La ceinture 14 : En formation

 La ceinture 14 : En formation



Depuis l'épisode précédent, plusieurs années et des centaine de câlins s'étaient passés. Romain et Kevin étaient devenus vraiment proche. Kevin comprenait maintenant pourquoi les anciens passagers de Romain étaient restés en si bons termes.


Romain avait préparé son passager au pilotage, il lui avait appris tout ce qu'il pouvait lui apprendre. Kevin conduisait désormais très bien, il manœuvrait également très bien. Il ne lui restait plus qu'une année de stage pour finaliser sa formation.


Il devait se former à la mécanique, puis il passerait son permis de conduire, Romains était très doué pour le pilotage et en plus il adorait ça. Pour la mécanique il connaissait désormais bien plus que les bases. Romain l'avait formé.


Le stage se passait dans une école, Kevin était inscrit, ils y recevaient les élèves pilotes depuis le début de la formation jusqu'à la formation complète. Si ça prenait plusieurs années c'était parce la formation était complète, depuis les lois commerciales concernant les différentes régions de la ceinture, jusqu'à la mécanique …


Kevin avait bien bossé, il avait passé tous les niveaux de la formation, il ne lui restait plus qu'à valider son permis par l'examen final. Il n'avait pas encore vingt cinq ans mais il les aurait au moment de l'examen.


Le camion entrait lentement dans l'immense parking, il manœuvrait avec élégance et se dirigeait directement vers le fond du parking. C'est Romain qui sortait en premier, il était à la place du passager. Il faisait le tour du camion pour s'assurer qu'il était bien garé, faisait un signe au pilote, appelait un taxi, et sortait les valises du coffre.


Mon dieu, vous êtes certainement le plus vieil élève de pilotage que j'ai rencontré. Faisait remarquer le chauffeur de taxi.


Kevin descendait du camion, et rejoignait Romain. Le chauffeur de taxi remarquait le pantalon de Kevin et il ne cachait pas son incompréhension. Il devait se demander lequel pouvait bien être le pilote et lequel était le passager. Au premier coup d’œil le pilote portait la marque des subalternes chastes et le passager était bien trop vieux. Romain et Kevin s'amusaient de la surprise du taxi.


Il fallait traverser tout le centre pour se rendre à l'école, il ne leur fallait pas bien longtemps avant d'arriver à la porte de l'école. Le directeur les y attendait.


Salut Romain. Ça faisait longtemps qu'on ne t'avait pas vu dans le coin.


Décidément Romain connaît tout e monde sur la ceinture se disait Kevin.


Voilà donc ton protéger ? Demandait le directeur.


Romain faisait les présentations, puis Romain et le directeur continuaient à discuter.


Il aura l'âge, il me paraît bien jeune.

Il ne l'a pas mais il l'aura le jour de l'examen.

Ça fait longtemps qu'il te suit ?

Quelques années oui, il était tout jeune …


Kevin les laissait discuter et en profitait pour visiter l'entrée de l'école.


Eh toi quand tu auras fini de rêvasser, tu pourras monter mes valises ! Lui lançait un homme qui devait avoir son âge.


Kevin ne réagissait pas tout de suite.


Oui c'est bien à toi que je parle. Tu rêves ou tu te fous de ma gueule ? Reprenait le même homme à l'intention de Kevin.

DUPRÉ ! Tu ne parles pas comme ça à tes camarade de cours. Lui répondait le directeur de l'école en gueulant.


Le fameux Dupré semblait surpris, de toutes évidences, il n'avait pas tout compris.


Je te présente Kevin, notre nouvel élève pilote, il est en fin de formation. Dans moins d'un an il sera pilote comme toi. Puis se retournant vers Kevin. Ne fais pas attention à lui, c'est un abruti mais il n'est pas bien méchant.


Les deux hommes se regardaient. Dupré regardait Kevin de haut en bas en s'attardant sur son entre jambe. Kevin portait toujours, c'était une loi incontournable, un pantalon qui dénonçait son dispositif de chasteté. Dupré le lui faisait remarquer.


Oui je sais ! Lui répondait Kevin. Et alors je serai le premier pilote assistant …

Oui bon … Ok … Excuse moi.

Je pense que tu seras capable de porter tes valises toi-même. Rajoutait le directeur. Aussi tu pourrais montrer le chemin à ton nouveau camarade. Vous serez dans la même chambre … Pas de bagarre surtout si je dois m'en mêler ça va mal se terminer !


Chacun prenait ses valises, Kevin suivait Dupré. Ils continuaient à discuter et commençaient à faire connaissance.


Romain et le directeur de l'école continuaient à discuter, ils se connaissaient de longue date ces deux là et avait beaucoup de choses à se dire.


Les élèves étaient logés à deux par chambre, et le hasard avait voulu que Kevin et Dupré se retrouvent dans la même. Duprès ne semblait pas désagréable, et si ce premier contact avait été un peu sec c'était à cause du pantalon de Kevin. Avec, il exposait sa chasteté, et comme il ne semblait pas être un passager Dupré en avait conclu qu'il devait être un assistant, un employé subalterne.


Ils s'installaient tout en discutant. De son côté Romain saluait le directeur, et montait dans les chambre. Il glissait la tête dans la chambre ou il y avait Kevin pour le saluer une dernière fois. Ils risquaient de ne pas se revoir pour au moins … au moins quelques temps, plusieurs années peut être même. Si Kevin loupait son permis, il reviendrait auprès de Romain, dans le cas contraire ils ne se reverraient plus très souvent ...


Dupré avait suivi toute sa formation depuis plusieurs années dans cette école, il connaissait les lieu et servait de guide à Kevin. D'abord le réfectoire, Ensuite on se couchait tôt, le lendemain les cours commençaient.


Mais avant Dupré se préparait à la douche. C'étaient des douches communes, il y avait plusieurs grande salles par étage, mais c'est vrai qu'il y avait beaucoup d'élèves, et pas seulement. La douche était commune pour tous les occupants du bâtiments, y compris les assistants.


Ici on pourra te prendre pour un assistant. Faisait remarquer Dupré.


Kevin se déshabillait tranquillement, son pantalon ne cachait rien de toutes façons, donc en le retirant il n'exhibait rien. Il se montrait nu. Plusieurs autres élèves arrivaient l'un après l'après l'autre.


Un nouvel assistant ? Demandait un des gars. Je ne l'avais jamais vu celui-là !

Non c'est un nouvel élève répondait Dupré.


Kevin s'amusait de l'effet qu'il donnait et là, il s'exhibait. Il se tripotait les couilles, fautes de pouvoir se tripoter la bite. Il était mignon Kevin et rapidement, tous ceux qui le pouvaient bandaient. Kevin regardait ça d'un air détendu. En fait ça ne le laissait pas indifférent, il n'avait pas l'habitude de se retrouver à poil devant autant de mecs actif, nus également et en plus d'en être le centre d'attention.


Il y avait également tout un tas d'assistants. Les assistants c'est un peu comme les passagers, mais eux ne sont pas au service d'un pilote, eux ne voyage pas, ce sont des ouvriers, ils occupent tout un tas de fonctions dans l'économie. Ils peuvent quelquefois arriver à un niveau de responsabilité d'autorité et même de richesses. Ceux là étaient des subalternes Kevin était en train de changer de statuts, il n'était plus passager donc il était assistant, mais n'en avait pas encore les statuts.


Les étudiants pilotes s'approchaient lentement de Kevin. Voyant cela Dupré décidait de réagir, après tout c'est lui qui avait présenté Kevin, et il lui plaisait bien Kevin. Surtout depuis quelques instants qu'il pouvait l'admirer à poil. Il avait fait du sport Kevin, son corps était bien proportionné, il était mince et musclé.


Dupré s'approchait de lui, il était dans son dos, Kevin ne le voyait pas venir. Devant lui les autres étudiants pilotes, tous en érection le regardaient. Dupré posait sa main sur l'épaule de Kevin, si celui se dégageait, c'était clair. Kevin ne voulait pas de lui et la place était toujours libre.


Mais Kevin était un peu intimidé, il n'avait jamais participé à de soirée baize à plusieurs. Ce n'était pas dans les habitudes de Romain. Il bandait ou en tout cas il essayait. Sa queue, pourtant bien habituée au port de la cage, se révoltait comme elle ne le faisait que rarement. C'était tous ces corps nus, toutes ces bites en érection autour de lui. Il sentais le corps de Dupré se rapprocher de lui. Les autres hommes les regardaient.


Dupré se donnait de l'importance, il gonflait le torse, il semblait dire.


'' Celui-là il est pour moi tout seul ! ''


C'était à Kevin de décider, ici tous les élèves étaient à égalité. Kevin baissait les yeux et voyait apparaître juste contre ses hanches la queue en érection de Dupré. Il était impressionné, il était bien monté Dupré. Kevin passait sa main contre son ventre et le caressait lentement jusqu'à la base de son sexe.


Quand sa main y arrivait le sexe de Dupré se relevait alors à la verticale, sa queue se relevait et se plaquait contre son ventre. Kevin se retournait et prenait son voisin de chambre dans ses bras.


Les autres élèves pilote se rapprochaient chacun d'un assistant qui était venu là tout simplement prendre sa douche. C'était permis, les assistants étaient aussi là pour ça. Pour servir de vide couilles aux élèves, ça détend l’atmosphère, et ensuite tout le monde est bien plus calme.


Dupré refermait ses bras sur Kevin, se penchait sur lui et l'embrassait. La pression dans la cage de Kevin devenait intense, Kevin n'avait jamais connu ça, il y avait une petite trentaine de gaillards en érection qui n'avait qu'une seule idée, l'enculer, et qui en attendant se rabattraient sur un assistant.


Il devait y avoir deux ou trois couples formés par des étudiants, ceux là le cul des assistants ne les intéressaient pas, ils voulait aussi avoir la queue.


Kevin doucement s'accroupissait, et rapidement se retrouvait avec la queue de Dupré dans la bouche. Romain était bien monté et Kevin était habitué à une grosse queue. Avec Dupré il n'était pas dépaysé, lui aussi en avait une grosse. Elle était plus dure que celle de Romain et se redressait plus. C'est vrai que Dupré était beaucoup plus jeune.


Kevin s'en amusait, pour pouvoir prendre la queue de Dupré, il devait appuyer dessus pour la ramener à l'horizontale, mais quand il la lâchait elle reprenait avec force sa position verticale et claquait contre le ventre de Dupré en se relevant.


Dupré le regardait avec un large sourire.


Si tu loupes ton permis, je te prendrai comme passager ! Lui disait Dupré.

J'ai déjà un passager ! Lui répondait Kevin sur un ton assez sec.


Puis il reprenait la queue de Dupré entièrement dans la bouche. Son gland allait s'écraser au fond de sa gorge. Kevin écrasait son visage contre le ventre de son nouvel ami. Il appuyait fortement son nez et Dupré lui caressait les cheveux.


Kevin s'écartait d'un mouvement rapide, et inspirait très fort, il reprenait son souffle, prenait quelques inspiration et de nouveau avalait la queue de son partenaire. Il entendait maintenant des murmures qui venaient des autres élèves, ainsi que des gémissements.


Quand Kevin se retirait de nouveau, il en profitait pour regarder autour de lui. Tous les élèves présents étaient en train de se faire sucer généreusement. Certains se laissaient faire, d'autres avaient pris le contrôle de la situation et c'étaient eux qui tiraient leur assistant vers eux en leurs donnant des coups de bassin, des coups de bite bien profond dans leurs gorges.


Les assistants commençaient à se plaindre, il faisaient de drôle de bruits, des sons gutturaux qui amusaient Kevin.


Mais il ne se laissait pas distraire bien longtemps, il continuait à sucer la bite de Dupré puis il massait les couilles et les lui gobait. Il les prenaient dans sa bouche l'une après l'autre, il tirait doucement, Dupré râlait, puis les laissait ressortir l'une après l'autre et recommençait. Il alternait ce traitement qui mettait en Dupré en sueur, lui donnait bien des émotions.


Dupré finissait par intervenir, et repoussait doucement le visage de Kevin. Il voulait reprendre son souffle lui aussi. Kevin se retournait et lui offrait son cul. Un grand silence s'abattait alors. Kevin devinait que tout le monde devait le regarder. Il n'avait jamais connu une telle situation, avec un ou deux mes actif, oui … un fois il s'était retrouvé le centre d'attraction, au milieu de trois mecs. Mais plus jamais.


Là il y en avait plus de trente et ça c'était sans compter les assistants.


Dupré se sentait un peu obligé d'agir. Tout le monde le regardait quand il prenait position derrière Kevin. Il n'y avait plus un bruit quand Dupré poussait sa queue contre le cul de Kevin. Puis il n'y avait plus que des murmures quand la queue de Dupré s'enfonçait dans le cul de Kevin.


Kevin poussait un cri de plaisir, il ne parvenait pas à dissimuler totalement une certaine douleur qui ne voyait à ses grimace plus qu'elle ne s'entendait.


Le ventre de Dupré s'écrasait contre les fesses de Kevin. Là Kevin poussait un cri, il manquait d'air. Comme je vous disait la queue de Dpré était de belle taille et de toutes évidence Kevin la sentait passer, même si elle semblait passer facilement.


Les autres continuaient et ce n'étaient plus que des cris et des gémissements de plaisir sous les douche. Sauf pour un nouveau qui arrivait à ce moment là. Lui il était venu prendre sa douche et c'est ce qu'il faisait.


Il en fallait pour tous les goûts. Chacun y allait de bon cœur, c'était le jour de la rentrée. Les cours n'avaient pas encore commencé. Les coups que chacun donnait sur le cul de l'autre se faisaient entendre avec régularité. Ils finissaient par se synchroniser et c'est Dupré qui menait la danse.


Il ne se retenait plus, il se retirait complètement, marquait une vague pose puis reprenait. Il enfonçait alors sa queue bien à fond dans un mouvement rapide autant que violent, Kevin poussait un cri qui était suivi par un claquement violent sur ses fesses.


Kevin aimait bien se faire enculer, il avait été à bonne école, mais là il tremblait, il jouissait et Dupré s'en rendait compte.


Dupré regardait autour de lui, déjà des couples se séparaient, au moins un des deux avait joui. On voyait une sève blanche couler de plusieurs cage à bite. On voyait aussi une certaine inquiétude dans les yeux de plusieurs qui avaient sans doute peur de se faire défoncer une autre fois. C'est vrai que les assistants étaient aussi les vides couilles des autres et devaient rester à leur disposition, on ne s'occupait pas de leur avis.


Ce n'était pas, ce n'était plus le cas de Kevin qui avait le droit de dire non !


Dupré se lâchait, il accélérait le mouvement, il ressortait totalement sa queue et de nouveau l'enfonçait bien à fond le plus fort possible. Kevin gueulait et Dupré s'en amusait.


Kevin lui gueulait ' plus fort ' , ' oui vas y ' , ' défonce moi ' . Puis c'est Dupré qui gueulait, là il poussait et appuyait son bassin contre les fesses de Kevin. Il jouissait, il jouissait dans le cul de Kevin. Kevin jouissait également. Un filet de liquide blanc et épais coulait de sa cage et quand Dupré se retirait un filet du même liquide coulait du cul de Kevin.


Tout le monde se calmais plus ou moins vite, terminaient la douche et revenait tranquillement vers leurs chambres.


C'est vrai que ça calme.


Dans la chambre Dupré se couchait, il était nu. Kevin en faisait autant, nu également.


Demain, levé huit heures, petit déjeuner et cours de mécanique …

Ça marche, j'ai eu une très bonne note à l'examen. Répondait Kevin.


Ils se sont endormi tous les deux rapidement, c'est vrai qu'une bonne douche avant de dormir, ça calme !



A suivre



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La ceinture 13 Gros câlins en perspective

 La ceinture 13 Gros câlins en perspective



Romain n'a pas dormi dans le camion la nuit suivante, il était invité chez le directeur de la prison et à dormi chez lui. Kevin aussi était invité mais lui il a refusé de sortir du camion.


Le camion, à la première heure tout était prêt. Kevin avait fait le ménage à fond, à son niveau il n'y avait rien à redire. Kevin ne voulait pas traîner, il était pressé de quitter cet endroit. Il était pressé de se retrouver en tête à tête avec son pilote.


Romain s'amusait de voir le zèle dont faisait preuve Kevin quand il arrivait au camion. Kevin le recevait avec un grand sourire, il ne cachait pas le plaisir qu'il avait de le revoir autant que celui de quitter cet endroit.


Ils échangeaient un sourire, Kevin s'installait à la place passager, Romain s'installait au volant et quelques secondes plus tard le camion avançait doucement vers la sortie. Kevin pouvait apercevoir les cinq prisonniers qui l'avaient brutalisé deux jours plus tôt. Il constatait avec une certaine satisfaction qu'ils portaient tous les cinq un pantalon spécial, le même qu'il portait lui-même et qui montrait son état de porteur de ce dispositif de chasteté, de porteur chaste. Et il savait que ces cinq hommes porteraient ce dispositif pendant très longtemps.


Le camion s'éloignait rapidement de la prison. Il n'y avait plus personne au volant. Kevin avait entraîné Romain dans la cabine, il y avait toujours cette pression intense dans sa cage et depuis que les cinq prisonniers lui étaient passé sur le corps il n'arrivait pas à se calmer totalement.


Il avait le feu au cul le pauvre.


C'est Romain qui en faisait les frais … Kevin lui sautait dessus, le caressait, l'embrassait, le pelotait. Ses mains glissaient partout sur le corps de Romain, sur ses vêtements bien sûr mais rapidement en dessous, Kevin appréciait de plus en plus la chaleur du corps de Romain et Romain ne cachait pas qu'il aimait lui de plus en plus la douceur de la peau de Kevin, à part la tête il était totalement dépourvu de poil.


Ces deux là aimaient partager des moment de tendresse et de douceur.


Ils ne se sont habillé que pour sortir du camion, prendre l'air et jouer dans la neige. Le reste du temps, ils étaient à poil. Ils étaient sur une route secondaire très peu fréquentée et passaient leur temps dans les bras l'un de l'autre à se faire des câlins.


Dès le premier jour Romain avait l'impression que Kevin était plus câlin, plus tendre, plus proche. Il préférait ne pas le lui faire remarquer et profitait de cette nouvelle situation.


Au réveil, il passait son bras sous la tête de Kevin et aussitôt recevait une caresse sur tout le corps. Kevin glissait sa main sur le corps de Romain, il le caressai tendrement autant que lentement. Il aimait la douceur de la fourrure de son pilote.


Sa main se glissait alors au niveau de son sexe, rapidement il bandait, c'était un peu normal au réveil et tout les deux savaient profiter de cette érection matinale. La main de Kevin encourageait cette réaction et Romain ne résistait pas.


D'abord c'étaient des baisers sur les lèvres, ils étaient tendre et chaud. Puis c'étaient les corps chauds qui glissaient l'un sur l'autre. Plus petit c'est Kevin qui glissait sur son partenaire et qui le caressait avec son corps totalement imberbe.


Romain refermait ses bras sur ce corps d'un totale douceur, seul un petit truc était dur, tout en haut de ses jambes, entre ses cuisses, c'était vous l'avez compris son dispositif de chasteté. Kevin s'y était bien habitué, il avait appris à jouir avec une autre partie de son corps. Il devait le porter c'était la sanction à tous ses délits et crime. C'est vrai qu'il avait chapardé de la nourriture et quelques sous à des touristes.


Ici la loi ne connaît pas la pitié, et sans sa rencontre avec Romain c'est dans la prison de Sibérie ou ils étaient passé qu'il serait allé, et il y serait resté très longtemps.


Mais avec Romain, la couette était chaude, il était bien traité. Il réchauffait le corps de Romain, et rapidement l’atmosphère devenait brûlante. Les corps devenaient brûlants mais c'était une brûlure qui ne blesse pas, ne laisse pas de trace.


Romain caressait le dos de Kevin, ses caresses glissaient depuis son cou jusqu'à ses fesses, et partout ou Romain glissait ses main, c'était une peau lisse et douce qu'il caressait. Distraitement il s'attardait sur ses fesses, entre ses fesses. Il découvrait le petit trou qui était pour les deux hommes une source de plaisir. Il y glissait un doigt, doucement, sans vraiment vouloir s'introduire, il était à sec là, et à sec, tout le monde sait que ça peut faire mal, et Romain ne voulait pas faire mal à son camarade.


Kevin se dégageait doucement, l'air de rien. Il se repliait sur le torse de Romain en le couvrant de baisers. Il s'attardait et lui mordillait les tétons, Romain répondait en gémissant.


Kevin continuait en caressant les bras et les épaules de Romain. Romain ouvrait largement ses bras en crois et laissait faire.


Les baisers de Kevin se déplaçaient sur tout le torse de Romain qui était aux anges.il aimait bien se faire réveiller de cette manière, il aimait bien comment Kevin s'y prenait pour lui donner du plaisir, il aimait bien, il aimait de plus en plus Kevin.


Kevin ne se laissait pas distraire, lui aussi aimait de plus en plus son partenaire, il aimait de plus en plus le toucher, le caresser l'embrasser. Et il ne s'en privait pas.


Ses lèvres glissait vers le ventre de Romain, il le caressait avec le bout de son nez, il le chatouillait avec le bout de sa langue, jusqu'au moment ou elle rencontrait le gland de Romain. Elle continuait et le caressait avec douceur.


A ce moment Romain poussait un lent gémissement, sa queue se contractait et Kevin la soulevait avec la main, il la guidait vers sa bouche, il tournait la tête et caressée de toutes part la queue de Romain entrait lentement. Elle était grosse et Kevin prenait son temps. Il savait faire, il avait l'habitude et s'il donnait du plaisir à Romain c'est justement parce qu'il y allait avec douceur.


Romain posait une main sur la tête de Kevin et lui caressait les cheveux. Kevin était encouragé par cette caresse et appuyait un peu plus son visage, la queue de Romain atteignait le fond de sa gorge, il ne tentait pas de garder la position, il ne voulait pas établir de nouveau record, il ne se concentrait que sur le plaisir, le plaisir qu'il donnait bien sûr. Non pas qu'il n'éprouvait pas de plaisir mais pour lui c'était différent. On n'a jamais joui en suçant une queue.


Lui par moment ressentait une énorme frustration. Sa queue protestait, la pression était maximum, intense. Il ressentait les barreaux de cette cage qui écrasait sa bite et semblait étrangler son sexe à sa base. Ses couilles pendait lourdement, il faisait chaud sous la couette sinon dans la journée elles se recontractaient et formaient une grosse boule bien dure mais là elles pendaient.


Par moment il ne parvenait plus à savoir si son désir sexuel se limitait au désir de s'amuser avec sa queue ou juste de se faire défoncer le cul. Il savait parfaitement qu'un seul de ces désir serait satisfait, et par moment un seul ne suffisait pas.


Romain continuait à lui caresser le corps, sa main descendait sur ses fesses, sur sa cage et il s'amusait avec ses couilles, il prenait un peu de gel lubrifiant et glissait rapidement un doigt dans le cul de Kevin. Et il aimait ça Kevin, il gémissait de plaisir à son tour.


Romain agitait un doigt contre la prostate de Kevin, il ressentait les réactions du jeune homme. Kevin se redressait, il se cambrait et tremblait.


Romain faisait une pause, Kevin en profitait pour bien lubrifier la queue de Romain puis Romain recommençait. Kevin tremblait encore un peu et de nouveau se cambrait et se raidissait. Mécaniquement il masturbait Romain.


Quand Romain arrêtait, Kevin rajoutait une dose de gel lubrifiant et s'installait, les pieds de chaque côté de Romain. Il prenait position la queue de Romain fièrement relevée contre son anus, et poussait pour s'empaler sur son partenaire. Il poussait juste pour que ça rentre, doucement, il n'y avait aucune raison de se presser, ils avaient la journée et plus encore.


La queue de Romain se frayait un passage dans le cul de Kevin, elle l'ouvrait, le dilatait et s'enfonçait lentement. Kevin restait bien droit, le dos bien droit mais il baissait la tête en gémissant. Il arrivait à la limite et ses fesses s'écrasaient sur les cuisses de Romain. Il poussait un gémissement tout en tremblant.


Sa queue se calmais, elle prenait toujours toute la place dans sa cage mais n'exerçait plus aucune pression. À ce moment c'était un moment presque calme dans le corps et dans l'esprit de Kevin, un peu comme l’œil d'une tornade. Il se sentait bien, rempli à déborder mais bien.


Romain soulevait désormais par à-coups, Kevin sursautait mais s'il se soulevait c'était Romain qui le soulevait. À ce moment Kevin subissait. Il restait le dos bien droit mais relevait la tête et gémissait de plus en plus fort. Romain lui tirait les pied vers lui et Kevin se retrouvait alors incapable de se retenir à quoi que ce soit, il était empalé sur la bite de Romain de tout son poids. Il commençait à agiter les bras, là il ne pouvait plus que subir.


Romain se relevait refermais ses bras sur Kevin et continuait à lui buriner le cul. Kevin poussait alors un long gémissement qui ressemblait à une plainte, on aurait pu croire qu'il pleurait et c'était peut être un peu le cas. Il se cramponnait au cou de Romain, c'est uniquement là qu'il pouvait se retenir. Il refermait ses jambes dans le dos de Romain.


Romain repliait ses jambes en tailleur et commençait à se balancer d'avant en arrière. Par ce mouvement il limait le cul de Kevin qui encaissait comme il pouvait, il refermait ses jambes autour de Romain et continuait à se retenir à son cou. Ils s'embrassaient avec tendresse entre deux gémissements.


Romain accélérait ou ralentissait, par moment il faisait une pause.


Pendant les années qui ont suivi, c'était à peu près la même chose tous les matins.


Quelquefois Romains laissait les choses se terminaient ainsi, il finissait pour jouir dans le corps de Kevin. Quelquefois Romains prenait le contrôle retournait Kevin sur le dos sans se retirer pour autant et toujours sans se retirer saisissait les chevilles de Kevin, le repliait en deux, plaçait ses chevilles sur ses épaules.


Et lui défonçait le cul avec vigueur …


Quelquefois ils remettaient ça dans la journée …


Kevin ne cachait pas qu'il aimerait apprendre à conduire le camion. Romain avait toujours soutenu les désirs de ses passagers, particulièrement ceux qui leurs permettraient de se préparer un avenir meilleur. Il accédait à son désir.


Romain prenait une assurance spéciale pour permettre à Kevin de prendre le volant comme élève pilote, il n'y avait jamais eu un passager-pilote mais, renseignements pris, rien ne s'y opposait. Le passager pourrait s'appeler alors assistant.


Enfin peut être même assistant-pilote … On verra ça plus tard …


Dans un premier temps Kevin était bien trop jeune pour pouvoir passer son permis, il faut avoir au moins vingt cinq ans et il n'en avait pas dix huit. Mais il pouvait devenir élève. Romain lui expliquait tout les trucs pour la conduite et commençait sa formation.


Romain ne loupait pas une occasion d'expliquer à Kevin tous les trucs de pilotage et avec le temps lui confiait même le volant, dans un premier temps sur les routes puis avec le temps les manœuvres simples. Kevin était un bon élève et prenait cette formation très au sérieux.


Quand j'aurai mon permis on pourra rouler plus longtemps ! Faisait remarquer Kevin.

Ou alors quand tu auras ton permis tu pourras prendre ton indépendance ! Lui répondait Romain.


Kevin ne serait pas le premier passager à prendre son envol après avoir vécu quelques années avec Romain.



A suivre




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La ceinture 12 Retour en lieu sûr

 La ceinture 12 Retour en lieu sûr



C'est dans les bras de Romain que se réfugiait Kevin. Il avait refusé de sortir du camion après ces événements. Romain ne l'avait pas contraint, il l'avait laissé, c'est vrai que le camion est confortable, petit mais confortable.


Il surveillait tout ce qui se passait grâce au circuit vidéo. Et chaque fois qu'il voyait Romain s'approcher du camion il avait le sourire. Romain avait été adorable avec lui, l'avait soutenu après que cinq prisonniers aient abusé de lui. C'était récent mais, pour lui ce soutient était important. De plus en plus il sentait que Romain le protégerais.


C'était rassurant surtout que en tant que passager, il ne lui restait plus beaucoup de droits civiques et c'était bien de pouvoir se sentir soutenu et protégé. C'était une véritable tendresse envers Romain qui naissait dans le cœur de Kevin.


Il voyait aussi passer les hommes qui l'avaient violé. Là il ne loupait pas le moindre mouvement, il enregistrait et si jamais il avait remarqué quelques chose d'anormal il se serait fait un plaisir de le signaler.


Romain décidait de dormir dans le camion lui aussi. Il pourrait prendre des nouvelles de son passager et discuter avec lui. Même s'il lui semblait préférable de ne pas tenter de rapprochement sexuel et de laisser à Kevin le temps de se remettre de ses émotions. Ça aussi c'était aussi le genre d'attention que Kevin appréciait, beaucoup même si …


Le premier soir Romain avait emporté le repas, il était très attentif au comportement de Kevin. Celui était détendu, c'était la présence de Romain qui le rassurait. Là il savait qu'il n'avait rien à craindre … en plus le camion est quasiment blindé …


Kevin était totalement détendu.


– Ça te dérange si je dors ici ce soir ? Demandait Romain, c'était surtout pour tester la réaction de Kevin

– Au contraire, j'ai pas envie de dormir seul. Je crois que je dormirai mieux si tu es là.


Ils sont restés là à discuter encore un moment et c'est Kevin qui sonnait l 'heure d'aller se coucher. Il se déshabillait rapidement devant Romain, il lui faisait un sourire racoleur peut être même.


Romain regardait ça, il était rassuré de voir que Kevin semblait aller bien. C'est seulement quelques heures plus tôt qu'il s'était fait agressé par cinq prisonniers.


Romain retirait sa chemise, Kevin s'approchait de lui et continuait à le déshabiller.


– Tu vas prendre une douche ça te réchauffera et ça te détendra, tu vas voir. Lui disait Kevin.


Quelques instants plus tard Romain était totalement nu, Kevin le caressait avec ses deux bras et avec son corps également. Kevin se glissait contre Romain, il glissait contre Romain le couvrant de baisers. Romain n'aurait pas osé proposer cette échange de douceur à Kevin, il pensait lui laisser un peu de temps mais Kevin voulait. C'était le corps de Romain qu'il recherchait, c'était de ce corps qu'il avait envie.


Il s'accroupissait devant Romain et prenait sa queue dans sa bouche, il le suçait avec douceur et passion. Peut être encore plus que d'habitude. Pendant un long moment il caressait le gland de Romain avec sa langue, il la passait par dessus, par dessous, recommençait et recommençait encore.


Romain était content, rassuré et content, il caressait doucement la tête de son passager. Il n'osait pas appuyer sur la tête de Kevin et c'est Kevin qui lui prenait la main et la déposait sur l'arrière de sa tête. Comme pour lui dire … '' Vas y, ne soit pas timide … ''.


Doucement Romain commençais alors à appuyer sur la tête de Kevin, l'obligeant à bien avaler sa queue plus profond. Par moment il lui donnait des coup de bite dans la gorge.


– Avec toi c'est mieux ! Lui disait Kevin un moment ou il relevait la tête.


Puis Kevin replongeait, prenait la queue de son pilote jusque dans la gorge, il semblait apprécier, et il appréciait vraiment. Puis Kevin prenait Romain par la main et l'attirait sous la douche. Elle est étroite mais ce n'était pas bien grave, au contraire les corps ne se caressaient l'un l'autre que d'autant plus.


Le corps de Kevin, sa peau glissait et caressait celle de Romain. Les bras complétaient les caresses et se glissaient un peu partout. Les deux hommes s'embrassaient avec passion. Kevin savonnait et frictionnait généreusement son pilote, ils en prenaient tous les deux beaucoup de plaisir.


Puis ils se séchaient l'un l'autre avant de se retrouver sur le lit. Romain s'était allongé sur le dos, les jambes bien écartées. Kevin s'était replié sur son camarade de voyage. Le caressait et le couvrait de baisers. Il lui mordillait les tétons, avant de lui sucer la queue.


Il l'embrassait malicieusement dans le cou et lui laissait une petite marque rouge qui disparaît au bout de quelques jours. Ensuite il lui gobait généreusement les couilles. Kevin n'avait peut être jamais été aussi chaud. Était-ce à cause de ce qui lui était arrivé le matin même avec les cinq prisonniers ou était-ce parce qu'il découvrait que Romain était pour lui une protection, une rassurante protection. En fait il le savait déjà mais là il pouvait le voir, tout ce qu'avait fait Romain dans la journée avait été pour Kevin, pour rassurer et soutenir Kevin.


Kevin lubrifiait généreusement la queue de Romain et sans prévenir, Romain l'a bien un peu vu venir, il prenait position et s'asseyait sur le sexe en érection du pilote. Il en avait une belle et Kevin forçait pour s'enfoncer, il faisait une grimace à faire peur et finissait par se l'enfoncer jusqu'à la garde. Ensuite il relevait la tête, il se redressait bien droit, soupirait fort et gémissait de plaisir.


– Là c'est autre chose, avec ta queue c'est mieux, bien mieux. Là j'aime ! Gémissait Kevin.


Romain n'avait pas bougé, il l'avait laissé faire. Kevin s'était empalé sur lui, il s'était empalé sans cacher le plaisir qu'il en retirait. Il restait bien droit et allongeait ses jambes contre Romain. Il était empalé de tout son poids et la queue de Romain s'écrasait quelque par entre, dans ses entrailles, entre sa gorge et son nombril.


Il n'avait pas la moindre idée de l'endroit ou s'écrasait cette énorme bite mais il sa sentait bien, bien profond en lui. Il ne l'avait jamais autant senti, massive et tellement longue.


Romain se lâchait lentement, il soulevait le bassin et le laissait retomber. Kevin retombait dessus avec plus ou moins de force. Il faisait de nouveau une grimace terrible. Romain accélérait le mouvement il relevait le bassin un peu plus haut et retombait. Kevin retombait sur sa queue et gémissait. Il commençait à gigoter, la sensation était violente, c'était intense. Kevin ne pouvait plus retenir ses gémissement qui se transformaient en plainte, c'était douloureusement jouissif.


C'étaient des plaintes que Kevin poussait de plus en plus fort, ses gémissements se transformaient en plaintes. Romain restait très attentif aux réaction de son passager. Le lien qui les unissait, qui les rapprochait semblait marquer une marche était passé, il étaient peu peu plus proche, chacun le ressentait mais aucun des deux n'en disait rien.


Comment dire une telle chose. Romain avait acheté par Kevin quelques temps plus tôt, et Kevin n'était pas libre. C'était aussi le vide couille de Romain. C'était une relation étrange qui peu à peu se transformait, une réelle affection naissait entre ces deux hommes.


Romain relevait son torse, passais ses mains sur les reins de Kevin et le tirait vers lui. La queue de Romain s'enfonçait encore un peu, ou alors c'était une impression, et Kevin gémissait encore plus, il prenait son partenaire par le cou et semblait pleurer sur son épaules.


Romain repliait ses jambes en tailleurs. Kevin était désormais bien installé, solidement planté sur les cuisses et dans les bras de Romain qui là commençait à se balancer d'avant en arrière comme sur un fauteuil à bascule.


Kevin suivait le mouvement en gémissant de plus en plus fort, il pleurait réellement maintenant. Romain s'en inquiétait mais Kevin lui répondait par un baiser d'une très grande tendresse.


Les corps étaient chauds, les peaux étaient douces, les bras étaient forts et leurs caresses intenses. Kevin pleurait mais c'était de bonheur et de plaisir. Le bonheur d'être dans les bras de celui qu'il aimait, le plaisir de ce moment de partage intime et douloureusement jouissif.


Kevin jouissait, ça ne faisait plus aucun doute. Le plaisir rayonnait du fond de ses entrailles et tout son corps tremblait. Ses entrailles se contractaient sous la pression de Romain qui prenait un peu trop de place. Et Romain tremblait sous l'effet de cette réaction, c'était comme une caresse très douce qui laissait monter le plaisir.


Leurs souffles devenaient plus fort, Kevin criait très fort quand Romain a éjaculé en lui, et Romain le serrait très fort contre lui. Ils ne bougeaient plus.


Un moment plus tard, Kevin se dégageait, il repliait ses jambes et se soulevait doucement. C'est à ce moment que Kevin jutait il coutait de sa cage à bite et de son cul un fluide blanc épais.


Ils faisait tous les deux un rapide passage sous la douche. Ils ne disaient plus rien, il se caressait, échangeait des gestes de tendresse puis se retrouvaient douillettement enlacés sous la couette.


Ils ont continué à discuter jusqu'au moment ou l'un ne répondait plus à l'autre … alors l'autre s'est endormi à son tour.


Le lendemain Romain se levait de très bonne humeur mais Kevin refusait de sortir du camion. Il continuait à surveiller tout ce qui se passait autour du camion. Le chargement se terminerait dans la journée. Kevin était content de quitter cet endroit rapidement. Encore une nuit et ils repartiraient, Kevin préférait oublier, il choisissait de ne se souvenir que de cette tendresse, de cette douceur, de cette chaleur qu'il partageaient avec son Pilote et il était surtout pressé de se retrouver avec lui. Seul avec lui.


Son visage exprimait une certaine colère quand il voyait passer sur l'écran de surveillance les mecs qui l'avaient brutalisé la veille. Ils avaient l'air un peu moins fringant, un peu moins fiers. Ils portaient désormais un pantalon comme le sien, on voyait parfaitement leur nouveau dispositif de chasteté.


Ils n'avaient plus qu'à s'habituer, il était en effet peu probable qu'ils le retirent un jour. C'est ce que voulait Romain, le directeur soutenait cette demande et si la justice ne s'était pas encore prononcée, il était rare que les juges ne suivent pas la demande d'un directeur de prison.


Ils le savaient et ils faisaient la gueule.


Surtout qu'avec ce truc sur eux et ce pantalon qui le trahissait à chaque instant, le pantalon de l'humiliation pour certains que chaque porteur du dispositif de chasteté devait porter. Ils se retrouveraient tous les cinq comme vide couille de la prison.


Kevin réfléchissait àa ces derniers événements. La veille ils lui avaient fait très mal, pourtant il était capable de se prendre des bites bien plus grosses en y prenant beaucoup de plaisir.


Il comprenait que finalement ce n'était pas seulement la taille de la queue qui donnait du plaisir ou de la douleur mais celui qui la portait, celui à qui elle était la queue. Romain en avait une grosse il pouvait faire mal mais le reste du bonhomme était réconfortant, fort mais doux, dur mais tendre et câlin tellement câlin. C'était cette douceur, cette force et cette tendresse qui faisaient que quand Kevin se la prenait dans le cul il ressentait du plaisir, surtout du plaisir. Il se sentait tellement bien dans les bras de Romain.


Tout ce qu'attendait Kevin à ce moment c'était l'instant du départ. Pendant une dizaine de jours ils se retrouveraient ensemble, juste ensemble. Et Kevin n'attendait plus que cela.


Le départ était prévu pour le lendemain matin.



A suivre




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La ceinture 11 Prison d'état

 La ceinture 11 Prison d'état



Un groupe de prisonniers arrivait pour décharger, le camion était plein il faudrait plusieurs jours, surtout qu'il n'y avait aucune machinerie lourde pour faire le travail. Dans un entrepôt quelconque il n'aurait pas fallu la journée pour décharger puis recharger. Ils seraient repartis le lendemain.


Kevin avait pour mission de surveiller le camion et les opérations à venir. Il ne faudrait pas qu'un des prisonnier n'en profite pour tenter de s'évader. Romain s'absentait pour aller visiter les mines de minerais. Il était traité sur place, c'est le produit traité qu'il faudrait ramener jusqu'à un entrepôt.


Le nombre de prisonniers qui assurait le déchargement était compté, à chaque instant la surveillance savait qui était là, et il fallait qu'il ne manque personne à la fin de la journée.


Romain était parti visiter la mine et le centre de traitement, Kevin restait sur place pour surveiller le camion. Lui n'était pas prisonnier il avait un passe qui lui permettait de se déplacer librement dans la prison.


Il faisait connaissance avec les gardes, ils étaient tous ou presque au départ des prisonniers qui pour pouvoir profiter de meilleures conditions de vie étaient recrutés assistants. C'était une première étape vers la réhabilitation progressive. Ils devaient porter un dispositif de chasteté, ce n'était pas le cas pour les prisonniers. Mais pour pouvoir aller travailler ailleurs il fallait devenir assistants.


Kevin se déplaçait dans la réserve pour voir comment étaient rangés les affaires, il y avait des prisonniers qui déchargeaient. Un d'entre eux qui avait un air tout timide arrivait.


  • Chef gardien, nous avons un problème, vous pouvez venir voir ?


C'était un grand gaillard, un prisonnier qui avait l'air tout timide qui venait demander quelque chose à Kevin. Kevin se sentait sans doute flatté de se faire appeler chef et suivait le prisonnier.


  • C'est par là que ça se passe, on était en train de ranger tout ce qu'on déchargeait quand …


C'est à ce moment que plusieurs mains s'abattaient sur le pauvre Kevin. Il n'a même pas eu le temps de crier ou de se débattre. On lui saisissait fermement la tête, on le faisait taire en lui posant une main sur la bouche, une autre personne au moins, et il devait être très costaud, lui retenait les mains dans le dos. Une autre personne, ou plus peut être plusieurs, lui retenait les jambes.


Tout était si rapide que Kevin n'avait pas le temps de réagir, il n'arrivait même pas à deviner combien de personne le tenaient et le secouaient. Il se retrouvait bâillonne, les mains attachés dans le dos, les pieds liés, et une sorte de cagoule l'empêchait de voir ou on l'emmenait.


On le jetais sur quelque chose de dur, il se retrouvait allongé sur une sorte de table ou sur une planche, les mains attachés au dessus de sa tête. Ils étaient au moins quatre. Il rigolaient. Kevin ne voyait rien, il sentait des mains qui se promenaient sur tout son corps. Elles étaient froides, il faisait froid. Dans la salle ou on l'avait emmené la température était plus douce mais il ne faisait pas chaud pour autant.


On avait ouvert les vêtements que portait Kevin, je dis on, Kevin ne savait pas qui ils étaient mais rapidement il en était sûr, ils étaient bien quatre. A part ça il ne savait pas qui lui ouvrait son pantalon, le lui retirait. Il a tenté de résister de se débattre et là il a reçu un violent coup de poing dans l'estomac.


On lui relevait les jambes, et c'est avec force et même violence qu'un des gars l'enculait. Il s'était rapidement lubrifié la bite et l'avait enfilé dans le cul de Kevin en un mouvement rapide. Kevin se débattait comme il pouvait, ils le retenaient, Kevin gémissait et tentait d'appeler.


C'est pas qu'il n'aimait pas se faire enculer mais, d'abord on demande. C'est plus poli .


Mais là, précisément, on ne lui avait pas demandé son avis, Romain à le droit d'abuser de lui mais Romain … justement c'est Romain ! C'était son pilote, et il commençait à l'aimer. En tout cas il apprenait à l'apprécier. Là on lui faisait mal, on le bousculait et là, il ne voulait pas.


Il sentait une queue glisser en lui, elle glissait oui mais avec force, il était bien lubrifié mais le gars qui abusait de lui devait être bien membré. Il le sentait bien passer. Et si Kevin gémissait ce n'était pas que de plaisir, certainement pas. D'abord on lui retenait les jambes replié sur lui même mais rapidement il sentait qu'on les lui attachait. Une dernière fois il tentait désespérément de se dégager.


On le lâchait, il ne pouvait plus bouger. Il a alors tenté de crier mais il se était bâillonné et réduit au silence. Son pantalon avait été descendu sur ses chevilles, ses chevilles étaient au dessus de sa tête. Ses bras étaient attaché et ses vêtements remontés montraient son torse glabre.


On le caressait, plusieurs mains glissaient sur son corps. On lui pinçait les tétons lui arrachant des gémissement de douleur. Les gars ne faisaient pas semblant. Une main lui tripotait les couilles et là encore ce n'était pas seulement avec tendresse. Là encore il gémissait de douleur.


Et cette grosse queue qui glissait en lui, le gars le tirait vers lui avec force par les hanches tout en lui balançant un violent coup de bassin et faisait claquer son ventre sur les fesses de Kevin. À chaque coup Kevin se contractait. Ça voulait être violent, ça l'était, et c'était douloureux aussi.


Kevin avait ses vêtements relevés sur son visage et ne pouvait pas voir qui s'amusait avec lui, il ne pouvait pas savoir qui lui pinçait douloureusement les téton, ou qui l'enculait avec force. Il était réduit à l'impuissance et même ses gémissements étaient entravés.


Les coups contre ses fesses devenaient plus rapide mais toujours aussi ample. Le gars faisait une pause, lubrifiait encore un peu et recommençait avec encore plus de force. Au bout d'un moment qui semblait avoir duré des heures pour Kevin, le gars gémissait, poussait un cri, mais là c'était du plaisir et jutais avec force dans le cul de Kevin, il se retirait et Kevin recevait quelques giclées de sperme sur le ventre.


Sans attendre un autre gars lui attrapait les couilles et tirait dessus tout en prenant position, il enculait à son tour Kevin qui avait déjà compris qu'ils lui passeraient tous dessus. Mais combien étaient-ils ?


Totalement immobilisé, Kevin se crispait et ne pouvait plus que subir. Le second lui limait le cul avec la même violence. À chaque coup son ventre claquait fort sur les fesses de Kevin et à chaque claquement ça devenait un peu plus douloureux, c'est en tout cas ce que ressentait Kevin. Là il n'y prenait aucun plaisir.


Il tremblait tant il se crispait, et mordait de toutes ses force sur son bâillon, c'était un morceau de tissus roulé en boule.


Et les coups tombaient, et les caresses continuaient, elle se terminaient en général douloureusement, en général le gars le pinçait plus ou moins fort. Il recevait aussi quelques coups dans les couilles, comme ça, juste pour voir. À chaque coup, à chaque douleur Kevin se contractait et finissait par pleurer, là il ne gémissait pas, il ne gémissait plus, il pleurait. Les autres autour de lui rigolaient.


Il continuait à recevoir des coups de bite dans le cul. Toujours aussi violents, toujours aussi rapides, le mouvement était toujours aussi ample. Mais là Kevin n'a rien senti de particulier quand le gars a éjaculé.


Il était remplacé par un autre qui s'imposait avec force. Kevin maintenant se laissait faire, il ne tentait même plus de résister, il pleurait, on lui faisait mal. Le gars n'avait pas une grosse bite mais il lui faisait mal. Il était vif, rapide, lui aussi s'amusait à faire claquer son ventre contre les fesses de Kevin. Mais là au moins il ne lui tapait pas sur les couilles.


Le quatrième prisonnier passait à son tour sur Kevin. Lui aussi s'amusait bien avec le cul du passager Kevin. Il lubrifiait régulièrement, il fallait que ça glisse, personne n'avait l'intention de s'arrêter en si bonne voie. Chacun voulait prendre son plaisir et aucun ne s'inquiétait de Kevin. Il n'était plus qu'un objet de plaisir, chacun pouvait se servir.


Le quatrième prisonnier à lui passer sur le corps arrivait rapidement à conclure, il poussait quelques cris au moment ou il à joui. Il a saisi les couilles de Kevin et les serrait très fort sous l'effet de son plaisir. Kevin grognait, ses gémissements devenaient plus intenses, même étouffés se faisaient entendre.


Quand il se retirait, de nouveau un autre suivait. Là Kevin craquait, il gigotait, il tentait de se débattre, de se dégager mais le nouveau venu lui enfonçait sa queue bien à fond sans autre protocole. Il s'enfonçait avec violence et à son tour faisait claquer son ventre contre les fesses de Kevin.


  • MAIS QU'EST CE SE PASSE ICI ?


C'était le directeur de la prison qui arrivait. Il était accompagné de Romain. Là plus personne ne bougeait, ça ne rigolait plus. Le dernier qui était en train de limer Kevin se retirait.


  • Non de dieu ! Mais je rêve ! S'exclamait Romain en se précipitant pour libérer Kevin.


Il avait l'air furieux Romain, Kevin était en larme et avait une salle tête. Romain s'assurait que son passager allait bien et l'envoyait se reposer dans le camion. Ensuite c'était l'heure de demander des comptes.


Il y avait cinq prisonniers qui avaient participé. Pour Romain et pour le directeur de la prison, il y avait cinq coupables. Dans un premier temps les cinq prisonniers étaient mis à l'isolement puis Romain allait s'inquiéter de l'état de son passager.


Kevin était sous la douche, il avait une salle tête, on voyait qu'il avait pleuré. Il se séchait quand Romain est arrivé. Romain n'osait pas le prendre dans ses bras, il n'osait pas le toucher mais c'est Kevin qui le prenait dans ses bras.


  • Tu sais, tu es le seul à avoir le droit de me toucher toi. Pas eux ! Qu'est ce qu'on va leur faire ?

  • Je ne sais pas mais ce que je sais c'est le directeur n'est pas content mais pas content du tout.


Un peu plus tard Romain retrouvait le directeur de la prison. Kevin ne voulait plus sortir du camion et personne ne l'y obligeait.


  • Tu as décidé quelque chose ? Demandait Romain.

  • Cage à bite, à perpétuité ! Répondait le directeur.

  • Perpétuité ?

  • On va prolonger leur séjour ici !


La sanction était simple, on prolongeait leur séjour en prison d'un délai égal à la condamnation, on doublait leur séjour et on rajoutait la cage à bite. Ils seraient sur ce point comme les gardiens mais sans en avoir pour autant les avantages.


Le directeur préparait les dispositifs.


  • Les prisonniers ne portent pas de cage à bite. Expliquait le directeur. Là on peut être sûr que toute la prison va leur passer sur le cul. Ça leur servira de leçon.

  • Sévère mais juste … Se contentait de répondre Romain. Je vais demander à Kevin s'il veut assister.


Dans un premier temps Kevin à refusé puis il a finalement suivi Romain. Il se retrouvait face à ces cinq hommes qui l'avaient violé quelques instants plus tôt. Il les regardait droit dans les yeux les uns après les autre. Il reconnaissait celui qui avait appâté.


  • Tu sais que comme tu es la victime, Kevin, tu peut annuler la sanction.

  • C'est toujours comme ça que ça se passe un viol ici ? Demandait Kevin.

  • Non mais ton pilote à porté plainte pour te défendre. Je crois qu'il t'aime bien, tu sais, tu as de la chance … Lui expliquait le directeur.

  • Allez y ! Répondait seulement Kevin.


Il y avait plusieurs gardes munis de matraque électriques, ça fait vraiment très mal et les prisonniers le savaient. Ils savaient qu'ils n'avaient plus le choix. Là aucun d'entre eux ne faisait plus le fier.


Ils n'avaient plus le choix, ils ont bien tenté de faire traîner mais ils savaient que les gardes n'étaient pas très patients … ils se sont résigné.


Chacun leur tour ils ont glissé leurs couilles dans l'anneau, puis c'était la bite puis venait la cage. À ce niveau chacun a eu une hésitation, puis voyant les matraque électriques chacun à obtempéré.


Le directeur verrouillait tout le monde. Ils faisaient la gueule tous les cinq. Ils savaient qu'ils allaient devenir les putes de la prison, que tout le monde leur passerait sur le corps régulièrement.


Kevin retournait dans le camion, il n'en est pas ressorti avant qu'il soit reparti de la prison.



A suivre



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Cage a bite

 Cage a bite


Il semblerait que ce qui lui avait plu chez moi c'était ma cage. Une jolie petite cage blanche, enfin je dis là des évidences, une cage à bite doit toujours être petite … Une grosse cage, ça ne le fait pas du tout. Celle que je portais réduisait ma queue à pas plus de cinq centimètres de long.


Ce qui m'a fait craqué chez lui c'était sa queue, elle faisait plus de vingt centimètres de long et était plus large que ma cage n'était longue.


Étonnamment il n'avait pas posé de questions. Il m'avait juste dit …


Au moins, là on connaît les rôles de chacun.


Après il a mis en application cette information. On s'était rencontré sur une plage et rapidement on s'est retrouvé chez lui. On remontait de la plage et de fait on n'était que très légèrement vêtu. Il ne nous a pas fallut bien longtemps pour nous retrouver à poil, comme à la plage. Il me regardait de haut en bas, il faisait un sourire étrange.


Il était nu lui aussi, moi aussi je le regardais longuement des pieds à la tête.


Il avait des jambes fortes et une grosse queue qui pendait lourdement.


Il avait des bras musclé et harmonieux et une grosse queue à l'horizontal .


Il avait un beau visage et un sourire éclatant et une grosse queue qui se redressait contre son ventre.


Moi je n'en faisais pas autant. Ma queue restait confinée, bien confinée. La pression augmentait dans la cage et maintenant ça devenait presque douloureux.


Suce ! Me disait-il.


Je ne réfléchissais même pas, je me mettais à genoux et commençais à lui caresser la queue. Doucement, avec la main dans un premier temps. Ensuite avec le bout de la langue, je passais ma langue sous son gland, au niveau de son frein. Il poussait un petit gémissement et je le sentais se retenir de me caresser les cheveux.


Je prenais son gland dans ma bouche et le caressais avec la langue. Je la passais et la repassais au dessus, au dessous, j'insistais un peu au niveau de son frein et insistais au niveau de son petit trou qu'il a tout au bout, un peu comme si j'essayais d'y entrer la langue. Là il finissait par craquer …


Il me caressait les cheveux, doucement au départ puis il appuyait sur l'arrière de ma tête, il appuyait sur ma tête et sa queue s'enfonçait. Je ne résistais pas en fait j'avais un peu la trouille, il était bien monté mais je voulais continuer.


J'aime sentir une belle grosse queue s'écraser au fond de ma gorge, il ne me retenais pas, il savait qu'avec sa grosse queue je risquais de vomir. Si j'essayais de me dégager il me relâchait. Vous savez avec une grosse queue, c'est pas facile tous les jours. Je voudrais vous y voir moi !


Je m'habituais, il testait ma résistance et se laissait aller, peu à peu il me balançait des coups de bassin et je prenais des coups de bite dans ma gorge. C'était un peu affolant c'était terriblement excitant, je ne voulais pas lâcher et plus on avançait plus j'avais de me prendre sa queue dans le cul.


J'écrasais mon visage contre son ventre et je forçais, je gardait mon nez bien enfoncer contre son ventre, je gardais la position le plus longtemps que je pouvais.


Au bout d'un moment c'est lui qui me repoussait, je résistais, sa queue, je la voulais. J'étais bien chaud et au bout d'un moment, je la prenais dans ma bouche et j'arrivais à la garder et à m'en régaler.


Nous allons passer à une autre étape … Redresse toi.


Là j'ai senti comme une boule au niveau de mon estomac. Je me suis relevé, retourné puis penché en avant. Je m'appuyait contre le fauteuil et j'écartais les jambes. Il prenait son temps, il me caressait le corps depuis les épaules, il me caressait tout le dos lentement.


Quand il arrivait à mes fesses, c'est avec les deux mains qu'il me caressait. Avec une main il me tripotait les couilles et s'amusait quelques instants avec ma cage puis il posait une main à plat sur une fesse et glissait un pouce dans mon cul. Je couinais un peu.


Il posait son autre main sur mon autre fesses et glissait son autre pouce dans mon cul. Là aussi je couinais de nouveau. Puis il s'amusait, il glissait ses deux pouces plus fort, plus profond il les agitait, il m'ouvrait le cul, me le dilatait tranquillement, toujours en prenant son temps.


Il en profitait pour bien me lubrifier, je le sentais, plus ça allait plus ça glissait. Puis sans prévenir il positionnait sa queue, me saisissait fermement par les hanches et me tirait vers lui.


Sa queue entrait avec violence dans mon cul, son ventre s'écrasait contre mes fesses, je gueulais. Il ressortait presque aussitôt et revenait avec force. Là j'ai un peu paniqué, il me faisait mal l'animal, je râlais. Lui ne s'en inquiétait pas, il continuait avec toujours autant de conviction.


Il me tirait vers lui et avançait son bassin vigoureusement. Pour lui la situation n'avait rien de bien compliqué. Pour moi, il fallait que j'encaisse et comme je vous le disais plus tôt, il était bien membré. J'en avais vu d'autres, mais là il était entré sans préliminaires, sans vraiment me préparer, enfin un peu avec les pouces mais pour le reste c'était une entrée fracassante.


Et il fracassait tout, il me défonçait méthodiquement le cul, méthodiquement mais sans se préoccuper de moi. Pour lui je n'étais rien qu'un objet de plaisir.


Ça ne me dérangeait pas vraiment remarquez.


Mais il me faisait mal l'animal et je tentais de le retenir, je glissais un bras dans mon dos, il me le saisissait, me le tordait et je me retrouvais encore plus bloqué contre le fauteuil. J'étais plié en deux et ce n'était pas de rire.


Il me limait le cul avec régularité et force. Je ne pouvais qu'encaisser, je râlais aussi, la douleur que j'avais ressenti en premier faisait place à un plaisir qui m'envahissait, qui rayonnait depuis mon cul à tout le reste de mon corps. Je tremblais, il a sans doute pensé que je voulais me dégager et il me retenait avec encore plus de force.


Là il m'a fait peur, il frappait son ventre contre mes fesses et chaque fois un bruit sec raisonnait. Il râlait aussi, moi je gémissait de plus en plus fort. J'avais renoncé à résister, en fait je n'avais pas le choix, j'acceptais donc le chois qui s'imposait à moi … Subir !


Je subissais ses assauts et j'en prenais de plus en plus de plaisir. Avec mon bras libre je me cramponnait et quand il me lâchait mon autre bras, je me cramponnais avec à ce que je trouvais. Je continuais à gémir, il continuait à râler à chaque coup que je prenais.


Je finissais par respirer plus fort et plus vite. Je tremblais de plaisir, et je le finissais par le ressentir dans tout mon corps, mes bras tremblaient sous le plaisir, mes jambes me lâchaient. Lui ne me lâchait pas, il me retenait avec beaucoup de force. Il me soulevait par moment et en profitait pour me donner des coups de bite dans le cul encore plus violent.


Avec ce traitement, je finissais par jouir, j'avais l'impression que je jutais, en fait je restais parfaitement sec mais j'avais vraiment l'impression de juter ! C'était le pied, le plaisir ne diminuait pas et cet orgasme durait. Ce n'était pas un orgasme rapide qui ne dure que quelques secondes, il durait dans le temps il durait et devenait de plus en plus intense.


Il le remarquait, comment autait-il pu ne pas le remarquer, je gémissais, je me tortillais dans tous les sens, je ne tenais plus debout et mes bras étaient pris de gesticulations incontrôlables.


Il jouissait à son tour, dans mon cul. Les coups qu'il me donnait à ce moment étaient particulièrement violents, il râlait de plaisir, il râlait fort et moi je poussais un cri également avant de m'écrouler sur le sol. Il m'avait lâché, j'étais tombé, je jutais généreusement.


Au moment ou sa queue était sortie de mon cul j'avais ressenti un dernier plaisir, un dernier éclair de plaisir. Je jutais et j'avais l'impression que ça ne cesserait jamais, je recevais aussi quelques giclées de sperme dans le cou.


Je me suis alors allongé sur le tapis, il avait un tapis très épais, et on a alors commencé à discuter.


Mieux vaut tard que jamais me direz vous. C'est vrai que je ne connaissais même pas son prénom, c'était Julien.


On a pris le temps de faire connaissance, on s'était allongé l'un à côté de l'autre, il s'amusait avec ma cage et me tripotait les couilles. Ça l'amusait ce genre de truc, il ne lui en fallait pas beaucoup.


J'avais déjà entendu parler de ces truc et je me demandais qui pouvait en porter … Me disait-il.

C'est la mode . Lui répondais-je.

Mais tu ne le portes pas tout le temps.

Heu ! Si …

Tu le retire jamais ?

Oui de temps en temps mais ce n'est pas une obligation.


Il s'allongeait sur le dos avec un large sourire.


Tu sais que tu m'intéresse toi .

Moi ! Et qu'est ce qui t'intéresse en moi ?

On connaît les rôles.

J'aime bien être passif.

Moi je ne suis QUE actif ! Me répondait-il.


On se regardait dans les yeux pendant un moment sans rien dire.


On pourra se revoir ? Me demandait-il.

Avec plaisir !

Même conditions ?

Conditions ?

Tu porteras toujours ta cage à bite ?

Si tu veux !

Je veux que tu la porte tout le temps. Tu m'as bien dit que c'était possible.

Oui c'est possible.

Alors ?

D'accord mais à condition que tu m'encourages.

Et je fais comment ?

Comme tu as fait aujourd'hui, tu t'en es bien sorti.

Je crois que je comprends.

Les rôles sont définis, et on ne revient plus dessus.

Tu n'as pas peur ? Me demandait-il.

Si mais …

Tu me donnes la clé ?


Là je ne répondais plus rien, je réfléchissais à quoi je m'engageais.


OK, je vais y réfléchir ! Répondais-je finalement.

Prends ton temps, je te préviens, je ne libérerai jamais.

C'est sévère !

C'est toi qui propose.

La prochaine fois qu'on se voit.

Rapidement j'espère … Me répondait-il.

Là c'est toi qui dispose.


On s'est revu deux jours plus tard, dans un premier temps on s'est accordé un petit plaisir. Il m'a enculé quoi, pour ceux qui n'auraient pas suivi. De nouveau il s'est amusé avec mes couilles, avec mon dispositif de chasteté puis …


Je lui ai remis les trois clés.


En fait le cadenas en avait deux mais j'avais par hasard deux cadenas qui s'ouvraient avec les mêmes clés, c'est assez rare avec ce matériel. J'en gardais une verrouillée elle aussi mais avec un cadenas en plastique numéroté, un truc à usage unique pour l'ouvrir on le coupe. Comme je lui expliquais, si le besoin s'en fait sentir je pourrai me libérer mais il ne me sera pas possible de le lui dissimuler.


Rapidement il faisait disparaître les clés dans sa poche, je ne savais pas si je les reverrais un jour, je ne savais pas s'il les utiliserais un jour. J'avais comme une grosse boule au niveau de mon estomac.


A cet instant tout change, on ne voir rien de changé mais tout change radicalement … C'est difficile à expliquer .



Fin



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