ET TOUJOURS EN ÉTÉ 14 LE NORD

ET TOUJOURS EN ÉTÉ 14
LE NORD


On s'installait à une table et je commandais. Il y a toujours des petits trucs à grignoter sur la table pour faire patienter les clients, il se jetait dessus.

Moi : Mais dis donc ça fait combien de temps que tu n'as pas mangé ?

Il se recroquevillait sur lui même. 

Lui : Excusez moi monsieur.
Moi : Ça ne répond pas à ma question.
Lui : Je ne sais pas Monsieur je ne mange pas tous les jours …
Moi : En effet je t'ai trouvé un peu maigre. Au fait tu t'appelles comment ?
Lui : Taxi Monsieur …
Moi : Moi c'est Jonathan.
Taxi : Je vous remercie Monsieur Jonathan pour tout ce que vous faite pour moi. 

On ne connaissait pas cette cuisine aussi on se faisait conseiller, Taxi n'osait pas je devais décider à sa place, c'était délicieux et on ressortait du restaurant réconforté.

Moi : Alors, qu'est-ce que tu veux faire de ta vie maintenant ?
Taxi : Je ne sais pas Monsieur Jonathan, je n'ai nulle part ou aller. Si vous voulez bien de moi Monsieur Jonathan ...
Moi : D'accord je te prend à mon service. Il faut avant tout nous rendre à la gare, je ne souhaite pas rester ici plus que le stricte nécessaire.

Dans l'après midi, on était à la gare et dans la soirée on était dans le train.

Avec toute l'agitation que ce début de guerre provoquait le train était arrêté régulièrement, on n’avançait pas. C'est seulement le matin qu'on arrivait à la capital de l'état. Depuis mon départ je n'étais pas à cent kilomètre de la maison, pourtant j'étais déjà tellement loin que je ne pouvais plus revenir en arrière. Je ne le savais pas encore. 

Le matin je demandais un entretien avec le directeur de la banque.

Le dir : Ah Monsieur Jonathan, j'ai appris votre mariage, votre dame est avec vous ?
Moi : Non j'étais en déplacement pour des affaires et j'ai du mal à rentrer à la maison.

Il m'expliquait que ce ne serait pas possible, peut être même, pas avant longtemps … La frontière était fermée … Plus personne ne pouvait passer. Ni en provenance du Sud ni en départ pour le Sud. J'avais réussi le passage, mais ça devait être un des derniers bateau à avoir fait la traversée. Si on était parti le lendemain ou même une heure plus tard … c'était trop tard.

Je revoyais Sarah quand elle décidait qu'il fallait partir immédiatement. Je revoyais sa silhouette qui s'effaçait sur cette jeté, j'avais envie de pleurer, je ne savais pas quand je la reverrais.

Moi : Bien, et qu'en est-il de l'argent que ma famille a déposé dans cette banque.
Le dir : Tout va bien, il est à la disposition des ayants droits qui viendrait le réclamer, vous en faites partie. Par contre il n'est pas question de le reverser sur votre banque dans le Sud. Économiquement vous êtes riche, ici vous êtes riche.

Ça m'arrangeait bien cette affaire, la bourse était bien entamée et aurait fini par se vider, de toutes façons je savais que je n'aurais jamais regretté l'argent que j'avais donné à Sunny… Le jour même je prenait un appartement dans la banlieue de la ville. C'était un appartement moderne avec l'eau courante et eau chaude à volonté … Taxi faisait une tête en voyant cela, il ne savait même pas que ça existait.

Il me suivait partout comme un petit chien, je ne veux pas être insultant en disant cela, c'est un garçon adorable. Je lui achetais quelques vêtements qui pourraient lui être nécessaire, j'en commandais pour moi aussi. J'étais parti avec juste un costume sur moi. Il ne nous fallait que quelques jours pour être complètement installés. 

Je lui confiait la maison, les clés, et la clé du petit coffre qui contenait un peu d'argent, pour lui c'était une très grosse somme mais je décidais de lui faire confiance. Je ne l'ai pas regretté. Régulièrement pour faire des achats, les courses, le blanchisseur par exemple il se servait dans la caisse. 

Nous étions installés depuis plus d'une semaine. Taxi s'affairait dans l'appartement, il prenait son rôle de majordome au sérieux et s'appliquait dans tout ce qu'il faisait. 

J'étais dans ma baignoire, je réfléchissais, mon obsession restait la même, rentrer à la maison et retrouver ma femme et ma famille. Taxi entrait sans prévenir dans la salle de bain.

Taxi : Oh pardon Monsieur Jonathan, je ne voulais pas vous déranger.
Moi : Taxi ! 
Taxi : Oui Monsieur Jonathan .
Moi : Dis mois quand as-tu pris un bain pour la dernière fois.
Taxi : C'était il n'y a pas longtemps, c'était le jour ou je vous ai rencontré Monsieur Jonathan.
Moi : Ça va faire plus de dix jours.
Taxi : Peut être bien Monsieur …
Moi : A l'avenir tu voudras bien prendre un bain au moins deux ou trois fois par semaine. Au moins !

Il avait l'air surpris, c'est vrai qu'il fallait tout lui apprendre. Je rajoutais .

Moi : Nous avons une salle de bain ici !
Taxi : Votre baignoire Monsieur Jonathan ?
Moi : Il me semble que c'est ce qu'il y a de plus pratique.
Taxi : Mon ancien Maître n'aurais jamais accepté que je me baigne dans sa baignoire …
Je ressortais de la baignoire, me passais un linge autour de la ceinture et revenais à mon bureau. Je me faisais livrer tous les journaux tous les jours et je tentais de comprendre la situation. 

Le Nord avait attaqué et c'est le Sud qui avait gagné, dans une autre région la frontière avait reculé de plus de cent kilomètre en moins d'une semaine. 

Je ne comprenais plus rien, je ne savais même pas dans quel camp il fallait être. Ma famille, seule ma famille me préoccupait. J'étais sans nouvelles et il n'y avait aucun moyen de faire parvenir un message. Ne serait-ce que pour leur dire que que j'allais bien.

J'entendais du bruit qui venait de la salle de bain, c'était Taxi, il sortait de la salle de bain, il était à poil, il se séchait la tête. Il n'avait pas traîné pour suivre mes conseilles, ce garçon est adorable. Il fait tout ce que je lui demande, mais est-ce une bonne raison pour se balader à poil dans l'appartement en sortant de la baignoire ?

Depuis mon départ, je n'avais tenu qu'une personne dans mes bras. C'était Taxi, et j'avais aimé. Il est bien foutu ce garçon. Je le regardais, il avait pris un peu de poids depuis qu'il vivait avec moi, il n'en était que plus beau, je l'avais trouvé un peu maigre le premier jour. 

D'abord, je le suivais des yeux, je regardais ses mouvements, ses gestes, il se déplaçait avec élégance, il laissait tomber sa serviette et en sifflotant se dirigeait vers la cuisine.

Je le suivais, je m'amusais de la situation, je l'avais vu moins d'une heure plus tôt, c'est vrai je lui avait dit de prendre un bain mais je ne m'imaginais qu'il le ferait aussitôt, qu'il se promènerait à poil dans l'appartement alors que j'y étais encore …

Brusquement je comprenais, il voulait juste m'allumer, il avait envie de moi et ne devait pas savoir comment s'y prendre. 

Moi : Et bien Taxi, je vois que tu as pris une douche !

Il hurlait et je suis sûr qu'il ne faisait pas semblant. Il se retournait il faisait une tête, il était entièrement nu et sa queue se relevait fièrement.

Taxi : Monsieur Jonathan ! Vous êtes toujours là, je croyais que vous étiez sorti.

J'éclatais de rire, mon linge que j'avais toujours autour de moi tombait sur le sol. Taxi semblait terrifié,  il semblait avoir peur de prendre une correction. Je m'approchais de lui, je commençais à bander. J'approchais une main de sa joue, il faisait un geste comme pour se protéger.

Moi : Mais je n'ai pas l'intention de te frapper. 

Je posais mes mains sur ses joues, le tirais vers moi et l'embrassait. 

Moi : C'est mieux comme ça, tu avais besoin de prendre une douche !

Il me prenait dans ses bras, on se serrait l'un contre l'autre. Sur son visage un large sourire se dessinait, je sentais sur tout mon corps la douceur de sa peau. Et là ou il posait ses mains je sentais la tendresse de ses caresses.

J'étais en manque de tendresse, et lui était très tendre. Je l'entraînais dans ma chambre, il ne résistait pas. Je le caressais sur tout le corps, sans insister sur aucune zone de sa peau en particulier. Je le repoussais sur le lit et m'allongeais sur lui. 

Sa peau était chaude autant que douce, elle restait toujours un peu moite juste après son bain. Moi j'avais séché totalement. On se couvrait de caresses et de baisers, il finissait par me caresser les couilles et la bite avec insistance, je le laissais faire et quand je me penchais c'était pour lui sucer la queue.

Taxi : Prenez moi Monsieur Jonathan. 
Moi : Tu aimes bien ça toi aussi ?

Il était allongé sur le dos, je lui relevais les jambes et les repliais sur lui. Je tenais fermement ses deux chevilles jointes. Son cul était bien accessible, il me laissait faire. Je lui caressais les fesses, j'avais acheté un peu de ce lubrifiant que mon cousin m'avait fait découvrir. Je lui en passais sur la raie des fesses. Il me caressait le bras et me regardait. Par moment il avait l'air d'un gamin, un gamin adulte mais un gamin. 

Il était jeune et ne savait pas son âge, il avait de la barbe, pas très développée encore mais elle poussait et son corps était celui d'un homme. Je plaçais ma queue sur son anus. Il me regardais, il n'avait pas peur, aucune inquiétude. Je poussais.

Il gémissait de plaisir, c'est sûr il aimait. Il aimait encore plus que moi ce petit gars. Doucement, mon but n'était pas de lui faire mal j'enfonçais ma queue et je voyais l'expression de son visage changer, ses yeux se retournait et il les fermait, il se cambrait et appuyait la tête sur l’oreiller, et je sentais tout son corps se redresser, son dos se redresser il se cambrait. Je poussais à fond, il ouvrait la bouche et gémissait plus fort.

Mon ventre s'écrasait sur ses fesses, je lui repliais les jambes encore un peu plus et m'appuyais sur lui. Il parvenait à glisser une main derrière ma cuisse et me tirait vers lui. Je poussais alors de toutes mes forces.

Il haletait, son souffle devenait irrégulier. Sans ménagement je lui écartais les jambes, aussitôt il les refermait fermement dans mon dos et me retenais de toutes ses forces. Je me retirais, il me retenait. Je m'enfonçais de nouveau, il gémissait et me retenait toujours avec autant de force, il me tirait vers lui. 

Je me retirais de nouveau et m'enfonçais. Il attrapait mes bras et me tirait vers lui. Je me laissais tomber sur lui et il m'agrippait alors frénétiquement par les épaules . Il passait un bras derrière mon cou, me caressait avec des mouvements rapides qu'il semblait ne plus contrôler. Il respirait fort.

J'avais perdu l'équilibre et je m'appuyais alors sur lui de tous mon poids. Mon bassin se relevait et retombait avec rapidité, et plus en plus vite. Des mouvements de plus en plus amples. Quand mon bassin s'écrasait contre ses fesses c'était avec violence maintenant et je sentais son ventre réagir, me masser la queue. 

Je me retirait complètement. J'étais essoufflé, je le regardait dans les yeux, il avait un regard de fou. D'un mouvement rapide je m'enfonçais bien à fond, il criait. Je recommençais plusieurs fois de suite puis continuais à lui limer le cul avec vigueur. 

Il me saisissait, me prenait dans ses bras et me serrait contre lui, je pouvais toujours bouger mon bassin et ne m'en privait pas. Il tremblait et m'embrassait sur le visage. 

Je râlais, je gémissais à mon tour. Il jouissait, je le sentais il éjaculait, aussitôt j'en faisais de même. Je me laissais alors tomber sur lui. On ne bougeait plus, on prolongeait ce moment de folie par un long moment de partage et de tendresse. Ma queue restait plantée dans son cul, je ne débandais pas. Ça m'avait manqué. 

Il ne voulait pas me lâcher, il a fallu que je fasse plusieurs tentatives avant qu'il ne se décide à ouvrir ses bras. Je regardais, j'étais au dessus de lui appuyé sur mes mains, il me caressait les bras. Je lui donnais un dernier baiser avant de me relever, je bandais presque mou quand je me retirais de son cul. 

Je le prenais par la main et l'entraînait.

Moi : Allez on y retourne …

Je prenais la direction de la salle de bain il me suivait.

Taxi : Mais Monsieur Jonathan je viens de prendre un bain.
Moi : J'ai besoin que quelqu'un me frotte le dos.
Taxi : Mais vous venez de prendre un bain vous aussi Monsieur Jonathan.

Je le tirais vers moi, lui donnais un baiser sur la bouche il ne disais plus rien et me suivait sans résister.

Moi aussi je lui ai frotté le dos.



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

30 Juin 2020

J 182

S 26


Et voilà comme souvent le matin il y a de la pression . Mais c'est pas désagréable. Ça gène un peu au niveau de l'anneau sous les testicules. Il faudra que j'étudie le problème.



Semaine 26 Sinon c'est cool ! Tout est bien confiné, bien douillettement confiné ...



S 26 Bon je répète ce que j'ai dit hier. Demain j'arrête s'il fait beau, s'il fait pas beau j'arrête pas !



S 26 ( le S c'est pour week , je dis ça pour ceux qui ne parlent pas français ) Je suis matinal aujourd'hui, je vais passer au petit déjeuner ... Et puis ça a de l'allure comme ça ! Non ?



S 26 Enfin voilà, voilà ...


29 Juin 2020

J 181


Demain ça fera 6 si je compte en mois ...



Donc 6 bientôt ( mois ) et 0.5 en année ( mais bon là c'est ridicule )



Bon bein aujourd'hui il y avait de la pression, une érection tenace ce matin dans ma cage. Un peu de gène au niveau de l'anneau là, juste sous les couilles mais là, c'est normal. J'ai fini par me décide à me lever car je savais que ça ne passerait pas sinon .


28 Juin 2020

J 180


La vache 180 mais tout augmente c'est pas croyable !





Bon c'est pas non plus une surprise, les 180 jours ça fait déjà quelque temps que je les vois venir ...



Et en semaines , ça nous fait combien tout ça ? Je pose 4 et je retiens 7 ... Wahou ! A ouai !!



Demain j'arrête ... ( S'il fait beau et chaud ) ... Sinon j'arrête pas !




Et le matin, chaque matin, tous les matins ... Bein oui !


27 Juin 2020

J 179


Et voilà l'été est fini . Il pleut depuis deux jours !




Je ne vais tout de même pas rallumer la cheminée ?!




Bon avec un peu de chance l'été sera revenu d'ici à Juillet , c'est dans trois jours !


26 Juin 2020

J 178


Rien ne va plus, pas cool , le soleil a disparu derrière les nuages ! Sinon ça va !



Bon ce matin je fais le tri dans mon armoire ... La chemise là , je la garde ?


25 Juin 2020

J 177






Voilà le temps de l'été, la canicule, des heures étendu sur le sable, des risques d'insolation ... Et tout ça juste pour bronzer un petit peu !



C'est après midi on va faire chauffer les casquettes !


24 Juin 2020

J 176


Ça y est c'est c'est l'été ! On y croit ! On y croit ! On y croit ...



Toujours sur le coup ! Il fait beau, il fait beau, il fait bôôôôôô ! Et je suis content !



Tout ce passe bien encore ce matin ... et en plus il y a du soleil ...



Voilà, voilà, voilà !


ET TOUJOURS EN ÉTÉ 13 TAXI

ET TOUJOURS EN ÉTÉ 13
TAXI


Sarah avait demandé qu'on prépare un attelage immédiatement, avec insistance elle désirait qu'il soit prêt dans la minute,  personne ne posait de questions. On venait de se marier et nous avions sans doute envie de passer quelques jours entre nous. 

Pour ce qui est de tout ce dont aurait besoin Sunny, ça faisait un moment que tout était prêt et je le voyais arriver avec une malle sur l'épaule, il la tenait à une main. Dedans il y avait des vêtements qui lui permettraient de passer inaperçu, j'y avait aussi glissé deux revolvers ainsi que plusieurs boites de cartouches. On ne sait jamais il aurait peut être à se défendre, en plus il tire aussi très bien au revolver.

Nous arrivions au village, un groupe d'hommes armés nous arrêtait. '' L'embarcadère est fermé ! '' nous lançait un des hommes.

Moi : Mais il y a un bateau et des gens y montent en ce moment même !

Ils avaient l'air embarrassés, ils nous reconnaissaient. Sarah apercevait un homme qu'elle connaissait. Sans rien me dire elle descendait de la calèche et se dirigeait rapidement vers lui. Je ne comprenait pas tout de suite ce qui arrivait mais quelques instants plus tard elle revenait, elle avait un air charmeuse que je ne lui connaissait pas. Il la suivait avec un air idiot en rigolant bêtement.

Sunny et moi échangions un regard aussi surpris qu'incrédule.

L'homme : C'est bon laisse les passer, il faut qu'il se rende rapidement avec son esclave à la chambre des échanges. On connaît bien cette famille. 

On arrivait à prendre le bateau qui allait partir, de justesse mais on y arrivait. Il n'y avait plus de cabine mais on se trouvait une petite place sur le pond. 

Sarah ne faisait pas partie du voyage et mon cœur se déchirait en voyant sa silhouette dans sa belle robe blanche s'éloigner sur le l'embarcadère. Je ne la lâchait pas du regard, je distinguais encore cette petite tache blanche, elle remontait dans la calèche et je la devinais repartant vers la maison. J'aurais tellement voulu repartir avec elle et je cachais une larme.

La traversée était longue, on cherchait à s'installer comme on pouvait. On ne lâchait pas la malle, son contenu était précieux pour nous. Sunny ne disait rien.

Moi : On peut encore faire demi tour !

Il faisait non de la tête. 

Sunny : Tu sais Jonathan, ce que tu fais là pour moi je ne l'oublierai jamais. 

Il était tard dans la nuit quand on arrivait au fleuve, jusque là on était sur un de ses affluant, ces petit bateaux ne sont pas rapides. La frontière était fermée. Sunny et moi recherchions un bateau pour faire la traversée. Quelques heures avant le lever du soleil on en trouvait un. 

Le passeur : Alors comme ça mon petit bonhomme tu veux te rendre dans le nord avec ton esclave.
Moi : Ça n'a rien d'extraordinaire. Je me rends souvent dans cette région et je ne comprend pas pourquoi brusquement, depuis ce matin je ne peux pas !
Le passeur : Tu sais que ton esclave, ce ne sera plus ton esclave de l'autre côté du fleuve.
Moi : Ne t'inquiète pas de ça. 
Le passeur : Bon c'est d'accord je te fais passer, il faut que tu sois prêt dans dix minutes, par contre il faut payer à l'avance.

Je lui donnais une pièce d'or, il rigolait, une seconde … '' Encore un  effort mon petit  monsieur '' 

Moi : Trois je t'en donne trois, tu n'en auras pas plus. 

Sunny avançait pour monter sur le pont du bateau.

Le passeur : Doucement mon gars, toi tu attends que je t'invite à monter. 

On voyait un des marin qui commençait à larguer les amarres, Sunny sautait sur le bateau en me criant : '' Il va nous rouler !'' . Je le suivais. Le passeur hurlait plusieurs de ses hommes arrivaient, ils étaient armés. 

Sunny ne lâchait pas la malle qu'il tenait toujours d'une seule main sur son épaule. Avec l'autre main il attrapait le passeur par la gorge et le soulevait à bout de bras. Je pointais ma carabine sur la tempe du gars. 

Moi : Jetez vos armes à l'eau !

Voyant que je ne plaisantais pas il s'exécutaient. Sunny reposait le bonhomme qui nous regardait l'air méchant. Le bateau avait déjà quitté l’embarcadère.

Lui : Mais vous êtes qui vous, certainement pas de simples voyageurs ?
Moi : Par contre toi tu es un vrai escroc. Tu as été payé et tu voulais nous rouler. Nous voyagerons avec toi, derrière toi dans la passerelle et un de nous t'auras toujours à l’œil. 

Déjà le bateau s'éloignait de la berge. C'est qu'ils nous auraient laissé sur place … Sunny changeait de vêtements, il enfilait ceux qui étaient dans la malle. Il cachait ses armes sur lui, sous ses vêtements. 

C'est vers la fin de la matinée qu'on arrivait sur l'autre côté du fleuve. L'ambiance y était totalement différente. Il y avait des militaires un peu partout. Sunny ne passait pas inaperçu, ses vêtements étaient neufs, et il avait belle allure. On ne se séparait pas tout de suite, il m'accompagnait pour trouver un bateau pour mon retour. Le fleuve était bloqué, la frontière totalement fermée. 

Sunny : Tu sais Jonathan, là je regrette de t'avoir entraîné dans cette aventure. Qu'est-ce que tu vas faire ?
Moi : Ma famille à une propriété encore plus dans le nord, l'hiver il y neige mais j'espère bien que j'aurai trouvé une solution avant l'hiver. Ne t'inquiète pas pour moi. 

A cet instant on entendant des cri. On courait voir, c'était un jeune homme noir qui se faisait brutalisé par un blanc. Sunny attrapait le blanc par l'épaule qui voyant le géant ne tentais pas vraiment de jouer les héros, il préférait ne pas résister. 

Lui : Mais c'est vrai au prix que je l'ai payé il n'y a pas dix jours, il faudrait que j'accepte de le libérer !
Moi : Et c'est une raison pour le frapper ?
Lui : J'en fais ce que je veux je l'ai payé !
Moi : Et mon ami va te casser le bras avec une seule main si tu continues !

L'homme était blanc mais là il devenait tout pâle. Le noir était tout jeune, un peu plus jeune que moi, il ne savait pas quoi faire, il était désemparé.

Sunny : Dis moi mon frère sais-tu ou aller.

Il faisait non de la tête.

Sunny : Alors si tu veux bien tu peux suivre mon ami, il aura besoin de quelqu'un qui prenne soin de lui … 

C'est là qu'on s'est séparé. Je lui donnais la carabine c'est avec celle là qu'il avait appris à tirer, la cartouchière, des munitions et une bourse bien remplie. On s'est fait l'accolade, on ne voulait pas se lâcher mais nos destins se séparaient ici.

Je me retrouvais avec ce jeune homme qui paraissait encore plus perdu que moi. Pour commencer, il y avait urgence, il sentait terriblement mauvais. 

Moi : Il y a combien de temps que tu n'as pas pris une douche toi ?

Bêtement il reniflait ses vêtements, enfin ses haillons. On trouvait un de ces bains-douche, c'était tenu par un asiatique qui nous recevait sans faire de manières.

Il se déshabillait devant moi, il était vraiment sale. Je le regardais retirer sa tunique, c'était une horreur elle aurait tenu debout toute seule. Mais elle cachait un torse mince, discrètement musclé et sous la crasse, on devinait que sa peau avait un grain très fin. J'en devinais la douceur. Déjà ma queue commençait à se manifester. Suivait ensuite son pantalon, lui aussi il tenait debout tout seul. 

Son corps était élégant, mince mais bien proportionné. Il ne ressemblait pas du tout à Sunny. Sa queue, c'est important ça la queue chez un homme, était agréable à regarder. Elle faisait moins peur, elle avait l'air toute petite. A poil il n'avait pas l'air dégourdi mais moi je me rinçais l’œil. Finalement il était mignon, évidemment il ne fallait pas regarder de trop prêt la touffe de poils emmêles qu'il avait sur la tête, il y avait des trucs qui bougeaient dedans aussi je  décidais de procéder d'une manière radicale. Je lui rasais la tête.

Il ne protestais pas, il se laissait faire de bonne grâce. Le tenancier de ce bain douche arrivait et restait catastrophé en voyant la couleur de l'eau. Je rigolais, je jeune homme paraissait embarrassé, il était entièrement nu devant nous. Sa queue avait pris du volume et paraissait de bonne taille maintenant, enfin de taille normale si je m'en réfère à la mienne.

Le tenancier : Je crois qu'il va falloir un deuxième bain monsieur !
Moi : Tu pourrais lui trouver aussi des vêtements propres, tout ce qu'il lui faut ? Et prépare deux bains je vais en prendre un aussi.

Pendant que le personnel préparait les deux bains que j'avais demandé je regardais mon nouveau camarade. Il était nu, il commençait à se détendre, déjà avec les cheveux court et même s'il avait encore besoin d'un second bain il avait déjà bien meilleure allure. 

Sa peau semblait douce, et j'avais bien envie de le vérifier de plus prêt. Il avait une bonne tête, il était jeune, il avait une musculature fine mais c'est vrai qu'il était maigre. Son ventre était plat et on voyait s'y dessiner une petite tablette de chocolat. Détendu et réconforté, sa queue pendait, finalement elle n'était pas si petite que ça, la chaleur du bain l'avait revigorée. 

Je me déshabillais devant lui. Il me regardait fixement, je le voyais, ses yeux parcouraient mon corps en commençant par mon visage. Je vous l'ai dit il me semble, je suis plutôt mignon, très mignon même. Il s'arrêtait un instant sur ma poitrine, puis son regard continuait plus bas et marquait une longue pose quand il arrivait à ma bite. Il gardait toujours cet air farouche, méfiant et n'osais pas me regarder en face. Mais ses yeux,eux, allaient droit au but.

Je faisais la même chose que lui je l'observais et j'aimais ce que je voyais. Finalement il me plaisait bien ce petit gars et à cet instant j'avais oublié tous mes soucis. Ma bite commençait à prendre du volume, il le remarquais et je voyais la sienne en faire autant. 

On se glissait dans nos baquets respectifs, ils étaient côte à côte. J'en  profitais pour faire plus ample connaissance. En voulant attraper le savon mon bras touchait le sien, il se rétractait rapidement.

Lui : Non il ne faut pas !
Moi : Qu'est-ce qui ne va pas !

Il avait l'air confus, je lui prenait le bras, sa peau était douce, je me retenais d'en toucher plus mais là j'avais du mal. Il voulait se dégager et se relevait, il bandait et il en avait  une belle. Il se rasseyait dans le bain et se ratatinait sur lui même.

Je l'attrapais par les épaules. 

Moi : Il y a quelque chose qui ne va pas, c'est moi qui te met dans cet état ?

Il n'osait plus me regarder, il cachait son sexe.

Moi : Bon tu me racontes ce qui t'arrive !

Ce n'était pas une question c'était un ordre. Je ne l'avais pas lâché et sans le faire exprès je lui caressait le haut du torse, en m'attardant sur ses tétons. Il y avait quelques muscles, ils était fin mais bien réel. Sa peau était douce, terriblement douce et j'avais eu une mauvaise  journée et une mauvaise nuit, je ne sais pas mais … J'avais envie d'un câlin et il était là.

Je me penchais vers lui et l'embrassais sur la bouche, maintenant qu'il sentait bon il devenait vraiment attirant. Je glissait une main dans son baquet et lui caressait le ventre en descendant vers sa bite. Il ne semblait pas résister, il restait totalement passif. J'arrivais à sa queue, il bandait au moins autant que moi. Avec mon autre main je lui caressais l'épaule et le haut de son bras, c'est à ce moment que j'ai senti sa main sur ma queue. Il me masturbait avec une grande douceur. Il avait passé une main juste derrière ma tête et me rendait mon baiser. Quand il retirait sa tête en arrière il me regardait dans les yeux, j'étais bouleversé. Il avait des yeux noirs, dans lesquels je pouvais me voir.

Je lui caressais le visage et je le voyais alors d'une manière totalement différente. C'était un très beau jeune homme que j'avais dans mes bras, il était un peu maigre et je sentais comme un gargouillis dans son ventre ou alors c'était dans le mien, je ne pouvais pas vraiment le dire en sortant d'ici on irait manger !

Il se relevait devant moi, je lui caressais le corps, et au moment ou il se retrouvait debout je lui suçais la queue. Il était surpris, et voulait me retenir. Je levais les yeux vers lui et avait l'air surpris. Je me cramponnais à ses cuisses et il finissait par me laisser faire. 

Au bout d'un long moment je me relevais à mon tour, il me rendais alors le plaisir que je lui avait donné. Il faisait ça très bien, mais vraiment très bien. Il se relevait au bout d'un long moment et me couvrait de baisers jusqu'à mon épaule, il me glissait alors à l'oreille.

Lui : Prend moi Monsieur !

Il se retournait et se penchait en avant. 

Je ne sais pas si vous avez remarqué mais avec les hommes en général c'est moi qui me retrouve dans cette position. Mais ça me faisait plaisir de faire cette nouvelle expérience. Je lui lubrifiais alors longuement le cul, j'en faisait autant pour ma bite, je prenais position et enfonçait lentement ma queue dans son cul.

Il ne résistait pas, il relevait la tête et gémissait de plaisir. Je ressortais pour revenir bien à fond, il en redemandait encore. J'accélérais le mouvement, ses gémissements devenaient plus intenses. Je me lâchais et mon bassin claquait contre ses fesses. Il se masturbait. Je me penchais sur lui et passais mon bras autour de son cou, je le relevais il était debout devant moi, il se masturbait ma queue lui limais le cul avec une certaine violence.

On a joui en même temps. Il tournait la tête vers moi et on s'embrassait. Rapidement on sortait de l'eau, la couleur de l'eau avait à peine changée, on était propre. On se séchait, il me regardait un peu plus directement maintenant. On s'habillait, les vêtements que notre hôte asiatique avait trouvé étaient propre, à peu prêt à sa taille et c'était satisfaisant, on lui trouvait aussi des chaussure, je payais et on sortait. 

Un nouveau gargouillis dans son ventre, là je savais que c'était pas dans le mien, me rappelait qu'on avait faim. Je remarquais rapidement que seuls les restaurants tenus par asiatiques acceptait de servir mon camarade, je ne connaissait pas cette cuisine mais elle ne devait pas être plus mauvaise qu'une autre … 



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23 Juin 2020

J 175


Le 75 là, ça me rappelle quelque chose, mais quoi ?



75 ! 75 ? Ça va me revenir, ça va me revenir !



Il va faire beau aujourd'hui, plage, coup de soleil, urgences hospitalières, mélanomes et pour finir bronzage !



175 ... 75 ... Ce chiffre me dit vraiment quelque chose !



75 mais bien sûr ! C'était la durée pendant laquelle je pensais garder mon dispositif non stop ! Oui mais là je suis à 175 ... C'est loupé ! Et crotte ! ( vous avez vu ça , sachant que je serais lu , j'ai pas dit ' Et merde ' )


22 Juin 2020

J 174


Ouéééééé ! Il devrait faire beau ... Je me disais aussi ... On est en été quand même !



Donc je suis content !



Le réveil est pas trop difficile aujourd'hui . Pour une fois que je ne me tordais pas de douleur et que je ne me réveillais pas en larmes ... Mais non là je déconne ...



Bref tout se passe bien ! Cool
Visage légèrement souriant


ET TOUJOURS EN ÉTÉ 12 UN BEAU MARIAGE

ET TOUJOURS EN ÉTÉ 12
UN BEAU MARIAGE


C'était une grande fête. Ce jour là tous les commerçants du village nous ont béni. Nous avions organisé une fête un repas était offert au petit peuple sur la place du village et on avait prévu large pour le vin, les personnalités importantes étaient invitées à notre maison, quelques centaines d'invités. Dans le jardin on avait installé des tables, des tentes …  

Même nos esclaves avait une journée de repos. On n'avait oublié personne.

Quand le révérant posait la question qui tue à mon cousin … 

Le révérant : Acceptez vous de prendre pour légitime épouse …
Samuel : Oulala que oui ! Il était temps même je dirais !

Tout le monde éclatait de rire. Et comme on était dans la bonne humeur sa fiancée elle répliquait. '' La franchement, là moi j'hésite, finalement ça m'a l'air d'être un petit rigolo ! ''. Vous auriez vu la tête qu'il a fait.

Sarah et moi étions plus sérieux, on se contentait de répondre ce qui était prévu … '' Oui je le veux !'' .

Il y avait ensuite le repas, on avait vu grand plusieurs plats par convive. Suivait un bal. Je ne vous dis pas comment les mariés étaient beaux, mais là c'est normal je parle aussi de moi. Les mariées par contre étaient sublimes, Samuel et Moi étions totalement amoureux. Sunny avait voulu assurer le service, il avait son costume de valet sur le dos et lui aussi il était beau. Quand il me regardait, je lisais comme de l'inquiétude dans son regard. 

Avec un grand sourire il venait me servir un verre de très bon vin, il en profitait pour me glisser à l'oreille.

Sunny : Monsieur Jonathan, je peux toujours compter sur vous pour mon projet ?
Moi : Je ne te laisserai pas tomber, donne moi seulement une semaine. Juste une semaine et nous partirons en voyage comme promis.

Je savais que son inquiétude montait, maintenant il avait peur que je ne respecte pas ma promesse. Ce qui avait été un rêve, était devenu un projet, et maintenant c'était imminent et si je le laissais tomber il aurait été très malheureux. Peut être même aurait-il fait une bêtise.

Les mariés se retiraient tôt comme il convient pour consommer le mariage. On m'avait changé de chambre et pour ce qui est de Samuel sa chambre était dans sa nouvelle maison et c'est dans un carrosse grand luxe qu'il s'y rendait. 

J'avais déjà une certaine expérience mais dans cette situation mon expérience était loin d'être certaine ... On avait dans la bibliothèque des livres très particuliers si j'ose dire. Dans notre société, le sexe n'était pas quelque chose d'interdit. Sauf en dehors du mariage, mais on nous apprenait très tôt comment on faisait les enfants et on nous apprenait aussi que le mariage servait à découvrir des plaisirs qu'entre époux nous pouvions partager, nous ne devions rien nous interdire …

Sarah avait reçu elle aussi une éducation sexuelle, certainement pas la même que celle que j'avais partagé avec mon cousin mais … peut être. Elle s'approchait de moi, certainement intimidée. Moi je l'étais en tout cas. Elle me tendait ses bras, je m'approchais et on se prenait dans les bras. Elle me donnait un baiser et je ne sais pas si on lui avait expliqué mais elle savait embrasser, elle embrassait très bien même.

Ensuite avec douceur elle ouvrait ma chemise en prenant bien son temps, bouton par bouton et elle glissait sa main contre ma poitrine. Ce contacte était doux et chaud et ma queue réagissait rapidement à ce contacte. Ma queue se redressait et la toile de mon pantalon ne la contenait pas vraiment. 

Sarah baissait les yeux et semblait amusée. 

Sarah : C'est donc de cela qu'il s'agit.

Elle y posait sa main sans montrer de gène. Elle était amusée, curieuse ou vicieuse ? Là je dois dire que je ne savais plus quoi penser. Elle n'insistait pas et continuait à me déshabiller. Je me retrouvais torse nue, vous savez moi aussi je suis beau et musclé. Elle se collait à moi et me donnait des baisers sur les épaules. 

Ensuite elle ne bougeait plus, et me regardait avec un grand sourire. Je ne savais plus quoi faire …

Sarah : C'est à toi maintenant.

Je réagissais. Avec douceur autant qu'avec maladresse je lui retirait le voile qu'elle avait encore sur la tête et posait ensuite mes deux mains sur les côté de son torse, pas directement sur ses seins, mais je les sentais bien. Ils semblaient fermes, pas très gros, je pouvait les recouvrir de la main . 

En riant elle redressait le tête et m'offrait sa gorge en relevant la tête, je m'approchais d'elle, je sentais sa poitrine, je lui donnais un baiser dans le cou et je finissait pas comprendre qu'il fallait que  je lui ouvre son corsage. Je faisais comme elle, je faisais sauter les boutons un par un et en quelques instants je découvrais sa poitrine nue. 

Je n'avais jamais imaginé qu'une femme pouvait être aussi belle. Elle était menue, sa poitrine était fine et ferme. Je la caressait avec le dos de mes doigts que je faisais glisser depuis son menton jusque sur son ventre, je m'attardais un petit moment sur ses seins. Elle me regardait avec un grand sourire et je sentais ses mains qui glissaient sur tout mon torse et s'arrêtaient sur le ceinture de mon pantalon.

Sarah : Voyons ce que les hommes ne veulent jamais montrer et qui semble être le centre de toute leur attention. Ma mère m'en a parlé, elle m'a dit tant de choses.

Elle avait été briefée, ça ne faisait plus aucun doute.

Elle ouvrait mon pantalon qui tombait sur mes chevilles. Ma queue se dressait fièrement devant moi. Elle regardait, doucement me la caressait et cette caresse me faisait bander encore plus fort. 

Sarah : Ça marche comment ?
Moi : Euh je sais pas.
Sarah : ( en rigolant ) Tu ne ne sais pas ? Voilà qui devrait être embarrassant, si toi tu ne sais pas comment ça marche alors que tu en a une.

Je ne savais plus quoi dire, plus quoi faire.

Sarah : Ma mère m'a aussi dit que souvent les hommes pour leur nuit de noce ne sont pas toujours très dégourdis. Je me trouve encore très habillée.

Là j'avais compris le message, je cherchais des yeux comment on ouvrait la jupe. Elle se retournait et me montrait les lacets qui retenaient la jupe. En tremblant, je l'ouvrait et sa jupe tombait sur ses pieds. Elle était nue, ses fesses étaient fine et je ne résistait pas à l'envie de toucher. C'est vrai que j'avais le droit.

Jonathan : Tu n'as pas l'air d'être gênée par la situation. C'est …
Sarah : C'est le jour de notre mariage et ma mère m'a expliqué que le mariage … C'est pour que nos corps se mélange, n'en forme plus qu'un, que nous ayons des enfants mais aussi du plaisir. 

Elle me tournait le dos en disant cela, je l'approchais la prenait dans mes bras, la serrait contre moi, ma queue se glissait entre ses cuisses juste sous ses fesses et je caressais son corps.

Je m'attardais longuement sur son ventre, avec le plat de la main j'explorais son entre  jambe, elle me guidait d'une main, avec mon autre main je lui caressais la poitrine. Je sentais ses téton se dresser sous ma main. Je pensais à Sunny qui était capable d'une immense douceur alors qu'il était une montagne de force et je m'en inspirait.

Elle penchait la tête en arrière puis sur mon épaule et je la couvrais de baisers dans le cou et sur l'épaule. Elle glissait ses deux mains dans son dos pour me caresser le corps ou juste pour me toucher.

Elle se retournait, je la laissais faire. Ma queue se redressait contre mon ventre. Nous étions là au milieu de notre chambre, nus, enlacés. Elle me guidait, je veux dire elle guidait ma queue, je suivais le mouvement et je sentais ma queue s'introduire en elle. 

Sarah : Vas y pénètre moi.

Je poussais fort, lentement mais fort. Je ne savais pas si ça résisterait, si ça glisserait, si ça … Bein oui on ne m'avait pas tout dit, on avait un peu oublié les détails. Elle avait l'air d'apprécier, un moment elle faisait une grimace, c'était un peu de douleur ? Je ne savais pas, elle s'accrochait à mon cou, je passait mes deux mains sous ses fesses. Elle relevait les jambes et les refermait fermement dans mon dos. Ma queue était entrée totalement, c'était doux, c'était chaud, c'était bon .

Je la soulevais doucement et me dirigeait vers le lit. Avec une grande douceur je me penchais, la déposais sur le lit et m'allongeait sur elle. Je sentais son ventre se contracter autour de ma queue. Je l'embrassais et en même temps je me retirait et m'enfonçais de nouveau en elle. 

Je recommençais, un peu plus vite, un peu plus lentement. Bien enfoncé en elle je poussais mon ventre contre le sien, elle semblait apprécier. Elle gémissait de plaisir et me caressait le dos. Ses mouvements devenaient plus fous, plus rapides, plus agités. Je sentais son corps se tordre entre mes bras, je sentais son corps se contracter autour de ma queue. Sa respiration devenait irrégulière, elle gémissait, se yeux se retournaient. 

Je ne comprenait plus ce qui se passait, mon corps lui aussi réagissait d'une manière incontrôlable. Mon souffle s'accélérait également et se synchronisait sur le sien. 

C'est dans un gémissement de plaisir que je jouissait, j'éjaculais. Je ne sais pas si elle l'a ressenti mais c'est en même temps que nos deux corps se contractaient avant de se relâcher totalement.

Je passais une bonne partie de la nuit à explorer comment son corps était fait, elle en faisait de même. Il y avait quelques petites traces de sang dans le lit. Je m'en inquiétait mais elle me rassurait en m'expliquant  '' C'est normal mon amour, ça veut seulement dire que tu es le premier … C'est normal''...

On s'endormait, je me réveillais elle était dans mes bras. Un peu plus tard nous descendions à la salle à manger. On nous avait réservé un coin sur la terrasse.  

On passait la journée à nous promener, à ne rien faire, on saluait les invités qui avaient passé la nuit à la maison. A midi nous allions dîner chez la famille de Sarah. J'y retrouvais Samuel qui, lui aussi, avait des étoiles dans les yeux. 

On s'était réservé quelques jours de pur bonheur. Mais les nuages sombres arrivaient. On parlait de la guerre.

Les régions du nord nous avaient déclaré la guerre.

Un oncle : Mais ça n'a aucun sens, nous somme une même nation.
Mon père : Nous commerçons toujours, en ce moment encore, avec le nord !
Ma tante : En plus nous avons la même monnaie ! C'est incompréhensible !

Trois jours plus tard, j'étais avec Sarah dans ma chambre. Sunny frappait à la porte, il entrait.

Sunny : Monsieur Jonathan, il faut que je vous parle à propos de ce voyage que vous aviez planifié.

Sarah écoutait, je lui avais dit que j'aurais quelque chose de très important à faire. Je ne savais pas comment réagir. La présence de ma femme m'embarrassait.

Sunny : On dit que la frontière va bientôt être fermée, si nous ne partons pas tout de suite, nous ne pourrons pas passer.
Moi : Oui bien sûr, mais enfin Sunny ..
Sunny : Je t'en supplie Jonathan.

Sous l'effet de l'angoisse il avait oublié le protocole et je ne m'en offusquais pas. Sarah se relevait se dirigeait vers Sunny.

Sarah : Vous allez me dire ce que vous me cachez tous les deux !

Personne ne lui répondait.

Sarah : Jonathan, Sunny …
Sarah : Jonathan, je suis ta femme, tu ne doit rien me cacher. J'ai aussi le devoir de te soutenir dans tout ce que tu juges juste. J'exige de tout savoir !

Je jetais un œil en direction de Sunny et racontait tout à ma femme. Quand  je terminais, Sunny était assis sur la chaise, on n'avait complètement oublié le protocole.

Sarah : J'ai appris que les esclaves n'ont plus le droit de se déplacer comme d'habitude. Des milices se sont formées et surveillent tous les mouvements. Si nous voulons avoir des chances, nous devons partir maintenant.

Sunny regardait longuement ma femme. Ce jour là elle m'a surpris, très agréablement surpris. Moins d'une heure plus tard nous étions prêts. Sarah était habillée et nous accompagnait.

Sarah : Avec une femme avec vous, nous passerons plus facilement. Aucun homme ne part en guerre avec son esclave trois jours après son mariage à moins d'y être obligé. Mais même dans ce cas il ne partira jamais avec sa femme !

Elle n'avait pas tort.



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

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