LES AVENTURES DE DJE Ep 85 : PAS CHAMPION CETTE ANNEE

LES AVENTURES DE DJE
Ep 85 : PAS CHAMPION CETTE ANNEE


Le reste de l'année passait très rapidement. Tout s'est mis à avancer très vite. Les travaux de construction de l'université semblaient s'accélérer. De nouveaux bâtiments destinés à l'interna se construisaient et les anciens provisoires qui s'étaient montés en si peu de temps, étaient démontés au fur et à mesure. L'école prenait peu à  peu sa forme définitive … Monumentale, une façade de presque un kilomètre de large. 

La partie gauche de la façade qui était l'ancienne école était entièrement restaurée et semblait aussi neuve que le reste. Des passages entre l'ancien bâtiment et le nouveau étaient créés, les deux bâtiments n'en faisaient plus qu'un.

Deux ailes de bâtiments étaient construits perpendiculaires à la façade, juste derrière, on y installait le nouveau réfectoire et autres installation de ce genre, ils étaient séparés par une cour d'honneur qui allait jusqu'à l'autre extrémité du campus et se terminait par une ouverture monumentale à l'arrière du nouveau bâtiment ainsi obtenu.

En façade, juste en face, dans l'alignement de la cour d'honneur l'entrée monumentale principale de l'école trouvait sa place … Très exactement au  milieu de la façade … Je ne vous dis pas … Ça avait de la gueule ce truc.

Depuis ses studios télé, Luc témoignait régulièrement de l'avancée des travaux. Une inauguration se profilait. Monsieur Leconte serait là bien sûr, C'est Luc qui était désigné pour assurer l'interview. Il enregistrait plusieurs émissions courantes et disparaissait pendant une semaine au Château pour préparer cette émission spéciale.

Bob ne décevait personne pour ce qui est de son travail, il m'avait toujours fait une très bonne impression ce petit gars, il était, toutes matières confondues dans les cinq premier de ses cours … Très bonne position, résultats très réguliers. 

Il avait fallu calmer Luc pour qu'il le laisse étudier tranquillement. Luc aurait voulu que son doudou soit toujours avec lui à préparer les émissions, mais Bob avait des études à suivre, il était en fac lui. 

Mon frère me surprenait tous les  jours, en plus de ses cinq émissions télé par semaines, des chroniques qu'il écrivait régulièrement dans la presse, il présenterait bien sûr la nouvelle inauguration de l'école … Il investissait la plus grosse partie de ses revenus, ce qui ne représentait pas des sommes négligeables, dans la production d'une série de reportage pour la télé sur le thème du voyage et du dépaysement … Ça marchait très fort il avait déjà plus de vingt chaînes de télé sur la planète qui s'intéressaient à ses reportages. 

Il m'a dit un jour que s'il vendait les films à seulement deux chaînes de télé il rentrait dans ses frais. 

Et vous allez rire, la journaliste qui nous avait un peu malmenés quelques années plus tôt était désormais sous la direction de mon petit frère … 

Je donnais toujours trois fois par semaines mes soirées à la maison. Il y avait toujours mes camarades par roulement et de plus en plus de personnalités, qui voulaient s'approcher de mon frère, d'Antoine ou de moi-même. Bob profitait par sa seule présence de notre notoriété, même Charles en profitait, où qu'il aille il était reçu comme un prince … Sait-on jamais, on aurait peut être besoin un jour de demander quelque chose au majordome des trois personnes les plus célèbres et les plus influentes de la ville. 

Notre carnet d'adresse à chacun était devenu énorme, le mien et celui de mon frère surtout, ce n'était plus un carnet mais un véritable bottin, surtout celui de mon frère.

Économiquement, nos revenus ne cessaient de monter, sauf peut être pour ce qui est de Bob, il avait régulièrement des petits contrat, toujours très bien payés, Luc avec la complicité de Mr Le Conte y veillait. Mais il faut dire que son activité première à lui c'était … Étudier !

Quand le second trimestre se terminait, le calendrier était arrêté, finalement c'était pour la rentrée suivante que la nouvelle inauguration serait organisée. C'est vrai que pour mobiliser Mr Le Conte il fallait mieux s'y prendre en avance. 

J'étais au sommet de ma forme, Antoine pareil, Bob participerait également à la rencontre sportive, on avait pris les même dispositions que l'année précédente.

On s’entraînait à l’abri des médiats. 

Nous étions dans les vestiaires, bien concentrés, quand des cris nous sortaient de notre calme.

'' Alors les champions ! Vous nous ramenez combien de médailles cette année ? ''. 

Bein oui c'était mon petit frère, et il était pas tout seul, il y avait aussi un cameraman et un preneur de son.

Moi : Fout moi le camp d'ici tout de suite, et en plus tu as emmené une caméra !
Luc : Tu sais le matériel est étanche on peut même vous suivre sous la douche !

Je le regardais en prenant l'air méchant …

Luc : Bon on va peut être attendre que vous sortiez de la douche alors ...

Par contre il ne traînait pas le guignol, pour chacun d'entre nous, il attendait et lui sautait presque dessus pour avoir ses impression à la sortie de la douche. Nous sommes tous passé devant sa caméra, devant son micro avec seulement une serviette de bain autour de la ceinture. 

Certains étaient visiblement surpris, ceux qui avaient pensé qu'il n'oserait pas. D'autres semblaient gênés, d'autres encore s'y attendaient et arrivaient avec un grand sourire, ceux là jouaient le jeux. Plusieurs laissaient même tomber négligemment la serviette sur le sol pour taquiner mon petit frère et voir s'il oserait aller encore plus loin.

Et bien devinez ! Il a osé, on a pu apercevoir ainsi plusieurs de mes camarades à la télé entièrement nus avec seulement leur dispositif de chasteté sur eux … Le soir à la maison il prenait un air faussement embêté. 

Luc : J'vous jure, je ne sais pas ce qui s'est passé, on aura mélanger les bandes vidéo …
Charles : Mais nous n'en avons jamais douté Monsieur Luc ! J'en parlais à votre frère à Antoine et à votre doudou Bob et c'était là aussi notre conclusion.

Nous n'en avions bien sûr pas parlé, et on rigolait à entendre Charles dire cela en faisant des manières.

Luc : Tu te moques là Charles … Dis ?
Charles : Mais non, mais on faisait seulement semblant de te croire et tu pourrais en faire autant avec moi.

Luc ricanait alors en faisant le guignol. Il était content de son coup ! Il avait réussi son lancement des prochains jeux inter-école comme tous les ans. 

Au départ, l'année précédente on prévoyait d'inviter jusqu'à vingt écoles mais si les travaux de construction de l'école avaient bien avancé, c'était au détriment des installations sportives, elles, elles avaient pris du retard. Finalement on n'invitait que cinq écoles. Les compétitions étaient étalées du lundi au vendredi inclus, les invités seraient là du week-end au week-end inclus.

Quelques jours plus tard Antoine, Bob et moi nous retrouvions au château, juste pour quelques jours pour nous reposer un peu avant la compétition et c'est là que le drame s'est produit. 

Un matin en descendant les escaliers pour notre entraînement quotidien je loupais une marche, tombais mal, j'entendais un crac au niveau de ma cheville et ressentais une grande douleur.

Quelques instants plus tard, il y avait un attroupement autour de moi, on me soulevait, me transportait à l'infirmerie, un infirmier m'examinait. Avant que j'ai le temps de réagir davantage un hélicoptère se posait juste derrière dans le parc. Quelques dizaines de minutes plus tard j'étais dans une salle de radiographie à l'hôpital.

Le diagnostique était implacable, déchirure musculaire, le tendon était touché et l'os légèrement fêlé. Rien de très grave à mon âge, le cartilage était intacte, mais c'était clair … Je ne participerais pas à la compétition !

Je rageais !

Je ne sais pas si Mr Le Conte avait une idée derrière la tête quand il me confiait aux mains de fée d'un infirmier super canon. Je bavais rien que de le voir, il me chouchoutait. Alors que j'étais dans mon lit devant la télé, à regarder Antoine me piquer les médailles d'or que j'aurais du avoir. Je me disais que, au moins, ça ne sortait pas de la famille. 

Charles aussi était sur place, il avait rejoint les masseurs de l'équipe, comme vous le savez c'est un masseur d’exception. Il m'avaient donc tous laissé tout seul à me morfondre devant la télé, je n'avais pas vraiment envie de me rendre sur place. On m'avait oublié, abandonné, délaissé … Oui bon d'accord j'en rajoute un peu là. Il y avait Gérôme.

Et il était canon Gérôme, les bras nus avec sa tenue d'infirmier, ça me donnait envie de jouer au docteur. Il s'approchait de moi, au niveau soin il n'avait pas grand chose à faire, j'étais pas vraiment malade vous savez. Une grosse foulure de la cheville même avec de légères complication c'est pas vraiment une maladie … J'avais un plâtre mais c'était uniquement pour garantir que rien ne bougerait, sinon un pansement aurait suffi. 

Souvent Gérôme s'approchait de moi, il ajustait mon oreiller, je sentais sa cuisse qui appuyait contre mon bras. Il aurait voulu m'allumer celui-là il ne s'y serait pas pris autrement ! Je sentais sa cuisse ferme mais légèrement élastique ? Je veux dire par la que … Je ne sentais pas ce que j'aurais du sentir, c'est à dire un truc dur, bien dur. 

Il s'en rendais compte.

Gérôme : Bein non je ne porte pas de dispositif.
Moi : Ah ! Heu … zrt … heu … owarz …
Gérôme : Ça te fait bafouiller, tu fatigues peut être ? Tu veux prendre un bain et te reposer ?
Moi : Moua yeu !

Pas de doutes, je bafouillais. Ça faisait un moment que je n'avait pas touché  une vraie queue. Et là j'avais comme l'impression qu'une grosse bosse se formait justement là ou c'était tout mou, ça devenait tout dur. 

Je ne parle pas de moi là mais bon vous aviez suivi.

Sitôt dis, sitôt fait … Je boitais joyeusement jusqu'à ma baignoire, mon petit frère faisait son mariole à la télé. Mon infirmier me glissait une sorte de grosse capote autour de la jambe pour que mon pied reste au sec à cause du  plâtre. Et m'aidait à me déshabiller. Et j'en avais grand besoin vous savez, tout seul je n'y serait jamais parvenu. 

Vous ne me croyez pas ? Bein vous avez raison ! J'en rajoutais et je faisais mon malade. Ce n'est pas dans mes habitudes, mais j'aurais voulu vous y voir moi. Il était canon le médecin, pardon je voulais dire l'infirmier. Je me retrouvais donc à poil dans mon bain bouillonnant pendant que l'eau le remplissait.

Gérôme : Ça m'a toujours paru un peu bizarre moi, ce genre de truc que tu portes.
Moi : On s'y fait tu sais.
Gérôme : Bon je vais te laisser tremper un moment.
Moi : Beuh, … , viens donc tremper avec moi, tu sais c'est très agréable et ça détend.

Il ne se faisait pas prier, on aurait dit que … Il se déshabillait et je pouvais constater que le truc tout dur qui semblait grossir chez lui, bein c'était pas une illusion. Il bandait bien ferme, il en avait une belle qui se redressait au moment ou il tombait le pantalon.

Gérôme : Désolé mais, moi je ne porte pas de truc comme toi.
Moi : GLP !
Gérôme : Tu disais ?
Moi : Bon nien ve bavait ma valise !

Bon je devine que vous devez être désorienté par ma réponse. Je traduis '' Non rien, j'avalais ma salive ! ''. Après tout ce que j'ai vécu, et je ne vous ai pas tout raconté, je reste toujours surpris de voir à quel point je peux être encore ému par une belle grosse queue !

Il prenait place juste à côté de moi, son bras touchait le mien ( pourtant il y a de la place on a tenu à plus de six ). Là je ne disais plus rien.

Gérôme : Ça ne te gêne pas ce truc.

D'un geste naturel, il approchait la main et faisait comme s'il ajustait mon dispositif. Il ne le lâchait pas, il me regardait dans les yeux, son visage était juste devant le mien, il s'approchait, j'en faisais autant. Nos lèvres se touchaient, je caressais sa bite.

On n'allait pas en rester là ! Il me prenait dans ses bras, je l'attrapais et me cramponnais à lui. On se caressait comme des fous, comme si on n'avait attendu ça depuis des semaines, comme si on était en manque ( c'était mon cas remarquez ), lui je ne sais pas. On plongeait la tête dans l'eau, j'avais passé ma main derrière sa tête et le tenais bien serré contre moi. Nos baisers étaient chauds.

Quand nous remontions à la surface, essoufflés comme si nous venions de faire une véritable plongée nous embrassions toujours avec la même passion. Je sentais sa queue qui se glissait entre mes cuisses. 

Il s'allongeait sur le sol, les pieds toujours dans le bain bouillonnant, je me penchais sur lui le caressais, l'embrassais sur tout le corps pour terminer en lui prenant la queue dans la bouche. Elle était bien ferme, je n'avais pas touché à une vrai queue depuis quelque temps, depuis les dernières vacances sur la plage avec les deux employés qui assuraient l'approvisionnement si je ne me trompe. Je retrouvais immédiatement mes réflexes, j'avalais sa queue sur toute sa longueur sans efforts, je sentais son gland qui s'écrasait au fond de ma gorge, juste derrière la glotte.

A ce moment il faut surtout bien synchroniser sa respiration, faire une pause avant de reprendre. Il ne bougeait plus, il me laissait faire, quand je relevais les yeux je voyais son sourire ravi et son regard surpris.

Vous savez j'ai jamais eu de réclamations moi. Je suce très bien  et j'y mettais tout mon cœur, il était tellement canon. Quand je retirais ma tête c'était pour replonger de nouveau et lui gober les couilles. Je le sentais se contracter un court instant et sursauter aussi puis je le sentais se détendre à nouveau et gémir de plaisir. 

Je lui gobais les couilles, puis je revenais sur sa queue, il gémissait, il était complètement détendu. Ma queue protestait, mon cul frétillait dans l'attente du plaisir que je savais maintenant très proche. C'était une belle queue et je me faisais un plaisir de me la prendre entre les fesses.

Je faisais durer ces préliminaires le plus longtemps possible, il gémissait, ma queue protestait, ma frustration montait mais je ne lâchais rien. 

Je glissais mes mains sous ses fesses, puis un doigt entre. Doucement je glissait le doigt entre ses fesses, je m'attardais tout doucement sur son trou du cul. Sans  essayer d'y entrer je le massais avec un mouvement circulaire, de plus en plus fort. Ses gémissement se faisaient entendre eux aussi de plus en plus fort. Ma queue poussait également de plus en plus fort, sans espoir mais avec persistance. 

Sa queue entrait dans ma gorge, ma langue la parcourait avec douceur depuis la base jusqu'à son gland, il était circoncis, j'aime bien ça moi. Maintenant il me caressait les cheveux, il appuyait doucement sur ma tête, il ne pouvait plus retenir les mouvements de son bassin qu'il relevait et laissait tomber.

Mon doigt ne bougeait plus sur son anus, j'appuyais et c'est à ce moment que je lubrifiais avec ma salive, continuais à lui sucer la queue, et poussais mon doigt qui s'enfonçait d'un coup, rapidement. Il poussait un cri de plaisir, un râle de plaisir et me jutais dans la gorge sans prévenir en me balançant un mouvement réflexe de son bassin qui n’empêchait de retirer ma tête, je prenais tout dans la gorge. 

Je bougeais mon doigt et frappais doucement contre sa prostate, il continuait à gémir et à trembler de plaisir, il continuait aussi à juter, il me lâchait encore quelques giclées de sperme dans la bouche.

Peu à peu on retrouvait notre calme. Enfin il retrouvait son calme parce que moi … j'avais pas eu ce que j'avais espéré. C'est pas dans la gorge que je voulais me prendre sa queue et là il débandait.

Il me laissait m'amuser encore un moment avec puis se relevait. 

Gérôme : Tu en voulait encore plus ?
Moi : Béééééé !
Gérôme : Promis, si tu n'est pas un malade trop difficile, la prochaine fois je t'encule.
Moi : Moué ! Des promesses toujours des promesses !

Il rigolait de ma réplique, se penchait vers moi et me donnait un baiser très doux sur les lèvres.



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PHILIPPE EP 21 : LA VENGENCE DE THEO

PHILIPPE
EP 21 : LA VENGENCE DE THEO


Dave faisait comme une inspection, il avait l'air perplexe.  

– Tiens on t'a déjà vu ici toi ! Faisait remarquer Dave à l'intention de Billy.

Des yeux il parcourait le corps de Billy du haut vers le bas, il faisait une pause quand il arrivait au niveau de son sexe …

– C'est bien ça, c'est très bien, je me souviens maintenant … Continuait Dave toujours.

Il s'arrêtait devant moi, regardait mon dispositif, je ne savais plus quoi faire.

– Bon ça c'est nouveau et un peu inattendu … Bon je ne ferai pas de commentaires ! Bon allez on ne traîne pas, échauffement, on me suit …

Billy rigolait, et suivait le mouvement, il connaissait, il avait déjà participé la fois ou il avait passé la nuit avec Victor. Ça ne le dérangeait pas de faire un peu d’exercice, et ça se devinait à son physique. Il suivait Dave en rigolant …

Tout le monde enchaînait et comme tous les matins on était parti pour un petit footing dans le parc privé, on était tous à poil … 

– Au fait Philippe tu pourrais me dire ce qui t'arrive ? C'est vrai j'avais dit pas de commentaires. Me demandait Dave.
– Mais Philippe tu est tombé sur la tête après toute la comédie que tu nous a fait au sujet de … C'est vrai j'avais dis pas de commentaires !
… 
– Rassure moi Philippe tu vas bien ? C'est vrai pas de commentaire !
– Tu ne te drogues pas Philippe ? Parce que là tu m'inquiètes ! Oui pas de commentaires je sais.

Bon il en rajoutait, il se moquait un peu de moi ! Il rigolait !

– Il y a des fois ou je me dis que … Il y en a qui ne vont pas bien … Bon c'est vrai, j'avais dit pas de commentaire !

A chacun de ses commentaires, c'est vrai il avait dit pas de commentaires,  tous mes camarades se retournaient vers moi en rigolant.

– Mais qu'est-ce-qui t'a pris ? Tu nous bassines depuis toujours '' Ça moi Jamais … JA – MÉ ! … '' ! s'inquiétait Théo.
– Quelqu'un te fait chanter ? Demandait Victor.
– Moi j'ai rien fait, c'est pas moi, mais j'aime bien ! Concluait Billy.

Les autres ne me connaissaient pas et n'osaient pas en rajouter. L'entraînement terminé Dave nous laissait en rigolant. 

– Moi qui ai toujours pensé que tu étais un branleur mon petit Philippe … Me disait Dave.

Peu après c'est Alex qui arrivait pour nous apporter le petit déjeuner, il marquait une pause, totalement immobile quand il m'a vu.

– Bein voilà autre chose ! … C'était pas des conneries finalement ! Tu es sûr que tu vas bien Philippe, tu veux en parler, tu n'as pas perdu la clé j'espère …
– Et si j'avais perdu la clé ? Demandais-je, en essayant de cacher une certaine panique.
– Le dispositif que tu as choisi est très sécurisé, pour le retirer sans la clé et en toutes sécurité il faut un appareil spécial qu'on n'a pas ici, et je pense même pas sur cette île donc …
– Et merde ! Lâchais-je sans le faire exprès. 
– Donc tu as perdu la clé ! Rajoutait Alex en terminant de mettre la table.
– Mouai, mouon, bé, bon … Pfff !

Oui je sais, quelquefois je suis éloquent. 

On descendait sur la plage, et pour une fois je ne mettais pas de maillot de bain, comme Victor. Maintenant j'avais le droit. Nos camarades de la nuit nous laissaient un peu plus tard. On ne remontait pas avant l'heure du repas. Ensuite mes camarades Théo et Victor repartaient, je restais comme je le faisais depuis quelques temps. Alex venait me voir.

– Tu vas bien Philippe ? Me demandait Alex.
– Oui ça va, c'est rien, c'est …
– Tu veux bien me raconter ?
– Oui, mais non. Il n'y a rien à raconter …
– Joey ?

Je regardais. J'hésitais puis finalement lui racontais toutes l'histoire, toute la relation que j'avais eu avec Joey.

– Bien, je te donne mon avis. M'expliquait Alex. Joey n'est pas quelqu'un de très sérieux, je ne lui fais pas vraiment confiance. Il a fini sa mission ici, et s'il ne te remet pas la clé tu devras rester comme ça jusqu'à la fin des vacances, encore un bon moi. A la maison on te retirera ce truc en quelques seconde mais ici je ne pense pas qu'il y ait le matériel pour le faire !

Par la suite j'ai bien tenté de retrouver Joey. Quand je passais voir à sa capsule, il n'était pas là. J'ai réussi à le revoir là ou il travaillait sur les dock mais il n'avait pas la clé sur lui … Une autre fois il m'a dit que je n'avais qu'à être patient, qu'il l'avait perdue !

J'ai compris qu'il se moquait de moi. Un moment je n'insistais plus il ne me restait plus qu'à garder ce truc pendant encore quatre semaines, nous n'étions qu'au début du deuxième mois ! Je vous garantis que jamais, plus jamais !

Même pas pour rigoler !

Et puis d'abord c'est pas drôle !

Bon c'est pas parce que j'étais sous clé que je devais me faire du mouron et gâcher tout le reste de mon séjour. Je recommençais à sortir et à m'amuser, le partenaire que je recherchais était un peu différent de celui que je recherchais au début de mon séjour ! Désormais il devrait être actif et bien monté !

Et toujours cette lumière sur une des fenêtre Est de la maison, quand nous rentrions le soir, il y avait toujours cette lumière. Un jour Théo n'en pouvant plus me demandait de téléphoner à mon grand père pour en savoir plus. Je lui passait le téléphone, et les laissais se débrouiller tous les deux. Mon grand père l’exhortait seulement à ne pas chercher à en savoir davantage. Il nous confirmais également que nous ne pouvions plus aller dans le quartier ou Victor avait vu son fantôme, la destination avait été retirée du menu de l'ascenseur, pourtant elle était de nouveau disponible.

On en parlait, on ne parlait plus que de ça autour de la piscine.

… Moi je te dis qu'il y a quelqu'un dans cette maison !
… C'est un fantôme je vous dis !
… Mais non il n'y a pas de fantôme !
… Alors c'est quoi cette lumière ?
… Et pourquoi brusquement le quartier ou Victor a vu le fantôme nous est à nouveau accessible ? On ne devrait pas pouvoir y aller !


Il faut reconnaître que là c'était vrai, normalement ce quartier devait nous être interdit. Nous n'avions pas d'invité ce soir là. Victor venait me retrouver dans ma chambre pour discuter. 

– Moi je suis sûr qu'il y a un fantôme dans cette maison. Rajoutait Victor. Et puis ton grand père nous l'a confirmé, tu ne peux pas dire le contraire.
– Mais c'est des conneries, il s'amusait, il voulait juste vous faire peur. Cette maison n'est pas hantée, elle a été dessinée par mon oncle Luc. Et il faut dire que Luc est un peu fou-fou dès qu'il s'agit de faire un plan ou une décoration …
– Je sais que tu dis ça pour me rassurer … Rajoutait Victor.

On frappait tout doucement à la porte, Victor hurlait !

La porte s'ouvrait doucement …

Théo : Tout va bien, je viens d'entendre crier quand j'ai frappé ?
Moi : Entre Théo, tout va bien, C'est Victor qui a peur du noir !

Théo entrait.

– Vous parlez de quoi ? Vous êtes sages au moins tous les deux ? Complétait Théo en rigolant. Enfin vous êtes bien obligés … Éh, éh, éh !


– Fais voir ton truc Philippe. Me demandait Théo.

Agacé, je retirais le peu de vêtement que j'avais sur le moi, un short c'est rapide à retirer. 

– J'aurais jamais cru que je verrais ça un jour. Continuait Théo.

Il s'approchait de moi et venait s'asseoir juste à côté de moi.

– Mais c'est que tu es sexy comme ça mon petit Philippe …

Victor rigolait à l'entendre, il venait lui aussi s'asseoir à côté de moi et me caressait le torse sans faire plus de manière. La main glissait rapidement sur le côté de mon torse, une caresse douce, instantanément ma queue protestait dans sa cage. A ma grande surprise ce n'était pas douloureux, désagréable parce que je devinais que je ne pourrais pas faire de ce que je voudrais ce soir encore. 

– Je me souviens, il n'y a pas si longtemps on se retrouvait dans la situation inverse … Faisait remarquer Théo.
– Moi aussi je me souviens, j'ai bien aimé ! Rajoutais-je.
– Pauv con ! Tu m'as fait mal ce jour là …
– Tu es râleur tout de même !

En quelques gestes il retirait tous ses vêtements, il bandait et je devinais ou il voulait en venir. Il attrapait mes jambes, me tirait vers lui, posait mes chevilles sur ses épaules, il était en position.

Moi je gardais le sourire, je ne râlais pas moi ! Je ne suis pas comme lui qui râle quand il va se faire enculer. Je gardais le sourire, il s'appuyait sur moi repliant mes jambes contre mon torse. Il n'est pas lourd mais je sentais son poids sur mes jambes. 

Victor venait s'installer au dessus de moi,juste au dessus de ma tête, je voyais son visage se pencher sur moi, il m'embrassait et me caressait les bras et les épaules, je lui rendais ses caresses. Théo nous regardait et je sentais une pression contre mon anus. Ma queue protestait dans sa cage, c'était rapidement désagréable mais en aucun cas douloureux. Un peu tout de même mais uniquement au niveau de mon cul. 

C'est qu'il se vengeait le petit Théo, il poussait fort. Je sentais mon anus se dilater, je poussais un cri au moment ou sa queue s'enfonçait. Il n'en tenait pas compte, il continuait à pousser et rapidement son ventre s'écrasait contre mes fesses. Il se vengeait, ça ne faisait aucun doute, il se vengeait, il me faisait mal, très mal. Je gémissais de douleur, Victor s'était penché sur moi et m'embrassait, je ne lui rendais pas vraiment ses baisers, j'avais mal … 

J'avais vraiment mal, je gardais la bouche ouverte et intérieurement je hurlais de douleur mais pratiquement aucun bruit ne sortait de ma bouche. Victor aidait Théo à maintenir mes jambes, je ne pouvais plus bouger. Je voulais me dégager mais c'était impossible. Victor avait posé ses genoux sur mes coudes, et me coinçait totalement. C'était pas confortable, ses couilles me caressait le front et sa cage de chasteté tapait sur mon nez à chaque mouvement. Je voulais me dégager mais je ne pouvais pas bouger.

J'avais du mal à respirer, je voulais hurler mais aucun son ne sortait de ma bouche. Théo s'était retiré et sans attendre il enfonçait de nouveau sa queue bien à fond dans mon cul. Il ne se retenait pas, il me faisait mal mais il s'en moquait. Victor aussi semblait s'en moquer. C'est sans attendre qu'il passait à la vitesse supérieure. Il me limait le cul avec force, violence même, je sanglotais, je gémissais, la douleur montait et devenait insupportable mais je ne pouvais rien faire, je n'arrivait même pas à crier. J'aurais cru qu'après Joey je pourrais un peu mieux encaisser mais il y a des jours je suppose.

Le ventre de Théo frappait avec régularité contre mes fesses et claquait avec force. J'avais le souffle coupé. Victor m'avait libéré les bras, il était allongé sur moi, j'avais la tête au niveau de son nombril, je le serrais dans mes bras, il m'embrassait le ventre. Je respirais fort, je gémissais fort, je pleurais presque. Au fond de mon ventre c'était la panique, il y avait une sensation de plaisir qui montait mais je n'appréciais par vraiment, il y avait mis trop de violence. Il y avait aussi cette douleur, elle ne passait pas, il faut dire que Théo ne se calmais pas.

Quand il se retirait c'était pour revenir avec encore plus de force. Il se vengeait !

Je n'ai pas vraiment senti quand il à joui dans mon cul mais je l'ai entendu. Il hurlait de plaisir, il en rajoutais c'est sûr, puis il ne bougeait plus. Victor se relevait, je regardais Théo, il avait l'air content de lui, il me regardais avec un grand sourire satisfait. 

A ce moment je ne sentais plus aucune pression dans ma cage de chasteté, j'avais juté et je ne m'en étais même pas rendu compte, j'avais juté sans rien ressentir mais au niveau de mon cul, là j'avais senti quelques chose, je vous le garanti. Je m'étais pris des bites plus grosse dans le cul mais il y étaient allé doucement, enfin à part Joey peut être … Là, Théo,  il m'avait fait mal … Et quand il s'est retiré je me sentais tout de suite beaucoup mieux. 

Victor se retournait vers Théo pour lui faire un câlin et peut être aussi parce qu'il avait chaud au cul lui aussi. Enfin moi je n'avais plus chaud au cul, j'avais mal au cul et j'avais aussi envie de me plaindre mais bon, sur ce dernier point je me retenais. 

Je regardais Victor qui faisait un câlin à Théo. Mais à voir comment Théo débandait je me disait que Victor resterait sur sa faim ce soir. Finalement Théo est moins bien membré que quelques uns de mes partenaires récents mais c'est lui qui m'a fait le plus mal. Il y est allé comme une brute. Il faut y aller avec douceur, virilité mais douceur. 

Je restait là sans bouger, je récupérais. En face de moi mes camarades s'étaient installés sur un fauteuil, un seul, il se faisait un câlin. Victor avait l'air d'en vouloir, son dispositif de chasteté se relevait et je devinais qu'il y avait de la pression là dedans, de mon côté tout était calme, j'avais une grosse molle qui remplissait bien la cage mais c'est tout. Théo avait l'air satisfait de lui.

– Alors Philippe, tu as aimé ? Me demandait Théo.
– Pauv con ! Lui répondais-je.

Il éclatait de rire !


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LES AVENTURES DE DAVID Ep 24 : GARDES RAPPROCHÉS

LES AVENTURES DE DAVID 
Ep 24 : GARDES RAPPROCHÉS



C'était le plus jeune gradé de sa promotion. Il avait décidé très jeune d'entrer dans l'armée. École militaire, préparation militaire, issu d'une famille de militaires … Enfin bref il avait de la chance l'uniforme lui allait comme un gant ! Laurent restait malgré tout un garçon très '' cool '', il n'était pas bagarreur, pour lui l'armée était avant tout là pour garantir la paix, et ce matin il avait un rendez-vous important, entendez par là, il était convoqué dans le bureau du général. 

En arrivant à l'état-major il remarquait tout de suite qu'il se passait quelque chose d'anormal. Il y avait la présence d'une garde spéciale réservée à la présidence. Il ne s'en inquiétait pas, il n'était pas si rare que cela que des personnages importants viennent ici. Il se présentait à l'accueil, on lui confirmait qu'il était attendu, suivait une salle d'attente ou un autre jeune officier de son âge attendait déjà, salut de rigueur puis les deux jeunes hommes attendaient sans rien dire, debout face à une fenêtre.

Le jeune homme déjà présent ne portait pas d'uniforme, mais avait salué Laurent à la manière d'un militaire. 

Laurent : Vous êtes militaire vous aussi.
Ed : Lieutenant Édouard Cascou pour vous servir mon capitaine.
Laurent : Capitaine Laurent Lassible, repos ! Vous n'êtes pas en uniforme …
Ed : Vous êtes convoqué chez le général ?

Laurent faisait oui de la tête.

Ed : Avez-vous une idée de la raison pour laquelle ils nous ont convoqués ?
Laurent : Pas la moindre.
Ed : Quand je suis arrivé, j'ai vu le président, il arrivait et le général venait le saluer …
Ed : Vous pensez que cette visite officielle a un rapport …
Laurent : Vous vous posez trop de questions … Nous ne devrions pas tarder à le savoir …

Les deux hommes reprenaient la contemplation du jardin. Au bout d'un moment du semblait durer une éternité, un sous officier entrait dans la salle : '' Messieurs, vous êtes attendus, voulez-vous bien me suivre. Les deux premiers hommes étaient conduits dans le bureau du général, en effet le président y était. Ils allaient se présenter comme seuls les militaires savent le faire …

Le président : Repos jeunes gens, repos. Voulez-vous bien vous asseoir nous avons à parler.

Suivait une longue discussion, le Lieutenant Cascou, se voyait bombardé Capitaine. Il s'attendait à une promotion depuis déjà quelques temps, ce n'était donc pas une surprise. On leur parlait d'une mission qui impliquait une grande rigueur, une grande discrétion et de bonnes manières. Ils avaient ces qualités. S'il acceptaient la mission, ils passeraient les prochaines semaines en caserne à se préparer. Ils seraient ensuite détachés de l'autorité militaire et recevraient leurs ordres directement du conseil d'administration de la PK et de son  directeur. 

Ils acceptaient tous les deux sans aucune hésitation.

Quelques jours plus tard c'est en uniforme que le jeune Capitaine Cascou se présentait à la caserne. On leur avait réserver une chambre chacun, c'était spartiate mais confortable. Les chambres faisaient quinze mètres carré à peine, elles étaient côte à côte. Dans le reste de l'étage il y avait tout un contingent qui serait sous leurs ordres. Pour le moment ils étaient tous directement sous les ordres du général, par la suite ils seraient sous les ordre de … C'était un peu moins clair, il devraient rendre des comptes à la police, au maire, au gouverneur … A leur client aussi mais là c'était très difficile pour obtenir des informations, il y avait comme  un secret militaire mais nos deux héros avaient l'habitude de ne pas poser de questions. 

On les formait à différentes techniques de garde rapprochés. Garde du corps serait leur mission, mais le corps de qui ? On leur apprenait aussi à passer inaperçu dans une soirée mondaine, ou à préparer et à servir des cocktails, après le stage ils seraient tous capable de prendre place dans un restaurant ou un bar et d'assurer le service comme de vrais professionnels. 

Laurent et Édouard se rapprochaient, devenaient amis. Souvent le soir une discussion se prolongeait dans la chambre de l'un ou de l'autre.

Ed : Vous êtes d'une famille de militaire m'a-t-on dit ?
Laurent : Oui, depuis trois générations …


Laurent : Vos parents sont des artistes, ça n'a rien à voir avec la carrière militaire.
Ed : C'est vrai que dans la famille mon engagement dans l'armée a été un choc …


Laurent : A ton avis pourquoi ils nous ont choisi nous ?
Ed : J'en sais rien, on ne sait même pas qu'elle sera notre mission. 
Laurent : Nous seront garde du corps, c'est à peu près tout ce que j'ai pu obtenir comme informations.
Ed : Et tu as une idée de qui il s'agit ?
Laurent : Mais c'est sans importance, une grosse ponte …
Ed : Notre préparation, notre sélection n'a rien d'habituelle. Ce n'est pas une mission ordinaire qui nous sera confiée.
Laurent : Pourquoi tu dis ça ?
Ed : Nous somme tous porteur d'un dispositif de chasteté.
Laurent : Non ! Pas moi !

… 

Ed : Excuse-moi. Je pensais que toi aussi.
Laurent : Toute l'équipe ? Tu est sûr ?
Ed : Ça ne fait aucun doute, tout le monde, porteur permanent !


Le quotidien reprenait, entraînement, formation … Laurent restais pensif à l'idée d'être le seul à ne pas porter de dispositif de chasteté. Il se posait des questions, à commencer par celle-ci : pourquoi ?

En rentrant de l'entraînement, il y pensait. Seul sous la douche il se demandait qu'elle serait leur mission exacte. Tout ce qu'il savaient c'est qu'ils assureraient la sécurité d'un personnage important, enfin important on ne leur avait pas dit important mais la déduction était facile. Sinon ils n'auraient pas cette entraînement. Il laissait l'eau couler sur son corps longuement. C'est le bruit de la porte qui le sortait de ses pensées. 

Les douches avait des cabines mais qui toutefois n'avaient pas de porte, ce qui assurait un minimum d'intimité et il se disait que en effet bien qu'ils aient pris plus d'une fois leur douche en même temps, Ed et lui il ne l'avait jamais vu nu de face … Justement c'était lui qui venait d'entrer. Pour le reste de l'équipe il y avait un autre local de douches, sans cabines lui.

Laurent penchait la tête, il avait envie de voir à quoi ça ressemble un dispositif de chasteté sur quelqu'un, Ed se déshabillait et se croyant seul ne prenait pas la peine de passer sa serviette autour de ses hanches.

Ed : Ah tu es là ! Je ne t'avais pas entendu !
Laurent : Ouai, une bonne douche en fin de journée, ça fait un bien fou.

Laurent ne pouvait pas détacher ses yeux du dispositif de son camarade. C'était un modèle en titane, pas le modèle permanent … Enfin je m'explique mal, je veux dire que ce n'était pas le modèle PK OR qui ne peut plus être retiré, c'était un modèle moins … inquiétant …

Ed : Tu as vu ? ( en montrant avec ses deux mains son dispositif )
Laurent : Et tu le portes depuis longtemps ?
Ed : Depuis mes seize ans. Ça aussi, ça a été un choc dans ma famille.
Laurent : Une famille d'artistes …

Ed ne prenait plus la peine de se cacher, jusque là il avait été un peu plus réservé mais c'était plus la peine maintenant que son camarade était au courant. De plus Édouard était un peu éxib. C'est Laurent qui maintenant jouait les prudes, d'habitude il se déshabillait devant son camarade sans aucune gêne mais là il semblait … Pudique … Ed s'en rendait compte. 

Ed : Tu n'as jamais porté un dispositif comme ça ?
Laurent : Dans l'école militaire ou j'étais ce n'était pas obligatoire et en fait personne n'en portait.
Ed : C'est rare, on m'a dit en effet qu'il y avait un école comme ça, qu'il en restait une.
Laurent : Mais c'est pas trop dure à porter ?

Ed ne répondait pas.

Laurent : Et comment tu fais pour … ?

Ed ne répondait toujours pas. Laurent sortait de sa cabine, regardait dans les cabines à côté, il n'y avait personne. Faisait le tour et retrouvait son camarade dans la partie des douches qui n'avait pas de séparation. Ici il ne pouvait pas entendre Laurent.

Ed pouffait de rire en voyant son camarade, il bandait !

Ed : Tu en as une belle dis donc. 
Laurent : Oh excuse moi !
Ed : Ne soit pas gêné, au contraire ça ne fait pas mal aux yeux, au contraire, moi j'aime bien voir un mec bander.
Laurent : Euh !
Ed : C'est parce que moi, comme tu peux voir, je ne peux pas vraiment …

Laurent continuait sa douche à côté de son camarade. 

Laurent : Et comment tu fais si tu as vraiment envie de … ?
Ed : Je ne fais pas !
Laurent : Ah !
Ed : En fait il y a des petits gadgets qui te purgent la prostate, mais moi j'aime pas, on ne sent rien. Je préfère des gadgets plus … virils …

Laurent ne semblait pas comprendre.

Ed : Tu voulais te branler là ? Non ?

Laurent devenait tout rouge. 

Laurent : Bein oui mais, je ne vais pas là, excuse moi …
Ed : Mais si vas y j'aimerais bien te regarder.

Laurent était surpris, mais mécaniquement il passait sa main sur sa queue, il bandait toujours. Il refermait sa main fermement et se caressait la queue, il serrait un peu plus sur le gland puis massait le reste de sa bite jusqu'à sa racine. Le mouvement reprenait et s'accélérait. Ed ne loupait rien, lui il n'essayait même pas de se masturber, mais sa cage de chasteté se redressait devant lui. Sa queue se révoltait et exigeait de pouvoir sortir. Il n'avait pas la clé !

Laurent le regardait, il avait la bouche légèrement ouverte et le regard troublé. Ed s'approchait lentement de lui, sa main rencontrait la main de Laurent, elle se retirait et lui laissait la place.  C'est Ed maintenant qui masturbait lentement Laurent.

Ed s'accroupissait devant son camarade et prenait sa queue dans la bouche, c'était pas la première fois qu'il faisait ça et il savait y faire. Tout d'abord sa langue, le bout de sa langue caressait avec une extrême douceur le gland de Laurent qui soupirait de plaisir. Pour lui c'était une première, aucune fille, personne ne lui avait jamais fait ça. C'était d'autant plus agréable que Ed s'y prenait très bien.

La langue léchait ensuite le reste du membre viril de Laurent, les lèvres à leur tour déposaient des baiser sur la queue de Laurent, puis sur ses couilles. Ed caressait en même temps les cuisses de son camarade avec les deux mains qu'il faisait remonter jusque sur ses fesses et un doigt se promenait avec impudeur entre les deux fesses, s'attardant sur le petit trou qui s'y dissimule. 

Ed prenait maintenant la queue de Laurent complètement dans la bouche, sur toute sa longueur et Laurent se cramponnait au moment ou son gland s'écrasait au fond de la gorge d' Ed. Il ne pouvait pas toucher le mur qui était trop loin, il n'y avait rien qu'il puisse attraper et c'est donc à la tête de son ami qu'il se cramponnait sans même s'en rendre compte. C'est également sans s'en rendre compte qu'il tirait avec force le visage de son camarade vers lui et l'écrasait contre son ventre.

Ed ne résistait pas et tirait Laurent vers lui, il prenait une grande respiration et avalait la queue de Laurent jusqu'à la garde, puis toujours en le tirant vers lui avec les mains sur ses fesses restait comme ça sans bouger. Laurent gémissait de plaisir, se crispait, se relevait sur la pointe des pieds. C'était nouveau pour lui, et il ne savait pas comment réagir, se laisser aller, s'abandonner, se ressaisir, prendre le contrôle de la situation … Mais pour faire quoi alors ! 

Quand Ed retirait sa tête en arrière c'était pour mieux revenir après après avoir pris à nouveau une grande respiration. Puis il retirait la tête en arrière de nouveau et de nouveau avalait la queue de Laurent sur toute sa longueur. Ce jeux continuait pendant un long moment. Laurent tremblait de  plaisir, gémissait de plus en plus fort.

C'est sans même s'en rendre compte, par pur réflexe qu'il avançait et reculait le bassin, doucement, imperceptiblement. Ed relevait les yeux et le regardait. Laurent prenait alors la situation en main. Il accélérait le mouvement et c'est lui qui maintenant enfonçait sa queue dans la gorge de son camarade. Son souffle s'accélérait, ses mouvements aussi, doucement au début puis plus fermement. Lentement au début puis rapidement. Ed ne résistait pas, il participait au mouvement en tirant le bassin de Laurent et en avançant le visage vers lui quand il lui enfonçait sa queue dans la gorge. Il avait du mal, Laurent était bien monté mais il avait aussi une certaine habitude, Édouard, et il aimait ça !

Laurent ne comprenait plus ce qui se passait mais il s'en moquait, maintenant il se lâchait. Ses coups de bassins étaient rapide et violents, il gémissait fort maintenant. Les douches leurs étaient réservées et ils ne risquaient donc pas d'être dérangés. Ed avait du mal à suivre et ne parvenait plus à se synchroniser avec les mouvements de Laurent. Il ne le tirait plus vers lui, il se contentait d'ouvrir la bouche le plus possible et d'encaisser, mais là il avait vraiment du mal. 

Ed gardait les mains sur les fesses de Laurent et essayait de suivre le mouvement. Laurent enfonçait sa queue bien à fond, ne se retirait pas, tremblait, gémissait et éjaculait avec force dans la gorge de son ami. Au même moment comme un réflexe Ed Enfonçait un doigt dans le cul de Laurent qui là hurlait de plaisir, il lâchait encore deux giclées de sperme directement dans la gorge de Ed puis une troisième.

Avec son doigt bien enfoncé dans le cul de son copain Ed lui massait fébrilement la prostate. Le corps de Laurent se détendait, il lâchait la tête de Ed, qui ne se retirait que partiellement, gardait la queue de Laurent dans la bouche et continuait à la sucer avec des mouvements de langue.

Laurent tremblait de plaisir, il jouissait mais cette fois ce n'était pas avec sa queue mais avec sa prostate, il râlait de plaisir et se retirait. Au moment ou sa queue sortait de la bouche de son camarade, celui-ci retirait son doigt. Plus personne ne bougeait.

Ed relevait les yeux, on pouvait y lire la frustration. Laurent lui caressait les cheveux. Ed se relevait.

Ed : Je ne sais pas si ça répond à ta question mais … 
Laurent : C'était quoi la question ?
Ed : Comment on fait pour … 
Laurent : Au moment ou tu as introduit ton doigt … J'ai jamais joui comme ça !

Les deux hommes se calmaient et reprenaient leur douche.

Ed : On recommencera ?
Laurent : Bein ! J'ai rien contre !

Ed le regardait alors droit dans les yeux et lui répondait.

Ed : Je te préviens, je veux me la prendre dans le cul avant que … 
Laurent : Avant que ?
Ed : Avant que … Tu ne portes toi aussi un dispositif comme le mien !
Laurent : Mais j'ai pas prévu de porter un dispositif comme ça ! 

… 

Laurent : Et pourquoi tu dis ça ? Pourquoi je devrais porter une truc comme ça ?
Ed : Voyons tu es le seul de tout notre groupe à avoir la bite à l'air, à pouvoir te branler ou enculer qui tu veux. Avec les règles morale de notre société c'est déjà presque une anomalie. Et moi je pense que pour notre mission tu devras en mettre un.

Laurent restait pensif. Dans le passé on lui avait déjà proposé de porter un truc comme ça, il avait toujours refusé. Il avait bien sûr des amis qui avaient fait ce choix et même un officier de son âge qui portait un dispositif PK-OR, le modèle qu'on ne peut plus retirer, il n'a pas de cadenas, pas de serrure, il est riveté, les deux parties de la cage emboîtées l'une dans l'autre d'une manière définitive. Il avait donc déjà pensé à porter un tel dispositif mais jamais d'une manière sérieuse.

Et ce dernier commentaire le mettait face à une situation qu'il voyait maintenant sous un angle nouveau.

Ils sortaient de la douche. Laurent ne disait plus rien. 

Ed : Ne t'inquiètes pas, en fait je ne sais rien, il n'y a peut être aucune raison que la situation change, c'est peut être ainsi que les choses doivent rester.
Laurent : On pourrait en parler un peu plus ?
Ed : Bien sûr.

Laurent ouvrait la porte de sa chambre et laissait entrer Ed.

Ils ont parlé tard dans la nuit. Laurent désirait brusquement en savoir plus. Ce qu l'on ressent, si ça fait mal au début, si gêne les mouvements au début … S'il faut du temps pour s'y habituer. 

Laurent : Je n'avais jamais pensé qu'un jour on pourrait me demander de porter un de ces trucs, mais maintenant je me demande … Et je me demande surtout ce que je répondrais …
Ed : Ça t'inquiète ?
Laurent : Bein oui un peu ! 
Ed : Tu sais, on ne peut pas t'y obliger !
Laurent : Tu sais maintenant que j'y repense, j'avais un camarade de promotion à qui l'état-major a proposé de porter une dispositif PK-OR … Peut après il voyait sa promotion avancer …
Ed : Et tu penses que tu gagnerais un grade si tu portait une PK-OR ?

La discussion se prolongeait encore un long moment puis chacun se retrouvait dans son lit. Ben oui vous vous imaginez bien que dans le même lit, là ça risquait de faire jaser … Il n'en a jamais rien dit mais on peut être sûr que Laurent cette nuit a rêvé du cul de Édouard, son camarade. Il a un peu rêver aussi qu'il devait porter un dispositif de chasteté un truc jaune, couleur or … Celui qui ne peut pas être retiré. Pour Édouard, lui, il a rêvé à le bite de Laurent. Il a rêvé que Laurent pouvait rester libre de ses mouvements et que régulièrement il se prenait cette grosse queue dans le cul.

Quelques temps plus tard cette histoire se précisait. Laurent était convoqué de nouveau chez le général mais seul cette fois ci. On lui donnait quelques détails sur la mission à venir.

Il en revenait un peu pensif et allait aussitôt voir son camarade et ami Édouard dans sa chambre.

Laurent : On m'a donné quelques détails sur notre affaire !
Ed : Vas y raconte !
Laurent : Comme tu l'avais deviné, c'est une grosse ponte que nous devront protéger.
Ed : Famille du président, ambassadeur … ?
Laurent : On ne me l'a pas encore dit ! On m'a demandé si j’acceptais de porter un dispositif comme le tien !
Ed : Je m'en doutais un peu, et qu'est-ce que tu as répondu ?


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

PHILIPPE EP 20 : EN PRISON

PHILIPPE
EP 20 : EN PRISON


On se retrouvait de nouveau entre nous. Le nettoyage profond que mon père avait demandé était loin d'être terminé et l'équipe de cinquante extras resterait donc encore quelques temps. Je me trouvais un peu balourd, mal à l'aise. Je gardais toujours mon short sur moi, je ne m’exhibais plus à  poil autour de la piscine. Mes camarades ne disaient rien mais se posaient des questions. En fait mon comportement avait changé, et un peu plus que je ne le supposais.

Au bout d'une semaine, je n'avais toujours pas revu Joey. Je savais qu'il était là mais je ne le revoyais pas et me demandais s'il ne le faisait pas exprès, s'il ne prenait pas soin de m'éviter.

Je décidais de partir à sa recherche. 

Je vous avait parlé de ce bug dans l'ascenseur il me semble. Depuis que mon grand père nous avait parlé du fantôme et avait bloqué l'accès au quartier ''  REPOS ET QUIETUDE '', à chaque fois que nous montions dans un ascenseur cette destination apparaissait à l'écran, même pas une seconde, à peine le temps de la voir puis cette destination disparaissait et il était impossible de la faire apparaître de nouveau, la destination nous était bloquée. Ce message n'apparaissait pas s'il y avait une autre personne que nous trois dans l'ascenseur …

Une fois de plus cette destination apparaissait de nouveau et j'étais surpris de voir que cette fois-ci la destination restait dans le menu. 

Je me rendais dans le bureau de mon grand père, il y a des écrans témoin qui permettent de surveiller toute la maison et je cherchais si je pouvais voir Joey. Je ne pensais plus qu'à lui, ce dispositif qu'il m'avait fait mettre et dont il avait gardé la clé, pourquoi j'avais fait ça ? Comment récupérer la clé, me libérer ?

Ma queue était en prison depuis une semaine et je voulais avant tout … En fait je ne savais plus si je voulais avant tout me libérer ou me prendre la queue de Joey dans le cul. 

Rapidement je retrouvais Joey, il travaillait au premier niveau avec une équipe, je m'y rendais. Dans l'ascenseur, juste avant d'arriver je me donnais de la contenance, je respirais bien à fond … La porte s'ouvrait, j'entrais dans le couloir, je me donnais un peu le genre de l'inspecteur des travaux finis … J'étais très mal à l'aise. J'appelais Joey et lui demandais de me suivre, prétextant qu'on avait besoin de lui. Il me suivait sans rien dire. On disparaissait dans l'ascenseur.

– Pourquoi tu as disparu ? J'ai fait ce que tu voulais ! Lui demandais-je.
– Je travaille moi, je ne passe pas mon temps à me branler !
– A parce que tu crois que je me branle ?
– Je voudrais voir ça ! Éh, éh, éh !


Puis brusquement sans prévenir il me retournait et me  plaquait, face contre la paroi de la cabine, me tordais le bras dans le dos pour m'immobiliser …

– Arrête, tu me fais mal ! Lui gueulais-je.
– Ferme là et laisse toi faire.

Il tirait sur mon short qui se retrouvait sur mes chevilles, il ouvrait son pantalon, il bandait le mec, il bandait ferme. Je ne sais pas d'où il sortait du gel mais il me lubrifiait le cul et sans plus de formalité, sans me demander mon avis il m'enfonçait sa queue dans le cul.

Je hurlais, il me faisait mal, je lui demandais d'arrêter, mon cœur battait si fort que j'ai cru avoir une crise cardiaque. Je tentais de me dégager.

A chaque fois que je bougeais il resserrais son étreinte et ne tardait pas à me balancer des coups de butoir douloureux, très douloureux et violents, très violents. Je chialais … Je l'avais cherché mais je ne voulais pas, je ne voulais plus. 

Finalement je ne résistais plus, et en larme, appuyé sur la cloison de l'ascenseur je le laissais faire. Je chialais, je tremblais, je gémissais. Il ne lâchait rien et continuait à me défoncer le cul sans aucune tendresse. Il est efficace le bonhomme. Un vrai marteau piqueur, j'en prenais plein le cul, je voulais que ça cesse, je ne pouvais pas me dégager sans qu'il me torde le bras encore plus fort et qu'il me fasse encore plus mal. J'avais vraiment peur, il me faisait peur mais il était trop … Viril ! … Fort ! … Musclé ! … 

Je l'avais dans la peau et pas seulement dans le cul. Son ventre frappait fort contre mes fesses, mon anus était totalement distendu et n'offrait plus aucune résistance, les coups étaient bruyants et ses râles de plaisir étaient bruyants aussi au moment ou il jouissait dans mon cul.

Encore quelques coups de butoir et il me laissait tomber sur le sol, relevait son pantalon, se rendait présentable. Un petit coup de pied dans mon cul …

– Reste pas comme ça ! Si on te vois comme ça tu vas te faire remarquer. 
Je ne gémissais plus, je ne faisais plus aucun bruit mais je continuais à chialer, je relevais mon short, et me rendais présentable à mon tour. Il avait bloqué l'ascenseur, nous repartions, il descendait de l'ascenseur …

– Je veux récupérer ma clé !
– Je ne l'ai pas sur moi !

Il appuyait sur le bouton de l'ascenseur et m'envoyait dans mes quartiers. J'avais mal au cul, j'avais mal au cœur, j'avais mal au bras … J'avais honte de moi, j'avais pris mon pied !

En traînant je me rendais à ma chambre, et restais un long moment sous la douche, je me lavais, je rageais contre ce dispositif de chasteté, je voulais le retirer mais pour le moment il n'y avait pas moyen, je devais le supporter. Je me disais que je l'avais cherché. Je me retrouvais dans une situation que je n'aurais jamais cru possible, à la merci d'un obsédé sexuel violent à qui je donnais plein pouvoir sur moi … J'étais pas fier !

A partir de ce jour, tous les après midi Joey passait dans mes quartiers. On attendait que mes camarades soient partis à la plage ou ailleurs, enfin bref on attendait de pouvoir être tranquille. Oh il ne restait pas longtemps, parfois vingt minutes. Le rituel était toujours le même … 

Pas de temps à perdre, quelquefois il me laissait le sucer mais rapidement il me retournait et me défonçais le cul.

A chaque fois il y avait cette peur, cette panique dans mon ventre, mon cœur s'affolait dès qu'il apparaissait dans l'ouverture de l'ascenseur. 

A chaque fois il ne fallait pas bien longtemps avant que je ne me retrouve à quatre pattes le cul bien offert et tremblant de trouille car je savais qu'il allait me faire mal. Il me défonçait alors le cul sans ménagement comme il aime tant le faire. Au bout d'une semaine, j'avais toujours un peu mal au cul mais ça rentrait de plus en plus facilement. Je ne gueulais plus mais je gémissais il me faisait mal et j'avais horreur de cette situation, pourtant pour rien au monde je n'y aurais mis fin. 

Il me limait pendant un long moment, c'était douloureux mais aussi jouissif, j'adorais cette situation. Je ne lui demandais plus la clé ! Pendant deux semaines au total, je me suis fait défoncé le cul tous les jours jusqu'au jour ou …

Il arrivait comme d'habitude, sa silhouette apparaissait dans l'ascenseur, il avait un sourire qui ne m'inspirait pas confiance. 

C'est bon, c'est terminé. Je ne te défoncerais pas le cul aujourd'hui !

Je ne savais pas quoi dire, en fait on ne discutait pas, on ne discutait jamais, il arrivait, il me baisait et il repartait. C'est tout ! Là il baissait son pantalon et me montrait son dispositif de chasteté, sa période de relâche était terminée et comme tous les employés sur l'île il devait porter un dispositif de chasteté. 

J'admirais avec un certain regret ce truc, j'ai toujours trouvé ça très sexy sur les autres, et il était sexy je peux vous le garantir.

– Tu n'auras plus ma quéquette mais je garde ta clé ! Tu vas voir petit branleur ce que ça fait que de se retrouver sous clé. Tu as le droit de rester libre, mais ça c'est pas normal !

Il repartait sans me laisser le temps de lui répondre. Il se moquait de moi le mec. J'étais furieux mais j'avais envie de lui et déjà il me manquait. C'était la première fois que j'éprouvais un truc pareil. Ma cervelle était en feu. 

Après son passage je descendais rejoindre mes camarades sur la plage. Là bas je gardais toujours un short de bain aussi personne ne remarquais que je portais une PK. Je trouvais toujours les corps nus avec un dispositif de chasteté terriblement sexy et ça me faisait bander. Au bout de deux semaines j'avais envie de me branler, de jouir d'une manière ou d'une autre mais avec ma queue et c'est à ce moment que Joey me laissait tomber, seul avec ma prison portable. Pendant toute cette période je n'avais pas dragué. 

Peu à peu j'avais recommencé à sortir faire la fête mais je rentrais toujours seul. Un soir, peu après que Joey m'ait laisser seul, la queue séquestrée dans cette prison en titane, nous étions tous les trois dans cette boite de nuit pour garçons ou nous avions pris nos habitudes. Je reconnaissais un mec au bar … C'était Billy le gars que Victor avait ramené à la maison le premier soir. Mon cœur battait soudainement très fort, je l'avais vu à poil et je savais comment il était foutu. Ma queue protestait dans sa cage, mon anus paniquait, le souffle me manquait. 

Je ne le lâchais pas, il finissait par le remarquer surtout qu'il m'avait reconnu. Mes camarades avaient disparu et tard dans la nuit c'est avec Billy que je rentrais à la maison.

Toujours cette lumière dans la maison, la lumière avait des teintes rouges et semblait danser, un peu comme une flamme, pas comme une lampe électrique. À chaque fois je me demandais ce que ça pouvait être.

Dans l'ascenseur Billy me prenait dans ses bras.

– Je te préviens, je suis actif. Je te dis ça parce que j'ai vu que tu ne portais pas de dispositif de chasteté. Ton copain Victor lui il en portait un … Commençait par me dire Billy.
– En ce moment je suis très passif moi aussi.

Il passait une main sur mon entre jambe.

– Je vois …

Dans ma chambre, je lui sautais dessus, il en faisait de même. Ses vêtements se retrouvaient rapidement à l'autre bout de la chambre, les miens suivaient.

– Tu as fini par devenir sage ? Me demandait Billy.

Je ne répondais pas, je tombais à genoux devant lui et lui suçais la queue. Au repos elle faisait déjà près de vingt centimètres de long mais fort heureusement elle ne se développait pas en proportion. Elle ne gagnait que quelque centimètres en longueur, en largeur ça ne changeait pas vraiment mais elle devenait dure, très dure et se redressait presque à la verticale. C'était rassurant mais ça restait un gros morceau. 

Je m'attendais à le sentir me défoncer la bouche mais il me prenait la tête à deux mains avec douceur. C'était pas désagréable, j'avais un peu perdu l'habitude de la douceur. Il me tirait vers lui avec fermeté bien sûr mais il faisait attention à moi, à mes réactions, si je tentais de me dégager il ne me retenait pas ou alors seulement avec douceur, juste pour m'inciter, m'encourager. 

Au bout d'un long moment il se retirait, me relevait, me prenait dans ses bras et avec une immense tendresse m'enlaçait et m'embrassait. C'était bon. J'ai vraiment aimé. Je sentais ma queue qui se révoltait dans sa prison, je sentais la sienne qui se glissait entre mes cuisses. Il me soulevait et me déposait doucement sur mon lit.

Il m'embrassait tout le corps en me caressant, je lui rendais chacune de ses caresse, chacun de ses baisers. Ses lèvres se promenaient sur moi, elles étaient suivies par le bout de son nez, il me chatouillait délicatement avec le bout de son nez … Le front, le cou, les épaules, les tétons, son visage explorait tout mon corps. 

Il passait la langue sur ma cage de chasteté, je la sentais au travers des ouvertures d'aération. Il me suçait les couilles, puis sa langue continuait à la base de mon sexe, entre les cuisses. Son doigt avançait et je le sentais qui déjà préparait mon anus à recevoir plus gros. Je frémissait un peu de peur, Joey m'avait habitué à de la violence. Je frémissais aussi de désir, j'aimais de plus en plus sentir une grosse queue s'enfoncer entre mes reins. Et lui aussi en avait une grosse, lui aussi il pouvait faire mal.

Je lui suçait longuement la queue pendant tout ce temps en le tenant fermement contre moi mais je le laissais partir au moment ou il se relevais. Il me faisait signe de m'allonger sur le ventre, j’obtempérais, il écartait mes jambes, glissait un puis deux doigts entre mes fesses. Il me lubrifiait longuement le cul, y glissait un doigt, avec douceur.  Puis il y glissait deux doigts, toujours avec douceur … Il s’allongeait alors sur moi, je sentais son énorme queue qui faisait pression contre mon anus. Il poussait, je gémissait, il poussait plus fort, je me détendais et je le sentais s'enfoncer lentement, doucement mais avec fermeté. Je gémissais, j'avais un peu mal mais à peine, c'était surtout un grand plaisir, un plaisir intense quand son bassin s'écrasait sur mes fesses.

Il me serrait alors dans ses bras, me couvrait de caresses et de baisers, rapidement ce n'était plus qu'un plaisir qui me submergeait. Il se retirait, revenait et commençait alors ce mouvement lent et fort, il entrait, il sortait … Je gémissais de plaisir …

J'ai pleuré, un moment j'ai pleuré, il ne bougeait plus quand il l'a vu. Je tournais la tête et l'embrassais, ce n'était que l'émotion. J'étais comblé, je me sentais bien, tellement bien. C'était mieux, tellement mieux qu'avec Joey. Je ne sais pas s'il avait donné autant de plaisir à Victor quelques semaines plus tôt mais il m'en donnait. Je frémissais, je tremblai, je retenais ses bras contre moi, il accélérait le mouvement.

Nous avions bougé, j'étais allongé sur le côté, lui aussi bien serré contre moi, sa queue sortait et rentrait dans mon cul de plus en plus vite. Il l'a senti au moment ou j'ai joui, je n'ai pas éjaculé mais j'ai joui. Il s'est alors laissé aller, c'était imperceptiblement qu'il se laissait aller. Il m'avait donné du plaisir, il allait maintenant prendre le sien. 

Son souffle accélérait, ses caresses devenaient moins ordonnées, les mouvement de son bassin devenaient un peu plus rapides, un peu plus violents, c'était toujours aussi bon. 

Un coup de bassin plus violent, incontrôlé. Un gémissement qui se transformait en un cri dans mon oreille, il jouissait dans mon cul. Un gémissement de ma part répondait à son cri, quelques convulsions de ma part répondait à ses mouvements désormais plus désordonnés puis nos muscles se relâchaient en même temps. 

Il ne bougeait plus, son souffle redevait plus calme. Il se retirait, un long filet de sperme coulait de ma cage de chasteté. Je me sentais tellement bien, j'avais de nouveau un sanglot, une larme de joie qui coulait de mon œil.

On passait sous la douche, il faisait chaud, on était chauds et on était en sueur. Une heure s'était passée, j'étais heureux comme rarement auparavant. On s'allongeait sur mon lit et rapidement on s'endormait.

Le lendemain matin vers dix heures … 

Réveil au clairon !

On sursautait sur mon lit. 

– Il est encore là celui là ? Faisait remarquer Billy.
– Bein oui … Toujours, il nous fait le coup de temps en temps !

Billy se levait, me tirait par le bras, m'enlaçait, m'embrassait et me tirait sur le balcon, je me sentais tellement bien que je ne résistais pas … J'étais à poil !

Dave faisait les trois chambre l'une après l'autre. Je passais toujours en premier car j'habitais sur le côté. Ensuite au centre c'est Victor qui y avait droit, il sortait lui aussi de sa chambre suivi par un mec assez mignon de sa taille mais qui ne portait pas de dispositif de chasteté, en dernier venait Théo, suivi lui aussi par un petit gars, tout mignon qui portait bien sûr un dispositif en titane comme le mien !

Et c'est là que je réagissait … C'est là que je me souvenais que je portais un dispositif de chasteté en titane ( un modèle classique quoi ), que mes camarades ne le savaient pas et … 

Ils avaient tous le regard riveté sur mon dispositif !


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

LES AVENTURES DE DJE Ep 84 : MIKE S'ECLATE

LES AVENTURES DE DJE
Ep 84 : MIKE S'ECLATE


Je n'allais pas pour autant me laisser abattre. Dans ma cabane il y avait trois garçons canons. Bien sûr ils portaient tous un dispositif de chasteté, on portait tous un dispositif de chasteté et Bastien et Logan n'en portaient pas, eux. Et en plus ils étaient bien montés et j'ai aimé ça. 

Une nuit je me réveillait, Antoine et Mike étaient dans le même lit. Antoine était paisiblement allongé sur le dos, Mike était blotti contre lui un bras posé sur sur sa poitrine. Florian allongé sur son lit montrait un corps magnifique, de très belles fesses que j'aurais volontiers défoncées jusqu'à plus soif si ne n'avais pas porté mon dispositif de chasteté. 

Je sortais sans faire de bruit, la nuit était profonde, le ciel brillait de mille feux, on voyait parfaitement la voix lactée. Je marchais sur la plage, seul le bruit des vagues brisait le silence. J'aurais pu croire que j'étais seul au monde. A quelques kilomètres plus au sud, sur la mer, la silhouette de l'île principale se détachait nettement, en dessous d'elle, la mer, au dessus d'elle, le ciel étoilé.

On pouvait parfaitement distinguer sa surface, son altitude. Elle était de très faible altitude sur sa plus grande surface, en son centre on apercevait les immeubles qui naissaient et qui bientôt deviendraient un véritable village de vacances. Enfin village … presque une ville. Sur sa partie Ouest on distinguait parfaitement un relief plus élevé. Il y avait là un rocher qui montait à près de cent mètres de haut et qui retombait en falaise sur le sud. D'ici je ne voyais que la silhouette de l'île que les étoiles dessinaient sur fond noir.

Une fois terminé, ce projet devrait avoir de l'allure. Mais pour le moment ce n'était qu'un projet. Le voie ferrée se terminerait et traverserait l'océan, ce petit archipel allait devenir un endroit très demandé et une fois que cette  route ferroviaire sera doublée dans les deux sens et terminée ce sera aussi une excellente alternative à l'avion. Enfin on n'en était pas là.

Je marchais sur la plage, juste à l'endroit ou les vagues viennent disparaître sur le sable, là au milieu de l'océan les marées n'étaient pas perceptibles, ou si peux. Quand j'arrivais vers la pointe ouest de l'île j'apercevais une silhouette qui arrivait en courant dans ma direction. Je m'arrêtais et regardais qui arrivait. C'était Mike !

Mike : Djé ? C'est bien toi ?
Moi : Oui c'est bien moi, je croyais que tu dormais toi ! Quand je suis sorti tu étais dans les bras d'Antoine.
Mike : Oui, je me suis réveillé, j'avais l'impression que quelqu'un était sorti ou entré dans la cabane mais comme tu n'étais plus là j'en ai conclu que tu étais sorti faire un tour. 
Moi : C'est quoi que tu as autour du cou là ?
Mike : Mon téléphone !
Moi : Tu attends un appel ,
Mike : Non c'est pas ça mais … 
Moi : Mais …
Mike : Tu sais le truc que Antoine a essayé l'autre, je l'ai emporté lui aussi.
Moi : Fais voir.
Mike : Euh ! C'est que … 
Moi : Il est en marche ?
Mike : Non pas en marche mais en place.
Moi : Fais voir le téléphone, je vais te montrer comment ça marche.

Il me donnait son téléphone. On s'installait sur l'herbe, le dos confortablement appuyé contre un rocher, on regardait la mer, je synchronisais le téléphone.

Mike : On est bien là, demain on aura le lever du soleil.
Moi : Non le lever du soleil c'est de l'autre côté.
Mike : Ah !
Moi : Ça donne quelque chose là ?
Mike : De quoi tu parles. 

Je lui montrait son téléphone.

Mike : Ah oui d'accord !
Moi : Il y a des piles au moins ?
Mike : Oh ça oui ! Oh oui ! Oh oui ! Oooooooh ouiiiiiiiii !
Moi : C'est ce que je vois !
Mike : Oh non de dieu ! Oh la vache ! C'est un truc de dingue !

J'arrêtais tous.

Moi : Je crois que j'ai commencé un peu fort là.
Mike : Là oui, c'était violent ! Il n'a pas que vibré le machin il s'est plié, c'était violent … Recommence pour voir !

En pouffant de rire, j'actionnais plusieurs de ces mouvement rapides et violent. Il se crispait, se contractait. Il ne pouvait déjà plus tenir en place, il soulevait son cul avec les bras, respirait fort, s'allongeait, puis s'allongeait sur l'herbe, le rocher était trop dur. Je calmais le mouvement.

Mike : C'est vraiment un truc de dingue ton machin. Je comprend pourquoi ça s'appelle ' gigoteur '. 
Moi : Bon on lance un programme normal ?
Mike : Vas y mec, je te donne carte blanche. Je te fais confiance 

Je lançais sans attendre un programme progressif, très progressif. Je devinais qu'il était du genre gourmand et que ça se terminerait très fort. La nuit n'était pas total on pouvait se voir, enfin s'apercevoir. Il s'allongeait sur l'herbe et rapidement j'entendais les petits gémissements qu'il poussait.

Il ne faisait pas beaucoup de bruit au début, par moment il se détendait, s'étirait et soupirait.

Moi : C'est bon ?

Je le voyais me répondre oui avec un mouvement de sa tête, je pouvais facilement voir ses mouvements mais je ne pouvais pas deviner l'expression de son visage. Là je ne pouvais qu'imaginer.

Il se caressait le torse avec la main et respirait plus fort. Le gigoteur vibrait bien maintenant. Je posais ma main sur le torse de Mike, il a la peau douce Mike, je l'ai déjà essayé … ? … Bein oui je l'ai déjà essayé dans le train Mike, il n'est pas farouche. Vous avez loupé l'épisode ? Même que c'est lui qui avait commencé. Non il n'est pas farouche vous pouvez me croire et le contact de son corps est très agréable.

Je lui caressait le torse, je penchais ma tête vers lui et lui donnais un baiser. Il me caressait les cheveux en retour et gémissait de plaisir. Le gigoteur vibrait plus lentement puis faisait une pause.

Mike : C'est super agréable ton truc.
Moi : Il vibre fort ?
Mike : Non là il s'est arrêté.

… 

Mike : Ça y est il recommence.

Je continuais à embrasser Mike sur tout le corps. Je m'allongeais sur lui et l'embrassais sur la bouche. Ma bite hurlait de colère dans sa cage et poussait contre les parois de la cage. C'était la deuxième fois que nos deux corps se caressaient ainsi l'un l'autre. Je le sentais trembler un peu plus, le gigoteur accélérait le mouvement. 

Je m'allongeais à côté de lui, je glissais une main sous sa cuisse et lui caressais les couilles, sa cage de chasteté était sous pression, de l'autre main je lui caressais le corps, de sa main il me caressait le bras. Ses gémissements devenaient plus forts. 

Il avait maintenant des convulsion. Légères je vous rassure. Par moment il se contractait et se détendait en tremblant. Je sentais sa main se refermer sur mon poignet en même temps un souffle étouffé dans sa gorge. Il tremblait.

Ma queue restait sous pression, mon dispositif devenait inconfortable. Je me disais que j'aurais mieux fait de profiter des vacances pour le retirer et m'amuser un peu, la queue de Mike était elle aussi sous pression, mais lui semblait détendu, enfin il semblait détendu entre chaque contraction de son corps, entre chaque convulsion. 

Il commençait à se tortiller dans tous les sens, ses gémissements devenaient bruyants, son souffle fort et irrégulier, le ' gigoteur ' ne se contentait plus de vibrer, et il se tordait dans un sens puis dans l'autre. A chaque mouvement de ce petit dispositif je sentais Mike convulser.

Il ne se tortillait plus, il se tordait, relevait son torse, gémissait et respirait très fort, le dispositif n'était toujours pas au régime maximum. Mike tremblait.

Un peu plus tard il se rallongeait tranquillement sur le sol, le ' gigoteur ' ralentissait son mouvement. Mike réagissait en se détendant complètement, il ne bougeait plus ne disait plus rien mais poussait seulement un long gémissement qui n'en finissait pas. Tous ses muscles se détendaient. 

Je me penchais sur lui, l'embrassais et le caressais. Brusquement il se relevait tous ses muscles se contractaient, il relevait le torse et poussait un cris. Le gigoteur s'énervait de nouveau, il était maintenant à la vitesse maximum. Mike était pris d'une crise de tremblement, ses couille étaient sous pression et formaient un boule juste en dessous de sa cage de chasteté. Il jutait abondamment. Il n'éjaculait pas vraiment, il jutait, un flux de sperme s'écoulait sans fin de son dispositif, il râlait, tremblait, se tordait dans tous les sens …

Il se levait alors et partait en courant vers les cabanes …

Mike : Je craque !

Je restais là, le téléphone dans la main. Par malice avant qu'il ne soit hors de portée j'enclenchais les mouvements les plus rapides et les plus violents, j'entendais Mike qui poussait un cris plus fort à ce moment.

Il était vite hors de portée du téléphone mais le dispositif dans ce programme continuait à gigoter jusqu'à ce qu'il reçoive l'instruction de s'arrêter ou qu'il soit retirer. 

Quand j'arrivais à la cabane, Mike était allongé sur son lit, il ne bougeait plus, le Gigoteur était posé dans un coin, il ne bougeait plus. Je rigolais doucement en voyant ça. 

Mike : C'est un truc de fou ça !

Il parlait tout bas pour ne réveiller personne.

Moi : Tu as vu ça ?
Mike : Et tu l'as trouvé ou ce truc ?
Moi : Dans un magasin spécialisé, il faudra que j'en achète d'autre, j'en avait qu'un et je l'ai donné à Florian. 
Mike : J'en veux un moi aussi, ça coûte cher ce truc ?
Moi : En fait j'en sais rien !
Mike : C'est pas toi qui l'a payé ?
Moi : Si … Euh … En fait oui mais c'est pas moi qui l'ai acheté, c'est une copine qui l'a acheté avec ma carte de crédit.
Mike : Et il s'appelait comment ta ' copine ' ?
Moi : Léa !
Mike : Mais c'est que c'était vraiment une fille ta copine alors !
Moi : Enfin ! Mike ! Tu t'attendais à quoi ?
Mike : Pas à ça en tout cas ! Et tu faisais quoi avec une fille toi ?
Moi : Mais c'est que je te trouve bien indiscret. Bon je ne faisais pas grand chose. 
Mike : Et elle ! Elle faisait quoi avec toi ?
Moi : Elle s'amusait avec ma carte de crédit !

Mike rigolait de ma réponse. On ne parlait plus, on ne bougeait plus, j'avais toujours une pression de malade dans ma cage de chasteté, non seulement je ne m'étais pas détendu mais j'étais encore plus excité, sexuellement excité,  qu'au moment ou je m'étais levé. Je le sentais bien mon dispositif PK, je ne sentais que ça avant de m'endormir. Je me retournais vers Mike, il dormait. 

Moi finalement j'ai pas dormi du reste de la nuit !

Les jours suivants on passé très vite, je surveillais l’horizon tous les soirs, le bateau n'est pas revenu, ou alors ce n'était plus à la même heure. La seconde semaine avançait et il fallait se préparer pour le retour. 

Tout le monde était détendu, pardon je voulais dire reposé. Oui parce que détendu pas toujours, on avait tous un petit truc entre les cuisses qui nous gardait tous un peu sous tension. 

Mais enfin on était tous reposés. Enfin reposés, c'est pareil on était épuisé, on avait fait des heures de sport tous les jours, mais enfin c'est ça les vacances, ça ne sert pas vraiment à se reposer, ça sert surtout à se laver la tête et là on se l'était lavé, la tête … 

Dans le train pour le retour plus personne ne bougeait. Il n'y avait presque pas de bruit, tout le monde s'était bien dépensé pendant deux semaines, on avait encore deux jours avant de reprendre les cours. Les vacances se terminaient nous commencions tous enfin à nous reposer … Il vaut mieux tard que jamais !


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