Le roy 17 Le quotidien

 Le roy 17 Le quotidien



La fin de la matinée était réservée aux réceptions. Le Roi descendait de sa chaise à porteur, allais se rafraîchir, son premier cercle le suivait dans la douche. Il y a en permanence quatre membres du premier cercle qui accompagnent le roi. Nous étions quatre aussi mais nous c'était pour apprendre comment se passait les journées du roi et ce que nous devrions faire.


Il faut quand même reconnaître que les quatre accompagnateurs du roi étaient très proches, très intimes, très intrusifs. Ils lui rafraîchissaient le cul, y glissant même un doigt à plusieurs reprise. Le roi se laissait faire, il se faisait masser un moment et semblait bien apprécier.


Le roi rejoignait ensuite la salle du trône, il prenait place et recevait les doléances.


En fait aucune doléances ne lui était formulée. C'était une manière de parler. Il recevait les ambassadeurs, les représentants des différentes régions, les chefs militaires ou simplement des voyageurs ou des commerçants importants.


Un gode était placé sur son trône et c'est le gode bien enfoncé dans le cul que le roi écoutait, il ne répondait que rarement directement à ses interlocuteurs. Son premier cercle était là pour faire la liaison.


Le roi restait digne, le corps bien droit et la tête haute. Il portait sa couronne avec prestance et gardait une allure altière. Il était dans son rôle. Cette cérémonie durait pendant le reste de la matinée, jusqu'à l'heure du dîner.


Le roi passait de nouveau dans la salle de douche ou on lui essuyait le cul proprement et se retrouvait dans la salle à manger. Il ne mangeait dans la salle des banquets que quand il recevait des invités importants, son premier cercle le suivait en fille indienne.


Un homme très beau attendait. Je ne l'avais jamais vu celui-là. Il était entièrement nu, c'était un membre du premier cercle, il ne portait pas de cage à bite. Il saluait le roi, l'homme qui était juste derrière le roi sortait du rang, saluait le roi, saluait le nouvel arrivant qui lui rendait son salut et quittait la salle.


Le nouvel arrivant entrait dans le rang derrière le roi en quatrième position. C'était le cérémonial de la relève du premier cercle. Le nouvel arrivé prenait la quatrième position et chacun des trois autres avançaient d'un cran. Le groupe était ainsi renouvelé tous les quatre jours.


Le roi et son premier cercle prenait place à la table. On nous invitait alors à nous éloigner. Seul les quatre accompagnants et le roi restaient. Les serviteurs qui apportaient le repas ne faisaient que passer. Ils déposaient ou retiraient les plats et repartaient.


Il nous semblait que l'ambiance était détendue, très détendue. Le roi était au centre du groupe et parlait avec son premier cercle, de loin on avait plutôt de voir une bande copains qui dînait et prenait un moment de détente.


On nous servait dans une autre salle, nous étions avec le reste du premier cercle plus de cinquante personnes. nous ne pouvions pas entendre ce qui se disait à la table royale mais on pouvait voir. Il y avait par moment des gestes de tendresses et quelques câlins.


Le roi prenait bien son temps pour se restaurer, c'est une heure plus tard qu'il terminait son repas. On nous servait la même chose qu'à la table du roi et je peux vous dire qu'on mangeait bien à la table du roi.


Suivait la sieste puis le roi aimait faire une longue promenade avec son cheval. Il n'était jamais seul, quelques membres du premier cercle le suivaient, mais tous ne pratiquaient pas l'équitation. On me proposait de m'initier.


Sinon le premier cercle recevait les doléances. En fait le roi faisait de la figuration, le premier cercle recevait beaucoup de monde qui avait des requêtes à formuler, et c'est là que ça pouvait devenir intéressant. Nous étions courtisés. Nous pouvions recevoir tout un tas de cadeaux, c'était prévu, les petites mains veillaient et s'il fallait en vendre un partie était versée dans la cassette privée du roi, mais plus de la moitié restait en possession de la personne concernée.


Au bout de cinq ans, certains étaient riches, et très riches même.


Là on nous invitait à laisser le roi à ses distraction et à faire connaissance avec les parasites de la cour. C'est ainsi qu'on appelait ceux qui ne cessaient de se plaindre et de demander, certains étaient généreux.


Je me demandais si le roi savait tout ce qui se passait à sa cour. J'apprenais peu à peu que si le roi régnait, il ne gouvernait pas. Il n'avait absolument aucun pouvoir. C'était les petites mains qui dirigeaient le royaume. Nous étions en contact quasi permanent avec eux.


Nous devions nous comporter correctement, on nous demandait de ne jamais nous masturber en douce. Mais nous avions des privilèges.


Quelques semaines plus tard, j'avais déjà passé plusieurs nuits avec le roi, et je peux dire sans me vanter que je l'avais fait couiner comme il convient.


Donc quelques temps plus tard, une petite main venait me voir, il voulait me parler d'un point précis, il souhaitait que le roi intervienne pour soutenir une décision importante.


Je voudrait que tu dises quelques mots au roi.

Mais il me semblait que le roi n'avait aucun pouvoir !

Il n'a aucun pouvoir, je te le confirme. C'est moi qui prends les décisions, et ce projet c'est moi qui le défends. Il sera accepté, mais on gagnerait du temps si le roi le soutenait.


C'est ce jour là que j'ai compris que les petite mains, n'étaient pas tous de simples employés de second rang. Ils étaient les maîtres du pays et se partageaient le pouvoir.


Mais là j'ai voulu le tester !


J'ai senti le diable monter en moi, je le regardait il était plus vieux que moi mais il était très bel homme. Il portait un dispositif sans serrure comme celui du roi, un dispositif qui ne s'ouvrirait plus. Les règles du pouvoir exigeaient que des vœux soient prononcés pour avoir justement ' le pouvoir '.


Brusquement je bandais. Ma queue se relevait avec force et venait se coller contre mon ventre. Il l'a remarqué, tout homme privé de ce droit à bander le remarque, quand un autre homme bande en sa présence.


Alors c'est lui l'homme le plus puissant du royaume ! Me disais-je.


Je passais ma main derrière sa nuque.


Suce lui disais-je.


Maintenant que je connaissais son rôle politique et je me demandais si …


Et bien oui, il s'est penché vers mon sexe et le prenait dans sa bouche avec beaucoup de science. Je sentais sa langue qui glissait contre mon glands et je devinais sa frustration ou au moins je l'imaginais. Il était un homme de pouvoir, il portait une cage à bite permanente et il me suçait. Il me suçait moi qui n'était au final dans ce palais qu'une gourmandise.


Je le laissais faire. Il appuyait son visage contre mon ventre, ma queue entrait lentement dans sa bouche. Avec sa langue il me caressait le gland puis il penchait son visage un peu plus et ma queue entrait un plus, et encore un peu plus. Je sentais sa langue qui me caressait toute ma queue, c'était un régal.


Il penchait la tête et ma queue entrait, il relevait la tête elle ressortait. Par moment il ressortait ma queue entièrement et je sentais alors ses lèvres se refermer sur mon gland puis sa langue qui tentait de forcer le passage dans le petit trou, c'était trop petit mais c'était génial. Je frissonnait déjà au bout de seulement quelques secondes.


Je tremblais de plaisir et me laissait tomber sur un fauteuil juste derrière moi.


Il suivait mon mouvement et se laissait tomber sur mon sexe. Il ne lâchait rien, j'écartais alors les cuisses et lui écrasait son nez sur mon ventre. J'étais au fond de sa gorge. C'était toujours aussi doux, mais je me demandais comment il faisait pour encaisser ma bite qui était pourtant de très belle taille.


Moi je n'aurais pas pu !


Et il continuait, il relevait la tête, me masturbait avec douceur, il me frictionnait le gland, juste quelques coups, rapide mais intense. Je me contractais. Il reprenais avec ses lèvres et sa langue avant d'avaler de nouveau ma queue sur toute sa longueur.


Je me cramponnais au fauteuil, c'était tellement intense, j'avais l'impression que personne ne m'avait sucé aussi bien. Mais ils étaient tous tellement bons dans cet art que chaque fois je me disais la même chose.


Je voulais intervenir et lui soulever le visage, juste pour l'embrasser, rien de plus, juste pour un petit peu de tendresse et aussi pour le calmer, j'en étais à un point ou je sentais que j'allais jouir.


Il résistait, il ne voulait pas me lâcher la queue et ce qu'il me faisait était tellement bon. Il finissait par relever la tête et me donnait alors un baiser très tendre. Il continuait à me caresser la queue et tout particulièrement le gland. Mais doucement laissait retomber la tension. Je commençais à respirer très fort et lui non plus de toutes évidences ne voulait pas conclure aussi vite.


Ses lèvres étaient douces contre les miennes. Je le prenais dans mes bras et l'embrassait sur les épaules et dans le cou. Il me rendait ma tendresse et me couvrait de baisers.


Puis il pivotait, il tournait tout seul dans mes bras. Le retenait bien fermement et le caressais. Mes mains glissaient sur tout son corps, j'appréciais la douceur de sa peau, la fermeté de ses muscles. J'appréciais aussi les baisers et là j'avais oublié que je tenais dans mes bras un des hommes les plus puissants du pays.


Le roi était était un personnage important mais pas puissant, il ne pouvait prendre aucune décision, mais l'homme, le petit main, qui passait toujours inaperçu lui le pouvait.


Ma queue était bien dure, je la penchais vers le bas et la glissais entre les cuisses, elle résistait et voulait se redresser, je la glissait en la poussant d'avant en arrière. Quand je la poussais en avant, elle lui soulevait les couilles, je m'en amusait en m'amusant avec, en lui tripotant les couilles avec les mains.


Il se penchait en avant, je le suivait, mon corps glissait toujours contre le sien ou alors c'était le contraire. Cette caresse que nous partagions avec nos deux corps était d'une grande tendresse.


De nouveau je pensais à sa frustration. Qu'attendait-il de ce genre de relation, de ce genre de contacte ? Moi je savais ce que j'en tirerais, je connaissait ce plaisir que je savais me donner ou que je savais prendre.


Il se penchait encore un peu et là je le pénétrait avec force. Il a gémi, c'était presque un cri il en lâchait le document qu'il tenait dans la main et je l'ai senti trembler et se contracter.


C'était peut être un chef dans les hautes sphères du pouvoir, mais là quotidien de la cour, c'était juste un vide couille qui me donnait du plaisir.


J'enfonçais ma queue bien à fond d'un mouvement violent. Il gémissait mais glissait une main dans mon dos pour me retenir. Il me montrait surtout qu'il aimait. Je lui en donnais.


Je me retirais et revenait avec vigueur. Puis j'accélérais le mouvement et les coups pleuvaient. Il poussait un râle à chaque fois que je m'enfonçais bien à fond dans son cul, il poussait un cri à chaque fois que mon ventre claquait contre ses fesses. Mais il se cramponnait et répondait à chaque fois par un coup, il me donnait un coup de bassin à chaque fois, comme pour bien enfoncer ma queue dans son cul.


Je sentais la situation m’échapper, je respirais de plus en plus fort, lui aussi remarquez. J'avais l'impression qu'il contractait son anus au moment ou je me retirait et qu'il le détendait quand je revenais. Mes coups de bite était maintenant très rapides.


Et c'est là que j'ai senti le plaisir m'envahir, j'ai éjaculé, j'ai joui dans son cul.


Je le serrais alors contre moi, l'embrasais sur l'épaule et lui caressais tout le corps avec une grande douceur. Je sentais quelques convulsions, je glissait ma main sur sa cage à bite. Il jouissait.


Nous nous sommes calmé, je me suis retiré, il a ramassé le papier qu'il avait laissé tomber. Il s'est retourné et m'a donné un baiser.


Tu penseras à parler au roi !


Là je me sentais même obligé d'être convainquant avec le roi. Un soutient de sa part simplifierait les chose alors autant les rendre le plus simple possible.


On a eu son soutient.



A suivre



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Le roy 16 La vie à la cour

 Le roy 16 La vie à la cour



Nous étions tous les quatre membres du premier cercle. On nous raccompagnait à notre chambre, c'était une cellule qui n'avait pas de porte, un lit et un petit coffre pour ranger nos affaires. Dans la mienne ils avaient pensé à y placer une second petit lit, une couchette, réservée à Jaffa. Personne ne l'avait oublié celui-là.


Dans le palais les membres du premier cercle avait droit de cuissage sur toutes les petites mains, ceux qui portaient un dispositif de chasteté. Jaffa en portait un et de fait, même s'il était à mon service, je n'aurais pas l'exclusivité sur son cul. Il y avait soixante membres, soixante jeunes hommes, beaux comme des dieux, virils comme des taureaux, qui étaient les seuls dans toute l'enceinte du palais à pouvoir être actif sexuellement, les autres ne pouvaient qu'être passifs. Ça ne veut pas dire qu'ils n'avaient aucune activité sexuelle, simplement pour eux c'était … dans le cul !


Pour les gardes c'était pareil, la garde rapprochée du Roi portait également un dispositif de chasteté, son service devait durer cinq ans également. Ensuite les gardes recevaient une promotion et partaient diriger diverses casernes, corps d'armée, ils retiraient alors leur cage à bite, comme certains appelaient le dispositif.


Nous avions également droit de cuissage sur leur cul, quand ils n'étaient pas de service.


On était au service du roi mais on était des princes. Dans les jours qui suivaient on nous affectait au service témoin du Roi. On n'avait rien de spécial à faire sinon être présent presque en permanence, on observait et on apprenait.


Je me souviens bien le lendemain au réveil du roi. J'étais avec mes camarades, on nous avait fait venir très tôt pour le lever du roi. Il dormait profondément quand on arrivait dans sa chambre. Comme le prévoyait le protocole, nous restions en retrait et on regardait.


La fenêtre et les rideaux était ouverte en grand. La lumière inondait la chambre. Le roi dormait au milieu d'un lit d'au moins trois mètres de diamètre, il était circulaire et autour de lui quatre corps nus et superbes apparaissaient. C'était le service de nuit du premier cercle.


Tous s'approchaient alors du roi et commençaient à le caresser avec la plus grande douceur. Le but était de le réveiller et ça ne traînait pas. Le roi tendait un bras et caressait de la main le premier torse qu'il rencontrait. Les quatre hommes continuaient à s'approcher du roi et le couvraient de baiser et de caresses.


Le roi se penchait vers le sexe de l'un d'entre eux et le caressait avant de le masturber doucement. Il faisait ensuite de même avec un des autres hommes. Venait ensuite le troisième puis le dernier, il n'en oubliait aucun. Pendant un moment ce n'était que douceur, caresses et baisers.


Le roi, n'avait toujours pas ouvert les yeux, il se concentrait sur le plaisir du toucher. Les peaux étaient douces, certains hommes étaient entièrement épilés, d'autres avaient gardé leur fourrure naturelle.


Mes trois camarades et moi bandions à ce moment et je m'inquiétait de l'image que je devais donner. Un des petites mains, passait alors devant moi, il avait deviné ma gêne. Il me caressait rapidement la queue en me disant … '' Bien, très bien, tu as le droit de bander mais tu ne te masturbes et pas de sexe avant ce soir, ou avant que tu as fini ton service auprès du roi. ''.


Seule la masturbation était interdite, j'avais le droit de bander et de me balader ainsi, c'était pas comme dans mon village.


Nous regardions et nous apprenions comment nous comporter en présence du roi.


Au milieu de son lit il y avait maintenant comme un tas de corps magnifique qui glissaient les uns contres les autres mais surtout qui s’agrippaient au roi, le caressaient, et glissaient contre lui. Les gardes qui entouraient le lit ne semblaient pas tous à leur aise. Les regards se croisaient, certains semblaient m'appeler au secours. Un jeune garde en particulier, de l'autre côté du lit, il devait être plus jeune que moi, il était particulièrement beau, sa cage se balançait au rythme de son cœur. Il ne bougeait pas mais je croisait son regard à plusieurs reprises, il posait les yeux du milieu de la scène, le roi qui se réveillait au milieu de son lit, puis regardait mon corps, du haut en bas en marquant une pause sur mon sexe … Ou alors je me faisais des idées.


Le roi s'était allongé sur un de ses serviteur, il suçait goulûment sa queue. On pouvait deviner que c'était un expert. Le garçon gémissait de plaisir et caressait les cheveux du roi. Il ne le traitait pas comme on devrait traiter un roi à cet instant, il le traitait comme un vide couilles.


Un autre homme prenait position juste à côté su premier et le roi changeait de queue, il suçait la seconde qu'on lui présentait. Le roi était allongé sur le ventre, il repliait les jambes et en faisant cela il soulevait son cul, en position, très offert, très accessible, très salope.


Plusieurs mains lui caressait alors le cul, d'autres se glissaient entre ses cuisses et semblaient s'amuser avec ses couilles. Le roi continuait à sucer les queue qu'on lui présentait, il en était à son troisième partenaire de la nuit. Par moment le roi semblait parler à ses partenaires mais nous ne pouvions rien entendre.


Un d'entre eux prenait position, ses genoux entre les genoux du roi, il se lubrifiait généreusement la queue puis sans faire plus de manière, il la glissait avec un geste rapide et fluide, bien à fond dans le cul du roi.


Celui-ci relevait la tête et gémissait un '' - Oh oui, c'est bon ! ''.


J'étais terrifié, par la facilité avec laquelle le roi avait reçu la queue de son serviteur. Moi je me disait qu'à sa place j'aurais hurlé de douleur et que ensuite, je serais mort. C'est vrai que le gars était bien monté.


Le roi continuait à sucer toutes les queues qu'on lui présentait. Uniquement bien sûr, les queues des hommes qui avaient partagé sa nuit. Il faut savoir rester sage. Dans la salle il n'y avait que huit hommes qui pouvaient bander. Les quatre hommes qui avaient partagé la nuit avec le roi, mes trois camarades et moi. Pourtant il y avait bien plus de monde, au moins dix gardes et je ne sais combien de petites mains, il étaient discrets et parfois il en apparaissait un là où il n'y avait personne la seconde d'avant.


Le roi se faisait enculer, paisiblement, sans s'agiter. L'homme lui enfonçait sa queue sur toute sa longueur avec facilité mais aussi avec douceur. Pourtant je me disait que ça devait bien se sentir passer une truc pareil. Je voyais sa queue s'enfoncer et ressortir avec régularité.


Le roi suçait toujours la queue qu'on lui avait proposé. Il soulevait la tête et poussait un long gémissement, devant lui l'homme lui prenait la tête avec force et la tirait vers lui, il lui enfonçait alors sa queue jusque dans la gorge. Le roi semblait bien résister un peu mais personne ne bronchait. Et le roi se faisait alors baiser par la bouche, sans qu'on ne lui demande ce qu'il en pensait, sans que personne n'intervienne pour le secourir.


Et dans son cul une grosse bite glissait de plus en plus vite, avec de plus en plus de force. Devant lui l'homme qu'il suçait laissait sa place à son camarade et le roi reprenait. C'est une autre queue qui glissait avec force dans sa bouche, contre sa langue, et s'enfonçait dans sa gorge. J'avais l'impression que son cou devenait plus épais quand la queue disparaissait totalement, et je ne vous cacherai pas que ça me faisait de l'effet, un peu la peur de voir ça, je m'imaginais à sa place mais ça ne me faisait pas débander. Mais ça m'excitait aussi de lui faire subir un jour ce traitement.


Le roi faisait des bruits bizarres avec sa bouche. Mais aussi avec ses fesses, le ventre de l'enculateur frappait ses fesses avec forces et chaque coup claquait bruyamment. On voyait clairement le roi trembler de plaisir, il ne faiblissait pas mais il frémissait.


Il poussait un long gémissement de plaisir quand on lui enfonçait une troisième queue dans la gorge. Comme pour les autres, elle était de belle taille mais il la prenait sans difficultés. Le gars lui appuyait sur la tête et lui enfonçait sa queue directement dans la gorge, et lui limait la bouche.


Le premier lui limait toujours le cul, les trois autres lui avaient bien limé la gorge. J'étais retourné, terriblement excité, j'avais du mal à me retenir de me tripoter la bite mais la règle semblait formelle, les petites bites veillaient.


Les gardes eux aussi devenaient fébriles et on voyait leurs cages se relever et se balancer en suivant les battements de leurs cœurs.


Les trois hommes que le roi avait sucé se masturbaient en cœur, un avec la bouche du roi, les deux autres devant le visage du roi. Le dernier, qui enculait avec force le roi s'agitait également, il donnait des coups particulièrement violent. Il se retirait et jutais sur le dos du roi. Quelques instants plus tard, ses camarades éjaculaient également en éjaculant sur le visage du roi et sur ses cheveux.


Là je vous jure que tout le monde était parfaitement réveillé. Un protocolaire petite main annonçait …


  • La douche du roi !


Le roi et ses quatre baiseurs se levaient et se rendaient dans les douches. Nous suivions. Nous restions toujours en retrait.


Les quatre hommes qui venaient de baiser le roi le lavaient, ils l'arrosaient avec de l'eau tiède, et lui frictionnait le corps avec des savons qui dégageaient une odeur fruitée et très agréable. Ils n'oubliaient pas non plus de lui laver le cul en y glissant deux ou trois doigts qu'ils retournaient, arrachant encore quelques gémissements de plaisir de la part du roi.


Personne ne se pressait, il y avait toujours le protocolaire petite main, qui surveillait et qui faisait des signes discrets quand il trouvait que les choses n'avançaient pas assez vite, mais c'était des signes qu'il fallait suivre. Le roi devait être prêt dans les temps.


Ensuite on l'essuyait, on le séchait puis on l'habillait.


On lui passait un harnais du meilleur goût.


Le roi se regardait dans un miroir, je vous laisse imaginer le truc que c'était, on pouvait se voir en entier dans ce miroir, je ne savais même pas que ça existait des miroirs de cette taille, c'est vous dire le niveau du luxe de ce palais. Des rideaux, des dorures, du marbre et ce gigantesque miroir …


  • Nous ne mettrons pas de harnais ce matin ! Déclarait le roi.


On le lui retirait. On lui présentait une cape, puis une autre. Il choisissait finalement la troisième qui était presque transparente, de la couleur des rois, rouge, mais on voyait parfaitement au travers.


Pour terminer on lui posait sa couronne sur la tête. Et c'est dans cette tenue que le roi se rendait à sa table de banquer.


Un repas complet mais pas trop lourd lui était servi. Des fruits et du lait.


Il était encore tôt quand le roi sortait de ses appartements. Nos quatre camarades du premier cercle qui avaient dormi avec le roi le suivait, trois d'entre eux seulement dormiraient avec lui la nuit suivante, un nouveau remplacerait celui qui partirait.


Une chaise à porteur était apportée. Elle était porté par huit petites mains. Il y avait un siège sur le dessus, bien en vue et au milieu un gode se relevait, lui aussi était bien en vue.


Le roi s'installait et s'empalait sur le manche qui dépassait à la verticale. On soulevait alors le tout et on emmenait ainsi le roi faire le tour des remparts.


Il était acclamé, à plusieurs moment il se relevait pour saluer la foule et à chaque fois qu'il s'asseyait on pouvait voir le gode pénétrer dans son cul, la foule l'acclamait encore plus. C'était une ovation.


Nous étions restés en retrait mais nous pouvions voir la cérémonie dans ses moindres détails.



A suivre



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Moule boulant (02)

 Moule boulant (02)



Je le regardais dans les yeux, je lui souriais, il ouvrait sa ceinture, je restais là comme tétanisé. Je ne voyais plus que cette masse qui apparaissait sous l'étoffe de son pantalon, ça faisait peur.


Ça faisait envie aussi. Je restais là, la bouche à moitié ouverte il me semble. Il baissait son pantalon, juste quelques centimètres. Sa bite roulait sous le tissus, il arrêtait.


Toi aussi ! Montre moi !


Il me fallait quelques secondes avant que je réagisse. J'ouvrais à mon tour mon pantalon. Je le regardais droit dans les yeux.


Tu m'as bien dit que tu étais actif ?

Non c'est toi qui m'a dit que tu était passif ! Et j'ai pas très bien compris.

Ça veut dire ça . Rajoutais-je en baissant mon pantalon et me montrant bien.

J'y crois pas ! S'exclamait-il.


Puis il me faisait un large sourire en laissant sa queue ressortir. Elle se redressait, elle était bien large, bien longue et en tous points elle était telle que je l'avais imaginée.


Il avait fait ce dernier geste mécaniquement, les yeux rivés sur ma cage à bite.


Alors là ! Rajoutait-il. Je savais bien que ça existait ce genre de truc mais j'en avais jamais vu

C'est moi qui l'ai inventé.


Il tendait une main et commençait à me tripoter les couilles, son visage passait d'une expression de surprise totalement incrédule à une expression amusée puis à une expression de curiosité.


Il s'amusait ainsi pendant un long moment, je laissais faire puis me décidais à réagir moi aussi je tendais la main et lui caressais la queue. C'était un rêve, c'était un cauchemar.


Ma queue protestait, elle protestait de voir la sienne libre se développer avec autant de liberté. Elle protestait à l'idée de la voir bientôt se glisser dans mon cul. C'est ainsi que l'histoire devait se passer si tout allait bien. C'était un rêve.


C'était un cauchemar, sa queue était énorme, elle était belle et ferme mais elle me montrait de quoi elle était capable, elle se montrait menaçante, là je pensais à mon cul et la ma queue était comme prise d'une petite panique et se ratatinait allait se cacher dans un petit coin de sa cage et j'avais l'impression qu'elle disparaissait.


Les sentiments que me suggérait une telle queue étaient mitigés. J'étais très exactement entre la panique et l'enthousiasme. Je lui caressais sa queue avec douceur, elle était devenue bien ferme, bien dure. Il était circoncis, je m'en doutait bien un peu. En Fait je m'en doutais depuis, ça faisait un moment que je m'en doutait. Sa queue transparaissait avec tellement de netteté sous son étoffe que je m'en doutais, mais on ne sait jamais vraiment.


Je lui caressais la queue avec douceur, il retirait sa chemise. Je me mettais à genoux devant lui et commençais à lui lécher le gland tout en le caressant. Je le masturbais avec douceur. Il me retirait ma chemise, il tirait dessus et me la retirait par le haut. Il me caressais les épaules.


Pendant que je commençais à le sucer je faisais glisser son pantalon sur les genoux, son gland entrait dans ma bouche. Je me disais qu'en fait il avait raison de montrer ses formes, elles étaient à la hauteur de ce qu'il promettait. Et son gland entrait dans ma bouche.


C'était un gros gland, mais je l'avais déjà remarqué avant qu'il ne retire son pantalon. Bien gonflé, sa surface était lisse, douce et brillante. Je le prenais dans ma bouche, prenais un réel plaisir à glisser ma langue dessus, dessous. Je le sentais frissonner quand j'essayais de Glisser ma langue dans le petit trou qu'il avait à sont extrémité. Ça m'amusait et je recommençait, il frissonnait de nouveau et finissait par pousser quelques gémissements de plaisir.


Je tentais de prendre sa queue plus profond dans ma bouche, mais elle était grosse. Il ne tentait pas de me forcer, il voyait que je faisais au mieux en fonction de ce que j'avais sous la main, pardon je voulais dire dans la bouche.


Il me caressait les cheveux, quand je relevais les yeux je le voyais, il avait un visage grave mais voyant mon regard il me souriait. Son gland rentrait un peu plus dans ma bouche. Mais ça finissait par coincer. Sa queue était trop large pour aller bien loin.


A cet instant je pensais à mon cul. C'est lui qui allait encaisser ce truc géant. Je pensait aussi à ma queue dans sa cage, elle ne se faisait plus remarquer, je ne la sentais plus, elle s'était planquée devant une telle concurrence, elle n'insistait pas.


Je me relevais, en quelques gestes nous nous débarrassions de nos vêtements. Puis on se saisissait l'un l'autre. Je sentais sa queue qui s'écrasait contre mon ventre, j'avais l'impression qu'elle était encore plus grosse qu'au début. Mais plus gros c'est pas possible. C'était en fait sa cuisse qu'il glissait entre mes jambes, il la remontait et m'écrasait doucement les couilles.


Je baissais les yeux et je voyais ma cage, en dessous mes couilles et elles étaient de belles tailles. Dans ma cage il y avait ma bite, finalement elle ne s'était pas sauvée, comment aurait-elle pu ? Elle prenait toute la place et quelques bourrelets de peau ressortaient par les trous d'aération et formaient comme des petites bosses rondes et lisses. Ça ne me faisait pas mal, c'était une réaction totalement normale.


Ma queue prenait toute la place mais ne se faisait par remarquer, elle jouait les grosses molle, enfin grosse, aussi grosse qu'elle pouvait. Il n'y avait pas de pression dans la cage, et à ce moment précis je ne la sentais pas vraiment, il n'y avait aucune pression, aucune sensation désagréable.


Il attrapait sa queue, la branlait en quelques mouvements rapides juste destinés à lui redonner de la vigueur, pourtant je vous jure qu'elle n'en manquait pas. Il m'attrapait les couilles et me plaçait la différence sous les yeux, deux paires de couilles, une petite cage à bite qui faisait pitié avec sa petite chose dedans et une super grosse bite bien longue, bien large, bien ferme.


Il m'entraînait dans le salon, nous laissions nos vêtements sur place, nous n'avions plus rien sur nous. Il me repoussait avec force sur le canapé qu'il dépliait et qui nous recevait dans le plus grand confort. Puis me prenait dans ses bras, m'embrassait et me caressait.


J'en faisais de même et rapidement ça devait ressembler à une sorte de combat à mort, ou le coup de grâce viendrait de celui qui serait capable du plus gros câlin.


Nos lèvres, nos bouches se rencontraient et nos langues se caressaient l'une l'autre. Elle ne se séparaient que pour mieux se retrouver un peu plus tard et donner des baisers et des signes de tendresse à toutes les parties de peaux qui passaient à proximité. Je le mordillait et lui arrachait des gémissements de plaisir. En réaction il en faisait de même, nos morsures étaient douces et tendres, elle ne laissaient aucune traces mais le contact des dents qui auraient pu blesser nous faisaient frémir. Les lèvres suivaient les dents, puis c'était la douceur de la langue.


Nos bras, nos mains aussi parcouraient tout le corps de l'autre sans se retenir de bien insister sur les parties les plus intimes. Tout en couvrant son ventre de baisers, je prenais bien mon temps de lui caresser les couilles et la bite.


Si à un moment sa queue passait à ma porté je ne résistait pas au plaisir de lui sucer, lécher longuement son gland. Il était vraiment trop beau. Une de ses mains passait entre mes jambes, m'écrasait les couilles, les écartait et ses doigts se glissaient entre mes fesses. Il commençait à tâter le passage. Je le voyais venir de loin mais ne faisais rien pour le dissuader. Je sentais aussi la caresse des ses dents contre l'extérieur de ma cuisse.


Il sortait de je ne sais d'où un petit peu de gel lubrifiant, et sans prévenir c'étaient deux doigts qui glissait dans mon cul. Un peu surpris, je me contractais mais presque aussitôt je me détendait de nouveau, redoublais mes câlins et caresses.


Il me tambourinait la prostate et m'arrachait des gémissements de plaisir. Il n'avait pas prévenu mais, son visage face au mien il ne cachait pas la satisfaction qu'il avait de me faire couiner. Car il insistait et rapidement je ne me contentais plus de gémir mais je couinais, je poussais de cris de plaisir. Il y allait un peu fort mais juste comme il faut, c'était le pied.


Tu crois que ça va passer ? Me demandait-il en parlant de sa queue.

Doucement, tu y vas doucement …


J'étais maintenant allongé sur le dos, il était à moitié allongé sur moi, une main entre mes cuisses et deux ou trois doigts s'agitaient dans mon cul. Il y allait fort. Mais je me disais que trois doigts ce n'était rien par rapport à ce qu'il allait m'enfoncer dans le cul.


Ma queue se faisait toujours oublier, je sentais bien mes couilles doucement écrasées sous son avant bras mais ma bite était toujours aux abonnés absents.


Avec force il me retournait, j'écartais les cuisses et je râlais. Mais là c'est parce que je commençais à avoir peur.


Il me détendait par sa douceur. Ses caresses étaient destinée à me rassurer. Il me couvrait toujours de baisers quand il s'allongeait sur moi et se glissait entre mes cuisses. Puis cette pression de dingue juste contre mon cul. Il appuyait contre mon cul avec son bras replié. Il poussait, je respirait fort, c'était pour me détendre mais, là je remarquais que, en fait il se retenait juste au dessus de moi avec ses deux bras ? C'était pas avec le bras qu'il appuyait contre mon cul.


Là j'ai un peu paniqué et la pression est devenue plus forte. Je tremblais, je respirais bien fond et quand je vidais mes poumons je sentait mon cul céder et s'ouvrir. C'était sans douleur, vous savez j'en ai vu d'autre et si on ne peut pas me traiter de grosse salope c'est uniquement parce que je ne suis pas gros.


Il poussait doucement mais il poussait fermement et je sentais quelque chose d'énorme qui entrait dans mon cul, qui glissait en me dilatant les entrailles. Il y allait doucement et ne me faisait pas mal mais je paniquais tout de même.


Il faisait une pause.


Je respirait fort et vite, j'avais le vertige. Il laissait alors son corps tomber sur moi et m'écrasait avec douceur.


calme toi ! Me disait-il.


Je reprenais le contrôle de ma respiration et ma panique baissait. Il le sentait et reprenait. Il poussait de nouveau, très lentement mais très fermement. Ça ne faisait aucun doute il avait bien l'intention d'aller jusqu'au bout. Moi j'avais la trouille.


On en est ou ? Demandais-je un peu plus tard.

A la moitié !

Oh mon dieu ! M'exclamais-je.


Pourtant ce n'est pas à lui que je me réfère dans ce genre de situation !


Il continuait à pousser, j'ai cru devenir fou. Je sentais mon cul tendu comme la peau d'un tambour. À chaque instant j'avais l'impression que j'allais déchirer. Il ne me faisait pas mal, la sensation était étrange, très exactement entre l'horreur et l'extase, en souhaitant que ça ne se termine pas dans un bain de sang cette histoire … Mais il n'y avait toujours pas la moindre douleur. Une sensation de plaisir peut être par moment.


Il continuait à pousser.


Je manquais d'air, et je ne sais pas si c'est la panique ou le soulagement qui m'envahissait qu moment ou je sentais son ventre s'écraser contre mes fesses.


Il poussait alors pour bien écraser son ventre sur mes fesses, et sa queue s'écrasait alors contre je ne sais quoi au fond de ma gorge. Si, si je vous jure, c'est l'impression que j'ai eu à ce moment pourtant il était rentré par l'autre extrémité.


Là il se laissait tomber de tout son poids sur moi, il respirait fort mais lentement, je synchronisais ma respiration sur la sienne.


On y est me disait-il.

Aaah, ahahah, rahhh. Aaaaaaah.

Ça va ?

Aha, rahah !


C'était le pied mais là, je vous jure, je ne trouvais pas mes mots, moi si éloquent d'habitude !


Il est resté là sans bouger pendant un long moment. Puis doucement s'est retiré, là j'ai hurlé. C'était un cri de surprise, de plaisir, de panique … Il ne faut pas rayer les mentions inutiles, c'était tout ça à la fois. C'était le pied et comme je ne trouvais toujours pas mes mots je râlais, je gueulais.


Il n'est ressorti que très peu, peut être même pas à moitié puis est revenu. Les seuls mots qui me venaient alors c'était …


OUI VAS Y DÉFONCE MOI LE CUL. NON NE BOUGE PLUS. ARRÊTE TOUT TU VASME TUER. OOOOOOOOH C'EST BON . VAS Y A FOND. OUI. OUI. OUI. NON.


Oui je sais, remarquez, là on peut faire le tri. En tout cas il a compris que je lui donnais carte blanche. Il s'est retiré complètement et pendant que je continuais à gueuler il a lubrifié un peu plus et est revenu. Je ne disais plus rien, j'étais mort de plaisir.


Je ne contrôlais plus mon corps, il en avait pris possession. Il entrait, il sortait comme il voulait. La panique avait disparue, l'angoisse aussi. À cet instant il ne restait plus que le plaisir, et il était intense.


Il me limait le cul pendant de longues, de très longues minutes. Accélérait le mouvement mais en restant raisonnable, on m'avait déjà remué beaucoup plus mais pas avec une arme destruction massive dans le cul. Je gémissait, je gueulais, je râlais, je suppliais, je pleurais.


Il me serrait dans ses bras et cette étreinte se voulait réconfortante, il me rassurait en effet, j'aimais cette douceur qui s'opposait alors à cette incroyable violence dans mes entrailles. Mais la violence peut quelquefois être un plaisir, c'est ce que j'apprenais dans ses bras ce soir là.


J'en avais vu d'autres, comme je vous le disais mais comme ça, jamais !


J'ai bien cru devenir fou, à plusieurs autres reprises j'ai hurlé, j'ai supplié, j'ai demandé grâce mais il ne m'a jamais écouté. Il a fini par juté dans mon cul. Il retenait les mouvements mortels et me serrait très fort dans ses bras à ce moment. Puis il ne bougeait plus.


La présence de sa queue dans mon cul devenait très agréable, il débandait. Comme quoi il y a des jours ou il ne faut pas grand chose. Il a décidé de se relever, sa queue est alors sortie de mon cul et là … J'ai joui, c'était le pied, j'ai joui du cul, j'ai joui de la bite pourtant je l'avais oubliée celle là mais elle n'avait pas bougé, elle était toujours à sa place et se manifestait juste pour me donner du plaisir.


Il m'a fallu un moment avant de pouvoir me relever, il me faut toujours un moment avant de pouvoir me relever d'ailleurs. L'angoisse ne disparaît jamais quand il me la gare dans le cul, même après de nombreux mois, la panique non plus et font maintenant partie du plaisir.


Bein oui j'allais pas laisser passer un coup pareil. Et puis sa femme, vous savez on en parlait au début, et bien c'est un alibi. Il ne s'intéresse pas du tout aux femmes. Il embrasse bien par contre, elle me l'a confirmé. Je la vois souvent, il a gardé son alibi …


On est ensemble maintenant. Je le regrette à chaque fois qu'on se voit et en aucun cas je ne voudrait changer quoi que ce soit quand on se sépare. Il porte toujours des pantalons moule-boulant et aime bien que j'en fasse de même, alors, pour lui faire plaisir …


Fin



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Moule boulant (01)

 Moule boulant (01)



Je vous jure qu'il y en a qui abusent. Comme ce petit gars là que javais vu il y a quelques temps. Justin qu'il s'appelle, je le sais parce qu'on a fini par faire connaissance. Mais la première fois que je l'ai vu, je l'ai remarqué.


Il est plutôt bel homme, une bonne tête bien virile, mince mais musclé, bien monté on le devine et les jambes minces mais fortes également. On le devinait, en fait on voyait tout ça au premier coup d’œil, il portait des vêtements juste au corps et pour ce qui est du juste au corps, vous savez avec le lycra on fait des truc incroyable. Et incroyable, il l'était.


Sa chemise était presque normale, je dis presque, malgré sa coupe parfaite, son col, la longueur des manches, on avait toutefois l'impression qu'elles étaient un peu trop étroites, en fait non. C'était voulu !


C'était juste pour montrer les muscles, la chemise était parfaitement ajustée. Au niveau du torse, c'était pareil, et au niveau du ventre. Surtout qu'il n'avait pas de ventre. Là, la chemise servait surtout à ne pas dissimuler la tablette de chocolat. En fait il avait mis beaucoup de science quand il avait choisi sa chemise, tout en étant à la bonne taille, il l'avait choisie pour qu'elle donne l'illusion d'être trop petite, juste à peine, pour bien montrer le corps qu'il avait, il faut bien le dire, superbe !


Pour le pantalon c'était une autre histoire, c'était plus simple. Il l'avait choisi dans une étoffe légère et très élastique, ah le lycra je ne vous dis pas. Un poil trop petit, une taille en dessous quoi et une coupe précise … On voyait tout !


On voyait même qu'il n'avait pas de sous vêtements !


Là c'était chaud. On dit moule boules, et là je comprenais pourquoi, il en avait deux, ça ne faisait aucun doute. On aurait aussi pu appeler ce genre de pantalon, queue de billard, là aussi on la voyait bien la queue. Une forme longue parfaitement dessinée suivais juste en dessous de la braguette, ver le bas, les deux boules de chaque coté, et la forme du gland qui se dessinait aussi à la base de la braguette.


Et heureusement qu'elle était là celle-la. La braguette c'est encore ce qu'il y avait de plus convenable, vous imaginez bien sûr qu'en plus il y avait une belle bosse qui ne se cachait pas, elle non plus !


Bref … Tout ça pour dire qu'il abusait un peu le mec. Mais il était sexy !


Il le savait et il en jouait. Un beau mec quoi, vraiment beau qu'on avait pas de mal à imaginer à poil. C'est vrai qu'il était entière nu sous ses vêtements et ça, on n'avait aucun mal à l'imaginer.


Il m'avait fait de l'effet je ne vous dis pas … Enfin si, je vous dis …


J'ai senti ma queue se réveiller. Brusquement alors qu'elle me laissait tranquille. C'est vrai que j'étais là peinard à la terrasse d'un bar à me rafraîchir en buvant un grand verre de jus de fuit bien frais … et …


Je ne sais plus ce que je disais !


Ah si, donc ma queue se réveillait, en général dans la journée elle ne se faisait par remarquer et savait rester bien tranquille dans sa cage. Là elle s'énervait et les barreaux de la cage en titane je les sentais bien. C'était agréable, c'était toujours une sensation frustrante et parfaitement confortable.


Le frustrant c'est pour la tête, le confortable c'est pour la queue !


Lui on savait tout de suite qu'il n'avait pas de cage à bite. Là il n'y avait aucune chance. Un dispositif qui montrerait si bien tout ce qu'il est sensé emballer, ça n'existe pas, et je sais de quoi je parle, j'en conçois.


Quand il se tournait, parce que en plus il se retournait, on voyait parfaitement la raie de son cul qui séparait deux fesses bien fermes, plus bas on voyait la forme des muscles derrière les cuisses. Il y en avait partout je vous dis des muscles, partout et on les voyait tous … J'avais la cervelle en feu … Il m'avait complètement allumé le mec … !

Je l'ai revu traîner dans le quartier plusieurs fois. Et il a fini par me donner envie de stretcher moi aussi. J'avais un pantalon un peu moulant et un bouclier pour ma cage à bite, j'en avais plusieurs même c'est moi qui les ai inventé. Un bouclier donc qui reproduit la forme de la queue, c'est très avantageux sous un tissus fin, et très convenable. Pas comme sont truc.


Le bouclier dit ' Anatomique ' est destiné à rendre la cage à bite totalement invisible sous un maillot de bain … Et ça marche ! Il reproduisait la forme anatomique de la bite et laissait croire que tout est normal.


C'était plus discret que chez ce garçon, moi au moins je restais présentable, je veux dire par là, présentable à une belle famille. Comme je vous le disais, lui il abusait. Mais je vous rassure ce n'est pas dans mes projets de me marier.


Quelques jours plus tard, je le revoyais. C'était dans un bar de nuit, il était avec une fille. Elle était assez quelconque, ça me chagrinait pour lui, à mon avis il pouvait facilement trouver mieux mais bon, moi et les filles … ça fait deux …


J'étais avec deux potes, ils avaient rigolé quand il m'avaient vu. Ils connaissaient mon boulot et un me faisait remarquer.


Je croyais que tu recherchais surtout à rendre ton dispositif invisible sous les vêtements.

Mais c'est ce j'ai fait, là j'ai un bouclier spécial, mais je peux le retirer, et puis … Tu devines que j'ai une cage à bite là ?

Non , tu as raison, là on pence à autre chose. Me répondait l'un .

Un peu comme l'autre exhibitionniste là bas ! Rajoutait l'autre en rigolant.


Je l'avais remarqué, vous imaginez bien, et ma queue protestait de voir ses formes qui ne prenaient pas la peine de se cacher, mais rien ne se voyait, je restais parfaitement convenable, même si ça protestait ferme. Il était avec une fille.


Je n'y croyais pas mais bon, tout arrive. On continuait à discuter.


La fille qui accompagnait notre exhibitionniste se retirait, et nous avons alors eu une scène de baiser d'adieux presque pornographique. Tout le monde pouvait voir un couple hétéro exemplaire, un peu exhib mais à part ça …


Je ne sais pas comment ça s'est passé, je ne sais pas à quel moment ça s'est passé mais on se retrouvait à quatre à discuter et le quatrième, et bien, c'était le mec dont je vous parle depuis un moment maintenant.


Justin donc était un homme très sympathique, il ne cachait pas ses formes, ses attributs virils je veux dire, il en était fier. Il était fier aussi de sa musculature.


Un de mes camarades nous quittait. On continuait à discuter. La soirée avançait. Plus tard mon dernier camarade nous quittait, il me faisait la bise puis faisait la bise à Justin qui semblait s'en amuser. Je me retrouvait donc avec ce garçon qui me faisait toujours de l'effet.


On finissait forcément à un moment par parler de sa tenue.


Toi aussi tu donnes un peu dans le genre ! Me faisait-il remarquer.

Je suis tout de même plus discret. Répondais-je en baissant les yeux.


Il avait raison, et c'est aussi ce que j'avais cherché à faire remarquez, mais j'étais tout de même bien plus discret que lui. Moi, c'était mignon, à peine érotique lui c'était pornographique.


Oui mais si on a une trop grosse queue, ça ne doit pas être possible cette tenue. Je veux dire qu'avec une grosse queue, ça doit se voire. Heu, enfin je veux dire...


Là j'étais troublé et je bafouillais, ça le faisait rire. Il se penchait à mon oreille.


Bien en forme je fais vingt deux centimètres sur six de large ! Me disait-il en rigolant.


Et satisfait de sa réplique il commandait une tournée.


Et toi ? Me demandait-il.

Heu ! Moi ? … Moi je suis passif !


Là il éclatait de rire. Je comprenais que ce n'était pas vraiment l'objet de sa question mais la réponse semblait lui plaire.


Je parlais de ta taille.

Heu , normale.

Tu ne portes pas de sous vêtements non plus.


J'étais renseigné sur la taille mais je m'en doutait. Et je faisais non de la tête. Là il m'avait scotché, je ne savais plus quoi dire … Ça devenait chaud la discussion du coup.


Et peu après il m'invitais à passer boire un verre chez lui.On était dans un bar, on picolait et donc ce devait être pour autre chose. En tout cas à ce moment ça m'a semblé logique …


Ta copine n'est pas rentrée chez toi ? Demandais-je.

En fait on ne vit pas ensemble. Me répondait-il.


Alors je vais me retrouvé avec un mec en rut tout seul chez lui … Rhooooo !


Ça c'est ce que je me suis dit dans ma tête, avec une petite voie, je vous rassure pas un bruit n'est sorti de ma bouche …


Je le regardait sortir, il avait récupéré son blouson, c'était un blouson très court, il le mettait très en valeur, ça lui donnait de la carrure et en même temps se refermait juste sur sa ceinture. Il n'en était que plus sexy. Surtout qu'à ce moment il bandait. Il n'avait aucun moyen de le cacher. C'était une grosse barre avec une forme arrondie qui s'étalait à l'horizontale sous son ceinturon.


On voyait en détail la forme de sa queue, son gland était également très gros. Là ça ne faisait pas semblant.


Si ça t'arrive en plein jour, tu ne passerais pas inaperçu. Lui faisais-je remarquer.

Oui mais je me contrôle.

Pas maintenant en tout cas.

C'est de ta faute ! … Par contre toi tu te contrôle bien.

Normal ! Moi je suis passif.


Il rigolait mais ne semblait pas comprendre ce que je racontais. Plus loin on passait devant une vitrine bien éclairée, de face ça me donnait presque le vertige. On voyait sa queue avec une précision incroyable. On voyait aussi la mienne mais avec un peu moins de précision. On devinait la forme de mes couilles et on distinguait parfaitement les siennes.


C'était ta copine tout à l'heure ?

Qu'est-ce qui te fais penser ça ?

Bein quand elle est partie, tu l'as un peu embrassée.

Un peu oui !

Un peu embrassée ou un peu ta copine ?

C'est ma femme !

Et vous ne vivez pas ensemble ?


Ah ! Là j'étais à bout d'arguments autant que de questions.


Sartre et De Beauvoir, ne vivaient pas ensemble. Rajoutait-il.


Qu'est ce que vous voulez répondre à ça ? Surtout que quand on arrivait chez lui, je n'avais pas vraiment envie de discuter. Il bandait toujours !


Avec un pantalon comme celui qu'il avait il ne risquait pas de dissimuler une telle réaction. Surtout si ses mensurations étaient réelles. Là moi je rêvais surtout qu'avec plus de lumière que plus tôt, ça ne faisait plus aucun doute, les mensurations qu'il m'avait donné étaient vraies.


Je le voyais dans toute sa splendeur quand on montait dans l'ascenseur. Avec sa main il appuyait sur le tissus de son pantalon pour bien faire ressortir sa queue. Là je ne pouvais pas résister plus longtemps, je tendais la main et le caressait. Je le caressais plus longuement, je m'attardais sur ses couilles, c'était …


Ma queue protestait de plus en plus pourtant rien ne paraissait, je me sentais à l'étroit, je me sentais frustré, ça faisait des mois que je n'avais pas bandé.


Je le caressait avec un grand plaisir, sa queue était vraiment grosse et ses couilles l'excitaient j'avais envie d'aller plus loin, l'ascenseur s'arrêtait, les portes s'ouvraient.


Quelques secondes plus tard nous étions chez lui.


Maintenant tu me montres ? Me demandait-il …



A suivre




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Presque frères 14

 Presque frères 14



On ne s'amusait pas avec le gode ou le plug tous les jours, il ne faut pas exagérer non plus. On bossait aussi, on était dans l'une des meilleure école et on étudiait. Le programme était complet et demandait un minimum d'assiduité.


Les vacances approchaient, avec Tommy nous nous demandions ce que nous allions faire. Ces dernières semaines nous nous étions rapproché de Tamad. Je vous ai déjà parlé de lui, il est beau gosse. Il fait près de deux mètres de haut et en plus d'avoir des muscles un peu partout, si, si je vous jure il est musclé, il ne fait pas semblant … Il porte un dispositif de grosse taille !


Oui je sais ça ne va pas changer grand chose puisque de toute façon on ne peut pas jouer avec ce qu'il y a dedans … Sa queue je veux dire ! Savoir qu'elle est grosse ou minuscule, c'est pareil, on n'y a pas accès, même lui il n'y a plus accès alors … Par contre le bonhomme il était bien, vraiment très bien, bien carré, belle gueule, un sourire ravageur.


Et puis de toutes façon moi je savais qu'il en avait une grosse, je l'avais rêver.


C'était en plus un garçon adorable, il était très gentil, très agréable. On sympathisait, on lui racontait notre histoire. Je ne vais pas me répéter, vous la connaissez. Il nous racontait la sienne. Son grand père était un notable important de la PK, la fameuse société qui fabriquait ce dispositif de chasteté et qui finançait cette école.


En général les anciens élèves de l'école font carrière auprès de la société PK. Mais surtout les anciens élèves gardaient le dispositif après être sortis de cette école.


Son père avait fait un autre choix, mais lui avait accepté d'entrer dans cette école. C'était bien sûr pour le diplôme et pour les références, c'étaient les meilleures.


C'était un plaisir de le voir bouger pendant les entraînements sportifs, il était élégant, rapide malgré sa taille, d'une souplesse incroyable, et au basket … Et bien il était nul ! Oui au niveau de la taille, ça allait mais il avait un mal fou à viser. Il restait heureusement d'autres sports, la course, la natation …


Ah la natation, là c'était une merveille, on pouvait admirer tous les muscles au travail, c'était un plaisir pour les yeux. Quand il sortait de l'eau on voyait bien son dispositif, comme je vous le disais il était de grosse taille. Une taille 'six' je crois. Certains disaient 'huit' mais il ne faut pas croire tout ce qui se dit, je ne suis pas sûr que la taille ' huit' existe et une taille 'six' c'est déjà bien.


J'ai une belle queue et pourtant je porte la taille 'quatre' sans problèmes.


Bref, il nous invitait à passer les vacances chez lui. On a dit oui !


On ne verrait pas nos parents mais ils savaient qu'on se verrait moins quand ils nous ont envoyés dans cette école. C'est donc dans la propriété de la famille de Tamad que nous nous retrouvions. Il n'y avait personne à part nous, plusieurs fois par semaine un personnel venait faire un ménage complet, le reste du temps on était seul.


Le jour de notre arrivée il nous a fait visiter, c'était une sorte de chalet entouré d'arbres. Il y avait six chambres, on avait de la place et une petite piscine chauffée.


On fait un petit plongeon ? Proposait Tamad.

Ça c'est une idée ! Répondait Tommy en se déshabillant.


Il ne fallait que quelques instants pour que Tommy et moi ne nous retrouvions a poil dans l'eau. Tamad prenait son temps, il y avait des portes vitrées sur trois murs, des portes en bois avec plein de petites vitres qui donnaient une ambiance très cosy.


Dehors, les dernières neiges n'avaient pas encore fondu. Et je trouvais très agréable de tremper dans cette eau tièdes alors que dehors il faisait encore très froid. Tamad revenait vers la piscine. On se retournait vers lui. Il n'avait plus son dispositif de chasteté.


Je le regardais, je ne faisais même plus attention à mon pote Tommy. Je n'y croyais pas, il était tellement beau, il était entièrement nu. J'avais oublié qu'on pouvait être nu, entièrement nu. Ma queue s'en rappelait et précisément à une période ou elle avait tendance à rester calme, enfin plus calme. Elle se révoltait brusquement avec une grande violence.


Mes yeux parcouraient de haut en bas le corps de Tamad, il avait une queue énorme, je m'en doutais mais là je pouvais le constater. Il avait la peau ambrée partout, sa queue comme le reste de son corps. Il sautait dans l'eau et venait nous rejoindre.


C'est à ce moment que j'ai remarqué que Tommy lui aussi était complètement retourné. Tamad s'en amusait, il nous faisait un geste et nageait vers l'autre extrémité de la piscine, on le suivait. Nous l'avions toujours trouvé incroyablement beau, incroyable sexy mais là c'était encore pire. Il était encore plus beau, il nageait le crawl et nos deux queux protestait douloureusement. Quand il repassait devant nous il nageait sur le dos et sa queue grosse et longue se balançait, lui ne bandait pas.


On a nagé, on a chahuté, on a rigolé et quand on est sorti de l'eau nos dispositifs de chasteté se soulevaient avec force. Il nous regardait et remarquait obligatoirement le détail. Il sortait alors de l'eau avec légèreté. Là il bandait, il bandait ferme et en effet il en avait une énorme.


Elle devait être de la taille du plug. J'avais mal au cul. Rien que de voir sa matraque, j'avais mal au cul. Je me disais que j'en faisais même pas le tour avec les doigts. Je me demandais comment j'allais la prendre dans la bouche. Je me disais que je ne pourrais pas me la prendre dans le cul.


J'avais envie de sa queue. Elle se balançait à l'horizontale, elle était bien ferme déjà mais elle pouvait le devenir encore plus. Elle ne grossirait plus et là c'était heureux, plus gros, c'était trop gros mais là vraiment trop !


Il attrapait des serviettes nous en lançait une chacun et s'essuyait devant nous. Je vous jure là, Tommy et moi on buggait. On le regardait Tommy avait l'air idiot avec la bouche à moitié ouverte mais je ne devais pas être mieux.


Il s'essuyait en prenant bien son temps. On en faisait de même, il rigolait à moitié de nous voir ainsi. Peu à peu, on voyait sa queue se redresser un peu plus à chaque passage de la serviette.


Ça vous choque de me voir sans cage ?


Je faisais non de la tête en bafouillant '' Bon, gon …''.


Tommy bafouillait lui aussi '' Non, non …'' en faisant oui de la tête.


Tamad rigolait franchement il s'allongeait sur un tapis épais juste à côté de la piscine. Il écartait les jambes et se montrait dans sa plus grande beauté.


Nous somme seuls ici, vous avez le droit de vous amuser avec moi !


Au moins c'était clair. On ne se jetait pas vraiment sur lui mais c'était pas loin. Il mettait ses bras en croix, je commençais par les lui caresser. J'appréciais en même temps ses muscles puis j'y déposais quelques baisers. Avec tendresse il en profitait pour me donner un baiser sur la tempe.


Je m'approchais et on échangeait des baisers très tendre puis plus passionné. Je lui caressais le torse. Ma main descendait sur son ventre, là encore il y avait des muscles, son corps était ferme et doux. Je l'avais rêvé et là je pouvais le constater.


Ma main arrivait sur les cheveux de Tommy, lui il avait commencé par sucer la queue de notre camarade. C'est vrai que les bites, ça nous manquait un peu. Ou on vivait on ne pouvait ni nous amuser avec la notre ni avec celle du voisin.


Je devinais aux bruits de sucions que Tommy se concentrait sur son travail, et je ne pouvait constater, aux gémissements de Tamad, que ce dernier y prenait un grand plaisir. Il ne le cachait pas.


Ma queue hurlait de colère dans sa cage. Elle se révoltait, ce n'était pas la première fois mais à chaque fois ça me faisait le même effet. Une sensation de manque, une frustration intense, un manque. J'avais le plaisir là, à porté de main et plus proche encore même mais ce plaisir était inaccessible. Il n'y avait aucun moyen, le dispositif était bien étudié.


C'était infernal, sous l'effet du manque je me lâchais et c'est dans l'espoir de ressentir un peu de plaisir que j'en donnais sans compter. Je m'allongeais sur le torse de Tamad, le couvrais de baisers, de caresses, de câlins. Il me rentait mes câlins en refermant un bras sur mon dos. Il me caressait et sa main descendait jusqu'à mes fesses.


Je continuais à le caresser sur le ventre et finissais par repousser Tommy. On inversait les position et c'est moi qui maintenant suçais la queue de notre ami Tamad. Je caressais aussi le cul de Tommy, j'y retrouvais la main de Tamad.


Je n'arrivais pas à prendre toute sa queue dans la bouche, elle était bien trop grosse. Nous nous caressions l'un l'autre de tout notre corps, Tommy et moi caressions et sussions la queue de Tamad. En réponse il gémissait de plaisir.


On faisait durer ce moment de tendresse et de douceur, puis sans prévenir Tamad se relevait,nous donnait un baiser puis me retournait sur le ventre. Il s'allongeait alors sur moi, me lubrifiait le cul, il avait tout prévu avant, et sans plus de manière il appuyait sa queue contre mon anus.


Tommy se relevait et regardait la scène. Il semblait fasciné ou peut être effrayé. Moi je ne voyais rien, c'était mieux, sinon j'aurais certainement paniqué. Tamad avait une grosse queue, vraiment grosse.


Je sentais seulement un pression contre mon cul. Une pression qui devenait plus forte et encore plus forte. Elle devenait intense. Et j'ai hurlé au moment ou j'ai senti mon anus s'ouvrir et laisser passer sa queue.


Elle faisait de la place pour s'y glisser et elle s'y glissait. Mon anus se dilatait, c'était bien un peu douloureux mais c'était terriblement excitant. J'en redemandait en lui demandant toutefois d'y aller doucement mais d'y aller.


Et il y allait.


Je ne parvenais plus à respirer, je ne parvenait même plus à gémir. J'avais la bouche ouverte mais aucun son n'en sortait. Tommy me regardait, je croyais deviner dans son regard comme une panique. Il me regardait dans les yeux comme pour m'interroger, me demander si tout allait bien.


La queue de Tamad glissait, ça résistait bien un peu mais il forçait. Il forçait doucement, lentement, il voulait que ça passe mais il n'était pas pressé. Sa queue s'enfonçait millimètres après millimètre. Je me sentais envahi, rempli, je ne contrôlais plus rien et je finissait par paniquer, il finissait par écraser son ventre contre mes fesses.


Là, j'étais un peu comme mort. Pas tout à fait mais pas loin.


Tamad s'appuyait alors de tout mon poids sur mon dos puis de tout son poids sur mes fesses. Il ne bougeait plus, je n'arrivais pas à savoir si Tommy était excité ou effrayé. Il savait qu'il y passerait à son tour, je n'arrivais pas à savoir si il bandait dans sa cage ou pas.


Tamad se soulevait sans prévenir et avec un mouvement lent qui ne semblait pas finir il ressortait de mon cul. C'était presque plus violent qu'au moment ou il était entré. Je le sentais glisser avec force dans un tuyau trop étroit et le tuyau, c'était moi !


Tout mon corps tremblait quand il entrait de nouveau, il lubrifiait généreusement, il avait tout ce qu'il fallait c'était prémédité, puis il glissait plus vite. J'étais toujours trop étroit ou alors c'est lui qui était toujours trop large, trop gros et peut être trop long aussi.


Mais là ça glissait, il n'y avait plus de résistance, il n'y avait plus que de la pression. Une pression qui finissait par devenir agréable, toujours un peu douloureuse mais, délicieusement.


C'est un véritable plaisir qui naissait quelque par au milieu de mon ventre, un plaisir qui faisait peur au niveau de mon cul, un plaisir qui rayonnait dans tout mon corps, depuis mon torse jusqu'à tous mes membres et brusquement j'étais pris de convulsion.


Tamad se penchait sur mon oreille.


Ça va bonhomme ?

Oui vas y défonce moi le cul !


J'aurais peut être mieux fait de me taire là. Il s'est énervé, c'est ce que je voulais, mais c'est aussi ce que je ne voulais pas. Il entrait et ressortait plus vite, puis encore plus vite. C'était intense, terrifiant et au final je ne savais plus si c'était agréable ou pas.


Je voulais qu'il s'arrête aussi je lui criais des ' Oui vas-y, non arrête, vas y continue, encore, encore, NON, NON, OUIIIIIII !' .


Oui je sais … Mais bon …


Pendant un long moment, pendant un moment qui ne semblait jamais finir il me limait le cul. Je criais, je hurlais, c'était trop. Je gigotais, je remuais les bras mais lui avec sa force naturelle qui allait parfaitement avec le reste du bonhomme m'immobilisait sans efforts apparents.


Je sentais un plaisir douloureux qui envahissait tout mon corps. Ce n'était pas douloureux sur tout mon corps mais à un endroit précis, ce n'était pas que du plaisir. Pour le reste je tremblais, j'étais pris de convulsions et je sanglotais.


J'avais l'impression de jouir, enfin j'avais l'impression que j'éjaculais. Je jouissais sans éjaculer et en même temps j'en prenais plein le cul et je savais que le lendemain j'aurais du mal à m'asseoir.


Les derniers coups de bite qu'il me donnait étaient particulièrement violent, il jouissait dans mon cul en gueulant, il éjaculais avec force avant de s'écrouler sur moi. Je ne bougeais plus, j'étais KO. Il se retirait je hurlais une dernière fois, une dernière fois j'étais pris de convulsions, je passais ma main entre mes fesses, un filet de sperme bien épais en coulait …



A suivre




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