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                  Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.  

                                     

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Pan dans l'cul
   

    Etrange boulot qu'on me proposait là. Les archives, c'est au sous sol, dans un abris antiatomique. Un endroit tranquille, mais on y voit plein de monde qui passent ...

Prévu pour le 031 03 2024



BRICOLAGE
  

Do it "yourcherlfe" , comme ils disent les américains ...












IL ETAIT UNE
FOIS
Pour une fois c'est pas une fiction, c'est du vécu raconté
avec passion, émotion, rythme ... 
Et en plus il y a des images ... 



Les pages sont reliées ( à la main )
par groupe de 5


Toute la famille Brosso
Djé  -  Antoine  -  Philippe  -  David

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Bonne lecture et surtout n'hésitez pas à me retrouver sur

TWEETER

@CharlyChast






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Les archives Ep03 Retour au bureau

 

Les archives Ep03

Retour au bureau



Mon absence avait duré quelques heures mais ce n'était pas suffisant pour pour me mettre en retard, enfin un peu bien sûr pour la journée mais rien qui ne puisse se rattraper en une journée.


Distraitement je me massait les couilles. L'anneau tirait sur la peau, et même si ce n'était pas vraiment désagréable, c'était tout de même un peu bizarre. Je n'avais pas encore eu d'érection depuis que j'avais quitté le bureau de contrôle, le bureau de l'infirmier.


Je le revoyais dans sa tenue très professionnelle, je le revoyais sans sa tenue avec son dispositif, il était beau, il était sexy et c'est à ce moment que j'ai ressenti ma cage se refermer autour de ma queue. Rapidement j'avais l'impression que ma queue se faisait étrangler par la cage.


J'avais un grand miroir sur un mur, je me mettait en face et je baissais mon pantalon. Ce n'était pas une impression, ma queue était étranglée dans sa cage. Toutefois ce n'était pas douloureux et, c'était étrange, la pression restait douce et même si le dispositif n'était pas totalement confortable, il n'était pas non plus inconfortable.


C'était un entre deux. Plaisant et déplaisant à la fois. Rassurant et inquiétant. Attirant et repoussant. Doux et dure. Mais c'était surtout à chaque fois que j'y pensait totalement frustrant. Frustrant avec délectation.


Je me regardais du haut en bas, j'avais retiré tous mes vêtements et je me caressais le corps. Je me tripotais les couilles qui pendaient lourdement sous la cage, je découvrais ma cage.


Il y avait de nombreux trous d'aération, il fallait pouvoir assurer une hygiène parfaite sans jamais le retirer. J'avais plusieurs mois pour décider si je le gardais ou pas. C'est là que j'ai décidé de le garder. La pression qui enveloppait ma queue, cette douce pression m'avait décidé.


La cage se relevait et se balançait devant moi en suivant les battements de mon cœur. Des bourrelets de peau se formaient à chaque trou d'aération et la peau était douce à ces endroits là.


Je faisais une tentative de masturbation, mais là c'était une grande déception. La cage terriblement bien ajustée ne bougeait, ne glissait pas d'un millimètre sur ma queue, la peau elle-même ne pouvait pas glisser et interdisait toute plaisir. Au contraire même, ça devenait très désagréable. Surpris, je n'insistais pas.


C'est à ce moment précis que je décidais de ne pas garder le dispositif, j'en ferais une expérience, mais une expérience qui ne durerait pas.


Mon cœur battait fort, mon excitation sexuelle était à son sommet. Je me tripotais les couilles, c'est à peu près tout ce qui me restait. Mais ce n'était pas pareil.


Je restais à poil, enfin j'étais presque à poil. Eh oui presque, je prenais conscience que désormais ce serait presque, ce petit truc de quelques centimètres de surface ferait que jamais je ne serais de nouveau totalement à poil, ce serait toujours presque.


Je vaquais à mes occupations, je m'installais à mon bureau et me mettait à trier, classer, scanner … Je faisais mon boulot. Je travaillais à poil et c'était terriblement stimulant. Je rattrapais finalement mon retard dans la journée.


L'heure de rentrer sonnait. J'étais à poil vautré sur mon fauteuil, mon travail terminé, tout mon retard rattrapé. Je décidais de m'habiller, je ne mettais pas de sous vêtement. C'est en sortant que je revoyais l'infirmier, je me souvenais que lui non plus n'en avait pas et je voulais faire l'expérience de cette sensation. Il n'y aurait aucune réaction incontrôlable de ma par.


Finalement je me sentais bien.


Je rentrais chez moi, je ne pensais qu'à une chose, je ne sentais qu'une chose, ma cage à bite ! Je me dirigeais vers la sortie, l'infirmier me voyait, il me faisait signe avec un large sourire.


On se rejoignait, on se serrait la main.


Alors ça se passe bien ?

Oui mais c'est bizarre.

Pas de douleur ?

Non pour ça non, ça va !

Pas de gêne ?

Bein un peu quand même !

Si c'est juste un peu, c'est très bien. Il faut parfois un certain temps pour le corps accepte ce truc. Moi je l'ai senti pendant trois mois, il me gênait, il ne me faisait pas mal mais je le sentais.


J'étais sous le charme, il avait vraiment un très beau visage. Il avait changé de vêtements et portait maintenant des vêtements de ville. On ne voyait rien, on ne pouvait même pas deviner qu'il portait une cage à bite.


Je t'offre un verre ? Me proposait-il.


Bien sûr j'acceptais, il était tellement craquant. Je l'imaginais entièrement nu comme il était dans mes bras quelques heures plus tôt. Je me souvenais de la douceur de sa peau, de ses baisers et de son petit cul, étroit, chaud et doux.


Je bandais, j'en profitais pour me regarder dans une vitrine et constatait rassuré qu'on ne pouvait rien deviner de la présence de ce nouveau sous-vêtement. Mais là moi, je le sentais vraiment.


Je sentais ma queue de nouveau se faire étrangler dans sa cage. Ce n'était pas douloureux, toujours pas, mais par moment ça devenait effrayant. Je ne savais pas comment le dispositif réagissait, ou plutôt, comment mon corps allait réagir avec ce dispositif.


On s'installait dans le coin d'un bar, on pouvait discuter tranquillement.


Tu penses le garder ?

Bien sûr, j'adore ce boulot. Je suis tranquille dans mon sous sol et personne ne vient m'embêter.

Tu sais j'ai bien aimé quand tu m'as enculé.


Je me sentais un peu embarrassé, et je pense que j'ai légèrement rougi. Il l'a vu.


Ça ne va pas te manquer ?

Je sais pas. Mais je vais le garder, ça c'est sûr.

Au fait pendant que j'y pense, j'ai oublié un petit détail. Un bon d'achat pour … il me disait la suite dans le creux de l'oreille … un godemichet !


Là je sursautais et le regardais avec interrogation. Il pouffait de rire et continuait.


Mais c'est pas une blague, je sais ils sont bizarres à la direction. Ils te font mettre ta queue en cage et t'offrent une queue en plastique.

Pour les hommes mariés … Marmonnais-je.

Je ne sais pas, peut être. Il n'est pas tard, si ça te tente on peut passer au magasin, il y a un supermarché du sexe à deux pâtés de maisons.


C'était une idée ça. Et je disais oui. On terminait tranquillement notre verre, il me donnait des conseils. Et surtout me disait de ne pas m'inquiéter tout se passait toujours tout seul.


Dis moi, tu vois passer tous les nouveaux qui mettent ce dispositif, il y en a beaucoup que reviennent pour le retirer ?

En fait depuis cinq ans que je suis à ce poste, je n'en ai pas vu un seul.

Pas un seul ?

Non, il y a bien le grand blond à l'accueil de ton service. Marié trois enfants bientôt quatre, il le retire tous les deux ans pour les vacances d'été. Il en profite pour faire un gosse à sa femme … Il m'amuse beaucoup celui-là.


On s'est ensuite rendu au magasin. C'était incroyable je travaillais dans le quartier et je n'aurais jamais soupçonné son existence. La façade était minuscule, tout juste la largeur d'une épicerie, mais une fois passé la porte …


Il me conduisait au premier étage et là … Je vous jure qu'il y avait le choix.


Comme tu peux voir, il y a toutes les tailles. Tiens celle-ci est à peu près de ta taille.

Je préférerais un peut plus gros … si possible.

C'est comme tu veux.


En rigolant il en prenait un énorme.


Comme ça ?

Mais non, là tu t'es trompé, ça c'est un tabouret !


On rigolait pendant un moment et finalement, j'en choisissais un gros, raisonnablement gros mais gros.


C'est pour enfiler ton compagnon, ou ta compagne ?

Je n'ai ni l'un ni l'autre.

Tu peux aussi t'en servir pour toi. Je veux dire sur toi.

C'est une idée ça. Tu sais je suis surtout passif.

C'est pour ça que tu veux garder ta cage ?

Pas si fort on pourrait nous entendre.

Ici, ça n'a pas d'importance! Me répondait-il en rigolant.


Ensuite il me proposait de venir l'essayer chez lui, il m'expliquait qu'il habitait dans le quartier.


Nous y étions en moins de dix minutes.


Aussitôt arrivé, il retirait son blouson, sa chemise, ses chaussures, ses chaussettes, enfin tout quoi, son pantalon aussi. Il n'avait pas de sous vêtements, je m'en doutais mais là je le voyais. Je retirais rapidement mes vêtements.


Il s'approchait de moi, je devinais qu'il devait y avoir de la pression dans sa cage, en tout cas dans la mienne c'était la pression mais vous savez tous que la pression c'est soit les pneus soit la bière, sinon c'est pas toujours bien. Là c'était pas bien du tout.


Certes il y avait un certain confort, on le dit. Certes ce n'est pas douloureux mais c'est pas bien quand même. Là je décidais de ne pas garder mon dispositif plus que nécessaire.


Comme ça je pourrais toujours revenir le voir et l'enculer joyeusement. Pan dans l'cul ! Comme j'aime bien le dire …


Pour le moment on se faisait un câlin, un gros câlin. Il m'embrassait avec une certaine passion, avec douceur, on se prenait dans les bras avec force mais sans aucune violence. Je caressais son corps il caressait le mien et on prenait tout notre avant d'arriver au sexe de l'autre, je finissais par lui tripoter les couilles, il me rendait la politesse. Puis il me présentait un gode.


Il avait des bretelles pour le fixer.


Tu le mets ou je le mets ?

Toi, c'est ton tour.

Mais tu as des bretelles pour le fixer toi. Lui faisais-je remarquer pendant qu'il se le fixait.

Toi aussi, tu verras dans le tien il y a aussi les lanières. Ce ne sont pas des bretelles. Avec tu peux le fixer devant pour enculer quelqu'un ou dans ton dos pour bien le maintenir dans ton cul.


Je le regardais avec un sourire et un gros pincement au cœur. Il avait fière allure, il avait brusquement une belle grosse queue devant lui. Il me faisait envie.


Alors tu en penses quoi ? Maintenant tu me donnes ton cul ? Me disait-il.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Les archives Ep02 Un infirmier très mignon

 

Les archives Ep02

Un infirmier très mignon



J'aurais bien parlé de ce truc à mon camarade de travail mais voilà, je n'avais pas de camarade de travail. J'oubliais donc cette histoire et continuais à glander et à me branler.


Mais je travaillais aussi, pas tout le temps mais de temps en temps.


Les jours passaient toujours aussi monotones, je recevais les archives à classer par le réseau pneumatique et un jour il y avait une lettre personnelle, une convocation pour être précis. J'étais invité à me rendre dans la journée au bureau des régularisation du service archivage.


J'espérais par dessus tout que ce n'était pas pour remettre en cause ma récente affectation. C'est que je m'y étais habitué à ce poste et je ne voulais pas le quitter.


À l'heure précise j'étais sur place. Je savais que la direction aimait la ponctualité. On ne me faisait pas attendre, et j'étais reçu par l'infirmier de l'équipement.


Bonjour Charly, entrez, installez vous.

Rien de grave j'espère.

Oh non, juste un petit détail, un oublie.

Je vous écoute.

Voilà … Il nous est remonté aux oreilles que vous ne seriez pas porteur du dispositif de chasteté obligatoire dans nos services.

C'est la deuxième fois qu'on m'en parle ces dernier temps. En effet je ne porte pas ce genre de dispositif.


L'idée commençait à me faire bander, j'avais bien sûr déjà vu ce genre de dispositif, et cette image ma faisait réagir.


Mais on ne m'a jamais parlé de ça. Et vous non plus n'en portez pas je suppose.

Justement c'est ça … ' le petit détail ' … on vous a oublié !


Il s'était levé et était devant moi à côté de son bureau. Il tirait alors l'avant de son pantalon vers le bas, il me révélait ainsi que lui, n'avait pas été oublié. Il me montrait un superbe dispositif de chasteté.


Comme vous voyez, j'en porte un ! Me disait-il.

Je vois, mais dites moi, pour pouvoir le mettre il ne faut pas bander je suppose ?

Ça c'est sûr, sinon ça ne rentre pas ! Parce que …

Bein oui !


L'infirmier réfléchissait un moment.


Si ça ne passe pas, il ne reste plus qu'une seule solution.

Ah parce que vous voulez vraiment que je mette un truc comme ça.

Oh vous n'êtes pas obligé. Si vous refusé vous serez viré mais on vous trouvera un poste équivalent. Il n'y a que dans notre service que ce dispositif est obligatoire. Vous ne perdrez rien au change !


Je réfléchissais un long moment, il ne me bousculait pas, il ne voulait pas donner l'impression de me forcer la main.


Au bout d'un petit moment.


Vous bandez toujours ?

Plus que jamais !

Si on en profitait pour faire les mesures en érection …

Vous croyez vraiment ?

Il faut faire les mesures en érection et au repos, on ne sait jamais. Mais sachez qu'en aucun cas vous n'êtes obligé ou engagé.


Je baissais mon pantalon. J'étais un peu intimidé, il avait remonté le sien mais j'avais toujours cette image dans les yeux.


Ça fait pas mal au moins ?

Non,non, la mesure est totalement indolore.

C'est pas à la mesure que je pensais.


L'infirmer procédait, il avait quelques petit outils gradué, dans le genre pied à coulisse ou règle, il y avait plusieurs tailles.


Elle est bien grosse ? Vous ne trouvez pas ?

Sans vouloir vous vexer, vous êtes dans la moyenne, sans plus. Peut être un peu plus large que la moyenne mais c'est tout.


Bon là je faisais la gueule, je le cachais mais je faisais la gueule.


Et maintenant on fait quoi ? Demandais-je .

Ça dépend de vous, si vous voulez procéder … Soit je fait une petite piqûre qui va en quelques secondes faire retomber l'érection, soi vous avez envie de vous faire plaisir.

Je crois que je …


Et là c'était sans pensé à rien que je commençais à me masturber. L'infirmier me regardait avec un large sourire.


Ça ne vous dérange pas si …

Au contraire, c'est un spectacle que j'adore. C'est ce que je préfère dans mon métier.


Je ne comprenais pas vraiment ce qui m'arrivait. Me branler devant un mec, je l'avais souvent fait mais lui se branlait également. Là un très beau mec, un infirmier en plus, me regardait faire et ça me gênait. C'est pas pour ça que je débandais.


Un problème, me demandait-il.

Oui, heu, enfin non, c'est que vous me regardez … et …

Je vois !


Sans rien rajouter d'autre il se penchait sur moi et prenait ma queue dans sa bouche. La tête me tournais, j'étais aux anges. Je me sentais terriblement virile, terriblement bien.


Il y avait cette petite cage à bite posée sur le bureau, je ne l'avais pas remarquée avant, je la regardait,elle me faisait bander. Je pense que l'infirmier et le plaisir qu'il me donnait avec sa langue n'étaient pas les seules choses qui me faisaient bander. Cette petite cage était entrée dans ma tête, je la devinais déjà autour de ma bite et je bandais comme jamais, comme si je ne pourrais jamais débander.


Avec sa langue il me caressait le gland, il savait y faire. Ensuite sa langue me caressait le bite pendant qu'elle glissait dans sa bouche.


Il faisait ça bien le petit bonhomme, j'ai même pensé lui demander de m'épouser mais aussitôt j'ai pouffé de rire. Il relevait la tête.


Quelque chose te fait rire ?

Heu ! La situation. C'était pas prévu tout ça !

Après ça, tu ne vas pas refuser de porter le dispositif au moins.

Vas y suce moi.


Je n'avais pas dit oui mais déjà je ne m'imaginais pas lui dire non. Il appuyait son visage sur moi, il le relevait et ma queue ressortait complètement. Une petite langue et il reprenait, il rabaissait son visage sur moi et ma queue toujours au sommet de sa forme s'écrasait au fond de sa gorge. C'était doux, c'était dur, c'était bon.


Je lui caressais les cheveux, j'appuyais sur sa tête et ma queue entrait dans sa gorge et quand je le relâchais elle ressortait.


Je veux t'enculer !


Là il se redressait, il me regardait. C'est pas très conforme au règlement. Puis il réfléchissait.


Finalement au bout de quelques instants, il se relevait, d'un geste il retirait sa blouse. Il avait un très beau corps, une peau qui semblait tellement douce, et douceurs musculaire, il était musclé mais il était doux également. Il baissait sur sa lancée son pantalon, il n'avait pas de sous vêtements.


J'en faisais de même, je n'étais pas aussi beau que lui. Enfin j'avais un certains succès mais je le trouvais mieux que moi, plus beau que moi.


On se prenait dans les bras, on s'embrassait avec passion maintenant. Il se retournait, se penchait en avant, il m'offrait son cul. Il me tendait un flacon de gel, je m'en recouvrais la bite et sans attendre prenais position.


C'est bon ! Lui demandais-je.

Vas-y défonce moi le cul ! Me répondait-il.


Il le voulait, je le voulais, je poussais bien fort d'un coup et mon ventre s'écrasait sur ses fesses. Je l'avait enfilé en un mouvement, rapide mais il l'avait senti passer. Je l'avais senti se contracter et je le sentais gémir, il était crispé.


C'est bon ? lui demandais-je.

Gnnnn …


C'est à peut près tout ce qu'il parvenait à me répondre. Je n'attendais pas vraiment et je commençais à lui limer le cul. Je ressortais et revenais avec force. Je le sentais, il se contractait, il se crispait mais il en redemandait.


J'accélérais mon mouvement et rapidement je devenais violent, je faisais claquer mon ventre contre ses fesses, en réponse, il hurlait. Je ne me laissais pas attendrir, je prenais conscience que c'était la dernière fois que je faisais ça, qu'il le savait. Je décidais de me venger en avance sur son cul. Je ne lui ferais pas de cadeaux.


Je me retirais et je revenais, de plus en plus vite, de plus en plus fort et même de plus en plus violent. Je me sentais bien, je me sentais fier, je me sentais virile. Je me disais que c'est ça que je voulais faire, tous les jours …


l'image de la virilité enfermé dans une petite cage en titane me stimulait, me donnait des désirs. Le désir de jouir, le plaisir d'être un homme, la fierté de pouvoir l'exprimer comme je le faisais là avec ma queue !


Je sentais le plaisir monter en moi, je sentais le plaisir exploser dans mon torse. Je ne m'inquiétais plus du tout de mon petit infirmier, il n'était plus qu'un objet de plaisir, une sorte de sex-toy.


Je le voyais se tordre, je ne savais pas si c'était de plaisir ou de douleur mais comme il ne tentait pas de se dégager, je le retenait sans effort et j'en profitait.


Il respirait très fort, il poussait des sortes de râles, de gémissements qui devenaient de plus en plus forts et de plus en plus violent. Au bout d'un moment il fallait bien se rendre à l'évidence, si au début je lui avait fait mal par la suite la douleur s'était transformée en un plaisir, il n'aurait pas supporté autrement. Le plaisir devait être intense, et pour moi aussi le plaisir montait.


J'ai atteint la limite de contrôle. Passé cette limite de non retour le plaisir se manifestait au niveau de ma bite. J'éjaculais, j'éjaculais généreusement j'ai du gicler au moins quinze ou trente fois … Peut être moins en fait.


Mais la vue de ce dispositif sur le bureau terminait de participer à ce plaisir qui devait me marquer et rester bien gravé dans mon esprit.


Je me retirais, il me montrait une salle de bain. Je me lavais, il me rejoignait rapidement. Il se lavait le cul pendant que j'essuyais ma queue.


Tu es sûr de vouloir garder ton poste aux archives ? Me demandait-il. Sinon je te garde pour moi.


Mais il faut bien comprendre que j'aime me faire défoncer le cul !


Nous revenions dans la salle d'examen, il se rhabillait, c'était rapide, il n'avait pas grand chose sur le dos. Je bandais toujours.


Ça ne nous a pas fait avancer cette histoire ! Me disait-il. Je vais faire une petite piqûre.

Ça ne fait pas mal ?

Non ! Tu ne sentiras presque rien !


En effet je n'ai presque rien senti, l'aiguille était tellement petite qu'on ne la voyait même pas, elle faisait moins d'un millimètre de long.


Par contre elle était efficace, en quelques secondes je voyais ma queue se ratatiner. Il procédait aux mesures. Il entrait les mesures dans son ordinateur et quelques instant plus tard il avait la taille du dispositif que je mettrais.


Il me le présentait. L'objet me semblait minuscule. Mais tellement minuscule qu'une certaine angoisse se manifestait. Je ne pourrais jamais tenir la dedans. Pourtant quand je le posais à côté de ma bite, ça semblait jouable. Ça semblait réaliste. Il fallait que le dispositif rentre dans la tête avant que la queue ne rentre dans la cage.


Plus rien ne s'y opposait, il ne m'a fallu que quelques secondes pour glisser mes couilles puis ma bite dans l'anneau puis enfin ma queue, elle glissait ensuite dans la cage, elle touchait bien un peu les bords mais c'était pas gênant.


Je me sentais surexcité pourtant je ne bandais pas. C'était étrange, étrange et fascinant. J'étais comme un témoin extérieur qui regardait une opérations qui ne le concernait pas. J'avais l'impression de bander mais pourtant rien !


Il me donnait le cadenas. C'était à moi de le refermer, la première fois qu'on met un tel dispositif, ce doit toujours être ainsi.


Je me retrouvais enfermé dans une cage à bite. Vous pouvez me croire ce n'est pas à mon boulot que je pensais.


Je me rhabillais, je discutais un moment avec l'infirmier, il me donnais des conseils. Avant de me laisser repartir.


Si tu décides de le garder on se revoit dans un an, sauf en cas de besoin.


J'avais trois mois pour valider, ensuite la clé serait envoyée au centre de contrôle des clés. C'est le second service ou tout le monde porte un tel dispositif.



A suive



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Les archives Ep01 Mes débuts dans l'entreprise

 

Les archives Ep01

Mes débuts dans l'entreprise



C'est au sous sol que ça se passe, deuxième sous sol pour être exact. On passe les néons qui clignotent, à chaque fois que je vois ça j'ai l'impression que tout va s'éteindre et que je vais me retrouver dans le noir.


Vous savez à la façon d'un film noir, on s'introduit dans un couloir sombre, la lumière s'éteint et … heureusement les locaux qui suivent sont très lumineux.


Bref le bureau est plutôt confortable et tout à fait vivable. La zone de stockage elle, c'est moins agréable, ça ressemble à un immense placard plein de couloir de tiroir et d'étagère mais on n'y va le moins souvent possible.


Je m'y installais, une plante verte en plastique sur mon bureau, il n'y avait pas de fenêtre, une vrai n'aurait pas survécu, un petit truc qui bouge, un mobile et je me sentais chez moi.


Je recevais les dossiers, il ne me restait plus qu'à les classer. J'étais seul pour faire ce travail mais bien organisé, j'avais au moins trois fois le temps nécessaire pour ça.


Le reste du temps, je faisais ce que je voulais … Je glandais !


Au bout de quelques mois, je m'étais organisé, un jeux de fléchettes contre le mur de mon bureau, un poste de radio. La radio ne passait pas au sous sol, il était blindé, en cas de guerre nucléaire les archives devaient être protégées. Mais en attendant, la radio ne passait pas. Heureusement il y avait les CD.


Donc je travaillais, très décontracté, je glandais, je me tournais les pouces. Et quelquefois je recevais de la visite. C'était pas souvent, à ce moment l'ascenseur m'avertissait et je remontais rapidement mon pantalon …


Oui je sais, je ne glande pas toujours, quelquefois je me branle. J'avais entendu dire un de mes collègue un jour. '' Oh tu sais là bas, aux archives, ça ne rigole pas, là bas tu ne risques pas de te branler !''. Je peux vous garantir que si !


C'est lors du passage d'un agent qui était absent depuis plus de six mois que j'avais un premier doute. Je venais de me branler, c'était au moins la deuxième fois depuis le début de la journée. Je remontais mon pantalon, le réajustais et mine de rien j'allais accueillir mon visiteur à la sortie de l'ascenseur.


Salut ! Il est pas là Sébastien ?

Qui ça ?


Ma réponse semblait le surprendre, il s'attendait à autre chose, il s'attendait à quelque chose en fait. Ou alors il attendait quelque chose.


Tu sais, je connais bien l'endroit moi aussi.

Tu as travaillé ici également.

Non mais je venais souvent à l'époque … de … Sébastien.

Comme je te dis, je ne connais pas. Je ne sais pas qui était là avant moi !


Il hochait la tête de haut en bas et semblait chercher quelque chose.


Il me regardait, il allait dire quelque chose puis se ravisait. Je sentais bien qu'il voulait quelque chose mais n'osait pas aborder le sujet.


Je reprenais mon activité, en fait je n'avais rien à faire mais je faisais semblant. Je m'occupais enfin je faisais comme si j'avais quelque chose à faire. J'avais trié, classé, scanné et rangé tous les documents qu'on m'avait envoyé.


Si tu cherches quelque chose, explique, je peux sans doute t'aider.


Il me regardait alors, il était là bien planté sur ses jambes en face de moi …


Tu baises ? Me demandait-il.


C'était directe, vous en conviendrez. Sa question faisait le tour de ma tête, y rebondissait dans tous les sens. Je le regardait du sommet de son crane à ses genoux, je ne voyais pas ses pieds, je m'attardais distraitement sur son entre cuisse, ça semblait prometteur.


C'est une proposition ?

Gouirc ! Me répondait-il un peu embarrassé.

Pourquoi pas.

On peut baiser ? Là ?

Montre moi ce que tu as à proposer.


Il me répondait avec un large sourire.


Tu ne bloques pas l'entrée ?

Bloquer la porte ? Mais on ne peut pas.

Si tu enclenche l'alarme, on serait prévenu au cas ou quelqu'un arrive.


J'apprenais des choses sur mon prédécesseur. Les archives étaient donc un lupanar ou un truc comme ça. C'était du propre ! J'enclenchais l'alarme.


Mon visiteur ouvrait alors sa chemise, il avait un torse musclé, pas difforme, juste musclé, bien proportionné. Bel homme ! Il ouvrait ensuite son pantalon, le faisait tomber sur ses cheville et là je dois dire que j'étais séduit.


Il avait une magnifique bite, bien droite, bien proportionnée, un gland brillant et circoncis. Et ça pendait lourdement, bien à la verticale, bien droit entre ses cuisses. J'étais impressionné.


Et en plus le mec ne perdait pas de temps, il s'approchait de moi et me disait juste …

Suce !


En voyant sa queue, je ne demandais que ça, je ne l'ai pas fait répéter. Je me penchais sur lui et prenais sa queue, cette très belle queue dans la bouche. Elle commençait à se redresser et continuait à prendre du volume dans ma bouche. Je sentais la douceur de son gland, il était large et épais. La queue qui suivait était bien épaisse également, c'était un régal !


Il me caressait les cheveux, il appuyait doucement sur ma nuque pour me tirer vers lui, il m'obligeait ainsi à bien avaler sa queue, à l'avaler bien à fond. Je ne résistais pas, et c'est vrai que là je découvrait un nouveau poste, depuis ce poste, on pouvait baiser en toute tranquillité.


Je peux vous garantir qu'il n'existe dans cette entreprise aucun autre bureau qui permet une telle chose. Si quelqu'un voulait nous déranger, il rappellerait l'ascenseur et une alarme m'avertirait, l'ascenseur était lent nous aurions tout le temps de nous rhabiller.


Il y avait aussi une salle d'eau, c'était dans le cas ou le locataire se retrouverait enfermé. Il ne faut pas oublier que nous étions dans un abris anti-atomique.


Je me laissait distraire mais mon hôte savait me rappeler à notre occupation. Il appuyait plus fort sur ma tête et toute mon attention revenait à sa queue qui glissait alors dans le fond de ma gorge. Je synchronisais ma respiration pour pouvoir bien gober cette magnifique queue. Je ne voulais rien perdre, oui je sais, c'est de la gourmandise mais ça ne fait pas grossir …


quand il retirait sa main, je continuais le mouvement moi même, j'avançais la tête, sa queue s'introduisait, glissait avec fluidité et je la caressais avec la langue.


À chaque mouvement je lui arrachais quelques gémissements de plaisir. Il me caressait les cheveux.


  • je vais t'enculer, relève toi, retourne toi et penche toi sur le bureau.


Ses intentions ne présentaient aucune équivoque. Je m'exécutais, j'ouvrais mon pantalon, il ne me laissait pas le temps de le baisser, avec énergie il me retournait, je me penchais sur mon bureau, il me baissait mon pantalon, il baissait aussi le sien.


Il bandait bien ferme à ce moment. Il s'enduisait la queue de gel puis sans attendre, il me l'enfonçait dans le cul avec force. J'ai hurlé, il me pénétrait avec une certaine violence, je hurlais de nouveau. Son ventre s'écrasait sur me fesses et claquait pendant que je criais de nouveau.


Nous étions dans abris anti atomique, à je ne sais combien de mètres sous terre, nul ne pouvait entendre mes cris. Il y avait bien un bouton d'appel d'urgence, mais pourquoi l'aurais-je enclenché. J'étais consentant. Je ne dis pas qu'il y allait un peu fort mais bon c'est souvent pas plus mal. Il me faisait mal mais ce sont là des choses qui arrivent.


Il se retirait complètement puis revenait à la charge, il recommençait encore et encore, par moment il se calmait. Par moment il appuyait son ventre contre mes fesses et je sentais sa queue bien logée au chaud dans mes entrailles.


C'était bon, terriblement bon.


Ensuite il se retirait, lentement et revenait lentement également puis il changeait de rythme. Il se retirait lentement puis revenait à la charge, bien à fond dans un mouvement rapide, vraiment rapide. Il s'amusait à faire claquer son ventre sur mes fesses.


Tout naturellement la douleur que j'avais ressenti au début avait disparu. Douloureux au début, ce rapport n'était plus que plaisir intense, ce n'était plus que du plaisir et j'en voulais encore, j'en voulais plus.


Il n'était pas pressé, et prenait bien son temps, il recommençait. De nouveau c'était la tendresse puis de nouveau c'était violent. Le plaisir montait, il faisait une pause et reprenait, le plaisir montait encore plus. À chaque fois qu'il reprenait après une pause je me sentais envahi d'une vague de plaisir qui rayonnait en moi depuis mon cul, ma prostate et le centre de mon ventre que tout le reste de mon corps.


Mes bras tremblaient, mes jambes aussi et si j'avais glissé du bureau je serait sans doute tombé. Mais même s'il me remuait, il me retenait également. Il me retenait avec force.


Je me laissais faire, je gémissais de plaisir, je tremblais de plaisir. Il faisait une nouvelle pause et déjà je respirais fort, je gémissait très fort. Il reprenait avec force et là j'ai joui, j'ai éjaculé. Je jouissais comme jamais ( Bon ça je le dis à chaque fois, ça ne compte pas ).


Il continuait, je suppliais, je le suppliais de me lâcher puis de ne pas me lâcher. Je le suppliais d'arrêter puis je l'implorait de continuer, plus fort. Il a fini par jouir dans un cri de plaisir. Je ne bougeais plus, il me lâchais et je tombais par terre.


Il se calmait.


Super on va pouvoir recommencer nos petites discussions, comme à l'époque de Sébastien.


Il passait rapidement dans la salle d'eau, je récupérais, il faut dire qu'il avait une grosse bite, bien grosse et endurante. Je me préparais à me rendre à mon tour dans la salle d'eau.


Mais qu'est-ce que ? S'exclamait-il.

Quoi ! Répondais-je.

Mais ta queue ?

Tu t'imaginais que je n'en avais pas ?

Non mais elle est libre !

Bein oui ! La tienne aussi ! Non.

Je croyais que tous les employé de ce service portait une cage à bite et que c'est pour ça qu'on peut les enculer aussi facilement.

Moi j'ai pas besoin de ça pour qu'on m'encule aussi facilement. Tu sais, quand on aime !

Mais c'est dégoûtant !


Il faisait alors une étrange grimace qui exprimait son dégoût.


Mais qu'est ce que tu me racontes, on ne m'a jamais parlé de ça …

Enfin, c'est une coutume ! Une tradition quoi ! Les employés masculins qui travaille dans cet immeuble doivent porter un dispositif de chasteté. C'est comme ça.


Je restais dubitatif à l'entendre.


Je n'en ai jamais entendu parler. Et toi alors ?

Moi je ne travaille pas dans ce service. Pour moi, c'est pas une obligation.


Je n'avais pas tout compris, on ne m'avais rien dit. J'ai d'abord pensé à une blague... Puis je n'y ai plus pensé …



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


PIZZA

 

PIZZA



Je n'avais pas l'impression d'avoir été long. Ces clients là était un peu pénibles dès mon arrivée. J'avais la boite de pizza dans la main, je sonnais, on m'ouvrait.


Ah te voilà toi. Tu sais quelle heure il est, tu sais depuis combien de temps on attend nous. Tout le monde est là. Bon ne reste pas là, entre.


Sans me laisser le temps de réagir, on me tirait par le bras. Un deuxième homme arrivait.


Ah il était temps, mieux vaut tard que jamais.

Mais, je, je … Parvenais-je à bafouiller.

C'est bon, garde tes excuses pour la prochaine fois. Je te préviens, ce sera la dernière. Rajoutait le deuxième homme qui était arrivé. Un autre encore arrivait.

Ah tout de même ! J'espère que tu es en forme au moins. Tu ne vas pas encore nous faire perdre du temps. Sinon je crise. Continuait le troisième homme sur un ton légèrement efféminé.


Ils me tombaient dessus à deux pour me retirer mon blouson. Et je vous jure que sous l'effet de la surprise je ne réagissais même pas. Je me retrouvais en chemise, remarquez, j'étais présentable mais …


Le troisième homme revenait vers moi et me prenait la main. De l'autre je récupérais la pizza et je le suivais. Il m’amenait devant une porte.


Viens par là mon chéri, tu connais la suite, tu rentres et tu improvises, tu sais comment ça se passe avec moi, on a du te prévenir et toi tu es un pro ! C'est comme avec Vivian, tu connais Vivian, il m'a dit beaucoup de bien sur toi, j'espère que tu ne vas pas me décevoir mon trésor. Surtout si tu espères encore travailler pour lui. Il m'a dit que …


J'ai un ami qui s'appelle Vivian aussi c'est sans comprendre ce qu'on me disait que j’acquiesçais de la tête.


Il m'a beaucoup parlé de toi tu sais, il t'aime beaucoup, n'en doute pas !


Je comprenais de moins en moins ce qui se passait. Mais je n'osais pas le contredire.


Tout le monde est en place ? Hurlait le premier personnage qui était alors juste derrière moi. J'ai tout pris dans l'oreille.

C'est bon on peut y aller ! Répondait une voix derrière la porte.

Pizza ! Arrivais-je à dire sur un ton qui manquait totalement de conviction.

C'est très bien mon chéri, pizza si tu veux. C'est ton rôle, tu le joues comme tu l'entends, vas y ! Me répondait le troisième homme que j'avais vu, le second avait disparu. On me donnait alors une claque sur les fesses.

Héééé ! M'exclamais-je.

Entre on te dit.


Arrivé à ce moment de l'histoire je ne savais même plus ou j'étais. Tout ça s'était passé en seulement quelques instants, et pas beaucoup d'instants en plus. J'ouvrais la porte. J'avais sur mon visage un large sourire commercial qui se transformait en une expression de surprise.


C'était une chambre, il y avait deux jeunes hommes, de mon âge, sur le lit. L'un était à quatre pattes, l'autre lui défonçait activement le cul, avec force et détermination.


Je regardais la scène et parvenais juste à dire …


Pizza !

Mais là encore c'était sans ma conviction habituelle de meilleur vendeur du mois.


La pizza m'échappait des mains et tombait sur le sol. J'étais tétanisé.


Oui vas y trésor, ça c'est une entrée fracassante. Mais ne reste pas là, fait quelque chose. Me soufflait le troisième homme que j'avais vu en arrivant.


Le garçon qui se faisait défoncer le cul se redressait et me regardant il s'écriait.


Ciel mon mari !

Tu ne m'avais pas dit que tu était marié ! S'exclamait son partenaire qui après une courte pause, recommençait à lui limer le cul avec force.


C'est à peu près là que j'ai remarqué la caméra.


Et là, il s'est produit une sorte de déclic dans ma tête.


Je me doutais bien qu'il se passait quelque chose dans mon dos ! M'exclamais-je !

T’inquiète trésor, je suis à toi dès que j'en aurai fini avec ' ta copine '. Me répondait le mec qui était en train de défoncer le cul du premier.

Maintenant tu ouvres ta braguette et fous ta bite devant le nez de Stef. Me disait le premier bonhomme qui m'avait fait entré.


Je ne comprenais plus rien mais que voulez vous, je suis de ceux que ça amuse de rire. Et puis j'en avais trop vu ou pas assez. J'ouvrais mon pantalon, je sortais ma queue et me masturbais. Stef, c'était bien le gars qui se faisait enculer.


Je préfère ça ! Me disait Joss ( c'était celui qui enculait Stef )


Je m'approchais, j'écrasais ma bite qui pendait lourdement sur le nez de Stef, il relevait la tête, me regardait, ouvrait la bouche et aspirait. Ma queue qui était encore molle glissait dans sa bouche. Je ne comprenait toujours pas tout mais je ne regrettais pas d'être venu.


Ma queue grossissait dans sa bouche, je sentais sa langue qui me caressait le gland avec douceur. Je n'étais jamais venu dans ce genre de réunion mais je trouvais la situation sympathique.


C'était peut être du cinéma mais ils ne faisait pas semblant. L'autre fou défonçait vraiment le cul de Stef. Il y allait de toute ses forces, surtout quand la caméra faisait des gros plants. Et Stef me suçais vraiment la queue, et je dirais même avec un certain talent.


Je me mettais rapidement à lui limer la bouche, je me retirais puis revenais, je lui cramponnait la tête avec les deux mains.


Met ta main droite sur sa nuque et écarte l'autre. Sinon je ne vois rien. Me disait le cameraman qui s'approchait pour faire un gros plan.


Je faisais comme on me disait tout en prenant la direction des opération. Je le tirais fermement vers moi, ma queue rentrait facilement dans sa gorge. Vous savez c'est comme ça que je fais d'habitude, il faut que le mec il avale ma queue. Sinon c'est pas la peine.


J'avançais mon bassin avec force et son nez s'écrasait sur mon ventre. Il en bavait et ça devait se voir, le cameraman appréciait et m'encourageait.


Joss s'était calmé et attendait que la caméra revienne vers lui. J'en faisais de même, quand la caméra se retournait vers Joss je ne bougeais plus.


Puis la caméra revenait vers moi, elle filmait mon corps, au moment ou elle filmait mon visage je prenais un air concentré puis quand elle descendait vers ma queue je remuais plus vite et elle disparaissait dans la gorge de Stef, elle entrait ressortait et le pauvre Stef encaissait, je ne lui laissait pas le choix.


Bon quand tu veux, tu lui éjacules sur la figure ! Me disait une des hommes que j'avais vu en arrivant, ce devait être le réalisateur.


Là il m'a fallu un gros effort de concentration pour éjaculer, d'habitude je retarde le plus possible mais bon, je peux m'adapter.


Quelques instants plus tard je déclarais.


Je crois que ça va être bon.


La caméra faisait un gros plan. Je me retirais et me masturbais. Ça ne durait pas bien longtemps. Quelques gouttes de sperme apparaissaient puis un jet puissant et violent. Il recevait tout dans l’œil, il râlait et là je crois que c'était sincère, il ne jouait pas là. C'est vrai que ça pique.


Plusieurs autres jets arrivaient, il en prenait deux bien généreux sur les cheveux, et une petite dernière qui atterrissait sur son nez avant de couler dans sa bouche.


Je me sentais brusquement plus léger. Et c'est avec un sourire idiot que je regardait ce qui se passait tout autour de moi. Joss se lâchait à son tour, la caméra était sur lui, il donnait des coups de bassin de plus en plus violent.


Stef gémissait, par moment la caméra filmait son visage, il faisait des grimaces. Il devait vraiment déguster le pauvre, mais personne ne s'en inquiétait, et je faisais comme les autres. Je ne m'en inquiétais pas non plus.


Joss procédait comme moi, au moment ou il allait jouir, il ressortait du cul de Stef allongeait sa queue sur les reins de son camarade, elle était plus grosse et surtout plus longue que je ne pensais, puis il se la massait et jutais sur le dos de Stef. Il recouvrait les reins de son camarade d'une grosse tache de sperme.


Coupez ! S'exclamait le réalisateur quelques instants plus tard.


Tout le monde se calmais. On sonnait à la porte, puis des cris se faisaient entendre.


C'est Bitaki ( Bite à qui , oui je sais mais je fais ce que peux, NDL ), S'écriait un des hommes que j'avais rencontré à mon arrivée.

Mais alors toi tu es qui ? Me demandait-on.

Tout le monde me regardait.


Tu m'a volé mon boulot ! S'écriait le nouveau venu, il avait l'air complètement défoncé.


Mais quand je dis défoncé, c'était pas par le cul comme tout le monde, lui il avait sans doutes fumé une merguez pas fraîche. Il tenait à peine debout.


Oui vas y répond, tu nous a fait bonne impression mais la question est toujours, t'es qui toi ?

Pizza ! Répondais-je. Je suis venu livré la pizza !

Ma pizza est enfin arrivée ? S'écriait un gars derrière deux écrans.

Mais ça fait plus de deux heures que je suis là moi. Lui répondais-je.

Vous m'avez remplacé par le livreur de pizza pour quelques minutes de retard.

J'ai engueulé deux fois la pizzeria, parce que ça ne venait pas !

Ça fait plus de trois heures que tu devrais être là !

C'est que je suis connu moi dans cette pizzeria. Râlait le gars des écrans qui venait récupérer sa pizza.

Tu sais on en a marre dans la profession de tes retards …

Il a piqué mon boulot, ça va pas se passer comme ça !

Dis moi ! Tu gagnes combien dans ton boulot de livreur de pizza ?

Et maintenant elle va être froide ma pizza !

Bein ça dépend, tu me payes combien toi ?


Tout le monde parlait en même temps. On m'invitait à passer dans la salle de bain. Quand je ressortais, à poil, je me retrouvait devant le gars des écrans et celui qui semblait être le réalisateur.


Je te dois combien pour la pizza ?

Heu ?

Tu es libre demain ? On tourne un autre épisode.


Je me rhabillait tranquillement puis on parlait de choses plus sérieuses. Je signais un contrat, on me donnait un chèque. Un des gars me donnait quelques pièces de monnaie pour la pizza, il faisait même l'appoint.


Et pour finir tout le monde quittait l'appartement. Deux membres de l'équipe portait Bitaki qui s'était endormi dans un coin, ils le déposaient dans le couloir en disant qu'il connaissait la sortie.


Ensuite je suis devenu cet acteur que tout le monde connaît. Il y a eu tous ces chef-d’œuvre, la série ' La bite ' … du pompier, du plombier, du pompiste, du … enfin j'en oublie ou encore la série … ' Le trou de balle ' , du franc tireur, du légionnaire, du tireur d'élite, du …


Aaaah tous ces souvenirs tournés en un week-end dans un décor réel, un lit, une table de nuit …


Vous les avez vu au moins ?




Fin



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