29 Février 2020 jour 60

Il y a bien quelque petit truc qui me titille le matin, surtout le matin ... Mais à part ça, je supporte bien, très bien même ma situation ... Je tente un mois de plus ...






LES AVENTURES DE DJE Ep 92 : DU NOUVEAU POUR LA ROUTE

LES AVENTURES DE DJE
Ep 92 : DU NOUVEAU POUR LA ROUTE



Nous revenions parfaitement détendus à l'appartement. Devant l'immeuble Bob était en train de laver la voiture de Luc. Mais il y avait surtout une magnifique Rolls-Royce juste devant la voiture de mon frère. En descendant de la voiture …  

Moi : Dis mois Bob, il y a une visite importante à la maison ?
Bob : Euh ! Non !
Moi : Ça doit être une visite chez Greg alors !
Bob : Euh ! Non plus ! Il est pas là !
Moi : Ah ???
Bob : Mais dis moi Djé, il faut que je te dise … 
Moi : Oui je t'écoute !
Bob : Luc m'a donné sa voiture, ça ne te dérange pas ?
Moi : Donné sa voiture ? Voilà une étrange idée … Mais bon ça va lui passer on le connaît tous ! 
Bob : Non, il me l'a vraiment donnée et comme c'est toi qui la lui avait offerte ... aussi je te demande si ça ne te dérange pas ?
Moi : Bon, bein moi avec Luc je n'essaye plus de comprendre ! S'il te l'a donnée tu la gardes.

C'est à ce moment que mon frère déboulait comme un fou …

Luc : Tu as vu ma nouvelle voiture dis ? Tu as vu ma nouvelle voiture dis ? Tu as vu ma nouvelle voiture dis ?

Pour ce qui est d'être enthousiaste il était enthousiaste. Je me retournais vers la Rolls. 

Moi : Ah c'était donc ça ! Et tu pourrais me dire comment tu as payé cette merveille ?
Luc : Bein c'est pas compliqué, j'ai cassé mon cochon tirelire !

Je levais les yeux au ciel, Bob rigolait et Liam faisait le tour de la nouvelle voiture en sifflant d'admiration. 

Luc : C'est pas compliqué, j'ai investi tout ce que j'ai gagné dans mes sociétés de production, mon livre s'est bien vendu et avec mes droits d'auteur j'ai acheté cette merveille. Par contre maintenant j'ai presque plus de sous moi !

On pouffait de rire à cette dernière réplique.

Moi : Je t'en prête si tu veux mais toi tu me prêtes ta voiture !

Luc faisait une tête avec des yeux tout rond !

Luc : Non mais tu es fou, personne il ne touche pas à ma voiture ! Et puis de toutes façons j'ai une rentrée d'argent qui doit arriver d'un jour à l'autre. Et quand je dis presque plus de sous, j'ai encore de quoi remplir le réservoir !

Il allait repartir en prenant l'air vexé de ma réplique mais brusquement se rapprochait de sa nouvelle voiture, sortait son mouchoir et essuyait fébrilement le dessus de l'aile avant. On se précipitait tous pour voir ce que ça donnait. 

Luc : Non mais c'est fini oui, vous n'avez jamais vu une voiture ?
Liam : Là il y a un petit truc aussi …

Luc se précipitait.

Luc : Ou ça ? Je ne vois rien !
Liam : Oh c'était juste une mouche mais elle est partie. Elle a peut être laissé des trace de pas … 
Luc : Moqueur ! Pfff ! 

Il donnait tout de même quelques coup de mouchoir à cet endroit avant de repartir vers l'appartement.

Moi : Et il l'a reçu quand cette voiture ?
Bob : L'autre jour juste après votre départ. Je ne vous raconte pas, j'ai pas dormi de la nuit, toutes les demie heures il se levait pour l'admirer. 
Moi : Tout nouveau … Dans quelques jours il sera calmé !

Quelques jours plus tard il ne s'était pas calmé. Il arrivait au stade ou se déroulaient les épreuves sportives. Jusqu'au dernier jours on n'y avait pas cru mais les travaux étaient terminés. La finition pas encore, les peintures par exemple par endroit le carrelage … Enfin des détails de ce genre quoi ! Pour le reste tout était OK. 

Les épreuves dureraient un peu moins de deux semaines. L’événement se passait pendant les vacances aussi il fallait que les élèves aient le temps de repartir et de se préparer paisiblement pour la reprise des cours , il y avait vingt neuf écoles  qui participaient, avec la nôtre ça faisait trente. Cent participants par école en moyenne, je vous laisse faire le calcul … Ça faisait du monde, ça ne faisait pas peur à Luc qui était le chef d'orchestre de toute l'organisation médiatique.

Une fois de plus il m'a épaté le p'tit, il était très pro, très sérieux, très organisé … 

Le plus jeune présentateur vedette de la télé. Il s'était réservé plusieurs directes à la télé par jour, le reste du temps il le passait dans la régie, c'est lui qui dirigeait tout. Bob participait en natation et gymnastique, Liam participait en haltérophilie et lancé du marteau … Ils ont été adorables tous les deux en nous rapportant des médailles …  

Luc, c'est simple, on ne l'a pratiquement pas vu pendant deux semaines, la voiture était dans un parking gardé, il se faisait livré ses repas au studios, et un costume propre par jour … 

Nous avons raflé plus de quatorze  pour cent des médailles et coupes alors que nous représentions à peine plus de trois pour cent des participants. On restait les champions !

Liam venait me retrouver dans les vestiaires, je me préparais pour l'interview que mon frère avait prévu. Nous étions très en avance, je totalisais le plus grand nombre de médailles et coupes ramenées à l'école depuis sa création, je ne serait plus élève à cette école l'année suivante, et Luc voulait donc un interview du champion de l'école pour sa dernière participation. 

Un gars d'une autre école traînait sous les douches, il râlait, il avait terminé quatrième à chacune des épreuves auxquelles il avait participé. 

Lui : Ah il est marrant le coach, ' Tu devrais penser à porter une de ces trucs' il dit. Mais c'est quoi cette mode de malade. C'est hors de question ça pour moi ! 

Liam se déshabillait rapidement et me faisait signe de le suivre. Je ne cherchais pas à comprendre, je le suivais. On entrait dans les douches.

Liam : Tu as vu ça Djé, on est les meilleur comme d'habitude.
Moi : Deux médailles d'or pour toi et une d'argent. C'est bien !
Liam : Et toi, toujours le meilleur cinq médailles d'or. Tu es et restes notre champion !
Le gars : Vous frimez les mecs, mais franchement vous êtes ridicules avec votre truc sur la bite. 
Liam : Remarque c'est vrai que lui il est pas ridicule, il en a une grosse !
Moi : S'il s'en sert aussi bien que du javelot …
Le gars : Tu veux voir peut être, et je te signale que le javelot, c'était pas ma discipline, mais il fallait remplacer quelqu'un !
Liam : Remarque, moi je veux bien voir !

Le gars bandait depuis le début. Liam s'approchait et sans faire plus de manières lui suçait la queue. 

Moi : Alors on fait la paix !
Le gars : Eh, heu, ah ! …

Puis il ne disait plus rien, ne bougeait plus. Il regardait le visage de Liam de dessus, je le regardais aussi. Il fait ça bien Liam. C'est pas avec moi qu'il s'est entraîné mais il fait ça bien. Le gars était bien monté mais Liam avalait sa queue sans difficulté. Ma cage se relevait devant moi, je me savonnais pour la deuxième fois depuis une demie heure. 

Le visage de Liam s'écrasait sur le ventre du mec qui finalement se décidait à intervenir. Il appuyait alors sur la tête de Liam et donnait des coups de bassin. J'intervenais à mon tour et me plaçant derrière le gars je le caressais le corps, je me collais à lui. Au moment ou ma main touchait la base de sa bite, je sentais le visage de Liam, il se retirait me donnait un baiser sur la main et reprenait.

Le mec tournait la tête vers moi et on s'embrassait longuement. 

Le gars : Vas y montre moi ce que tu sais faire à ton tour.

Je prenais alors la place de Liam. Le gars gémissait un peu plus, c'est pas parce que je m'en sortais mieux mais c'est parce que ça durait et si vous avez déjà essayé ( je vous demande cela au risque de vous embarrasser ) vous devez savoir que le plaisir monte avec le temps.

D'ailleurs il gémissait encore plus fort quand Liam prenait ma place. Nous échangions nos places et le gars gémissait de plus en plus. Le gars demandait à Liam de se retourner. Je me plaçais alors devant lui et le prenait dans mes bras. Le gars nous attrapait tous les deux, nous enlaçait et sans aucun ménagement enfonçait sa queue dans le cul de Liam qui hurlait.

Décidément il aime bien ça le petit Liam mais il manque un peu de pratique. Moi je ne hurle plus mais j'aime bien quand même !

Rapidement le gars se lâchait sur le cul de Liam, il se retirait, ressortait sa queue complètement, j'écartais les fesses de Liam et le gars revenait rapidement, avec violence. J'avais les mains sur les fesses de mon doudou et je pouvais sentir la violence des coups qu'il prenait dans le cul. Il se cramponnait à moi et le visage enfoncé sur mon torse, il gémissait, j'avais presque l'impression que par moment il pleurait.

Il respirait fort, très fort le gars sous la douche. Il nous tenait tous les deux contre lui, Liam était écrasé entre nous et ça par contre il ne s'en plaignait pas. Puis le gars a gémi, crié, hurlé de plaisir qu moment ou il à joui dans le cul de Liam. Il se retirait alors, s'éloignait de nous, il nous regardait en terminant de se doucher. 

Liam était dans mes bras et ne semblait pas vouloir me lâcher. Ma queue protestait, la pression était totale, j'étais frustré. Liam avait joui, il avait éjaculé il était détendu. Il me donnait un baiser …

Liam : Il faudrait penser à se dépêcher, le directe avec Luc ne va pas attendre !
Moi : C'est malin, et tu sais dans quel état je suis là moi ?
Liam : J'imagine, j'imagine.

On revenait dans les vestiaires, on se séchait rapidement. Ça m'avait retardé cette histoire mais bon, j'avais encore le temps. Les studios étaient sur place et nous y étions en quelques minutes. Luc nous attendait, il était calme, je sentais que la fatigue l'envahissait. Il avait dirigé, supervisé toutes les diffusions télé ainsi que la préparation des événements depuis deux semaines, même Bob ne l'avait presque pas vu pendant cette période.

Luc avait organisé un direct final. Une petite cérémonie télévisuelle destinée à clore la compétition. On commençait par mon interview puis nous descendions dans le stade pour la cérémonie de fin.

Tout le monde était content, tout s'était bien passé. Il y avait une école dont les élèves ne portaient pas le dispositif PK, dont aucun élève ne le portait. Cette école remportait à peine un pour cent des médailles et coupes mais aucune en or. 

Une dernière petite fête pour terminer dans la joie et la bonne humeur et quelques jours avant la rentrée tout le monde se disait au revoir. 

Le dernier trimestre commençait, c'était celui des recruteurs. L'administration de l'école avait sélectionné les propositions sérieuses, il y en avait presque deux par élèves. Comme je vous le disais, l'avantage était aux élèves. 

Un soir ou j'étudiais tranquillement les propositions qui pourraient m'intéresser on sonnait à la porte, Luc qui était à la maison ce soir là allait ouvrir. Suivait un cri, enfin quand je dis un cri … un hurlement de surprise et de joie. On a tous fait un bon avant de nous précipiter à la porte pour voir ce qu'il se passait …

C'était bien Luc qui avait hurlé. Sophie qui passait nous voir. J'ai hurlé moi aussi, Bob a hurlé également ensuite c'est Antoine qui a hurlé, Liam a hurlé mais c'était juste pour faire comme tout le monde et Charles est retourné préparé le repas après avoir salué Sophie et lui avoir demandé si elle souperait avec nous …

Sophie : Et bien vous êtes toujours aussi fous les garçons !

On échangeait les nouvelles, même si Sophie savait ce qui se passait chez nous. Elle restait régulièrement en contact avec son frère Greg ( mon voisin du dessous ) qui, je vous le rappelle était enseignant dans mon école. 

Sophie : En plus du plaisir de vous revoir, je suis venu au sujet du recrutement. 
Moi : Du recrutement ?
Antoine : Tu recrutes ?
Luc : Tu veux pas m'accorder une interview ?
Sophie : Tout à fait Djé. Oui  Antoine . Si tu veux Luc !

Pendant ce temps Bob expliquait à Liam qui était exactement Sophie. 

Elle nous expliquait que progressivement elle prenait la direction de la PK , régulièrement son oncle lui accordait un peu plus de pouvoir de décision dans l'entreprise. On recrutait dans la section ingénierie et administration. Les postes concernés seraient destinés à devenir des postes de direction au plus haut niveau. Elle avait pensé à nous, Antoine et moi.

Antoine : Et tu as pensé à nous ? Tu es un amour !
Sophie : Antoine, tu as montré des capacité étonnante dans le domaine de la conception, si tu acceptes le poste, tu seras stagiaire, rémunéré bien sûr. Tu passeras pendant la première année dans toutes les filiales de l'entreprise, et il y en a plus que tu ne l'imagines.
Antoine : Intéressant !
Sophie : Djé , c'est un poste d'administration que je te propose, enfin pour commencer un stage d'un an comme pour ton ami.  Tu travailleras depuis un bureau dans cette ville ainsi que depuis le Château ou tu auras aussi un bureau. 
Liam : Ça veut dire que tu vas déménager ?
Moi : Ça veut dire que je vais déménager ? ( à l'intention de Sophie )
Sophie : Tu gardes l'appartement ici, ce sera ton domicile principal et c'est là que tu passeras le plus de temps. De plus tu auras aussi un véhicule de fonctions.
Moi : Mais j'ai déjà une très belle voiture.
Sophie : Je parlais d'un Jet, pour tes déplacements professionnels mais on n'est pas très regardant sur l'utilisation que tu en feras.

Il n'y avait ni à hésiter ni à réfléchir bien longtemps avant de donner une réponse positive. Sophie soupait avec nous, ma nouvelle patronne était connue de nous tous et on l'appréciait au moins autant qu'elle nous appréciait. Elle recherchait bien sûr des collaborateurs compétents, mais aussi des collaborateurs de confiance et sur ce dernier points elle savait qu'elle pouvait compter sur nous. 

Avec bonne grâce elle se livrait à l'interview de mon frère. Il avait fait ça bien, un très court reportage pour présenter la prochaine PDG de société PK. Sophie était en effet inconnue du grand publique. Il présentait ensuite la PK et surtout ses filiales. La société est en effet très bien connue mais pour un seul de ses produits. Il y avait l'immobilier, la communication, l'électronique, la sidérurgie, la chimie … Bon la liste serait longue.

Je savais que le groupe était puissant et étendu mais j'étais malgré tout surpris et par moment je me demandais si mon frère n'en rajoutait pas … Eh bien non, il avait potassé son sujet et le connaissait parfaitement.

Sophie s'était installée chez son frère, on se voyait tous les jours. Elle passait à l'école pour constater par elle même l'avancée des travaux. On en était à la finition, les installations sportives aussi mais les grands chantiers n'étaient pas terminés pour autant. Il y avait encore à venir le lac artificiel, plusieurs hôtels ... Dans la périphérie de la ville il y avait donc toujours des travaux importants.

Sophie installait aussi le centre administratif, c'est là qu'il y aurait son bureau et le mien. Le quartier devenait de plus en plus chic depuis l'arrivée de Sophie, maintenant il y avait une deuxième voiture du même genre que celle de mon frère stationnée devant la maison.

N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

28 Février 2020

J 59 . Tout se passe bien.




27 Février 2020

Encore une matinée qui commence tranquillement, Mon corps s'habitue totalement à mon truc, ma queue ne proteste plus ...

LES AVENTURES DE DJE Ep 91 : DERNIÈRE ANNÉE

LES AVENTURES DE DJE
Ep 91 : DERNIÈRE ANNÉE



Le lendemain, Liam était très reposé il se réveillait avant moi. Je dormais paisiblement, il se levait, enfilait son harnais y fixais le gode que je m'étais choisi et se glissait contre moi dans le lit.

Il y allait avec douceur, il ne voulait surtout pas me réveiller trop tôt et c'est seulement quand le gode me rentrait dans le cul que je me réveillais. C'était une pression délicieuse et forte, je sentais mon anus se dilater, j'ai déjà souvent pratiqué et c'était sans douleur, c'était agréable, très agréable. 

Au moment ou je manifestais ma première réaction, Liam m'attrapait de ses deux bras, me serrait contre lui et m'embrassait dans le cou. Il me mordillait doucement en poussant un peu plus fort sur le gode et me l'enfonçait rapidement jusqu'à la garde. Il appuyait alors doucement puis avec force. 

Je poussais un long soupir de plaisir suivi par un long gémissement.

Liam : Ça t'a manqué ?
Moi : Un peu … 

Je tournais la tête vers lui, on s'embrassait. Il ressortait puis revenait en moi avec des mouvements amples, lents mais amples, très amples. C'était un délicieux massage sur l'anus qu'il me prodiguait. Un massage plein de douceur et de force, c'était bon et c'est vrai, ça m'avait manqué ! Là j'en profitais, je le laissais faire et j'en profitais.

Quand le gode s'enfonçait totalement dans mon cul je me sentais envahi jusque dans mon intimité. Vous devez tous connaître le plaisir que cela peut provoquer, c'est tout le corps qui vibre, c'est un frisson qui vient d'en bas puis qui glisse le long de tout le corps, qui remonte jusqu'aux épaules, la respiration qui s'accélère et quand le gode vient à masser la prostate assez longtemps, c'est une explosion de plaisir qui nous envahit. 

Je sentais ce plaisir monter de plus en plus fort en moi. La peau, la chaleur de Liam contre ma peau, la douceur de ses caresses. Ma cage, mes couilles étaient les seules parties de mon corps qu'il ne caressait pas, qu'il essayait même d'éviter. C'était voulu il savait qu'on pouvait jouir autrement maintenant.

Depuis un mois nous nous étions donné du plaisir avec seulement la peau contre la peau, là il avait seulement rajouté un petit truc de même pas vingt centimètres pour épicer la plaisir, pour le reste il faisait comme nous le faisions depuis le début de nos vacances.

Ma queue protestait comme jamais, mes couilles formaient une grosse boule juste sous ma cage. S'il y avait un certain inconfort à ce niveau le reste de mon corps était plongé dans la douceur, dans la tendresse. Même ce massage sur mon anus restait un massage plein de douceur autant que de force. 

Je me sentais envahis de plaisir. Puis quelques convulsion, quelques contractions que je ne contrôlais plus et c'était l'explosion de plaisir, je jouissais par la prostate, par le muscle anal, par la queue, par ma peau. J'éjaculais, je râlais, je hurlais de plaisir et tous mes muscles se relâchaient. Je me laissais retomber sur moi-même, tout mou comme Liam la veille au soir. 

Il arrêtait alors tout mouvement, et se retirait lentement, infiniment lentement. J'ai senti le gode se retirer millimètre après millimètre, et chaque millimètre me procurait un plaisir supplémentaire. Je ne manifestais aucune réaction mais là encore je jouissais tout au long des dix neuf centimètres …

Je ne bougeais plus, Liam se serrait contre mon dos il ne bougeait plus non plus. Seules ses lèvres se permettaient de me donner encore quelques baisers dans le dos, juste entre les omoplates, vous savez là ça fait guili-guili, ça chatouille et au bout d'un certain temps que je ne saurais mesurer on finissait par se relever. Il rigolait de mes réactions.

Moi : Tu me chatouilles.
Liam : Moi ! Mais j'ai rien fait.

On se précipitait sous la douche. On en ressortait à temps pour le petit déjeuner. En l'absence du big boss c'est toujours plus détendu. Le reste de la matinée, je faisais découvrir à Liam toute la propriété. Les installations sportives, la piscine couverte, le parc, la piscine non couverte … Tient c'est nouveau ça ! … Elle n'était pas encore là cette piscine la dernière fois que je j'étais venu.

Je lui montrait l'endroit par ou on était passé Antoine et moi le jour ou … Vous vous souvenez, quand on avait fait le mur pour entrer. ( Groupe de vacances ep 10 ). C'était il y a déjà trois ans, et en repensant à cette époque je voyais le parcours que j'avais fait.

Nous ne devions rester que quelques jours au Château, et le temps passait vite. Bob repartait avec Luc, Antoine rentrait par ses propre moyens et c'est avec Liam que je revenais donc. Nous avions passé de super vacances une nouvelle année de travail s'annonçait. Pour moi ce serait la dernière, il ne me semblait pas utile de faire une sixième année. J'avais prévu de me lancer dans la vie active pour l'année suivante.

Cette année, ce serait donc l'année des recruteurs. Les entreprises privées de tous bords contacteraient l'école qui ferait le tri des entreprises sérieuses. Des proposition de carrières, oui de carrières plus que ' d'emploi '. La réputation de l'école était telle qu'il y aurait plus de propositions que d'étudiants. 

Ce serait les étudiants qui auraient le dernier mot, c'est eux qui choisiront parmi toutes les propositions qui seront faites.

Je suis intervenu pour demander au directeur s'il accepterait d'avoir un autre étudiant externe. Tout d'abord il refusait. J'insistais, il tenait bon. Luc passait à l'attaque avec moi, le directeur ne lâchait rien.

Le directeur : Écoutez moi bien les frères Brosso … Il a été prévu dès le début qu'il n'y aurait plus aucun élève externe à l'avenir …
Luc : Sauf moi bien sûr !
Le directeur : Comment ça … Toi !
Luc : Je devais être externe, si je n'avais pas été trop jeune … 
Le directeur : Oui mais tu peux t'inscrire quand tu veux Luc, tu seras externe.
Moi : Sauf Bob. 
Le directeur : Bob, c'est vrai, je l'avais complètement oublié celui-là.
Luc : Ça va lui faire plaisir … 


Moi : Et donc si je comprends bien, on me refuse à moi ce qu'on acceptait à mon frère …
Luc : Qui en plus n'est pas étudiant dans cette école !


Moi : Surtout que Liam n'a passé que la moitié des nuits dans sa chambre.
Le directeur : Comment ça ?
Moi : Souvent après les soirées que Antoine et moi donnons …
Luc : Et moi tu m'oublie moi ... là tu m'oublies …
Moi : Donc après les soirées que Antoine …
Luc : Qui est externe d'ailleurs …
Moi : Bon je peux terminer ma phrase oui ou …
Luc : Oui vas y je ne dis plus rien …


On l'a un peu saouler le directeur ce jour là, il finissait pas me couper la parole.

Le directeur : Bon ça va, ça va, ça va … Liam pourra être externe ! Vous avez gagné, je renonce …
Luc : Sinon il restait encore l'arme absolue !
Moi : Monsieur Le Conte ?
Luc : Oui !
Le directeur : Mais tu sais Luc tu peux t'inscrire quand tu veux !
Luc : Trop vieux !
Le directeur : Ils me fatiguent ces deux là. Heureusement qu'il n'y en que deux ! Un de plus dans ce genre et je change de boulot moi !

On sortait du bureau du directeur … '' S'il vous plaît les jeune ne claquez pas la porte, j'ai la migraine moi d'un coup … ''. On sortait donc du bureau du directeur sur la pointe des pieds.

Luc : Voilà, finalement c'était pas si dur !
Moi : Il a tout de même fallu le saouler pendant plus d'une heure …
Luc : Une heure … Ahhh … Mon rendez-vous … 

Il repartait comme un fou vers sa voiture. 

Un peu plus tard je voyais Liam et lui donnait la nouvelle. Le jour même il s'installait à la maison .

Dans la journée je recevais un appel de Mr Le Conte.

MLC : Dites moi Jérémy, je viens d'apprendre ce qui s'est passé chez le directeur de mon école. Je vous rappelle qu'il était prévu qu'il n'y aurait plus de nouveaux externes … Si j'ai bien compris vous et votre frère vous avez eu mon directeur à l'usure … Bien ! Je ne reviendrai pas toutefois sur sa décision mais, si jamais votre relation avec Liam venait à prendre fin il restera externe, il devra donc être logé ailleurs et ce sera à vos frais !
Moi : Je comprends très bien Monsieur Le Conte, mais je vous assure que cela ne se produira pas !

On l'avait un peu contrarié ! Mais il n'est pas rancunier !

L'école continuait à se métamorphoser, plusieurs bâtiments définitifs étaient terminés au fond du campus, et les bâtiments provisoires étaient en cours de démontage. L'école avait presque sa forme définitive, et les installations sportives en périphérie de la ville avançaient rapidement désormais. Elles devaient être prêtes pour la prochaine compétition inter école, là il avait été décidé qu'il y aurait trente grandes écoles au total qui devraient y participer sur une semaine de compétition. 

On se mettait donc au travail. Liam était un très bon élève, il est devenu encore meilleur, Bob était aussi parmi les meilleurs élèves de deuxième année. 

Il ne s'est pas passé grand chose de croustillant cette année là. Ma relation avec Liam est devenue de plus en plus solide. Luc à publié un livre qui s'est très bien vendu, il a développé une maison de production de programmes télé. Puis une filiale concurrente.

Ça peut paraître bizarre comme idée mais vous devez savoir qu'avec mon petit frère … Il s'était dit que la meilleur manière de contrôler la concurrence c'était de la créer soi-même. Il s'agissait en fait d'une autre maison de production qui produisait des programme bon marché mais à très forte valeur ajoutée. Il a gagné des somme folles avec cette idée, surtout que ses deux sociétés marchaient bien. 

La vente des produits PK augmentait et notre fortune à Antoine et à moi augmentait dans les même proportions. Nos camarades Liam et Bob vivaient tranquillement eux aussi, il s'était fait une petite réputation, et on les voyait régulièrement sur les affiches des journaux de mode ou dans des publicités à la télé. 

Avec Liam on profitait de nos week-end en s'éloignant de la ville. On y faisait des rencontres comme ce dernier week-end avant la compétition sportive. Nous étions tranquillement installé à la piscine d'une hôtel de bon standing, on avait un maillot de bain bien sûr. Deux touristes métisses nous avaient remarqué et ne le cachait pas ou alors le cachait très mal. 

Liam : Tu penses qu'ils portent un de tes dispositifs ?
Moi : J'aimerais bien le savoir.
Liam : Ça devrait être possible il y en a un qui vient vers nous.

Le jeune homme nous abordait.

Lui : Bonjour, mon ami et moi vous avons remarqué, je ne voudrais pas vous déranger mais vous ne seriez pas Djé et Liam.

Liam relevait la tête.

Liam : On est repéré !

Nous sympathisions rapidement, les deux nouveaux se joignaient à nous. On faisait quelques plongeons, on passait un moment à discuter au bar sans alcool. 

Teddy : Et vous portez réellement le fameux dispositif comme on le dit ?
Moi : Oui, tout à fait !
David : Il n'abusent pas un peu dans la communication de la PK Company?
Liam : Je te confirme que non, moi ça fait plus d'un an et demie que je ne l'ai pas retiré.
David : Pas le droit ? On t'interdit de le retirer ?
Liam : Non, pendant les vacances on a le droit mais c'est pas une obligation …

Un peu plus tard on montait dans la chambre. Avec Liam on discutait longuement. Allions nous nous autoriser un peu de libertinage. Depuis qu'on était ensemble nous étions restés rigoureusement fidèles … On en parlait et on concluait qu'une petite sauterie ne serait pas une tromperie, le mensonge le serait là il n'y avait aucune tromperie …

Un peut plus tard on retrouvait nous nouveaux amis au restaurant de l'hôtel. On avait bien sûr deviné que nos deux nouveaux amis ne portaient pas le célèbre dispositif qui m'avait rendu riche avec mon ami Antoine.

On terminait tous les quatre dans notre chambre. Vous avez deviné la suite … ? 

Allons bon, il y a un lecteur qui a dit non ! 

C'était bien la peine que j'écrive plus de quatre vingt dix épisodes des aventures de Djé ( Note de l'auteur ).

Le rapprochement était rapide, on n'était pas farouche, aucun d'entre nous n'était farouche. C'est Liam qui commençait, il retirait sa veste avec élégance, je le regardais avec des yeux pleins de tendresse, il est tellement beau. Suivait sa chemise, Teddy le rattrapait et c'est torses nues qu'ils dansaient en se prenant dans les bras.

David me prenait par la main et m'entraînait vers le centre de la pièce. Il ouvrait ma chemise, me caressait le torse et faisait tomber ma chemise, je l'embrassais, glissait mes mains sous sa chemise que je faisais glisser également.

Je passais ensuite dans les bras de Liam, J'avais aimé le contact avec David mais Liam me faisait un autre effet. C'est Teddy qui passait dans mon dos, ses mains glissaient vers ma ceinture et m'ouvrait mon pantalon qui tombait, j'étais nu. Je ne sais plus si je vous l'ai déjà dit mais je ne porte pas de sous vêtement. David faisait la même chose à Liam et je ne l'avais pas remarqué quand on s'était habillé mais Liam fait comme moi désormais.

Teddy me caressait les couilles et la pression dans ma cage montait immédiatement au plus haut. Je ne sais pas si c'était les caresses ou la vue de Liam en face de moi, dans les bras d'un homme. Je ne sais pas mais je vous garantis que la pression était maximum.

Liam se retournait, ouvrait le pantalon de David qui bandait déjà bien, puis prenait sa queue dans la bouche. Je devinais le plaisir que David pouvait ressentir. On n'a jamais fait ça entre nous ! Liam semblait savoir ce qu'il faisait, j'en faisait de même, je me retournais vers Teddy et le suçait avec science.

On échangeait nos partenaires, au passage on s'embrassait. Un peu plus tard je ne savais plus qui était ou, sauf Liam bien sûr. Nos nouveaux amis s'amusaient avec nous, il appuyait sur ma tête, avançait le bassin violemment. J'encaissais comme je pouvais, il recommençait et semblait y prendre beaucoup de plaisir. 

C'est Teddy qui se décidait en premier, il entraînait Liam face au lit. Liam se penchait en avant et sans plus attendre Teddy lui enfonçait sa queue bien à fond. Je l'entendais gueuler, mais je l'entendais à sa voix, et il ne demandait pas à Teddy d'arrêter. De toutes évidences Teddy n'en avait pas envie.

Avec David je regardais la scène, c'était terriblement excitant de voir mon doudou se faire défoncer le cul comme ça. Sans prévenir David me retournait sur le lit et m'enfonçait sa queue dans le cul, comme le faisait son copain à mon doudou. C'était bon, c'est tout de même différent que de se prendre un gode ceinture ou un plug. 

Ils nous limaient longuement, avec force, avec des mouvements rapides, avec des mouvements amples et doux puis plus lents. Ils faisaient durer le plaisir, il faisait une pause puis reprenaient. Il changeaient de place et reprenaient. Liam gueulait de plaisir, je gémissais de plaisir moi aussi. Les coups sont devenus plus violents au moment ou Teddy jouissait dans mon cul. Son souffle était devenu soudainement très fort, ensuite il se laissait retomber sur moi, il ne bougeait plus. David continuait à buriner Liam pendant un long moment puis gueulait de plaisir au moment ou il jouissait dans le cul de Liam. 

Plus personne ne bougeait, nos nouveaux amis se décidaient en premier et se retirait, là je l'ai senti quand il est sorti de mon cul, puis allaient prendre une douche. Avec Liam on se faisait un gros câlin, on échangeait nos impressions.

Finalement on s'autoriserait de nouveau ce genre de soirée. 


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

LES AVENTURES DE DAVID Ep 27 : LA MAISON DE LA PLAGE

LES AVENTURES DE DAVID 27
Ep 27 : LA MAISON DE LA PLAGE


David avait repris son rythme de vie habituel. Une équipe de gardes avait été installée au rez de chaussée ainsi que d'autres équipes dans les appartement de plusieurs immeubles dans le quartier, au rez de chaussée uniquement. En fait le quartier s'était discrètement transformé en quartier sécurisé sans que ça ne se voit trop. 

Il n'y avait plus de garde devant la porte de l'immeuble de David mais il y en avait un certain nombre qui surveillaient le moindre mouvement dans le quartier. Les colocataires de David n'étaient plus fouillés à chaque fois qu'ils se déplaçaient dans le quartier, ses amis non plus. C'en était presque étonnant mais en fait ils avaient fait l'objet d'une enquête très serrée. David n'en savait rien mais c'étaient les services secrets qui s'étaient occupé de cette affaire.

Le deuxième trimestre scolaire se terminait, David s'était totalement adapté dans cette nouvelle vie. Franck Marthe venait le voir.

Franck : Alors David, ton grand père t'a parlé de la maison de la plage ?
David : Oui il parait que c'est une maison de fous. C'est un grand oncle Luc qui a dessiné les plans, et mon grand père m'a dit que quelquefois c'était un grand malade.
Franck : C'est vrai que c'est une maison de fous mais tu verras elle peut être très agréable. 
David : Alors vous avez organisé cette réunion informelle ?
Franck : Oui et on va profité des vacances qui approchent. Tu n'a rien de prévu de particulier ?
David : Bein non !
Franck : Ça m'arrange, tu n'imagines pas combien c'est compliqué, il va falloir réunir dans un même endroit les cinq dirigeants de la planète … En plus de toi, de ton grand père et de moi !
David : Vous serez là aussi !
Franck : Je suis le PDG de la PK Compagnie et ces cinq dirigeants je les connais personnellement … Très bien même … Il n'y a pas trois jours j'ai dîné chez le PII ( la plus haute autorité politique de la planète ) il se fait une joie de t'être présenté. 

Quelques jours plus tard les vacances commençaient. David se détendait un peu. Le deuxième jours des vacances Franck Marthe arrivait chez David il était avec Philippe. 

Franck : Bien mon garçon, on peut partir quand tu veux .
Philippe : Je te rassure David tout s'est fait dans mon dos, je suis et reste contre cette réunion .
Franck : Mais c'est une réunion informelle, et ton petit fils a décidé de reprendre l'entreprise familiale …
Philippe : Bon on arrête de discuter, on peut y aller !
David : C'est loin ?
Philippe : On y va en hélicoptère, en voiture on y passerait la moitié de la journée.

David en avait désormais l'habitude, un taxi les attendait sur la terrasse, en quelques minutes ils étaient à l'aéroport. Deux petites heures plus tard ils arrivaient à destination.

David : C'est étonnant comme architecture, on dirait un maison de poupée.
Philippe : Ça c'est parce que tu la vois de loin, de prêt  on a une tout autre impression. 
David : Du genre ?
Philippe : Du genre … L'architecte était fêlé !
David : Tu es dur avec tes oncles, grand père !
Philippe : Non pas du tout, je ne leur ai jamais caché ce que je pensais d'eux, ils étaient extraordinaires, je les aime et les ai toujours aimé … Mais ils étaient fêlés ! Luc surtout !
L'hélicoptère se posait juste devant la maison, les trois passagers en descendaient l'hélico repartait aussitôt. Plusieurs employés de maison venaient saluer et accueillir les arrivants. Philippe faisait l'accolade à un des employé.

Philippe : David je te présente Alex, il est au service de notre famille et de cette maison depuis très longtemps.
Alex : Voilà donc ton petit fils, j'en ai beaucoup entendu parlé. Je suis très heureux de te rencontrer David … C'est moi qui suis chargé de faire fonctionner cette maison, si tu as besoin de quoi que ce soit … Tu n'hésites pas à me déranger s'il te plaît, ça me fera plaisir !

Alex saluait Franck Marthe et leur expliquait ce qu'il avait prévu pour le séjour.

David se retrouvait devant l'entrée principale, il restait perplexe. La porte principale avec son imposte culminait à une hauteur de près de dix mètres … Le plafond du hall d'entrée dépassait de plusieurs mètres la hauteur de la porte ( c'est préférable ) ce qui fait que le premier étage à cet endroit de la maison se retrouvait à la hauteur d'un quatrième étage dans un immeuble standard …

Au rez de chaussée les salles de réceptions avait une hauteur de plafond de six mètres. Le hall d'entrée se terminait au fond, face à la porte d'entrée monumentale par un escalier tout autant monumental en fer à cheval. De chaque côté de l'escalier une ouverture ouvrait sur une deuxième partie, une salle tout aussi monumentale que le hall avec en son milieu une piscine de vingt cinq mètre de long … 

David n'avait encore rien vu mais déjà il se retournait vers son grand père …

David : Tu avais raison Grand Père, ton oncle était fêlé !
Philippe : Ça lui aurait fait plaisir de t'entendre du sais !

Au premier étage les chambres étaient plus modestes, les hauteurs de plafond ne dépassaient pas quatre mètres ( sauf pour quelques unes ) et leur tailles moyennes étaient de cinquante mètre carré … David avait rapidement le vertige. La chambre des maîtres faisait une surface de soixante mètre carré avec sa partie salon mais sans la salle de bains, et était décorée de marbres parmi les plus rares, robinetteries en or, baignoire en marbre. Les tissus les plus luxueux, depuis le plus simple comme le coton d’Égypte aux soies de Chine sur  lesquelles apparaissaient des motifs en relief, tissés directement dans le tissus lui même ( du sur mesure de très haut de gamme ). 

C'est bien sûr la chambre des maître qui était réservée à David, ne le serait-il pas un jour … Son grand père Philippe retrouvait lui la chambre qui lui était attribuée quand il était jeune. Rien n'avait changé sauf peut être les vêtements dans la penderie, ils étaient au goût du jour.

La chambre d'en face était réservée à Franck Marthe, elle était du même genre que celle de Philippe. Six autres chambres étaient préparées pour les présidents, la vaisselle d'apparat était sortie. Tout était prêt pour recevoir les invités. 

Le jour même c'est  un commando de militaires qui débarquait. Ils investissaient les lieux. C'est Alex qui se chargeait de faire visiter aux responsables militaires les dispositifs de sécurité. Tout était prévu, depuis un système de détection qui n'aurait pas laissé un moustique approcher de la maison ( C'est en tout cas ce qu'avait dit le fabriquant ) jusqu'à un abris anti-atomique au cas ou … 

Les services de sécurité semblaient rassurés. Ils prenaient le contrôle de la situation. En temps normal il n'y avait pas beaucoup de personnel de maison mais pour l'occasion un contingent était arrivé, tous avaient été sélectionnés parmi le personnel de la PK, parmi un personnel très bien connu, au dessus de tout soupçon.

Le premier soir, David était un peu perdu il était allongé sur son grand lit. On frappait à la porte. Un employé métisse entrait, il portait un plateau. 

L' employé : Monsieur Alex m'a demandé de vous apporter un grand verre de chocolat pour vous aider à dormir Monsieur Brosso.

Ça faisait toujours une drôle d'impression à David de se faire appelé Monsieur. 

L'employé : Puis-je faire quelque chose pour vous ? Voulez-vous que je vous fasse couler un bain ?

David n'était pas habitué à se faire traiter de la sorte, il faisait oui de la tête mais sans aucune conviction. Quelques instants plus tard le bain était prêt. L'employé prenait les vêtements que David retirait, David se glissait dans son bain.

L'employé : Si vous me permettez Monsieur Brosso !

L'employé se plaçait dans le dos de David et commençait à lui masser les épaules et le cou. David se détendait, il ne réalisait pas vraiment la situation, il ne réalisait pas vraiment que si partout ailleurs il était le futur Maître, ici il l'était déjà. Il était chez lui … Il se laissait aller et se détendait complètement. 

David : Dis moi, tu t'appelle comment ?
L'employé : Jonas Monsieur Brosso !
David : S'il te plaît, n'en rajoute pas trop avec les '' Monsieur Brosso '' je sais c'est mon nom mais tout le monde m'appelle David .
Jonas : Vous appeler simplement David ne serait pas convenable de ma part  Monsieur Bro ... Pardon … Monsieur !

David rigolait.

Jonas : Je sens que vous vous détendez bien Monsieur David. Voulez-vous que …
David : Oui vas y .

David était nu dans son bain, allongé sur le dos, son dispositif de chasteté se relevait avec force. Ce contact qui n'était pas prévu réveillait en lui des désirs qu'il aurait aimé satisfaire. Il se laissait faire, le massage se transformait doucement en caresses qui descendaient sur son torse. David se sentait bien, il respirait fort. 

C'est sans penser à mal, c'est sans penser à rien d'ailleurs que David posait sa main sur le bras de Jonas et le caressait avec douceur. Jonas était surpris mais laissait faire, il était penché sur David qui le regardait, c'est sans prévenir et toujours sans penser à rien que David déposait un baiser sur la joue de Jonas. Sur le bas de la joue pour être plus précis, presque dans le cou. L'employé était métisse et comme tout le monde le sait David aime bien les garçons à la peau mate. 

Jonas n'était pas du genre timide, il baissait la tête et donnait un baiser sur les lèvres de David. Quelques instants plus tard il avait retiré sa chemise et David découvrait autant avec les yeux qu'avec les doigts le corps parfait et musclé de Jonas. 

Rapidement suivait un nouveau baiser, puis encore un. David se relevait et prenait dans ses bras, on ne parlait plus de petit massage, là c'étaient des caresses, des câlins, des baisers. Les mains de Jonas se promenaient sur tout le corps de David avec, peut être, un peu plus de force et d’insistance que les fesses de david. 

David : Je vois que tu fais du sport.
Jonas : Je vois que vous faites vous aussi du sport Monsieur David.

Les mains de David se posaient également sur les fesses de son employé, bein oui, en fait Jonas était employé par David même si ce dernier n'en savais rient jusqu'à ce jour. 

Puis les mains de David se glissaient dans le pantalon de Jonas, toujours sur les fesses. Jonas avait lui aussi un fessier très ferme, et David ne se privait pas de le vérifier. 

David : Et si tu venais me rejoindre dans mon bain.
Entre deux baisers Jonas lui répondait.

Jonas : Si Monsieur David le désire, ce sera avec plaisir. 

Quelques secondes plus tard, le pantalon de Jonas tombait et c'est belle grosse bite qui se relevait fièrement, avec force, presque à la verticale contre le ventre de Jonas.

David : Ah ouai !
Jonas : Oh pardon ! Vous ignoriez que … 
David : Non, au contraire, j'aime bien.

En disant cela David se penchait et prenait dans la bouche la queue de son employé, rapidement il la prenait toute entière dans sa bouche, elle était de belle taille mais David comme vous le savez tous n'était plus un débutant. Il commençait à avoir de l'expérience et ce soir là c'est Jonas qui en a profité.

David était à genoux dans la baignoire, Jonas était debout juste à côté. Il caressait les cheveux de David, avec douceur. Il appuyait doucement sur la tête de son boss, avançait le bassin par intermittence, appuyait un peu plus fort, sa queue rentrait jusqu'au fond de la gorge de David qui se régalait. 

David glissait ses mains entre les cuisse de Jonas, lui caressait les couilles, lui passait une main entre les fesses et glissait tout doucement un doigt dans le cul. Oh David n'allait pas bien loin, juste une phalange et Jonas gémissait. David lui ne pouvait pas dire grand chose.

Jonas se penchait vers David et l'embrassait tendrement sur la bouche puis enjambait la baignoire et s'allongeait sur David, le prenait dans ses bras et ce n'était plus que câlins, caresses, douceur. David masturbait Jonas, il ne s'y attendait pas à ça mais c'était une bonne surprise. 

David se retournait sur le ventre, sortait sa tête et son cul de l'eau …

David : Encule moi !

Jonas ne le faisait pas répéter, il se lubrifiait la queue, prenait position et poussait. Il poussait assez fort, peut être un peu trop fort et David gueulait au moment ou la queue de Jonas s'enfonçait, elle rentrait vite, avec violence. Il ne fallait que quelques secondes avant que le ventre de Jonas ne s'écrase sur les fesses de David.

Ensuite Jonas s'appuyait de tout son poids, il forçait sur sa gauche sur sa droite, se retirait rapidement et s'enfonçait avec violence de nouveau. Le ventre de Jonas claquait fort contre les fesses de David qui râlait et en redemandait.

Les coups étaient rapides et violents. David jutais et jouissait et les derniers coups particulièrement violent arrachaient à David un cri et un gémissement de plaisir à Jonas.

Les corps se détendaient alors de nouveau Jonas se retirait et reprenait, avec un peu de malice toutefois, le massage qu'il avait interrompu par force … ( Enfin par force, ouai, je me demande si je n'exagère pas là moi … Note de l'auteur )

Une voix se faisait entendre … '' David … Tu es là ? '' . C'était Philippe.

David : Je suis dans mon bain Grand Père, tu désires quelque chose ?
Philippe : Tu pourrais nous rejoindre dans le salon s'il te plaît.

Jonas avait un peu paniqué mais David pas du tout, ils se séchaient, David s'habillait rapidement et laissait là Jonas. Au passage en passant devant la table il avalait rapidement le verre de chocolat et descendait les escaliers.

Un état major militaire était là dans le salon, David ne connaissait pas les grades mais il remarquait les trois étoiles sur le chapeau d'un des militaires, Franck Marthe et Philippe l'attendait. ( Oui je sais … Mais David n'a jamais fait l'armée et il ne fait pas la différence entre un képi et un chapeau, j'y suis pour rien moi … Note de l'auteur )

Franck : Demain, dans la journée les cinq présidents vont arriver l'un après l'autre, par mesure de sécurité ils ne voyageront séparément. L'armée contrôle actuellement l'aéroport. Et la propriété est sous haute sécurité.
Philippe : Puisque nous sommes chez toi David, j'ai pensé que tu pourrais aller les chercher avec ta voiture...
David : Mais grand père on est venu en hélicoptère !
Philippe : Je sais aussi j'ai téléphoné à ta voiture, elle s'est mise en route, elle sera là à temps !
David : Et il est loin l'aéroport ?
Philippe : Trois bons kilomètres.
David : En dehors de la propriété donc.
Philippe : Mais non pas du tout ! Pourquoi tu dis ça ?
David : Mais elle est grande comment cette propriété ?


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

20 Février 2020

Jour 51 , tout se passe bien mon record est de 54 jours et normalement je devrais le dépasser cette année .





19 Février 2020

Avec mon nouveau appareil photo , 16 MP c'est cool . Il marche bien en plus ...





19 Février 2020


50 jours viennent de passer depuis le jour ou me lançait ce défit.
50 jours certains faciles
50 jours certains difficiles

Maintenant le matin il suffit de réajuster le dispositif et tout va bien










18 Février 2020 Calendrier 49



Bon ! Jusque là cette affaire à l'avantage d'être claire. Ça commence le premier janvier, on est le 18 février . Les petits point bleus représentent les jours ou j'ai joui, orgasmes un peu contrariés mais plaisir quand même. A plusieurs autres reprises j'ai juté mais sans plaisir, presque sans rien sentir, là je n'ai pas relevé ... 

18 Février 2020 : JOUR 49

Jour 49, ce qui nous fait 7 semaines complètes







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