PANIQUE PANDÉMIE 02 QU'EST CE QU'ON MANGE ?

PANIQUE PANDÉMIE 02
QU'EST CE QU'ON MANGE ?



Oui je sais, un titre affolant et affolé, puis un sous-titre trivial … Mais, c'est pas parce qu'on panique qu'on n'a pas faim ! Et en attendant de tous mourir il faut bien vivre … 

Nous étions désormais deux réfugiés survivants qui partagions le même abri. La situation s'était aggravée, à n'en pas douter. Dehors tout était en désordre, nous avons même vu passer un cerf l'autre jour. La rue restait désespérément déserte, seul le facteur passait encore en fin de matinée. Le pire semblait sur le point d'arriver. Nous ne survivrions pas à l'hiver !

Pour ceux qui auraient loupé le premier épisode, ne vous affolez pas en me lisant, tout va bien. Il ne faut pas s'inquiéter, on était seulement en confinement. 

Confinement, enfermé, pas bouger, pas sortir. Aaaaah ! ... 

Pareil ! Pas d'inquiétudes, ça me fait ça depuis quelques jours à chaque fois que j'entends le mot confinement. 

La situation s'était aggravée, alors ça c'est sûr, il n'y avait plus rien à manger et pire même, il n'y avait plus de bière ! Il faudrait envisager une sortie pour se ravitailler. Étienne préparait les sacs pour faire les courses et voyant mon air méfiant au bord de la fenêtre.

Étienne : Mais non ce n'est pas dangereux, les brigades de quartier ont chassé tous les zombies !
Moi : C'est ça moque toi ! Je voudrais t'y voir moi !
Étienne : Mais c'est que je vais y aller aussi, avec tout ce qu'il nous faut on ne sera pas trop de deux !

J'étais toujours en mode '' Fin du monde – Zombies '' !

Il n'empêche que dehors c'était le pied. Je n'ai croisé que quelques voitures, c'était la première fois que je sortais ma voiture du garage depuis plus de deux semaines. On avait choisi de faire nos courses en début d'après midi, c'est là qu'il y a le moins de monde. Sinon il parait qu'il faut faire la queue. Etienne prenait un caddy sur le parking du supermarché et on se dirigeait vers l'entrée du magasin.

Étienne : Tu aurais du prendre un caddy toi aussi !
Moi : Tu crois qu'on aura vraiment besoin de deux caddy ?
Étienne : Il n'y a pas que ça …

Je me faisais jeter à l'entrée du magasin … Une personne, un caddy il a dit le vigile … Je revenais quelques instant plus tard avec un caddy et prenait mon air idiot en approchant de l'entrée. Me reconnaissant le vigile poussait un grand soupir mais me laissait passer. Finalement on avait bien besoin de deux caddys … On avait fait le plein, tout ce qu'il faut pour remplir le congélateur, des légumes et un caddy à lui tout seul plein de boissons. Non il n'y avait pas que de la bière ! Il y avait du caca-cola et même de l'eau ...

On ne croisait que deux voitures sur plus de dix kilomètres pour le retour. 

Étienne : Tu vois bien qu'il n'y avait pas de zombies !

Bon il se moquait, je préférais ignorer.

Étienne : En tout cas on a fait le plein, on a de la réserve …
Moi : Des fois que, la tempête, le vent, la pluie, la neige ne nous cloue pendant des semaines à la maison … 
Étienne : Eh bien ça nous change des zombie ça.  Tu es grave toi ! Je te rappelle qu'on est en Avril.
Moi : Oui mais il n'y a plus de saison !

Il rigolait. 

Rapidement on rangeait tout.

Étienne : Mais il n'y a pas de viande, pas de charcuterie ! Il y avait plein de boucherie, ne me dis pas que tu as tout laissé à la caisse !
Moi : Mais non, je l'ai seulement laissé au magasin.

Il me regardait l'air bizarre …

Moi : Je l'ai fait livrer !

Il levait les yeux au ciel.

Étienne : Mais enfin, tu as vraiment des idées bizarres, on a ramené un volume incroyable de bouffe et de boisson et tu choisis de laisser juste quelques paquets pour les faire livrer !
Moi : Oui je sais, mais, c'est que … Enfin tu comprendras quand tu verras le livreur !
Étienne : Mouai ! Bon on verra !

L'après midi prenait fin quand on sonnait à la porte.

Étienne : Je vais ouvrir !

J'entendais la porte s'ouvrir puis quelqu'un entrait, j'entendais des voies. Étienne revenait vers moi …

Étienne : Finalement tu as bien fait de faire livrer !
Moi : Tu as vu le boucher ?

J'allais aussitôt faire la bise à Denis. Denis c'est le boucher mais vous aviez deviné. Je faisais les présentations. On rangeait rapidement la marchandise dans le frigo et dans le congélateur puis on s'ouvrait une petite bière.

Denis : ( à l'intention d' Étienne ) Il est toujours en mode Zombies ?
Étienne : Oui mais tout à l'heure il parlait de neige de tempête …
Denis : Donc il ne va pas mieux !
Étienne : Pas vraiment j'ai l'impression, mais ça ne fait pas longtemps que je le connais.
Denis : Tu ne t'inquiètes pas surtout, il se fait beaucoup de cinéma dans sa tête …
Moi : Bon, ça va, faite comme si je n'étais pas là !
Denis : Oh le pauvre petit doudou, il est fâché le petit doudou !

Denis me faisait une bise sur la joue. Je baissais la tête et relevais les yeux.

Moi : Encore …

Denis venait s'asseoir à ma gauche, et me prenant dans ses bras me donnait des baisers sur la joue. Étienne voyant cela ne voulait pas rester simple spectateur, il venait s'asseoir à ma droite et en faisait de même. Je retrouvais mon sourire idiot !

Je passais mes bras dans leurs dos et les serrais contre moi. Je tournais la tête d'un côté et de l'autre, en embrassant un puis l'autre mais toujours avec la même tendresse et la même passion. 

Vous avez compris que Denis, je le connaissais depuis un moment déjà. Ça faisait même longtemps pour être exacte. Étienne est étudiant, il est très jeune et très mignon. Denis est plus vieux, il a passé la trentaine, pas depuis longtemps mais il l'a passé mais il est pas mal lui aussi dans son genre.

Très élégant, une silhouette mince et discrètement musclé, mais c'est pas du toc, c'est ferme et très doux. Il a une belle fourrure très douce mais ce n'est pas un ours. Vous allez voir ça dès que je l'aurai déshabillé !

Bein oui quoi on ne va pas en rester là !

Ils passaient chacun une main, sous mon T-shirt et la remontaient sur tout mon ventre, ils me chatouillaient un peu et me faisaient frissonner, je laissais faire, c'était agréable.

J'en faisais de même et mes doigts savaient apprécier la douceur de leurs peau. J'essayais de passer une main sur le ventre de mes partenaires pour caresser leurs torses, mais bon on était assis côte à côte et la position ne le permettait pas.

Agacé je me relevais et retirais mon T-shirt sans prévenir. Étienne souriait à me voir faire, je ne laissais pas à Denis le temps de réagir et lui retirais à lui aussi son T-shirt. Maintenant je suppose que vous serez d'accort avec moi pour reconnaître qu'il est bien foutu mon pote Denis … 

Oh pardon ! J'avais oublié qu'il y en a qui n'ont pas la couleur !

Il a des muscles fins mais bien dessinés, pas un poil de graisse, une très belle et très douce fourrure pas trop envahissante, juste ce qu'il faut … Il est superbe. Il rigolait de me voir faire et n'avait pas vraiment résisté. A son tour il se relevait, ouvrait son pantalon, le faisait tomber sur le sol, d'un geste du pied il repoussait ses chaussures et son pantalon, sa queue se relevait fière et elle aussi musclée, doucement musclée elle aussi mais bien ferme et de très belle taille.

Je vous jure, c'est le genre de boucher qui fait changer ses habitudes alimentaires à n'importe quel végétarien.

Sans attendre je retombais à genoux devant lui et prenais sa queue dans ma bouche. Mes yeux croisaient le regard d'Étienne qui regardait la scène avec des yeux tout ronds. Il se relevait à son tour, je suçais la queue de Denis, il me guidait la tête avec ses deux mains, il y allait tout doucement en premier puis plus fermement il commençait à me donner des coups de bassin. Sa queue s'enfonçait bien à fond et venait s'écraser dans ma gorge. 

Je sentais les mains d' Étienne me caresser les épaules, puis c'était ses lèvres qui me déposaient des baisers dans le cou, juste sous les oreilles. Ses mains alors glissaient le long de mon corps, passaient sur mon torses et ses caresses devenaient plus fortes, plus intenses.

Je tournais ma tête en arrière et mes lèvres rencontraient celle d' Étienne, on échangeait alors un long et tendre baiser. Quand je retournais mon visage vers Denis je levais la tête, il me regardait avec le sourire, me caressais la joue et me montrait sa queue qui était bien droite, bien raide, bien grosse. Je me l'enfilais dans la gorge de nouveau, il en profitait pour me donner un coup de bassin et pour appuyer ma tête contre lui en gémissant de plaisir.

Étienne était dans mon dos, il s'était agenouillé lui aussi, ses genoux étaient entre mes jambes, juste en dessous de mes fesses. Il me couvrait de baisers tout le haut du dos. Ses mains me caressaient le ventre et doucement se glissaient sous mon pantalon. Il faisait sauter un à un les boutons de mon pantalon qui glissait sur mes genoux. 

Denis me balançait des coups de bassin de plus en plus forts, à chaque fois je tentais de relever la tête, il me retenait alors avec les deux mains et appuyait sur ma tête. Je sentais son gland s'écraser dans le fond de ma gorge, j'adore ça et il le sait l'animal.

Étienne glissait ses mains entre mes cuisses, me massait les couilles, me tripotait la bite avant de me branler dans les règles. Il me décalottait et me massait la gland après m'avoir généreusement lubrifiée la queue avec sa salive. Je me contractais, je sursautais, c'est sensible là vous savez. Avec son autre main, il me caressait les fesses avec de plus en plus d’insistance. 

Il me lubrifiait le cul et je sentais un doigt forcer le passage. 

Vous devez commencer à me connaître et ça ne vous étonnera pas si je vous dis que j'ai pas fait d'histoire, bien au contraire, j'ai laissé faire !

Avec deux doigt il me massait le cul et quand il les enfonçait bien à fond il en profitait pour tambouriner sur ma prostate.

Rapidement là, je réagissait et malgré la queue de Denis qui me limait la bouche avec vigueur je parvenais à râler … Mais c'était pas pour me plaindre, je vous jure !

Au bout d'un long moment Denis décidait de s'asseoir, je suivais le mouvement et me retrouvais à quatre pattes devant lui, sa queue toujours dans ma bouche, mais ça va, là je gère ! Étienne en profitait pour me dégager les jambes, et jetais plus loin mon pantalon et mes chaussures. Ma nouvelle position était plus propice pour la suite.

Étienne continuait à me tripoter les couilles et la bite avec efficacité pendant un long moment. J'étais plus ou moins dans une position inconfortable. Il fallait que je m'appuie sur mes bras, sinon je tombais en avant et la queue de Denis me rentrait un peut trop dans la gorge. Surtout que l'animal en profitait alors pour appuyer sur ma tête encore plus fort … ( le farceur ) … C'est pas que j'aime pas, je ne veux pas me plaindre mais il y a des limites. 

Donc j'étais plus ou moins obligé de laisser faire Étienne. S'il y allait un peu fort avec ma bite et mes couilles au niveau de mon cul … c'était top. Il m'avait bien lubrifié le cul, et le dilatait juste comme il faut. Je commençais à vibrer de plaisir, là au milieu de mon ventre, avec le massage de ma prostate qu'il me faisait.

Il n'arrêtait de me tripoter les couilles que pour prendre position et m'enfoncer sa queue sans prévenir, bien à fond, en un mouvement rapide et décidé. J'ai gueulé, c'est vrai qu'il y avait la queue de Denis qui aurait du faire bâillon mais ça n'a pas suffi, ça les fait rire, je suis tombé en avant j'ai pris la queue de Denis bien à fond, bien au delà de la limite des amygdales et pendant que Denis, histoire de rigoler, me retenais le visage contre lui avec force, Étienne commençait à me limer le cul …

La vache, je l'ai senti passer là ! C'était bon. Je voulais dire quelques chose mais je ne pouvais pas. Remarquez je voulais juste leur gueuler des '' Encore, encore … '' et comme eux ne voulaient pas arrêter on était d'accord, même sans pouvoir se le dire !

Pendant un long moment je n'ai rien fait sinon subir, sinon apprécier, sinon jouir avec force au moment venu. J'ai juté, plus personne ne me touchait la bite ou les couilles mais j'ai juté, c'était terriblement bon. J'ai senti Étienne s'énerver un peu plus sur mon cul, là j'avais bien envie de lui demander de se calmer mais je ne pouvait toujours pas parler.

Son ventre claquait sec contre mes fesses quand il revenait, quand il m'enfonçait sa queue bien à fond et il gémissait de plus en plus fort lui aussi. Enfin moi je gémissais comme je pouvais. Mais Denis aussi il gémissait de plus en plus. Je le sentais trembler entre mes bras, j'avais passé mes épaules par dessus ses cuisses, c'était le seul moyen que j'avais trouvé pour pouvoir résister quand il appuyait trop fort sur ma tête. 

C'est Denis qui à conclu en premier, il m'a balancé cinq ou six giclées de sperme dans la gorge, il me retenait toujours la tête mais moins fermement, il me laissait respirer pendant que Étienne terminait de me défoncer le cul avec quelques dernier mouvements particulièrement violents. Il avait joui lui aussi.

Étienne ne bougeait plus, Denis débandait rapidement, je retrouvais mon souffle.

On finissait pas se séparer, par se lâcher, on se relevait et on allait prendre une douche, chacun lavant l'autre avec douceur. 

Denis et moi nous laissions tomber sur le canapé, Étienne arrivait quelques instants plus tard avec trois bières …

On retrouvait notre calme … 

Moi : Bon bein, c'est bien beau tout ça mais … Qu'est-ce qu'on mange ?




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

30 Avril 2020

J 121



26 Avril 2020

J 117







PHILIPPE EP 36 : APRES UNE NUIT D'AMOUR

PHILIPPE
EP 36 : APRES UNE NUIT D'AMOUR


Mon père ressortait de ma chambre. Il faisait une drôle de tête, il semblait à la fois rassuré et effondré. C'était difficile à dire. Il avait l'air retourné le pauvre. 

Finalement ça c'était bien passé !

Alex entrait et la porte ouverte j'entendais des hurlements dans le couloir, je reconnaissais la voix de mon oncle Bob. 

– Et bien tu as fait du propre mon garçon ! Surtout ne bougez pas d'ici je m'occupe de tout et vous tiens au courant de tout ce qui se passe ! Me déclarait Alex.

Il repartait et maintenant même la porte fermée j'entendais les hurlements. Ça me faisait tout drôle, à la maison quand ça gueule comme ça, c'est toujours mon père qui gueule et moi qui m'en prend plein la tête … Là c'était un peu différent, les aînés, c'étaient mes oncles Luc et Bob et là c'était eux qui gueulaient et c'était mon père qui en prenait plein la tête.

Juliette se levait mais ne voulant pas dévoiler sa nudité partait dans la salle de bain avec la couette sur le dos. Je me retrouvais à  poil au milieu de mon lit.

J'ai entendu des phrases du genre …

'' Antoine tu es peut être le maître du monde mais ici tu ne me parles pas sur ce ton ! '' . Ça c'était mon tonton Bob, on m'a dit plus tard que mon père l'avait traité de '' grosse tapette '', c'est vrai ça c'est vexant, mon tonton Bob n'est  absolument pas gros.

'' Tu t'attendait à le trouver dans les bras d'un homme ? '' , là c'était tonton Luc et il reprenait : '' tu vas immédiatement présenter des excuses à ton oncle ''. 

Ça me faisait tout bizarre, en temps normal c'est mon père qui parle fort et je crois que c'était la première fois que j'entendais quelqu'un lui parler sur ce ton.

Ça se calmait, je n'entendais plus rien. 

– Ça va Juliette ? Lui demandais-je.
– Non pas vraiment ! Me répondait-elle depuis la salle de bain.
– Mais qu'est-ce qui ne va pas ma puce !

Je suis un vrai gentleman quand je veux moi vous avez vu ça … '' ma puce '' ! 

– Mais tu te rends pas compte du désordre qu'on a provoqué. Je vais dire à ton père que c'est ma faute, je ne veux pas que tu ais des problèmes.
– Alors là certainement pas ! Ce serait pire. Mon père est spécial, laisse moi gérer la situation !

Alex entrait de nouveau, il apportait le petit déjeuner. 

– J'ai pensé que ce serait plus calme dans ta chambre. 

Il faisait une pause, me regardait, j'étais à poil sur mon lit.

– Tu n'as plus de couette ?
– C'est Juliette elle est …
– Ah ok !
– Ils en sont ou là ?

Juliette arrivait elles s'était habillée !

– Tout va bien les jeunes. Au dernières nouvelles ton père menaçait de te déshériter et ton oncle Luc menaçait de le dénoncer au publique s'il osait. Nous expliquait Alex.
– Le dénoncer ? S'étonnait Juliette.
– Histoire de lui faire honte ! Monsieur Luc est le plus gros directeur de presse de la planète, il dirige je ne sais combien de centaines de journaux à travers la planète et je ne sais combien de chaînes de télé … Expliquait Alex en servant le petit déjeuner.
– Oui mais tout ça appartient à la PK ! Continuait Juliette.
– Certes mais en partie seulement de plus monsieur Antoine n'a pas le pouvoir de lui en retirer la direction, son frère monsieur Djé a rédigé lui-même le contrat ! Combien de sucre Mlle Juliette ?
– En un mot il ne peut rien faire ! Expliquais-je à Juliette.
– Au fait si je peux vous donner un conseil … Vous devriez rester dans votre chambre jusqu'à ce que ça se calme. Philippe, ton grand père arrive !
– Oui mais il a de la route à faire !
– C'est pour ça qu'il a pris un Jet, l’hélicoptère n'était pas assez rapide.

Bon là vous vous dites que je ne contrôlais plus rien … C'est un fait ! Mais bon si mon grand père s'en mêlait tout devait bien se passer !

Un peu plus tard Alex revenait il se proposait de ramener Juliette, il lui semblait préférable que je reste sur place. Peu après le jet se posait sur la piste privée, mon grand père était dans les murs.

Il commençait par venir me voir, je lui racontait … Et c'est ensemble que nous descendions dans le grand salon. Mon père était dans un coin, il regardait par la fenêtre. Luc était dans son bureau, et Bob également dans son bureau. Ils nous rejoignaient.

Quelques secondes plus tard c'était l'engueulade …

– Quoi ! Tu as osé traité ton oncle de grosse tafiole  ?
– Tapette Djé il a dit tapette …
– Tu vas présenter des excuses à ton oncle !
– Papa je te rappelle que je ne suis pas n'importe qui, pas un obscur conservateur d'art moi en tout cas !
– Je ne vois pas le rapport, tu n'est que le directeur d'une multinationale et si tu parles encore comme ça à tes aînés ton père pourrait bien te virer !
– Et moi je ne suis pas un obscur conservateur d'art ! ''

...
Je pense qu'il ont mis du temps avant de remarquer que j'étais sorti.

Bein oui il faut bien me comprendre, j'étais dépassé par les événements et ne contrôlais plus rien. C'était pas la peine que je reste plus longtemps. J'étais venu en voiture aussi je prenais une moto de sport dans le garage, une tenue complète et je faisais route. 

Un peu plus tard sur la route, je m'arrêtais au '' Refuge des Cotes '', c'est une sorte de bar, un endroit étonnant, on m'en avait parlé. Il fait bar, salon de thé, bibliothèque et on ne sait trop quoi. Le temps était morose, il n'y avait personne sauf le gérant. C'était un homme de plus de quarante ans sympathique et souriant. 

– Dites donc, il n'y a pas grand monde aujourd'hui.
– C'est le temps et il faut bien dire aussi que c'est pas la pleine saison. Me répondait Thom le patron des lieux.

Je regardais par la baie vitrée, d'un côté on pouvait voir la mer et de l'autre la forêt. Le ciel devenait noir, la luminosité baissait, on se serait cru le soir pourtant on était en début d'après midi.

– Vous faite à manger ? Demandais-je.
– Je peux te dégeler quelque chose. Désolé en cette saison les cuisines sont fermées.
– Ça marche, tu me proposes quoi ?
– J'ai une petite merveille, un cassoulet maison .
– Ouai maison, je vois le genre, et surgelé en plus !

Il rigolait.

– Parfaitement, c'est moi qui l'ai cuisiné, c'est moi qui l'ai emballé et c'est moi qui l'ai surgelé ! … Tu vas voir, c'est une recette maison !

Il avait raison, il était bon son cassoulet. Ensuite il me proposait un café. La cheminée était allumée, on s'installait devant, le temps passait on ne disait rien. J'oubliais peu à peu la scène qui devait encore continuer à la maison. 

Thom se levait. 

– Je vais fermer, si tu veux rester …

Je ne bougeais pas, je restais là tranquille, plongé dans une sorte de mélancolie. La nuit n'avait pas été facile et le début de la journée, je préférais ne plus y penser. Thom s'installait juste à côté de moi. 

– Tu as l'air un peu perdu ?

Il posait sa main sur la mienne, il avait les manches relevées et ses bras était recouverts d'une fourrure épaisse. Sans penser à rien je lui caressais le bras, sa fourrure était douce.

– En tous cas tu n'es pas farouche.

Il m'embrassait sur la bouche et je lui rendais son baiser. Il me caressait le visage, passais sa main sur mon cou, il faisait preuve de beaucoup de douceur. Ça me changeait, la nuit avait été pleine d'émotions. C'est vrai que Juliette n'est pas vraiment violente mais … Bon … Ouai … Un mec c'est tout de même bien mieux et là au moins je sais comment ça marche.

Thom était un ours, mes copines ( là je parle des mecs ) sont jeunes, ils ont mon âge et aucun n'est aussi poilu que Thom. Mais c'est vrai que sa fourrure était douce, épaisse, noire et vraiment douce finalement. Il était brun, très brun et sa peau était bronzée. Il avait fermé la porte, on ne serait pas dérangé. Il jetais un gros tapis sur le sol, juste devant le feu, s'allongeait et m'invitait à le suivre. 

Je lui faisais un grand sourire et me penchais sur lui. Ma main passait sous sa chemise, il en faisait de même.

– C'est mignon ça, tu n'as pas un poil sur le corps. J'aime bien.
– Toi par contre tu as une vraie fourrure.
– Tu aimes ?
– C'est doux ! Je ne suis pas habitué mais jusque là ça me plaît. 

On échangeait des baisers, je lui suçais les téton, ses poils me chatouillaient mais j'étais surpris. J'avais toujours pensé que les poils ça devait être rugueux, mais là sa fourrure était vraiment douce, rapidement j'en redemandais.

Il prenait l'initiative de me retourner sur le dos et de commencer à me déshabiller. Il me retirait ma chemise en premier et couvrais mon torse de baisers et de caresse. A chaque fois que son corps se posait sur le mien je sentais sa fourrure tellement douce. Quand je le retournais sur le dos à mon tour je continuais à profiter de cette douceur en m'allongeant sur lui. 

Je le regardais droit dans les yeux au moment ou j'ai ouvert son pantalon. Il me souriait, il levait la main pour me caresser le visage, je glissais ma main dans son pantalon. Pas un instant je n'avais imaginé qu'il pourrait porter un dispositif de chasteté et je crois que si ça avait été lé cas j'aurais crisé. Je vous jure que là, j'avais vraiment envie d'une queue et la sienne était belle.

Il soulevait le bassin pour m'aider à faire glisser son pantalon et en même temps que je le lui retirais je me penchais sur lui et prenait sa queue dans la bouche. Il était circoncis, j'aime bien. Je lui chatouillait le gland avec le bout de la langue, puis je le lui suçais plus fermement. Pour finir je prenais sa queue dans ma bouche jusqu'à la gorge. Ma langue la léchait sur toute sa longueur. Il gémissait déjà de plaisir.

Thom : Bein dis donc mon bonhomme, tu sais y faire toi !

Il soupirait fort, il respirait fort, il appuyait doucement sur ma tête pour m'encourager. Je n'en avais pas vraiment besoin. Là c'était autre chose que ce que j'avais eu la nuit dernière. Une belle bite, une poitrine musclée et bien poilue, bien virile. C'était quand même bien mieux.

Je me lâchais et le caressait de toutes mes mains, et je regrettais de n'en avoir que deux. Il me caressait les bras, ses mains étaient fortes et douces. Il était nu dans mes bras, j'avais encore mon pantalon mais ça ne devait pas durer bien longtemps. Il me retournait sur le dos, me prenait dans ses bras avec virilité, je sentais tous ses muscles qui m'enveloppaient, je me cramponnais à lui.

Quand il me relâchait c'était pour m'ouvrir mon pantalon et me le retirer. Il me suçait la queue à son tour, relevait la tête et me regardait dans les yeux.

– Je vais te prendre !

Ce n'était pas une question mais je lui répondais en refermant mes jambes dans son dos. Avec force, d'une manière décidée, il me tirait vers lui, me soulevait les jambes, posait mes chevilles sur ses épaules, s'appuyait sur moi. Son bassin s'approchait de mes fesses et quand sa queue touchait mon anus je poussais un petit gémissement.

Il ne s'arrêtait pas, il continuait à avancer son bassin et je sentais sa queue s'introduire dans mon cul, doucement mais fermement. Un instant j'étais saisi, j'ouvrais ma bouche en grand mais aucun son n'en sortait.

Il me regardait avec beaucoup d'attention, il faisait très attention à toutes mes réactions tout en continuant à me pénétrer. Au moment ou son bassin touchait mes fesses il se penchait sur moi et m'embrassait avec passion. Toujours en m'embrassant il se retirait et revenait, il commençait son mouvement de va et vient.

Je gémissait pas le nez, il avait sa bouche collée sur la mienne. Ça le faisait rire et il accélérait le mouvement. Un peu plus vite, toujours avec force, avec virilité, mais toujours avec douceur. Il était bien monté, sans plus mais bien monté et je ne vous dis pas comment j'ai apprécié, j'avais envie de hurler de plaisir. 

Ça me changeait tellement de la nuit dernière.

Je refermais mes jambes dans son dos, je le retenais, quand il se retirait je serrais les jambes plus fort et me détendais quand il s'enfonçait en moi. 

Je n'ai pas vu le temps passer. Nous sommes resté un long moment dans les bras de l'autre. Par moment il ne bougeait plus mais je continuais à trembler de plaisir. Le plaisir ne cessait de monter de plus en plus et quand il s'est lâché c'était un orgasme comme j'en avais jamais eu. J'ai éjaculé en même temps. C'était le pied. Il a repris alors ses mouvement plus rapidement. Je l'ai senti trembler dans mes bras un peu plus tard, il jouissait dans mon cul. 

Il s'est laissé tombé sur moi, ne bougeait plus. Juste sa bouche qui me donnait des baisers puis il a relevé la tête, me souriait et se relevait, il se retirait alors à ce moment seulement. 

Je me sentais tellement bien à ce moment. J'avais oublié mon père, Juliette, la famille, j'étais bien !

L'après midi était bien avancé, il fallait que je rentre. 

On se rhabillait, un dernier baiser et je reprenais ma moto. Sur la route je me disais que ça serait peut être bien si je passais voir Juliette. Je m'étais servi d'elle, je n'allais pas la garder dans mes relations, mais j'avais envie de rompre avec élégance. Je lui expliquerais que … Avec mon père … Et tout ça … Ensuite on se verrait moins … Puis on ne se verrait plus … 

Et hop ! 

Elle était juste derrière sa fenêtre quand je passais devant chez elle. Elle descendait dans la rue et courait vers moi. Je lui donnais un baiser et la prenait dans mes bras. Elle m'a trouvé très tendre à ce moment. Je ne lui ai pas dit que je venais de me faire enculer et que j'avais pris mon pied …

J'ai préféré la laisser croire que c'était le plaisir de la retrouver … C'était presque des adieux déguisés en un '' A bientôt ''. Elle n'avait pas eu de nouvelles de la maison, c'est à ce moment que je réalisais, c'est vrai ça, que je les avais tous oublié. 

J'étais parti, ils s'engueulaient. Je revenais il n'y avait pas un bruit dans la maison, en plus j'avais oublié mon téléphone donc si quelqu'un avait voulu me joindre j'étais mal. 

Je rencontrais Alex en premier …

– Alors on en est ou ? Demandais-je à Alex.
– A la mie-temps. En fait je pense qu'ils ont tellement gueulé qu'ils n'ont plus de voix.

Mon père passait et c'est avec une petit voix qu'il me disait '' Bonsoir Philippe ! ''.


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

22 Avril 2020

J 113






ET TOUJOURS EN ÉTÉ 06 LE GROS BALAISE

ET TOUJOURS EN ÉTÉ 06
LE GROS BALAISE



La nuit était déjà tombée quand nous arrivions à la maison. Une hombre s'approchait à cheval. C'était mon oncle Ethan, le frère de mon père qui arrivait à notre rencontre. Il prenait son fusil et tirait deux fois en l'air. 

Ethan : Alors les jeunes vous avez traîné, vos parents commençaient à s'inquiéter. 
Moi : Mais il n'y a pas de quoi, il n'est pas très tard.
Ethan : On est déjà passé à table.
Samuel : Bon on va encore manger froid nous !
Moi : Fais pas attention, il est ronchon, c'est la fatigue.
Samuel : Oui bein il ne faudra pas compter sur moi pour inspecter les cent quatre vingt dix neuf autres forêts.
Ethan : Combien tu as dit ? 
Moi : Avec celle qu'on a visité ça fait deux cent !
Samuel : Voyons tonton on a deux cent forêts pour produire du bois.
Ethan : Mais ou avez-vous vu qu'on avait deux cent forêts ? On en a vingt et c'est déjà bien … Je vois que vous avez bien appris votre leçon !

On échangeait un regard rapide mais on ne traînait pas, nous étions épuisés. Comme on s'y attendait ils avaient fait réchauffer notre repas et nous mangions chaud. On nous avait installé dans un coin sous la pergola, on prenait notre temps, on se détendait. 

Ensuite on montait dans notre chambre. Arrivé dans les escalier Samuel me lançait '' Je prends la baignoire en premier ! ''. Là c'était la course, on fonçait chacun dans notre chambre, elles ouvrent toutes les deux sur notre salle de bain et on y arrivait en même temps. Là on ne bougeait, j'étais un peu surpris.

Moi : Béh ! Il y a deux baignoires maintenant ?
Samuel : Tu avais oublié j'en étais sûr, C'est pour qu'on puisse se détendre dans un bon bain en rentrant, sans être obligé d'attendre notre tour … Ils nous l'avaient dit l'autre jour.
Moi : Ah !

Quelques instants plus tard on trempait, tous les deux détendus, épuisés mais enfin détendus. Ce soir là je ne bandais pas, pourtant il m'avait bien frustré mon cousin dans le bois. Mais j'étais tellement fatigué.

Encore quelques instants plus tard il n'y avait plus un bruit dans la salle de bain sinon celui que faisaient deux jeunes hommes épuisés qui ronflaient. L'eau refroidissait et on finissait par se réveiller avant de terminer notre nuit dans notre lit.

Le matin quelquefois il nous fallait un peu de temps pour nous déplier, les heures passées sur la selle se faisaient sentir. Ce jour là nous avions quelques courses à faire en ville, ce serait un journée plus tranquille. On se permettait de traîner un peu au lit. 

En me levant je m'étirait sur la terrasse quand je l'ai vu, le mec balaise de l'autre nuit, vous savez … ? Il était là, devant la maison, il déchargeait un chariot de marchandise. Torse nue, il était comme dans mon souvenir, tout en muscle. En plein jour, il était encore plus beau, comme un dieux. Un long moment je le regardais, je l'admirais. Ses muscles se contractaient à chacun de ses mouvements. Il soulevait un sac et c'était tous les muscles de son dos, de son torse, de ses bras qui se contractaient les une après les autres dans un mouvement harmonieux et impressionnant.

Un instant je m'imaginais dans ses bras comme l'autre petit jeune l'autre soir, et là, rien que d'y penser, j'avais mal au cul.

Je me précipitais dans la chambre de Samuel et le secouais par le bras.

Moi : Il est là, il est là, je l'ai vu, je te dis pas, viens voir, viens voir, viens voir !

Samuel se détendait lentement, se dépliait, ronchonnait un moment. Je ne comprenais pas tout ce qu'il me disait.

Il finissait par se lever et se dirigeait vers la terrasse …

Moi : Mais tu es à poil, vas pas sur la terrasse comme ça tu vas te faire allumer par tes parents là.

Il réagissait à temps repartait vers son lit, s'asseyait sur son lit, basculait la tête sur l'oreiller et se rendormait. Je le réveillais de nouveau, j'étais tout excité et déjà je bandais. La vue des muscles du mec m'avaient bien réveillé. 

Finalement Samuel arrivait sur la terrasse, il avait mis un pantalon.

Samuel : Alors il est ou le mec balaise ?

Il n'y avait plus personne, plus de chariot à décharger, plus rien …

Samuel : Et c'est pour ça que tu m'as réveillé !

On descendait peu après pour le petit déjeuner. Tous les hommes de la familles étaient partis au champs, nous comme je vous le disais on avait une autre mission. On prenait le temps de prendre notre petit déjeuner, on en profitait pour une fois qu'on pouvait …

Je voyais Samuel s'immobiliser, le visage penché en avant, la tasse de café devant son nez, la bouche ouverte, les yeux relevés. Il avait l'air con, j'avais envie de rigoler.

Samuel : Tu avais raison, il est là.

Je me retournais, c'est le mec balaise de l'autre nuit. Il se présentait à notre table …

Lui : Monsieur Jonathan, Monsieur Samuel. On m'a dit de me présenter à vous, c'est moi qui vais vous accompagner à la ville …

Je me retrouvais dans le même état que mon cousin, la bouche ouverte … Ma queue qui s'était fait oubliée depuis plus d'une demie heure se réveillait et je la sentais s'alourdir, elle ne se relevait pas, je l'avais bien dressée, elle prenait du volume et s'alourdissait. Mes couilles se contractaient comme pour se cacher tout contre mes cuisses et laisser de la place pour la grosse nouille. C'était une sensation de bien être plus qu'une simple sensation de plaisir.

Samuel réagissait en premier et me donnait un tape sur la tête. Je sursautais et refermais la bouche. 

Samuel : C'est très bien, le chariot est prêt ? Tu es prêt ? ( le gars acquiesçait de la tête ) Bien tu vas nous attendre, on ne devrait pas tarder.

Pendant ce temps je contemplait, j'admirais le corps magnifique de ce géant. Il avait des muscles partout mais n'était pas difforme pour autant. Il portait un gilet de corps gris sans manches, un pantalon large et des sandales. Je  m'attardais plus longuement sur le pantalon en me demandant s'il portait un sous vêtement, c'était peu probable et j'espérais voir une bosse, ou un truc massif se balancer sous le tissus. 

Que dalle !

Samuel : Mais tu fais quoi là toi ? … Il est grand temps qu'on te marie toi ! Tu veux pas lui sauter dessus tout de même ?
Moi : Mais j'ai rien fait, je le regarde c'est tout. Non mais tu as vu comment il est foutu ?
Samuel : Essaye de pense à Sarah …
Moi : Mais j'ai rien fait moi. Je crois que je vais bander !
Mamata : Mais ça c'est normal à votre âge Mr Jonathan, mais vous croyez vraiment que c'est le moment et l'endroit ?

Elle était juste derrière moi, on ne l'avait pas entendu arriver. Samuel était plié de rire, je ne savais plus quoi dire, je ne savais plus quoi faire, j'étais tout rouge de confusion !

Et là d'un coup, je vous le garantis, je ne bandais plus du tout !

On partait quelques instants plus tard. Samuel continuait à rigoler, il n'arrivait pas à se calmer, j'étais assis à côté de lui à l'avant. Tout à l'arrière du chariot le gros balaise s'était installé pour la route. Avec le bruit des roues sur le sol il ne pouvait pas nous entendre.

Pendant tout le chemin, on discutait, de temps en temps je me retournais et Samuel me demandait alors … '' Il est toujours là, il n'a pas bougé ? Il est toujours aussi sexy ? '' … Je lui répondait en râlant, à la fin ça devenait fatiguant. C'est qu'il est agaçant mon cousin quand il veut.

Quand il me regardait il pouffait de rire, il parait que je gardait sur le visage un sourire parfaitement idiot qui ne me donnait pas un air futé à en croire mon cousin. 

Le midi, on faisait une pause pour manger. On laissait le gars tout préparer. 

Samuel : Dis moi Sekou, il y a longtemps que tu travailles dans notre plantation. 
Sekou : Monsieur Benjamin m'a acheté il y a trois ans Monsieur Samuel.

Mr Benjamin c'est notre grand père.

Samuel : Et tu te plaît chez nous ?
Sekou : Ici je suis mieux traité que là ou j'étais avant Monsieur Samuel.

Je les écoutais, je ne savais pas quoi dire, je sentais une grosse molle qui s'était installée entre mes cuisses. C'était agréable et je devais rester en éveil en permanence pour éviter qu'elle ne se réveille vraiment. Il parait que c'est mieux de porter des sous vêtements mais je sais pas … Je trouve que ça gratte … Et puis avec la chaleur … Sans, ça laisse circuler l'air … C'est mieux … 

Et puis de toutes façons j'en ai jamais porté alors ! ...

Le soir Sekou faisait un feu et préparait le repas pendant que nous nous promenions un peu plus loin, il y avait la rivière qui coulait en contrebas, c'était cette même rivière qui passait tout prêt de notre maison, mais à une journée de route.

Sans se concerter on s'est précipité vers la rivière en courant et en riant, on se débarrassait de nos vêtements et on plongeait. Ça faisait un bien fou, ma queue avait fini par se transformer en petit dure … Il y a les grosse dure, tout le monde connaît, les petites molle, mais les petites dures c'est spécial. En fait c'est un peu comme si je bandais mais comme je me contrôlait, l'érection restait contenue, c'était rigolo je la caressais doucement et sans attendre ma petite nouilles devenait une grosse dure et voyant Samuel qui bandait tranquillement juste devant moi, ma queue se redressait de toute sa taille. Samuel me souriait et s'approchait de moi. 

Ça faisait un petit moment que nous n'avions pas partagé un peu d'intimité. Il s'accroupissait devant moi et me suçait sans me prévenir ni me demander mon avis. Je luis caressais les joues puis les cheveux au moment ou son visage s'écrasait contre mon ventre. 

Depuis la fois ou je lui avait glissé un doigt dans le cul, nous n'avions pas reparlé de ces pratiques. Samuel avait bien aimé pourtant mais moi ça me faisait peur. Ça me faisait fantasmer mais ça me faisait peur. J'avais envie d'essayer mais j'avais peur d'essayer. 

Même juste un doigt !

Je balançais des coups de bassin et Samuel me répondait par des sons gutturaux. D'une main il me retenait mais juste assez pour ne pas m'arrêter. Juste assez pour me retenir un peu. Un moment je plaçais mes deux mains sur le dos de sa tête et le tirait fermement vers moi tout en lui balançant de violents coups de bassin. Là je le sentais se contracter et me repousser des deux mains.

Samuel : Mais vas y doucement, tu vas m'étouffer.

Agacé il se relevait, me prenait dans ses bras, m'embrassait et appuyait sur mon épaule pour me faire comprendre que c'était mon tour, à moi de m'y coller. Je ne résistais pas. J'avalais sa bite sur toute sa longueur. 

J'imaginais que c'était le gros balaise qui était en face de moi. Je savais que sa queue à lui était bien plus grosse et qu'elle n'aurait pas passé aussi facilement mais j'imaginais que c'était lui. Je me déboîtais la mâchoire pour bien recevoir cette queue énorme, je me concentrais sur ma respiration pour bien la prendre jusqu'au fond de ma gorge …

Samuel : Tu t'améliores de jours en jours toi ! Tu ne m'as jamais sucé aussi bien.

Ça m'encourageait, je continuais de bon cœur, je m'imaginais qu'après il me demanderait de me retourner, de me pencher en avant et qu'ensuite il me défoncerait le cul. Et là j'avais peur, j'en mourais d'envie mais j'avais vraiment la trouille. Surtout que c'était pas à Samuel que je pensais, c'était pas Samuel que je voyais me défoncer le cul … C'était, enfin vous avez deviné ! … 

C'était le gros balaise qui préparait le repas un peu plus haut. Je me concentrais sur la queue de Samuel, je la suçait sur toute sa longueur, je la caressais quand elle ressortait de ma bouche. Je glissait ma langue sur son gland, il gémissait de plaisir. Sans prévenir il me faisait le coup que je lui avait fait, il appuyait brusquement sur ma tête et balançait le bassin en avant. 

Sa queue s'écrasait avec force dans ma gorge, j'étais saisi, je n'arrivait même plus à réagir. J'avais mes mains sur les côtés de ses cuisses et je les crispais mais je ne le repoussais pas. Voyant cela il recommençait, un peu plus vite, un peu plus fort. Je bavais, je respirais comme je pouvais mais je tenais le coup. Il continuais, j'encaissais. J'imaginais que c'était le balaise qui me défonçait la bouche et je prenais ça comme un entraînement.

Il se retirait.

Samuel : Et bien tu étais en manque là ou quoi ? 

Puis sans prévenir il y revenait. Je me masturbais en même temps que lui utilisait ma bouche sans se retenir. Au moment ou je jouissais je passais une main sur ses fesses et je le tirais vers moi, sa queue s'enfonçait alors bien à fond, encore une fois et quand elle en ressortait il jutais dans ma gorge, puis dans ma bouche et pour finir sur ma figure.

Il y a des fois ou je me demande s'il ne le fait pas exprès. J'éjaculais abondamment, depuis le matin, j'avais retenu mes érections, toute la journée je m'étais controlé. Et avec le gros balaise je vous jure il fallait vraiment le vouloir.

C'est pas facile tous les jours je vous jure !

On repartais vers la rivière pour se rincer, moi surtout, je plongeais et quand je revenais à la surface, j'entendais la voix de Sekou qui nous appelait.

Sekou : Monsieur Samuel, Monsieur Jonathan, c'est prêt. Si vous voulez bien.

On se séchait en revenant au feu, on était à poil, mais il faisait chaud. Sekou gardait les yeux au sol. Il avait pourtant vu des mecs à poil plus d'une fois. Il avait prévu deux assiettes seulement, et se plaçait en retrait pour attendre qu'on ait mangé avant de pouvoir manger nos restes.

Samuel prenait une troisième assiette, et les replissait toutes les trois, il en tendait une à Sekou qui semblait surpris mais la prenait en remerciant mon cousin de la tête. 

Après le repas notre compagnon demandait à mon cousin s'il pouvait aller faire la vaisselle à la rivière, en même temps il lui demandait s'il pouvait en profiter pour prendre un bain.

On était surpris, c'est moi le plus âgé et le matin, c'est vers moi qu'il était venu en premier, ça c'était normal. Mais là il s'adressait en premier à mon cousin, c'est vrai que en sa présence je n'avais pas réussi à ouvrir la bouche et à décrocher un mot de toute la journée …

J’attrapais mon cousin par le bras et je lui criait ( tout bas ) dans l'oreille … : '' Il va aller se baigner, il va aller se baigner !''

Samuel écartait la tête et se grattait l'oreille avant de me répondre dans  un grand soupir … : '' Et tu veux le voir à poil je suppose ? ''. Sans prendre le temps de lui réponde je partais tranquillement vers la rivière, l'air de rien, en regardant en l'air, à droite, à gauche … Les mains dans les poches … Enfin, dans les poches, j'étais toujours à poil ...



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