Presque frères 03

 Presque frères 03



On est resté discret, très discret. On était toujours ensemble mais sur ce point personne ne s'en étonnait, ça faisait des années que c'était comme ça. Notre relation changeait pourtant, tout doucement elle changeait. Ce n'était pas ce à quoi on s'attendait mais enfin, on ne faisait de mal à personne. On passait seulement d'une relation d'amis à celle d'amants.


En fait on ne se posait pas vraiment de questions, on se faisait du bien c'est tout. On savait que ça ne durerait pas, que dans quelques temps, dans un an, deux peut être, on ferait comme tout le monde on se mettrait avec une fille, on se marierais et on ferait des gosses. Moi je voulais un garçon, au moins un garçon pour ses frères et sœurs je m'en moquais … Tant que j'avais un fils je serais content .


Je sais que Tommy lui en voulait plusieurs. Plusieurs ça ne me dérangeait pas mais je voulais au moins un fils ! Bon en attendant on passait de bons moments et on pensait à autre chose.


A notre plage secrète, on découvrait le plaisir du corps. Le plaisir qu'on pouvait donner au corps de l'autre. Tous les jours on avançait un peu.


Après s'être bien amusé sur le sable, après avoir partagé et échangé des câlins et des caresses, on continuait à découvrir le corps de l'autre.


J'avais emmené du gel, oh ne vous méprenez pas il n'était pas question de parler de sodomie, on y pensait … Enfin moi j'y pensais et je suis que Tommy y pensait également. Mais il faut bien dire que quelque tentative maladroite, deux doigts d'un coup un peu trop rapide nous avait calmé, c'est vrai quoi ça fait mal …


Et puis deux doigts c'est bien moins large qu'une queue, on était bien monté, on avait une grosse queue, tous les deux. Elles étaient bien larges, ça ne nous impressionnait pas, c'est à ça qu'on était habitué, c'est ça qu'on avait toujours eu sous la mais et six centimètres de large vous savez c'est pas si gros que ça. Mais c'est bien plus gros que deux de nos doigts … 


Et sans vouloir dramatiser mais vingt deux centimètre c'est pas non plus si long que ça. C'est vrai qu'on  n'avait pas vraiment tenté de faire des comparaisons. Il était ma seule comparaison et c'était réciproque. Et comme on avait tous les deux la même taille, c'était normal, c'était tout à fait normal. Pour ma part pendant des années j'avais pensé que c'était une taille moyenne, plus jeune j'avais même l'impression d'avoir une petite bite.


Donc on explorait de nouveaux plaisirs et tous les jours on avançait,  on arrivait à encaisser les deux doigts au milieu des vacances. À ce moment on remuait les doigts un peu comme on remue les jambes quand on nage de crawl. La première fois que je lui ai fait ça il a gloussé et s'est laissé tombé à la renverse, la tête sur le coussin, ensuite je l'ai entendu gémir comme jamais. Je frappais avec régularité sur cette partie à l'intérieur de son corps et je le sentais qui se contractait, il respirait fort et il tremblait par moment. A plusieurs moment je me calmais, je ne bougeais plus les doigts. 


Il continuait à gémir pendant un long moment puis quand je recommençais il poussait un long gémissement, il tremblais et de nouveau se mettait à respirer fort. Je ne comprenais pas tout mais je devinais que c'était agréable, très agréable et même plus encore. Je le regardais avec des yeux tout ronds, et j'observais chacune de ses réactions.


J'ai fais ça pendant au moins des heures, disons un petit quart d'heure, puis j'ai arrêté. Je me suis alors relevé, j'ai hurlé '' Le dernier dans l'eau se fait enculer ! '', j'ai couru jusque dans l'eau et j'ai plongé.


Je ressortais la tête de l'eau il commençait juste à se relever. Il avait l'air à moitié KO en avançant vers moi.


– Ça va ? Lui demandais-je. Tu m'as l'air tout bizarre.

– Ça va, me répondait-il. Mais tu vas voir, c'est terrible ce truc que tu me faisais.


Il avait l'air sonné, il récupérait puis on nageait pendant un long moment. Quand il s'arrêtait il avait l'air ailleurs. 


– Tu es sûr que ça va ? Lui demandais-je.

– Oui mais … Tu vois, je te sens encore. C'est vraiment super bon …


On remontait sur le sable, je l'observais, il avait l'air vraiment détendu . On s'est allongé sur la serviette, je me mettais sur le ventre. J'allais lui dire quelque chose quand je sentais sa main sur mes fesses. Je faisais un large sourire et le laissait faire.


Il passait et repassait lentement un doigt entre mes fesses, il prenait son temps, c'est ce qui était prévu remarquez. On avait tout notre temps, on avait remarqué depuis longtemps que le plaisir était encore plus intense quand on faisait traîner, quand on laissait le plaisir monter doucement, tout doucement. Je me détendais, j'écartais les cuisses et je cachais mon visage entre mes bras. 


Il avait raison c'était très agréable. Il glissait un doigt pour commencer, il avait bien pris la peine de lubrifier et son doigt glissait avec légèreté, avec un petit mouvement circulaire il me massait mon trou du cul. Le mouvement circulaire s'accélérait ou se ralentissait. Il s'élargissait ou se resserrait. La seule constante, il prenait sont temps, tout son temps. 


Puis sans prévenir, son doigt entrait dans mon cul. C'était agréable, surtout que j'étais totalement détendu, je m'y attendait. Il enfonçait son majeur et rapidement me massait l'intérieur de mon cul. À quelques centimètres à l'intérieur de mon cul il y avait une zone plus ferme et lisse, on l'avait repéré et c'est précisément sur cette petite zone que nous nous concentrions. Il appuyait doucement puis plus fort, il frappait du bout du doigt avec régularité, faisait une pause puis reprenait un peu plus fort.


A chaque fois qu'il reprenait le plaisir montait. Sans me le dire il enfonçait un second doigt, ça résistait un peu, il rajoutait seulement un peu de gel et forçait. Quel plaisir. J'ai soupiré fort à ce moment.


Les deux doigts en position, il me frappait la prostate avec vigueur comme je l'avais fait peu avant. C'est vrai que le plaisir était intense. Rapidement le plaisir montait et à chaque fois il montait plus haut. Au bout de quelques jours le plaisir nous rendait fous. Plus nous le faisions meilleur c'était.


Ce jour là je me retournait et je m'allongeait juste à côté de lui, ses pieds au niveau de ma tête, je repliais une jambe et il reprenait, il me glissait deux doigts dans le cul. Il repliait une jambe et j'en faisais de même, ses gémissements se joignaient aux miens.


On faisait une pause et notre tension retombait, on se caressait alors la queue avec douceur, on ne cherchait pas à jouir, juste à bander. Et sur ce point vous pouvez me croire, on bandait. 


Quelques instants plus tard on recommençait à se masser la prostate. Avec force, j'y allais plus fort, il en faisait de même. On manquait de souffle, on râlait de plaisir, on gémissait. Par moment on se tordait de plaisir puis, sans prévenir il jutait il éjaculait sur son ventre, il se prenait une giclée sur la figure. Je le regardais, ça aurait du me faire rire mais j'éjaculais à mon tour et moi aussi je m'arrosais le ventre.


Brusquement on retombait de tout notre poids sur le dos.


– Alors là bravo les gars, vous êtes trop forts. J'ai adoré ! S'écriait une voix féminine qui venait de la dune.


Sans comprendre, l'esprit un peu englué, on regardait dans la direction de la voix. C'était une fille, elle était nue, elle avait un beau sourire et une jolie petite poitrine. C'est en rigolant qu'elle courait vers nous, elle s'accroupissait à côté de moi, me caressait le torse, mettait un doigt dans le sperme que j'avais lâché, sur mon ventre et le portait à sa bouche. Puis elle en prenait plus entre ses doigts et les portait à ma bouche. Sans comprendre ce qui se passait, je lui léchais les doigts. Ensuite elle faisait la même chose avec mon ami Tommy. 


Un peu plus tard on se relevait et c'est tous les trois qu'on courrait vers l'eau. On avait débandé, on s'est arrosé, on a rigolé. Ensuite on a fait connaissance.


C'était une sportive elle était venue à pied. Enfin c'est une façon de parler. Elle était venue avec une petite embarcation à rames. Au retour elle est allé chercher ses affaires qu'elle avait laissé de l'autre côté de l'île. C'était pas bien loin remarquez. Elle s'était installé de l'autre côté de la dune, et comme je vous le disais plus tôt, la dune n'était pas bien haute.


On s'est installé de nouveau, elle s'est mise entre nous.


– Alors comme ça, les filles ne vous intéressent pas ?

– On n'a pas dit ça. Répondait-je.

– Mais qu'est ce qui te fait penser une chose pareille ? Rajoutait Tommy.


On pouffait de rire, la question de Tommy semblait incongrue.


– Et vous sauriez faire plaisir à une fille alors.

– Mais bien sûr. Répondait Tommy sur un ton ferme et décidé.

– Simplement on n'en avait pas sous la main. Rajoutais-je.


Elle écartait les bras et nous caressait le torse, elle semblait bien apprécier, nous n'avions pas de poils et nous étions musclés. En plus, c'est sans malice que je dois reconnaître que le torse de mon camarade est très agréable à regarder autant qu'a  caresser.


On lui caressait les mains. Puis nos mains remontaient le long de ses bras. Non mains glissaient avec douceur sur sa peau. Je l'ai senti frémir quand ma main à touché sa poitrine, ou alors c'était peut être Tommy qui la faisait frissonner. Il me faisait bien frissonner moi, alors pourquoi avec les filles ça ne marcherait pas. 


Je m'approchais de notre nouvelle amie et glissait une main sous ses épaules, elle prenait ses aises et se blottissait contre moi. Avec l'autre main je lui caressait la poitrine, son torse et son ventre. Tommy en faisait de même. Il la caressait, nos mains se croisaient et au passage nous échangions quelques contactes doux.


Puis on l'embrassait, chacun son tour. On déposait des baisers sur ses épaules, dans son cou. Là aussi nos lèvres se rencontraient et au passages on échangeait quelques baisers. Elle ne se formalisait pas pour si peu et tant qu'on ne l'oubliait pas elle s'en amusait.


La main de Tommy s'égarait sur le sexe de notre nouvelle copine, on avait oublié d'échangé nos prénom mais j'avais comme l'impression que ce n'était pas le moment. Elle posait sa main sur son sexe … 

– Avec la langue et les doigts, je veux bien mais pas plus. Déclarait-elle.

– On ne peut pas aller plus loin ? Demandais-je.


Elle me regardait tendrement. Me donnait un baiser chaud, très chaud sur la bouche avant de me répondre.


– D'abord, ma grand mère m'a toujours dit '' Ma fille si tu rencontres un garçon, ne lui dit jamais oui le premier soir ''.

– Ça tombe bien, faisait remarquer Tommy, on est pas encore le soir !

– Bien essayé. Lui répondait la petite. Et puis avec le sable, on risque une irritation, et je suis une petite fille très sensible … 


Petite fille, elle exagérait tout de même, elle ne ressemblait pas du tout à une petite fille. C'était une grande fille, et je ne pense pas qu'elle était toujours sage. 


Tommy s'était penché sur son entre-jambe et explorait avec sa langue cette zone de son corps qui nous était encore inconnue. Je passais le bout de mon nez sur sa poitrine. Ça devait la chatouiller, je la sentais trembler dans mes bras, c'était du plaisir mais c'était pas ce plaisir là. 


On bandait de nouveau, et je vous jure qu'il n'en aurait pas fallu beaucoup pour qu'on ne la  pénètre. Juste un oui, même pas dit fort, même dit tout bas nous aurait suffi. Mais comme ce tout petit ' oui ' ne venait pas, ne viendrait pas on se concentrait sur son corps, sur nos caresses, sur nos baisers. 


Je l'ai amusée au moment ou j'ai pris la queue de mon pote dans la bouche.


– Ah oui, vous en êtes là les garçons, remarquez j'aurai du m'en douter.


On s'en moquait, on venait de jouir, et de toutes façons je savais que le soir je me vengerais sur mon copain. Je l'autoriserais même à se venger sur moi. 


On a passé l'après midi dans un câlin frustrant. Mais ce sont les règles. Régulièrement on se relevait, nos queues à Tommy et à moi restaient tout l'après midi au garde à vous et elle l'étaient encore au moment ou il a fallu repartir.


On a accroché le canoë de Mademoiselle à notre bateau, on était motorisé puis on a ramené la petite jusqu'au port.


C'est dans le port de plaisance qu'on s'est séparé. Elle à repris les rames de son petit bateau et nous à laissé là.


– Moi c'est Tommy et mon copain Paco ! Lui criait Tommy. Et toi c'est comment.

– Emmanuelle ! Lui criait la petite.

– On te revois demain ? Lui lançais-je.

– Peut être. C'est vrai que demain ce ne sera plus le premier soir. Nous criait-elle en rigolant.



A suivre



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TOC 02 MON GARCON FERMIER

 TOC 02 MON GARCON FERMIER



Il n'avait pas changé le petit Toc, je dis le petit, c'est affectueux. Il n'avait pas non plus quitté la ferme, finalement il n'était pas difficile, il trouvait sur place tout ce qu'il lui fallait. Une bonne nourriture saine, un bon lit. Et là je ne déconne pas, mes ouvriers font un travail difficile et le moins qu'on puisse faire c'est de leur donner un cadre très confortable et une bonne bouffe. Ils ont chacun une chambre, petite mais confortable avec un lit très confortable et la climatisation. Ils ont aussi des douches avec bain bouillonnant.


La journée terminée, il n'ont plus qu'à mettre les pieds sous la table, passer à la douche et traîner dans le bain bouillonnant aussi longtemps qu'ils le désirent. Il y a aussi deux salons télé, billard et tout un tas de jeux de ce genre. Ils ont aussi l'internet en illimité les films à la demande, enfin le minimum quoi surtout … Si on ne veut pas qu'ils fassent grève ! 


Il faut bien se dire aussi que quant ils arrivent ici c'est en général pour trois mois au moins. 


Sauf bien sûr pour le petit Toc. 


Avec lui c'est pas pareil, il ne dit jamais rien mais quelques semaines après son arrivée ici je remarquais comme une baisse de régime. Il est vrai que son régime au départ n'était pas des plus rapides. Je cherchais à comprendre ce qui lui arrivait. C'est certainement pas moi qui le fatiguais, je ne le recevais chez moi que deux ou trois fois par semaines. 


Je vérifiais toujours que son dispositif de chasteté n'avait pas bougé. On ne sais jamais avec ce genre de loustic … Apparemment il ne cherchait pas à le retirer. J'ai l'impression qu'il ne se posait pas de questions, il ne pouvait plus se branler, il ne se branlait plus … 


Mon contremaître me conseillait de surveiller le flux Wi-Fi. Dans leurs chambres il ont bien sûr le Wi-Fi … C'était bien ça, jusqu'à deux, trois, quatre heures dans la nuit il se connectait à l'internet et regardait toute la nuit des films cochons. Et quand  je vous dis des films cochons, je vous jure que je n'exagère pas. Je les suivais moi aussi jusqu'à onze heures du soir. Mais c'était juste pour voir, pas pour regarder, c'est pas du tout mon genre ces trucs là, oulàlà non ! C'est pas pour moi ça. L'autre jour il en a regardé un particulièrement cochon. Il y avait un petit jeune qui  se faisait défoncer le cul par deux hommes en même temps et qui en plus suçait une queue bien grasse, bien  longue, bien ferme,  bien … Oui très bien … Enfin vous voyez ce que je veux dire. 


Pour être cochon ça c'était du cochon, il l'a regardé tous les soirs de la semaine, j'étais dégoûte, bein oui j'en ai fait de même … Je vous jure, pour regarder des trucs pareil il faut vraiment … Je ne trouve même pas mes mots là !


Mais que faire ? 


Je lui avais déjà mis un dispositif PK le lendemain de son arrivée, il n'avait rien dit et semblait le supporter sans difficulté … Il se branlait en regardant du porno cochon, maintenant il ne se branlait plus en regardant du porno cochon mais il regardait toujours du porno cochon. 


Un  jour je l'ai même surpris, le cul posé que un douillet coussin de foin qu'il s'était confectionné, il aime  bien son confort ce petit gars. Il avait son téléphone à la main.


– Alors Toc, tu fais une petite pause ?  ( Je ne l'engueulais pas il avait terminé son boulot et c'était l'heure de sa pause.).

–  Bein oui !


Merde je m'y ferais jamais !


– Et tu regardes quoi ? Un film d'aventure ?

– Bein … Euh … 

Je lui prenais le téléphone des mains … 


Il regardait un porno ! J'aurais du m'y attendre mais je ne sais pas pourquoi, j'avais sans doute  espéré voir autre chose sur son écran. En plus je ne l'avais pas vu celui-là, il va falloir … Oui mais, bon, comme je vous disais c'est juste pour voir pas pour regarder. 


Ne vous faites pas d'idées déplacées à mon sujet !


– Bein … Arrivait juste à me répondre mon pauvre Toc d'un air malheureux

– Mais tu ne peux par regarder autre chose merde ? Avec la connexion internet tu peux avoir des contacts avec le reste du monde et toi tu regardes du porno !


J'avais haussé le ton, il avait l'air tout malheureux.


– Bein … Si … 

Il n'est pas contrariant, ça c'est vrai, ça n'a pas changé ça. Et il est toujours aussi adorable quand il est pris la main dans le sac, il est craquant, il me fait bander à chaque fois. Et là aussi je bandais. Mais bon on était à l'extérieur, les ouvriers pourraient nous voir, je me contenais.


J'allais repartir, il m'appelait.


– M'sieu, m'sieu … 


Je me retournais.


– Téléphone m'sieu. 


Comment j'aurais pu ne pas lui rendre son téléphone avec la tête de gamin triste qu'il avait.


– Mais tu me promets de ne plus regarder ce  genre de film cochon !

– Bein … Oui m'sieu …


Je vous le disais l'autre jour, c'est un bavard et ça n'a pas changé.


– Mais dis moi Toc, pourquoi tu ne dis jamais rien, tu ne parles pas ou alors deux mots ? …

– ( il semblait réfléchir ) Bein ... Rien à dire !

Une phrase entière, toute petite mais une phrase entière. Je n'obtiendrai jamais rien de plus de lui. C'était déjà bien ! Avec ses camarades de boulot il était pareil qu'avec moi. Il ne parlait pas, non pas qu'il ne leur parlait pas, il ne parlait pas c'est tout, il n'avait rien à dire …


J'ai bien pensé lui confisqué son téléphone mais je n'ai pas osé ! Avec la tête qu'il faisait ce jour là, j'ai vraiment eu peur qu'il ne se mette à pleurer. Je sais, je me fais des idées,  mais c'est que je l'aime bien moi ce petit gars. 


Et vous savez, il est tellement câlin quand on se retrouve, dans mon lit. Sa peau est tellement douce, ses lèvres sont si douces contre ma peau, la langue est si chaude sur mon gland. Il suce vraiment bien. Je n'ai jamais trouvé une femme qui suçait aussi bien que lui. Sa peau à bon goût, je ne saurait la comparer à rien de connu, Toc à le goût  de Toc et il est délicieux. Au sens gustatif bien sûr !


La nuit suivante il l'a passée dans mon lit. Rapidement on avait rôdé la procédure. Je lui avais expliqué que personne ne devait être au courant et quand j'ai rajouté : '' Tu comprends pourquoi ? '', il m'avait répondu …


Bein oui, vous avez deviné, il m'avait répondu '' Bein oui !''. Comme il ne parle jamais ou pour dire si peu de chose, j'avais pas à m'inquiéter sur ce point. Il se lève donc un peu plus tôt, s'habille et se  retrouve dans le réfectoire avant l'arrivé des autres. En plus il est réglé comme une horloge atomique, et c'est tous les matins qu'il arrive très précisément quatre minutes avant ses camarades de travail … Même ses  jours de repos … 


J'adore le voir s'habiller, il ne porte pas de sous vêtements, il a juste ce gros truc, ce dispositif PK, la taille est bonne mais la peau de sa queue forme des bosses, de sortes de bulle par les ouvertures d'aération, j'aime la caresser, la peau est douce et le métal est dur.


Non c'est pas cochon !


Il porte un  dispositif PK donc c'est pas cochon, et je ne vous permet pas de dire des choses pareils en me lisant. Sinon j'arrête de raconter moi ! … 


Il porte toujours ce pantalon moule-boules, on devine parfaitement qu'il y a quelque chose en dessous, on devine sans difficultés ce qu 'il y a en dessous. La forme anatomique de la cage, les petites bosses que forme la  peau, et la grosse boule juste en dessous, ses couilles qui ne forment qu'une seule et grosse boule. Toujours le même rituel, il se relève bien pour pouvoir  refermer son pantalon, ensuite il enfile un T-shirt bien moulant  lui aussi.


On pourrait s'imaginer qu'avec de tels vêtements, je pense en particulier à son pantalon, qu'il ne doit pas pouvoir travailler, bouger comme il voudrait. Et bien non, ces vêtements sont très bien étudiés, le lycra est un matière fantastique qui rend les vêtements élastiques, il exposent alors la forme du corps sans pour autant gêner le moindre mouvement. Le pantalon choisi est en plus très fin, aussi on voit tous les détails de son anatomie. Je  pense qu'il le fait exprès. Oh normalement ce ne serait pas convenable mais comme il porte un dispositif PK …


Chaque fois qu'il passe la nuit avec moi, je me régale de le voir se rhabiller. Il le fait devant moi, il prend bien le temps d'ajuster ses vêtements mais c'est sans malice, c'est juste que c'est mieux si c'est bien ajusté. 


Pendant ces moments de tendresse et de douceur que nous partageons, il ne parle pas mais il agit ! Son corps ferme, ses muscles durs, sa peau douce contre mon corps est un contact qui me transporte. Ses mains me caressent, je lui rends chacune de ses caresses.


J'aime quand il me chatouille tout le corps avec le bout de son nez, il déplace son visage lentement contre ma peau, et prend le temps de me couvrir de baiser, il me mordille les tétons avec une telle délicatesses, je ne sais pas comment il fait, c'est ferme mais jamais trop. 


Son visage descend ensuite vers mon ventre, ses mains me caressent les bras puis plus bas, les avants bras puis les fesses au moment ou il arrive à ma queue. Vous imaginez bien qu'à ce moment là je bande. Il me caresses délicatement le bout de ma queue avec sa langue, puis avec ses lèvre que je sens se refermer autour de ma queue. C'est doux, chaud et humide, il l'avale bien, sur toute sa longueur, mon gland se coince dans sa gorge. Je ne sais pas comment il fait ça, je  ne sais pas comment il arrive à faire ça mais c'est divin. J'ai passé un jour ma main sur sa gorge à ce moment et j'ai senti ma queue entrer dans sa gorge. Quand  on dit '' dans la gorge '' quelquefois ce n'est pas exagéré. 


Il retire sa tête, ma queue sort, il rabaisse sa tête et ma queue glisse sans que rien ne l'empêche d'aller bien au fond. 


L'autre nuit après m'avoir déjà fait grimpé aux rideaux, sans rien dire. C'est vrai j'oubliais qu'il ne dit jamais rien ou si peu. Il s'est relevé. Je caressais son corps si doux, si beau. Il s'est mis debout au dessus de moi, les  jambes écartées, je lui caressais les jambes puis les cuisses. Il s'est agenouillé, je lui caressait les couilles. Elles étaient bien dures, j'aime bien sentir ses couilles bien pleines, bien dures. Il s'est ensuite lubrifié le cul puis s'est empalé sur ma queue. Il soupirait et relevait la tête en arrière, il gémissait de plaisir. En quelques mouvements il se laissait tomber de tout son poids sur moi, les jambes allongées. 


Je relevais alors mon torse, il refermait ses jambes dans mon dos. On se prenait dans les bras, on se serrait l'un contre l'autre. Je repliais mes jambes et me retrouvais assis en tailleur, Toc  empalé sur ma queue, nos bouches soudées l'une contre l'autre. Je me balançais alors doucement sur mon cul, ma queue bien garées dans le sien, poussait plus fort ou moins fort selon le mouvement. Je l'ai entendu sangloter, je l'ai senti trembler, frémir. Il avait posé son front contre mon épaule et un instant j'ai cru qu'il pleurait. Moi ça m'a excité, j’amplifiais l'amplitude du mouvement pas sa vitesse. Quand ma queue poussait contre ses fesses, je forçais le mouvement. 


Il était alors pris de petites convulsions, ce n'étaient plus de simples tremblements. Il a juté, je l'ai senti juter sur mon ventre. J'ai alors accéléré le mouvement. Il a râlé de plaisir et quelques instants plus tard c'est moi qui  jutais dans son cul.


On est resté comme ça pendant un long moment. On échangeait des câlins, des caresses, des baisers  puis on ne bougeait plus. Un dernier baiser puis il se  relevait. Il allait dans la salle de bain, je l'y retrouvais quelques instants plus tard. On prenait une douche ensemble, chacun lavant l'autre, chacun en profitant aussi pour laisser sur la peau de l'autre un baiser là ou il venait de rincer le savon.


Ça vous choque ce que je vous raconte là ? Et bien ça ne devrait pas, je vous rappelle qu'il porte un dispositif PK !


Ensuite il se retrouvait dans mes bras, blottis comme un gamin se blottirait dans les bras de son père. Mais ce n'était pas un gamin, c'était un homme, il avait un corps d'homme, un corps magnifique. Je ne pouvais pas m'empêcher d'admirer son visage, au moment ou il s'est endormi. C'était un visage d'ange, il était pur comme une vierge, il portait  un dispositif PK. Nous ne commettions aucune faute morale. 


Le lendemain il ne travaillait pas mais il était au petit déjeuner quatre minutes avant les autres. Ensuite il traînait, son téléphone à la main, sur la Wi-Fi je pouvais constater qu'il regardait encore des films cochons. Je me suis dit alors qu'il fallait le punir, que ce n'était pas acceptable. 


Je décidais alors de  lui confisquer son téléphone. S'il veut téléphoner il n'aura qu'à demander, et comme il ne dit jamais rien … Oui mais, l'Internet c'est pas que du porno … 


( LOL , là je me bidonne,  en relisant la connerie que je viens décrire … Pfffff … '' pas que du porno '' il y a vraiment des fois ou j'écris n'importe quoi vous en conviendrez … Note De L'Auteur )


( je disais donc ) … Oui l'internet c'est pas que du porno … ( Pfff MDR ) … il s'achète plein de truc aussi, ses vêtements par exemple, son  pantalon qui le rend si sexy. C'est pas le même qu'il avait il y a un an, C'est le même  modèle d'accord mais c'est pas le même. C'est vrai qu'il a les références, il n'a plus besoin d'internet pour commander. Pour tous ses vêtements c'est pareil. Il porte exactement les  même vêtements, enfin des vêtements identiques je veux dire … 


Au début j'ai cru qu'il était idiot. Qu'il lui manquait une case. Mais non, il n'est pas idiot. Il est très bien organisé, chaque chose est à sa place, même si quelquefois on peut avoir l'impression qu'il donne une réception dans sa tête. Non il n'est pas idiot.


Il y a quelques mois on a eu un ouvrier espagnol, et bien j'ai constaté que Toc parle espagnol couramment, et sans accents. Pareil pour l'anglais, et l'italien. Je lui ai demandé un jour s'il  parlait d'autres langue et il m'a répondu … '' Bein oui '', je m'attendais à un '' Bein non '' mais c'était  un '' Bein oui ''. J'ai alors été pris d'une grosse fatigue et je n'ai pas osé insisté. '' Bein oui … '' ça me prend moi aussi. 


Pour conclure, j'ai pas osé  lui confisquer son téléphone mais je lui coupe l'internet à dix heures le soir. On avance dans cette histoire, on avance … Au début il se branlait en regardant du porno, ensuite il ne se branlait plus mais regardait du porno toute la nuit, maintenant il ne regarde du porno que pendant son temps  libre et pas après dix heures. On avance je vous dis …


Et vous savez ce qu'il fait après dix heures, vous ne devinerez pas, moi je  pensais qu'il allait inventer quelque chose et … '' Bein non '' … Après dix heures il dort. C'est pas plus compliqué.


En fait il n'est  pas idiot et je crois sincèrement que s'il ne dit rien  c'est que précisément il n'a rien d'intéressant à dire. 


C'est comme ça !


Bein oui !




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Presque frères 02

 Presque frères 02



A table le soir, on était calme. On avait pris des couleurs, mais la marque du maillot n'y était pas. Mon père s'en ai aperçu, ça l'a fait rire. Il n'y trouvait rien à redire, il m'a juste demander, sur un ton taquin sans plus.


– Tu n'aurais pas oublié ton maillot de bain pour bronzer toi ?


Ce à quoi j'ai répondu …


– Le maillot de bain, c'est pour se baigner !


Après le repas, on est sorti se promener, on s'est arrêté dans un bar, il y avait du monde qu'on connaissait. Nous avions chacun une copine, ça ne faisait pas longtemps, c'était un de ces amours de vacances, un amour qui ne dure pas le reste de l'année mais qui laisse des souvenir. On a flirté toute la soirée, je le regardais quand il embrassait sa copine et je me souvenais combien il embrassait bien. Je crois qu'il me regardait aussi et je suis presque sûr qu'il devait se poser la même question. Ça faisait quand même quelques années qu'on se connaissait.


On est rentré au milieu de la nuit, nos copines travaillaient le lendemain. On leur proposait une crêperie pour le lendemain soir, elles acceptaient avec joie. Puis on est rentré après les avoir raccompagnées.


Avec Tommy on dormait dans la même chambre, elle était un peu en retrait, c'était une maison ancienne qui s'était agrandie au cours des années, une pièce était rajoutée, puis une autre, la dernière, notre chambre ne communiquait  pas avec le reste de la maison, pour y aller il fallait passer par le jardin. C'était pas gênant à  vivre en cette saison. Mais notre chambre avait sa propre douche, il y avait aussi un coin cuisine et une mezzanine ou on dormait. Au moins on était tranquille, même si on criait on ne risquait pas de trop déranger le reste de la maison, les murs devaient faire près d'un mètre d'épaisseur. On n'avait aucune raison de crier mais on pouvait écouter de la musique.


On a discuté, la journée avait été bien remplie. On se demandait si on ne pourrait pas retourner sur la petite île. On a comparé notre marque de bronzage et je ne sais plus trop à quel moment ça a dégénéré mais je me retrouvais allongé sur le ventre, il était sur son lit, et moi j'étais sur lui.


On partageais un de ces moments de tendresse et de douceur, on était encore tout habillé, enfin on avait chacun un short, mais je crois me souvenir qu'on avait négligemment oublié de mettre un sous vêtement … C'est ballot, surtout qu'on avait l'érection facile à notre âge.


La chaleur et la douceur de sa peau me faisait bander. Nos baiser étaient chauds, encore plus chaud que cet après midi sur la plage déserte. Il n'y avait plus cet effet surprise. Il y avait par contre ce désir de goûter de nouveau à l'autre. Un peu comme si on voulait s'assurer qu'il était bien à notre goût. Pourtant c'était une interrogation idiote, je savais que j'aimais tout de que je touchais. Il me caressait le dos, ses mains étaient douces et ses lèvres étaient tendres.


Je l'embrassais à partir de ses épaules et je descendait le long de son corps, mes mains précédaient mes lèvres en explorant son corps et en le caressant aussi quand mes lèvres arrivaient sur sa queue elle n'étaient pas surprises de trouver une bite bien dure, et aucun sous vêtements. Son short n'offrais aucune résistance, et sa queue rentrait rapidement dans ma bouche.


Je l'ai senti se contracter et il à poussé une sorte de cri étouffé, un de ces cris qui ne désire pas forcément se faire entendre. Je passais ma langue autour de son gland, il tremblait. Je lui massait les couilles, il frémissait. Puis je lui gobais une couilles, là je l'ai senti se crisper mais il m'a laissé faire. J'aspirais un peu et sa seconde couilles rentrait sans résistance dans ma bouche. Et là, je les malaxais  doucement avec la langue. Il tremblait, semblait désemparé, partagé entre le plaisir que je lui donnais et la situation particulière, il était sous la menace de mes dents. Oh  je n'avais pas l'intention de lui faire du mal, et mes dents, je prenais le plus grand soin  pour qu'il ne les sente même pas.


C'est sa queue que je prenais dans ma bouche ensuite, il était allongé sur le dos, les jambes bien écartées et moi j'avais la tête entre ses cuisses. Il me caressait les cheveux, il appuyait sur ma tête et sa queue pénétrait jusque dans ma gorge. J'éprouvais un réel plaisir à faire cela, mais c'était peut être à cause de la personne à qui je le faisais. Il était comme mon frère, mon meilleur pote, on n'avait aucun secret, et maintenant notre plus gros secret on ne le partageait qu'entre nous. 


Je me lubrifiais un doigt avec de la salive et sans le prévenir je commençait à lui caresser son trou de balle. Je le sentais se contracter, il respirait fort et c'est au moment ou il contractait le plus son anus que j'appuyais mon doigt. Il rentrait sans trop de résistance mais j'ai senti tout le corps de Tommy se contracter, je l'ai entendu gémir de plaisir. C'est à ce moment qu'il à juté avec force dans ma bouche, je ne me m'y attendait pas et mon premier réflexe était de retirer ma tête mais il me retenait avec force. Je me retrouvais bloqué, et j'encaissais plusieurs giclées de sperme chaud dans la bouche, je continuais à le sucer, d'autres giclées suivaient. J'avais la bouche pleine mais je ne voulais rien perdre et j'avalais goulûment.


Je sentais son anus qui se contractait autour de mon doigt et quand je l'agitais, Tommy râlait plus fort, il criait presque de plaisir. Tous ses muscles se détendaient. Il se retrouvait les bras en croix, et les jambes écartées allongées sur son lit. Je relevais la tête, il venait de jouir et s'il paraît qu'on fait une grimace au moment de l'orgasme après on a plutôt un air réjoui, détendu. Dans son cas il n'avait pas l'air futé, il avait une expression de béatitude sur le visage. Et c'est moi qui l'avait mis dans cet état. J'étais fier de moi et je le regardais en souriant. 


Il regardait et me souriant également.


– Je ne savais pas qu'on pouvait jouir de cette manière. Me disait-il.


Il était essoufflé et parlait en hachant les mots.


– Je te jure c'était le pied, il faudra que je tu essayes toi aussi …


Il laissait tomber sa tête en arrière et continuait à gémir de plaisir, pourtant là je ne le touchais plus. Et en plus il débandait. C'était pas mon cas. Je bandais toujours aussi ferme. Puis j'ai un peu perdu patience, j'ai commencé à me masturber.


Il me regardait avec un regard absent.


– Approche, approche jute moi sur la figure, je veux que tu éjacules sur moi, vise la bouche.


Il m'a un peu surpris mais je me suis exécute, je me mettais à genoux juste à côté de lui, ma queue juste au dessus de son visage. Je me branlais activement, rapidement il semblait récupérer et me caressait les cuisses avec une main. Il glissait plusieurs doigts. Il me caressait la raie du cul avec les doigts, il ne s'attardait pas sur la petite ouverture qui s'y trouve, mais il me caressait avec de plus en plus de force.


Je continuais à me masturber, il ouvrait la bouche et tirait la langue.


Il me massait alors mon anus, il n'y avait pas de doute il avait visé juste. C'était l'ouverture qui l'intéressait, son doit en faisait le tour en appuyant assez fort, il n'essayait pas vraiment de glisser sont doigt. Je continuais à me branler et sans prévenir, il tentait de glisser son doigt dans mon cul, à sec.


Évidemment son doigt n'est pas rentré mais la pression m'a fait ressentir un étrange plaisir, étrange et impérieux, en une fraction de seconde j'ai joui, avec une force qui me surprenait. Deux ou trois jets sont partis sans que je puisse réagir et sont retombés plus d'un mètre plus loin sur un coussin, j'ai complètement loupé sa bouche, seules deux ou trois gouttes lui sont tombées sur la langue. J'avais éprouvé un plaisir intense moi aussi, il m'avait fait un peu mal mais j'avais aimé et je comprenais qu'avec un peu de gel et un tout petit peu plus de douceur le plaisir devait être total.


Je me suis laissé tombé sur lui. Il avait son doigt toujours appuyé sur mon cul.


– Ça ne rentre pas ! Comment tu as fait toi ?

– J'ai lubrifié avec de la salive.


Il se redressait alors faisait tomber de la salive.


– Mais qu'est ce que tu fabrique Tommy ?

– Bouge pas, surtout ne bouge pas. 


La salive faisait son effet et son doigt glissait maintenant dans mon cul. Là j'ai poussé un long gémissement de plaisir. Je venais de jouir mais c'était tellement nouveau que je voulais voir ce que ça faisait. 


Son doigt est entré en entier puis il a commencé à le remuer dans tous les sens et par moment c'était une véritable alarme de plaisir qui se déclenchait dans mon cul. C'était bon comme je n'aurais jamais imaginé, j'écartais les cuisses et le laissais faire. Ce qui est bien quand on se connaît autant nous nous connaissions, c'est qu'il y avait une totale confiance et que chacun pensait au plaisir de l'autre. 


Du coin de l’œil je le voyais, il observait mes moindres réaction, il ne me voulait que du bien.


Par moment je sursautais quand il touchais une certaine partie à l'intérieur de mon cul, là ça devenait particulièrement agréable. Au bout de quelques instant, c'était à la limite de l'orgasme, à chaque fois. Je vous jure j'ai pris un pied comme jamais.


Au bout d'un long moment il m'a demandé s'il pouvait arrêté, il avait une crampe au doigt, surtout que la position qu'il avait n'était pas vraiment confortable.


Il a retiré son doigt, je me sentais toujours aussi bien. Je me suis retourné, je ne bandais plus. Je n'avais par recommencé à bandé depuis ma dernière éjaculation mais j'avais tout de même pris un grand, un très grand plaisir.


On a fait un rapide passage dans la salle de bain, surtout pour se laver les mains. Vous connaissez le proverbe … '' Qui s'endort avec le cul qui gratte se réveille avec les doigt qui puent ! '' ? … Non ? C'est de Coluche  mais là je m'égare de mon propos. 


Ensuite on est revenu dans la chambre et on a parlé. On ne l'a même pas fait exprès mais quand on s'est couché, on s'est couché dans le même lit et pour la première fois de ma vie j'ai dormi avec mon pote dans les bras. 


C'est la voix de sa mère qui nous réveillait le lendemain matin, elle nous criait que tout le monde partait pour le marché, que si on avait besoin de quelques chose il fallait le dire. Elle avait juste entrouvert la porte et n'était même pas entrée. Ça n'aurait pas posé de problème de toutes façons. Mais en attendant, on était réveillé.


C'était même un réveil violant !


On s'est levé rapidement on s'est bousculé pour entrer dans la salle de bain, on était à poil bien sûr. Il m'a attrapé les couilles et par réflexe je me suis défendu. C'est comme ça qu'il a réussi à rentrer dans la salle de main avant moi. Je l'ai rattrapé sous la douche et là on s'est calmé.


On s'est frotté le dos mutuellement, et pas que frotté, et pas que le dos. On a fait un câlin, un gros câlin turbulent. On a dévasté la salle de bain, il y avait de l'eau partout et des serviettes détrempées dans tous les coins. 


On s'est embrassé, on s'est caressé, on s'est un peu branlé l'un l'autre mais sans aller jusqu'au plaisir. On se le réservait pour plus tard. Plus tard dans la journée, on avait joui deux fois la veille et c'est pas que ça aurait difficile de recommencer mais on restait convaincu que ça ne serait que meilleur si on faisait durer. Alors on a fait durer.


On s'est bien sûr sucé, enfin un petit peu … Puis à a nettoyé la salle de bain, on a rangé la chambre puis on s'est habillé, juste avant de sortir de la chambre. Nos parents arrivaient, ils nous retrouvaient tout beau, tout propre, on avait mis un short mais cette fois on avait pensé à mettre un maillot de bain.


Aucun d'entre nous ne parvenait à débander, il n'y avait rien à faire. C'était excitant, moi ça me plaisait. Je repensais à ce que Tommy m'avait dit à propos du dispositif de chasteté, l'idée était excitante mais sans plus. Juste pour quelques jours mais pas d'avantage. 


Je l'imaginais avec ce genre de truc sur lui, et je dois dire que ça marchais bien ce truc, dans mon imaginaire il ne pouvait plus bander mais dans le monde réel c'est moi qui ne parvenait toujours pas à débander, je remarquais que pour lui c'était pareil, dans le monde réel oui dans le monde réel.


Le facteur était passé et avait apporté un petit colis et plusieurs lettre. C'est moi qui faisait le dernier tri, et faisait parvenir chaque lettre à son destinataire ainsi que le colis, il était adressé aux parents de Tommy.


On était presque l'après midi quand on prenait notre petit déjeuner. On parlait, on se demandait ce qu'on ferait de la journée. On a finalement décidé de faire comme la veille, on irait se faire bronzer et se baigner sur cette petite plage isolée du monde. On avait le bateau pour ça. En plus le téléphone marchait très bien là bas.


On se préparait, on emmenait  un pique-nique et tout ce qu'il fallait pour passer l'après midi tranquillement. Il faisait chaud et la météo annonçait que le temps ne changerais pas.


On était très proche l'un de l'autre comme je vous le disais mais ce jour là, on était encore plus près l'un de l'autre. Pendant que le bateau avançait presque tout seul, je m'installais contre lui, tout contre et je terminais dans ses bras. Sa main glissait déjà sous mon short.



A suivre




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Presque frères 01

 Presque frères 01



Nous nous connaissions depuis des années, on était allé à la petite école ensemble, puis à la grande école puis … Bein là on arrivait à la fin de la grande école, La fac allait suivre et là encore on serait dans la même fac, pas dans les mêmes cours mais dans la même fac. 


C'était les vacances, il faisait chaud, nous étions allé au bord de la mer. Je dis bien nous car si nous étions amis, nos parents l'étaient également et depuis toujours, même les vacances on les passait ensemble, le ski en hiver, la mer en été … 


Nous étions maintenant de beaux jeunes hommes, le poil nous poussait déjà au menton, tout le monde nous prenait pour deux frères. C'est vrai que nous étions toujours ensembles. On avait le même âge et si nous avions été frères on aurait été jumeaux. 


Un jour Tommy me demandait.


– Dis moi Paco tu as entendu parler de cette université qui vient d'ouvrir, la PK U ?

– Qui vient d'ouvrir … Tu dis.

– Oui enfin, ça ne fait pas très longtemps.

– A peine plus de trente ans quoi .

– Ah c'est si vieux que ça ?

– Pourquoi tu me demandes ça ?

– L'autre soir j'entendais mes parents qui en parlaient, ils se demandaient s'ils n'allaient pas me le proposer. 

– Alors moi à ta place je refuserais net !

– Pourquoi !

– Tu sais que les étudiants là bas doivent porter un dispositif de chasteté.


Il me regardait avec des yeux tout ronds. 


– Tu veux dire … Toute le temps ? Finissait-il par me demander.

– Tout le temps que tu passes à l'université, jusqu'à ton diplôme. Et si tu veux travailler dans l'entreprise PK, pour le reste de ta vie.


Il avait l'air pensif. Il se grattait la tête et reprenait.


– Moi je trouve ça excitant !

– Quelques semaines je veux bien mais des mois, des années … Là je suis moins convaincu.

– Oui mais tu sais moi je ne veux pas travailler pour la PK, je ne garderais pas ce dispositif très longtemps.

– J'ai lu un article sur cette société, la plupart des anciens élèves gardent leur dispositif quand ils quittent l’université. Il parait qu'ils deviennent accro et qu'il ne veulent plus le retirer …


Tommy restait pensif quelques instants. 


– Et tu ne trouves pas ça excitant, ce genre de dispositif. Me demandait-il.

– NON !

– Au moins c'est une réponse claire. 


Le lendemain nous partions en expédition, on allait se faire bronzer sur une petite île. C'était juste une dune de sable qui dépassait de l'eau et qui devait bien culminer à deux mètres à marrée haute, il y avait quelques arbres en altitude … Oui je sais, deux mètres d'altitude.


Sans attendre Tommy se mettait à poil, j'étais un peu surpris mais pourquoi pas, personne ne pouvait nous voir, on était seuls dans un endroit isolé et tranquille, je me mettais moi aussi à poil.


On avait emmené un ballon, pour commencer on s'est amusé sur la plage. C'était finalement très agréable de sentir le vent sur tout son corps, le soleil aussi mais c'est au moment ou nous nous sommes baigné que j'étais conquis. Vous savez ce petit bout d'étoffe qui ne recouvre presque rien semble anodin mais si vous ne vous êtes jamais baigné nu, vous ne pouvez pas savoir à quel point ce petit rien change tout. J'ai adoré. Mon ami Tommy aussi et nous bandions au moment ou on ressortait de l'eau.


Ma queue était plaquée contre mon ventre, redressée à la verticale, Tommy était dans le même état. On était bien monté, la même taille comme deux frères. Un peu plus de vingt centimètre bien large. Circoncis tous les deux. Si à nous voir au quotidien on passait pour des frères, en ne regardant que nos queue on pouvait nous prendre pour des jumeaux.


C'est vrai qu'on avait presque le même âge. Il était bien plus vieux que moi, de presque quatre semaines. 


On s'est allongé sur le sable, lui sur le ventre, moi sur le dos, on a discuté. Puis on s'est allongé sur le sable, moi sur le ventre, lui sur le dos. On ne parvenait pas à débander, il faut dire qu'on était jeune et le vent sur nos corps suffisait à nous stimuler. 


Pour s'amuser, juste histoire de rigoler il se jetais sur moi et s'allonger sur le ventre mais sur mon dos. Je sentait sa queue qui s'écrasait contre mes fesses. Oh je vous rassure, c'était tout à fait naturel, c'était juste pour rigoler, il n'y avait rien de sexuel … Enfin si peut être un peu quand même. En tout cas c'est pas ça qui m'a calmé, lui non plus mais bon, il l'avait cherché moi j'avais rien fait.


Il retombait sur le dos juste à côté de moi.


– J'aurais jamais du faire ça ! Me disait-il.

– Tu parles, y a pas de mal !

– C'est pas ça mais je crois que maintenant je n'arrive pas à débander …


Je me retournais sur le dos, moi aussi je bandais.


– Je suis dans le même état que toi.

– Il n'y a plus qu'une solution …

– Laquelle ?

– Une p'tit branlette.


Je rigolais pour cacher ma gène. Vous l'avez deviné, on n'avait jamais joué à ce genre de jeux tous les deux. On s'était bien déjà vu nu, sous la douche au sport ou à la maison chez l'un ou chez l'autre, sous la douche aussi. Mais on n'avait jamais bandé ensemble … 


Il commençait à se masturber, je le regardais et je vous jure que pour me calmer à ce moment il fallait aller jusqu'au bout. Je bandais particulièrement ferme. 


Voyant que je ne me décidais pas, pour rigoler, toujours pour rigoler, sans rien de sexuel, il attrapait ma queue et commençait à me masturber, je me contractait et je mettais mes mains pour l'écarter mais mes mains se refermaient sur les siennes sans les repousser. 


Nos visages était juste face à face à quelques centimètres de distance. On se regardait dans le blanc des yeux et je pensais découvrir dans son regard une expression que je ne lui avait jamais vu.


Nos visages se rapprochaient, puis brusquement il voulait s'écarter, il desserrait sa main, me relâchait la queue mais moi je continuais à bien lui retenir les mains autour de ma bite, il ne pouvait pas me lâcher. Il retournait la tête mais voyant que je le retenais il me regardait de nouveau. Nos visages continuaient à se rapprocher. 


Je sentais son souffle, le bout de son nez touchait le mien, je penchais doucement le visage, il penchait lui aussi son visage mais dans l'autre sens et, c'était inévitable, nos lèvres se touchaient et là ce n'était plus lui, ce n'était plus moi, c'était nous …


Je lui lâchais les mains mais c'était pour le prendre dans mes bras, il me lâchait la queue mais c'était pour passer sa main derrière ma tête. On roulait l'un sur l'autre sur le sable, les vagues nous léchaient les pieds. Je me souviens que souvent des filles m'avait dit qu'il embrassait bien, et ce jour là j'ai pu le constater 


Et là on a tout oublié, allongé sur moi, il se relevait, me souriait puis m'embrassait dans le cou, je lui rendais son baiser. Puis on roulait et là c'est moi qui me retrouvais allongé sur lui, je l'embrassais sur les épaules. Puis mes lèvres descendaient le long de son corps se posaient sur ses téton, je le mordais doucement il me répondant en râlant de plaisir et en me caressant le torse.


Ensuite de nouveau on roulait l'un sur l'autre. Je me retrouvais allongé sur le dos, il était juste à côté de moi appuyé sur son coude, il me caressait, je lui rendais chacune des ses caresses et même plus, il glissait une main sur ma queue et commençait à me branler mais là ce n'était plus pour rire, là c'était sexuel. On était passé à autre chose, sans même nous en rendre compte.


Il s'est penché sur moi et me couvrait le corps de baisers. En quelques instant il arrivait au niveau de mon sexe et prenait ma queue dans la bouche. Il me suçait avec douceur, il s'y prenait bien et c'était un grand moment de plaisir pour moi.


Je décidais de lui rendre la politesse. Je me penchais vers lui et je ne sais pas par quel mouvement acrobatique je me retrouvais avec sa queue dans la bouche, il n'avait pas pour autant cessé de me sucer la mienne.


C'était une étrange sensation, je n'avais jamais pensé faire cela plus tôt, mais c'était agréable, un gland bien gonflé c'est vraiment doux. Vous devriez essayer, je n'y avais pas vraiment pensé avant mais je ne regrettais pas, ni sur le coup, ni depuis.


Sa queue s'enfonçait lentement, je la sentais glisser sur mes lèvres, sur ma langue et j'écrasais ma langue contre son gland. Il me limait la bouche, c'était sans le faire exprès qu'il appuyait sa queue contre ma gorge. Je retirais la tête, il se retirait et moi j'avançais le visage. 


On n'oubliait pas de se caresser, on n'oubliait pas d'échanger autant que de partager toute la tendresse, toute la douceur que nous avions l'un pour l'autre. C'est vrai que si nous n'étions pas amants, nous étions amis et ce de très longue date.


Ce jours là il s'est passé un petit quelque chose entre nous et ce quelque chose à fait qu'on en était arrivé là.


J'étais allongé conte lui, sa bite bien planté dans ma gorge, il était dans la même position. Je ne savais pas encore comment ça allait se terminer mais j'aurais du m'en douter. J'ai éjaculé dans sa bouche. Je ne contrôlais plus rien, je jutais et c'était un immense plaisir, bien plus intense que quand je me masturbe tout seul. Et c'est à ce moment qu'il a juté dans ma bouche. Je l'ai entendu gémir, je ne sais même pas si j'avais gémi juste avant et je suppose que oui. Il me donnait quelques coups de bassins dans la bouche et son sperme remplissait ma bouche, c'était un régal, je n'avais encore jamais goûté la sève d'un homme et c'était bon. 


Je ne voulais pas lâcher et je continuais à le sucer, il en faisait de même et nous sommes resté un long moment à nous sucer l'un l'autre avec douceur, avec beaucoup de douceur.


Nous avons fini par débander, je me suis retrouvé avec son sexe juste devant les yeux, il avait le mien devant son visage, je sentais son souffle contre mon pénis encore humide … 


On s'est retrouvé de nouveau face, face. Un câlin, un baiser, on ne savait plus quoi dire, un autre baiser, on se regardait dans les yeux. J'espérais sincèrement que notre relation ne changerais pas,  qu'il n'aurait pas de regret. Moi je n'en avais pas .


Il me regardait, encore un baiser, il me souriais, un autre câlin.


– Tu penses qu'on recommencera ? Me demandait-il.


Je le prenais dans mes bras et le serrait fort en lui répondant.


– J'espère bien oui, et souvent même.


On s'embrassait encore, on se faisait encore des câlin. Je pense que je n'avais  jamais été aussi  heureux.


Puis on a parlé, on a parlé de caresses. Suivait un câlin. Et le câlin entraînait un baisers …


On a parlé sodomie. Il n'avait jamais essayé, je le savais mais je lui ai dit que moi non plus. Il le savait.


On est allé se baigner et je regardais son corps comme je ne l'avais jamais regardé, et ce n'était pas seulement parce qu'il était nu. Je ne l'avais jamais trouvé aussi beau pourtant mon pote, je vous jure qu'il était beau. Les filles savaient le lui dire. 


Bein oui, on était puceau mais on avait déjà flirté, on avait déjà eu plus d'une fille dans les bras. Il faut dire qu'on était aussi beau l'un que l'autre, c'est ce que tout le monde nous disait. Mais il ne faut pas oublier que tout le monde pensait qu'on était frère.


Ce qu'on venait de partager entre nous était tout nouveau et totalement inattendu. Je vous jure, je n'y avais jamais pensé. Depuis, j'y ai souvent pensé et repensé et j'y pense encore très souvent.


Cette nuit là nous avons bien dormi, je sais que lui aussi a bien dormi puisque nous partagions la même chambre. On était en vacance il ne faut pas l'oublier. Avant de dormir on a encore parlé et on s'est promis de recommencer et même d'aller plus loin.



A suivre




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20 Septembre 2022

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