Presque frères 07

 Presque frères 07



Pendant tout le repas je suis resté avec une grosse molle mais je ne laissais rien paraître. Tommy lui est resté avec une grosse dure contrariée mais lui non plus ne laissait rien paraître.


Pour lui c'était plus facile. Enfin plus facile de dissimuler qu'il bandait je veux dire, surtout par rapport à moi. Je me souviens m'être dit qu'il me faudrait une cage à bite pour moi aussi mais j'ai rapidement chassé cette idée de ma tête.


J'étais retourné. Après le repas Tommy n'était pas pressé de rentrer, moi je ne pensais plus qu'au moment ou je me retrouverais seul avec lui. Au moment ou je pourrais l'enculer. 


Bein oui quoi, on savait tous les deux que ça se terminerait comme ça.


On a retrouvé nos copines, celles qu'on avait trouvées pour l'été … Pour moi, le cœur n'y était pas. Ma copine s'est bien amusée quand elle a vu que je bandais. Elle s'amusait avec moi, elle s'amusait de moi. Je la laissais faire. Elle me glissait à l'oreille.


– Tu peux t'exciter tant que tu veux, ça n'ira pas plus loin … Puis elle rajoutais … Je peux toucher ?


J'ai fait oui de la tête et elle ne s'est pas privé de bien tâter. Elle était impressionnée de la taille. 


On s'était allongé sur le sable de la plage principale, dans un coin tranquille. À quelques dizaines de mètres il y avait des passants et un peu plus loin des voitures et toute l'agitation d'une ville.


D'un œil je surveillais Tommy, sa copine s'amusait avec lui de la même manière. Moins timide elle avait glissé sa main dans le pantalon de mon copain et s'était lancée dans la découverte.


Elles nous entraînaient à la limite de l'eau, la mer était basse et nous étions alors assez éloignés de la route, il faisait sombre. Sans prévenir elles retiraient tous leurs vêtements et nous défiaient de les suivre au moment ou elles plongeaient.


On est resté perplexe pendant quelques instants puis Tommy qui n'aurait pas de mal à rester présentable se mettait également à poil et les suivait. J'en ai fait de même mais moi, j'étais moins présentable, enfin moins convenable. Mais je suivais tout de même.


Il faisait encore doux, l'eau était fraîche, ça aurait pu me calmer mais … non ! Finalement non, ça ne me calmait pas. Je bandais depuis le milieu de l'après midi et il m'en fallait plus que ça pour me calmer, bien plus. 


J'arrivais dans l'eau en dernier. On s'amusait à s'arroser, les filles me regardais, et  pas du coin de l’œil, non. Elles se rinçaient l’œil et ne cachaient pas qu'elles étaient impressionnées.


– Et toi Tommy, tu es aussi bien monté que ton pote ? Demandait l'une.

– On a la même taille ! Répondais-je fièrement sans me cacher.


Tommy arrivait sur sa copine comme un fou et la prenait dans ses bras avec autant de douceur que de force. Elle se cramponnait à lui et refermait ses jambes dans son dos. 


Ma copine arrivait sur moi mais elle était plus réservée. Me prenait la main et la mettait devant mon sexe.


– Voilà tu mets ta main la, si tu ne veux pas mettre toi aussi une cage, ça évitera tout accident …


J'étais pas à mon aise. Finalement c'était Tommy qui était le plus tranquille. Moi il fallait que je fasse attention à ce que je faisais, au risque de me prendre une gifle alors que mon pote, lui pouvait se laissait aller, rien ne dépasserait. 


On finissait par remonter sur le sable sec et tout le monde s'allongeait sur le sol. Elles nous ont laissé découvrir leurs corps mais uniquement avec les doigt et les lèvres. 


– Attention pas trop intrusif Tomas. Me faisait remarquer ma copine.

– Toi pareil, rajoutait la copine à Tommy, même s'il y a moins de risques avec toi.


On est resté là, chacun recouvrait sa copine de baisers de câlins. On s'est retenu d'être plus intrusifs mais je vous jure qu'il n'aurait pas fallu grand chose de plus pour que moi, je devienne beaucoup, beaucoup plus intrusif.


La nuit était bien avancée quand on a décidé de rentrer. Je bandais comme un malade et j'étais obligé de me retenir, de ne rien montrer. Là je ne pensais pas du tout à mon pote, je ne pensais absolument pas à ce qu'il pouvait éprouver. Il était neutralisé, il ne bandait plus, enfin plus pour le moment, il ne pouvait pas se soulager, se branler. Il ne pouvait que se résigner.


Ça ne devait pas être plus facile pour lui mais je m'en moquais, à ce moment précis, je m'en moquais.


En arrivant à la maison je me précipitais vers la salle de bain ou je retirais mes vêtements. Je plongeais sous la douche. Ma queue se relevait fièrement contre mon ventre, je me retournais, il y avait mon camarade Tommy dans l'ouverture de la porte, il était entièrement nu et le voir comme ça avec sa cage ne me calmait pas .


Il approchait, il se glissait sous la douche avec moi, me prenait dans ses bras et m'embrassait. Il ne lui fallait que quelques secondes avant de tomber à mes pieds et il me suçait la queue.


En fait je n'attendais que ça. Il était trois heures du matin et j'attendais ça depuis les quinze heures sur la plage. C'est à peu près ce qu'on avait commencé à faire quand l'autre fofolle d'Emmanuelle avait débarqué. Ensuite ça s'était barré en cacahuètes.


Mais maintenant on était enfin entre nous, on pouvait se détendre, je me détendais et je passais ma main sur le dos de sa tête. Au début je le laissais faire puis sans prévenir je tirais fermement sa tête vers moi. Ma queue s'enfonçait rapidement bien à fond. Je l'avais pris par surprise et n'avait pas eu le temps de réagir. 


Il encaissait bien. Quelques secondes plus tard je recommençait puis lui prenait fermement la tête avec les mains je lui limait la bouche. Il se concentrait, il ouvrait la bouche le plus large qu'il pouvait et il me laissait faire. Il restait seulement concentré pour que je sente pas les dents.


Ma queue glissait avec une étonnante fluidité, mon gland rencontrait d'abord ses lèvres, la langue suivait, tout d'abord elle me caressait le gland puis glissait contre ma queue au fur et à mesure qu'elle s'enfonçait. Ensuite ma queue s'écrasait contre sa gorge, glissait encore un peu plus profond puis je ressortais. 


Il reprenait son souffle, puis je recommençais. De nouveau je le tirais sans ménagement vers moi, de nouveau ma queue glissait jusque dans sa gorge. Je le sentais se détendre, en fait il était terriblement concentré à paraître détendu.


On continuait ce jeux pendant un long moment, l'eau coulait sur mon corps, sur ses cheveux, je sentais le plaisir monter, j'ai laissé faire. Je ne me suis pas retenu et quand j'ai joui, j'ai éjaculé trois fois dans sa bouche en le retenant. Il n'a pas tenté de se dégager il a tout pris dans la bouche. Trois grosse giclées de sperme bien chaud.


Ensuit, aussitôt après il s'est relevé et m'a embrassé, il avait gardé mon sperme dans la bouche et nous partagions le goût de ma sève dans un baiser chaud et intense.


Ensuite on s'est lavé. Ensuite on s'est lavé l'un l'autre. On s'est lavé de très près, dans les parties les plus intimes de nos deux corps, sauf les dents … 


Je me sentais mieux, je me sentais détendu, je cessais enfin de bander, ma queue se transformait alors en grosse molle qui pendait lourdement entre mes cuisses. C'était agréable et plus encore même. À ce moment encore je ne pensais pas du tout à ce que ressentait mon camarade. Je me sentais mieux, j'avais joui et il était tard, à ce moment j'avais surtout envie de dormir.


On à terminé de se laver puis on est allé se coucher. Je me suis endormi presque aussitôt. Mon camarade Tommy lui à mal dormi. Il m'avait donné du plaisir mais était resté sur sa faim, je ne lui avais rien donné en échange. 


C'est lui qui m'a réveillé le lendemain, il n'était pas neuf heures du matin, il me suçait la queue avec ardeur, je me réveillais, je bandais, j'avais le sourire. Je lui caressais les cheveux et l'encourageais. C'est à ce moment que j'ai eu envie de lui défoncer le cul.


Pour commencer je le laissais faire. Nous avions fais des progrès depuis le début de cet été particulier qui avait été une période de découverte du plaisir et de nos corps. Je le laissais faire et j'en profitais. 


Ensuite je le prenais dans mes bras et lui faisais un gros câlin. Il se laissais faire l'animal, je lui tripotais les couilles et je sentais la pression qu'il y avait dans sa cage. La peau de sa queue ratatinée poussait contre les ouvertures et ressortait en faisant de sortes de bulle, c'était joli mais je ne pense pas ça devait être confortable. Mais c'est vrai que ce n'est pas ce qui me préoccupait.


Je m'amusais un moment avec ses couilles, elles formaient une grosse boule bien ferme alors que les miennes se balançaient comme deux bourses bien pleine, les siennes semblaient gonflées jusqu'à devenir bien dures.


Nos deux corps roulaient l'un sur l'autre et je profitais que j'étais en position dominante pour le faire rouler en dessous de moi. Je me laissais alors retombé sur son dos. J'attrapais le gel, me préparait et d'un mouvement violent je lui glissais ma queue dans le cul. Il a râlé, je lui ai peut être fait un peu mal mais il m'a laissé faire.


Quelques secondes plus tard j'écrasais mon ventre contre ses fesses et je poussais de toutes mes forces. Lui il gémissais mais toujours sans essayer de se dégager. C'est ça, qu'il avait attendu la veille au soir, il voulait juste se faire enculer, se faire défoncer le cul et je ne lui avais laissé que le droit de me sucer.


Je me retirais et revenais à la charge avec un mouvement lent mais décidé, je me retirais une nouvelle fois et là lubrifiais rapidement puis je revenais avec force. Il a couiné de nouveau, je recommençais.


Rapidement je lui limais le cul avec régularité et force, il râlait quand je m'enfonçais, il gémissait quand je me retirait et quelquefois faisait le contraire. Enfin c'est lui qui faisait le plus de bruit.


Au bout d'un moment je me retirais complètement, je le retournais alors sur le dos et lui relevais les jambes. Son cul m'était offert, à ma portée, à ma disposition. Une goutte de gel lubrifiant et j'enfonçais ma queue bien à font dans un mouvement lent mais décidé.


Il accompagnait mon mouvement avec un long gémissement, une longue plainte de plaisir. Ensuite je m'agitais et le limais avec force. Je plaçais ses cheville au niveau de mes épaules et le tirais ver moi en plaçant mes mains sur ses cuisses. Ma queue entrait entièrement et à chaque fois que je m'enfonçais mon ventre s'écrasait contre ses fesses, je rajoutais un coup de bassin bien violent.


Il n'était plus que gémissement de plaisir, il se détendait et devenait tout mou. Plus aucune résistance, il se laissait faire. J'avais ses couilles sous les yeux, elle restaient toujours aussi fermes et je m'amusais à les écraser dans ma main avec plus ou moins de force. Je ne voulais pas lui faire mal mais je voulais qu'il le sente bien. 


Avec un tel traitement il me fallait plus très longtemps pour obtenir la réaction prévue. Je l'ai vu éjaculer, son urètre était juste bien placé dans l'axe de l'ouverture de la cage, il a éjaculé avec force et un jet bien épais s'élançait et venait s'écraser sur son visage. Plusieurs autres jets atterrissaient sur son torse, et le dernier arrivait sur ses lèvres. 


En même temps je sentais ses entrailles se contracter et me masser la queue. Quelques secondes plus tard je jutais également mais là, c'était moins spectaculaire, c'est en lui que j'éjaculais et c'était le pied. 


Je me laissais alors retomber sur lui et goûtais à sa sève en lui donnant un baiser sur ses lèvres. Il refermais ses jambes dans mon dos et on terminait par un gros câlin, on ne bougeait presque plus.


La fin des vacances approchait, on profitait des derniers jours de l'été tranquillement puis on se préparait à rentrer à la maison. On terminait par un grand nettoyage, nos copines étaient déjà reparties, les amours d'été ne durent généralement qu'un seul été. 


Nos familles étaient amies comme je vous le disais et voisines également à la ville comme à la mer aussi on rentrait tous ensemble. Quelques jours plus tard avec Tommy, nous faisions route ensemble dans la même voiture, à l'arrière. Son père et sa mère se relayaient au volant …


Nous serions internes et nous allions nous voir moins souvent. J'avais envie de le toucher, de le caresser mais ses parents étaient là.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


Presque frères 06

 Presque frères 06



Là je vous jure, il m'avait bluffé. J'arrivais pas à y croire. Quelques heures plus tôt, quand son père l'avait appelé, c'était pour mettre ce dispositif de chasteté. Il le porterait jusqu'à la prochaine rentrée scolaire, ensuite il entrerait dans l'université PK, et il le porterait pendant … Ça nul ne le savait …


Il n'était pas question que je le suive, ça il le savait. Mais je bandais comme un fou et je finirais bien par l'enculer d'ici peu de temps, ça aussi il le savait. En attendant, le voir avec ce truc sur lui m'excitait au plus  haut niveau, et je bandais. Là moi je bandais, ma queue était libre et en profitait. 


On a bougé, on a joué, on s'est baigné et on s'est aussi allongé au soleil pour se faire bronzer. Je bandais, je bandais comme jamais. J'avais toujours trouvé ce genre de dispositif repoussant mais là il ne me repoussait pas du tout. 


C'était peut être parce que c'était pas moi qui le portait. 


Par moment on se faisait des câlins, j'étais demandeur et c'est lui qui dirigeait. 


Il a fini par me sucer la queue. On était là allongé au soleil, j'étais nu, lui il l'était presque, oui presque, un tout petit truc faisait la différence. Ça m’excitait son truc, ça m'excitait, je lui tripotais les couilles,  je n'arrivais pas à me retenir et je bandais. 


On était devenus bon à ce jeux, je suçais bien et lui aussi, seulement maintenant, c'est pas lui qui se faisait sucer … Je regardais ma queue qui rentrait et ressortait de sa bouche avec régularité. C'était doux, ce n'était que douceur. Je sentais sa langue qui me caressait le gland, puis glissait le long de ma queue qui s'enfonçait et s'écrasait contre ma glotte et continuait encore plus profond, elle glissait dans sa gorge.


J'avais l'impression que le manque l'encourageait et que depuis le temps qu'il portait ce dispositif, il suçait mieux, il ne m'avait jamais sucé aussi bien. Enfin quand je dis le manque, ça ne durait que depuis le début de la matinée. Quelques heures seulement, quelques heures, qui changeaient tout ? Ou alors c'était moi qui me faisait des idées.


Il appuyait son visage entre mes cuisses et ma queue disparaissait. Il relevait son visage et elle ressortait. Il faisait ça avec talent, il faisait ça bien.


Sa peau était douce, je la caressais, elle était chaude, le soleil nous donnait de belles couleurs. Là encore il n'y aurait pas de trace du maillot de bain, pourtant on s'était baigné. 


Je lui caressais les fesses, je lui tripotais les couilles, il me laissait faire, je m'amusais avec son corps il me donnait du plaisir avec ma queue. Puis je me lubrifiais un doigt avec ma salive et doucement je le lui glissais dans le cul. Il a couiné.


Rapidement je glissais un autre doigt, il couinait de nouveau et recommençait a me sucer avec vigueur. De nouveau je sentais mon gland glisser contre sa la langue ou s'écraser contre le fond de sa gorge. Là c'est moi qui couinait de plaisir. 


Nous restions là, presque sans bouger, sa tête se soulevait ou se penchait sur ma queue et deux doigts gigotaient dans son cul. Nos corps se touchaient, ils glissaient l'un contre l'autre et chacun caressait l'autre avec tout son corps. 


Il arrêtait de me sucer, j'arrêtais de lui masser la prostate. Il s'allongeait sur moi et on se couvrait de baisers et caresses. C'est moi qui prenait le contrôle, je le retournais sur le dos et lui donnais des baisers dans le cou, mes lèvres descendaient vers ses tétons et je le faisait gémir.


Je sentais sa cage de chasteté qui tentait de se relever, elle y parvenait mais en partie seulement. Il y avait de la pression, la peau ressortait à chaque ouvertures, vous savez ce n'est pas un tube hermétique, cette époque est loin. Aujourd'hui il s'agit de dispositif très bien dessinées, avec une forme anatomique, invisible sous une étoffe et même sous un pantalon moulant. 


Là ça donnait un beau renflement très avantageux. Ce n'était que du chiqué mais on ne pouvait vraiment rien deviner si on n'était pas averti. Je lui donnais des baisers sur le ventre et en même temps lui tripotais les couilles. Il se laissait faire. 


C'est là qu'on a entendu un cri suraigu. On a sursauté, c'était Emmanuelle, la fille qu'on avait rencontré ici, sur cette petite île, quelque temps plus tôt.


– Mais vous en êtes encore là ? S'écriait-elle.


Sa tête apparaissait par dessus la dune, elle était nue comme la dernière fois, la dune était minuscule mais il y en avait une quand même. Je relevais la tête et lui souriait. Tommy levait les yeux dans sa direction, il était allongé sur le dos. C'est à ce moment qu'elle a vu sa cage de chasteté. Elle a poussé un autre cris suraigu. Ça semblait beaucoup l'amuser ce genre de truc.


– Fais voir, fais voir, fais voir ! J'en ai souvent entendu parler mais j'en ai jamais vu.


Elle sautait par dessus la dune, remarquez elle ne faisait pas plus d'un mètre cinquante de haut et déboulait juste à côté de nous. Elle me repoussait presque et se penchait sur Tommy.


– Ouah, c'est super ce truc, c'est super beau, moi j'adore.


Sans demander elle lui caressait les couilles, en faisant des commentaires, il me regardait sans cacher sa surprise mais la laissait faire. 


– Il faudra épiler !

– Je me demande si la cage n'est pas trop petite ?

– Remarque il parait que c'est normal !

– Si c'est trop gros c'est pas la peine.

– Et puis tu as une grosse queue, donc c'est normal si c'est trop petit.

– …


Elle se blottissait contre mon camarade en le caressant.


– Tu dois avoir besoin de réconfort mon pauvre. C'est pas trop dur à supporter après plusieurs semaines ?


Son corps glissait contre celui de mon ami, ils étaient beaux tous les deux, et moi qui bandait déjà, je bandait encore plus ferme. Je regardais la scène, Emmanuelle semblait m'avoir totalement oublié.


Elle le couvrait de baisers, il la caressait, sa cage se relevait, elle débordait. Bon il ne tentait même pas de la repousser, qu'est ce que vous voulez que je fasse, je n'avais pas le choix, je n'avais qu'à laisser faire. 


Les deux corps glissaient l'un sur l'autre et roulaient sur le sable chaud. Les mains Tommy se glissaient dans les parties les plus intimes du corps de notre nouvelle amie. Elle laissait faire. Je tentais de lui caresser une fesse et recevais aussitôt une tape sur la main. C'était Emmanuelle.


– Tu crois peut être que je t'ai pas vu venir toi. Met une cage si tu veux t'amuser avec moi !


Là je ne comprenais plus rien. J'ai décidé d'aller prendre un bain, et quand j'arrivais dans l'eau, je me retournais pour voir ce qui se passait. Ils étaient presque mélangés et je me demandais si c'était vraiment un cadeau qu'elle lui faisait. Sa frustration serait au plus haut niveau. Il ne pourrait pas aller bien loin dans sa situation, enfin il ne pourrait pas aller assez loin pour lui. 


Le plaisir c'était pour la petite !


Je plongeais, l'eau était plus fraîche que quelques semaines plus tôt, les jours aussi étaient plus courts et plus frais. Je bandais toujours. 


J'ai nagé pendant un long moment puis je me préparais à remonter sur le sable. En m'approchant je les voyais. Elle avait posé ses genoux de chaque côté de la tête de Tommy et était presque assise sur son visage, je devinais des mouvements de sa part, je devinais sa langue qui devait lui lécher la vulve. 


La cage de mon camarade était totalement relevée sur son ventre, la pression y était intense et par moment Emmanuelle se penchait sur le corps de mon ami pour le caresser et déposer des baisers, et elle ne se privait pas de lui caresser les couilles et de les luis lécher également.


Je bandais encore et ma queue s'allongeait fièrement à l'horizontal devant moi mais à la vue de ce spectacle, ma queue s'est relever avec force contre mon ventre. Je suis retourner dans l'eau et j'ai nagé, j'ai fait le tour de l'île. En revenant au même endroit, ils étaient toujours au même point, j'ai fait un second tour. 


Ce qui me consolait dans cette histoire c'est qu'il serait frustré comme jamais et de retour à la maison, c'est moi qui allait en profiter. Je n'avais pas le droit de toucher à la fille, et bien je me vengerais sur le cul de mon copain !


Au passage suivant ils étaient dans l'eau. Emmanuelle semblait radieuse, Tommy souriait mais j'avais l'impression que c'était un sourire de convenance. Pour Emmanuelle, il n'y avait aucun doute, elle avait pris son pied.


Elle était coquine c'est à peine croyable, quand je me suis rapproché elle m'a sauté au cou et elle m'a embrassé sur la bouche. Son corps glissait contre le mien, ses seins étaient fermes ses bras étaient fort et ses lèvres étaient douces.


Je me calmais à peine mais son corps chaud réveillait ma queue qui était encore dure. Elle se relevait avec force contre mon ventre. Emmanuelle rigolait de ma réaction.


– Ton copain Tommy sait se tenir lui au moins.


Puis elle s'éloignait en me caressant la queue. Elle avait un corps magnifique qu'elle balançait avec légèreté en se retournant de temps en temps pour voir notre réaction.


On est retourné s'allonger sur le sable, je bandais, je ne parvenais pas à me calmer. Tommy bandait, enfin il essayait, sa queue protestait dans sa cage et elle a protesté tout le reste de la journée. Pour moi aussi, ma queue a protesté jusqu'au soir. Simplement pour moi, ça se voyait. 


Elle était chaude la petite, en tout cas elle nous a bien chauffé la cervelle ce jour là. Elle nous laissait la caresser, enfin elle laissait Tommy la caresser. J'ai bien essayé moi aussi mais à chaque fois elle me disait.


– Tu mets une cage à bite toi si tu veux me toucher !


Par contre, elle ne s'interdisait pas de me toucher, elle m'a un peu tripoté les couilles, elle m'a un peu masturbé mais seulement quelques secondes, juste pour voir. En fait ça l'amusait de voir deux très beaux garçons tirer la langue devant elle. 


Ah les filles !


– Il a l'air chaud Tommy avec son truc sur la queue ! Ça fait combien de temps ?

– Depuis ce matin ! Répondais-je.


Elle se retournait vers lui. Il faisait oui de la tête.


– Ça ne fait pas longtemps alors ? Ça devrait aller ?

– Oui avant que tu n'arrives, ça allait encore. Lui répondait-il en se redressant et en la prenant dans ses bras.


Ils était juste là, à côté de moi et il la caressait, il glissait sa main entre ses cuisses, elle l'encourageait. Avec son autre main il lui caressait la poitrine … Elle l'encourageait. Et moi je bandais, ma queue était aussi dure qu'un morceau de bois et fortement relevé contre mon ventre.


Le soleil commençait à descendre vers l'horizon quand la petite Emmanuelle se levait, ramassait sa serviette, le penchait vers Tommy et lui donnait un tendre et chaud baiser en lui tripotant les couilles. Elle se retournait vers moi se penchait et me donnait un baiser sur le bout de la queue, je bandais encore bien, et brusquement je bandais de nouveau comme un fou. Surtout qu'elle y a mis la langue. 


Tommy rigolait en la voyant faire mais c'était uniquement pour cacher qu'il n'était pas vraiment à son aise. 


On s'est rhabillé, enfin un minimum, avec mon maillot de bain on pouvait facilement voir dans quel état j'étais. C'est vrai que mon copain Tommy était plus présentable. C'était même une forme avantageuse qui paraissait, moi c'était plus explicite.


On a mis en plus un short large et nous étions présentable.  On a ramené la petite comme la première fois, on avait accroché sa planche à notre petit bateau, elle est restée les seins nus jusque dans le port de plaisance. Elle est insupportable quand elle s'y met ! 


A la maison on s'est changé, nos parents avaient prévu une soirée restaurant et ils ne nous laissaient pas le temps de prendre une douche. On était arrivé en retard. Le soir on était dans un état, je ne vous raconte pas, on n'en pouvait plus. Je bandais toujours, je gardait une grosse molle, c'était agréable. La moindre stimulation me faisait bander ferme, quand j'ai vu la cage à bite de Tommy, je me suis mis à bander de nouveau. 


J'ai pris un pantalon large et des sous vêtements serrés.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


INDEX MENU PRESQUE FRERES

 INDEX MENU PRESQUE FRERES


Ils sont beaux, ils sont jeunes, ils ont grandi ensemble, ils se ressemblent mais ne sont pas frères !


Épisode 01

    Tommy, Paco avaient grandi ensemble, amis depuis la plus tendre enfance, leurs familles étaient proches. Ils partaient en vacances ensembles depuis toujours et c'est donc ensembles qu'ils ont vécu leurs premiers émois érotiques. 

Episode 01 

Épisode 02

     L'été est chaud, très chaud et les deux amis vont découvrir leur corps, tout particulièrement le corps de l'autre. Ils apprennent à se donner du plaisir et à en donner également. Ils vont bientôt découvrir qu'on peut aussi passer par derrière ... 

Episode 02

Épisode 03

    La découverte du corps de l'autre devient plus intrusive, ils parlent de leur avenir, de leur nombre d'enfants, entre deux plaisirs nouveaux qu'ils échangent puis les filles font leur apparition. Mais  c'est vrai que la petite Emmanuelle est un peu coquine.

Episode 03

Épisode 04

     C'était sans doute la petite Emmanuelle qui les avait mis dans cet état mais ce soir là ils sont passé à l'étape suivante, un des deux s'est dévoué, c'est vrai que c'est lui qui a demandé, ensuite il a râlé. C'est vrai que la première fois ça peut faire mal !

Episode 04

Épisode 05

     Puis ils vont apprendre à apprivoiser leurs désirs autant que leurs plaisirs. Cet été restera dans leurs mémoires comme une saison particulières et agréables, le derniers de leurs enfance, même s'ils ne sont plus des enfants. Jusqu'à ce petit dispositif qui apparaît et qui devrait lui aussi les marquer très longtemps.

Episode 05

Épisode 06

    Plaisir ou torture, ce petit dispositif sera un jouet, un jeu pour l'un et peut être autre chose pour l'autre. Et en plus il faut que la petite Emmanuelle réapparaisse à ce moment, et comme celle là, un rien l'amuse, la situation ne vas pas se simplifier.

Episode 06

Épisode 07

     C'est pas parce qu'il y en a un qu'ils vont se calmer, surtout que forcément il y a leurs copines, bein oui ils ont des copines ... Ils ne pourront que rester sage, enfin au moins un d'entre eux. Pour l'autre, la situation est plus simple mais bon, ils vont bien trouver le moyen de la compliquer un peu plus ...

Episode 07

Épisode 08

    Le premier moiS, les élèves de la PK School restent à l'internat. Tommy semble bien s'y faire mais il manque à son pote Paco. Pour lui les semaines sont longues, et les week end aussi, ça c'est sûr. Mais vient ce dernier week end ou ils vont pouvoir se retrouver ...

Episode 08

Épisode 09

     Paco n'est pas vraiment convaincu par cette nouvelle invention. Mais elle a des avantages, quand il est avec son pote Tommy il peut s'amuser avec son cul comme il le veut. Là c'est cool. Mais Tommy ne désarme pas et continue à proposer à son ami, de faire un essai, juste un essai ...

Episode 09

Épisode 10

    La je ne vous dit pas mais Paco est encore moins convaincu et la question qu'il se pose est toujours la même '' Mais pourquoi j'ai dit oui moi ? ''. Bein oui Tommy s'est montré convainquant. Mais, bon, c'est juste pour deux semaines ...

Episode 10

Épisode 11

    Arrivé à ce niveau de l'histoire on peur se demander lequel de Paco ou de Tommy est le plus abruti.  A en croire Paco, c'est pas lui. Eh oui ils se retrouvent tous les deux sous cage et à l'école de la PK. C'était pas vraiment prévu en tout cas pas vraiment prémédité à moins que Tommy ait une idée dans la tête ... 

Episode 11

Épisode 12

      Nos deux héros font régulièrement de nouvelles découvertes. De nouveaux plaisirs, de nouveaux jouets, de nouvelles émotions et de nouveaux rêves ... 

Episode 12

Épisode 13

    C'est Tommy qui prenait l'initiative et entrainait son ami Paco. Tout était nouveau pour les deux garçons mais Tommy avait plusieurs mois d'avance. C'est donc naturellement Tommy qui guide son ami. Après le plug , c'est le gode ceinture qui constituera la prochaine découverte, toujours prêt à servir, justement Tommy sait s'en servir ... 

Episode 13

Épisode 14

    Il y a aussi les vacances, c'est ça qui est bien quand on va à l'école. C'est valable pour nos personnages. Ils sont en vacances à la montagne, et bien sûr, toujours sous clé...

Episode 14

Épisode 15

    Paco reste sous clé, Tommy s'ammmuse à le faire signer des engagements qui font que Paco reste sous clé. Ils sont sur les pistes de skis, le soir c'est une piscine, ou la bite de Tammad dans le cul, et il est bien doté le bougre...

Episode 15

Épisode 16

    Un soir les trois fêtards font connaissance de nouveaux, ils vont alors se retrouver à cinq. Plus on est de fous plus on rit. Et là encore il y en a qui vont prendre cher ...

Episode 16

Épisode 17

    C'est un farceur mon Tommy, il m'avait fait signé les engagements avec l'école sans que je les lise, je m'en suis rendu compte un peu trop tard, je devais porter la cage pendant toutes les grandes vacances. Mais bon, ne pouvant pas jouer avec ma queue, je me contenterai de jouer avec la sienne ...

Episode 17

Épisode 18

    Tommy est un farceur, il ne porte pas et ne portera pas sa cage pour toutes les grandes vacances, j'ai failli dire les longues vacances. Elle vont être longue car moi je garderai encore la cage, et l'année à venir aussi . C'est un enfoiré. Et en plus il veut s'amuser avec des filles  ...

Episode 18


Épisode 19

    Pour terminer cette partie de l'histoire on va terminer en beauté, pas une ni trois et encore moins quatre mais deux filles, deux fille et une queue, celle de Tommy. Il y a des jours ou on regrette son choix  ... 

Episode 19






Le Roy 05 Jaffa

 Le Roy 05

Jaffa




J'étais déprimé, au bord des larmes, je rentrais chez moi en rasant les murs. Ça faisait trois mois, trois mois complets, trois mois longs et sans fin et l'espoir de me voir libérer disparaissait.


Je n'avais plus la force d'attendre, je n'avais plus la force d'espérer. C'est à ce moment que j'ai renoncé. C'était bon, je resterais comme ça le reste de ma vie, je ne serai jamais vraiment un homme, je n'avais jamais touché à une femme et ça ne se produirait pas. J'aurais bien aimé moi …


Surtout que les filles justement, elles me tournaient autour. J'étais devenu très beau, j'avais un corps parfait,  plein de muscles un peu partout. Attention pas difformes, pas de ces bras plus gros que les cuisses, pas avec des pectoraux gros comme des fesses. Je gardais un corps mince et élégant mais mes muscles couraient sous ma peau et étaient bien dessinés.


Mon frère avait le même corps, un peu moins musclé mais à peine, normal lui il pouvait évacuer son surplus d'énergie, surtout que sa femme était très … Oui très … Mais bon je ne vous en dirai pas plus c'est ma belle sœur …


Ces jours comme celui-ci ou je n'avais pas le moral je me réfugiais au milieux de mes moutons. J'avais réussi à économiser neuf pièces d'or, Il m'en avait demandé combien déjà ? Sept, il me semble. ' C'est bon ! ' me dijais-je je pourrais le payer mais.


Et c'est là que je fondais en larmes. Je pouvais le payer mais il ne viendrait pas, il avait eu un accident, il avait été volé, il était mort, il ne viendrait plus jamais, et personne ne savais ou était ma clé. C'est à ce moment que j'entendais la voix de mon frère.


– Mais qu'est ce que tu fabriques Flèsh, ton marchand vient d'arriver, je reviens du marché il en train de s'installer.


Je ne vous dit pas, je prenais ma bourse, il y avait largement assez d'argent pour le payer. J'étais entièrement nus avec ma bourse autour du cou et je courais vers le marché.


Je ne le trouvais pas tout de suite puis j'ai retrouvé Jaffa.


– Salut Flesh ! Me lançait-il. Alors ça s'est bien passé pour toi ?


Il était nu, il portait toujours son dispositif.


– Ton père est là lui demandais-je. J'ai l'argent.

– Oui il est là, tu sais on a souvent pensé à toi.


En se dirigeant vers le stand de son père, on prenait le temps de discuter. Il prenait des nouvelles. Lui n'avait pas retiré son dispositif, son père ne voulait pas.


– Je suis un branleur, c'est ce que me dit mon père à chaque fois que je lui demande de me libérer. En fait je crois que je vais porter le dispositif très longtemps, jusqu'à mon mariage, au moins jusqu'à mon mariage. Et en plus mon père ne veux pas que je me marie. Jusqu'à ma majorité au moins, mes trente ans, il me reste encore une dizaine d'année.


Le marchand me recevait avec un grand sourire.


– J'ai l'argent ! Lui disais-je en versant dans la paume de ma main le contenu de ma bourse, les neuf pièces d'or.


D'un geste rapide et précis il les attrapait, c'était un marchant expérimenté. Je voulais protester mais en me regardant droit dans les yeux …


– Tu veux ta clé ou pas ? Me demandait-il d'un ton sec.


Là je restais sans voix. Je voulais tellement ma clé que je laissais faire. Il continuait.


– Il te faut aussi un ceinturon, tu verras un ceinturon avec une cage à bite ça habille et ça fait tout de suite très chic …


Jaffa m'ajustait un très beau ceinturon, un ceinturon de luxe et ma queue réagissait avec force au contacte de ses doigts doux et rapide sur ma peau. Il y accrochait un poignard couvert de petites pierres brillantes. C'est vrai que ça avait de l'allure. 


– Tu peux aussi porter un harnais. Rajoutais le marchant. Tu as assez d'argent pour cela mais là par contre c'est sans la cage à bite, une cage à bite avec un harnais ça fait péquenot tu peux pas imaginer, ce n'est pas fashion mais pas fashion du tout.


Sans attendre Jaffa m'enfilait un harnais de luxe, un très bel objet, dans la sangle horizontale il y avait aussi une poche. On pouvait aussi y fixer une cape, c'était tout de suite mieux que de l'accrocher autour du cou.


Ils me laissaient m'admirer un moment dans le miroir. Puis …


– Je ne vais pas te laisser partir comme ça, un harnais, comme je te disais ça ne va pas du tout avec une cage à bite et si je te la retire maintenant je pense que tu ne vas pas pouvoir te contrôler.


Jaffa me déshabillait. Je ne gardais que la cage à bite.


– Mon fils va t'accompagner il te retirera la cage à bite chez toi.


Jaffa avait fait un paquet et était déjà prêt à m'accompagner. Il était vraiment beau, ses doigts était doux et je me souvenais la douceur de sa peau et de sa langue. Le marchand avait raison sur un point, si on m'avait retiré la cage à bite je n'aurais jamais pu me contrôler. À l'intérieur c'était la pression maximum et mon dispositif avait tendance à se relever. Je ne pouvais rien y faire.


Je me calmais un peu en traversant la place. Jaffa marchait juste à côté de moi. Je me sentais mieux, c'était dans ma tête, dans mon corps rien n'avait changé mais dans ma tête, je me sentais bien. La pression dans ma cage restait élevée mais ça ne me dérangeait plus. Je savais que j'allais être libéré, je m'imaginais me branlant pendant le reste de la journée, après c'est sûr, après seulement je retrouverais ma sérénité et mon self-control.


On discutait, Jaffa avait juste vingt ans, il avait deux ans de plus que moi. Son père lui avait mis le dispositif quatre ans plus tôt. C'était un branleur, c'était peut être un branleur mais c'était un branleur qui ne se branlait plus depuis plus de quatre ans.


Il était devenu suceur et avait fini par aimer tout particulièrement de faire défoncer le cul. 


Son père n'était pas toujours commode.


Nous arrivions chez moi, je faisais entrer Jaffa dans ma maison, j'avais une pièce pour moi tout seul, mon frère s'était installé chez les parents de sa femme, ils avaient beaucoup de place. Jaffa ouvrait le paquet qu'il transportait et m'enfilait le harnais. 


– Tu es très beau avec ce truc sur toi, et en plus tu n'auras plus besoin de de déplacer avec ta bourse, il y a  une poche dans la sangle là.


Il me présentait l'objet tout en me l'essayant. Ses doigts étaient particulièrement doux et me chatouillaient, il me faisait bander. Il agrafait ensuite la cape au harnais, c'était une belle, une très belle cape avec une capuche que je pouvais relever sur ma tête.


Il en venait enfin au ceinturon, il ne se privait  pas de me caresser le torse, les reins, une mains glissait même sur mes fesses et une autre sur le haut de mes cuisses et descendait jusqu'à mes couilles. Je me retrouvais tout habillé et beau comme un prince.


( Bein quoi, vous ne trouvez pas qu'il était tout habillé là ? Un harnais, une cape, un ceinturon … Bon il y avait encore le poignard qui était sur la table et à la rigueur des sandales montantes … Je ne sais pas ce qu'il vous faut ? ... note de l'auteur )


Jaffa était à genoux devant moi, il me caressait les cuisses, le haut des cuisses, dans sa cage je bandais comme un fou, ma queue savait qu'elle allait être libérée et déjà semblait prête à fêter l'événement. Trois mois s'étaient passés. Le dernier plaisir que j'avais reçu, c'était Jaffa qui me l'avait donné et le prochain … Ça semblait bien être Jaffa qui allait me le donner.


Avec des gestes experts il ouvrait la cage, il fallait aller vite sinon je risquait avec mon érection, de me retrouver coincé avec l'anneau à la base de mon sexe, mais avant même que je réagisse il avait retiré tout le dispositif et je me retrouvais avec la bite qui se relevait. 


Jaffa m'encourageait avec la douceur de ses doigts, il se promenaient sur mon corps, sur mon sexe, il approchait son visage et ma queue que je n'avais pas vu depuis trois mois, disparaissait entre ses lèvre, j'avais envie de hurler de plaisir. C'était tellement bon. C'était doux, c'était chaud, c'était humide et il y avais cette caresse incroyable sur mon gland, sa langue sur mon gland me rappelait comment c'était bon. J'avais presque oublié.


Son visage continuait à s'approcher, et son nez s'écrasait sur mon ventre, ma queue s'écrasait au fond de sa gorge. Je manquais d'air, je prenait sa tête à deux mains et je suivais ses mouvements. Il s'enfonçait, je le suivais, il se retirait, je l'accompagnais. Avec douceur je lui caressais les joues.


J'ai un peu peur que vous ne vous fassiez des idées sur nos mœurs. On n'était pas des débauchés, et moi c'était la deuxième fois que je me faisais sucer. On se baladait à poil, mais il ne fallait pas bander en public. Jeunes on pouvait se branler entre nous, mais uniquement entre garçons. Les filles arrivaient presque toutes vierges à leur mariage. Enfin vierges c'était rare parce que dans les semaines qui précédaient le mariage le jeune couple se laissait un peu aller. Ma belle sœur par exemple accoucherait seulement huit mois après son mariage, mais bon, sur ce détail tout le monde fermait les yeux.


Attention ne vous méprenez pas sur nous, en fait on était très prudes. J'allais avoir dix huit ans et j'étais encore puceau. A part les branlettes entre copains, à ce stade de l'histoire vous savez tout de ma sexualité …


Alors déçus, vous vous attendiez à plus croustillant ? Désolé !


Reprenons notre histoire. Jaffa, lui remarquez devait certainement être un peu plus débauché … Jaffa donc, savait ce qu'il faisait et il le faisait bien, ma queue glissait dans sa bouche avec une facilité déconcertante, elle n'avait pas diminué en taille, un moment j'en avais eu un peu peur, elle était toujours énorme mais ça ne semblait pas le déranger. 


Je ne sais pas comment il faisait ça, mais je sentais des caresses de quelque chose de doux et mou en permanence, quand il avançait son visage vers moi ou quand il relevais la tête.


Je lui caressais les cheveux, ils étaient courts, ils étaient doux, c'était comme une brosse très douce en soie. J'étais debout devant lui, il était à genoux devant moi, j'étais tout habillé, il était nu. Je me laissais aller et par moment je lâchait un coup de bassin, ma queue allait alors directement s'écraser au fond de sa gorge, par réflexe il reculait la tête et il reprenait.


Je me sentais bien, tellement bien que je continuais à me laisser aller, je m'abandonnais totalement et maintenant j'appuyais sur sa tête au moment ou  je lui donnais un coup de bassin, puis j'appuyais de plus en plus fort, il résistait et tentait par réaction de se dégager puis il y renonçait. Il tentait alors d'encaisser et de tenir.


À ce moment je lui appuyais alors sur la tête de toutes mes forces, ma queue qui était pourtant énorme disparaissait totalement son nez s'écrasait sur mon ventre et ses lèvres suçaient alors la base de ma queue.


Quand je le relâchais, il reculait sa tête, il était tout rouge, il reprenait son souffle et reprenait. Il en voulait, ce devait être le manque. Ça faisait plus de quatre ans, moi j'avais été en manque pendant trois moi, et déjà je ne vous dit pas mais je commençais à avoir des idées bizarres, je commençais à rêver que je me faisait défoncer le cul et que j'y prenais goût.


Les coups de bite que je lui donnais dans la bouche étaient violents et sans prévenir je le retenais fermement et je jutais dans sa gorge, il a encaissé, il n'a pas protesté, il n'a pas râlé, il a tout avalé c'est tout. 


Je lui crachais plusieurs giclées bien denses, bien riches, j'avais du stock, depuis plusieurs mois j'avais fait des réserves. 


Je me sentais mieux. Il se relevait, je lui donnais un baiser, il avait l'air surpris. Il avait laissé ma queue toute propre, elle était humide mais à part ça il n'y avait aucune trace de ce que nous venions de faire.


Ça m'avait coûté cher cette histoire, ça me servirait de leçon. Mais là c'est vrai que je m'en moquais, je me sentais tellement bien que je m'en moquais totalement !



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


INDEX LE ROY

INDEX


LE ROY


Épisode 01 : Une jeunesse au village 

    C'est dans un petit village du Nord que vient au monde et grandit notre ami Flesh. La vie y est simple, et il grandit vite le petit gars, plus vieux c'est là qu'il aura ses premiers émois, avec ses copains. La vie y est facile, on élève des moutons, c'est une zone désertique aussi on élève des animaux costaud, les dromadaires c'est trop fragile sous ce climat .

Épisode 01


Épisode 02 : Les commerçants

    Il a grandi notre petit Flesh, maintenant c'est un homme, un jeune homme mais un  homme. Petit il était mignon maintenant il est devenu très beau, de en plus de filles se retournent sur son passage, surtout qu'au niveau vestimentaire, on peut rester très minimaliste. Mais il n'est pas toujours futé le jeune homme, et s'est sans trop savoir comment il a fait qu'il se retrouve avec la queue en cage ...

Épisode 02


Épisode 03 : Comment tenir

    Il n'avait pas la clé, bien sûr, pas futé je vous dit. C'est le marchant qui avait gardé la clé en attendant d'être payé. Mais le problème c'est que ... C'est un marchant ambulant, un marchant qui traverse le pays pour vendre sa camelote. Il est reparti, et en colère en plus. s'il n'est pas payé, il ne donneras jamais la clé. Et tout ça, c'est pas que Flesh il ne pourrait pas payer mais ... Enfin bon ... 

Épisode 03


Épisode 04 : Sans espoir

    Les jours, les semaines, les mois, les années passaient ...  Là je crois que je vais un peu vite... Les semaines passaient et le marchant ne revenait pas. Les amis de Flesh, ne se privaient pas de le taquiner, de lui faire des propositions malhonnêtes. Enfin c'est vrai que entre garçon rien n'est interdit.

Épisode 04


Épisode 05 : Jaffa 

    Finalement avec un peu de patience tout finit par rentrer dans l'ordre. Le marchant va bien finir par arriver. Avec lui il y a aussi son fils, Jaffa, il est bien Jaffa, il est beau sexy et ... Flesh l'avait déjà un peu essayé, et en le revoyant il avait une violente envie de recommencer ... Tout se termine bien mais c'est pas fini ... 

Épisode 05


Épisode 06 : Le recrutement 

    Il y a des gens qui passent dans ce village, là c'est une homme, un militaire semble-t-il. Il travaille pour le ministère du service des proches ( même si on sait pas ce que ça veut dire, ça impressionne ! ). C'est ainsi que notre héro Flesh s'est fait recruté pour faire parti du premier cercle ( et là encore même si on ne sais pas ce que ça veut dire ... ) .

Épisode 06


Épisode 07 : En attendant le recruteur

    Les jours vont passer lentement et doucement en attendant que le recruteur ne revienne. Jaffa et Flèsh, notre héro, découvre une douceur chez Jaffa, une amitié se crée. Et ce pauvre garçon qui n'a plus rien deviendra un proche de Flèsh, il est adorable et même la famille finit par l'adopter puis, le recruteur revient, il a terminé sa tournée.

Épisode 07


Épisode 08 : Ce sera un long voyage

     Au bout d'un certains temps le recruteur finira par revenir. Flesh est toujours partant, Jaffa veut le suivre et c'est tout un groupe qui va prendre la route vers la première étape, le ville de feu. Ils ne sont pas rendus ... Mais ils marchent tous d'un même pas.

Épisode 08


Épisode 09 : Ville de feu mais ville froide

    Une escale, un moment de pause pendant  lequel nos voyageurs peuvent enfin se reposer et pendant lequel deux d'entre eux se laissent tenter et se détendent. On les traites bien vous verrez .

Épisode 09


Épisode 10 : Un de moins

    Les règles sont simples, les candidats doivent être et rester pur, si entre hommes ça ne compte pas, avec les femmes c'est plus pareil et le petit plaisir que notre camarade à donné à la patronne de la maison ouverte ( dans d'autres pays on appelle ça des maison closes ) est strictement interdit. Et notre camarade le savait ...

Épisode 10


Épisode 11 : La caravane administrative

    C'est sur plus d'un kilomètre que se déroule la caravane, comme un ruban qui n'en finit pas. Flesh fait connaissance avec tous les pilotes pendant le voyage. On va bien lui faire des propositions mais vous savez que c'est pas son truc à lui que de se prendre une bite dans le cul. Il continuera à se renseigner sur sa destination, le premier cercle est légendaire et on en dit bien des choses. 

Épisode 11


Épisode 12 : L'arrivée au bateau 

    Le voyage   ne se termine pas aussi facilement, ils ont traversé un désert maintenant il va falloir une mer, rassurez vous, ce n'est pas un océan. Mais de toutes façons aucun de nos héros ne doutait qu'il pouvait y avoir autant d'eau dans ce monde 

Épisode 12


Épisode 13 : Terre en vue

    Flesh comme on pouvait s'y attendre à réussi à préserver son cul, pourtant il est sollicité le bougre. Il ne se passe pas une journée sans qu'on lui propose de l'enculer, et tous les jours il est spectateur de ce genre de scène. Pour Hohaquim c'était presque une idée fixe. bon il faut bien se dire que les passagers n'avaient pas grand chose d'autre à faire. 

Épisode 13


Épisode 14 : L'oracle

  Alors celui là il dépote, pour ce qui est de plomber l'ambiance il est très fort. Tout le monde se sent mal en sa présence. Il n'est pas vraiment haut en couleur et semble monochrome mais, même avec un regard monochrome, il semble regarder au travers des gens à qui il parle. Et en plus on dit qu'il voit l'avenir ...

Épisode 14


Épisode 15 : La cour du Roi

    L'accueil est, comment dire inattendu. Le décor, les gens, les petite main, et les gardes, même la garde rapprochée portent une cage à bite. C'est comme un monde de chasteté et de pureté. Nos héros sont les seuls à être nus, totalement nus. leurs bites pendouillent lourdement entre leurs cuisses et pour ce qui de la pureté, il ne faut rien exagérer ... 

Épisode 15


Épisode 16 : La vie à la cour

    Flesh arrive à la cour du roi, il prend ses marques, ils s'installe dans non nouveau rôle de premier cercle et finalement il s'y plait, c'est une belle vie à la cour du roi.

Épisode 16


Épisode 17 : Le quotidien

    Peu à peu on s'installe dans une certaine monotonie, même si chaque jour est une nouvelle aventure, c'est une mission de représentation que le premier cercle assure. C'est pour cela qu'il faut être présentable et bien bâti, bien monté ...

Épisode 17


Épisode 18 : Un ange gardien en armes

    On fait quelquefois de très belle rencontre à la cour du roi. Chaque membre du premier cercle se voit attribué un garde du corps, il est chaste et de fait en plus de sa fonction de garde du corps, il est corvéable et baisable à volonté

Épisode 18


Épisode 19 : Un marchant de passage

    Quelquefois, des marchants passent et c'est toujours une bonne occasion de rencontrer quelqu'un de nouveau, de faire quelques achats, ou encore d'enculer un nouveau partenaire. Vous savez c'est permis, on peut faire ce qu'on veut pendant notre temps libre.

Épisode 19


Épisode 20 : Quotidien très banal

    Bôh ouai. Ça baise, on s'occupe comme on peut à la cour du Roi, quand c'est pas le Roi qu'on encule c'est quelqu'un d'autre. Il y a toujours des volontaires qui se perdent dans le coin et qui ne demande que ça !

Épisode 20


Épisode 21 : Le terrible accident

     J'avais prévenu, là ça se passe mal. L'épisode se termine mal, tant pis j'aurais prévenu. Âmes sensibles abstenez vous de lire ce passage. Il y aura tout de même un mort ... 

Episode 21


Épisode 22 : Le nouveau roi

     Bon maintenant il va falloir apprendre le métier. C'est pas facile tous les jours le métier de Roi dans ce monde étrange. On peut aussi l'appeler ' Le grand chaste ', notre héro n'avait pas prévu ce changement de carrière  ... 

Episode 22


Épisode 23 : Un début de règne

    Chaque jour est une nouvelle épreuve pour le nouveau roi, mais Flesh connaît déjà le protocole, il a simplement changé de rôle. Il y aura la crémation du roi précédent mais à par cette opération, il connaît tout et n'a plus qu'à s'habituer, c'est pas toujours facile d'être le roi !

Episode 23


Épisode 24 : Un marchand connu

    C'est un personnage qu'on connaît bien qui se présente à la cour du roi ce jour là. Le roi  Flesh le reconnaît tout de suite et fait appeler Jaffa. Ce personnage va bien sûr reconnaître Jaffa, c'était son fils, enfin c'est ce qu'il faisait croire. Mais c'est un escroc et pour une fois, la chance ne sera pas avec lui.

Episode 24


Épisode 25 : Un grand roi

     Le roi s'installe dans sa nouvelle situation, c'est un grand règne qui commence, assurément Flesh sera un grand roi. Il sera un grand roi et sa famille profitera de sa gloire ... C'est là que se termine cette histoire . 

Episode 25




INDEX

                          Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'...