29 Décembre 2021

 Jour 69






Acteur porno 05 Le spectacle tourne

 Acteur porno 05

Le spectacle tourne



C'est dans la semaine qui suivait que René contactait Louis. Comme on pouvait s'y attendre, il lui avait tapé dans l’œil autant qu'il avait tapé dans le cul de Benoît notre beau Louis, alias Rock Hard … 


Apprenant que Louis travaillait à 'La Capote En Glaise' il débarquait en grandes pompes. Il y a ses entrées. Lui et Léo, le patron de la boites on fait leurs classes ensemble, ce sont de vieux compagnon de régiment … ( comme on dit )


Il arrivait avec Benoît et ils étaient très bien reçus. Toute l'équipe de la boite venait leur faire la bise, chacun leur tour. Plus de la moitié de l'équipe avait travaillé pour les productions 'René Porno Vidéo' et tout le monde connaissait René et son époux Benoît. 


Benoît comme à son habitude s'installait au pied de la scène, aux premières places et se commandait une bouteille de champagne. Il n'a rien loupé du reste de la soirée, pas même la troisième bouteille de champagne , la deuxième non plus, remarquez. Benoît n'est pas du genre à louper une bouteille qui passe. 


René discutait longuement avec son vieux pote, Léo. Il avait un projet de film, il en produisait en général un par semaine donc ça n'avait rien d'extraordinaire. Il voulait Louis dans le rôle principal. 


– Il n'y a aucun problème, mon petit René. Si Louis est intéressé par le job, je lui trouverai des créneaux horaires, comme d'habitude. Pour qu'il puisse tourner.

– J'étais justement venu lui proposer un rôle. Rajoutait René.

– Il est bien, tu sais, le jour ou je l'ai reçu il avait gros gode dans le cul, il est venu avec, il est reparti avec …

– Ah je comprends mieux ou il était passé ce gode …

– Tu vois bien que c'est pas moi qui l'avait perdu ton gode. Rajoutait Benoît qui avait toujours une oreille qui traînait partout. 


Puis prenant Léo  et le barman en témoin. 


– Je ne vous raconte pas la comédie qu'il m'a fait. Il m'a reproché d'avoir perdu le gode, tu ne peux pas imaginer comment il me traite Léo, je te jure on n'a pas une vie facile … Enfin pour lui oui mais …

– Je lui avait juste demandé s'il n'avait pas vu le gode … Rajoutait René. C'est tout.


Puis Benoît repartait vers sa table en gémissant, mais avec une nouvelle bouteille dans la main.


– Il ne change pas celui là ? Faisait remarquer Léo.

– Comme tu dis. 


Un peu plus tard Louis montait sur scène, il faisait son spectacle, son partenaire était à moitié allongé sur le sol, il faisait la manche. Louis le repoussait du pied, mais je ne vous ai pas déjà raconté. Bon passons à la suite. Ils étaient très applaudis, un gros succès à chaque fois, ils faisaient comme d'habitude le tour de la piste de danse, se faisaient longuement tripoter. Louis avait très vite compris qu'il gagnait plus en agissant ainsi. 


Il retrouvait son patron au bar et le producteur René ... Les trois hommes discutaient un moment. Louis était très content de voir qu'il pourrait tourner tout en travaillant ici. C'était une bonne nouvelle ça pour lui. Il avait la certitude de pouvoir ainsi arrondir ses fins de mois d'une manière très confortable. 


Puis il reprenait le service torse nue, il aimait bien montrer son corps le très beau Louis, il avait tout ce qu'il faut comme muscles pour faire tourner la tête de n'importe quel homme normalement constitué, n'importe quelle femme aussi mais là on s'en moque un peu … 


Un peu plus tard c'était de nouveau le tour de Louis de remonter sur scène, il débutait il n'avait que deux petites pièce à  jouer. 


Au milieu de la scène on avait disposé une chaise, sur son dossier une chemise blanche négligemment posée là. Louis entrait sur scène, il était très applaudi puis plus un bruit, il réajustait son pantalon, il portait un pantalon en étoffe légère, un pantalon de costume, il prenait avec des gestes élégants la chemise et se glissait dedans, il était de nouveau applaudi. 


Il sont bizarres dans cette boite de strip-tease, il applaudissent les mecs qui se rhabillent maintenant, enfin bon passons.


Louis prenait bien le temps d'ajuster sa chemise, c'est vrai qu'elle était belle sa chemise, un autre homme habillé en costume moins prestigieux, un costume de valet, c'était Mat, arrivait il tenait dans sa main une cravate. 


Louis le laissait ajuster sa cravate, il lui souriait et en même temps lui tripotait les couilles. Le valet ne bronchait pas et laissait faire, il continuait avec le plus grand soin, il réajustait la chemise, la ceinture, le pantalon, la braguette et lui tripotait les couilles à son tour.


Louis le prenait dans ses bras son partenaire et l'embrassait. Il ouvrait son gilet, suivait la chemise et celui qui jouait le rôle du valet se retrouvait torse nue. Louis lui caressait le corps avec douceur. C'était un moment très doux, il n'y avait plus de bruits dans la salle.


Le Valet ouvrait la chemise de Louis, et finalement la lui retirait la cravate aussi. Les deux corps se caressaient l'un l'autre, se frottaient l'un contre l'autre. Ils étaient là debout au milieu de la scène, et partageaient un moment de pure tendresse, de pure douceur.


Les mains du valet se glissaient dans le pantalon de Louis, et finissaient par l'ouvrir. Bien sûr Louis ne portait pas de sous vêtement et montrait des fesses magnifiques et des jambes superbes quand son pantalon tombait sur ses chevilles.


Louis rendait la politesse à son partenaire, ils repoussaient leur pantalon plus loin Louis prenait la queue de son camarade dans la bouche, ils étaient alors sur le manège, c'est une partie de la scène qui tourne sur elle même. 


Louis suçais longuement la queue de son partenaire, toute la salle pouvait admirer sa dextérité. La queue de Mat, celui qui jouait le valet s'appelait Mat, s'enfonçait avec une incroyable facilité dans la gorge de Louis. Mat écartait bien les jambes et Louis pouvait passer ses bras entre ses cuisses pour lui caresser les fesses et le bas du dos.


Mat prenait la tête de Louis entre ses main, la retenait avec force et lui donnait des coups de bassins dans la figure. Ça devenait un peu plus violent mais ça restait encore raisonnable. Louis encaissait sans broncher.


Mat appuyait sur la tête de Louis à chacun de ses coup de bite dans sa gorge, c'était moins raisonnable et un peu plus violent. Louis attrapais Mat par les hanches et le retenant bien il appuyait son visage contre son ventre avec force. La queue de Mat disparaissait totalement dans la gorge de Louis. Pourtant il était était très bien monté. 


Louis se relevait brusquement puis serrait avec force son partenaire dans ses bras, ils échangeaient un baiser puis c'était Mat qui prenait la position et suçait avec la même fougue la queue de Louis. 


Au premier coup d’œil il était difficile de savoir lequel des deux avait la plus grosse. C'est vrai qu'il avaient tous les deux beaucoup de tallent. Chacun des deux avalait la queue de l'autre sans difficulté. 


D'un geste vif Louis retournait Mat. Dans la salle c'étaient des cris. Louis poussait en avant son partenaire qui s'appuyait sur le dossier de la chaise. Louis se lubrifiait, ce n'étaient plus que cris et hurlement dans la salle. 


Brusquement Louis enculait avec force son partenaire Mat hurlait et se redressait. Louis donnait un nouveau coup de bassin bien fort, bien violent. Il passait un bras autour du cou de Mat, il le redressait ainsi contre lui, et continuait à lui défoncer les fesses. Sa queue entrait, sortait, de plus en plus vite. 


Mat pour se redresser devait cambrer le dos, la position n'était pas idéal pour se prendre la bite de Louis dans le cul. Pourtant elle entrait, elle entrait facilement, Louis ne jouait pas les tendre et les coups qu'il portait étaient réels, violents et réels. 


Mat agitait les bras, il jouait les victimes paniqués, il tentait de se dégager en convulsant mais Louis continuait à lui buriner le cul sans aucune pitié et quand ça résistait, il forçait tout simplement, il forçait et sa queue entrait bien à fond. 


Mat gémissait fort maintenant, il gémissait plus fort à chaque coup porté. Le ventre de Louis s'écrasait contre les fesses de Mat, qui ne pouvait plus résister et suppliait. Dans la salle Le public était en transe, plus personne ne savait si c'était réel, si c'était joué, s'ils faisaient semblant ou pas. La seule chose qui était sûre c'est pour ce qui est de bien rentrer à fond, la queue de Louis rentrait bien à fond. 


C'était l'effet manège, la piste tournait et entraînait les deux artistes qui de ce fait pouvaient être vus sous tout les angles depuis toute la salle. 


Il y avait aussi une petite table basse sur la scène. Louis la plaçait d'un geste au milieu du manège. Il tirait son partenaire par le bras et l'installait sur le dos sur la table, il lui relevait alors les jambes, les repliait contre don partenaire qui gémissait et le pénétrait de nouveau en un mouvement rapide et violent.


Puis il lui labourait littéralement le cul. Il frappait fort, à fond. Très fort et bien à fond. Son ventre claquait contre les fesses de Mat. 


La scène durait, la scène était longue jusqu'au moment ou Louis décidait d'en finir. Il se retirait alors se masturbait quelques seconde, pas plus et jutait abondamment sur le ventre de son partenaire. 


Mat n'avait pas joui, enfin ça on n'en sait rien il avait le sourire, Louis avait joui lui, ils étaient tous les deux en sueur. Louis se relevait, tendait la main à son partenaire pour l'aider à se relever et c'est à poil qu'ils faisaient le tour de piste et saluaient avant de disparaître derrière les rideaux au fond de la scène.


La salle était en délire. 


René applaudissait. 


– J'ai comme l'impression qu'on a une futur vedette. Disait René à Léo.

– Tu as raison, je vais tout faire pour le garder. 



Le premier tournage proposé à Louis ne tardait. C'était en dehors de ses horaire de travail. C'était organisé. Et pendant les mois qui suivaient Louis, alias Rock Hard devenait célèbre dans le milieu.


Il était apprécié pour les coups de bite qu'il savait donner, mais encore plus par les coups de bite qu'il pouvait encaisser. Un soir, sur scène il s'est fait défoncer le cul à six reprises. 


Il fallait se rendre à l'évidence, il était passif. Il jouait les actifs car monté comme il était on le lui demandais mais il était passif. Gaétan le savait depuis  un moment, entre eux Louis était toujours passif, ce qui ne dérangeait pas Gaétan qui, lui, préférait de loin être actif.


Un an plus tard il était surnommé ' l'étalon passif ' il se spécialisait dans les rôles de celui qui se fait défoncer le cul. Il ne disait jamais non à un queue, même de grosse taille, surtout de grosse taille. Il s'était installé avec Gaétan qui assistait à tous les tournages. Il aimait bien voir son doudou se faire défoncer le cul, et il aimait bien lui faire subir la même chose le soir, entre eux … 


Avec le boulot et le plaisir, Louis se faisait bien défoncer le cul en moyenne quatre à cinq fois par jours. Il était toujours partant, il était insatiable, infatigable. 


A suivre



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Trois chambres pour quatre

 Trois chambres pour quatre



C'est cette caresse qui commençait à me réveiller. Sa main glissait sur mon corps et descendait jusqu'à mon dispositif de chasteté, elle s'arrêtait sur mes couilles avant de me les tripoter.


C'est aussi un mince filet d'air qui s'infiltrait sous la couette.


C'est ce baiser très doux qu'il me déposait dans le haut du dos, juste entre les omoplates, là ou ça fait guili-guili. 


C'est également cette pression douce puis forte que je ressentais au niveau de mon cul. Il poussait et mon anus ne résistait pas bien longtemps.


C'est à ce moment, quand sa queue entrait en moi que je terminais de me réveiller. Rapidement j'étais submergé de plaisir. Quand on se fait défoncer le cul très souvent, la stimulation ne descend jamais complètement et le plaisir monte vite, très vite. 


La dernière fois qu'il m'avait pénétré, c'était quelques heures plus tôt, juste avant de nous endormir. Et c'était avec sa queue dans le cul que je me réveillais. C'était un beau réveil ! 


David refermait ses bras autour de moi et me tirait contre lui, il se blottissait contre moi. Je retournais le visage vers lui, il en profitait pour passer la tête par dessus mon épaule et pour me donner un baiser sur les lèvres.


Son ventre m'écrasait les fesses, il s'était installé bien douillettement en moi. Je respirait fort. Il se retirait avant de revenir et il n'était en moi que depuis quelques secondes qu'il commençait à me limer le cul. Je gémissait fort, déjà très fort, de plaisir.


Il ne cherchait pas à se retenir, il me donnait du plaisir, il m'en donnait même beaucoup au début puis pensait à son propre plaisir. Ça durerait le temps que ça durerait. S'il devait jouir en trois minutes, ça ne durerait que trois minutes …


David s'activait et ses mouvements devenaient rapides, il avait une grosse queue qui n'avait pourtant eu aucune difficulté à se frayer un passage, et qui glissait avec fluidité entre mes fesses, dans mon cul, profond dans mon cul …


Il me repoussait en avant, je me retrouvais allongé sur le ventre et lui, allongé sur moi. Il me burinait le cul avec vigueur, presque avec violence. Il respirait fort, je gémissais.


Il gémissait, j'avais le souffle court. Finalement il jouissait et éjaculait dans mon cul. J'ai senti ses muscles se contracter, j'ai senti son souffle dans mon cou et  j'en entendu le cri de plaisir dans mon oreille, même qu'après je n'entendais plus rien de cette oreille …


I me donnait alors un tendre, un très tendre baiser dans le cou, là ou ça chatouille et une claque sur la fesse. Je me retournais on partageait quelques minutes de tendresse et je me levais.


Je passais devant la porte de la chambre de Willy, il est mignon aussi Willy. Sa bite est légèrement plus petite que celle de David mais il est bien tout de même. Je l'aime bien Willy.


J'entrouvrais la porte et je le voyais, il était allongé sur le dos, une jambe dépassait de la couette, on apercevait la base de sa queue et une épaule. Par tendresse je souriais et me glissais dans sa chambre.


Je ne faisais pas de bruit, surtout pas. Je voulais le surprendre, je m'approchais de son lit me penchais, glissait la tête sous sa couette et commençais à le sucer sans rien demander à personne. Il ne se réveillait pas tout de suite mais je sentais sa queue prendre du volume dans ma bouche. 


Je relevais la tête pour pouvoir mieux la rabaisser et me prendre sa queue jusqu'au fond de ma gorge. Il me caressait les cheveux, avec une main, je l'entendais gémir et je pense qu'il n'était pas totalement réveillé. 


Je le sentais s'étirer entre mes bras, il s'allongeait sur le dos et tirait la couette sur nous. J'étais accroupi à côté de son lit, tout le haut de mon corps sous la couette, seules mes fesses et mes cuisses ressortaient.


Sa queue venait se loger confortablement au fond de ma gorge, elle ressortait et je caressais alors son gland avec ma langue. Il était réveillé mais il me laissait faire. S'il veut m'enculer il le dira, je ne me posais pas de question et me concentrais sur mon affaire.


Sa queue entrait et ressortait de ma gorge, c'est moi qui faisais tout, il me laissait faire, il me caressait les cheveux mais ne prenait même pas la peine d'appuyer sur ma tête, c'est moi qui l'a penchais ou la relevais. Je le masturbais avec douceur quand je la relevais.


J'en profitais pour lui donner quelques baisers sur le ventre, avec la langue, là c'est moi qui lui faisais guili-guili. Je le chatouillais, je le faisais rire, il tremblait de plaisir.


Il me caressait le dos, sa main descendait jusqu'à mon cul et distraitement il y glissait un puis deux doigts. Mon cul restait bien lubrifié et il en profitait. Je reprenais alors sa queue dans ma bouche, bien à fond.


Par moment il me balançait des coups de bassin, un réflexe de sa part, j'encaissais alors sans râler et surtout sans faire de commentaire. Comment aurais-je pu, j'avais la bouche pleine. 


Puis il me retenait, il était complètement réveillé, il me retenait avec force et les coups de bassin n'étaient plus un simple réflexe, ils étaient volontaires. Volontaires et généreux, il ne se retenait plus, ses coups étaient violents avec une main sur le dos de ma tête j'en étais réduit à encaisser.


Il s'amusait de la situation, il gémissait, je faisais des bruits bizarres et ça l'amusait. Puis sans me prévenir mais je m'y attendais, je l'avais vu venir depuis un moment, il éjaculait généreusement dans ma bouche.


Trois ou quatre éjaculations puissantes, il poussait quelques nouveau cris de plaisir puis se laissait retomber. Je lui caressais les couilles encore un moment, il débandait. Je me retirais et après un dernier câlin, un dernier baiser je sortais de sa chambre, il me faisait un clin d’œil.


A quelques mètre de là, dans le couloir je passais devant la porte de la chambre à Kevin. Il est mignon aussi Kevin. Il est plus trapu, plus carré, plus large … Et je ne parle pas que du corps du bonhomme. Pour la queue c'est pareil.


Elle fait trapu, large par rapport à la longueur mais comme en plus elle est longue, je ne vous dis pas. Celle là, je ne me la suis pas prise dans le cul la première fois … Oulala non, mais avec le temps, et un peu d'entraînement, maintenant ça va.


Il était invisible sous la couette, replié sur lui même presque en boule il ne laissait apparaître qu'une grosse bosse sous la couette. Ça me faisait rire, ça manière de dormir m'a toujours fait rire, enfin quand il dort seul. Je l'ai déjà pratiqué et quand il dort avec quelqu'un il ne dort pas du tout comme ça. En général il vous prend dans ses bras et ne veut plus vous lâcher. Il est câlin.


J'entrais dans sa chambre et me glissait sous la couette. Sans se réveillé, sentant ma présence il se dépliait et me prenait dans ses bras. Il est étonnant, j'adore. Je l'embrassais alors, d'abord sur les lèvres puis ma bouche descendait. Je passais à ses épaules, je caressait son torse. Il se retrouvait totalement allongé sur le dos, et ronflait discrètement encore. Il dormait toujours. Je suppose qu'en plus des quelques câlins, je devais lui donner quelques très beaux rêves pour terminer sa nuit. 


Je m'allongeais alors sur son corps, le caressait du haut en bas avec les mains, mais aussi toujours avec mes lèvres et quand j'arrivais à sa bite, j'ouvrais grand la bouche. C'est toujours le problème avec les mecs qui on une très grosse queue, c'est pas facile à sucer. 


Il ne ronflait plus, on aurait dit qu'il ronronnait. Il me caressait la tête avec douceur, je ne parvenais pas à me prendre sa queue en entier dans la bouche. Heureusement ça rentre toujours plus facilement dans le cul que dans la bouche, il en était la preuve, dans la bouche il n'y avait aucune chance mais avec un peu d'effort, dans le cul, ça passait.


Je le lubrifiais, on a toujours tout ce qu'il faut pour ça dans l'appart. Je le lubrifiais donc longuement, oui deux fois valent mieux qu'une, surtout dans son cas. Puis je prenais place.


Les pieds de chaque côté de lui, accroupi sur sa queue, je me détendais le cul, je poussais, je respirais bien à fond et je poussais. Il s'est réveillé au moment ou mon cul à lâché, juste au moment ou il commençait à glisser en moi.


Il me regardait et me souriait. Il me laissait faire, il ne disait rien. Il me caressait les cuisses avant de me tripoter les couilles. Ma cage à bite ça l'a toujours amusé et il ne le cache pas. Il jouait avec mon dispositif de chasteté. Je m'enfonçais un peu plus, toujours un peu plus.


Puis il s'est complètement réveillé et sans prévenir il me donnait un violent coup de bassin. Sa queue est alors entrée jusqu'à la garde. J'ai gueulé, il m'a attrapé les pieds, les a tiré et quand je suis retombé je m'étais alors empalé sur sa queue, et comme je vous disais, elle est grosse.


J'ai couiné, c'était pas la première fois qu'il me faisait le coup mais à chaque fois ça me fait couiner. 


Il s'est alors redressé, à replié ses jambes en position du tailleur puis se balançant sur ses fesses il m’entraînait avec lui. Je vous jure, là, on la sent bien sa queue. Il m'enveloppait avec ses bras, me serrait bien fort contre lui et m'explosait les entrailles en même temps. Là j'ai dégusté.


C'est lui qui à mis le plus de temps pour jouir, c'est avec lui que j'ai le plus dégusté ce matin là encore. Mais bon, c'est normal c'est toujours avec lui que j'ai les sensations les  plus fortes et ce matin ne faisait pas exception.


J'ai vraiment joui au moment ou je me suis relevé, il avait joui mais avec une queue pareil dans le cul, le meilleur moment c'est quand ça s'arrête …


Je suis ensuite passé par la salle de bain, je me suis rafraîchi un peu le derrière puis je suis passé à la cuisine …


Dans le couloir j'ai croisé David qui m'a donné un baiser sur l'épaule, puis venait Willy qui m'a donné une tape sur la fesse et enfin Kevin qui m'a tripoté les couilles. Ils sont joueurs tout de même …


Bon je suppose que vous avez compris la situation, on est quatre dans l'appartement et il n'y a que trois chambres. Don je passe une nuit avec chacun d'entre eux chacun leur tour et le dimanche … Je fais le tour des chambres. 


C'était ça ou bien dormir sur le canapé … 


Fin



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27 Décembre 2021

 Jour 67








25 Décembre 2021

 Jour 65








Acteur porno 04 Les répétitions

 Acteur porno 04

Les répétitions



Le boss parlait longuement avec Louis, il lui proposait une sorte de chorégraphie quelques pas de danse, quelques rôles mimé, puis très vite on passait aux choses sérieuses on écrivait la scène. Il n'y aurait pas de textes, ce seraient des histoires mimées et dansées. 


Une chaise au milieu de la scène, torse nue Louis s'approchait il prenait la chemise qui était posée sur le dossier de la chaise, il l'enfilait, un autre acteur arrivait avec une cravate dans la main. Il aidait Louis à terminer de s'habiller, ensuite il lui faisait son nœud de cravate et là les mouvements devenaient plus lents. Le second personnage caressait l'entre jambe de Louis pour ajuster son pantalon, le massait longuement. Et C'était parti.


Quelques instants plus tard le second personnage était à genoux devant Louis et lui suçait la queue. C'était une première scène pour Louis.


La scène durait un peu moins de dix minutes, les deux hommes terminaient presque nus tous les deux. Et là on passait à autre chose. Une autre scène, les deux hommes descendaient dans les vestiaires. 


Quatre à cinq petites scènes, petites histoires jouées en direct par heures, depuis environ dix heures trente du soir jusqu'à quatre heure du matin. Les petites scènes duraient à peine dix minutes, il y avait de longs passages ambiance, boite de nuit. Là tout le monde dansait. Les artistes aussi sur scène. 


Dans certaines de ces scènes, les acteurs terminaient l'acte sexuel, le menaient à bout. Mais pas toujours. Quand les scènes ou l'acte sexuel était mené à terme, les acteurs descendaient à poil de la scène.


Sur scène, il y avait quelques accessoires de décor qui pouvaient être déplacés, une porte qui représentait une entrée d'appartement ou quelque chose comme ça. Un miroir, une chaise ça peut toujours servir. Le décor était minimaliste. 


Au pied de la scène il y avait une petite piste de danse d'un côté et dans la salle d'à côté il y avait une grande piste de danse, les deux étaient séparées par une cloison ouverte à plusieurs endroit, on pouvait voir tout se qui se passait sur scène depuis les deux pistes de danse. 


Dans les soirées, par moment, tout le monde dansait, sur la scène les acteurs pornos dansaient très dénudés alors que les clients dansaient sur les pistes de danse, plus d'un finissait par se retrouver torse nue.


Ce qui intéressait notre amis Louis pour le moment c'était les petites scènes qu'il devrait jouer. Il faudrait qu'il montre son élégance habituelle, ça, ça ne le dérangeait pas. Il faudrait qu'il se montre très dénudé, ça ne le dérangeait pas non plus. Il faudrait qu'il pratique des actes sexuels non simulés, ça ne le dérangeait pas d'avantage, autant dans le rôle du passif que dans celui de l'actif. 


Louis avait un très gros appétit sexuel. S'il se laissait aller, en fin de soirée après s'être fait défoncé le cul une ou deux fois et après avoir enculé une ou deux fois un de ses partenaires, il était prêt à recommencer. Il était comme ça Louis, infatigable. 


C'est ainsi que devaient se passer les soirées. Pour le moment c'était la répétition. Louis répétait avec Mat le première scène qu'il devrait jouer quelques jours plus tard, il y en aurait une autre dans la même soirée. Le reste du temps il ferait les gogos danseurs nus ou assurerait le service. 


Les artistes ne répétaient pas nus, ou rarement. Ils répétaient leurs rôles et quand ils étaient au point il venaient montrer ce qu'ils savaient faire. Ils jouaient alors leur petit spectacle devant tous leurs camarades, chacun donnait son avis … 


La répétition ne commençait que quand l'après midi était déjà bien avancée, ne se terminait que pour l'heure du repas qui était pris sur place, tous ensemble, il ne faudrait pas oublier qu'il y avait un service restauration. Puis on préparait l'établissement pour son ouverture … 


L'équipe était toujours au complet, chacun pouvant prendre tous les postes dans une même soirée, les uns après les autres, la présence de tous était nécessaire. 


Gaétan veillait sur son protégé, il ne loupait pas une occasion de donner un conseil si ça lui semblait nécessaire. Il voulait être sûr que pour Louis, cette première journée se passerait bien. C'est que déjà, il lui plaisait le nouveau. Il avait craqué tout de suite sur Louis.


C'est vrai que Louis est beau, sexy, bien monté, bien foutu … et je m'arrêterai là sinon je vais me répéter … 


Louis apprenait vite son rôle, c'est mieux quand on veut être acteur. Enfin, son rôle, ses deux rôles. Ils avaient commencé une ébauche de deux rôles qu'il présenterait dès le week-end suivant. En plus il n'y avait pas de texte à retenir … Il devait jouer un mec qui se promenait et dansait un peu dans le genre de singing in the rain. Puis il rencontrait un mec qui traînait là, assis par terre, un mendiant sans doute, ils se regardaient, s'approchaient l'un de l'autre et dansaient un peu à la façon des demoiselles de Rochefort , oui je sais il y avait des référence mais je vous jure que la valeur artistique s'arrêtait là. 


En moins de dix minutes, la queue de Louis terminait dans la gorge de son partenaire Rédjal ( c'était pas son vrai nom!). Louis le limait avec force, dès la première répétition on lui a demandé de se calmer et de se réserver principalement pour le grand soir. Sur scène, devant le public, il n'aurait pas à faire semblant, le grand soir et tous les autres grands soirs, il pourraient se lâcher. Et c'est ce que tous faisaient. La deuxième scène de Louis se précisait. 


Pendant les répétitions, le plus souvent ils se retenaient. Ils y allaient doucement. Mais bon, c'étaient pas des sauvages, ils savaient vivre et quelquefois ils se lâchaient, même pendant la répétition. Quelquefois les répétitions dégénéraient un peu … Il y en avait qui couinaient fort, vraiment très fort en s'en prenant plein le cul.


Ce jour là, c'était un ça peu entre ces deux là. Ils se sont juste lâché un petit peu.  Juste un petit peu.  Rédjal s'en ai pris plein la bouche, pour ne pas dire plein la gueule … Il encaissait bien et Louis se sentait rassuré, il  savait que son partenaire serait à la hauteur, qu'il pourrait encaisser et comme il aurait le droit de se lâcher, il savait qu'il pourrait y aller. Et ça lui plaisait. Il n'a pas débandé du reste de la journée le beau Louis. 


Le grand soir était arrivé, c'était l'heure de l'ouverture. Louis faisait le service avec son ami Gaétan. Ils portaient tous les deux des tenues très sexy, en lycra, vous savez c'est un tissus très particulier qui ne cache pas du tout ce qu'il prétend dissimuler. Louis n'arrêtait pas de bander et ça se voyait. Le boss ne lui faisait aucun reproche. Pourtant il y a des entreprises ou ce serait très mal vu. Je dis ça mais bon je ne dis rien, sinon je vais encore dire une connerie. Dans le bâtiment par exemple … 


Ça excitait les autres serveurs qui bandaient rapidement, plus d'un client tâtait pour voir si c'était pour de vrai, tant qu'il ne pinçaient pas on les laissait faire. La première soirée était chaude et ce n'était rien par rapport aux soirs qui allaient suivre. 


Dans la soirée Louis montait sur scène pour la première fois. Il avait un peu le trac mais ça ne l'empêchait pas de bander. C'est le principal ! On peut se demander si le trac ça ne le faisait pas bander. C'est vrai qu'avec Louis, pardon, avec Rock Hard on avait un peu oublier que ce serait son nom d'artiste maintenant. Donc … C'est vrai qu'avec Rock on pouvait logiquement se demander ce qui ne le faisait pas bander. Il bandait tout le temps, enfin dès qu'on le lui demandait, quand il avait des contacts qui pouvait le stimuler aussi, quand il voyait quelqu'un d'autre bander, quand il y pensait, quand il en avait envie, quand … 


Ouai enfin il bandait tout le temps quoi !


Il commençait son spectacle, il faisait le tour de la scène en montrant bien son élégance naturelle, en remuant avec légèreté il dansait en décrivant un cercle. Au milieu il y avait un gars, Rédjal c'était son partenaire prévu pour ce rôle,  assis par terre, il portait des vêtements plus négligés,  un pantalon troué, une chemise débraillée. Rock s'approchait de lui, le second personnage tendait la main à la manière d'un mendiant. 


Louis le repoussait et faisait semblant de la chasser à coups de pieds ( ils étaient simulés je vous rassure ). Non c'était un établissement convenable, les coups qui n'étaient pas simulés c'étaient les coups de bite uniquement … Le second homme roulait sur le sol, les mouvements étaient chorégraphiés, ils avaient tous calculé, répété. Le danseur  roulait sur sol mais se retrouvait en position pour  se relever. 


Ensuite ils simulaient un combat, il se battait à la manière d'une comédie musicale, aucun coup n'était porté bien sûr, ce n'étaient que des mouvements de danse. Puis peu à peu il se rapprochaient. Les visages se retrouvaient face à face à quelques centimètres de l'autre, Louis repoussait son partenaire, lui se cramponnait à Louis, ils s'empoignaient et il devenait difficile de savoir si les deux hommes se repoussaient ou se retenaient.


Finalement les visages se touchaient, les lèvres se frôlaient et c'est un long et tendre baiser qu'ils échangeaient. Le ton changeait, ils se retenaient maintenant. Chacun retenait les vêtements de l'autre.


Louis se retrouvait la chemise ouverte, il était tellement soigné quand il est monté sur scène, il semblait le prendre mal et arrachait la chemise de Rédjal, celui-ci ne cachait pas sa colère ( en tout cas il simulait bien ) arrachait à son tour la chemise de notre héro Louis et le saisissait dans ses bras. 


Suivait une scène de bagarre dansée, les gestes rapides au début devenaient plus lents et au fur et à mesure les coups non portés devenaient des caresses parfaitement assumées, elles. Des baisers s'échangeaient, des étreintes chaudes, une main se glissait dans le pantalon de Louis, et c'était pas la sienne peu après son pantalon tombait sur ses chevilles. 


La salle qui était devenue soudainement silencieuse, c'est rare en général les clients sont assez chahuteurs et hurlent d’enthousiasme. Il applaudissent, ils sifflent partout dans la salle. Mais là sur les deux pistes de danses, presque plus personne ne bougeait. Tout le monde s'était retourné vers la scène et regardait ce qu'il s'y passait.


Rédjal, torse nue tenait dans ses bras le corps de Louis torse nue également. Il le caressait, le couvrait de baisers puis peu à peu les baisers descendaient vers le ventre, vers le nombril. Louis se laissait faire et caressait les cheveux de son partenaire avec une grande douceur.


Rédjal se mettait à genoux et prenait la queue de Louis dans la bouche. C'étaient de nouveau des hurlements des sifflements et des applaudissements.


Louis parcourait du regard toute la salle, il ne cachait pas un regard satisfait. Il devait se dire que finalement c'était un bon boulot ça, surtout quand on est comme lui obsédé sexuel. Ils étaient tous les deux sur un petit dispositif qui tournait lentement ce qui fait qu'ils étaient très visibles depuis tous les recoins de la salle, ils s'exhibaient. Louis surtout, c'est lui qui contrôlait. 


Il tenait fermement la tête de son partenaire, la tirait vers lui avec force tout en lui balançant des coups de bassin. Sa queue longue de plus de vingt centimètre disparaissait totalement dans la gorge de son partenaire qui tenait le coup mais finissait par présenter des signes de fatigue.


Il y avait une horloge juste derrière le bar, Louis surveillait l'heure, les numéros ne devaient pas durer trop longtemps, il fallait laisser du temps pour les autres. Il dépassait un peu le temps qui lui était imparti et décidait de conclure.  


Encore quelques coups de bassin violents, puis il se retirait et pendant que son partenaire s'en remettait, il lui envoyait deux giclées dans la figure sans prévenir.  Rédjal sursautait mais avant de pouvoir réagir il en recevait une troisième sur le nez. 


Louis terminait son numéro en repoussant son partenaire qui se laissait tomber en arrière amorphe sur le sol,  lui lançait quelque billets et repartait il faisait un dernier tour de scène avec la bite et les couilles à l'air pour bien les montrer à tout le monde et disparaissait derrière le rideau. La salle était en délire.


Rédjal se relevait saluait, il était rejoint par Louis qui saluait, il avait toujours les couilles à l'air, puis ils quittaient la scène. Toute la salle acclamait. 


Louis venait de passer avec succès l'épreuve du feu, l'épreuve du public. Il s'en sortait vainqueur. Il était très applaudit. Il aurait une deuxième scène à jouer un peu plus tard dans la soirée. En attendant il passait au service en salle.


Ce sont là les tristes réalités du travail de saltimbanque, il faut savoir tout faire. Mais il s'était fait plaisir et terminait la soirée la ceinture pleine de billets que lui glissaient les clients pour le plaisir de pouvoir le tripoter ... 


Cet argent de poche était récupéré comptabilisé et réparti en part égales. Ça en avait fait tiquer plus d'un par le passé mais finalement la raison avait gagné. Dans cet épisode par exemple Rédjal avait reçu beaucoup moins de pourboire que Louis, on n'avait même pas vu sa bite à lui, mais c'est bien lui qui avait mis en valeur la prestation de Louis, et en aurait-il reçu autant sans cela ? 


Il avait été décidé que tout le groupe, c'était comme une chaîne et que tout le monde devait soutenir le groupe … Pour la direction, qui sur ces sommes ne touchait rien, ça évitait aussi bien des rivalité. Mais c'est vrai que pour maintenir ce point de vue, il fallait de temps en temps argumenter encore et encore … 


Mais comme les artistes gagnaient bien leur vie ça marchait pas trop mal comme ça !


A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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