Lionel Ep01
Premier
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Lionel
avait rejoint l'équipe de l'entreprise depuis un mois, pas plus. Ça
ne devait pas faire plus de six mois qu'il travaillait avec nous.
Rapidement on l'avait appelé Lio. Aucun rapport avec la célèbre
chanteuse, ho non, ce n'était qu'un diminutif. Il était de taille
très moyenne avec son mètre soixante dix, un tout petit peu plus
grand que moi.
Il
était trapu, épaules bien larges, musclé mais gardait des formes
arrondies très douce qui lui donnait une allure très attirante. Il
avait une bonne tête et un sourire très doux.
Non
je n'était pas amoureux de lui mais c'est vrai qu'il n'en aurait
peut être fallu beaucoup. Il devait avoir vingt trois ans, pas plus,
un an de plus que moi et il était marié. Déjà marié.
Je
ne comprends pas ces gens qui se marient jeunes comme ça. Mais c'est
peut être parce que moi je n'ai pas encore trouvé l'homme de ma
vie. Enfin lui, c'était avec une femme qu'il était marié. Nous
étions les plus jeunes de l'équipe.
Ce
jour là, je pensais être le dernier à partir. On avait bien
transpiré, il avait fait chaud. Je décidais de prendre une douche
sur place avant de partir. Comme j'étais seul, sous la douche je
baissais ma garde.
J'avais
toujours réussi, oh sans difficulté, personne en effet à part moi
ne jouait les voyeurs, donc j'avais réussi à cacher à tous que le
portais un dispositif de chasteté. Comme tout les jeunes hommes dans
ma communauté je l'avais mis à l'âge de seize ans, pour mon
anniversaire. C'était une sorte de passage à l'âge adulte. J'étais
resté puceau, je n'avais jamais flirté, mais c'était bien les
hommes, et uniquement les hommes qui me faisaient vibrer. Selon nos
règles morales, c'était permis mais à condition de garder le
dispositif. Deux hommes portant en permanence un dispositif de
chasteté ne pouvaient que rester sages et leurs amours ne pouvaient
que rester un pur échange affectif. Ça c'était permis.
Sinon,
la clé était donné à la femme le jour du mariage et elle seule en
disposait. Je ne faisais donc pas d'illusion, je risquais de garder
ce dispositif très longtemps. Mais ça ne me dérangeait pas.
J'avais même fini par en tirer un véritable plaisir, quand je
bandais je sentais ma queue confinée dans une cage en titane,
indestructible mais confortable.
Je
vous disais donc que comme j'étais le dernier à passer sous la
douche, je baissais ma garde. Le chef de groupe était à l'autre
extrémité du bâtiment qui était très grand, il vérifiait les
stocks ou je ne sais quoi.
Pour
une fois donc je prenais ma douche dans la grande salle et non dans
une cabine, il y en avait tout un tas pour les plus timides. Je
laissais l'eau couler sur mon corps et je me détendais.
– Il
n'y a plus que nous on dirait !
Cette
phrase résonnait dans la salle, je sursautais, sous l'effet de la
surprise je me retournais exhibant ma nudité particulière. C'était
Lio. Il entrait dans la grande salle de la douche entièrement nu,
totalement magnifique, son corps avec ses formes douces, ses muscles,
il en avait croyez moi.
Et
une très jolie petite bite qui se balançait, j'avais une grosse
paire de couilles, c'était l'effet anneau. Un effet très connu des
porteurs de cage de chasteté, il avait une jolie paire de couilles,
pas si grosses que les miennes et avait cédé à la nouvelle mode,
son sexe était épilé.
Sa
queue n'était pas si petite que ça finalement, mais c'est vrai
qu'il était était trapu. Sa bite aussi. En position repos total,
elle devait déjà faire plus de quatre centimètres … De large, je
vous rassure ! Elle ne devait pas faire plus de dix centimètres
ou pas beaucoup plus.
Il
restait tétanisé devant moi, il regardait mon dispositif. Là j'ai
senti que je devenait tout rouge. Par réflexe je mettais mes mains
devant mon sexe.
– Mais
c'est quoi ça ?
– En
fait, je suis un puritain.
Il
connaissait, tout le monde connaît. Vous aussi je suppose !
C'est considéré comme une secte mais en fait nous sommes bien plus
que cela, mais bon je ne vais pas faire de prosélytisme ici, ce
serait totalement déplacé.
– Fais
voir ! Me demandait-il.
J'écartais
les mains et, je devais être rouge comme une cerise bigarreau, mais
ce n'est pas à mon visage qu'il faisait attention.
– Mais
tu n'as plus de bite ?
– Si
mais c'est vrai qu'elle ne prend pas beaucoup de place.
Au
dessus de mes couilles, il y avait la petite cage. Mes couilles
s'étaient resserrées et remontaient jusqu'à la cage ne la
dissimulant. Il regardait mon dispositif avec une grande attention.
– Tu
m'excuse mais c'est ma première fois que je vois un truc pareil,
j'en ai entendu parler bien sûr mais … Wouaaa !
Je
ne savais plus trop quoi faire, je me passais du savon sur les
couilles, sur la cage, enfin un peu partout, c'est vrai qu'on était
dans les douches. Un peu normal quoi. Je le regardais, son corps très
harmonieux me plaisait, il était vraiment très beau et si j'avais
l'habitude de voir des hommes torses nue, entièrement nu, c'est plus
rare. Un peu sous la douche mais sans trop oser regarder.
Là
il était nu, intégralement nu en face de moi, du regard je
parcourais son corps en m'attardant sur son sexe. C'est ce que l'on
cache d'habitude, et c'est aussi ce qui nous obsède tous, puritains
ou pas. Au début j'ai bien cru que c'était une impression mais il
me semblait que sa bite pendait plus fort. Je veux dire qu'elle
prenait de la longueur, et se balançait avec un peu plus
d’expansion.
Ses
couilles ne bougeaient pas mais sa queue s'allongeait, rapidement il
fallait bien se rendre à l'évidence, ce n'était pas une
impression. Son gland circoncis brillait et se gonflait. Rapidement
il dépassait les cinq centimètres de larges. C'était
impressionnant.
Ma
queue protestait, je portais le dispositif depuis plus de six ans
mais ça ne changeait pas, je bandais toujours et ma queue déjà
confinée dans une cage pas très grande se retrouvait écrasée dans
une cage bien trop petite.
Pour
moi, rien ne se voyait, ou presque, c'est à peine si mon dispositif
se relevait. Pourtant il y avait de la pression dedans, c'était de
la folie. Mais pour lui sa queue se relevait, elle s'allongeait
aussi, elle doublait presque en longueur et arrivait à six
centimètre de large, son gland suivait, il atteignait lui aussi les
six centimètres de large.
C'était
impressionnant. Ça je ne l'avais jamais vu.
Il
faut dire que dans mon milieu, on ne passe pas son temps à à se
montrer à poil devant tout le monde. J'avais choisi de vivre en
dehors de ma communauté mais je restais membre.
Je
restais là, immobile incapable de réagir, j'étais sous le charme.
Il me regardait.
– Je
ne savais pas que c'était aussi beau un tel dispositif. Me
disait-il.
– Tu
en veux un aussi ? Bafouillais-je.
– Oulala
non ! Mais je veux dire qu'un mec qui porte un truc pareil peut
être vraiment beau. Mais c'est pas pour moi !
– C'est
moi qui te mets dans cet état ? Lui demandais-je en fixant son
pénis qui se relevait maintenant presque à la verticale contre son
ventre.
Là
il regardait son sexe mais ne répondait pas. Il avançait jusqu'au
milieu de la salle et enclenchait une douche, à un mètre à peine
de moi. Il commençait à se savonner le corps. Je continuais là ou
je m'étais arrêté.
On
se regardait dans les yeux mais pas que. Mon regard suivait les
mouvements de son corps, il avait comme je vous le disais des formes
harmonieuses, musclé mais doux, pas du genre bodybuildé. Mais
c'était du sérieux, je l'avais vu au travail, j'avais déjà
remarqué ses muscles au travail.
On
ne se montrait pas à poil mais il n'y avait aucun trouble à se
montrer torse nue.
Un
peu comme à ce moment, enfin c'est vrai que là, on n'était pas
torse nue, pas seulement torse nue.
Sa
main caressait son torse, son ventre ou on pouvait deviner les formes
de ses muscles. C'est imperceptiblement que je me rapprochais de lui,
il en faisant de même, ou alors c'est que je le souhaitais, que je
le rêvais. Pensais-je au début .
Je
finissait par me retrouver à porté de main. Je tendais alors la
main vers son torse, je tremblais, si j'osais ce serait alors pour
moi la première fois que je toucherais un homme. Il ne bougeais
pas, il laissait faire ou alors c'était le rêve que je faisais.
Sa
peau était douce, il y avait des traces de savon, ma main glissait
sur sa poitrine. Ou alors … Mais non ce n'était pas un rêve, sa
main se posait sur la mienne et me réveillait, ce n'était pas un
rêve, c'était bien mieux.
Il
tendait sa main vers moi et me caressait les couilles. Je n'avais pas
osé commencé par là mais lui ne s'embarrassait pas, il me tâtait
les couilles.
– C'est
doux, sans les poils c'est doux, j'aime bien moi aussi. Avec la cage
c'est dur, ça m'a l'air bien gonflé.
Je
me décidais à lui tâter les couilles moi aussi, lui aussi avait
les couilles bien douces, bien épilées, mais lui elle tombaient
comme deux petit sacs bien pleins. Même s'ils étaient bien plus
petits que les miens.
Juste
au dessus il y avait sa queue, énorme, massive et bien ferme,
fièrement redressée et plaquée contre son ventre. Il n'avait
pratiquement pas de poil sur le corps. Tout comme moi.
Il
s'approchait de moi, chacun passait du savon sur le corps de l'autre.
C'était un échange de tendresse que nous partagions à ce moment.
– Au
moins avec toi on sait qu'on ne risque rien si on se penche pour
ramasser son savon. Disait-il en rigolant.
– On
a rien à craindre de moi ! Lui répondais-je.
Ma
main descendait le long de son ventre, arrivé à la bonne hauteur je
saisissais sa queue et caressait en refermant une main sur lui. Comme
je me souvenais que je faisais six ou sept ans plus tôt quand je me
masturbais encore.
Ma
main glissait avec légèreté avec le savon, et déjà je
l'entendais gémir de plaisir.
Tu
as de l'expérience ? De demandait-il.
C'est
la première fois que je touche le corps d'un homme ! Et toi ?
C'est
une première pour moi aussi.
Nous
nous regardions dans les yeux, je lui caressais la bite il me
caressait les couilles et me les massait avec une certaine fermeté.
C'était bon. Nos visages se sont rapproché, et avec douceur nos
lèvres se touchaient.
Il
avait des lèvres très douces, sa langue glissait dessus et glissait
sur les miennes. Je lui rendais cette caresse. Nos corps continuaient
à se rapprocher. Nos torses s'écrasaient l'un contre l'autre, je
refermais mes bras sur lui, il en faisait de même. Nous partagions
alors une étreinte passionnée et terriblement chaud.
L'eau
ne coulait plus, le moindre bruit résonnait dans la salle et une
voix.
– Il
reste encore quelqu'un ?
Cet
appel nous à réveillé, on sursautait, on enclenchait la douche
pour se rincer, il ne nous fallait que quelques secondes et quand le
chef d'équipe arrivait il nous trouvait avec une serviette autour de
la ceinture. Lio avait refermé la sienne autour de son ventre pour
ne rien montrer. Moi je n'avais pas grand chose à cacher, c'était
peut être surprenant mais c'était discret.
– Vous
n'êtes pas encore partis tous les deux. Tout va bien ?
– Tout
va bien chef ! Répondait Lio.
Le
chef faisait le tour des installations.
– Bien,
il ne reste plus personne ici, vous êtes les derniers.
Quand
il repassait j'avais eu le temps de sauter dans un pantalon et de
glisser dans un T-shirt. Sans sous vêtement, c'était plus rapide,
plus facile. Et puis, j'en avais un sous vêtement, il était en
titane et rigide mais j'en avais un.
Je
laissais Lio se débrouiller, mon instinct me disait que ma présence
ne pouvait pas l'aider, bien au contraire. Et je discutait avec le
chef tout en l’accompagnant vers la sortie. Lio serait plus
tranquille pour s'habiller, lui, il avait une saucisse de vingt
centimètres sur six à ranger dans son pantalon.
Il
nous rejoignait quelques minutes plus tard, il arrivait un peu
débraillé, sa chemise dépassait de tous les côtés. Le chef
fermait les installations et nous saluait. Nous repartions vers le
parking.
– Tu
en a mis du temps pour rester débraillé. Lui faisais-je remarqué.
Il
soulevait alors sa chemise et montrait une forme allongée de grosse
taille qu'il n'était pas parvenu à ranger comme il fallait.
– Pas
trop le choix ! Rajoutait-il.
Je
montais dans ma voiture, il s'approchait.
– Ma
femme est absente pendant quelques temps, sa sœur vient d'accoucher,
ça te tentes de venir boire un verre ?
A
suivre
N'hésitez surtout pas à me
laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …
@CharlyChast