Djé saison 1


Il y a peu de temps je tombais sur le net sur une photo ( truquée ) accompagnée d'un texte  sur le thème de la chasteté masculine …

Un groupe de garçon gays invitent un garçon hétéro pour deux semaine de vacances … Un des garçons porte une cage de chasteté, les autres en mettent une aussi, il se sent obligé de faire de même … un des garçons sera libéré par jour mais il y a 14 garçons et il ne reste que 13 jours  …

J'ai lu le texte, il m'a inspiré, voilà ce que j'en ai fait … En cinq épisodes, oui au départ il y avait cinq épisodes … Puis j'ai brodé, aujourd'hui il y en a bien plus. Initialement le texte avait été diffusé sou le titre '' Groupe de vacances '', je le présente ici sous le titre DJE, finalement ce sont les aventures de Djé !


Ep 1 : LES PRESENTATIONS 



L'appartement était spacieux et très lumineux. Trois belles chambres une grande salle de bain, et un très grand salon avec canapé, trois fauteuils, table basse, télé, lecteur Blu-ray et coin cuisine ... Le rêve ... Pour trois locataires ... C'était un des deux locataires, Denis, qui me faisait visiter, ils étaient arrivés moins d'une semaine plus tôt et avaient déjà pris leurs marques !

''Là c'est ma chambre ... ''

me dit-il en ouvrant une porte

'' ... là c'est la chambre à Dominique, tu ne le connais pas encore, il ne devrait plus tarder, tu verras il est sympa, bon on va pas ouvrir sa chambre en son absence ce serait pas correcte ... ''

et se dirigeant vers la porte suivante

'' ... et là c'est la troisième chambre, elle est  libre, comme tu peux voir, elle est déjà meublée, un lit, un grand placard, table de nuit prise téléphone-internet ... ''

il me laissait regarder longuement et reprenait

'' ... les prises téléphoniques sont indépendantes, si tu veux t'en servir, tu devras prendre un abonnement, c'est facile, rapide et il y a des forfaits ... c'est pas chèr ... ''

La visite se continuait, au fond du couloir porte de gauche les WC, au fond du couloir un autre grand placard, et la dernière porte au fond à droite ouvrait sur une grande salle de bain. Deux beaux lavabos avec miroir, en face Des étagères pour ranger les serviettes et tous le linge de toilette sur tout le mur à coté un gigantesque miroir de plus de deux mètres de haut et autant de large en face deux douches non séparées un peu comme les douches collectives qu'on trouve dans les vestiaires …

'' ... les WC et la salle de bain sont séparés, je trouve ça plus agréable, non ? ... ''

J'acquiesçais de la tête à tout ses commentaires avec un grand sourire, c'était le rêve, mon premier colocataire avait l'air cool et si l'autre était pareil ça allait être vraiment bien ! Surtout que le contrat de location était déjà signé, j'avais plus le choix, et je pensais que j'avais probablement eu beaucoup de chance.

Moi : Ça a l'air cool !

Je jetais mes valises dans un coin et me laissais tomber sur mon lit sur le dos.

Denis : Les lits sont bons et en plus il y a même les draps, les couvertures … T'as plus qu'à t'installer !

Je lui répondais avec un grand sourire …

Denis :  je te propose un café ?
Moi :  la vaisselle aussi est fournie ?
Denis : Oui, c'est livré clefs en main, bon la télé et la vidéo c'est à moi, je les avais alors c'était moins chèr que de louer …
Moi : Alors ce café ?

On se retrouvait autour du café, moi sur le canapé, Denis sur un fauteuil en face … La porte s'ouvrait bruyamment. On entendait une voix joyeuse et forte …
'' Ça y est je suis à la maison, Eh Denis t'as pas oublié que notre colocataire doit aménager aujourd'hui, j’espère que tu es présentable, ça ferait désordre, il pourrait se demander dans quelle bande de délurés il est tombé le pauvre surtout que  je suis près à le parier, il n'est certainement pas … ''

Il me voyait sur le canapé ! Je lui faisais bonjour de la main, il s'approchait l'air joyeux pour me serrer la main …

Dominique : Yo mec, moi c'est Dominique, ça va toi ? Comment t'a trouvé l'appart ? Ta chambre te plaît ? Denis t'a bien fait tout visiter ? T'as quel âge ? Tu fait du sport ? C'est quoi comme études que t'as choisi ? Tu fumes ? Tu picoles ? …
Denis : C'est bon laisse le respirer, cool mec, cool !
Dom : Ouai, excuse moi, je vais un peu vite en besogne, t'écoute quoi comme musique ? … ( en rigolant et en regardant Denis ), on a tout le temps pour faire connaissance ! Moi c'est Dominique !
Moi : Jérémy, enchanté !

Il se joignait à nous pour le café, on passait une bonne partie de l'après midi à faire connaissance. Je ne fume pas, ce qui les rassurait. J'aime bien picoler de temps en temps quand on fait la fête, ça aussi ça les rassurait. On faisait tout les trois du sport, Denis de la natation, Dominique du hand, moi de la gym et de la course. On avait tous les trois une allure plutôt sportive moi avec mon mètre soixante quinze, Denis à peine plus grand que moi et Dominique son mètre quatre vingt. Trois beaux garçon, célibataires, libres … Deux colocataires qui semblaient très cool, l'année s'annonçait décidément prometteuse !

On abordait aussi le coté économique, histoire de régler une bonne fois pour toutes ce problème, aucun d'entre nous n'était riche mais si on ne faisait pas trop d’excès on devait pouvoir passer l'année sans avoir à se priver … Tout était OK, cool, le pied quoi !

Dominique proposait qu'on se fasse une pizza, il connaissait une bonne pizzeria, très grand choix, garniture riche et généreuse, et prix très abordable. Il nous offrait le vin … Pour fêter ça ! … Comme il nous dit !

On parlait toute la soirée puis on rentrait, la nuit avançait et même si demain il n'y avait pas cours, la fatigue se faisait sentir. Je faisais mon lit, me couchais, pour le reste … On verra demain !

Dans la nuit je me réveillais, envie de pisser, en allant aux WC, je passais devant la porte de la chambre à Dominique, elle était entre-ouverte, par réflexe j'y jetais un œil rapide, la chambre me semblait vide … Je me disais … ''  … le petit cachottier, il avait un rendez-vous dont il n'a pas voulu nous parler … ''…  Puis je passais devant la chambre de Denis et là, j'entendais ce qui me semblait être des gémissements, un court instant je tendais l'oreille … '' Oh oui vas y, c'est bon , … '' . Je pouffais de rire … décidément ces deux là, ce sont des chauds lapins, l'un est parti courir la gueuse ( comme on dit chez moi ) et l'autre invite sa copine chez lui … De toutes évidences avec ces deux là on risquait de passer de bons moments. Ça va être une très bonne année !

Au petit matin, mes deux colocataires étaient déjà levés, et avaient préparé le petit déjeuner, c'est dans une odeur de café que je me réveillais, installés sur la table de la cuisine me voyant, ils m'invitaient à les joindre de la main tout en me faisant un grand sourire.

Dominique : On ne savait pas s'il fallait te réveiller …
Denis : Café, pain grillé, confiture … Arrive , on t'attend !

Je les saluais et m'installais avec eux. On parlait de la soirée d'hier, de ce qu'on pourrait faire aujourd'hui, et très vite je leur racontait l'air faussement suspicieux le petit événement de la nuit … Dominique devenait subitement tout pâle alors que Denis lui devenait tout rouge tout en se regardant, visiblement  embarrassés … Je continuais alors …

Moi : Eh faut pas vous mettre la cervelle en huit les mecs, ça va j'ai compris, y a pas de problèmes, moi c'est pareil, on reste discrets c'est tout … Tout va bien, on est entre mecs, c'est normal, c'est cool, tout va bien !

Mes deux camarades retrouvaient leurs couleurs naturelles et on terminaient notre petit déjeuner tranquillement.

Dominique : Bon si personne n'a rien de prévu, on pourrait se faire une promenade au parc, puis on traverse la forêt, et , juste derrière la forêt il y a une jolie rivière et toute une zone dont les berges sont autorisées au naturisme … Ça vous tente ?
Denis : Ça c'est une bonne idée, il va faire un temps magnifique, on pourrait se faire bronzer, j'en suis ...
Moi : Pareil, j'adore me baigner, et c'est vrai qu'il va faire beau !

Il était tôt, il faisait beau, et je proposais un petit footing ! L'idée leur plaisait et on se retrouvait donc dans la rue, en tenue de sport … échauffement, on commençait doucement puis c'était parti , on se suivait, on se retrouvait côte à côte on se doublait l'un l'autre puis on se rattrapait, après un circuit de huit kilomètres je leur lançait … '' maintenant on fait la course, c'est le premier qui arrive … '' et je commençais à accélérer, ils en faisait de même, mais à la course je suis bon et je les distançais rapidement, on était à fond, j'arrivais en premier … Et j'entrais sans attendre.

Je me retrouvais en premier dans la salle de bain pour la douche matinale, Dominique arrivait peu après et on se savonnait de concert .

Dominique : Tu fais de la course depuis longtemps ?
Moi : Depuis que je suis gamin.
Dominique : Tu est bon, y avait pas moyen de te rattraper ! On pourrait faire ça tous les matins si ça te tente ?
Moi : C'est une idée ça, pourquoi pas, ça met en forme pour le reste de la journée !

Dans ma tête, je me disais, il est rudement bien foutu et il doit être plus gros que moi, peut être pas beaucoup mais un peut tout de même ( évidemment je comparais, les mecs ils font toujours ça sous la douche ) … Il commençait à bander, juste un peu, j'essayais de me contrôler, je commençais à bander aussi … On se retrouvait avec … une grosse molle … entre les jambes qui se balançait pesamment, on en restait là … '' Ouf ! ''

Denis arrivait finalement à sont tour, même comparaison, il devait lui aussi être dans les même taille, plus petit peut être mais à peine ! Je voyais à son regard qu'il faisait lui aussi la comparaison, j'avais pas à rougir, je fais plus de 20 cm et je me disais que finalement si on était tous les trois dans la même catégorie, au moins, ça ne ferait pas de jaloux ! Il avait comme nous la même réaction et se retrouvait avec une grosse molle qui pendait entre ses jambes !

Denis : Bande de lâcheur ! Vous auriez pu m'attendre !
Moi : C'est seulement maintenant que tu arrives toi ?
Dominique : Il s'est arrêté chez le fleuriste pour discuter ce branleur !

J'avais remarqué une belle blonde à grosse poitrine qui était vendeuse chez ce fleuriste. Si ça commence comme ça on va se faire de la concurrence … Mais bon c'est pas grave, des potes c'est plus important qu'une fille …

En fait, on était tous un peu gênés, c'était la première fois qu'on se voyait à poil … Je passais une serviette autour de moi pour me brosser les dents, me raser, me coiffer, alors que les deux lascars eux restaient à poil !

Dominique : J'aime bien être à poil moi, pas vous ?
Moi : Et bien reste comme ça, si tu veux !
Denis : A la rivière on sera en plus au soleil !
Dominique : Faudrait pas me le dire deux fois ça !

On se mettait tous les trois à rigoler en terminant de se préparer, Dominique repartait de la salle de bain à poil, Denis et moi avions par réflexe notre serviette autour des hanches en guise de pagne!

Dans le reste de matinée, je m'installais, vidais mon sac et rangeais mes vêtements. Les deux autres mettaient de l'ordre dans leurs cours, leurs livres, vaquaient à leurs occupations … En fin de matinée on allait tous les trois faire quelques courses ( faut bien manger!) on préparait le repas qu'on prenait tous ensemble, puis on se réservait un moment pour la digestion .

Au début de l'après midi, en tenue de sport, sac à dos léger sur les épaules, on était fin prêts pour notre après midi bronzette … J'aime bien faire du naturisme, on peut mater les filles qui évidemment sont à poil aussi, sinon elles vont se faire bronze ailleurs ! C'est cool, avec des potes c'est encore mieux, l'idéal bien sûr c'est avec une fille … Mais bon, on prend ce qu'on a … !

Trois beaux gaillards comme nous, jeunes et sportifs, on faisait la route en footing sans faire la course, le parc était bondé, la forêt était fraîche, et la rivière … l'eau semblait chanter entre les cailloux en nous attendant ... L'idée de voir des filles à poil me rendait poète … On retirait rapidement nos vêtements pour s'installer dans un petit coin au soleil, et je partais faire une reconnaissance des lieux … Je revenais un bon moment plus tard en faisant la gueule … Il n'y avait que des mecs !

Sans rien dire, je retrouvais mes potes qui s'étaient installé et prenaient le soleil, l'un écoutait de la musique l'autre lisait, ils étaient allongés sur leur serviette l'un sur le dos, l'autre sur le ventre avec son livre entre les mains. Je m'asseyais sur ma serviette, regardais à droite puis à gauche, pas une fille ! Merde ! Fait chier ! … Pfrrrr ! Grrrr !

Au bout d'une heure que me semblait une éternité, Dominique, retirant ses écouteurs …

Dominique : Et si on allait se baigner …

Sans attendre la réponse il se levait et se dirigeait vers la rivière.

Denis : Bonne idée, on n'est pas là pour rigoler !

Il se levait à son tour et suivait son camarade, je ne levais même pas les yeux pour les voir s'éloigner … Denis me lançait …

Denis : Et bien alors Jérémy, t'attends quoi ?

J'entendais le bruits d'un plongeon suivi d'un autre. Je les rejoignais, le coin était joli il y avait un peu de fond et je plongeais à mon tour. On jouait un moment en s'arrosant, l'un nageait sous l'eau pour m'attraper les pieds, me renversait , … , bref on passait un bon moment a chahuter et à rigoler,  j'avais même oublier qu'il n'y avait pas de filles.

En sortant de l'eau, je remarquais, il aurait été difficile de ne pas le remarquer que mes deux camarades bandaient ferme … ! Voyant leurs pénis bien droits, bien raides, bien fermes, j'étais tout de même un peu surpris, pas envieux j'ai la même chose à la maison, mais surpris. Eux pas gênés, ils arboraient fièrement leur membre viril sans essayer de se dissimuler ! Avant d'avoir le temps de réagir je me rendais compte que je bandais aussi ! Et moi aussi, bien ferme, bien dure, bien droit ! Je faisais comme eux, je n'essayais pas de me cacher. Je remarquais que plus loin d'autres hommes étaient tout aussi en forme que nous, et nous regardaient avec insistance ! Ça commençait à m'amuser ! Je ne pensais plus aux filles !

On remontait ainsi jusqu'à nos serviettes et nous nous allongions tous les trois sur le dos. Denis lançait les hostilités !

Denis : Alors les mecs, on a l'air en forme …
Moi : Ouai, mais moi j'ai pas baisé cette nuit …

Ils éclataient de rire !

Dominique : Dis moi Djé, elle fait combien la tienne ?
Moi : Un peu plus de 20 cm !
Denis : C'est réaliste, on est de la même taille, et je fais mes 20 bons cm aussi !

Mon surnom était trouvé, ils allaient maintenant m'appeler Djé.

Dominique : C'est bon de bander, comme ça, sans rien faire ! Cool !
Denis : Sans même essayer de se branler !
Moi : C'est d'autant plus facile de bander bien ferme que moi j'ai pas joui depuis quelques jours, moi ! J'ai pas osé me branler cette nuit de peur que vous ne m'entendiez, et sous la douche pareil, j'étais pas seul … C'est pas comme Monsieur et Monsieur !

En terminant de dire cela je regardais l'un puis l'autre .

Dominique : Bon tu as découvert notre petit secret …
Denis : Petit secret, c'est un secret de polichinelle !
Dominique : Bon tout le monde n'est pas au courant tout de même !
Moi : C'est pas un secret ça, ça se devine au premier coup deuil !

Mes deux camarades ne disaient plus rien d'un coup ! Et je continuait !

Moi : Tout le monde le devine, votre secret ! Vous avez vu votre allure !
Dominique : Merci ça fait plaisir, on me l'avait jamais sorti celle là !
Denis : Moi non plus !
Dominique : J'ai compris c'est une blague, il nous fait marcher !

Denis pouffait de rire suivi par Dominique qui en me regardant me lançait …

Dominique : T'es un farceur toi !

Ils reposaient leur tête sur leur sac qui servait d'oreiller tout en se marrant ! J'en faisait de même en me disant … ( n'importe quoi , c'est vraiment parler pour ne rien dire ) … quand Denis …

Denis : Et puis de toutes façon, si tu voulait vraiment te vider les couilles, tu n'avais qu'à nous rejoindre …

En une fraction de seconde je m'étais relevé, et j'étais assis à leurs pieds à les regarder, les yeux écarquillés.

Moi : Parce que cette nuit c'était vous, vous deux, vous deux tout les deux ... ensemble !
Dominique : Bein oui !
Denis : Bien sûr !
Dominique : T'avais compris quoi ?

Je restais un moment la bouche ouverte, essayant de mettre de l'ordre dans ce que je venais d'entendre ! J'essayais de répondre ...

Moi : Moi, mais, c'est que, j'avais pensé, que lui, mais pas que non, évidemment, pas ça , … Euhhh …

Mes deux camarades éclataient de rire !

Moi : Non, vous faites chier les mecs, j'avais pensé que l'un était sorti voir sa copine alors que l'autre avait invité la sienne ! Voilà, et bien non, c'était pas ça !

Un court silence, puis … Dominique éclatait de rire, mais là, il était plié de rire …

Dominique : Ça y est j'ai compris, tout à l'heure quand tu nous disais … ''  C'est pas un secret ça, ça se devine au premier coup deuil  …   Vous avez vu votre allure '' … ( Il riait tellement qu'il n'arrivait plus à parler ) … on ne parlait pas de la même chose !
Denis : Moi aussi je croyais qu'il voulait nous faire croire qu'on avait l'air efféminés …

Denis aussi riait de bon cœur. Moi je ne riais plus, je les regardais l'air presque méchant, fronçant les sourcils !

Denis : Alors ce matin quand tu nous a dit ( …  moi c'est pareil  … Tout va bien, on est entre mecs … ) tu pensais qu'on s'intéressait aux filles … ?

Il riait tellement que, allongé sur le ventre il frappait le sol avec son poing, et il en pleurait !

Dominique : Moi j'avais compris autre chose …

Dominique lui aussi se roulait par terre, aucun des deux ne bandait plus ! Je continuais à les regarder en ' faisant les gros yeux '. Reprenant difficilement son souffle Dominique tentait de se relever et après plusieurs tentatives y parvenait, son visage était rouge mais pas de confusion … il me regardait et, essayant de se contrôler, il attrapait le bras de son camarade en disant …

Dominique : Denis arrêtes, Denis, là il ne rigole pas, Denis, il fait la gueule, là il y a un problème … !

Denis se relevait , il était tout rouge et ce n'était pas le soleil, il était en larme et il n'était pas triste … Il reprenait son souffle, difficilement, pouffait deux ou trois fois avant de pouvoir se contrôler … Puis finalement tentait de me parler sans me regarder …

Denis : Bon écoute Djé ( il reprenait son souffle et essayait de ne pas rigoler ) j'espère que ça va pas poser trop de problème entre nous, on te trouve plutôt sympa, même si tu es hétéro, il ne faudrait pas que …

Il me regardait, ses yeux sortait de sa tête, pouffait de  rire de nouveau encore plus fort, il se laissait retomber sur le dos en me montrant du doigt et en me disant …

Denis : En tout cas, tu bandes toujours toi … !

Dominique qui n'avait pas remarqué le détail, embarrassé qu'il était de me regarder, voyant la chose pouffait de rire à son tour. Et c'était reparti … Ils étaient tous les deux pliés de rire par terre … Je finissait par rigoler à mon tour … On était trois sur ce coup et il nous a fallu un bon moment avant de reprendre notre calme … Évidemment, je n'étais pas fâché, j'étais juste surpris, et un moment j'avais l'impression de passer pour un con. Mais bon après une heure à rigoler, je n'était plus, mais vraiment plus fâché du tout !

Ils étaient sympas, sous la douche ça s'était bien passé, j'étais un peu gênés mais c'était normal c'était aussi la première fois qu'on se voyait à poil. La prochaine fois, maintenant qu'on s'est vu bien en forme, on ne devrait plus en faire aucun cas. Ils n'avaient pas eu un geste de travers pas un geste déplacé et c'était certainement l'endroit le plus sensible. Pour le reste … il n'y a aucune raison pour que ça se passe mal ! C'était mes potes et ils le resteraient !



Ep 2 : VOUS AVEZ DIT VACANCES 



Les semaines passaient avec une grande monotonie, les journées étaient bien réglées, bien organisées, il fallait être sérieux à la fin de l'année scolaire nous avions tous les trois un examen important …

Le matin petit footing matinal avec mes deux colocataires, juste quelques kilomètres pour bien se réveiller, puis douches collectives, on avait l'habitude de se voir à poil et il n'y avait plus aucune gène et le but était surtout de ne pas perdre de temps, petit déjeuner, puis direction les cours.

L'après midi, on était bien organisés, on s'y mettait tous, un moment de ménage dans l'appart, sans être maniaque de la propreté c'est plus agréable et en s'y mettant tous ça va plus vite … ( chacun faisait ce qu'il voulait dans sa chambre ) ensuite on bossait chacun ses cours une bonne partie du reste de la journée ( nous n'avions cours que le matin ), les courses se faisaient ensemble, on avait décidé de mettre en commun le budget nourriture ainsi que les besoins de l'appartement, papier hygiénique produit d'entretien … Quand l'intendance est bien organisée ça évite des problèmes et des points de tension. L’ambiance était au beau fixe !

J'avais essayé de me draguer la petite fleuriste que j'avais déjà remarqué le premier jour … Elle était mariée ! Pfffrrrr ! Chui dégoûté ! Avec un tel tour de poitrine c'était pour moi la femme idéale ! Par contre ce jour là j'avais remarqué la présence d'un petit fleuriste très, comment dire, mignon … et délicat … et un peu maniéré … enfin bref c'était pas LA fleuriste qui avait retardé Denis lors de notre premier footing mais bien LE … Je comprend mieux là, je comprend mieux !

J'avais essayé de me draguer la superbe serveuse du bar ou nous avions pris nos habitudes  mais … comment dire … elle, elle était pas mariée mais j'ai vite compris que si j'insistais sa copine risquait de m'arracher les yeux … J'ai laissé tombé … Sa copine et moi on s'entend très bien maintenant !

J'avais essayé de me draguer la pulpeuse Pamela ( c'est pas son vrai non mais c'est pas grave, tout le monde l'appelle comme ça ) qui n'arrive pas suivre la moitié de ses cours, non pas qu'elle n'y va pas, elle ne loupe aucun de ses cours mais comment dire … Elle n'est pas vraiment futée mais quand je dis pas vraiment … C'est peu dire  ! J'ai renoncé !

J'avais essayé de me draguer une très belle étudiante, très brillante, qui avait aussi un très beau tour de poitrine, blonde, une vraie blonde, mais comment dire … Elle semblait ne pas me prendre au sérieux et répondait à mes avances avec beaucoup de gentillesse tout en jetant un œil vers mes camarades. '' Tu es tellement mignon, ça me touche vraiment que tu m'aies remarquée, si si vraiment, mais tu sais que entre nous, dans ton cas, ça ne nous conduirait nulle part ! ''. Elle croyait que … ( à cet instant j'ai vraiment haï mes colocataires ) … Profitant de la situation le capitaine de l'équipe de foot trouvait à se caser. C'est lui que je haïs maintenant !

Ça fait chier quoi ces histoires ! On me dit que les filles adorent les PD, et à me voire traîner avec mes colocataires, mignon comme je suis ( si si , relisez le premier épisode je me décris et j'exagère pas, je suis très mignon ) et bien mignon comme je suis je devrais les attirer … Que dalle c'est des connerie quand on vous dit ça .

Par contre …

Alexis, un ptit gars, sympa, musclé, beau cul, belle gueule, ( ça doit être ça BCBG ) gentil, j'ai rien contre lui je l'aime bien c'est un copain à Dominique, lui par contre à chaque fois qu'il me voit …
'' Tu veux pas venir boire un verre avec moi ''
'' Je vais au ciné ce soir, c'est le dernier Pedro Almodovar, tu veux pas m'accompagner '', là franchement j'ai préféré y aller un autre jour, il est sympa mais ... dans le noir … comment dire ? …
'' Tu nous accompagne on se fait un resto '' Il disait ' on ' ce jour là , ça voulait dire ' je ' …

Ou encore le fameux Bernard …
'' Tu est rudement bien musclé, tu fais de la muscu … ''. Je fais du sport tout le monde le sait.
'' On t'a jamais dit que tu portes vraiment très bien le T-Shirt, ça fait ressortir tes muscles …''.  Franchement un T-Shirt ça va à tout le monde.
'' Moi aussi j'aime bien faire du footing, il faudrait qu'on en fasse un ensemble un jour … On pourrait aller jusqu'à la rivière … ''. Je connais j'y suis déjà allé ! Bernard est sympa lui aussi, mais comment dire … Non, vraiment pas, non merci quoi !

Et je ne vous parlerais pas de
Laurent
Mathias
François
Paulo
Simon
Olivier
Rémi
Johnny
Tristan

Bein oui Tristan on, l'avait oublié celui là, c'est lui le petit fleuriste du coin … Bon il faut bien dire que tous ces garçons sont absolument adorables, ce sont tous des amis à Dominique et Denis … On les reçoit régulièrement, mes camarades m'ont souvent demandé si ça ne me dérangeait pas, je les aime beaucoup, ils sont tous très sympas … Ils m'ont tous dragué ! Je sais c'est flatteur, c'est ce que je devrais me dire mais en attendant, les filles dans cette histoire ... que dalle !

Bon j'en profite au point ou nous en sommes pour vous faire une petite confidence, depuis le temps que êtes là à lire mes élucubrations, si vous avez eu le courage de me lire jusque là je pense que je peux vous confier ce détail … Je suis puceau ! …

Ok , là j'en entend qui sont en train de se bidonner devant leur écran … Et bien bidonnez-vous bien les mecs mais je vous préviens si jamais j'en prends un à cafter … Je le retrouve et on va discuter entre quatre-zieux  ! Vous êtes prévenus ! Ouai je sais, 20 ans, beau gosse, belle gueule, belle carrure, musclé … on rajoute Puceau, et tout le monde se marre ! Ouai bein là c'est moi qui en ai marre ! Ça va pas durer, là c'est moi qui vous le dis !

Et c'est pas un mec qui va me dépuceler !

Non mais !

Merde quoi !

Faut arrêter de déconner !

Bon là je suis de mauvais poil ! Toute cette histoire commence à m'énerver ! Heureusement les résultats au niveau de mes études sont plus que bons, ils sont même vraiment excellents. C'est déjà ça, pour le reste on rigole bien, on passe de supers soirées. Le Week-end c'est relâche, on laisse tomber les études, on sort, ciné, bar, boite de nuit ( bon évidemment je suis mes camarades et dans les boites ou ils m’entraînent il n'y a pas beaucoup de fille ).

Il y a deux semaines je m'en suis trouvé une, wouah, à tomber, elle était belle, elle était chaude, elle était pulpeuse, des yeux ( je vous rassure elle en avait bien deux ) vert, magnifiques, un sourire à vous retourner, elle avait une belle poitrine, une chute de rein à tomber par terre j'ai pas souvent vu un tel canon, sans exagéré  mais au final … C'était pas une fille ! Bon là moi je ne drague plus dans ce genre d'endroit … C'est pas du jeux … Y en a qui trichent ! Je vous dis pas comment ils se sont foutu de ma gueule les deux guignols … On passe de supers soirées, je me demande si je vais pas arrêter de traîner avec eux !

Un peu plus de deux mois s'étaient passé depuis le début de cette histoire. Un samedi soir, on faisait la fête, la moitié des gars que je vous ai cité plus haut étaient là. Je ramenais trois verre de bière à la table ou mes deux acolytes discutaient ferme sur … En fait je savais pas du tout de quoi ils parlaient … J'avais passé la soirée à reluquer une jolie petite, brune, plus petite que moi, c'était pas un mec, ça j'en suis sûr … Si ça c'est un mec, moi je suis PD ! C'est clair ! J'arrivais à notre table, je posais les verres …

Moi : Vous parlez de quoi les mecs ?
Denis : De nos prochaines vacances !
Alexis : Dans deux semaines on fait une descente dans le sud du pays, chez un ami !
Denis : Deux semaines de délire, équitation, natation y a une piscine, promenade, jeux , …
Dominique : Il y a une grande maison avec un grand parc sans aucun vis à vis … on peut se balader à poil dans le parc …
Tristan : On y est allé au début des grandes vacances. Ça va bientôt faire six mois !

Tout le monde éclatait de rire à cette réflexion ! Je ne comprenais pas vraiment pourquoi, mais bon, il y a des fois ou j'ai du mal à les suivre … Je n'insistais pas !

Moi : Vous préparez vos vacances et vous ne m'en parlez même pas ? C'est sympa, merci les mecs !
Dominique : Je ne pense pas que tu serais intéressé !
Moi : C'est moi qui sais si je suis intéressé !Vous auriez pu m'en parler quoi !
Tristan : De toutes façons c'est pas trop tard, c'est dans deux semaines, et il y a de la place, on n'est que douze .
Moi : c'est limité en nombre ?
Denis : On évite d'y aller à plus de quinze !
Tristan : Ça s'est déjà fait parait-il mais selon le rapport, c'était beaucoup trop !
Manuel : Mais laissez le venir s'il veut venir !
Paulo : Plus on es de fous, plus on rit !
Dominique : Il va falloir le briefer.

Je buvais mon verre cul sec .

Moi : La vache, ça rafraîchi ! Allez y les mecs briefez moi, oué, briefez moi !
Dominique : On fait un jeux érotique pendant deux semaines !
Moi : Érotique, cool , c'est ce qui me manque en ce moment !
Denis : Érotique, entre mecs, je sais pas si tu vas aimer !
Moi : Si, si, j'adore … Juste un point … Personne ne tente de me dépuceler du cul ! A part ça, ça roule !
Dominique : On peut t'expliquer de quoi il s'agit mais à une condition … Tu nous promet de ne rien répéter. A personne. Silence, motus et bouche cousue !
Moi : Promis, juré si tu veux je crache par terre !
Dominique : Bon Ok, pas la peine de cracher ( en soupirant ). Au moment ou on arrive on met tous une ceinture de chasteté.
Tristan : C'est une expérience intéressante, tu peux me croire !

Tout le groupe éclatait de rire de nouveau. Moi je ne comprenais toujours pas, mais je ne cherchais pas d'avantage.

Moi : Chasteté … cool … Je suis chaste en ce moment moi … alors !
Dominique : Je te parle de porter une …

Je me levais et montrant mon verre …

Moi : Attend je retourne chercher de la sauce, ça commence à faire sec !

Je revenais quelques instants plus tard avec un verre plein, mais la taille du dessus !

Dominique : Dis donc tu picoles ce soir !
Moi : Vas y mon gars je te suis tout ouïe, je t'écoute !

Dominique reprenait son explication, par moment un des autres garçons présents intervenait pour préciser certains points … Je faisais semblant d'écouter, l'air concentré, sans pour autant regarder en permanence mon interlocuteur, si l'un des mecs intervenait je le regardais, j'acquiesçais et répondait par des gestes qui pouvaient vouloir dire … ' Bien sûr ' … ' C'est évident ' … ' Je suis d'accord ' … ou encore … ' Je comprends bien ' … etc …

Si on joue bien le rôle , c'est à s'y méprendre. Le mec qui est en face est convaincu qu'on lui accorde toute son attention !

Dominique : Donc au moment ou on arrive on met tous un dispositif de chasteté et le jeux peux commencer …
Moi : Cool, j'ai toujours eu envie d'essayer !
Dominique : Arrête, c'est du sérieux ! Donc, le lendemain de notre arrivée on se réuni pour élire celui qui sera libéré en premier …

De toutes façons, ils sont bien mignons tous, mais faudrait pas oublier qu'ils m'ont tous dragué, ils vont pas me laisser longtemps dans ce truc ! Mon regard se perdait dans la foule ! Avec le bruit qu'il y avait je jouait les attentifs en approchant mon oreille au plus près de la bouche de Dominique, évidemment à cette distance, le regarder dans les yeux aurait été bizarre ce qui fait qu'il était normal que mon regard se perde dans la foule.

Dominique : … C'est donc ce que nous avons comme résultat au bout de plusieurs jours …

En regardant Dominique bien dans les yeux .

Moi : C'est logique !

Dominique semblait ravis de me voire aussi attentif et reprenait !

Dominique : Un nouveau vote …

Purée elle a beau cul la petite là bas, ouai, je vais essayé de me la brancher tout à l'heure ! Il y a vraiment beaucoup de monde ce soir ! Pas beaucoup de meufs, mais quelques petits lots tout de même. Je ramenais mon regard sur chacun des garçons qui étaient à la table pour m'assurer que personne ne remarquait que je n'écoutais pas et pensais à autre chose. J'entendais alors

Dominique : … un chèque de caution …


Je rembobinais quelques seconde, il venait de dire '' … il faudra déposer un chèque de caution … '' . Avant je sais pas ce qu'il avait dit mais là il parlait de sous ! Je retournais mon regard vers lui, il continuait.

Dominique : … Le montant peut paraître important. Mais c'est juste une caution, le chèque ne sera pas encaissé. Il me tendait un papier avec le montant de la caution.

Là , je convulsais !

Moi : Tu es sûr que le chèque ne sera pas encaissé, parce que là, c'est une grosse partie de mon budget. La je vais coucher sous les ponts, et encore je sais même pas si je pourrais en payer le loyer !
Dominique : Je te le garantis. Il ne sera pas encaissé !
Moi : Bon, c'est d'accord, bouge pas d'ici, je vais retourner chercher un peu de sauce … mon verre est vide !

Je me levais et me dirigeais ver le bar. Je m'approchais de la petite qui avait un beau cul et qui s'était installée au bar, je demandais une bière et tentais une prise de contact, j'avalais la moitié de mon verre, et lui racontais je ne sais quelle connerie, elle me regardait l'air patibulaire, jetais un œil vers mes copains.

Moi : Non fait pagaffe cédé potes, c'est rien , chui pas commeux moa !

Je perdais mon contrôle, j'arrive à cacher mon ébriété en temps normal, mais là, c'était loupé ! Elle m'invitait à aller cuver avec mes copines et je ne suis pas sûr que le ton qu'elle employait était courtois ! Bon, je me disais, c'est encore loupé, je vais allé boire mon verre avec mes copines … Merde il est vide ! J'en commandais un autre, un double, payais, et retournais voir mes copines en me concentrant pour ne pas montrer que j'étais bourré ! Sur le chemin je rigolais tout seul, je me disais '' chui bourré, si je leur dit, y vont se marré, pasque bourré, y voudraient bien m'bourrer mais pas pareil ! ( burp ) ''

En approchant de la table je me concentrais, ça va pas être facile !

Je m'installais, j'avais retrouvé mon self contrôle, et me retournant vers Dominique …

Moi : Donc tu me disais que le chèque ne serait pas encaissé !
Dominique : Tu picoles vraiment beaucoup ce soir !
Moi : Oui je sais, mais j'ai vraiment besoin de me détendre, demain j'aurai la gueule de bois, mais c'est pas grave . Il y a des jours ou boire un ou deux verres de trop, ça fait pas de mal ! Vas y continue !
Dominique : Le chèque te sera rendu ou détruit …

Putain j'ai assuré là, ils n'ont rien vu, mon regard se perdait à nouveau vers la fille qui m'avait jeté, dommage, elle avait un beau cul ! …

Un bon moment plus tard j'entendais …

Dominique : Voilà, on t'a tout raconté ! Tu en penses quoi ?

J'en pense quoi ? J'en pense quoi ? Je ne sais même pas de quoi il me cause là. Qu'est-ce qu'il veut que je lui répondre ? J'avais entendu ' expérience intéressante ', 'chèque restitué ', ' que je ne serais pas obligé de me faire enculer ' !

Moi : Ça m'a l'air d'une expérience intéressante, j'ai jamais fait ce genre d'expérience, et si je me fait pas enculé et que le chèque est restitué … Faut voir ! Tu as le règlement de ce … club (?) …
Dominique : J'en ferais une copie que je te poserais sur ta table de nuit !
Moi : Alors ça marche, je te donne ma réponse dans quelques jours !

Avec un réponse aussi responsable, je les avais tous bluffés ! Tout le monde était contant ! Il était temps que Dominique conclue car un peu plus tard dans la soirée, c'était le trou noir. Je me réveillais le lendemain après midi avec la gueule de bois. J'étais dans mon lit, mes vêtements en tas à coté du lit … J'avais l'impression que chacun de mes cheveux me faisait mal individuellement ! L’horreur ! Je trouvais le règlement sur ma table de nuit et c'est en le voyant que je me souvenais de toute cette histoire ! L'appartement était vide.

Je me levais comme je pouvais, j'allais jusqu'à la cuisine, sur la table j'y trouvais un papier …

'' Nous sommes allé profiter des derniers rayons de soleil à la rivière, prends deux ou trois comprimés qu'on t'a laissé pour soulager ton mal de tête, la vache on ne t'avait jamais vu dans un  état pareil. Ça va faire mal. N'essaye pas de lire le règlement que je t'ai laissé, tu verras demain ! A pluss, grosse bise ''

Tiens, il me fait la bise. Je voudrais bien savoir comment ça s'est terminé hier. Je retournais dans ma chambre et comatais jusqu'au soir. A leur retour Dominique et Denis passaient me voir, on discutait un bon moment, ils me racontaient la fin de la soirée, j'avais dansé, chanté, sorti un nombre incroyable de conneries, tout le monde pensait que j'étais complètement irresponsable, plusieurs de nos copains on même tenté d'abuser de moi, ou en tout cas de voir si c'était possible, mais j'ai refusé leurs avances à tous. '' Finalement même bourré tu reste hétéro '' me disaient-ils !

Les deux ou trois jours qui suivaient restaient difficiles. Je me concentrais sur les études, les premiers examens approchaient … Vers la fin de la semaine, je n'avais pas encore lu le règlement du jeux prévu pour les vacances … Mon téléphone sonnait, c'était Tristan.

Tristan : Alors Djé, tu nous donnes ta réponse quand ? Tu sais qu'on est limité par le nombre de participants ? C'est un jeux mais c'est sérieux, il faut qu'on sache à l'avance .
Moi : Oui, oui, pas de problème, ça me convient je suis d'accord !
Tristan : Tu es de la partie alors ?
Moi : Pas de problème, je ne veux pas louper ça !
Tristan : Alors tu me retourne le règlement signé paraphé, comme c'est indiqué ...

Je cherchais l'endroit ou c'était indiqué … Oué ! C'était à la dernière page !

Moi : A la dernière page !
Tristan : T'es cool mec, Dominique me disait que tu ne viendrais pas et que tu ne lirais même pas le règlement ! Je vois qu'il s'est planté ! Et surtout n'oublie pas le chèque !
Moi : Ah ouai, le chèque …
Tristan : Personne ne l'encaissera, tu as ma parole !
Moi : Ok, je te fais confiance, mais attention déconnez pas sur ce point les mecs, pour moi c'est une très grosse somme !
Tristan : Aucun risque ! Je m'y engage !
Moi : Ok , je t'amène ça tout de suite .

Je lisais vite fais le règlement, on porte la bazar, tout le monde le retire chacun son tour il 14 jours, 14 participants, je suis pas obligé de me faire enculé donc au pire je porte le truc deux semaines,  ça pourrait être une expérience amusante … je signais, paraphais, je remplissais le chèque vite fait, je descendais sans attendre chez le fleuriste, j'y trouvais Tristan et je lui donnais les documents.

Le soir je me retrouvais avec mes colocataires pour le souper.

Denis : Au fait Djé, tu as pensé à remplis ton inscription et le chèque ?
Moi : Inscription ?

Dominique pouffait de rire.

Dominique : Je t'avais bien dit qu'il ne viendrait pas, il avait juste envie de nous faire parler. J'y ai jamais cru ! Oui Djé, le règlement, le truc en papier avec plein de lettres dessus … Ça fait valeur de bulletin d'inscription …
Moi : Ah oui, ce truc là … Oui !
Denis : Quoi … Oui ?
Moi : Oui, je l'ai rempli !

Ils me regardaient tous les deux, soudainement immobiles, bouches ouvertes, le regard incrédule ! Les nouilles glissaient de leurs fourchettes … Ils avaient pas l'air futés ! Je les regardais et savourais cette seconde tout en rigolant !

Moi : Parfaitement, j'ai rempli le document, j'ai fait le chèque et j'ai donné le tout à Tristan il y a pas deux heures ! Mais bon je reste sur mes position, personne il ne touche pas à mon cul !
Dominique : Tu es bien décidé !
Denis : Tu sais que tu peux encore annuler.
Moi : Mais je veux y aller !
Dominique : Tu n'est pas sérieux ! Tu as déjà porté un dispositif de chasteté ?
Moi : Non mais c'est une expérience qui doit être intéressante ! J'y ai réfléchi, et je veux et je vais essayer !

Dominique  regardait Denis qui haussait les épaules.

Dominique : Bien si c'est comme ça !... Bienvenu au club
Denis : Et amuses-toi bien !

Vivement les prochaines vacances … !



Ep 3 : VIVE LES VACANCES  



C'était le jour J, samedi matin, très tôt, le jour n'était pas encore levé, mes colocs et moi attendions à l'entrée du parc, on voyageait léger, juste un petit sac à dos. Si tout se passait bien on n'aurait pas à s'habiller … Aucun vêtement, c'est toujours cool d'être poil ! J'en touchais un mot à Dominique qui aime ça, comme chacun sait !

Dominique : Tu sais que tu ne sera pas vraiment à poil !
Moi : C'est pareil ! Denis m'a montré des photos , je trouve ça trop sexy ! Et à part ce petit truc , tu es à poil !
Dominique : C'est pas du tout pareil, ça change tout ! Tu n'es pas du tout à poil quand tu porte ce genre de truc tu sais, on voit que tu n'as jamais essayé !
Moi : Denis m'a garanti que ça ne faisait pas mal !
Dominique : Je te le confirme, le but n'est pas de torturer les participants. Ça fait pas mal, mais c'est dans la tête. Tu peux plus toucher ta queue ! Tu peut plus bander ! Tu peut plus jouir ! Et on sait que tu en as l'habitude !

Denis nous écoutait, il rigolait !

Denis : Je lui ai déjà expliqué tout ça … Soit il est totalement irresponsable soit c'est vraiment ce qu'il veut !
Dominique : Moi je penche pour totalement irresponsable !
Denis : On verra bien ! En tous cas moi je l'ai mis en garde !
Moi : Ça fait plus d'une semaine que vous me mettez en garde ! Selon vous je suis pas capable de participer sérieusement à ce genre de jeux, je sais pas ce que je veux ! Arrêtez de me prendre pour un con ! Beuuh !

Une voiture arrivait, à l'avant au volant un gars que je ne connaissait pas. Place passager c'était Tristan ! Dominique me demandait si je connaissais Manuel , … , il nous présentait ! On prenait place à l'arrière. C'était une grande voiture ça va, on avait de la place, heureusement, on avait près de 900 Km de route … par l'autoroute, on avait prévu d'y être en début d'après midi …

Manuel : On est les derniers ! Les autres ont un peu d'avance sur nous !

On démarrait ! Au départ, grosse ambiance, on chantait, la radio à font, deux heures plus tard la radio à fond, au bout de trois heures on avait baissé le son pour protéger nos oreilles, plus personne ne disait rien, on somnolait à moitié, toutes les heures on changeait de chauffeur. Après Manuel, c'est Tristan qui s'y collait, puis Dominique … Manuel était venu à l'arrière pour pouvoir faire connaissance plus tranquillement. Il m'avait dit en s'installant à coté de moi … '' Alors c'est toi le fameux Djé ! Tu sais, j'ai beaucoup entendu parler de toi ! Ils disaient presque tous que tu ne viendrait pas ! Ravis de te compter parmi nous '' … C'était moi le fameux Djé ! Oué ! J'étais célèbre !

Au bout de quatre heures on avait déjà fait quatre cent cinquante Km. La moitié de la route et il n'était pas dix heures trente. On appelait régulièrement les deux autres voitures pour avoir des nouvelles et s'assurer que tout allait bien ! On me proposait de prendre le volant … cool … c'était une bonne voiture qui tenait facilement les cent trente Km Heure sur l'autoroute, très agréable à conduire.

Vers midi, Tristan qui avait repris sa place de copilote m'indiquait une sortie, il suivait les autres au téléphone, et on s'était donné rendez-vous dans un routier.
Tristan : Ils on bien roulé, on ne les a pas rattrapé … Mais bon ils n'avait pas beaucoup d'avance sur nous, ils viennent d'arriver. J'entrais dans le parking et je reconnaissais le reste de l'équipe qui se dégourdissait les jambes, on me montrait leurs voitures et je me garais à coté. Une pause, c'était bienvenu. On sortait pour aller les saluer. Ils rigolaient tous en me voyant …

Bernard me lançait.

Bernard : Alors finalement tu es venu, je voulais pas le croire, il faut vraiment que je te vois pour le croire, j'aurais  parié mon salaire que tu ne serais pas là , … , si j'en avait les moyens !

Les autres aussi rigolaient en me voyant, ils venaient tous me faire la bise en rigolant. C'était nouveau ça, d'habitude ils me serraient la main ! Manuel me regardant l'air amusé !

Manuel : Eh Ouai, le fameux Djé ! Lol

On était tous au complet, on entrait dans le resto. Le repas se passait bien, bonne ambiance, on faisait beaucoup de bruit, on rigolait beaucoup et pourtant pas une goûte d'alcool, il fallait rester sérieux puisqu'on se relayait au volant …On restait un moment à se détendre avant de repartir puis on reprenait la route mais ce coup ci on se suivait, on gardait le contact visuel. Il restait un peu moins de 300 km … Trois heures plus tard, on y était …

On arrivait devant les grilles d'un château, ça avait l'air énorme. La voiture de devant s'arrêtait et François et Alexis en sortait pour ouvrir les grilles. Ils remontaient aussitôt dans leur voiture. On avançait, la voiture qui nous suivait s'arrêtait et deux gars en sortaient pour refermer les grilles. On suivait une allée bordée par une rangée d'arbres de chaque coté, c'était impressionnant, dans la voiture personne ne disait plus rien et tous me regardaient, pour voire mes réactions, l'allée semblait traverser un bois ou je ne sait pas quoi , un bosquet, c'était sombre.

On en sortait rapidement et là, la lumière, une plaine verte, immense, au bout de l'allée qui se continuait sur peut être encore un kilomètre une très belle maison du XIX eme siècle qui me faisait penser au château de Tintin et du Capitaine Haddock en plus grand. Mon appréciation des distances était faussée, j'étais fatigué et je ne savais plus vraiment ou j'étais …

Les voitures se garaient devant la maison nous étions tous fatigués, mais heureux en sortant enfin des voitures. On me demandait de récupérer mon sac à dos, bien sûr, mais aussi un autre sac ou carton qu'il y avait dans un coffre, peut importe lequel, il fallait les rentrer tous …

On entait dans un hall immense, des escaliers en forme de fer à cheval accueillait et semblait nous inviter vers le premier étage soit par la gauche, soit par la droite !

Tristan : Toute votre attention s'il vous plaît …

Tristan gambadait jusqu'au premier pour se faire entendre, et hurlait.

Tristan : Toute votre attention s'il vous plaît ...

Il obtenait enfin le silence.

Tristan : Je dis ça c'est surtout pour les nouveaux, ( et voyant que j'étais en train de discuter avec Dominique, il hurlait ), Il n'y a qu'un nouveau et c'est surtout pour lui que je parle … Ça va Djé, je te dérange pas ?

Je sursautais, je lui faisais signe … Ok, Ok, j'écoute … Je remarquais alors que plusieurs d'entre nous avaient déjà commencé à se déshabiller. Tristan continuait.

Tristan : Avant de commencer, s'il y en a un, ( il me regardait ), qui décide de quitter le jeux, il est encore temps ? Djé ! On te rendra ton chèque, on te reconduira à la gare, un train part dans moins d'une heure, ils est encore temps …

Tous les regards se portaient sur moi !

Tristan : C'est gentil de ne pas me faire le coup, c'est moi qui suis de corvée … Vous allez donc maintenant tous vous déshabiller, je vois que plusieurs d'entre vous ont déjà commencé … Et vous déposerez vos effets dans des cartons prévus pour cela … Vous avez tous un carton qui porte votre nom … Ne mélangez pas tout, ne prenez pas le carton du copain …

On était tous à poil, nos vêtements étaient rangés dans nos cartons. Il ne restait qu'un carton sur lequel était marqué … ' Tristan ' . Lui il avait encore tous ses vêtements !

Tristan : Devant vous, entre les escaliers, juste en dessous de moi, sur la table, vous trouverez une série de boites avec votre nom marqué dessus.

Le groupe s'avançait vers la table et chacun y trouvait sa boite, j'en avait une aussi, c'était le fameux dispositif de chasteté, je l'examinais un bon moment, '' Wouah ! On y est '' !

Tristan : Toujours pour les nouveaux, je vous donne les détails ou je vous laisse deviner, quand je dis les nouveaux …

Tout le monde éclatait de rire en me regardant.

Moi : Bon ça va les mecs, je me suis documenté …

Je m'éloignais du groupe pour que tout le monde puisse bien me voir. J'étais fatigué et je ne bandais pas, il me semble qu'on était tous dans le même cas … Et là devant la porte d'entrée, j'écartais les jambes, faisait un petit mouvement de rotation du bassin, puis sans hésiter, je passais une couille puis la seconde dans l'anneau principal. Je tirais doucement sur mes couilles puis je passais ma bite à son tour … Ils me regardaient tous ils n'en perdaient pas une miette et je pouvais voire qu'ils en faisaient de même … Je prenais ensuite la seconde partie du dispositif, le tube ou la cage, je ne sais pas comment l'appeler,  j'y glissais ma queue, ça semblait être la bonne taille je suppose qu'ils devaient avoir l'habitude …

Tristan redescendait des escaliers, il était toujours habillé et c'était le seul.

Tristan : Je vais vous appeler les uns après les autres en commençant par les plus anciens …

Je passais donc en dernier, comme pour tous les autres, il m'appelait,  me demandait de confirmer ma participation, m'indiquait que je pouvais encore quitter le jeux, comme pour chaque participant avant moi, que mon chèque me serait restitué … etc … Je confirmais ! Il me donnait un cadenas ouvert avant de me demander de me verrouiller … Je ne sais pas si c'est la fatigue mais c'est sans aucunes hésitation que je m'exécutais, tous le monde me regardait et me félicitait par un tonnerre d’applaudissements. Je sursautais et c'est seulement à ce moment que je prenais conscience de ce que je venais de faire.

Là, je commençais à me poser des questions, la vache ! Qu'est ce que je suis venu faire dans cette galère ? Ça va se terminer comment cette histoire ? En un instant je revivait tous les avertissements, toutes les mise en garde … Wouah, là je prenais une claque ! Je ne voulais rien laisser voire aussi je lui lançais …

Moi : Et toi alors, Tristan, tu restes habillé ou bien … tu n'en mets pas de truc comme ça ? On attend !

Tout le monde pouffait de rire …

Tristan prenant la place que j'avais occupé devant la porte d'entrée commençait un strip-tease, en se dandinant du cul il retirait sa cravate, il s'était bien habillé pour l'occasion le con, la veste, la chemise, la ceinture, chaussures, chaussette, … , il n'avait plus que son pantalon sur lui … Il se retournait nous montrant son dos, baissait son pantalon, il n'avait pas de sous vêtements … Le groupe applaudissait pour l'encourager. Il laissait tomber son pantalon sur ses chevilles puis en retirait les pieds, il se penchait en avant exhibant bien son cul. Des sifflements se rajoutaient aux applaudissements. Il posait alors tous ses vêtements dans son carton qui était à ses pieds puis se retournait …

Dans le groupe, c'était l'euphorie, applaudissements, sifflements, cris de joie, hourras, il gardait ses mains devant ses parties … Tout le monde scandait son nom, j'en faisais de même mais quand il écartait les mains je restais sans voix … Il portait déjà le dispositif !

Je ne comprenais pas, il l'avait mis quand son truc ? Je me retournais et posais la question au premier mec que je voyais. Olivier me répondais alors …

Olivier : Mais, à la dernière session voyons !

Je le regardais l'air bête, toujours sans comprendre …

Moi : Je ne savais pas qu'il y en avait eu une au début de l'année, il y a trois mois ?
Olivier : Non, à la fin de l'année précédente, avant les grandes vacances, il y a six mois !
Moi : Il porte ce truc depuis six mois ?
Olivier : Oué ! Six mois ! J'étais là !
Moi : Mais enfin, il peut le retirer s'il le veut !
Olivier : Ouai bien sûr, c'est pas difficile à retirer mais tu peux me croire, lui il n'a même pas essayé, il adore ça !
Moi : La vache ! Six mois tout de même, ça doit être long ...

J'étais impressionné, six mois ! Ça c'est ce qu'on appelle se prendre au jeux, ça ne dure que deux semaines et lui il le garde six mois ! Moi, je ne dépasse pas, je vais faire une expérience, quelque chose de nouveau, d'originale, deux semaines ce sera suffisant et après je rentre ! …

Tristan continuait à nous guider, il invitait chacun d'entre nous à prendre son carton et a venir le ranger dans un local prévus à cet effet au milieu du château, un local sans fenêtre … Je remarquais que le comportement du groupe commençait à changer, les garçons semblaient devenir plus tactiles, ils se frôlaient volontairement, et j'avais aussi droit à ces contacts, ils me traitaient comme si je faisais parti du groupe … En fait je faisais parti du groupe … ! L'un d'eux passait à côté de moi, me frôlait en me caressant le ventre , un contact d'une seconde , un autre passait et me caressait les fesses … Bon de toutes façon ils m'avaient promis que personne ne toucherait à mon trou de balle ! Alors ! Très vite j'en faisais de même …

Finalement ces contacts s'avéraient très agréables, avec le dispositif de chasteté, je savais que ça ne pouvait pas déraper, personne ne tenterait de m'enculer … Je me laissais aller, je me lâchais et rendais toucher pour toucher !

Un moment je sentais une présence juste derrière moi, un des garçon venait se coller à moi, il m’enlaçait doucement et me caressait le torse et le ventre tout doucement, je ressentais une érection  mais elles était contenue … Je le laissais faire, il m'embrassait dans le coup, je passais mes mains en arrière et lui caressais les fesses tout en retournant la tête pour voir qui c'était … C'était Bernard, il me souriait, j'en faisais de même …

Bernard : Tu es moins farouche d'un coup !
Moi : Avec ce dispositif, tu ne risques pas de devenir trop envahissant !

Il rigolait, moi aussi. Je l'embrassais sur la bouche mais … sans la langue, sans même ouvrir la bouche ! Un autre garçon venait se joindre à nous, il se collait à moi devant et nous enlaçait tous les deux, c'était Alexis, il m'embrassait dans le coup de l'autre coté avant de me sucer le lobe de l'oreille … Hiiiiii, on ne m'avait jamais fait ça à moi … Hiiiiiii … C'est vachement agréable ! Je passais ma main droite dans son dos, lui caressais le dos et descendais ver ses fesses … De l'autre main je continuais à caresser Bernard. Les deux garçons se frottait contre moi, me caressaient de plus en plus fort, finalement c'était cool, doux, ferme, et je dirais même … Agréablement viril !

Je bandais comme un malade, et je sentais cette pression sur toute la longueur de ma queue, j'avais l'impression que le dispositif allait exploser, ça m'avait semblé fragile quand je le tenais dans les mains, mais là, ça avait l'air résistant, solide, lourd !

Alexis m'embrassait sur la bouche, mais je ne desserrais pas les dents, il me sourit et me dit que c'était pas comme ça qu'il fallait faire, puis tournant son visage vers Bernard me dit de regarder, qu'ils allaient me montrer … Les deux deux garçons s'embrassaient, à quelques centimètre de mon visage, doucement, tendrement, puis le baiser devenait passionné avant de devenir intense. Pour ce qui est de se rouler une pelle comme on dit, c'était une grosse pelle !

On entendait la voix de Tristan qui hurlait soudainement !

Tristan : Tous à la piscine ! Allez, tous dans l'eau !

Bernard : Alors, les filles, on y va ?
Alexis : Pas de problèmes, on continuera ce qu'on faisait plus tard !

Tout en s'éloignant, Bernard me faisait signe de les suivre.

Je la sentais bien ma ceinture de chasteté. J'avais l'impression de bander de plus en plus fort, de n'avoir jamais bandé aussi dur … Je regardais vers le bas, le dispositif semblait tenter de se relever, comme le fait habituellement une bitte quand on bande, mais c'est à peine s'il y parvenait, juste un tout petit peu. Le système était transparent et je voyais qu'il était bien rempli, ma bitte prenait toute la place et se sentait à l'étroit, mais rien ne ressortait, elle était parfaitement confinée à l'intérieur. Spectaculaire, étrange sensation, pas de douleur, mais une pression douce et pourtant implacable empêchait toute manifestation virile. Wouah !

Je restais là, à regarder mon sexe emprisonné, perdu dans mes pensées quand une main me caressait le dos en remontant avant de se poser sur mon épaule.

Dominique : Alors finalement tu à l'air de bien t'acclimater, je t'observe depuis un moment, et je dois dire que tu m'épates. Ouai, tu m'épates ! Sans regrets ? L'expérience te semble intéressante ?

Moi : Terrible ! C'est la première fois que des mecs me font bander ! Ouai , terrible !
Dominique : On va à la piscine ?
Moi : Il y a une piscine ? C'est pas une blague ?
Dominique : Piscine, salle de sport avec un très bon équipement, mur d'escalade, il y a aussi tout un bataillon de vélos, rollers, planche à roulette, un dojo, la lute à poil c'est pas mal il faut que tu  essayes, une salle de jeux, un salon vidéo avec un écran de trois mètre de large en HD. On est bien équipé !
Moi : Mais on est chez qui ?
Dominique : Ça , c'est un secret ! Je n'en ais aucune idée !
Moi : Et c'est quoi ta salle de jeux, roulette, black jack, pétanque … ?

En rigolant …

Dominique : Non mais c'est vrai que j'avais oublié le mini casino … La salle de jeux … C'est … comment dire … C'est là qu'on range nos jouets !... Viens voir, tu vas comprendre ! C'est cette salle là.

Il se dirigeait vers une porte je le suivais, on entrait et là … Waouh ! C'était une salle assez longue et les deux murs les plus longs étaient recouverts par des étagères, toutes ces étagères était remplies de bittes en caoutchouc de toutes les tailles. J'avançais et regardais, j'étais sonné, je savais bien que ça existait mais … J'en n'avais jamais vu, et en plus il y en avait vraiment beaucoup, on se serait cru dans un de ces magasins spécialisé. Il y en avait de toutes les tailles, de toutes les longueurs jusqu'à plus de 30 cm, et pour la largeur … Non ! … Les plus grosses, personne ne pouvait s'enfoncer ça dans le cul ! J'en prenait une dans la main et je ne parvenait pas à en faire le tour avec les doigts ! Là j'hallucinais !

Dominique : Je vois que monsieur est un connaisseur, c'est là un très bon choix, sensations fortes garanties … Bien sûr c'est pas pour les débutants !
Moi : Tu vas pas me dire que ?
Dominique : Si !
Moi : Non ! Tu t'es déjà garé un truc pareil dans le cul ?
Dominique : Tu veux voire ?
Moi : Non, merci, sans façons !
Dominique : Tu peux remarquer ce modèle ci, plus trapus, plus court avec la partie qu'on introduit large, même très large, ce modèle fait huit cm, et très fin à la base … Le but c'est de se le garer dans le cul, comme tu dis, et de le garder … Le cul se referme sur la partie plus fine et tu peux le garder un moment en faisant autre chose … Cool ? Non ?
Moi : La vache ! Ça me paraît impossible, c'est énorme … Mais tout le monde ne s'enfile pas des machins pareil ?
Dominique : Laisses moi réfléchir , … , si ici tout le monde, à part toi bien sûr ! Mais tu devrais essayer celui-ci … il ne fait que quatre cm au plus large, c'est facile à passer, et pour un débutant tu auras de bonnes sensations quand même !

Je restais pensif.

Dominique : Allez on va à la piscine !

Je le suivais, pensif sur ce que je venais de voir, en allant à la piscine il me faisait faire le tour du propriétaire. Toutes les salles dont il m'avait parler, le dortoir, les douches, la cuisine, pour finir on prenait la terrasse, c'était étrange pour moi de me balader comme ça, mais ça me faisait délirer, vraiment délirer. Un peu plus loin en contrebas de la terrasse, un salon de jardin très élégant était installé et Tristan et deux autres garçons s'affairaient à préparer le barbecue, sur la terrasse il y avait tout un tas de transats bien alignés devant une très grande baie vitrée ouverte. On entrait et là encore, j'y croyais pas, une piscine de 15 m, le reste de l'équipe était dans l'eau à chahuter, plonger, nager, s'enlacer, crier ou encore se faire un câlin.

Je m'approchais de la piscine et sans prévenir Dominique me poussait fermement. Il sautait dans l'eau en même temps que j'y tombais, tout un groupe de garçon se jetait sur moi, m'attrapait, se serrait contre moi, j'entendais la voix de Dominique qui me disait de me laisser faire. On m'attrapait un bras puis l'autre, pas pour me faire mal mais pour me caresser. Tout un tas de bras me sortait de l'eau, des mains me caressaient, des bouches m'embrassaient  partout sur le corps, sur la figure, sur la bouche, je craquais et là je desserrais les dents et rendais chacun les baisers qu'on me donnait. J'avais encore une érection. C'était à devenir dingue et ça faisait quoi une heure … Un peut plus d'une heure … que je portais ce truc …

J'étais aux anges !

Ces papouilles continuaient un bon moment et petit à petit les garçons me négligeaient pour se faire des câlins entre eux. Finalement il ne restait qu'un garçon qui s'était allongé sur moi et continuait à m'embrasser tout en me caressant. Je fermais les yeux et n'avais aucune idée de qui c'était. Ce dernier garçon se relevait, me donnait un dernier baiser, puis s'éloignait … Je restais là, allongé sur le dos , les bras en croix, les yeux fermés, je bandais comme un fou et la cage était devenu ma seule pensée, mon obsession … Comment ça va se passer dans les prochains jours ? Au bout d'une heures je me sentais déjà à moitié fou ! Deux semaines, wouah, je sens que ça va pas être facile. L'expérience promet d'être vraiment intéressante !

J'étais seul désormais, j'entendais quelqu'un qui s'approchait … Puis la vois de Denis.

Denis : Dominique me dit que tu embrasse très bien ! Je veux y goûter moi aussi !

J'ouvrais les yeux, il se penchait vers moi, il approchait ses lèvres, il m'embrassait, je passais ma main derrière sa tête lui caressant la nuque, et … Wouah, mais c'est vrai qu'il embrassait bien lui aussi … Je sentais les poils de sa moustache qui me chatouillaient un  peu, pour le reste c'était comme avec une fille … Cool !

En se relevant, il me disait que le barbecue était prêt, qu'on devrait aller manger, il me tendait la main pour m'aider à me relever, on se dirigeait ver le jardin tous les autres y étaient déjà !





Ep 4 : LE PREMIER VOTE



Le barbecue se passait bien, il y avait de la musique des torches, des transats, des chaises, des tables et à boire ! On dansait, on buvait, et on se gavait jusqu'à plus faim ! Câlins, caresses, baisers, étreintes, chacun passait entre les bras de son voisin et enlaçait également tous ceux qui se présentaient … On se chauffait bien de ce côté, pas une seconde je ne parvenait à oublier mon dispositif qui enfermait mon sexe. C'était une sensation terrible, douce, ferme, forte, implacable, aucune chance d'en sortir avant la fin du jeux !

C'est tard que  l'ambiance commençait à retomber il devait être au moins deux heures du matin et avec la journée, le trajet en voiture, chacun rentrait se coucher l'un après l'autre. Un dortoir avait été préparé, le but du séjour était aussi de créer le plus de promiscuité possible entre les garçons, mais quelques recoins  avaient été préparés pour ceux qui auraient vraiment envie de s'isoler un peu …

Je passais une assez bonne nuit, la fatigue après une telle journée me faisait dormir paisiblement. Toutefois l'habitude de me lever tôt … Je réveillais vers six heures, je n'avais pas dormi quatre heures ! J'étais encore tout étourdi de la veille et la sensation du dispositif sur mon sexe était presque douloureuse, c'était pas vraiment de la douleur mais pas loin … Je me levais, j'allais pisser, on m'avait expliquer que ça soulageait, je confirme ça soulage. Dans la salle de bain, devant le miroir je me tripotais un peu mes couilles, tirais sur la peau dans un sens et dans l'autre pour réajuster mon dispositif, ma queue était totalement inaccessible, ça devenait dur, j'avais mon érection matinale et pour une fois je ne trouvais pas ça très agréable !

Je décidais d'aller faire mon footing quotidien et revenais machinalement vers mon lit pour prendre une tenue de sport. En ne voyant pas mon sac à dos je me souvenais que nous ne devions pas porter de vêtements pendant le séjour ! '' Je suis pas réveillé moi ! '' …

Je sortais donc comme j'étais, à poil, avec juste le dispositif de chasteté sur moi ! L'immense partie gazonnée du parc faisait plus de 400 m de long sur 200 de large, j'en faisais le tour en courant. Un premier tour de chauffe puis un second j'en enchaînais un troisième, je ne parvenais toujours pas à me calmer, j'avais de l'énergie à dépenser. D'habitude le matin, je me branle un bon coup, ça calme ! Mais là, il n'y avait aucun espoir, rien à faire, aucune chance, fallait pas rêver …

'' Mais qu'est ce que je suis venus faire dans cette galère ? '' .

Au total j’enchaînais  dix tours, largement plus de douze Km, les derniers tours je les faisais à un rythme soutenus. C'est totalement en sueur et essoufflé que je revenais au château, je passais par la piscine, il y avait des douches, je m'y arrêtais un moment, je laissais couler l'eau chaude sur moi, je bandais toujours, je passais à l'eau froide, me savonnais énergiquement, me lavais soigneusement le sexe, quand on a un tel dispositif il ne faut surtout pas déconner avec l'hygiène, bien laver et bien sécher le truc. Finalement je finissais par débander, tout rentrait dans l'ordre, la sensation de douleur avait disparue, je ne me sentais pas vraiment bien mais c'était déjà mieux …

Je revenais au dortoir un peu dépité, j'y retrouvais entre autre Manuel et Simon qui me rappelaient que, aujourd'hui, c'était nous qui devions nous charger de l'intendance pour la journée … C'était très organisé, chacun son tour, hier Tristan, Olivier et Bernard, aujourd'hui c'est nous. Rapidement on faisait du rangement, dans le salon de jardin, autour de la piscine, on nettoyait le barbecue, c'était en fait un véritable dispositif de cuisson très perfectionné. On pouvait y faire cuire à peu près n'importe quoi, on pouvait y conserver le repas encore congelé, il serait décongelé et cuit automatiquement … Ce soir c'est paella me dis Manuel … Il rajoutais, '' tout est prévu t'inquiète pas … ''' .

Dans la cuisine, en effet il y une chambre froide dans laquelle on trouvait des cartons pour chaque jour de la semaine … Pour le midi on prévoyait une salade composée, pour ceux qui auraient faim.  Nous avions fini de tout préparer vers neuf heure du matin, la paella était en place, elle allait se dégeler puis cuire au moment voulu ( C'était moderne ) ! On avait préparé la table pour le petit déjeuner, chacun n'aurait plus qu'à se servir selon son goût, café, cappuccino, chocolat, croissants, pains au chocolat ou au raisin, pain grillé avec confiture, le grille pain était en place … 

Simon s'approchait derrière  moi, et tout en me prenant dans ses bras pour me faire un câlin, me disait !

Simon : Bon, on peut faire une pause, un câlin, et … Piscine ou Tennis ?

Je me retournais et en le serrant fort dans mes bras …

Moi : Câlin d'abord !

On s'embrassait, très vite Manuel nous retrouvait et nous enlaçait à son tour. Ça y était, je bandais encore, j'étais pas le seul, en caressant mes camarades je remarquais que eux aussi étaient en forme. Leur dispositif aussi était sous pression, ils bandaient ferme également ! On s'installait sur la terrasse de la piscine, Simon s'allongeait sur le dos, Manuel et moi lui faisions des papouilles, des caresses, on l'embrassait un peu partout, il nous rendait nos caresses et nos baisers. Manuel lui caressait l'anus avec insistance, il le lui rendait. Manuel partait chercher du gel intime dans une armoire à côté de la piscine et revenait en s'en déposait une bonne dose sur ses doigts, il en déposait une dose sur les doigts de Simon et reprenant sa position commençait à caresser à nouveau l'anus de Simon qui lui faisait la même chose …

Je me retirais légèrement du groupe et les regardais …

Les caresses devenaient plus fermes, un doigt entrait dans un cul, le garçon gémissait de plaisir, son camarade lui faisait de même … le doigt ressortait puis rentrait de nouveau … puis deux doigts … Les deux garçons étaient allongés sur le dos cote à cote, chacun les pieds au niveau de la  tête de l'autre, une jambe relevée pour bien offrir leur cul aux caresses de leur camarade. Les doigts entraient, sortaient, entraient de nouveau pendant un bon moment, les garçons semblaient aux anges, ils souriaient, fermaient les yeux et poussaient des gémissements de plus en plus forts.

Ils se relevaient puis l'un en face de l'autre s'asseyaient sur la main de leur camarade qui redressait deux doigt pour bien les rentrer dans le cul du copain … Ils s'enlaçaient tendrement, je voyais les mains s'agiter, les deux garçons s'embrasser, ils gémissaient de plaisir. Ça durait un bon moment puis leurs souffles devenaient plus fort, l'un commençait à gémir plus fort et plus fort encore. Il poussait un cris … '' Oh oui, oui, vas y, ça vient, ouiiiii ! ''. Je regardais, complètement fasciné, il jouissait, je me penchais et, en effet un liquide blanc coulait doucement de l'extrémité de sa cage de chasteté … Le second à son tour … '' Non, n'arrêtes pas, c'est bon … '' … Quelques instants plus tard il jouissait, lui aussi laissait couler son sperme. Ils s'étaient laisser tomber en arrière, leurs doigts toujours dans le cul du copain, les doigts continuaient à s'agiter, les deux garçons  tremblaient, et se tortillaient en se caressant le torse. Finalement ils retiraient leurs  doigts et restaient là un bon moment sans rien dire !

Manuel : C'était bon !
Simon : Le pieds !
Manuel : Tu vois Djé, on peut se faire plaisir avec ce truc sur la bite !
Simon : Tu veux pas essayer ?
Manuel : Te verras c'est vraiment bon !
Simon : Super bon !
Manuel : Le pied ! J'adore !
Moi : Personne il ne touche pas à mon cul !

Ils éclataient de rire, se levaient et allaient se doucher …

Simon : Finalement, j'ai plus envie de tennis, moi !
Manuel : Moi non plus !

Manuel plongeait dans la piscine suivi par Simon. Moi je n'avais pas bougé, je restais là avec ma frustration, je bandais toujours et c'était pas agréable du tout, presque douloureux de nouveau, comme au réveil ! Je remarquais que leurs dispositifs se balançaient librement entre leurs jambes alors que le mien lui avait tendance à se redresser, mon pénis était sous pression. Eux, ils avaient fait baisser la pression … Je me levais et allais me prendre une douche froide … Ça finissait par marcher, je me calmais, je débandais ! Je me décidais à plonger dans la piscine à mont tour .

Simon : Dis Djé, comment tu crois que Tristan il a fait pour tenir six mois sans pouvoir se branler ?
Manuel : Il y a aussi, la sodomie, bon là, évidemment c'est un peu délicat puisque nous sommes tous dans la même situation.
Simon : Mais il y a les jouets …
Moi : Oui j'ai vu !
Simon : Tu as déjà visité la salle des jouets ! Wouah, là tu m'épate, toujours là ou il faut le Djé !
Manuel : Il y a aussi moyen de les porter en ceinture …
Simon : Et la tu peux enculer ton camarade comme si tu n'avais pas de ceinture chasteté !
Manuel : Enfin, pour lui c'est pareil, pour toi tu n'as aucunes sensation au niveau du sexe !
Simon : C'est super pour les éjaculateurs précoces, avec un gode ceinture, tu ne débandes pas et c'est finalement ton partenaire qui te demande d'arrêter !
Manuel : Le plug c'est pas mal, moi j'aime bien, tu le met, tu le garde pendant une, deux, trois heures et je te garantis de grandes sensations !
Simon : Trois heures ou plus ! …

Ils rigolaient tout en me racontant tout ça ! Je les écoutais en essayant de me contrôler, mes érections devenaient vraiment désagréable, presque douloureuses, et je me demandais comment j'allais faire pour tenir deux semaines … Personne touche à mon cul … Ça c'est clair !

Un peut plus tard les autres le levaient et se retrouvaient dans le salon de jardin, ou tout était prêt pour le petit déjeuner. On les rejoignait. Pour nous la journée avait commencé depuis un moment mais pour eux c'était l'aube. Ils s'installaient et chacun se servait selon son goût !

Mais qu'est ce que je suis venu faire dans cette galère ?

Finalement l'organisation était faite de telle sorte que les responsables de l'intendance n'avaient qu'une corvée simplifiée, plus tard nous aurions à tout nettoyer, tout ranger, à trois ça se faisait vite, un gros lave vaisselle se chargeait du  plus difficile, on installerait quelques caissons vitrés réfrigérés pour ceux qui auraient un petit creux et voudraient se faire une salade, le soir la cuisson de la paella se lancerait toute seule … finalement c'était cool, chacun le ferait à son tour et donc le ferait plusieurs fois pendant le séjour … Sauf Tristan me disait-on ! ? Lui ne s'occupait de l'intendance que le premier jour.

Je voyais Tristan arriver justement … Il y avait un truc bizarre qui pendait derrière lui, on aurait dit … une queue de cheval … ! ?

Mais Tristan alors pourquoi, il ne s'occupait plus de l'intendance ? On m'expliquait que lui, il s'occupait d'organiser les votes, tous les votes, pour toute la durée du séjour parce qu’il était … le porteur … Ah oui, c'est vrai, je me disais, c'est lui qui avait décidé de porter le truc pendant six mois. Le fou, il doit être plus porté sur le cul que sur la bite celui là ! Mais c'est quoi ce truc qui pendouille de son cul.

Au moment ou il passait devant moi, je me permettais de regarder de plus prêts, en me penchant même. Il s'en rendait compte …

Tristan : Tu devrais essayer Djé, c'est un plug … Et sur ce modèle il y a une queue de cheval … C'est joli, non ?
Moi : Un plug ?

Je me souvenais de ces truc que Dominique m'avait montré, ça reste dans le cul tout seul ! La vache, il va garder ce truc combien de temps ?

Tristan : Tu peux me croire après six mois, ça aide !
Moi : Mais, heu, il est gros comment ?
Tristan : Il est pas trop gros, six cm environ !
Moi : Six cm …

J'essayais de voir ce que ça représentait avec mes doigts .

Tristan : Tu en fait à peine le tour avec les doigts !
Moi : Mais c'est énorme !
Tristan : C'est sûr, quand il entre, tu le sens passer ! Mais après, c'est génial ! Tu devrais essayer, il y en a des plus petit tu sais.
Moi : Non, non, merci, c'est pas pour moi, j'aime pas trop ça !
Tristan : Comment tu peux savoir que tu n'aimes pas si tu as jamais essayé ?
Moi : Personne touche à mon cul !

Il continuais son chemin en rigolant, allait s'installer sur un transat pour prendre son petit déjeuner, il avait l'air décontracté, parfaitement à son aise. De temps, en temps il faisait des grimace, mais pas des grimaces de douleur, non, plutôt de plaisir !

Je me posais des questions, à savoir si c'était vraiment agréable …

La journée continuait en douceur,  le groupe se réveillait, continuait à la piscine, certains jouaient au foot, d'autres sortaient un vélo et se lançaient dans une promenade de fous à travers le parc ! Les garçons ne perdaient pas une occasion de se caresser quand ils se rencontraient, j'avais ma part et j'y prenais goût et ne me privais pas de caresser un torse, un dos, une paire de fesses ou une paire de couilles !  Il y avait du passage dans le salon de jardin, certains venaient se faire un sandwich, d'autres une salade  …

A un moment on entendait un cri.

'' Des chevaux, il y a des chevaux sur la pelouse !!! ''

Tout le monde accourait pour voir ce qui se passait vraiment … Il y avait en effet une demie douzaine de chevaux en train de brouter sur le gazon ! D’où venaient-ils ? Qui les avait emmené ? Ils étaient là, ils n'avait pas l'air farouche, et quand quelqu'un tentaient de les approcher, ils venaient vers lui tout naturellement. Ils étaient cool, Mathias tentait de monter sur le dos d'un d'entre eux, le cheval le laissait faire et très vite ils étaient devenus la principale attraction de la journée. Tristan devait nous rappeler à l'ordre, nous le service de l'intendance, il nous rassurait en nous disant que demain les chevaux seraient toujours là !

On allait préparer la table pour le repas du soir. Je vérifiais le four, la paella était toujours froide mais l’horloge intégrée m'indiquait que la cuisson allait commencer. Je ne sais pas qui organisait notre séjour, mais il y avait une grosse organisation derrière tout ça ! Plus tard on passait à table, la paella était parfaite et la soirée autour d'un feu de bois se prolongeait en soirée câlin, caresse, danse, musique, histoires de cul, chacun racontait ses aventures sexuelles … J'étais le seul qui n'avait rien à dire sur ce sujet ! … Je commençais à bien supporter ma ceinture de chasteté et me disait que finalement c'était pas trop difficile …

La nuit suivante ne se passait pas mieux que la nuit précédente, je me réveillais tôt le lendemain avec cette douleur entre les jambes, je réajustais mon dispositif, comme la veille. J'avais l'impression que c'était pire que la veille. Il n'y avait pas de rougeurs, pas de replis de peau pincés, je bandais et je me demandais vraiment comment je pourrais supporter ça encore une journée de plus, j'allais pisser, ça me soulageait …

Mais qu'est ce que je suis venu faire dans cette galère ?

Je décidais de faire un footing comme la veille, là je faisais 15 tours, ça me prenait un bon moment, presque un semi marathon ! Je terminais épuisé, en sueur, je passais sous la douche ( bien froide ), le petit déjeuner était juste prêt et j'étais le premier, je le prenais copieux ! Le matin était le moment le plus dur avec l'érection matinale … Plus tard dans la journée c'était plus facile, même quand je bandais … Mais le matin, au réveil … Ouch ! On était seulement lundi et le séjour ne se terminerait pas avant la fin de la semaine suivante. J'essayais de me convaincre que ces enfoirés n'allait pas me garder dans ce truc jusqu'à la fin … Sans trop y croire !

Le reste de la journée se passait avec des jeux, des papouilles, des câlins, à chaque fois que deux garçons ( ou plus )  se croisaient, ils se touchaient, se caressaient, s'embrassaient même ! J'en faisais autant !

Les chevaux étaient devenus la principale attraction, ils n'étaient pas farouche et même vraiment cool. On pouvait supposer qu'ils avaient été choisis pour ces qualités ! Tout le monde les avait monté et ils se laissait faire avec une patience incroyable. Évidemment personne ne les brutalisait, on les cajolait eux aussi. Le soir autour du feu il y en avait même un qui venait nous voir … sympa …

Mais passons directement à la soirée …

Tristan avait installé un aquarium sur la terrasse, nous plus bas, un tas de bois pour faire un grand feu. On retournait caresser les chevaux une dernière fois avant de passer à la soirée vote. On avait allumé le feu et quand la nuit tombait, il donnait une source de lumière magnifique. Tristan nous invitais à nous approcher  nous allions procéder au vote …

Le protocole était toujours le même, un joli feu pour la chaleur, un bon repas puis on s’agglutinait tous autour du feu. Le maître de cérémonie distribuait à chacun d'entre nous une enveloppe contenant la liste de tous les autres participants, on ne pouvait pas voter pour nous même, chacun ne laissait qu'un seul bulletin dans l'enveloppe et jetais les autres au feu. Il glissait alors l'enveloppe dans l'aquarium qui bien sûr ne contenait pas d'eau, quand tout le monde avait voté, Tristan procédait au dépouillement, il ouvrait les enveloppes les une après les autres , … , Cinq voix pour Alexis et quatre pour Laurent, les cinq autres voix allaient vers diverses autres participants … Il y aurait un second tour ! Personne n'avait voté pour moi !

Les deux finalistes, se levaient, dansaient, se caressaient, mimaient une masturbation, pour chauffer le groupe, qui était en délire.

Le second tour se passait de la même manière avec seulement deux participants donc deux bulletins distribués aux votants, en cas de majorité absolue, il n'y avait qu'un seul tour, en cas d'égalité au second tour , … , tirage au sort ! Tout était prévu … Laurent était élu avec huit voix !

C'est en dansant et en chantant qu'il se rapprochait de Tristan pour être libéré ! Aussitôt fait, il commençait à se masturber, d'abord tout doucement, les autres garçons ne disaient plus rien, je regardais, puis, me regardant bien dans les yeux il venait vers moi, il s’arrêtait juste devant moi et me disait …

Laurent : Suce moi !

J'hésitais …

Moi : J'ai jamais fait ça moi !
Laurent : Il faut un début à tout, suces moi, personne ne touchera à ton cul, c'est d'accord, mais ça c'est autre chose, suce moi !

C'est tout penaud, hésitant, pas vraiment fier de moi que je m’exécutais, il bandait dur, et c'était la première fois que je suçais la queue d'un mec !

Mais qu'est ce que je venu faire dans cette galère ?

La je ne bandais plus du tout. Il passait ses mains derrière ma tête pour m'attirer vers lui, mais il semblait y aller avec douceur, il savait que c'était nouveau pour moi … Plus tard il m'avouera qu'il ne voulait pas me dégoûter, aussi, en effet il y allait tout doucement …

Laurent passait ensuite entre les membres du groupe qui tous lui caressaient sa bite, ses couilles et le suçaient, eux ne se faisait pas prier. Il me regardait en même temps d'un air de me dire, '' regarde c'est comme ça qu'il faut faire !''. Il faisait comme ça plusieurs fois le tour du groupe, puis se décidait à choisir un mec …

Laurent : Tiens !  Toi ! Dominique, viens ici que je t'encule !

Dominique se dégageait des bras de deux ou trois gars qui se caressaient sans hésiter et venait vers Laurent, s'installait comme il lui indiquait puis regardait le groupe en souriant, un garçon s'était installé juste derrière moi, les jambes écartées, les genoux sur mes hanches, il se collait à moi, et me caressait le torse tout en m'embrassant dans le coup machinalement je lui caressais les cuisses. Laurent se lubrifiait la queue, la positionnait sur l'anus de Dominique, et brusquement la lui enfonçait jusqu'à la garde. Dominique poussait un hurlement mais le laissait faire. Laurent le cramponnait, l'embrassait, restait enfoncé bien à fond, Dominique tournait la tête et les deux hommes s'embrassaient avec fougue !

Laurent retirait sa queue puis l'enfonçait à nouveau, il commençait un mouvement de va et vient, avec un coup de rein violent quand il rentrait sa queue, bien à fond et violent ! Les deux hommes s'embrassait toujours, les mouvements devenaient plus rapides, Dominique tournait la tête et  regardait vers le groupe, il avait le regard rieur, il hurlait ! Je ne faisais plus attention au garçon qui s'était accroché à moi, je bandais ! Je bandais à mort !

Les mouvements de Laurent devenaient de plus en plus rapide, les râles de Dominique de plus en  plus forts. C'est peu de temps après que Laurent poussait un cri de plaisir, il jouissait puis se laissait tomber de tout son poids sur son camarade, qui avait l'air ravi !

Denis : Alors, tu trouves ça comment Djé ?

Denis, c'était Denis qui était derrière moi et me tenait dans ses bras, je n'avais même pas fait attention, je sursautais, ça le faisait rire ! J'étais fasciné par le spectacle, j'avais déjà vu des scènes de ce genre dans des films, mais en live c'est autre chose, surtout quand on connaît bien l'actif et qu'on vit avec le passif …

Denis : Alors, tu trouves ça comment ? Bandant ? Je vois que ça te fait de l'effet, tu as l'air tendu dans ta cage, remarque, moi aussi.

Il disais ça tout en me caressant les couilles et en jouant avec ma cage.

Je me retournais, je passais mes jambes autour de lui, l'enlaçais et l'embrassais avec passion ! Nous restions là un long moment à nous caresser, nous embrasser, nous tripoter les couilles, chacun jouait avec la cage de l'autre.

Le reste du groupe ne se calmait pas. Laurent continuait en sodomisant un autre garçon qui ne demandait que ça et les autres faisaient comme nous.  Laurent pendant 24 heures serait le seul jouisseur et de toutes évidences il n'allait pas s'en priver, il avait droit de cuissage sur tous ceux qui portaient une ceinture de chasteté, c'est à dire tout le monde …

Moi, personne il ne touche pas à mon cul !




Ep 5 : LES JOURS PASSENT AU CHATEAU 



Plusieurs jours s'étaient passés , j'avais fait un deuxième tour de corvée d'intendance . Mathias , Alexis , Simon, François avaient été libérés le une après les autres . Mon nom n'avait pas été cité une seule fois lors d'un vote !!!
Quoi , personne n'avait voté pour moi ! Bon c'est clair, cette bande d'enfoirés avait décidé de me libérer en dernier … Je suis le petit nouveau …

La première semaine se terminait. Le matin mes érections devenaient  plus supportables et je dormais sans problème toute la nuit. Je ne pensais plus qu'au sexe,  j'avais besoin d'une fille, c'est à en devenir fou !

Bon là … j'en ai entendu un disait …

'' Il a surtout besoin de se branler , on sait que les filles il ne connaît pas , il est puceau … !!!  Ah , Ah , Ah … lol ...''

… Alors si vous continuer à lire mon histoire pour faire ce genre de commentaire à la con, et vous moquer de moi, j'arrête ! Que les choses soient claires … De plus je vous ai demander de ne pas raconter à tout le monde que je suis puceau, je sais, j'aurais pas du vous faire la confidence, c'est un peu de ma faute mais c'est pas une raison ! Les choses sont claires, le premier que je prends à se foutre de ma gueule, je le retrouve ! ...

Et il va passer un sale quart d'heure , c'est moi que je vous le dis ! ...

Non mais ! ...

Bon je continue ! …

J'avais vraiment besoin d'une ...  bon ! … besoin de me branler ! Depuis ma première érection, quand j'étais tout petit, je ne me souviens pas avoir passé deux jours sans me branler et encore deux jours c'était un record … On est samedi soir, ça fait une semaine entière … ça fait même plus d'une semaine … ça faisait une semaine hier … la dernière fois que je me suis branlé c'était la veille du départ … vendredi soir sous la douche … vers 17 heures … puis dans mon lit avant de dormir … vers 21 heures … puis encore un peu, un tout petit peu, vers 4 heures du matin samedi … pour la route … avant de partir … Je ne pense pas qu'à ça, non, on peut pas dire … Mais ça fait une semaine ... il est 17 heures ... une semaine et 13 heures ... une semaine et 13 heures 15 minutes  même … Oui bon il est 17 heures 15 …

Assez parlé de chiffres , … , Là j'en peux plus !!! Je vais craquer !!! Tous les matins je fais 15 km de course ensuite piscine ensuite muscu ensuite foot ou autre chose, j'ai de l'énergie à dépenser ! Je ne regarde plus que le cul des mecs … ou leur bite … surtout ceux qui sont libérés … ceux là je regarde leur queue avec avidité … j'ai pas seulement envie d'être comme eux, libre … j'ai envie de leur queue ! Et ça c'est nouveau pour moi !

C'est à devenir fou ! Depuis le début de la semaine, tous les soir chacun des garçons qui avait été libéré me choisissait en premier pour que je lui fasse une pipe … Au début j'étais pas fier, mais là je commençais à y prendre goût, c'est de bon cœur que je le faisais maintenant, pas plus tard qu'hier, j'avais sucé longuement tous les mec qui avaient été libéré, les 5 ! … Et ils ont aimé ! Et moi aussi j'ai aimé … Mathias il a une queue magnifique, je suis pas jaloux, j'ai la même à la maison mais en ce moment … comment dire … Ça y est je bande à mort, rien qu'à vous raconter ça, je bande ! Et en plus j'ai mal à la mâchoire ! ...

Mais qu'est ce que je suis venu faire dans cette galère ?

Et puis de toutes façon personne il ne touche pas à mon cul !   … D'abord ! ...

L'ambiance restait bonne, de plus en plus câline, on ne pouvait plus se réunir à plusieurs sans se caresser les uns les autres … C'est agréable mais la frustration devenait infernale, le désir devenait une obsession, on commençait à trouver des godes un peu partout depuis deux jours, et je ne sais pas combien de fois j'ai senti un plug dans le cul d'un mec en lui caressant les fesses …

Mais de toutes façon personne il ne touche pas à mon cul !

Je passais faire un tour vers la salle de jeux, enfin quand je dis vers la salle de jeu … Je passais faire un tour dans la salle de jeux … Je regardais les godes, les plus gros me faisait peur, il faut être vraiment en manque pour s'enfiler un truc de six ou sept cm de diamètre. J'étais vraiment en manque mais bon là ça ne pourrait pas passer. J'en voyais un plus accessible, d'un petit diamètre pas plus de trois cm. Je le prenais dans la main, je le manipulais. C'était doux, lisse, en même temps je me caressais l'anus.

Je me prenais à imaginer la sensation que cela pouvait provoquer. La porte de la salle était restée ouverte et j'entendais quelqu'un entrer dans le hall, je me dissimulais derrière la porte, ils entraient, c'était Olivier et Tristan. Sans faire de bruit je me cachais derrière une tenture, parfaitement dissimulé je pouvais les voire ! Tristan attrapait au passage un gros gode le genre de ceux qu'on n'entoure pas avec les doigts, Olivier en saisissait un pareil, je les voyais de dos. Ils posaient le truc sur une table basse au milieu de la salle, l'enduisaient de gel, se positionnaient juste au dessus … Ils rigolaient en faisant des commentaires, l'un d'eux dit : '' Le premier qui se le gare en entier … '' !

Ils commençaient alors à se l'enfoncer dans le cul, de dos je voyais bien ce qui se passait. Olivier passait le gland en premier très rapidement, peut être trop, il poussait un cri de douleur, s'arrêtait et dans un râle de douleur évident était obliger de le ressortir. Tristan lui, se l'enfilait plus lentement, plus doucement, à un rythme régulier, lui poussait un râle de plaisir … '' Ahhh , oui c'est bon . ''. Olivier soufflait fort, il remettait ça, il s'enfonçait le gland, puis continuait le mouvement. Tristan avait l'avantage, Olivier le rattrapait. Tristan continuait et en un seul mouvement parvenait à se l'enfiler jusqu'à la garde en  poussant un nouveau râle de plaisir et de satisfaction.

Olivier : T'est déjà rendu au bout
Tristan : Bein oui !
Olivier : C'est pas un cul que tu as c'est une autoroute !
Tristan : Arrête de dire des connerie, tu as perdu c'est tout !

Tristan commençait à se relever puis à se baisser de nouveau le gode sortait, rentrait … Olivier le rattrapait il parvenir lui aussi à s’asseoir totalement sur son énorme gode, il restait un moment dans cette position, complètement empalé avant de suivre le même mouvement que Tristan !

Les deux garçons se suivaient, s'encourageaient, se motivaient. Ils se relevaient, se baissaient de plus en plus vite, par moment ils faisaient une pose, s'appuyaient de tout leur poids puis reprenaient leur mouvements. Ce sont des râles de plaisir de plus en plus forts qui accompagnaient leurs mouvements. Ce jeux devait durer près d'une demie heure !

Olivier était le premier à jouir, il hurlait de plaisir au moment fatidique  ! Tristan le suivait un instant plus tard. Les deux garçons restaient un moment empalés sur leur pieux énorme ! Ils finissaient par se relever. Quelques rires … '' On le sent passer ce truc '' … '' C'est bon , vraiment bon '' … '' Ça soulage '' …  Il récupéraient leur jouet et le plaçait dans un appareil en disant '' machine à laver, vive le lave vaisselle ! Lol ''. Il y avait même un lave vaisselle pour laver les godes … !

J'étais en transe ! Je tremblais, ils passaient devant moi en ressortant et je voyais leurs sourires … Ils venaient de jouir … J'attendais qu'il se soient éloigné puis je sortais à mon tour de la salle. Je bandais encore, et toujours sans espoir de jouir, il n'y avait pas moyen de me branler … J'étais retourné par ce que je venais de voire, le gode était vraiment énorme ! Ils en prenaient du plaisir ! Mais moi, ça me faisait peur ce truc, même le plus petit que j'avais vu me faisait peur … J'avais envie de me branler, je me serais damné pour pouvoir jouir là, maintenant !

Mais qu'est ce que je suis venu faire dans cette galère ?

Le soir, on élisait Paulo, personne n'avait voté pour moi, toujours pas. Je commençais à désespérer je me doutait, j'en était sûr  cette bande de guignol avait décidé de me garder comme ça jusqu'au bout … J'aurais du m'en douter ...

Si j'avais su j'aurais pas venu !

Paulo venait se faire sucer par moi, comme tous les autres avant lui … Ça fait désormais partie du jeu, je le suçait, il appréciait, il me maintenait la tête pour bien me faire avaler sa queue jusqu'au bout, pour la première fois je faisais une gorge profonde . C'est spécial, pas facile, il faut bien respirer, il faut pas vomir, mais finalement j'ai apprécié ! Lui aussi il a apprécié !

La soirée se terminait comme à l'accoutumée, avant d'aller me coucher j'allais courir une douzaine de Km. Je m’effondrait sur mon lit, certains dormaient ensemble par deux ou trois, surtout les libérés, ils avaient envie de dormir avec  un copain encore chaste, histoire de se faire plaisir dans la nuit si l'envie se faisait sentir.

Je dormais mal, je faisais des rêves érotiques, je rêvais qu'un mec me sodomisait, dans mon rêve je jouissais comme jamais … Je me réveillais … j'avais éjaculé ! Je n'étais pas calmé, pas soulagé, mais j'avais éjaculé, j'allais me laver, je revenais vers mon lit. Il y avait un gars qui en enculait un autre, les deux gémissaient, je regardais ça en passant, je me laissais tomber su mon lit. C'est à cause de ces deux là si j'ai fait ce rêve érotique, c'est sûr ! J'avais beaucoup de mal à me rendormir !

Le lendemain c'était  Bernard qui était libéré à son tour, il a une belle queue lui aussi … Puis suivait Dominique … toujours aucun vote pour moi !

Dominique, j'avais déjà vu sa queue bien en forme une fois et plus d'une fois grosse molle ou même un peu plus encore sous la douche. Il me souriait , venait vers moi, se penchait vers mon oreille et me disait … '' t'es pas obligé ... '', je lui répondais '' si , si '' et sans aucune hésitation commençais à le sucer, je commençais à avoir de l'expérience et j'y mettais tous mon cœur, il me laissait faire. Je me souvenais de la première fois que j'avais vu sa queue, sous la  douche, je venais d'aménager, on avait fait un footing juste avant, on était gênés et on avait tous les deux une grosse molle qui pendait … Je me souvenais de tous ces moments dans l'appart depuis trois mois, et je le suçais avec plaisir. Son souffle devenait plus fort, à un moment il saisissait ma tête et se retirait de ma bouche, je tentais de rattraper sa bite mais il m'en empêchait puis sans avoir le temps de prévenir … Pan … dans l’œil !

Je prenais une giclée  de sperme dans l’œil, j'avais juste le temps de fermer la paupière. Une seconde giclée atterrissait sur ma joue et une suivante sur le nez ! Ça c'était une première ! Je tenais fermement ses cuisses et je l'ai senti, j'ai senti ses muscles se raidir, se contracter, en  un instant j'ai senti sa jouissance au travers de ce contact avec mes mains et de ce que je recevais dans la figure. C'était génial sentir, ressentir la jouissance d'un mec par un contact physique avec lui ! C'était le pied ! Pour l'instant j'étais couvert pour l'hiver ! Tout le groupe éclatait de rire, moi aussi ! Son sperme coulait sur mes lèvres, je me léchais les lèvres, c'était bon …

Bon, tout va bien, comme je l'ai dit … Personne il ne touche pas à mon cul ! C'est clair et c'est pas négociable … !

Les jours suivants, Olivier, Manuel, Denis et Johnny étaient les nouveaux vainqueurs  !

Mon nom n'avait pas été cité plus de deux fois lors de chacun de ces derniers votes et je sais qui avaient voté pour moi. C'étaient mes colocataires, ils me l'on dit pas la suite ! Le dernier jour arrivait … Tristan qui continuait à présider aux votes et moi étions les derniers à porter encore un dispositif de chasteté ! On était samedi matin et le dernier vote était ce soir …

'' Il ne doit en rester qu'un … '' je me disais ça dans ma tête, et je serais celui là. C'est une bande d'enfoirés et je me vengerais ! Mais bon il faut rester bon joueur ! Ça fait parti du jeux, j'aurais du m'en douter … De toutes façons, ça devait être une expérience intéressante, ça le sera ou ça l'aura été ! Ce soir ou demain, au point ou j'en suis …

Quand je pense que Tristan porte son truc depuis plus de six mois et demis … Woua !

Bon d'accord, lui il sait se soulager, il est porté sur le cul peut être plus que sur la bite … Allez je suis prêt à subir un nouvel échec. Je serais resté deux semaines complètes, j'ai gagné, j'ai fait quelque chose de surprenant, j'ai appris à me  connaître mieux, depuis plus de deux semaines j'ai pas joui, je n'aurais jamais cru cela possible, je me sens … En fait je me sens bien. Je n'ai plus vraiment de problème avec mes érections matinales, j'en ai toujours mais elles ne me font plus souffrir, je ne me réveille plus la nuit … C'est cool ! Demain je serais libéré …

C'était de supers vacances, j'en garderai des souvenirs inoubliables, sans regrets ! Si c'était à refaire, sans aucune hésitation, je ne le referais pas !

Le soir, c'était la fête, nous n'étions plus que deux, et au pire chacun devait avoir obligatoirement une voix pour lui … Celle de l'autre participant qui ne pouvant pas voter pour lui même …

Le vote commençait, toujours le même protocole, il n'y aurait qu'un seul tour, en cas d'égalité on avait recours au tirage au sort. Chacun recevait une enveloppe qui ne contenait que deux noms. Le vote allait plus vite … Tristan procédait au dépouillement, on m'avait inviter à l'assister pour qu'il n'y ait pas de litiges … Il prenait une enveloppe, me la donnait, je l'ouvrais, et je lisait …

Djé

Enveloppe suivante ...

Djé

La suivante …

Djé

Le sourire me revenait, j'allais gagner, ça commençait bien. Finalement Tristan aimait bien porter son truc, et je me disais que c'était prévu à l'avance …


Passé ces trois votes en ma faveur, je savais qui avaient voté pour moi … Tous les votes suivants étaient en faveur de Tristan … J'avais les deux vois de mes colocataires et celle de Tristan … Pas terrible, mais cool, je m'y attendais !

Je le suçais comme j'avais jamais sucé personne ! Il était content, j'avais maintenant l'habitude et je commençais à savoir faire ! Je lui lâchait pas la bite et j'étais bien décidé à le faire jouir, depuis six mois ça devait être quelque chose ! Je le tenais fermement par ses cuisses formellement décidé à ne pas le lâcher … Au bout de six mois il ne lui fallait pas dix minutes pour arriver à l'orgasme, il gémissait, tentait de se dégager, je le tenais fermement, il me disait '' Je vais jouir, je vais jouir '', je ne le lâchais pas, il tentait encore de se dégager puis jouissait dans ma bouche … Il poussait un râle de plaisir, je le sentais se contracter plusieurs fois de suite, je prenais une giclée de sperme dans la bouche à chaque contraction , puis je le sentais se détendre totalement … C'était quelque chose, son sperme était bon ! Je me régalais, j'avalais …

Les autres garçons qui regardaient ça sans en perdre une miette applaudissaient. J'entendais une voix qui disait … '' Sacré Djé,  t'es le meilleur '' !

Ce soir là, j'ai certainement été le seul à ne pas me faire enculer …

Mais de toutes façon personne ne touche à mon cul !

Chacun se faisait prendre par son voisin avant de prendre à son tour son autre voisin … Ça se mélangeait dans tous les sens, c'était une soirée débridée … Je dansais, je chantais, je me faisait tripoter, caresser, je suçais tout ce qui se présentait … Woua ! Ça c'était une soirée de dingue !

Mais de toutes façon personne il ne touche pas à mon cul ! Et c'est pas négociable …

Je dormais bien cette nuit là, je me réveillais en forme, tôt, un footing, comme d'habitude, petit déj, les autres se levaient plus tôt que les derniers jours et tous, l'un après l'autre quand ils arrivait venaient me saluer, un câlin, une caresse dans le dos et un baiser. Ce matin là, j'étais la star et c'est une situation qui me plaisait. C'était cool, j'avais gagné, j'étais le dernier …

Mes camarades aussi me regardaient d'une manière différente, il y avait de la tendresse, de la complicité … Je ne sais quoi de différent ! On s'habillait, je ne disais rien, je savais que tout était parfaitement organisé, on me donnerait la clé au moment ou on devait me la donner ! Je ne réclamais pas … On récupérait nos vêtements, on s'habillait, on préparait les voitures …

Je me disais … '' C'est après le retour, il vont me donner les clés après mon retour, c'est super, celui qui a pensé à ce protocole a joué fin, il laisse ainsi monter la tension, le désire … ''. J'étais fou de désir, j'avais la tête en feu, j'aurais bien aimé me faire sucer, et à la place, j'étais le seul à n'avoir ne pas l'avoir été alors que j'avais sucé tout le monde … Faire monter le désir jusqu'au retour, c'était grandiose ! …

On montait en voiture, Tristan et Mathias faisaient un dernier tour dans la maison pour ... Je ne sais pas pourquoi finalement ! J'étais épuisé, cette dernière nuit avait vraiment été fatigante. Je me sentais bien, ma cage de chasteté, je la sentais bien, je bandais et c'était agréable. Comme je la portais toujours, j'en avais profité pour ne pas mettre de sous vêtements, il n'y avait rien à craindre, il n'y aurait aucune réaction déplacée, je n'aurait pas d'érection … Je me sentais vraiment bien! Confortablement installé sur le siège arrière je m'endormais au moment ou la voiture démarrait !

C'est beaucoup plus tard que je me réveillais, ils étaient sympas, ils m'avait laissé dormir, on était en début d'après midi et on arrivait sur une aire de parking, un routier, comme à l'allée. On mangeait bien, plus calmes que deux semaines plus tôt, on était tous fatigué. On repartait rapidement, on roulait bien, c'est vers le milieu de l'après midi qu'on arrivait. La première voiture s’arrêtait les passagers en descendaient, c'était pour nous saluer, on ne les reverrait pas avant plusieurs jours, alors ils voulaient nous saluer on se faisait l'accolade mais, avec moi, l'accolade était particulièrement tendre ils m'embrassaient tous. On laissait Tristan à une station de métro, il me prenait dans ses bras avec beaucoup de tendresse et m'embrassait sur la joue. La voiture s’arrêtait finalement juste à coté de notre immeuble, on en sortait tous, Manuel faisait l'accolade à mes deux camarades et me prenait dans ses bras avec tendresse toute particulière, il m'embrassait dans le cou et me glissait à l'oreille … '' T'es le meilleur Djé ! Tu sais que je t'aime toi ! ! A plus ''.

Le temps de rentrer à l'appart, d'y déposer nos affaires, en fait , on n'avait même pas ouvert nos sac à dos et on n'avait pas sali non plus nos vêtements. On était à peu près en forme, on avait dormi pendant presque tout le retour aussi on décidait de se faire  un petit resto. À 20 heures on arrivait, on commandait … Pas de vin, on avait  pas mal picolé pendant ces deux semaines …

Dominique : Alors, ton impression Djé, prêt à remettre ça ?
Moi : Ah oui, sans problème, j'ai beaucoup aimé le cheval …
Denis : Et pour ce qui est de la chasteté, pas trop dur ?
Moi : Si on me fait encore languir, je crois que je vais devenir fou ! On me donne les clés quand ?

Ils me regardaient l'air un peu sonnés, immobiles pendant quelques secondes .

Dominique : Mais enfin, tu le sais, c'est indiqué dans le règlement !
Denis : Rassures nous, Djé, le règlement tu te souviens !
Moi : Oui je me souviens, le truc en papier avec plein de lettres écrites dessus, qui fait aussi office de bulletin d'inscription … Vous vous imaginez tout de même pas que je l'ai lu ! Ça n'aurait servi à rien ! Vous avez vu comment je m'en suis sorti ? C'est moi qui est gagné !

Ils m'écoutaient, totalement stupéfaits, se regardaient incrédules puis me regardaient de nouveau.

Moi : De toutes façons je ne lis jamais les règlements, c'est trop compliqué, il y a trop de lettres et trop de closes à respecter alors …
Denis : Tu nous fais marcher ?
Dominique : c'est une blague ?

Ils se regardaient et en hochant la tête …

Les deux ensemble : '' C'est une blague, il nous fait marcher ''

On nous servait. J'avais une faim de loup et mes camarades aussi, on se jetait sur le repas … En plus c'était super bon ! Une entrée, un plat de résistance, un dessert ! Miam !

On sortait du resto avant 21 heures. Mes deux camarades avaient été silencieux pendant le repas !

Pendant le retour, je renouvelais mas question !

Moi : Alors les clés, on me les donne quand que je puisse me libérer et me branler un bon coup, je crois que je vais me branler toute la nuit, j'ai du  temps à rattraper moi ! C'est bien cinq minutes ce truc … Deux semaines c'était délire … On apprend beaucoup sur soi-même ! Non, franchement les mec c'était délire mais si je reste plus longtemps comme ça je vais devenir fou … En plus , vous imaginez si je me trouve une fille, avec ce machin je risque pas de pouvoir faire grand chose ! Mais bon, c'est vrai c'était une expérience extraordinaire, j'ai aimé, je recommencerais certainement jamais ce genre de truc mais je ne regrette pas  …  Mais en attendant, je vais profiter, me branler toute la nuit … Si vous m'entendez gueuler de plaisir vous ne vous inquiétez pas, c'est normal, tout va bien !
Dominique : Je ne sais pas s'il nous fait marcher ?
Denis : Moi non plus, je commence à avoir un doute !
Moi : Bon les mec, je l'ai lu votre règlement …

Un grand soupir de soulagement de la par de mes deux camarades ! Je continuais …

Moi : On met un truc de chasteté, 14 jours, 14 participants, on en choisi un par jour, le dernier est le vainqueur et on le libère après la session ! Vous voyez que je l'ai lu votre règlement … Alors on me les donne quand les clés, c'est vous qui les avez ?
Denis : Et merde, il ne plaisante pas !
Dominique : Et merde, c'est le mot … Le dernier devient le porteur, on le libère à la session suivante quand il obtient, s'il obtient, un vote libérateur … La durée maximum est de un an … Au delà on lui donne les clés  et on restitue son chèque … Aucune autre option …
Denis : Mais ou as tu lu que le dernier était libéré à la fin … Tristan était le vainqueur de la session précédente juste avant les vacances, et comme il n'y en avait pas à la rentrée, pour lui le port du dispositif était de six mois …
Moi : Mais on m'avait dit qu'il aimait bien porter ce genre de truc, j'ai pensé que … Putain, je suis dans la merde !
Denis : Tristan aime bien porter un dispositif de chasteté, souvent il s'enferme tout seul sans aucune contrainte et confie ses clés avec des consignes bien précise, on ne doit pas les lui donner pendant une période prédéfinie !
Moi : Mais je vais faire comment moi, je veux pas rester comme ça ! (avec un sanglot dans la voix)
Dominique : Tu t'es engagé !
Denis : Tu t'es encagé !  Lol !
Dominique : Denis, c'est pas drôle, s'il te plaît …
Moi : Je ne vais pas tenir, je vais craquer, vous allez voire, demain je vais dans un magasin de bricolage et le truc il ne tiendra pas dix minutes …
Dominique : Djé, tu sais très bien …
Moi : Ils vont faire quoi, me punir, comment, ils vont me casser la gueule ?
Dominique : Non ! Personne ne va te casser la gueule, t'agresser, te passer à tabac, te couper les couilles si tu retire ton truc. Et tu as raison avec un outillage adéquat le dispositif il résiste dix minutes !
Moi : Alors je vous garantis, je vais pas le garder longtemps !
Denis : Ils vont seulement encaisser ton chèque …
Moi : Et merde j'y pensais plus moi, à ce chèque … Je vais demander à Tristan de me le rendre …
Denis : Je connais très bien Tristan et je sais qu'il te le rendrait sans problème …
Dominique : S'il l'avait encore !
Moi : Mais il est ou ce chèque ?
Dominique : En fait on n'en sait rien ! Le propriétaire du château probablement ! …
Moi : Mais c'est qui ? Il est à qui ce château ?
Dominique : C'est un mystère ! Il te contactera dans deux bons mois, tu es le porteur !
Moi : Et alors ?
Dominique : Ce sera à toi d'organiser l'arriver la prochaine fois.
Denis : C'est aussi toi qui organisera les votes lors de la prochaine session.

Je les regardais incrédules. Quel était mon choix, si je me libérais j'avais plus un sous, et quand je dis plus un sous, j'avais même un sacré découvert et je ne sais pas comment je pourrais expliquer ça à mes parents … Si je ne me libérait pas …

Moi : Les mecs … Je voudrais vous demander quelque chose … Vous pourriez ne pas parler aux autres de ce qu'on vient de se dire là, à l'instant, je ne voudrais pas trop passer pour un con … Et merde ! Mais qu'est ce que je suis venu faire dans cette galère ? Trois mois ! …

C'est la tête basse , et la queue entre les jambes que je rentrais à la maison ce soir là … Je savais que je pouvais leur faire confiance … Mais là, j'étais pas fier de moi …




Ep 6 : RETOUR A LA REALITE 



 Le retour à la réalité n'était pas des plus facile, les premières semaines je ne pensais plus qu'à ce qui m’était arrivé. Comment allais-je m'en sortir ? Mais il y avait ce chèque ... Et même si j'arrivais à dissimuler mon effraction … dans trois mois, je ne  pourrais plus la cacher …

J'allais voir Tristan, mais comme je le redoutais …

Djé :Il faudrait que je te parle !
Tristan : Mais c'est quand tu veux mon petit Djé.
D : Ça se passe comment l'organisation ?
T : C'est on ne peut plus simple ... Tu seras contacté dans deux mois pour me remplacer comme organisateur des votes ... Au fait, je pense que je vais t'assister …
D : Comment ça ?
T : Je suis un porteur, moi aussi !
D : ! ?
T : Tu te souviens, j'ai un peu traîne dans le château juste avant notre départ ?
Et bien, j'étais parti me remettre le dispositif …
D : Alors que tu l'avait porté déjà pendant six mois ?
T : Oui. Tu verras on fini par s'y faire ... Moi j'aime bien, j'ai de plus en plus de mal a m'en passer ! Une journée de liberté en neuf mois ! Mais c'était une bonne
journée, je me suis éclaté !
D : Oui je sais j'y étais ! Oui, mais si je peux pas y aller ? Je peut passer mon tour ?
T : Si tu peux pas y aller, c'est très simple ... Tu connais les règles  ... Tu passes ton tour jusqu'aux vacances suivantes ... Au fait, ça a l'air de te réussir, on me dit que tu fais encore des progrès en sport ?
D : J'ai de l'énergie à dépenser ! Mais , c'est qui , qui organise ces séjours ?
T : Ça c'est un secret! ... On sait que ce groupe s'est formé il y a plus de dix ans ... Le château appartenait à la famille d'un des premiers participants ... Il y a des archives !
D : Je pourrais les consulter ces archives ?
T  : Quand tu veux ! Bibliothèque du campus, coin réservé aux clubs et fratries ... Tu demande a consulter les archives du château ... On demandera si c'est le groupe de vacances, tu confirmes et on te donnera accès aux archives ... Mais t'inquiètes pas il n'y a aucun nom ... Seuls les prénoms sont indiqués dans les documents.

Impossible d'en savoir plus. Tristan n'en dirait pas plus . Il fallait que je découvre tout par moi-même ! De plus si je posais trop de questions directes je risquais de n'avoir aucune réponse …

Dans les semaines qui suivaient je poussais mon entraînement a son maximum, j'avais vraiment beaucoup d'énergie a dépenser. Mes performances sportives augmentaient en conséquences, j'étais en train de devenir le champion de mon équipe, et ça, c'était pas pour me déplaire ... On me traitait comme un champion, mes copains gay me montraient beaucoup d'égards ... Il y n'y avait au final qu'une seule chose qui n'allait pas ... Et c'était vraiment pas facile tous les jours !

 Un jour que je rentrais de mon entraînement quotidien, personne à l'appart, je me douchais longuement, je laissais l'eau couler longuement sur moi mais, ni la douche ni le sport ne parvenaient  à me détendre, j'essayais de remuer ma cage de chasteté, je me tortillais à l'intérieure pour essayer de me soulager ... Rien a faire, ça ne donnait rien. Dominique entrait sans faire de bruit dans la salle de bain, il me voyait et remarquait tout de suite que j'étais pas vraiment à mon aise. Je remarquait sa présence et sans me retourner …

Moi : Je vais craquer !

Il retirait ses vêtements, me rejoignait sous la douche et commençait à me masser les épaules.

Lui : Je connais bien un truc qui devrait te soulager mais …
Moi : Mais ? …
Lui : Personne il ne touche pas à ton cul ... Tu nous l'a suffisamment dit !
Moi : Oublie ce que j'ai dit !  Je craque !

Il commençait alors à me caresser les fesses en insistant sur mon anus. Il savonnait longuement et doucement entrait un son doigt à moitié, puis un peu plus, puis totalement, il agitait son doigt d'un mouvement vif à l'intérieur de mon anus ne le ressortait plus totalement mais me le rentrait bien a fond. Ça ne me faisait pas mal et je le laissait faire sans bouger, appuyé sur le mur les bras repliés contre moi. Il introduisait un autre doigt et les agitait avec vigueur des qu'ils étaient bien a fond. Les coups répétés sur la prostate commençaient à produire leurs effets et c'est une sensation agréable que je ressentais alors … dans mon ventre … j'avais jamais rien ressenti de pareil … ma respiration devenait plus forte.

Il faisait une pose puis recommençait … plus fort … plus rapide ! Pendant de longues minutes il me massait la prostate … des mouvements vifs et virils suivaient d'autres mouvements plus doux, plus lents. Encore une pose puis il reprenait. C'était bon je n'aurais jamais imaginé à quel point c'était bon ! La sensation de plaisir devenait de plus en plus forte !

Dominique : On peut entrer un peu plus dans le vif du sujet ?
Moi : Oui vas-y ! Fais comme tu veux ! Je te fais confiance !
D : Je vais t'enculer ! ?
Moi : ? … !
D : Je vais commencer … Je commence …

Il plaçait son pénis en érection au niveau de mon anus. Je sentais une pression. Il passait son bras par dessus mon épaule et me tenait fermement. La pression devenait plus forte. J'essayais de me détendre. J'avais un peu peur. Je sentais son pénis s'introduire. Mon cul se dilatait. Ça me faisait très mal … je  hurlais !

Il arrêtait tout mouvement …

Dominique : Essaye de te détendre ! C'est la première fois, ça peut faire un peu mal !
Moi : Un peu ! Là ça fait mal ! Putain là ça fait vraiment très mal !

Il poussait encore un peu et je hurlais de nouveau !

M : Arrête, retire toi, je peux pas là, ça fait trop mal !

Il se retirait. Je reprenais mon souffle. Ça fait vraiment mal son truc !

Dominique : Ça va ?
Moi : Oui ça va … mais ça fait mal ton truc ! Tu étais rentré jusqu’où !
D : La moitié !
M : La moitié de ta bite ? J'y crois pas !


M : C'était bizarre, douloureux et en même temps …

Il restait là derrière moi à me caresser, je sentais sa bite en érection entre mes jambes, moi je ne bandais plus, j'avais l'impression que mon pénis s'était ratatiné dans un coin de sa cage ! Il me serrait dans ses bras, me caressait et m'embrassait dans le cou …

Moi : Recommence !
Dominique : Tu es sûr ?
Moi : Oui ! Vas y mais vas y doucement !

Il me caressait de nouveau mon cul, lubrifiait bien et recommençait à m'introduire un doigt puis deux. Tout doucement il plaçait son pénis sur mon anus et recommençait à me l'introduire … Je râlait surtout de douleur mais j'en avais tellement envie ! Je sentais son pénis s'introduire, ça faisait vraiment mal mais … Il y avait une autre sensation qui me disait de le laisser faire … et …  Je le laissais faire !

Moi : Tu en es ou là ?
Dominique : Un peu plus de la moitié !
Moi : Putain je la sens bien ta queue , tu peux pas t'imaginer ! ( je parlais d'une manière tendue certainement en faisant des grimaces , avec le souffle court )
Dominique : Presque en entier !

Je râlais , je gueulais mais je ne lui demandais pas d'arrêter … il continuait … Je sentais son bas ventre heurter mes fesses …

Dominique : J'y suis !

J'avais l'impression que mon cul allait exploser, que quelque chose allait se déchirer, quand on dit ''ça déchire ! '' là je sentais ce que ça voulait dire, je le sentais bien même ! Il ne bougeait pas, il me laissait le temps de me détendre ! Il me caressait, m'embrassait, me serrait fort, très fort, dans ses bras … Je gémissais !

Dominique : Ça va ?
Moi : Oui, ça peut aller !

J'avais envie de pleurer !

Il commençait à se retirer. Mon souffle se coupait. Puis rentrait de nouveau. Je hurlais. Il commençait un mouvement de vas et viens en douceur. Je hurlais à chacun de ses mouvements. Je ne lui disais pas d'arrêter. Il n'arrêtait pas. Je commençais à ressentir plaisir, un immense plaisir, un orgasme, au niveau de mon bas ventre et de mon sexe, je ne bandais pas dans mon dispositif mais j'éjaculais, un filet de sperme coulait de ma cage de chasteté …

Il continuait ses mouvements, la douleur devenait de plus en plus forte et je finissait par lui hurler d'arrêter ! Il se retirait d'un coup, sans prévenir. J’avais mal mais je me sentais bien, très bien même ! Je pleurais !

Il me retournait et je me trouvais dos au mur, dans ses bras, je le prenais dans mes bras, on s'embrassait longuement et tendrement, je me mettais à genoux, et je lui faisait une pipe, il me laissait faire et ne tardait pas à jouir dans ma bouche. On terminait la douche en se savonnant l'un l'autre, on s'arrosait, on rigolait, je me sentais bien, j'avais mal au cul mais je me sentais bien !

En sortant de la douche je lui demandais de ne pas en parler. Il acceptait ! Voilà j'étais plus puceau, en tout cas j'étais plus puceau du cul … Et c'était un mec qui m'avait dépucelé !

Ça faisait maintenant plus de sept semaines que je portais ce bazars ! En sport je n'avais jamais été aussi bon, je battais les records de l'école ( tous les records dans ma catégorie ), physiquement j’étais en forme. Cette aventure avec Dominique n'était pas la seule … Mais pour en revenir à l'école … Depuis notre retour du château, ou peu après je ne sais plus, un nouveau professeur avait fait son apparition, Greg, il était bien sûr plus âgé que nous et devait être dans la trentaine. Les filles ne parlaient plus que de lui et mes ' copines ' également. Ils me disaient tous à quel point il était beau. Je ne l'avais jamais vu. Je n'était pas en section philo et c'est là qu'il enseignait … Mais un jour dans le campus un groupe de filles qui me tournait autour commençaient à papoter ( Eh oui maintenant que j'étais neutralisé, les filles semblaient me tourner autour ) .

… C'est lui …
… ou ça ? …
… là, c'est lui qui approche …

Elles me montraient alors un homme, un prof, c'était lui le fameux Greg, et c'est vrai qu'il était beau … Une belle gueule bien masculine mais d'une expression douce avec un grand sourire qui montrait une rangée régulière de dents blanches, une barbe de deux jours, cheveux bruns, yeux marrons, belle carrure, musclé, très bien habillé et très élégant … Il nous saluait en passant près de notre groupe …

Une des fille : A toi aussi il te plaît dis Djé ?

Je le regardais fasciné, c'était vrai qu'il ne me laissait pas indifférent ! Il était beau comme un dieu et je l'aurais bien laissé me faire ce que Dominique m'avait fait l'autre jour ! Oui il me plaisait ! Et puis … c'était donc ça ! Les filles croyaient que j'étais gay et c'est pour cela qu'elles me tournaient autour ! Ceci dit, je traînais avec des homosexuels, je portais un dispositif de chasteté acquis d'une manière  bizarre et en plus, je me faisais enculer, depuis peu d'accord mais … je me faisais enculer régulièrement ! Non , il n'y a aucune raison de croire que je suis homosexuel ! Enfin … C'est vrai quoi !…  ! De plus j'étais fasciné par un professeur d'une beauté hallucinante !

Y a pas à dire … Je suis hétéro ! Non ?

Ce jour là je passais l'après midi à l’entraînement et je décidais d'aller à la bibliothèque après pour voir les archives du château ! … J'arrivais donc à la bibliothèque aussitôt mon entraînement terminé. Je me rendais à la section réservée aux fratries et c'était ce nouveau prof beau comme un dieu qui semblait s'occuper de cette section ! Je m'approchais, un peu intimidé, j'avais l'impression d'être une midinette qui se retrouve face au garçon de son cœur, je le saluais, il me rendait mon salut …

Moi : On m'a dit que, c'est ici, que, enfin on m'a dit de venir, pour …
Greg : Oui, vas y je t'écoute …
Moi : C'est pour ce que je voudrais c'est consulter les massives du gâteau …

Merde je bafouille, c'est pas possible, aucun mec ne m'avait jamais fait un tel effet …

Greg : ( l'air un peu amusé ) Les archives du château, du groupe de vacances … ?
Moi : Oui qué pa ! Heu, oui c'est ça !
Greg : Ne bouge pas Djé, je te les apporte tout de suite !

Tristan n'avait ne m'avait pas raconté de conneries … Il suffisait de demander les … Mais au fait, le prof, Greg, comment ça se fait qu'il connaît mon nom ? Qui lui a dit comment je m'appelle, je ne fait pas partie des ses étudiants et c'est la première fois qu'on se rencontre ? Il revenait quelques instants plus tard avec une sorte de gros livre, un livre à la manière des ces gros grimoire en cuir édités il y a des siècles … Il le posait sur une table en retrait, allumait la lumière de la table, et me faisait signe d'approcher …

Greg : Djé, le livre ne doit pas sortir d'ici, mais tu peux le consulter autant que tu veux … Les porteurs y ont accès à volonté, tu trouveras tout ce qu'il faut savoir pour organiser le vote lors de la prochaine session !

J'étais tétanisé ! Je ne pouvais plus bouger ! Il savait … Il ne connaissait pas seulement mon nom … Il savait ! Je paniquais ! Finalement je bafouillais quelques excuses et je repartais au plus vite. En fait quand je dis je repartais, je devrais dire je m'enfuyais, je m'enfuyais en courant, et vite en plus, je cours vite, je suis le champion de mon équipe … Je me réfugiais à l'appart !

Un peu plus tard mes colocataires rentraient, ils remarquaient que j'étais perturbé, mais je n'acceptais pas de parler et je ne mangeais rien ! Dominique venait me voir dans ma chambre pour essayer de discuter, de me calmer. Denis venait de sortir et Dominique me proposait … de me faire l'amour !

Il savait me dilater en douceur et j'y prenais de plus en plus de plaisir, quand il me pénétrait je gémissais toujours de douleur, mais moins que la première fois, on s'y fait vite, ça me faisait beaucoup moins mal et rapidement ça ne faisait plus mal du tout, c'était beaucoup plus agréable ! Il me limait longuement, ses mouvements étaient violent et je gueulais beaucoup, mais j'y prenais un vrai plaisir ! Il finissait par jouir en moi, et il se laissait tomber sur moi, de tout son poids, il ne bougeait plus, un long moment il restait allongé sur moi, toujours en moi, il m'embrassait, me caressait et finissait par se relever avec un grand sourire ! Je n'avais pas éjaculé mais j'avais aimé quand même, c'était bon !

J'avais envie de lui parler pour Greg, mais je n'osais pas … On se décidait à sortir faire un tour. Arrivé a notre bar habituel, je cherchais Tristan du regard, lui il semblait en savoir plus qu'il ne voulait en dire et peut être pourrait-il me renseigner … Peut être …

Il n'était pas là et je l'attendais une bonne partie de la soirée, plusieurs filles venaient discuter avec moi, et même se montraient … câlines … ! C'est vraiment à se demander si elles ne sont pas au courant elles aussi ! Pendant tout le premier trimestre elles semblaient me fuir, maintenant que je ne cherchais plus vraiment à les approcher, ce sont elles qui venaient … ! Tristan, lui, on ne le voyait pas de la soirée … Je lui téléphonais plusieurs fois mais pas de réponse, je tombais à chaque fois sur sa boite vocale ! J'étais toujours bouleversé quand je  décidais de rentrer, il n'était pas tard quand je laissais mes camarades pour rentrer.

Je passais par le campus puis perdu dans mes pensées je passais devant la bibliothèque, il y avait de la lumière dans l'aile nord, c'est là que se trouvait la section réservée aux fratries ! Cette partie de la bibliothèque pouvait être isolée du reste du bâtiment et c'est sans doutes pour cela que quelqu'un y avait accès de nuit, et ce soir, de toutes évidences il y avait quelqu'un.

Je m'approchais, il y avait plusieurs voitures dans le parking, je n'en reconnaissait aucune. Je continuais à m'approcher jusqu'à la porte et là, je reconnaissais la bicyclette  de Tristan. C'était un modèle très repérable, il l'avait customisée … On ne pouvait pas se tromper !

Je montais les marches qui conduisent à la porte et j'écoutais, c'était une porte très épaisse et lourde, il aurait fallu qu'ils fassent beaucoup de bruit à l'intérieure pour que je puisse entendre quoi que ce soit. J’hésitais, je ne bougeais pas, en fait je ne savais pas quoi faire … Je redescendais les marches ... Je m'arrêtais … J'hésitais encore … Je remontais les escaliers puis essayais d'ouvrir la porte … Elle s'ouvrait !

Je restais un moment à me demander, j'entre .. j'entre pas ! ?

Je me décidais finalement à entrer. La première salle baignait dans la pénombre au fond dans une seconde salle  il y avait une lumière. Je m'avançais vers la lumière sans faire de bruit, je ne savais en fait plus ce que je faisais. Comment ce nouveau prof que j'avais vu pour la première fois savait-il mon nom ?  Comment savait-il que j'étais un porteur ? C'est comme ça qu'on dit maintenant ! Il était au courant pour le château, pour le groupe de vacances ? ?

J'allais entrer dans la salle éclairée quand Greg m’aperçut. C'est avec un grand sourire qu'il me fit signe d'avancer en me lançant !

Greg : Mais c'est notre ami Djé ! Viens te joindre à nous Djé ! On fait une petite réunion entre … camarades … Mais tu fais partie de la famille, viens nous rejoindre …

J'entendais la voix de Tristan qui me disait !

Tristan : Viens te joindre à nous Djé, il reste de la bière !

J'avançais, j'étais presque en état second, ils étaient plusieurs, Greg bien sûr, mais aussi Tristan … Deux autres garçons qui étaient présent lors du séjour au château, Mathias et Manuel qui avait été notre chauffeur un mois plus tôt, je ne l'avais pas revu depuis notre retour. J'avançais comme dans un rêve, je me trouvais un siège au milieu du groupe et avant d'avoir le temps de réagir j'avais une bière devant moi.

Greg : Djé est passé cet après midi, il voulait consulter les archives … Au moment ou je les ais emmenées, il s'est sauvé comme un voleur …

Je remarquais que le livre en question était posé sur la table devant nous !

Tristan : Pourquoi tu t'es sauvé Djé ?
Mathias : Tu voulais savoir quoi ? Dis nous, on pourra certainement répondre à toutes tes questions !
Manuel : Tout est là, dans le bouquin, dans les archives !
Greg : Il y a l'emploi du temps pour chacun des séjours, le compte rendu des votes, les impressions des participants … Tu peux y rajouter les tiennes … Il est à jour, tu es dedans …

Je les regardais la bouche ouverte, probablement l'air bête, j'avais l'impression de rêver. Ils me regardaient en rigolant, je devais avoir l'air idiot !

Alors Greg faisait partie du club … J'en revenais pas ! C'était quoi son rôle dans cette histoire ?

Tristan : Nous sommes au complet ? Non ?  Alors …

En disant cela il se levait, ouvrait sa braguette baissait son pantalon et exhibait devant tout le monde son dispositif de chasteté … Les regards se portaient vers moi … J’hésitais puis j'en faisais autant  … A son tour Mathias se levait baissait  également son pantalon … Je me souvenais qu'il était avec Tristan quand celui-ci était parti se remettre le dispositif au château … Manuel baissait aussi son pantalon et nous nous retrouvions quatre porteurs, pantalons baissés, devant un professeur de philosophie que … aucun d'entre nous ne devait connaître quelques jours plus tôt !

Greg semblait apprécier le spectacle, il nous regardait longuement les uns après les autres en nous souriant ! Puis à son tour, il baissait son pantalon … Lui aussi il en portait un … Mais c'était pas le même que nous, le siens il était en métal et n'avait pas de cadenas … !

Mais c'est qui ce mec ?




Ep 7 : GREG MAIS C'EST QUI CE MEC 



Nous remontions tous nos pantalons , maintenant qu'on avait fait les ' présentations ', je commençais à siroter ma bière ... J'avais complètement renoncé à comprendre ce qui se passait ! On verrait bien !

Greg reprenait la parole …

Greg : Bon j'en étais ou ?
Mathias : Tu nous parlais de la rédaction du règlement …
Greg : Oui, donc, on y est allé à tâtons, au fur et à mesure ou les situations qui se présentaient demandaient une précision …

Je comprenais vite que Greg avait fait parti du groupe de vacance il y a quelques années, les premières années même, il avait participé à la rédaction du règlement.

Il devait savoir qui organisait tout cela, le propriétaire du château, le trésorier, ou était mon chèque, comment je pouvais quitter le club sans délais ... Il avait l'air d'un gentil garçon ... Moi, tout ce que je voulais c'était qu'on me retire ce truc, que je puisse draguer les filles, surtout qu'elles étaient de moins en moins farouches avec moi ... Je ne m'en rendais même pas compte mais j'étais totalement fasciné par lui !

Il était allé trois fois au château, la dernière fois c'était il y a dix ans, il avait alors un an de plus que moi aujourd’hui.

Il ne portais tout de même pas ce truc depuis dix ans ? Je prenais le livre sur mes genoux et commençais à le parcourir tout en écoutant ce qu'il nous racontait ... En effet j'y étais dans ce livre ... On pouvait y lire tout ce que j'avais fait !


Greg avait fait la première ! Il avait participé au premier séjour ! Il nous racontait qu'à cette époque, pour le premier séjour, pour le premier uniquement, il y avait trois majordomes ... Bien sûr eux aussi portaient un dispositif de chasteté et restaient nus mais ne participaient pas au vote ... Ils l'organisaient ! Leur dispositif, ils le gardaient du début à la fin du séjour et devaient s'abstenir de toute relation sexuelle avec le groupe, ils devaient s'abstenir de toutes relations sexuelles pendant tout le séjour. Ça devait être quelque chose, mon imagination gambadait et j'imaginais ces hommes, musclés et sexy, avec  un nœud papillon et un dispositif de chasteté faisant le service et le ménage … Ceci dit ça impliquait une organisation musclée et un financement non négligeable, mais c'est vrai que … à voir la maison enfin le château, on devinait tout de suite qu'il y avait de l'argent derrière tout ça, mais qui paye ?

Greg était aussi dans le livre … J'étais remonté au premier chapitre, j'avais la liste des premiers participants … il y avait un Greg ! Les années correspondaient, sa dernière participation était il y a dix ans et il était venu les deux années précédentes à chacune des vacances … Il avait été le porteur à deux reprises, LE porteur parce que nommé à ce titre par les votes … Mais il avait aussi été porteur à plusieurs autres reprises …

Pour les dernières vacances, j'étais le porteur mais il était aussi indiqué que Tristan, Mathias et Manuel étaient porteurs … porteurs volontaires … C'était écrit en toutes lettres !

Je recherchais dans les rapports des premières vacances tout ce qui concernait Greg et en effet lui aussi était répertorié comme porteur volontaire à plusieurs reprises … La deuxième année il a même été porteur volontaire pendant plus de neuf mois … Wouah ! … Là j'étais épaté … C'était probablement pas la peine de le signaler aux autres, ils étaient déjà au courant c'était évident ! Ce livre ils l'avaient tous lu ! J'arrivais enfin à sa dernière participation à la fin de ce séjour … Il s'était porté volontaire … porteur volontaire !

Ce soir là, Greg nous racontait  de nombreuses anecdotes. Il nous racontait son  expérience … Il avait suivi le développement de ce groupe dans les années qui ont suivi et savait donc exactement ce qui s'y passait et comment. Mais ce soir là je n’apprenais rien  sur les organisateurs, rien sur le financement, rien sur les propriétaires du château !

Plus tard, dans la soirée, je rentais chez moi un peu étourdit, je ne savais même plus pourquoi je voulais voir Tristan … Ah oui, c'est vrai, c'est parce que Greg connaissait mon nom ! Mais Tristan, il ne perd rien pour attendre, il va m'expliquer ce qu'il sait et ce qu'il ne sait pas ! … Enfin … même moi, je ne sais plus ce que je sais et ce que je sais pas !

A l'appart Dominique venait de rentrer, il était en train de se faire un thé. Il m'en proposait un, me le servait et, avant même de l'avoir goûter je me retrouvais les jambes en l'air et lui me limant joyeusement le cul, et il y allait de bon cœur, je commençais à aimer ça, et lui aimait me défoncer, il me tenait les chevilles m'écartant bien les cuisses … J'aurais jamais cru que je me laisserais faire comme ça il y a seulement quelques semaines … Il m'enfonçait sa queue bien à fond avec de bons coups de rein puis se retirait presque complètement et revenait à la charge … Par moment il se retirait complètement semblait faire une pause puis m'enfonçait à nouveau sa queue bien à fond avec un violent coup de rein …

Ces acrobaties entre nous devenaient de plus en plus fréquentes, j'y prenais un réel plaisir même si je n'éjaculais pas à chaque fois. La jouissance prenait du temps, il fallait que ça dure longtemps, le plus souvent il jouissait avant moi … Mais quand il remettait ça une seconde fois, mon plaisir montait plus haut, plus vite et il prenait lui aussi plus de temps avant de jouir de nouveau.

Ce soir là c'était la deuxième partie de jambes en l'air que nous faisions, une première en début de soirée, et là je montais vite, rapidement de hurlais de plaisir, il aimait me voir comme ça et ne lâchait rien. Il me limait vigoureusement un long moment, je me tordais dans tous les sens, je convulsais, je ne contrôlais plus rien …

Certains jours ou nous étions seuls il lui arrivait de remettre ça une troisième fois c'était l'orgasme garanti, le plus souvent j'éjaculais et si c'était le cas et que lui continuait, c'était encore plus puissant, intense, je demandais pitié … A chaque fois j'avais l'impression que je ne pouvais plus,  que c'était trop … Que … Je finissais dans ces cas là par m'effondrer, vidé, comblé, vidé mais bien rempli, le cul bien rempli  … Il se laissait alors tomber sur moi, m'écrasait de tout son poids lui aussi vidé, comblé … C'était bon … Le sentir encore en moi, le sentir sur moi, sentir son poids, sa chaleur, son souffle … Je le prenais dans mes bras, l'embrassais … Je me laissais aller, je le laissais faire et, si il voulait remettre ça … Non de dieu ! … Je serrais les dents et je le laissait faire …

C'était le cas ce soir là ! J'étais mort, amorphe, je ne savais plus si j'avais envie d'éjaculer ou en vie de pisser ou envie de … En fait, je ne contrôlais plus du tout mon bas ventre, j'avais pas mal et c'était bon ! …

Il nous fallait un bon moment, un long moment avant qu'on ne réagisse et qu'on ne se décide à bouger, un long moment à se toucher, un long moment à se caresser, a s'embrasser, a se regarder dans les yeux sans rien dire … On se levait, plus tard,  on allait prendre une douche, on faisait disparaître toutes les traces de nos galipettes … Je ne voulais pas que ça se sache ! Personne n'était au courant et ça devait rester ainsi !

Evidemment le thé était froid !

Plus tard, Denis rentrait, il avait l'air joyeux, nous étions devant la télé, en ténue légère, il rigolait, il nous regardait un moment, un court instant j'ai cru qu'il se doutait de quelque chose, puis il allait se coucher ! Plus tard, nous le suivions mais chacun dans sa chambre !

Deux mois s'étaient écoulés depuis le retour de vacances, ça faisait maintenant pas loin de dix semaines que je portais le dispositif, Greg et le groupe avaient fait connaissant plus longuement et dans nos sorties il se joignait souvent à nous. Bien sûr seul un groupe limité connaissait les détails, le passé de Greg …

Je lui ai demandé s'il portait son dispositif depuis la fin de son dernier séjour au château … Il me répondait que … : '' Arrivé à un certain niveau d'usage, on peut toujours le retirer si c'est nécessaire ! ''…

Il ne le portait pas depuis dix ans, j'étais rassuré !

Je continuais un entraînement sportif intensif, mes colocataires me suivaient toujours mais pas jusqu'au bout, ils n'y parvenaient plus … J'avais toujours beaucoup d'énergie à dépenser ! Greg se joignait à moi assez régulièrement lors de mes entraînements, il avait lui aussi beaucoup d'énergie à dépenser et son état physique était exceptionnel !

Depuis mon retour du château, je prenais soin de ne pas prendre mes douches avec les autres membres de mon équipe de sport, je voulais rester discret sur … mon dispositif … Ils avaient bien sûr été un peu surpris car le premier trimestre, je ne montrais pas autant de pudeur et je me douchais à poil avec tout le monde, comme tout le monde … mais … ils respectaient … !

Un jour, que j'étais seul dans les vestiaires, tous les autres avaient pris leur douche, pris leurs affaires,  et étaient déjà repartis … j'étais fatigué, en sueur, et … comme j'étais seul, je prenais ma douche sans me poser plus de questions, au milieux de la salle des douches communes …

Je laissait longuement l'eau couler sur mon corps, me savonnant longuement, prenant bien la peine de nettoyer mon dispositif ce qui est nécessaire, impératif pour éviter des problèmes d’hygiène …

J'étais là, tranquille, je chantais comme on le fait sous la douche quand on est seul, je chantais faux donc ! … J'ouvrais les yeux et je voyais Antoine, un camarade de mon équipe qui me fixait avec étonnement ! J'arrêtais de chanter et je le regardais à mon tour … Mon sang se figeait ! J'étais glacé ! Tétanisé sur place !

Antoine : J'ai oublié quelque chose … Mais … C'est quoi ce truc que tu porte sur …

Je voulais articuler une réponse qui aurait été peu convaincante de toutes façons, mais aucun son ne sortait de ma bouche …

Il s'approchait de moi, il fixait mon sexe … Et tout en dirigeant sa main vers mon dispositif ..

Antoine : C'est quoi ce truc ?
Moi : Bein, c'est que … Heu ...
Antoine : C'est parce que tu ne peux plus avoir de sexe que tu es si fort en sport ?
Moi : Bein, c'est que …
Antoine : Il y longtemps que tu porte ce truc ?
Moi : Bein, c'est …
Antoine : Depuis la fin des dernières vacances ! … C'est pour ça que tu ne prend plus ta douche avec l'équipe ! … C'est à ce moment que tes performances on commencé à s'améliorer !
Moi : Bein , ...
Antoine : Moi aussi je veux être plus fort en sport !
Moi : ??? …
Antoine : Et je m'en fou si je peux plus avoir se sexe pour un certain temps, je m'en fou si je peux plus me branler … !


Antoine : On nous dit toujours qu'il ne faut pas coucher avec une fille pendant les jours qui précédent une compétition … Pour garder de l'énergie … Pas se branler non plus … Alors forcément si tu peux pas te branler …  du tout … t'es forcément meilleur …

Moi : …

Antoine : Moi aussi je veux être un champion, et si je peux pas me branler , m'en fou !

Je reprenais mon souffle … Il avait fait les question autant que les réponses ... Je terminais ma douche ... Je me séchais … Je ne disais rien, je ne savais pas quoi dire … J'allais m'habiller mais Antoine me demandait de rester nu pour qu'il puisse voire le dispositif, comment il marchait, comment il était quand je bougeais … Je lui accordais ça et je restais nu un moment …

Nous allions nous installer dans les vestiaires et commencions à discuter …

Je choisissais de ne pas rentrer dans les détails en ce qui concerne l'origine du dispositif. On parlait de la manière dont il fonctionnait, les sensations, douleur pas douleur, confort pas confort, liberté de mouvement. Je lui faisais quelques démonstrations de mouvement acrobatiques pour bien lui montrer que j'étais libre de tous mes mouvements …

Il avait l'air fasciné. Et à plusieurs reprises il me disais … '' J'en veux un pareil ! '' .

C'est plus de deux heures plus tard qu'on quittait les douches, entre temps je m'étais rhabillé … Un autre groupe allait arriver et aurait besoin du local … Je lui faisais promettre de ne rien dire à personne …

Dans les jours qui suivaient, Antoine cherchait ma compagnie ! Il respectait sa parole et ne disait rien à personne ! Je ne le croyais pas quand il me disait qu'il voulait lui aussi porter un tel dispositif, en fait il avait l'impression qu'il suffisait de porter ce truc pour devenir un champion … Il n'avait aucune idée de ce que ça faisait que de le porter pendant plus de deux mois … Lui il n'était plus puceau depuis longtemps, il couchait avec des filles régulièrement et même le plus souvent possible … comme il disait … !

Mais il insistait … Il en voulait un pareil lui aussi.

Les prochaines vacances approchaient … J'en parlait à Tristan, Greg … Et après une longue réflexion on décidait de lui proposer de se joindre à nous pour les prochaines vacances … deux semaines plus tard … !

Une soirée autour d'une bière, dans un bar ou nous avions nos habitudes, beaucoup de monde, beaucoup de bruit, un coin du bar ou nous étions tranquilles … Je l'invitais contre la promesse de ne rien révéler, de ne rien répéter quelque soit sa réponse, quelque soit son choix !

Greg, Tristan, Mathias, Manuel et moi étions ses seuls interlocuteurs ! Antoine se joignait à nous. Pendant toute la soirée on lui expliquait les règles … Il était plus attentif que je ne l'avais été, il posait de nombreuses questions et on lui répondait …

Plus tard, beaucoup plus tard on partait du bar ensemble … Greg nous saluait et nous nous dirigions vers le parc, toujours en discutant, Antoine se retournait vers nous …

Antoine : Alors vous en porter tous un ?
Mathias : Oui !
Antoine : Je peux voir ?

En un seul mouvement, on ouvrait tous notre pantalon, on lui montrait, il regardait longuement sans rien dire … Un bruit se faisait entendre, quelqu'un venait, on refermait nos pantalons … Antoine restait là, un peu hébété …

Antoine : Je veux essayer moi aussi ! Je veux faire parti du groupe dans deux semaines !
 
Durant les deux semaines qui suivaient, Antoine venait souvent discuter avec moi. Il me posait plein de questions, il avait l'air enthousiaste, peut être un peu trop. On avait déjà fait plusieurs fois le tour du sujet mais, il posait des questions toujours et encore et je lui répondais !

Je lui ai même confié un jour, peu avant le départ que … en fait … je ne savais pas que le vainqueur devait garder le dispositif … Ça l'a fait rire … Lui me disait que ça ne le dérangerait pas si ça faisait de lui le champion de l'équipe  … La veille au soir il avait sauté deux fille … Deux filles le même soir … Deux c'était pas très fréquent pour lui mais une c'était plusieurs fois par semaine … Je le savais, il ne s'en cachait pas, il aimait bien raconter, il ne se ventait pas … Pour lui c'était normal … Il était prêt à renoncer à cela uniquement parce qu'il pensait qu'il serait meilleur en sport ! Uniquement parce qu’il pensait qu'il deviendrait un champion, uniquement pour devenir un champion !

J'avais du mal à y croire … Moi si j'avais su j'aurais pas venu !

Le matin du départ, il était à l'heure, prêt et enthousiaste !




Ep 8 : UN NOUVEAU - ANTOINE



Comme trois mois plus tôt, on roulait bien, on se relayait au volant pour ne pas perdre de temps … Antoine prit le volant un moment comme chacun de nous … A midi on faisait une pose dans un restaurant et, petit détail, je me souvenais que trois mois plus tôt je n'avais pas payé le resto … Ce jour là c'était à moi de le faire … J'avais reçu pour cela une enveloppe qui contenait largement assez d'argent ! J'avais reçu  tout un tas de documents, d'argent pour faire face à toutes éventualité … J'avais confirmé les inscriptions à une boite postale … dans la ville ou nous vivions … bizarre ! Au début j'avais pensé que le courrier viendrait du sud du pays ou était le château et que la réponse  serait envoyé au château … Et bien non ! Il y avait une boite postale dans la ville ou je vivais … les organisateurs vivaient à coté de chez nous, peut être même avec nous, certains d'entre nous faisaient peut être partie des organisateurs mais … qui ? Le nom de Greg me traversait l'esprit !

L'arrivée au château restait toujours un cérémonial, le sous bois sombre à traverser, la longue allée bordée d'arbres, l'immense prairie de gazon et pour finir … le château … On garait les voitures, on vidait les coffres on entrait dans le château.

Tristan m'avait briefé, je présidais, chacun se déshabillait … Lors des vacances précédentes il y en avait un qui était distrait, qui ne suivait pas le mouvement … Moi … mais ce jour là tous les participants savaient comment ça devait se passer … A commencer par Antoine … Il s'était bien renseigné … Il avait posé toutes les questions qu'il fallait et avait obtenu toutes les réponses utiles !

Je posais la question pour chacun des participants … '' Voulez-vous rester ou partir … '' ! Et finalement venait le moment ou chaque participant devait se couvrir … Tous étaient nus et, excepté les porteurs qui étaient plus nombreux que la fois précédente. Ceux là portaient déjà le petit quelque chose qui faisait que même sans vêtements ils n'étaient pas nus. Tous allaient se couvrir, se protéger … la petite boite contenant le dispositif de chasteté destiné à chacun était sur la table avec le nom du destinataire écrit dessus !

Antoine prenait le dispositif qui lui était destiné, il l'examinait un moment. Je l'observais, il était le seul à n'être jamais venu au château … Il ne bandait pas, il semblait toujours aussi décidé. Il mettait le dispositif en suivant scrupuleusement toutes les étapes, il refermait le dispositif et relevait les yeux dans ma direction … Il semblait me dire … '' Je vais être un champion … ''

Dernier cérémonial chacun des participants passait devant moi, je leur demandais de confirmer leur participation puis leur donnait le cadenas. On commençait toujours pars les plus anciens, je terminais donc par Antoine … Il était motivé, il était décidé, c'est en me regardant bien dans les yeux qu'il me confirmait sa participation tout en me tendant la main pour que je lui donne son cadenas … Il se le posait, le refermait et me regardait droit dans les yeux avec un grand sourire. J'étais pas aussi motivé moi trois mois plus tôt !

Pendant le reste de la journée chacun visitait, découvrait la demeure. L'emplacement des salles avait changé depuis la dernière fois. Antoine qui était nouveau faisait connaissance avec ses nouveaux camarades, il semblait à son aise, c'est vrai que c'est un garçon particulièrement sociable qui sympathise facilement. Être entouré de garçon homosexuels ne le dérangeait pas ! Être entouré de garçons qui portaient tous un dispositif de chasteté alors qu'il en portait un lui même semblait l'amuser !

Je le suivais du regard, j'étais chez moi ! Je n'étais plus le petit nouveau  des participants, loin de là, je n'étais pas le plus expérimenté mais, c'est moi qui allait présider aux votes alors je me donnais de l'importance et, il y avait … un p'tit nouveau !

Je le suivais du regard et je voyais se diriger vers une porte sur laquelle était marqué … '' SALLE DE JEUX '' ! Intrigué, je voulais voir sa réaction. Je le rejoignais au moment ou il franchissait la porte. Il me jetait un regard amusé ! Je le suivais à l'intérieur. Il semblait curieux, amusé de voir toutes ces bites en plastic. Il faisait le tour de la salle puis il prenait un de ces gode, pas le plus gros mais pas le plus petit non plus. On pouvait en faire le tour avec les doigts, à peine mais on pouvait ! Il le posait sur une table basse et le lubrifiait. Il me faisait signe en m'en montrant un autre de même taille comme pour m'inviter à le suivre !

Je prenais un gode de même taille, un peu plus gros que le pénis de Dominique … Je le posais sur une table basse en face d'Antoine, je le lubrifiais également.

C'est en se regardant chacun droit dans les yeux qu'on prenait position et que doucement, tout doucement on s'asseyait sur le gode que nous avions choisi ! Je sentais mon anus résister, je ne m'étais pas préparé, pas détendu comme me le faisait si bien Dominique à chaque fois qu'il voulait me sodomiser. Là je me préparais à m'enculer avec un gros gode, à froid, j'y allais doucement ! Antoine en faisait de même.

Il commençait à faire des grimaces, il ouvrait sa bouche comme si il allait crier mais aucun son ne sortait de sa bouche … Je devais probablement faire la même chose. Mon anus résistait, je forçais, ça me faisait mal mais je ne voulais pas renoncer, je ne voulais pas abandonner ! Le gode entrait, juste un peu, je hurlais et là, ce n'était pas en silence ! Antoine semblait être au même niveau que moi mais lui, ne poussait aucun cri ! Je continuais à forcer, le gode entrait encore un peu plus je le sentais qui m’explosait le cul … Douleur … J'avais l'impression que mon cul allait se déchirer mais ça restait supportable. Antoine prenait de l'avance, son gode entrait presque en entier maintenant. Il insistait le gode entrait totalement. Antoine était assis sur la table basse en face de moi, un gros gode bien calé dans son cul. J'y croyais pas !

Il me fallait encore un moment pour arriver comme lui à m’asseoir sur mon gode. Quand j'y parvenait j'avais le souffle court, mon cœur battait fort. J'avançais mes pieds, mon poids ne reposait plus que sur mon cul, c'était bon, c'était douloureux, c'était violent aussi mais c'était bon, j'avais l'impression que mon cul allait se déchirer mais c'était vraiment bon !

On restait là un moment sans bouger à se regarder, chacun observait les réaction de l'autre puis sans rien se dire, sans même échanger le moindre signe, ensemble on se relevait, on se synchronisait et ensemble on commençait à faire ces mouvements, on se relève le gode sort, on se rassoit le gode rentre. On se suivait en accélérant puis en ralentissant.

On restait là un bon moment à se défoncer le cul , à s' exploser l'anus ! Au bout d'un moment je sentais que j'allais jouir , je continuais le mouvement et c'est un cris d'orgasme que je poussais alors qu'une bonne dose de sperme coulait de l'extrémité de mon dispositif. Je me laissais retomber sur la table, mon gode me rentrait alors dans le cul bien à fond. Je poussais un cri de douleur  mais je restais là, assis tout de même. Antoine semblait amusé de me voire ainsi mais lui aussi faisait une drôle de tête et l'expression qu'il faisait m'indiquait qu'il n'allait pas tarder à me suivre … Quelques instants plus tard, à son tour il gémissait, grimaçait et éjaculait .

Il restait assis comme moi sur son gode à secouer son dispositif de chasteté comme pour tenter de s'en débarrasser ! Il finissait par se relever et  s'approcher de moi, il avait une sorte de sourire qui ressemblait à une grimace.

Moi : Alors tu regrettes ?
Antoine : Non, tu délires, je m'éclate ! Je porte ce truc depuis quelques heures et tout va bien …
Moi : La première impression est bonne ?
Antoine : Ouai, super, j'adore … Je me suis pas branlé. ( en rigolant ) …
Moi : Tu vas me dire que tu ne peux pas rester une journée sans te branler ?
Antoine : Tu vas rire mais … Je ne me branle jamais !
Moi : Mais comment tu fais ? Moi évidemment en ce moment je ne me branle pas non plus … mais c'est normal, j'ai pas le choix !
Antoine : Au moins deux fois, trois fois par semaine, quelquefois quatre, je me trouve une fille bien chaude, qui se charge de me soulager et de me vider les couilles … Alors je ne me branle jamais ! Pas besoin !
Moi : Et tu es déjà en manque parce que tu porte ce truc depuis ce matin ?
Antoine : C'est pas que je suis en manque, c'est que ma queue est enfermée, elle est en cage  et je ne peux même pas la toucher ! Je ne me branle pas mais je bande souvent, tous les jours, tout le temps, pour un oui pour un non, parce que j'ai vu une fille qui me plaît ou comme ça, sans raison … Là, je peux plus bander … Ça c'est un truc de dingue !
Moi : Je te l'avais dit que c'était un truc bizarre, que c'était spécial !
Antoine : C'est un truc de fou ! Comment t'as fait pour tenir plus de trois mois ?
Moi : Pas le choix ! Plus le choix !
Antoine : Sinon, je sais que je peux tenir ! La nuit dernière, j'ai baisé toute la nuit, j'étais avec une fille … Elle avait de ces nichons, je te dis pas ! Elle était chaude ! Elle m'a sucé ! Je l'ai baisé toute la nuit … J'ai éjaculé qu moins six ou sept fois … Elle en pouvait plus la fille ! Mais moi, j'étais juste chaud ! Prêt à recommencer ! Alors je peux tenir encore plusieurs jours  … après, on verra bien! …
Moi : Ça peut durer plus de trois mois ! Tu sais ?
Antoine : Dans ce cas dans trois mois, je serai un champion et tes records … tu vas devoir te battre pour les garder !
Moi : C'est pas la première fois que tu te défonces le cul avec un gode ?
Antoine : T'as remarqué ?
Moi : Mais je croyais que tu étais …
Antoine : Etéro … Mais je suis étéro, un peu bi mais étéro tout de même ! Et puis, le sexe, c'est juste pour le plaisir et ou il y a de la gène y a pas d'plaisir ! C'est une fille qui m'a fait découvrir le plaisir anal … Elle avait plusieurs godes qu'elle se gardait quand elle était toute seule … Encore une chaude … Elle voulait voire ça … Voir un mec avec un gode dans le cul …
Moi : Et toi tu as essayé tout de suite …
Antoine : Ça semblait lui faire plaisir … J'aime bien faire plaisir aux gens ! … Et finalement c'était génial ! Le premier gode que je me suis enfilé était beaucoup plus petit mais je suis vite passé aux tailles plus … imposantes !

Décidément ce garçon était étonnant …

Nous étions au milieu de l'hiver, la température restait clémente dans le sud du pays mais de là à passer la journée à poil dehors … Brrrr ! Mais on pouvait encore faire du sport, course, foot … passer un moment à l'extérieur pouvait même être agréable … Ensuite on rentrait se réchauffer devant la cheminée à boire un bon chocolat chaud. La piscine était une piscine d'intérieur et très bien chauffée, c'est certainement l'endroit ou on passait le plus de temps.

Premier vote … Nous n'étions que treize cette fois ci … Le premier vote se passait le mardi soir, il fallait synchroniser les votes avec le nombre de jours restant sans oublier qu'il devrait en rester un lors du dernier vote qui était la veille du départ. Si le nombre de participants était plus important le règlement prévoyait qu'on pourrait élire plusieurs personnes les premiers jours mais là, ce n'était pas le cas … Tristan m'assistait, il connaissait bien la procédure, on imprimait les bulletins, il y avait une salle informatique avec tout ce qu'il fallait pour imprimer. Antoine semblait vraiment bien s'adapter, j'avais l'impression qu'il s'éclatait … Pour lui c'était un jeu !

J'avais voté pour Antoine … Peut être parce que c'est moi qui l'avait recruté, peut être parce qu’il avait une grosse queue, peut être parce qu'il était craquant, peut être parce que j'avais envie qu'il m'encule … Peut être un peu à cause de tout ça … Il avait donc une voix … Une seule !

Mais les autres bulletins … Tous les autres bulletins … Sans aucune exception étaient pour moi !

Qu'est ce qui ce passe ? Je me levais pour prendre la parole et faire remarqué qu'il devait y avoir une erreur. Je m'en excusais, assurant que je n'y était pour rien quand Denis me coupait la parole …

Denis : Je ne pense pas qu'il y ait erreur et encore moins tricherie … Personne ne te soupçonne Djé, chacun sait pour qui il a voté … Au fait, c'est toi qui a voté pour le petit nouveau ? Non ?

Je restais là bouche bée sans rien trouver à dire … Tristan prenait la boite sécurisée qui contenait les clés, composait le code secret, me demandait de composer mon code, qui m'avait été communiqué pendant les préparations du séjour … On ouvrait la boite et il en sortait mes clés … Plus de trois mois et demis … J'avais attendu ce moment depuis si longtemps … J'étais libre …

Le groupe applaudissait et poussait des cris de guerre … C'était le délire, j'avais la tête en feu … A peine quelques instants et je sentais quelqu'un qui me caressait la bite puis une sensation humide, je baissais les yeux … C'était Antoine qui me faisait une pipe … Excité, très vite très excité  je bandais ferme. C'était une sensation fantastique, j'avais l'impression que ma bite était plus grosse que la dernière fois que j'avais bandé … mais ça faisait si longtemps … mais c'est parce que ça faisait si longtemps probablement … C'était une impression en fait … Antoine suçait bien, c'était pas la première fois qu'il suçait ! Il ne me fallait pas longtemps pour exploser dans un orgasme que j'avais oublié, je jouissais dans sa bouche sans pouvoir me retenir sans rien contrôler … Je ne me souvenais pas avoir joui aussi fort … jamais … !

Sans me laisser le temps de respirer, le groupe s’agglutinait autour de moi, Antoine se retirait et regardait le spectacle d'un peu plus loin avec un petit sourire du coin des lèvres. J'avais l'impression qu'il se sentait à l'étroit dans son dispositif … Et je me prenais à penser que ce serait peut être lui le prochain porteur, surtout si on considère que le plus souvent c'est le p'tit nouveau qui s'y colle …

Dominique était en face de moi, il me tenait dans ses bras avec beaucoup de tendresse et me glissait dans l'oreille … '' Maintenant c'est toi qui m'encule, vas y fait moi mal, fait moi gueuler ! C'est aussi pour cela que j'ai voté pour toi  ''. Je ne me faisait pas prier et il n'avait pas besoin de répéter. Je le retournais, appuyais sur ses épaules pour lui indiquer de se  pencher, on me lubrifiait la queue, et la  position bien assurée, je lui défonçais le cul en le pénétrant sans ménagement avec un violent coup de rein. Il hurlait mais n'essayait pas de se dégager ! Je continuais en le limant vigoureusement, on me caressait les fesses, le torse, les cuisses, les épaules … On me donnait des baisers un peu partout, je ne savais pas qui faisait quoi mais c'était trop bon, je gémissais de plaisir  Dominique gueulait de plaisir, dehors il faisait froid c'était la nuit mais là, dedans, il faisait chaud, très chaud !

Ce soir là j'ai baisé au moins six garçons, je voulais les baiser tous mais … J'avais surestimé mes forces … Mais c'est pas grave, je me suis rattrapé les jours suivants. Je ne faisais plus que baiser, je me vengeais de cette privation, de cette frustration. Je ne me branlais pas, j'avais mieux sous la mains … Droit de cuissage sur ceux qui n'étaient pas encore libérés alors, si je voulais qu'on me suce ou si je voulais défoncer un cul … Quand les garçons étaient libérés à leur tour, je savais leur rendre la politesses. Ça commençait fort et le séjour se terminait dans la folie … Tous les jours je défonçais plusieurs cul et tous les jours je me faisais défoncer plusieurs fois !

'' Personne il ne touche pas à mon cul '' … C'était loin tout ça. Mes camarades ne semblaient même pas surpris par ce changement. Ils appréciaient, c'est tout !

Régulièrement quand je présidais les votes, je me retrouvais devant le groupe pour distribuer les bulletin ou dépouiller avec une belle érection qui en faisait rire certains ou qui faisait envie à d'autres. Après, on me suçait …

Au bout d'une semaine Dominique ne récoltais pratiquement aucune voix, il y avait la mienne et celle d'Antoine ( ils me l'a dit plus tard ) et Antoine n'avait pas plus de succès, il y avait celle de Dominique ( lui aussi me l'a dit plus tard ) et quelquefois la mienne … Aucun des deux n'a eu plus de deux voix la première semaine !

Antoine était le petit nouveau, comme moi aux vacances précédentes … Mais Dominique … ? Personne ne le soutenait, même pas Denis ?

Au début de la deuxième semaine une petite surprise arrivait. Très tôt le matin on entendait frapper très fort à la porte. Surpris on arrivait dans le hall. Les garçons me regardaient … C'est vrai que c'est moi qui présidait … Je finissais par me décider et j'allais ouvrir … C'était Greg qui venait nous rendre une petite visite … Je le laissais entrer. Il me prenait dans ses bras et m'embrassait amicalement !

Greg : Tu as déjà été libéré toi ? Dis donc tu en as de la chance !
Moi : En fait j'ai été le premier !
Greg : Petit veinard !

On le présentait à ceux qui ne le connaissait pas ou peu. Tous avaient entendu parler de lui, mais quelques uns ne l'avaient encore jamais rencontré. Il passait lui aussi par la case vestiaire et retirait tous ses vêtements … Il portait toujours son dispositif de chasteté !

Le soir je tentais d'imprimer un bulletin pour lui, mais il n'était pas inscrit dans le fichier et l'ordinateur refusait de sortir une fiche à son nom ! Je remarquais aussi, accroché sur un tableau ou on pouvait suspendre des clés, un petit trousseau avec un porte clé en forme de G !

Je parlais à Greg de ces deux points.

Greg : Je ne suis pas inscrit, c'est normal si tu ne peux pas imprimer un bulletin pour moi. Regarde dans le règlement, il y a un paragraphe qui parle des Invités de Passage, c'est moi qui l'ai rédigé ! Et ce petit trousseau … Je pense que en effet ce sont mes clés !
Moi : Tes clés ? Le trousseau est couvert de poussière ! Ça fait longtemps qu'il est là ?
Greg : Il est là depuis mon dernier passage !
Moi : Dernier passage ? Il y a …
Greg : Ma dernière participation, il y a dix ans !
Moi : Dix ans ! La vache ! Tu porte ce truc depuis dix ans ? J'y crois pas !

Il éclatait de rire en me confirmant d'un mouvement de la tête !

Je bandais à mort, il le remarquait, il aurait eu du mal à ne pas le remarquer … sans prévenir, sans rien demander il commençait à me sucer la queue … Je le laissais faire, il savait s'y prendre ! Je finissais par jouir dans sa bouche. Il relevait la tête avec un grand sourire !

Greg : Tu aimes ?
Moi : Tu fais ça bien !
Greg : Un peu plus tard j'aimerais bien que tu me prennes par le cul !
Moi : Pas de bréblème ! (en bafouillant un peu tout de même)

Greg terminait le séjour avec nous, il participait d'une manière très active ou devrais-je dire passive, il était passif ! Ce n'était pas la clé qu'il était venu chercher ! Passé un an, il pouvait la demander quand il voulait …  Il était juste venu nous voir et s'amuser avec nous. Tout le monde l'a enculé et j'ai été le premier !

Quand je pense qu'il y a quelques mois j'étais puceau … !

Arrivait la veille du départ, les deux derniers à porter encore un dispositif étaient Dominique et  le petit nouveau Antoine …

J'organisais le vote, plus on avance dans les vacances moins il y a de porteurs et le vote en est simplifié. Nous laissions Greg tirer les bulletin de l'urne et lire les noms. J'avais voté pour Antoine, parce que … J'avais envie de me le faire et de me prendre sa queue dans le cul ! Lui avait voté bien sûr pour Dominique puisqu'il ne pouvait pas voter pour lui-même … C'est la seule voix qu'a eu Dominique … Pour les trois mois à venir, c'est lui qui serait le porteur !

Je réunissais Greg, Tristan, Mathias et Manuel …

Moi : Je suppose qu'il y en a au moins un qui va vouloir se porter volontaire ?
Tristan : Moi ça fait neuf mois, je vais faire une pause et en profiter pour baiser tout ce que je vais trouver !
Mathias : Pareil … !
Manuel : Je fait une pause également !
Moi : Et toi Greg ?
Greg : je l'ai, je le garde !

L'affaire était entendue … La dernière soirée se terminait en partouze géante ! Deux porteurs, ils en prenaient plein le cul et plein la bouche. Le lendemain on se réveillait un peu hagard, fatigués mais heureux. En tout cas moi, j'étais heureux ! J'avais baisé avec Antoine … Décidément ce garçon est étonnant ! Et c'est un bon coup !

Dernier petit déjeuner, on s'habillait et on prenait la route du retour. Trois garçons montaient avec Greg, ça laissait un peu plus de place dans les voitures, on avait une voiture de plus qu'à l'aller !

On arrivait en début de soirée, on se saluait, chacun rentrait chez lui, fatigué mais heureux de ce séjour …

Au prochaines vacances !




Ep 9 : LE CHAMPION 



Ça ne faisait pas une semaine que nous étions revenus que Antoine avait repris ses anciennes habitudes. Il m'avait invité à le rejoindre dans un bar un soir, nous avions entraînement et cours le lendemain matin mais il m'avait promis qu'on rentrerait tôt. J'arrivais vers 20H30, il était à table en bonne compagnie, deux filles semblaient boire ses paroles … C'est vrai que Antoine est beau gosse sociable et toujours souriant ! Je m'installais à leur table … Antoine se penchait vers moi …

Antoine : Elles sont deux, j'étais tout seul … C'est pas que me fait peur mais … plus on est de fous plus on rit !
Moi : Elles sont canons, comment tu fais ? Tu te trouves toujours des filles incroyables !
Antoine : Je t'apprendrai !

On quittait le bar un peu avant minuit et on allait se faire un café chez Antoine. Une des deux filles s'excusait mais devait nous abandonner. Elle donnait un baiser long et particulièrement intense à mon camarade … Il faut reconnaître qu'il embrasse bien, je l'ai un peu pratiqué pendant les dernières vacances …

Il ne fallait pas longtemps pour qu'on se retrouve tous les trois à poil sur le lit. La fille n'était pas farouche et se laissait faire volontier … De plus Antoine était un expert, il savait s'y prendre !

Lisa était allongée au milieu du lit Antoine et moi chacun de notre coté ... elle se retournait vers Antoine l'embrassait, ils se caressaient, je me collais à elle et la caressait … elle me rendait mes caresses en passant un bras dans son dos.

Elle se retournait vers moi, je la prenais a mon tour dans mes bras, je  l'embrassais. Antoine la caressait, quelquefois nos mains se touchaient et aucun d'entre nous ne tentait d'éviter ce genre de contact.

Lisa me caressait le sexe, je bandais fort, elle se penchait vers mon pénis et commençait à me faire une pipe … Antoine en profitait pour m'embrasser longuement. Il prenait ensuite la place de Lisa qui m'embrassait à nouveau, écartait les cuisse, j'étais allongé sur le dos, elle plaçait ses genoux de chaque coté de ma tête en me disant … '' Lèche ''' … C'était une première pour moi. Je m’exécutais, elle me guidait  et je suivait. Quelques instants plus tard c'était Antoine qui avait pris ma place, il s'était allongé sur le dos, la fille presque assise sur son visage et moi qui le suçais …

Notre excitation était à son sommet. Lisa était allongée les jambes écartées, nous étions penchés sur elle, nous la caressions, nous l'embrassions. Ses seins était durs, j'aimais lui stimuler les tétons avec la langue puis avec le bout de mon nez, elle réagissait bien. Antoine me dit alors …

Antoine : Vas y prend la !

Elle était consentante. Je m'allongeais sur elle avec le plus possible de douceur. C'était une première et j'en menait pas large ! Je la pénétrais, je l'embrassais, je la caressais avec tout mon cœur …  Elle me le rendait …

Je commençais des mouvements de vas et viens. Nous l'avions longuement stimulée, préparée. Elle réagissait très vite en poussant des légers gémissements. Elle passait ses jambes derrière mes fesses pour me retenir et me serrait très fort … C'était vraiment bon … J'étais dans un rêve !

Antoine se penchait vers le visage de Lisa pour l'embrasser. Un court instant je l'avais complètement oublié celui là ! Je le laissais faire, il me poussait doucement pour prendre ma place. Je me retirais, m'écartais et les regardais. Il était beau, elle était belle, ils se mélangeaient avec passion. Puis je remplaçais Antoine qui en profitait pour me peloter les fesses …

Pendant un long moment on se passait le relais, les heures, les minutes passaient, je ne sais pas combien de temps mais quand je jouissais en elle j'étais au paradis. Antoine suivait peu après et nous nous retrouvions tous les trois allongés sur le dos vidés, comblés, heureux …

Moi : Merde, il est quatre heure du matin !

On avait à peine le temps de dormir avant les cours, une douche rapide à trois, Lisa nous embrassait avant de nous quitter, Antoine et moi partions vers la fac … La tête dans le cul … Comme on dit !

Je n'ai pas tout suivi des cours ce matin là et dans l'après midi j'étais pas au top pour l'entraînement, mais je m'en moquais … J'étais plus puceau ! Et toc !

Là il n'y plus de lecteur pour faire un commentaire déplacé ou à se bidonner comme quand je vous ai avoué que j'étais encore puceau !!! … Eh oui, je ne suis plus puceau … Et Toc ! Oui bon d'accord j'en ai entendu un tout de même qui viens de balancer … '' … il était temps … '' . J'ai entendu ! Je suis d'accord ! De toutes façons je m'en fou … Je suis plus puceau !

Le soir, je décidais de passer une soirée tranquille, dodo, dodo tôt même … Un bon repas léger pour bien dormir … Une bonne douche pour être bien propre avant de dormir … Un lit bien fait pour être bien à mon aise  … et … une longue nuit réparatrice ! Antoine m'avait dit que pour lui c'était aussi le programme de la soirée !

Je retrouvais mes colocataires, on préparait le repas ensemble puis on se mettait à table. On passait un bon moment a discuter, je ne leur racontais rien de ma soirée mais ils savaient que je l'avais passé avec Antoine et à voir la tête que nous avions tous les deux le matin … Ils en concluaient que nous avions baisé ensemble toute la nuit comme des fous ! Je les laissais supposer et ne répondais à cette supposition que par un grand sourire …

On se retrouvait sous la douche. Dominique était sous clé pour les trois mois à venir. On le taquinait un moment il était le seul à ne pas bander. On le taquinait, on s'arrosait, on faisait semblant de se branler devant lui pour l'exciter …

Il m'attrapait par le cou d'une main et faisait de même avec Denis de l'autre main, nous attirait à lui, nous étions tous les trois enlacés, on se caressait, on s'embrassait. Denis prenait l'initiative et se plaçant derrière Dominique il lui lubrifiait le cul puis le pénétrait. Dominique poussait un gémissement de plaisir, se penchait vers moi et me suçait pendant que son camarade le limait joyeusement … On échangeait les positions plusieurs fois avant de jouir sur le dos ou dans le cul de Dominique …

On terminait en se savonnant une dernière fois puis on se donnait un dernier baiser avant d'aller se coucher … Déjà Onze heures … !

Je m'endormais rapidement, c'était pas étonnant après une pareille journée !

Mon téléphone me réveillait. J'étais épuisé, j'avais la tête dans le pâté … Déjà l'heure de se lever, j'avais l'impression d'avoir dormi à peine plus d'une demie heure … Mais c'était pas l'heure du réveil ! Je n'avais dormi qu'une demie heure ! C'était mon téléphone, on m'appelait … Je répondais … C'était Antoine !

Moi : Oui, Antoine tu sais quelle heure il est ?
Antoine : Bein quoi, il est pas tard, il est même pas une heure … Je suis au bar avec deux filles, tu veux pas nous rejoindre, là, les deux vont rester c'est sûr, et … tout seul … après la nuit qu'on a passé … j'aimerais bien un peu d'aide … Il y a Lisa comme hier, elle ne vas pas tarder à repartir son stage est fini et il y a Françoise, une blonde, elle a des nichons, je te dis pas …

J'hésitais un moment … Puis …

Moi : J'arrive !

C'est vrai quoi, je suis encore jeune, je dormirai quand je serais vieux ! Je m'habillais en quelques secondes, je ne mettais même pas de sous vêtements … De toutes façons je vais pas garder mes vêtements longtemps !

On quittait le bar vers la fermeture un peu avant deux heures. Les filles étaient chaudes, elles ont commencé par nous faire un strip-tease puis nous ont longuement sucé, on échangeait nos partenaires, tout en rigolant, c'était la fête !

J'étais allongé sur le tapis quand une des deux filles se penchait sur moi … s'allongeait et après m'avoir bien sucé elle m'embrassait en laissant ses l'extrémité de ses seins se frotter doucement contre mes nichons, elle me dit de ne plus bouger, de ne plus rien faire, qu'elle s'occupait de tout !

Doucement, tout doucement, elle s'enfonçait ma queue en elle ! Ses seins me chatouillaient la poitrine. Je lui caressais les cuisses, elle m'attrapait par les poignées et me tenait fermement les mains au dessus de ma tête. C'est elle qui faisait un mouvement de vas et viens. Elle prenait le contrôle !

Je jetais un oeuil vers Antoine, il était assis sur le sol appuyé contre le fauteuil la seconde fille s'était assise sur sa bite, ils étaient enlacés, ils bougeaient très peu, ils se caressaient …

Au dessus de moi la fille gémissait de plus en plus fort, ses seins étaient fermes et leurs frottements contre ma poitrine m'excitaient au plus. Je sentais que j'allais exploser et pour finir je jouissais comme un fou, elle aussi, en même temps … Elle se laissait retomber sur moi, elle m'embrassait, elle me laissait la prendre dans mes bras et la caresser !

Cinq heures du mat ! J'ai des frissons … La galère … On va encore être beau aujourd'hui …

Je n'ai aucune idée de ce qui s'est dit pendant les cours ce matin là et pour ce qui est de l'entraînement le champion n'était plus au rendez-vous ! Mes temps n'avaient jamais été aussi mauvais, je me faisais clairement engueuler pas le coach … Il me dit qu'il fallait me reprendre ...

Dans les semaines qui ont suivi, j'essayais de restreindre un peu ces soirées, ces nuits ! Mais Antoine en faisait au moins trois par semaines avec les week end … Et comment refuser ? Un soir Antoine m'a même appeler juste pour me dire … '' Si on se faisait une soirée sexe, j'ai pas de fille sous la main mais j'aimerais bien baiser quand même ça te tente ? ''. C'est vrai que Antoine est bi ! Comme moi finalement ! J'ai dis oui et on a passé une soirée de dingue, juste tous les deux …

Je ne négligeais pas pour autant mes colocataires ! Bref en un mot je passais mon temps à baiser six  fois sept fois par semaine et même à l'occasion ( si , si , ça m'est arrivé ) plus de douze fois ! ( matin midi et soir ). A chaque fois je jouissais, à chaque fois j'éjaculais, à chaque fois je me retrouvais en sueur, il faut avoir la santé pour suivre !

Au bout d'un mois, allongé sur mon lit un soir que j'étais seul ( ça devenait rare ), je repensais à ces dernières semaines … Brusquement je comprenais Antoine quand il m'avait dit qu'il ne se branlait jamais … Je venais de passer une mois, le mois entier depuis le retour des dernières vacances sans me branler une seule fois … Pas le temps ? ! … Je n'en avais plus le temps, il y avait toujours quelqu'un avec qui je pouvais me soulager, un garçon, une fille ... Là, ce soir là, ça faisait deux jours que je n'avais pas baisé … Je décidais de me branler calmement, longuement, en prenant bien mon temps … Je préparais du gel, une serviette, je retirais mes vêtements, en quelques seconde je bandais, je déposais une bonne dose de gel sur mon gland et commençais à le masser délicatement, doucement, je ne voulais pas jouir avant un long, très long moment … Au bout d'une demie heure, mon souffle était devenu très fort je me tordais, me tortillais sur mon lit, je gémissais. Je faisais des pauses, je ne voulais pas jouir trop vite, c'est mieux quand on prend son temps. La porte de ma chambre s'ouvrait brusquement, c'était Denis qui voulait me parler …

Denis : Oh pardon ! Je dérange ? Je peux me joindre à toi ?

C'était loupé, ce soir là j'ai encore baisé et je me suis pas branlé jusqu'au bout !

La semaine qui suivait, j'avais un examen, et il n'y avait pas que moi … Antoine ne me contactait plus pour sortir … Il ne sortait plus … Il avait du retard à rattraper son examen risquait d'être une catastrophe  et moi … Dans les deux premiers trimestres mes notes étaient parmi les meilleures dans toutes les matières … depuis un mois et demis, depuis les dernières vacances elles s'étaient écroulées … Si je parvenais à garder même une petite moyenne j'étais sûr de passer en classe supérieure mais c'était grâce aux résultats les deux premiers trimestres … En sport, c'était pire, le champion était retombé à une petite moyenne, une moyenne basse une de cette petite moyenne qui départage les derniers dans une compétition … Pour Antoine la situation était bien pire … Au mieux il se retrouverait au rattrapage, au pire même pas … Il en prenait conscience ! Il fallait réagir !

Pendant le dernier mois nous passions presque toutes nos soirées ensemble, on révisait, on travaillait et on le faisait bien ! Il fallait vraiment réagir ! Évidemment  après l'effort, le réconfort … Pour Antoine, le sexe, ça ne devait jamais être quelque chose de sérieux, c'était pour le plaisir, avec un garçon ou avec une fille … La seule chose qui comptait c'était d'y prendre du plaisir. Il savait m'en donner et je le lui rendais bien … Souvent mes colocataires venaient nous rejoindre … Les filles, on se les réservaient pour le week end ! On travaillait toutes la semaine alors on se réservait un peu de détente le week end …

Dominique préparait les inscriptions pour les prochaines vacances, le prochain groupe de vacances. Il nous demandait si nous voulions nous inscrire. Après mure réflexions je préférais y renoncer … Trop de retard à rattraper, surtout au niveau sportif … J'avais pris près de dix kilos … !

L'examen final arrivait … Je me plantait en sport, le coach me prenait en tête à tête …

Le coach : Mais qu'est ce qui t'arrive, tu avais bien commencé, un bon premier trimestre, un second trimestre  de fou, tu étais devenu un vrai champion. Notre champion ! Je comptais vraiment sur toi pour le grand tournois de fin d'année . Tu étais le meilleur, tu battais tous les records de notre école ! Tu sais que plusieurs records des premières années, c'est toi qui les as établis le trimestre dernier et là, tu t'effondres … Avec de tels résultats, je ne t'inscrirai même pas au tournois !

Il me passait un savon ! Il devait probablement avoir des informations sur mes sorties, mes bringues … Et je passais un salle quart d'heure ! Tous les arguments y passaient, les promesses de médailles, le reste de l'équipe qui comptait sur moi, excepté Antoine bien sûr qui lui ne passerait probablement pas en seconde année … Pourtant lui aussi était un espoir, ses capacités physiques étaient exceptionnelles mais il passait ses nuit à baiser tout ce qu'il trouvait, des filles et, parait-il des garçons aussi ! Mais ça il n'y croyait pas … !

Antoine s'était lui aussi planté en sport ! Il avait réussi d’extrême justesse dans les matières plus intellectuelles .. A ce niveau pour moi ça allait encore …

La veille du départ en vacances, le coach nous convoquait Antoine et moi …

Le Coach : Soyons claires les gars … Vous avez tous les deux un potentiel hors norme ! Mais de vous deux, il n'y en a pas un pour racheter l'autre ! Si je ne donne pas mon accord … Aucun de vous deux ne passe en seconde année !

Mon sang se glaçait dans mes veine, mon camarade devenait tout pâle et je devais être dans même état que lui !

Le Coach : J'ai longuement réfléchi et je vais vous lancer un défi … Dans deux semaines vos performances auront réellement augmentées, vous allez faire un effort, vous allez vous sortir les doigts du cul nom de dieu !  ( là, il gueulait ) Et si les résultats sont là, je vous accorde un sursis, vous aurez prouvé que si vous voulez vous pouvez ! Vous aurez alors deux mois pour vous remettre en forme et réussir le rattrapage … En cas d'échec vous resterez en première année.

Il continuait en nous encourageant !

Le Coach : Avec un tel potentiel vous pourriez être les meilleurs, vous pourriez rester dans les anales de notre école, il faut vous ressaisir, vous pouvez le faire ! … Aussi pour les deux prochaines semaines, je vais vous mettre au régime sec … Interna sous mon contrôle et sport tous les jours, pas de sortie, pas d'alcool et … PAS DE FILLES !

On était livide !

Bien sûr on acceptait, on n'avait pas vraiment le choix ! Je m'en voulais, j'avais été le meilleur pendant tout un trimestre et c'est vrai que d'être traité comme un champion c'était agréable … Ça me manquait ! Antoine faisait un peu la gueule mais il n'avait pas plus le choix que moi. De plus on serait ensemble, et on s'entendait bien, ça devrait être supportable !

Je ne m'étais pas branlé pendant tout le dernier trimestre il y avait toujours quelqu'un pour baiser et pour ça je comptais sur Antoine, trois mois depuis le dernier … Je pensais souvent à eux … Ils étaient au château à délirer et c'est vrai que le dispositif de chasteté me manquait un peu également. Je l'avais porté pendant plus de trois mois et là, pendant cette période d’entraînement intensif j'y pensais de plus en plus souvent ! Le matin levé tôt, repas diététique, pas d'alcool, pas de fille. Le soir, on était tellement fatigués qu'on s'endormait sans traîner … Pendant ces deux semaines on ne s'est pas branlé une seule fois, on ne s'est pas toucher une seule fois … même sous la douche le coach n'était pas loin … Il ne nous a pas laissé une seconde de répit !

Au bout des deux semaines le coach nous réunissait .

Le Coach : C'était du bon boulot les gars, vous avez vraiment fait de gros efforts ! Toi Djé tu as perdu huit kilos, tu retrouve ta forme ! Et toi Antoine tu n'as jamais été aussi bon sauf pendant le second trimestre … Maintenant vous allez partir en vacances, si vous ne faites pas les cons, dans deux mois à la rentrer vous passerez sans problème l'examen d'entrée que je vous réserve ! Vous pouvez le faire ! Vous avez les moyens de réussir ! Ne me décevez pas ! Amusez vous pendant ces vacances mais sachez rester en forme ! Prenez soin de vous et reposez vous ! Je vous attendrais ! Je compte sur vous !

C'était clair … si on échouait on redoublait … Pas cool !

Antoine et moi nous retrouvions dans notre chambre d'internat pour récupérer nos affaires, on se regardait, aucun d'entre nous deux n'avait joui pendant deux semaines. Je voyais le désir dans ses yeux et il voyais que j'allais craquer. Le Coach était dans la salle à coté, il nous attendait pour fermer derrière nous, la porte était ouverte … Galère !

On faisait rapidement notre valise et on sortait en se regardant droit dans les yeux … Il n'aurait pas fallu grand chose pour que je lui saute dessus et je savais qu'il en aurait fait autant !

Sur le parking devant ma voiture …

Moi : Tu fais quoi !
Antoine : Je rentre chez moi, tu peux me conduire à la gare ?
Moi : Bien sûr j'ai envie de toi !
Antoine : On est à l’extérieur si je te baise pas je vais devenir fou !
Moi : Je ne me suis pas branlé pendant ces deux semaines !
Antoine : Moi non plus ! J'ai besoin de sexe !
Moi : Je suis aussi excité que le jour ou j'ai été libéré de ma cage !
Antoine : C'était quelque chose, je m'en souviens !
Moi : Tu m'avais sucé comme un prince !
Antoine : Normal tu as une bite de roi !

Imperceptiblement on s'était rapproché en se disant ça ! Tout doucement nos mains se touchaient, on revenait instantanément à la réalité, on était à l'extérieur dans un lieu publique, on pouvait nous voir ! … On se calmait !

Antoine : Pourquoi tu viendrais pas passer tes vacances chez moi ?
Moi : Tu habites ou !
Antoine : A la campagnes , dans le sud !
Moi : C'est loin !
Antoine : Oui !
Moi : Et ton billet de train ?
Antoine : Je devais le prendre à la gare !
Moi : Ça marche !
Antoine : Avec l'argent je te paye la moitié de l'essence et le resto à midi !
Moi : J'ai déjà  faim !
Antoine : Moi aussi mais de toi seulement !

On se calmait de nouveau … On aurait bien pris une douche froide … On allait passer plusieurs heures ensemble … On n'allait certainement pas baiser sur le parking … Pas avant d'être arrivés … Le voyage risquait d'être long …




Ep 10 : CHEZ ANTOINE 



La route était longue … Le sentir si près de moi … On était à l'extérieur et on ne pouvait pas baiser comme ça sur un parking ou sur la route ou même dans la voiture … On risquait de se faire repérer surtout que, vu comment on était chaud, on ne serait pas discret !

Il était dans le même état que moi. Je me concentrais sur la conduite, lui n'avait rien à faire, il me regardait. Chaque fois que je regardais dans sa direction, je pouvais voire le désir dans ses yeux … Si je regardais plus bas, c'est une grosse bosse que je pouvais voir dans son pantalon ! A plusieurs reprises je posais ma main à cet endroit, semblant … Tiens ce n'est pas le levier de vitesse ! … C'était bien dur. Il me rendait la politesse même quand il ne conduisait pas … C'était bien dur aussi …

On se relayait au volant. C'est vrai que c'était plus facile au volant, le chauffeur était occupé, il pouvait se concentrer … A la place passager on n'avait rien à faire, regarder le paysage, regarder le chauffeur, regarder les autres voitures, poser son regard sur le torse du chauffeur, lire les poteaux indicatifs, ne plus pouvoir détacher son regard de l'entre jambe du chauffeur … C'est pas possible, j'ai pas débandé de la journée !

J'étais encore plus excité que quand je portais mon dispositif de chasteté !

La route était longue, elle n'en finissait pas, j'avais l'impression qu'on n'arriverait jamais !

Antoine avait téléphoné à sa famille pour l'avertir de mon arrivée. Ses parents étaient ravis de faire connaissance avec un de ses amis …

Antoine : Maman était catastrophée parce que depuis que mon frère à quitté la maison il n'y a plus qu'un seul lit dans ma chambre !
Moi : Il y en avait deux avant !
Antoine : Bein oui, un pour moi et un pour mon frère !
Moi : Bien sûr ! Et tu lui a dit quoi ?
Antoine : Que c'était pas grave, qu'on pourrait parfaitement dormir dans le même lit !
Moi : Bien dit !
Antoine : Je lui ai dit que c'était plus confortable qu'un matelas par terre !
Moi : C'est un grand lit ?
Antoine : Oh oui !
Moi : Pratique quand tu emmènes une fille !
Antoine : Tu es fou ! J'ai pas intérêt à emmener une fille à la maison !


Antoine : Mes parents sont très strictes, j'ai le droit d'avoir une petite copine mais j'ai pas intérêt à la toucher avant le mariage …
Moi : Ou alors il ne faut pas le dire !

On rigolait …

Antoine : Ma mère croit que je suis puceau !
Moi : Moi, mes parents pensent que je ne le suis plus depuis longtemps …
Antoine : T'es pas puceau …

Je lui racontais les détails …

Il me regardait l'air épatés !

Moi : Et toi , ça fait longtemps que t'es plus puceau ?
Antoine : J'ai vingt ans … ça en fait donc cinq !


Je le regardais incrédule.

Moi : Sans déconner ! Ça fait pas cinq ans ?!
Antoine : C'était une cousine qui avait passé quelques semaines à la maison, elle était plus âgée que moi … On se baignait à poil … Enfin, elle se baignait à poil dans un étang pas loin de chez moi. Je la regardais, quand elle m'a vu elle m'a fait signe de la rejoindre, en rigolant, mais quand elle m'a vu à poil, elle ne rigolait plus du tout. Surtout que je bandait dur. Forcément à quinze ans si tu te retrouve à poil avec une fille superbe à peine plus vieille que toi, et à poil aussi ! On a joué à '' touche pipi '', elle m'a sucé, je l'ai sauté … Et hop !
Moi : Me parle pas de ta queue, s'il te plaît, je ne pense plus qu'à ça ! Je vais craquer ! Tu bandes ?
Antoine : Et toi … Tu bandes ?
Moi : Oui, j'ai pas arrêté depuis de départ !
Antoine : Pareil !

On finissait enfin par arriver ! Ouf !

Antoine avait pris le volant pour les derniers kilomètres, c'était plus simple il connaissait le coin. C'était un petit village presque abandonné, la plus grande partie des maisons étaient fermées déjà qu'elles n'étaient pas très nombreuses … C'était un hameau plus qu'un village … Sa famille vivait dans une maison isolée du hameau, un coin vraiment paumé … Plus paumé, il n'y a pas, en tous cas pas sur ce continent !

Toute la famille nous attendait. Sa mère, son père, une autre dame et un autre monsieur plus âgés … Un homme jeune qui tenait par l'épaule une femme de son age, sans doute un couple  …

Les deux personnes plus âgés étaient ses grands parents, le couple plus jeune les plus proches voisins qui habitaient dans le hameau à deux kilomètres … Un coin paumé je vous dis pas !

Les retrouvailles étaient chaleureuses, sa mère en larmes, son père visiblement heureux de revoir son fils, les grands parents ne cachaient pas leur joie et le couple de voisins sympathisait avec moi !

On entrait, on s'installait sur la terrasse il faisait vraiment très beau, le père sortait les bouteilles d'apéritif … Avec la fatigue, passé le troisième verre j'étais à moitié saoul mais je restais présentable ! Antoine devait être dans le même état que moi ! Le jeune homme nous proposait une promenade dans la campagne en attendant que le repas ne soit prêt. Le père d'Antoine nous laissait partir … '' entre jeune '' comme il nous dit !
C'était paumé, mais c'était magnifique, moi qui aime la nature, là j'étais comblé ! Toutefois, il y avait un truc, oui un tout petit truc commençait à m'agacer … On ne nous laissait pas seul une seconde. Je ne pouvais pas prendre Antoine dans mes bras, l'embrasser, le retourner, le coucher sur la table, là, lui baisser son pantalon et l'enculer … J'en pouvais plus … Ça faisait plus de deux semaines complètes que je n'avais pas eu de sexe, pas même une petite branlette, pas une éjaculation … même pas un petit coup dans le cul !

Le repas durait et durait dans le temps , chacun des convives semblait prendre son temps. Je pense en fait que tout se passait normalement simplement c'est moi qui ne réagissait pas normalement … L'entrée durait deux heures, le plat de résistance trois ( au passage, la mère d'Antoine est un fin cordon bleu ), le vin était divinement choisi, les convives très sympathiques, on prenait une petite pause absolument insupportable d'une heure entre chaque plat pour mieux profiter, ce n'était pas fromage ou dessert mais fromage et dessert ! Deux heures de plus pour le fromage et autant pour le dessert plus une pause d'une heure entre les deux … Sivait le digestif … J'en pouvais plus … A chaque fois que je regardais Antoine ses yeux me racontaient ce que je vivais, il le vivais aussi. Si je parvenais à voir son entre jambe j'y distinguait nettement une grosse bosse, j'avais la même et on étaient dans cet état depuis le matin …

Quand on quittait la table, j’avais l'impression que le repas avait duré toute la nuit pourtant il n'était pas tard … Le père d'Antoine nous invitait à passer sur la terrasse pour y déguster un ou deux autres digestifs … C'est à ce moment que j'entendais sa mère dire ...

'' On devrait peut être les laisser dormir, ils doivent être fatigués après un si long trajet … '' . Je l'aurais embrassée !

Son père lui répondait ...

''Ils sont jeunes, ils auront le temps de dormir quand ils seront morts, laisse les profiter de la vie … '' . Je l'aurais volontiers mordu !

On traînait toute la soirée, le soleil finissait pas se coucher, la lune se levait et le paysage devenait encore plus beau, ou alors c'est moi qui, saoul plus qu'à moité aurait trouvé n'importe quoi très beau !

On finissait par aller se coucher, je me traînais jusqu'à la chambre d'Antoine, il m'ouvrait la porte et me laissait entrer. Sa chambre était au dessus du garage, à l'écart … La chambre des parents se trouvait à l'autre bout de la maison au premier et les grands parent dormaient juste en dessous des parents. Antoine me dit que la chambre était bien insonorisée …

A peine la porte refermée, on se retrouvait face à face, on se regardait quelques secondes puis on se sautait dessus l'un l'autre … On se déshabillait … Il m’entraînait vers la salle de bain … Nous y arrivions déjà totalement nus ! On bandait bien dur tous les deux … On s'enlaçait avec passion et gourmandise … On se lavait l'un l'autre … On se suçait chacun son tour … Il me retournait contre le mur et m'enculait avec force … Je gueulais pendant qu'il me limait le cul … J'avais pensé à sa queue toute la journée et même plus … J'avais voulu sa queue depuis des jours … Je l'avais enfin, ça faisait un peu mal mais c'était bon … Au bout d'un moment ça ne me faisait plus mal du tout … Je lui gueulais des '' … Encore … '', des '' … Plus fort … '', des '' … Vas y défonce moi … ''. Ça ne devait pas durer longtemps avant qu'il ne se mette à hurler à son tour quand il jouissait en moi ! … Il ne bougeait  plus … Il continuait à me serrer dans ses bras … Je sentais son souffle fort contre mon oreille, son menton sur mon épaule il me suçait le lobe de l'oreille … Quelques mouvements, quelques convulsions, puis il se retirait … On restait encore quelques instants sans bouger … On laissait l'eau chaude couler sur nos corps !

Je me retournais, lui faisais face … Je l'embrassait toujours avec la même passion … Je le retournais à son tour contre le mur et lui défonçais le culs avec la même vigueur qu'il avait quand il m'avait éclaté la rondelle quelques instants plus tôt. C'était lui qui me gueulait des '' … Encore … '' et des … ! Je ne m'en privais pas ! … Je ne tardais pas à jouir et à éjaculer dans son cul en criant de plaisir …

On se retrouvait face à face de nouveau … On s'embrassait mais il y avait plus de tendresse, un peu moins de '' virilité '', beaucoup de douceur …

Moi : On n'a pas fait trop de bruit ?
Antoine : Non, t’inquiète pas , on peut faire beaucoup plus de bruit !

On se séchait, on bandait toujours, on échangeait quelques baisers puis on revenait dans la chambre. C'était une chambre immense, elle était au dessus du garage et avait la même surface. On pouvait facilement y loger deux lits et il restait encore de la place. Il y avait un coin bureau, un coin salon, un grand écran télé, une chaîne hi-fi, internet … Il était bien équipé !

On décidait de regarder un film avant de dormir, bien installé sur le tapis, a poil, on regardait le film qui commençait. Avant la fin du générique, je lui suçais la queue, il me caressait la tête et même m'appuyait dessus avec force … Je gobais, j'avalais sa queue … Je me relevais et m'asseyais sur sa queue en lui faisant face … Je me laissais aller, de tous mon poids … Sa queue me rentrait dans les fesses jusqu'à la garde … Il me donnait des coups de reins … Je me cramponnais à son cou … Il continuait plus fort, plus vite … Je le tenais fermement par les épaules … Il me branlait … Je râlais de plaisir … Il continuait jusqu'à ce que je lâche une belle giclée de sperme qui lui coulait sur le ventre … Il continuait à ma pilonner et finissait par jouir, il me serrait alors contre lui, il repliait les jambes, je serrais moi aussi les jambes dans son dos … Nous restions là complètement mélangés à nous échanger des baisers pleins de douceur et de tendresse dans le cou, sur les lèvres, sur les joues, les yeux, le lobe l'oreille, le nez …

Le film était bien avancé et on n'avait aucune idée de ce qu'il racontait. Épuises on se couchait après un rapide passage dans la salle de bain, le lit était grand mais on n'en utilisait qu'une toute petite partie …
Le lendemain matin, je dormais paisiblement sur le ventre quand on me réveillait avec une violente fessée … Je sursautais, c'était Antoine, il était debout à coté du lit et me regardait avec un grand sourire !

Antoine : On se lève, il faut faire un peu de sport, allez, on se prépare pour l'entraînement !

Il était à poil, il ne bandait pas vraiment mais sa bite pendait lourdement devant lui … Je tentais de l'attraper par la cuisse en approchant ma tête de son sexe … Il se retirait !

Antoine : Un peu de sérieux ! Tu connais notre situation ! On va pas passer notre temps à baiser, c'est à cause de ça si je ne sais pas si je passe en seconde année … Et si je ne passe pas, je suis mort … Mes parents … Je te dis pas …
Moi : Moi si je ne passe pas, c'est à cause de toi !
Antoine : A cause de moi, tu ne te faisais pas prier pour venir tirer une fille avec moi … Je t'appelais et aussitôt tu arrivais !
Moi : Ouai mais avant de sortir avec toi, j'étais bon … J'étais bon dans toutes les matières !
Antoine : Et maintenant tu es moyen en tout … Tu veux pas redevenir le champion ?

Il avait raison, c'était pas seulement à cause de lui si j'étais devenu médiocre dans toutes les matières !

Moi : Oui, mais, le trimestre précédent je portais un dispositif de chasteté …
Antoine : Le trimestre précédent tu étais puceau et puis un dispositif de chasteté, c'est peut être ça la solution !

Je le regardais incrédule … C'est lui qui me disait ça … Lui, il ne l'avait porté que deux semaines ce truc, mois plus de trois mois … Quelques instants plus tard, en tenue de sport, on partait pour un entraînement en douceur de plusieurs kilomètres. On passait près d'un étang …

Moi : C'est là que ta cousine t'a dépucelé ?
Antoine : Exactement là, sur cette petite plage !

Il jetait ses vêtements et complètement à poil se précipitait dans l'eau en m'invitant à le suivre !

L'eau était propre … Le coin était tellement sauvage qu'il n'était pas  pollué ! On en profitait, on plongeait, on se poursuivait, on s'attrapait, on se livrait à une sorte de lutte dont le but était de renverser son adversaire dans l'eau, un peu de tendresse, une caresse, un baiser échangé pendant ce simulacre de combat puis Antoine se relevant bien en forme me criait en courant vers la plage …

Antoine : 69
Moi : Quoi ? 69 ?

Je le rattrapais, il bandait, moi j'avais une grosse molle … C'était agréable !

Antoine : 69

Il me sautait dessus, me renversait sur le sol, je le laissais faire, il se précipitait sur mon sexe et commençait à me sucer tout en m'offrant sa bite à sucer également … 69 quoi !

On se donnait longuement un plaisir qui nous avait manqué pendant plus de deux semaines … Le soleil montait tout doucement dans le ciel … Il était encore très tôt mais les autres habitants de la région n'allaient pas tarder à se réveiller … On avait l'habitude de se lever tôt pour faire du sport !

Finalement on terminait notre footing puis on reprenait la route de la maison. En arrivant, la mère d'Antoine était levée elle préparait le petit déjeuner, une douche rapide et tout le monde se retrouvait autour de la table. On passait le reste de la matinée dans la chambre à faire des révisions, j'en avait vraiment besoin … J'avais l'impression que l'époque ou j'étais un des meilleurs étudiants remontait déjà à des années … Ce n'était pourtant que trois mois plus tôt ! Antoine avait besoin d'aide aussi, lui avait toujours été une étudiant moyen, juste ce qu'il fallait pour pouvoir passer en classe supérieure … Les parents d'Antoine étaient ravis de nous voire aussi studieux, ils savaient que leur rejeton n'était pas trop régulier en étude, et ils trouvaient que j'avais une très bonne influence sur lui ! Heureusement qu'ils ne nous voyaient pas quand on faisait une pause !

Pendant une semaine, tous les matin on se levait avant tout le monde, entraînement, bain dans l'étang, câlin et plus si affinité, et de l'affinité, il y en avait  … On faisait des progrès … Pas de filles mais ça ne voulait pas dire pas de sexe. Le sexe, on s'en gavait ! Tous les jours, plusieurs fois par jours !

Allongé sur la plage de l'étang, j'avais la tête posée sur le ventre de mon camarade, il me caressait le torse, on venait de faire l'amour comme plusieurs fois par jour depuis plus de dix jours …

Antoine : Tu penses qu'on va réussir l'examen de rattrapage ?
Moi : Si on continue à se rythme !
Antoine : Il faut vraiment que je passe, sinon … !
Moi : Je sais que si on ne se laisse pas distraire on va y arriver … Moi aussi, si je ne passe pas … Il y a trois mois … J'étais le champion, j'étais bon dans toutes les matières …
Antoine : Et maintenant tu es en rattrapage !
Moi : Minable ! Mes parents ne se souviennent que de mes bonnes notes, si je ne passe pas, ils ne comprendront pas ! Moi aussi je suis mort !
Antoine : C'est quand tu portais ce truc que tu étais si bon ?
Moi : Ouai !
Antoine : C'est peut être ça la solution ?

Je ne répondais rien … C'était la deuxième fois qu'il me faisait cette remarque ...

Antoine : Tu y penses encore à ce truc ?
Moi : Tous les jours …
Antoine : Et si c'était ça la solution !
Moi : Le groupe de vacances est clôt pour cette année.
Antoine : Ça s'est terminé comment ? Tu as des nouvelles ?
Moi : Non pas de nouvelles !
Antoine : Et si on allait voir !
Moi : Ou ça ?
Antoine : Au château !
Moi : … ? !
Antoine : On sait ou il est !
Moi : Je ne retrouverais pas tout seul !
Antoine : Moi, je sais ou il est !
Moi : C'est loin !
Antoine : Moins de deux cent kilomètres !
Moi : Alors on y va ! Je voudrais bien savoir qui est derrière tout ça !

C'était décidé, on terminait la semaine puis on préparait le départ. Les deux cents kilomètres se faisaient facilement, on pouvait même être de retour le soir même mais on avait prévu de nous absenter au moins deux ou trois semaines pour que les parent d'Antoine ne soient pas inquiet de ne pas nous voire revenir !

Antoine savait ou c'était ! Il retrouvait l'endroit sans difficultés ! Moi j'avais un  doute, je n'était pas sûr de reconnaître les grille du parc ! C'est surtout l'autre côté que je connaissais. L'entrée, l'enceinte extérieure je ne les avais pratiquement pas vues.

On hésitait un long moment puis on décidait finalement de rentrer … On pouvait pas ouvrir la grille, ce serait donc par effraction, en passant par dessus le mur ! On choisissait un endroit qui sauf erreur devait nous faire retomber dans un chemin de ronde sombre caché sous des arbres au feuillage très épais … Je m'en souvenais, j'y étais venu pendant une période de canicule lors de mon premier séjour, ça restait un endroit frais. Ce n'était pas un problème d'escalader le mur  pour deux sportifs comme nous !

Il n'y avait pas d'erreur, de l'autre côté je reconnaissais les lieux ! On n'était au bon endroit ! C'est sans aucune méfiance que nous sortions de ce sous-bois et avancions vers le château … De nombreux souvenirs me revenaient au fur et à mesure que nous avancions. C'était de bons moments, des sensations folles, mon cœur battait à tout rompre, j'allais peut être avoir des réponses à toutes mes questions !

Au loin, sur la terrasse uns silhouette, un homme, il nous avait vu et nous observait alors que nous avancions vers lui !

''  Alors on joue les cambrioleurs les jeunes ! Il faut être un peu con, d'habitude on fait ça la nuit  ''

Un homme de grande taille et inquiétant en tenue de chasse venait d'apparaître juste derrière nous. Il était balaise et n'avait pas l'air de plaisanter, il était armé !

L'homme : Allez, avancez, vous allez devoir vous expliquer avec Monsieur Le Conte !
Moi : Non, non, on vas vous expliquer …

Il me retournait une gifle particulièrement violente … Non il ne plaisantait pas … Et si nous avions voulu résister, même à tous les deux nous n'étions pas de taille !

Sur un ton plus fort et  plus menaçant !

L'homme : Ne m'obligez pas à utiliser la force, vous n'êtes pas de tailles, alors avancez … Vous allez vous expliquez avec la police !

On n'était pas fiers, on avançait sans rien dire, la tête basse … Ma joue était rouge et me faisait mal !




Ep 11 : COMME DES VOLEURS 



Nous arrivions à la terrasse ou se tenait le premier homme que nous avions repéré. Lui aussi il était balaise et n'avait pas l'air commode. Ils nous regardaient d'un air menaçant …

 '' Videz vos poches ! Vous n'avez pas d'arme ? Qu'est ce que vous foutez là ? ''

Antoine : Vous n'avez pas le droit, ne me touchez pas ! ( semblant se rebeller )

Il recevait aussitôt une gifle comme celle qui m'avait calmé un peu plus tôt ... Il ne bougeait plus une oreille ! Je lui faisait signe de ne pas insister on n'était pas de taille !

On vidait nos poches, nos papiers, téléphones, clés … Les deux hommes regardaient en détails le contenu de nos poches … Antoine voulait protester mais je lui disais de ne rien faire !

Le premier homme : Tenez vous tranquilles et tout se passera bien ! … Antoine … Jérémy … Vous pénétrez souvent chez les gens pour faire des cambriolages comme ça …
Le second : Moi, j'ai jamais vu des cambrioleurs aussi nuls !

Ils éclataient de rire …

Le premier : En plein jour, sans même essayer de se cacher …
Le second : On appelle la police tout de suite ou on attend le retour de Monsieur Le Conte ?
Le premier : On va attendre, il ne devrait pas tarder …

Antoine : On n'est pas des cambrioleurs !  …

Le premier homme : Toi tu la fermes, tu joues pas les rebelles et tu ne bouges pas ou je t'en colle une !

Ils continuaient à rigoler  …

On restait assis sans bouger et sans rien dire pendant un bon moment !

Le premier homme (qui semblait être le chef ) : Alors vous venez souvent chez les gents ? Comme ça, par effraction ! (le ton de sa voix était plus calme).
Moi : On voulait sonner mais, il n'y a pas de sonnette !
Le premier homme : Vous vouliez voler quoi ?
Moi : On ne voulait rien voler ! On est déjà venus, pendant les vacances, il y a trois mois … Je suis venus aussi trois mois plus tôt !
Le chef : Et vous êtes venus … En repérage ?
Antoine : Pas en repérage, on n'est pas des voleurs ! On est venu avec un groupe pendant deux semaines !
Moi : Une sorte de colonie de vacances !
Le chef : Alors vous devriez savoir qu'on ne reçoit que sur rendez-vous … C'est pour ça qu'il n'y a pas de sonnette !
Moi : Quand on est venu il y en avait un qui avait les clés !

Les deux gardes se concertaient … Le gardien quittait la salle, le chef restait avec nous …

Le chef : Ne faites pas les marioles, je suis capable de vous neutraliser tous les deux … Mais bon, c'est vrai que vous n'avez pas l'air bien dangereux …

Une heure passait, le chef des garde nous autorisait à nous lever, nous servait à boire, il nous dit que de toutes façons il y avait d'autres gardes, que si on faisait les cons on n'arriverait pas jusqu'à la sortie sans être rattrapés. On parlait un peu, je lui décrivait l'organisation des salles du château et il devait reconnaître que, en effet, je connaissais les lieux, que j'étais déjà venu …

Brusquement, il se levait et me lançait en me montrant du doigt …

Le chef : Toi, lève toi et baisse ton pantalon !

J'hésitais … Antoine pouffait de rire en entendant une telle réflexion ! Le chef insistait sur un ton plus fort, plus autoritaire. Je me levais et sans aucune conviction je baissais mon pantalon, je n'avais pas de sous vêtements … Antoine ricanait …

Le chef : Quand à toi, arrête de ricaner bêtement et fait pareil …

Là c'est moi qui ricanait …

Antoine : Ça va Djé, c'est pas drôle !

J'avais le pantalon baissé et je me marrais. Antoine n'avait pas non plus de sous vêtements, on n'avait pas l'air fin tous les deux, le pantalon sur les chevilles … Un autre garde qu'on ne connaissait pas arrivait et commençait à rigoler franchement en nous voyant. Là on commençait à être gênés et pourtant on en avait vu d'autre …

Le Chef : Il veulent me faire croire que ce sont des habitués des lieux ! Ils sont marrants !
Le garde : Des cambrioleurs !
Le chef : Si c'est le cas, ils ne sont pas doués … Mais  '' … à ce point là … La connerie ça devient gênant … '' !

Les deux gardes rigolaient de bon cœur …

Le chef ( à l'intention de son collègue ) : On leur montre ?

En rigolant le garde faisait oui de la tête. Ils nous faisaient face tous les deux et sans aucune hésitation, sans aucune gêne apparente baissaient leurs pantalons … Nous étions pétrifiés … Ils portaient tous les deux un dispositif de chasteté, mais pas comme celui que nous avions porté, en métal comme celui de Greg ! On regardait ça la bouche ouverte, l'air pas vraiment futés … La scène pouvais paraître cocasse. Quatre hommes se faisant face avec le pantalon baissé, deux portaient un dispositif de chasteté et les deux autres commençaient  à bander …

Voyant notre réaction, le chef nous dit de nous rhabiller et nous remontions tous nos pantalons …

Le chef : Attention les jeunes, ici c'est érection interdite … Si j'en voix un qui bande … Tazer !

Les deux gardes riaient joyeusement … Le téléphone sonnait, le chef répondait, le ton changeait tout de suite … Monsieur Le Conte était arrivé ! Il était dans son bureau et voulait savoir ce qui se passait. Les gardes redevenaient sérieux, ils ne semblaient pas tendus ni inquiet mais ils ne rigolaient plus. Le chef quittait la salle nous plaçant sous la garde de son collègue.

Il revenait un petit moment plus tard …

Le chef : Monsieur Le Conte veut voir les deux garçons … Il m'a dit de ne pas appeler la police … Pas pour le moment ! …

On se sentait soulagé  ! Nous passions devant, les gardes nous suivaient, ils pouvaient constater que nous connaissions les lieux mais bon, on en avait déjà parlé, et on arrivait devant la porte du bureau … Le chef frappait, une voix lui disait d'entrer, il ouvrait la porte et avançait …

Le Conte : C'est bon, faites entrer les deux garçons et laissez, nous … Je pense qu'ils ne représentent aucun danger …

On entrait ! On ne connaissait pas ce bureau, cette salle était une des salles qui restaient fermées pendant le '' groupe de vacances ''. Au fond de la salle un grand bureau, derrière, des fenêtres qui donnaient sur le parc et assis au bureau un homme qui pourrait facilement être notre grand père. Il présentait bien, très classe, très bien habillé … il nous regardait d'un air sévère !

Le Conte : Alors on se livre a des cambriolages en plein jour … Sans prendre la peine de se cacher … Si vous espérez en faire votre profession les jeunes, il vous faudra faire des progrès !
Moi : On n'est pas des voleurs !
Antoine : En fait on est déjà venus !
Moi : Mais aux dernières vacances on n'a pas pu !
Antoine : On était en rattrapage !


Le Conte : Donnez moi une bonne raison de ne pas appeler la police !


On ne savait pas quoi dire, on se regardait d'un air pathétique .

Antoine : S'il vous plaît, ne faites pas ça, mes parents vont me tuer … Je préfèrais encore que ce soit un de vos gardes … Mais c'est vrai on est des habitués …
Le Conte : Des habitués ? Et vous voudriez que je vous laisse partir ?
Moi : On préférerait … oui !
Le Conte : Mais pourquoi êtes vous venus ?
Moi : On voulait savoir qui organisait '' le groupe de vacances ''
Antoine : On a participé, moi une fois … Lui deux fois !
Le Conte : Alors vous devriez savoir qu'il y a une formalité à remplir …

Le chef des gardes entrait avec un plateau recouvert d'un couvercle argenté volumineux … Il se plaçait en retrait au milieu de la salle et attendait !

Le Conte : C'est une formalité simple, vous devriez connaître … Non ? … Une proposition simple, vous dites oui, vous dites non … Dans ce dernier cas c'est la police ! Vous dites oui, on se revoit dans un an et on en reparle … Vous aurez alors le choix de dire non !

Le chef des gardes soulevait le couvercle … Il y avait deux dispositifs de chasteté, en métal, comme celui que portaient les gardes ou encore Greg …

Le Conte : Bien sûr vous devez répondre '' oui '' tous les deux, sinon la proposition de tient pas !

Antoine et moi, on se regardait. Bon d'accord d'un certain côté notre enquête avançait mais d'un autre côté, c'est pas comme ça qu'on avait vu les choses … En fait on ne les avait pas vu du tout … On ne s'attendait à rien de spécial … Un geste de la tête du haut vers le bas … On prenait chacun un dispositif … Le Conte nous observait … D'un geste de la main il nous faisait signe de procéder …

Moi : Et vous ! Vous en avez un peut être ! Sinon de …

Je recevais une gifle et je me retrouvais à moité sonné ! Le garde, il ne plaisantait pas !

Finalement, on procédait … On baissait notre pantalon, après la gifle je ne bandait plus du tout, Antoine non plus. Il m'a dit plus tard que cette gifle l'avait calmé, comme s'il l'avait reçu lui-même ! Le dispositif était un peu différent du notre quelques mois plus tôt … Le système de fermeture était incorporé, il n'y avait pas de cadenas . Il suffisait de le refermer … clic … et il était verrouillé !

Le Conte : Et bien Antoine et Djé. C'est bien comme ça que tout le monde vous appelle Jérémy ? Désormais vous pouvez rester si vous le souhaitez … Vous garderez ce dispositif pendant un an … Peut être que cela va vous motiver dans vos études … Le premier trimestre était bon Djé, le second excellent … Le troisième dramatique !!! Et quand à vous Antoine, votre potentiel est remarquable, vous avez tout ce qu'il faut pour réussir … Mais voilà, vous vous dispersez !!!

Mr Le Conte ne nous avait même pas laissé le temps de remonter nos pantalons et nous étions là, la bouche ouverte, l'air idiot, enfermés dans un dispositif de chasteté avec le pantalon sur les chevilles à recevoir une leçon de morale par quelqu'un que nous n'avions jamais vu et qui semblait tout savoir sur nous ! On remontait nos pantalons et on suivait le garde qui nous conduisait à une chambre …

Le garde : Je vous l'avais dit, les jeunes, ici c'est érection interdite … Le souper sera servi dans une heure !

Dans les escaliers, en montant, je remarquais par la fenêtre que ma voiture était garée devant le château … Ils sont décidément bien organisés, Monsieur Le Conte savait tout de nous … C'était forcément lui qui organisait tout ça ! Notre chambre était dans un angle deux grandes fenêtres ouvraient vers le parc, une troisième vers la façade du château, de là je pouvais voir ma voiture … Toutes nos affaires avaient été montées dans la chambre, nos papiers et même les clés de la voiture étaient soigneusement posés sur une table au milieu de la chambre …

De notre chambre on pouvait voir toutes les arrivées et justement une voiture avançait dans l'allée bordée d'arbres, elle se garait à côté de la mienne, un jeune homme en sortait …

Je hurlais '' C'est Greg ''

C'était Greg qui sortait de la voiture et entrait dans le château Antoine s'était précipité et l'avait vu aussi !

On frappait à la porte, Antoine et moi nous regardions sans savoir quoi faire … On frappait de nouveau …

Moi : Oui … Entrez  …

Un homme qu'on pouvait supposer être un employé de maison entrait, il nous saluait …

Charles :  Monsieur Djé, Monsieur Antoine. Je m'appelle Charles et Monsieur Le Conte m'a chargé de prendre soin de vous, si vous le voulez bien je serai votre valet de chambre. Ici nous nous habillons pour souper … Je vous apporte deux costumes qui devraient être de votre taille. Nous verrons demain si des retouches sont nécessaires … Pour ce soir ça devrait aller ! Souhaitez-vous que je vous aide à vous habiller ?

Antoine et moi nous regardions médusés, bluffés ! Une heure plus tôt nous étions traités comme des voleurs et maintenant on avait un valet de pied à notre service ! On avait atterri dans un monde de fous !

Charles continuait.

Charles : Si vous avez besoin de quelque chose, n’hésitez pas à m'appeler. Je serai ravis de vous aider dans tous les domaines ... !

Il avait remarqué notre désarrois et se retirait en nous donnant quelques conseils … Qu'on avait juste le temps de prendre une douche et de nous habiller … Qu'il ne fallait surtout pas être en retard Monsieur Le Conte est pointilleux sur les horaires … Qu'il reviendrait nous apporter des chaussures, il nous demandait notre taille … Il viendrait nous chercher un peu avant de passer à table ! … Il était adorable plus vieux que nous mais ne devait pas dépasser les trente ans. Il avait un physique de sportif, belle carrure … C'était d'ailleurs le cas de toutes les personnes que nous avions vu jusque là !

Ne sachant plus quoi dire ni quoi faire on se décidait à prendre notre douche …

Moi : C'est peut être la solution tu disais !
Antoine : En tout cas, la solution elle nous est imposée désormais !
Moi : En fait, j'en avais envie mais j'en avais peur également !
Antoine : Tu avais peut être peur d'en avoir envie !
Moi : Ou envie d'en avoir peur !

On rigolait ! On récupérait de toutes nos émotions ! Bien sûr on ne comprenait plus rien, mais bon, Greg était dans les murs et il nous expliquerait, c'est sûr !

On était à poil de retour dans la chambre quand on frappait à la porte ! Antoine gueulait '' Entrez '', je lui fit signe '' T'es fou on est à poil '', c'était trop tard, Charles était entré ! On tentait de se dissimuler avec notre serviette … Mais voyant notre gène …

Charles : Ne soyez pas embarrassés j'ai l'habitude de voire des hommes nus avec un dispositif de chasteté, ici tout le monde en porte un ! J'en porte moi-même un depuis maintenant plus de trois ans sans interruption ! Si vous le permettez je vais vous aider à vous habiller !

Il nous mettait à l'aise, on avait oublié les sous vêtements, mais Charles nous dit que de toutes façons avec nos dispositifs on ne risquait pas de réactions déplacées … Il ajustait nos tenues, faisait notre nœud de cravate … On était parfait, un peu en avance, il nous suggérait de descendre en nous disant que nous ne devions surtout pas être en retard, mais on avait le droit d'être en avance … il nous invitait à attendre dans la bibliothèque …

Je me retournait vers mon camarade Antoine et …

Moi : Antoine, on est habillé comme pour une soirée de gala, dans une maison somptueuse, avec un valet de chambre, traités comme des seigneurs … Il n'y a pas deux heures on était traité comme des voleurs … Pourrais-tu me dire à quel moment j'ai arrêté de comprendre ce qui se passe ? J'ai l'impression d'avoir loupé un épisode …

Antoine pouffait de rire !

Antoine : Bon moi non plus je ne comprends plus rien ! Mais c'est cool ! Sauf peut être le truc qu'il nous à obligé à porter ! Je ne pensais pas y revenir … Il a bien dit … UN AN …

La porte s'ouvrait. Greg entrait et venait vers nous avec un grand sourire.   Il était suivi du chef des gardes lui aussi en tenue de gala  … Greg venait nous embrasser amicalement pour nous saluer .

Greg : On vient de me raconter votre aventure … Ça m'a beaucoup fait rire ! C'est ça la curiosité ! Mais j'espère que vous n'avez pas trop flippé ! Mon oncle à beaucoup d'humour, il est un peut particulier … Non ?




Ep 12 : LE CHATEAU ET SES HABITANTS 



Greg : Vous connaissez Jean-François ? C'est le responsable de la sécurité ! Il m'a dit qu'il vous avait déjà rencontré.
J F : J'espère que vous ne m'en voulez pas pour les gifles ? Sans rancune, je faisais mon boulot ! …

On lui serrait la main … Sans rancune !

Moi : Alors M Le Conte c'est ton oncle ! J'étais sûr que tu étais dans ce coup ! … Et en plus tu fais partie de la noblesse … !
Greg : En fait, c'est mon grand oncle ! C'est l'oncle de ma mère … Moi, je ne m'appelle pas Le Conte … Mon nom c'est Ducran et de plus, non je ne fait pas partie de la noblesse, mon oncle s'appelle Le Conte, en deux mots, c'est son nom, c'est pas un titre de noblesse …

On passait à table. Monsieur Le Conte savait tout de nous, il nous donnait des conseils, Jean François se proposait de prendre en main notre entraînement sportif. Greg, je me doutais dès que j'avais vu son dispositif à celui là qu'il avait un rôle important dans cette histoire … Le petit neveux de Monsieur Le Conte … Greg donc, cet enfoiré, se proposait de nous donner des cours, il ne maîtrisait pas que la philosophie. Il collectionnait les diplômes universitaires.  La bibliothèque était à notre entière disposition ainsi que toutes les installations sportives …

On nous expliquait aussi le protocole … Charles était à notre service mais pas 24h / 24 … Il y avait des horaires pour chacun des employés … Ici, il n'y avait que des hommes …  Ils portaient tous un dispositif de chasteté et vivaient à demeure au château … Il ne pouvaient le retirer que quand il s'absentaient du château pour plusieurs jours … Certains avaient choisi de le porter en permanence … Charles, Jean François ou Greg ainsi bien sûr que Monsieur Le Conte … Certains le portaient depuis très longtemps … Chacun toutefois, je le répète, pouvait librement retirer leur dispositif s'il s'absentait du château plusieurs jours … ( Sauf nous ) !

On ne se baladait pas à poil ! C'est pas parce qu'on ne pouvait pas être vraiment à poil qu'on pouvait se balader à poil ! Sauf bien sûr à la piscine … A la piscine l'usage d'un vêtement aussi léger qu'un maillot de bain  n'avait finalement pas été jugé nécessaire ! On avait également le droit d'être nu dans certaines parties du parc à l'extérieur, dans la maison on se devait d'être décent !  Nous étions des invités mais nous devions mériter notre séjour … On était condamné à réussir brillamment notre examen de rattrapage autant que notre seconde année … Dans tous les cas on devrait porter notre dispositif pendant un an …

Le repas était excellent … On préférait se retirer tôt dans notre chambre après s'être assuré auprès de Greg que ça ne provoquerait pas de scandale. Monsieur Le Conte comprenait très bien que nous ayons besoin de nous reposer … Ce qu'il ne comprendrait pas c'est qu'on traîne sans faire notre entraînement ni nos révisions, là on risquerait d'être viré du château avec notre dispositif sur nous ! Il comprenait parfaitement qu'après toutes nos émotions et le voyage on était un peu fatigué ! Il comprenait parfaitement que nous voulions nous coucher tôt, même tous les jours, pourquoi pas. Il ne comprendrait pas qu'on commence l'entraînement à six heures nous disait Greg et il rajoutait … '' Même pour la première journée … ''. L'entraînement commence à cinq heures !

De retour dans la chambre je me laissais tomber sur mon lit, Antoine faisait de même !

Moi : Quelle journée !
Antoine : Que d'émotions !
Moi : Je suis épuisé !
Antoine : Je suis mort !
Moi : Je vais bien dormir !
Antoine : Je vais faire des cauchemars !
Moi : ( En secouant mon sexe ) Je ne pensais y revenir aussi vite !
Antoine : Tu en rêvais ! Mais moi je ne pensais pas y revenir … !
Moi : Un an, ça va être long !
Antoine : Un an, mais j'ai des tas de copines moi !


Antoine : Mais pourquoi tu as voulu revenir ?
Moi : Il me semble que l'idée venait de toi … de plus je ne connaissais pas la route !
Antoine : Tu aurais dû m'en empêcher !
Moi : Je ne sais pas, je ne sais plus !
Antoine : On s'amusait bien ensemble !
Moi : Pourquoi, on a voulu venir ?
Antoine : Tu étais en manque !
Moi : Et maintenant on va être overdosé pendant un an !
Antoine : Sans pouvoir toucher à une fille !
Moi : On pourra toujours se faire enculer !
Antoine : Il n'y a que des mecs et ils portent tous un dispositif de chasteté !
Moi : Et la salle de jeux ?
Antoine : On est passé devant et ce n'est plus la salle de jeux !
Moi : Mais les jouets, ils sont toujours quelque part les jouets !
Antoine : Bon d'accord on s'encule ! Et pour tirer mon coup avec une fille, je fais comment !
Moi : Il n'y a que des mec !
Antoine : Tu m'énerves !

On finissait pas s'endormir nu chacun sur notre lit, notre '' costume pour le souper '' soigneusement posé sur une chaise …

Le lendemain ! Cinq heure moins le quart ! Charles frappait discrètement à notre porte. Sans même ouvrir les yeux je gueulait … '' Entrez '' … Il entrait, je relevais la tête pour voir qui c'était … Nous n'avions pas bougé depuis la veille, nus sur le lit les bras en croix … Il était en tenue de sport et il passait pour voir si on était prêt, pour être sûr qu'on ne se lèverait pas trop tard … Et très organisé qu'il était, il avait emmené des tenus de sport aux couleur du château pour chacun de nous … On se retrouvait vite en tenue et on descendait en suivant Charles …

Ici tous les employés faisaient plusieurs heures de sport tous les jours, ça faisait même parti de leur emploi du temps et les heures de sport étaient comptées dans les heures de travail … Il tenaient tous une forme olympique … Charles avait trente deux ans, il était plus vieux que nous mais nous n'étions pas capable de le suivre. Jean François en avait près de quarante et il nous clouait sur place, au niveau musculaire je préférais qu'on soit amis … J'avais goûté à sa gifle, il ne lui aurait pas fallu beaucoup plus pour m’assommer et m'envoyer à l’hôpital. Même Monsieur Le Compte, soixante dix ans passés et il faisait tous les ans son marathon terminant toujours à une place honorable, derrière des beaucoup plus jeunes mais devant de très nombreux beaucoup plus jeunes … Antoine et moi étions assez bon dans une ou deux disciplines mais eux, ils étaient bons dans toutes … !

Les entraînements sportifs commençaient vers cinq du matin et se terminaient un peu avant l'heure du souper. Les équipes se succédaient, à cinq heure une équipe préparait le petit déjeuner pour ceux qui étaient déjà à l’entraînement, ils feraient leur entraînement plus tard, après cette première équipe … Cet exemple valait pour tous les services du château … Il y avait donc toujours de nombreuses personnes à faire du sport. Un pause était respectée par toutes les équipes au début de l'après midi … l'heure sacrée de la sieste … C'est précisément à cette heure ci que nous étions arrivés la veille et c'est pour cela que le parc paraissait désespérément vide …

Au fil des jours, on prenait le rythme, Charles venait nous chercher tous les matins vers cinq heures moins le quart. Un premier entraînement jusqu'à sept heures trente, petit déjeuner puis une pause. Révision des cours jusqu'au dîner. Les repas étaient absolument délicieux, j'avais rarement mangé aussi bien, mais les repas restaient parfaitement équilibrés et adaptés à une activité sportive intensive. Venait la sieste suivie de deux heures et demie de sport sous la direction de Jean François, retour aux révisions puis détente en attendant le souper puis promenade dans le parc, soirées vidéo … C'était une vie d'ascèse et de privation … en tout cas au niveau sexuel !

Au bout de deux semaines Antoine craquait, on appelait Charles, on lui demandait de s'asseoir pour discuter …

Moi : Dis moi Charles, tu as entendu parler du Groupe de Vacances ?
Charles : Bien sûr Monsieur Djé !
Antoine : Et les jouets qu'il y avait dans la salle de jeux … ?
Charles : C'est moi qui les ai rangé la dernière fois !
Antoine : Ils sont ou ?
Charles : Je comprends, j'en ai gardé un pour moi ! Vous savez Monsieur Le Conte n'a rien contre, à condition qu'il ne le sache pas, enfin, qu'on soit discret … Un massage de la prostate c'est bon pour l'hygiène mentale !
Antoine : On ne parle pas de massage de la prostate là !
Moi : On peut en récupérer un ou deux ?
Antoine : Ou trois ou quatre …
Moi : Il craque !
Antoine : J'en peux plus !
Charles : Si vous voulez me suivre ...

Charles nous conduisait au grenier, sous les combles, c'était propre le château était parfaitement entretenu et même les combles étaient isolés et parfaitement habitables si on l'avait voulu … Mais comme il y avait de la place ailleurs … Tout un tas de cartons, classés par tailles, une montagne de godemichets !

Nous commencions à chercher la dedans …

Charles : Vous le voulez gros, très gros, long, très long, un plug … ?

On finissait par trouver quelque chose à notre goût, belle taille pour moi, plus modeste pour Antoine … Il y avait du gel, enfin tout ce qu'il fallait. On avait oublié la présence de Charles et on s'embrassait, on se caressait … On ne pouvait pas se sucer alors on passait directement à la phase suivante. Je retournais mon camarade lui lubrifiait le cul et lui enfonçait doucement mais fermement le gode qu'il s'était choisi ! Il gueulait de plaisir. Ce jeu durait un moment, puis se retournant il me dit …

Antoine : C'est pas pareil !
Moi : Même pour moi c'est pas pareil !
Antoine : Je te sens bien dans mon cul mais je te sens pas contre ma peau … C'est bon dans le cul mais c'est pas pareil sur la peau … !
Charles : Si vous le permettez Monsieur Antoine !

On l'avait oublié celui là … Il était toujours là. Il nous avait observé et se tenait debout, on voyait son ombre de profil qui exposait une magnifique érection … mais alors là, quelque chose d'impressionnant … ! Pourtant il me semblait que ici, c'était Érection interdite !

Charles se rapprochait et en fait il ne bandait pas, il ne pouvait pas avec son dispositif en métal, il portait un gode ceinture …

Moi : Alors ça c'est une trouvaille !

Il m'en donnait un, je le passais, et bien sûr, ça changeait tout. Je pouvais étreindre mon camarade, le caresser et en même temps l'enculer … Antoine s'était retourné et m'offrait ses fesses, je le pénétrait rapidement et instantanément il gémissait de plaisir, il était en manque et était demandeur. Moi aussi j'étais demandeur ...

Moi : Charles, s'il te plaît tu  pourrais m'enculer ?
Charles : Avec plaisir Monsieur Djé !

Il se plaçait derrière moi et me pénétrait avec l'énorme bazar qu'il avait choisi pour lui ! Je l'ai senti passer. Doucement au début puis plus rapide, plus fort. Je faisais les mêmes mouvements dans le cul d'Antoine, quand je m'enfonçais Charles se retirait, quand je me retirais Charles me défonçait …

On ne pouvait pas jouir avec notre bite et pour cause, mais on pouvait donner du plaisir au partenaire qu'on enculait sans risque de panne sexuelle, sans risquer de débander. C'est comme un don pour l'autre, c'est à l'autre qu'on donnait du plaisir on se concentrait sur ses sensations, on se donnait et on donnait ! Je finissait par jouir par le cul, je gueulais aussi fort qu'Antoine qui jouissait également, une rivière, un fleuve de sperme coulait de l'extrémité de mon dispositif de chasteté. Pour Antoine c'était pareil, lui aussi il jutait. Charles se concentrait sur mes réactions, il arrêtait, se retirait me laissant complètement vidé. Antoine était dans le même état que moi, on lui laissait le temps de récupérer puis il s'occupait du cul de notre valet de chambre … Je les regardais et j'appréciais le spectacle. Charles était vraiment beau quand il jouissait, ce jour là il n'éjaculait pas mais il jouissait comme un fou !

Il était presque minuit quand on redescendait à notre chambre avec, Antoine et moi, un sac en plastique contenant un harnais et plusieurs godes et plugs chacun ! Dans ma tête je me faisait un cinéma en imaginant ce qui se passerait si quelqu'un trouvait ces trucs dans notre chambre … J'avais oublié que le seul qui risquait de ranger nos affaires, précisément, c'était Charles … J'aurais bien aimé voir sa bite à celui là, la sucer et me la prendre dans le cul ! Il nous laissait à la porte de notre chambre, il logeait au même étage que nous un peu plus loin au fond du couloir !

On s'endormait rapidement … Ça allait mieux … On était moins tendu et je me souviens avoir passé une très bonne nuit, Antoine aussi !

Au bout de deux semaines de révisions, d'entraînement et de nourriture délicieuse autant qu'adaptée à un sportif mes performances revenaient proche de mes records … Antoine n'avait jamais été aussi bon en sport ! Si on continuait on était désormais sûr de passer en seconde année ! On progressait aussi dans les autres matières plus intellectuelles …

On téléphonait régulièrement à nos parents, ils ne comprenaient pas vraiment ou nous étions, chez qui, et ce qu'on y faisait. Un jour c'est une mauvaise nouvelle qui arrivait. La location de l'appartement n'était pas possible, un courrier m'avait été envoyé, à l'appartement justement, il avait suivi chez mes parents avec beaucoup de retard et comme je n'avais pas répondu, le propriétaire avait loué à quelqu'un d'autre ! C'était la tuile ! Antoine se trouvait dans la même situation.

Le soir au souper M Le Conte nous voyant préoccupés nous demandait ce qui n'allait pas. On lui expliquait … Il nous répondait simplement qu'il allait voir ce qu'il pouvait faire, qu'il avait des relations sur  place … Trois jours plus tard, il nous confirmait que le problème était résolu ! Pour un loyer plus faible que celui que nous avions il nous avait trouvé un appartement en colocation, mais pas dans le même appartement, nous serions dans le même bâtiment au même étage … Nous aurions chacun des colocataires qui avaient une très bonne réputation, studieux et sérieux … Il n'en disait pas plus !

Dans les jours qui suivait on se demandait si on ne pourrait pas intervertir un logement avec un des colocataires pour se retrouver tous les deux dans le même appart. Greg nous disait que ce n'était pas possible … En fait les appartements appartenaient à son oncle et c'était un choix volontaire de placer un porteur par appartement ! ?

Notre séjour se continuait avec la même régularité, les jours passaient vite !

Je rencontrais à la piscine un petit jeune, Antonio, plus jeune que moi, il était beau comme un dieu, mais un peu maniéré, on devinait vite qu'il était gay, il travaillait aux cuisines. Son dispositif était plus petit que le mien. Il me racontait comment il était arrivé là.

Antonio :  En fait tu as remarqué que je suis … Un peu maniéré … Tout le monde se moquait de moi à cause de ça. Je recherchais un boulot ou on me respecterait, ou je ne serais pas le souffre douleur … Les mecs ne m'appréciaient pas, on m'insultait souvent, on me rejetait, j'ai même été frappé quelquefois et comme je suis pas des plus costaud … Un jour quatre pauvres cons m'avaient pris à parti et me tabassaient en riant … C'est alors que Jean François a débarqué de je ne sais ou … Il leur a d'abord gentiment fait la morale … Ils l'on envoyé braire en même temps qu'un des gars me balançait un coup de poing qui m'étalait par terre … La gaffe … ! Quand je me suis réveillé quelques instant plus tard les quatre gars étaient mal en point, ils pissaient le sang par le nez, ils étaient couvert de terre, couverts d’hématomes avaient du mal à marcher, ils se cramponnaient les uns aux autres pour pour s'éloigner au plus vite … Jean François n'avait même pas froissé sa veste et n'était pas non plus décoiffé !

J’éclatais de rire …

Moi : Je l'ai vu à l’œuvre, la première fois que je l'ai rencontré il m'a donné une gifle. Il est adorable mais il ne faut surtout pas l'embêter …
Antonio : Ni s'en prendre à un plus petit que soi en sa présence ! En fait c'est un tendre ! Il est bâti comme un ours mais c'est un grand tendre !

Antonio reprenait son histoire …

Antonio : Il s'était penché sur moi et s'assurait que j'allais bien … Je lui racontais mon histoire et il me dit qu'il avait, peut être, une solution à me proposer … Il me donnait l'adresse d'ici et me dit de me présenter dès que je le pourrais ! Quelques jours plus tard j'ai revu les quatre cons qui m'avaient agressé … Ils portaient tous encore plusieurs bandages et deux d'entre eux avaient le nez cassé ! … Et tout ça en quelques secondes !
Moi : Il est balaise Jean François !
Antonio : Je me présentais donc ici, et c'est lui qui me recevait ! Il avait un grand sourire me faisait entrer dans son bureau, nous discutions, j'avais déjà travaillé dans un restaurant … Rapidement on trouvait un accord au niveau travail … On arrivait au point délicat …
Moi : J'ai compris  ( en montrant du doigt mon dispositif ), c'est ça le point délicat …

Antonio rigolait.

Antonio : C'est exactement ça ! Mais Jean François avait beaucoup de tact, il y venait en faisant de grands détours !
Moi : Pour moi et mon copain, il nous a juste dit de baisser notre pantalon !
Antonio : C'est un marrant … Il te donne une gifle et te demande de baisser ton pantalon … Il ne devait pas être dans un bon jour !
Moi : On était entré par effraction !
Antonio : Évidemment, si tu l'embêtes aussi ! C'est lui le chef de la sécurité tout de même !… Donc, il parlait d'abord d'une certaine rigueur morale à laquelle Monsieur Le Conte tenait beaucoup … Il finissait par me montrer une photo en m'expliquant qu'il fallait porter ce genre de truc en permanence si on voulait travailler et même séjourner ici ! J'étais fasciné ! J'en avait déjà vu, rêvé même, mais là … On me le  proposait ! On était d'accord pour le boulot, je n'avais qu'à dire oui à ça … Je lui demandais s'il en portait un lui aussi. Il me répondait que oui, bien sûr ! Et rapidement me le montrait !
Moi : Ça aussi il me l'a fait après m'avoir demandé de baisser mon pantalon !
Antonio : On continuait à parler, sur les sensations qu'on éprouve, si on peut le retirer, quand, ou et finalement je lui répondais que … De toutes façons je suis passif, que j'ai une petite bite, et que j'en ai marre que les mecs se foutent de ma gueule … Alors avec ce truc on ne parle plus de taille ! J'étais prêt à signer pour une période d'essais !
Moi : C'était quand ?
Antonio : Il y a un peu plus d'un an ! Le lendemain M Le Conte me recevait, il savait déjà tout de moi !
Moi : C'est une habitude chez lui !
Antonio : Il confirmait mon embauche, je passais de nouveau dans le bureau de Jean François … Il me prenait mes mesures … '' En effet tu as une petite taille, mais tu sais c'est pas grave, une grosse ou une petite bite donne la même sensation à son propriétaire ''. Je ressentirais la même chose que tous les autres. Il ne se moquait pas. En érection dix centimètres ( à peine ) … Il me dit d'attendre en visitant les lieux …
Moi : Mais attention, ici c'est érection interdite !
Antonio : Exactement ! Je visitais le parc, il y avait tout un tas de gens qui faisaient du sport à poil, ils ne portaient que … J'avais la cervelle en feu ! Et de plus en plus envie de travailler ici ! Trois heures plus tard, mon premier dispositif en plastique était imprimé. Juste à ma taille ! Je le passais non sans difficultés car je bandais puis … J'ai validé mon contrat de  travail en fermant moi-même le cadenas … Depuis on m'en a donné un en métal … Je passais alors en contrat à durée indéterminée … J'ai pris des vacances depuis mon arrivée mais j'ai préféré ne pas le retirer … Voilà !

Je lui racontais à mon tour mon parcours, on riait beaucoup et on sympathisait !




Ep 13 : LE CHATEAU ET SES HABITANTS 2



Il y avait aussi Greg … Bon je savais que Monsieur Le Conte était son grand oncle … Il portait un dispositif de chasteté en métal depuis dix ans et avait porté un dispositif en plastique avant. Quand il avait notre âge, il avait fait le fou lui aussi !

Un samedi soir, Charles et Antoine faisaient une sortie dans la ville voisine … On n'était pas emprisonnés au château mais seulement dans notre dispositif de chasteté … ! De plus, le dimanche c'était relâche, on pouvait faire ce qu'on voulait et même ne rien faire si on voulait … Le service était réduit à son minimum et de nombreux employés prenaient donc un week-end libre, Monsieur Le Conte s'absentait toujours à partir du samedi après midi. Charles et Antoine avaient donc décidé de faire une virée en célibataires. Ils risquaient de rentrer tard et Greg était monté me voir pour boire un verre ( ou plus ), on était installés sur le tapis, avec juste un short sur nous … Et le dispositif … ! Un whisky, puis un second, les langues se déliaient …

Moi : Tu sais, la première fois que je t'ai vu ... Tu faisais craquer toutes les filles et pas seulement …
Lui : Je suis sexy ! Non ?
Moi : Tu es … C'est dommage que tu portes ce truc, j'aurais bien aimé que …
Lui : C'est loin tout ça pour moi !
Moi : Mais pourquoi ? Qu'est ce qui t'as décidé ?

Il s'approchait de moi et me montrait des photos de cette époque sur son téléphone …

Lui : Là, tu me reconnaît sur la photo ?
Moi : Il y a plusieurs personnes, je vois ton oncle … Non je ne reconnais personne d'autre …
Lui : Là, regarde bien !
Moi : Mais c'est pas toi ça ! C'est un gros bonhomme qui ressemble à une publicité pour une marque de pneumatiques !

Il rigolait …

Lui : C'est bien moi, l'année de mes dix huit ans … Ça fait peur ! Moi non plus je ne me reconnais pas ! Mais c'est bien moi ! Mes parents étaient morts l'année précédente et je me laissai aller, je picolais, je ne glandais rien à l'école, passais le temps à me branler ou à draguer des gens qui ne s'intéressaient à moi que pour mon argent … Ma famille à du fric ! … Ça aide ! Et là, c'est ma sœur !
Moi : Tu as une sœur ?
Lui : Elle est à peine plus vieille que toi, Sophie, elle est adorable, je l'adore. Sur la photo elle est encore toute gamine, depuis elle a grandi et elle fait des étude de commerce, elle parle cinq langues couramment !
Moi : Il faudra nous la présenter !
Lui : Et qu'est ce que tu en ferais ?
Moi : Ça y est, je savais que la discussion allait descendre en dessous de la ceinture !
Lui : De toutes façons tu préfères les garçons, c'est pas comme ton copain Antoine !
Moi : Non c'est pas vrai …

Je lui racontais la vie que nous avions menée pendant le dernier trimestre …

Lui : Je comprends mieux vos résultats, on m'avait raconter pas mal de choses mais j'en ignorait beaucoup … Mon oncle m'avait dit que ça devait être quelques chose dans ce genre … Il avait deviné, lui !
Moi : Vous parlez de moi !
Lui : On parle toujours des anciens participants et des anciens porteurs … Surtout que tant que tu l'était, porteur, tes résultats à l'école étaient remarquables, tous tes résultats !
Moi : Oui je sais ! C'est après que …
Lui : Pour moi, c'était pareil ! Mon oncle commercialisait déjà, à petite échelle, ces nouveaux dispositifs ! Il m'a dit de me calmer ou bien il m'obligerait à en porter un !
Moi : Et … ?
Lui : Je ne me suis pas calmé ! Il m'a un peu obligé, un peu !
Moi : C'est un peu le coup qu'il m'a fait à mon arrivée !
Lui : C'est exactement le coup qu'il t'a fait à ton arrivée ! Mais ceci dit, Jean François était prêt à appeler la police … Huit jours plus tôt, mon oncle était absent moi aussi et c'est ce qui se serait passé !
Moi : On a eut de la chance !
Lui : Bien sûr on n'aurait pas poursuivi mais le mal était fait, vos parents étaient avertis … !
Moi : Là ça faisait mal, ils nous auraient tué ! Donc ton oncle t'a obligé à porter un de ces trucs ?
Lui : Il a exigé que je me ressaisisse, que je trouve une solution … C'en était peut être une ! Si je l'acceptais, il me laissait un sursis ! J'ai choisi le confort matériel !
Moi : Et le groupe de vacances ?
Lui : Au départ c’était une opération de marketing … C'était des jeunes d'un bon milieu homosexuels ou dilettantes qui n'en branlait pas une à l'école comme moi. Les parents les avaient envoyé en toutes connaissance de cause. J'étais autorisé à retirer mon truc au moment ou je serais choisi par le groupe mais je devais le remettre après les vacances !
Moi : Tu pouvais donc te retrouver libre deux semaines ou une journée !
Lui : La première fois je suis resté enfermé pendant six mois !
Moi : Tu as morflé !
Lui : J'ai morflé ! Mais trois ans plus tard j'étais transformé.
Moi : Ce beau garçon super sexy que j'ai devant moi !
Lui : Je suis d'accord … Beau garçon super sexy !
Moi : J'ai envie de toi !
Lui : On peut se faire un câlin !
Moi : J'ai du matos …

Il avait l'air surpris, je lui montrait.

Moi : C'est pas interdit, je voudrais pas que Charles ait des ennuis …
Lui : Non c'est pas interdit, discrétion obligatoire c'est tout ! Je pense que tout le monde est plus ou moins équipé ... Ne bouge surtout pas, je reviens !

Il se levait et sortait précipitamment de la chambre. Il revenait quelques instants plus tard avec une boite dans les mains. Il s'asseyait par terre à coté de moi, l'ouvrait, il y avait un beau gode à l'intérieur …

Lui : C'est mon pénis … C'est le moulage de mon pénis … En érection ! On l'a moulé il y a onze ou douze ans … Pas mal ! Non ?
Moi : J'aurais bien aimé jouer avec !
Lui : Avec celui là, on peut !

Il se levait retirait son short et se retrouvait nu devant moi. Il était vraiment canon ! Il me prenait le harnais des mains, se l'ajustait, y fixait son pénis.

Je sentais mon pénis gonfler dans sa cage, il était tellement sexy, tellement beau, j'avais envie de lui le premier jour, je retirais mon shirt moi aussi, m'approchais de lui et commençais à lui caresser le torse, il me prenait dans ses bras et on s'embrassait longuement avec tendresse. Je m'allongeais sur le lit, il s’allongeait sur moi avec beaucoup de douceur ! Il me caressait tout le corps, me suçait le lobe de l'oreille, m'embrassait  le cou,  les tétons, me prenait dans ses bras. Je lui rendais tous ses baisers et toutes ses caresses, j'étais fou de désir ! Je caressait son pénis, même sans aucune réaction de sa part, c'était agréable, il semblait réel, doux et ferme ! Doucement mais fermement il me retournait sur le ventre et s'allongeait sur moi … Je le laissais faire, j'écartais les jambes, il me pénétrait doucement de toute la longueur de sa bite, bien à fond. Il se retirait, revenait, recommençait sans cesser de m'embrasser le cou, de me mordiller les épaules, de me pincer doucement les tétons. Je gémissais de plaisir, sa peau était douce, tellement douce ! Il faisait une pause puis recommençait un peu plus fort mais à peine, il laissait monter le plaisir, ses caresses, ses baisers, ses murmures de tendresse dans mon oreille, son souffle, sa chaleur … A chaque pause il recommençait un peu plus fort, graduellement, il savait vraiment faire monter le plaisir, tout doucement …

Lui : Les filles adorent quand tu t'y prends comme ça !
Moi : Je suis une fille, prend moi, ohhhhh ouiiiiiii !

Je sentais progressivement monter en moi une sensation de douceur, de force, de puissance, une explosion … Je hurlais … Il continuait de plus en plus fort. Je hurlais comme un fou. Il n'arrêtait pas … Je ne savais plus si j'allais éjaculer, pisser … Je perdais le contrôle de mes réactions des mes gestes, je me tordais dans tous les sens, me soulevais avec mes bras, tentais d'attraper je ne sais quoi avec les mains … Je finissais par lui hurler … '' J'en peu plus tu vas me tuer, arrête tout '' ! J'avais l'impression que mon cœur allait exploser que j'étouffais, je tremblais, il faisait chaud on était en été, j'étais en sueur, j'avais chaud mais je tremblais et je ne pouvais pas m'arrêter je ne pouvais pas contrôler ce tremblement … Il se retirait et se couchait sur moi comme pour me protéger. C'était doux, c'était lourd, c'était chaud, c'était bon … J'avais joui, mais je ne savais pas si j'avais éjaculé ou non, je m'en moquais ! Je me sentais tellement bien, j'aurais voulu que ce moment ne s'arrête jamais !

Je ne regardais pas l'heure qu'il était et je n'avais pas la moindre idée du temps que nous avons passé comme ça, sans bouger, en se contentant du contacte de notre peau moite, de notre sueur qui coulait sur l'un avant de couler sur l'autre …

Il finissait par s'allonger à coté de moi sur le dos, je restais sur le ventre, je me sentais plus léger mais je me sentais toujours aussi bien !

Lui : Je devine que tu n'auras pas la force de me rendre la politesse !
Moi : Plus tard peut être, là je peux pas, là je peux pas !

J'essayais de me lever mais j'avais le tournis et je me laissais retomber sur le sol les bras en croix … Ce n'était pas seulement l'alcool qui me faisait ça ! Avec ma main, je cherchais sa main, je tombais sur sa bite, ça me faisait rire, il me répondait par un autre rire … puis je touchais son dispositif de chasteté, j'en profitais pour lui caresser les couilles. Il les épilait régulièrement, la peau était douce, j'avais envie de les lécher mais pas la force de bouger … Je finissait par trouver sa main et ne la lâchais plus ! On s'endormait !

On ne tardait pas à être réveillé par Antoine qui nous voyant ainsi, le gode ceinture sur Greg, moi allongé sur le ventre, deux verres, une bouteille de whisky vides  n'hésitait pas allumer toutes les lumières et de hurler joyeusement !

Antoine : Alors je vois qu'on s'éclate quand je suis pas là …

On se réveillait en sursaut !

Moi : Mais ça va pas de faire peur aux gens comme ça !
Greg : C'est maintenant que tu rentres toi ! Tu as vu l'heure qu'il est !
Antoine : Non !
Greg : Remarque, moi non plus !
Charles : Ils se sont bien amusé tout les deux j'ai l'impression !
Antoine : Mais c'est quoi ce truc que tu as, un gode ceinture, tu l'as trouvé ou ?
Moi : Arrête de dire n'importe quoi, c'est le mien avec son pénis dessus !
Antoine : C'est toi Greg qui t'es fait enculer ! Moi aussi je veux enculer quelqu'un !
Greg : Vas y prend le, ( il le lui donnait ) et  encule moi tu seras mignon !

Antoine ne se faisait pas prier ! Il se fixait le gode ceinture, le lubrifiait, se penchait sur Greg qui restait allongé sur le dos, lui relevais les jambes, et lui défonçait le cul. Greg gueulait mais en redemandait … Je me levais, prenais dans l'armoire d'Antoine le second gode ceinture, je le donnais à Charles en lui disant … Vas y défonce lui le cul à Antoine, ça devrait le calmer ! Charles non plus ne se faisait pas prier !

Je m'installais confortablement et j'admirais le spectacle … Trois corps magnifiques, dégoulinant de sueur, exubérants de muscles et de testostérones, contrariés, frustrés, en manque de sexe qui ne pouvaient que se soulager avec des godes, qui ne pouvaient que soulager l'autre car aucun n'avait de sensation sexuel sur ce qu'il faisait à l'autre mais seulement sur ce que l'autre lui faisait … Celui qui était à la meilleur place devait être Antoine qui était au milieu, pris en sandwich, sans le dispositif de chasteté il aurait pris doublement son pied … Mais là, il y avait de la tension sexuelle, de la frustration, des hormones en délire, de la sueur, du muscle, et finalement, ils arrivaient à prendre un vrai plaisir ! Antoine bougeait son bassin d'avant en arrière, il donnait à Greg un plaisir et en recevait de Charles autant par ses propres mouvements que par  ceux de Charles qui lui, ne faisait que donner !

Antoine jouissait en premier, d’où j'étais je pouvais voir un filet blanc qui coulait du dispositif d'Antoine, il ne mollissait pas … Greg finissait pas suivre, là il jouissait, là il jutait et les grimaces qu'il faisait trahissait le plaisir qu'il éprouvait … Seul Charles restait concentré sur les réaction de son camarade devant lui ! Mon regard parcourait la chambre et je remarquais aux traces laissées sur le sol que tout à l'heure, je n'avais pas juté, j'avais joui mais pas éjaculé ! J'étais épuisé et vite mes compagnons se retrouvaient dans le même état … Je me jetais sur mon lit, Charles se laissait tomber à coté de moi, Antoine faisait comme moi et Greg, il se jetait à coté d'Antoine … C'est ainsi qu'on se réveillait lendemain matin … C'était dimanche et on n'était pas obligés de se lever on était tous en week end !

Il devait être près de neuf heures quand on commençait à réagir … Neuf heures … Une heure tardive par rapport à nos habitudes ! Je me dirigeait vers la salle de bain, la lumière violente me faisait cligner des yeux … Grosse fatigue … Je revenais dans la chambre sans trop savoir ce que je cherchais … Charles s'était réveillé et était en train de ranger la chambre, les verres, la bouteille, les vêtements …

Moi : Charles !
Charles : Oui monsieur Djé !
Moi : Tu fais quoi là ?
Charles : Je fais mon travail monsieur Djé ! Vous n'avez pas oublier que je suis votre valet de chambre …
Moi : Charles ! … On en week end … Tu es en week end … S'il te plaît laisse tout ça on peut faire le rangement nous même aujourd'hui, plus tard. Si tu veux vraiment être utile viens donc dans la salle de main, tu vas m'aider à prendre ma douche !

Charles laissait tout en  place et venait me rejoindre dans la salle de bain en faisant une drôle de tête. Toujours dans son sérieux professionnel, il prenait un gant un savon et se préparait à me laver, je le tirais vers moi sous la douche et c'est moi qui lui lavait le dos, le torse … Rapidement on s'enlaçait, on se passait l'un l'autre du savon partout, il retrouvait son sourire. Avec le bruit que nous faisions nos deux autres camarades arrivaient pour voir ce qui se passait. En nous voyant, ils souriaient et n'hésitaient pas à nous rejoindre. On riait, on criait, on se savonnait l'un l'autre même les parties les plus intimes, et surtout sur les parties intimes …

J'étais le premier à sortir de la douche, Charles me suivait de près …

Moi : Charles, dis moi, j'ai une idée … si on allait chercher le petit déjeuner à la cuisine pour le prendre ici, tous les quatre … Tu sais ou sont les plateaux avec des roulettes que tu utilises pour monter les repas ?


Charles : Je vais m'en charger si vous le voulez bien monsieur Djé !
Moi : On y va ensemble !

On enfilait un short, c'était suffisant pour un dimanche … Il connaissait les lieux et surtout comment ils fonctionnaient. On trouvait le plateau et rapidement on le chargeait avec tout ce qu'il fallait pour faire un petit déjeuner copieux … Je le suivais avec le plateau, et le poussais à bien le remplir , je me lâchais sur la brioche, la confiture, les croissants … Au passage on croisait Jean François … C'est lui qui commandait en l'absence de M Le Conte …

En le voyant je lui lançais … '' Ça va J F on est matinal aujourd'hui ! '' . Incrédule il me regardait l'air désabusé, il hochait la tête semblant se dire … '' Ah ces jeunes ! ''. On remontait dans la chambre le chariot bien chargé … Rapidement je mettais de l'ordre dans la chambre pendant que Charles montait la table … Évidemment il faisait ça d'une manière très … protocolaire … Il était peut être en week-end mais il gardait ses réflexes professionnels … Greg et Antoine étaient toujours dans la baignoire. Ils finissaient pas en sortir. On avait ouvert les fenêtre, branché les ventilateurs, la table était accueillante, on avait retiré nos vêtements, ils venaient nous rejoindre comme ils étaient ! Dix heures moins le quart, on prenait notre petit déjeuner … !

Je proposait qu'on oublie le protocole, au moins le dimanche ! Tout le monde était d'accord, toutefois, Charles ne pouvait se défaire de son vouvoiement envers nous et du '' Monsieur '' qu'il mettait toujours devant notre prénom …

Moi : Dis moi Charles, tu nous dis toujours '' Monsieur Djé ou Monsieur Antoine … '' . C'est pas du tout dans la norme de dire Monsieur devant le prénom …
Charles : Je vous prie de m'en excuser Monsieur Djé mais c'est seulement parce que je ne connais pas votre nom de famille. Monsieur Ducran, par exemple, je ne l'appelle pas par son prénom ! ( il parlait de Greg )
Antoine : C'est pas compliqué, moi je m'appelle …
Moi : La ferme Antoine, ne lui donne pas ton nom ni le mien, ça serait encore pire !

Nous rigolions tous de bon cœur. C'est vrai ça, j'étais un peu mal à l'aise à cause de ce protocole, de la part d'un homme avec qui on avait baisé et que j'appréciais beaucoup ! Un peu coincé, probablement à cause de la présence de Greg, Charles finissait par se décontracter … On passait le reste de la matinée à ne rien faire, un câlin de temps en temps. On se décidait à sortir de la chambre pour le dîner vers douze heures trente … Le dimanche, c'était décontracté, pas de tenue particulière, on arrivait en short. Le dimanche c'était buffet, chacun se servait lui-même à la même table, le patron n'était jamais là … Greg me dit que en fait, c'était prémédité, la tension induite par la chasteté pouvait se relâcher plus facilement en son absence … Le personnel avait besoin de ce jour de détente.  Il me faisait remarquer que, c'était le premier dimanche qu'il passait lui aussi au château, il s'absentait également le dimanche, comme son oncle ! Ce dimanche là, s'il était toujours là, c'est uniquement parce que la nuit avait été dure !

C'était une maison bourgeoises et elle avait ses règles, même si certaines étaient particulières !

J'apprenais avec la plus grande surprise qu'une grande partie du personnel n'était pas gay. M Le Conte par exemple ... En tous cas, on ne lui connaissait aucun écart a son abstinence sexuelle. Jean François était marié avec deux enfants. Le plus âgé travaillait aux jardins pour la saison il venait d'avoir dix huit ans, il avait souvent porté le dispositif  mais pour de courtes périodes ne dépassant pas une ou deux semaines. il était toujours libère pour le week-end. C'était la première fois qu'il le garderait pendant trois mois et son impression était mitigée, Il s'en serait bien passé. Il me racontait  que son jeune frère en portait un aussi mais par contre c'était lui qui l'avait réclamé.

Les motivations étaient des plus  diverses ... L'envie de faire une expérience amusante, la nécessité de rester concentré sur le travail en rendant impossible toute distraction, la morale qui condamne l’onanisme, un contrôle contre l'adultère, le rejet du plaisir sexuel, le contrôle de la masturbation … Il devait bien y avoir autant de raisons que de porteur …

Pour moi et pour mon camarade Antoine, c'était le besoin de rester concentré et ça semblait  marcher. Pendant le second trimestre j'étais au sommet de ma forme. J'avais jamais été aussi bon, ensuite je me suis laissé distraire. Antoine, lui, s'est toujours laissé distraire  ... Le résultat était là, on avait failli échouer lamentablement alors que de toutes évidences à voir nos progrès actuels on avait largement les moyens de réussir !

Quand on est libre, on peut se branler tous les jours, plusieurs fois par jour, ce qui d'ailleurs  le plus souvent ne pose aucun problème, c'est ce que j'ai fait pendant très longtemps ! On peut aussi passer une grade partie de son temps a y penser, on peut ne plus penser qu'a ça, là ça devient critique, on se dissipe. Dans le cas d'Antoine ... Lui ne se branlait pas mais il pensait aux filles toutes journée et il passait ses nuits a faire l'amour ou a se chercher un fille s'il n'en n'avait pas une sous la main !

On nous avait un peu forcé la main pour ce qui est de nos motivations mais à la fin des vacances on avait remarqué la différence … On tenait la forme … Antoine n'avait jamais été autant en forme physique, j'étais revenu au sommet. J'avais même battu plusieurs de mes propres records. Nos esprits étaient en éveils … On était prêts à reprendre les études … On allait casser la baraque … On serait les champions ! …

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