L'ordonnance 03 A poil dans la chambre

 L'ordonnance 03

A poil dans la chambre



C'était pas vraiment facile de rester discret pour Willy. C'était naturel, ça ne choquait personne de se présenter nu devant les autres, sous la douches par exemple ou encore dans la chambre quand il s'agissait de se changer. Certains dormaient nus. Personne ne se formalisait, et ça ne choquait personne, tous montraient leur dispositif de chasteté. Willy avait rapidement compris qu'il était le seul à ne pas en avoir un. Et en plus il avait une bite largement hors norme. 


Les dispositifs qu'il voyait sur ses camarades ne le rassuraient pas. Ils étaient tous minuscules. Plus petit que sa queue au repos, largement plus petits. Non seulement il n'avait pas prévu de porter un tel dispositif mais en plus il ne voyait pas vraiment comment il rentrerait dans un truc pareil.


Pour se calmer, pour détendre l’atmosphère, ses camarades de chambres se moquait de la situation, il en riaient. Ils se montraient nus dans la chambre et même souvent dans les couloirs, pour aller à la douche par exemple. Nombre de ces jeunes hommes y allaient entièrement nus, avec le savon dans une main et une serviette dans l'autre.


Willy ne faisait jamais ça. Il commençait à attirer l'attention … Forcément il ne faisait pas comme tout le monde. Mais comme il avait l'air très jeune et qu'il était de toute petite taille, ce qui lui donnait une allure d'adolescent, tout le monde le laissait tranquille. On le taquinait bien un peu mais sans plus. Willy était jeune bien sûr mais n'était plus adolescent, il avait passé les vingt ans. 


Les jours passaient, au niveau boulot tout se passait bien mais dans la chambre, Willy s'angoissait un peu plus chaque soir. Il jouait les prudes qui n'osait pas se montrer nu. C'est tout ce qu'il avait trouvé pour ne pas montrer à tout le monde qu'il ne portait pas de cage de chasteté, et que en plus il était rudement bien monté.


Surtout qu'avec son gabarit de ouistiti et sa queue d'étalon, nu il se faisait remarquer. Quand il avait fait ses classes, toute la chambre le taquinait. Aucun ne portait de dispositif de chasteté là bas et tout se passait bien. Les autres le regardait avec respect, même Johnny qui était un gros frimeur avec une grosse queue. En tout cas grosse, c'est ce qu'il prétendait avant de voir Willy à poil. Il était en effet bien monté mais à côté de Willy, il ne faisait pas le poids, même lui, avec ses vingt centimètres, il faisait petit joueur. 


Bein oui, vous imaginez bien qu'ils ont tous comparé. Ils se comparaient les uns aux autres et à ce jeux c'est toujours Willy qui gagnait. Les classes avaient durée trois mois, c'était la durée normale. 


Dans cette nouvelle caserne, l’ambiance était totalement différente. Tous les hommes portaient un dispositif de chasteté, ça calme ! La comparaison se faisait dans un autre esprit. On pouvait voir la taille de la cage, elle était en rapport avec la taille de la queue, c'est obligée. Si la bite est minuscule, la cage ne serra pas bien grosse. Si la cage est grosse ou pire ( mieux peut être selon certain ), si elle est énorme, c'est que la bite est de grosse taille.


Dans tous les cas, ça se termine par une comparaison. Au lieu de terminer par '' Regarde ce que j'ai moi, balaise hein !'' , les hommes terminait le jeux de la comparaison par '' Moi je porte une taille deux ( ou six ) ''. C'était selon. Bon la je déconne, vous avez remarquez. La taille six ça n'existe pas ! Quoi que, Avec Willy, à lui, il fallait une taille sept … 


La seconde semaine passait, là, les camarades de chambre de Willy devenaient lourds. Ils lui faisaient de plus en plus de commentaires et ils se moquaient.


Will se réfugiait le plus possible chez Lionel. Le secrétaire du Lieutonel qu'il allait remplacer. Cette situation le stressait.


– Tu n'as qu'à leur montrer ta queue ! Lui lançait Lionel.

– Tu es marrant toi, ils ne vont pas apprécier.

– Ils vont être verts de jalousie et pas seulement parce qu'ils ont tous un dispositif de chasteté, ils vont être verts. Tu sais à côté de toi, ils en ont tous une toute petite.

– Et s'il y en a  un qui donne dans la même taille que moi ?

– Dans ta chambre, aucun ne dépasse la taille trois ! J'ai vérifié. Lui répondait Lionel.

– C'est dans le fichier ce genre d'information ?

– Oui pour toi il est prévu une taille sept. 

– Non !

– Bein si . Il est même précisé qu'il faudra envisager une réduction …

– C'est quoi ?

– Ça veut dire qu'au début on te passe une taille sept, dès que possible on passe à six, sachant que l'idéal serait d'arriver à te faire porter une taille cinq.

– Tu es fou, j'ai vu la cinq, mais je ne rentre pas dedans !

– C'est une question d'entraînement. Mais il faut savoir que dans ce cas, si tu portes trop longtemps, ça entraînerait une réduction définitive de ta bite.


Willy devenait tout pâle. 


– Et je ne peux pas dénoncer le contrat ?

– Tu peux essayer. 

– Ça s'est déjà produit ?

– J'ai fait des recherches dans les archives, il semblerait que la personne concernée ait été mutée, mais je ne sais pas ou …  Comme je te dis ils font pression … Une taille sept, on n'en trouve aucune trace.

Et six ?

Quelques unes …


Une fois de plus Willy rentrait se coucher avec une petite boule au ventre. Ses camarades étaient couchés, les lumières étaient éteintes. Il n'allumait pas et se mettait au lit.


Il s'endormait rapidement. Il était réveillé avec brutalité, il ne savait pas qu'elle heure il était, il ne comprenait ce qui se passait. Deux de ses camarades le tenaient fermement dans son lit, le troisième allumait la lumière. On lui retirait les couvertures et un de ses camarades lui baissait son slip et là … Plus personne ne bougeait, plus personne ne disait plus rien, ils le relâchaient. 


Ils étaient pétrifié devant … La chose !


Aucun d'eux ne portait une taille plus grande que la trois. Là ils étaient devant une bite monstrueuse, vraiment grosse. Ils étaient verts, comme l'avait dit Lionel. 


– Vous êtes chiants les mecs. Vous pouvez pas me foutre la paix ! Leur gueulait Willy.


Ils l'avait lâché, en voyant sa queue, tout le monde l'avait lâché. Ils étaient écœurés.


– Tu n'as pas de cage à bite ? C'est parce qu'ils n'ont pas ta taille ? Demandait l'un.

– Ils sont en train de la fabriquer, c'est pour ça dis ? Demandait un autre.

– Alors moi là je suis dégoutté, elle est énorme. Et tu arrives vraiment à t'en servir. Les filles doivent se sauver quand elles voient ça ! Terminait le dernier.


Ils retournaient tous s'asseoir sur leur lit laissant Willy à poil, allongé sur son lit. Il était vexé Willy, il n'a pas vraiment apprécié cette blague. Il tirait sur lui sa couverture, il faisait la gueule.


– Non mais franchement ça va pas. Leur lancait-il.

– Tu ne portes pas de dispositif ? Demandait l'un.

– Pourquoi tu ne portes pas ? Continuait un second.

– Tout le monde porte ici !

– Tu dois certainement être le seul …

– C'est parce qu'il n'ont pas ta taille ?

– Fais voir j'ai pas bien vu, ou alors j'ai rêvé.


Willy se faisait assommer de questions, qui finalement n'étaient pas méchantes. Maintenant qu'il était à poil, il décidait finalement de ne plus se cacher. Il bandait. Il se levait tout de même et faisait les cent pas au milieu de la chambre.


Les commentaires fusaient de toutes parts.


– La vache !

– C'est énorme !

– Y en a qui sont vernis !

– Je savais pas que ça existait des bites pareils !

– J'y crois pas !

– C'est clair il n'avait pas sa taille !


– Bon je peux me recoucher là ? Vous avez tous bien vu ? Et si ça ne vous plaît pas cette histoire, je vous pète le cul à tous, je vous prends tous les une après les autres. Terminait-il sur un ton qui ne cachait pas son agacement.


Il était un peu énervé le petit Willy. Il se recouchait, tirait sur lui la couverture et se retournait contre le mur. Il les as entendus parler entre eux. Ils étaient sous le choc. C'est vrai qu'il ne s'attendaient pas à ça. 


Le lendemain il se levait, il avait dormi à poil et c'est juste avec sa serviette autour de lui qu'il se rendait à la douche. Personne ne lui a fait la moindre réflexion dans sa chambre, pour le reste il a fait comme d'habitude, il a pris sa douche dans une cabine …


Le lendemain il se changeait devant tout le monde, il se montrait longuement, il en profitait, il s’exhibait devant toute la chambrée, et ne passait son pantalon qu'en dernier. Ils avaient voulu voir sa bite, il pouvaient la voir là, il ne la leur cachaient plus du tout. Ils le regardaient sans faire un commentaire, une bite de plus de quinze centimètre qui pendait lourdement avec ses six centimètres de large, le tout monté sur un petit bonhomme gros comme un ouistiti, ça leur faisait bizarre tout de même. Même si le ouistiti était bien musclé ...


Ils étaient dégoûtés, ça se voyait.


Comme tous les matin, il passait au réfectoire prendre son petit déjeuner en allant au bureau du Lieutonel. Il y retrouvait Lionel qui venait d'arriver.


– Le boss veut te voir lui disait Lionel. Il m'a dit, '' ... vous me l'envoyez dès qu'il arrive … ''.


Willy paniquait, il ne montrait rien mais il paniquait. Il se demandait ce que le bosse lui voulait. Son cœur s'accélérait brusquement. Il entrait dans le bureau.


– Ah, je vous attendait. Je pars en vacances, d'habitude c'est votre collègue qui m'accompagne, mais quand nous reviendront il sera parti. Vous allez donc préparer tout de suite votre valise, tenue de sortie, tenue de travail, tenue de sport … et vous revenez. Exécution !


Willy n'avait pas vraiment eu le temps de réaliser, il mettait un moment avant de se décontracter. 


– Tu verras c'est un endroit génial. Tu vas passer deux semaines de rêve. J'ai les billet, il t'emmène à son chalet, dans la montagne, et en plus il y a de la neige. Lui expliquait Lionel.


Willy revenait dans sa chambre, elle était vide, il préparait son sac, la tenue de sortie, il l'avait déjà sur lui, il n'oubliait pas une tenue civile. Il ne lui semblait pas utile de prendre plus de vêtements civils, s'il le fallait on le lui aurait dit. Quand il revenait au bureau, on le dirigeait vers un véhicule pour aller chercher le Lieutonel chez lui. Il se préparait lui aussi.


Il avait plusieurs valises, le chauffeur et Willy les chargeaient dans le coffre puis, Willy s'installait à l'avant, le Lieutonel derrière et ils faisaient route vers l'aéroport. Ils étaient dans une base militaire géante, Tout se passait sur place, l'aéroport était à deux kilomètres du quartier d'habitation.


C'est dans un petit avion qu'ils faisaient le reste du voyage. A l'arrivée un taxi venait les chercher à l'aéroport.


– Et nous allons ou mon Lieutonel. Si ce n'est pas secret. Demandait timidement Willy.

– Dans ma résidence, j'ai un petit chalet très mignon pas loin du village. 


Ils traversaient le quartier touristique, quelques barres d'immeubles, comme dans tous les endroits touristiques, et en effet quelques kilomètres plus loin, le quartier résidentiel. C'était un petit chalet de deux étages. On voyait au premier coup d’œil que son propriétaire avait du fric. 


Ils se sont installés au deuxième étage, en façade. La vue était époustouflante, la montagne est vraiment belle et la lumière réchauffait l'atmosphère malgré la température.


Quatre chambres par niveau, au rez de chaussée un immense salon, la cuisine, le bureau et en sous sol les installation sportives. C'était un vrai palace. Le Lieutonel laissait à Willy le temps de s'installer et celui-ci décidait de prendre une douche.


Il était tranquillement en train de se doucher quand le Lieutonel entrait sans prévenir dans la salle de bain. 


– Tu prends une douche, tu as bien raison bonhomme après on se sent plus léger. Faisait remarquer le Lieutonel sur un ton décontracté.


Willy sursautait, on le voyait de dos, il tournait la tête et voyait son chef se déshabiller sans aucune gène ni complexe. Il était couvert de muscles, il en avait partout. Il était bien proportionné et était bel homme, il avait de l'allure. Mais quand il retirait son pantalon, il portait une toute petite cage à bite. Il relevait la tête, regardait Willy et lui faisait un large sourire.


Il y avait de la place pour deux, c'était des douches doubles. Le Lieutonel s'y glissait à côté de Willy et quand il le voyait de face, il ne parvenait pas à dissimuler sa surprise. 


– J'avais oublié ce détail, mais là je comprends mieux. Déclarait le lieutonel.


Willy commençait à se sentir embarrassé, il commençait à bander en voyant la cage à bite de son chef.


– Je comprends pourquoi tu ne voulais pas porter le dispositif de chasteté toi, tu voulais garder ta bite sous la main. Dis donc tu es bien doté. La nature a été généreuse avec toi !

– Heu … Oui … Bafouillait Willy.


Sa queue se balançait lourdement et prenait déjà du volume. 


– C'est moi qui te fait cet effet ? Lui demandait le Lieutonel.


Willy était rouge de confusion. À ce moment il regrettait de ne pas avoir de cage de chasteté. Ça n'arrivait jamais aux autres ce genre de réaction incontrôlable. Willy ne savait plus ou se mettre, mais il n'y avait aucun endroit ou se cacher.


A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


23 Novembre 2021

 Jour 33










L'ordonnance 02 On sympathise

 L'ordonnance 02

On sympathise



– Pas ici ! Réagissait Lionel. D'un instant à l'autre un groupe pourrait arriver pour prendre sa douche, on n'est pas tranquille ici !


Les deux jeunes hommes terminaient rapidement leur douche, Willy ne cherchait plus à se cacher aux yeux de son camarade. Il était vraiment beau son camarade mais il avait un tout petit dispositif de chasteté. Mais il trouvait Willy trais beau, et très sexy et en plus Willy n'avait pas ce genre de dispositif, il avait une grosse queue, vraiment énorme qui se relevait avec force et fierté. 


Et maintenant il avait le sourire.


Les deux hommes avaient juste eu le temps de passer un pantalon qu'un groupe arrivait. Willy jetais un regard vers Lionel et semblait lui dire, '' tu avais raison, on a évité le pire ! ''.


Tous les hommes se déshabillaient et tous portaient un dispositif de chasteté. Willy commençait à se poser des questions. Il avait cru qu'il ne serait pas obliger d'en porter un. Mais comment cela serait-il possible. Il devait être le seul homme à ne pas avoir sa queue emprisonnée dans une cage à bite dans un rayon de trois ou quatre kilomètres. Ils étaient en plein milieu d'une base militaire et il n'y avait que des hommes dans ce rayon.


Il avait vraiment cru qu'il garderait ce choix ? Il devinait qu'il devrait résister à des pressions infernales et qu'il serait dans les faits bien obligé de dire oui. Sa queue était énorme mais il ne devait pas être le seul. Il ne devait pas y en avoir non plus beaucoup d'autre de cette taille, mais on dit qu'ils ont toutes les tailles.


On dit bien des choses dans les chambres le soir. Les camarades de chambre de Willy parlent beaucoup et racontent bien des conneries. On parlait d'un mec qui avait une queue de vingt huit centimètre de long sur plus six qui avait été obligé à loger sa queue dans une cage prévue pour une bite bien plus modeste, on raconte que dans ces cas là, on en coupait un morceau.


Ce n'était que rumeurs et c'était totalement faux bien sûr. Mais ça faisait frémir le pauvre Willy. Auraient-il la taille, sa queue à lui faisait vingt trois centimètres. Et là ce n'était pas exagéré. Pour loger un morceau pareil il fallait un dispositif d'une certaine taille … 


Pour le moment, il bandait mais le dissimulait dans un pantalon un peu ample et des sous-vêtement qui maintiennent bien … Il suivait Lionel qui prenait la direction de sont bâtiment. 


– C'est là qu'ils  vont t'installer quand je vais partir. Lui disait Lionel en lui montrant les lieux.


La chambre faisait pas loin de vingt mètre carrés, ce qui était une bonne surface. Celle qu'il occupait avec ses trois camarades n'en faisait pas trente.


Il regardait attentivement un peu partout avec un regard circulaire. Quand il terminait son mouvement circulaire il revenait à Lionel et le voyait là, devant lui, il était nu, le regardait et avait une large sourire.


– Bon, tu me montres ta queue tant que tu peux encore jouer avec.


Sans répondre Willy retirait ses vêtements et les laissait tomber à ses pieds. Sa queue se relevait rapidement devant lui. Lionel baissait les yeux, il était toujours très impressionné. On pouvait deviner que lui aussi bandait, enfin sa queue tentait elle aussi de se relever, ça ne donnait pas grand chose mais il essayait. Il insistait, même si ce n'était pas volontaire.


Willy s'approchait de Lionel, 


Lionel lui caressait la joue puis le cou, passait quelques doigts sur sa nuque et le tirait vers lui ? Il penchait sa tête ver Willy qui était plus petit de vingt centimètre et lui donnait un baiser sur les lèvres. Willy marquait une hésitation, puis lui rendait son baiser. 


Willy était bien plus petit que Lionel mais en position allongée, ils avaient la même taille, et c'est allongés l'un à coté à de l'autre qu'ils continuaient à se caresser et à s'embrasser. La taille dont je parle correspond à la hauteur du bonhomme, pour ce qui est de la taille … de la queue … Willy en avait une énorme et Lionel … Pour lui ça ne comptait plus il avait gardé pendant tout son engagement une dispositif qui étape par étape était devenu tout petit. Et il n'était même pas sûr qu'il le retire un jours. Certains y prennent goût !


Il couvrait de baisers le corps de Willy. C'était nouveau pour Willy tout ça, la cage de chasteté et le corps d'un autre homme, ses caresses, ses baisers, la douceur de sa peau et son dispositif de chasteté.


Il lui tripotait les couilles, et lui rendait chacun de ses baisers. A force de se caresser, de se pencher sur l'autre, de se retourner ils se sont retrouvés en position du célèbre 69. Lionel tentait de gober comme il pouvait la queue de Willy qui, lui s'amusait avec les couilles de son camarade, il finissait par les lui gober. Il refermait la bouche et tirait doucement dessus, tout doucement, tout en les lui léchant avec la langue. Il ne pourrait pas lui sucer la queue il lui sucerait les couilles. 


Lionel réagissait avec vigueur, se tordait dans tous les sens, avait des geste de panique. Il pouvait difficilement se retrouver plus en position de soumis. Une cage à bite qui le confinait bien et ses couilles dans la bouche de son camarade, un coup de dents et … Mais Willy faisait tous ses effort pour ne pas, surtout pas, lui faire le moindre mal.


Mais ça fait tout drôle quand même. Lionel tremblait et frissonnait des émotions que lui donnait son camarade Willy. Les bras, les jambes se mélangeaient. Les caresses étaient chaudes et douces. Et de nouveau leurs lèvres se retrouvaient. Leurs baisers redevenaient chauds, très chauds.


C'était cette chaleur qui semble si forte mais qui ne brûle pas, ne laisse aucune trace, aucune cloques … Mais un plaisir d'un infinie douceur. 


Lionel s'allongeait sur le dos, écartait ses cuisses et disait juste à Willy : '' Vas y doucement ! ''


Willy hésitait, il était maladroit, il avait presque le vertige il s'allongeait sur le dos de Lionel et le caressait et l'embrassait. Il lui lubrifiait le cul avec générosité, c'était pour lui la première mais il devinait qu'il en faudrait une bonne dose. Il se lubrifiait la queue qui était maintenant au mieux de sa forme, donnait un dernier baiser entre les omoplates de Lionel puis poussait son bassin contre ses fesses.


Le cul de Lionel résistait, Willy poussait doucement. Lionel hurlait de douleur, Willy arrêtait tout et laissait à son amant le temps de récupérer. Ce n'est qu'au moment ou Lionel le lui demandait qu'il poussait de nouveau et de nouveau Lionel criait. Il râlait de douleur mais laissait faire un peu plus loin.


Il a fallu une nouvelle tentative pour que finalement la cul de Lionel ne commence à s'ouvrir. Là, Lionel ne disait plus rien. Il avait la joue posée sur son oreiller, les yeux fermés, la bouche grande ouverte mais aucun son articulé n'en sortait seul un souffle fort et bruyant, Willy le regardait, Willy l'observait . 


Willy poussait, son énorme queue glissait lentement dans l'anus de Lionel qui faisait une grimace de plus en plus monstrueuse. Willy sentait sa queue confinée mais pas comme dans une cage. C'était doux, chaud, humide, lisse mais étroit. Il poussait jusqu'à ce que son ventre s'écrase contre les fesses de Lionel. Ensuite il ne bougeait plus. Il attendait.


En fait il ne savait plus vraiment quoi faire. Il se doutait qu'il devait se retirer et recommencer mais en voyant la tête de son partenaire il se disait qu' le mieux était de ne plus bouger pour le laisser récupérer.  


Il continuait à le caresser et à l'embrasser sur les épaules et le haut du dos.


Quand Lionel réagissait  et semblait se détendre. Willy demandait '' Je peux continuer ?'' . '' Vas y mais vas y doucement ! '' lui répondait son partenaire. Willy se retirait avec douceur, il ressortait totalement, en profitait pour rajouter une bonne dose de gel lubrifiant, Lionel soufflait avec force, puis Willy enfonçait de nouveau sa queue bien à fond.


Cette fois ça passait plus facilement, et quelques râles de douleur se transformaient en râles de plaisir qui se terminaient par des sanglots. Lionel faisait toujours des grimaces mais c'était un peu différent, là on devinait du plaisir, un plaisir douloureux mais un plaisir.  Mais il est vrai que quelquefois l'orgasme intense n'es pas très loin d'une certaine douleur. 


Willy comprenait rapidement ce qu'il fallait faire mais il y allait toutefois en douceur, ça lui semblait plus prudent, vu la taille de sa queue, en plus c'était rudement étroit. 


Il s'enfonçait, ressortait de plus en plus vite. Lionel râlait de plaisir, gémissait, pleurait mais ne demandait pas à Willy d'arrêter, au contraire même. Willy refermait ses bras sur son partenaire et l'embrassait pendant qu'il lui explosait la rondelle. Le plaisir montait.


Willy faisait une pause pour faire durer. Lionel reprenait son souffle. Puis Willy reprenait, par moment il y allait un peu fort, il se ressaisissait rapidement, il avait peur de blesser son partenaire. Il n'était pas seulement sexy le petit Willy il était vraiment mignon, vous ne trouvez pas !


Ses mouvements devenaient plus désordonnés, plus rapides, il sentait qu'il ne retiendrait pas son plaisir bien longtemps. Un violent coup de bassin lui échappait au moment ou il jouissait et arrachait au passage quelques cris de douleur à Lionel. Willy jouissait, il éjaculait dans le cul de son partenaire puis ne bougeait plus, il se laissait tomber sur le dos de son camarade.


Sa queue reprenait une taille normale, une petite taille … Enfin dans le cas de Willy ce n'est jamais une petite taille. 


Sa queue redevenait tout molle, là par contre c'est possible, et ressortait toute seule. Au moment ou elle retombait, grosse molle, entre ses cuisses Lionel jouissait, enfin, il jutait, il avait déjà joui et il jouissait de nouveau ou, il jouissait toujours …


Les deux hommes on continué la soirée en discutant, ils on fini par se rhabiller par aller au réfectoire. C'est que ça creuse cette histoire. Puis ils ont discuté pendant un long moment jusque tard dans la soirée.


Selon Lionel, Willy serait tôt ou tard obligé de porter un dispositif de chasteté. En plus ils n'auraient aucune difficulté pour trouver un dispositif à la bonne taille. Il avait vu passer un dossier sur les différents modèles, du plus grand au plus petit et il y en avait plusieurs très grands.


– Tu sais Willy, ils n'auront aucune difficulté à te mettre sous clé. Le dispositif existe.

– Ça ne me rassure pas ce que tu me dis là. 

– Le problème c'est ton contrat, les autorités militaires sont en train de supprimer cette clause au contrat. Tous les officiers sont déjà sous le contrat mis à jour.

– Mais enfin ils ne peuvent pas, ce qui est écrit.

– Il leur reste tout un tas de moyens de pression. 


C'est le genre de commentaire qui ne rassurait pas Willy. Il y tenait à sa queue le petit Willy, et maintenant plus que jamais. 


Il n'était plus puceau, enfin il était encore  puceau du cul, mais ça, il s'en moquait un peu. Il avait souvent pensé à ce jour, et s'était toujours demandé comment ça allait se passer. Il sentait, il présentait depuis toujours que ce serait avec un mec et pas avec une fille. 


– Et si je dénonce la clause et je demande une annulation de mon contrat ?

– Ils ne résilient pas les contrat !

– Ils vont faire quoi alors ?

– Ils vont faire pression, jusqu'à ce que tu craques et que tu dises oui !

– C'est pas normal ça !

– Le dernier dossier que j'ai vu passer, c'était un commandant qui travaillait dans la compagnie de la liberté.

– C'est là que j'ai signé, c'est la seule compagnie qui proposait un contrat comme le mien, qui ne m'obligerait pas à porter un dispositif de chasteté.

– Et bien c'est fini, c'est officiel, ce contrat n'est plus proposé. Et tout le monde doit se soumettre à la nouvelle règle. 


Willy restait pensif, il n'avait pas prévu ce cas de figure. Il pensait être tranquille, au moins sur ce point de détail. Il pensait n'avoir jamais à porter un tel dispositif. Tous ses camarades de la compagnie étaient dans le même cas, il imaginait la tête qu'ils feraient tous quand ils se rendraient compte qu'on les avait berné.


Ça ne faisait pas partie du programme. 


Il questionnait alors Lionel sur le dispositif. Ils s’inquiétait et voulait tout savoir. Si c'était confortable, si ça faisait mal, si ça gênait les mouvements. Il n'avait pas envie de porter une truc comme ça Willy. Il ne le voulait surtout pas, s'il avait su, il ne se serait pas engagé et il savait qu'il n'était pas le seul.


C'était pas juste cette histoire, c'était pas juste. Mais comment résister, comment s'opposer à cette institution ? C'était une cause perdue !


Un peu plus tard, Willy rentrait dans sa chambre, il était tard mais ses camarades de chambre discutaient. Il s'est couché et je vous jure qu'il à passé une très mauvaise nuit. L'avenir, sa carrière se dessinait clairement maintenant, mais ce n'était pas ce qui était prévu !


A suivre


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