De passage Ep01

De passage Ep01


Il s'appelait Thierry. J'étais venu l'attendre à la gare, si si, il y en a encore qui utilisent le train pour se déplacer. Je ne l'avais jamais vu mais on se connaissait bien. Ça faisait déjà un moment qu'on discutait entre nous sur l'Internet. On s'était échangé nos photos et on ne devait avoir aucun problème pour se reconnaître. Surtout que juste avant son départ on avait échangé une photo, on savait donc comment on serait habillé.


Je ne l'ai pas loupé malgré la foule. Il arrivait avec son sac sur l'épaule et son pantalon qui montrait une jolie bosse.


Non, j'entends les commentaire et vous vous trompez, nous n'avions pas prévu de devenir amants. Il venait passer quelques jours chez moi mais il n'était pas prévu qu'on s’envoie en l'air.


Son pantalon était un peu moulant, pas trop pour ne pas être indécents comme certain dont on peut presque compter les poils des couilles, non. Là c'était convenable, on voyait bien les cuisses musclées et une belle bosse entre les cuisses. Mais il restait convenable.


Ceci dit … Les filles le regardait, c'est vrai qu'il était beau gosse. Il venait vers moi avec un large sourire, je lui rendais son sourire, une poignée de main ferme. Il faut savoir rester correcte en publique.


Puis on prenait la voiture. Rien ne nous pressait aussi je lui faisais faire un détour touristique. On s'arrêtait prendre un verre dans un bar sur le port puis on rentrait chez moi.


Je lui faisait faire un tour rapide du propriétaire, il avait posé son sac de voyage et avec un petit sourire coquin il se plaçait devant moi à quelques mètres.


En prenant bien son temps, il retirait sa chemise, il faisait sauter les boutons un par un en me regardant bien pour voir mes réactions, il gardait ce sourire coquin. Finalement il me plaisait bien et je n'étais plus du tout convaincu par ce choix que nous avions pris de rester sage. C'était sûr, on ferait un câlin.


Je faisais comme lui, moi aussi j'ouvrais ma chemise, il ne nous fallait que quelques minutes pour nous retrouver torse nue. On se regardait longuement. On n'avait pas raconté de bobard quand on s'était décrit, ni lui, ni moi. J'aimais ce que je voyais, et je pense que c'était réciproque.


On retirait nos chaussures, les chaussettes suivaient puis lentement, il ouvrait son ceinturon. Suivait ensuite son pantalon.


J'avais fait ce qui était prévu et je n'avais pas de sous vêtements et à ce moment je me demandais s'il avait fait pareil. Je posais mes mains sur mon ceinturon. Je prenais bien mon temps pour ouvrir mon pantalon. Il faisait comme moi et c'est ensemble qu'on ouvrait le premier bouton. Lentement le second suivait, puis le troisième. Nos gestes semblaient au ralenti.


Il pouffait de rire, j'en faisais de même, et sans prévenir il baissait son pantalon sur les genoux. Je faisais comme lui.


Il n'avait pas non plus de sous vêtements et je pouvais admirer son dispositif de chasteté. C'était le modèle qu'il portait depuis plus de six mois non stop. J'exhibais le mien que je portais depuis presque un an.


Il me lançait un large sourire que je lui rendais. Puis on se regardait longuement.


Ensuite on s'installait et on discutait. Je préparait un thé, je sortais quelques gâteaux secs. Et on discutait. On parlait des modèles qu'on avait porté, de celui qu'on préfère et bien sûr au bout d'un moment …


On finissait par se tripoter les couilles.


Chacun tripotait les couilles l'autre, je veux dire. Mais peut être aviez-vous compris.


Tout comme moi, il avait épilé son sexe. La limite était le cock-ring. Tout ce qui se trouvait à l'intérieur du cock-ring, les couilles et la bite étaient épilées. Il avait fait comme moi, c'était récent, enfin ça avait été rafraîchi il y a peu.


On était tout beau.


On est resté jusqu'au soir à discuter, on était resté à poil, on parlait de nos sensation autant morales que physiques. Le manque, la frustration …


C'est vrai que je me ferais bien péter le cul là ! Me déclarait Thierry.

J'ai téléphoné à un pote, il en a une grosse.

Et il va passer ?

Plus tard, il m'a dit plus tard. Pas avant dix heures ce soir.

Je t'invite au restau en attendant.

Je suppose qu'il faut s'habiller ?


Il rigolait à mon commentaire. Mais on s'habillait quand même. Pas besoin de sous vêtement, on en avait déjà ! Et rigide en plus !


On avait l'air totalement détendu, mais je vous jure que dans la cage il y avait de la pression. Je ferais mieux de dire, dans les cages il y avait de la pression. On était dans la même situation, nos cages étaient bien remplies, et nos couilles formaient une boule bien ferme juste en dessous.


Je lui tripotait les couilles une dernière fois juste avant qu'il ne referme son pantalon. Elles étaient bien fermes comme je m'y attendais. Ça l'amusait il me laissait faire.


Soirée restau, on a bien bouffé, puis retour maison. Mon pote Rocco ne traînait pas, il est rarement en retard celui-là. Au fait s'il y en a qui se demandent, et bien Rocco n'est pas son nom, et juste son surnom. Et s'il y en a un qui se demande pourquoi ce surnom, et bien je le laisse réfléchir …


Il s'installait sur le fauteuil, les cuisses écartées, très à son aise. Il prenait une bière.


Alors ça va les filles ? Charly, tu me présentes ta copine ?


Je me retournais vers Thierry. Il avait des yeux tout ronds, l bavait devant Rocco. Il faut dire aussi que Rocco est très bel homme, belle carrure, belle gueule, et surtout une bosse bien placée sur laquelle Thierry louchait sans pouvoir se contrôler.


Bon,on n'a pas que ça a faire. Mettez-vous à poil ! Ordonnait Rocco.


Avant que Thierry ait le temps de réagir je retirais ma chemise et envoyait valser mon pantalon à l'autre bout de la pièce.


Bien ça Charly ! Me disait Rocco. Toujours avec ta cage à bite. Tu sais pas à quel point ça m'excite ton truc. J'adore …


Il continuait à commenter pendant que Thierry retirait ses vêtements. J'étais resté là, devant lui et il ne regardait pas ce que faisait Thierry.


Quelques instants plus tard il venait me rejoindre, presque au 'garde à vous' à côté de moi. Rocco s'intéressait rapidement à la situation.


Deux mecs chastes, rien que pour moi ! Lequel va me faire une gâterie ? Il marquait une pause puis montrant Thierry du doigt. Toi le nouveau, tu vas me montrer ce que tu sais faire.


En un geste rapide il ouvrait son pantalon et le laissait tomber sur ses chevilles. D'un mouvement du pied il repoussait son pantalon et se rasseyait en retirant sa chemise.


Il écartait de nouveau les cuisse et je voyais l'air surpris de Thierry. Oui voilà, vous avez compris pourquoi on l'avait surnommé Rocco ! Ce genre de queue ça impressionne. La première fois, ça m'avait fait mal au cul … Rien que de la voir je veux dire.


Thierry ne faisait pas de manières, il s'accroupissait entre les jambes de Rocco et tout doucement commençait à lui caresser la queue. Rapidement elle prenait du volume et devenait terrifiante.


Je regardais la scène depuis le canapé, de là j'avais une vue plongeante sur la queue de Rocco qui disparaissait dans ma bouche de Thierry. C'était un suceur d'exception.


Pour pouvoir s'amuser un peu avec une queue pareil il faut être dans les bons. La langue de Thierry passait et repassait avec douceur, cette douceur forte et humide, le gland entrait sans problème.


A partir de là moi j'avais du mal mais Thierry semblait trouver ça tout a fait normal. Il aimait les grosse queues et ça se voyait. C'est simple, je ne comprenais pas comment il pouvait faire disparaître un morceau pareil avec autant de facilité.


Je finissait par remarquer que sa gorge gonflait quand il écrasait son nez sur le ventre de Rocco, là ça me faisait un peu peur, mais il n'avait pas l'air d'en souffrir et finalement c'était très excitant. Ma queue protestait particulièrement fort à ce moment.


En fait elle protestait déjà depuis un moment mais là, ça devenait particulièrement intense. J'avais les yeux fixés sur ses lèvres, sur la queue de Rocco qui entrait et sortait avec une grande facilité, une grande fluidité. J'étais de plus en plus impressionné par la facilité avec laquelle il le faisait.


Il masturbait cette queue superbe, en lui léchant le gland avec le bout de la langue. Pendant un long moment il lui caressait fermement son sexe. Puis sans prévenir, il penchait la tête en avant et cette bite, pourtant énorme, disparaissait dans sa gorge.


Il relevait la tête cette queue ressortait, et là penchait de nouveau en avant pour la faire disparaître de nouveau. C'est juste avec le mouvement de la tête que Thierry le masturbait. Enfin là on ne peut pas parler de masturber, la main n'avait rien à y voir.


Si c'était Rocco qui agissait on aurait dit qu'il baisait férocement Thierry par la bouche mais là, Rocco se laissait faire. Ça m'étonnait bien un peu, en général Rocco aime bien diriger les opérations. Mais tant que Thierry suivait le rythme qu'il avait initié, Rocco le laissait faire. Mais à un moment ou à un autre Thierry finissait par fatiguer.


Rocco prenait alors la direction des opérations.


Il cramponnait la tête de Thierry qui commençait à fatiguer, et la tirait fort vers lui, il lui enfonçait sa queue bien à fond. Ça passait, Thierry nous avait montré qu'il pouvait l'avaler cette queue monstrueuse et c'est ce qu'il faisait encore et encore.


Rocco s'amusait, il maintenait Thierry dans cette position tellement inconfortable et pourtant tellement excitante. Enfin vue de loin. Je n'étais pas vraiment sûr que c'était si excitant pour Thierry. Mais pour moi, si !


De nouveau je bandais dans ma cage. Il me l'avait déjà fait ça Rocco. Je l'avais déjà prise dans la bouche cette bite, je me l'étais aussi prise dans le cul et vous pouvez me croire, on la sent passer !


Je voyais Thierry, il finissait par suffoquer, il était tout rouge et couvert de salive mais Rocco ne lâchait pas. Il ne lâche pas facilement celui-là. Il continuait à appuyer sur la tête de Thierry. Il le relevait et de nouveau appuyait sur sa tête et la maintenait.


Rocco s'est relevé, là debout devant Sa victime, il continuait à s'amuser. Thierry ne résistait plus, il était vaincu. Dans ma cage c'était la révolte, c'était presque douloureux, je ne parvenais pas à me calmer et Rocco lui, n'essayait même pas. Rocco, comme à son habitude ne pensais qu'à son plaisir, comme beaucoup d'hommes dans cette position.


Rocco respirait fort, il retenait la tête de Thierry et se masturbait. Rapidement il éjaculait sur le visage de Thierry et dans sa bouche. Il éjaculait violemment et en quantité. Thierry se retrouvait couvert de sperme sur la figure et sur les cheveux.


Il se retournait alors vers moi.


  • Maintenant Charly, tu nettoie ton ami avec la langue. Tu me fais disparaître tout ça rapidement.


Il se réinstallait tranquillement et moi je m'exécutais. Je léchais le sperme que Rocco avait laissé sur le visage de mon pote Thierry puis nous le partagions avec délectation dans des baisers très chauds.


Rocco nous regardait faire, il semblait s'en amuser. Il avait joui, il était content mais nous, Thierry et moi …


Nous n'avions pas joui nous, j'avais seulement eu le droit de regarder, Thierry avait seulement eu le droit de lui procurer le plaisir. C'est à ça que je pensais quand plus tard dans la nuit. Rocco sortait de la salle de bain avant de nous quitter.


Thierry et moi avions prévu une semaine chaste, mais jusqu'à quel point ? Il m'avait proposé une semaine totalement chaste, pas de branlette pas de plaisir du cul entre nous. Il me semblait qu'il avait parlé d'un câlin, mais pas plus.


Ma queue était en feu, mon cul aussi. Une semaine chaste me paraissait totalement impossible sans devenir fou …



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


Coup de chaud sur la plage Ep2

Coup de chaud sur la plage Ep2




Il était beau, de petite taille mais il était beau, vraiment beau. Sa peau noire prenait bien la lumière, elle était douce dépourvue de poil. Il était resté torse nue, et ne portait qu'un short. Je l'avais vu faire et je savais qu'il ne portait rien sous son short large. C'est ce qui expliquait cette forme non définie qui semblait se balancer sous l'étoffe.


Il fallait l'avoir vu sur la plage pour comprendre ( si vous l'avez loupé je vous conseille l'épisode précédent ) il avait une très grosse bite et comme elle était très longue ( aussi ) le balancement se manifestait un peu plus bas que chez les autres personnes, chez des gens normaux par exemple.


En ce qui me concerne, rien ne dépassait, rien ne traînait, tout était bien rangé, à sa place. Mes couilles pendouillaient lourdement sous la cage, sur l'effet du soleil mais ma bite était et restait parfaitement bien confinée dans sa prison portable.


Elle protestait toujours et forçait contre les barreau de cette cellule, je n'y prêtait plus attention. Tout comme lui, j'avais une grosse molle mais ça ne faisait pas du tout pareil. Il se décontractait et se contrôlait, moi je me crispais et ne contrôlais plus rien.


Je m'imaginais au moment ou je me prendrais cette queue dans le cul, ça me faisait tout drôle rien que d'y penser mais on pouvait déjà supposer que ça ne me ferait pas rigoler à ce moment. En fait j'avais un peu la trouille.


On arrivait au parking, on s'installait dans ma voiture.


Tu habites loin ? Me demandait-il.

À Gros Bourg La Lande … Non c'est pas loin …

De toutes façons je ne connais pas la région, je ne sais pas ou c'est. Mais tu me ramènes, sûr ?

Promis je te ramène.


On arrivait chez moi un petit quart d'heure plus tard, j'avais bien dit que je n'habitais pas bien loin. J'habitais une petite maison entourée de verdure, il y avait une cour avec un peut partout autour des arbres qui me garantissaient une tranquillité totale.


Il me lançait un large sourire et laissait tomber son short. Il se retrouvait entièrement nu devant moi, je le regardais. Je devrais dire le le contemplait tant il était beau.


Ton truc, tu ne le retire pas !


Je faisais non de la tête. Il semblait apprécier la réponse et rapidement je voyais sa queue grossis, se balancer lourdement puis grossir encore et se relever lentement. Elle était impressionnante, elle se redressait, arrivait à l'horizontal, continuait à se redresser. Je laissais tomber mon short moi aussi et me retrouvais nu devant lui.


C'était bien moins spectaculaire, ma cage, maintenant bien pleine arrivait à peine à se redresser mais on voyait à quel point elle était bien remplie. Me couilles formaient une grosse boule qui se contractait sous cette toute petite cage. Cette cage minuscule, désormais bien trop petite. La peau de ma bite faisait comme des bourrelets de peau qui dépassaient par les trous d'aération.


Ce n'était pas douloureux mais il semblait aimer ce qu'il voyait.


Il s'approchait et me caressait les couilles, il les prenait dans le creux de sa main et me les tripotait avec plus ou moins de douceur. Il s'amusait.


Je prenais sa queue dans la main, ma main était trop petite mais je la lui caressait, je passais ma main sur ses couilles qui pendaient presque aussi lourdement que sa queue quand il ne bandait pas. Je sentais son poids, c'était pas ordinaire, hors norme. Je sentais sa douceur au toucher, elle était ferme, légèrement molle en surface. Il me laissait faire.


Ensuite je me suis mis à genoux devant lui avec la langue je léchais son gland, je sentais ses réactions. Sa bite par moment se contractait, par moment devenait un peu plus dure ou un peu moins. Je suivais ses réactions, je m'en régalait. C'était un plaisir que de caresser et masser cette énorme masse qui réagissait à mes caresses.


Je sais pas pour vous mais moi, j'adore tripoter une grosse bite, ça m'excite au plus haut niveau. Je me régalais, ma queue protestait de plus en plus, le cock-ring me faisait un peu mal sous les testicules mais je préférais ne pas en tenir compte. Je me contentais de tirer doucement sur la peau et ça passait.


Au début il se contentait de me laisser faire et de me regarder mais ça ne durait pas. Rapidement il intervenait, il appuyait sur ma tête. Il me caressait le corps et il s'amusait aussi avec mes couilles. Ça l'amusait ça, depuis le début ça l'amusait. Il me malaxait les couilles, les écrasait, pas trop sinon j'aurais râlé mais juste ce qu'il faut, juste assez pour me faire couiner.


Puis il me prenait dans ses bras, c'était une étreinte folle, il était fort, petit mais fort. Il était musclé, petit mais musclé. Il avait la peau douce et c'est avec tout son corps qu'il caressait le mien. Ses baisers étaient chauds et passionnés.


On échangeait des baisers sur tout le corps, pas seulement sur les lèvre, nos caresses sur tout le corps, tous les corps. Il m'en donnait autant que je lui en donnais. Ce contact était merveilleux, sa beau noire et tellement douce était comme une gourmandise pour moi. Elle prenait et renvoyait si bien la lumière. J'étais aux anges.


Ses mains douces et agiles se promenaient sur tout mon corps, sur mes couilles bien sûr, comme je vous le disais il aimait bien s'amuser avec mes couilles, il aimait bien les tripoter. Puis ses mains glissaient vers mon cul, il lubrifiait avec sa salive et y glissait un doigt.


J'attrapais un tube de gel lubrifiant, là tout changeait. Ça glissait mieux, bien mieux et là aussi il se lâchait. Un doigt entrait avec une grande facilité puis un autre suivait et rapidement il s'amusait à me dilater le cul avec deux ou trois, quatre doigts peut être même.


Il était fort et me retournait sur moi même sans difficultés, c'est vrai que je ne résistais pas, il était fort et se retournait sur moi. Son corps caressait le mien, sa peau caressait la mienne. Sans trop en avoir l'air il prenait position.


Je me retrouvais sur le dos, les cuisses bien écartées, lui était allongé sur moi ses jambes entre les miennes. Il me donnait un baiser puis me saisissait les chevilles, il me repliait les jambes contre mon torse.


Comme je vous le disais il était très costaud, mais comme je vous le disais aussi, je ne résistais pas. Il s'appuyait sur mes chevilles et se relevait complètement sur moi, sa queue bien en face de mon cul.


Là je ne vous dis pas mais … j'ai paniqué … enfin si je vous l'ai dit !


Il m'avait lubrifié mon cul bien à fond, il avait fait de même avec sa bite. Elle était là qui appuyait contre mon anus. J'en menais pas large. Elle était énorme. Je savais que ça pouvais passer, j'ai un gode de la même taille. Mais avec le gode, c'est moi qui contrôle, là je ne contrôlais plus rien. Serait-il violent ? A quel point ? Il avait les moyens de me faire mal, de me blesser, allais-je survivre ? Un court instant, un très court instant la question me traversait l'esprit puis je sentais une pression douce contre mon cul.


Je respirais bien à fond, me détendait le plus possible, je ne serrais pas les fesses, surtout pas. Il appuyait son gland contre mon cul. D'abord la pression était douce, peu après elle devenait plus forte, plus décidée. Il poussait plus fort et un peu plus fort à chaque seconde.


Je prenais une grande inspiration et je me détendais. Là je sentais mon cul se détendre, quelque chose tentait de pénétrer. La seconde suivante je sentais mon cul se dilater, là ça devenait effrayant. Quelque chose de gros s'y glissait.


Je respirait de plus en plus fort, je paniquais dans ma tête, je sentais mon anus se distendre. Ça ne faisait pas mal, ça faisait peur. Je me faisais comme ne image virtuelle dans ma tête. Je voyais mon cul ouvert comme jamais et à l'intérieur un trucs que je ne définissais plus, un truc énorme qui glissait lentement.


On en est ou ? Demandais-je.

A la moitié ! Répondait-il.


Là je paniquais encore un petit peu. Il avait dit la moitié et déjà j'avais l'impression que je pourrais exploser de l'intérieur. Il marquait une pause et continuait à pousser. Sa queue glissait de nouveau, je sentais mon anus distendu à son maximum, je paniquais, un instant j'ai eu peur de déchirer. Puis je me suis souvenu que déjà je m'était enfilé des godes plus gros.


Je sentais sa queue glisser contre mon anus distendu, et dans m on ventre une énorme masse, un volume à la fois doux et ferme me remplissait.


Je paniquais de nouveau. Il était vraiment bien monté, ce n'était pas seule agréable, c'était également affolant. J'étais en pleine panique quand son ventre s'écrasait contre mes fesses. Pourtant je prenais mon pied. C'était bon, terriblement bon !


Il maintenait la position en poussant contre mes fesses mais sans bouger. Il me laissait le temps de m'y habituer et rapidement c'était un plaisir que montait en mois, un plaisir fou. J'ai eu comme des convulsion, mon cul repoussait sa queue, il râlait de plaisir.


Pour moi, mon cul convulsait et le repoussait, pour lui c'était un massage ferme et très agréable. Il se retirait alors, doucement pour commencer, pour moi, c'était le pied. Il glissait en mois avec légèreté maintenant. J'étais bien détendu. Puis il revenait, là je hurlais mais c'était du plaisir. Ce n'était plus rien que du plaisir.


Je savais bien que ça allait passer, c'est vrai, comme je vous le disais, j'étais entraîné.


Il revenait à la charge, il allait toujours très lentement et le plaisir montait encore. Je refermais mes jambes dans son dos, comme pour le retenir. Il se penchait alors sur moi et me serrait dans ses bras. On s'embrassait, on se caressait, et sa queue entrait et ressortait de mes entrailles. Elle bougeait doucement mais je la sentais bien. C'était intense.


Tout doucement il accélérait, ses mouvements devenaient plus rapides, de nouveau je paniquais. Il ne me faisait pas mal mais ce que je ressentais en moi était tellement gros que je paniquais. Jusque ou pourrait-il aller avant que je craque. Combien de coups pourrais-je encore encaisser avant que ça ne tourne mal ?


Il me limait avec régularité maintenant. Je gémissait de plaisir. Puis je finissais par gueuler, par hurler et c'était toujours de plaisir. Il me tripotait les couilles (ça faisait un moment ) … Il me tripotait les couilles avec fermeté et il y avait un peu de douleur dans mes hurlements maintenant.


Il accélérait et il semblait perdre le contrôle, il finissait par jouir, dans mon cul, les coups devenaient violents. Il jouissait il éjaculait. Je le sentais trembler, frémir. C'était une partie du plaisir pour moi, sentir contre moi le corps d'un homme qui jouit.


Il continuait à me tripoter les couilles et à s'amuser avec ma cage.


Tu ne jouis pas ? Me demadait-il.

Siiii, ccc'est l'pied.

Tu reste sec, parfaitement sec.

Nnnn'on mais … Aaaah !


À ce moment il bandait mou, sa présence dans mon corps était douce, il prenait encore beaucoup de place mais là, c'était agréable. Par moment mon cul se contractait, comme pour l'expulser. Il semblait apprécier. Il continuait encore quelques câlins puis se retirait.


C'est à ce moment que j'ai juté, un flot incroyable de sperme coulait de ma cage, un autre flot aussi important coulait de mon anus, et là j'ai joui de nouveau. C'était le pied, c'était un pied terrible.


Il était penché au dessus de moi, il appréciait ce qu'il voyait. Je respirait fort, mon cœur battait vite et ma queue ne me dérangeait plus du tout pourtant elle était encore grosse et prenait toute la place dans sa cage. Malgré cela elle se faisait oublier.


On et passé sous la douche, on s'est cajolé, câliné puis on a mangé. On est resté à poil pendant toute la soirée. Je l'ai bien sûr ramené chez lui mais seulement le lendemain matin.


Je me sentais terriblement bien, j'avais toujours cette impression d'avoir quelque chose de gros et de doux dans le cul, c'était terriblement bon. Avec ses cousins ils devaient rester deux semaines dans la région. On s'est revu souvent, et c'était pas la dernière fois que je devais me prendre sa queue dans le cul.


Par la suite, je ne paniquais pas je prenais beaucoup de plaisir.


Il m'a laissé un souvenir inoubliable et depuis j'aime tout particulièrement les hommes avec une peau foncée, ou très foncée. De temps en temps je pense encore à lui …



Fin



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Coup de chaud sur la plage Ep1

 Coup de chaud sur la plage Ep1



Il faisait un temps magnifique, un temps de saison. Il était temps on était presque en été. J'en profitais pour parfaire mon bronzage. Le groupe qui s'amusait pas loin de l'endroit ou j'étais installé n'avait pas besoin de bronzage. Ils avaient tous les cinq une peau très foncé qui virait presque au noir profond pour le plus jeune.


C'était sans doute pour être vus de loin que ces cinq hommes portaient tous un maillot de bain blanc.


Remarquez, ça leur allait bien. Ils avait tous les cinq une belle tablette de chocolat, à la bonne couleur en plus miam, et une jolie bosse bien visible au niveau de leur slip de bain. Ils étaient magnifiques.


Il y avait quatre adultes et un enfant, enfin, enfant peut être pas … Disons un adolescent. Il était plus petit que les autres. Il devait être un peu plus petit que moi mais je ne suis pas très grand, à peine un mètre soixante dix, lui devait faire à peine plus d'un mètre soixante. Ses camarades faisaient une bonne tête de plus que moi.


Ils étaient tous minces et musclés. Le plus jeune avait un corps un peu plus ramassé sur lui même.


La plage ou nous étions n'obligeait pas le maillot de bain aussi moi, j'étais à poil. Enfin j'avais juste sur moi ma cage à bite blanche... et un chapeau … et des lunettes de soleil … à vers correcteur … Oui je sais, je suis précis mais la précision dans le descriptif est nécessaire … enfin peut être …


Bref j'étais pénard, un peu à l'écart, le nez dans mon livre et un œil qui partait dans la direction de mes cinq voisins, je dis voisins même s'il étaient à une distance respectable.


A les voir bouger quand ils couraient ou quand ils s'échangeaient le ballon, ma queue réagissait dans sa cage. Il n'y avait aucune chance qu'elle ne s'échappe mais elle semblait y croire. Ces cinq corps étaient vraiment magnifiques, même le plus jeune était bien formé. Seule sa taille laissait supposer qu'il était plus jeune que les autres.


Ils avaient un corps lisse, totalement dépourvu de poil, ils avaient aussi les cheveux très court, je me demandais même si plusieurs ne se rasaient pas la tête. Les muscles fins et fermes roulaient sous les peaux ébènes.


Je ne lisait plus rien depuis un moment, mais c'est vrai aussi, comment voulez que je me concentre sur un livre avec ce que j'avais sous les yeux. C'était bandant … pas le livre bien sûr.


Je ne me faisais par remarquer, j'étais allongé sur le sable dans un creux avec une petite barrière de pierres autour de moi. Ma queue protestait, ce n'était pas douloureux même pas désagréable mais je la sentais bien qui protestait dans sa cage. Je sentais les barreaux l'écraser douillettement. Cette sensation, vous savez à la longue, devient agréable, devient rassurante, même si elle reste toujours un peu frustrante.


L'après midi se passait lentement, paisiblement, par moment je somnolais presque et quand je me réveillais totalement les cinq voisins magnifiquement sexy avaient disparus.


Je les recherchais encore un peu du regard au moment ou je me rhabillais pour remonter de la plage.


Le lendemain, il faisait toujours très beau, je m'installais au même endroit que la veille. Rapidement je somnolais. Je me réveillais au moment ou je sentais une hombre passer devant moi. C'était le gamin de la veille.


Là j'ai vu ma méprise, c'était pas un gamin même pas un adolescent, c'est sa taille qui m'avait trompé, il était tout petit et les autres eux, étaient très grands.


Salut ! Me lançait-il.


Il était là, à mes pieds à me regarder, il était entièrement nu et il en avait une belle je vous jure. La bosse que j'avais remarqué la veille aurait du me prévenir mais même prévenu. J'étais bluffé, impressionné, surpris, un peu effrayé mais à peine, j'y croyais pas … Il avait une queue énorme !


Elle pendait lourdement entre ses cuisses, je pense que là il devait déjà bandé, enfin c'était à espérer, même s'il ne bandait pas totalement. Il avait une grosse molle quoi. Molle à moitié, pas plus, mais grosse ça oui et complètement grosse pas à moitié.


C'est quoi ce truc que tu portes ? Me demandait-il sur un ton directe.

Ah oui … Ça ? Demandais-je en remuant ma nouille et sa cage. C'est pour rester sage.

J'en ai déjà entendu parler ces trucs mais c'est la première fois que je voix quelqu'un qui en porte un …


Il me regardait fixement, enfin il regardait ma cage fixement.


Je peux ?


Rajoutait-il et sans attendre la réponse s'asseyait juste à côté de moi, à ma gauche. Il me souriait, il allongeait la jambe droite et repliait son autre jambe. Je pouvais admirer sa très belle queue qui s'étalait sur sa cuisse. Il me semblait qu'elle avait un peu grossi.


Ça fait mal ?

Bien sûr que non ! Lui répondais-je.

Pas pour moi ça, le truc est trop petit !

Il en font des plus gros tu sais !

C'est pas pour moi quand même.


Je sentais la présence de son corps, il me frôlait le bras.


Ça te fait de supers grosses couilles ! Me faisait-il remarquer. Je peux ? Demandait-il de nouveau.


Et de nouveau il n'attendait pas la réponse, mais je ne m'en plaindrai pas. Il posait sa main sur ma cage et mes couilles et inspectait le truc avec autant de curiosité que de délicatesse.


Je sentais ma queue protester, mes couilles tombaient lourdement, c'était la chaleur qui faisait cet effet.


C'est sans rien lui demander que je posais ma main sur sa queue, c'était un gros morceau, elle était moelleuse, moitié dure, moitié molle mais je la sentais durcir entre mes doigts. Ses couilles s'étalaient et glissaient entre ses cuisses mais sa queue se redressait au creux de ma main. Enfin quand je dis au creux de ma main, elle en dépassait.


Rapidement je ne pouvais plus en faire le tour avec les doigts, elle était énorme, elle était tout à fait à mon goût. Je la massais avec douceur, il me laissait faire et lui me massait les couilles avec douceur.


Ma queue tentait maintenant une érection violente et s'écrasait contre les barreaux de sa cage. En longueur elle ne tenait pas, en largeur elle ne tenait plus, l'anneau de maintient, le cock-ring me serrait de plus en plus fort sous les couilles, là c'était presque douloureux.


En tous cas, ça semblait l'amuser …


Je refermais ma main sur sa queue et doucement je le masturbais. Il me souriait. Il calmait mes ardeurs, il ne voulait pas jouir tout de suite. Au bout d'un moment il allait chercher ses affaires, je le voyais revenir avec une très grosse molle qui pendait et se balançait entre ses cuisses quand il arrivait.


Il était beau à voir, vraiment beau, un peu effrayant quand j'imaginais que cette affaire allait probablement se retrouver dans mon cul avant la fin de la journée. J'avais presque mal au cul, rien que d'y penser mais je restais volontaire. J'aurais peut être mal au cul mais je n'attendais que ça.


On s'est retrouvé blottis l'un contre l'autre, je le caressais, il me tripotait les couilles. Nous nous embrassions. Puis, sans prévenir je me repliais, lui donnais au passage quelques baisers sur le torse et sur le ventre avant de m'arrêter au niveau de son sexe, je lui suçait le gland comme je le pouvais mais rapidement il me faisait savoir que je m'y prenais bien.


Il répondait à chacun de mes coups de langues par un gémissement doux et discret. Je parvenais lui gober le gland, enfin presque, et à le lui caresser avec douceur. Je faisait une tentative un peu plus profond mais avec une taille comme la sienne, ça n'allait pas bien profond.


Mais j'aimais, j'adorais même tripoter cette énorme queue qui restait toujours un tout petit peu molle, juste en surface pour le reste elle restait ferme. Je m'amusais avec sa bite, avec ses couilles, je lui suçais aussi les couilles, il en avait retiré les poils et ça aussi, ça me plaisait.


Au bout d'un moment, de nouveau il calmait mes ardeurs. Je l'aurais bien fait jouir mais lui n'était pas pressé. Il avait tout son temps, il avait raison. J'espérais seulement que ce serait pour moi. J'avais envie de le sentir trembler, vibrer dans mes bras.


Cette queue énorme devait être juteuse. Je m'imaginais le visage couvert de sperme, je m'imaginait sa queue bien à fond, calée dans ma bouche, même si ce ne serait pas possible.


Par moment sa queue devenait très dure, vraiment ferme. C'était à ce moment qu'il calmais mes ardeurs et me repoussait doucement. Il respirait fort, son cœur battait vite, il tremblait mais là il me retenais à distance, je ne pouvais plus le toucher, je ne pouvais plus lui tripoter les couilles.


Je respectais, mais à regrets, je l'avais senti trembler, je l'avais senti vibrer et s'il n'éjaculais pas c'était parce qu'il se retenait. Quelques gouttes de liquide séminal perlaient, puis plus, bien plus, il jutais, un liquide translucide. Ce n'était pas du sperme, il se retenait.


D'une main il me retenait en arrière pour que je ne puisse pas le stimuler, avec l'autre main il me tripotait les couilles, il y allait un peu fort et me faisait un peu mal, j'ai supporter sans rien dire.


Puis il se calmais, la grimace sur son visage disparaissait. C'était l'effort pour se retenir la concentration qui l'avait provoquée, maintenant il retrouvait son sourire. Et continuait à me tripoter les couilles, continuait à me faire mal. Enfin un peu, juste un peu …


Brusquement il me lâchait les couilles, il retombait sur le dos également.


C'est pas passé loin là ! Me disait-il avec le sourire.


Maintenant que je le tenais dans mes bras, il n'avait plus du tout l'air d'un adolescent. Il faut dire aussi qu'il avait presque trente ans, c'était lui le plus vieux du groupe. Un corps superbe, noir profond qui prenait bien le soleil, des muscles doux et nombreux un peu partout et surtout cette magnifique bite de compétition qui demanderait à un moment ou à un autre un cul pour s'entraîner.


Et arrivé à ce moment de l'histoire je voulais que ce soit le mien.


Ça pouvait faire mal, mais ça ne me faisait pas peur … Ne vous détrompez pas, là je frime. À chaque fois que je l'imaginais me pénétrer le cul j'avais la trouille. J'ai des godes de sa taille, mais c'est pas pareil.


Avec un gode on contrôle tout avec une queue énorme et un bonhomme au bout, c'est lui qui contrôle. On subit. J'aime bien subir mais pas trop tout de même.


Il ne débandait pas et moi je me souvenais à ce moment que je bandais aussi. Rien de spectaculaire ne se voyait pour moi mais je bandais tout de même. Ma queue était à son niveau de pression maximum. J'avais oublié un petit moment que j'avais une bite et qu'elle protestait, au moment ou je pensais qu'il allait éjaculer j'avais oublié ma queue mais là elle se rappelait à mon souvenir et ce n'était pas vraiment agréable.


On profitait du calme de cette plage relativement déserte. Je le caressais régulièrement mais il me limitait, il me retenait si je voulais trop lui caresser la queue et les couilles. Il ne se privait pas de me tripoter les couilles, de bien me les malaxer, au risque de me faire jouir. Par contre moi je décidais de le laisser faire, s'il me faisait un peu mal je ne disais rien, et si le plaisir devait monter jusqu'à une érection … Le plaisir n'est pas monté jusqu'à une érection.


La plage s'était vidée, il bandait mou …


Si on terminait cette journée ailleurs ? Me demandait-il.

Tu penses à quoi ?

Pas chez moi, il y aura mes cousins !

Chez moi, ça peut se faire


Il se relevait rapidement et sortait son téléphone. Je l'entendais dire '' Non c'est pas la peine de venir me chercher … ''.


On se rhabillait, là encore il prenait son temps, il faisait traîner. Il avait cette grosse molle qui se balançait lourdement entre ses cuisses et ne la cachait pas. Moi j'avais ce petit truc avec deux grosse couilles qui pendouillaient, ça l'amusait.


Il me suivait on discutait.


Donc si j'ai bien compris, tu es passif ?

Mais qu'est ce qui te fait penser une chose pareille ? Répondais-je.




A suivre



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Presque frères 19

 Presque frères 19



Les deux filles étaient sous le charme, sous mon charme naturel. Je ne sais pas si c'était du au fait que maintenant elle savait qu'avec moi elles ne risquaient rien mais elles s'amusaient avec moi.


Il n'y aurait pas de pénétration avec moi mais ça ne les dérangeait pas. Leurs mains glissaient sur mon torses, rapidement elle devenaient moins timides, moins réservées. Elles glissaient sur mes cuisses, entre mes cuisses, elle me caressaient les couilles et ma cage me faisait un peu mal par moment. Normalement on ne doit pas ressentir la moindre douleur, c'est garanti, mais il y a des limites.


J'intervenais aussi je les caressaient, mes doigts glissaient dans le sexe de l'une d'entre elle, je ne sais même plus laquelle c'était. Véro et Clara auraient-elles lu dans mes pensée, je pensais qu'à recevoir des câlins de leur part, et précisément c'est ce qu'elles me donnaient, et avec générosité.


Elles se glissaient, elles glissaient contre moi. Leurs corps étaient chauds, ils étaient doux. Elles non plus n'avairnt pas de poils sur le corps, tout comme mon pote Tommy.


Je n'ai pas vraiment compris ce qui s'est passé là mais, il semblerait que Tommy a doucement tenté de caresser la fesse d'une des filles et en réponse elle lui aurait tapé sur les doigts, oh pas bien fort mais ça l'a vexé !


Tommy n'est pas plus méchant que moi, il l'a bien pris. Il n'a pas gueulé mais il a fait la gueule. Remarquez, là, je le comprends. Les deux filles me caressaient avec leur bras, avec leurs baisers avec tout leurs corps. Je me sentais un peu tendu au bout d'un moment. Mais là je ne parle que de ma cage ou de ce qu'il y avait dedans.


Il y avait dedans une pression de fou, ma queue protestait, elle sait faire ça bien. Ça n'avance pas à grand chose mais c'est pas ça qui la calme, elle proteste tout de même. J'ai alors l'impression que la cage diminue en traille, je sens les barreaux en titane se resserrer contre ma queue qui se retrouve comme étranglée.


Et il y a ces caresses sur mes couilles, ces baisers sur tout mon corps, ces caresses à quatre mains. Je fini par me lâcher et avec seulement deux mains ( désolé j'en ai pas plus ) je répond à une caresse par une caresse. Il y a aussi les baisers, je ne sais plus qui m'embrasse au début. Mais je suis physionomiste et je fini par les reconnaître du bout de la langue.


A un moment une des deux filles me chevauchait le visage, ses genoux contre mes épaules, moi allongé sur le dos, sa chatte juste au dessus de mon visage, que pouvais-je faire. L'autre me tripotait les couilles. Je sortait la langue et doucement commentait à découvrir son intimité.


Je l'ai senti vibrer à cet instant, elle a tremblé de tout son corps, un frisson me également le corps. C'est à ce moment que l'autre fille qui ne se faisait pas oublier pourtant me glissait un doigt dans le cul. C'était bon, j'ai éprouvé un plaisir incroyable. Son doigt avait du mal à glisser il était lubrifié au minimum.


La fille qui me faisait lécher sa chatte s'allongeait sur moi, je la sentais me caresser les couilles, elle me les léchait . C'était sans doute histoire de me remercier, je lui donnait du plaisir avec ma langue, ça ne faisait aucun doute. Elle me tripotait les couilles et le plaisir qu'elle me donnait était un peu moins évident, ce n'était qu'à moitié agréable mais je la laissait faire en me disant que ' Tant qu'elle ne me fait pas mal … ' .


L'autre me frappait la prostate avec un doigt et une grande régularité. Là par contre le plaisir montait. Elle faisait une pause puis reprenait.


Personne ne me demandait mon avis sur ce qu'on me faisait subir. Mais je suis du genre facile à vivre et je ne protestais pas. Je laissait faire, le plaisir sur mes couilles était très discutable mais dans mon cul il devenait intense.


Elles s'en rendait compte.


Mes caresses intimes, avec ma langue, faisaient leur effet. Le petite qui était maintenant allongé sur moi respirait fort, plus fort et me tripotait les couilles avec plus de force également. Je ne sais pas combien de temps cette situation à duré. Au bout d'un moment qui avait sans doute duré, elle se relevait et sa copine prenait la place. La première disparaissait je ne sais ou. Je me concentrait sur la seconde, je lui donnait son le plaisir buccal qui avait fait frémir sa copine quelques instant plus tôt.


  • TOI TU NE TE BRANLES PAS !


Cette injonction était à l'intention de mon pote Tommy. C'était la première fille que j'avais léché longuement. J'en concluait qu'elle s'en prenait à Tommy et qu'il n'avait pas le droit de jouer de la quéquette avec la fille.


C'est un long moment plus tard encore que la fille se relevait, je pouvais enfin respirer. J'avais mal à la langue, j'avais mal à la queue, elle m'avait écrasé les épaules et j'avais mal aux épaules. C'était pas le pied. Enfin il semblerait que elle, elle avait pris son pied.


Je me retournais vers mon pote Tommy, il était coincé contre la tête du lit, contraint lui aussi à lécher la chatte de la fille. Si ce n'était de Tommy, elle par contre, elle prenait son pied.


Elle se retirait, elle avait joui, c'est moi qui avait commencé c'est Tommy qui avait terminé.


Il était à moitié allongé sur le dos, la bite à l'air, bien en érection. Et en plus il n'avait pas le droit de se toucher. À chaque tentative il se faisait remettre en place. Elles avaient du caractère les deux petites. La fille se retirait et était remplacée pas sa copine, celle qui venait de me laisser.


A son tour elle se faisait lécher longuement, et prenait encore un peut plus de plaisir. Tommy bandait toujours d'une manière désespérée et pathétique. Il n'avait pas le droit de se tripoter ou pire, de sa masturber.


Puis sans prévenir, une sorte de calme arrivait. Les filles avait eu leur plaisir, elles étaient satisfaites. Moi pas vraiment pais je pense qu'elles s'en moquaient. J'avais toujours la queue sous pression dans une cage minuscule, une cage qui ce soir là encore n'était plus du tout à ma taille. Ça faisait quelque temps que je la portais mais c'est vrai que temps en temps elle était trop petite.


Tommy n'avait pas l'air mieux que moi. Sa queue se dressait fièrement entre ses cuisses mais à chaque fois qu'il tentait d'y toucher il se faisait gourmander. Il y avait comme de la détresse dans son regard. Moi aussi je ne devais pas avoir meilleure mine. Mais moi, j'étais déjà résigné avant, Tommy, lui y croyait.


Les filles étaient satisfaites, et s'installaient tout contre nous. Elles posaient leurs têtes sur nos ventre, la mienne continuait à me tripoter les couilles, comme ça, juste pour s'amuser. Je la laissait faire.


Tommy nous regardait et sa queue bandait encore plus.


On dirait que quelque chose te tourmente Tommy ? Demandait une fille.

Oui mais, enfin … Pfff …

Tu sais … Si tu veux vraiment tirer ton coup, il reste ton pote Paco.


Là c'est de moi qu'elle parlait.


Hein ? S'exclamait Tommy.

Bein oui, tu l'encules, il doit être au moins autant en manque que toi le pauvre. Complétait la fille qui avait sa tête sur m on ventre et me tripotait les couilles.

Et en plus nous on pourrait se rincer l’œil ! Rajoutait sa copine.


Un grand silence suivait. Puis Tommy se relevait …


Oh et puis, si c'est comme ça. Moi je suis en manque ! Déclarait Tommy.


Je ne sais pas s'il l'a fait exprès mais il a oublié de me demander mon avis. Les deux filles s'installait bien en position pour ne rien louper. Ça avait l'air de bien les amuser les petites.


Tommy se penchait sur moi, il me tirait par les jambes et je me retrouvais allongé sur le dos, au milieu du lit. Il me relevait les jambes, on lui passait un tube de gel lubrifiant. Il prenait position, me lubrifiait le cul et sans prévenir, m'enfonçait sa queue bien à fond.


J'ai crié, c'est qu'il m'avait surpris le con. Il ne m'a pas fait mal pour autant, enfin un petit peu mais à peine, on se connaissait bien et on connaissait bien les réactions de l'autre.


Immédiatement un plaisir m'inondait, c'est vrai que la petite m'avait stimulé la prostate en me la massant longuement, Tommy était le bienvenu.


Il donnait des coups de bassin violents contre mes fesses et faisait claquer sec les coups que je recevais. Je gémissait à chaque coup que je recevais, je me contractais, je me tortillais aussi. Rapidement le plaisir me submergeait.


Je refermais les jambes dans son dos et le retenais fermement.


Il est pire qu'une fille ! Déclarait une des deux filles.

Oui mais il est habile avec sa langue ! Rajoutait sa copine.


Elles nous observaient et s'en amusaient. Elles commentaient également. Ce qui est sûr c'est qu'elles appréciaient. Elles n'en revenaient pas, il y avait devant elles leurs petits copains pour la soirée, un d'entre eux en prenait plein le cul et l'autre lui limait le cul avec une belle grosse bite.


Tommy entrait et ressortait de mon cul avec vigueur, il accélérait tant qu'il pouvait, il se donnait à fond. Chaque fois que son ventre s'écrasait contre mes fesses c'était une sensation entre une certaine douleur et un plaisir intense.


Je sentais sa queue me dilater l'anus et me le masser sur toute la longueur de sa queue. C'était violent et doux. C'était un peu douloureux et tellement plaisant. J'en réclamais encore, j'en réclamais plus. Il m'en donnait et il m'en donnait encore.


J'ai vu une grimace se dessiner sur son visage, il jutais, il s'était retenu tant qu'il le pouvait mais les deux filles l'avaient tellement stimulé qu'il ne pouvait pas se retenir bien longtemps.


Il concluait en me donnant des coups de bassin d'une force sans aucun contrôle. Là je criais et ce n'était pas que du plaisir.


Il se retirait, ressortait totalement et enfin je jouissais, enfin je jutais. Je jutais abondamment. On finissait par se calmer, notre respiration redevenait calme et lente.


Je me sentais bien, Tommy se laissait tomber à côté de moi, on ronronnait presque. Les filles ne cachait pas leur admiration.


Au moins avec ces deux là on ne sera pas obligé de payer de notre personne si on n'en a pas envie ! Déclarait une des deux filles.


L'autre rigolait, sans doute à cette idée.


Un peu plus tard elles se blottissaient contre nous, un d'entre nous pour chacune d'elle. Je ne vous dis pas mais sans le plaisir que m'avait donné Tommy je n'aurais certainement réussi à dormir, et je pense que pour lui ça aurait été pareil.


Mais là nous étions calmés, satisfaits. Il y avait de quoi être satisfait, tout le monde avait pris son plaisir. Et le contact des ces deux corps, pardon de ces trois corps, oui, chacun pouvait profiter des corps des trois autres. Et c'est ce qu'on a fait.


Tommy n'avait pas le droit de se servir de sa queue, mais il pouvait caresser, embrasser chaque morceau de peau qui arrivait à sa porté. Les autres aussi et ne s'en privaient pas.


On s'est réveillé tôt, et après un bon petit déjeuner bien copieux que nous avons pris à poil. Tommy bandait ferme et mes couilles pendaient lourdement. Nous nous sommes séparés, les filles devait dîner en familles mais nous les avons revues.


Elles étaient là pour une semaine et cette semaine, nous l'avons passée ensemble, sur la plage et dans notre lit.



A suivre



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Le livreur Oups

 Le livreur Oups



La porte était ouverte et depuis la rue on entendait des bruits de travaux, en particulier des bruits de marteau. Devant la maison il y avait un petit jardin et un chemin pavé de pierres plates qui conduisaient à la porte principale. Elle était entrouverte.


Tim avançait et sonnait, il entendait une voix forte qui lui criait d'entrer. Il poussait doucement la porte. L'intérieur de la maison était vide, totalement vide, il n'y avait pas de meuble, par endroit le revêtement intérieur n'était pas encore posé.


C'est pour quoi ? Demandait une voix que Tim ne pouvait pas localiser.

Société de livraison 'Oups'. J'ai un colis pour Monsieur Dick Monsteur.

Vous l'avez trouvé. C'est moi.


Tim cherchait toujours son interlocuteur, il ne pouvait pas être bien loin, il l'entendait parfaitement, il finissait par le trouver. Il était monté sur une échelle et démontait un truc au plafond.


Tim ne savait plus quoi dire, plus quoi faire. Son client était extraordinairement beau. Il portait un pantalon qui le mettait très en valeur et un T-shirt blanc qui mettait très en valeur la peau mate et bronzée de Monsieur Dick. Tim se sentait tout petit surtout que son regard arrivait juste au niveau de la grosse bosse que Monsieur Dick avait entre les cuisses.


Il s'approchait, il avait un colis dans la main.


J'ai un colis pour Monsieur … Dick … heu … Monsteur . Déclarait-il en bafouillant.

Tu l'a trouvé bonhomme, approche, n'ai pas peur.


Les deux hommes n'avaient pas la même allure, l'un était grand, mince, il avait une allure sportive, il arborait entre les cuisses une bosse bien évidente et un visage très masculin. Le livreur était plus discret, il était plus petit, un visage tout rond mais sympathique, son corps aussi était tout rond.


Dick le regardait de haut, enfin il le regardait de plus haut, du haut de l'échelle pour être précis. Il lui donnait son tournevis en lui expliquant qu'il avait presque fini. Tim se retrouvait l'air un peu con avec un tournevis dans une main et un colis dans l'autre.


Il ne savait pas ou regarder, à environ vingt centimètres de ses yeux il y avait son client, ou plus précisément la bosse que son client avait entre les cuisse. Elle semblait prometteuse. Tim regardait à gauche puis à droite, il regardait aussi en bas mais évitait absolument à regarder devant lui et n'osait pas regarder en haut.


Dick avait remarqué son jeu et s'en amusait.


Alors bonhomme qu'est-ce que tu as pour moi ?

Le licos, heu je veux dire lokis, le co … le colis là … Et en disant ça il lui tendait le tournevis.

Un tournevis ! Mais il ne fallait pas se déplacer pour si peu.

Heu non, c'est pas ça, c'est ça, pas ça … Et d'un geste maladroit il lui tendait le colis. En même temps il lui caressait la grosse bosse, là juste entre ses cuisses.


Il en rougissait, en bafouillait encore plus. En fait s'il avait réussi à émettre un son, il aurait certainement bafouillé encore plus. Mais là il restait muet.


Dick penchait son visage vers son hôte et lui souriait avec douceur.


Un colis, tu dis bonhomme, et c'est toi le colis ?

Oui heu, non, heu oui le colis c'est ça là …


Tim était rouge de confusion, Dick s'en amusait et le taquinait doucement.


Donc le colis c'est le petit truc là, en montrant la boite, et l'autre petit truc tout mignon c'est quoi ?

Le livreur ! … parvenait à expliquer Tim.

Et je peux le déballer.

Oui, heu non, mais signer, bordereau.


Tim semblait tétanisé, maintenant il regardait la bosse de son client bien dans les yeux. Il ne bougeait plus du tout et Dick s'en amusait.


Fais voir ce colis bonhomme. Demandait Dick.


Tim lui donnait le tournevis, Dick lui prenait la main et l'appuyait fermement sur son sexe. Tim regardait ça sans réagir. La bosse qu'il caressait était molle mais semblait durcir. Le tissus du pantalon était doux au contact. Tim lâchait le tournevis qui tombait sur le sol.


Dick tranquillement, en prenant bien son temps ouvrait sa braguette, il faisait sauter chaque bouton, un par un. Tim regardait ça sans réagir. Il avait une bonne tête le petit Tim, il avait un visage ovale mais il avait une tête sympathique. Sans être gros il avait un corps tout rond également, il était visiblement plus petit que Dick.


Sa tenue de travail le rendait très sexy. L'uniforme de la société ' Oups ' était bien coupé et tombait bien. Dick avait ouvert sa braguette et en ressortait sa queue.


Tim passait sa langue sur ses lèvres, il regardait cette magnifique organe qui apparaissait devant ses yeux. Comme par réflexe il rangeait son terminal de saisie dans sa poche-étui et se balançait d'un pied sur l'autre pour ne pas exprimer une certaine impatience.


C'est finalement une grosse queue qui pendait de la braguette de Dick, elle pendait lourdement, une hésitation de la part de Tim puis il passait sa langue lentement sur le dessus de la bite.


Elle frémissait, un deuxième coup de langue suivait, de nouveau la queue de Dick frémissait et se relevait un peu, d'une manière presque imperceptible. Il était circoncis et le troisième coup de langue insistait sur son gland. La bite prenait alors du volume et se redressait.


Tim était impressionné, il était un peu sonné, il ne pouvait pas détourner le regard, il avait les lèvres posées sur le sexe de Dick et avec sa langue le caressait. Puis il se laissait aller et ouvrait largement la bouches, il aspirait et la queue de Dick qui était encore molle glissait dans la bouche de Tim, comme une nouille, une grosse nouille certes mais comme une nouilles.


Ce n'était certainement pas la première fois que Tim se retrouvait dans cette situation, celle de suceur je veux dire, et il semblait qu'il savait bien ce qu'il faisait.


La queue de Dick gonflait alors rapidement et prenait toute la place dans la bouche de Tim. Il faisait son possible pour la contenir, il la caressais avec la langue, le gland surtout au début puis il s'enfonçait dans la gorge. Mais c'est uniquement au moment ou Tim ne pouvait plus respirer qu'il réagissait et reculait son visage.


La tête penchée en avant, un large sourire radieux, Dick regardait sa queue ressortir de la bouche de Tim. Tim reprenait son souffle et y retournait il appuyait alors de nouveau son visage contre le ventre de Dick et c'était reparti.


De nouveau la queue de Dick glissait sur la langue de son partenaire, de nouveau, la langue de son partenaire caressait son gland puis toute sa queue. Le gland s'enfonçait dans la gorge. C'était sans doute le plus dur, Tim ne pouvait plus respirer et ne tenait pas très longtemps à ce rythme et rapidement il devait retirer son visage.


Dick lui caressait l'arrière de sa tête, il ne poussait pas il savait qu'il pouvait étouffer quelqu'un avec un tel équipement et Tim en profitait pour se lâcher sans s'inquiéter. Il avançait son visage et l'écrasait contre le ventre de son partenaire et presque aussitôt le retirait. Il masturbait la queue de Dick par moment et en profitait pour se reposer la mâchoire et reprendre son souffle.


Dick avait une belle grosse queue, bien raide, bien dure, bien grosse aussi et assez longue. Pour Tim c'était un régal, il aimait bien sucer ce genre de grosse bite. Là il ne se posait pas de question, il profitait de la situation. Ils n'avaient pas bougé, Tim était toujours debout aux pieds de l'escabeau, Dick debout sur l'escabeau se laissait faire.


Il encourageait juste un peu Tim en lui parlant doucement et en lui caressant l'arrière de la tête. Il gémissait de plaisir. Aucun des deux n'avait prémédité ce moment de plaisir.


Le plaisir était surtout pour Dick, surtout que Tim savait y faire. Tim ne fatiguait pas il avalait maintenant depuis de très longues minutes la queue de Dick, et y prenait du plaisir. Il s'activait, avec la bouche, avec une main, avec la langue. Il était là comme hypnotisé par cette masse dure mais pas totalement et pourtant certainement pas molle.


La queue de Dick se contractait et se détendait. Quand Tim se retirait il la voyait qui se balançait de haut en bas, il en profitait pour la caresser avec plus ou moins de force.


Dick gémissait mais laissait faire, sa queue se balançait, se relevait et retombait mais restait au plus dur. Tim la sentait bien dans sa main. Il la tenait fermement et la masturbait avec force.


Il la tenait fermement et approchait son visage, il suçait alors ce gland magnifique qui lui était proposé et Dick gémissait avec force. Il se retenait à sa petite échelle et ne s'occupait plus du tout de son petit camarade qui lui donnait de plus en plus de pouvoir. Il le laissait faire.


Il gémissait alors avec force et Tim continuait, il masturbait puis il suçait.


C'est au moment que Tim secouait la queue de Dick que celui a éjaculé en poussant un cri de plaisir. Il a éjaculé avec force, un gros jet de sperme venait s'écraser sur le visage de Tim, juste entre les yeux.


Suivait un autre jet tout aussi fort, il s'écrasait sur le nez. Tim ouvrait la bouche comme pour recevoir le prochain jet qui ne tardait pas et arrivait juste dans sa bouche. Tim fermait les yeux, remarquez, ça se comprend, ça pique …


Plusieurs autres jets suivaient et s'écrasaient sur le visage de Tim qui avait un peu l'air négligé après ça.


Dick respirait fort, son cœur battait encore très vite. Peu à peu il se calmait. Il regardait son livreur avec gentillesse, il n'avait pas vraiment d'effort à faire, le petit Tim venait de lui offrir un plaisir imprévu. Il secouait ensuite sa queue qui redevenait toute molle, elle restait de belle taille tout de même. Ses couilles et sa queue pendaient de sa braguette totalement ouverte jusqu'à sa ceinture, ouverte elle aussi.


Tim semblait alors se réveiller.


Heu, désolé ! Déclarait-il l'air un peu affolé. Retard, doit repartir …


et avant que Dick n'ait le temps de réagir Tim se penchait ramassait son stylo se retournait et se précipitait vers l'extérieur. Il avait toujours le colis qu'il était venu livré sous le bras …


Tu reviens quand tu veux ! Lui lançait Dick. Pour me ramener le colis par exemple …


Apparemment Tim n'avait pas entendu, il démarrait le moteur de son camion et disparaissait.


Bon la prochaine fois on essayeras par un autre orifice. La prochaine fois je lui pète le cul ! Se disait à haute voix Dick tout en remontant et en refermant son pantalon.


Il reprenait alors sont boulot, cherchais, en vain, son tournevis mais ne retrouvais que le stylo de Tim.



Fin de l'épisode



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Presque frères 18

 Presque frères 18



On a continué la nuit ensemble, il dormait allongé derrière moi. Je sentais son corps entièrement nu contre ma beau. Il n'y avait rien qui gênait sur sa peau, c'était pas comme sur la mienne, là il y avait toujours ce truc et par moment je me disais,'' c'est cool '', mais souvent j'avais envie de le retirer. Franchement c'était une horreur. Je haïssais Tommy de m'imposer ce truc. Il m'avait fait signer à mon insu l'engagement de porter le truc. C'est pour cela que maintenant je ne pouvais pas le retirer.


Par contre cet enfoiré lui, avait décidé de ne pas le porter, lui n'avait pas signé.


Normalement je devrais le haïr mais il venait de me donner tellement de plaisir. Vous savez, même avec une cage sur la queue, on peut jouir comme un fou et Tommy savait me donner du plaisir par le cul, juste avec sa bite. Mais pourquoi je dis ' juste ' avec sa bite ? Il savait me donner du plaisir avec sa bite bien sûr mais aussi avec ses caresses et avec ses baisers.


Je me blottissais tout contre lui, il refermait son bras sur moi et je m'endormais.


Nous avons bien dormi cette nuit là, Tommy s'était réveillé un peu avant moi. Quand je me réveillais, il était déjà dans la salle de bain, serein comme un canari.


Vous avez vu le jeux de mot ' serin comme un canari ' ? Éh, Éh … Bon Ok je ne recommencerai plus, promis !


Il avait l'air tout content de lui et gazouillait comme un pinçon …


Je sortais du lit et allais le rejoindre, il était en train de se raser, il était à poil et bandait glorieusement sans se prendre la tête. En me voyant arriver il me lançait un large sourire.


Ça va ? On fait quoi aujourd'hui ?


Je ne savais pas trop quoi répondre sur tout que moi, je n'étais pas encore complètement réveillé. Il continuait à se balader à poil jusqu'au moment de sortir. J'en faisais de même mais moi j'avais toujours sur moi le petit dispositif démoniaque qui commençait à m'agacer sérieusement.


Juste avant de sortir Tommy enfilait un short et un T-shirt. Je faisais pareil et hop on sautait sur le vélo.


C'était parti, je le suivais. Je n'avais aucune idée de l'endroit ou il m'emmenait. Mais on y allait de bon cœur. On a roulé plus de vingt kilomètres, ensuite on s'enfonçait dans la forêt, il y a une voie pour les vélos qui conduit jusqu'à la plage.


On laissait les vélos et on fonçait vers la plage, il n'y avait plus que la dune à traverser, ça ne nous prenais que quelques secondes, on courait vers la mer en laissant nos vêtements derrière nous, il n'y en avait pas beaucoup. Et on plongeait.


C'était magnifique de le voir, lui il était totalement nu. Il brillait dans le soleil. Ses muscles roulaient sous sa peau, ses muscles qui m'avaient caressé et serré contre eux toute la nuit. Physiquement j'étais à peu près comme lui, j'avais pleins de muscles moi aussi mais moi je n'avais pas une grosse queue qui se balançait librement entre mes jambes à chacun de mes mouvement.


Moi c'était un peu plus limité, ça faisait une sort de paquet qui pendouillait, c'était ridicule. C'était confortable, certes, mais c'était pas ce que j'avais prévu pour les grandes vacances.


Tommy était très en forme, il courait, il m'attrapait, il me taquinait, il me tirait, m'arrosait et moi je me défendait il en prenait autant que moi. On chahutait quoi.


On terminait allongé sur le sol à côté de nos vêtements, mais lui il bandait. Je me disait que les vacances risquaient de ne pas être vraiment calme, moi là je ne pouvais pas le suivre. Toujours pas. Pourtant vous pouvez me croire, je faisais tout ce que je pouvais.


Ma queue poussait contre les barreaux de la cage, elle forçait, ce jour là la cage était trop petite. Vraiment trop petite. Je venais de remettre mon short, Tommy avait sa grosse queue qui se balançait devant lui quand nous avons vu passer deux filles de rêve, elles restaient descente et couvertes autant le bas que le haut. Alors que nous … il exhibait sa queue, ses fesses et ses cuisses alors que moi je cachais justement ma queue, mes fesses et mes cuisses.


Le spectacle ne semblait pas les repousser, elle ne nous lâchaient plus du regard. C'était moi le plus beau et heureusement que j'avais déjà passé mon short.


Tu as vu comment elles nous regardent ? Me faisait remarquer Tommy. Heureusement que je n'avais que mon T-shirt sur moi. C'est moi le plus beau heureusement que je n'avais pas encore passé mon short …


Il ne bandait plus mais sa queue se balançait et il s'en amusait, il remuait et il était très content de lui. Il se rhabillait et il se calmait. Avec le peu de chose qu'on avait sur le dos il fallait rester calme. Si jamais il venait à s'énerver il banderait et vu comment il était monté ça deviendrait tout sauf discret. Dans mon cas il y avait moins de risques que je me fasse remarquer.


Le soir on sortait, on s'était changé bien sûr. Pour commencer on se faisait un petit restau, j'avais pris soin de ne pas mettre de sous vêtements. Ça m'avait semblé inutile. Tommy avait fait comme moi, il avait choisi un pantalon très ajusté que ne cachait pas vraiment tout. Rien de scabreux, je vous rassure mais un poil provocateur. Juste un poil.


Il était encore tôt dans la soirée, on s'était installé à la terrasse d'un café et ce sont les deux filles que nous avions croisées sur la plage bien plus tôt dans la journée que nous retrouvions.


On les remarquait, on les reconnaissait, on les saluait et elles nous répondaient avec un sourire généreux et peut être une petite étincelle dans le regard. Elles m'avait vu torse nus et je suis très bien bâti, elles avaient vu mon pote Tommy et il est très bien monté. Elles en avaient vu assez pour conclure que nous étions tous deux très bien … Si, si, très bien sous tous les angles.


Rapidement on se retrouvait à la même table et on faisait connaissance.


Vous êtes du coin ?

Nous sommes en vacances mais nous venons tous les ans. Répondait Tommy.



On a traîné, on a discuté, on a flirté, moi juste un petit peu, ma queue me rappelait qu'il n'y avait pas grand chose à espérer, Tommy beaucoup plus, il avait cette limite à ne pas franchir, ne pas bander ça se verrait, il n'avait pas ma limite. Une cage à bite en titane qui éviterait toute réaction inconvenante …


Je n'ai pas vraiment compris à quel moment on les a ramenée chez nous. Clara avait compris que j'étais plus timide que mon camarade et gardait une distance avec moi. Distance très relative, elle évitait seulement de me tripoter l'entre jambe alors que sa copine Véro, plus déluré ou voyant mon camarade moins timide elle ne se retenait pas et écrasait à plusieurs reprises sa cuisse contre le sexe de Tommy.


Je vous rappelle qu'il ne portait pas de sous vêtements et il ne fallait pas bien longtemps avant que ça se voie, on ne voyait plus que cela même.


À peine la porte de la maison passée, Véro sautait littéralement sur Tommy et lui ouvrait sa chemise. Ce qu'elle trouvait lui plaisait. Je la comprends, vous savez, il est vraiment canon mon pote. Presque aussi beau que moi d'ailleurs …


Je suivais en dernier, et j'avais pas encore fermé porte d'entrée que Tommy était allongé sur le lit, torse nue avec sa copine allongée sur lui. Elle le couvrait de baisers. Je n'ai même pas eu le temps de me dire que cette affaire était en train de dégénérer que Clara m'attrapait par le col et je jetais sur le lit, de l'autre côté.


Toi tu es plus timide mais je connais le remède … Mais qu'est-ce que …


Elle venait de remarque mon petit secret … Mais elle voulait en savoir plus et je me retrouvait torse nue moi aussi en quelques secondes, là elle était bien obligée de constater que le plus mignon, c'était moi ! Oui bon, je reviens à mon histoire.


Véro était déjà torse nues, ses seins chatouillaient et caressaient la poitrine de mon pote. Je me lâchais et moi aussi je caressais ma camarade et lui retirais ses vêtements. Elle ne résistait pas, me prenait dans ses bras et moi aussi je sentais ses seins me caresser. C'était un peu différent du contact avec Tommy mais c'était bien aussi …


Mais c'est quoi ça ? Finissait-elle par demander.


Dans un même temps sa mains glissais vers ma braguette. Je sursautais mais je laissais faire. Elle se plaçait juste au dessus de ma braguette, je voyais son visage se transformer ? C'était surtout de la surprise, elle se relevait et s'exclamait.


Mais c'est quoi ce truc ?

Et en plus il n'a pas la clé, il y en a qui ont de ces idées je te jure ! Rajoutait Tommy.


Véro était allongée sur le corps de mon camarade et se caressait et glissait contre lui. Tommy ne la décourageait pas, bien au contraire. Il bandait ferme et pendant qu'elle lui tripotait la queue et les couilles, il la caressait, sa main caressait tout son dos et terminait sur ses fesses.


Véro relevait la tête.


Tu as un problème Clara, ici tout se passe très bien. Mais c'est quoi ce truc ? Mais qu'est ce qu'il a sur la bite.


Véro oubliait quelques instant Mon pote Tommy et se retournait vers moi.


Mais c'est quoi ce truc ?

C'est justement ce que je demandais. Lui répondait Clara.

Mais c'est que c'est rigolo.

C'est trop petit, regarde sa queue est toute saucissonnée.

C'est bon les fille, vous pouvez laisser tomber, vous n'obtiendrez rien de plus de lui. Il n'a pas la clé. Intervenait Tommy.

Mais il n'y a pas que le sexe dans la vie . Répondait Véro.


Elle me tirait vers elle. Clara ne me lâchait pas pour autant. C'est finalement les deux filles qui s'accrochaient à moi. Elles me caressaient et semblaient bien apprécier ma plastique.


Je vous avais bien dit que j'étais le plus beau, même en cage, j'étais le plus attirant. Elles étaient nues, et c'est avec leurs deux corps qu'elle me caressaient le corps, avec leurs mains. Je sentais leurs bras qui glissaient sur mes bras, sur mon torse, sur mes jambes. Et leurs mains insistaient lourdement sur mes couilles.


Tommy se relevait et s'appuyait sur ses coudes.


  • Mais c'est quoi ce bordel ? Et moi alors !


Il était là, plus beau que jamais, il bandait fièrement. Il fronçait les sourcils, mon dieu qu'il était beau. Ma queue protestait comme une folle en le voyant. Au début j'avais cru que c'était à cause des filles mais là j'avais comme un doute.


Oh elle y étaient bien pour quelque chose, mais il y avait aussi ce corps magnifique, celui de Tommy. J'avais brusquement envie des caresses et des câlin de Véro et de Clara mais j'avais aussi une violente envie de la queue de Tommy dans le cul.


J'avais presque mal à la bite tant elle forçait contre sa cage. Mon corps battait très fort. J'ai décidé de ne rien montrer de mes sentiments. Au pire ce genre d'état d'âme a un effet sur l'érection, dans mon cas au pire, personne ne pourrait rien remarquer.


Je me suis laissé retombé sur le dos et je me suis offert à leurs caresses.


A suivre ( et c'est chaud )




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