27 Février 2022





 Jour 129



Le nouveau voisin 03

 Le nouveau voisin 03



Pendant plusieurs jours je ne croisais pas les voisins, j'en profitais pour récupérer, il m'avait sacrément remué l'autre jour mon voisin. J'ai eu du mal à m'asseoir pendant plusieurs jours.


C'est un soir en rentrant chez moi que je retrouvais Dylan, il entrait chez lui, il m'invitait à boire un verre. Je suivais.


Coraline n'est pas là en ce moment. Elle est absente pour deux semaines. C'est son travail.

Alors tu es célibataire ?

Bein oui, je te laisse t'installer, tu ouvres deux bières, je vais prendre une douche. Tu m'excuses, j'en ai pour deux minutes.


Il était rapide en effet plus rapide que quand il faisait l'amour à sa copine, là il lui fallait du temps mais pour ce qui est de se doucher … Il revenait, il était entièrement nu, il avait gardé sa serviette autour du ventre. Je me rinçais l’œil. Je le trouvais toujours aussi beau.


Il avait compris quelles étaient mes tendances mais ça ne le dérangeait pas, il ne se cachait pas. Et puis il avait aussi les mêmes tendances. On discutait pendant un moment et forcément sa serviette finissait par tomber.


Je m'attendais à voir sa belle grosse bite mais … Je ne comprenais pas tout de suite. Elle avait disparue, et semblait confinée dans une petite cage, ça ressemblait à une cage, et c'était blanc. Je regardais et je pouvais pas cacher une certaine surprise. Il l'a remarqué, et ça le faisait rire. Il se relevait alors et me montrait plus en détail.


Il portait un cock-ring à la base de son sexe et sur le dessus de cet anneau il y avait comme une cage qui recouvrait et confinait totalement sa queue. La mienne à protesté instantanément. Je bandais comme un fou, ça m'a pris avec violence d'un coup quand j'ai vu ça. Je manquais d'air aussi, j'avais la cervelle en feu.


C'est un jeu auquel nous jouons Coraline et moi.

Hein cheu ?

Non un jeu … Tu m'as l'air troublé, ça va Charly ?

Oui ça va ! Lui répondais-je en reprenait mon souffle.

Oui donc c'est un jeu. Régulièrement je mets ce dispositif, surtout quand Coraline est absente. Excitant non ?


Il avait dit ces derniers mots en balançant son bassin, ses couilles formaient deux boules bien fermes qui remontait contre sa queue en cage. Ça formait un beau petit ensemble qui se balançait. Oui c'était excitant, c'était même terriblement excitant !


Et , Eh , Euh, Fé, Cé … Tentais-je de lui demandé .

Oui tout à fait !


Je ne sais pas ce qu'il avait compris. Surtout que moi je ne m'étais pas vraiment compris. Je me souviens seulement que j'avais voulu demander quelques chose, puis, je ne sais plus quoi. Mais c'est vrai que Dylan n'est pas contrariant.


Tu es en sueur, tu devrais prendre une douche. Me disait-il.


C'est ce que finalement je décidais de faire. Je retirais mes vêtements sans faire de manières. Je bandais, ça l'a beaucoup amusé, puis je passais sous la douche. Il restait dans l'ouverture et on continuait à discuter. Je bandais ça l'amusait toujours. On parlait de son dispositif, il m'expliquait que le jeu donc. Consistait à le frustrer pour faire monter le désire, il arrivait quelquefois que Coraline fasse l'amour avec un partenaire de passage devant lui alors qu'il portait le dispositif. Il devait bien sur être entièrement nu pendant.


Les périodes sous clés pouvaient durer plusieurs semaines. Il était resté ainsi pendant six mois une fois.


Je bandais à mort, je bandais et je ne contrôlait plus rien.


Il me demandait si je m'intéressait aussi aux filles.


Bein moi c'est plutôt les mecs, les mecs exclusivement.

Pourtant l'autre jour, Coraline te faisait bien réagir.

C'est parce que tu étais là.

C'est pas grave, Coraline ne devrait pas se formaliser pour si peux. Me répondait-il en rigolant. En plus je pense qu'elle s'en doute.


Je me séchait puis je revenais dans le salon. Il me suivait en prenant deux bières dans le frigo en passant. Puis on discutait. Je me renseignais sur son dispositif. Si ça fait mal, si ça gêne etc …


il s'installait en face de moi, les jambes bien écartées, j'écartais également les cuisses mais moi je bandais. J'admirais son dispositif, il était blanc ivoire, et il tranchait bien sur sa peau noire. Il n'avait pas de poil et sa cage à bite n'en était que plus visible. Je ne sais pas ce que cet objet m'inspirait. Il me fascinait seulement, il me fascinait. Mon regard était attiré.


Il terminait sa bière, je le regardais faire, il s'approchait alors de moi se penchait, s'accroupissait entre mes jambes puis me suçait la queue. J'ai craqué, j'ai pris sa tête entre mes mains et ne pouvant plus me retenir je lui ai balancé quelques coup de bassin. Ma queue est alors entrée directement au fond de sa gorge. Il a encaissé.


Il ne m'avait pas demandé mon avis, il avait du trouver que c'était inutile. Il me suçait, je le laissais faire. Il me caressait les cuisses, ses doigt devenaient indiscrets. J'aimais bien, ils se glissaient entre mes fesses, ils se glissaient comme ils pouvaient. Un instant j'ai pensé qu'il allait m'enculer, j'aurais bien aimé, j'avais seulement oublié que là, il ne pourrait pas faire grand chose. Ça ne calmait pas mon excitation, je bandais toujours et je me disais que c'est moi qui allait l'enculer. C'est bien aussi !


Il me prenait la main et m'entraînait vers la chambre. Il me prenait dans ses bras, je sentais son corps lisse et chaud contre moi. Je sentais ses caresses, ses mains qui maintenant se promenait sur mes fesses sans que rien ne les gêne. J'en faisais de même. Je glissais mes doigts entre ses fesses, je les prenais à pleine mains. Son corps était ferme et musclé, sa peau était tellement douce. Je tombais à genoux devant lui et comme je ne pouvais pas lui sucer la queue je me contentais de lui tripoter ses couilles, je les prenais dans ma bouche, je les lui caressais et en même temps je glissais une main entre ses fesses, doucement, sans rien lui demander, sans prévenir, je lui glissais un doigt dans son cul.


Il ne retenait pas quelques gémissements qui exprimaient son plaisir.


On se retrouvait tous les deux allongés sur son lit, tous les deux dans les bras de l'autre, c'étaient des caresses passionnées que nous partagions. Je ne pouvais pas lui sucer la queue mais lui, il pouvait, et il ne s'en privait pas. Il me chevauchait en me tournant le dos et se retrouvait avec ma queue dans la bouche et moi ses fesses en face de moi.


Je les caressais avec détermination, rapidement je lui glissait de nouveau un doigt dans le cul, puis deux. Arrivé à trois j'y mettais les deux mains puis c'était quatre doigts. Il gémissait et tremblait. Je sentais mon gland contre sa langue, il me suçait avec douceur et force.


Je me dégageais délicatement. Je le laissais dans la position qu'il était et prenais position juste derrière lui. J'appuyais ma queue sur son anus, il ne tentait pas de se dégager. Je me penchais sur lui, glissait une main entre ses cuisses lui caressais les couilles et finalement j'appuyais ma queue sur son cul. Elle entrait lentement. Je sentais son muscle anal se dilater, se contracter par moment. Là ça ne rentrait plus mais quand il se décontractait de nouveau, ça glissait bien, je poussais alors à fond.


Il a poussé un cri, mon ventre s'est écrasé contre ses fesses. J'étais entré à fond en un mouvement rapide. Il gémissait. Je me retirais et sans attendre de savoir ce qu'il en pensait je revenais, plus vite, plus fort. Je commençais alors à lui limer le cul, avec force. Il me laissait faire. Je sentais ses muscles de contracter.


Je me penchais sur lui et refermais mes bras autour de son torse. Je l'embrassais sur ses épaules, il tournait son visage vers le mien et on échangeait alors un baiser passionné. Je le limais en appuyant bien contre ses fesses au moment ou ma bite entrait à fond dans son cul.


Je me retirais, à chaque fois un peu plus, j'en arrivais à me retirer complètement, à ressortir ma queue de son cul, j'en profitais d'abord pour lubrifier un peu plus puis, je m'enfonçait à nouveau, avec force, dans un mouvement rapide puis je reprenais. Mes mouvements devenaient rapides, très rapides. Il gémissait, mon ventre claquait quand il s'écrasait contre ses fesses.


Progressivement j'y mettais plus de violence, plus de force et j'allais vraiment très vite. Il gémissait. Puis je ralentissais, plus amples et plus lents, les mouvements devenaient plus courts et plus rapides.


Je faisais des poses, puis je reprenais. Il respirait de plus en plus fort, je ne pensais plus qu'à mon plaisir et j'ai joui sans prévenir. A cet instant je ne m'inquiétais plus du tout de lui, je prenais mon plaisir sur son dos, dans son cul. Il devait lui aussi apprécier à l'entendre gueuler, il devait lui aussi aimer finalement.


Je déchargeais avec force plusieurs giclées de sperme, puis je m'effondrais sur son dos, il s'écroulait sur le lit, je me retrouvais allongé sur lui, ma queue restait encore bien ferme et bien plantée, confortablement dans son cul.


On a fini par réagir un peu plus tard, j'avais débandé, il s'est redressé et m'a entraîne sous la douche. Là on se l'avait l'un l'autre, j'en profitais pour lui laver sa cage à bite et j'observais comment elle fonctionnait dans les détail.


C'était étrange comme dispositif. Ça semblait tout petit, l'anneau étranglait son sexe à la base de son sexe, sa queue était gonflée et saucissonnée dans une cage, qui semblait minuscule. C'était à la fois effrayant et fascinant.


Ça ne fait pas mal ? Demandais-je.

Non , ça ne fait pas mal. Je ne te dirais pas que c'est confortable mais non, en fait ça ne fait pas mal.

Il lui a fallu tu temps pour se calmer, peu à peu tout rentrait dans l'ordre. Sa queue retrouvait une taille plus raisonnable et logeait dans sa cage de nouveau. Il ajustait l'anneau en tirant sur la peau puis on revenait s'allonger l'un à côté de l'autre.


Tu veux essayer ? Me demandait-il.

Non merci !

Tu ne trouves pas ça excitant ?

Si mais non ! Sans façons …


Il rigolait à ma réponse, je lui tripotais les couilles et je pouvais constater que en effet il était plus détendu. Moi j'avais pris mon pied mais il me manquait quelque chose, je me serais bien pris sa queue dans le cul. Vous savez je suis plus passif qu'actif. Mais bon, c'était plus au programme.


On a soupé ensemble ce soir là, c'était la dernière fois. Coraline devait être absente pendant encore un moment. Plusieurs fois on a remis ça. Son corps, sa peau, ses muscles, sa douceur et sa force, c'était pour moi tout ça … Pour ce qui est de sa queue, là oui, je ne dis pas ça manquait.


Mais il était chaud du cul, de plus en plus. C'était le manque. Il m'expliquait que ça lui faisait ça à chaque fois.


Une fois, on avait tenté une privation de tout plaisir sexuel pendant six semaines. Me disait-il. Coraline a des idées je te jure. On avait choisi un amant pour elle. Un mec actif, viril, costaud, grand, il croyait qu'il resterait la pauvre. Tous les jours ils faisaient l'amour et moi je restais là, nu, je n'avait droit à aucune stimulation. C'était l'enfer, c'était génial.

Six semaines ?

Ouai, c'est long mais le jours ou on a mis fin à l'expérience c'était le pied, la frustration pendant tout ce temps c'était génial, dément. Pour finir, il m'a enculé. On l'avait choisi bien monté. Il m'a enculé devant Coraline, j'ai pris un pied de dingue …

Ah ouai !

Et le lendemain on l'a viré !


Là c'était trop, je pouffais de rire. C'était des conneries c'est sûr, j'ai appris par la suite que non, c'était pas des conneries. Ces deux là avaient vraiment des jeux érotiques peu ordinaire.


Pour le moment c'est moi qui en profitait, j'avais droit au cul de mon voisin. Et il était beau son cul. Dans quelques jours, à peine quelques semaines Coraline allait revenir et …


Oui c'est vrai ça, Coraline allait revenir et ensuite …


A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

Le nouveau voisin 02

 Le nouveau voisin 02



Quelques jours passaient encore, je me remettais de ma dernière poussée de honte et en rentrant chez moi je croisais mes deux voisins dans le couloir. Dylan m'invitait à boire un verre et Coraline appréciait l'idée.


La double porte qui donnait sur leur chambre était ouverte, et je comprenais du premier coup d’œil. Ils avaient mis le lit au milieu de la chambre. Forcément je n'entendais plus rien.


Dylan me montrait un fauteuil confortable, je me laissais tomber dedans. Il s'installait en face de moi sur le canapé. J'avais une bière dans la main et on trinquait.


Je suis épuisée. Déclarait Coraline. Je vais aller prendre un bain. Puis elle disparaissait.


Je continuait à discuter avec Dylan, il travaillait dans … Heu je crois que j'ai oublié. Il venait de … Heu j'ai oublié aussi … Il est avec sa grosse , pardon je voulais dire sa compagne depuis … Heu je sais plus, j'ai encore oublié.


Bref, j'étais tellement sous le charme que mon cerveau était en surchauffe et ne fonctionnait plus normalement. Ceci dit ça n'avait rien de nouveau. Je regardais leur décoration, il y avait plein de photos sur les murs, des nus, des demis nus, des …


C'était lui et sa gonzesse !


Je sursautais et regardais les photos avec beaucoup d'intérêt d'un coup. Le torse musclé sur la photo au dessus de la télé, c'était lui. Sur la photo à côté, le profil c'était toujours lui, sur la suivante on pouvait le voir, toujours avec des éclairages rasants, en nu intégral de face, il était beau, on voyait parfaitement son sexe, il était encore plus beau que je l'avais rêvé. Une bulle de bière avait du mal à passer dans ma gorge et ma bière commençait à mousser, ou alors c'était une montée en température.


La photo suivante montrait sa copine, en nu intégral aussi, je passais à autre chose … Et dans l'ouverture de la porte c'est sa copine qui apparaissait, entièrement nue, le visage dans la serviette elle s'essuyait les cheveux. Ma bière a débordé. En quelques secondes il me tendait un tissus pour essuyer, et en plus il rigolait.


Elle était à poil, enfin à poil, son corps était entière épilé, sa peau était lisse. J'en profitais pour revenir sur les photos du mec, lui aussi était entièrement épilé. Je suis observateur remarquez, j'avais noté le détail à la première rencontre.


Elle s'installait sur le canapé, juste à côté de mon voisin. Distraitement il lui caressait la cuisse, elle lui donnait un baiser. D’où j'étais je pouvais admirer toute son anatomie. Enfin c'est ce que certains auraient fait, moi je jetais un œil distrait.


Tu peux regarder tu sais ! Me disais mon voisin en glissant une main entre les cuisses de sa copine.


J'avalais ma salive et tentais d'avaler une gorgée de bière mais je loupais ma bouche. Ils étaient pliés de rire et Dylan me tendait de nouveau le tissus pour m'essuyer.


J'avais pas l'air malin, une fois de plus, mais je commençais à m'y habituer.


Je le trouve mignon, on l'invite ? Demandait Coraline à mon voisin.

C'est toi qui décide mon amour. Lui répondait Dylan.


Je fronçais un sourcil et relevait l'autre pour dissimuler autant ma perplexité que mon interrogation. Je n'étais même plus sûr de ce que j'entendais. Elle se mettait à genoux juste devant moi et commençait à m'ouvrir la chemise. Vous savez je suis très mignon, tous mes copains me l'on déjà dit mais ça n'avait malgré tout rien à voir avec mon voisin, lui c'était du super moi à côté je suis de l'ordinaire sans plomb.


Elle me caressait doucement avec le revers de la main, délicatement me donnait un baiser sur le téton. Ça me chatouillait. Bon, jusque là j'étais plus tétanisé que réellement excité. Je ne bandais pas du tout, il faut bien se dire qu'aucune fille n'a réussi à me faire bander. Par contre le regard, le sourire amusé de Dylan me faisait de l'effet.


Il retirait sa chemise. Oui je sais ils n'ont pas froid aux yeux mes voisin mais personne ici ne va s'en plaindre. Je pouvais enfin admirer la superbe anatomie de mon voisin. C'est là que j'ai commencé à bandé, c'est à cause de ça que j'ai bandé. Par générosité, pour ne froisser personne je laisserai croire à la petit blonde que c'est à cause d'elle.


Vous voyez je sais être charmant quand je veux.


Le torse de mon voisin était vraiment sexy, il avait une très belle tablette de chocolat qui en plus en avait la couleur. Sa compagne ouvrait mon pantalon, je soulevais les fesses pour l'aider, mais c'est son compagnon que je regardais je ne loupais aucun de ses mouvements, aucun des ses gestes. J'avais envie d'y toucher, j'avais envie de le caresser et ce sont ces pensées qui me faisaient bander.


Je me retrouvais avec le pantalon sur les chevilles et rapidement elle me l'enlevait totalement, j'étais nu. Elle s'écartait pour que son compagnon puisse bien me voir. Il me lançait un regard approbateur. Je bandais encore plus.


La petite blonde se penchait alors sur moi et prenait ma queue dans sa bouche. Je sentais sa langue qui tournait autour de mon gland. Mais ce qui me faisait vraiment bander, c'était Dylan.


Il se relevait et laissait sa chemise sur place. Puis bien en face de moi je le voyais ouvrir son ceinturon, puis son pantalon, il le baissait, se penchait en avant, quand il se relevait il repoussait son pantalon du pied et se montrait dans toute sa splendeur, il avait une superbe érection et comme je l'avais imaginé il en avait une belle. Une très belle queue qui se relevait bien droit, bien ferme, bien longue, bien large.


J'en bavais d'envie, j'en avais rêvé et moi aussi je bandais encore plus ferme en voyant ça. Ma queue entrait alors dans la bouche de Coraline elle s'enfonçait encore plus et finalement s'écrasait au fond de sa gorge. Mais c'est qu'elle savait y faire la petite. Aucune ne m'avais jamais fait ça. Remarquez j'avais jamais laissé une fille aller aussi loin.


Il y en avait bien une qui avait voulu essayer à une époque mais je m'étais vite sauvé en criant avec une voie suraiguë. Mais je préfère ne pas me rappeler. Là il y avait à porté de main, une queue digne d'un demi dieu …


Tu l'enfiles ? Demandait Coraline à mon voisin.


J'étais sonné, je ne demandais que ça, je n'aurais jamais osé le demander et là, c'est comme si on me le proposait sans me demander … Avec beaucoup de douceur je lui caressais les cheveux. Je me relevais, il se glissait derrière moi, glissait son bras sur mon ventre, me caressait avec une incroyable douceur. Je me laissais aller, me penchais contre lui ma tête en arrière il m'embrassait sur l'épaule et dans le cou.


Je sentais son sexe, son énorme queue se relever entre mes cuisses. Je me sentais tout bizarre, tout fébrile, tout tremblant. Il refermait ses deux bras autour de moi et me serrait fort contre lui. Là je décollais, je me sentais léger, minuscule dans les bras d'un géant. Sa queue me soulevait les couilles et j'avais complètement oublié Coraline, elle s'était retirée et je ne l'avais même pas remarqué.


Les bras de Dylan glissaient sur mon corps. Ses mains glissaient sur mes couilles, me caressaient ma queue qui avait atteint sa taille maximale. Je bandais ferme, encore mieux qu'avec la petite. Progressivement je m'étais retrouvé à genoux sur le tapis sans même m'en rendre compte.


Je sentais un liquide froid sur mon cul. Il y avait une main de Dylan sur ma gorge qui ne tentait pas de m'étrangler, son autre mains sur le bas de mon ventre et … Ah oui j'avais oublié Coraline, elle a de la suite dans les idées la petite, c'est elle qui me lubrifiait le cul. Je laissais faire, elle glissait un doigt dans mon cul. Je ne regardais même pas ce qui se passait, je gardais les yeux fermés et je me laissais faire.


Dylan devenait plus directif, il me retenait avec sa mains sur mon ventre, appuyait sur mon dos pour que je me penche en avant, je me relevais et m'appuyais contre le dossier du fauteuil et là il me tirait vers lui et poussait en même temps sa queue dans mon cul.


J'ai hurlé ! J'ai hurlé mais je n'ai pas tenté de me dégager. Il poussait avec force mais sans pour autant brûler les étapes, c'est lentement que sa queue s'enfonçait. Je tremblait, je poussait des gémissements à la fois de plaisir et de douleur. Je ne vous raconte pas comment il me dilatait la rondelle. C'était terrifiant. Je ne tentais pas de me dégager mais je serrais les dents, pas le cul, dans cette situation je vous le déconseille.


Je sentais sa matraque s'enfoncer, je sentais mon cul se dilater, je sentais tout mon ventre se dilater également en même temps qu'il se remplissait. Je ne comprenais plus grand chose, mes voisins, les bruits contre le mur, ils avaient l'air de former un couple sérieux. Et moi dans les bras d'un demi dieu, et sa femme qui nous regardait, enfin je suppose qu'elle nous regardait. J'avais les yeux fermés, je faisait une grimace qui devait être à faire peur, j'avais du mal à respirer quand j'essayais, le plus simple à ce moment c'était de ne rien faire. Mais bon de temps en temps il faut bien respirer tout de même.


Il approchait de la limite, il atteignait la limite, je râlais il continuait à s'enfoncer, il dépassait la limite. J'étais sur le point de m'évanouir, là je vous jure que je n'oubliais plus de respirer au contraire, je respirais fort avec un râle dans la voie. Je gémissait, il continuait à s'enfoncer en moi et c'est finalement son ventre qui arrêtait tout au moment ou il s'écrasait contre mes fesses.


Je t'avais dit qu'il allait aimer ! C'était Coraline, je ne savais pas ou elle était mais elle ne devait pas être loin.

Eh oui, une fois de plus tu avais raison mon amour !

Ça se voyait au premier coup d’œil que c'était pas moi qui l'intéressait !

Et tu pensais qu'il prendrait ma queue bien à fond du premier coup.

Là je dois dire qu'il m'impressionne.


Dylan me tirait vers lui avec force tout en me balançant des coups de bassin.


Il encaisse vraiment bien, c'est un plaisir !

AAAAAAH ! AAAAAAH!OOOOOoooOOOO !


Oui je sais mais je ne pouvais pas faire mieux là, j'aurais voulu vous y voir. J'en prenais plein le cul. Il se retirait et revenait avec violence. Je criais encore plus fort, puis il commençait à me limer le cul avec des petits mouvement puis des vas et viens plus amples et finalement il se retirait presque entièrement avant de revenir avec vigueur bien à fond .


Je m'effondrais, et si je restais en place c'est uniquement parce qu'il me tenait. Mes jambes tremblaient, il devenait violent. Oh il ne m'a pas frappé sinon avec son ventre contre mes fesses.


Il faisait une pose, sa queue bien installée dans mon cul. J'ai senti le corps de Coraline qui s'approchait, elle se glissait contre lui, il me lâchait et je tombais sur le sol. Mes jambes ne me portaient plus. Mais à ce moment j'ai ressenti un plaisir intense parcourir tout mon corps et ça à duré dans le temps, ça a duré, j'ai joui, j'ai éjaculé et je me suis replié sur moi même. Je me sentais bien.


Dylan passait un petit moment dans la salle de bain. Et quand il revenait Caroline glissait dans ses bras, je pouvais les voir, il se glissait en elle. Il s'allongeait sur le dos, et elle s'allongeait sur lui.


Suivaient des caresses, des câlins et de très violent coups de bassin. Et c'était parti, Coraline se redressait et chaque coups de bassin la soulevait comme si elle était sur le dos d'un taureau, ça ressemblait à une séance de rodéo.


Coraline hurlait, criait. Je reconnaissais les cris que j'avais déjà entendu et je me disais que finalement l'insonorisation était bonne. Je vous jure qu'elle criait fort la petite, et que en comparaison je n'entendais qu'un murmure de l'autre côté du mur.


Peu à peu je récupérait, je me sentais encore rempli, mais je me sentais bien maintenant. Mon cœur se calmait, mon esprit pas trop et je continuais à trembler. Mais ça allait mieux !


C'était au tour de la blonde de s'en prendre plein la chatte et d’où j'étais je contemplait la scène. Je ne bandais plus du tout. Je me posais bien des questions, je n'avais jamais imaginé me retrouvé là. Mais c'était bien. Je n'avais jamais imaginé que mes voisins soient comme ça. Mais je n'étais pas du tout déçu. Au contraire même.


Il leur a fallu un long moment, un très long moment. Ça je l'avais déjà remarqué, avec Dylan ça dure dans le temps et avec Caroline ça vaut mieux sinon elle resterait sur sa faim.


Finalement c'était une grosse cochonne.


Ils finissaient par se calmer, elle s'écroulait sur lui. Je la comprends, il est confortable.


Tu sais, Charly, tu m'as épaté là, tu m'as épaté ! Disait Dylan.

Bein c'est moi le plus surpris.

On n'aurais jamais espéré avoir un voisin comme toi. Rajoutait Coraline.


Elle relevais son torse en s'appuyant sur son compagnon et en le regardant bien dans les yeux.


Alors satisfait de cette fin de cycle ?

Très satisfait. Lui répondait Dylan avec une voie douce.

Il était encore en elle, je pouvais le voir d’où j'étais, je ne pouvais pas savoir s'il bandait encore ou pas, dans tous les cas sa queue est grosse, même en position repos, elle est grosse alors …


Elle s'est relevée, il débandait et sa queue s'étalait lourdement sur son ventre.


A suivre



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19 Février 2022

 Jour 121







INDEX LE NOUVEAU VOISIN

INDEX

 LE NOUVEAU VOISIN


    Les déménagements peuvent réserver des surprises, et là, je ne vous dis pas mais c'en était une. j'ai d'abord cru que c'était le déménageur. C'est qu'il est bien carré, bien bâti mon nouveau voisin. Sa compagne par contre est très quelconque, elle. Elle ressemble juste à un top modèle, très quelconque donc ...



Le nouveau voisin Episode 1

    Je rencontre tout à fait par hasard Dylan sur le palier, moi devant ma porte, lui devant sa porte. Je vous disais on est voisin et nos appartements se touchent. Et je vous jure on entend tout ce qui se passe à côté, surtout si on colle l'oreille à la cloison ...

Episode 01


Le nouveau voisin Episode 2

    On va un peu plus loin et on continue à faire connaissance. Les photos aux murs sont faite maison, ce sont des nus mais pas que de la dame, heureusement ! Je ne sais pas ce qu'ils font dans la vie, face à Dylan je n'arrive pas à retenir ou à comprendre ce qu'il me raconte. Je ne suis pas idiot mais il est tellement ... Waow ... que j'ai du mal à me concentrer ... 

Episode 02

 

Le nouveau voisin Episode 3

    Dans l'épisode précédent on avait cassé la glace. Maintenant Coraline est absente, c'est cool, j'ai Dylan pour moi tout seul. Il est vraiment bien Dylan, en plus il n'est seulement hétéro ou actif ... Si, si je vous jure pas seulement. Mais ils ont tout de même des jeux érotiques un peu particuliers mes deux voisins .

Episode 03


Le nouveau voisin Episode 4

    Elle s'amuse bien la petite Coraline quand son époux est sous clé. Elle ne s'amuse pas qu'avec lui, ils aiment bien avoir des invités. En plus elle bouge tout le temps, il faudra que je lui demande un jour quel travail elle fait, elle vient et elle reste pendant quelques temps puis elle repart puis on le voit plus pendant plusieurs semaines. Et cette cage qui semble l'amuser tout particulièrement. 

Episode 04


Le nouveau voisin Episode 5

    Je ne suis pas convaincu de mon choix dans les jours qui suivent, Dylan est habitué lui, heureusement qu'il est là pour me donner des conseils. Il connaît des trucs pour se soulager, on partage la même galère. On s'amuse bien quand même et puis il est très philosophe Dylan, '' Si tu ne peux pas faire, tu ne fais pas ! '' il me dit. Puis elle revient, Coraline revient comme une fleur, comme si tout était normal et elle n'est pas seule .

Episode 05


Le nouveau voisin Episode 6

    Je ne vous raconte pas comme il est désagréable le nouveau lascar à Coraline, il s'y croit vraiment. C'est un goinfre qui n'a aucune manière, aucun savoir vivre, aucun intérêt sinon qu'il est super bien monté, super bien bâti, super bien arrogant. Je ne vous dirai pas ce que je pense de lui, c'est impossible sans devenir grossier. Il me fait fantasmer, il me fait craquer et quand je le vois avec Coraline je n'ai qu'une envie, la jeter et prendre sa place.

Episode 06


Le nouveau voisin Episode 7

    Coraline s'amuse avec nos nerfs et avec la queue de son lascar Eddy. heureusement que Dylan et moi nous entendons bien et c'est ensemble que se fait plaisir qu'on arrive à détendre l'atmosphère, son corps et mon gode ... C'est déjà ça !

Episode 07


Le nouveau voisin Episode 8

    Décidément quand c'est pas Dylan il faut que ce soit Eddy. Bon c'accord il est sans manière, il se moque de nous, il est suffisant, arrogant et très déplaisant mais je vous jure c'est un bon coup. Là je commence à comprendre Coraline.

Episode 08


Le nouveau voisin Episode 9

    Il faut bien bien que les histoires finissent, je ne saurais dire si elle finit mal ou non. Bon Coraline avait bien dit que je serais libéré après Dylan, j'avais aimé comprendre ' juste après ' mais elle avait seulement dit ' après ' . Ça ne fait pas du tout la même chose vous savez ...

Episode 09



Le nouveau voisin 01

 Le nouveau voisin 01



Il était bien le nouveau voisin, il était vraiment bien. Une tête de plus que moi, la peau mate, pas bronzée mais d'un brun profond d'un marron profond qui par moment tournait presque vers le noir. De face un sourire éclatant me laissait sur place, incapable de parler, juste capable de lui rendre son sourire, et encore …


Je me sentait un peu comme cette vierge nymphomane, que je ne connais pas, le soir de sa nuit de noce juste après avoir épousé un trio d'acteur porno bien décidés, maintenant, à consommer leur mariage.


Je restais là, tétanisé, il portait un T-shirt aux manches coupée à raz. Un pantalon avantageux et rien d'autre. J'ai pas fait attention aux chaussures, il devait bien en avoir mais bon, mon regard avait du mal à descendre plus bas une fois arrivé aux cuisses.


Il n'avait pas un poil de graisse, pas un poil d'ailleurs, sa peau était lisse et prenait la lumière d'une manière très photographique.


En un mot, j'avais le vertige et je manquais d'air.


La porte refermée je reprenais mes esprits.


'' Ouah il est terrible le déménageur, ils l'ont trouvé ou ? ''. Je reprenais mes esprit mais je ne comprenais pas tout à fait ce qui se passait … C'était pas le déménageur ! C'était bien mon nouveau voisin !


La vache, je revoyais ses muscles, sa silhouette forte, ses bras, ses cuisses, son sourire, et son visage franc et jovial. La bosses qu'il portait en haut des cuisses aussi. Je vous rassure je ne change pas je remarque toujours l'essentiel.


Je n'osais pas bouger, je n'osais plus faire de bruit, je n'osais pas non plus respirer j'écoutais tous les bruits qui me parvenaient et je devinais ce qu'il faisait.


Là, ce bruit fort, il devait avoir déplacé son canapé, il l'aura soulevé. J'imaginais ses muscles bander et développer toute leur force, il était bien doté au niveau des muscles.


Là, il venait d'accrocher les rideaux, il était monté sur une chaise pour se simplifier l'existence et il venait de sauter sur le sol. J'imaginais ses cuisses quand il montait sur la chaise, à la manière d'un cow-boy … Je suis brusquement moins convaincu avec la manière du cow-boy montant sur son cheval mais … Je ne suis pas non plus convaincu du sens que je donnais à chaque bruit que j'entendais.


Ah si, là c'était un objet en verre qui venait de tomber, et ensuite c'était lui qui râlait.


Mais bon pour les autres bruits, j'imaginais plus que je ne devinais. Et j'ai de l'imagination. N'allez pas vous imaginez que l'isolation est proche du zéro mais en fait, je l'avoue mais vous ne le répétez pas, j'avais l'oreille collée contre le mur.


J'ai bien dormi la nuit qui a suivi, j'ai rêvé à mon voisin. Je me voyais avec lui, je le voyais avec moi … Je nous voyais ensemble quoi !


Le lendemain matin, j'aurais voulu le faire je n'aurais pas réussi aussi bien, je me retrouvais face à lui sur le palier.


– Salut ! Me lançait-il en me tendant la main. Moi c'est Dylan.


Je lui rendais son salut mais mais avec un peu moins de virilité. Il m'écrasait la main, je me retenais de couiner et bafouillait …


– B'jour, moi chez Liiiii.


Je ne vous raconte pas comment je me suis senti con après. J'avais même pas réussi à dire ' Bonjour moi c'est Charly '. J'avais honte mais honte … Et en plus je le reverrais régulièrement.


Et en effet je le revoyais le midi. Il me saluait ...


– Salut, excuse moi mais je n'ai pas retenu ton prénom, je suis désolé, c'est moi …

– Cha, cha, Charly moi c'est Charly et toi c'est c'est Dylan.

– Voilà ! Ça se passe bien pour toi, le quartier est calme on m'a dit, il semblerait que …


Il avait une voix douce, suave, bien posée. Je suis sûr qu'il devait très bien chanter, j'aurais bien aimé l'entendre chanter.


– Bien à plus tard Charly. Puis il refermait sa porte.

Je restais là comme un con, sans réagir, je n'avais rien compris de ce qu'il avait dit. J'étais retourné, je rentrais chez moi en espérant que je m'habitue à lui, sinon il finirait par me prendre pour un demeuré. C'était peut être déjà le cas ?


Dans les jours qui ont suivi je ne le revoyais pas, ça m'arrangeait, ça m'angoissait, il me manquait, j'avais envie de le revoir il était tellement beau.


Peut de temps plus tard, je refermais la porte de mon appartement et j'entendais une voix féminine.


– Salut voisin, toi c'est Charly, c'est ça ?


Je ne vous dis pas j'ai sursauté et là j'ai couiné. Je ne m'y attendait pas à ça ! Je me retournais, il y avait devant la porte de mon super sexy et craquant voisin une fille, une grande blonde, deux jambes qui n'en finissaient pas, cheveux clairs ( c'est vrai j'avais dit blonde ), yeux bleus, deux yeux, maquillée comme une voiture volée …


Enfin une blonde quoi. Vous en avez déjà vu, c'est pas la peine que je m'étende sur … Enfin là je vous arrête, ça ne risque pas ! Là c'est pas mon genre du tout. Un cour instant je voulais supposer que c'était sa sœur, mais ça ne me semblait pas très réaliste. Elle était un peu plus petite que lui, un peu plus grande que moi, ou alors c'était les talons.


Enfin bref, elle était du genre, créature de rêve d'une banalité absolue et affligeante. Je me retournais vers elle, je ne savais pas quoi dire.


– Coraline me disait-elle. En me faisant la bise.


Elle repartait avec une démarche de mannequin haute couture sur son podium, je regardais ça et je ne comprenais plus rien. J'étais un peu vexé. C'est vrai que je m'étais fait du cinéma dans ma tête.


Je reprenais la monotonie de ma triste vie, oui je sais j'en rajoute, métro, boulot, dodo. Même si j'habite dans une petite ville et qu'il n'y a pas de métro. Jusqu'au soir, cette monotonie m'a suivi. J'imaginais la blondasse dans ses bras, elle avait certainement le droit de s'y blottir dans ses bras, elle !


Je soir quand je rentrais, l'immeuble était calme, pas un bruit. Je rentrais, je pensais toujours à mon voisin. C'est au moment ou je me suis couché que j'ai entendu un bruit contre le mur, de l'autre côté. Puis suivait un second coup, c'était un bruit sec. Puis les coups se sont suivis, des coups secs, clair et régulier, de plus en plus rapide et c'est là que j'ai compris.


C'était le lit qui tapait contre le mur. Ils faisaient l'amour, elle en prenait plein le cul … enfin la chatte. J'imaginais mon voisin tellement viril, il devait la retenir et en même temps il devait la buriner, la limer de bon cœur. À chaque coup le lit s'écrasait contre mon mur. Et il y allait le bougre.


J'ai même entendu des cris du genre … '' aaaa, aaaaa, aa '' ou encore '' ooo, ooo, ooui ''. le timbre de la voix était celui de la blonde.


Vous trouvez que je lui manque de respect en parlant d'elle. Bon OK je vais faire un effort …


C'était la voix douce et chantante de ma voisine la charmante Coraline. Ça ira comme ça ? Désolé mais je ne peux pas faire plus convaincu, je ne le suis pas.


Ils se sont amusé pendant encore un long moment. Ils s'arrêtaient, semblaient faire une pause et au moment ou j'allais enfin m'endormir, ça recommençait.


Je sursautais dans mon lit, j'allais peut être rêver que c'était moi dans les bras de mon voisin qui me faisait défonçait le cul. Et là je me demandais s'il était bien monté ou à moitié seulement. Je me demandais si la petite était une grosse cochonne ou une petite fille délicate.


A entendre la violence des coups contre le mur, elle ne devait pas être trop délicate. Il était balaise et pour encaisser il ne fallait pas être trop délicat. Il ne faudrait pas oublier qu'il m'avait presque arraché le bras en me serrant la main.


Arraché le bras peut être pas, mais il m'avait écrasé la main, il est costaud le bonhomme. Il est certainement bien monté, finalement je me disais que c'était une grosse cochonne. Je me retenais de ne pas aller les voir, jeter la grosse par la fenêtre, on n'est qu'au deuxième étage elle aurait toutes ses chances de retomber sur ses pattes … Ensuite je prendrais sa place …


Il y a le risque que ce soit moi qui passe par la fenêtre et qui retombe sur ses pattes, enfin mes pattes. Finalement c'était pas une bonne idée !


Le lendemain ils ont remis ça, le jours suivant aussi et le jour … Enfin bref ils ont remis ça pendant plus de deux semaines. J'ai craqué, très agacé je suis sorti sur le palier, je me suis placé devant la porte de mon voisin, avec conviction j'ai levé le bras, j'étais prêt à taper fort, très fort et à faire beaucoup de bruit pour en entendre moins et … Je me suis dégonflé !


Je suis revenu chez moi, ils avaient fini. Mais bon j'en resterais pas là, demain je lui en parlerait.


Le lendemain je rencontrais Dylan, il me saluait je prenais une grande bouffée d'air et là je lui répondais …


– Ça va toi, il fa vaire bo entore aujourb'hui.


Non seulement je me dégonflais mais en plus je bafouillais. J'avais honte de moi, ce soir là encore tout, seul dans mon lit en comptant les coups contre le mur, j'avais honte !


Il m'a fallu du courage, du temps et du courage mais il fallait faire quelque chose. Je n'arrivais plus à dormir. Et un jour …


– Tu sais hier soir tu as fait beaucoup de bruit.

– Du bruit ?

– Non c'est pas que ça ne me dérange pas mais c'est que …


Je bafouillais de nouveau. Mais il a compris et il m'a promis de mettre une sourdine. Par la suite je ne les ai plus entendu, ça m'a manqué !


A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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