30 Septembre 2020


J 68 / 280 Reste 212 Demain c'est Loctober ... Ce qui veut dire que ... Ouai bon d'accord dans mon cas ça ne va pas changer grand chose !



J 68 / 280 Reste 212 Plus de deux mois déjà, comme le temps passe !


J 68 / 280 Reste 212 C'est marrant les petites bosses , je ne sais pas comment les appeler, qui ressortent des trous d'aération .



J 68 / 280 Reste 212 Il faut dire qu'il y a de la pression aussi ...



J 68 / 280 Reste 212 Ça ne se voit peut être pas tant que ça mais là , je bande !



J 68 / 280 Reste 212 Là, j'étais pas encore levé !











 

29 Septembre 2020

 

J 67 / 280 Reste 213 jours Bon et bien il faut se dire que la vie n'est pas un long fleuve tranquille, et que quand je bande ça déborde ( jeux de mots, fleuve - déborde ) C'est bidonnant ? Non ! Bon Ok je le referai plus ...




J 67 / 280 Reste 213 jours Quand je dis que ça déborde, ça fait des bourrelets par les trous d'aération sur les côtés. C'est pas inconfortable en plus ...



J 67 / 280 Reste 213 jours Voilà le plus dur moment de la journée est passé ... J'ai réussi à me lever ! Wouééé !
Et en plus j'ai réussi à me faire une tache en prenant mon chocolat !




JASON 07 : Plus ample connaissance

 JASON 07 : Plus ample connaissance




Cette nuit là encore Jason à bien dormi. Le lendemain matin personne n'est venu le réveiller. Dave n'est passé le voir qu'en fin de matinée. Lui aussi avait eu une nuit difficile. Et en plus il était en week-end.


– Salut Jason, bien dormi ?

– Génial Dave, je suis en pleine forme !

– Alors tu nous rejoint pour l’entraînement ?

– C'est pas l'entraînement des cinq heures .

– Non, il est presque onze heures.


En entendant cela Jason se levait prestement, partait se brosser les dents et ne passait pas sous la douche. D'un geste de la tête ils se comprenaient lui et Dave et c'est au pas de course qu'ils descendaient les escaliers. Jason était resté nu mais Dave, lui était encore habillé. Se promener nu dans la maison était un privilège réservé au maître, enfin la maîtresse, et les hôtes ... Les employés se devaient de conserver une certaine réserve.


Sur le gazon par contre, et surtout au moment de la pause sportive, tout le monde pouvait se promener nu, ainsi que dans le reste du parc. Les employés ne s'en privaient pas. Pouvoir faire du sport dans le plus simple appareil, appareil de chasteté bien sûr, était un plaisir. C'était la seule chose qu'ils portaient, leur dispositif de chasteté. Certains portaient une montre ou un truc comme ça, mais là, ça ne compte pas.


Toute l'équipe se mettait en mouvement sous la direction d'un des jardiniers. Échauffement pour commencer puis les choses devenaient plus sérieuses. On terminait par une partie de foot avant de passer à la grande éclaboussure, la patronne n'était pas là aussi je ne vous dis pas mais pour ce qui est de l'éclaboussure, ils s'en donnaient à cœur joie dans la piscine.


C'était ensuite l'heure du repas.


La table avait été mise pour Jason sur la terrasse et les employés se retiraient dans leurs quartiers au sous sol quand Dave lançait.


– Mais dis Jason, si tu n'as pas envie de manger tout seul, ça va être triste pour toi, tu pourrait te joindre à nous !


Des réflexions d'approbation fusaient.


– Oui il sera aussi bien avec nous !

– Il y en aura assez pour tout le monde !

– En plus si on a gagné la partie, c'est grâce à lui !

– Oui bein nous on l'a perdue à cause de lui mais il peut venir quand même !


C'est avec un large sourire que Jason se retrouvait dans la grande salle à manger des employés, au sous sol. L'endroit n'était ni triste ni sombre, la salle ouvrait sur une large baie vitrée sur un grand terrain en contre-bas invisible depuis le reste de la propriété. Ce qui faisait qu'on avait pas l'impression d'être en sous-sol. Le sous-sol faisait la surface de la maison, tout le monde avait donc sa chambre, pas très grande mais privée, il y avait aussi  un grand salon télé, avec billard et quelques autres installations de ce genre. 


Finalement les employés étaient bien logé, il faut dire que c’est assez fréquent dans le monde de la PK. Cette société à une réputation à défendre et ses cadres son invités à se montrer exemplaires. 


Jason était issu d'une famille bourgeoise, proche de la PK son père portait lui aussi bien sûr un dispositif de chasteté PK. Mais il ne connaissait pas vraiment, sinon par la théorie, comment vivaient les cadres de cette entreprise et leurs familles.


On lui expliquait que en fait c'était simple. Les mâles qui vivaient dans la propriété se devait de porter une dispositif de chasteté. C'était la première règle, et tous s'y soumettaient. 


Se maintenir en forme était une obligation, on lui rappelait que le fondateur du groupe Mr Jeremy Brosso à plus de 70 ans faisait tous les ans le Grand Marathon, et qu'il terminait toujours à une place très honorable … plusieurs heures de sport étaient donc comprise dans les heures de travail. Cette règle était valable partout. Mais ici, il y avait Madame. 


Et il faut bien dire que madame aimait particulièrement les corps masculins. Elle aimait bien la bite mais pour ça, c'était comme pour tout le monde, elle faisait ceinture … Heureusement il y avait les gadgets.


Jason se souvenait de la scène qu'il avait vu dans la remise entre Madame et un jardinier et comprenait très bien de quoi on parlait. Ce n'est pas par hasard si on peut fixer un gode aux dispositifs de chasteté. 


Les hommes ici étaient aussi là pour le plaisir de Madame. C'est elle qui choisissait, eux ils s'exécutaient.


– Et cette situation ne vous dérange pas ? Demandait Jason .

– Au début ça fait bizarre, mais on s'y fait …

– Moi j’adore la douceur de la peau de Madame …

– Moi ce sont ses baisers …


Déjà Jason commençait à bander dans son dispositif.


– En fait il manque un petit truc, c'est sûr mais on a l'étreinte …

– Les baisers …

– Les caresses …

– La douceur de sa peau …

– La chaleur de sa peau aussi … 


Ils avaient tous un petit commentaire à rajouter, un toutefois terminait …


– On a aussi toute la frustration !


Un très court instant de silence suivait. 


– Heureusement il reste nos gadgets, nos petits secrets.

– Tu crois vraiment que la patronne pense que les godes ne servent qu'à sa propre satisfaction ?


Ils étaient tous nus autour de la table et ne se privaient pas de se toucher, oh pas de se tripoter mais juste se toucher. Quand l'un disait une conneries, les autres riaient de bon cœur et lui passait le bras sur les épaules, les bras se frôlaient en permanence, les bras, et pas seulement.


Jason n'était pas le seul à bander dans son dispositif. Il remarquait que c'était le cas pour à peu près tout le monde. Quand un des gars s'approchait avec le plat pour lui proposer un petit supplément, Jason sentait sa peau contre la sienne autant que la chaleur de son corps ou la dureté de sa cage qui le frôlait dans le dos.


C'était '' HOT '' comme ils disent les américains … Si Jason transpirait ce n'était pas seulement à cause de la chaleur. C'était la chaleur de tous ces corps, et sa propre chaleur également. Jason ajustait de plus en plus souvent son dispositif. En temps normal, il ne le faisait pas ça. De temps en temps mais pas autant. Depuis son arrivée dans cette maison ses hormones étaient tout chamboulés. Mais il ne devait pas y avoir que Nadine qui lui faisait de l'effet, elle n'était pas là. 


A la fin du repas tout le monde débarrassait la table, ainsi c'était fait en quelques minutes, Jason voulait participer mais il n'en avait pas le temps, c'est que c’était bien organisé cette affaire. Chacun se retirait dans son coin. C'était le moment des plus fortes chaleurs, et la digestion demandait un peu de repos. Les employés travaillaient tôt le matin aussi une longue période de pose leur était accordée le midi.


Un des jardinier venait vers Jason qui ne savait plus quoi faire et l'entraînait. Jason ne résistait pas et suivait. 


– Tu sais Jason, ici nous sommes au service de Madame. Lui donner du plaisir n'est rien d'autre que de la technique, C'est comme la massage. Tu commences par le baiser, tendrement, il ne faut jamais oublier d'y mettre tout ton cœur. Il ne faut pas lui faire l'amour avec la tête et la queue, surtout que la queue c'est comme si tu n'en avait pas, mais avec le cœur et la bouche.


En disant cela, il donnait à Jason un baiser d'une incroyable tendresse et en même le caressait sur tout le torse en commençant pas la base du cou et en descendant doucement, le frôlant avec le dos de la main. Il s'attardait un peu sur le téton, puis sur le ventre et s'arrêtait juste avant de toucher le dispositif de chasteté de Jason.


La queue de Jason se révoltait, le jardinier s'en rendait compte et reprenait avec un peu plus de lenteur et de force. Quand ses mains arrivait de nouveau au niveau du ventre, c'est avec les deux mains qu'il saisissait Jason et le tirait vers lui. Les deux dispositifs de chasteté se heurtaient en émettant un léger bruit métallique. Jason refermait lui aussi ses bras sur le corps du jardinier. Il était particulièrement ferme et bronzé.


Plusieurs autres personnes arrivaient, Jason ne le remarquait pas au début, mais quand il a senti une main de trop puis deux et encore une autre, il s'est dit qu'ils n’étaient peut être plus seulement deux. Plusieurs autres corps se son agglutinés autour de lui. On avait fermé les rideaux aussi il faisait trés sombre et Jason ne voyait pas qui était là. En fait il s'en moquait, seules les caresses et la douceurs de tous ces contacts tactiles comptaient maintenant.


Son cœur battait fort, il n'avait jamais fait ça. Souvent, si souvent il avait pris sa douche avec ses camarades, tous étaient complètement nus. Déjà à la petite école, c'était une chose tout à fait normale. Il y avait bien eu une période ou il leur a été difficile de contrôler leurs érections mais c'était la jeunesse. Ensuite ces deux dernières années, il n'était jamais vraiment nu. Il y avait le dispositif. Au début ils n'étaient pas très nombreux à le porter puis régulièrement d'autres camarades les rejoignaient. Il avait commencé à l'âge de seize ans, le jour de son anniversaire. A la fin de l'année scolaire il étaient quatre vingt pour cent des élevés à le porter. 


Mais jamais, jamais, malgré la frustration, le manque, le fait de ne même plus pouvoir se masturber il n'avait eu envie de prendre dans ses bras un de ses camarades. Là il se demandait comment il ferait dans l'avenir pour se retenir. On lui tripotait la cage, il n'y prêtait pas tout de suite attention. C'est quand il voyait que tous les participants avait un bon gros gode fixé sur leur cage qu'il remarquait qu'il en avait un aussi.


Le jardinier du début se glissait dans son dos, Jason remarquait que son gode était bien plus petit que les autres. Le jardinier lui glissait à l'oreille : '' j'ai pris une petite taille pour commencer, il faut toujours y aller doucement au début.''. Le sang de Jason s'est glacé dans ses veines mais il ne voulait pas faire marche arrière.


Devant lui, ce devait être le chauffeur, Madame ne conduit pas, enfin uniquement la Ferrari mais pas la Rolls. Oui c'était le chauffeur qui lui disait : '' Prend moi !''. Il se retournait alors et se penchait en avant. Des mains lui lubrifiaient le cul pendant que d'autre lubrifiaient le gode de Jason.


A qui étaient toutes ces mains, Jason n'en avait aucune idées, ils devaient être une demie douzaine d'employés de la maison agglutinés autour de lui …


Jason prenait position. Sa queue se révoltait, c'est elle qui voulait faire le travail, elle voulait pas laisser faire un vulgaire bite en plastique et elle poussait de toutes ses forces contre la cage.


Jason poussait, le chauffeur poussait un long gémissement de plaisir, Jason voyait disparaître cette bite de belle taille entre les fesses de cet homme qu'il tirait vers lui en le tenant par les hanches. C'était surréaliste pour le pauvre garçon et tellement nouveau, son cœur battait de plus en plus fort, sa respiration devenait désordonnée. Quand son ventre s'écrasait sur les fesses, quand le gode était totalement enfoncé, Jason poussait toujours.


– Ne bouge plus Jason !


C'était le jardinier dans son dos qui avait dit cela. Maintenant Jason sentait une pression d'un extrême violence contre son cul. Il hurlait, surtout de douleur mais aussi à cause de cet étrange plaisir, un plaisir inconnu quelques jours seulement plus tôt mais puissant, peut être encore plus puissant que ne l'était la douleur, ce qui faisait qu'il laissait faire. Il pleurait bien un peu, il tremblait, ses jambes allaient flancher mais toutes ces mains autour de lui le retenaient. 


Jason se sentait bien rempli, dans son cul, le gode était totalement enfoncé. '' Et c'est une petite taille il dit !'' se disait Jason. On le tirait alors en arrière, le chauffeur râlait de plaisir quand Jason se retirait, puis on le poussait en avant. A chaque mouvement le gode de Jason s'enfonçait ou se retirait arrachant au chauffeur des râles de plaisir. 


Enfin, le jardinier poussait Jason en avant mais n'avançait pas. Le Gode de Jason s'enfonçait dans le cul du Chauffeur qui tremblait de plaisir et le gode du jardinier ressortait enfin du cul de Jason. Puis on tirait de  nouveau Jason en arrière et quand un gode sortait du cul de l'un l'autre gode s'enfonçait dans le cul de l’autre et inversement.


Jason râlait, gémissait, il y avait toujours ce plaisir étrange mais il y avait aussi cette douleur. Jason finissait par hurler et repoussait le gars qui le pénétrait derrière lui. Il se retirait aussi et c'est à ce moment qu'il a  joui, il a joui comme jamais, il a joui comme il ne savait pas qu'on pouvait jouir. Il a joui avec deux ans de retard. C'est l'extase, le feu d'artifice. Sans toutes ces mains qui le retenaient il serait tombé.


On le retenait, tous les hommes avait plus d'expérience qui lui et savaient parfaitement ce qui lui arrivait. Ils l'ont douillettement installé sur un fauteuil. Jason s'est laissé tombé de tout son poids. Il avait mal au cul mais sa queue ne le dérangeait plus. Elle avait l'air satisfaite maintenant. Jason se sentait bien, terriblement bien. 


Pendant encore un long moment le groupe à continué ses ébats. Jason s'est endormi. Quand il s'est réveillé, il avait une couverture légère sur lui, le sous-sol est quelquefois un peu frais et il était en sueur. Le fauteuil avait été basculé en position allongée. Ils sont gentils avec lui tout de même.


Jason était un peu sonné. Il se levait, et revenait à la piscine. Il avait mal au cul ! Il passait sous la douche, pour se remettre les idées en place. Il allait s'essuyer quand un main lui caressait le dos. C'était Nadine.


– Te voilà Jason, je me demandais ou tu était ? Dave m'a dit que tu somnolait !


Jason a hurlé de surprise, la serviette dans ses mains a bondi en l'air et s'est retrouvée dans la piscine. 


– Et bien, c'est moi qui te fais cette effet ?

– Oui m'dam, non m'dam . Fait ta bout du fou !

– Oui Jason, tu n'es pas resté trop longtemps au soleil j'espère.


Il faisait non de la tête.


– Je me réveille et je suis tout étourdi …


Brusquement la queue de Jason qui le laissait tranquille depuis un petit moment se réveillait et envahissait avec force toute la place disponible dans la cage. Nadine s'était penchée vers Jason pour le saluer et lui faire la bise. Les seins de Nadine s'écrasaient contre la poitrine musclée de Jason.




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast


28 Septembre 2020

 J 66 / 280

Reste 214

Avec le retardateur à 10 secondes ...



J 66 / 280 Reste 214 Il ne me faut pas plus de 20 secondes pour m'habiller !




J 66 / 280 Reste 214 Et hop !






27 Septembre 2020

 

J 65 / 280 Reste 215 A le dimanche matin, on prend le temps de se lever, de s'étirer, de se ... Au fait j'y pense, je ne travaille plus moi ! C'est tous les jours pareil !






J 65 / 280 Reste 215 Puis on se lève ...



J 65 / 280 Reste 215 Puis on s'habille ...




J 65 / 280 Reste 215 Puis on va prendre son petit déjeuner ...




J 65 / 280 Reste 215 Puis on pause devant l'appareil photo histoire de faire le malin !





JASON 06 : Du ski en été

 JASON 06 : Du ski en été




L'heure du repas arrivait vite, Nadine réapparaissait, elle était en tenue de ville.


– Je vais te laisser seul  encore aujourd'hui.

– Vous savez Nadine, c'est pas grave, je m'adapte bien …

– J'ai demandé à Dave de s'occuper de toit. Pendant tous ton séjour, jusqu'au retour de mon fils, ce sera son seul travail.


Dave arrivait à ce moment, il avait un grand sourire.


– Ce sera avec plaisir, Monsieur Jason est un jeune homme tout à fait charmant. Et ce sera un vrai plaisir de l'aider à passer un séjour agréable.

– Je vois Jason que tu as su te faire apprécier de mon personnel. Ce qui ne m'étonne pas d'ailleurs.  Donc, je ne serai pas de retour avant la nuit, peut être même très tard dans la nuit ou demain matin. Dave tu prends la carte de crédit '' invité '', tu connais le protocole. 

– Ne vous inquiétez pas Madame, notre invité passera une très bonne journée et la facture sera pharaonique !


Nadine rigolait à ce dernier commentaire.


– Et bien  puisque le programme est de me ruiner, je ne veux pas voir cela, je vous laisse.


Elle faisait la bise à Jason et lui souhaitait de passer une bonne journée. Dave accompagnait sa patronne et recevait sans doute quelques consignes puis revenait voir Jason. 


Il n'avait pas bougé, il était toujours à table et terminait de déguster le dessert.


– Alors bonhomme ! Tu veux faire quoi ?

– Bein, je ne sais pas moi ! On peut faire quoi ?

– La règle est simple, nous avons jusqu'à demain matin pour faire ce que tu veux, mais si on déborde un peu et qu'on revient en retard ça ne sera pas un drame …

– A oui !

– Ensuite pour faire cela, nous avons un crédit illimité !

– Ah !

– Alors, tu veux faire quoi ?


Jason réfléchissait un long moment, et avec un peu de malice, en prenant de grands airs.


– Dave, s'il vous plaît, j'aimerais bien faire du ski, il fait vraiment chaud ici, ça nous changerait vous ne croyez pas. Pourriez-vous préparer mon équipement ?

– Mais bien sûr Monsieur Jason, nous devrions être au sommet des pistes dans une heure de demie. Nous pouvons vous habiller quand vous voulez !

– Tu déconnes ?

– Non je te jure !


Jason n'y croyait pas mais suivait Dave pour qu'il lui donne la tenue. Dave lui trouvait des vêtements d'été. Jason rigolait …


– On ne fait pas de ski avec cette tenue, je savais que c'était des conneries.

– Ah, c'est comme ça que tu le prends, des conneries, tu dis …


Dave entraînait ensuite son hôte sur le toit de la maison. Un hélicoptère arrivait peu après. Une heure et demie plus tard il les déposait dans une station de ski en haute altitude.


– Comme tu peux voir Jason, ici ce sont les neiges perpétuelles, on va te donner l'équipement.


Moins d'une demie heure plus tard ils étaient en haut des pistes. Il n'y avait pas beaucoup de pistes mais elles étaient tout à fait acceptables, et c'est vrai que l'air était plus frais.


Ils se sont amusé, ils  ont fait les fous jusqu'à l'heure du repas. Une table leur était réservée dans le restaurant de l'hôtel. 


– Tu as un drôle de boulot tout de même ?

– Travailler pour la PK est toujours une aventure.

– Et tes horaires et les conditions de travail ?

– Quelquefois on traîne tard dans un hôtel de luxe, à manger du caviar et du homard … C'est pas une vie !


Jason rigolait.


– C'est ce que tu vas prendre ce soir ?

– Oui, surtout qu'ici ça en vaut la peine ! En plus, je devrais être en repos aujourd'hui et demain.

– Mince, tu travailles à cause moi.

– Oui mais je suis payé double et la bouffe est bonne.


Le champagne arrivait et les deux jeunes hommes ont fait honneur à la bonne table. Jason et Dave terminaient dans une boite de nuit locale. Jason n'avait pas l'habitude de boire aussi, après le champagne il  ne lui en fallait pas beaucoup plus pour se retrouver à moitié ivre. 


Vers trois heures du matin il chantait en  montant dans l'hélicoptère puis un peu plus tard il dormait. Ils se sont posés là ou ils étaient partis. La porte de l'hélicoptère s'ouvrait et Joss l'employé de garde.


– Madame j'espère que le voyage s'est bien passé … ? … Mais vous n'êtes pas Madame ?

– Tu es de plus en plus perspicace Joss. 

– Et ton passager il dort ?

– J'en conclu que Madame n'est pas encore revenue.

– Justement j'étais un peu surpris, elle a téléphoné et ne devait pas revenir avant cet après midi. 

Jason se réveillait. 


– On est arrivé ?

– Et oui, tu veux repartir ?

– Non, ça ira. Merci Dave de cette journée, c'était génial.


Ils descendaient tous, Dave racontait la journée à Joss. 


– C'était une bonne idée le l'amener là, j'y ai passé mon dernier week-end. C'est un endroit extraordinaire.

– Oui mais nous on a eu droit au restaurant gastronomique !

– Oulala ! La facture va être salée …

– Madame sera ravie !


Jason descendait au salon puis passait à la cuisine … Dave l'appelait.


– Jason, je te rappelle que ta chambre est au premier, à moins bien sûr que tu ne veuilles dormir sur la terrasse. Remarque c'est à toi de voir, c'est comme tu veux.


Jason ne répondait pas, jetais ses vêtements derrière lui, les deux employés se regardaient sans comprendre le suivaient en ramassant les vêtements. Entièrement nu Jason arrivait à la piscine et plongeait. 


– Oh et puis je suis en week-end moi, disait Dave.


Il retirait lui aussi ses vêtements et plongeait à son tour. Joss était de service, il leur préparait un petit verre, mais du soda bien frais.


Rapidement le jeux auquel nos deux lascars, Dave et Jason se livraient se transformait en un câlins. Pendant toute la journée la bite de Jason l'avait laissé tranquille, elle s'était faite oubliée. Mais là, avec l'effet du manque de sommeil, la douceur presque tiède de l'eau, elle se réveillait et son dispositif se relevait devant lui avec force. 


Les caresses et les baisers de Dave devaient aussi être en cause. Et la cage de Dave faisait comme celle Jason. Ils se tenaient l'un contre l'autre avec force au milieu de la piscine. Ils se caressaient et s'embrassaient avec passion. 


Dave mordillait le corps de Jason avec une douceur, celui-ci gémissait avec force et sa queue protestait encore plus fort. Ils ressortaient de l'eau, se retrouvaient sur un matelas, ils roulaient l'un sur l'autre.


Maintenant c'est Jason qui mordillait le corps de Dave et lui tripotait les couilles. Il glissait sa main entre les fesses de Dave qui le laissait faire, puis tentait de glisser un doigt dans le cul de Dave. Celui-ci se contractait et arrêtait tout.


– Il faut lubrifier Jason, il faut lubrifier, sinon ça fait très mal et ça ne rentre pas.


Jason reprenait, il lubrifiait comme il l'avait vu faire et là le doigt rentrait sans difficultés. Dave se cambrait et gémissait de plaisir. Jason enfonçait son doigt bien à fond et refaisait étape par étape ce que lui avait appris Dave. Il frappait rapidement contre la prostate de Dave qui gémissait encore plus fort. Sans attendre il glissait un deuxième doigt et agitait les deux doigts avec force. Dave se tordait de plaisir dans ses bras. 


Jason découvrait un nouveau plaisir, celui de sentir vibrer un corps sous l'effet du plaisir qu'il lui donnait. Les réactions de Dave dépendaient des mouvements des doigt de Jason qui continuait à embrasser et à mordiller le corps de Dave. 


Dave ne contrôlait plus ses mouvements, il jouissait, il se tordait dans tous les sens. Embrassait fébrilement Jason si ses lèvres ou un morceau de peau passaient à sa portée. 


Tout comme Dave lui avait montré, Jason faisait des pauses puis recommençait. Il savait qu'à chaque reprise le plaisir était un peu plus intense. Il ne le savait peut être pas depuis bien longtemps mais il le savait.


La respiration de Dave devenait intense et irrégulière, Jason insistait avec force et finissait par le faire éjaculer après l'avoir fait jouir pendant un long moment. La respiration de Jason s'était synchronisée sur celle de Dave et il lui semblait ressentir lui aussi une petite partie de cet orgasme. 


Il avait fait jouir un homme et l'avait sentie vibrer dans ses bras. Il avait lui aussi maintenant envie de jouir à son tour.


– Je voudrais tant que tu m'encule maintenant Dave.


Dave ne répondait pas tout de suite. Un peu plus tard encore tout dégoulinant de sueur il se relevait et prenant Jason par la main l'entraînait dans le jardin, vers la remise, juste après la petite fontaine qui même la nuit chantait.


Dave prenait Jason dans ses bras et de nouveau les deux hommes se caressaient, s'embrassaient. Ils se tripotaient les couilles, Dave se détendait de ce côté, et même si sa cage était bien remplie, la pression s'y réduisait. Mais pour Jason c'était tout le contraire, ses couilles était contractées et formaient une grosse boule bien ferme, c'était à cause de sa queue qui replissait la cage avec force et tentait de plier les barreaux en poussant contre eux. C'était une tentative pathétique et désespérée.


Jason avait toujours contrôlé ce genre d'érections, depuis deux ans mais depuis deux jours il ne contrôlait plus rien. Dave lui lubrifiait le cul, y glissait un doigt puis deux, mais contrairement à la dernière fois il ne tentait pas de masser la prostate.


– Retourne toi !


Jason ne réfléchissait pas et s'exécutait. Dans un tiroir Dave prenait un objet, Jason laissait faire mais quand il se retournait il retrouvait son camarade avec une belle érection, une belle bite. Enfin il la trouvait énorme. 


– J'ai pris petit, longueur moyenne et à peine quatre centimètre de diamètre.


Jason avalait sa salive, il avait, ou au moins il allait avoir ce qu'il avait demandé. Il tentait avant tout de se détendre mais déjà il avait comme un nœud dans son ventre. Dave le lubrifiait abondement, puis prenait position.


– On se détend bien mon gars.


Doucement Dave poussait, doucement le gode entrait dans le cul de Jason qui hurlait au moment ou son anus s'ouvrait, au moment ou son anus ne pouvait plus résister. Dave S'arrêtait alors et ne bougeait plus. Jason respirait fort et gémissait.


– Ça fait mal ?

– Oui, non, je ne sais pas, c'est intense, c'est vraiment intense.


Quand Jason s'est calmé, Dave à repris et à poussé de nouveau, lentement mais fermement. Le code entrait, les quinze centimètres trouvaient leur place mais quand le ventre de Dave s'est écrasé contre les fesses de Jason, le petit gars ne respirait plus, ne faisait plus le moindre son. Dave surveillait les moindres réactions et Jason à hurlé quand il s'est retiré. 


Le gode ressortait et Jason avait une respiration saccadée, il gémissait aussi en saccade également mais ne demandait pas à Dave d'arrêter. Dave revenait et enfonçait de nouveau cette queue en plastique bien à fond. 


Jason sanglotait.


– Ça va ?

– Oui, c'est bon, ça fait un peu mal mais c'est bon, c'est tellement bon. 


Dave commençait alors à limer le cul de son jeune camarade. Ça ne devait pas durer bien  longtemps. Jason était pris de convulsions et de tremblements, il jutait. Dave s'en rendait compte et se retirait, les convulsions continuaient et Jason finissait par éjaculer avec force quelques secondes plus tard.


Les deux hommes ne bougeaient plus, ils restaient accrochés l'un à l'autre pendant un long moment. C'est plus tard qu'ils revenaient à la piscine, les vêtements avaient disparu. On entendait Joss.


– J'ai tout rangé, ça fait aussi partie de mon travail de nuit !


Jason donnait un baiser très tendre à Dave et remontait vers sa chambre, il avait l'air heureux, fatigué mais heureux !




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast


25 Septembre 2020

 

J 63 / 280 Reste 217 Me suis réveillé dans la nuit moi. Obligé de me lever tôt, 10 H du mat ... Pfff ...



J 63 / 280 Reste 217 Comme tous les matins.



J 63 / 280 Reste 217 P'tit cage, grosse couilles !





J 63 / 280 Reste 217 Un rien m'habille



J 63 / 280 Reste 217 Je pourrais presque sortir comme ça ... Mais ça ferait un peu désordre !



J 63 / 280 Reste 217 Là c'est mieux pour sortir , mais il faut quand même que je perde du poids moi !















24 Septembre 2020

 

J 62 / 280 Reste 218 Petit déjeuner ...



J 62 / 280 Reste 218 Bein oui tous les matins c'est pareil ... Petit déjeuner ... à l'aube ... Aux alentours de 10 H du matin ...



J 62 / 280 Reste 218 Je ne dirais pas que c'est le grand confort ! Non je n'irai pas jusque là ...




J 62 / 280 Reste 218 C'est pas non plus l'inconfort, par moment oui un peu, la nuit surtout quand le cockring appui toujours au même endroit mais dans la journée c'est très satisfaisant, il y a même de nombreux moment dans la journée ou je ne le sens pas du tout .

Visage légèrement souriant









JASON 05 : Matin plein d'émotions

 JASON 05 : Matin plein d'émotions




Jason a bien dormi dans la nuit qui a suivi. Il a beaucoup réfléchi sur ce qui s'était passé avec son valet de chambre. Beaucoup réfléchi mais pas longtemps, peu après il dormait. 


Un peu avant cinq heure du matin Dave entrait sans bruit dans la chambre de Jason qui dormait paisiblement. Il était beau, allongé nu sur le dos, la tête tournée vers la fenêtre, les volets étaient fermés, il faisait sombre dans la chambre, la lumière ne venait que du couloir par la porte que Dave entrouvrait. 


Il s'approchait puis caressait avec  une extrême douceur le corps de Jason, le torse puis sa main descendait vers son sexe pour appuyer sur la cage. Jason se réveillait, tournait le visage vers Dave et s'étirait.


– Tu réveilles toujours les invités de la maison de cette manière ?

– Uniquement quand ils sont craquants. 

– Tu sais moi, je suis pas comme vous. Je ne fais pas ça moi. Hier c'était super mais …


Sans l'écouter Dave posait ses lèvres sur celles de Jason qui, là, ne disait plus rien.


– Oui, tu disais Jason ? Pas comme nous, je ne vois pas ce que tu veux dire.


Le baiser suivant, c'était Jason qui le donnait. 


– Tu crois qu'on a le temps de remettre ça dis ?

– Mais je suis au service de Mr Jason !


Jason frétillait déjà de plaisir. Il écartait les jambes pour laisser le passage à la main de Dave. Doucement Dave commençait à lui caresser les couilles, la queue de Jason se réveillait avec violence. En quelques instants la cage se redressait et se remplissait. Les couilles de Jason jusque là complètement détendues qui pendaient lourdement entre ses cuisses se contractaient et formaient une grosse boule bien ferme.


Dave continuait son exploration, il sortait de la table de nuit un tube de gel, lubrifiait le cul de Jason et glissait rapidement un doigt bien à fond. Aussitôt il commençait à l'agiter de toutes ses forces. Jason gémissait de plaisir. Dave continuait plus fort pendant quelques minutes. Jason écartait les cuisse se tordait et râlait de plaisir. Le plaisir semblait monter plus vite. Dave faisait une pause. Il ne retirait pas son doigt, et donnait à Jason un baiser qui rapidement devenait un baiser passion. 


C'était la deuxième fois que Jason embrassait quelqu'un dans sa vie mais il y prenait goût, il en redemandait, il pressait Dave de reprendre. Mais Dave prenait son temps, il savait qu'il ne fallait pas se presser. Il donnait un baiser passionné à Jason, Jason se détendait, Dave reprenait avec vigueur, Jason sursautait et brusquement ne se détendait plus mais plus du tout. Son souffle devenait fort, ses gémissements s'amplifiaient et maintenant il se tordait de plaisir.


'' Deux ? '' lui demandait Dave … '' Deux ? Quoi deux ? '' répondait Jason …


Dave glissait alors un deuxième doigt dans le cul de Jason …


– Haaaaa ! Oui … Deux … ! Je comprends mieux là …

– Bein oui, deux. Tu n'avais jamais goûté à ce plaisir dis moi Jason.

– Haaa , c'est bon !


Dave faisait une pause de quelques minutes, Jason continuait à gémir mais quand Dave reprenait Jason poussait un cri de plaisir.


– Encule moi, je veux que tu m'encule !

– J'y penserai la prochaine fois que je retirerai mon dispositif de chasteté. 


Dave continuait à battre les doigt dans le cul de Jason comme on bat les pieds quand on nage le crawl. Jason convulsait, il relevait son bassin avec force, avec des mouvements rapides, il se cramponnait aux draps. Le souffle lui manquait, Dave surveillait la moindre expression sur le visage de Jason, il l'a vu relever la tête, il a vu la grimace se former, le plaisir que Jason ne pouvait plus retenir, il l'avait prévu, il l'a vu éjaculer, pas seulement juter mais réellement éjaculer. Un jet violent à trouvé un passage entre les barreaux de la cage et a finalement atterri sur le menton de Jason qui gardait la bouche grande ouverte mais ne faisait pas le moindre cri, pas le moindre bruit à ce moment. 


Il respirait fort à ce moment précis, puis tous ses muscles se sont détendus et il est retombé amorphe sur le lit, sa grimace s'était transformée en large sourire, il avait l'air heureux. Dave retirait ses deux doigt avec lesquels il avait donné tant de plaisir. Comme quoi il ne faut pas grand chose quelquefois. 


– Jason, si nous voulons rejoindre les autres il ne faudrait pas traîner.

– Quelle heure est-il ?

– Presque cinq heures un quart, ça va faire une demie heure que j'essaye de te réveiller.


Jason souriait, ils passaient rapidement à la salle de bain puis repartait. Dave était habillé, il n'allait tout de même pas se balader à poil dans la maison, c'était un privilège réservé aux invités et à la famille. 


– Je suis à poil, je ne vais tout de même pas descendre comme ça.

– Mais si, tu es très bien et tu sais en bas, dehors, on sera tous comme toi.


En effet en bas, tout le personnel était là et tous étaient en tenue de sport, c'est à dire avec  juste le dispositif de chasteté sur le corps. Seul l'employé de permanence était entièrement habillé. Dave lui lançait.


– Eh Joss, il y aura  une bouche de plus pour le petit déjeuner !

– Ça marche !


C'est un des jardinier qui prenait la direction des opérations et tous le monde le suivait, ils commençaient par un petit footing. Jason n'avait aucune difficulté pour suivre. Il se sentait bien, non seulement il aimait bien faire du sport à poil mais en plus il avait eu un plaisir qu'il ne s'offrait pas si souvent. En fait qu'il ne s'était pas offert depuis longtemps. 


L'entraînement était très classique, Jason connaissait bien, il était dans son élément. À l'école il faisait aussi un entraînement tous les matins, à la même heure. Une petite heure plus tard, c'est en sueur que tout le monde se retrouvait sous la douche, certains terminaient même par un plongeon dans la piscine. 


C'est dans la même tenue qu'ils prenaient tous le petit déjeuner ensemble. On félicitait Jason, il avait suivi sans effort le groupe, mais c'est vrai qu'il ne manquait pas d'entraînement. Ensuite tout le monde partait s'habiller pour commencer le travail. Les journée de travail commençaient tôt. Il faut dire qu'il y avait plusieurs poses aux moments les plus chauds de la journée. 


Il restait trois employés qui avait assuré le permanence, c'est à ce moment qu'il faisaient leur entraînement. Ça marchait par roulement, c'était très bien organisé … 


Jason s'endormait sur un transat juste à côté de la piscine. Quand il se réveillait, il avait sur lui une couverture, un âme charitable l'avait recouvert pour qu'il ne prenne pas froid avec la fraîcheur matinale. 


C'est Nadine qui le réveillait en lui faisant la bise, il ouvrait les yeux, il avait un large sourire, il bandait comme un fou dans sa cage. Jusque là le petit plaisir que Dave lui avait donné l'avait calmé pendant un moment mais la présence de Nadine réveillait ses désirs.  Sa queue gonflait de toutes ses forces,

 

Nadine le remarquait quand il relevait la couverture. Elle s'en amusait. Jason ne s'inquiétait pas de cette sensation qu'il avait au niveau de sa cage, il savait que toute réaction resterait invisible, même si quelquefois ce n'était pas tout à fait le cas.


Rapidement Nadine se mettait en tenue, elle retirait tout ce qu'elle avait sur elle.


Jason suffoquait, comme la veille, ce n'était pas de chaleur il était encore tôt, Nadine s'installait simplement à côté de lui. Dave venait lui servir une boisson bien fraîche, il avait prévu un verre pour Jason. 


Finalement avant la fin de la matinée, Jason se détendait. 


C'est de plus en plus décontracté qu'il regardait Nadine, sa silhouette élancée, ses bras fins, sa poitrine qui était certes de petite taille mais qui était tellement élégante. Son regard descendait vers le ventre, les hanches, ses jambes qui ne finissaient pas, avant de revenir sur son sexe. 


C'était là le centre de toutes ses pensées. 


– Jason, s'il te plaît tu pourrait me passer mon verre ?

– Bien sûr Nadine, ne bouge surtout, je m'occupe de tout.


Jason s'approchait, il sentait sa queue se balancer de droite à gauche. Il tendait sa boisson à Nadine, elle lui caressait la main et finalement prenait le verre.


– Merci mon petit Jason, tu es un amour.


Jason s'asseyait tout à côté de Nadine. Elle tendait un bras dans sa direction et lui caressait l'épaule, puis le haut du torse. Jason bandait comme un fou. Elle lui caressait le torse en s'attardant sur les tétons, en s'attardant longuement. 


Au début Jason hésitait, puis finalement il lui prenait la main et la couvrait de baiser avant de lui caresser le bras, puis de remonter vers le bras. Il passait rapidement sur l'épaule avant d'insister longuement sur ses seins. 


Sa main continuait sur le ventre et finissait par se réfugier dans son entre jambe. Elle gémissait de plaisir. Le personnel de maison sait être discret ici, il n'y avait plus personne. Il est vrai que les hommes ici, étaient aussi là pour le plaisir de Madame.


Jason embrassait le corps de Madame avec des lèvres chaudes, et douces. Il changeait de position et venait s'accroupir entre les jambes de Madame, il pouvait la caresser sur tout le corps, et ne s'en privait pas. Les cuisses, le haut des cuisses, ses pouces glissaient avec force sur l'intérieur de ses cuisses puis remontaient et caressaient avec force mais douceur également cette zone obscure, sans essayer d'y pénétrer. Ils s'attardaient partout autour de cette ouverture chaude et humide et ne se retiraient que pour laisser la place au lèvres de Jason.


Jason bandait comme il n'avait jamais bandé depuis sa première érection. Ses bras remontaient jusqu'à la poitrine de Nadine, ils la caressaient. La peau de Madame était tellement douce, Jason transpirait, il faisait chaud. 


Il remontait son visage sur le ventre de Nadine, sur son nombril. Elle tremblait, il la sentait frissonner de plaisir, chacun de ses frissons amplifiait son désir. Ses caresses devenaient plus insistantes.


Il remontait maintenant son visage sur la poitrine de Nadine, elle avait des seins petits mais fermes, bien fermes qui tenaient dans la main d'un honnête homme, Jason prenait un grand plaisir à sentir les tétons qui se raidissaient et durcissaient contre la paume de sa main. 


Elle se cambrait, son corps se raidissait, son cœur battait fort et sa respiration était bruyante. 


Jason se relevait, admirait le corps superbe de Nadine puis avec beaucoup de précautions s'allongeait sur elle, il prenait le plus grand soin de ne pas l'écraser. Elle était menue et lui était un athlète.


Toujours avec une grande douceur, il s'introduisait en elle, sa queue pénétrait sans résistance le sexe de Nadine et se glissait bien à fond, bien au chaud. Nadine refermait ses bras sur Jason, et refermait ses jambes dans son dos. Elle le retenait avec force.


Le corps de Jason glissait contre celui de Nadine, et sa queue entrait et ressortait avec douceur au début puis avec force et pour finir avec une certaine violence très contrôlée. Nadine hurlait de plaisir. Elle mordillait les lèvres de Jason et ne contrôlait plus ses gestes. 


Les mouvements de ces deux corps étaient désordonnés, plus personne ne contrôlait plus rien. Les deux amants se lâchaient, il râlaient, gémissaient, semblaient pleurer, mais c'était de bonheur.


Quand Jason à éjaculé dans le corps de Nadine, elle tremblait de plaisir et semblait pleurer. Il a gémi, tout son corps s'est contracté, c'était tellement bon. 


Puis les deux corps se son calmé, se sont effondré l'un contre l'autre. Quelques instants plus tard quand Jason ouvrait les yeux, il sentait encore la respiration forte de Nadine dans son oreille, il sentait son parfum sur son épaule …


Il était allongé sur le dos sur le transat, Dave était à ses pieds et le regardait … 


– Et bien Monsieur Jason ! Vous avez du faire un joli rêve j'ai l'impression …


Il lui lançait alors une serviette qui atterrissait juste sur sa cage de chasteté.


– Vous devriez vous essuyer Monsieur Jason !


Il avait l'air amusé, il rigolait doucement en s'éloignant. 


Jason passait sa main sur sa cage, sous la serviette, il avait éjaculé. Rapidement il s'essuyait. Il était vraiment embarrassé. C'est l'air penaud qu'il retrouvait Dave dans la cuisine. 


– Qu'est-ce qui s'est passé ?

– Rien, il ne s'est rien passé. Vous vous êtes endormi, Madame est remontée de la piscine, je vous ai entendu gémir, je suis allé voir si tout allait bien. Vous dormiez profondément et à entendre les gémissements que vous poussiez, tout allait bien !

– Pourquoi tu ne m'as pas réveillé ?

– Allons, Monsieur Jason, vous dormiez tellement bien !


Dave regardait à droite et à gauche, s'assurait qu'il n'y avait personne, se penchait vers Jason, l'embrassait sur la bouche et lui glissait dans l'oreille.


– Tu as du faire un super rêve là bonhomme !




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast


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