Le roy 25 : Un grand roi

 Le roy 25 : Un grand roi



J'étais dans la salle du trône, assis sur mon trône quand Jaffa est parti. Maintenant je savais que j'étais seul. J'avais beaucoup de serviteurs, tous se mettraient en quatre pour me faire plaisir mais je n'avais qu'un seul ami et il venait de partir.


Tout allait bien, j'étais le roi.


C'est vrai que par moment il me prend une certaine mélancolie, mais il y a toujours quelqu'un autour de moi, ils sont tous attentifs à mes moindres besoins et il sont trous sincères en fait.


Quand j'ai besoin de douceur j'en reçois, quand j'ai besoin d'un câlin on m'en propose deux ou plus même. De plus il n'était pas interdit à ma famille de me rendre visite, il y avait quelques semaines de voyage c'est vrai mais … Tout restait possible, un jour peut être. Et le temps passait ...


Il y avait de nouvelles têtes qui arrivaient à la cour, le nouveau contingent du premier cercle. Comme vous le savez il y avait une arrivée tous les mois, et un départ. Enfin en moyenne, quelquefois il pouvait y avoir plusieurs arrivées. Il devait y avoir soixante membres du premier cercle on était descendu à cinquante cinq.


Ce matin on avait cinq nouveau. On me les présentait, ils étaient comme il fallait, beaux comme des dieux, virils comme des démons. Un d'entre eux avait la peau noire, ses muscles couraient sous sa peau, ses proportions étaient parfaites et j'étais subjugué par sa beauté.


Avec les petites mains il avait été décidé que les cinq nouveaux seraient admis chacun leur tour en cinq jours. Entendez par là qu'ils me passeraient sur le corps chacun leur tour, au rythme de un par jours. J'aimais de plus en plus me faire défoncer le cul mais il ne faut pas trop exagérer. Les petites mains veillaient sur ma santé.


C'est cet homme noir que je choisissais en premier. On le conduisait sur la piste des exhibition, une salle qu'on utilisait de temps en temps, le roi prenait position au milieu, autour des gradins, des terrasses d’où les spectateurs pouvaient prendre place. Tous les premiers cercles et beaucoup de petites mains s'installaient.


Cet homme était d'une incroyable beauté, c'est quand il était face à moi que je constatais qu'il n'avait absolument aucun poil sur le corps. Pour ça j'avais bien remarqué que ce n'était pas un ours, son corps était lisse. Mais il n'avait pas de barbe, pas de cheveux. Sur son visage et sur son corps il y avait les sourcils et les cils. Ça ne devait pas être naturel mais c'était doux.


De la main je lui caressais le torse, ma main descendait jusqu'à son sexe qui se redressait, sa queue était ferme et énorme. Je devinais qu'il était le mieux monté de tous les premiers cercles. Il me faisait presque peur pourtant j'avais envie de lui, j'avais envie, une envie de le sentir me pénétrer, glisser dans mon corps, dans mon cul.


Il n'y avait pas un poil autour de son sexe et je ne résistais pas bien longtemps à l'envie d'y goûter. J'oubliais toutes les personnes qui nous observaient et me mettais à genoux. Je prenais sa queue dans la bouche et l'avalais jusqu'à la garde en quelques secondes.


J'entendais un léger bruit qui parcourait les spectateurs, un peu comme un bruissement d’approbation.


Cette queue splendide trouvait naturellement sa place dans ma gorge. J'écrasais mon visage sur son ventre et refermais mes bras sur ses fesses. Elles étaient fermes, tout était ferme chez lui, j'éloignais ma tête et le regardais en levant les yeux. Il me regardait il avait l'air ému et il me caressais le visage. Je replongeais et de nouveau sa queue glissait sur ma langue, et se trouvais un passage plus profond, bien plus profond. Je la sentait dans mon cou, on le voyait mon cou gonflait.


Quelques instants plus tard, c'est lui qui prenait la direction des opérations, il me maintenait bien fermement la tête et me limait la gorge. Sa queue pouvait entrer en entier dans ma bouche, il ne se privait pas de bien l'y enfoncer, et à chaque fois il m'écrasait son ventre contre ma figure.


C'était un silence total dans la salle, un instant j'ai bien cru que tout le monde était parti. Mais c'est pas dans les habitudes.


Quand il m'en laissait la possibilité, quand il me laissait respirer je le regardais, je pleurais mais ce n'était pas par tristesse. C'est juste qu'elle était grosse.


Il s'amusait pendant un moment puis me relevais, je me retrouvais dans ses bras. On partageait un moment de tendresse intense. Son corps était chaud et sentait le soleil, il était noir mais pas brûlé, j'étais impressionné.


Je me retournais et lui offrais mon cul. Il savait ce qu'il fallait en faire, il me lubrifiait longuement avec le produit que lui donnait une petite main. Un instant je pensais à lui, à cette petite main, condamné à la chasteté à vie et obligé d'assister à ce genre de spectacle … Remarquez moi aussi j'étais condamné à la chasteté à vie et obligé de participer à ce genre de spectacle.


L'homme à la peau noire, ne traînait pas, il m'enfonçait son énorme bite dans le cul en un mouvement lent mais décidé. Il poussait, sa queue glissait et en quelques secondes c'était son ventre qui s'écrasait contre mes fesses. J'étais bien rodé, maintenant ça passait tout seul, même les gros calibres.


J'étais le roi, j'étais le grand chaste. Et là je prenais mon pied.


Il continuait ensuite en se retirant lentement, en revenant de nouveau et ces mouvements de va et vient continuaient. Il y allait avec une grande douceur, une grande force, la violence ne résidait que dans la taille de son membre viril.


Il me saisissait et comme me relevait contre lui, il se redressait pliait légèrement les genoux pour être à la bonne auteur, il était nettement plus grand que moi. Puis il repliait les genoux il se retirait, il le relevait et là c'était la panique, il était plus grand, et il me soulevait. Ça on ne me l'avait jamais fait, je me retrouvais sur la pointe des pieds. Autour de moi c'était des regards d'admiration, le spectacle était à la auteur des attentes.


Je grimaçais, les regards autour de moi semblaient se demander combien de temps je pourrais tenir. Il me saisissait par les cuisses en glissant ses mains sous ma cage, je passais mes mains dans mon dos et tentais comme je pouvais de me retenir à lui.


Et là il me soulevait, là j'ai hurlé mais j'ai tenu, je n'ai pas demandé grâce. À plusieurs reprises il me soulevait, puis finissait pas me reposer sur le sol. Il continuait alors à me limer le cul mais avec force, s'il avait commencé lentement, il continuait avec de plus en plus de vitesse.


Je respirait fort en râlant, par moment je poussais des cris plus ou moins forts, par moment très fort, par moment même je hurlais. Son ventre claquait contre mes fesses. Il se retirait totalement, je respirait un instant puis revenait avec force et de nouveau on entendait son ventre claquer contre mes fesses.


Un instant je me disais que s'il devait continuer comme ça il finirait par me tuer, et c'est pas lui qui prendrait alors la place du roi défunt. Il me semblait avoir lu une loi dans ce genre …


les derniers coups portés étaient violent, je n'avais plus de voix, il hurlait, il jouissait et le faisait savoir. Il se retirait et me lâchait, je m'effondrais sur le sol. Il y avait comme un murmure bruyant dans la salle, un murmure approbatif.


Je me levais, une petite main visiblement mal à l'aise avec son entre jambe m'essuyait le cul et s'assurait en même temps que tout allait bien. Je me retournais vers la les spectateurs et je remarquais que tous les premiers cercles étaient au garde à vous. Presque soixante bite non enfermées qui se relevaient, et toutes étaient de très belle taille, ça fait partie de la sélection …


Ensuite je prenais place sur mon trône. Je vous jure, le gode est rentré tout seul ce jour là.


On avait reçu un courrier pour le roi. Un secrétaire, petite main, m'en faisait la lecture.


C'était une lettre de Jaffa, il était bien arrivé, il s'était installé dans mon village, ma famille lui avait fait un grand accueil. Il leur avait raconté mon voyage, et mes proche ne cachaient pas leur tristesse de ne plus me revoir. Il fallait plus d'un mois pour faire le voyage.


Les jours, les semaines, les mois passaient.


Il y avait un homme qui venait d'arriver, il avait les cheveux couleur de feu, sa peau était très claire et couverte de taches rousse. À voir on s'attendait à une peau rugueuse, en fait elle était très douce. Il avait retiré ses poils autour de son sexe.


Il avait lui aussi un très gros sexe, j'en oubliait presque la taille d'un pénis normal. Ici toutes les personnes présentes exceptés les petites mains, avaient un pénis de plus de vingt centimètres. Dans mon esprit désormais, c'était la taille normale.


Il était donc juste au dessus de la moyenne des petites bites.


Comme d'habitude je lui donnais carte blanche, il me prenait dans ses bras et m'allongeait sur le dos. Ensuite me relevait les jambes et m'écartais les cuisses. Il me caressait les couilles et s'amusait avec. Il me faisait couiner, il m'écrasait les couilles, pas trop fort certes, mais je vous jure que je le sentais passer.


Puis sans prévenir il enfonçait sa queue, sa petite queue bien à fond dans mon cul. Ça passait. Il me lubrifiait alors de nouveau généreusement le cul et s'enfonçait avec force une deuxième fois, là il faisait claquer son ventre sur mes fesses. C'était rapide, j'ai gueulé.


J'ai gueulé mais j'ai laissé faire. Il s'est alors mis à me ramoner le cul comme un fou. Il m'attrapait les couilles et me les écrasait, il me les tirais aussi et là je gueulais plus fort. C'est qu'il me faisait mal l'animal.


Il continuait à me défoncer le cul avec force, je continuais à gueuler, il continuait à tirer sur mes couilles et à me les écraser. Là je gigotais, il jouissais et me faisais jouir également. Je jutais généreusement, ça ne m'arrivait pas tous les jours.


Il se laissait alors retomber sur moi. Je reprenais mon souffle avant de me réinstaller sur mon trône. Finalement il y avait des jours ou le trône me reposait réellement.


De temps en temps il y avait ces moments magiques. De temps en temps je recevais des nouvelles de ma famille. Jaffa, toujours lui s'était associé avec mon frère, mon frère avait utilisé l'argent que je lui avait envoyé ( j'avais pensé à tout le monde, vous imaginez bien !) pour acheter un immense terrain verdoyant. Oui je sais, ça veut dire un buisson puis un peu plus loin, un buisson puis … Du sable et des buissons.


C'est un projet que j'avais eu, acheter des terres et y élever des moutons. Pour faire tout ça il fallait de l'argent. Brusquement ils en avaient beaucoup.


Ensuite ils avaient investi dans le tissage de la laine, on fait plein de choses avec la laine, des vêtements bien sûr, mais aussi des cordages, des tentures, pour refermer les ouvertures des maison et se protéger du soleil.


On peut faire plein de choses avec la laine et le mouton est l'animal idéal pour ces régions désertiques.


Ma famille était devenue le premier éleveur de moutons de la province, le premier producteur de textile à base de laine, et le premier producteur de viande mouton … Bein oui, ça se mange aussi.


Les voyages avaient donné des idée à Jaffa et il venait d'installer le premier moulin à eau dans mon village. Là bas personne ne savait que ça existait. Avec mon frère il envisageaient même d'en fabriquer, ils pouvaient déjà produire les ailes du moulin avec la laine …


Pour cela ils avaient besoin de l'autorisation du roi. Ce n'était pas dans les projets des petites mains mais ils n'ont pas osé me le refuser.


Les jours, les semaines, les mois passaient et chaque courrier m'apprenait plus de chose sur la vie dans mon village.


Jaffa avait épousé ma plus jeune sœur, elle était vraiment jeune mais c'est vrai que je ne l'avais pas vu grandir et maintenant elle était d'âge à se marier. Un enfant viendrait bientôt agrandir la famille.


Toute la famille vivait maintenant dans la même maison, mais ce n'était pas celle que j'avais connue, ils en avaient construit une autre, chacun avait sa chambre …


Ma famille était en train de devenir la famille la plus riche de la province, ces courriers me réconfortaient et peut être un jour, un membre de ma famille viendrait me voir.


Les jours passaient, les semaines et les mois suivaient. Et moi je devenait un grand roi !



FIN



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LES AVENTURES DE DJE Ep 80 : UNE ILE

 LES AVENTURES DE DJE

Ep 80 : UNE ILE



Il restait encore quelques heures avant l'arrivée. Malgré le bruit et l'agitation des gamins ( oui je sais on n'a que trois ans d'écart ! ) je me sentais détendu moi maintenant. Je me demande bien pourquoi, si vous avez une idée sur le sujet … Je pensais à Mike.


Certains chantaient, d'autres écoutaient de la musique, d'autres encore jouaient à des jeux de société ou encore lisaient, il y en avait qui regardaient un film et quelques un, oh ceux là ils n'étaient pas nombreux, regardaient le paysage … Là il fallait vraiment se faire chier … Le seul paysage que nous avions depuis des heures maintenant c'était de l'eau. Nous étions sur un rail posé sur un pont posé sur l'océan. Un pont qui faisait plusieurs milliers de kilomètres de long jusqu'à notre destination. Un peu plus tôt on avait traversé une route maritime et là on avait vu plein de bateaux mais maintenant il n'y avait plus rien, aucun point de repaire, juste une étendue d'eau qui n'en finissait pas ! On avait l'impression de faire du sur place alors que notre vitesse n'était pourtant pas loin des quatre cent kilomètres heure.


J'avais rejoint le groupe, Antoine venait s'asseoir à côté de moi.


- Tu connais un p'tit jeune qui s'appelle Mike ? Lui demandais-je.

- Un première année, frisé, le corps totalement imberbe et super bien foutu ?

- J'ai comme l'impression que tu le connais.

- Je l'ai un peu entraîné depuis trois mois !

- Il est mignon !

- Moi je lui ferais bien un câlin.

- Je peux te dire qu'il n'est pas farouche !

- Tu as fait sa connaissance ?


Je lui racontais. Ça l'amusait beaucoup. Un cri retentissait …


'' On arrive, regardez on ralentit ! '' …


Le compteur en effet descendait en dessous des trois cent kilomètres heure, peut après il descendait en dessous des deux cent. On ne ressentait rien, absolument rien, le confort restait total, on n'entendait pas le moindre bruit des roues sur les rails, on avait pas l'impression de se déplacer. Pendant un moment tout le monde regardait le compteur puis passait à autre chose … Ils reprenaient leurs activités. Un peu avant onze heures on roulait au ralenti à environ cent trente, pour nous ça ne faisait pas de différence mais, on savait alors qu'on n'était plus très loin.


On m’interpellait .


- Eh Msieu Djé je peux te poser une question dis Msieu Djé. Demandait Joey.

- Et tu m'appelles Msieu toi maintenant Joey ?

- Tu peux m'expliquer pourquoi, il est onze heure et que le soleil il est si bas dis Djé !


C'est Joey, un première année, ça fait un moment que je l'ai repéré celui là. Il est marrant, il ne m'appelle jamais Msieu d'habitude, là il fait le clown c'est tout.


- On a traversé deux fuseaux horaire vers l'ouest, ça fait deux heures de décalage, deux heures en moins sur vos montres les jeunes. Vous pouvez vous mettre à l'heure.

- Et pour le retour Djé on va encore gagner deux heures !

- Mais tu es presque aussi bourrique que mon frère toi, là on recule les montres au retour il faudra les avancer.

- Ah ouai ! Tu es sûr !

- Que tu es une bourrique ? Oui !

- Ok Djé !


Il est un peu bourrique mais il n'est pas contrariant, c'est déjà ça ! Puis … des questions fusaient de partout.


Eh dis Djé, c'est vrai qu'on aura le droit de rester à poil toute la journée ?

Eh dis Djé, on pourra faire du parachutisme ?

Eh dis Djé, on pourra faire du parachutisme à poil ?

Eh Djé, dis y a des requins ?

Eh Djé, dis les requins ça n'a pas de poils ?

Eh dis Djé …

Etc ...


A côté de moi, Antoine était plié de rire, les autres moniteurs, ou animateurs on ne savais trop comment les appeler, étaient pliés de rire également. Moi je soupirais en me disant … Ça y est ça commence …


On voyait des côtes se dessiner de chaque côté du train, nous roulions alors à cent kilomètre heure, peu après on roulait sur la terre ferme, la vitesse diminuait toujours. On arrivait dans une forêt, on roulait alors à moins de cent. Puis on entrait dans un tunnel. De nouveau c'était le calme dans le train, tout le monde regardait l'extérieur, nous arrivions sur une île à plus de deux mille kilomètres du continent. Jusque là on ne pouvait venir ici qu'en avion ou en bateau. Nous, on était venu en train et en plus presque aussi vite qu'en avion.


Le chef du camp prenait la parole.


- Bon les jeunes, on m'écoute ! Comme vous avez vu, on arrive. C'est le terminus, on va prendre un bateau pour nous rendre sur une petite île qui appartient à la PK ! La bas on sera entre nous. Le chef.


On pourra se mettre à poil ?


Le chef : On se calme les jeunes, on se calme ! Tout à l'heure vous pourrez vous promener dans la tenue que vous voulez.


Cette dernière phrase était reçue par des cris de joie et il n'avait pas terminé son discours que déjà la moitié des membres du groupe était prêt à partir. C'était encore plus fou que la fois ou avec Antoine on était allé au groupe de sport à la montagne. Les participants n'attendaient que ça.


On peut pas se mettre à poil tout de suite ?


Le chef : Pas avant de descendre du bateau !


Une voix se faisait entendre : ''… Le bateau ? Oui mais là on est dans un train ! '' … Et justement le train s'arrêtait. Toute cette équipe sortait tranquillement du train, on se faisait un peu remarqué, mais c'était cause de notre nombre.


Quand on nous a dit que notre embarcadère se trouvait à dix bons kilomètres de la gare personne n'a râlé. Au contraire après plus de huit heures dans le train on avait envie de se défouler et il ne nous fallait pas bien longtemps pour faire la route.


Antoine et moi arrivions en premier avec les responsables, pour fermer le cortège quelques plus anciens comme nous suivaient. On leur montrait le bateau et ils fonçaient tous comme des fous, j'en profitais pour les compter au passage. Le capitaine regardait ça sans trop y croire, il n'avait jamais vu un embarquement aussi rapide. On prenait la mer et pendant la traversée on nous expliquait l'organisation.


Il n'y aurait pas de hiérarchie entre nous, on était tous des étudiants un point c'est tous, les plus vieux prendraient en charge les plus jeunes pour les guider et les conseiller, surtout sur les points délicats. J'en voyais plus d'un qui caressait leur dispositif sous le pantalon ou le short. On se prenait un peu moins la tête que la première fois. Le débarquement était encore plus rapide que l'embarquement, tout le monde était déjà à poil et certains trouvaient plus rapide de terminer à la nage. Mike et Florian en faisaient partie.


Chacun s'installait ou il voulait avec qui il voulait, des groupes se formaient rapidement par affinité. J'entendais une voix qui ne m'était pas familière … '' Djé, Antoine il y a encore des place dans cette cabane là, à côté du groupe de palmiers et elle a une super vue sur le lagon . ''


On n'avait pas identifié exactement qui m'avait appelé mais par réflexe on s'y rendait rapidement et on y retrouvait Florian, Mike arrivait juste après nous. C'était lui qui nous avait appelés, les deux petits jeunes gardaient farouchement la cabane en espérant pouvoir être avec nous. Ils son mignons tout de même, depuis la petite terrasse il y avait une superbe vue sur le lagon et le soleil couchant, enfin quand il se coucherait. Les cabanes étaient installées sur environ cent mètre le long de la plage, ici pas de marées ou si peux, on avait vraiment l'impression d'être au paradis ! Quarante baraques nous étions plus de cent cinquante, le compte était bon.


Une cloche retentissait, je ne sais pas comment ils font les jeunes pour repérer ces détails, ni Antoine ni moi ne réagissions mais nous étions bien les seuls … C'était la cantine et ils fonçaient comme des fous furieux vers le bâtiment d’où venait le son.


- Alors ça, c'est l'instinct de survie ! s'étonnait Antoine

- Dès qu'il s'agit de bouffe ! Rajoutais-je.

- Si on y allait aussi avant qu'il ne reste plus rien !


Quant on arrivait, nos deux colocataires nous avaient gardé une place à leur table, il sont vraiment mignons tout de même. J'ai pratiqué les deux, mais le dernier Mike était particulièrement attirant. Attention je ne dis pas que Florian … Lui aussi il est adorable mais Mike … A part les cheveux et un léger duvet sur le menton il n'avait pas un poil sur tout le corps, il s'épilait c'était évident, mais ça lui allait tellement bien !


Un des enseignants qui nous encadrait arrivait vers moi et me glissais une note … '' Tiens, vu qu'ils n'en ont qu'après toi ! Tu peux lire la note s'il te plaît ''.


Je me levais et lisait. Il n'y avait plus un bruit. Je regardais autour de moi ils me fixaient tous.


- Bon, on vient de me donner cette note … de service … : Aujourd'hui . Installation, vous pouvez vider vos bagages ( fous rires dans le groupe ), oui je sais , ça ne devrait pas être long. Ensuite, plage surveillée sur deux kilomètres de chaque côté, forêt de cinq de large derrière la dune, il n'y a pas de serpent venimeux sur l'île … Ta , ta , ta … Bref amusez-vous bien et soyez sage … Ça c'était moi, c'était pas la note.


Éclats de rires, le bruits reprenait et le repas était vite terminé. Le reste de la journée, on bronzais, on se baignait, on jouait au foot … Bref on s'occupait et on restait sage. Enfin presque tous !


Dans l'après midi je retrouvais Antoine.


- Tu es ici toi ?

- Pourquoi tu me demandes ça ? Lui répondais-je.

- La cabane, tu sais la notre, la porte et les volets sont fermés … Je pensais que …

- Tu as vu Mike et Florian ? Demandais-je.

- Non pourquoi ? ( il me regardait ) … Nonnnnnn …


On s'approchait de la cabane, on collait chacun une oreille à la porte et au volet, et bien sûr, il fallait s'y attendre, on entendait des murmures et des gémissements. On entrait sans prévenir !


Florian sursautait il était allongé sur un lit, les jambes dans le vide. Mike ne bronchait pas et continuait à caresser le corps de notre camarade il était replié sur Florian. À genoux, penché sur Florian. Il tournait la tête …


- C'est maintenant que vous arrivez ? S'étonnait Mike.


Antoine et moi échangions un regard incrédule puis on fermait la porte. Je m'approchais de Mike, me penchais sur lui et l'embrassais sur le dos. Rapidement je lui caressais les fesses, sa position les rendait très accessibles, j'appuyais sur son cul et je le voyais se resserrer après chaque contacte. Je lubrifiais et j'enfonçais deux doigts, direct, sans prévenir. Je l'entendais gémir de plaisir, son anus se contractait fortement autour de mes doigts.


Antoine s'était installé lui aussi à genoux également sur le lit, penché en avant, les lèvres sur le torse de Florian. Je voyait Florian relever les mains ver Antoine, et lui caressait les bras, je voyais un bras passer sur le dos de mon ami Antoine. Antoine se retenait avec les deux bras pour ne pas écraser le visage de Florian, il ne le touchait que du bout des lèvres, Florian pouvait atteindre ses fesses et ne s'en privait pas. Pendant que l'un embrassait l'autre partout ou il pouvait poser ses lèvres, l'autre caressait le premier partout ou il pouvait passer la main.


Mike avait relevé la tête et à le voir, il aimait. Il aimait même beaucoup, je lui massais énergiquement la prostate. Je sentais la force avec laquelle son anus tentait de se refermer, il forçait mais c'était volontaire. Mike se concentrait et serrait les fesses comme on dit. Je faisais rouler mes deux doigts l'un sur l'autre, et je le sentais gémir, il gémissait mais ce n'était pas une plainte.


Antoine s'allongeait à côté de Florian, en position du célèbre 69, chacun passait sa main dans les parties les plus sensible de son camarade, une main se promenait sur toute la hauteur du dos de l'un. Deux doigts se glissaient dans le cul de l'autre. L'un gémissait, l'autre râlait. Les visages s'écrasaient sur le ventre de leur partenaire. Je voyais Antoine mordiller doucement la hanche de Florian, juste au dessus du bassin puis un peu plus dans le dos tout près des reins. Florian tremblait, passait une main sur les cheveux d'Antoine avant de glisser sa tête entre ses cuisses et de lui sucer les couilles.


Je m'étais penché sur le dos de Mike, avec une main je lui caressais le ventre, je remontais jusqu'à ses tétons. Sa peau totalement lisse laissait deviner chaque muscle, je l'embrassais dans le dos, tout en haut de son dos sur la colonne vertébrale. Je le sentais frémir et en même je sentais toujours son anus se contracter. Je ne pouvais pas savoir si c'était c'était mes baisers ou mes massages de la prostate qui le faisait frémir.


J'entendais Florian qui râlait un peu plus fort depuis un moment, je relevais la tête et continuais à agiter les doigts. A son tout Mike râlait plus fort. Antoine faisait subir à Florian ce que je faisais subir à Mike et les deux gamins de toutes évidence semblaient beaucoup apprécier ! Mike respirait fort et vite brusquement, il râlait à chaque expiration et se lâchait, je sentais son cul se contracter, se détendre et se contracter de nouveau, et encore avant de se refermer sur mes doigts de toutes les force de ce petit muscle, il avait l'air étroit le petit Mike, c'est à ce moment qu'il s'abandonnait, à ce moment je lui caressait les couilles et je sentais un flot de sperme couler de sa cage. Je continuait à lui masser les couilles.


Quelques instants plus tard c'est Florian qui jouissait il était allongé sur le côté et je voyais le jus blanc couler de sa cage. Les deux gamins se laissaient tomber sur le dos mais pas dans le même sens.


Antoine et moi les regardions, on était chacun d'un côté du lit, un peu essoufflé, il faisait chaud mais pas tant que ça. J'ouvrais les volets et la porte. Nos deux camarades se relevaient avec un grand sourire, ils sortaient alors en courant, on les suivait des yeux, ils couraient vers l'eau et quand ils y arrivaient il terminaient par un plongeon.


On s'attendait à les voir revenir, mais non … Ils ne revenaient pas, ils nous laissaient là.


- Ils sont mignons ! Faisait remarquer Antoine.

- Ils vont revenir non ?

- Mais c'est qu'il ne reviennent pas !

- Ils ne nous ont pas oublié ?

- Bein j'ai bien l'impression que si !

- J'y crois pas !

- Ils sont encore pires que nous !

- Ça promet !



- Tu ne trouves pas qu'il fait plus chaud maintenant que la porte et la fenêtre sont ouvertes.

- Ils n'ont tout de même pas climatisé les baraques ? S'étonnait Antoine.

- J'ai bien l'impression que si !


On se laissait tomber sur le lit, l'un à côté de l'autre.


- Tu crois que ça va bien se passer ?

- En tous cas, c'est bien parti ! Me répondait Antoine.


Sans le faire exprès Antoine relevait un pied et se prenait dans la sangle du sac à dos de Florian, il se soulevait et son contenu se retrouvait sur le sol .


Antoine : C'est quoi ce truc, on dirait une saucisse de Francfort en caoutchouc.


Je relevais la tête attrapais le truc.


- Ouai , c'est génial ! C'est le gigoteur, je ne savais plus ce que j'en avais fait ! Je me souviens maintenant ! Je l'avais donné à Florian la dernière fois que …


- La dernière fois que … Demandait Antoine.

- Je l'avais montré à Florian et il avait aimé.

Antoine : Et ça marche comment ce truc ? C'est quoi d'abord ?


Je lui expliquait.


- C'est un gode, tu l'introduit complètement dans ton cul, la ficelle c'est pour le récupérer plus facilement … Et là tu comprendras pourquoi ça s'appelle '' Gigoteur ''.


Ça semblait l'intéresser ce truc … Pas de doute, ça devrait se passer très bien ce petit séjour !



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LES AVENTURES DE DJE Ep 79 : UN TRAIN TRES RAPIDE

 LES AVENTURES DE DJE

Ep 79 : UN TRAIN TRES RAPIDE



Le lendemain on était dimanche, on avait terminé la soirée dans les bras l'un de l'autre, on avait tout rangé, on avait trempé un bon moment dans le bain bouillonnant et quand je me réveillais, tout naturellement il était dans mes bras.


J'enfilais rapidement un pantalon léger et passais à la cuisine. Luc et Bob y étaient déjà, il avaient préparé un petit déjeuner et discutaient de leur travail.


- Non les mecs on est en week-end et vous parlez boulot. Faisais-je remarquer en râlant.

- Tu as bien dormi ? Demandait Luc.

- Ça va, pas trop mal.

- Alors vous avez fait quoi hier toi et Antoine ! Nous demandait Bob.

- Rien, on a rien fait, on est resté sage !


C'est à ce moment qu'ils ont vu Antoine sortir de ma chambre !


- Je vois ! Antoine s'est levé avant l'aube pour profiter du bain bouillonnant sans doutes ? S'étonnait Bob.

- Non le bain bouillonnant c'était hier soir ! Répondait Antoine.

- Et tu as une nouvelle copine ? Demandait Bob à Antoine.

- Bein non !

- Un nouveau copain alors ?

- Non plus ! Mais pourquoi tu me demandes ça ?

- Euh …

Il commençait à rougir, moi je commençais à rigoler. Antoine commençait à se poser des questions, il regardait Bob puis moi, il regardait ensuite Luc qui levait les yeux et pouffait de rire.


- Mais que … s'interrogeait Antoine.


Il se retournait face à un miroir et regardait, on rigolait tous et brusquement il hurlait.


- Djé tu es un enfoiré ! Mais c'est pas vrai ça ! Tu n'est vraiment pas sérieux !


Il venait enfin de voir le suçon que je lui avait fait la veille au soir. Il râlait bien encore un moment, nous, on rigolait encore plus et finalement en fronçant les sourcilles il nous rejoignait à table.


J'entends déjà les commentaires des lecteurs ! '' Oué, et ils ont pas tiqué plus que ça ! '' ou encore '' On sait comment ça se termine ce genre d'histoire … '' . Bon d'accord, pendant quelques temps on n'utilisait plus que deux chambres dans cette maison, mais bon, c'était juste parce que … Antoine n'avait personne en ce moment, je n'avais personne en ce moment, j'aime bien la douceur de sa peau et son contact et j'ai comme l'impression qu'il aime bien lui aussi !


De plus, non ils n'ont pas tiqué, dans cette famille on en a vu d'autres … Personne ne va tiqué juste parce que deux garçons portant tous les deux un dispositif de chasteté dorment ensemble et en profitent pour s'amuser avec des godes. En tout cas c'est pas Luc et Bob qui vont s'offusquer ! Là ça ne risque pas !


Ce sont là des choses parfaitement ordinaires qui arrivent tous les jours un peu partout … Enfin je suppose !


Les dimanche on lève le pied au niveau de l'entraînement, on partait tous les quatre faire un peu de sport, il faisait encore très bon, et au passage on en profitait pour s'arrêter à la rivière et faire un plongeon. Chacun avait un petit sac à dos avec dedans une serviette, un peu de musique … Enfin quelques petits trucs pour passer le temps et se détendre.


On y retrouvait quelques têtes connues, et rapidement on se retrouvait comme d'habitude. Entre copain, comme quand on est tous sous la douche, à poil mais tous avec le dispositif de chasteté. On en riait, on s'en amusait. Bob s'y faisait sans difficultés finalement … Même si souvent il avait envie de se branler, envie de baiser, envie d'enculer Luc, envie de … Enfin vous voyez ce que je veux dire, vous connaissez, vous aussi !


On s'arrêtait dans un fast-food, c'est dire à quel point on levait le pied … Et puis on était en tenue de sport, et dans les fast-food il ne sont pas trop regardant, même si on m'aurait de toutes façons laissé entrer n'importe ou. Plusieurs copain s'étaient joints à nous et nous étions donc une bonne trentaine.


Reprise des cours le lundi suivant. Charles n'avait même pas l'air surpris de voir Antoine sortir de ma chambre.


- Bain bouillonnant ? Interrogeait Charles.

- Pas que … Répondait Antoine.

- Café ou chocolat ? Continuait Charles.


C'était pas plus compliqué que ça, personne ne posait la moindre question. Le premier trimestre se terminait bientôt et on parlait du groupe de sport. Vous savez ce camps de vacances organisé par la fac. Avec Antoine on avait déjà participé mais c'était il y a longtemps, pour être précis c'était au premier camps de vacances que nous étions allé. ( Ep 16 ) Bein oui ça fait longtemps !


Cette année, il y avait un séjour à la montagne, ce séjour là on le connaissait. Mais on proposait aussi des vacances au bord de la mer, Antoine avait passé ses vacances au bord de la mer mais ça ne le dérangeait pas vraiment d'y retourner, et puis de toutes façons c'était pas au même endroit. Les organisateurs recrutaient des moniteurs, enfin des étudiants plus âgés pour encadrer les nouveaux surtout. Leurs apprendre les bonnes manières, et plus si affinités.


Au programme, natation, ski nautique, plongée en apnée et avec des bouteilles … Enfin quelques réjouissances sympathiques. Avec Antoine on se portait volontaires, Bob restait à l'appartement il travaillait maintenant même si ce n'était pas à plein temps, et Luc lui par contre avec ses cinq émissions à préparer par semaine, lui il travaillait à plein temps.


Comme prévu donc, le jour du départ tous les inscrits attendaient au départ des bus. On partait la veille des autre juste après le souper, je trouvais ça bizarre. Les consignes étaient respectées et chacun n'avait qu'un tout petit sac à dos. Quelques vêtements de rechange et les objet personnels comme les téléphones, les papiers d'identité et je crois que c'est tout. On allait dans un endroit chaud donc on n'aurait pas besoin de beaucoup de vêtements. La première fois qu'on avait organisé un groupe de sport, on n'avait pratiquement pas porté de vêtements alors …


Au départ on chantait, on rigolait, la nuit tombait sur le bus et on s'endormait les uns après les autres. Un peu avant minuit on était réveillé, on roulait encore mais un responsable de bus venait réveiller les moniteurs, Antoine et moi nous en faisions partie.


On n'irait pas jusque là bas en bus, il y avait trop de distance mais en train rapide. Une nouvelle ligne de trains qui pouvait rouler à plus de quatre cent cinquante kilomètre heures. Le train partait à minuit, nous avions cinq mille kilomètres a faire, don presque la moitié sur la terre, nous devions arriver en début d'après midi. Pour le moment notre mission était de réveiller en douceur tous nos camarades et surtout de n'oublier personne. Le train ne nous attendrait pas.


Il étaient ronchons les petits jeunes. C'est vrai qu'on les réveillait en pleine nuit et en plus on les bousculait un peu pour qu'ils ne traînent pas. Je me souviens ce soir là, je les comptais, les recomptais, mon obsession était surtout de n'en oublier aucun. Chacun des moniteurs comptait les passager de son bus, six moniteurs par bus, le compte était bon. On était donc rassurés quand le train démarrait, le départ se faisait tout en douceur. Ce train avait l'air complètement futuriste, un croisement entre le TGV et le Concorde pour ceux qui se souviennent des vieux moyens de transport des siècles passés … C'était très confortable, on ne ressentait rien, il fallait regarder par les fenêtre pour se rendre compte qu'on avançait. A cinq heure du matin nous avions déjà fait près de la moité de la route. Les jeunes commençaient à se réveiller, et restaient sans voix devant le paysage.


Une gigantesque étendue d'eau jusqu'à l'horizon. Nous étions sur la voie maritime. Une voie construite sur l'eau, trois mille kilomètres de ligne droite sur l'eau, un panneau lumineux nous indiquait qu'à ce moment notre vitesse dépassait les quatre cent kilomètres heures, et tout ça dans le plus grand confort. On n'avait aucun point de repère aussi il fallait se fier au panneau lumineux pour connaître notre vitesse.


Au début, le groupe était calme et silencieux mais ça ne pouvait pas durer … Faut pas rêver !


Il y avait Florian dans le groupe, il venait me remercier. Bon d'accord j'avoue, je l'avais un peu pistonné pour qu'il puisse participer et il était vraiment content. Un petit déjeuner copieux était servi sur place, ça discutait, ça rigolait, ça commençait à s'agiter, ça commençait déjà à me fatiguer tout ça !


Mais c'est qu'ils sont pleins d'énergie les petits jeunes, bon d'accord les plus jeunes on trois ou quatre ans de moins que moi mais j'ai déjà donné moi! Je me réfugiais dans une cabine libre et je fermais les rideaux, quatre places, je me détendais avant notre arrivée. J'avais à peine fermé les yeux que la porte s'ouvrait, une silhouette se glissais. Je l'entendais fermer le verrou.


- Ce doit être Antoine … Me disais-je.


Je ne bougeais pas. Je sentais la douceur d'une caresse sur mon torse, je souriais et poussait un léger gémissement pour montrer mon approbation et encourager Antoine !


C'est ce qu'il devait comprendre le bougre. Je reconnaissais bien sa douceur, je le laissais faire. Il est mignon Antoine, on vit ensemble et au niveau cul on s'était éloigné mais pas de beaucoup. Et puis j'aime bien le contact d'Antoine, la douceur de sa peau, la chaleur de son corps, il est sensuel en plus, très sensuel !


J'avais l'impression qu'il ne m'avait jamais caressé avec autant de sensualité, autant de douceur. Je me sentais bien et je n'ouvrais pas les yeux mais j'affichais un sourire ravi. Il avait ouvert ma chemise, et je sentais le bout de son nez qui me chatouillait le corps, depuis les tétons jusqu'à mon ventre.


Tiens ! Il ne me le fait pas souvent ça ? Ça chatouille ça ! Je frémissais. Je sentais le bout de sa langue se me caresser la peau, il faisait ça avec beaucoup de douceur, je le reconnaissais bien là. Il est câlin Antoine. C'est vraiment dommage qu'on soit obligé de garder notre cage de chasteté. Pour les prochaines vacances il faudra que je lui propose de la retirer. C'est vrai quoi, on a le droit de le retirer pendant les vacances !


Là il me suçait les tétons, comme ça non plus il ne me le fait jamais, c'est nouveau mais pas désagréable. J'avais la tête penchée en arrière je le laissais faire et tan pis si il me fait un suçon à son tout pour se venger. C'est trop bon ce qu'il me fait là. J'avais pas très bien dormi et souvent dans ces cas là, je bande comme un fou le matin, aussi je ne vous dis pas, avec ce que Antoine me faisait je sentais ma queue comprimée dans sa cage un peu comme un saucisson dans son filet.


De ce côté là, ce n'était pas agréable mais la douceur des caresses d'Antoine c'était génial. Je passais ma main sur son dos et ses épaules, il portait un polo ( ? ). Il me semble que quand on est parti de l'appartement il portait une chemise comme la mienne …


Il m'embrassait sur tout le corps, avec une telle délicatesse, je le sentais à peine, ses baisers seuls étaient de plus en plus forts et devenaient intenses. Je soupirais avec force, je posais ma main sur ses cheveux … Cheveux courts et bouclés !


C'était pas Antoine !


Je relevais la tête, et le regardais. Il en faisait de même. C'était une première année ! Je me disais dans ma tête : '' Ça promet, il commence déjà comme ça lui ''. Il était mignon, paraissait jeune, il l'était il venait juste d'avoir dix neuf ans, trois mois après la rentrée, il était limite au niveau âge. Il faut avoir dix neuf ans pour être accepté dans cette fac. Mais il était vraiment très mignon ! Il me souriais, je lui rendais son sourire avec peut être un peu de surprise dans le regard.


- Salut Djé. Ça va ? Demandait Mike.

- Salut ! T'es qui toi ? Répondais-je.

- Mike !

- Salut ! Mike ! Ça va ?


Il posait alors ses lèvres sur les miennes et je n'avais pas besoin de me forcer pour lui rendre son baiser. C'est avec beaucoup de plaisir que je le faisais ! Il se relevait et retirait son polo. Il dévoilait un corps superbe et totalement imberbe.


Un corps imberbe n'est vraiment beau que s'il est bien musclé et parfaitement proportionné. Les poils peuvent quelquefois gommé quelques défauts, même si on est un peu dodu ! Mais lui, là il était vraiment très beau, je devinais aux traits de son visage qu'il devait être métis, sa peau était agréablement bronzée. J'avais dans mes bras un garçon magnifique. J'en ai de la chance … Sauf que ! Mon dispositif de chasteté me faisait presque mal à ce moment.


Ça vous étonne vous, j'aurais bien voulu vois y voir. La tension devenait tellement forte que le dispositif se soulevait avec une force incroyable et tirait sur la peau, je le réajustais d'un geste rapide et ça passait. Il me regardait faire, il en faisait de même mais lui il ne se contentait pas de glisser sa main dans son pantalon, il laissait tomber son pantalon.


Mais c'est quoi cette nouvelle mode qu'ils suivent tous, il ne portait pas de sous vêtements. Mais ces jeunes, je ne vous dis pas ! Est-ce que ? … C'est vrai j'avais oublié, je ne porte pas de sous vêtements moi non plus ! Il le remarquait vite car si à ce moment il était nu, moi j'avais encore mon pantalon, il me l'ouvrais, y glissait la main, il me faisait un sourire puis tirait mon pantalon sur mes pieds avant de me le retirer totalement.


Je soulevais le bassin pour l'aider, il me couvrais alors de baiser le bas de mon ventre, les parties de ma peau qu'il venait de dégager de mon pantalon, la seul partie qu'il évitait c'était la cage de chasteté, c'est du titane, c'est pas la peine mais il glissait la langue juste à la base de mon sexe, juste là ou le cock-ring touche le haut de ma cuisse. Je penchais la tête sur le côté et je pouvait contempler son corps, son dispositif était de taille moyenne, il devait avoir une queue de taille moyenne, même si c'est quelquefois trompeur !


Je le caressais mais la position dans laquelle on était ne me permettait pas de descendre mes mains beaucoup plus bas que ses épaules, je lui caressais les cheveux, c'était amusant ces cheveux qui rebiquaient, à voir on aurait pu penser qu'ils étaient rêches mais ils étaient doux, très doux et très soyeux. C'était amusant si je frôlais ses cheveux les mèches rebelles me chatouillaient la paume de ma main, ses cheveux étaient aussi doux que ses baisers, et ses mèches rebelles me chatouillaient tout comme le bout de sa langue qui se glissait dans des recoins que j'avais presque oubliés à la base de ma cage de chasteté.


Je respirait fort, je frémissais, je tremblais, c'était très agréable et un peu inattendu aussi. Enfin inattendu avant notre arrivé à destination … Parce que après … J'avais tout prévu, je n'avais pas de maillot de bain.


J'allais me relever pour lui rendre la politesse au moment ou il me glissait deux doigts dans le cul. Je sursautais de surprise, il n'avait pas prévenu, mais il y allais avec la douceur qu'il m'avait montré jusqu'à maintenant. Il s'était bien lubrifié les doigts et ils entraient sans résister, surtout que je …


Ouai c'est pas la première fois pour moi ! J'avoue ! C'était bon, c'était tellement bon que je commençais à gémir de plaisir quelques instants plus tard seulement. Pour lui non plus ce n'était pas la première fois, je peux vous le garantir. Il savait ce qu'il faisait le petit jeune. Remarquez il ne faut pas se fier à l'âge, mon frère est plus jeune que ce petit là et il paraît qu'il est lui aussi un expert. Même depuis que Bob porte un dispositif, mon frère arrive à le faire grimper au rideaux.


Tout ce qu'il me restait à faire c'était écarter les cuisses pour lui faciliter le travail, et … Rien ! Juste le laisser faire. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, je frémissais, il me massais la prostate, je tremblais, il faisait une pause et reprenais, je me tordais, il faisait une pause et quand il reprenait je convulsais. Je ne contrôlais plus ma respiration ni mes gémissements, il ne s'arrêtait pas, je ne contrôlais plus les réaction de mes bras et brusquement dans un râle de plaisir je jouissais. Deux giclées de sperme parvenaient à s'éjecter de ma cage et retombaient sur son épaule, le reste coulait de ma cage, c'est là qu'il l'a suçait, il ne laissait rien se perdre. Au moment ou il allait se relever, d'un mouvement rapide je me penchais sur lui et embrassais ses épaules en faisant disparaître toutes les traces de sperme. Il réajustais ses vêtements, se penchais vers moi, me donnait un baisers sur la bouche et se glissait hors de la cabine avec la même discrétion que quand il était venu.


Je restais là sans bouger, complètement à poil me demandant un peu ce qu'il s'était passé, si j'avais rêvé ou bien. En tout cas si c'était un rêve c'était un beau rêve et j'allais pas me plaindre …


Je me rhabillais et continuait à me détendre. Ça chahutait encore pas mal à l'extérieur, rien que de d'y penser ça me fatiguait. Et ce n'était que le début , il y en aurait pour deux semaines avec une bande de post adolescents déchaînes, pleins d'énergie qui allaient se montrer aussi agités que bruyants que … Câlins peut être … Ça a aussi de bons côtés finalement !



A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

LES AVENTURES DE DJE Ep 78 : DANS LES BRAS D'ANTOINE

 LES AVENTURES DE DJE

Ep 78 : DANS LES BRAS D'ANTOINE



Par la suite je voyais plus régulièrement Florian, il nous avait trouvé Bob et moi et ne voulait plus nous lâcher. Il devenait un habitué à nos soirées. Vous n'avez pas oublié que trois fois par semaines on organisait un repas. On y mangeait divinement, Charles est un … pardon … Le traiteur est un très bon traiteur … Je déconne, Charles cuisine divinement et si quelquefois on faisait appel à un traiteur ce n'était que pour des raisons pratiques.


De fait Florian devenait plus populaire, ces soirées sont très convoitées. Y être reçu est vu comme un honneur, nous tenions toujours une liste des participants pour que tous mes proches puissent participer chacun leurs tours, mais ceux qui y participaient régulièrement étaient repérés. Quelquefois enviés mais jamais jalousés, enfin j'espère …


Un soir que nous étions entre nous, en plein repas Luc se levait, il avait depuis le midi un grand sourire réjoui. On remarquait tous que quelque chose se passait. Je lançais un regard interrogateur en direction de Bob qui me faisait signe qu'il ne savait rien. Luc appelait Charles lui demandant d'être présent.


- Mais qu'est-ce qu'il a encore inventé celui-là ? S'inquiétait Carles.

- Luc tu me fais peur ! Lui faisais-je remarquer .

- Non mais c'est fini les moqueries là. Je ne suis plus un gamin j'ai dix huit ans passés. Vous feriez mieux d'écouter ce que j'ai à vous dire … S'xclamait Luc.


Il nous regardait tous les uns après les autres, plus personne ne parlait.


- Bon ! Voilà qui est mieux ! J'espère que mes collaborateurs seront aussi attentif quand j'organiserai des réunions …

- Collaborateurs ? Répétait Charles tout bas.

- Organiserai ? S'étonnait Antoine tout bas également .

- Réunions ? Répétais-je très fort mais dans ma tête.


Bob regardait son copain sans comprendre la bouche ouverte …


- C'est fini là les commentaires ! Bon je reprends. Vous avez devant vous le nouveau producteur d'une nouvelle émission de télévision. Elle sera destinée aux étudiants qui veulent entrer en fac, et paf là je me venge, et aura pour but de donner toutes les informations pour choisir les études qui s'offrent à eux ! Tous les tuyaux, les conseil, etc. Je n'en serai pas seulement le producteur, j'en serai également le principal animateur. Charles ton lapin chasseur ce soir était une merveille, comme chaque repas que tu nous prépares, j'en reprendrai volontiers un petit peu !


Il se rasseyais et tendais son assiette à Charles, qui machinalement partait dans la cuisine et ramenait une nouvelle part de ce lapin chasseur qui je dois le reconnaître était absolument merveilleux !


On regardait tous Luc en se demandant ce que tout cela signifiait. De quoi il parle, il pourrait nous en dire plus …


- Bein quoi ? Ça vous défrise que je produise une émission télé. C'est en partenariat avec la fac, j'y vais tous les matins.



- Ne me dites pas que vous n'êtes pas au courant, vous me faites surveiller, depuis le début de l'année scolaire … Charles tu cuisines décidément comme un dieu mais pour ce qui est des filatures … Tu es nul !


Il nous avait repéré mais il le prenait bien finalement !


- Mais pourquoi tu ne m'as rien dit à moi ? S'interrogeait Bob.

- Tu aurais tout répété mon doudou. Mais je t'aime quand même !

- Et ça va se passer comment alors ? Demandait Antoine.

- Le matin je serai surtout à la fac, en fin de matinée aux studios télé. Au fait Charles le midi je dînerai désormais soit aux studio soit à la fac, j'ai une entrée pour les deux réfectoires … On n'y mange pas si bien qu'ici, mais ce sera plus pratique ! Dans l'après midi je fais du sport, j'ai le privilège de pouvoir utiliser les installations sportives de la fac, la bibliothèque aussi tout comme la médiathèque. Dans la soirée je me retrouve aux studios ou je fais en direct mon émission. Quatre émissions par semaines, plus celle que je fais déjà si mon affaire ça marche je multiplie mes revenus par cinq ! Au fait la première émission passera désormais sur le réseau national et le contrat est renouvelé pour un an !



- Cool ! Répondait Antoine.



Plus personne ne prononçais le moindre mot ! Quand on sortait de table, on était tous un peu sonnés.


- Mais dis moi Luc … Si ton truc ça marche … Tu vas gagné combien ? Demandait Antoine.

- Pas loin d'un demi million par an !

- La vache ! S'exclamait Antoine et se retournant vers moi. Tu as entendu ça Djé, il s'en sors bien le p'tit ! Mais c'est qu'il devient grand !


Je rigolais !


- Bientôt il va quitter la maison, il volera de ses propres ailes, il viendra nous voir une fois par an quand il aura le temps après nous avoir placé dans un hospice … Continuait Antoine.

- Mais tu as fini de dire n'importe quoi toi ? M'exclamais-je.


On avait tout de même du mal à réaliser qu'il avait réussi à garder un tel secret, préparer un projet pareil sans rien dire à personne … Il devenait mature le p'tit ! Et c'est vrai que si son projet marchait, il deviendrait largement autonome.


Après cette soirée pleine de surprises la vie reprenait son cours normal. Il fallait s'organiser un peu et Luc n'était plus présent tous les soirs pour le souper, Bob non plus. Les horaires posaient quelquefois problème, et le plus souvent quand il ne pouvait pas être là il invitait son copain Bob au restaurant. Surtout que Bob travaillait aussi comme assistant au studio. On l'apercevait dans un petit coin de l'écran de temps en temps.


Luc était aux anges, il oubliait rapidement le refus qu'on avait opposé à son entrée en fac. Bob ne me cachait pas qu'il trouvait cette nouvelle vie passionnante, la vieille il avait rencontré un écrivain très connu, la semaine à venir ils allaient inviter un metteur en scène … Il travaillaient comme des fous, mais semblaient totalement heureux et épanouis.


De notre côté avec Antoine, on continuait nos études tranquillement. En ce début d'année scolaire la société PK ouvrait de nouveaux marchés, tout particulièrement sur le continent asiatique qui jusque là ne l'avait pas très bien reçu. En gros ce nouveau marché devrait doubler le chiffre d'affaire … Et nos revenus étaient justement liés au chiffre d'affaire … La société venait aussi de gagner un procès contre un concurrent qui avait honteusement plagié notre modèle breveté … Le concurrent n'y avait pas survécu, Justine ( notre avocate ) avait arrosé ça au champagne, la PK Compagnie prenait donc la place du concurrent sur son marcher et là encore le chiffre d'affaire augmentait …


Nous recevions aussi un chèque de dédommagement pour le plagiat. C'est qu'on a des droits sur l'invention !


- Tu as vu Djé le chèque de dédommagement, moi je le trouve tout triste … Me faisait remarquer Antoine.

- Mais pourquoi tu dis ça ? Lui demandais-je.

- Il n'y a que cinq zéros dessus !

- Mais c'est vrai ça, tu as raison, d'habitude sur les chèques qu'on nous donne il y en a six !


Ce petit commentaire que nous échangions résume bien notre situation ! Je ne savais plus vraiment combien d'argent j'avais mais je m'en moquais, je savais que j'étais plein aux as et qu'il y avait Justine qui veillait à mes intérêts, et je savais que celui qui s'en prendrait aux intérêts de ses clients prenait un gros risque … Avec la réputation de notre avocate personne n'oserait !


On avait travaillé comme des fous, pendant tout le premier trimestre, les premières vacances approchaient, un soir, Antoine et moi étions seuls à la maison. Les p'tits étaient au restaurant puis de sortie, Luc ne me demandait plus ma carte de crédit pour sortir … Charles était absent pour la soirée et pour une fois depuis deux bons mois on ne faisait rien. Mais quand je dis rien … Antoine était vautré comme un gros lard sur le fauteuil et je faisait de même sur l'autre fauteuil.


- Dis moi Djé, ça fait combien de temps, la dernière fois qu'on s'est gardé une soirée comme ça, à ne rien faire ? Demandait Antoine.

- Je ne sais pas, je ne sais plus. J'ai l'impression que ça fait des années …

- Si on n'avait pas décidé d'être tous ensemble pour le souper, il y a des jours ou on ne se verrait même pas.

- Tous ensemble ?

- C'est vrai que les p'tits sont là de moins en moins souvent …

- Sans Charles je ne sais pas ce que cette famille deviendrait.


Il se relevait se plaçait juste devant moi, les jambes écartées.


- Mais dis moi Djé, je ne sais pas si c'est une impression mais … Ça fait un moment que je ne t'ai vu avec personne. Tu as un copain en ce moment ? Me demandait Antoine.

- Non ! Et toi ?

- Pareil ! Une copine alors ?

- Non plus ! Je ne te vois avec personne non plus !

- C'est comme toi, en se moment je bosse tout le temps. Je ne sais pas si j'ai bien fait de m'orienter ver l'ingénierie.

- C'est la conception du dispositif de chasteté qui a révélé ta vocation. Lui faisais-je remarquer.

- Oui mais c'est pas si facile, j'aurais du faire comme toi rester dans le domaine de la gestion.

- Et du droit …

- Au fait tu savais que Léa est de retour dans la région ? Me demandait Antoine.

- Léa ! Son nouveau copain a fait faillite ?

- Ou alors elle a appris que tu n'as jamais été aussi riche que maintenant !

- C'est son genre !

- Il n'a pas pu faire faillite, c'est un banquier, ça ne fait pas faillite un banquier. Ses clients je ne dis pas mais un banquier …

- Et en plus Jonathan est monté comme un âne !

- Tu le connais ? Il s'appelle Jonathan en effet !

- Si c'est celui auquel je pense, c'est une des ses ex !

- Et il est monté comme un âne ton Jonathan ? Insistait Antoine.


Il se tortillait devant moi et si je ne le connaissais pas aussi bien j'aurais pensé qu'il voulait m'allumer.


- A quoi tu penses ?


Maintenant il se caressait les cuisses, le ventre et le torse. Oui bon finalement il voulait m'allumer !


- Gode ? Me demandait-il.


Je me levais brusquement, lui passais un bras autour de lui, lui donnais un baiser sur la bouche et disparaissait dans ma chambre. J'en ressortais quelques instants plus tard avec un gros carton dans les mains. Il se retournait, continuait à se caresser, un peu comme un strip-teaser, il me faisait rire. J'ouvrais, tout un tas de godes en tombait.


Antoine éclatait de rire et continuait.


- Ça fait un moment que je n'ai pas touché aux miens .


Il arrêtait de faire le clown, et se précipitait, il en attrapait un, un gros, on connais ses goûts !


- J'avais un truc génial que Léa avait acheté, il est pas là, je ne sais plus ce que j'en ai fait … ( je cherchais dans le carton )

- Celui là il est bien ! Ça ne te tente pas ? Me demandait Antoine, un gode dans la main.


On se relevait ensemble, chacun un gode dans la main, on se touchait presque, j'étais comme attiré vers lui. Ça faisait longtemps qu'on ne s'était pas pris dans les bras comme on le faisait là. On s'était vu à poil sous les douches presque tous les jours mais ça faisait je ne sais plus combien de mois qu'on ne s'était pas touché.


Je le serrais contre moi et je me souvenais de la douceur et de la force de son corps. A cet instant je vous jure que j'aurais fait n'importe quoi pour retirer mon dispositif. Je le sentais fort ce truc à ce moment et si le plus souvent je le supportais bien, si le plus souvent je ne voulais pas le retirer, là ce n'était pas le cas. À cet instant je voulais le retirer comme jamais.


Quelques secondes plus tard je redécouvrais la peau d'Antoine, sa douceur. Mes mains s'arrêtaient juste à sa ceinture, je n'osais pas aller plus bas, je me souvenais de sa bite, une belle grosse bite que j'avais pris dans dans le cul avec tellement de plaisir. Je savais que là il y avait un dispositif de frustration. Mon cœur battait plus fort à chaque seconde.


Je sentais la douceur de ses lèvres qui se promenaient contre ma peau, je connaissais cette douceur et je me demandais comment j'avais pu l'oublier, ça fait maintenant plusieurs années que je vis avec lui pourtant nous ne nous touchons plus. On s'amuse chacun de notre côté. Ma queue voulait se dégager, et elle poussait contre ma cage comme jamais.


Ma hanche frôlait son entre jambe, et je pouvais constater qu'il était dans le même état que moi. Sa cage se relevait et on pouvait la sentir au travers de son pantalon, ça ne faisait qu'augmenter mon désir. Je le tirais vers moi, je me serrais contre lui. Entre nous un obstacle blindé prenait toute la place, nos deux dispositifs étaient là comme deux entraves, deux barrières infranchissables.


Mon pantalon tombait mais il y avait toujours ces deux barricades qui suivaient nos moindres mouvement, elles occupaient notre esprit et toutes nos pensées. Ses épaules étaient douces, ses bras étaient forts, son torse était musclé, son ventre était ferme, ses fesses sensuelles au travers de son pantalon. Entre nous cet obstacle ! Face à face nous nous retenions, puis il me tirait, me retournait contre lui, il me tenait serré, je passais ma main dans mon dos pour toujours toucher sa peau. Il me caressait alors le torse, le ventre, ses mains descendaient mais évitaient de toucher ma cage.


Ses doigt se promenaient à la base de mon sexe, sur le cock-ring de fixation, se glissaient entre mes cuisses. Je sentais ses baisers dans mon dos, sur mes épaules. Je sentais la pression intense dans ma cage, j'avais envie de me branler, de me faire sucer … J'avais un violent envie de défoncer un cul !


Je me retournais lui faisais face à nouveau. C'est lui qui maintenant se retournait, il semblait danser entre mes bras. A mon tour je l'embrassais dans le dos, il le sentais frissonner, sur les épaules … Il penchait alors sa tête sur mon épaules et je l'embrassais dans le cou, sur la gorge …


Mes mains se promenaient sur tout son corps, elles arrivaient à sa ceinture … J'hésitais je savais que je serais déçu mais, je glissais mes doigts sous sa ceinture, j'ouvrais son pantalon qui tombait sur ses chevilles. Il se dégageait les pieds et je lui caressait sa cage de chasteté. Doucement je lui massais les couilles, elles étaient ferme, elle devaient être bien pleine, tout comme moi !


Il se retournais contre moi, nos deux cages se cognaient l'une à l'autre en faisant un bruit métallique. Il prenait un gode ceinture avec un beau gros gode, pas le plus gros mais de très belle taille qu'il me donnait, il en prenait un identique qu'il se fixais. Son visage était grave, il fronçait les sourcilles au moment ou il ajustais le gode ceinture.


On se regardait, on respirait fort tous les deux. Je ne sais pas lequel à fait un geste, un regard peut être … En tous cas c'est en même temps qu'on réagissait, on se sautait dessus l'un l'autre.


- Retourne toi ! M'ordonnait Antoine.


Je m'exécutais. Il me saisissait avec force, me lubrifiait le cul, positionnait son gode, et c'est avec douceur qu'il poussait et que le dispositif entrait lentement dans mon cul. J'avais pas refait ça depuis les vacances, presque trois plus tôt, quand je dis '' refais ça '' je veux dire que je ne m'étais pas fait enculer.


Je hurlais, la sensation était intense, le sentais mon anus se dilater, je sentais mon cul se remplir. C'était à la fois bon, terriblement bon et un peu douloureux. Je jutais instantanément, un flot de sperme coulait lentement mais coulait longtemps de ma PK. Je continuais en gémissant, en poussant une longue plainte. Je sentais le souffle d'Antoine contre mon oreille, il râlait, pas vraiment de plaisir, il ne ressentait rien sa bite était en plastique. Mais il râlait, il était concentré, ses muscles étaient contractés, chacun de ses mouvements était contrôlé. Il surveillait la moindre de mes réactions et moi je suffoquais, j'avais la bouche grande ouverte mais c'est un son à peine audible qui en sortait.


Il me limait le cul pendant un long moment, me caressais longuement, avec force, avec douceur … Il finissait par se retirer, je m'effondrais sur le fauteuil. Il était en sueur, il avait le souffle fort. Moi je ne sais pas comment j'étais mais je ne valais pas mieux que lui ! Je récupérais !


Un peu plus tard, je me relevais, me plaçais face à lui, les jambes écartées, la bite en plastique fièrement relevée devant moi …


- Retourne toi ! Lui demandais-je à mon tour.


Il me jetais un œil rieur, se retournait et se penchait sur le fauteuil, son cul bien offert. A mon tour j'enfonçais le gode dans son cul. Il hurlait un '' OH OUI ! '' au moment ou le gode s'engageait, le gland un peu plus large, cinq bon centimètres, passait rapidement puis il gémissait à son tour. Il encaissait mieux que moi le bonhomme. Rapidement mon ventre, enfin le harnais, frappait ses fesses et il en redemandait. J'avais presque oublié combien il aimait ça mon petit Antoine.


Je le limais avec régularité, je me souvenais de cette époque ou nous étions libres, avant de faire le mur pour entrer au Château. C'est vrai que maintenant nous avons nos entrées au Château … A cette époque on s'amusait bien, on n'avait pas besoin de ces gadgets pour se défoncer le cul, on faisait ça en direct.


Il finissait par demander grâce, je me retirais, il s'écroulait sur le sol, se retournais, je pouvais voir un long filet de sperme couler de son dispositif de chasteté.


A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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                          Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'...