Les archives
Ep02
Un infirmier
très mignon
J'aurais
bien parlé de ce truc à mon camarade de travail mais voilà, je
n'avais pas de camarade de travail. J'oubliais donc cette histoire et
continuais à glander et à me branler.
Mais
je travaillais aussi, pas tout le temps mais de temps en temps.
Les
jours passaient toujours aussi monotones, je recevais les archives à
classer par le réseau pneumatique et un jour il y avait une lettre
personnelle, une convocation pour être précis. J'étais invité à
me rendre dans la journée au bureau des régularisation du service
archivage.
J'espérais
par dessus tout que ce n'était pas pour remettre en cause ma récente
affectation. C'est que je m'y étais habitué à ce poste et je ne
voulais pas le quitter.
À
l'heure précise j'étais sur place. Je savais que la direction
aimait la ponctualité. On ne me faisait pas attendre, et j'étais
reçu par l'infirmier de l'équipement.
– Bonjour
Charly, entrez, installez vous.
– Rien
de grave j'espère.
– Oh
non, juste un petit détail, un oublie.
– Je
vous écoute.
– Voilà
… Il nous est remonté aux oreilles que vous ne seriez pas porteur
du dispositif de chasteté obligatoire dans nos services.
– C'est
la deuxième fois qu'on m'en parle ces dernier temps. En effet je ne
porte pas ce genre de dispositif.
L'idée
commençait à me faire bander, j'avais bien sûr déjà vu ce genre
de dispositif, et cette image ma faisait réagir.
– Mais
on ne m'a jamais parlé de ça. Et vous non plus n'en portez pas je
suppose.
– Justement
c'est ça … ' le petit détail ' … on vous a oublié !
Il
s'était levé et était devant moi à côté de son bureau. Il
tirait alors l'avant de son pantalon vers le bas, il me révélait
ainsi que lui, n'avait pas été oublié. Il me montrait un superbe
dispositif de chasteté.
– Comme
vous voyez, j'en porte un ! Me disait-il.
– Je
vois, mais dites moi, pour pouvoir le mettre il ne faut pas bander je
suppose ?
– Ça
c'est sûr, sinon ça ne rentre pas ! Parce que …
– Bein
oui !
L'infirmier
réfléchissait un moment.
– Si
ça ne passe pas, il ne reste plus qu'une seule solution.
– Ah
parce que vous voulez vraiment que je mette un truc comme ça.
– Oh
vous n'êtes pas obligé. Si vous refusé vous serez viré mais on
vous trouvera un poste équivalent. Il n'y a que dans notre service
que ce dispositif est obligatoire. Vous ne perdrez rien au change !
Je
réfléchissais un long moment, il ne me bousculait pas, il ne
voulait pas donner l'impression de me forcer la main.
Au
bout d'un petit moment.
– Vous
bandez toujours ?
– Plus
que jamais !
– Si
on en profitait pour faire les mesures en érection …
Vous
croyez vraiment ?
– Il
faut faire les mesures en érection et au repos, on ne sait jamais.
Mais sachez qu'en aucun cas vous n'êtes obligé ou engagé.
Je
baissais mon pantalon. J'étais un peu intimidé, il avait remonté
le sien mais j'avais toujours cette image dans les yeux.
– Ça
fait pas mal au moins ?
– Non,non,
la mesure est totalement indolore.
– C'est
pas à la mesure que je pensais.
L'infirmer
procédait, il avait quelques petit outils gradué, dans le genre
pied à coulisse ou règle, il y avait plusieurs tailles.
– Elle
est bien grosse ? Vous ne trouvez pas ?
– Sans
vouloir vous vexer, vous êtes dans la moyenne, sans plus. Peut être
un peu plus large que la moyenne mais c'est tout.
Bon
là je faisais la gueule, je le cachais mais je faisais la gueule.
– Et
maintenant on fait quoi ? Demandais-je .
– Ça
dépend de vous, si vous voulez procéder … Soit je fait une petite
piqûre qui va en quelques secondes faire retomber l'érection, soi
vous avez envie de vous faire plaisir.
– Je
crois que je …
Et
là c'était sans pensé à rien que je commençais à me masturber.
L'infirmier me regardait avec un large sourire.
– Ça
ne vous dérange pas si …
– Au
contraire, c'est un spectacle que j'adore. C'est ce que je préfère
dans mon métier.
Je
ne comprenais pas vraiment ce qui m'arrivait. Me branler devant un
mec, je l'avais souvent fait mais lui se branlait également. Là un
très beau mec, un infirmier en plus, me regardait faire et ça me
gênait. C'est pas pour ça que je débandais.
– Un
problème, me demandait-il.
– Oui,
heu, enfin non, c'est que vous me regardez … et …
– Je
vois !
Sans
rien rajouter d'autre il se penchait sur moi et prenait ma queue dans
sa bouche. La tête me tournais, j'étais aux anges. Je me sentais
terriblement virile, terriblement bien.
Il
y avait cette petite cage à bite posée sur le bureau, je ne l'avais
pas remarquée avant, je la regardait,elle me faisait bander. Je
pense que l'infirmier et le plaisir qu'il me donnait avec sa langue
n'étaient pas les seules choses qui me faisaient bander. Cette
petite cage était entrée dans ma tête, je la devinais déjà
autour de ma bite et je bandais comme jamais, comme si je ne pourrais
jamais débander.
Avec
sa langue il me caressait le gland, il savait y faire. Ensuite sa
langue me caressait le bite pendant qu'elle glissait dans sa bouche.
Il
faisait ça bien le petit bonhomme, j'ai même pensé lui demander de
m'épouser mais aussitôt j'ai pouffé de rire. Il relevait la tête.
– Quelque
chose te fait rire ?
– Heu !
La situation. C'était pas prévu tout ça !
– Après
ça, tu ne vas pas refuser de porter le dispositif au moins.
– Vas
y suce moi.
Je
n'avais pas dit oui mais déjà je ne m'imaginais pas lui dire non.
Il appuyait son visage sur moi, il le relevait et ma queue ressortait
complètement. Une petite langue et il reprenait, il rabaissait son
visage sur moi et ma queue toujours au sommet de sa forme s'écrasait
au fond de sa gorge. C'était doux, c'était dur, c'était bon.
Je
lui caressais les cheveux, j'appuyais sur sa tête et ma queue
entrait dans sa gorge et quand je le relâchais elle ressortait.
– Je
veux t'enculer !
Là
il se redressait, il me regardait. C'est pas très conforme au
règlement. Puis il réfléchissait.
Finalement
au bout de quelques instants, il se relevait, d'un geste il retirait
sa blouse. Il avait un très beau corps, une peau qui semblait
tellement douce, et douceurs musculaire, il était musclé mais il
était doux également. Il baissait sur sa lancée son pantalon, il
n'avait pas de sous vêtements.
J'en
faisais de même, je n'étais pas aussi beau que lui. Enfin j'avais
un certains succès mais je le trouvais mieux que moi, plus beau que
moi.
On
se prenait dans les bras, on s'embrassait avec passion maintenant. Il
se retournait, se penchait en avant, il m'offrait son cul. Il me
tendait un flacon de gel, je m'en recouvrais la bite et sans attendre
prenais position.
– C'est
bon ! Lui demandais-je.
– Vas-y
défonce moi le cul ! Me répondait-il.
Il
le voulait, je le voulais, je poussais bien fort d'un coup et mon
ventre s'écrasait sur ses fesses. Je l'avait enfilé en un
mouvement, rapide mais il l'avait senti passer. Je l'avais senti se
contracter et je le sentais gémir, il était crispé.
– C'est
bon ? lui demandais-je.
– Gnnnn
…
C'est
à peut près tout ce qu'il parvenait à me répondre. Je n'attendais
pas vraiment et je commençais à lui limer le cul. Je ressortais et
revenais avec force. Je le sentais, il se contractait, il se crispait
mais il en redemandait.
J'accélérais
mon mouvement et rapidement je devenais violent, je faisais claquer
mon ventre contre ses fesses, en réponse, il hurlait. Je ne me
laissais pas attendrir, je prenais conscience que c'était la
dernière fois que je faisais ça, qu'il le savait. Je décidais de
me venger en avance sur son cul. Je ne lui ferais pas de cadeaux.
Je
me retirais et je revenais, de plus en plus vite, de plus en plus
fort et même de plus en plus violent. Je me sentais bien, je me
sentais fier, je me sentais virile. Je me disais que c'est ça que je
voulais faire, tous les jours …
l'image
de la virilité enfermé dans une petite cage en titane me stimulait,
me donnait des désirs. Le désir de jouir, le plaisir d'être un
homme, la fierté de pouvoir l'exprimer comme je le faisais là avec
ma queue !
Je
sentais le plaisir monter en moi, je sentais le plaisir exploser dans
mon torse. Je ne m'inquiétais plus du tout de mon petit infirmier,
il n'était plus qu'un objet de plaisir, une sorte de sex-toy.
Je
le voyais se tordre, je ne savais pas si c'était de plaisir ou de
douleur mais comme il ne tentait pas de se dégager, je le retenait
sans effort et j'en profitait.
Il
respirait très fort, il poussait des sortes de râles, de
gémissements qui devenaient de plus en plus forts et de plus en plus
violent. Au bout d'un moment il fallait bien se rendre à l'évidence,
si au début je lui avait fait mal par la suite la douleur s'était
transformée en un plaisir, il n'aurait pas supporté autrement. Le
plaisir devait être intense, et pour moi aussi le plaisir montait.
J'ai
atteint la limite de contrôle. Passé cette limite de non retour le
plaisir se manifestait au niveau de ma bite. J'éjaculais,
j'éjaculais généreusement j'ai du gicler au moins quinze ou trente
fois … Peut être moins en fait.
Mais
la vue de ce dispositif sur le bureau terminait de participer à ce
plaisir qui devait me marquer et rester bien gravé dans mon esprit.
Je
me retirais, il me montrait une salle de bain. Je me lavais, il me
rejoignait rapidement. Il se lavait le cul pendant que j'essuyais ma
queue.
– Tu
es sûr de vouloir garder ton poste aux archives ? Me
demandait-il. Sinon je te garde pour moi.
Mais
il faut bien comprendre que j'aime me faire défoncer le cul !
Nous
revenions dans la salle d'examen, il se rhabillait, c'était rapide,
il n'avait pas grand chose sur le dos. Je bandais toujours.
– Ça
ne nous a pas fait avancer cette histoire ! Me disait-il. Je
vais faire une petite piqûre.
– Ça
ne fait pas mal ?
– Non !
Tu ne sentiras presque rien !
En
effet je n'ai presque rien senti, l'aiguille était tellement petite
qu'on ne la voyait même pas, elle faisait moins d'un millimètre de
long.
Par
contre elle était efficace, en quelques secondes je voyais ma queue
se ratatiner. Il procédait aux mesures. Il entrait les mesures dans
son ordinateur et quelques instant plus tard il avait la taille du
dispositif que je mettrais.
Il
me le présentait. L'objet me semblait minuscule. Mais tellement
minuscule qu'une certaine angoisse se manifestait. Je ne pourrais
jamais tenir la dedans. Pourtant quand je le posais à côté de ma
bite, ça semblait jouable. Ça semblait réaliste. Il fallait que le
dispositif rentre dans la tête avant que la queue ne rentre dans la
cage.
Plus
rien ne s'y opposait, il ne m'a fallu que quelques secondes pour
glisser mes couilles puis ma bite dans l'anneau puis enfin ma queue,
elle glissait ensuite dans la cage, elle touchait bien un peu les
bords mais c'était pas gênant.
Je
me sentais surexcité pourtant je ne bandais pas. C'était étrange,
étrange et fascinant. J'étais comme un témoin extérieur qui
regardait une opérations qui ne le concernait pas. J'avais
l'impression de bander mais pourtant rien !
Il
me donnait le cadenas. C'était à moi de le refermer, la première
fois qu'on met un tel dispositif, ce doit toujours être ainsi.
Je
me retrouvais enfermé dans une cage à bite. Vous pouvez me croire
ce n'est pas à mon boulot que je pensais.
Je
me rhabillais, je discutais un moment avec l'infirmier, il me donnais
des conseils. Avant de me laisser repartir.
– Si
tu décides de le garder on se revoit dans un an, sauf en cas de
besoin.
J'avais
trois mois pour valider, ensuite la clé serait envoyée au centre de
contrôle des clés. C'est le second service ou tout le monde porte
un tel dispositif.
A
suive
N'hésitez
surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur
Twitter … @CharlyChast