Tou big tou cage 09 On s'améliore

 Tou big tou cage 09

On s'améliore




Xavier était ravi.


– Tu as fait de très beau progrès en massage, la je te mets cinq sur dix, mais c'est aussi parce que je t'aime bien. Pour ce qui est du câlin tu es top.


Il passait sous la douche mais il y entraînait Alexandre. Pas question de lui donner le moindre plaisir sexuel, ce serait désormais la norme. Mais un câlin c'est pas pareil, ça c'est permis. En plus un câlin, sans lui donner aucune libération, aucun plaisir sexuel, aucune jouissance ça va dans le sens recherché, la frustration.


Un rendez-vous était pris pour la semaine suivante le vendredi soir. Alexandre promettait une totale abstinence. Il ne se donnerait aucun plaisir anal, il ne se masturberait pas. Il faut savoir, ce n'est écrit dans aucun mode d'emploi mais si on remue la cage, la bite qui est dedans et les couilles, si on s'énerve bien comme il faut on peut arriver à juter et à jouir. 


C'est pas très confortable mais ça marche, certains arrivent comme ça à jouir avec éjaculation tous les un ou deux mois. Bon, ça reste entre nous, vous  ne le répétez pas surtout. 


Il promettait de ne pas jouer avec ses godes, surtout pas. Bref abstinence totale. Alexandre commençait déjà à le regretter et se demandait dans quel état il serait à la fin du défi. Surtout que déjà il était dans un état de frustration et de manque qu'il n'arrivait pas calmer en vivant avec les limites habituelles.


Alexandre revenait chez lui. Il était dans un état de tension sexuel extrême. Ses camarades étaient toujours là, ils jouaient à la console de jeux. Alexandre décidait de partir faire un peu de sport, il s'habillait en conséquence et partait sans rien dire. Il a couru, il a couru il a fait plus de vingt kilomètres le bougre et c'est épuisé qu'il revenait a la maison. Il n'y avait plus personne. Il prenait une douche, préparait son souper et replongeait dans son livre.


Il l'ouvrait au chapitres '' Conseils pratiques pour une abstinence réussie ''. Comment tenir le coup, ça devenait une préoccupation pour lui. Le programme à venir était simple, Abstinence sexuelle totale et une fois par semaine il donnerait du plaisir à un homme qui avait un corps superbe, et une bite magnifique, il le ferait grimper au rideaux mais se priverait lui même de toute jouissance … 


Vous tiendriez combien de temps vous ? Moi je meurs au bout de deux jours … ( note de l'auteur ) … Enfin peut être trois.


Bref il avait bien besoin de petits conseils. On lui conseillait de faire du sport, et des activités physiques qui lui permettraient de dépenser son surplus d'énergie. On lui conseillait aussi la Méditation Zen ou un truc en tout cas qui s'en inspirait. 


Le sport, c'était fait. Il prenait alors la position du lotus ( assis en tailleur ) et commençait à méditer. Si on en croit certains philosophes, il suffit de faire le vide dans sa tête et de laisser ses pensées vagabonder …


Et bien ce soir elles n'ont pas vagabondé bien loin, quelques secondes plus tard il se demandait s'il ne se sentirait pas mieux avec un gros plug dans le cul …


Quelques instant plus tard il s'imaginait assis sur un gros gode vibrant, il faudrait d'ailleurs qu'il en achète un et … Finalement ce n'était pas vraiment concluant la méditation. Il reprenait sa lecture.


Comme j'ai du vous le dire, le contenu du livre était explicite, si j'avais oublié, maintenant c'est fait ! Le livre donnait tout un tas de conseils très précieux, et pour mieux sucer les queue, il conseillait de s'entraîner  sur un gode. La technique est simple, on le pose sur un support stable et on appui la tête en le prenant en entier dans la bouche. Il faut surtout que les dents ne le touche pas. 


On recommence ainsi plus de cent fois de suite, on relève la tête et on recommence. Le livre conseillait un gode de grosse taille, il faut savoir se préparer pour toutes les éventualités … Il est inutile au début de garder le gode dans la gorge longtemps, on appui la tête et on la relève …


Alexandre faisait un essais, au troisième mouvement il se disait que ce serait plus agréable de se le prendre dans le cul. Au cinquième il se disait que c'est plus facile de se prendre une bite dans le cul que dans la gorge. À dix, il craquait en se disant … '' Mais c'est un boulot de fou ça ! ''. Il en arrivait à se demander s'il ne ferait pas mieux de renoncer. De laisser tomber, de continuer son boulot à la PK compagnie ( en fait il travaillait pour une de ses filiale ) et de renoncer à changer de carrière. 


Vous commencez à comprendre ? Il n'osait même pas se l'avouer, ce serait une sorte de trahison pour son milieu social, sa famille, son père qui portait un dispositif depuis des années, pour son petit frère qui allait fêter ses seize ans et qui aurait tout un tas de cadeaux d'anniversaire le jour ou lui aussi mettrait un tel dispositif. Enfin il n'osait pas se l'avouer mais il voulait faire autre chose de sa vie. Il voulait pourvoir s'amuser avec son corps, sa bite, son cul et le métier que faisait Xavier le lui permettrait. 


En plus c'était super bien payé.


Au bout de quelques jours, la seule chose que lui apportait les séances de méditation c'était la prise de conscience de cette situation. Il prenait conscience qu'il voulait en fait changer de vie et que c'est ça qui le guidait. 


Là il a commencé enfin à se sentir apaisé. Il avait hâte mais il était apaisé. 


Tout son emploi du temps était désormais orienté vers cette formation. Le jour il bossait, il était très apprécié dans son boulot. Il se disait que si jamais cette nouvelle formation ne marchait pas il pourrait toujours continué. Il faisait un peu plus de sport que d'habitude, de la méditation. Et si jamais la méditation le conduisait à des pensées trop érotiques, il laissait faire. Remarquez il n'avait pas le choix, ou alors il fallait qu'il arrête la méditation Zen .


Mais enfin il était  Zen tout de même.


Le soir il étudiait. Il s'était procuré un cours. En fait tout était dans ce gros livre indigeste que lui avait conseillé Xavier mais le fascicule de cours lui indiquait les sujets qu'il fallait étudier.


Au milieu de la semaine Régis passait le voir.


– Qu'est ce que tu deviens bonhomme, on te vois moins ces derniers temps ?


Il apercevait le livre.


– Tu étudie le massage toi maintenant ?

– Enlève tous tes vêtements et allonge toi là ! Lui répondait simplement Alexandre.


Régis lui répondait par un large sourire et s'exécutait sans aucune hésitation. 


– Sur le ventre ou sur le dos ?

– Comme tu veux, de toutes façons on fera recto verso.


Pour cette séance improvisée, Alexandre préférait oublier le protocole. A cette époque ça faisait plusieurs semaines qu'il était devenu l'élève de Xavier et il était chaud comme la braise. Il n'avait aucun contact physique en dehors de ces séance de massage et absolument aucune stimulation sexuelle en dehors de … heu, en dehors de rien du tout, il n'avait aucune stimulation sexuelle, il ne s'accordait aucun plaisir de cette nature.


Il avait le feu au cul l'Alexandre. Vous auriez cassé un œuf sur son cul, il était cramé en dix secondes !


Alexandre respirait bien fort, il redevenait très Zen, très professionnel et considérant que c'était un client, qu'il ne le connaissait pas il procédait. Au bout de quelques secondes seulement Régis gémissait de plaisir.


– Oh oui là c'est bon, je ne savais pas que tu savais faire ça … Mais tu es un vrai pro ! Tu fais ça mieux que le dernier masseur qui ma tripoté la couenne toi.


Alexandre appréciait le commentaire mais continuait d'une manière très professionnelle. 


– Au fait, je me suis un peu coincé un muscle à la base du cou à droite, tu pourrais regarder ça ?

– En effet monsieur, ça ne m'a pas l'air bien grave, détendez-vous je vais m'en occuper.


C'était des gémissement de plaisir, par moment on aurait dit qu'il jouissait le Régis. Pourtant Alexandre n'en était qu'au niveau des omoplates … Quand il a touché les reins, Régis criait presque de plaisir.


Jusqu'à ce moment là, Alexandre était resté très professionnel.


– Mais tu es toujours comme ça quand on te fait un massage toi ? Là il craquait.

– Ah toujours, mais tu ne peux pas savoir comment c'est bon et je te jure, là je n'exagère pas mais tu es le meilleur masseur que j'ai eu depuis des années !

– C'est gentil, je te remercie du compliment, ça me fait très plaisir.

– Tu sais que tu pourrait devenir professionnel ?


La Alexandre ne répondait pas et continuait sur les fesses.


– Tu peux me faire un petit plaisir pendant que tu en es là ? 


Le client était très demandeur ce jour là. Mais Alexandre se souvenait qu'il ne fallait pas aller trop vite, aussi il refusait en expliquant que la séance n'était pas finie.


Ensuite c'était les cuisses, les genoux, les chevilles, les pieds. Alexandre n'oubliait rien. Il invitait son client à se retourner. Il contrôlait que la petite gène au niveau du cou avait disparu. Régis braillait de plaisir, on avait l'impression qu'il en rajoutait, mais bon …


Puis c'était reparti pour le côté face … Régis ronronnait … Alexandre restait très concentré mais quand il arrivait au niveau des cuisses, il se retrouvait face à un joli dispositif de chasteté en métal.


– Tient, c'est nouveau ça ?

– Tu as vu, il m'ont fait un prix !


Alexandre lui caressait les couilles, il voyait sa queue qui occupait déjà tout le volume mais qui tentait de prendre encore plus de volume. Régis bandait ferme là dedans.


– Mais cette cage est plus petite ?

– Exact, j'ai suivi le conseil du serveur au bar, j'ai pris une taille quatre. Daniel à fait pareil. 

– Il a mis une quatre aussi …

– Et toi, tu passes quand à une taille plus petite ?

– Oh tu sais, moi pour l'instant …


Alexandre continuait à caresser les cuisses de Régis, il avait massé les jambes et les genoux, avait manipulé les chevilles comme il convient, maintenant c'était le moment du plaisir. Maintenant c'était le moment du câlin.


Alexandre sentait sa queue manifester de plus en plus, il sentait la frustration monter en lui. Ces derniers temps, elle était présente en lui en permanence mais là, c'était un sommet. 


Avec force, avec douceur il massait les couilles de Régis qui écartait les cuisses tant qu'il pouvait. Puis Alexandre glissait une main entre les cuisses, des doigts entre les fesses et pour finir un doigt dans le cul de Régis.


Il se penchait alors sur le corps de Régis qui ronronnait de plus en plus fort maintenant et l'embrassait, il le couvrait de baisers et le mordillait même avec tendresse. Là Régis tremblait de plaisir. 


Alexandre glissait son doit de plus en plus profond et appuyait sur la prostate. Le massage de la prostate faisait l'objet d'un chapitre, Alexandre avait déjà de l'expérience mais là il était devenu un véritable expert.


Régis poussait un cri, ça lui avait échappé, mais ce n'était que du plaisir. Un deuxième doigt suivait et le massage de la prostate devenait plus intense. 


Régis se tordait de plaisir sous l'effet de ce massage profond, sous les caresses sur ses couilles et sous les baisers, les morsures, les douces morsures que lui prodiguait Alexandre.


Alexandre suivait la situation de très prêt, il était tellement concentré qu'il en oubliait sa propre frustration. Il ressentait presque ce qu'il faisait à Régis, et quand il a tremblé, quand il a joui, quand il a éjaculé, Alexandre ressentait comme une libération en lui. C'était la première fois que cette sensation était aussi forte. Il avait presque joui en même temps que son client.


Régis devenait tout mou, il n'essayait plus de bouger, on avait presque l'impression qu'il dormait.


Alexandre reprenait son souffle, il était retourné, la frustration se rappelait à lui et de nouveau prenait toute la place dans son esprit. Il essuyait son client avec douceur, il se sentait vidé et en manque. Sa queue lui faisait presque mal dans sa cage. 


Un instant il se demandait s'il ne devrait pas lui aussi passer à une taille plus petite mais se rappelait que son but était de vivre sans …


– Tu devrais devenir professionnel toi tu sais. Je serais client, ça tu peux me croire et des clients je saurais t'en trouver. Lui disait Régis d'une voix monotone sans même ouvrir les yeux.


A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


Tou big tou cage 08 De moins en moins facile

 Tou big tou cage 08

De moins en moins facile




Cette soirée avait été chaude. Régis et Daniel étaient resté dormir sur place. Les trois garçons se réveillaient un peu étourdis, un peu satisfaits et très frustrés.


C'est bien beau de s'amuser avec des bites en plastique, se disait Alexandre. Mais s'amuser avec sa propre queue, sa vraie queue c'est mieux, bien mieux. Sucer la queue d'un mec, une vraie queue c'est mieux que de sucer un gode, et puis personne ne suce un gode, c'est ridicule. Se disant cela, Alexandre pensait à son nouvel ami, Xavier. 


Lui, Xavier ne portait pas ce genre de dispositif de chasteté à la con. Alexandre commençait à en avoir marre de ce truc. Il le supportait bien mais il voulait le retirer. Malheureusement il ne le pouvait pas. Il était maintenant, tenu d'une certaine manière par un contrat, un boulot. Oh le contrat pouvait facilement être rompu mais que ferait-il fait ensuite. C'est toute une carrière qui se serait évaporée.


La carrière se précisait, tout comme pour son ami Régis, sa ligne de vie s'écrivait le plus naturellement du monde. Le stage se terminerait quelque mois plus tard, puis ce serait alors un contrat à durée indéterminée, puis il suffisait de suivre le mouvement. Quarante ans plus tard, ce serait la retraite …


Tout était prévu, il avait été programmé pour cette vie. Jusque là il l'avait bien aimé mais c'était avant de rencontrer Xavier, avant de se rendre compte que tous les hommes ne portaient pas forcément ce dispositif. Mais il restait attaché à ce dispositif. C'était des sentiments contradictoires qu'il éprouvait. Dans son monde, celui de ses proches, de ses amis ainsi que celui de ses collègues de travail, tous les hommes portaient ce genre de dispositif. 


En début d'après midi il allait traîner vers le quartier ou habitait Xavier. Il ne pensait plus qu'à lui. Le petit bar ou ils s'étaient retrouvés n'était pas loin de là ou habitait Xavier. Il traînait dans le quartier, passait deux ou trois fois sous la fenêtre de son ami, mais n'osais pas sonner. Il avait une copine et ce ne serait pas une bonne idée que d'arriver comme ça sans prévenir. 


Il se rendait au bar, s'installait juste derrière la vitre et regardait les gens passer. Au bout d'un moment c'est Xavier qui passait. Alexandre sursautait mais ne savait pas quoi faire. Xavier était seul.


Xavier le voyait et lui lançait un large sourire en le saluant de la main. Il entrait et venait s'installer à la table d'Alexandre.


– Ça va depuis l'autre jour ? Demandait Xavier. 

– Oui ça va. Tu sais j'ai beaucoup potassé ton bouquin depuis l'autre jour.

– Tu veux devenir masseur ou quoi ?

– Non, ma carrière est déjà tracée, mais ça peut servir de savoir donner du plaisir à un mec … Ou à une fille.

– Ah ça les filles, elles adorent ça. Surtout si tu portes un dispositif de chasteté. Elle se sentent plus libre avec un homme qui porte. Elle savent comment ça doit se passer. Ils leur donnera du plaisir et c'est tout, c'est clair, c'est simple et c'est tout bénef pour elles.

– Oui mais pour le mec … 

– Ah pour le mec c'est ceinture et frustration … 


Il commandait une bière.


– Et toi avec ta copine, ça se passe comment ? Lui demandais-je.

– Ma copine ?

– Tu m'as dit que tu avais une copine …

– Ah oui mais ah mais non, j'ai pas de copine, c'était juste pour te tenir à distance. C'est ce que je dis à tout le monde.


La discussion continuait encore un long moment. Alexandre apprenait qu'il gagnait bien sa vie le petit Xavier. Il ne travaillait pas le samedi et le dimanche. Alexandre comprenait pourquoi il ne voulait surtout pas perdre son boulot. C'était un boulot en or.


Au milieu de l'après midi ils se retrouvaient tous les deux chez Xavier. 


– Si tu veux je te prends comme élève. Lui disait Xavier en rigolant.

– Tu peux vraiment avoir des élèves ?

– J'ai mon diplôme ! 

– Et ça suffit ?

– Non ça ne suffit pas mais je peux tout de même t’apprendre. 

– Ça marche, je suis ton homme. Pardon, ton élève !


Xavier rigolait.


– Alors c'est d'accord. Mais on va y mettre les règles. Je t'avais dit que je n'avais jamais porté le dispositif PK, en fait c'est pas vrai. Je l'ai porté pendant plus de six mois, pendant ma formation.


Alexandre l'écoutait avec de grands yeux.


– Ils nous ont enseigné à l'école que pour pouvoir donner du plaisir, tout le plaisir qui peut se donner, tu dois être abstinent. Totalement abstinent. Tu pourras alors tout donner.

– Mais ça doit être frustrant ?

– Ce sont les mois les plus fous que j'ai vécu. Tu le portes depuis combien de temps toi.

– Six ans …

– C'est un truc de fou ça. Et tu fais comment pour tenir. 

– Bein à s'amuse, un doigt, un gode, un plug, un gode ceinture … On n'est pas des sauvages.

– J'ai dit abstinent. Totalement abstinent.


Alexandre le regardait avec de grands yeux et la bouche ouverte, ce qui ne lui donnait pas vraiment un air intelligent. Xavier rigolait en le voyant comme ça.


– Abstinent … répétait Alexandre.

– Tu le tentes ?


Alexandre réfléchissait quelques instants puis hochait la tête de haut en bas.


– Tu as le droit de sucer, de caresser, de donner du plaisir par le cul si ton partenaire te le demande. Enfin, tout pour lui, rien pour toi. Tu tentes ?


De nouveau Alexandre hochait la tête de haut en bas.


– Tu sais que je le saurais, je le sentirais.

– Parole, c'est un truc de fou mais je tente. Concluait Alexandre.

– Bien on commence tout de suite, tu n'a pas le droit de te stimuler sexuellement, ni le sexe, ni le cul. Tu vas me faire grimper au rideaux, mais pour toi rien.


Xavier commençait à se déshabiller. Il regardait Alexandre et lui demandait … '' Bon, alors, tu m'aides ? ''. Alexandre réagissait et l'aidait à se déshabiller. 


Il s'appliquait Alexandre, il restait concentré sur ce qu'il faisait. Le défi était sérieux. Il avait le droit de donner des baisers, et rapidement il caressait doucement la peau qui se dégageait, suivaient ensuite des baisers suivaient sur la peau ainsi mise à nue.


Xavier ne cachait pas un large sourire, il était ravi le petit Xavier. Les mains de son camarade se promenaient sur tout son corps, elles étaient douce, au niveau massage c'était toujours aussi nul mais au niveau câlin, Alexandre était au top.


Xavier écartait les bras, il était alors torse nue, il se mettait face à Alexandre et le laissait lui ouvrir son pantalon, Alexandre avait compris le principe et ouvrait le ceinturon puis la braguette, il retirait doucement le pantalon, le repliait et le posait sur une table. Il se rappelait tout ce qu'il avait lu.


Xavier se retrouvait entièrement nu, avec une très belle érection. Alexandre se penchait vers son camarade et rapide le suçait, juste quelques instants, pas plus. Xavier laissait faire, il ne lui répondait même pas en lui touchant les cheveux, il ne faisait rien. Alexandre était un peu dérouté mais la encore il se souvenait avoir lu un chapitre qui traitait de ce sujet.


Xavier s'allongeait sur le dos et écartait ses bras en croix. Alexandre se retrouvait devant ce corps nu et magnifique, devant cette bite magnifique en pleine forme. Il commençait les caresses, douces au début puis plus fermes. Longuement sur chaque bras, il dosait la douceur, l'extrême douceur de la caresse et la force, la force qu'il fallait utiliser pour appuyer sur un muscle, pour détendre les articulation, force raisonnable et contrôlée, il ne s'agissait pas de lui arracher la tête mais de lui détendre les muscles du cou et des épaules. 


Xavier qui connaissait bien le problème acquiesçait, son tout nouvel élève assurait cette fois-ici.


N'ayant reçu aucune consigne, Alexandre était resté habillé. Il avait bien sûr retiré son blouson mais gardait sa chemise et son pantalon. 


Pendant qu'il se penchait sur Xavier, pour lui caresser le torse, en partant des épaule jusqu'au ventre, Alexandre en profitait pour lui faire des papouilles qui devaient le chatouiller. Xavier riait de plaisir, il était surpris et amusé, il laissait faire. 


Puis les caresses descendaient vers les cuisse de Xavier, l'intérieur, l'extérieur des cuisses avec douceur, avec plus de force. Il bandait ferme, vraiment ferme. Alexandre en profitait pour tripoter doucement cette superbe bite qu'il avait sous les yeux. Il se souvenait qu'il ne fallait pas y aller trop vite. 


Suivaient les jambes et les chevilles. Alexandre semblait s'en sortir plutôt bien, il savait détendre les articulations. C'est vrai qu'il connaissait bien la chose, mais uniquement comme client.


Puis je vous demander de vous retourner sur le ventre monsieur ?

Alors c'est très bien, très bonne intervention ! Rajoutait Xavier.


Alexandre reprenait sur le dos, les caresses partaient du cou et comme plus tôt descendait le long du corps, il s'attardait sur les articulations. Xavier était en forme et prenait soin de son corps, c'était donc la détende et le plaisir qui étaient recherché en premier, comme le développait un chapitre lu peu avant. 


Alexandre était très concentré mais quand il arrivait aux fesses, il s'imaginait lui défoncer le cul et là, sa queue se faisait remarquer. Jusque là, très étrangement, tout allait bien mais à partir de là ça devenait l'enfer, l'enfer de la frustration. Il se souvenait de ce choix d'abstention totale qu'il avait accepté et déjà le regrettait. Enfin si le client était content il pouvait décider d'enculer le masseur, c'était sa seule chance. Mais quelque chose lui disait qu'il ne faudrait pas compter dessus.


Il lui massait longuement les fesses et avait un mal fou à se retenir, il avait envie d'y glisser un doigt. Xavier le remarquait.


Tu t'attarde un peu trop sur mes fesses là !


Alexandre passait à autre chose. Tout le corps de Xavier y passait même les doigts. Là Xavier était surpris mais il appréciait.


Il se laissait aller un petit moment, son corps était tout mou. Il se retournait sur le dos de nouveau.


– J'aimerais bien un petit massage coquin mon brave.

– Mon brave ! Pfff ! S'exclamait Alexandre.

– Alors là tu viens de perdre cinq points ! 


C'est en dodelinant de la tête que Alexandre reprenait mais là il ne s'intéressait plus qu'au sexe de Xavier. 


Pour commencer il lui suçait la queue, c'est toujours de bon goût et Alexandre sait faire, il avait pu s'entraîner pendant quelques temps avec ses camarades de fac qui avaient retiré leur dispositif pendant les vacances.


Les gémissements d'Alex confirmaient qu'il aimait, qu'il aimait bien même et en redemandait. Alexandre lui suçait les couilles, lui gobait la queue, le masturbait pendant de longues minutes. Il faisait une pause et en profitait pour lui embrasser les tétons et le caresser à ce niveau en particulier. 


Il revenait à la queue de Xavier et de nouveau la suçait. Il pensait que Xavier allait jouir rapidement mais rien ne venait. Alexandre insistait, il semblait s'énerver le masturbait un peu plus fort.


– Tu t'énerves là, Alexandre, tu t'énerves. Il faut laisser aux choses le temps qu'il faut … 


Alexandre soupirait mais se concentrait de nouveau, et de nouveau il caressait la queue de Xavier avec sa langue, avec ses mains, il lui tripotait les couilles avec douceur. Puis la mains de Xavier se posait sur la nuque d'Alexandre et appuyait avec force.


La queue de Xavier entrait lentement jusqu'au fond de sa gorge. Alexandre avait du mal à suivre mais parvenait à encaisser … A cet instant il se disait qu'il lui faudrait de l'entraînement et pensait à ses godes.


Xavier se contractait, il respirait plus fort, il balançait quelques coup de bassin et finissait par éjaculer dans la gorge d'Alexandre. 


Alexandre était surpris et tentait de se retirer mais Xavier le retenait avec force. Alexandre n'avait plus qu'à avaler, puis il suçais longuement cette queue juteuse. Quand il pouvait enfin relever la tête, il la laissait propre, aucune goutte n'avait coulé à côté. 


Sa frustration était totale. C'est seulement quand il aurait du se calmer que sa queue se manifestait avec colère. Elle réagissait seulement à ce moment quand la concentration diminuait, elle réagissait en voyant que pour elle il n'y aurait rien. Aucun plaisir, aucune stimulation, pas une caresse, pas de tripotage, juste la froideur métallique de la cage en titane. Une cage froide, dure, indestructible qui ne laissait aucun espoir pour des mois.


Alexandre n'avait même pas eu une caresse sur les fesses, même pas un baiser sur les lèvres. Sa mission, sa seule mission avait été de donner du plaisir pas d'en recevoir.


Mission accomplie !


A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


Tou big tou cage 07 Pas facile tous les jours

 Tou big tou cage 07

Pas facile tous les jours



Le reste de la soirée était dure pour Alexandre. Son nouveau copain Xavier n'avait eu aucune pitié et ne lui avait pas donné le moindre petit plaisir. Par contre il en avait pris du plaisir lui. Alexandre l'avait senti vibrer, trembler de plaisir sous ses mains, il l'avait senti gémir dans ses bras mais il attendait plus que de simple câlins en remerciement.


Il rêvait à la queue d'Alex avant de s'endormir, puis il a sans doute continué à rêver à la queue d'Alex après …


Le lendemain la frustration de la veille le portait comme un véritable stimulant. Il bandait dans sa cage dès son  réveil. C'est même ça qui l'a réveillé. Il regardait l'entre jambe de tous les mecs qu'il rencontrait pendant toute la journée. Il sentait sa queue protester également. 


Il s'est plongé dans le travail, au bout de quelques jours, il recevait quelques commentaires, des félicitations uniquement. Mais on l'invitait aussi à lever le pied en lui disant qu'il ne tiendrait pas longtemps à ce rythme. Ils sont comme ça à la PK, ils tiennent à leurs collaborateurs et s'ils travaillent beaucoup ils savent aussi qu'il faut savoir s'arrêter de temps en temps.


Au bout d'une semaine Alexandre était sur les rotules. Le jour, tous les jours il s'était donné à fond à son boulot, le soir il étudiait les cours dans son livre de fous, il ne lui restait que les nuits pour vraiment se reposer et elles étaient courtes … les nuits …


Ce samedi matin il ne s'est pas levé, il a préféré attendre l'après midi pour cela. Il se retrouvait enfin vraiment reposé. Il commençait à être un peu moins tendu. Ce jour là, c'est surtout au moment ou il se levait que sa queue protestait, ensuite elle se calmait. Elle se calmait enfin. Elle avait manifesté, elle s'était fait remarquer, et pas d'une manière discrète ou agréable, pendant toute la semaine. 


Il retrouvait ses camarades, Régis et Daniel, qui étaient ses plus  proches amis. Eux aussi étaient tendu, ils ne le lui cachaient pas. 


– Je regrette presque d'avoir retiré mon dispositif pendant ces vacances. Faisait remarquer Régis.

– C'est plus dur de reprendre. Rajoutait Daniel. Moi c'est pareil.

– Et toi Alexandre ? Ça se passe comment pour toi, tu ne l'a pas retiré depuis combien de temps.

– Moi ! Répondait Alexandre. Je l'avais mis comme vous un peu avant notre entré en fac, il y a six ans.

– Et tu ne l'as pas retiré depuis donc ?

– Bein non. Mon stage a commencé juste après l'examen. 

– Et ça se passe bien. Demandait Daniel.

– Hélas oui ! Répondait Alexandre.

– Hélas ?

– Oui hélas, concluait Alexandre. Si le contrat est confirmé, soit j'y renonce, soit je garde le truc pendant je ne sais combien d'années …

– Ou le reste de ta vie … Rajoutait Régis.


A ce commentaire, Daniel et lui éclataient de rire. Mais Alexandre, lui, ne riait pas. 


Ils ont passé la journée ensemble, ils ont fait du sport. Alexandre se donnait à fond. Il avait de l'énergie à dépenser, il pensait à Xavier, il revoyait ce garçon superbe et sa queue qui était toujours libre. Il imaginait sa propre queue se balancer lourdement devant lui, il aurait tellement aimé la sentir grossir, la sentir se relever, se redresser avec force. Ce n'était plus qu'un souvenir, et il était déjà lointain. Il était le premier surpris de voir qu'au bout de six ans, il y avait toujours ce manque.


A de nombreuses reprises pendant la semaine sa queue à protesté. Il ne pouvait pas s'empêcher de regarder la bosse plus ou moins grosse que tous les hommes portent entre les cuisses. Et si jamais il avait l'impression qu'un de ces hommes pouvait ne pas porter de dispositif, peut être seulement, s'il avait seulement un doute, alors là c'était l'enfer.


Instantanément sa queue protestait comme une folle. C'en était presque douloureux, presque seulement mais c'était vraiment très inconfortable, et là c'était pas presque. 


Alexandre avait toutefois l'habitude de porter ce dispositif et ne montrait rien de tout ce qu'il ressentais. Personne ne se doutait de l'enfer qu'il vivait par moment. Peut être d'ailleurs que ses camarades étaient dans le même état que  lui. C'est un sujet qu'on abordait rarement.


Le soir là ils se sont fait un restaurant. Ils connaissaient bien l'endroit, vous savez c'est là que le serveur leur avait dit qu'il portait une taille deux mais qu'il portait une taille cinq au départ.


Ils discutaient entre eux.


– C'est pas tous les jours facile les mecs. Vous vous en sortez comment vous ? Demandait Alexandre.

– Moi en général ça va mais c'est vrai que depuis que je l'ai remis c'est plus dur. Déclarait Régis.

– C'est un peu comme au tout début ! Rajoutait Daniel. Vous vous souvenez quand on a commencé ? 


Ses camarades le regardaient sans trop comprendre.


– Mais si, les premiers jours, les premières semaines.

– Les premiers mois. Rajoutait Régis.

– Les premières années. Concluait Alexandre.


Le serveur les avait entendu et intervenait.


– La solution, les jeunes, c'est de réduire. Vous prenez une taille plus petite, régulièrement. Quand je portais ma cage taille cinq, j'avais souvent des tensions. Maintenant que je porte une taille deux. Je vous jure, là je n'ai plus aucune gène. 

– Oui mais trop serré, je ne sais pas. Moi si je mets une petite cage taille deux, je meurs ! Faisait remarquer Daniel.

– Mais qui vous parle les jeunes de passer de la taille cinq à la taille deux. Commencer déjà par la quatre pendent six mois …


La discussion continuait pendant toute la soiré, puis les trois jeunes finissaient par rentrer. Il se retrouvaient chez Alexandre.


Régis commençait par se mettre à poil.


– Avec un dispositif de chasteté, même sur une plage familiale, on est décent. Alors, entre nous … 


Ses camarades rigolait mais faisaient de même. Au bout de quelques minutes ils étaient tous nus, entièrement nus, enfin autant qu'ils le pouvaient. Ils portaient toujours ce petit truc qui faisait qu'ils n'étaient jamais nus.


– Tu as raison. Continuait Daniel. On n'est pas nu en fait. 

– Et peut être que certains d'entre nous ne le seront jamais plus … Avait rajouté Alexandre.


Ça avait lancé comme un froid, remarquez, on était encore en été. Les trois garçons se regardaient sans rien dire. 


– Tu peux sortir les jouets ? Demandait bêtement Régis.


Cette proposition était bien accueillie et Alexandre s'exécutait. Comme vous avez pu le remarquer, ce monde peut paraître prude mais la ' pruditude ' se définie par le port permanent d'un dispositif de chasteté, rien de plus. Pour le reste l'utilisation de jouets sexuels n'avait rien de scabreux, et comme beaucoup de jeunes homme Alexandre était équipé. 


Il ramenait un gros carton dans lequel il y avait plusieurs godes, des plugs et deux harnais pour se fixer un gode à la ceinture. Régis était le plus rapide, il attrapait un beau gode, pas le plus gros mais certainement pas non plus le plus petit. Il le posait sur le sol, le lubrifiait bien comme il faut et sous les yeux attentifs de ses camarades, il s'empalait dessus.


Le gode s'enfonçait rapidement, Régis faisait une grosse grimace. On pouvait voir qu'il était sous tension ou sous pressions, c'est comme vous voulez. Dans sa cage sa queue tentait de bander de toutes ses forces et ce, avec désespoir. 


Il avait besoin de se détendre, il y allait un peu fort, il était en manque et avait besoin de ressentir des sensations fortes. Il se laissait tomber sur le sol, le gode dans le cul, ses fesses s'écrasait sur le parquet et le gode s'écrasait on ne sait ou dans son ventre. 


Il a gémi le petit Régis, c'était un peu de plaisir, c'était un peu de douleur, c'était ce qu'il lui manquait … Ses camarades restaient sans voix. 


Régis gémissait …


– Ils m'ont proposé un contrat de cinq ans. Déclarait Régis.

– Mais tu viens juste de commencer.


Régis allongeait les  jambes, il était empalé, vraiment empalé sur son gode et on devinait qu'il devait le sentir passer. Il relevait la tête en arrière, respirait fort.


– J'ai vérifié les statistiques. Plus de quatre vingt quinze pour cent des stagiaires qui entre comme moi dans cette entreprise y font carrière. Et par conséquent …


Il continuait à se tortiller sous l'effet de son gode dans le cul. Puis reprenait.


– Par conséquent … Ah la vache , j'y suis allé un peu fort la … Par conséquent ne retirent jamais leur dispositif !

– Ah ouai ! Concluait Alexandre.

– Comme tu disais, s'il n'y en a qu'un qui ne doit plus jamais être nu, les mecs … C'est moi !

– Et ça te fait quoi ? Demandait bêtement Daniel. 

– Je ne sais pas, j'ai appris ça cet après midi. Ça me fait tout drôle, je suppose.


Alexandre brandissait un gode ceinture. 


– Personne ne veux s'amuser avec mon cul ? Demandait-il .


Ses deux autres camarades rigolaient à la question. 


– Passe moi le truc. Répondait Daniel.


Ils se le fixait rapidement, c'était pas la première fois il avait l'habitude. Alexandre prenait position, à quatre pattes au milieu de la chambre. Daniel se lubrifiait sérieusement son gode. Puis s'approchait de son pote Alexandre. Il regardait Régis, lui faisait un sourire vicieux et s'enfonçait d'un mouvement rapide. 


Alexandre hurlait, il ne s'y attendait pas. C'est lui qui avait choisi la taille du gode mais il ne s'attendait pas à ce que son copain l'encule sans le préparer, comme ça, à froid. Et c'est de douleur qu'il gémissait. Toutefois il était lui aussi en manque et laissait faire, c'est peut être ça qu'il lui fallait. Un bon coup de bite dans le cul, violent et rapide.


Daniel maintenait le gode bien enfoncé, il écrasait son ventre sur les fesses d'Alexandre. Celui-ci respirait fort, on avait l'impression qu'il suffoquait, il tremblait, il faisait une grimace à faire peur.


– Ça va Alexandre ? Demandait Daniel.

– T'occupe pas de ça et vas y défonce moi le cul.

– Ok ! Répondait seulement Daniel.


Il se retirait alors sur presque toute la longueur du gode, rajoutait une bonne dose de gel et s'enfonçait de nouveau sans aucun ménagement. Alexandre râlait, gémissait, gueulait. Il dégustait le pauvre, ça se voyait que c'était douloureux mais il en avait pris d'autres dans le cul et comme c'est lui qui demandait … Daniel ne se retenait pas, son entrée avait été fracassante la suite le restait tout autant. 


Sans plus attendre, sans laisser le temps à son camarade de récupérer il lui limait le cul avec vigueur, force et régularité. Alexandre râlait, de plus en plus fort. Il braillait, il pleurait mais il ne tentait même pas de se retirer. Il avait vraiment besoin de sensations fortes. 


Et là il était servi.


Régis sans se faire  remarqué avait passé une sangle pour empêcher son gode de ressortir. Il se levait et préparait un plug, pas le plus gros, celui qui est juste un peu plus petit. Il s'approchait de Daniel qui limait le cul d'Alexandre à ce moment.


– On ne bouge plus ! Disait Régis.

– Tu es gonflé. Répondait Daniel pendant que Régis commençait à lui glisser le plug dans le cul. Mais tu aurais pu demander avant !

– Et tu aurais dis quoi ? Rétorquait Régis .

– Oooooh oui, vas y c'est bon. S'exclamait Daniel.


Au bout de quelques instants le plug disparaissait dans le cul de Daniel qui recommençait à limer le cul D’Alexandre.


La fièvre était monté très vite, ils étaient en manque tous les trois, et ce soir là ils se sont défoulé. Ils en avaient besoin. 


A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


Tou big tou cage 06 De la lecture mais pas que

 Tou big tou cage 06

De la lecture mais pas que




Par la suite Alexandre se donnait à fond dans son travail. Un peu comme s'il se sentait en faute, comme s'il se sentait traître à son milieu, à son employeur la PK Compagnie. Il prenait aussi le temps de découvrir le livre qu'il venait d'acheter à un prix d'ailleurs prohibitif. C'était un pavé qui traitait du massage mais pas que, le livre traitait aussi du plaisir physique. Depuis les zones érogènes les plus classiques jusqu'au réactions cérébrales, aux terminaisons nerveuses, à l'acupuncture même … 


Au total plus de deux milles pages écrites en tout petit. C'était un livre très complet qui aurait principalement intéresser un médecin ou un acupuncteur. C'était un truc de fou. Alexandre n'avait jamais imaginé qu'une telle littératures pouvait exister et rapidement il comprenait que ça lui vaudrait bien des heures de travail, de nombreuses nuits blanches et de nombreuses migraines.


Il commençait par feuilleter le livre jusqu'à la fin. Juste après la table des matières il y avait des bulletins d'inscription pour suivre des cours par correspondance, on pouvait aussi s'inscrire pour passer un diplôme.


'' Il y a un diplôme de masseur-éros !'' ? S'exclamait Alexandre. Il n'y croyait pas. La Fondation Pour le Plaisir Physique éditait ce livre, c'est également elle qui délivrait ces diplômes …


Alexandre était sonné, il se retrouvait allongé sur son lit, le livre ouvert posé sur son ventre, à regarder le plafond. Son cœur battait très fort.


– Il faut que je revois Xavier ! Se disait Alexandre, il me donnera des explications. 


En attendant de revoir Xavier il étudiait le livre. Il y avait plusieurs parties qui traitaient chacune une sujet bien précis. Ne sachant pas par ou commencer, il commençait tout simplement par le début. Et il n'en voyait pas le bout.


C'est seulement une semaine plus tard qu'il trouvait le temps pour se rendre au bar ou il avait passé un moment à discuter avec Xavier. Il attendait, il avait bien sûr emmené le fameux livre et quand il en relevait le nez, les heures avaient passées et Xavier n'était pas venu. 


Alexandre revenait quelques jours plus tard, Il avait de la chance ce jour là. Xavier arrivait quelques minutes plus tard. Ils se retrouvaient alors à une table, à discuter. Xavier lui expliquait qu'il n'était pas nécessaire de lire tout le livre.


– Il y a un programme à suivre, le livre est très complet et va même au delà du sujet. Si tu veux tu peux passer à la maison, je te donnerai le programme et les chapitres à étudier.


Il se retrouvaient peu après chez Xavier. Xavier lui proposait une bière et ils ont passé un long moment à discuter jusqu'au moment ou Xavier lui proposait.


– Si tu me faisait une petite démonstration de ce que tu sais faire ? …

– Tu crois, je commence juste à étudier la chose moi …

– Improvise, et fais toi … pardon, fais moi plaisir.


Xavier se relevait et retirait ses vêtements. Alexandre le regardait, il sentait sa queue se révolter dans sa cage. Il n'avait plus qu'une seule envie … Enculer son hôte … C'est vrai que Xavier était sexy, il avait un corps bien proportionné, finement musclé, il avait aussi une grosse queue qui se relevait rapidement à l'horizontale.


Au milieu de l'appartement il y avait une table de massage, un truc de pro, mais bon, c'était un peu normal. Xavier s'allongeait sur le ventre, et ne faisait plus rien.


Alexandre s'approchait et avec douceur commençait à lui caresser le dos.


– Tu devrais te déshabiller …


Sans rien dire Alexandre s'exécutait. Son dispositif de chasteté se relevait, on voyait qu'il y avait de la pression, il ne faisait pas semblant le petit Alexandre.


Xavier tournait la tête et le regardait avec insistance, sans se cacher, son regard s'arrêtait longuement sur le dispositif que portait Alexandre. Il tendait une main et lui tripotait les couilles.


– Tu es dur là Xavier je trouve, à me taquiner comme ça  ! 

– Tu n'aimes pas quand on te tripote les couilles ?

– J'ai pas dis ça … Mais tu imagines, là, j'ai une de ces violente envie de t'enculer .

– Et tu ne pourras rien faire. C'est comme ça chez les porteurs d'un dispositif. Mais quand tu masses quelqu'un, tu dois avant tout penser à son plaisir.


Alexandre lui caressait le dos avec un grande douceur …


– Alors fait moi plaisir ! Reprenait Xavier.


Alexandre faisait comme on lui avait demandé. Rapidement ses mains parcouraient tout le corps de son nouveau camarade. Il commençait pas le dos, les épaules puis avec délicatesse il lui caressait les bras, les deux en même temps. Ses mains avançaient lentement sur les bras, les avant bras, une main pour chaque bras.


Xavier gémissait de plaisir et se détendait en respirant plus fort. 


Alexandre revenait sur les épaules puis descendait, toujours avec une grande douceur sur le dos de son ami. Les mains glissaient sur les côtés de son corps, caressaient chaque muscle qui étaient, comme je vous le disait, parfaitement bien dessinés et fermes. 


Ensuite les mains se retrouvaient sur les fesses. C'était le moment le plus dur pour Alexandre, il avait une violente envie de lui masser le cul et de le faire jouir par la prostate mais il se souvenait avoir lu qu'il fallait se retenir et n'en venir à cette étape que plus tard, bien plus tard. Il continuait donc à caresser Xavier sur les cuisses puis sur les jambes.


Tout le corps de Xavier était beau, ses membres étaient finement musclés et ses muscles étaient fermes, et sa peau était douce, totalement dépourvue de poil.


– C'est naturel si tu n'as pas de poil ? Demandait un peu naïvement Alexandre.

– Disons que je les fait épiler. Répondait Xavier le plus naturellement du monde.


Alexandre rigolait à cette réponse et continuait à caresser son nouvel ami. Il lui massait les fesses et retenait ses pulsions.


Sa queue se révoltait. Il se demandait comment allait se terminer cette soirée. C'est lui qui devait donner le plaisir. C'est bien mais un peu frustrant, enfin un peu, pour ne pas dire … Ce serait à devenir fou de frustration …


– Maintenant tu te retournes. Déclarait Alexandre en faisant semblant d'être sûr de lui.


Xavier éclatait de rire.


– On doit toujours rajouter … S'il vous plaît … à l'intention de son client. Rajoutait Xavier. 

– S'il vous plaît Monsieur, pourriez-vous vous retourner sur le dos. 


C'est très amusé, que Xavier se retournait. Alexandre restait tétanisé, Xavier bandait à mort, il avait une très belle queue, en plus il ne portait pas de dispositif et cette queue magnifique se relevait contre son ventre, elle était plaquée contre son ventre avec force. 


Alexandre respirait bien fort, il sentait sa queue terriblement confinée, il en avait l'habitude mais il y a des jours, des moments comme ça ou même habitué, même entraîné, c'est comme la première fois, comme le premier jours. Ou plutôt les jours suivants, quand le désir est le plus élevé, que le manque est le plus intense. Il lui semblait que le désir, l'envie, le besoin n'avaient jamais été aussi intense. 


Il reprenait ses caresses.


Cette fois-ci il pouvait voir le sourire de son ami, ses yeux qui le fixaient. Il le regardait lui aussi dans les yeux et reprenait ses caresses, il y mettait toujours une grande douceur. C'est pas ça qui risquait de faire débander Xavier. 


Maintenant il fermait les yeux et de petits gémissements exprimaient le plaisir qu'il éprouvait. Il était aux anges, Alexandre s'en rendait compte et ça l'encourageait à continuer. Il y mettait tout son cœur, il en éprouvait aussi un certain plaisir. Sa frustration était totale mais il en éprouvait du plaisir. 


Ses mains se promenaient sur les bras musclés et fermes, Xavier lui caressait un peu son torse. Il avait le sourire mais il gardait les yeux fermés. 


Puis les mains d'Alexandre descendaient vers le bas du ventre, il se souvenait il fallait faire durer le plaisir, le laisser monter lentement. Il évitait donc de lui toucher le sexe. Pourtant il avait cette queue superbe sous les yeux, et ce n'était pas facile pour lui de caresser le corps magnifique d'Alex sans toucher, tout juste à peine effleurer, sa bite et ses couilles.


Ensuite il s'attardait sur les cuisses de Xavier.


Le séance durait maintenant depuis un long moment. Alexandre reprenait ses caresses sur le torse de Xavier mais n'y tenant plus il se laissait aller.


Il embrassait avec une tendresse infinie, une tendresse qu'il ne se connaissait même pas, le torse de son compagnon. Celui ci repliait le bras sur sa nuque et avec douceur. Alexandre refermait ses bras et ses mains sur le corps de Xavier. Il n'était plus question de massage, ce n'était plus que tendresse et câlins.


Alexandre, se souvenait que c'était lui qui devait donner du plaisir. Sa queue protestait plus que jamais dans sa vie. C'était l’horreur mais il n'oubliait pas son rôle. Il caressait le corps de son amant, sa main descendait vers sa queue et c'est seulement à ce moment qu'il la touchait, il la caressait, ils s'embrassaient avec passion.


Ensuite Alexandre continuait à donner des baisers sur tout le corps de Xavier. Son visage et surtout ses lèvres se rapprochaient de son sexe. Avec beaucoup de plaisir il prenait sa queue dans la bouche, il la suçait, la léchait. Avec sa langue il savait donner du plaisir, même si presque tous ses amis portaient un dispositif de chasteté et que ce n'était pas avec eux qu'il pouvait s'entraîner.


Et puis il aimait donner du plaisir à un homme, il aimait le sentir vibrer contre lui, il aimait sentir sa queue s'introduire en lui, il aimait se faire limer le cul et à ce moment il n'attendait plus que cela. Il tremblait de désir. Mais il savait que ce soir c'était à lui de donner du plaisir et qu'il ne devait pas le demander. Ça viendrait au moment ou ça devait venir. 


Xavier écartait les jambes, et Alexandre se glissait debout entre ses cuisses. Il pouvait caresser les cuisses, l'intérieur des cuisses de Xavier tout en lui suçant la queue. Il lui caressait aussi les couilles et Xavier gémissait de plaisir maintenant.


Il guidait la tête d'Alexandre avec les deux mains. Par intermittence il relevait le bassin et lui donnait des coups de bite dans la gorge. Alexandre encaissait, c'était pas toujours facile, Xavier avait une grosse queue et il fallait arriver à se la prendre bien à fond dans la gorge. Mais Alexandre était motivé. Il était maintenant tellement en manque, en demande qu'il encaissait sans protester en attendant de se la prendre dans le cul, c'est ce qu'il espérait maintenant.


Xavier lui retenait la tête avec plus de force et les mouvements de son bassin devenaient plus violents, plus rapide. Il gémissait maintenant avec force et Alexandre lui ne pouvait que faire des bruits bizarres, mais il ne voulait pas lâcher. Il passait maintenant ses mains juste derrière les reins de son amant et le retenait contre lui avec force.


La respiration de Xavier devenait plus forte, moins régulière et finalement il poussait un cri au moment ou il jouissait, au moment ou il éjaculait dans la gorge d'Alexandre.


Alexandre ne s'y attendait pas, il sentait bien le plaisir monter mais il pensait que son compagnon allait le relâcher au dernier moment. Au lieu de cela Xavier éjaculait plusieurs fois dans sa gorge sans pour autant le relâcher.


Alexandre n'avait plus je choix, il avalait et il continuait à sucer. Il continuait à donner du plaisir à con compagnon. Pourtant il aurait bien aimé qu'on pense un peu à son propre plaisir. Ça faisait maintenant un long moment que sa queue protestait, c'était presque douloureux, presque seulement mais par contre c'était vraiment désagréable. Ce n'était plus maintenant que de la frustration.


Il avait la queue de son camarade dans la bouche, il la sentait se ramollir, Xavier débandait et c'est seulement quand elle était redevenue toute molle, qu'elle avait perdu sa prestance et qu'elle ressortait de sa bouche qu'il relevait la tête.


Il contemplait cette queue qui même au repos restait très belle, très stimulante. La sienne dans sa cage gardait sa pression maximale mais n'était même pas aussi grosse pour autant.


Xavier avait repris son calme, son cœur battait moins fort, Alexandre se sentait terriblement frustré, il avait deviné qu'il n'aurait droit à rien d'autre. Mais il gardait le sourire. Il avait déjà lu quelque part que le masseur devait toujours avoir le sourire, devait toujours l'impression d'être satisfait, son client devait toujours passer en premier, être le seul qui comptait.


Alexandre relevait la tête.


Alors j'ai été comment ?

Tu veux dire au niveau du massage ?

Bein oui, de quoi tu veux parler …

Tu a été nul, tu mérites un sur dix.


Alexandre le regardait sans cacher sa surprise …


Tu ne crois pas que tu exagères là …

Non ! Par contre si je dois te noter au niveau câlins. Là je te mets onze sur dix. Mais comme masseur tu es nul, tu as tout à apprendre.


A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


Pique nique

 Pique nique



J'aimais bien cette fille Héléna on nous avait présenté quelques temps plus tôt. Un ami commun nous avait mis en contact, on avait passé une très agréable soirée tous les trois. Denis m'avait prévenu, qu'elle n'était ni timide ni timorée.


Ce dimanche là était très beau, nous étions au milieu de la saison chaude et Héléna m'avait téléphoné pour me proposer un pique nique. Je n'avais rien de prévu, je me suis facilement laissé convaincre. Elle me demandais seulement de prévoir le vin et comme je n'en bois pas, elle m'indiquait quel vins il faudrait. J'ai suivi son conseil, c'était du bon. 


Bien sûr c'est moi qui conduisait, on y allait avec ma voiture. Oh elle avait choisi un endroit charmant, une rivière chantait pas loin, elle connaissait très bien les lieux. On s'installait, elle avait une jolie jupe campagnarde, très légère, très élégante. J'avais mis ma tenue d'Indiana Jones très mâle très viril …


– Mais c'est que tu es très beau comme ça ! Me disait-elle.


Ce compliment en invitant un autre, je me trouvais obligé de lui répondre.


– Vous êtes très élégantes mademoiselle. Puis-je prendre votre panier ? …  Qu'est-ce que tu as préparé à bouffer ?


Oui je sais la dernière partie de la phrase manquait un peu de romantisme mais bon, il faut me comprendre … On parle de bouffe là, c'est une affaire sérieuse … Nous nous retrouvions donc confortablement installés sur une large couverture avec un parasol, qui nous apportait juste la fraîcheur nécessaire pour notre plus grand confort et on faisait connaissance.


Elle restait sage pendant un long moment puis on a ouvert le panier, mon vin était conservé à température idéale dans un emballage isotherme, elle avait prévu quelques charcuteries, du rôtis qui peut aussi se manger froid comme chacun sait … Enfin il y avait tout ce qu'il faut pour ce genre de situation.


Elle s'allongeait tout contre moi, posant sa tête sur mon ventre, elle me trouvait confortable et me faisait rire, c'était peut être le vin. On parlait bas, le bruit de la rivière et des oiseaux nous berçait.


– J'ai chaud ! Me disait-elle. 


Puis elle se relevait et retirait le haut de son costume, elle se retrouvait torse nue. Elle reprenait alors sa position. Je finissait à mon tour par me mettre torse nue. On somnolait. Elle me prenait alors la main et me la posait sur son sein.


– Tu veux bien me caresser les seins ? Me demandait-elle le plus naturellement du monde. Tout doucement s'il te plaît, tu serais mignon.


Comment lui refuser, elle avait utilisé les mots magiques. Le '' S'il te plaît '' suivi par le '' Tu serais mignon '' m'interdisaient de le lui refuser. Je me suis sacrifié, mais c'était de bon cœur. Elle avait deux petits seins qui étaient fermes doux. Son corps aussi était doux, bein oui j'ai un peu débordé, je n'ai pas caressé que ses seins. Je sais mais bon, c'était pour faire plaisir …


J'aime bien ce genre de moment, on avait l'impression d'être à la campagne, mais ça c'est peut être parce qu'on y était. On avait l'impression que le temps s'était arrêté, quelques minutes de silence peuvent sembler des heures, et quelques heures peuvent passer comme des secondes. 


Je ne l'avais pas vu en arrivant mais à moins de dix mètres de l'endroit ou on était il y avait un petit lac, les abords étaient très propres et l'eau y était claire. Il ne fallait à Héléna que quelques secondes pour se retrouvée nue, elle courait vers l'eau et m'invitait à la suivre.


En quelques secondes je me retrouvais nu également, enfin presque, je ne gardais sur moi que ce dispositif de chasteté que je ne pouvais pas retirer. Elle venait de plonger quand j'arrivais, je suivais. On ressortait de l'eau, elle était face à moi et me prenait dans ses bras.


Elle m'a embrassé tendrement, je me suis laissé faire, c'est pas dans mes  habitudes ça, mais c'était peut être le vin. Ensuite on a nagé, on a profité de la fraîcheur. Quand on est revenu sur le bord du lac, c'était un tout petit lac mais je dis lac quand même, elle me regardait longuement des pieds à la tête. Ses yeux s'arrêtaient sur mon dispositif, il est totalement invisible sous mes vêtements mais quand je n'en ai pas on le voit bien. 


Justement là, à ce moment je n'en portais pas. Elle m'a pris la main et m'a entraîné ver la large couverture qui nous avait servi de table. Elle s'allongeait m'invitait à faire de même. Ce devait être le vin, je sentais comme une contraction au niveau de ma cage de chasteté, un peu comme si elle devenait trop petite, à moins que … Non c'est pas la cage qui changeait de taille, c'était bien ma queue qui se faisait remarquer.


A part ce petit détail je me sentais totalement décontracté …


– C'est Denis qui a la clé ?  Me demandait-elle.


Je faisais oui de la tête tout en m'installant confortablement sur le dos.


Elle s'installait perpendiculaire à moi, posait de nouveau sa tête sur mon ventre. De nouveau elle posait ma main sur sa poitrine, de nouveau je lui caressait la poitrine avec douceur.


– C'est vraiment dommage que tu sois PD ! Me lançait-elle.

– Voilà qui est dit avec beaucoup d'élégance ! Traite moi de grosse tafiole pendant que tu y es.

– Non mon  doudou tu n'est pas gros, tu es confortable c'est tout !

– Confortable ?

– Comme un beau nounours !


Que voulez-vous que je réponde à ça. C'était dit sur un ton tellement naturel. Je reprenais, je somnolais à moitié, sa poitrine était ferme et douce. Je continuais à lui caresser les seins, ça me calmais, je ne suis pas du genre à m'exciter parce que je caresse les sein d'une femme, non c'est pas du tout mon genre ça.


Elle le savait. Denis lui avait raconté, il lui avait aussi raconté pour mon dispositif, c'est pour cela qu'elle n'avait pas eu l'air surprise.


Je somnolais à moitié. Si j'avais eu un moment une petite tension au niveau de ma cage c'était fini, j'avais retrouvé mon calme. Elle me réveillait brusquement, se relevait, se retournait et en une seconde elle se retrouvait allongée sur moi, ses jambes bien écartées, son corps collé au mien, ses seins écrasés sur ma poitrine, elle m'embrassait en passant ses bras autour de mon cou. Elle ne m'a même pas laissé le temps de réagir. 


J'ai sursauté mais que faire ? Je suis d'un naturel serviable aussi j'ai fait un câlin. Son corps était doux et léger, c'était pas désagréable mais ça ne m’excitait pas vraiment pour autant, sexuellement je veux dire, ça ne m’excitait pas du tout même, pour être précis ... 


Elle semblait prendre du plaisir et s'amusait avec moi. Elle glissait avec légèreté sur mon corps, elle me couvrait de baisers, me mordillait les tétons, je ne vous raconte pas dans quel état j'aurais été si ça avait été un mec …


Mais alors là … rien ! C'est un contact doux, douillet, confortable , tiens pareil je vais dire qu'elle est confortable elle aussi, ça lui apprendra … Elle me faisait rire, elle me chatouillait et mes réactions l’amusait.


Elle se retournait vers son sac, elle avait un sac du genre de ceux qu'on prend pour aller à la plage, il y a de la place dans ce genre de sac. Elle fouillait au fond et en sortait un sacoche, l'ouvrait et triomphalement en sortait un gode ceinture. 


– Oua ! Tu délires là. Lui lançais-je.

– On va juste s'amuser un peu …


Je regardais le gode de très près, sa taille me convenait, il était bien, pas trop gros mais pas ridicule non plus. J'étais partant à ce jeux, vous imaginez bien. Une fille avec une queue, même en plastique, j'étais partant. 


Mais voilà elle ne voyait pas les choses sous cet angle. Je m'en suis vite rendu compte. Elle me sautait dessus.


– Allez relève toi !


Je la regardais d'un air pas convaincu.


– Enfile moi ça !

– Ouai ! Mais euh ! On pourrait pas jouer dans l'autre sens ?

– Non.

– C'est pas juste, c'est toujours les mêmes qui …

– Si tu me donnes du plaisir on inversera les rôles.


Elle me faisait un petit sourire vicieux et bien sûr je cédais. Elles sont marrantes les filles, c'est pas la première qui me fait le coup. A chaque fois je cède mais c'est pas une raison ça …


J'enfilais le dispositif, elle s'assurait que les sangles étaient bien ajustées puis me prenait dans ses bras.


Ce qui est bien dans cette histoire c'est que comme ça ne m'excite pas vraiment cette affaire, je ne bande que très moyennement. Je bande toujours un peu mais pas trop, le dispositif de chasteté n'est pas plus difficile à supporter. Avec des mecs il y a des fois ou c'est plus dur mais avec des fille, ça va !


Je la prenais dans mes bras également, je l'embrassais, je caressais sa peau. Elle était douce et son visage également était doux. Ça me fait toujours tout drôle un visage doux, d'habitude il y a de la barbe. 


Elle s'allongeait de tout son poids plume sur moi. Je sentais tout de suite que les choses devenaient sérieuses. Jusque là ça n'avaient été que des petite caresses, genre papouilles et guili-guili mais là, tout de suite c'était plus intense.


De tous son corps elle me caressait, au début je la laissait faire puis je me disais qu'il faudrait peut être que je fasse quelque chose. Je lui caressait les bras, puis passais à son dos et finalement la prenait dans mes bras. Mes mains se promenaient rapidement et avec légèreté sur tout son dos et j'entendais ses murmures de plaisir.


Elle m'embrassait. Là j'étais un peu surpris, je ne m'y attendait pas. Remarquez j'aurais du y penser, mais je suis resté très digne et je lui ai rendu son baiser … Ses baisers … Bein oui elle a insisté !


Là je me disais que finalement … Comme je n'aurais pas besoin de bander et de la pénétrer, non parce que là je ne peux pas, là non ! Comme finalement je n'aurais rien à faire de ce côté, je pouvais faire une effort et tenter de lui faire plaisir. J'éviterai bien sûr de mettre mes doigt n'importe où mais à part ça … Déjà je sentait que ma cage devenait plus spacieuse, c'est sûr là je ne bandais pas.


Enfin je vous imagine tous dans les bras d'une fille, ça doit être pareil pour vous, non ?


Donc je me détendais et la caressait. Quand mes doigts arrivaient à ses fesses, je glissais mes doigts dans cette grosse ride qui, je vous le jure, était sa seule ride. Je n'insistai pas trop, on m'a déjà prévenu que les filles ça ne marche pas comme les garçons. Avec un garçon, c'est pas bien compliqué on lui met un doigt dans le cul directe, avec une fille le plus souvent tu te prends une gifle dans la figure …


Je la retenais contre moi et je l'aidais même à glisser sur moi, en fait je la guidait moins que je ne la suivais et la laissais faire, je l'aidais même. Elle voulait m'embrasser, je lui tendais mes lèvres. Elle voulait me faire un gros baiser dans le cou, je penchais ma tête dans l'autre sens. Elle a voulu me faire un suçon, je couinais très fort mais je la laissais faire. J'ai vu le résultat le soir à la maison, je ne vous dis pas, elle ne m'avait pas loupé !


C'est elle qui décidait du mouvement, c'est elle qui relevait le bassin, elle s'était longuement masturbé sur le gros gode qu'elle m'avait installé, elle se soulevait et c'est elle qui s'installait, elle finissait par s'enfiler le gode dans son vagin, elle s’asseyait dessus, je voyais le gode disparaître entre ses cuisses. Je ne sentais rien, ça fait bizarre, ça fait toujours bizarre, à chaque fois mais c'est cool tout de même.


Elle se laissait tomber sur moi. Je refermais alors fermement mes bras sur elle et commençait des mouvements du bassin, tout doucement au départ puis plus ample, plus fort, plus vite. Je suivais un mouvement régulier, elle l’amplifiait même de ses propres mouvements.


Ses seins me chatouillaient le torse, c'était doux mais je m'en serais bien passé. Ce qu'il ne faut pas faire pour faire plaisir tout de même !


Son visage se déformait. Elle faisait des grimaces de plaisir. En fait moi je ne faisait pas grand chose, je suivais le mouvement … Je restais très concentré, c'est vrai que je voulais faire bonne impression et puis quand on fait quelque chose, autant le faire bien.


Elle se penchait d'un côté et semblait m'attirer, là encore je suivais, elle se retrouvais sur le dos et moi allongé dessus. Bingo, c'est ce qu'elle voulait. Je ne vous dis pas mais c'est du boulot ! Ceux qui ne me croient pas n'ont qu'à essayer, ils verront bien !


Elle refermait ses jambes derrière mes cuisses et je continuais à la limer. Je restais très attentif à ses réactions. C'est elle qui me guidait, en fait, ça ne se voyait peut être pas du premier coup d’œil mais c'est elle qui était aux commandes. Et elle semblait apprécier.


Elle me repoussait doucement en me disant '' Retourne toi ! '' et dans la seconde qui suivait j'étais sur le dos et elle allongé sur moi. '' Ne bouge plus '', je devenais inerte … '' Caresse moi le dos tout de même '', mon corps restait inerte mais mes bras la caressait avec toute la douceur que je connais.


Elle se relevait et repliait les jambes sur mes côté. '' Caresse moi les seins !''. Avec force et douceur mes mains lui massaient les seins et la sentais frémir. Elle recommençait à se relever et à se laisser retomber. Elle relevait la tête, mes mains se promenaient partout sur son torse, ses seins, son dos, elles redescendaient sur son ventre et finalement sur ses cuisses et entre ses cuisses.


Javais pourtant juré que je ne mettrais pas mes doigts n'importe ou !


Elle ne frémissait plus, elle tremblait. Elle tremblait de plus en plus, elle à joui sur moi, c'était un peu surprenant, je ne m'y attendais pas. Surtout que moi, comme je vous disais, je ne ressentais rien, en tout cas au niveau sexuel. Et je ne bandais pas du tout avec tous ça moi. 


Elle me prenait alors les mains, se laissait aller, s'allongeait sur moi en écartant mes bras. Elle me donnait un baiser sur le torse. Elle avait l'air contente. 


On est resté encore un long moment au soleil, elle ne m'avait pas vraiment excité et je ne bandait pas du tout, du tout. 


Il faudra que j'en touche un mot à Denis, je me demande s'ils n'ont pas comploté cette après midi à la campagne ensemble, ces deux là.




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


L'HÔTEL DU DESERT EP 22 : Un p'tit Johnny, un p'tit Brice

 L'HÔTEL DU DESERT

EP 22 : Un p'tit Johnny, un p'tit Brice



Personne ne parlait dans la voiture, ils se réveillaient, encore perdu dans leurs rêves, dans leurs câlins, dans toutes ces caresses qui avaient rendu la nuit si courte. Johnny était au volant, Brice regardait la carte et faisait le copilote.


Quelques kilomètres plus loin ils ont trouvé un routier, on peut y prendre des petits déjeuner toute la matinée. Ils s'installaient et continuaient à faire connaissance.


Les deux filles voulaient aller tenter leur chance sur la côte Est, elles pensaient que ce serait mieux …


– Moi j'ai fait le chemin inverse, et pour les mêmes raisons. Leur annonçait fièrement Brice.

– Et au final tu y retourne ? Lui demandait Lana.

– Pas sûr, je vais probablement m'arrêter au milieu du chemin ! Lui répondait Brice.

– Et c'était mieux ou pas alors ? Demandait Lisa.

– L'ouest ? Tu veux dire ?

– Bein oui l'ouest .

– Oh ça oui ! C'était mieux, beaucoup mieux .

– Mais tu retourne chez toi tout de même. Rajoutait Lisa.

– Nous on ne reviendra jamais . Continuait Lana.

– Non je ne retourne pas chez moi, je m'arrête au milieu du désert. Rajoutait Brice. Johnny rigolait, le nez dans son café!

– Tu ne nous ramèneras donc pas jusqu'au bout ? Rajoutait Lisa.

– Si vous voulez on vous trouvera facilement quelqu'un, qui pourra vous conduire, il y a des camionneurs qui passent tous les jours.

– Et c'est comment au milieu du désert ? Demandait Lisa.

– Il y a ma maison. Annonçait fièrement  Johnny.

– Mais vous pouvez rester si vous voulez … S'empressait de rajouter Brice.


Les filles éclataient de rire …


– Au milieu du désert ? Demandait Lisa.

– Et on n'y fera quoi ? Rajoutait sa sœur. 

– On n'a aucune raison de rester au milieu du désert ! Concluait Lisa.

– Et nous alors ? On ne compte pas ? Demandait bêtement Brice .


Les deux filles étaient pliées de rire, les garçons aussi. Et c'est donc de bonne humeur qu'ils reprenaient la route. Lisa et Lana préféraient ne pas conduire et c'était donc Brice et Johnny qui se relayaient au volant. L'une passait devant, l'autre passait derrière. Il parlaient, ils chantaient ils se racontaient leur vie.


– Et donc toi Brice, tu es revenu vers le désert pour y retrouver ta famille.

– Euh … Brice ne savait plus quoi répondre.

– C'est tout à fait ça, on est frères et il était parti vivre dans le grand Est … S'empressait de rajouter Johnny.


Brice lui lançait un regard étonné, mais c'est vrai que depuis quelques mois il racontaient à tout le monde qu'ils étaient frères. 


Brice et Johnny refaisait dans l'autre sens la route qu'ils avaient parcouru de nombreux mois plus tôt. Passé les dernière villes ils allaient se retrouver de nouveau sur cette route droite, ils avaient choisi de passer par le terminus routier, c'est de là que tous les jours les routiers partaient sur vers l'est, cette route longue et monotone ou un buisson sec pouvait quelquefois cacher un autre buisson sec, mais ou il ne fallait pas s'attendre à rencontrer autre chose.


Le soir, comme ils étaient en bonne compagnie, ils préféraient s'arrêter dans un Motel. Le premier soir Brice ne savait pas trop quoi dire à l'accueil mais Lisa intervenait …


– Vous auriez deux chambres doubles, s'il vous plait ?


Ils étaient quatre, deux garçons, deux filles, c'était ce qu'il y avait de plus normal et de plus naturel. Ce sont les filles qui ont pris les choses en mains, et ce sont elles qui ont choisi leur compagnon pour la nuit.


Ils avaient encore deux jours de route,  et elles en ont profité pour faire quelques essayages. Le soir, c'étaient les filles qui choisissaient. Brice et Johnny n'étaient pas vraiment dérangés par cette situation. Ça leur convenait très bien. Des affinités naissaient, Lisa avait une petite préférence pour Brice, Johnny préférait la petite Lana. Mais personne n'avait rien contre l'idée de changer un peu, de temps en temps, même si ce 'de temps en temps' ça voulait dire tous les soirs …


Lana était tout particulièrement câline, elle aimait tout particulièrement faire monter le plaisir. C'est elle qui prenait l'initiative, elle entraînait son partenaire contre elle. Elle prenait bien le temps de le déshabiller, quand il était torse nue, elle le couvrait de baisers, elle le caressait longuement avec une grande douceur. 


Peut à peu elle se déshabillait elle aussi, elle savait le faire participer, lui demander de dégrafer ceci ou cela, même si elle pouvait parfaitement le faire toute seule. Elle se retournait, lui tournait le dos et délicatement glissait contre son corps. En général il ne n'attendait pas longtemps avant de refermer ses bras autour d'elle, elle retenait alors ses bras contre elle et les caressait.


Elle relevait la tête, l'appuyait contre son épaule, il penchait son visage sur le sien et ils s'embrassaient.


Quand elle décidait de lui ouvrir le ceinturon il bandait bien ferme. Sa queue se relevait avec force à la verticale contre son ventre. Elle se collait alors de nouveau contre lui et lui caressait les fesses en repoussant son pantalon plus bas. 


Ensuite c'était selon. S'il voulait prendre l'initiative elle le laissait faire. C'est alors lui qui lui retirait ses vêtements. Il se mettait à genoux devant elle et l'embrassait sur les partie les plus intimes, elle se contentait de lui caresser les cheveux et de le guider. Elle pouvait aussi se mettre à genoux et c'est elle qui lui donnait un petit plaisir. C'est lui qui la guidait quand sa queue s'enfonçait dans sa bouche. 


Arrivé à ce niveau d'excitation l'un comme l'autre pouvait prendre l'initiative. En général ils le faisaient en même temps. Il la jetais sur le lit, en tombant elle l'entraînait dans sa chute sur les coussins douillets. 


Il s'allongeait sur elle, elle le retournait et se retrouvait au dessus. Elle le caressait avec tout son corps. Il jouait avec le sien et elle aimait ça. Il la retournait à son tour, avec force, avec douceur, avec plein de baisers et de caresses. Ce jeu pouvait durer un moment et au moment ou elle le décidait, à ce moment seulement les gestes ralentissaient.


Il s'allongeait sur elle et la pénétrait. Il sentait alors son corps se cambrer. C'était toujours le bon moment, c'est elle qui avait choisi. Elle était prête et le tirait vers elle, elle refermait ses jambes dans son dos et le tirait vers elle.


C'était alors un câlin intense et viril. Sa queue s'enfonçait bien à fond, son ventre s'écrasait sur celui de sa partenaire. Il se retirait, elle le retenait, il revenait puis il recommençait. C'était comme une sorte de lute dans laquelle il n'y aurait pas de perdant. Dans laquelle chacun ne lutait que pour l'autre, avec l'autre.


Ils roulaient l'un sur l'autre dans ce combat que personne ne voulait vraiment gagner. Le partenaire du moment s'agitait, elle s'agitait également, tous les deux avec de plus en plus de violence, de plus en plus de force.


Ils s'écroulaient l'un sur l'autre, plus aucun des deux ne bougeait plus. Il reprenaient leur souffle, se câlinaient, retrouvaient leur douceur et leur tendresse puis, on ne pouvait deviner quel était le signe que l'un devait faire à l'autre, ni même lequel des deux aurait fait ce signe mais de nouveau les deux amants semblaient se réveiller et de nouveau une fièvre les prenaient. De nouveau ils gémissaient de plaisir, plus fort, c'était la seule chose qui était sûre, plus fort.


Le garçon, c'était Brice ce soir là, Johnny un autre soir, peut importait mais le garçon redressait son torse, Lana restait allongée sur le dos, les cuisses bien écartées, les jambes refermées avec force dans le dos de son amant. Elle se tordait de plaisir, il gémissait presque aussi fort qu'elle, lui massait les seins avec force puis, là encore aucun signe n'apparaissait mais quand elle jouissait, au moment le plus intense il jouissait en elle.


Ils poussaient alors tous les deux des gémissements de plaisir avant, de nouveau de s'effondrer à bout de souffle …


Lisa était très différente de sa sœur Lana. Elle était surtout plus rapide aux moment des préliminaires. Elle sautait sur son partenaire comme une folle puis lui arrachait ses vêtements. Pour la suite, il y avait un air de famille … dans tous les cas le garçon passait un quart d'heure qu'il n'oubliait pas. C'est vrai aussi qu'elles ne leur en laissaient pas le temps. 


Le lendemain, ils se retrouvaient tous dans la salle du restaurant, les garçons avaient un peu la tête dans le pâté mais aussi un large sourire. Les filles étaient de plus en plus belles …


Les derniers jours se passaient vite, ils ont fait un peu durer le plaisir et il leur a fallu une petite semaine de plus pour arriver à l'hôtel. Le moins qu'on puisse dire c'est que ni Lana ni Lisa n'étaient convaincu quand elles ont vu les bâtiments. 


Le garage qui ressemblait à une ruine, l'hôtel qui ressemblait à une maison désaffectée, l'intérieur était bien tenu mais vue de l'extérieur ça n'avait pas grande allure. Une dame un peu forte sortait comme une furie, elle affichait un sourire qui exprimait une joie. C'était Cathy, elle prenait dans ses bras son fils Johnny et n'essayait pas de dissimuler son bonheur de le revoir. Ça faisait de nombreux moi qu'il était partit et elle lui faisait bien comprendre qu'il était le bienvenu. Puis elle embrassait tendrement Brice. Comme une mère.


Ils présentaient les deux filles puis tout le monde entrait se mettre à l'abri. Dans les  jours qui on suivi, Johnny installait une chambre dans le même bâtiment que le sien, sans rien dire à personne. Il voulait faire la surprise à Brice et il espérait que cela finirait de le convaincre de rester …


De leur côté les fille s'habituaient de plus en plus à leurs partenaire. Elles se l'échangeaient de temps en temps. Et au bout de quelques semaines elles se sentaient un peu chez elles. 


Quelques semaines encore et finalement elles décidaient de rester … Ce qui devait surprendre les deux garçons c'est que chacune semblait avoir choisi un partenaire exclusif. Ils auraient certainement été un peu ennuyés si elles n'avaient fait preuve d'autant de chaleur, de douceur et de passion érotique avec celui que chacune avait choisi. 


Puis au bout de trois mois … Un soir, après le repas …


– Brice il faut que je te dise, commençait Lana, je vais avoir un enfant et il est de toi .


Lisa continuait sans laisser à Brice le temps de réagir …


– Johnny, le mien sera de toi …


Les deux garçons restaient tétanisés, ils ne savaient plus quoi dire, une chose était sûre, ils ne s'y attendaient pas. Ils se regardaient, un sourire se dessinait sur leurs visages. Un sourire de plus en plus large puis il se prenaient dans les bras dans les bras et se félicitaient avant de prendre dans leurs bras leurs partenaires féminin.


Leurs yeux remplis de joie quand chacun regardait la mère de son futur enfant ne cherchaient pas à cacher le bonheur que cette nouvelle leur avait donné.


Elles devraient accoucher à quelques semaines d'écart. Elle avaient comploté cette affaire depuis quelques temps et si chacune n'avait offert ses charmes qu'à un seul des deux garçons c'était pour être absolument sûre de la paternité de leur enfant. Qu'il n'y ait pas de jaloux ou d'envieux.


Quelques temps plus tard elles mettaient au monde un petit garçon, et rapidement sous le regard émerveillés de Cathy un petit Brice et un petit Johnny couraient autour de l'hôtel et découvraient ce monde qui pour certains pouvait sembler sinistre mais qui pour eux était leur monde et ils le trouvaient beau …


Cathy avait trouvé quelqu'un pour prendre sa succession, deux familles qui étaient aussi sa famille, une seule famille. Les parents reprenaient leurs habitudes très libres, un peu coquine. 


Bon pour l'instant les gamins sont un peu jeunes mais si nous revenions les voir dans … Disons, dans vingt ans …  



FIN 



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


INDEX

                          Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'...