29 Novembre 2020

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Reste 152
 

L'hiver est là ( ou presque ) des gestes de survie s'imposent et la cheminée en est le premier !  










Jason 13 : Étranges coutumes

Jason 13 : Étranges coutumes




Le repas était surprenant, enfin pour Jason, pour les autres personnes tout était normal.


– Alors comment ton ami a-t-il trouvé Mathias ? Demandait Alexandre, le père de Ludo.

– Trop gros ! Lui répondait Ludo.

– Comment ça trop gros ? Mais enfin Mathias a un physique parfait et pas la moindre trace de graisse ! 

– Trop gros de la bite papa, sinon je crois que le reste lui a plu …


Alexandre se retournait vers Jason qui était tout rouge et piquait du nez dans son assiette. Il était tétanisé le pauvre et à ce moment il redoutait avant tout  qu'on lui adresse la parole, qu'on lui demande quelque chose, il ne savait plus ou se mettre et très étrangement sa queue cessait de  protester dans sa cage. Sur ce point il était à l'aise.


Mais c'était bien le seul point sur lequel il était à l'aise.


Il se demandait dans quel monde il était tombé. Il ne comprenait plus rien, rien ne ressemblait plus à la morale qu'on lui avait enseignée. Il était pourtant chez un membre de la PK qui enseignait cette morale.


– Et bien Jason, si tu me disais, toi, ce que tu en penses de cette affaire. Il n'était pas à ton goût Mathias ?

– Qué , woué , yé sous bat … Bafouillait Jason. 

– Ah oui, tout de même ! Répondait Alexandre.

– Il faut quand même te dire un truc papa … 

– Je t'écoute fils …

– Jason était puceau à la fin de l'année !

– Oui je m'en doute un peu mais puceau … Tu entends quoi par là ? Précise !

– Et bien, il n'avait jamais flirté avec une fille, avec un mec il n'y avait même jamais pensé. Il n'avait jamais touché à un cul qui n'était pas le sien et personne n'avait touché au sien … Cent pour cent PUCEAU !

– Bon ça va, c'est pas la peine d'en rajouter toi aussi. Lui répondait Jason sans relever la tête. Son nez touchait presque son assiette.

– Relève la tête s'il te plaît Jason, on est entre hommes, il ne faut pas te mettre dans cet état. C'est une chose bien naturelle. On est privé de certaines choses on se rattrape sur d'autres …

– Chez pas mé cé po gomme que j'é pencher à voir les sauces. 


Lui répondait Jason qui n'arrivait toujours par à articuler un mot quand il lui parlait et bien sûr sans relever la tête.


– Je suis tout à fait d'accord avec toi Jason . Mais si tu ne relèves pas la tête un minimum, tu va finir par te mettre de la sauce dans l’œil, tu en as déjà plein sur le nez.


Jason relevait enfin la tête, il était tout rouge de confusion et avait une petite trace de mayonnaise sur le bout du nez. Ludo pouffait de rire.


– Ne te moque pas de ton amis espèce de fils d'abruti.


Lui répliquait Alexandre en essuyant avec douceur le nez de Jason, ce qui le faisait loucher.


– Il ne faut pas te formaliser, à la PK les règles de la morale sont assez étranges. Si tu portes un dispositif, tu peux faire ce que tu veux, tu es sans fautes. A moins bien sûr de te faire défoncer le cul sur la place publique. On évite d'en parler en société mais, ici, on est entre  nous !

– On teup bas parler mais t'on peut faire ? Tentait d'articuler Jason.

– C'est tout à fait ça. On ne peut pas en parler mais on peut faire ! Tu as tout compris.

Jason était sonné, il mangeait machinalement, il ne devait même plus savoir ce qu'il mangeait mais de toutes façons c'était délicieux. 


– Ce qui m'étonne un peu, c'est que tu sois amis avec mon fils qui est totalement déluré.

– Je suis pas totalement déluré !

– Tu n'es pas seulement déluré, tu veux dire.

– Meu ! Papa pourquoi tu es méchant avec moi ?

– Mais je ne suis pas méchant avec toi fils, mais il faut quand même reconnaître que tu es déluré. Depuis plus d'un an, à chaque fois que nous avons eu un nouvel employé, tu as absolument voulu l'essayer avant qu'il ne mette le dispositif de chasteté.

– C’est toujours bon de savoir qui on embauche ! Répondait Ludo d'un air dégagé.

– En plus tu collectionnes les godes …

– C'est pô vrai !

– Tu en as combien ?

– Je sais pas moi …  plusieurs … 

– Tu en as douze ! A chaque fois que nous nous rendons à la PK Compagnie, il faut que tu en ramène un nouveau.

– Douze ! Tu es sûr ?

– Oui … Ils sont tous rangé dans ta commode au pied de ton lit, tiroir du bas !


La discussion entre le père et le fils durait encore un moment sur ce ton léger et taquin ce qui finissait pas détendre Jason qui avait repris ses couleurs au moment du dessert.


Jason apprenait que le fabriquant des godes, la société '' Le Manoir '' était une filiale de la société '' Le Château '' qui était à l'origine de la PK Compagnie !


Jason apprenait plein de choses que tous les spécialistes et économistes savaient mais que le grand public ignorait … 


– Au fait fils, comment tu as trouvé le petit dispositif que tu as rapporté de ta dernière visite il n'y a pas deux semaines ?

– Ah celui-là aussi tu l'avait repéré ?

– Mais tu me prends pour qui ?

– Mon papa, mon indiscret papa …

– Ça ne répond pas à ma question.

– Je l'ai pas encore essayé mais de toutes façons il ne doit pas être terrible, il est tout petit …

– Ne te fie pas au calibre mon petit bonhomme, tu vas être surpris. 


Pour terminer Alexandre leur confirmait qu'ils recevraient leurs clés le lendemain mais dans un même temps leur demandait de bien vouloir garder leur dispositif …


– Il va y avoir pendant deux jours une réunion importante ici, avec quelques grands responsables de la PK et je voudrais que vous ne vous fassiez pas remarquer. Ou alors en bien.

– Mais enfin papa !

– Je ne voudrais pas en voir un à poil sans son dispositif autour de la piscine . N'est-ce pas Ludovic !

– Mais enfin papa, j'ai jamais fait ça ! Enfin si mais la dernière fois c'était la veille du jour ou on m'a fait porter ce truc…

– C'est vrai et si je me souviens tu t'étais bien tenu.

– Tu me fais un cadeau pour me remercier d'avoir été sage dis ?


Alexandre préférait ignorer ce dernier commentaire ...


– Si vous portez un maillot de bain, on se posera des questions et si on voit que vous ne portez pas de dispositif ça fera des histoires.


Jason qui avait toujours du mal à articuler se contentait de faire oui de la tête. 


Après le repas les deux jeunes se retrouvaient autour de la piscine.


– J'ose même plus retirer mon maillot de bain ! Expliquait Jason à son ami.

– Mais il n'y a pas de quoi en faire une histoire. Tu t'imagines sans doute que dans la PK School et la PK université les choses étaient différentes à l'époque de nos parents ou de nos grand parents ?

– Non … Enfin si … C'est vrai que je ne m'étais jamais posé la question. 

– Ce que nous vivons, que nous croyons découvrir, ce sont tous ceux qui nous ont précédé qui l'ont inventé.

– Ce que nous croyons découvrir ?

– Parfaitement, je suis allé une fois chez Monsieur Jérémy Brosso. Les employés vivent et travaillent comme ici. Un ancien employé m'a raconté.

– Tu connais Mr J Brosso ! Le grand père de l'autre abruti de Philippe. (Les absents ont toujours tort … Note de l'auteur)

– Oui, mon père le rencontre de temps en temps et le connaît très bien. Il est absolument charmant mais je crois encore plus déluré que moi … C'est tout dire !


Ils finissaient par se retrouver en tenue dans la piscine. Elle était plus petite que dans l'autre propriété mais comme je vous le disais, c'était une maison de ville. 


Ils remontaient un peu plus tard. Ludo passait la serviette autour de lui pour aller plus vite et laissait ses vêtements sur place. Jason faisait pareil. Ils se retrouvaient tous les deux dans la chambre à Ludo.


– Tu me fais voir tes godes dis ?


Sans attendre la réponse Jason ouvrait le tiroir du bas. En effet il  y avait douze beaux godes de toutes les tailles, et au dessus des autres, le dernier. 


– Celui-ci, je ne l'ai pas encore essayé. Expliquait Ludo.

– C'est celui dont ton père parlait ?

– Oui. Tiens prends celui-ci !

– Il est beaucoup trop gros pour moi, ça ne passera jamais.

– Mais pour toi, bourrique, pour moi. Regarde tu le fixes comme ça.


Ludo fixait le gode sur la cage de Jason.


– Il m'a dit que j'étais déluré, il ne faut pas faire mentir ses parents !


Ludo prenait alors dans ses bras son ami Jason qui semblait n'attendre que ça. Lui aussi refermait ses bras sur Ludo. Ils s'embrassaient avec douceur en se caressant avec force puis s'embrassait avec force et se caressaient avec passion. 


La queue en plastique de Jason se relevait presque à la verticale quand la cage qu'il portait se relevait. De nouveau c'était la pression la dedans, mais il faut bien reconnaître que c'était un peu normal. 


Ludo repoussait Jason sur le dos, s’asseyait à califourchon sur son bassin et le caressait partout, l'embrassait partout, puis se rendait compte qu'il tenait toujours dans la main le petit dispositif dont tout le monde parlait. Ça n'avait pas l'air bien méchant ce genre de petit truc, petit diamètre, longueur moyenne enfin bonne moyenne tout de même …


– Tu veux essayer ce truc ? Moi je le trouve trop petit pour moi. Tout le monde en parle il parait que c'est un gros succès depuis des années, un classique …


Jason faisait oui de la tête. Ludo sans plus attendre lubrifiait le bidule, relevait les jambes de son copain et le lui enfilait vite fait. L’objet disparaissait dans le cul de Jason qui n'avait vraiment fait la grimace que quand il était rentré. Ensuite il avait lissé tout seul. Ludo attrapait un téléphone et lançait un programme au hasard.


Il se laissait ensuite tombé sur son camarade qui déjà commençait à gémir de plaisir.


– C'est très agréable ce truc tu sais. Vraiment très agréable !


Ludo caressait son ami et l'embrassait sur tout le corps. Il le sentait trembler de  plaisir mais, c'est vrai qu'il n'était pas habitué aux gros diamètre et c'était donc normal si l’objet lui faisait déjà de l'effet. Ensuite Ludo lubrifiait  généreusement la bite en plastique de Jason et s'empalait dessus.


Jason regardait ça l'air incrédule, il faisait de grand yeux ronds entre deux vibrations et une grimace pendant les vibrations. Les grimaces devenaient de plus en plus horribles à voir. Elles suivaient la force des vibration. Puis un violent coup de bassin lui échappait. Ludo se prenait le gode bien à fond avec force. Il râlait de plaisir mais il râlait … '' Tu pourrais prévenir !''.


– C'est pas ma faute, c'est le truc que … Il terminait sa phrase par un râle de plaisir et donnait en même temps un autre violent coup de bassin.


Ludo regardait le visage de son ami qui se déformait sous l'effet d'un plaisir qui ne cessait de monter. Suivaient plusieurs coups de bassin. Le gode lui éclatait la rondelle, il tremblait d'un plaisir douloureux. Ce plaisir qu'on a du mal à encaisser, qui fait peur quand on est prévenu mais qu'on redemande quand tout est fini. Mais là ça ne faisait que commencer.


Jason se tordait dans tous les sens et assis sur lui Ludo ne pouvait que suivre, là, lui il ne contrôlait plus rien. Ses pieds avaient glissé, ses jambes écartées allongées de chaque côté de Jason l'obligeaient à prendre le gode en entier, il ne pouvait plus que subir.


Ludo demandait grâce et finalement Jason le retournait sur le dos et continuait à le pilonner en suivant les mouvements qu'il ressentait dans son cul. Par moment c'était doux et le plaisir montait, à d'autres moment c'était violent et rapide. Ludo refermait les jambes dans le dos de Jason et encaissait, après les premiers coups qui l'avaient surpris. Il parvenait à encaisser, par moment il semblait ne plus comprendre ce qui lui arrivait, mais il tenait bon.


Les deux garçons se caressaient, s'embrassait. Les mouvements de bassins devenaient plus lents, puis tout reprenait. Par surprise sans prévenir. Jason semblait pleurer sous l'effet du petit monstre qu'il avait dans son ventre et convulsait. Il entraînait dans ses convulsions son ami Ludo, qui ne devait pas s'attendre à ça et devait regretter le choix du gode qu'il avait fixé lui même à la cage de son ami. '' Plus petit, j'aurais du prendre plus petit '' se disait Ludo. Surtout qu'un gode ça ne débande pas, ça ne débande jamais.


Ludo jutait, Ludo jouissait mais il avait du mal  aussi. Il avait par moment des gestes réflexes pour se dégager mais Jason pris d'une véritable fièvre diabolique se cramponnait à lui. Il jutais lui aussi, ou plutôt il avait juté, il avait joui. Maintenant ce n'étaient plus que des convulsions désordonnées, ce n'était plus que de la folie. Il avait l'impression que son cœur allait lâcher, qu'il allait étouffer, s'évanouir quand tout cessait. Dans son ventre tour redevenait calme. Le programme venait de prendre fin.


Il se laissait retomber sur son ami, ils étaient en sueur, ils tremblaient encore, Ludo se dégageait en le repoussant et Jason s'écroulait à côté de lui amorphe. Ils n'avait plus la force de se relever et de tenir debout. Il leur a fallut un moment avant de réagir.


– Mais c'était quoi ça ? Qu'est ce qui t'a pris ? Demandait Ludo complètement hagard.

– C'est ton truc là, que tu m'a mis dans le cul. C'est un truc de malade je ne te dis pas. 


Ludo prenait son téléphone pour voir quel programme il avait choisi.


– Arrête ! Hurlait Jason complètement paniqué. Ne le relance pas je t'en supplie !


Le programme du dispositif indiquait : Programme sept (sur dix) , Délices des enfers.


Ludo regardait son ami qui ne récupérait que lentement et se souvenait de ce que son père lui avait dit … '' ... Ne te fie pas au calibre mon petit bonhomme, tu vas être surpris … ''




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


Jason 12 : Le père de Ludo

Jason 12 : Le père de Ludo




Arrivait enfin le grand jour. Les bagages étaient dans le coffre de la rolls, le chauffeur était habillé comme pour une soirée de gala et nos deux lascars étaient eux aussi habillés comme s'ils allaient partir pour la fac. Depuis les souliers vernis jusqu'à la cravate …


''  Et tout ça juste pour un déplacement en voiture ! '' se disait Jason. Mais bon, même si depuis deux semaines, c'était la première fois qu'il s'habillait, ça le ramenait à la réalité. Ça lui rappelait que dans le monde normal on ne se balade pas à poil à longueur de journée.


Ludo était décontracté.


– Papa n'a pas voulu nous envoyer l’hélicoptère. Quand il ne veut pas quelque  chose celui-là ! Je te jure !

– Mais il habite si loin que ça ? 

– Neuf cent kilomètres …

– Mais on ne fera jamais la  route en une journée ! Enfin sauf si c'est ta mère qui conduit …

– Et tu sous entends quoi sur la manière de conduire de ma maman, toi ? 

– Oh rien, je n'oserais pas !


Jason se souvenait de son arrivée, elle était au volant et le plus souvent le compteur annonçait une vitesse supérieure à deux cent kilomètres heure. Il était rapidement rassuré sur la durée du voyage quand ils sont arrivée sur la voie rapide … Le chauffeur roulait encore plus vite que madame. Mais dans ce genre de voiture on ne sentait rien, ni vibration, ni bruit, ni la moindre secousse … 


A midi ils faisaient une pause dans un restaurant de luxe, ils avaient déjà fait plus de six cent kilomètres, et il était encore tôt dans l'après midi quand ils arrivaient à destination. 


La voiture entrait lentement dans la propriété. C'était une grande maison de ville, le parc était minuscule à côté de celui qu'ils venaient de quitter, mais là aussi il y avait une piscine. Deux employés venaient leur ouvrir la portière,  Ludo sortait comme un fou sans laisser à l'employé le temps de réagir, Jason ne réalisait pas trop quand la portière s'ouvrait.


Ludo avait sauté au cou de son père pour l'embrasser et le saluer. Jason restait frappé par la ressemblance. C'est simple, c'est les deux mêmes mais l'un en plus jeune. '' Il aurait eu du mal à ne pas reconnaître son fils '' se disait Jason. 


Alexandre, c'était le  nom du père de Ludo, donnait à Jason une poignée de main ferme et virile.


– Considère toi comme chez toi ici mon garçon !

– Je suis très heureux de vous connaître monsieur.

– Alexandre s'il te plaît Jason, Alexandre !

– C'est mon papa ! Rajoutait Ludo . Et je jure, j'ai pas été cloné !


Jason éclatait de rire.


– Mais je ne pensais pas à ça !

– Pourtant on me l'a déjà demandé très sérieusement. Rajoutait Alexandre !


On conduisait les jeunes hommes dans leurs chambres. Elles étaient côte à côte au premier, et partageaient le même balcon. Le chauffeur rangeait la voiture, il ne repartirait que le lendemain matin. Ludo faisait visiter la maison, et quand ils arrivaient à leurs chambres les valises étaient rangées et un costume les attendait. Ludo avait prévenu.


– Ici on s'habille pour passer à table.

– On peut pas se promener comme chez ta mère ?

– A poil tu veux dire ? Enfin il y a toujours la piscine, la salle de sport qu'on partage avec le personnel, et tout le fond du jardin destiné aux activités sportives …


Jason inspectait le costume en se demandant comment ils avaient eu sa taille exacte quand Ludo entrait dans sa chambre.


– Allez, mets un short, on va au sous sol !


Jason suivait sans poser de question.


– Papa à mis à notre disposition un entraîneur masseur, tu vas voir, il est divin.

Il y avait là un homme bien bâti, belle carrure, son mètre quatre vingt dix, les cheveux frisés, un sourire ravageur et une peau bronzée à souhait. Il y a encore peu de temps en voyant un tel gaillard Jason se serait dit … '' Bel Athlète ! '', mais là il se disait '' Wouahhh le mec, il est canon ! ''. Il avait un peu changé ces derniers jours sur sa façon de percevoir les gens notre ami Jason.


Ludo présentait rapidement Mathias puis passait sous la douche suivi de Jason qui avait du mal à détacher ses yeux du beau mec de service et glissait à l'oreille de Ludo …


– Je trouve presque dommage que ce gars porte lui aussi un de ces dispositifs.

– Ah ouai ! Éh, éh. Mais tu sais bien que c'est la règle pourtant.


Jason sentait sa queue se révolter et prendre rapidement toute la place, tout le peu de place qu'il y avait dans la cage. En quelques instants ça devenait désagréable. Ludo était dans le même état.


– Allez on s'allonge leur lançait Mathias.


Il y avait deux tables de massages qui les attendaient. Les deux jeunes y prenaient place, ce n'était pas une première vous devez vous en douter. Ils étaient habitué à ce genre de traitement mais pour Jason, ça ressemblait à une première, ça avait le goût de la première. C'était bien la première fois qu'il prenait place en regardant le masseur comme il le faisait à ce moment. Ce n'était pas vraiment au massage que Jason pensait en voyant le corps magnifique de Mathias, il portait un de ces T-Shirt avec des grande ouverture au manche et au cou et juste un short court qui ne dissimulait pas une jolie bosse à son entre-jambe.


De nouvelles protestations de sa queue se manifestaient quand il s'allongeait, et préférait finalement se mettre sur le ventre. Comme si ça devait changer quelque chose. 


Mathias commençait par caresser Jason en premier. Les caresses étaient fortes, elles devait faire travailler les muscles. Mathias s'y prenait avec expertise, rapidement Jason se sentait détendu, un peu comme si ses muscles s'était disloqués pour mieux pouvoir se détendre chacun de leur côté. Mathias passait alors à Ludo.


Ludo lui aussi se laissait faire mais si Jason était resté silencieux, lui, il gémissait de plaisir. Mathias revenait à Jason pour un moment et retournait vers Ludo. Il faisait ainsi la navette à un rythme très calculé.


– Tu pourrais te mettre torse nue dis moi Mathias ? Qu'on puisse admirer ta très belle musculature.


Sans faire plus de manière Mathias retirait le haut. Jason rigolait en voyant ça.


– Bein quoi ? S'exclamait Ludo.

– Et pourquoi tu ne lui demande pas de se mettre à poil au point ou tu en es ? Lui répondait Jason. 

– S'il n'y a que ça pour vous faire plaisir Mr Jason. Répondait Mathias en retirant ce qui lui restait sur lui. 


Jason restait sans voix, il le regardait de dos en admirant ses fesses. La musculature de Mathias était parfaite, ni trop, ni trop peu. Jason avait le cœur qui battait fort, c'était nouveau comme sensation ça, juste en regardant un homme nu. Sa queue protestait toujours, elle refusait de se calmer, ça aussi c'était nouveau. Enfin c'était pas la première fois mais il y a peu encore ça ne durait jamais aussi longtemps quand il était en présence d'hommes uniquement. 


Jason voyait toujours Mathias de dos, il massait Ludo. 


– Maintenant on se retourne sur le dos !


Lançait Mathias et en même temps se retournait vers Jason qui avait du mal à retenir un gloussement. Le masseur était entièrement nu, ne portait pas de dispositif de chasteté et avait une très belle érection de très belle taille. 


Là Mathias devenait plus coquin. Il massait le bras de Jason puis le reposait en prenant soin que la main de Jason vienne lui caresser la bite et les couilles. Le dispositif que portait Jason se redressait avec force et quand Mathias lui massait le haut des cuisses il semblait s'en amuser.


Il faisait la même chose à Ludo qui lui, plus dégourdi ne se privait pas de tripoter les couilles et la bite que son masseur mettait à sa portée. Jason était en sueur en voyant ça ! Il ne comprenait plus rien, et les règles morales de la PK alors ? Ça ne voulait rien dire ici ? Il n'avait toujours pas compris le pauvre Jason … '' Tant qu'au moins un des participants porte une cage lors de l'acte sexuel … C'est moral ''. 


Mathias revenait de nouveau vers Jason et pour lui la seule partie de son corps qui restait définitivement tendue était dans une petite cage et ne risquait pas d'en sortir. C'était la pression maximum, et c'était l'enfer. 


Quand il se retournait vers Ludo, celui-ci lui glissait quelques mots à l'oreille avant de se retourner sur le ventre. Jason ne loupait rien de la scène il ouvrait de grands yeux tout ronds.


Mathias recommençait le massage mais cette fois-ci ses mouvements semblaient plus doux, et en plus il se concentrait sur les fesses de Ludo et le haut de ses cuisses.


Ses mains, ses doigts glissaient entre les fesses de Ludo qui gémissait de plaisir et en redemandait. 


– Monsieur Jason voudra-t-il le même service ? Demandait Mathias.

– Ghé, gueu , nœud … Arrivait difficilement à articuler Jason.

– Nous verrons tout à l'heure. Rajoutait Ludo.


Quand la main de Mathias s'arrêtait juste en dessous des fesses de Ludo, Jason se disait qu'il devait y avoir une bonne raison et comprenait rapidement que la chose devenait sérieuse. Surtout que Ludo commençait à gémir plus fort.


Mathias lui glissait avec douceur un doigt puis deux dans le cul et commençait à lui masser la prostate. Avec l'autre main il lui caressait le dos, et le côté de son torse. Ludo semblait aux anges, il se repliait, attrapait les couilles de son masseur qui comprenait ce qu'il voulait faire et se rapprochait pour le laisser lui sucer la queue. 


Jason n'en revenait pas, il n'avait encore jamais vu son copain sucer une queue. Mais c'est qu'il faisait ça bien et ce jeux durait un long moment. Sa queue à lui protestait toujours, c'est sans s'en apercevoir qu'il s'était allongé sur le côté et avait replié son bras pour reposé sa tête. Lui l'avait fait sans même y penser mais les deux autres avaient remarqué le mouvement et Mathias le regardait avec un sourire complice.


Ludo écartait bien ses cuisses et arrêtait de sucer le masseur qui prenait alors position entre ses cuisses. La table est exactement à la bonne hauteur, et Mathias lubrifiait abondamment puis glissait sa queue dans le cul de Ludo. Jason regardait ça stupéfait, ses yeux lui ressortaient de la tête mais il ne loupait rien. Son cœur battait fort, sa respiration devenait irrégulière et sa queue protestait sans vouloir jamais se calmer.


La queue de Mathias était de très belle taille mais elle glissait sans résistance et s'enfonçait en entier. Quand le ventre de Mathias s'écrasait sur les fesses de Ludo, il poussait de toutes ses forces. Ludo hurlait de plaisir. Puis il se retirait pour mieux revenir. 


Jason manquait d'air mais ne loupait rien. Il aurait bien voulu prendre la place de son copain mais en voyant la taille de la queue du masseur il était terrifié. Le seul gode qu'il s'était pris était de taille bien plus modeste. Mais il en bavait d'envie.


Mathias finissait par s'allonger entièrement sur le dos de Ludo, l'écrasant de tout son poids. Ludo est costaud, jeune et musclé et non seulement il n'en souffrait pas mais il appréciait. Mathias relevait puis appuyait son bassin, sa queue sortait puis rentrait de nouveau bien à fond. 


Les mouvements lents au début qui n'arrachaient que de petits gémissements à Ludo finissaient par devenir rapides et violents et lui arrachaient alors des cris de Plaisir. Jason tremblait et frissonnait, il était toujours entre deux sentiments, il avait envie de … Mais il avait peur de … Et quand je dis peur, en voyant la queue de Mathias ressortir, c'était à la limite de la panique.


Les coups devenaient violents. Mathias se retirait lentement puis revenait avec force et violence. Ludo hurlait de plaisir. Puis les mouvements sont devenus irréguliers, violents, Mathias ne se retenait plus. La cervelle de Jason était en feu. Pour Ludo, c'était son cul qui était en feu, il gueulait de plaisir il jouissait et Mathias jouissait aussi. 


Mathias s’effondrait sur le dos de Ludo, plus personne ne bougeait pendant un long moment, Jason s'effondrait sur le dos et regardait le plafond. Son souffle était fort et irrégulier, un peu comme si c'était lui qui y était passé.


Un moment plus tard Mathias se relevait essuyait Ludo, s'assurait que Jason allait  bien.


– Nan moi peux pas ! Pas ma taille moi … Peux pas ! Bafouillait Jason .


Mathias les laissait ainsi un petit moment puis les conduisait à une grande baignoire qui faisait des bulles. Il les installait là, leur servait un verre de jus de fruit et les laissait tremper.


Jason ne comprenait plus rien il était plein de frustration, Ludo était aux anges, il avait pris son pied.


Plus tard Mathias revenait avec deux peignoirs.


– Il va être l'heure de passer à table, il va falloir penser à  monter vous habiller !


C'est un peu sonné que Jason se levait, se couvrait et montait dans sa chambre. Ludo lui, avait la forme et il était content. Sa cage pendait lourdement entre ses cuisses alors que celle de Jason se redressait en marque de protestation .


Heureusement que ces dispositifs sont très discret même quand la queue qu'ils confinent se révolte sinon Jason n'aurait pas été présentable. Pendant toute la soirée sa queue a protesté, elle l'a empêché de dormir, et ne s'est calmée que très tard dans la nuit, à ce moment il a pu s'endormir …




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22 Novembre 2020

 







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