Nourri Logé Baisé (02)

 Nourri Logé Baisé (02)



La porte se fermait juste que je réagissais …


Quentin ! Il est ou Quentin ? Je ne l'ai pas vu se lever. Me disais-je.


J'arrivais dans sa chambre, j'ouvrais doucement la porte en frappant sans faire trop de bruit.


Et bien mon doudou, tu ne te lèves pas ? Tu sais les deux autres sont déjà partis.

J'ai travaillé plus tard, hier j'ai travaillé de nuit. Me répondait-il.

Tu veux que je te réveille à quelle heure ? Demandais-je.

Hummm, bhmmm, je sais pas. Maintenant je veux un câlin !


Sa réponse m'amusait, je me glissais sous sa couette. Il me recevait dans ses bras. Lui il était très différent des deux autres, lui c'était un ours. Et à voir sa fourrure, c'était un grizzly. Mais sa fourrure était d'un incroyable douceur. Il bandait déjà, c'est vrai qu'il se réveillait et c'est vrai que j'étais là.


Je sentais ses mains qui glissait sur mon corps. Lui aussi était très musclé et très bien monté. Je glissais mes mains dans sa fourrure, elle était tellement douce. Seule sa barbe était un peu rêche mais ça c'est normal.


Il me tirait contre lui, je me blottissais contre lui et l'embrassais. Quentin est probablement le plus câlin des trois, ils sont tous les trois très viriles, Quentin ne manque pas de virilité mais il est plus câlin. C'est une homme d'une grande gentillesse.


On roulait l'un sur l'autre et la couette ne parvenait pas à tenir en place. On s'embrassait, pas seulement sur les lèvres, le lui donnais des baisers sur les épaules, sur les téton, en faisant des manière à cause des poils.


Tu devrais retirer quelques poils doudou !

Ah ça non ! Personne il ne touche pas à ma fourrure !


Je connaissais déjà la réponse mais quelquefois je tentais, un jour peut être c'est la douceur de sa peau que je toucherai et pas seulement la douceur de sa fourrure. Je lui donnais des baisers sur les tétons en le mordillant , il tremblait et rigolait en réponse. Je plongeait ensuite sous la couette et commençait à lui sucer la bite.


Elle était un peu moins longue que mes autres camarades mais elle était plus large. Il était trapu de la bite le petit. Il n'était pas petit non plus mais il était trapu sur tout le corps, et comme il était large, il semblait plus petit qu'il n'était.


J'avais du mal à prendre sa queue dans ma bouche mais j'utilisais une autre méthode. Je léchais son gland avec ma langue et le lui caressais avec la main. Bien lubrifié avec de la salive ça glisse tout seul et ses gémissements confirmaient qu'il aimait. Mais ça je m'en doutais.


Je lui caressais les couilles également, ça aussi il aimait et moi aussi. Il me laissait faire, il s'allongeait seulement sur le dos et ne faisait rien. Les orteils en éventail il me regardait, il relevait la tête, juste un peu.


Pendant de longues minutes à chaque fois que je relevais les yeux je voyais son sourire ravi. Il avait l'air content.


Tu peux t'asseoir ? Me demandait-il .


J'ai compris ou il voulait en venir. Sa queue était bien ferme et bien droite. Je la lubrifiais mais pas avec de la salive, elle était bien large et la salive ne suffirait pas …


Je prenais position, toujours avec une certaine appréhension, surtout avec ce personnage. Les deux autres avaient une queue bien large et bien grosse mais lui l'avait à peine moins longue mais surtout vraiment très large.


Comme je vous le disais il était trapu de la bite, et pas que ? d'ailleurs.


Les pieds de chaque côté de son bassin, mon trou de balle posé contre le bout de sa bite, je m'installais, tremblant et j'appuyais.


La je vous jure que je ne serrais pas les fesses, surtout pas. J'avais été dilaté par nos deux camarades et je savais que ça allait passer mais je savais aussi que je le sentirais passer. Le pression augmentait au fur et à mesure que je m'appuyais, je poussais un peu et mon anus s'ouvrait. Je vous jure c'était violent.


Ma queue qui jusque là ne savait pas si elle devait manifester choisissait de se faire oublier. Je ne la sentais plus du tout, elle se réfugiait dans un recoin microscopique de sa cage, un coin que je ne connaissais pas moi-même.


Mon anus continuait à se dilater, c'était affolant, c'était génial, c'était effrayant mais j'adore ça ! Je sentais entrer en moi un masse énorme qui allait prendre toute la place et je continuais à m'empaler dessus.


Allez, ça va passer, ça va passer ! Me disait-il.

Ça passe, on est passé ! Répondais-je d'une voix crispée.


Millimètre après millimètre je sentais son membre viril glisser en moi et tout écarter pour se frayer un passage. Je ne savais plus ou j'en était quand j'ai senti la peau de son ventre s'écraser contre mes fesses. J'y étais.


Dans un dernier souffle, un dernier râle je me laissait tomber sur lui. Il m'attrapait alors les pieds et les tirait vers lui. Là, la situation m'échappait. Je ne contrôlais plus rien et j'aurais été bien incapable de me relever. Il commençait alors à bouger son bassin, lentement de haut en bas. Il n’imprimait un balancement que je suivais mais là moi je gémissais. Lui me regardait en me souriant. Il avait toujours l'air content !


Je suivais le mouvement et son énorme queue massait mes entrailles de droite à gauche, de haut en bas selon le mouvement qu'il lui donnait. Je tremblais comme un malade. Le dos bien cambré et la tête bien haute, comme si sa queue appuyait sur les amygdales.


Pourtant il y avait encore de la marge mais peut être pas tant que ça.


Je caressais son corps, il me caressait les cuisses et rapidement venait à s'amuser avec mes couilles. Il les tripotait avec plus ou moins de force sans me faire mal. C'était tout mon corps qui tremblait de plaisir, un plaisir intense, un plaisir trop fort, un plaisir qui faisait peur.


Au bout d'un long moment il me demandait de me relever et me lâchait les pieds.


Tu te mets à quatre pattes, je vais t'enculer.


Sa queue était bien enfoncée en moi aussi je n'avais pas peur, je savais que la situation ne pourrait pas être pire.


Je me dégageais et prenait position sur le tapis. Il se relevait et s'installait derrière moi en position lui aussi. Il ne traînait pas et en quelques secondes il s'enfonçait dans mon cul. J'ai gueulé, mais là, c'était de plaisir, un plaisir intense, un plaisir total.


Il s'enfonçait et ressortait, je couinais de plaisir et respirais fort, et lui commençait à me limer le cul, là il prenait le contrôle, il y allait doucement Il était conscient qu'il pouvait faire mal, qu'il pouvait blesser. Il savait aussi que sa queue pouvait donner un plaisir de fou.


Il glissait et peu à peu mon cul se dilatait encore un peu plus, en tout cas c'est l'impression que j'avais. Rapidement j'étais pris de convulsion, il me retenais avec force. Oh pour ça il était fort, il était très costaud.


Il me tenait bien serré contre lui, se penchait sur mon dos et me caressait tout le corps avec ses bras de gorilles. Quelle force, et quelle douceur ! Je sentais les muscles qui me retenaient, ses mains qui me caressaient et me tripotaient. Il me relevait et s'enfonçait encore un peu, je serrais les dents.


Je me retrouvais sur les genoux, sa large queue bien plantée dans mon cul, le cul bien dilaté. C'était terrible, c'était bon.


Il poussait en avant, il poussait sur la droite, sur la gauche et me massait véritablement le cul. Il y allait avec une grande douceur, aucun mouvement brusque, que des mouvements lents et parfaitement contrôlés. Il poussait légèrement mais avec la taille de son membre, ça restait violent pour celui qui ne serait pas préparer à des sensations fortes.


Il ressortait lentement, toujours. Par moment il y avait une suite de mouvements rapides, rapide mais pas violents. Je tremblais et je gémissais, il me caressait le corps, comme pour me réconforter. Il me caressait le dos et me poussait en avant ou me tirait vers lui et me caressait le ventre. Il glissait alors une main sur ma cage à bite et me tripotait les couilles.


J'ai cru mourir, ce ne sont pas les même sensations avec lui qu'avec les deux autres mais. Celui là il élargit bien, ça ne glisse pas pareil, il faut la dose de gel et le temps de bien se dilater. Et même quand on en est là, il faut encaisser sa queue.


Je finissais par bien me détendre et c'est presque douloureusement que sa queue glissant lentement sur toute sa longueur dans mon cul. Elle ressortait, quel soulagement. Elle revenait bien à fond, et là, quel plaisir. Je gueulait tant c'était bon.


Quelques derniers coup de basin, il semblait perdre le contrôle, quelques coups violents il jutait dans mon cul, il poussait quelques cris, il jutait plusieurs fois avant de se retirer.


Il s'effondrait sur moi, me prenait dans ses bras, me caressait encore un peu en me donnant des baisers sur le dos puis se relevait rapidement …


ET MAINTENANT … DOUCHE !


Je ne bougeais pas j'étais, comme … Retourné, anesthésié, pétrifié … Je ne sais pas comment dire mais au final, je ne bougeais pas et il me retrouvait au même endroit quand il revenait des sa douche, a part que j'étais retombé sur le coté …


Alors, ça va pas mon titi ?

Si ça va mon doudou mais là tu m'as déboîte la rondelle.

Tu adores ça je sais. Maintenant on se lève, ça va aller, tu vas voir ça va aller …


J'avais récupéré, je passais rapidement dans la salle de bain pour me rafraîchir le cul. Là j'en avais besoin. Il m'avait fait jouir comme jamais … Remarquez c'est ce que je dis à chaque fois donc il ne faut pas trop écouter ce que je dis. Je n'avais pas juté mais quand j'ai un truc trop gros dans le cul, je n'arrive pas à éjaculé.


Je vous rassure, c'est pas comme ça tous les matins, pas plus de cinq ou six fois par semaine … Non je déconne …


Je retrouvais Quentin dans la cuisine et je lui servais son petit déjeuner. Il est câlin Quentin, à chaque fois que je passais à sa portée il en profitait pour me caresser, les fesses ou les couilles. Ce sont les partie qu'il préfère.


Ma queue ne se manifestait toujours pas. Pourtant on était le matin mais c'est vrai qu'avec un tel départ pour la journée.


Tu as l'air de bien bander dans ta cage toi ? Me faisait remarquer Quentin.

Non je ne bande pas …


je baissais les yeux et en effet ma queue prenait toute la place, mais ça ne me dérangeait pas, en fait j'avais une grosse molle, ma queue prenait bien toute la place mais il n'y avait aucune pression, elle restait toute molle. J'en profitais pour la réajuster. Je tirais sur la peau dans un sens ou dans l'autre. Je me sentais bien, bien dans ma cage, bien dans mon cul.


Quentin disparaissait dans sa chambre pour s'habiller. Je nettoyais la cuisine, là c'était rapide.


Il revenait, il avait passé son uniforme, là je sentais ma queue qui se réveillait. Il était sexy comme un dieu de l'amour avec son uniforme de la police, je ne pouvais résister et le prenais dans mes bras, en même temps j'attrapais ses menottes.


On ne joue pas avec les outils de travail ! Me disait-il en me les reprenant.


Il me donnait un dernier baiser, j'ajustais son col et je le laissais partir, une larme à l’œil, il allait lui aussi gagner le pain quotidien qui nourrirait toute une petite famille … Pardon , là encore je me laisse aller et j'en fais trop. C'est tout moi ça.


J'avais prévenu il y a bien trois avantages !


La maison était à moi pour le reste de la journée. Il était encore tôt. Je commençais par faire le ménage et toutes les dures corvées. J'appuyais sur le bouton du lave vaisselle, je remplissais le lave linge et appuyais aussi sur le bouton. Le plus long, enfin pour moi c'est l'aspirateur … Enfin c'est fait tous les jours aussi, ça va vite.


Je préparais ensuite mon boulot à moi. A cette périodes je distribuais des prospectus publicitaire, il faut tout préparer à l'avance, ça prend du temps, il faut être organisé.


Un long moment plus tard, je rassemblais tout les documents et avec une petite charrette vers la sortie et c'est en passant devant un miroir que je me disais …


Oups, il serait peut être utile que je m'habille moi, je vais pas sortir comme ça, je suis presque tout nu !



Fin


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Nourri Logé Baisé (01)

 Nourri Logé Baisé (01)



Oui je sais l'arrangement peut paraître un peu suspect. Mais je vous jure il y a des avantages, trois avantages pour être exact , je vais vous les citer au fur et à mesure.


Certains vont me dire que certes, je ne paye pas de loyer, c'est pas à ça que je pensais. En effet je ne paye pas de loyer. Surtout que je travaille, c'est un boulot qui ne m'occupe pas trop, avec des horaires libres. Mais ce que je gagne, c'est tout pour moi et j'économise pour mes vieux jours …


Certains vont me dire que je ne paye pas la bouffe. C'est vrai aussi mais la bouffe, c'est moi qui la prépare le plus souvent. Je fais les courses. Je fais aussi le ménage. Je fais la lessive également mais pour ça nous avons des machines. Je fais la vaisselle, enfin le lave-vaisselle fait la vaisselle. Moi je me contente d'appuyer sur le bouton.


Nous vivons quand même une époque fantastique.


L'appartement est spacieux et moderne et confortable et dans un quartier huppé ! Et là moi j'aime bien le huppé !


Je ne me considère pas vraiment comme un homme de ménage, même si j'ai des copines qui se moquent de moi, mais je sais qu'ils voudraient être à ma place.


Non franchement c'est la belle vie, je ne me pleins pas !


Vous allez juger par vous même.


Ce matin là, un peu comme tous les matin, je me levais tôt, remarquez je suis du matin donc ça ne me dérange pas, ensuite je prépare le petit déjeuner, ensuite je sonne le tocsin, là c'est pour réveiller mes colocataires. Enfin c'est pas tout à fait ça, en fait c'est eux qui ' coloquent ' moi je suis chez eux …


Non je n'ai pas oublié la scène ou je m'habille. A ce niveau je suis toujours à poil et je n'ai sur moi que ma cage à bite et mes pantoufles.


Bein oui je porte une cage à bite, au départ c'était pour découvrir de nouvelles sensations et finalement ces nouvelles sensations me plaisent bien donc …


Ensuite je me glissais dans la salle de bain, oh non pas pour prendre un bain, vous savez le matin on n'a pas le temps. En général d'ailleurs moi j'ai pas trop le temps de réagir à partir du moment ou je fais couler l'eau, je vois débouler Samy dans la salle de bain, il me fait un large sourire, il est à poil bien sûr, il se lève. En plus il bande bien sûr, il se lève !


Je lui rends son sourire alors qu'il se glisse sous la douche avec moi. Puis il enroule son bras autour de mes rein, son autre bras autour de mon cou et avec une infinie tendresse il m'embrasse et là j'oublie tout le temps qu'il a fallu attendre depuis … Pas depuis très longtemps en fait, depuis que je suis levé.


Je referme mes bras autour de son corps.


Quelques instants plus tard, enlacés l'un dans l'autre nous nous caressions avec le savon, avec le baume pour la douche, mais surtout avec le savon. Le savon glisse avec douceur sur la peau.


Ses lèvres sont suaves et sa langue est chaleureuses, et me fait tourner la tête. J'aime cette douceur au moment du réveil, rien de tel pour commencer la journée. Dans une telle situation il ne me faut pas bien longtemps pour plonger et prendre sa queue dans la bouche.


Je le sentais se contracter, c'était un réflexe pas une réaction de défense. Sa queue rentrait rapidement jusqu'au fond de ma gorge, ah vous me preniez pour un débutant ?


Je m’accroupissais sous la douche il me caressait les cheveux et moi, je lui caressais son gland avec ma langue. Je sentais la douceur de ses caresses et par moment un muscle se contracter. Il appuyait doucement sur ma tête et son gland s'enfonçait dans ma gorge, il gémissait et je comprenais pourquoi. Vous avez déjà remarqué combien le gland peut être doux sous la langue ou au fond de la gorge.


Je lui caressais les cuisses, je lui lavait les fesses en glissant bien profondément mes doigts entre les fesses et au passage j'en profitais pour lui glisser un doigt dans le cul.


Là il a sursauté, je savais bien qu'il n'aimait pas vraiment.


Ah c'est à ça que tu veux jouer ! S'exclamait-il.


Il me relevait et en un seul mouvement me plaquait contre le mur de la douche.


L'eau ne coulait plus, il me lubrifiait le cul autant qu'il le pouvait et dès qu'il jugeait que c'était suffisant, il m'enfonçait sa queue dans le cul. C'était rapide et décidé. Il me limait alors le cul avec force et vigueur.


J'arrivais à gémir, c'est à peut près tout. Je ne cherchais pas à me dégager, en fait j'adorais cette situation, ce n'était certainement pas le première fois. Samy était du genre costaud, enfin quand on le voyait à poil, sinon il avait l'air délicat. Il était comptable, avec sa veste et sa cravate il était beau comme un dieu mais il paraissait un peu moins … Viril !


Là il avait l'air viril, là ça ne faisait aucun doute. Je la sentais bien sa virilité Je la sentais bien jusqu'au fond de mes entrailles. Je la sentais bien qui me dilatait l'anus.


Et j'aimais ça.


Je gémissais de plaisir, il appuyait bien son ventre contre mes fesses et sa queue au fond de mes entrailles. Je fermais les yeux et je murmurait ' Encore, oui vas y ! '. Puis je rajoutais , ' P'tit bite ! '.


Il rigolait de m'entendre lui dire ça, mais c'est vrai quoi, il ne dépassait pas les vingt trois centimètres sur plus de cinq de large. Il s'énervait, je l'avais défié, je l'avais fait exprès et commençait à me limer encore plus vigoureusement le cul. Il ressortait, et s'enfonçait et il accélérait le mouvement.


Tout ça ne nous empêchait pas de nous doucher. Il me frottait le corps avec du savon, il n'oubliait aucune partie de mon corps et aimait bien s'attarder sur mes couilles. Elles formaient une grosse boule bien ferme qui tentait de remonter contre l'anneau de ma cage à bite. Ma queue protestait dans sa cage. J'aimais bien cette sensation, j'aime encore plus cette sensation avec le temps.


Sentir cette pression sur mon cul, la sentir devenir plus forte et encore plus forte et brusquement sentir mon cul lâcher et se dilater. Si au début ça fait mal, par la suite ça ne fait plus mal du tout. Au contraire même, c'est intense mais c'est bon.


Il me limait avec force et régularité. Je respirais de plus en plus fort. Sodomie verticale, c'est pas la position la plus facile mais c'est pas moi qui choisi. C'est jamais moi qui choisi d'ailleurs. Mais je ne m'en plaint pas, c'est quand même moi qui ai choisi.


Ses coups devenaient violents, il frappait fort son ventre contre mes fesses. Là je vous jure que pour ne pas gueuler il fallait que je serre les dents. Je jouissais depuis un moment, mon plaisir avait monté vite, très vite. Mon plaisir montait de plus en plus vite avec le temps.


C'est à ce moment que je l'ai entendu crier de plaisir, il jouissais, je le connaissait et je savais qu'il jouissait.


Nous étions couverts de savon, il se retirait rapidement et terminait sa douche pendant que je retrouvais mon souffle.


Au début je vous avait parlé de trois avantages, Samy était le premier …


Gus débarquait à son tour dans la salle de bain. Il était bien moins vigoureux au réveil que mon ami Samy. Lui il traînait les pieds. Tous les matins c'était pareil, il avait du mal à ouvrir les yeux et il se cognait contre la porte de la douche.

je le prenais dans mes bras, il avait un corps totalement dépourvu de poil, sauf les cils et les sourcils. Pour le reste il avait un corps d'une douceur incroyable. J'aurais bien aimé lui faire un shampooing, je me contentais de lui caresser le sommet de son crane.


C'est là qu'il ouvrait les yeux et me faisait un large sourire. Lui aussi il était bien bâti. Lui aussi il était viril, ses muscles n'était que plus beau quand ils roulaient sous cette peau légèrement ambrée et totalement lisse. Je le couvrais de baisers.


J'aimais ce contact, sa peau me faisait frissonner de désir. Il était un peu plus large et plus musclé que notre camarade Samy. Lui travaillait dans le bâtiment et il était musclé de partout.


À commencer par ce truc qui grossissait et durcissait entre ses cuisses. Un peu moins longue que le premier mais ça restait dans de très belles taille, sa queue n'était pas moins large que celle de Samy.


Il m'avait bien dilaté l'anus Samy, Gus était costaud et c'est sans difficultés qu'il me soulevait contre lui. Je m'accrochais à son cou relevais les jambes et les repliais dans son dos. Il me soulevais par les cuisses. Je sentais sa queue se relever contre son ventre. Je sentais mes couilles glisser avec volupté contre son ventre, je me cambrais et je sentais sa queue appuyer contre mon anus.


Tout de suite j'en voulais plus. Il m'avait bien échauffé le cul notre ami Samy et j'en redemandais. C'est moi qui relevait mon cul, il appuyait contre sa queue, je ne résistais pas et lentement elle me pénétrait.


Selon que je repliais mes cuisses ou que je me raidissais, sa queue entrait et sortait. Je contrôlais le mouvement, il contrôlait la profondeur. Il me laissait m'enfonçait sur sa queue et je me retenais en me raidissant mais je m'enfonçais tout de même, lentement inexorable et au moment ou je me suis relâché j'ai tout pris dans le cul.


Là j'ai poussé un cri et j'ai été pris de tremblements, presque des convulsions. Il m'écrasait alors contre le mur de la douche. On n'avait pas ouvert l'eau et on s'en moquait de se laver ou pas.


Sa queue glissait dans mon cul, et à chaque fois qu'elle s'enfonçait, il s'arrangeait pour qu'elle rentre bien à fond. Je me contractais, je resserrais mes cuisses, comme pour me retenir, comme pour reprendre le contrôle. Mais c'était en vain, je subissais et j'aimais subir.


Samy terminait de s'essuyer en nous regardant puis disparaissait.


J'aimais perdre le contrôle de la situation, je me donnais à lui. J'en prenais plein le cul, je gueulais de plaisir puis je gigotais comme un fou. Il finissait par me relever les cuisses complkètement, il me pliait en deux. C'est vrai qu'il était costaud et qu'il n'avait pas de mal à me porter, à me soulever, là il s'amusait avec moi. Comme un pantin.


Je me retenais en passant mes mains derrière son cou, il me retenait par le bas du dos et j'avais les jambes totalement repliées. Là je pouvais contracter les cuisses tant que je voulais ça ne changeait plus rien.


Il me balançait des coups de bassin, des coups de bite. Je ne pouvait plus résister mais en fait j'en avais pas envie. J'étais mort. Je ne pouvais plus rien faire, plus personne ne pouvait rien faire pour moi.


Je suppliais qu'il s'arrête, mais heureusement il ne m'écoutait pas. D'ailleurs il m'avait dit un jour qu'il ne m'écoutait jamais quand j'étais dans cet état et continuait à me buriner le cul.


Il lui a fallu encore un moment avant d'éjaculer mais quand il s'est laissé aller, je l'ai senti passer.


Les derniers coups étaient violents. Ensuite il m'embrassait, j'avais mes genoux sur mes épaules je ne pouvais plus respirer. Il me lâchait, me retenait pour que je remette mes pieds sur le sol en douceur. Il me retenait encore un moment, le temps que je retrouve mon équilibre.


Vous vous souvenez, je vous avais dit qu'il y avait trois avantage, je suppose que vous avez compris que Gus était le second …


Je me rinçais, je m'essuyais et je retournais dans la cuisine. Il y avait Samy qui était toujours à poil, il était là tranquille, il prenait son petit déjeuner.


Ma queue s'était au repos au fond de sa cage, mais ça ne durait pas bien longtemps. J'avais joui oui mais avec le cul, ma bite réclamait et en plus elle ne pouvait même pas se relever. J'aimais cette délicieuse frustration.


Je regardais la queue de Samy qui s'étalait sur sa cuisse, Gus nous rejoignait. Il était lui aussi resté à poil et ma queue protestait encore plus en la voyant se balancer. Quelques minutes plus tôt ces deux grosses queue me labourait les intestins et là maintenant qu'elle avaient craché leurs semence elle retombaient sous leur poids et se balançaient lourdement.


Je rangeais la table pendant que mes deux camarades allaient s'habiller. Un peu plus tard, Samy arrivait, il me regardait avec un regard triste et la cravate dans la main.


Dis … Tu peux … ? Me demandait-il tristement.


Je lui faisais son nœud de cravate et il retrouvait le sourire. Je lui tendait son manteau, je le lui refermais pour qu'il ne prenne pas froid. Il me donnait un baiser et partait au boulot, il allait gagner la pitance quotidienne pour nourrir la famille, sa femme, les enfants … Heu, pardon là je crois que je m'égare.


Samy n'avait pas tourné le dos que c'est Gus qui arrivait, il avait sa tenue de travail. C'est vrai que ça fait viril une tenue d'ouvrier du bâtiment. C'est chaussure de sécurité épaisses, ce pantalon qui met bien en avantage la silhouette du bonhomme, et cette chemise à carreaux …


Il voulait juste me donner un baiser avant de partir.



A suivre



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Jeune adulte 16 Fornication

 Jeune adulte 16

Fornication



Cette nouvelle vie qui me donnait beaucoup de plaisir finissait par déborder sur ma vie quotidienne. Ma moyenne de notes baissait. Je m'en moquais, ma garde robe se remplissait. J'étais content de mes nouvelles baskets, elles valaient près de deux cent crédits mais elles les valaient, elles étaient trop mode.


Le pantalon que je m'achetais aussi était trop mode, moulant, moule boule mais on ne voyait pas que je portais un dispositif de chasteté, celui-ci serait pour tous les jours. Pour les sorties j'en prenais aussi un plus fin, là on devinait tout. La forme de ma cage de chasteté se dessinait parfaitement sous l’étoffe.


Je rajoutais une chemise très juste au corps, et j'étais prêt pour toutes les situation. Je me disais seulement qu'il valait mieux que mes parents ne me surprenne pas dans cette tenue. Mais quand je mettais une de ces tenue je me sentais bien. Je finissais pas adorer cette forme d'exhibitionnisme et quand j'arrivais en boite c'était le pied.


Tout le monde me connaissait, les habitués me caressaient les couilles et la cage. Comme pour bien vérifier si c'était pas du chiqué. Je ne buvais pas d'alcool et je ne fumais pas, ce sont peut être les deux seules choses qui ne changeaient pas. Pour le reste, et en fait je me moquais que mes parents me surprennent dans cette tenue.


C'est vrai quoi, c'étaient bien eux qui voulaient que je porte un dispositif de chasteté alors pourquoi ne pas en être fier. Pourquoi ne pas le montrer à tout le monde ? Et c'est ce que je faisais !


Je sortais tous les week-end !


Tous les samedi comme vous le savez, je faisais mon spectacle sur scène, tous les samedi je dansais tout la soirée, je dansais habillé, je finissais par me déshabiller et je dansais nu … Pour terminer je dansais nu mais au milieu de la piste, autour de moi, il y avait des clients torse nue, et aussi quelquefois des clients qui dansaient nus également. Eux ne portaient pas de dispositif de chasteté.


Rapidement ce qui était nouveau c'est le vendredi, je faisais pareil.


Ce n'est peut être pas par hasard si le samedi je dormais pendant les cours.


Mais j'étais plein aux as ! En un week-end je gagnais de quoi vivre pendant un mois avec le budget que j'avais avant. Et je ne travaillais pas ailleurs contrairement à mon doudou Thomas.


Lui il sortait tous les soirs, il passait la moitié de ses nuits en dehors, la seconde moitié dans mon lit et la matinée aussi. Au bout de quelques mois il m'arrivait de ne pas aller à la fac le matin. Juste le matin, l'après midi j'étais un peu plus réveillé. Ça allait. Mais ma moyenne était en chute libre.


Je m'en moquais, le soir quand je montais sur la scène de la boite de nuit, on m'acclamait, on m'applaudissait, j'étais la star. Tous les week-end je me faisais défoncer le cul sur scène, devant tout le monde ils étaient déchaînés.


Un soir en boite je jouais un spectacle, la soirée était bien avancée. Je montais sur scène et commençais à danser, bien sûr, comme la soirée était déjà bien avancée, j'étais à poil, je n'avais gardé que mes chaussures. Un de mes camarades me suivait, il avait fait comme moi, il n'avait gardé que ses chaussures.


C'est pas des pantoufles, c'étaient des chaussures de marche, des chaussures de mecs, et je vous jure ce genre de chaussures, ça habille ! La pression dans ma cage de chasteté était énorme, presque douloureuse et j'avais le feu au cul.


Pourtant on m'avait déjà enculé moins d'une heure plus tôt !


Mais voilà j'en voulais encore … C'était Farid qui m'avait suivi, au début, je ne l'avais pas remarqué, il dansait juste trois pas derrière moi et suivait mes mouvements. Lui il bandait, moi, j'aurais bien voulu.


Je me retournais, on dansait alors face à face. Je l'admirais, ma queue me travaillait encore plus, là je sentais que j'allais craquer. Toujours en dansant je le prenais dans mes bras et lui glissait à l'oreille.


Encule moi, là sur scène !


Farid est du genre viril et pas timide. Il me saisissait et me projetais contre le poteau central de la scène, attrapait du gel s'en recouvrait la bite et me pénétrait sans ménagement sous les acclamations de la salle. J'étais déchaîne, Farid était déchaîné, le public était déchaîné … Bref il y avait de l'ambiance. Je gueulait tout ce que je pouvais mais avec la musique on ne m'entendait pas.


Farid me limait le cul avec force, Il s'enfonçait avec vigueur puis ressortait, il faisait des ' effets de manche ' qui je peut vous le garantir n'avait rien de simuler. Il y allait vraiment, il y allait à fond, il y allait de toutes ses forces.


Un court instant le DJ coupait la musique et là en entendait parfaitement mes cris et hurlement et on entendait aussi son ventre qui claquait à chaque fois qu'il s'écrasait sur mes fesses. Et là c'était les cris et les encouragements et les acclamations de la foule qui couvraient mes cris.


Il y avait une ambiance je ne vous dis pas mais … oh et puis si je vous le dis, c'est simple le patron de la boite m'a dit qu'il n'avait jamais vu ça et profitait du fait que j'étais déchaîné pour me faire promettre de remettre ça tous les week-end.


Farid dansait pendant qu'il m'enculait, il bougeait ses jambes en suivant la musique, je le sentais et rapidement je faisais comme lui. La fièvre montait encore plus et le plaisir que je prenait à me faire défoncer le cul, pour lui aussi le plaisir montait. C'était comme une explosion de plaisir.


Sa bite me rendait fou, ses bras me rassurait, je ressentais sa force et la douceur de ses mains me transportaient comme dans un autre monde. Un monde ou j'étais le roi, un monde ou je me faisais défoncer le cul par des mecs beaux et virils.


Il m'entraînait dans une valse, enfin il dansait en tournant sur lui-même et m'obligeait à le suivre, on tournait et ainsi on était vu sous tous les angles par la foule qui dansait et s'agitait, comme une foule hystérique, une foule déchaînée prête à tout pour se donner, pour prendre du plaisir.


Pour moi c'était le pied, pas facile à gérer je ne dis pas, mais j'ai aimé. Plus que ça j'ai joui comme un malade. J'en ai pris plein le cul, Farid, s'il n'est pas timide n'est pas non plus une petite nature. Il a une grosse queue mais avec mon doudou Thomas j'étais habitué à m'en prendre une grosse dans le cul.


Et c'est ce que je recherchais maintenant.


Je regardait les clients qui dansaient sur la piste et j'en repérais plusieurs qui étaient tout à fait baisables. S'ils avaient une grosse queue j'en aurais bien fait mon quatre-heures. Et gratos en plus, on dirait que c'était pour la soirée, on trouverait bien une explication pour justifier que je me fasse enculer par un client tiré au sort.


Enfin quand je vous dis, tiré au sort, c'est moi qui déciderais du vainqueur. Le tirage serait pipé mais … Comment dire … C'est mon cul et on ne le ferait pas payer.


Ça ferait des jaloux ? Je m'en fout !


Thomas était dans les coulisses, il me regardait et me souriait. On était ensemble mais c'était pour le boulot, c'était du boulot.


Farid se lâchait, on n'avait pas répété, on n'avait jamais baisé ensemble mais pour lui c'était pas une première. Je veux dire enculer un mec sur une scène devant un public. Il avait même tourné dans des pornos et en pensant à ce détail je me disais qu'il faudra que je lui demande de me pistonner.


Il m'enveloppait avec ses bras, et me soulevait. Je hurlais, il me faisait mal, enfin un peu mal mais je criais '' Encore, défonce moi le cul ! '' . Et c'est ce qu'il faisait.


Il m'a reposé sur le sol, pour que la salle nous voit de profil puis à continué à me limer avec des mouvements bien amples et puissant. Là j'ai pas tout compris, il s'est retiré, c'était bon, vraiment bon. J'ai éjaculé et en même temps il a éjaculé sur mon dos.


C'était le pied, j'ai vraiment aimé et sans la fatigue, et aussi parce que j'avais mal au cul, j'aurais peut être crié ' Encore, encore !'. Mais là, j'ai rien dit, j'ai même faille tomber en avant, il m'a agrippé et ma relevé en me serrant contre lui.


J'avais encore un peu de sperme qui coulait de ma cage.


On est revenu dans les coulisses, au passage Thomas me disait.


J'y crois pas, j'ai créé un monstre !


Il avait le sourire en me disant ça. C'est vrai qu'il s'amuse d'un rien.


J'ai enfilé un jockstrap et je suis descendu sur la piste de danse jusqu'à la fin de la soirée. Quand j'en suis sorti il y avait plein de billet de cinq à dix crédits accrochés à mon jock. Ça m'a donné une idée et depuis, le soir en boite je garde un harnais avec plusieurs sangles. J'ai doublé mon salaire.


On doit partager mais entre nous dans l'équipe, c'est pas pour le patron de la boite.


En général il me fallait toute la journée du dimanche pour récupérer. Souvent je passais la nuit dans la maison juste à côté de la boite de nuit. Thomas passait me récupérer en fin de matinée. Je ne m'habillait pas avant son arrivée.


J'étais adopté par toute l'équipe. Me voir en cage les excitait, et dans les mois qui ont suivi ils m'ont tous enculé. Vous savez dans ce métier j'étais le seul qui n'avait pas été embauché parce que j'avais une grosse queue. Pour tous les autres c'était le cas. Thomas n'était pas le seul dans ce cas.


J'avais plus que doublé mes revenus, désormais je n'avais plus besoin de l'argent de mes parents pour vivre. Yohan n'avait pas suivi, il était resté plus raisonnable que moi. Il dormait tous les week-end avec son doudou. Vous n'avez pas oublié que mon petit frère à un doudou également, Gaëtan. Quelquefois ils sortaient en boite avec Thomas et moi. Mais eux ils restaient plus sages.


On n'est pas tous délurés et débauché dans la famille, remarquez quand j'avais son âge, j'étais comme lui, pas débauché du tout et on a tout de même trois ans d'écart. Il avait encore le temps de me rattraper, c'était récent cette tendance à la dépravation et à la débauche. Surtout que j'aimais bien la débauche.


Avec le temps je suis devenu célèbre dans le milieu, j'avais des habitué, il y en avait quelques uns qui venaient tous les week-end dans la boite rien que pour me voir. On a retravaillé le spectacle, la fréquentation de la boite à plus que doublé, et j'ai eu une augmentation.


Tout allait merveilleusement bien, mes notes s'étaient effondrées et mes parents commençaient à s'en inquiéter. À la congrégation on leur posait beaucoup de questions, mon confesseur que je ne voyais plus se posait des question, surtout qu'il savait que je séchait les cours.


Mon père me téléphonait, ma mère me téléphonait, ils téléphonaient aussi à mon petit frère qui savait tout mais qui ne savait pas quoi leur répondre. Il me racontait ensuite.


Je ne savais pas quoi lui répondre, mais je refusais de m'en inquiéter. J'étais plein au as et je m'amusais. Ma vie avait changé et ça me plaisait. Ma garde robe prenait désormais beaucoup de place. J'en étais fier.


Plusieurs mois avaient passé. Je savais que je ne serait pas accepté dans la classe supérieure, ma famille venait de l'apprendre et c'était un drame. C'est Yohan qui me le disait dès qu'il était mis au courant, un matin il arrivait et me lançait .


Papa et maman passeront aujourd'hui pour te voir !




A suivre



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Jeune adulte 15 Nouvelle carrière

 Jeune adulte 15 Nouvelle carrière



Avec Thomas nous avons beaucoup parlé dans les jours qui ont suivi et le vendredi suivant j'étais avec lui dans la boite de nuit, j'acceptais la proposition du patron.


Yohan voulait absolument venir avec nous, et celui-là quand il a une idée en tête.


Alors c'est là que tu bosses ? Me demandait-il quand on arrivait.


Je regardait Thomas qui me faisait un large sourire forcé. En effet je n'avais rien dit à mon frère et pourtant il était au courant. On était venu en avance bien sûr. Le patron de la boite voulait me proposer un strip-tease. Il savait que j'en avais jamais fait, je serais sur scène avec deux autres danseurs et je n'aurais qu'à faire comme eux.


Thomas et Yohan s'installaient au bar, à la première place pour une avant- première.


On commençait doucement, dans un premier temps on me montrait les pas, c'était pas bien difficile et rapidement je pouvais suivre le mouvement. Ensuite on passait à l'effeuillage, un des danseur ouvrait sa chemise, il montrait un torse bien musclé et lisse. Je suis à peu près comme lui, pratiquement imberbe sur le haut de mon corps et douillettement poilu sur les jambes.


Je le suivais et comme lui j'ouvrais en grand ma chemise et montrait mon torse à toute la salle. A ce moment de la répétition la salle était vide et les seuls applaudissements ne venaient que de mon frère. Bein oui il m'encourageait.


Le troisième danseur me suivait, il passait en dernier. C'est avec les chemises grande ouvertes qu'on continuait à danser. Là je le sentais bien, j'étais dans le rythme. Un peu plus tard on se débarrassait de nos chemises qu'on lançait derrière nous au fond de la scène.


On dansait alors pendant un moment torse nue. Nos corps se rapprochaient, se frôlait, et commençaient à se caresser.


Un des deux danseurs se jetait à mes pieds, me caressait la braguette. Il était bien concentré, ça ne rigolait pas même si l'ambiance était plaisante. Le boss donnait des consignes et des encouragements.


L'autre danseur faisait de même et c'est à eux deux qu'ils ouvraient les boutons de mon pantalon, lentement, sans se presser. Mon pantalon s'ouvrait sur mon dispositif de chasteté.


Là ça va trop vite ! S'exclamait le boss.

On a été trop rapide ? Demandait un des danseur.

Le mouvement est bon, vous suivez la musique, c'est parfait mais là ça va trop vite, il faudra penser à un string. Pour que ça traîne un peu plus.


On reprenait. Les deux danseurs faisaient glisser mon pantalon sur mes chevilles. Je le repoussais des pieds. Pendant cette opération un des deux danseur avait pris soin de mettre sa main devant mon sexe pour qu'on ne puisse pas voir ma cage à bite tout de suite.


Ils se redressaient en me caressant et quand il retirait sa main l'autre y glissait la sienne. La salle réagissait pour nous faire savoir que c'était réussi, on ne pouvait toujours pas voir ma cage.


D’où j'étais, je voyais Thomas qui discutait avec mon frère et le patron de la boite. Ils semblaient apprécier.


Je me retournais, tournait le dos à la salle, je montrais bien mes fesses et les deux danseurs me les caressaient. Je tombais à mon tour à genoux devant eux. Lentement avec mes deux main j'ouvrais leur pantalon, en même temps leurs deux queue sortaient de leurs pantalons.


Je tirais leurs pantalons vers le bas.


Là ton geste est superbe, tu me refais ça ce soir mon trésor ! Me hurlait le boss.


Thomas et Yohan applaudissaient sans conviction en se congratulant l'un l'autre. Là ils ne me soutenaient pas, il me taquinaient. Mais c'est pas grave, je ne leur en voulais pas.


Les autres danseurs repoussaient leurs pantalons. Je prenais la queue de l'un dans la bouche, puis l'autre. Je les suçais pendant quelques minutes chacun leur tour, ils bandaient rapidement et bien ferme. Je me redressait, et on recommençait à danser.


Quelques instants plus tard je me retournais, c'est seulement à ce moment que je dévoilais à la salle mon dispositif de chasteté.


Puis on continuait à danser, c'était maintenant un slow, chacun caressait les deux autres, nos trois corps glissaient l'un sur l'autre. On terminait quelques minutes plus tard, on saluait et on sortait de la salle.


Dis moi Nathan ? Me lançait le boss. Viens par là mon petit. C'est bien la première fois que tu fais ça ?

Bein oui ! Répondais.

Je suppose que Thomas t'as entraîné ?

Bein non , Pourquoi ?

Alors tu es doué. Je te jure tu nous a fait ça comme un pro !


C'était décidé, je faisais partie de l'équipe pour la soirée. Les danseurs ne restent pas tous très longtemps dans ce métier. Tout comme Thomas ils ont souvent un autre travail et leurs propres clients …


Ce soir là je suis monté sur scène deux fois pour un spectacle porno. Cette partie que nous venions de répéter et un autre spectacle ou je me faisais enculer par deux mecs.


Oui je sais deux c'est beaucoup mais ce n'est pas trop. En plus il avaient une toute petite queue. Enfin toute petite, peut être pas mais plus petite que celle de Thomas. J'étais donc un peu entraîne.


Je suis monté sur scène à plusieurs reprises pour danser avec plusieurs autres danseurs. Tous les regards allaient vers moi, je suis mignon c'est vrai mais c'est peut être aussi parce que j'étais le seul à porter une cage à bite, et ça plaisait, et ça faisait fantasmer.


Avec ces précipitations on a oublié le string mais finalement le boss à pensé que c'était mieux comme ça. Donc finalement tout le monde était content.


Le lendemain on remettait ça. Et la semaine suivante, et la semaine suivante encore …


En fait c'est sympa ce genre de boulot, on suce des queues, on se fait défoncer le cul. Et ça j'aimais de plus en plus. Cette sensation de trouille au moment ou votre partenaire prend position, cette panique au moment ou il s'enfonce. Puis ce plaisir qui vous envahit.


Si en plus on ne connaît pas le partenaire, c'est le top. On ne sait pas s'il sera violent ou pas, s'il va y aller avec force ou pas. Si c'est une grosse bite on sait qu'on va le sentir passer. Mais quelquefois avec des petites bites aussi.


Ceci dit des petites bites j'en ai pas vu souvent, je crois même que j'en ai jamais vu dans ce milieu. Au niveau des clients, je ne dis pas mais au niveau de l'équipe, du boulot, non. Il y avait de la sélection, le boss n'embauchait que des mecs bien montés. Je devais être le seul a ne pas avoir sélectionné pour la taille ma queue mais pour la cage qui l'enfermait.


Quand on est sur scène exposé à la vue de tous, au milieu de la piste de danse exposé aux mains de tous, aux caresses de tout un tas de personne que je ne connaissais pas et ne connaîtrais jamais. Dans la soirée je passais par tous les niveau de l'excitation sexuelle, depuis le premier frisson, quand encore tout habillé je montais sur scène et je voyais les regards des clients avides de se rincer l’œil. Quand mes vêtements tombaient et que j'exposais avec fierté ma cage à bite. Quand mes partenaires me caressaient le corps. Quand je les suçais. Quand ils me défonçaient le cul et que toute la salle criait pour m'encourager. Quand je changeait de partenaire, quand je changeait de partenaire ( avec un 's' les soirs ou il y en avait plusieurs ) .


C'était une période dans ma vie ou je découvrais de nouveaux plaisir, des désirs, des frustrations, de promesses de plaisirs infinis. Rapidement je terminais la nuit dans la villa d'à côté. Chez le boss, là ou une partie de l'équipe habite. Je connaissais les lieux, c'était là je m'étais réveillé quand cette histoire avec Thomas avait commencée.


Souvent je me réveillais seul, Thomas travaillait. Un client particulier, je ne vous cacherai pas que ça m'agaçait quelquefois mais je savais que ça faisait partie des contraintes. Il bossait quand je l'ai rencontré, il bosse toujours, ça fait partie du contrat …


Par contre quand il était là, avec moi, il n'y avait plus rien d'autre … Ça aussi, ça faisait partie du contrat !


Et là il me comblait, il avait une grosse queue mon Thomas, il était beau mon Thomas, il était viril mon Thomas, il bandait ferme, à la demande, à volonté … Mon Thomas.


Et à chaque fois qu'il prenait position, que je sentais sa queue appuyer contre mon anus, je frissonnait. Je ne savais jamais comment il allait me prendre. Il savait être tellement câlin.


Il me caressait avec douceur, m'embrassait dans le cou ou dans le dos avec une infinie tendresse. Il me préparait en glissant un doigt, puis deux et me faisait monter le désir autant que le plaisir et quand j'étais prêt, seulement à ce moment il poussait.


Là je gémissais de plaisir, j'étais prêt à le recevoir. Il poussait alors son gland contre mon anus, il poussait fort mais ne forçait pas. C'était un délicieux mélange de douceur et de virilité.


Ma respiration accélérait et devenait plus forte. Il passait alors sa tête et m'embrassait sur les lèvres. Il sait être câlin mon Thomas. Rien n'a changé. Il me serrait alors contre lui et quand mon anus lâchait, il s'enfonçait tout doucement, lentement.


Si je criais là, c'était de plaisir. Si je sanglotais là, c'était de bonheur. La moindre caresse de Thomas me fait toujours cet effet.


Quand il me prend avec douceur il s'enfonce alors lentement jusqu'à ce que son ventre s'écrase sur mes fesses, c'est le bonheur. Sa queue glisse alors d'avant en arrière doucement puis plus vite et finalement très vite.


Dans ces cas là il ne fait pas claquer son ventre contre mes fesses mais il me lime le cul, il me masse l'anus avec sa queue et ma prostate aussi en plein la gueule. Enfin, c'est une façon de parler.


Rapidement je tremble, je ne peux plus contrôler mes mains, mes bras ou mes jambes. Il me lime alors le cul, me lime encore, et le plaisir monte en moi jusqu'au moment ou je ne contrôle plus rien.


En général c'est à ce moment qu'il se laisse aller et éjacule.


Il se retire ensuite, et là c'est moi qui éjacule, avec sa queue dans le cul, je ne parviens pas à éjaculer mais vous pouvez me croire ça ne change rien à ce que je ressent. Puis quand je me sens vidé,quand il s'est retiré, je me sens bien, tellement bien. Je jute, je ne ressens généralement aucun plaisir au niveau de ma queue, je jute c'est tout. Le plaisir je l'ai alors déjà ressenti.



C'est à peut près à cette période que j'ai commencé à sauter des cours. De temps en temps, juste de temps en temps.



A suivre



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Jeune adulte 14 Nouvelle star

 Jeune adulte 14

Nouvelle star



Ne vous méprenez pas sur les intentions de mon Thomas. Il est fidèle, enfin il sait être fidèle mais simplement sa vision de la fidélité peut sembler un peu particulière. Il devait faire l'amour deux, trois ou quatre fois par jours avec des partenaires différents mais c'était pour le boulot, ça ne comptait pas.


Avec moi c'était différent, avec moi c'était pour le plaisir.


Ce soir là avec Yohan, c'est pareil ça ne comptait pas, je n'aurais pas été là, il n'aurait jamais sauté mon petit frère, en tout cas pas sans mon accord. Ce soir là, j'étais présent, il ne me trompait donc pas !


Yohan à râlé pendant une semaine, il avait mal au cul la pauvre chouquette. Qu'est ce que je devrais dire moi, je me la prenais trois ou quatre fois dans le cul par semaine moi sa queue. Et en plus j'en redemandais. Mon frère est une petite nature, c'est la seule explication.


Le week-end Thomas me sortait en boite, il se donnait en spectacle, enfin il donnait un spectacle porno sur scène, en live, on aurait pu penser qu'il m'était infidèle mais c'était pour le boulot donc. Mais j'aimais bien le regarder, il ne se faisait jamais enculer, c'est sa queue qui faisait fantasmer les clients. Et je vous jure, je me la prenais plusieurs fois dans le cul chaque semaine et je sais de quoi je parle, il y avait vraiment matière à fantasmer.


Il était incroyable, il bandait sur commande, il tenait tant qu'il le fallait et quand il débandait, là je rêvais. C'était une grosse belle queue lourde, épaisse qui se balançait quand il dansait. Il dansait nu sur le gogo. Un corps parfait, fin et musclé qui remuait avec force en suivant le rythme. C'était un rêve.


Quand on sortait en boite je lui empruntait un pantalon, c'est lui qui a eu l'idée, un pantalon moulant, très moulant. On devinait parfaitement la forme de ma cage. Il me disait que ça l'excitait. En plus ce genre de tissus ne gène pas les mouvements, il est souple et doux. Pour le haut un Tshirt bien moulant également qui montrait tous mes muscles.


Il ne faut pas oublier que je suis également très agréablement musclé. Et en plus ce genre de pantalon me faisait des fesses, je ne vous dis pas ! Bon bien sûr il ne faut pas mettre de sous vêtement mais ça, c'est juste un petit détail.


Je m'installait au bar, la barman était aux petits soins pour moi, mon verre ne se vidait jamais, et je regardait le spectacle. Thomas bien sûr, Thomas surtout, mon Thomas. Il mettait l'ambiance, il dansait, souvent nu, mais il faisait aussi des spectacles porno. Il défonçait le cul d'un autre artiste. Si je vous jure je ne déconne pas quand il baise quelqu'un, c'est de l'art !


Il n'y avait pas trop de mise en scène. Un mec montait sur scène et … Hop …


C'était pour le boulot donc ça ne comptait pas.


J'entendais monter une certaine panique juste derrière le bar. Le patron de la boite.


Richard n'est pas là !

Mince ! Et il n'a pas téléphoner .

A qui je pourrais demander de le remplacer.


Richard était un charmant garçon qui participait au spectacle avec Thomas. C'est Richard qui se faisait enculer. J'avais déjà vu plus d'une fois cette scène et sans prévenir je quittais le bar et montais sur la scène. Je voyais un peu de surprise dans les yeux de Thomas mais il ne se formalisait pas.


En roulant les mécaniques je m'approchais de Thomas.


Richard n'est pas là.

Et il est ou ? Me demandait Thomas.

J'en sais rien.


Je continuais à tourner autour de Thomas, toujours en roulant les mécaniques mais je devais m'y prendre mal tout le monde rigolait dans la salle. Je ne me suis pas arrêté à ce détail, Thomas non plus.


Il m'a attrapé par le bras et me tirait vers lui. Je tombais dans ses bras, on s'embrassait, je lui retirais son T-shirt, nos baisers devenaient très tendres. C'était le silence total pendant quelques instant dans la salle, excepté la musique bien sûr.


C'est lui qui ensuite me retirait mon T-shirt, on entendait des applaudissements. Je ne regardait pas vers la salle, je ne pensais qu'à mon Thomas. Je savais ce qui allait se passer, je savais ce qui devait se passer. Il ouvrait mon pantalon, dégageait mes fesses, des sifflets approbateurs se faisaient entendre.


Je tombais à genoux, j'ouvrais son pantalon et en sortais sa queue. Je m'amusais quelques instants pour que tout le monde puisse bien voir sa bite. Elle était bien grosse, bien longue et surtout bien ferme. Comme je vous le disais Thomas bande sur demande et ce travail le demandait.


Je la prenais dans la bouche, des cris d'encouragement se faisaient entendre.


Si elle est trop grosse pour toi, moi j'en veux bien.


Ce commentaires était suivi d'éclats de rire. Je n'avais pas besoin qu'on m'aide, je la connaissais bien cette queue, je me l'étais prise dans le cul plus d'une fois. C'est avec rapidité que je la prenais dans ma bouche, on m'encourageait, je me l'enfilais en entier, elle s'écrasait dans ma gorge.


Tout en le suçant avec délectation je lui baissais son pantalon, il en dégageait ses jambes et se retrouvait entièrement nu entre mes mains. Je lui caressais les fesses, c'était pas tout à fait la chorégraphie mais j'improvisais. Il en faisait de même.


Il me laissait faire en prenant bien soin de retirer sa queue régulièrement pour que tout le monde puisse voir que c'était pas du chiqué. Il finissait par me tirer vers lui, je me redressais et en même temps baissait mon pantalon que je retirais totalement.


Nous étions alors enlacés sur la scène, juste au dessus de la piste de danse, tout le monde nous regardait, un instant le DJ en oubliait même d'enchaîner et la musique s'arrêtait. Juste quelques secondes je vous rassure.


A cet instant on avait tout oublié, la foule, la piste de danse, la boite de nuit. A cet instant on partageait un moment de tendresse et de douceur intense. Je sentais sa queue se relever entre nous, je sentais ma queue protester avec force. Elle s'était un peu faite oublier jusque là. Mais à ce moment elle se faisait douloureusement remarquer.


Sans prévenir Thomas me retournais, je ne résistais pas. Je me retrouvais face au public, offert au regard dans ma quasi totale nudité. Je sentais les regards me parcourir, ils devaient s'arrêter sur une partie bien précise, je m'en doutais, je le sentais. Thomas me caressait ma cage et me tripotait les couilles. J'ai aimé ces caresses même si c'était surtout de la mise en scène.


Thomas me retournais et me poussait alors contre un poteau placé là, au milieu de la scène pour sa suite. Je m'appuyais contre ce poteau.


Rapidement Thomas me lubrifiait le cul, se lubrifiait la queue et sans traîner d'avantage il m'enculait. On était acclamé. Sa queue était grosse, tout le monde pouvait voir que c'était sans trucage et malgré sa largeur, malgré sa longueur elle s'enfonçait facilement et son ventre s'écrasait contre mes fesses.


J'écartais les jambes, je me cambrais et relevais les fesses et là enfin je commençais par gémir et par râler. J'avais pas besoin de me forcer je vous jure. Je la sentais bien sa queue. C'était peut être pas la première fois que je me la prenais dans le cul mais ça me faisait toujours de l'effet.


Il se retirait et revenait avec force. Il ne m'épargnait rien, il me semblait qu'il était un peu plus violent que d'habitude, mais c'est vrai que d'habitude c'est pour notre plaisir. Là c'était pour le boulot.


Rapidement ses coups devenaient violent, rapidement le plaisir inondait tout mon corps. C'était un plaisir qui partait de quelque part au milieu de mes entrailles puis qui rayonnait dans mon ventre, dans mon torse et je me mettais à trembler quand le plaisir arrivait à mes membres.


Je ne sais pas si c'était parce que nous étions exposés au regards de voyeurs lubriques, mais peut être finalement. C'était peut être pour ça que le plaisir était encore plus intense que d'habitude avec Thomas.


Il se penchait sur moi et me serrait contre lui. Il n'arrêtait pas de buriner le cul. Il se retirait complètement, montrait bien mon cul, exhibait bien sa queue et revenait avec violence. De nouveau il me l'enfilait sur toute sa longueur avec fluidité, je gueulais.


La scène avait duré presque un quart d'heure, quand Thomas me lâchait je tombais sur la scène, il me retenait, je m'accrochais au poteau. Je remarquais que quelqu'un passait discrètement pour récupérer nos vêtements. Je me redressais et me retournais. On saluait et on disparaissait dans les coulisse au fond de la scène.


J'étais acclamé par toute l'équipe, on me tapait dans le dos, sur les épaules, je recevais même une claque sur les fesses, mais là c'était Thomas. Il avait le sourire, moi aussi.


En descendant on croisait deux autres danseurs habillés en cow-boy, enfin je veux dire déshabillé en cow-boy … Ils portaient des botes comme il convient et un ceinturon avec des revolvers de cinéma. Ils prenaient la suite.


Et il est ou alors Richard, il a téléphoné ? Demandait Thomas.

Pas de nouvelles ! Lui répondait-on.


Je me lavais le cul, Thomas se lavait la bite puis me proposait de le suivre.


Tu vas voir, moi j'adore continuer comme ça après le spectacle.


Il m'entraînait au milieu de la piste de danse, et on se mêlait aux clients, certains étaient torse nue mais tous, sauf nous avaient encore leur pantalon. On a dansé comme des fous, on à bien remué nos cul, on s'est fait peloter. Des mains étrangères glissaient sur moi, je regardais Thomas qui était dans la même situation que moi sauf que sa queue se balançait dans tous les sens.


Elle restait encore un peu grosse même s'il débandait, en fait là il bandait mou. Par moment une main arrivait jusqu'à sa queue, je m'en amusait. Je me sentais bien et je n'avais pas peur de le perdre. Je savait que nous étions dans le cadre du boulot et je l'avais bien compris, dans le cadre du boulot, ça ne compte pas !


On restait ainsi, à poil pendant le reste de la soirée, on passait boire un verre au bar, le barman nous servait avec un sourire complice, sans nous présenter de note.


On est resté comme ça jusqu'à la fermeture, on dansait aussi sur la scène, on était alors rejoints par une partie de l'équipe. Le patron de la boite était particulièrement contant il se montrait avec ses artistes sur la scène mais lui restait tout habillé.


On a mis une ambiance du tonnerre. Cette soirée est restée dans les mémoires comme une soirée exceptionnelle. Le patron me prenait à part un peu plus tard. Au moment ou la boite se vidait.


J'avais récupéré mes vêtements et je m'habillais en même temps.


Tu sais Nathan, si tu peux te libérer le week-end, je te propose un boulot le vendredi et le samedi soir.

Tu déconnes ?

Non, je suis très sérieux, deux prestation pornos chaque soir, au tarif syndical …


J'y croyais pas, j'étais venu faire le fou, m'amuser et on me proposait un boulot.


Et je dois te répondre quand ?

Quand tu veux, mais ne tarde pas trop. Tu peux commencer dès la semaine prochaine .

Thomas me rejoignait, on le mettait au courant de la proposition. Il n'avait rien contre mais il ne voulait pas travailler avec moi. Il nous expliquait que comme on vivait ensemble, qu'on était en couple, ce ne serait pas saint.


Il a parfois des principes étranges mon Thomas.



A suivre




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Jeune adulte 13 Je vous présente Thomas

 Jeune adulte 13

Je vous présente Thomas



J'étais sur le point de m'évanouir, tant mon cœur battait vite, dans ma tête c'était la panique.


Mon chéri tu ne m'a pas l'air en forme, tu dors bien au moins, tu manges bien aussi ? Me demandait ma mère, ensuite elle se tournait vers mon frère.

Ça va, vous vous adaptez bien ? Me demandait mon père en me faisait l'accolade.


Nous passions au salon. Mon frère passait à la cuisine sous prétexte de préparer un thé. Je le suivais.


Il est ou Thomas ? Me demandait mon frère.

Il est dans son lit, il dort !

Alala si jamais il se réveille on sera mal.

Enfin il est normal, on ne devine pas son boulot juste en le voyant … Répondais-je.

Non mais tu rêves, tu as vu comment il s'habille.


Mon frère avait raison, j'étais tellement amoureux que ses pantalons moule boule, ses chemises transparentes, son allure globale me paraissaient tout à fait normales. Je paniquais à mon tour, enfin je m'explique mal, je paniquais déjà, là je paniquais encore plus …


Le thé était prêt et c'est la voix de Thomas qu'on entendait depuis le salon.


Mon cœur s'est arrêté, je ne sais pas comment il a fait pour repartir mais j'ai bien cru mourir. Mon frère était dans le même état. C'est comme des automates que nous revenions vers le salon. Mécaniquement on avait préparé cinq tasses.


Mais vous ne nous présentiez pas votre ami ? Demandait ma mère.


On se sentait mal, je ne vous dis pas, on s'attendait au pire.


Thomas était là, debout, au milieu du salon. Il portait un pantalon démodé et très mal ajusté. Il était un peu ample et légèrement trop court. Il portait une chemise épaisse à rayures, incroyablement moche qui lui donnait un air péquenaud. Et ses jolis cheveux de poète qui partaient dans tous les sens étaient plaqués sur sont crane lui donnant cet air de premier de la classe. Il n'avait plus rien de sexy, s'il avait été comme ça le jour ou je l'avais rencontré je ne me serais certainement pas retourné sur son passage.


Yohan mon petit frère regardait ça d'un air con la bouche ouverte visiblement sans comprendre. Remarquez je ne devais pas avoir l'air plus malin …


Heu , je … Parvenais-je à bafouiller.

Il ne voulaient pas me réveiller Madame. Je me suis couché vers cinq heures ce matin.

Oh, mais ce n'est pas une heure raisonnable pour aller se coucher.

Je fais partie des ' cœurs généreux de la nuit ', et la nuit dernière à été difficile.


La je tombais assis sur le fauteuil. Mon frère déposait le plateau et tombait lui aussi sur l'autre fauteuil. On essayait même plus de comprendre. Thomas semblait tout à fait à son aise, c'est vrai qu'il est sociable mon Thomas. Il discutait avec nos parents, il était totalement décontracté et nos parents le trouvait charmant. Avec sa tête de premier de la classe.


Les cœurs généreux de la nuit était un organisme caritatif qui venait en aide aux nécessiteux. Un mouvement laïque qui se voulait très discret et refusait de se vanter, les membres avaient choisi la discrétion. Mes parents savait qu'ils n'auraient pas plus d'informations sur ce point.


Il est futé mon Thomas !


Mon père connaissait bien sûr ce mouvement et son visage ne cachait pas une certaine admiration. En moins de dix minutes Thomas les avait mis dans sa poche. Surtout que, les membres de cet organismes sont également porteur d'un dispositif de chasteté.


Nos parents étaient ravi de rencontrer un de nos amis, et très heureux de voir que nous avions ce genre de fréquentations.


Nos parents, ma mère surtout, posait tout un tas de questions. Vous vous êtes rencontrés ou, et Thomas il est de la région, ses parents …


J'avais à peine le temps d'articuler une syllabe que Thomas répondait, sur un ton calme et très convaincant. Non ses parents n'étaient de la région, on s'était rencontré à la bibliothèque ( Franchement ou peut-on rencontrer quelqu'un à part dans ce genre d'endroit ) … Bref au bout de quelques minutes Yohan et moi ne tentions même plus de répondre aux questions, on écoutait, et surtout on retenait bien ce que racontait Thomas, au cas ou nos parents viendraient à nous en parler de nouveau. Le mieux était quand même de donner les mêmes réponses.


C'est qu'il a de l'imagination mon Thomas, par moment je finissais même par le croire. La discussion durait ainsi plusieurs heures et Yohan et moi nous félicitions d'avoir ainsi proposé à un garçon si bien sous tous rapport. On avait nous aussi fini par y croire …


Notre mère nous invitait toutefois à ne pas lui demander de loyer.


Mais Madame, c'est moi qui ai insisté, il n'y a aucune raison à ce que …

Ce sera notre participation à vos bonnes œuvres jeune homme insistait mon père.


À un moment mon père demandait à Thomas s'il pouvait s'entretenir avec lui quelques instants, ils disparaissaient pendant très peu de temps dans la salle de bain et quand mon père revenait il avait l'air totalement rassuré. Thomas prenais lui un air un peu embarrassé …


Quel comédien mon Thomas, c'est pas seulement un gros baratineur !


J'ai pas tout compris sur le coup mais moi aussi j'étais rassuré. Nos parents nous laissaient vers la fin de l'après midi.


Ils sont vraiment charmants vos parents.

J'ai cru mourir. Répondait Yohan.

Mais comment tu as fait, on avait vraiment l'impression que tu connaissais ce milieu. Faisais-je remarquer.

Très simple, j'ai un très bon client qui est membre des cœurs généreux de la nuit. Il m'a tout appris, de plus j'ai un spectacle sue ce thème, d’où ce costume de premier de la classe …

Par contre votre père n'en a peut être pas l'air mais il est plus méfiant qu'il ne le montre. Tout à l'heure dans la salle de bain, il m'a fait remarquer que les membres des cœurs généreux portaient un dispositif de chasteté et il m'a demander s'il pouvait vérifier.


Là Yohan et moi on est devenu tout pâle.


Et …

Et bien je lui ai montré mon dispositif.


Yohan et moi nous regardions sans comprendre, Thomas ouvrait son pantalon et nous montrait. Il en portait un. Il éclatait de rire.


Pour pouvoir me présenter à sa famille, et surtout pour faire disparaître toute ambiguïté un des Ancien de l’association les '' cœurs purs, les corps sans défauts '', m'avait offert ce truc il y a quelques années.


On regardait cette cage à bite avec attention …


Elle est fictive ! Rajoutait Thomas. On ne dirait pas.


On regardait avec encore plus d'attention, ça ne se voyait pas du tout qu'elle était fausse. Thomas l'ouvrait, pour la retirer et en effet on constatait qu'il n'y avait pas de système de verrouillage. Elle était vraiment fictive !


Yohan regardait mon doudou se déshabiller avec avidité. Thomas n'avait pas envie de garder ces vêtements ringards, et il faut dire qu'il n'avait qu'un pantalon et une chemise à retirer. Il ne lui fallait pas bien longtemps pour se retrouver à poil.


je suis bien réveiller moi maintenant. Qui veut se faire péter la rondelle ?


Je sursautais à cette proposition, elle m'était adressée c'était évident mais alors pourquoi il le fait comme devant mon petit frère. Yohan se retournait vers moi et avec un regard tout triste …


Je peux dis Nathan !


Je ne l'avais pas venu venir celle là. Je regardais Thomas qui rigolait je regardais mon petit frère qui me faisais pitié. Je réfléchissais quelques seconde et …


Ouai, moi j'ai rien contre.


Thomas terminait de se déshabiller et Yohan se jetait sur lui. Thomas me faisait signe de la main en me disant.

– Toi tu regardes !


Je m'arrêtais net. Mon petit frère prenait la queue de Thomas dans la bouche sans aucune hésitation. C'est vrai qu'elle est grosse mais il avait déjà un peu d’entraînement. Gaëtan avait lui aussi une grosse bite, plus modeste que celle de Thomas mais de belle taille tout de même.


Yohan avait de l'entraînement, il s'y prenait bien et il semblait y prendre beaucoup de plaisir. Thomas ne cachait pas que lui aussi y prenait du plaisir.


Il suce super bien ton petit frère ! Me disait Thomas.


Thomas s'installait dans un fauteuil, les jambes écartées et laissait faire mon petit frère. Ma queue protestait toute seule, coincée au fond de sa cage qui maintenant était devenue bien trop petite.


Ce ne serait pas convenable entre frère … M'expliquait Thomas.


Comme si ce qui est convenable ou pas l'intéressait. Il ne se sentais pas concerné par le sens de ce mot ' convenable ' pour lui c'était un gros mot mais je pense qu'à ce moment il voulait me taquiner. Il voulait m'exciter, je me retrouvais comme condamné à regarder sans intervenir, sans avoir le droit de toucher, sans …


Je commençais à me sentir tout chose, j'avais une folle envie de participer mais je ne bougeais pas et c'est une délicieuse frustration qui naissait en moi. Je savais que ça ne durerais par trop longtemps.


Thomas s'amusait à appuyer sur la tête de Yohan. Yohan faisait des bruits bizarres qui faisaient rigoler Thomas. Je gardais le regard fixé sur le sexe de Thomas, moi aussi je voulais y toucher, moi aussi je voulais le sucer. Thomas regardait vers moi par moments, il regardait ma cage qui se balançait en suivant les battements de mon cœur. La pression était très élevée et la cage devenait presque douloureuse, je manquais d'air.


Retourne toi je vais t'enculer. Ordonnait Thomas sur un ton doux.


Yohan se figeait, ne bougeait plus.


Tu y vas doucement, elle est vraiment grosse ! Répondait Yohan sur un ton hésitant.

Tu as peur ? Demandait Thomas.

Moi peur ! Jamais ! Répondait Yohan. Avant de rajouter. Un petit peu quand même.


Malgré tout mon petit frère s'exécutait et prenait position. A quatre patte au milieu du salon. Il écartait les jambes et Thomas prenait position. Je lui tendait le gel lubrifiant. Maintenant on en a toujours sous la main dans la maison.


Il se lubrifiait longuement et glissait deux doigts dans le cul de mon frère pour le lubrifier. Yohan tremblait sous le contacte, il devait s'angoisser un peu mais il laissait faire. Thomas plaçait son gland sur l'ouverture du cul de Yohan.


Puis il poussait ! Yohan à crié.


Thomas poussait avec force et douceur, enfin douceur c'est une façon de parler, il poussait et lentement sa queue glissait vers l'intérieure du corps de mon frère. C'est étrange à dire mais c'était encore plus étrange à voir. L'un des deux était mon doudou, l'autre m'était très proche et je n'avais jamais imaginé me retrouver un jour dans cette situation.


Yohan gémissait à chaque millimètre et par moment tremblait, il lâchait des sanglots. La queue de Thomas se frayait un passage facilement enfin c'était mon impression. Yohan faisait des grimaces à faire peur, ce n'était peu être pas si facile que ça en avait l'air, enfin pour lui.


Le ventre de Thomas finissait par s'écraser sur les fesses de mon frère. Thomas s'appuyait alors de toutes ses forces contre les fesses de Yohan. De nouveau Yohan criait. Il devait y avoir de la douleur, certainement du plaisir il ne tentait pas de se dégager mais il n'y avait pas que du plaisir, en tout cas, c'était un plaisir intense.


Par moment j'oubliais ma propre queue mais à d'autres moments elle se rappelait avec violence elle aussi.


Thomas se retirait, Yohan restait là, bouche ouverte. Puis Thomas revenait et s'enfonçait de nouveau jusqu'à la garde, Yohan grimaçait, son visage devenait tout rouge. Mais il encaissait et Thomas accélérait le mouvement, il accélérait lentement mais il finissait par des mouvements rapides, rapide et violents. Yohan sanglotait à chaque fois que Thomas s'enfonçait en lui.


Je manquais d'air, moi j'étais habitué à la queue de Thomas et j'en avais envie. Thomas m'avait clairement expliqué pendant cette opération qu'il voulait que je connaisse la frustration et m'avait formellement interdit de réagir ou d'intervenir.


J'avais du mal à tenir.


Yohan aussi mais c'était pas pour les même raison. Tomas savait se contrôler et au moment ou il le décidait, il accélérait le rythme, plus rapide, les coups qu'il portait devenait moins amples. Yohan gémissait et tentait de se dégager.


Thomas ne le retenait pas de force, le laissait se dégager et lui jutais sur le dos. Je voyais Yohan qui lui aussi jutais et jouissait alors que Thomas s'était retiré.


Thomas avait l'air tout content.


Je crois que je serait en forme pour ce soir ! Disait-il en rigolant.


Yohan s'était retourné, il était allongé sur le dos, il respirait fort.


Alors prêt à recommencer ? Lui demandait Thomas.

Non c'est bon, j'ai ma dose, ça va, ça va …



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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