette foule que nous avions chauffée pendant plusieurs heures on disparaissait dans les coulisses.


Elles sont bien équipées, il y avait une douche, rapidement on se douchait, on s'habillait et on se glissait comme on pouvait vers la sortie, peut être en se disant qu'il faudrait penser à installer une sortie de secours pour nous.


Les clients ne voulaient pas nous laisser partir et il fallait se frayer un passage, on devait promettre que nous serions de retour le week-end suivant.


Et c'est là que je l'ai revue, cette silhouette familiale mais là je l'ai reconnu, c'était mon confesseur, celui qui depuis mon enfance avait toute ma confiance.


Il me regardait partir, sans faire un geste, sans essayer de parler …



A suivre



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    Et enfin voilà la suite de l'histoire cette tant attendue, ça faisait un moment mais non, elle n'est pas finie .

 prévu pour le 29/10




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Do it "yourcherlfe" , comme ils disent les américains ...












IL ETAIT UNE
FOIS
Pour une fois c'est pas une fiction, c'est du vécu raconté
avec passion, émotion, rythme ... 
Et en plus il y a des images ... 



Les pages sont reliées ( à la main )
par groupe de 5


Toute la famille Brosso
Djé  -  Philippe  -  David

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Bonne lecture et surtout n'hésitez pas à me retrouver sur

TWEETER

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Le jeune Denis Ep04 Découverte

 Le jeune Denis Ep04 Découverte




Non il n'y avait pas que les déviants qui pensaient au sexe. Ils y pensaient bien sûr mais eux, c'était les seuls à le pratiquer. Les puritains qui portaient ce saint dispositif y pensaient mais le faisaient pas alors que les déviants le faisaient puis pensaient à autre chose.


Denis qui était sensé ne plus penser au sexe, en fait ne pensait plus qu'à ça. Le calme et la sérénité ne revenait pas. Denis restait sous pression, sous tension le reste de la journée.


Le soir, il lui semblait que ses camarades étaient tous parfaitement détendus. Mais une fois dans le lit. Ce n'était plus que soupir de fatigue, soupir d'inconfort. En plus ils étaient tous entre garçons. Que des mâles jeunes.


Les chambres avaient quatre occupants, un plus âgé. Dans la chambre de Denis c'était Jeremy, il avait vingt ans. Ensuite il y avait Damien qui état plus jeune de deux ans. Lucien qui ne portait la cage que depuis six mois et Denis qui commençait son séjour avec un peu plus d'une semaine. C'était lui le plus jeune mais tous la portaient depuis qu'ils avaient l'âge de Denis.


L'idée était simple, les plus âgés devaient aider les plus jeunes. Les encourager, les soutenir, veiller que tout se passait bien pour eux.


L'idée de ce séjour était simple, il y avait surtout des activités sportives, le but était de les fatiguer. Il y avait un grand lac et le ski nautique était au programme, balades en forêt et tout ce qu'on peut imaginer. Le soir il y avait un feu dans le jardin tout le monde se réunissait autour et se racontait des histoires qui font peur.


Bien sûr aucune de ces activités n'étaient obligatoires. Chacun faisait comme il l'entendait. Ce n'était pas une prison … De temps en temps Denis ressentait le besoin de se retrouver seul. On le laissait tranquille, il partait alors se promener dans la campagne, on lui demandait simplement de ne pas prendre de risque et de ne pas trop tarder à revenir.


Ça c'était la version officielle.


En fait Denis se sentait attirer vers la maison ou habitaient les ouvriers, vous savez les déviants qui ne sont pas fréquentables. Ce jour là il a bien failli se faire repérer par un de ouvriers se promenait lui aussi, il était torse nue, son corps magnifique attirait Denis. Il était comme hypnotisé par ce corps bronzé et musclé. Il avait un ventre plat, une douce fourrure brune, et un bermuda.


Ce devait l'heure de la pause, Denis ne comprenait pas vraiment quand les ouvriers travaillaient, le jardin était parfaitement entretenu, tous les travaux étaient faits avec sérieux mais Denis ne voyait jamais personne travailler à l'extérieure de la maison. C'est vrai qu'il n'y était pas toujours. Les occupants était souvent absents pendant la journée.


Denis décidait de suivre ce personnage.


Ce jour là il a bien failli se faire repérer deux fois. Une autre employé prenait la même route que le premier. Denis le remarquait avant que lui ne le remarque. Denis savait qu'il ne devait pas venir là ou il était, on lui avait toujours dit qu'il ne fallait pas fréquenter les déviants. Et là justement c'est parce qu'ils étaient déviant qu'ils les suivait.


Denis aurait du avoir honte de ce qu'il faisait ici. Il plongeait dans un buisson et se faisait tout petit. Le second homme passait sans le voir. Il était lui aussi torse nue et aussi beau que le premier. Enfin Denis le trouvait très beau, il n'était pas habitué à voir ces corps nus, ces corps bronzés, ces corps si attirants.


Denis décidait de les suivre.


C'est au milieu d'une carrière qu'ils se retrouvaient. Ils échangeaient un sourire et s'approchaient l'un de l'autre. Puis très décontractés, ils se prenaient dans les bras et s'embrassaient.


Les bras de l'un se refermaient sur les épaules et le dos de l'autre. Les torses étaient comme attirés l'un par l'autre. Ils se serraient très fort l'un contre l'autre et Denis était tout retourné de voir cette passion, ces baisers passionnés et chauds.


Chacun caressait l'autre. Les baisers couraient sur les épaules de l'un, sur le torse de l'autre et Denis avait l'impression que sa tête allait exploser et que sa cage était une torture qui ne prendrait jamais fin.


Un instant il se sentait projeté dans le futur, une instant il se voyait à côté d'une femme qui ne lui donnerait aucun plaisir, un instant il prenait conscience que sa cage, c'était pour toujours.


Il avait envie de sauter hors de sa cachette et de saisir ces deux hommes, de les embrasser lui aussi, de ne plus les lâcher, de les caresser. Il avait une violente envie de sentir leurs corps chauds et forts contre le sien. Mais c'était interdit, les puritains ne se permettent pas de telles choses, de tels plaisirs.


Denis restait comme paralysé, il restait dans sa cachette et regardait la scène de loin, depuis sa cachette, il voyait tout ce qui se passait mais on ne le voyait. Il avait brusquement honte de lui. Il était devenu un pauvre voyeur, un minable voyeur.


Mais il ne pouvait rien y faire, il ne pouvait pas détourner le regard. Ces deux hommes étaient tellement beaux et tellement sexy. Leurs peaux brunies par le soleil montraient des muscles fins qui roulaient et montraient leurs passions et leurs forces.


L'un se penchait et en s'inclinant il caressait le torse de son partenaire avec ses lèvres et sa langue, lui mordillait les tétons en le faisant gémir. Puis accroupi devant lui il lui ouvrait son pantalon, en sortait sa queue qui déjà était bien grosse et le prenait dans sa bouche.


'' Mais qu'est ce qu'ils font ! '' s'exclamait Denis dans sa tête. Il se raidissait et sa queue lançait une attaque pour se dégager de sa cage. Dans la famille de Denis on ne parlait jamais de sexe et il n'aurait jamais eu l'idée de faire une chose pareil.


Mais il devinait que ça devait être très agréable. Les gémissements non stimulés de l'ouvrier qui était resté debout en témoignaient. Et l'autre semblait y prendre un certain plaisir également. Il y mettait beaucoup de douceur. Il prenait la queue de son partenaire complètement dans sa bouche, elle disparaissait au fond de sa gorge puis il reculait la tête et la queue ressortait.


Il avançait sa tête et tout recommençait.


Suivaient des caresses, il glissait ses main derrière les fesses de son camarade et le tirait vers lui goulûment. Denis voyait ça et ne restait pas indifférent. Il savait qu'il ne pourrait jouer qu'un seul des deux rôles et maintenant il en avait envie.


Il fermait les yeux, seulement quelques seconde et se voyait à la place de garçon superbe qui était à genoux et qui semblait aimer faire plaisir à son partenaire.


Les deux hommes s’entraînaient lentement dans une valse de plaisir, un pouvait jouir et l'autre pouvait … Pouvait-il réellement prendre du plaisir ? Denis ne comprenait pas tout, c'était nouveau pou lui tout ça. Tout ce qu'il connaissait, ou presque, de la sexualité c'était la masturbation puis cette idée de négation du plaisir, cette obligation de la chasteté. Il avait accepté avec plaisir cette situation mais sans en mesurer toutes les contraintes.


Sa queue le torturait de nouveau, depuis son arrivée dans cette colonie de vacances c'était devenu une habitude. Une habitude à laquelle il ne s'habituait pas vraiment. C'était désagréable et quand la tension devenait plus intense, c'était douloureux.


Sa queue ne s'habituait toujours pas à ce confinement dans une cage minuscule.


Les deux hommes continuaient à partager ce moment de plaisir. Celui qui était debout appuyait sur la tête de l'autre qui ne montrait aucune fatigue et avalait toujours avec une grande facilité la queue de son camarade.


On pouvait le deviner elle entrait réellement dans la gorge. Denis finissait par remarquer le détail. La gorge du suceur gonflait quand la queue de son partenaire s'y engouffrait. Il faisait des bruits bizarres, par moment il retirait complètement sa tête et à ce moment il léchait le pénis de son partenaire, il le léchait comme on lèche une glace et qu'on est un gros gourmand.


Sa langue sortait de sa bouche et s'écrasait contre la queue de l'autre. Il lui léchait aussi les couilles. C'était beaucoup pour Denis tout ça, la tête lui tournait, il a bien cru défaillir. Le décor tournait mais il y avait cette douleur entre ses cuisses qui le maintenait en éveil, qui le maintenait très conscient.


Puis les mouvements des deux hommes devenaient plus rapides, l'un appuyait sa tête, l'autre la maintenait bien en place et Denis pouvait voir les lèvres et cette succion qui n'était plus discrète. Il tentait d'avaler la queue en entier et de la garder. Quand il avait besoin d'air il se dégageait, enfin il tentait de se dégager mais son partenaire essayait lui de le retenir un peu plus, un peu plus longtemps.


Celui qui était resté debout, qui au début ne faisait rien et laissait son partenaire, le retenait maintenait désormais avec force. Il prenait le contrôle de la situation. Il retenait la tête de son partenaire qui se contentait d'ouvrir la bouche et de recevoir la queue de l'autre qui ne se privait plus de la lui fourrer dans la gorge sans ménagement.


Celui qui était à genoux commençait à souffrir, il pleurait, mais ce n'était pas de tristesse, seulement de l'effort nécessaire. Il avait le visage couvert de salive mais ne voulait pas lâcher il en redemandait, il en redemandait toujours plus.


Son visage s'écrasait sur le ventre de son camarade qui gémissait de plaisir plus fort à chaque fois que sa queue s'enfonçait dans la bouche de son partenaire et disparaissait dans sa gorge.


Puis brusquement, celui qui était debout poussait un cri de plaisir. Il appuyait alors sur la tête de son partenaire pour le retenir malgré ses efforts pour se dégager.


Denis voyait alors couler de la bouche un liquide blanc et épais. Denis qu'au moins un des deux devait prendre beaucoup de plaisir. Mais l'autre .


Les deux corps se détendaient, les muscles se relâchaient. Le gars à genoux se relevait, du sperme coulait de sa bouche. Denis aurait du trouver dégoûtant mais il trouvait ça surtout excitant.


Sa queue protestait plus fort que jamais. C'était vraiment douloureux et Denis essayait en vain de réajuster le dispositif en tirant sur la peau.


Les deux hommes avaient disparu. Denis les apercevait, ils s'éloignaient en direction de leur maison.


Denis est resté un moment sans bouger l'après midi avançait. Les ouvriers devaient travailler le soir, la pause allait prendre fin. Mais Denis était préoccupés, sa cage lui faisait mal. IL décidait de revenait à la pension et de prendre une douche froide.


Il se glissait dans la salle bain en glissant contre les murs. Jeremy le remarquait et le retrouvait dans la salle de bain.

On dirait que tu as des problème Denis ? Demandait Jeremy, c'était sa mission de veiller sur les plus jeunes.

Non ça va ! Bafouillait Denis.

J'ai pas l'impression ! Répondait Jeremy.


Denis finissait par lui montrer sa cage. Sa Queue était complètement congestionnée, ratatinée et la peau ressortait par les trous d'aération.


Et bien mon bonhomme, tu t'est mis dans un état. Tu sais il faut essayer de penser à autre chose quand on porte un truc comme ça. Bon c'est pas bien grave, si ça ne passe pas on en parlera à l'infirmier.

Je pensais prendre une douche bien froide ! Rajoutais Denis sur un ton pas vraiment convaincu.

C'est une très bonne idée mais en attendant je connais un truc qui pourrait te calmer.

Vrai ?

Tu me fais confiance ?

Bien sûr !

C'est un peu spécial mais en général c'est efficace.

Ok ! Jeremy, vas y !

Tu te retournes et tu te penches en avant !


Denis s'exécutait, Jérémy lui caressait les fesses, oh sans insister. Il glissait un doigt entre les fesses de Denis et sans prévenir lui enfonçait un doigt dans le cul. Il ne le préparait pas, et son doigt est entré, de deux deux phalange au moins, a sec .


Denis à poussé un gémissement de douleur légère à moins que ce soi aussi de plaisir et en même temps éjaculait. Il éjaculait avec un intense plaisir. Ensuite Jeremy le laissait prendre sa douche. Il s'inquiétait de son état un peu plus tard. Tout semblait aller mieux.


Plus tard Denis a passé une très bonne nuit, le lendemain Jérémy demandait à le voir pour vérifier si tout allait bien. La congestion avait disparu. Il l'envoyait consulter l'infirmier par mesure de prudence. L'incident était terminé.


Mais Denis ne devais jamais oublier cette sensation de douleur légère suivie par ce plaisir intense. Denis venait d'apprendre qu'on pouvait prendre du plaisir avec le cul. Jamais il ne l'aurait seulement supposé avant !


A suivre



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Le jeune Denis Ep03 La pension est confortable

 Le jeune Denis Ep03 La pension est confortable



Plus personne ne parlait pendant le reste du voyage, il restaient plusieurs heures qui passaient lentement au rythme du balancement de la calèche. Elle était confortable et les deux jeunes se seraient certainement endormis sans cette pression douloureuse au niveau de leur cage à bite.


Le pression ne baissait pas vraiment. Pour Denis, ça avait commencé au moment du réveil, puis elle s'était maintenue et depuis qu'ils avaient vu le cocher se branler devant eux, rien que pour leurs yeux et son propre plaisir, ils restaient en érection.


La cage était définitivement trop petite. Les deux jeunes ne disaient rien mais ils ne parvenaient toujours pas à se détendre au moment ou ils arrivaient à la ville. Le cocher comme prévu les conduisait directement à la gare et repartait.


Ils déposaient leurs bagages à la consigne puis cherchaient un endroit ou se restaurer. C'est qu'on était déjà au début de l'après midi. La calèche, c'est bien, c'est confortable, on est bercé, c'est moderne aussi mais … Ça va pas vite et il y a de nombreux kilomètres de la maison à la ville.


Avant d'aller plus loin, ils se restauraient, il y avait une brasserie très chic juste à côté de la gare. Puis ils faisaient un peu de lèche vitrine, il se promenaient dans le quartier puis tranquillement revenaient à la gare. Leur compartiment était prêt, ils voyageaient en première et comme ils avaient réservé une couchette, ils pouvaient profiter d'un compartiment rien que pour eux.


Le contrôleur leur souhaitait un bon voyage avant de refermer la porte du compartiment. Les compartiments ne communiquaient pas entre eux par un couloir comme c'est le cas sur les trains plus modernes. Là chaque compartiment avait une porte qui ouvrait directement sur la voie.


A l'heure prévue le train la STER ( Société des Trains En Route ) tenait beaucoup à sa réputation de ponctualité et ne les aurait pas attendu. Ils se penchaient par la fenêtre pour faire au revoir à tout le monde. Ils ne connaissaient personne mais les autre voyageurs le faisaient alors, il le faisaient également. Ensuite ils s'installaient et discutaient.


Ça va mieux toi ? Demandait Charles.

Moi ? Mais ça va toujours. Pourquoi tu me demandes ?

Tu ne vas pas me dire que tu n'as pas un peu de pression au niveau de ta cage. – Moi c'est l'enfer depuis que l'autre s'est branlé devant nous.

Ce sale type doit être méchant. Répondait Denis.

Pourquoi tu dis ça ?

Il avait une grosse bite !

Tu dois avoir raison ! Acquiesçait Charles.


Le train roulait à sa vitesse maximum, les deux jeunes aimaient regarder le paysage et se pencher par la fenêtre, le déplacement produisait un vent qui les amusait. Ils étaient dans la seconde voiture après la locomotive. Elle entraînait le convoie à la vitesse vertigineuse de plus de quatre vingt kilomètres heures.


A une telle vitesse on y sera avant demain matin. Faisait remarquer Charles.


Ils finissaient par oublier leurs cages, ils se détendaient et se sentaient mieux. Leurs queues se dégonflaient et leur cages reprenaient une taille plus adapté à leur morphologie.


Alors on mange quoi ce soir ? Demandait Denis en prenant le menu repas.

Ça marche comment ça ? Demandait Charles.

C'est simple, on remplie le menu, on le donnera au contrôleur au prochain arrêt et à l'arrêt de vingt heures, on viendra nous servir lors de l'arrêt détente avant la nuit.


Ils s'activait à remplir leur menu, déjà ils salivaient rien que d'y penser. Bien vous l'aviez compris, ce service n'était disponible que pour les premières. Les secondes, troisièmes et quatrièmes classe devaient se débrouiller. Il y avait des stands à sandwich dans toutes les gares, mais le choix n'était pas garanti.


Tout se passait comme prévu, au dernier arrêt avant la nuit, on venait les chercher pour leur proposer un verre dans le bar des première, c'était dans la gare, pas dans le train. Pendant ce temps des employés s'activaient pour leur préparer les couchettes et leur servir leur repas qu'ils retrouvaient sur une table pliante dans leur compartiment.


C'était un service haut de gamme mais ils étaient habitués à ça.


La fatigue provoquée par toutes ces émotions les mettait au lit très tôt. Ils n'ont pas trop mal dormi, bercé par le roulement de la voiture et le ronronnement de la locomotive mais réveillé, endoloris par leurs cages. Mais là aussi ils commençaient à être habitués.


Le lendemain, c'est la sirène du train qui les réveillait. Le train était en gare, ils étaient arrivés un peu plus tôt et seuls ceux qui en avaient fait la demande avaient été réveillé. La STER ( Société des Trains En Route ) avait laissé les passagers ( de première uniquement ) terminer paisiblement leur nuit.


Une calèche, les attendait. Le cocher venait récupérer leurs bagages, et les deux jeunes encore en partie endormis et endoloris par leur érection matinale s'installait à l'arrière.


Mon frère m'a dit qu'on finissait pas supporter la cage le matin. Déclarait Denis.

On m'a même dit que ça devenait agréable ! Rajoutais Charles.

Je crois quelquefois qu'on nous raconte n'importe quoi ! Concluait Denis.


D'autres calèches attendait, ils n'étaient pas les seuls a venir à cette colonie de vacances, c'est finalement cinq voitures qui repartaient et se suivaient vers leur destination.


La maison ou ils se rendaient, la fameuse colonie de vacances, était une grande et belle maison. Plus d'une centaine de chambre, quatre lits par chambre. C'était un confort acceptable pour les vacances, surtout que ce serait une ambiance détendue.


Il y avait une bonne quarantaine d'employés, que des hommes et tous portaient une cage à bite bien sûr. Mais nous nous dispenserons de vérifier, ce serait déplacé !


Ils étaient tous alignés devant la porte principale. Plus loin un groupe moins coordonnés regardait les opérations, c'était le petit personnel, les jardiniers, les maçons, les charpentiers qui entretenaient la maison et faisaient les basses œuvres. Ils étaient tous des déviants, il était déconseillé de trop les approcher.


C'est eux que regardait Denis. Ils leur trouvait sans doute des charmes que ses camarades ne remarquaient pas.


A ce moment précis il sentait sa queue se réveiller, elle s'était un peu calmée depuis la gare, juste un peu mais ça fait tellement de bien.


Le pauvre Denis avait la chance, ou peut être la malchance d'être né dans une famille riche et puritaine. Son âme était protégée lui garantissant le paradis mais en attendant. Quelquefois, le paradis il s'en moquait, là il était en enfer.


Sa queue le torturait, et il y avait des tentations juste là. Denis les trouvait sexy, il pensait que eux, pouvait bander, se branler, se faire plaisir.


Mais que lui arrivait-il à ce pauvre garçon ?


Après s'être installé, Denis décidait de faire un tour dans le parc. Au fond du p arc il y avait un zone boisée, elle constituait une sorte de limite, c'était là que les employés déviants étaient logés, ceux qui justement constituaient le groupe en retrait au moment ou ils étaient arrivés.


Ils avaient des vêtements de travailleurs, un pantalon en laine, une chemise de bûcheron, épaisse et chaude. On était en été et les employés travaillaient torse nue le plus souvent. Ils avaient la peau mate, bronzée a souhaits.


Ils étaient beaux et viriles. Denis s'approchait de leur maisons sans se faire voir. Ils préparaient les outils et discutaient. Personne ne l'a vu. Il observait il se rinçait l’œil. Tous ces torses musclés et nus. Les jardiniers avaient des horaires bien particuliers. Ils ne devaient pas se faire remarquer par les habitants de la pension. Ils étaient des déviants et les hôtes étaient tous issus d'un milieu social élevé et tous étaient chastes.


Mais à ce moment Denis se moquait bien de tout ça. Il admirait, il contemplait ces corps minces et forts. Il faisait chaud et ils avaient une douche en plein air. Une pommeau de couche et rien autour, juste le minimum.


Un de ces hommes se déshabillait tranquillement, il retirait ce qui lui restait sur le dos, son pantalon. C'est entièrement nu qu'il passait sous la douche. C'était l'heure de la pose et tous étaient décontracté. Ils ne travailleraient pas avant le début de la soirée, heure ou il ferait plus frais.


Un autre homme s'approchait de la douche et échangeait quelques mots avec le premier. Denis n'entendait rien mais il voyait tout. Le second retirait ses vêtements à son tour, puis il se glissait sous la douche à côté de son camarade, il se glissait tout contre son camarade. Lui savonnait le dos. Denis avait presque du mal à respirer sous l'effet de l'émotion. Sa cage le faisait souffrir, mais ça durait depuis la veille, ne lui donnant que quelques instants de répit.


Le second homme savonnait généreusement le dos de son camarade qui se présentait maintenant de face. Denis regardait avec un désir naissant qui lui était étranger. Un étrange sentiment qui naissait en lui. Sa queue se révoltait et le torturait alors que celle du premier homme pendait lourdement entre ses cuisses.


Son camarade derrière lui, le caressait, lui passant du savon sur tout le corps, tout le torse. Une mousse blanche se formais sur tout le torse brun de ce très bel ouvrier.


Son torse était mince, ferme et musclé. Il émanait de lui une force sauvage. Denis n'osait plus bouger, il était dans l'herbe, derrière un buisson, il était totalement invisible mais il n'osait pas bouger. Là il aurait risqué de se faire remarquer et … La honte … !

L'homme continuait se savonner. Un gros paquet de mousse se formait au niveau de son sexe. Denis ne pouvait plus respirer. Il a cru défaillir quand il a vu le bite de cette homme qui ressortait par dessus le tas de mousse. Il bandait.


'' Mais c'est incroyable ! Se disait Denis. Mais les déviants ne pensent qu'à ça !''. Sa queue se manifestait de nouveau avec une grande violence et sa cage lui répondait avec autant de violence. Il n'y avait aucune chance. Il voulait repartir, il savait que ce qu'il faisait n'était pas bien. Il savait que c'était ça qui provoquait ces érections chez lui, et la cage n'était là que pour le rappeler à l'ordre. N'était là que pour le punir de ces mauvaises pensées.


Mais si jamais il bougeait, on le verrait et ça il ne pouvait pas, il ne fallait pas. Il restait à regarder, il ne parvenait même pas à détourner les yeux.


L'homme qui était juste derrière continuait à savonner son camarade, mais à ce moment ses mains glissaient plus bas que le torse. Il les promenait sur le sexe de son camarade, le savonnait, le masturbait. La cervelle de Denis prenait feu et le pauvre Denis se sentait mal, il manquait d'air.


Le premier penchait sa tête en arrière contre l'épaule de son camarade qui le tenait dans ses bras. Ils s'embrassaient avec passion. Et le second continuait à masturber son camarade. Denis n'en pouvait plus, il avait la cervelle en feu, les couilles en feu, la cage le torturait. Pourtant il ne bougeait pas, il n'osait pas.


Pendant de très longue minutes, les deux hommes se caressaient, s'embrassaient et se masturbaient. Ils gémissaient de plaisir et le pire était qu'il le faisait devant leurs autres camarades. Denis n'en revenait pas.


Il se disait que les déviants n'étaient vraiment que des bêtes qui ne pensaient qu'au sexe … Contrairement à eux, les puritains, qui savaient garder la tête froide et rester calme en toutes circonstances.


Le gars que Denis admirait depuis un long moment maintenant poussait des cris de plaisir,son camarade continuait à le masturber. Ils se tortillaient l'un contre l'autre jusqu'au moment ou Denis voyait le premier homme cracher un jet de sperme. Il criait de plaisir, se raidissait, il éjaculait de nouveau puis se retournait vers son camarade et échangeait un gros câlin avec.


Les autres homme de cette étrange communauté de débauchés applaudissaient en voyant comment ça se terminait.


Denis était dégoûte, ils ne pensaient donc qu'au sexe. Lui par exemple n'y pensait plus, mais plus du tout. Il se demandait comment ses camarades à lui réagiraient quand il leur raconterait cette affaire.


Puis il se disait que finalement il ne leur raconterait peut être pas … Certainement pas. Comment pourrait-il justifier sa présence.


Mais c'est vrai que les déviants ne pensent qu'au sexe, il revenait vers la pension, sans se faire voir. Il regardait tous les hommes qu'il croisait à partir de ce moment avec un regard de désir et de curiosité. Il se demanderait toujours si l'homme qu'il avait devant lui portait ou pas un dispositif de chasteté.



A suivre



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