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                         Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.  

                                     

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Lionel Ep03
Ce soir c'est chez moi




TEXTE A VENIR

Lionel Ep04
Mais ça fait mal

   

    On l'avait surnomé Lio ( il s'appelait Lionel ) et il était nouveau dans l'entreprise. On avait aussi une équipe de sport et Lio venait de  nous y rejoindre. Comme je jouais les voyeurs, j'ai vite remarqué qu'il avait une très grosse queue, que c'était lui le mieux monté de toute l'équipe ... 

Prévu pour le 20 04 2024



BRICOLAGE
  

Do it "yourcherlfe" , comme ils disent les américains ...












IL ETAIT UNE
FOIS
Pour une fois c'est pas une fiction, c'est du vécu raconté
avec passion, émotion, rythme ... 
Et en plus il y a des images ... 



Les pages sont reliées ( à la main )
par groupe de 5


Toute la famille Brosso
Djé  -  Antoine  -  Philippe  -  David

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Bonne lecture et surtout n'hésitez pas à me retrouver sur

TWEETER

@CharlyChast



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Lionel Ep03 Ce soir c'est chez moi

 Lionel Ep03

Ce soir c'est chez moi


Après cette soirée nous nous retrouvions le lendemain au boulot mais quelque chose avait changé. On ne se regardait plus tout à fait de la même manière.


J'avais une érection permanente. Bien sûr ne je pouvais pas bander, et pour cause, mais ma queue à commencé à se révolter dès que je l'ai vu. Il était habillé et on pouvait pas deviner qu'il avait une bite énorme mais c'est à ça que je pensais pendant toute la journée.


On s'est retrouvé lors de la pause, on discutait, et devinez de quoi.


Tu sais moi je suis pas comme ça, c'était la première fois avec un mec. M'expliquait-il.

Moi c'est pareil !

C'est ta cage, tu m'as fait craquer.

On recommence quand tu veux. Moi c'est ta grosse bite qui m'a fait craquer.


Je l'observais, je le surveillais presque mille questions tournaient en boucle dans ma tête.


D'abord je me pausais des questions sur sa taille. Il ne me semblais pas que ma bite était aussi grosse que ça. Mais c'est vrai que ça faisait quelques années que je n'y avais plus accès.


Et puis il y avait ce rêve, celui de me la prendre dans le cul, ça devait faire mal, je risquais peut être ma vie là.


Puis je m'en moquais, mes idées continuaient à tourner en rond dans ma tête. Je revoyais sa queue, son énorme queue et je rêvais à lui. La journée se terminait péniblement. Nous nous retrouvions sous la douche à la fin de la journée. Je prenais ma douche dans une cabine, personne ne faisait attention, je faisais toujours comme ça.


Quand j'en ressortais, j'avais déjà mis mon slip, et je voyais les autres qui eux se baladaient à poil. Là je vous jure que j'ai comparé. Il fallait bien que je me rende à l'évidence, Lio était bien plus gros que les autres.


L'idée d'être le plus petit et lui le plus gros me traversait l'esprit et je m'en amusais.


Lio venait me voir pendant que je terminais de m'habiller, il était à poil, sa queue se balançait lourdement et je tremblais de le sentir nu si près de moi. J'avais presque le vertige.


On se retrouve chez toi ? Tu m'attends, et je te suis.

Chez moi ?

J'aimerais bien savoir ou tu habites. Ça ne te poses pas de problème ?

Non, je ne recevrai personne de ma communauté.


Il en voulait encore, moi je me souviens je ne me masturbais pas tous les jours. Je me donnais du plaisir moins d'une fois par mois. Mais les hommes le font tous les combien ? Pas tous les jours tout de même. Ce n'est pas bon pour la santé, c'est de la folie.


Mais voilà, c'était une folie douce et je n'osais pas lui refuser, il m'attirait tellement. J'habitais environ à la même distance que lui de l'entreprise mais pas dans la même direction.


J'habitais moi aussi à la campagne, moi aussi j'avais une maison et un jardin sans vis à vis. C'était calme. Il regardait bien la maison, comment elle était installée.


Tu n'as pas de voisins ?

Non, pour ça, c'est comme chez toi. On peut se balader à poil.

Alors ne nous en privons pas !


J'avais à peine le temps de réagir que je voyais sa grosse bite se balancer lourdement entre ses jambes, il était déjà à poil. Je me sentais tout bizarre, mon cœur battait fort soudainement. Tout mon corps tremblait, et tout particulièrement ma queue dans sa cage se manifestait. Je la sentais protester, je la sentais qui poussait contre les barreaux. C'était une situation à laquelle j'étais habitué mais rarement avec une telle intensité. J'aimais bien, c'était bon.


Il visitait la maison, il était décontracté avec sa grosse queue qui le précédait. Je ne dirais jamais assez comment elle était belle et lourde. Il ne bandait pas mais déjà elle prenait beaucoup de volume.


Je me déshabillais à mon tour, il revenait me regardait, me souriais et je voyais sa queue se relever. C'était bien ma cage qui le stimulait. C'était bien sa grosse bite qui me stimulait. Dans ma cage la pression était à son maximum, c'était à la fois agréable et désagréable.


Agréable oui, c'était une simulation intense, cette queue me donnait l'impression que mon cœur allait exploser, je sentais un malaise, un malaise très agréable. Mes sensations étaient contradictoires.


C'était désagréable, c'était frustrant avec délectation. Cette frustration était devenue une compagne qui ne me quittait pas depuis maintenant quelques années. Mais il n'y avait jamais une telle stimulation, c'était la première fois que j'approchais un homme, que j'approchais sexuellement un homme.


Tu as de la bière ?


J'allais en prendre deux dans le réfrigérateur, et je les apportait sur la terrasse, on se mettait à l'ombre et on s'installait. Sa queue se redressait avec force, c'était spectaculaire. Il s'enfilait une grande gorgée de bière, me regardait. Son regard était profond et j'y décelait un certain désir.


Je frémissais moi aussi, je tremblais, tout mon corps tremblait. J'avais envie de baisser les armes, de ne pas me défendre de le laisser s'amuser avec moi, de le laisser faire ce qu'il voulait de moi.


Je sentais sa main sur mes couilles, il ne m'avait pas ni prévenu ni demandé. Il s'amusait avec mes couilles, il me tripotait, avec ses doigts il explorait ma cage, il glissait un doigt dans les fentes d'aération et semblait trouver ça très amusant.


Tu ne peut pas retirer ton dispositif ?


Je faisais non de la tête.


Puis il me saisissait les couilles et s'amusait avec un peu plus de fermeté, il tirait légèrement dessus, il refermait sa main dessus, il me les écrasait aussi, il me faisait un peu mal mais je le laissait faire. Je m'installais plus détendu dans le siège et j'écartais les cuisses.


Je finissait par tendre ma main et lui caressait les couilles. C'était une sensation étrange, contrairement à moi, il avait de petites couilles, elle étaient bien fermes. Les miennes sont grosses et pendent mollement, sous l'effet de la chaleur elle se décontractaient, le froid les contracte mais là il faisait chaud.


Ma main finissait par lui saisir la queue et je commençais à le masturber. J'y allais avec douceur, il me lâchait et je l'entendais gémir.


Suce ! M'ordonnait-il.


Je ne faisait pas répéter et me penchais sur lui, avec la langue je lui caressais le gland, il était sec, doux et brillant, et je sentais sa queue se contracter.


Ensuite je penchais un peu plus la tête et je tentais de prendre son gland dans ma bouche. Ça passait mais ça passait juste, il était large. Je refermais les lèvres et son gland se trouvait tout à fait à son aise, bien confortablement installé. Je prenais le plus grand soin de ne pas le toucher avec mes dents et de nouveau je l'entendais gémir. Là il gémissait plus fort.


Avec la langue je le caressais partout ou je pouvais aller. Et avec la langue j'explorais son pénis, je m'imaginais dans ma tête une image de ce que ma langue caressait.


Là c'était la cicatrice de son frein, il avait été circoncis mais il me semblait qu'il restait un petit bourrelet de peau à cet endroit. Le gland me semblait énorme, encor plus sous la langue et je tentais de prendre sa queue plus profond dans ma bouche mais elle était énorme et ne rentrait pas. En tout cas pas beaucoup plus.


C'était peut être moi qui manquait d'entraînement, ou peut être plus simplement juste un problème de taille.


Il me caressait les cheveux pour m'encourager, il y allait tout doucement. Mais ça ne changeait pas grand chose, ma bouche était trop petite ou sa bite bien trop grosse.


Tu crois que …

Oui … Répondais-je.

Tu crois que tu pourrais la prendre dans ton cul.


Là je relevais la tête. J'avais l'impression de ne plus respirer, mon cœur s'était arrêté. Je ne montrais rien mais intérieurement je paniquais. Ma tête était en feu. Je savais que ça ne rentrerait jamais, je savais que je risquais de déchirer et que je risquais de mourir. J'imaginais un accouchement masculin. Je sais ça n'avait pas de sens mais j'étais comme en état second. Autour de moi, tout devenait flou.


Ma femme a toujours refusé, elle me dit que c'est trop gros … Gneu, gneu, gneu … Les femmes tu sais !


Je me levait, tous mes gestes étaient ralentis, je me mettais en position, à genoux sur un matelas de plage, je me penchais en avant et je lui offrais mon cul. Je n'était pas seulement en panique, j'étais également terrifié mais je me sacrifiait pour son plaisir.


Il se penchais alors sur moi et me caressait. Ses mains glissaient sur tout mon corps, je frémissais de plaisir. C'était la première fois et je découvrais ce plaisir, un plaisir nouveau que je n'imaginais pas.


Il me caressait les épaules, puis ses mains descendaient sur mon dos, il arrivait rapidement sur mes fesses, il me caressait les couilles. Il crachait sur mon cul et je sentais une douce intrusion. Il glissait un doigt dans mon cul, ce devait être son pouce. C'était incroyablement délicieux, il y avait toujours cette frustration de ne pouvoir bander librement mais ça c'était pas bien grave.


Avec son autre main il me caressait le torse, il était parti de ma gorge avait glissé sur mon torse puis passait mon ventre musclé, s'attardait sur chaque muscle et terminait sur mes couilles.


Pendant ce temps il avait attrapé dans sa poche un tube de gel, c'était froid et deux doigts glissaient maintenant facilement dans mon cul. Je gémissait de plaisir. Je n'avais jamais imaginé combien ça pouvait être agréable, je n'avais jamais éprouvé un tel plaisir, je relevais la tête.


Il me massait les couilles de nouveau, il y allait fort, il me faisait presque mal mais je le laissais faire, je me donnais à lui, je lui appartenais et sil voulait me faire mal, il me ferait mal !


Les deux doigts s'agitaient maintenant dans mon cul. Si sur mes couilles il me faisait un peu mal pour mon cul, c'était un moment merveilleux. Il continuait à lubrifier, et c'est trois doigts quatre peut être qui glissaient dans mon cul maintenant. En fait j'en savais rien, je ne savais même plus ce que je ressentais mais c'était bon.


Il prenait position, mon cœur battait fort, il se lubrifiait la queue, je paniquais sans rien montrer.


Puis il positionnait sa queue et poussait doucement, je résistais mais c'était bien involontairement. Il poussait plus fort, ça résistait toujours. Il poussait encore plus, j'en faisais autant et c'est là que mon cul à lâché.


Avec une violence inouïe son gland entrait en force dans mon cul. La douleur était intense, bien au delà de ce qu'on peut supporter. J'ai hurlé, je me suis débattu et je me suis dégagé.


Je me retrouvais allongé sur le sol, je me tordais de douleur mais j'éjaculais, j'avais mal au cul mais une douleur horrible et je jouissais par ma queue, elle était bien enfermée, ne pouvait pas prendre un millimètre de volume mais elle me donnait un plaisir intense.


On ne recommencera jamais ? Me demandait bêtement Lio.

Si, si on recommencera …

A ! cool ! Rajoutait-il en reprenant position …

Mais pas aujourd'hui, mais pas tout de suite …

C'est aussi ce que m'a dit ma femme ! Et depuis elle ne veut plus en entendre parler …



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


INDEX LIONEL

 INDEX LIONEL


Rencontré dans l'équipe de sport de mon entrepreprise, je l'ai rapidement remarqué. Il avait une très gosse queue. Bon il était marié mais nul n'est parfait et ... Il avait une très grosse queue et aimait bien s'amuser !


Lionel Ep01 : Premier contact

Lionel Ep02 : Un verre à la maison 

Lionel Ep03 : Ce soir c'est chez moi



Lionel Ep02 Un verre à la maison

 

Lionel Ep02

Un verre à la maison



Lio n'habitait pas très loin, enfin en voiture, ce n'était pas très loin. Je le suivais, on était à la campagne, et les routes étaient tranquille et il faisait encore très beau. Je profitais de cette fin d'après midi.


C'était une belle maison, on devinait la présence féminine même si la dame était absente. On s'installait dans le salon et m'apportait une bière.


Je ne savais pas quoi dire.


Tu faisais quoi avant de venir travaille à l'atelier ?

Tu me montres ta cage ?

Ça te fait délirer ça !

Ouai !

C'était pareil pour moi avant de le porter, j'en voulais un.

Et tu regrettes, ça fait combien de temps.

Six ans, non je ne regrette pas !

Tu sais, ici il n'y a aucun vis à vis, on peut se balader à poil dans toute la maison.


C'était pour ça qu'il m'avait invité ! Ah vous aviez deviné ? Et bien pas moi, naïf que je suis !


Dis moi, je pourrais utilisé ta douche, je ne me suis pas très bien rincé tout à l'heure.

Remarque moi c'est pareil.

Disant cela, il se levait et commençait à retirer ses vêtements. Je me sentais un peu obligé de faire pareil, et en plus, j'en avais envie ...C'était rapide, je n'avais pas mis de sous vêtements. Ma bite se réveillait dans ma cage. Il n'était pas encore à poil moi, si. Déjà je voyais dans ma tête son énorme queue.

J'avais souvent ressenti des attirances pour les hommes, et là l'image de sa queue réveillait la mienne. La pression devenait infernale, mais rien ne se voyait.


Je le regardait se démener, il retirait facilement sa chemise et je pouvais voir cette masse énorme qu'il avait dans son pantalon. Il bandait toujours, toujours peut être pas mais il bandait encore ou de nouveau.


Je n'arrive pas à me calmer depuis tout à l'heure. Déclarait il. Au moment ou il ouvrait son pantalon.


Sa queue était en pleine forme à l'horizontale dans son slip. Un saucisson de dix neuf centimètres sur six ne passait pas inaperçu, sans la chemise on aurait vu que ça.


Ma queue protestait encore plus, c'en était presque douloureux. C'était l'enfer. Mon cœur battait plus vite, ma respiration aussi devenait plus forte. Il se relevait tout content de lui.


Et maintenant on compare ?


Il s'approchait de moi et allongeait sa bite à côté de la mienne. C'était pathétique, ridicule, enfin j'étais ridicule, et pour moi c'était pathétique. Je me sentais humilié, mais j'étais terriblement excité.


On se retrouvait sous la douche et on se rinçait généreusement. C'est vrai qu'on avait été interrompu. On se séchait puis tranquillement Lio passait dans son jardin, il n'y avait aucun vis-à-vis, il avait raison. Je le suivais, j'avais la marque du maillot de bain, lui non, il se faisait bronze chez lui, à poil !


On s'installait sur un transat, je ne pouvais pas détacher les yeux de son sexe. Il regardait sans cesse mon dispositif de chasteté.


C'est vraiment sexy ce truc !

Tu en veux un, je sens que tu en veux un !

Non je te dis, c'est pas pour moi. Mais alors tu n'as jamais rien fait avec une fille toi ?

Avec une fille non, jamais.

Tu te branles au moins avec tes potes !

Se branler, on fait comment ? Lui répondais-je.


Il me montrait, il commençait à se branler, puis rapidement arrêtait tout.


Excuse moi ! J'arrête, tu dois déjà être assez frustré comme ça !

Non vas-y. J'aimerais bien te voir jouir.

Ça ne devrait pas te calmer !

Pas grave, moi je peux pas mais vas-y.


Il recommençait à se branler, lentement, il crachait dans sa main et décidé mais décidé également à faire durer. Il se massait le gland. Moi je bavais de ne pouvoir en faire autant. Je n'avais pas imaginé une premier contact avec un mâle comme celui-ci.


Je crois que je m'exprime mal, un mâle comme ça, aussi bien monté je n'avais même jamais imaginé que ça existait mais ce que je voulais dire, ce genre de premier contact.


J'avais imaginé qu'il m'enculerait, mais avec un outil pareil, il me faisait un peu peur. En fait j'étais terrifié. S'il me le demandait là, j'aurais dit oui, il m'aurait peut être tué mais j'aurais dit oui. J'avais vraiment peur qu'il ne le fasse.


Je savais que je pourrais rien refuser à un mec pareil.


Mon corps vibrait à chacun de ses gémissements. Je sentais la chaleur de son corps, j'étais juste à côté de lui, je n'osais pas le toucher. Je ne savais pas quoi faire.


Mon dispositif tirait vraiment fort sur ma peau, la pression était tellement forte. Je réajustais mon dispositif. Plus jeune on m'avait toujours dit d'éviter les situations trop stimulantes. À l'époque je ne savais pas ce que ça voulait dire mais là je commençais à comprendre de quoi ils parlaient.


Il crachait dans sa main plusieurs fois puis reprenait. Il massait son gland avec insistance. Il l'écrasait avec son pouce et il gémissait bruyamment. Son gland était tendu, lisse et brillant. Je le voyais glisser sous ses doigts, c'était magnifique, c'était un spectacle incroyable. Il prenait son temps, je ne comprenais pas tout, je pensais que la réaction était bien plus rapide.


Moi depuis six ans je n'avais éjaculé qu'une vingtaine de fois, à chaque fois c'était un plaisir intense mais que je ne pouvais pas provoquer, ma cage m'empêchais de me stimuler, et je ne savais plus comment mon corps réagissait avant. Désormais ça se produisait tout seul, souvent pendant mon sommeil, je me réveillais et paf, j'éjaculais.


Là tout était différent, il prenait du plaisir à se caresser, en particulier sur le gland. Il se stimulait et entretenait ainsi son érection. Il entretenait la mienne aussi. Ma queue dans sa cage ne se calmais pas.


Il se caressait maintenant sur toute la longueur de sa bite. Il en profitait pour se masser rapidement les couilles. Il avait de petites couilles mais elles étaient bien fermes, elle se balançaient rapidement comme de petites clochettes mais sans faire de bruit.


Les mouvements de sa mains devenaient plus rapides et plus amples, il respirait plus fort, il allait jouir, j'allais enfin voir ce ressentais un homme non entravé qui jouissait.


Je sentais comme un vide dans mon torse, au niveau de mon cœur. J'avais besoin de ce plaisir, je n'en avait pas vraiment envie, j'en avais besoin. Je ne pouvais pas savoir si ce que je ressentais n'était qu'un manque ou une frustration. J'avais déjà ressenti plus ou moins cette sensation, c'était, ça devait être la frustration.


Il était juste à côté de moi, je le sentais vibrer, je ressentais son plaisir. Sa main passait et passait sur son gland, elle glissait sur toute la longueur de son pénis et il vibrait de plaisir. Je vibrais avec lui.


Je me sentais irrésistiblement attiré, ma main était comme aimanté et je ne le faisais pas volontairement, j'approchais ma main, doucement, et je sentais sa cuisse, douce, imberbe et musclée. Je le caressais tout doucement. Il continuait à se masturber, et sentais ses testicules danser au bout de mes doigts.


Il avait le sexe épilé, il avait gardé une petite touffe de poil dan la région mais à part ça il n'avait gardé que les cheveux et la barbe, et encore la dernière il la rasait.


Il n'arrêtait pas de s'astiquer le manche, par moment il faisait une pause, il voulait faire durer, il m'expliquait que c'était mieux si on prenait son temps. C'est vrai que moi qui prenait mon temps, vingt fois en six ans, j'éprouvais à chaque fois un plaisir incroyable.


Je lui caressais la cuisse et en même temps ma main s'approchait des ses couilles, je les sentais maintenant danser dans ma main. Sans même m'en rendre compte je les avais prise dans la main. Je les tripotais et les massais doucement. Il continuait à se masturber et me regardait faire. Il me souriais, il s'amusait de la situation et ne le cachait pas.


Puis sans me prévenir il retirait sa main. Son énorme queue restait bien droite.


Et bien tu attends quoi ? Me demandait-il.


Je crachais dans ma main et la refermais sur sa queue. C'était une incroyable sensation, je n'avais pas pu toucher ma bite depuis des années et là, j'avais celle d'un autre homme, un homme, un vrai, très beau et terriblement viril.


Elle était de très grosse taille, j'étais comme hypnotisé, je ne réagissais pas tout de suite puis je le masturbais lentement au début mais plus vite et plus fermement ensuite.


Il s'installait les mains derrière la tête, il me souriais.


Vas-y, tu fais ça bien.


Je découvrais de nouvelles sensation. Ma queue protestait encore plus. Il finissait par poser sa main sur ma cuisse, et rapidement me tripotais les couilles. Avec ses doigts il explorait et découvrait mon dispositif, il glissait ses doigts partout et en comprenait le fonctionnement, sa queue se contractait pendant qu'il faisait ça.


Pour finir il me tripotais généreusement les couilles.


Tu as de très belle couilles ! Me disait-il.

C'est la cage qui fait ça.

Les miennes sont toutes petites.

J'aime bien, elles sont bien fermes. Mais ta queue …

Elle est toujours comme ça ! Dès qu'on y touche elle prend du volume.


J'insistais longuement sur son gland, il me semblait plus grand, plus gros que je ne l'avais pensé au départ. Il était gros !


Je frémissais de peur de penser qu'il pourrait m'enculer avec, j'avais envie qu'il m'encule, j'étais terrifié en l'imaginant.


Il s'amusait avec mes couilles, je les sentais plus lourdes que jamais. Il mes les écrasait, pas très fort mais je le sentais bien et j'aimais. Je me penchais vers son sexe et là, sans prévenir il éjaculait. Je n'avais pas ressenti les signes avant coureur et j'ai tout pris dans la figure.


Un premier jet de sperme, un râle de plaisir, je fermais les yeux. Un second jet s'écrasait sur mes yeux, un troisième atterrissait sur mes cheveux. Je ne lâchais pas sa queue. Un long filet de sperme continuait à couler et un immense plaisir m’inondait.


Je jouissait à mon tour, c'était la première fois depuis six ans que je jouissais après une simulation volontaire. C'était bon, c'était un plaisir que j'avais oublié depuis des années, un plaisir que je ne pensais plus connaître à nouveau.


Je ne me marierais pas avec une femme, ça je le savais depuis maintenant longtemps. Et ma femme ne recevrait donc pas ma clé. J'étais résigné, mais là j'étais comblé. L'orgasme me faisait trembler pendant un long moment.


Lio avait l'air satisfait, on s'était bien arrosé il me proposait de repasser sous la douche avant de revenir se boire une autre bière.



A suivre




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Lionel Ep01 Premier contact

 

Lionel Ep01

Premier contact



Lionel avait rejoint l'équipe de l'entreprise depuis un mois, pas plus. Ça ne devait pas faire plus de six mois qu'il travaillait avec nous. Rapidement on l'avait appelé Lio. Aucun rapport avec la célèbre chanteuse, ho non, ce n'était qu'un diminutif. Il était de taille très moyenne avec son mètre soixante dix, un tout petit peu plus grand que moi.


Il était trapu, épaules bien larges, musclé mais gardait des formes arrondies très douce qui lui donnait une allure très attirante. Il avait une bonne tête et un sourire très doux.


Non je n'était pas amoureux de lui mais c'est vrai qu'il n'en aurait peut être fallu beaucoup. Il devait avoir vingt trois ans, pas plus, un an de plus que moi et il était marié. Déjà marié.


Je ne comprends pas ces gens qui se marient jeunes comme ça. Mais c'est peut être parce que moi je n'ai pas encore trouvé l'homme de ma vie. Enfin lui, c'était avec une femme qu'il était marié. Nous étions les plus jeunes de l'équipe.


Ce jour là, je pensais être le dernier à partir. On avait bien transpiré, il avait fait chaud. Je décidais de prendre une douche sur place avant de partir. Comme j'étais seul, sous la douche je baissais ma garde.


J'avais toujours réussi, oh sans difficulté, personne en effet à part moi ne jouait les voyeurs, donc j'avais réussi à cacher à tous que le portais un dispositif de chasteté. Comme tout les jeunes hommes dans ma communauté je l'avais mis à l'âge de seize ans, pour mon anniversaire. C'était une sorte de passage à l'âge adulte. J'étais resté puceau, je n'avais jamais flirté, mais c'était bien les hommes, et uniquement les hommes qui me faisaient vibrer. Selon nos règles morales, c'était permis mais à condition de garder le dispositif. Deux hommes portant en permanence un dispositif de chasteté ne pouvaient que rester sages et leurs amours ne pouvaient que rester un pur échange affectif. Ça c'était permis.


Sinon, la clé était donné à la femme le jour du mariage et elle seule en disposait. Je ne faisais donc pas d'illusion, je risquais de garder ce dispositif très longtemps. Mais ça ne me dérangeait pas. J'avais même fini par en tirer un véritable plaisir, quand je bandais je sentais ma queue confinée dans une cage en titane, indestructible mais confortable.


Je vous disais donc que comme j'étais le dernier à passer sous la douche, je baissais ma garde. Le chef de groupe était à l'autre extrémité du bâtiment qui était très grand, il vérifiait les stocks ou je ne sais quoi.


Pour une fois donc je prenais ma douche dans la grande salle et non dans une cabine, il y en avait tout un tas pour les plus timides. Je laissais l'eau couler sur mon corps et je me détendais.


Il n'y a plus que nous on dirait !


Cette phrase résonnait dans la salle, je sursautais, sous l'effet de la surprise je me retournais exhibant ma nudité particulière. C'était Lio. Il entrait dans la grande salle de la douche entièrement nu, totalement magnifique, son corps avec ses formes douces, ses muscles, il en avait croyez moi.

Et une très jolie petite bite qui se balançait, j'avais une grosse paire de couilles, c'était l'effet anneau. Un effet très connu des porteurs de cage de chasteté, il avait une jolie paire de couilles, pas si grosses que les miennes et avait cédé à la nouvelle mode, son sexe était épilé.


Sa queue n'était pas si petite que ça finalement, mais c'est vrai qu'il était était trapu. Sa bite aussi. En position repos total, elle devait déjà faire plus de quatre centimètres … De large, je vous rassure ! Elle ne devait pas faire plus de dix centimètres ou pas beaucoup plus.


Il restait tétanisé devant moi, il regardait mon dispositif. Là j'ai senti que je devenait tout rouge. Par réflexe je mettais mes mains devant mon sexe.


Mais c'est quoi ça ?

En fait, je suis un puritain.


Il connaissait, tout le monde connaît. Vous aussi je suppose ! C'est considéré comme une secte mais en fait nous sommes bien plus que cela, mais bon je ne vais pas faire de prosélytisme ici, ce serait totalement déplacé.


Fais voir ! Me demandait-il.


J'écartais les mains et, je devais être rouge comme une cerise bigarreau, mais ce n'est pas à mon visage qu'il faisait attention.


Mais tu n'as plus de bite ?

Si mais c'est vrai qu'elle ne prend pas beaucoup de place.


Au dessus de mes couilles, il y avait la petite cage. Mes couilles s'étaient resserrées et remontaient jusqu'à la cage ne la dissimulant. Il regardait mon dispositif avec une grande attention.


Tu m'excuse mais c'est ma première fois que je vois un truc pareil, j'en ai entendu parler bien sûr mais … Wouaaa !


Je ne savais plus trop quoi faire, je me passais du savon sur les couilles, sur la cage, enfin un peu partout, c'est vrai qu'on était dans les douches. Un peu normal quoi. Je le regardais, son corps très harmonieux me plaisait, il était vraiment très beau et si j'avais l'habitude de voir des hommes torses nue, entièrement nu, c'est plus rare. Un peu sous la douche mais sans trop oser regarder.


Là il était nu, intégralement nu en face de moi, du regard je parcourais son corps en m'attardant sur son sexe. C'est ce que l'on cache d'habitude, et c'est aussi ce qui nous obsède tous, puritains ou pas. Au début j'ai bien cru que c'était une impression mais il me semblait que sa bite pendait plus fort. Je veux dire qu'elle prenait de la longueur, et se balançait avec un peu plus d’expansion.


Ses couilles ne bougeaient pas mais sa queue s'allongeait, rapidement il fallait bien se rendre à l'évidence, ce n'était pas une impression. Son gland circoncis brillait et se gonflait. Rapidement il dépassait les cinq centimètres de larges. C'était impressionnant.


Ma queue protestait, je portais le dispositif depuis plus de six ans mais ça ne changeait pas, je bandais toujours et ma queue déjà confinée dans une cage pas très grande se retrouvait écrasée dans une cage bien trop petite.


Pour moi, rien ne se voyait, ou presque, c'est à peine si mon dispositif se relevait. Pourtant il y avait de la pression dedans, c'était de la folie. Mais pour lui sa queue se relevait, elle s'allongeait aussi, elle doublait presque en longueur et arrivait à six centimètre de large, son gland suivait, il atteignait lui aussi les six centimètres de large.


C'était impressionnant. Ça je ne l'avais jamais vu.


Il faut dire que dans mon milieu, on ne passe pas son temps à à se montrer à poil devant tout le monde. J'avais choisi de vivre en dehors de ma communauté mais je restais membre.


Je restais là, immobile incapable de réagir, j'étais sous le charme. Il me regardait.


Je ne savais pas que c'était aussi beau un tel dispositif. Me disait-il.

Tu en veux un aussi ? Bafouillais-je.

Oulala non ! Mais je veux dire qu'un mec qui porte un truc pareil peut être vraiment beau. Mais c'est pas pour moi !

C'est moi qui te mets dans cet état ? Lui demandais-je en fixant son pénis qui se relevait maintenant presque à la verticale contre son ventre.


Là il regardait son sexe mais ne répondait pas. Il avançait jusqu'au milieu de la salle et enclenchait une douche, à un mètre à peine de moi. Il commençait à se savonner le corps. Je continuais là ou je m'étais arrêté.


On se regardait dans les yeux mais pas que. Mon regard suivait les mouvements de son corps, il avait comme je vous le disais des formes harmonieuses, musclé mais doux, pas du genre bodybuildé. Mais c'était du sérieux, je l'avais vu au travail, j'avais déjà remarqué ses muscles au travail.


On ne se montrait pas à poil mais il n'y avait aucun trouble à se montrer torse nue.


Un peu comme à ce moment, enfin c'est vrai que là, on n'était pas torse nue, pas seulement torse nue.


Sa main caressait son torse, son ventre ou on pouvait deviner les formes de ses muscles. C'est imperceptiblement que je me rapprochais de lui, il en faisant de même, ou alors c'est que je le souhaitais, que je le rêvais. Pensais-je au début .


Je finissait par me retrouver à porté de main. Je tendais alors la main vers son torse, je tremblais, si j'osais ce serait alors pour moi la première fois que je toucherais un homme. Il ne bougeais pas, il laissait faire ou alors c'était le rêve que je faisais.


Sa peau était douce, il y avait des traces de savon, ma main glissait sur sa poitrine. Ou alors … Mais non ce n'était pas un rêve, sa main se posait sur la mienne et me réveillait, ce n'était pas un rêve, c'était bien mieux.


Il tendait sa main vers moi et me caressait les couilles. Je n'avais pas osé commencé par là mais lui ne s'embarrassait pas, il me tâtait les couilles.


C'est doux, sans les poils c'est doux, j'aime bien moi aussi. Avec la cage c'est dur, ça m'a l'air bien gonflé.

Je me décidais à lui tâter les couilles moi aussi, lui aussi avait les couilles bien douces, bien épilées, mais lui elle tombaient comme deux petit sacs bien pleins. Même s'ils étaient bien plus petits que les miens.


Juste au dessus il y avait sa queue, énorme, massive et bien ferme, fièrement redressée et plaquée contre son ventre. Il n'avait pratiquement pas de poil sur le corps. Tout comme moi.


Il s'approchait de moi, chacun passait du savon sur le corps de l'autre. C'était un échange de tendresse que nous partagions à ce moment.


Au moins avec toi on sait qu'on ne risque rien si on se penche pour ramasser son savon. Disait-il en rigolant.

On a rien à craindre de moi ! Lui répondais-je.


Ma main descendait le long de son ventre, arrivé à la bonne hauteur je saisissais sa queue et caressait en refermant une main sur lui. Comme je me souvenais que je faisais six ou sept ans plus tôt quand je me masturbais encore.


Ma main glissait avec légèreté avec le savon, et déjà je l'entendais gémir de plaisir.


  • Tu as de l'expérience ? De demandait-il.

  • C'est la première fois que je touche le corps d'un homme ! Et toi ?

  • C'est une première pour moi aussi.


Nous nous regardions dans les yeux, je lui caressais la bite il me caressait les couilles et me les massait avec une certaine fermeté. C'était bon. Nos visages se sont rapproché, et avec douceur nos lèvres se touchaient.


Il avait des lèvres très douces, sa langue glissait dessus et glissait sur les miennes. Je lui rendais cette caresse. Nos corps continuaient à se rapprocher. Nos torses s'écrasaient l'un contre l'autre, je refermais mes bras sur lui, il en faisait de même. Nous partagions alors une étreinte passionnée et terriblement chaud.


L'eau ne coulait plus, le moindre bruit résonnait dans la salle et une voix.


Il reste encore quelqu'un ?


Cet appel nous à réveillé, on sursautait, on enclenchait la douche pour se rincer, il ne nous fallait que quelques secondes et quand le chef d'équipe arrivait il nous trouvait avec une serviette autour de la ceinture. Lio avait refermé la sienne autour de son ventre pour ne rien montrer. Moi je n'avais pas grand chose à cacher, c'était peut être surprenant mais c'était discret.


Vous n'êtes pas encore partis tous les deux. Tout va bien ?

Tout va bien chef ! Répondait Lio.


Le chef faisait le tour des installations.


Bien, il ne reste plus personne ici, vous êtes les derniers.


Quand il repassait j'avais eu le temps de sauter dans un pantalon et de glisser dans un T-shirt. Sans sous vêtement, c'était plus rapide, plus facile. Et puis, j'en avais un sous vêtement, il était en titane et rigide mais j'en avais un.


Je laissais Lio se débrouiller, mon instinct me disait que ma présence ne pouvait pas l'aider, bien au contraire. Et je discutait avec le chef tout en l’accompagnant vers la sortie. Lio serait plus tranquille pour s'habiller, lui, il avait une saucisse de vingt centimètres sur six à ranger dans son pantalon.


Il nous rejoignait quelques minutes plus tard, il arrivait un peu débraillé, sa chemise dépassait de tous les côtés. Le chef fermait les installations et nous saluait. Nous repartions vers le parking.


Tu en a mis du temps pour rester débraillé. Lui faisais-je remarqué.


Il soulevait alors sa chemise et montrait une forme allongée de grosse taille qu'il n'était pas parvenu à ranger comme il fallait.


Pas trop le choix ! Rajoutait-il.


Je montais dans ma voiture, il s'approchait.


Ma femme est absente pendant quelques temps, sa sœur vient d'accoucher, ça te tentes de venir boire un verre ?



A suivre



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Soirée Pizza Ep02 Le livreur

 

Soirée Pizza Ep02

Le livreur



Il soulevait son bassin par a coup, je me prenais sa queue dans la bouche, elle était trop grosse mais parvenait à s'y loger, je ne pouvais plus respirer mais ça ne le dérangeait pas …


je ne vous dis pas mais j'avais du mal à suivre. Je faisais tous les efforts possibles pour bien ouvrir ma mâchoire. Il s'énervait.


Sans prévenir il se levait. Je me retrouvais à quatre pattes devant le canapé.


Alors toi je vais te défoncer le cul.


Je le regardais, je ne disais toujours rien. En fait je remettais ma mâchoire en place. Il en avait une grosse mais le désir avait monté en moi et je la voulais. Je la voulais en moi.


Retourne toi sur le dos, là on sera très bien sur le tapis.


Vous savez, le tapis en a vu d'autres. Il en a vu beaucoup d'autre, s'il pouvait parler …


Je me retournais, il attrapait un coussin sur le canapé et me le glissait sous la tête. Il commençait à me plaire, j'aime bien ce genre d'attention moi. Puis il me soulevait les jambes, me posais les genoux sur ses épaules, me lubrifiait le cul, en faisait autant pour sa bite, mon cœur battait de plus en plus fort.


Il y a toujours cette angoisse quand c'est la première fois avec un partenaire et qu'il à une grosse queue. Il en avait une grosse et manifestait un peu de violence, même s'il semblait très attentif à mes réactions. Il prenait position.


Mon dos suivait le mouvement et se soulevait, sa bite avançait et s'approchait de mon cul. Je vous jure je balisais. Le bout de sa queue touchait mon petit cul chaste ( surtout n'y croyez pas ) et poussait. Il continuait dans le même mouvement et son ventre s'approchait très lentement de mes fesses. Sa queue poussait plus fort.


Le mouvement continuait. Inexorablement sa queue s'appuyait contre mon cul, de plus en plus fort. Là je ne balisais plus je paniquais. Je sentais mon cul s'ouvrir, je le sentais céder, sa queue continuait toujours à avancer, toujours à la même vitesse. Lentement certes mais sans me laisser aucun espoir. Je finissais par comprendre qu'il ne s'arrêterait que quand son ventre rencontrerait mes fesses.


Il continuait à me tirer vers lui, à se pencher vers moi, à s'appuyer sur moi. J'aurais voulu qu'il fasse une pause, une sorte de trêve pour que je puisse retrouver mon souffle. Une petite douleur montait dans mon cul, un certain plaisir également montait. Je gémissais, c'était dur, c'était bon. C'était un truc de fou.


Sa queue rentrait toujours aussi lentement mais sans faire le moindre arrêt. Je me contractais, je tentais de me dégager mais il me bloquait avec son poids. J'étais replié en deux, les genoux presque sur mes épaules. La position n'était pas confortable, mais vraiment pas mais dans mon cul il y avait cette masse qui me remplissait les entrailles. C'était à la fois jouissif et douloureux, et c'est pas parce que c'était douloureux que c'était jouissif.


Non, il m'avait simplement pénétré sans préliminaires, mon cul se contractait mais je n'était pas un débutant et c'est bon, c'est tout simplement bon de se faire enculer. Et puis je ne suis pas une gonzesse, j'aime bien le sentir.


C'était quand même un peu fort, peut être un peu trop fort. Un peu de douceur, de tendresse n'aurait pas été superflu. Je ne savais pas ou il en était, ça faisait des heures que je sentais sa queue glisser, s'introduire dans mes entrailles. (de heures peut être pas remarquez ). Il entrait lentement mais pas tant que ça.


Puis j'ai eu l'impression qu'il arrivait au bout, il me donnait alors un violent coup de bassin, son ventre s'écrasait contre mes fesses. C'est là que j'ai crié, il me faisait vraiment mal mais je tenais le coup et je refermais mes jambes dans son dos.


Il les avait lâché quant il a senti que je tentais pas de me dégager.


Il était penché sur moi.


Ça va ? Me demandait-il.

Aaaah ! Aaaah ! Répondais-je.


Il penchait son visage sur le mien et m'embrassait. Ce baiser changeait tout, c'était comme un frisson qui parcourait tout mon corps, un frisson de bien être. Un frisson qui effaçait toutes les douleurs qui ne passait pas au niveau de mon cul. Là, je me sentais bien. Il continuait à pousser son bassin contre mes fesses, il se retirait un tout petit peu et revenait, de nouveau il appuyait son ventre contre mes fesses et sa queue s'enfonçait dans mes entrailles.


On s’enlaçait, on se caressait, il me limait le cul. Je gémissais, lui aussi gémissait et râlait de plaisir. C'est le corps de chacun qui glissait sur celui de l'autre, les mains, les bras, toute la peau de tout le corps caressait l'autre et rapidement la peau devenait brûlante, brûlante mais ne laissait aucune trace.


On roulait l'un sur l'autre, sa queue ressortait, je criais de plaisir, là ce n'était plus que du plaisir, et il était intense. Je me cramponnais à son cou, il me serrait contre lui. Je me retrouvais au dessus, mes jambes étaient bien écartées et sa bite toujours dans mon cul.


Il soulevait son bassin et tirait mes jambes contre son torse, quand il retombait sur le lit, je retombais avec lui et me trouvais empalé sur sa queue. C'était une position terrible, mes jambes étaient allongées contre lui. Je ne pouvais plus me relever, il me retenait.


Avec les bras je tentais de garder mon équilibre, je les agitais dans le vide par moment et à d'autres moments je me retenais à ses bras, à ses mains. C'est à se moment qu'il s'est amusé à soulever son bassin, puis à le laisser retomber. Il me faisait sauter avec régularité, plus ou moins vite.


Je nouveau je râlais et mes râles finissaient par ressembler à des gémissements. C'était violent, c'est tout mon corps qui tremblait. Un plaisir presque anormal envahissait tout mon corps, rayonnait dans mes bras, dans mes jambes et je perdais subitement le contrôle de mes mouvements. Je me mettais à trembler.


Mes mains tentaient de s'agripper à ce qu'elle pouvaient attraper, c'est à dire rien. Il me faisait sauter un peu plus haut, là il me soulevait vraiment avant de me laisser retomber sur sa queue.


Il me défonçait le cul, il me défonçait les entrailles. Tout mon corps tremblait. Là je ne pouvais plus que subir.


Il relevait son torse, je refermais mes jambes dans son dos. Il repliait ses jambes et pour finir je me trouvais, toujours empalé sur sa queue mais dans ses bras et lui assis en tailleur. Son corps était toujours brûlant, dans cette position on pouvait échanger des câlins, et on ne s'en privait pas.


Les mains de l'un caressaient le dos dos l'autre, ses bras, ses mains. Les lèvres de l'un gouttaient à la peau de l'autre et aux lèvres de l'autre également. Et toujours cette bite énorme qui me rentrait maintenant jusqu'aux poumons, c'est en tout cas ce que je ressentais. Je sentais mes entrailles dilatées et c'était le pied.


Il se balançait d'avant en arrière et à chaque balancement sa queue me massait les entrailles un peu plus, le plaisir montait, le plaisir explosait dans un immense orgasme. Il l'a remarqué et il accélérait le mouvement.


Le plaisir ne baissait pas et je sentais sa respiration qui devenait plus rapide et plus forte.


Puis sans prévenir, il s'est mis à me faite sauter plus haut, plus vite et je retombais avec plus de violence, il jouissait. Il jouissais enfin, moi j'en pouvais plus, je ne criais plus je gémissais.


Puis brusquement, sans prévenir il ne bougeait plus. Je me retrouvais toujours empalé sur sa queue, il tremblait, il avait joui et moi j'étais aux premières loges. J'étais retourné.


Il se penchait et me faisait tomber sur le côté avec beaucoup de douceur. Il se retirait. Je me sentais vider. Vous imaginez un peu un poulet qu'on vient de vider avant de le cuire. Je me sentais un peu dans cet état.


Mais à part ça je me sentais bien !


Il fallait quelques minutes avant que je me lève, je me dirigeais vers la salle de bain. J'avais besoin de me rafraîchir le cul. Il me retrouvais sous la douche et c'est avec une infinie tendresse, une infinie douceur que nous nous lavions l'un l'autre.


Là encore on s'embrassait, on n'était pas encore sorti de nos étreintes.


C'est tout beau, tout propre qu'on revenait au salon. J'allais chercher un bière, c'est toujours mieux que du caca cola. On restait là, lui sur le canapé, moi, allongé sur le tapis à siroter notre bière, on se regardait, on ne parlait pas.


Il semblait admirer ma cage à bite, je contemplais sa queue magnifique qui retombait entre ses cuisses. Il en était fier, il y avait de quoi et quand on pensait à sa manière de l'utiliser. On la sentait passer je vous jure.


Et tu portes ce truc tout le temps ? Finissait-il par demander.

Bein oui toujours !

Et qui t'oblige à porter ce genre de truc.

Personne, c'est un choix. Et en plus je n'ai pas la clé.

Et elle est ou ?

Je l'ai confié à un mec.

Un ami ? Il avait repris un ton détendu.

Oui un mec qui peut m'enculer tant qu'il veut, tant qu'il a la clé bien sûr.

Il te la rendra jamais !

Mais si, on a fixé une date limite !

Moi si tu me la donnais, je ne te la rendrais jamais.


On continuait à faire connaissance.


Tu sais que tu es un super bon coup toi ?

C'est la cage, ça me crée une frustration …

Une frustration ?

Un manque quoi. Un besoin de me faire défoncer le cul.

Ah ouai !

Et tu sais, toi aussi tu es un super bon coup.

On pourra recommencer ?

Avec plaisir.

Et tu me donneras la clé ?

Si je te la donne tu me la rendra jamais, tu m'as dit !

Oui mais je te défoncerai le cul comme ce soir régulièrement !

Ah ouai !


Ensuite on passait au dessert. Il avait emmené quatre part de tartes, c'était une merveille et en plus après ça on avait faim.


Il m'a laissé m'amuser tranquillement avec sa queue, elle était belle et restait toujours un peu gonflée, c'était une sorte de grosse molle.


Après avoir baisé, ta queue reste toujours comme une grosse molle.

Uniquement quand un obsédé continue à s'amuser avec doucement, comme tu fait. Et toi aussi ta cage est bien remplie, c'est normal ?

Forcément tu n'arrêtes pas de me tripoter les couilles.

Mais tu as joui au moins.

Tu peux pas savoir, c'était … c'était …

C'était bien ?

C'était super. Un peu douloureux par moment mais c'était le pied.


On se caressait avec tendresse encore un moment sans rien dire.


Alors tu me les donnes les clés.


Je relevais la tête, c'était une obsession, mais j'avais à moitié envie de le faire, et ce malgré sa promesse !



Fin



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Soirée Pizza Ep01 La commande

Soirée Pizza Ep01

La commande



On était le week-end. Le lendemain il n'y avait pas boulot, dehors il faisait froid. Je ne savais pas quoi manger, je réfléchissais longuement avant de tomber sur une pub qu'on avait mis dans ma boite au lettres.


Et pourquoi pas me disais-je.


Vous vous rendez compte ils en font même aux ananas. Mon dieu des pizzas ananas ... N'importe quoi !


J'en prenais une complète. Oui je sais mais dans le domaine de la pizza je reste très classique. Rien d’exubérant, je ne suis pas tenté par ces aventures expérimentales culinaires exotiques. Je prenais mon téléphone et là c'était la catastrophe, ils étaient débordés.


Ils ne pourraient pas me livrer avant une heure, en plus j'étais à la limite de distance. Que voulez-vous ce sont là des choses qui arrivent.


Je les rassurais, expliquant que je venais juste d'arriver chez moi et que donc c'était pas bien grave. '' Mais pas plus d'une heure alors !''. '' Promis ! '' me répondait une voix charmante.


J'avais le temps de prendre une douche et c'est en prenant mon temps que je me préparais, à poil dans un premier temps. Puis je remplissais la baignoire. Oui j'avais parlé de douche mais un bain c'est quand même mieux. Et moi quand je rentre du boulot, j'aime bien mon confort.


Un peu plus tard, avant que la baignoire ne déborde, je me glissais dans l'eau chaude. C'est un moment super agréable, tout mon corps se détendait, je frémissais de plaisir. J'avais tout mon temps, sauf que quand on trempe comme ça, le temps passe vite.


Je me mouillais la tête, je me shampooinais les cheveux et finalement je me tripotais le cuir chevelu avec délectation.


On sonnait à la porte.


Merde, la pizza ! M'exclamais-je.


Il fallait faire vite. Je ressortais de la baignoire en une fraction de seconde, d'une main j'essuyais le shampooing qui coulait sur mon front. Je dégoulinais et laissais derrière moi une petite rivière, j'attrapais la grande serviette, celle qui fait deux fois mon tour de ceinture, gêné par le shampooing c'est la petite que je saisissais. Je m'en rendais bien compte en arrivant à la porte mais c'était trop tard. La petite fait à peine un tour complet.


J'ouvrais la porte en tenant ma serviette pour qu'elle ne tombe pas.


Pizza Miam ! S'écriait le livreur sur un ton jovial avec un large sourire.


Me voyant ainsi, il rajoutait.


J'ai été un peu plus rapide que prévu ! Il me tendait la boite de pizza.


C'est à ce moment que tout s'est un peu compliqué. Je saisissais la boite puis ne sachant pas ou la poser, je la calais sous mon bras et tentais d'attraper mon porte feuille dans la poche de mon blouson. Je le saisissais, il m'échappait des mains au moment ou je tentais de l'ouvrir.


Je le rattrapais avec l'autre main mais là, c'était la pizza qui tombait, remarquez elle tombait à l'endroit, la serviette tombait aussi et je me retrouvais l'air un peu bête, complètement à poil sans pouvoir réagir car du shampooing coulait dans mes yeux.


Il se marrait le mec.


Et c'est quoi ça ? Me demandait-il en me montrant du doigt mon dispositif de chasteté.

C'est rien. Lui répondais-je, c'est juste un truc pour rester sage.

Et ça marche ?

Pas vraiment ! Lui répondais-je en lui tendant deux billets de dix.

J'aimerais bien voir ça de plus près. Me déclarait-il.

Quand tu veux. Lui répondais-je en ramassant ma serviette.


Le Shampoing me piquait vraiment les yeux et il fallait absolument que je m’essuie.


Je termine dans deux heures, si tu veux je peux repasser …

Oui si tu veux, mais là il faut vraiment que je rince les yeux.

A plus ! Me criait-il.


Je refermais la porte et me regardais dans le miroir. Je n'avais pas fière allure. Je ne dis pas que je n'étais pas sexy mais, en fait j'avais plutôt l'air d'un parfait abruti.


Je m'essuyais le visage, ramassais la pizza, rangeais tout et retournais à la salle de bain. Je me glissais de nouveau dans la baignoire, je rajoutais un peu d'eau chaude et …


Bon j'en était ou ? Ah oui, shampooing.


Je reprenais ou je m'étais arrêté. Je traînais longuement avant de me sécher, et je commençais à me ratatiner quand je décidais de ressortir de mon bain. C'est donc tout propre, tout mouiller, tout imbibé même que je me séchais longuement. J'enfilais ensuite un pantalon de sport très doux et un T-Shirt.


Je n'avais pas prévu de sortir donc je choisissait le grand confort.


Je me détendais et prenais un certain plaisir en traversant l'appartement. J'aime bien sentir mes couilles glisser contre l'intérieur de mes cuisses. Surtout que je m'épile les couilles régulièrement et déjà je sentais ma bite tenter de se relever et luter contre les barreaux de ma cage.


Ça aussi avec le temps ça peut devenir une source de plaisir, ou au moins de satisfaction.


Je m'installais devant la télé, et enfin je mangeais.


On sonnait à la porte, je me levais en râlant.


Pas moyen d'être tranquille !


C'était le livreur de pizza, là sans le shampooing dans les yeux je pouvais le voir un peu mieux. Et c'est qu'il était mignon, il avait deux boite de pizza dans le mains.


Je n'ai pas encore mangé alors je me suis pris une pizza. Déclarait-il en me montrant la première boite et continuait. Et j'ai aussi pris une grosse part de tarte comme désert.


Il me montrait la seconde boite avec un large sourire, puis il entrait. Je ne l'avais pas invité à rentrer mais ça ne me dérangeait pas vraiment de recevoir une visite, il m'avait vu à poil, c'était bon signe. Puis je me suis souvenu qu'il m'avait dit qu'il repasserait.


Tu portes toujours le truc que tu avais tout à l'heure ? Là on ne le voit vraiment pas.


Je lui faisais face et tirais sur mon pantalon, je lui montrait avec une certaine fierté mon dispositif.


C'est un nouveau dispositif, je l'ai depuis quatre semaines et il est plus petit que le précédent.

Ouah ! Je trouve ça vraiment superbe et terriblement sexy !

Tu en veux un aussi ?

NON ! Je trouve ça terriblement sexy SUR TOI ! Pas sur moi …


Il avait jeté son blouson sur le dossier d'un fauteuil et s'était installé sur le canapé. Il commençait à manger sa pizza.


Tu m'excuses mais j'ai la dalle ! Tu as de la tarte, si tu veux.


J'avais les couilles qui dépassaient par le haut de mon pantalon.


Tu peux rester comme ça, s'il te plaît, j'aime bien !


Pour seule réponse je retirait mon pantalon, je me retrouvais nu en dessous de la ceinture, il me faisait un large sourire.


C'est encore mieux !

Je te propose un verre, un caca cola par exemple !

Oh oui, super !


Je me rendais à la cuisine, je le voyais, il ne me lâchait pas des yeux. Mais quand je revenais il était à poil, il mangeait une autre part de pizza.


Il était confortablement installé sur mon canapé, je m'asseyais en face de lui, il avait les les cuisses écartées, et une très belle bite qui s'étalait devant lui, elle était superbe, bien droite, bien large, tout comme je les aime, bien longue.


Il me regardait avec insistance, enfin il insistait sur ma cage pour être précis.


J'adore ce truc, au moins on connaît les rôles. Sa queue se redressait un tout petit peu.


Il prenait encore une part de pizza …


Mais ça fait longtemps que tu portes ça .

Plus d'un an.


Sa queue se relevait encore un tout petit peu.


Wouasssss ! Terrible. Et depuis ce temps tu n' as rien fait, tu ne t'est pas branlé.

Non je me suis pas branlé mais j'ai fait des trucs.


Sa queue prenait un peu plus de volume.


Tu as de super grosse couilles. C'est normal ?

C'est l'anneau de la cage, ça fait souvent ça !


Tout en avalant sa pizza, il me regardait. Sa bite avait bien grossie et était devenue une grosse molle, elle ne se relevait pas vraiment mais là, c'est moi qui ne le quittait pas des yeux. Elle était encore plus belle, bien plus belle comme ça.


Je me disais que totalement en érection elle devait être vraiment impressionnante. Il terminait sa part de pizza et se penchait en arrière, il allongeait et écartait ses jambes.


Je me suis rapproché et je me penchais sur lui, sur sa queue, je la prenais dans la bouche.


J'ai failli attendre ! Déclarait-il.


J'ai failli pouffer de rire mais je me concentrais, et c'est en prenant bien mon temps que je lui suçais la queue. Rapidement elle prenait tout son volume. Elle était bien grosse et bien grasse, il était circoncis et son gland brillait, je l'admirais quand je relevais la tête et que je le caressais.


Il me caressais les cheveux et m'encourageait. J'avais plus de mal à me la prendre dans la bouche, heureusement ça rentre plus facilement dans le cul que dans la bouche. Mais ça c'est parce que le cul n'a pas de mâchoire.


On pousse et hop, ça glisse. C'était là mes réflexions pendant que je m'activais à lui faire plaisir. Je l'imaginais me la glisser dans le cul. Elle était tout de même de très belle taille et je me disais qu'on devait la sentir passer. Cette idée me faisait un peu peur mais ne m'arrêtait pas.


Je continuais à faire de mon mieux pour avaler sa bite, il appuyait sur ma tête, et si tout avait commencé en douceur, maintenant il y allait plus fort, il n'y avait aussi plus de douceur, j'aime bien moi aussi quand il n'y a plus de douceur.


Il soulevait son bassin par a coup, je me prenais sa queue dans la bouche, elle était trop grosse mais parvenait à s'y loger, je ne pouvais plus respirer mais ça ne le dérangeait pas …



A suivre



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