La morale d'Anon 03

 La morale d'Anon 03



Les jours on passé. Chacun reprenait son quotidien. Ramat était souvent prise en pitié par les voisines et les proches. Ça devenait pour elle de plus en plus difficile à supporter. 


A plusieurs reprises, Ramat avec l'aval de Dauj avait tenté de se rapprocher de Anon. Mais le pauvre ne s'en remettait pas. À chaque fois qu'il voyait le corps de Ramat, il se mettait à trembler et se sauvait en courant. Il évitait même tout contact avec les filles du village maintenant.


Ramat devenait désagréable, elle devenait irritable, même Dauj s'en rendait compte. C'est une certaine tristesse qui tombait sur cette pauvre maison. 


Malgré tout Ramat faisait des efforts pour rester serviable pour sa nouvelle famille pourtant. Dauj était de plus en plus triste, il travaillait le pauvre, il travaillait de plus en plus. Anon aussi travaillait mais il prenait soin d'être le moins souvent possible dans la maison, il ne venait plus que pour manger et même pour  dormir il préférait la grange …


Dauj était encore jeune, il aurait pu se remarier mais comment payer la dote, il souffrait de plus en plus de cette solitude, Ramat avait l'âge d'être sa fille, mais ce n'est plus comme sa fille qu'il la regardait maintenant. Son fils Anon aurait bientôt l'âge d'être un homme, mais il lui semblait qu'il y avait encore du travail pour arriver à quelque chose avec celui là … 


Quelquefois Dauj s'absentait le soir, il partait au village voisin, ne revenait que tard dans la nuit. Ramat, qui d'une certaine manière était devenue la maîtresse de la maison s'en inquiétait. Elle était devenue la maîtresse de la maison, surtout que la maison était à l'abandon. Dauj de plus en plus absent, Anon de moins en moins présent. Il n'y avait plus qu'elle.


Un soir prise d'une curiosité qu'elle ne pouvait plus réprimer elle décidait de suivre Dauj. Elle s'habillait avec une cape sombre pour  ne pas être repérée dans la nuit et le suivait. Il avançait la tête baissée, elle aurait aussi bien pu s'habiller d'une robe multicolore et claire, il ne se retournait même pas pour vérifier si quelqu'un le suivait. À quelques distance avant le village voisin il prenait un chemin que Ramat reconnaissait. Ho, rassurez vous, elle n'y était jamais allé mais on lui en avait parlé.


C'était un endroit qu'une femme honnête ne fréquentait pas. C'était cet endroit ou seuls des hommes venaient. Ils y trouvaient à boire, ils y trouvait des femmes qui savaient être très charmantes et très douces avec eux en échange de quelques pièces d'or …


Ramat était scandalisée. C'était un endroit non fréquentable. Elle  restait à distance, en retrait. Elle était rouge de honte ! Jamais elle n'aurait osé venir dans un tel endroit et se sentait mal à l'aise d'être venue jusque là.


Un homme venu se soulager la voyait, il l’attrapait par le bras et tentait de l'attirer vers lui.


– Viens là ma belle, j'ai de l'or et je t'en donnerai si tu sais me faire plaisir.


Il était ivre et Ramat était dégoûtée, elle se dégageait et le repoussait. Il tentait de nouveau de l'attraper, elle s'enfuyait en courant et disparaissait dans l'obscurité. La nuit n'était pas totale, il y avait un croissant de lune qui la guidait. Sous sa cape sombre elle était totalement invisible. Elle trouvait rapidement le chemin qu'elle connaissait très bien et la faible lumière lui permettait juste de se diriger. Elle avançait vite et il n'était pas très tard quand elle arrivait à la maison.


Il n'y avait aucun bruit dans la maison. Anon était dans son coin, il dormait. Par réflexe elle s'assurait que Dauj n'était par rentré, comment aurait-il pu, il aurait fallu qu'il la rattrape et elle l'aurait vu passer. Sa couche était vide comme elle s'y attendait. 


Elle se réfugiait alors dans sa chambre, laissait la porte entre-ouverte et attendait.


C'est bien des heures plus tard qu'elle entendait Dauj entrer, la nuit était bien avancée. Il prenait soin de ne pas se faire remarquer et c'est le plus silencieusement possible qu'il allait se coucher. Ramat n'a pas dormi de la nuit, elle réfléchissait au  sens de tout cela. 


Que faisait-elle dans cette maison, un instant elle pensait s'enfuir, que feraient-ils ? Elle ne retournerait pas voir sa famille, ses parents la renverraient. Le coq chantait au moment ou elle allait s'endormir. Elle était fatiguée ce jour là et n'avait pas bonne mine. Les femmes qu'elle rencontrait mettaient son état sur le compte de son veuvage et continuaient à la plaindre.


Plusieurs jours passaient. C'était devenu une habitude maintenant, Dauj se préparait pour sortir voir des amis. C'est ainsi qu'il excusait ses sorties nocturnes, personne ne lui demandait de détail, ni Ramat, ni Anon. 


Un jour Rama disparaissait sans rien dire à personne. La soupe avait été servie et les deux hommes soupaient en silence. En silence, toujours en silence, le silence s'était abattu sur cette maison, le silence et une grande tristesse. 


Rama avait acheté une nouvelle robe, très légère, presque transparente. Une ceinture très haute lui relevait la poitrine qui était déjà avantageuse dans son cas. Elle rajoutait quelques bijoux … Ho ! Ce n'était pas de l'or, mais c'était joli à voir et ça faisait son effet, elle mettait aussi des sandales élégantes. Elle avait prévu un peu de maquillage, je sais, c'est totalement déplacé pour une femme honnête, pourtant c'était une honnête femme. Mais c'était aussi et tout simplement une femme désespérée.


Elle partait tôt. Elle portait une tunique et une cape. Dans un paquet bien refermé accroché à son épaule, sous sa cape, elle avait son costume qu'elle serrait bien fort contre elle, comme un bien volé.


Elle arrivait tôt. Payait son entrée et allait se changer.


Ce lieu était tout simplement un auberge, les femmes qui voulaient venir y travailler devaient payer leur entrée, ensuite elle faisait ce qu'elle voulaient. Elles pouvaient aussi passer un accord avec le tenancier qui leur reverserait alors une partie de ce qu'elles auraient fait consommer aux clients, ainsi que la location de la chambre.


Je suppose que vous avez compris de quel genre de lieux il s'agissait … J'espère car j'ai honte d'utiliser le mot et préfère m'abstenir de dire que c'était un bordel !


Ramat n'avait passé aucun accord avec le tenancier, en la voyant il lui en proposait un. Elle était tellement belle qu'il devinait qu'elle aurait du succès. C'était la première fois qu'il la voyait aussi, face à son refus il n'insistait pas, il ne voulait pas lui faire peur. Il devait se dire qu'il avait tout le temps pour marchander et tenter de l’intéresser. Déjà il lui proposait de boire à volonté sans avoir à payer …

 

Ramat restait tranquillement dans son coin et attendait. C'est avec beaucoup de gentillesse qu'elle éconduisait les quelques hommes qui venaient vers elle. Mais pour éviter de provoquer le désordre, elle prenait surtout le plus grand soin de ne pas se faire remarquer. 


La nuit tombait quand il est arrivé. Dauj allait directement au bar, il semblait bien connaître le tenancier et discutaient un moment. C'est là qu'elle s'est montrée. Elle faisait un signe au tenancier, de la main elle se montrait elle, puis montrait le nouvel arrivant, Dauj. Le tenancier comprenait tout de suite, continuait à discuter avec son client, ils parlaient de Ramat, Dauj rapidement se retournait vers elle. Il lui faisait signe d'avancer.


Elle se joignait à eux. 


– Dauj je te présente une nouvelle, elle vient juste d'arriver, dans l'après midi. Nul ne la connaissait.

– Aujourd'hui dis-tu. Si tu m'avais caché une telle beauté plus longtemps je t'en aurais voulu. Comment t'appelle tu reine de beauté ?

– Matar ! Lui répondait Ramat.


Il ne l'a pas reconnue, elle était maquillée, il regardait surtout le corps magnifique de cette jeune femme. C'était comme une apparition, elle était bien plus belle que n'importe quelle femme présente ici. En plus il ne pouvait pas s'imaginer rencontrer sa belle-fille dans cet endroit … Il ne l'a pas reconnue !


Après lui avoir fait boire quelque verre, elle lui proposait de prendre une chambre. Il payait.


– Prenez la chambre huit, elle est libre. Leur disait le tenancier.

– Elle est propre ? Demandait Ramat sur une ton autoritaire …

– Heu, prenez plutôt la douze, au fond du couloir … Reprenait le tenancier.


Elle était propre en effet. En tout cas, celle là était propre.


Ramat se déshabillait avec des gestes lents. Dauj avait un large sourire, il terminait sa choppe de vin. Il était à moitié ivre, le tenancier était content, son client avait bu plus de d'habitude.


Dauj n'était pas aussi timide que son fils, il passait doucement le dos de la main sur le bras de Ramat, puis lui caressait les seins. Elle le laissait faire, elle l'encourageait même. Sa robe tombait sur ses pieds. Elle était maintenant nue devant Dauj. Il la prenait dans ses bras, l'enlaçait avec force et tendresse et la couvrait de baisers. Elle éteignait les lampes et ne laissait qu'une seule lampe à huile. Chacun ne distinguait qu'à peine le corps de l'autre mais ce n'était plus avec les yeux qu'il le découvrait.


Les mains de Dauj se promenaient avec de plus en plus d'insistance sur le corps de Ramat. Il laissait également tomber la tunique, il était nu, il bandait avec force. Son sexe était dur, bien dur et se relevait. Les mains de Ramat exploraient le corps de Dauj. Il était bien plus vieux qu'elle mais en fait il n'avait pas trente cinq ans. Et même si cet âge est celui d'un homme mûr, il était très beau, c'est à peine si les première rides se dessinaient sur son visage et son corps était ferme et musclé. Ferme comme son pénis qui ne montrait aucune faiblesse.


Avec ses lèvres il parcourait le corps de sa maîtresse, avec le bout de son nez il lui chatouillait les seins, ses tétons durcissaient. Sa langue suivait, sa barbe parfaitement bien entretenue, depuis quelques temps il faisait des efforts sur ce point, rajoutait à la douceur de ses lèvres une petite sensation de dureté qui grattait, mais toujours avec beaucoup de douceur. 


Ramat, ne s'y attendait pas et soupirait de plaisir. Il s'allongeait sur elle et l'écrasait avec retenu. Avec beaucoup de retenue, il se retenait avec les bras et avec les jambes repliées il prenait soin de ne pas paraître trop lourd. Elle appréciait ce contact, écartait les cuisses et glissait ses jambes sur ses fesses. Il la pénétrait avec conviction puis s'arrêtait.


– Tu es vierge ?


Pour seule réponse elle refermait ses bras sur lui et le serrait encore plus fort, elle le tirait contre elle avec ses jambes. Il cédait, et terminait de la pénétrer, ça résistait un peu, elle gémissait, peut être une légère douleur. 


Mais quand le ventre de Dauj s'écrasait sur celui de Ramat la douleur était déjà oubliée et c'était un cri de plaisir qu'elle poussait, il perdait prise et s'écroulait sur le corps de Ramat, de tout son poids. Elle était forte, il était musclé, il la tenait contre elle, leurs corps roulaient et c'est elle qui alors le chevauchait. Là encore la position n'était pas convenable.


Ils s'en moquaient et roulaient encore l'un sur l'autre. Elle aimait sentir son poids, elle aimait se sentir écrasée, surtout qu'il ne le faisait qu'avec beaucoup de douceur. Il l'embrassait, elle caressait et découvrait ses muscles. Il se retirait, elle gémissait. Il revenait, elle criait de plaisir. 


Dans les chambres à côté le lit tapait avec force contre le mur. Les deux amants se regardaient dans les yeux. Même là il ne la reconnaissait pas, il ne l'avait jamais regardé de cette manière avant. Ils se souriaient et se comprenaient. C'est toutefois avec lenteur, avec réserve qu'il se retirait pour revenir avec un peu plus de force.


Il tenait une déesse dans ses bras, bien sûr c'était une pute mais elle n'était pas comme les autres putes de cette maison. Elle, elle était vierge ! Il se retirait et revenait puis accélérait le mouvement. Il était très attentif à sa moindre réaction, il ne le savait pas encore mais il était amoureux ! 


Ses mouvements devenaient rapides, violents mais pas douloureux, je devrais dire plutôt … passionnés. Elle penchait sa tête en arrière et criait. D'autres cris venus des autres chambres l'accompagnaient. Dauj ne mollissait pas il continuait les mouvements, elle faisait une grimace monstrueuse au moment ou elle jouissait. Dauj reconnaissait là son plaisir et se laissait aller, il ne se retenait plus et il jouissait lui aussi en elle. 


Elle refermait ses cuisse de toutes ses forces, et le retenait contre elle. Il était surpris, surpris mais séduit. D'habitude les femme ici repoussait leur client avant qu'il n'éjacule mais là, elle ne voulait pas le lâcher. Il ne comprenait pas, il se posait beaucoup de question. Il avait un peu peur aussi mais déjà il était mordu. 


Il s'allongeait à côté d'elle, elle avait un large sourire. Elle se relevait, se recouvrait d'un drap, et sortait. Elle revenait quelques instants plus tard, elle avait un pichet de vin, et du meilleur et deux gobelets … 


– Tu était vierge ? Demandait Dauj.

– Ça te fait peur ? Lui répondait Ramat.


Il ne savait pas quoi lui répondre, il l'a pris dans ses bras, l'a recouverte de baiser, de caresses et ils ont remis ça encore une fois. Et c'est épuisés, mais heureux qu'ils ont somnolé l'un à côté de l'autre pendant un moment.


Ils ont parlé aussi. Elle restait dans le secret alors que lui se confiait.


– Tu était vierge, je te veux pour moi seul. 

– Je serai pour toi seul mais il faudra respecter mes règles. 

– Tout ce que tu voudras Matar, tout ce que tu voudras.

– La semaine prochaine ici, même heure. Je demanderai au tenancier de nous préparer la  même chambre …


Ils ne sont partis que très tard dans la nuit. Pas ensemble, Matar l'avait exigé, pas ensemble... 



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La morale d'Anon 02

 La morale d'Anon 02



La semaine avait passé, Ramat s'était installée dans la maison de son mari décédé. Elle appartenait à cette famille maintenant, elle était membre à part entière de cette famille. Ce n'était pas une fille à marier, c'était une veuve. Elle avait perdu son mari le soir de son mariage, ils n'avaient même pas eu le temps de consommer le mariage. 


Dans l'ordre de la hiérarchie sa place se retrouvait maintenant juste après le père de famille. Elle était la veuve du fils aîné, elle en héritait l'autorité. Anon lui devait obéissance. Ce n'était pas une belle sœur désagréable, elle était adorable avec tout le monde dans la famille et dans le village également.


Le prêtre des offrandes le lui avais confirmé, elle n'était pas responsable du drame. Selon lui, tout comme l'avait dit la marieuse, c'est Ré qui avait fait quelques chose qui avait déplu à dieu. Nul ne savait ce que c'était mais vous savez … Avec les dieux on ne sait jamais vraiment ce qui leur plaît ou ne leur plaît pas. 


Dauj était retourné voir la marieuse plusieurs fois. Il voulait annuler ce mariage et récupérer les sommes versées, c'est vrai que le mariage n'avait pas été consommé. 


– Pas consommé ! Ce n'est pas l'avis des parents … C'est dans ses bras, le soir de leur mariage que son mari est mort ! Lui répondait la marieuse.

– Oui mais moi, j'ai payé une belle fille et j'ai maintenant une veuve qui ne me donnera aucune descendance. Je ne peux pas la marier comme s'il s'agissait de ma fille. Mais pour tout le reste j'en ai les obligations. 

– Sa famille n'acceptera jamais de la reprendre chez elle désormais. Si encore son mari n'était pas mort dans ses bras ! Et puis, ils ont trois autres filles …


La marieuse ne pouvais rien faire. 


– Mais vous avez un autre fils. Donnez à votre aîné décédé une descendance. Votre second fils devrait pouvoir y arriver. Cet enfant sera la preuve qu'il n'y a aucune malédiction sur vous. Votre fils prendra alors pour femme la veuve de son frère et tout rentrera dans l'ordre. Il me semble qu'il n'est pas loin d'être en âge de se marier …

– Vous croyez que ce serait permis ?

– Demandez au prêtre des offrandes. Je pense qu'il confirmera ce que je vous dis.


Sur le retour vers son village Dauj s'arrêtait au temple. Il s'entretenait longuement avec le prêtre des offrandes. Qui lui confirmait tout ce qui lui avait dit la marieuse. Elle connaissait bien son truc. 


Anon devenait tout rouge de confusion au moment ou son père lui expliquait son projet. Pour ce qui est d'expliquer le plan à Ramat c'est la marieuse qui s'en chargeait … Ramat comprenait rapidement que si elle voulait devenir femme, si elle voulait un jour avoir des enfants, elle devait accepter cette idée. De plus elle était bien traitée, Dauj la considérait comme sa fille, Anon était plutôt mignon, il ressemblait à son frère, il était un peu plus jeune mais il était pratiquement d'âge à se marier. 


C'était un bon parti, elle deviendrait la femme plus la veuve. Elle se laissait facilement convaincre. 


Anon allait donc, comme il en avait reçu l'ordre, gratter à la porte de sa belle-sœur le soir même. Son père faisait semblant de ne rien voir, de ne rien entendre et c'est tout de même avec la plus grande discrétion qu'ils feignaient la subversion et la  découverte du plaisir de l'interdit. 


Avec des gestes lents, Ramat faisait entrer Anon. Elle avait mi sur elle une tenue légère, un tissus très fin, presque transparent. Anon distinguait parfaitement les formes avantageuses de sa belle sœur. Elle était belle, très belle avec ses cheveux défaits qui couraient sur ses épaules, dans son dos et sur ses seins. 


Elle avait suivi les conseilles de la marieuse. Elle avait prévu un peu de vin, et du meilleur, elle lui en servait un gobelet. C'est en tremblant qu'il le buvait avant de le lui tendre de nouveau, il en réclamait un autre. Elle le lui servait en fronçant les sourcils et en se demandant si c'était une bonne idée …


Elle était belle, Anon avait les yeux riveté sur la poitrine de Ramat, ses épaules fines et ses bras délicats. Il bandait le pauvre et le bas de sa tunique se relevait. Finalement il était bien monté le jeune Anon, il n'était pas ridicule, il avait un corps musclé et ferme. Il était à peine plus petit que son frère décédé mais tout comme lui il avait un corps bien carré. Des mains fortes qui devaient savoir être douces. Ramat parcourait le corps de son beau frère des yeux, et elle le trouvait désirable. Elle n'avait jamais connu d'homme et ce nouvel époux qui lui était proposé lui faisait de l'effet, elle avait envie de lui.


Elle avait remarqué qu'il bandait. Son cœur aussi battait très fort. Pendant qu'il sirotait son second gobelet de vin, elle avait posé la carafe un peu plus loin pour qu'il n'en réclame pas trop. Elle était là devant lui avec sa tenue très légère sur elle. Il avait les yeux tout ronds et visiblement ne savait plus, ne savait pas ou regarder, ou peut être, n'osait pas regarder. 


Elle s'éloignait de quelques pas puis le regardait droit dans les yeux, elle lui souriait. Il avait l'air vraiment idiot le pauvre Anon. Il tendait vaguement son gobelet vide en regardant Ramat. '' Plus tard !'' lui disait-elle. 


Elle retirait le voile qu'elle avait sur les épaules et montrait clairement sa poitrine qu'elle cachait pourtant si peux jusque là. Le pauvre Anon semblait se pétrifiait, il ne bougeait plus une oreille, il était tétanisé, comme transformé en statue de sel, si vous connaissez cette histoire issue d'une mythologie de la même époque. 


Elle dansait doucement, lentement pour son seul plaisir, elle chantait tout doucement une chanson qui invitait à la rejoindre. Elle ouvrait largement une tunique légère et dévoilait son ventre, en se tournant toujours en dansant elle laissait découvrir ses reins, puis quand la robe tombait totalement, des fesses fines et fermes et des jambes qui ne finissaient pas.


Anon sursautait à ce moment, il avait la bouche ouverte et il bavait quelques gouttes de salive, ce qui ne le rendaient pas vraiment sexy à ce moment. Sa queue se soulevait par saccades qui suivaient les battements de son cœur. 


Les formes de Ramat étaient douces, elle était tout simplement magnifique, belle comme une déesse. Dans la  journée, avec ses vêtements on devinait que c'était une très belle femme, mais nue, elle l'était mille fois plus qu'on ne pouvait l'imaginer. Mille fois plus belle qu'elle n'avait paru à Anon, quelques jours plus tôt, vous savez, ce jour ou il jouait les voyeurs au travers d'un trou dans le mur de la hutte …


Ramat s'approchait de Anon, il suivait sa poitrine des yeux, il regardait ses tétons. C'est vrai qu'il n'en avait jamais vu, en tout cas jamais d'aussi près. Il gardait la bouche ouverte et tentait d'articuler quelques mots. ''Ghh hnnmm...'' , ( c'est pas très clair je sais mais on n'a jamais su ce qu'il voulait dire . Note de l'Auteur ). Puis il reniflait et avalait sa salive avant de baver de nouveau. 


Elle s'accroupissait et lui prenait la main elle la déposait sur sa poitrine. Anon se sentait mal, il respirait fort, très fort et il tremblait. Elle l'embrassait, sur la joue d'abord puis sur les lèvres. 


Anon était véritablement ému, il sentait les lèvres de sa belle sœur, il avait il y a peut, tellement rêvé être à la place de son frère. Il y était, il sentait la langue de Ramat qui glissait sur ses lèvres, puis qui glissait sur sa propre langue.


Elle lui caressait le torse, en relevant sa tunique, ils étaient nus. Elle l'embrassait sur le torse et lui, dégourdi qu'il était, ne faisait absolument rien. 


'' Embrasse moi ! '' suggérait-elle … '' Prend moi dans tes bras ! ''.


Il refermait alors ses bras sur elle, se rendant compte qu'il avait toujours son gobelet dans la main. Il le déposait alors maladroitement à côté de lui, et refermait enfin ses bras autour de son corps si doux, si tendre, si ferme et si chaud. 


Elle se relevait, l'entraînait avec elle, ils étaient tous les deux nus au milieu de la chambre. Tendrement enlacés, chacun caressait l'autre. Anon avait enfin compris ce qu'il fallait faire. Son pénis très en forme à ce moment s'écrasait avec une grande douceur entre son ventre et celui de Ramat. Il l'embrassait également avec passion. Là aussi, il avait fini par comprendre ce qu'il fallait faire. 


Elle l'entraînait vers le lit, s'y laissait tomber et le tirait vers elle. Il ne résistait pas et se laissait tomber à son tour. Son cœur battait très fort. Pardon je voulais dire, leurs cœurs battaient très fort. Ils roulaient l'un sur l'autre. Anon avait la tête en feu, il ne comprenait plus ce qui se passait mais il aimait, il aimait cette situation. Si à un moment il avait hésité à faire un gosse à son frère, ce n'était plus le cas. J'ai comme l'impression que je m'exprime mal … Mais j'espère que vous avez compris … Il remplaçait son frère qui était décédé le jour même de son mariage … C'est lui qui assurait la descendance de son frère !


Les corps se mêlaient, chacun couvrait l'autre de baisers et de caresse. Chaque corps glissait sur l'autre, roulait et se retournait dans les bras de l'autre. Chaque caresse arrachait des gémissements de plaisirs à celui ou à celle à qui elle était adressée.


Finalement si ça avait mal commencé cette histoire, Anon avait fini par comprendre ce qui se passait et se laissait aller. C'était même lui le plus actif. Il glissait ses mains partout, il caressait tout le corps de Ramat, avec une grande douceur dans les partie les plus intimes.


Puis il se retrouvaient allongé sur Ramat, il prenait position pour la pénétrer confortablement, en douceur. Mais à ce moment Anon se sentait un peu mal, il bandait mais il avait devant les yeux la scène qu'il avait vu, son frère dans les bras de cette femme, son frère qui rendait son dernier souffle dans les bras de cette femme. Il était dans les bras de cette femme, il allait la pénétrer au moment ou il a éjaculé, il ne contrôlait plus rien.


Il jouissait, il éjaculait, il débandait. Il se sentait mal, il a brusquement eu peur, il revoyait son frère expirer, il a paniqué et s'est enfui de la chambre de sa belle-sœur, au passage il attrapait sa tunique et s'enfuyait de la maison. Son père était devant la maison, il mâchait tranquillement cette herbe qui fait rigoler, quand il a vu son fils passer nu juste à côté de lui. L'herbe faisait son effet mais il n'avait brusquement plus envie de rigoler.


Anon s'est enfui dans la campagne, il faisait nuit et il n'était plus possible de le retrouver. 


Dauj s'interrogeait, il se rendait alors dans la chambre de Ramat, elle avait remis une tunique plus descente pour recevoir son beau-père. Ils ont parlé ce soir là, ils ont beaucoup parlé.


Anon était trop jeune, certains jeunes de son âge sont dégourdis et auraient su quoi faire, c'était pas le cas d'Anon. Il n'était pas dégourdi, il n'était pas prêt, il était trop jeune …


Pour Dauj c'était un coup, un mauvais coup. Il commençait à s'attacher à Ramat, il était heureux de la voir tous les jours dans cette maison mais … Il n'avait plus d'argent, et comment pourrait-il marier son second fils, que deviendrait cette fille dont il avait hérité sans le vouloir. Il ne pourrait pas la marier, cette histoire n'avait plus de sens et surtout plus d'issue.


Ramat le réconfortait, elle l'appelait père et lui proposait d'attendre et de recommencer.


– Anon est jeune, lui disait-elle, c'était la première fois qu'il tenait une femme dans ses bras. Je pense que d'ici peu il sera prêt !


On n'a pas revu Anon de la nuit, le lendemain matin il était dans la grange, c'est là que son père l'a retrouvé. Il dormait, son père lui a fait la morale. 


Quelques  jours plus tard ils ont recommencé. C'était pire que la première fois, Anon à paniqué au moment ou Ramat s'est découverte devant lui. Il revoyait son frère dans les bras de cette femme. Elle était belle, très belle, désirable, très désirable mais c'était dans ces bras là que son frère était mort !




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23 Avril 2021

 


VITE FAIT 12

 VITE FAIT 12


J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de textes courts, différents de ce je fais d'habitude. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez … 


Il faisait beau et chaud, on traînait autour de la piscine, on se rafraîchissait de, de temps en temps un d'entre nous faisait un plongeon, un autre restait là à tremper dans l'eau. Et il y en avait toujours qui étaient dans un coin à se faire un câlin. 


Splash s'était rapproché de moi, il avait sans doute demandé à mon doudou Pétard s'il pouvait, je ne sais pas, il ne m'a rien dit.  Il m'a seulement pris dans ses bras, s'est blotti contre moi, tout contre … Et il m'a enculé …


On en était plus au préliminaires, il n'avait pas prévenu,  il m'avait juste pris dans ses bras et s'était glissé en moi. J'avais laissé faire, j'avais râlé mais de plaisir et de surprise. Et quand j'ai râlé un peu plus fort, c'était pour dire … '' Encore, Oh oui vas y ''. 


Comme vous pouvez voir ce n'était pas de mauvaise humeur que je râlais. 


Il me caressait le corps, il me serrait fort contre lui et quand il s'introduisait en moi, c'était au plus profond. Il appuyait fort contre mes fesses, c'était génial. Ma queue protestait avec force, j'essayais de ne pas y prêter attention. Elle me fait ça tous les jours, et même quelquefois, plusieurs fois par jour. 


Il se retirait avec un mouvement rapide, me mordillait le cou, là juste en haut du dos, puis il m'enfonçait sa queue avec force bien à fond, toujours bien à fond. 


C'était tellement bon que je ne faisait pas attention à ce qui se passait autour de nous. Je fermais les yeux et j'en redemandais. Il m'en donnait, il se donnait à fond, avec lui c'était toujours à fond. 

Splash s'énervait et accélérait ses mouvements, là j'en prenais plein le cul, c'était le pied. Il râlait je devinais qu'il allait jouir, je me cramponnais ou je pouvais. Il me tenait fermement par les hanches et me tirait vers lui pendant qu'il me balançait de violant, de très violant coup de bassin. 


J'en pouvais plus. Je voulais lui demander grâce, je voulais qu'il arrête. Je jouissait comme un fou, et là c'était trop. J'avais l'impression de juter, d'éjaculer mais rien ne sortait. J'avais l'impression que mon urètre était en feu, tant j'éjaculais, pourtant je n'éjaculais pas. Splash ne lâchait rien. Un moment il s'est penché sur moi, là il ne bougeait plus, je le sentais respirer très fort, je sentais son cœur qui battait comme un fou.


'' Je vais y arriver '' disait-il.


Puis il reprenait. Il râlait. C'est là que j'ai compris, il venait de jouir et d'éjaculer un peu plus tôt et là, ça ne venait pas. Il n'arrivait pas à éjaculer, et c'est ce qu'il voulait faire ... Alors il insistait, alors il se lâchait de toutes ses forces, alors il donnait des coup de plus en plus violant … Alors moi, j'en prenait plein le cul et je n'avais plus qu'à me cramponner.


Cent fois j'ai failli craquer, cent fois j'ai bien failli me dégager, cent fois j'ai penser l'implorer de me laisser mais  je n'ai rien dit. C'était l'horreur, j'ai pris un pied comme  jamais, j'en pouvais plus, j'en redemandais encore plus, toujours plus et à chaque fois je le regrettais. 


Si je n'avais insisté il se serait peut être calmé, mais j'étais pris dans cette folie. Je ne comprenais plus rien, ça faisait des heures qu'il me limait le cul, il ferait nuit bientôt, il n'arrêterait pas de toute la nuit. J'étais mort, je me voyais mort de plaisir. 


En fait ça ne faisait pas si longtemps que ça qu'il était sur mon dos mais j'étais dépassé et j'avais perdu la notion du temps, je le sentais passer le gars. Là j'en ai pris plein le cul. Je ne savais plus ou j'étais !


Ses mouvements par moment se calmaient, mais c'était pour mieux reprendre. Je n'ai pas senti la différence au moment qu'il à juté, il a hurlé. Il ne me limait plus, il restait bien à fond dans mon cul. J'étais empalé sur sa queue, juste entre l'extase et l'enfer. Je tremblais, mes jambes tremblais, mon ventre était retourné. Je ne savais même plus si mon cul était toujours au même endroit.


Il a juté puis j'ai senti ses muscles se détendre, il m'a lâché, je me suis laissé tomer sur le gazon puis je suis allé m'installer dans un coin tranquille, il fallait que je récupère. 


Lui a récupéré rapidement, il regardait le reste du groupe qui le félicitait en l'applaudissant. Moi, on m'avait déjà oublié ! Ils buvaient un verre à la santé du vainqueur. Je préférais me faire oublier pour le moment.


J'avais toujours l'impression que j'allais éjaculer et que j'avais encore quelque chose dans le cul. C'était cool !


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La morale d'Anon 01

 La morale d'Anon 01



C'était un beau mariage qui se préparait, tous les voisins étaient venus. Dans la grande hutte au centre du village les hommes s'étaient réunis, il buvaient cette sorte de bière fermentée que les femmes avaient préparée, ils discutaient fumaient un tabac brun qui dégageait une odeur très forte et irritait la gorge et ils mâchaient cette herbe au goût amer qui faisait rêver.


Chacun y allait de sont commentaire. Les plus vieux surtout, les plus jeunes n'intervenaient pas, les très jeunes rigolaient pour cacher leur gêne en entendant certains commentaires. On donnait en effet des conseils érotiques au jeune marié. Les plus jeunes restaient en retrait dans leur coin et leurs commentaires c'est entre eux qu'ils les faisaient … 


Anon était dans son coin, on mariait son frère aîné. Son tour viendrait plus tard, tout avait été organisé par une marieuse d'un village voisin. Il se souvenait l'avoir rencontrée quand il avait accompagné son père l'année précédente. Il lui avait offert douze chèvres pour sceller leur accord, mais ce n'était qu'un acompte, il faudrait encore payer la famille de la mariée. Une femme était un bien précieux et la marieuse était riche.


Quand on a soi-même une fille à marier dans la maison on peut négocier mais dans cette maison il n'y avait que trois hommes, Dauj le père, Ré le fil aîné et Anon ( prononcez Ah Non ! )  le puîné … Euh ! Enfin le cadet quoi ! … La femme de Dauj était morte en mettant au monde son troisième enfant … C'était un fils ça aurait été un fils, Dauj ne fait que des garçons. Il y a des familles comme ça ou il n'y a que des garçons ou d'autres ou il n'y a que des filles. Dauj était dans une situation difficile, deux garçons, il faudrait les marier, et une fille ça coûte cher. Tellement cher qu'il n'avait pas eu la possibilité de se remarier lui même … 


Mais aujourd'hui c'était un jour de fête, on buvait, on fumait, on mâchait cette herbe qui rend nigaud et on rigolait … On allait marier un garçon du village à une jeune fille d'un autre village. Il était rare que deux jeunes d'un même village se marient entre eux, en général ils étaient cousin et la consanguinité est une malédiction. Toutefois s'il n'y avait aucun lien de parenté entre eux, rien ne s'y opposait.


Dauj était retourné voir la marieuse, elle vivait à l'écart de son village, elle avait la plus grande hutte, elle avait des terres et ses trois fils travaillaient pour entretenir son troupeau de chèvre, son troupeau de vaches, sa base-cour ainsi que son potager. Quand je vous dit qu'elle était riche, ce n'était pas exagéré. Trois fils, trois belles filles, sept petits enfants et un mari qu'elle menait à la baguette. 


Dauj lui avait emmené de nouveau une douzaine de chèvres et il devrait encore rajouter quatre vaches. Tout n'était pas pour la marieuse, loin de là, la plus grosse partie de la transaction était pour la famille de la jeune femme.


Une femme est une richesse, sans elle pas de descendance, il faut aussi qu'elle ait toutes les qualités requises, mais là c'était à la marieuse de s'en assurer. Il fallait aussi bien sûr qu'elle soit vierge ! La virginité avait une double fonction. S'assurer que la descendance sera bien de son mari, et avoir la garantie que la jeune fille n'avait pas été souillée par une maladie … Vous savez ces maladies qu'ont les femmes de mauvaise vie … 


La mariée était parfaite ! Tout doute ou suspicion avait été levé, elle était belle et forte, elle avait un sourire charmeur et savait se taire. Elle avait de belles fesses et une jolie poitrine, elle donnerait de beaux enfants et pourrait les nourrir. 


Dauj pensait à sa femme qui les avait quitté plus de seize ans plus tôt. Elle lui manquait toujours, il n'avait pas connu de femme depuis son décès. 


Les femmes venaient en groupe devant la grande hutte, et commençait toute la cérémonie. La marieuse intervenait en premier.


– J'ai ici une jeune femme à marier ! Elle s'appelle Ramat. Qui l'a veut .

– Moi ! Répondait Dauj. Je la veux pour mon fils aîné.

– Et combien vas-tu donner aux parents de la jeune fille ?


Ça faisait partie de la cérémonie, on marchandait, les autres hommes intervenaient et faisaient monter les enchère, Anon devait surenchérir deux fois. Pas plus, pas moins ! Tout était terriblement codifié. Seul le jeune marié ne disait rien, son père parlait à sa place. 


– Et tu peux me garantir Dauj que ton fils saura l'honorer comme il convient ?

– Je lui ai expliquer ses devoirs, je l'ai élevé, c'est un bon fils, il sera un bon mari … 


Ça continuait comme ça pendant un long moment. Puis tout le monde s'énervait, criait et s'agitait, Dauj en profitait pour crier à son fils Ré !


– Vas y fils, dépêche toi, va vite, prend cette femme avant que cette marchande ne change d'avis.


Ré se précipitait et prenait sa fiancée dans ses bras, il la jetait sur son épaule et partait avec elle.


Elle hurlait, elle criait, elle appelait au secours mais tout n'était que simulacre, mise en scène. Ré s'enfuyait avec la demoiselle qui était maintenant son épouse. Un homme se levait et provoquait Dauj, c'était le père de la mariée. Suivait un combat entre eux, enfin là encore un simulacre de combat. Une femme venait en pleurant et en hurlant, c'était la mère de la mariée, elle demandait justice, on venait de lui voler sa fille, elle s'en prenait à son mari, lui reprochant sa lâcheté … Bref, c'était la grosse pagaille, enfin toujours un simulacre de pagaille.


Tout était parfaitement codifié. La marieuse intervenait et calmait la situation, elle apaisait les parents puis un banquet était servi. Dès qu'il s'agit de bouffe tout le monde se calme !


On envoyait Anon porter à manger aux époux, bien sûr il était sensé le faire en secret aussi personne ne le regardait faire, ils n'étaient pas allé bien loin, ils était dans une hutte juste trois huttes plus loin. Anon mangeait avec son frère et sa nouvelle belle-soeur. Là l'ambiance était plus détendue. Il monterait ensuite la garde devant la hutte jusqu'au départ des parents de la mariée. On faisait semblant d'avoir peur que sa famille ne vienne pour la reprendre.


Tout était codifié je vous dis. 


Dans ce monde étrange la femme avait aussi pour mission de donner du plaisir à son mari. On l'éduquait pour cela. La marieuse la rencontrait à de nombreuses reprises pour tout lui apprendre. C'était un peu étrange, la femme pouvait être experte et le mari lui ne savait que le minimum.


Anon entendait des bruits étranges depuis le seuil de la porte ou il se tenait. La porte était bien sûr fermée, et même bien fermée. Mais la curiosité le prenait, il ne tenait plus le pauvre Anon. Il tentait de voir ce qui se passait à l'intérieur. Il avait bien sûr une idée du protocole mais la pratique n'était pas au programme avant longtemps, le prix d'une femme est très élevé, il savait que son père avait investi tout ce que la famille possédait, et plus même.


C'était l'ordre des choses. Ainsi allait le monde. 


Anon ne parvenait pas à voir ce qui se passait par les ouvertures de la porte. Il faisait alors le tour de la hutte, il trouvait une ouverture.


Ré était allongé sur le dos, il était nu. Ils n'en étaient qu'aux préliminaires. Ramat était allongée sur lui, elle avait le visage sur son torse, et couvrait de baiser son mari. Ça ne devait pas être désagréable, Ré était très beau, il avait une silhouette fine et il était musclé. 


Anon bandait, il tentait de ne pas y faire attention.


Ré et Ramat se caressaient l'un l'autre. Elle était nue, chacun embrassait l'autre sur le visage et caressait l'autre sur tout le corps. La main de Ré se promenait avec douceur sur les fesses de sa femme, elle l'embrassait sur l'épaule. Le corps menu de Ramat glissait sur celui de Ré. Il gémissait de plaisir. 


Anon avait soulevé sa tunique, il bandait ferme maintenant et il décidait de se masturber. Il respirait fort. Ré gémissait, Ramat poussait des petit cris de plaisir. Elle n'en faisait pas trop, on avait su lui expliquer comme il fallait. Seules les prostituées poussent de grands cris de plaisir dès qu'un homme les touche. Une femme honnête pousse des gémissements destinés à son mari, juste à son mari. 


Son visage descendait le long du corps de Ré qui respirait vraiment très fort, elle le mordillait avec douceur et juste un peu de force. Il poussait un cris à chaque fois qu'il sentait les dents de sa femme lui pincer la peau. Elle avait commencé par les tétons et maintenant descendait vers son sexe. Là elle savait qu'elle ne devait pas mordre, même pas mordiller.


Anon se branlait avec force et rapidité maintenant, lui aussi respirait fort. 


Le visage de Ramat arrivait au niveau de la queue de Ré, elle passait rapidement sa langue sur son gland, il poussait un long, un très long gémissement. Puis elle prenait son gland dans sa bouche. Anon voyait son frère se crisper de plaisir. Il n'avait jamais senti une telle excitation. Je pense que je pourrais même dire ' ils n'avaient ', tous les deux. 


Ré resserrait son poing sur ce qu'il trouvait, il serrait fermement, de toutes ses forces sa tunique qui était à côté de lui et il faisait une grimace à faire peur. Sa queue rentrait entièrement dans la bouche de sa femme, elle ressortait aussitôt. Ramat relevait le visage, elle toussait et se retenait de vomir. On avait sans doute oublié de la prévenir qu'elle ne devait pas être trop gourmande, enfin au début …


Anon suffoquait, il était tétanisé, il ne bougeait plus, la scène l'avait mis dans un tel état. Il tremblait, il avait eu peur de faire du bruit. Qu'aurait-il pu dire s'ils l'avaient entendu ? Son cœur battait vraiment fort, la tête lui tournait. 


Ré et Ramat en étaient toujours au même point, ils se caressaient, ils s'embrassaient. Mais Ré ne semblait plus savoir quoi faire après ça. Ramat décidait de prendre les choses en mains. Heureusement que la fille est formée avec précision pour le plaisir de son mari, il se serait peut être arrêté là. 


Anon se masturbait de toutes ses forces maintenant, il ne se contrôlait plus, lui aussi faisait une grimace mais personne n'était là pour le voir. 


Ramat se soulevait, glissait sur le corps de Ré, il laissait faire. Elle prenait position pour le glisse en elle. Il ne bougeait plus, il avait poussé un cri étrange. Il ne bougeait plus. Elle avait senti tous ses muscles se détendre, il était là inerte.


Anon éjaculait avec force, il serrait les dents, il coupait sa respiration, il ne faisait aucun bruit. 


C'est à ce moment qu'il a entendu Ramat hurler. Il jetais un œil et la voyait là, allongée sur son frère. Il ne comprenait pas mais il se relevait et fonçait vers la porte, il entrait il voyait Ramat debout, elle hurlait, elle pleurait, elle tremblait. Ré était là inerte allongé sur la paillasse, il avait la bouche et les yeux ouverts, il ne respirait plus. Sur son ventre une large trace de sperme remplissait le creux de son ventre il avait joui, il avait joui et son cœur avait lâché. 


Anon avait la tête en feu, il ne comprenait rien, mais que c'était-il passé. Mécaniquement il prenait une couverture la déposait sur les épaules de Ramat. Il la faisait asseoir sur un banc. Elle était sous le choc. Anon se penchait alors sur le corps de son frère, il n'y avait aucun doute, il était mort !


Anon ne savait plus quoi faire, il restait là pendant un moment, Ramat était pâle, elle tremblait.


– C'est moi ? C'est moi qui ai fait ça ?

– Non, tu n'as rien fait. 


Anon se souvenait que quelquefois quand il faisait un gros effort son frère Ré avait le souffle court et à plusieurs reprises il avait même eu des malaise. Mais là c'était autre chose. Ce n'était pas un malaise. Quand il finissait par réagir c'était pour foncer avertir son père de ce qui se passait.


Autour de la grande hutte, au centre du village tout le monde dansait et chantait. Les parents de Ramat étaient déjà repartis, ils avait de la route à faire et la dernière vache à conduire.


D'abord c'était l'incrédulité, puis tout le monde se précipitait, les femmes prenaient soin de Ramat les hommes ne pouvaient que constater la mort de Ré. 


– Il a déplu à dieu ! Déclarait la marieuse. J'ai déjà connu une mort aussi triste, il a déplu à dieu, ne le jugeons pas nous ne savons pas ce qui s'est passé, il faudra le mettre en terre au plus vite.


Ce jour là, tout avait bien commencé, et c'est par un deuil que cette très belle journée se terminait !



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21 Avril 2021

 J 271 / 280

Reste 9 !!!!! ( C'est tout ??? )








19 Avril 2021

 J 269 / 280

Reste 11
Bon ça va tout le monde à compris, j'ai encore un texte en préparation ...









VITE FAIT 11

VITE FAIT 11


J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de textes courts, différents de ce je fais d'habitude. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez … 


Je retirais mon gode ceinture, je me doutais bien qu'il ne tarderais pas à servir de nouveau. On buvait un rafraîchissement, enfin une bière quoi … les corps se frôlaient, se touchaient, se caressaient. Bruno et moi ne bandions pas, enfin pour nous ça ne se voyait pas. Nous portions tous les deux un dispositif de chasteté, mais nous bandions, moi en tout cas je bandais à mort, et je pense que Bruno était dans même état. Tout comme moi, sa cage semblait vraiment étroite. Sous l'effet de la pression, mes couilles formaient une grosse boule bien dure. Pas de doutes pour lui c'était pareil.


Les autres bandaient. Aphone pas trop, il était encore détendu, il venait de me baiser. Pétard se mettait à genoux sans prévenir et se mettait à sucer Splash.         Larsen en faisait de même avec Logan. 


Splash et Logan s'installaient sur un transat et se laissaient faire. Aphone se collait dans le dos de Bruno et l'embrassait en lui caressant le torse. Tout le monde se détendait, sauf moi, il m'avait bien allumé Aphone tout à l'heure et de nouveau mon cul réclamait. 


Vous avez du constater que quand vous porter un dispositif comme le mien vos besoins sexuels sont multipliés. C'est dans la tête que ça se passe mais on aimerait bien que ça se passe aussi un peu plus dans le cul. Bruno avait l'air décontracté, le coup de gode l'avait calmé finalement. Il se laissait câliner par Aphone. 


D'où j'étais je pouvais voir que Aphone se réveillait, sa queue se relevait et glissait entre les cuisses de Bruno. Pétard et Larsen montraient tout leur savoir faire. Et suçaient activement chacun un mec. À un moment Larsen se retournait vers Pétard, ils échangeaient de partenaire en rigolant. Les queues de leur partenaires disparaissaient dans leurs gorges. Tout le monde semblait y prendre bien du plaisir. 


Ce n'était plus que gémissements et plaintes de plaisir. L'un appuyait sur la tête de l'autre qui faisait alors un bruit bizarre et quelquefois râlait en relevant la tête.


Je ne perdais rien du spectacle. J'en avais pris plein le cul peu avant mais j'avais envie de recommencer. Je terminais ma bière et en prenait une autre. Je m'installait confortablement sur un fauteuil de jardin. Des gémissements se faisaient entendre juste à côté de moi.


Bruno était penché en avant le cul bien offert, Aphone était bien réveillé maintenant, il en avait une belle, je ne l'avais pratiquement pas vu avant, je l'avais bien senti quand il m'avait enculé mais je ne l'avait pas vu. Là elle entrait et ressortait du cul de Bruno.


De toutes évidences ils n'avaient pas fait durer les préliminaires. Ils étaient bien chauds tous les deux. Aphone le tenait fermement par le bassin et à chaque fois qu'il balançait un coup de bassin il le tirait vers lui avec force. 


J'avais juste réussi à me détendre un peu et de nouveau je sentais la tension monter, la frustration m'envahir, et le désir enflammer ma cervelle. J'avais chaud et je vous jure que ce n'était pas que le soleil. 


Juste à côté de moi, ils continuaient à s'exciter les deux allumé. Bruno se penchait en avant sur un tabouret et offrait son cul au coup de butoir de Aphone. J'étais aux premières loge, je savais à quel poins Aphone savait être efficace, je venais de le tester et de nouveau il était à l'action, en pleine forme.


Il ressortait complètement sa bite, prenait une respiration et l'enfilait de nouveau sans aucune retenue, bien à fond, avec force et de plus en plus vite. Bruno râlait, il jutait, un liquide blanc coulait de son dispositif de chasteté. Moi j'avais des chaleurs. Ma queue protestait et mon dispositif parvenait à se relever un peu.


Aphone gémissait, et quand il se mettait à gueuler à son tour je vous jure qu'il avait de la voix. Il chantait peut être faux, mais il gueulait juste. Il poussait encore son bassin contre les fesses de Bruno et se retirait lentement, il respirait fort. Sa queue retombait, il ne débandait pas encore complètement mais il présentait maintenant une grosse molle. 


Bruno se redressait, me regardait et me souriait. Il me lançait alors un clin d’œil et un sourire complice et satisfait. Je voyais un liquide blanc couler de son cul maintenant, il ne coulait plus rien de sa cage.


Je me retournait vers les autres. Pétard avait relevé la tête et fermait les yeux, il ne bougeait plus. Splash se masturbait avec vigueur et quand il éjaculait Pétard se prenait tout dans la figure, il me regardait il avait l'air content de lui. 


Larsen avait la queue de Logan bien installée au fond de sa gorge quand il a convulsé. Il ne voulait pas vomir, ho que non. Simplement Logan lui jutait dans la bouche et il juste sursauté. Quelques gouttes perlaient à la commissure des ses lèvres, le reste il l'avalait.


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17 Avril 2021

 J 267 / 280

Reste 13 ( personne n'a remarqué qu' hier je m'étais trompé ... Ouf )







Djé au Tchastikistan (03)

 Djé au Tchastikistan (03)




Le lendemain Djé et Bob se retrouvaient dans la salle à manger pour le petit déjeuner. Djé avait déjà le nez dans son emploi du temps, il regardait tout ce qu'il devait faire dans la journée.


Bob arrivait l'air tout guilleret en sifflotant, il avait l'air détendu et de très bonne humeur. 


Mais c'est que m'as l'air de bonne humeur toi ce matin ? Lui faisait remarquer Djé.

J'ai merveilleusement dormi ! Et puis c'est un pays tout à fait charmant quand on y pense …

Mais enfin pas plus tard qu'hier tu râlait sur les mœurs et la morale suspecte, pour ne pas dire autre chose, de ce pays . Rajoutait Djé.

Oui mais … 


Bob gardait un sourire béat sur la figure …


Oui mais … Rajoutais Bob … Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis !

Et ça n'a rien à voir avec ta séance de massage d'hier soir ?

Djé ! Mais que vas tu imaginer sur moi ?


Djé levait les yeux au ciel.


Enfin un peu, peut être. Continuait Bob. Mais tu reconnaîtras que l'accueil est excellant !


Djé rigolait à entendre cette réponse. Bob de toutes évidences content de lui sifflotait en prenant son petit déjeuner et quand son taxi arrivait pour le conduire à ses rendez-vous, il saluait Djé par …


Il est vraiment bien cet hôtel ! J'adore !


Djé pouffait de rire. 


Quand je vous disais ' son taxi ' soyons précis, il s'agissait d'une voiture officielle de très grand luxe. Bob n'a jamais vraiment travaillé pour la PK Compagnie mais il était tout de même reçu au conseil d'administration, soutenu financièrement par la PK dans ses projets et là il était reçu comme un représentant officiel de cette société. 


La matinée était studieuse, on parlait plan, organisation, développement des réseaux de communications … Le midi on le conduisait dans un restaurant très haut de gamme. Dans l'après midi, on lui proposait de faire un plongeon dans la nouvelle piscine. 


– Mais je n'ai pas de maillot de bain ! Faisait remarquer Bob.

– Ce n'est pas bien grave, lui répondait son guide. Nous sommes entre hommes et de plus il me semble que tous ici nous portons … 

– Oui je sais ! Répondait Bob d'un ton agacé. 


Ils entraient dans le bâtiment. Il avait bien sûr été fermé pour des raisons de sécurité et de confort pour cet hôte de renommée. Ils étaient donc seulement deux dans la piscine. Les deux hommes, Bob et son guide, n'avaient gardé que leur dispositif de chasteté, ils n'avaient pas les clés donc ils n'avaient pas d'autre choix. 


Ils discutaient tranquillement, se détendaient quand ils entendaient à l'autre bout de la piscine un cri de joie suivi par le bruit d'un plongeon. Le guide catastrophé se plaçait devant Bob et appelait la garde. Elle arrivait en quelques secondes et une tête ressortait de l'eau … C'était un jeune homme beau comme un dieu. 


– Mais excellence ! Que faites vous ici ? Demandait affolé le guide , puis procédait aux présentations. 


C'était le prince héritier. On renvoyait la garde. Il était ravi de rencontrer Bob. Le prince sortait de l'eau et Bob remarquait alors sa queue, large, longue, bien épaisse et bien lourde qui pendait librement entres ses cuisses.


– Le prince peut donc se dispenser de porter un dispositif PK ? Demandait Bob avec une certaine malice.

– Je suis arrivé aujourd'hui. J'ai vécu pendant plusieurs années à l'étranger ou j'étudiais. Et mon dispositif m'attend au palais … Je profite simplement de mes dernières heures de libertés.


Bob n'était pas timide et il était fasciné par la taille de la bite du prince. Il est lui-même très bien membré et il lui semblait bien que le prince n'avait rien à lui envier.


– Et vous portez quelle taille ? Demandait Bob en glissant sa main vers la bite du prince.

– Taille cinq plus . Répondait le prince.

– Comme moi ! Rajoutait Bob.


Il avait la queue du prince dans main, il aime bien tripoter les grosse queue le petit Bob. Son compagnon Luc porte un dispositif permanent aussi pour ce qui est de tripoter les bites … 


le prince bandait rapidement fermement. On les avait laissé seuls dans la grande salle. Le guide s'était discrètement éclipse. Le prince caressait le bras de Bob.


– Avec cette règle de chasteté, on se sent mieux entre hommes en général. Disait le prince.

– Surtout si l'un des deux n'a pas encore reçu sa cage de chasteté.


Nous le savons tous, dès que Bob enfile un dispositif de chasteté il devient rapidement très demandeur de bite. Sans prévenir il se penchait sur la queue du prince et la prenait dans sa bouche. 


Elle était bien large mais Bob aimait les queue qui avaient la même taille que la sienne. Il penchait la tête et la queue du prince s'écrasait rapidement au fond de sa gorge, Bob n'arrêtait pas et faisait gémir son partenaire quand il sentait son gland s'enfoncer dans la gorge de Bob, de plus en plus profond.


Quand Bob relevait la tête c'était pour mieux caresser la queue du prince avec la langue. Il la passait puis la passait de nouveau le long du membre viril qui serait bientôt sous clé. C'est à ce moment qu'une violente envie de la faire juter le prenait. 


Les caresses de sa langue devenaient plus rapides, plus douces, plus fortes, plus insistantes. Bob était pris par une véritable fièvre. Il sentait son cul se faire dilater, il imaginait cette queue de très belle taille le pénétrer avec force. Il ressentait, en pensant à ça, le souvenir du plaisir que les deux masseurs lui avaient donné la veille au soir. 


Le prince s'allongeait sur le sol, il écartait les jambes et bob s'allongeait sur lui, le caressait et le couvrait de baiser. Les deux hommes s'étreignaient. Le prince ne s'occupait que très peu du sexe de Bob, il était sous clé mais ses couilles étaient toujours accessibles. Mais le prince avait encore sa queue libre et de toutes évidences il voulait en profiter. Il caressait les fesses de Bob avec insistance. Il s'attardait longuement sur cette fente presque violente dans cette position tant elle devenait provocatrice. Ou alors c'était le prince qui la provoquait. 


Il s'arrêtait sur l'anus de Bob et à sec tentait d'en forcer le passage avec un doigt. Il le faisait pivoter, appuyait, le glissait dans un sens puis dans l'autre. Il y allait doucement, Bob gémissait, ça ne rentrait pas vraiment mais Bob gémissait de plaisir. 


Avec sa salive, le prince lubrifiait puis son doigt glissait rapidement, il s'attardait longuement sur la prostate, la massait longuement. Bob en redemandait.


Le prince se relevait, disparaissait quelques instants puis, quand il revenait, il avait dans la main un tube de gel très efficace. Il s'allongeait sans rien dire sur un matelas se lubrifiait abondamment la queue et toujours sans rien dire regardait Bob. 


Bob s'approchait du prince, se plaçait juste au dessus, l'enjambait et lentement s'asseyait sur la queue du prince, l'anus de Bob résistait. Bob respirait fort, lentement. Il prenait de longue inspiration et quand il expirait son anus s'ouvrait, se dilatait et la grosse queue du prince s'enfonçait lentement.


Bob criait de plaisir. Personne n'est venu voir ce qui se passait. Il criait encore plus fort au moment ou ses fesses touchaient le ventre du prince. Il se relevait lentement puis de nouveau il s'appuyait. Au dernier moment le prince relevait son bassin avec force. Bob se raidissait, le coup  était violent puis sans prévenir le prince tirait les pieds de Bob le long de son corps.


Privé d'appuis Bob s'empalait de tout son poids sur la queue du prince. Celui-ci relevait son torse et prenait Bob qui tremblait de plaisir, qui tremblait d'un plaisir intense. Bob repliait ses jambes dans le dos du prince. 


Le prince repliait ses jambes en tailleur et Bob s'appuyait alors sur les jambes du prince qui décidait par ses mouvements si sa queue s'enfonçait ou se retirait.


Bob s'accrochait au cou du prince, il ne cessait de gémir et quelquefois de crier de plaisir. Ils se balançaient tous les deux, le prince faisait rouler son bassin dans le mouvement d'un cavalier sur son cheval. Bob finissait pas se laisser aller, il ne tentait alors plus de retenir le mouvement. Il encaissait !


Les mouvements devenaient plus rapides, Bob jutais. 


Le prince le faisait sauter sur ses genoux, Bob criait et jouissait encore plus. Il tremblait, il frémissait, il pleurait presque. Il serrait dans ses bras le prince et l'embrassait avec passion.


Les mouvements devenaient violents, le prince jouissait. Il jutait et quelques instants plus tard les deux hommes se retrouvaient enlacés, encastrés l'un dans l'autre. 


Ils ne bougeaient plus, ils s'embrassaient, se caressaient avec une grande douceur maintenant. Puis Bob se relevait, la queue du prince, toujours en érection ressortait de son cul, il jutait avec force et c'est le prince qui se prenait les trois giclées de spermes sur la figure.


Les deux hommes se dirigeaient vers les douches en se tenant par la main. Un peu plus tard ils se rhabillaient, ils se donnaient un dernier baiser puis repartaient vers leurs activités.


Bob avait des rendez-vous. Le prince était attendu pour l'essayage de son dispositif de chasteté. On les avait laissé pudiquement seules pendant tout ce temps, pourtant il y avait du monde. 


C'est donc très détendu et de très bonne humeur que Bob continuait sa visite officielle. Le soir à l'hôtel. Il retrouvait Djé. Il était très détendu et chantonnait en arrivant vers son beau-frère.


– Et bien tu m'as l'air d'être toujours de très bonne humeur toi. Hier pourtant tu n'aimais pas ce pays !

– Mais qu'est ce que tu me dis là Djé. J'adore ce pays et je pense qu'on va certainement revenir y passer des vacances avec ton frère.


Djé ouvrait de grands yeux. Il ne comprenait plus rien.


– Et tu a vu du monde ? 

– Ah oui, j'ai rencontré le prince héritier ! Il est très bien tu sais ! 

– Et bien moi et son père, nous l'avons attendu pendant tout l'après midi. Concluait Djé. 

– Oups !

– Quoi '' Oups '' ? Rajoutais Djé.

– C'est peut être un peu de ma faute s'il était en retard …

– Et finalement il s'est passé quoi ? Non ne dis rien, je préfère ne pas savoir !


Bien sûr, Bob à tout raconté à Djé.


– Ça ne m'étonne plus si tu aimes ce pays toi maintenant. N'en parles pas à Luc il pourrait avoir envie d'embaucher un de ces masseurs … Disait Djé.

– Trop tard !

– Trop tard … Et … ?

– Et il y pense ! Il m'a dit qu'il allait se renseigner sur ces masseurs venus d'on ne sait ou … 


Ils avaient eu tous les deux une journée occupée et ils étaient fatigués et décidaient de monter tôt dans leurs chambres.


– Je crois que je vais me commander le service massage moi ! Déclarait Bob.


Djé pouffait de rire. 


Le lendemain on les laissait dormir plus tard, le voyage approchait de sa fin, les secrétaires faisaient le bilan de ce voyage, les contrats signés, les rencontres faites ( pas toutes ni dans tous les détails, je vous rassure ), les rendez-vous pris … On présentait un rapport à Djé et à Bob quand ils descendaient prendre leur petit déjeuner. 


Il restait quelques rencontres qui devaient se passer à l'hôtel, c'était de la courtoisie, le roi est passer s'assurer que la délégation PK avait passé un bon séjour, le prince est venu également pour souhaiter à Bob un bon retour, l'ambassadeur était venu aussi pour confirmer son rendez-vous avec Djé au siège de la PK … Enfin juste du protocole et de la courtoisie. 


Bob dormait du sommeil du juste en pensant au prince et à ses masseurs au moment ou l'avion décollait !




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