Le nouveau voisin 06

 Le nouveau voisin 06



Je restais stoïque, même au moment où je le voyais avec trois chocolats différents dans la bouche … Le goinfre ! En plus, c'était du haut de gamme !


Physiquement il était top, ça ne m'étonnait pas, c'est quand même Coraline qui l'avait choisi. Il était grand carré, viril. 


On passait au salon pour boire un verre. On prenait le temps de discuter. Je me rendais rapidement compte que Eddy était sans intérêt. C'était une sorte d'artiste créateur, mais il ne parvenait même pas à nous expliquer ce qu'il faisait. 


Au lit il devait être au top ! Coraline ne se serait pas intéressé à lui s'il n'avait eu aucune qualité. Dylan n'était pas seulement beau et bien foutu, il était aussi intelligent. Eddy était de ceux qu'on prend comme amant contrairement à Dylan qui lui faisait partie de la catégorie de ceux qu'on prend comme amant certes, mais aussi de ceux qu'on épouse.


Je ne sais pas dans quelle catégorie Coraline ma classait.


On passait à table, Eddy était totalement insipide, il bouffait c'est tout. Je sais, là vous vous dites que je ne l'aimais pas. C'est pas ça, je ne le connaissais que depuis quelques dizaines de minutes mais il avait l'air … Je ne sais pas si je peux le dire … un peu con. Un bellâtre quoi, rien de plus.


– Je vous le dis tout de suite les mecs. Maintenant que le mâle dominant est arrivé, vous n'allez pas rigoler tous les jours ! Nous sortait Eddy, comme autre connerie. 


Dylan ne bronchait pas, le précédent qui s'y croyait trop n'était resté que deux semaines, pourtant il était super canon ! Il se montrait très entreprenant avec Coraline qui déjà montrait des signes d'agacement. 


Dylan se penchait vers moi et me glissait à l'oreille , '' Je ne lui donne pas deux semaines ! ''. Je lui répondais alors, '' Peut être mais ça va être long quand même !''. Il rigolait de ma réponse. 


A la fin du repas on se retrouvait dans le salon. Dylan et moi n'avions pas dit grand chose. C'est Eddy qui mettait l'ambiance, il était lourd et c'est seulement là que je comprenais cette phrase qui disait '' La connerie est une maladie qui ne dérange que les autres ''. Eddy n'était pas dérangé, et à la fin du repas Dylan ne lui donnait pas une semaine …


– Alors ma puce, c'est là ton harem de mecs ? Demandait Eddy à Coraline.

– Mon époux et notre voisin … Répondait Coraline.

– Des couilles molles ! Et tu m'as dit que … On peut voir ?

– Bien sûr. Lui répondais Coraline sans conviction. Eddy voudrait voir vos cages de chasteté …

– Allez, à  poil les couilles molles. Montrez moi votre pathétique situation. Rajoutait Eddy.


Dylan et moi retirions nos vêtements, on se mettait à poil sans conviction mais on s'exécutait. Eddy ricanait bêtement, il était lourd je vous dit, il était lourd !


Il se levait et nous examinait longuement, il me tripotait les couilles, jouait avec ma cage puis passait à Dylan. Ensuite il se retournait vers Coraline. C'est avec tendresse qu'il la prenait dans les bras. Bon il était lourd mais il semblait câlin. Il l'embrassait tendrement, elle refermait ses bras autour de lui.


Avec ses gros doigts il lui ouvrait son corsage, il avait de gros doigts mais il agissait avec douceur. Bon en fait il n'avait pas de gros doigts mais j'aurais bien aimé qu'il les mette ailleurs, ses doigts, ses gros doigts …


Avec une certaine douceur il retirait le corsage de Coraline, elle avait les seins fermes, je les connaissais déjà et déjà ma queue protestait dans sa cage. C'était une révolte dans les règles, je regardais Dylan, il était dans le même état que moi. Je voyais son dispositif se relever et se balancer en suivant les battements de son cœur. Il réagissait comme moi.


Eddy caressait Coraline. Je ne comprenait pas comment Dylan pouvait supporter que ce bouffon touche à sa femme mais je me rappelais que j'y avais eu droit aussi. Contrairement à Eddy, moi quand  je caressait Coraline, je pensais à Dylan et souvent c'est lui que je regardais. Là je ne savais pas avec précision qui ou quoi me faisait bander.


Dylan ? Peut être ! C'est vrai qu'il était là juste à côté de moi, presque entièrement nu, sexy comme jamais. Du coin de l’œil je le surveillais, il me faisait toujours le même effet.


Il y avait aussi Coraline, c'est vrai que j'y avais goûté et j'avais aimé finalement. Je préférais de loin son mari Dylan mais Coraline était, assez mignonne dans son genre. Et je ne dis pas que je ne dévouerais pas juste pour lui faire plaisir …


Finalement il y avait aussi le goinfre insipide … Eddy. Je crois que si je suis méchant avec lui c'est qu'il me plaisait. Il avait une belle carrure, de belles mains. Un visage volontaire, viril et doux à la fois. Il était bel homme ! 


Coraline lui ouvrait la chemise. J'avais compris, il allait lui faire l'amour ici, devant nous. Mais nous, Dylan et moi, on allait faire quoi ? Là j'avais pas encore tout compris. En un rien de temps Coraline se retrouvait torse nue. Eddy lui caressait les seins et les lui embrassait, toujours avec cette allure de goinfre. Pourtant il me plaisait.


Il la prenait dans ses bras, se plaçait derrière elle, contre elle. Il se retournait pour qu'on puisse bien voir Coraline de face. Il l'embrassait sur les épaules, quand elle retournait le visage en arrière il l'embrassait sur les lèvres. Ses mains parcouraient son corps depuis son cou jusqu'à sa ceinture en insistant bien sur ses seins. 


Puis une main glissait dans la jupe, un bouton s'ouvrait, le reste de la jupe suivait puis c'était la jupe qui tombait sur le sol. Coraline ne portait rien en dessous. Du coin de l’œil j'ai remarqué la réaction de Dylan. Son dispositif de chasteté s'est relevé avec force à ce moment. 


Entre les jambes de Coraline on a vu se relever le bout de la queue de Eddy. On n'avait même pas vu qu'il avait ouvert son pantalon. Il n'avait sorti que sa queue et elle était de belle taille. Coraline s'amusait de voir notre réaction. Mon dispositif de chasteté se relevait également avec force.


Puis Eddy retirait sa chemise et faisait tomber son pantalon, c'était très mis en scène. Il restait derrière Coraline. Il devait être dans son art. Quand elle se décalait, on pouvait voir Eddy dans toute sa beauté.


Je vous avais pas dit qu'il m'avait paru con jusque là et il me paraissait toujours con, mais il était sacrément bien gaulé le branleur. Il avait un très beau corps, et une très belle bite. Je me la serais bien prise dans le cul celle là. J'avais envie d'y toucher. Mais ça c'était réservé à Coraline.


Elle se retournait et lui suçait la queue


J'avais du mal à me contrôler à cet instant, ma cage se relevait et faisait comme celle de Dylan. Je l'entendais ricaner, il l'avait remarqué. Je jetais  un regard dans sa direction, il avait la même réaction.


– On se calme les couilles molles ! Nous lançait Eddy sur le ton du dominant qui se fait entendre.


Il se penchait sur Coraline, la prenait dans ses bras, la caressait en glissant ses mains depuis ses épaules jusque sur son sexe puis sans prévenir mais avec une grande douceur il la pénétrait.


J'ai sursauté, un instant j'ai cru qu'il était passé par derrière le bouffon. La position était trompeuse, Coraline était penchée en avant, il était juste derrière elle et forcément … En fait il avait utilisé la voie conventionnelle. Dylan avait mieux vu que moi, lui était resté impassible.


Il serrait et caressait Coraline avec force mais il y mettait aussi de la douceur. Coraline gémissait de plaisir et retenait les bras fort de son amant. Il s'enfonçait en elle puis se retirait. Il y allait avec douceur puis accélérait le mouvement. Toujours avec douceur il y mettait de la force, quand il ralentissait le mouvement ses allez et retour devenait amples. 


C'était alors toute la longueur de sa queue qui s'enfonçait lentement et fermement dans le sexe de Coraline. Elle gémissait de plus en plus fort. Suivait alors des mouvement  plus rapides, plus violents en apparence, mais moins amples. 


Ensuite il la retournait et l'allongeait sur le tapis, il la retenait dans ses bras et la déposait avec douceur puis s'allongeait sur elle en prenant le plus grand soin de ne pas l'écraser. De nouveau il la pénétrait avec force et douceur. Il avait une queue de grosse taille mais elle entrait facilement, Coraline aimait et ça se voyait. C'est vrai qu'avec Dylan elle était habituée à de gros calibres. 


Nous avons assisté à tout la scène, on ne devait pas bouger, pas agir, pas parler. On n'avait qu'à regarder et admire ses performances, on pouvait compter les points mais à condition de le faire en silence.


Coraline se tordait dans tous les sens dans les bras de Eddy. Son corps se cambrait se redressait se relevait et se laissait retomber. Elle terminait en sueur et totalement essoufflée. Son corps retombait, tout mou, juste à côté de celui de Eddy qui retombait allongé juste à côté du tapis, tout contre Coraline. Lui aussi manquait d'air et lui aussi était en sueur.


Dylan se penchait vers moi.


– Alors tu es toujours prêt à te la prendre dans le cul ?

– Plus que jamais, c'est quand il veut !


Je suppose que tout le monde me comprend. Ça faisait maintenant deux semaines que j'avais la queue enfermée dans une petite cage. Ça devait durer encore je ne sais pas combien de temps et puis, il faut bien se dire que d'habitude je suis plutôt passif. Donc …


Me faire défoncer le cul par un mec très bien monté, non seulement ça ne me faisait pas peur mais je ne demandais que ça. Ma queue protestait comme une folle, c'était la révolte et mon cul criait famine. En fait j'étais mort de trouille à l'idée de me la prendre dans le cul.


Je ne me suis rhabillé qu'au moment de rentrer chez moi. J'habitais pas loin remarquez, j'aurais pu rentrer comme j'étais mais bon, il parait que ça ne se fait pas. Se balader à poil dans la partie communes de l'immeuble je veux dire.


J'avais la cervelle en feu, je revoyais Dylan, il était beau Dylan, il était vraiment beau. Je me demandais comment il faisait pour rester calme. C'est vrai que ce jeu érotique, ils y jouaient depuis un moment avec sa femme, et c'est vrai aussi que Coraline savait  faire plaisir, quand elle se donnait elle se donnait …


Je revoyais aussi le corps d'Eddy, c'était un goinfre, il était insipide, il n'avait aucune discussion mais il était bien gaulé, super bien gaulé. Je tentais en vain de m'endormir quand on sonnait à la porte.


J'allais ouvrir, c'était Eddy.


– Tu me fais rentrer ? Me demandait-il en entrant sans attendre la réponse.


Il refermait la porte derrière lui et sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit il baissait son pantalon.


– Suce ! Me disait-il.


Comme je viens de vous l'expliquer, je n'attendais que ça. Je me suis mis à genoux devant lui, il ne bandais pas, il avait une bite bien grosse, bien lourde qui pendait entre ses jambes. 


Je me la prenait dans la bouche et en quelques secondes je la sentais prendre du volume dans ma bouche. Il m'avait fait rêver quand je le regardait tout à l'heure avec Coraline. Là je l'avais pour moi tout seul. J'avais du mal à me prendre sa queue en entier mais  je m'appliquait, je me déboîtais la mâchoire proprement, c'est une façon de parler, je ne suis pas un serpent non plus.


Ensuite je prenais une profonde inspiration, c'est vrai que là j'étais inspiré. Son gland glissait alors contre ma langue, je la passais autour de son gland, je tentais de la glisser dans le petit trou qu'il a au bout de sa queue. Je le sentais frémir, je le sentais trembler, il poussait de petit gémissements.


Puis il a pris le contrôle de la situation. Il a saisi fermement ma tête entre ses deux mains et l'a tirer vers lui avec force. J'ai pas eu le temps de réagir, j'ai rien pu dire, sauf des bruits gutturaux bizarres et rigolos, et sa queue s'est écrasée dans ma gorge.


Je ne me suis pas débattu, j'ai laissé faire. Il aura sans doute pensé que j'étais consentant, ceci dit c'était pas totalement faux, en fait je ne demandais que ça. 


Il repoussait ma tête, mon visage s'écartait de son ventre, il me tirait et mon visage s'écrasait contre son ventre et sa queue s'écrasait dans ma gorge. Je peux vous garantir qu'il forçait l'animal et si j'arrivais à tout avaler j'étais le premier surpris. Mais j'avalais tout. 


J'aurais bien réclamer, je lui aurais bien demandé de me défoncer le cul mais voilà, il ne me lâchait pas, et comme j'avais la bouche pleine, je ne pouvais rien dire.


Il s'en moquait totalement, il me tirait ver lui me balançait un coup de bite dans la gorge, me repoussait et recommençait. Ça devenait violent. Je sentais ma queue qui protestait de plus en plus. Deux semaines s'étaient passées, il m'en resterait encore au moins quatre.


Mais pourquoi je ne dis rien moi ? Mais pourquoi j'ai accepté cette situation ? 


C'est là que j'ai senti le goût de son sperme qui envahissait toute ma bouche. 


C'est aussi là que le réveil matin à sonné. 


Je me suis réveillé, un peu hagard, ma queue me torturait, elle voulait sortir, elle voulait … Enfin elle protestait quoi et je vous jure que ce n'était pas agréable. 


Ce qui n'était pas agréable non plus c'était la disparition de Eddy. C'est vrai quoi, il était là à me défoncer la bouche et en une seconde il n'était plus là, il avait disparu … Et tout ça parce que le réveil avait sonné.


A suivre 



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


30 Mars 2022

 Jour 160








29 Mars 2022

 Jour 159







Le nouveau voisin 05

 Le nouveau voisin 05



Je restais très calme, c'était peut être la petite drogue qu'elle m'avait donné, ça m'avait fait bandé et maintenant ça me détendait. Ou alors c'était peut tout simplement le plaisir, je venais de jouir et j'étais sous endorphines. 


En fait, j'en sais rien mais je me sentais bien et ça, c'était le principal. Je n'ai vraiment réaliser que je venais d'enfermer ma queue dans une cage qu'au milieu de la nuit. Je me suis réveillé violemment, il y avait une gêne terrible là ou justement il n'y a rien qui gêne d'habitude. Je bandais de nouveau, mais ça c'était normal, et là je la sentais bien la cage. L'anneau aussi, je le sentais bien.


Ma queue était écrasée contre les barreau de ce système qui me paraissait diabolique maintenant. J'ai eu du mal à me rendormir. Le matin j'étais moins convaincu que la veille. Je décidais d'en parler à Coraline dès le lendemain.


La journée au boulot s'est assez bien passée, je soir en revenant je passait chez les voisins. Personne …


Je les ai attendu, pas sur le palier mais j'habite juste à côté je vous rappelle, je les ai attendu et finalement je les ai entendu. Je suis vite allé frappé, c'est Dylan qui m'a ouvert. 


– Salut toi. Alors ça se passe bien ?

– Oui enfin pas vraiment mais plutôt non ça ne se passe pas bien !

– Heu ! Bien ou pas bien ? Tu peux répéter ?


J'entrais et lui expliquait.


– J'allais prendre ma douche, tu viens me frotter le dos. On pourra regarder ça de plus près.


Je n'étais pas vraiment convaincu par sa réponse. Le voir à poil risquait de ne pas me calmer mais plutôt de produire l'effet inverse. Malgré le risque je le suivais dans la salle de bain. 


– Et Coraline, elle rentre quand Coraline ?

– Elle ne rentre pas tout de suite. Elle m'a appelé ce midi, elle est repartie pour deux semaines … 


Là j'ai tiqué quand j'ai entendu ça. Comment ça, elle ne rentrerait pas ? Comment ça elle était repartie ? Comment ça elle m'avait enfermé la queue dans un dispositif diabolique juste avant de partit ?


– Quoi elle est partie ! Après ce qu'elle m'a fait ?

– Je crois que tu l'a fait tout seul ! J'étais là. Aller enlève tes vêtements.


Je me mettais à  poil, il passait sous la douche, je le suivais. 


– Fais voir ton problème !


Je lui montrais, il regardait ma nouille tristement emprisonnée dans sa cage, il me tripotait les couilles et ça n'a pas loupé. Loin de me calmer, il m'a exciter encore plus. Ça l'a fait rire.


– Tout va bien bonhomme, moi ça fait pareil, enfin moins maintenant. Il faut t'y habituer. Ta queue est en colère parce qu'elle ne peut plus faire ce qu'elle veut mais ça va lui passer. Rajoutait-il en rigolant.

– Je ne trouve pas ça drôle.

– Retourne toi !


Je lui tournais le dos, je le sentais me lubrifier le cul. Il avait lui aussi la queue en cage. Il ne risquait pas de me faire de mal, pas plus il ne risquait de me faire du bien. Il me glissait un ou deux doigts dans le cul, c'était pas vraiment désagréable, bien au contraire mais ça ne me calmais pas. 


J'ai senti quelque chose de plus gros que son doigt qui poussait contre mon cul, c'était agréable et sur le coup je ne me suis pas posé de question. Rapidement je sentait mon cul se dilater et quelque chose, c'était un gode, glissait dans mon cul. Il y allait doucement et je commençais à gémir de plaisir. C'était agréable, vraiment agréable. Je sentais cette forme cylindrique qui me pénétrait. 


Je ne l'avais pas vu prendre le gode, il devait avoir ça sous la main, peut être se le destinait-il. Je ne sais pas mais j'en redemandais. Comme réponse, il me l'enfonçait un peu plus, il poussait plus fort. Ça finissait par résister, il le retirait alors avant de me l'enfoncer de nouveau un peu plus profond.


Ce gode me semblait gros mais surtout long, très long. Il glissait assez facilement mais arrivé à une certaine profondeur ça devenait difficile. Je penchais la tête en arrière, comme si ça devait m'aider. Lui il poussait.


J'ai senti ce qui devait être la base du gode appuyer sur mes fesses. J'ai senti la paume de sa main qui appuyait dessus et appuyait sur mes fesses. Je prenais une grande inspiration. Je frissonnais et me redressais. Sans même m'en être rendu compte, je m'étais penché en avant.


La je me redressais et je sentais le gode qui se figeait dans mon ventre. Il me l'avait introduit par le cul mais c'est là, au milieu de mon ventre que je le sentais. C'était bon, encombrant mais bon. 


Dylan me retournait et me prenait dans ses bras. Il m'embrassait, je lui rendais ses baiser et refermais mes bras sur lui. Il me caressait tout le corps, il insistait sur mes fesses et régulièrement il appuyait sur le gode pour qu'il ne ressorte pas. 


Rapidement ça provoquait un massage autant au niveau du muscle anal qu'au niveau de la prostate. C'était bon, ça devenait divin. Un intense plaisir envahissait tout mon ventre, tout mon torse et se répandait jusqu'à mes bras. Je tremblais de plaisir.


Je me laissais faire, je voulais écarter les jambes mais il me disait de bien garder les cuisses fermées et de serrer les fesses. Je m'exécutais sans réfléchir. Il était là son corps contre le mien. Il posait une main contre le gode et appuyait dessus par a-coups. Le plaisir montait un peu plus à chaque a-coup.


Je lui caressais les couilles, elles s'étaient resserrées et formaient deux sortes de boules juste en dessous de sa cage. Il semblait y avoir autant de pression dans sa cage que dans la mienne. Il respirait fort, lui aussi devait être en manque, sur tout que pour lui ça durait depuis trois semaines, contrairement à moi ou ça ne faisait que depuis la veille.


J'avais le vertige, je me souvenais qu'elle avait dit 'le double' ça faisait six semaines, en plus moi je ne serais libéré qu'après Dylan. Mais combien de temps après Dylan ?


Je l'entendais gémir, il prenait du plaisir, c'est vrai que le contact de la peau est agréable mais c'est quand même limité. Il me massait la prostate depuis un moment et là, par contre, le plaisir était réel et de plus en plus présent, de plus en plus intense. 


Je vibrais de plaisir, je sentais son souffle contre mon oreille. Il continuait et à un moment, je me suis senti submergé de plaisir, j'ai éjaculé. Il ne me stimulait pas du tout la queue ou les couilles mais j'ai joui, et j'ai juté. J'ai tremblé.


Il a continué un moment à me masser la prostate puis à retiré sa main, quelques instants le gode glissait en dehors de mon cul et retombait par terre. Il me tenait toujours dans les bras et m'embrassait. Nous avons terminé notre douche, il n'avait pas vraiment joui même s'il avait pris un certain plaisir, pour lui ce n'était pas un orgasme, pour moi oui.


Pour moi c'était déjà frustrant, pour lui je n'osais pas imaginer. C'est vrai qu'il avait l'habitude, ce n'était pas une première pour lui mais ça faisait déjà trois semaines, et vous pouvez me croire, trois semaines c'est déjà pas rien. Moi j'en étais à vingt quatre … heures . 


Dans l'immédiat je me sentais bien. Il venait de me faire plaisir, très plaisir. J'étais détendu. On a terminé notre douche, on s'est essuyé l'un l'autre puis on est revenu au salon.


Je sentais sa tension, il était en manque. Je sentais aussi une force qui émanait de lui, j'aurais aimé pouvoir le prendre dans mes bras, bon ça c'est vrai je pouvais, j'aurais aimé pouvoir l'enculer comme je le faisais depuis quelques temps. C'est vrai que je suis habituellement passif mais depuis quelques temps, j'étais actif. Fallait bien qu'il y en ait un qui se dévoue.


Mais je savais que tout ce que je pouvais espérer avoir, on me l'avait déjà donné, je l'avais déjà reçu, je n'aurais rien d'autre. 


On a terminé la soirée à discuter, il me donnait des conseils, on échangeait nos impressions. La mienne était mitigée, je ne savais plus quoi penser. Une heure plus tôt je voulais me débarrasser de ce dispositif mais maintenant il me semblait moins diabolique.


Il me rassurait pour les semaines à venir. Il avait de l'expérience et je ne sais pas pourquoi mais je ne le trouvais pas très convaincant … 


– Tu sais. Me disait-il. Si tu ne peux pas bander, tu ne bandes pas ! Si tu peux pas te branler, tu ne te branles pas ! Et si tu ne peux pas te donne de plaisir …

– Tu ne te donnes pas de plaisir. Terminais-je. Ça me paraît trop simple ton truc.

– Et pourtant ça marche. Tout est dans la tête. 

– Dans la tête, je veux bien, mais pas que … 


Je n'étais pas convaincu mais vraiment pas du tout quand je rentrais chez moi. Et je ne vous cacherais pas que j'étais inquiet pour l'avenir. Je me souvenais des paroles de Coraline, elle avait décidé que je serais libéré après Dylan mais que Dylan resterait enfermé pendant six semaines. Et c'est long vous savez, c'est très long ça six semaines. Je me demandais si je tiendrais.


Tout ce qu'arrivait à me dire Dylan se résumait à : ' Si tu ne peux pas faire, tu ne fais pas' ! Et cette idée se tournait et se retournait dans ma tête tant que je ne dormais pas. J'ai très peu dormi. 


Je ne me sentais pas vraiment à mon aise dans les jours qui ont suivi. Ma queue me torturait, bon torturait peut être pas. Mais ça y ressemblait. Les premiers  jours je la sentais tout le temps la cage. Les jours suivant, c'était encore pire …


Il m'arrivait souvent au début de ne pas dormir ou de dormir très mal. Je suivais un des conseil de Dylan et ressortait régulièrement le gode. Si, si je vous jure ça aide. C'est pas pareil mais ça aide.


Je passais le voir régulièrement, on faisait des câlins et peu à peu on jouait avec des gadgets, il avait une petite collection de godes, j'en avais une aussi. Coraline est revenue au bout de deux semaines, elle n'avait pas prévenu, un matin elle était là. Il y avait un homme avec elle.


C'était un gros morceau le bonhomme, un peu plus grand et plus large que Dylan. Je me demandait ce que cela présumait. Dylan passait me voir, il n'était pas vraiment enthousiasme, pas vraiment désappointé non plus. Il m'a juste dit : '' Elle me refait le coup ! ''. Ensuite il m'invitait au nom de Coraline à souper le soir même.


– Je m'habille comment, c'est une soirée spéciale ?

–Tu t'habilles normalement, oui c'est une soirée spéciale, enfin pas officiellement je m'entends …

– Et il faut s'attendre à quoi exactement ? Demandais-je ;

– Au pire ! Répondait-il.


J'en avais déjà vu de toutes les couleurs (comme on dit) aussi je ne prêtais pas attention à ce dernier commentaire. Le soir même j'avais un bouquet de fleurs dans la main et une boite de chocolat dans l'autre … 

C'est Dylan qui ouvrait. Ces derniers événements m'avaient tellement surpris, que pour quelques heures je ne pensais plus à ma queue enfermée au fond de sa cage. Il faut aussi dire que je commençait à m'y habituer. Dylan m'avait bien précisé qu'avec le temps on s'y fait, et bien je confirme, on s'y fait bien même. Le plus souvent dans la journée, on n'y pense pas mais il y a des moments ou on y pense et alors, on ne pense plus qu'à ça. Pour le moment je n'y pensais pas.


Coraline me sautait au cou, elle prenait les fleurs.


– Hiiiiii ! Des fleurs mais il ne fallait pas !


Dans un même mouvement elle m'embrassait et me passait une main sur la cage, elle écartait son visage du mien et me lançait un très large sourire. Ma queue se réveillait et commençait à bander. C'était trop beau, ça ne pouvait pas durer. Je me retrouvais les mains vides. Elle me présentait son lascar, Eddy. Il avait déjà un chocolat dans la bouche.


– Par contre pour ce qui est des chocolats, là, c'était une bonne idée. Me lançait-il.


Je ne sais pas ce qui m'a pris mais je vous jure. J'ai senti la colère monter, je n'en ai rien montré, je suis trop bien élevé pour ça mais j'avais brusquement envie de le mordre. 


Il bouffait mes chocolats comme un goinfre.


A suivre 



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27 Mars 2022

 Jour 157





PHILIPPE EP 14 : LES PREMIERES HEURES SUR L'ILE

 PHILIPPE

EP 14 : LES PREMIERES HEURES SUR L'ILE

 


Je vous ai déjà dit que mon Grand Père sait mettre les gens à l'aise quand il veut, et bien mes camarades en ont fait l'expérience. Le petit déjeuner se terminait avec des étoiles dans leurs yeux, il leur racontait tout ce qu'on allait faire pendant les vacances. 


– Bon les jeunes, vous allez vous changer tout de suite, vous voyagez léger, on s'occupera de vos affaire, vous pouvez laisser vos bagages ici. 

– Oui mais Msieu, je ne sais pas mais moi j'ai rien, pas de maillot de bain, pas de short … 


Victor ne disait rien mais il haussait les épaules et faisait non de la tête, c'était pareil pour lui. 


– C'est vrai que vous arrivez directement de votre école. Bien on va s'occuper de vous, allez en route …


On suivait mon Grand Père à sa voiture, Victor suivait il était toujours aussi impressionné que la veille, et même plus peut être encore. La voiture était encore plus impressionnante que la Bentley de mon père … 


On arrivait au magasin, Victor était embarrassé, c'était un magasin de luxe ; c'était très au dessus des ses moyens. Mon grand père prenait l'initiative nous demandait notre avis et rapidement on se retrouvait avec deux bermudas, des sandales, des polos … Enfin tout le nécessaire de vacances. Le reste de l'équipement, pour la plongée par exemple, était déjà sur place. On est équipé et on est organisé dans la famille.


On revenait chez mon père en laissant la marchandise au magasin. Là Victor ne comprenait plus rien, Théo ne se posait pas de questions. Arrivé à la maison le majordome de mon père demandait à Victor de bien vouloir le laisser prendre ses mensurations … Théo ne comprenait plus et Victor ne posait pas de questions …


C'est donc seulement avec l'indispensable, jeans basket, que nous montions sur le toit de la maison … Le voyage commençait là, un hélicoptère nous attendait. 


– Magic Island est au milieu de l'océan, on ne va pas y aller comme ça ? Faisais -je remarquer.

– C'est pour aller à la gare, le voyage se fera en train. 


Deux heures plus tard nous étions à la gare, nous avions un compartiment qui nous attendait, quelques sacs contenant les achats que nous avions fait nous attendaient aussi. Théo n'était pas vraiment surpris mais Victor lui, avait renoncé à comprendre depuis déjà un bon moment.


A l'heure prévue le train partait, nous étions montés à la dernière station avant l'océan, ce qui nous faisait un peu moins de trois mille kilomètres, ou encore, pas loin de quatre heures … Ce train est vraiment rapide, nous arrivions donc une heure après notre départ ( heure locale! ) on avait tout de même traversé plus de deux fuseaux horaires … Eh, éh, éh … Un décalage horaire en train, on n'arrête pas le progrès !


Pendant ce voyage nous étions en première classe et on avait bien sûr dîné dans le train, mais l'air de la mer et les voyages nous avaient mis en appétit et à peine arrivé nous descendions dans le premier restaurant qu'on rencontrait. Mon grand père préférait nous laisser. On se gavait de crêpes arrosées de cidre et on terminait par une glace. Mais ce qui surprenait le plus Victor c'est que quand on quittait le restaurant, personne ne nous courrait après ; pourtant on n'avait rien payé, d'ailleurs personne ne nous avait présenté de note …


– Alors c'est comme ça, ici on ne paye pas ? S'étonnait Victor.

– NOUS … Ne payons pas …

– J'ai trop mangé moi, j'ai plus faim … Rajoutais Téo. Je prendrais bien une petite glace pour faire couler … 

– Oui mais là je ne comprends pas moi ! S'étonnait Victor

– Je t'explique, si tu as besoin de quelque chose, tu te sers, ce sera porté sur notre compte, tu es notre invité et dans la famille on n'a pas l'habitude de présenter une facture à nos invités.

– Oui mais si je veux acheter un souvenir par exemple …


Je devinais que Victor serait gêné s'il sentait qu'on lui offrait tout …


– Et bien dans ce cas là tu expliqueras que c'est pour toi et qu'il faut le mettre sur ton compte personnel … On a des prix ici, la facture suivra avec une très grosse ristourne …

– Ok … 


Il restait perplexe Victor !


On se rendait à la maison en passant par la plage, c'était un endroit magnifique, une étendue de sable fin, une forêt des palmiers entre lesquels on pouvait apercevoir des cabanes, des terrasses, des parasols, dans la baie une armada de bateaux de grand luxes. A peine visibles au dessus des arbres on apercevait le sommet des immeubles résidentiels qui formaient comme un petit Manhattan sur le côté nord de l'île en son centre.  Il y avait beaucoup de monde sur la plage, certains faisaient du sport ou des châteaux de sable. D'autres profitaient du soleil en ne faisant rien. D'autres encore nageaient ou faisaient du ski nautique.  La plage formait une baie de plus de cinq kilomètres de large, tout au bout, elle se terminait par un rocher qui s'élevait comme une falaise à plus de cent mètres au dessus de la mer et recouvert d'une forêt.


– C'est sur ce rocher qu'on peut faire de la varappe ? Demandait Victor.

– Non si tu regardes bien tu verras une petite maison qui apparaît entre les arbres …

– Ah oui ! Ne me dis pas que c'est la maison …

– C'est pas la maison !

– Tu me rassures ! 

– On est encore loin, en fait la maison est énorme ! Faisait remarquer Théo.

– Oui, il faut reconnaître qu'il y a de la place … Déclarais-je.

– Mais c'est pas là que … Bafouillait Victor.

– C'est pas la maison ! Répétais-je à Victor. 

– Il y a une piscine ? S'inquétait Théo.

– Bien sûr, plusieurs même, on a tout de même le stricte minimum pour survivre !

– Mais c'est pas la maison ? Insistait Victor.

– Si c'est la maison ! Lui répondait Théo.


Je faisais oui de la tête !


– Mais pourquoi tu me dis que c'est pas la maison !

– Mais c'est toi qui m'a dit … Ne me dis pas que … Alors je ne te dis pas !


Au pied de la falaise, il y avait un portail, il n'était pas verrouillé, on entrait, suivait un escalier creusé dans le rocher, plus on montait plus le paysage était beau, au sommet de la falaise on pouvait voir la voix ferrée posée sur l'eau. C'était étrange on voyait une sorte de pont qui disparaissait à l'horizon. Tout en haut on arrivait sur la terrasse de la maison, mon grand père y était déjà …


– La falaise fait presque cent mètre de haut … Pourquoi vous n'avez pas pris l'ascenseur les jeunes ?


Mes camarades se retournaient vers moi !


– Et il y a un ascenseur ?

– Oui mais on ne voit pas le paysage dans l'ascenseur …


Théo me donnait une tape sur le dos de la tête. On s'installait sur la terrasse, un employé en livrée nous apportait des rafraîchissements. 


– Je vous ai installé dans l'aile du petit bassin ! Ah un petit détail aussi Philippe, ici le personnel travaille pour moi ! Me faisait remarquer mon grand père.

– Cool ! 


Mon grand père nous laissait et nous on se rendait dans l'aile du petit bassin. Dans cette grande maison c'était une aile ou une dizaine de chambres étaient regroupées en demi cercle autour d'une petite piscine de vingt cinq mètres ( petit détail, la piscine principale est aux normes Olympiques ), une petite ( enfin quand je dis petite … ) terrasse offrait une vue sur la mer et un coucher de soleil tous les jours … Ouai tous les jours, on en a de la chance !


Sans plus attendre je me mettais en tenue, Théo en faisait de même. Je veux dire par là que je me mettais à poil. On s'installait sur un transat, Victor nous regardait, il hésitait … Puis faisait comme nous. Rapidement nous étions tous les trois à poil enfin presque, pour l'un d'entre nous c'était bien presque !


Rapidement je bandais et je me caressais la queue, Théo faisait pareil. Je voyais le dispositif de chasteté de Victor se relever, il y avait de la pression, il réajustait plusieurs fois son dispositif en tirant sur la peau. Il paraît que ça ne fait pas mal ce truc mais c'est pas pour autant que c'est toujours confortable. 


Je devinais que pour Victor ce n'était pas confortable, je le regardais avec un petit sourire malicieux. Théo se masturbait doucement, complètement allongé, les jambes légèrement écartées et les yeux fermés. Je faisais comme lui. Victor nous regardait, l'un puis l'autre, son regard passait de ma queue qu'il regardait avec avidité à celle de Théo qu'il regardait avec envie également. Il faisait un mouvement pour se lever.


J'étais plus rapide que lui. Je me levais et lui faisais signe de ne pas bouger, il se laissait retomber et se tripotait son dispositif, il se massait les couilles, il était en manque. 


– On joue au bout en train ? Proposais-je.


Je me dirigeais vers Théo, qui n'avait pas ouvert les yeux mais faisait un grand sourire …


– Et c'est lequel qui va être frustré ? Demandait Théo.


Je me penchais sur lui, prenais doucement sa queue entre mes doigts, il retirait sa main. Je lui caressais sa queue avec douceur, il ouvrait un œil. Je passais doucement ma langue que son gland, il gémissait pour m'encourager.


Théo : Alors ce sera qui le bout en train ? Celui qui n'aura pas droit à la bite aujourd'hui …


Victor nous regardait avec envie, sa langue passait sur ses lèvres avec insistance. Il ne se tripotait plus son dispositif mais celui ci se relevait avec des mouvements rapides. Sa queue se contractait à chaque battement de son cœur, et à chaque battement de son cœur se soulevait par à-coup. Victor ne bougeait plus.


J'avalais alors ce gland que je suçais généreusement avec ma langue, je la faisait passer avec douceur tout autour de son gland qui s'enfonçait un peu plus à chaque tour. Le farceur appuyait sur ma tête. Je le laissais faire je ne résistais pas. 


Au bout de quelques minutes sa queue s'enfonçait jusqu'au fond de ma gorge, je relevais la tête pour pouvoir respirer, il me laissait faire un instant puis appuyait sur ma tête en relevant son bassin, sa queue s'enfonçait alors jusqu'à ma gorge. Par moment il appuyait un peu plus fort, un peu plus longtemps et mon nez s'appuyait alors sur son ventre. Je ne pouvais plus respirer, je me retenais un moment mais j'étais finalement obligé de relever la tête. Le mouvement reprenait.


Je finissais par dégager ma tête …


– A moi maintenant ! 


Il riait de ma réplique, je m'allongeais sur mon transat, on inversait la position. C'est Théo qui maintenant me suçait la queue. Tout comme moi, il passait longuement sa langue sur mon gland, il insistait particulièrement sur la petite fente qu'il y a tout au bout un peu comme s'il voulait y entrer la langue. Ça fait tout bizarre, c'est une zone sensible, et je me contractais à ce moment, je tremblais un peu aussi.


Ensuite il prenait mon gland dans sa bouche, je sentais toujours sa langue qui me caressait le gland, c'était divin. Il ne m'avait jamais montré autant de tallent dans la fellation le petit Théo. Je me disais que j'avais bien fait de l'inviter. A ce moment, un peu comme si je convulsais, j'appuyais sur sa tête avec force, il était surpris et n'avait pas le temps de réagir. Ma queue s'enfonçait dans sa bouche jusqu'à la garde et son nez s'écrasait sur mon ventre. Il émettait un bruit bizarre qui m'amusait beaucoup. Je maintenais ainsi fermement sa tête jusqu'à ce qu'il force pour se dégager. Je le lâchais, il relevais la tête et me regardais dans les yeux en reprenant son souffle !


– Tu veux pas que je t'encule … Tu serais mignon ! Lui demandais-je.

– Pauv con !


Ça y est il recommence ! Ce qui ne l'empêchait pas de replonger quelques instants plus tard, il avalait alors directement ma queue bien à fond, relevait la tête puis replongeait à un rythme rapide. Des deux mains je le suivais, je ne le forçais pas, il n'en avait pas besoin. 


Je regardais dans la direction de Victor. Il était tétanisé, il respirait fort, il s'était tourné vers nous les jambes bien écartées, il ne bougeait plus, il nous fixais du regard, seul son dispositif se soulevait par saccades,on devinait que son cœur battait fort. 


Théo relevait la tête d'un air bien décidé.


– C'est moi qui t'encule ! Retourne toi !Me répondait Théo.

– Non ! Lui répondais-je

– Comment ça non ? Insistait Théo.

– Je me retourne pas ! Déclarais-je.

– Ok , tu l'auras voulu. Répondait Théo


Je ne vous ai pas dit tout à l'heure qu'on est organisé … J'avais un tube de gel à porté de main … Il faut toujours être prêt à toutes éventualité.


Je le lui donnais. Sans ménagement il me soulevait les jambes, plaçait mes chevilles au niveau des ses épaules, s'appuyait contre mes jambes les repliant contre on thorax. J'avais pas prévu qu'il serait aussi rapide et je voulais en fait me retourner mais c'était plus la peine, je laissais faire.


Un regard vers Victor, il avait l'air de suffoquer le pauvre, il ne bougeait toujours pas.


Théo avait pris position, le bout de sa queue appuyait déjà sur mon petit trou de balle. J'avais du mal à respirer mais Théo ne s'en préoccupait pas, remarquez j'aurais fait pareil, il m'avait bien lubrifié le cul, il s'était bien lubrifié la queue, il appuyait.


Il appuyait doucement au début, en un seul mouvement il enfonçait sa queue de plus en plus profond. Je sentais mon cul se dilater, et je sentais une douleur très forte. Je gueulais, il poussait plus fort et plus vite. Je hurlais de douleur, il poussait alors de toutes forces bien à fond, je voulais me dégager mais je n'avais aucune prise, c'est lui qui me tenait et il ne voulait pas me lâcher .


– Arrête, tu fais mal ! Râlais-je.

– Non, j'y suis, j'y reste ! Me répondait Théo.

– Arrête, tu fais vraiment mal ! J'insistais.

– Pauv con ! Je me venge ! Me répondait Théo.


Je gueulais, je gigotais, je tentais de me dégager mais il me retenait. J'étais bloqué. Il se retirait un peu et revenait en force, avec violence il appuyait de toutes ses forces. Son bassin était collé contre mes fesses et il appuyait. Je tremblais. C'était vraiment douloureux mais pas que. J'éjaculais et de ce côté j'éprouvais un immense plaisir. Mon cul se contractait alors, c'était encore plus douloureux. 


Je me débattais, je gueulais, je gémissais, je chialais. Théo ne lâchait rien il se retirait toujours un peu pour revenir avec violence. Je sentais mon cul se contracter, il me faisait mal.


Je sentais sa respiration s'accélérer, je le sentais trembler, il gémissait et lui c'était pas de douleur. Suivaient encore deux ou trois coups de butoir et je le sentais frémir, il jouissait dans mon cul. Encore deux ou trois coups de rein et il se retirait. Au moment ou il ressortait de mon cul un long filet de sperme en coulait, et un autre filet de sperme coulait de ma queue. J'avais débandé depuis un moment là … La douleur ne persistait pas.


Théo se penchait vers moi et me donnait un baiser avec beaucoup de douceur et de tendresse. 


Victor était retourné le pauvre. C'était réussi, si le but était de le frustrer c'était réussi. Il était en manque, son souffle était fort et son dispositif se relevait toujours par à-coup. Il avait la main sur le cœur et le regard fixe !


Théo se relevait, il avait l'air content de lui. On décidait de passer sous la douche, Victor également mais lui c'était pour une douche froide, il en avait besoin. J'avais mal au cul ! 


– Tu m'avais bien dit que je pourrais me venger ! Non ? Me faisait judicieusement remarquer Théo.

– Pfff . Mais ça fait mal ton truc, il est trop gros !


Il éclatait de rire. On enfilait un bermuda, un T-shirt et on se préparait à passer à table.


– On ne va pas passer à table en cette tenue ? S'inquiétait Théo.

– Si tu ne veux pas te faire engueuler par mon grand père, si !

– Moi ça me fait tout drôle !

– Remarque tu peux aussi y aller torse nue, si tu veux !

– Tu déconnes !

– Non. On est chez mon grand père et on est en vacances … 

– Ça m'a mis en appétit cette affaire, on recommence quant tu veux bonhomme, je suis sûr que tu as aimé ! Me disait Théo.

– Pauv con !



On prenait la direction de la petite salle à manger. Moi je restais torse nue, les autres n'osaient pas mais moi si. Les vacances venaient de commencer.



Voilà qui termine cette première saison des aventures de Philippe. Une seconde saison est en préparation. N'hésitez surtout pas à me donner vos impressions, me dire ce que vous en pensez en me laissant un commentaire. 



Vous pouvez aussi me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


PHILIPPE EP 13 : UNE NUIT A LA MAISON

 PHILIPPE

EP 13 : UNE NUIT A LA MAISON

 


Les derniers jours passaient vite, heureusement l'impatience se faisait sentir. Victor avait rempli son dossier d'entrée à la PK University, il ne savait ni si sa bourse serait renouvelée, ni dans quelles mesures. Il était issu d'un milieu modeste et sans sa bourse il ne pouvait pas se payer une telle école. Il ne disait rien mais commençait à s’angoisser.  


Personne, parmi ses camarades ne pouvaient se douter de son petit problème. Le règlement interne était formel, et dans la fac c'était pareil, on n'avait pas le droit de parler de notre situation sociale. Dans l'école on était tous au même niveau. La plus grande partie des élèves étaient issus d'une famille très favorisée économiquement, les autres avaient une bourse et étaient financièrement pris en charge mais en aucun cas ils ne devaient se sentir défavorisés, rabaissés. On était à égalité !


Au pire celui qui était issu de la famille la plus riche ( bon d'accord c'était moi ) serait par la suite héritier, au mieux le moins favorisé serait le directeur de la PK ( par exemple ) … Tout était possible, seuls les qualités devaient être prises en compte. Victor ne parlait donc pas des ses inquiétudes, on savait qu'il était issu d'une famille modeste, on en savait donc déjà trop !


Le dernier jour arrivait. Les parents des élèves étaient venus chercher leur progéniture ou avaient envoyé leur chauffeur, personne ne faisait attention à toutes ces voitures mais ce n'étaient que des voitures de très haut de gamme. Victor n'était pas surpris, il avait été prévu qu'il partirait avec moi, tout comme Théo. Comme ils venaient à mon invitation passer les vacances sur Magic Island, c'était plus simple.


Je cherchais des yeux une limousine ou une Rolls d’exception quand mes yeux tombaient sur un visage connu. C'était le chauffeur de mon père.


– Et merde c'est la Bentley !

– Et alors, c'est déjà bien !

– Ça veut dire que c'est mon père qui nous envoie son chauffeur … J'avais espéré que ce serait mon grand père. En plus lui il serait venu en personne !


Victor poussait un long soupir de soulagement. 


– Tu as peur de voir mon grand père ou bien ?

– Non c'est pas ça mais … Peut être que pour toi c'est tout à fait normal mais tu sais que pour le reste de la planète … Ton grand père est l'un des personnage les plus puissant du monde. Et je ne te cache pas que je suis très intimidé par cette rencontre.

– Ne t'inquiète pas, tu verras, il est très cool ! Et toi Théo tu ne dis rien ?

– Ça y est la voiture est là ? Répondait Théo, semblant se réveiller.


Il relevait la tête, il était en train de lire son courrier ou je ne sais quoi sur sont téléphone, lui il ne s’angoissait pas du tout. Il attrapait sa valise d'une main en disant cela et regardait à droit et à gauche. 


– Bon elle est ou la voiture ?

– Elle arrive, mon père a envoyé son chauffeur.


La voiture se garait juste à côté de nous, les portières s'ouvraient ainsi que le coffre et le chauffeur descendait.


Le chauffeur : Monsieur Brosso, je suis très heureux de vous revoir, on m'a dit que deux amis vous accompagneraient. 


On prenait nos bagages et on les jetait dans le coffre, ensuite on s'installait dans la voiture.


– C'est toi que mon père a envoyé ? Je pensais que c'est mon grand père qui viendrait me chercher.

– Il a été appelé d'urgence en Asie, mais il sera de retour demain, en plus Monsieur Philippe votre père tenait absolument à rencontrer vos amis.


Je voyais Victor devenir tout pâle. 


– Ça va Victor ?

– Ça va, ça va … Mais je ne te cacherai pas que je n'en mène pas large !

– Mais pourquoi ? Demandait Théo.

– Je ne suis pas du même milieu que vous les gars, expliquait Victor, mon père est représentant de commerce … Et vous, vous vous demandez si on viendra vous chercher en Rolls ou en Hélicoptère … C'est la première fois que je monte dans ce genre de … véhicule !

– Voyons, tu es un des meilleurs élèves de l'école, tu portes un dispositif de chasteté depuis l'âge de seize ans et tu acceptes même de le garder pendant tes vacances … Mon père va t'adorer !


Ce soir là, à table, en effet, il était charmant. Il me faisait remarquer avec bienveillance que mon directeur ne l'avait pas appelé depuis les dernières vacances, presque trois mois plus tôt … 


– Et toi Théo, tes parents vont bien j'espère ? Je n'ai pas vu ton père depuis quelques temps maintenant !

– Ils vont très bien et vous transmettent toute leur amitié !


Théo ne connaissait pas mes parents mais nos parents se connaissaient très bien …


– Et toi Victor, tu ne dis rien … Reprenait mon père. J'espère que tu n'est pas intimidé, on m'a dit que tu étais le meilleur élève de l'école … Si seulement tu pouvait avoir une bonne influence sur mon fils ! Lui, il doit être un des pires !

– Je suis le pire papa !

– Et en plus tu en es fier ! Enfin Philippe pourquoi ne prends-tu pas exemple sur ton ami Victor ! Il est issu d'une famille modeste mais son travail lui promet une très bonne situation. Tu sais, ton héritage ne te garantis pas que tu dirigeras la PK mais lui, par contre, avec son travail il pourrait parfaitement se retrouver un jour à la tête du conseil d'administration. 


La discussion se continuait et Victor finissait pas se détendre un peu. 


– Tu vas entrer en fac à la prochaine rentrée, tu as choisi quelles matières ?


Mon père savait déjà tout mais c'était juste pour parler …


–J'ai choisi économie en premier … Enfin si je peux … Répondait Victor.

– Comment ça ? Si tu peux …

– Vous devez le savoir Mr Brosso, mais je ne peux faire mes études dans cette école que grâce à ma bourse et je n'ai pas de réponse à ma demande pour l'année prochaine …

– Je serais très étonné qu'une bourse d'étude soit refusée au meilleur élève de sa promotion s'il en a besoin pour continuer ses études. Je vais me renseigner si tu n'y vois pas d'objection. Ne t'inquiète pas c'est sûrement une erreur qui sera rapidement réglée. 


Victor devait recevoir une lettre trois jours plus tard. Le comité des bourses lui présentait des excuses pour ce retard et lui confirmait que ses bourses étaient acceptée au taux le plus élevé soit cent pour cent des frais … Tout était couvert, y compris le logement !


Il faut savoir que mon père est le président honoraire de ce comité et le principal mécène … 


– J'ai pensé que vous seriez plus à votre aise si je vous logeait ensemble, j'ai fait installé trois lits dans la grande chambre de l'aile nord … 

– C'est une très bonne idée papa !


Mes camarade répondaient à cette information avec un grand sourire. Le repas terminé mon père nous laissait nous retirer dans nos quartiers. Victor n'en revenait pas, il y avait trois lits installés mais il restait de la place, cette chambre était bien plus grande que la mienne, pas celle que j'avais chez mes tontons ou chez mon papy mais celle que j'avais ici. Mon père trouvait ridicule de me loger dans une suite, ma chambre à la maison ne faisait que vingt mètres carrés. J'avais toutefois ma propre salle de bain … Mais ça c'est un minimum !


On se jetait sur les lits.


– Alors Victor tu es rassuré de savoir que ta bourse sera acceptée ?

– Attend, elle n'est pas encore accepté, il va voir mais ils peuvent encore me la refuser.

– Pas si c'est mon père qui s'en charge !


Victor me regardait, il avait l'air incrédule, il ne réalisait pas encore mais un sourire se dessinait sur ses lèvres. Il est vraiment mignon Victor, je m'approchais de lui, mon visage juste devant le sien, je passais ma main derrière sa nuque, le tirais doucement vers moi et lui donnais un baiser. Théo nous regardait sans rien dire.


En temps normal mon père entrait dans ma chambre sans prévenir mais je savais que là il n'y avait aucun risque. On avait des invités, un d'entre eux était porteur volontaire et meilleur élève de sa promotion … J'étais en bonne compagnie et il respecterait notre intimité, pas pour moi mais pour nos invités.


Théo s'était relevé, il retirait sa cravate, sa chemise et se mettait à l'aise. Victor me rendait mes baisers, il avait aussi passé sa main derrière ma tête et me caressait mes cheveux. Quand on tournait les yeux vers Théo, il avait retiré ses chaussures et était torse nue, il nous regardait avec le sourire.


– Et moi alors je fais quoi ? Demandait Théo.


Victor et moi lui sautions dessus, je l'embrassais sur le visage pendant que Victor l'embrassait sur le corps. On le caressait, on l'embrassait, il se laissait tomber sur le dos les bras en croix et les jambes écartées. 


– Allez y les mecs faites moi plaisir !


Pendant que je l'embrassais sur les tétons, Victor lui ouvrait son pantalon, tirait dessus fortement et le lui retirait. Théo était à poil entre nos bras, Victor sans attendre lui suçait la queue et j'entendais Théo gémir de plaisir. Il glissait une main dans mon pantalon, me caressait la queue, je bandais déjà bien ferme à ce moment …


Et ne me dites pas que ça vous étonne, je ne vous croirai pas !


Il me tripotait les couilles en même temps. Je me redressais et retirais ma chemise et ma cravate que je lançais à l'autre bout de la chambre.  Théo me regardait faire il continuait à me tripoter les couilles au travers de mon pantalon.  Je me levais et il ne me fallait que quelques secondes pour me retrouver à poil et plonger de nouveau sur mon camarade. La nos caresses devenaient plus intense. Victor me suçait la queue.


Théo se déplaçait et je lui suçais la queue également, seul Victor était encore tout habillé. Je lui caressais les cheveux et appuyais sur sa tête avec force, il me répondait en faisant des bruits rigolos. Théo aussi s'amusait en appuyant sur sa tête, plus fort j'ai l'impression, mais les bruits que faisait Victor n'était pas plus forts eux.


– Vas y Victor, fait nous un strip-tease. S'exclamait Théo.


Victor ne se faisait pas prier, il se relevait et du bout de la chambre se mettait à danser, il en rajoutais pour nous faire rire … Et ça marchait bien. On était plié de rire. On le regardait, toujours dans les bras l'un de l'autre, Théo et moi on se caressait, on s'embrassait. Je penchais la tête, je le suçais un peu puis il me rendait la politesse pendant que je regardais Victor.


Victor terminait son petit numéro, il dansait à poil désormais, il rigolait. On se relevait et on s'approchait de lui, on le caressait doucement de la main, il ne bougeait plus. Je le couvrais de baisers sur le cou et l'épaule gauche pendant de Théo en faisait de même à droite. Ma main se promenait sur le torse, le ventre puis sur le dispositif de chasteté qu'il portait, elle rencontrait à plusieurs reprises la main de Théo et en profitait pour caresser le bras de Théo.


Mes lèvres rencontraient aussi les lèvres de Théo,  on s'embrassait alors avec passion. Victor passait lui aussi ses mains sur nos corps, il insistait sur nos queue, nos couilles et finissait par s'accroupir devant nous. Il nous suçait alors avec passion, il fait ça très bien le petit Victor. C'est vrai qu'il est en manque de bite, ça fait plus de deux ans qu'il ne s'est pas branlé, qu'il n'a pas pu se tripoter. Je n'ose pas imaginer comment il doit se sentir frustré, enfin, je n'ose pas imaginer mais j'ose en profiter. J'appuyais sur sa tête en lui balançant un violent coup de bassin, il encaissait puis passait à mon camarade !


Ce jeux durait un long moment, il nous suçait l'un après l'autre. Théo se décidait à prendre la direction des opération, Il prenait Victor par le bras et l'attirait vers un lit, Victor s'installait à genoux sur le lit, le cul bien offert, bien accessible et se penchait bien en avant. Je prenais place et lui enfonçait la queue dans la bouche avec douceur mais pas trop … Si ça résistait un peu, même un tout petit peu, je forçais ! Victor râlait un peu puis finissait par se taire au moment ou mon gland s'enfonçait au fond de sa gorge.


Au moment ou Théo enfonçait sa queue dans l'anus de notre ami, je le sentais réagir, il tentait de se dégager. C'était un réflexe de défense, il faut dire que Théo n'y mettait aucune tendresse. Il avait bien lubrifié, le cul et sa bite, puis y était allé sans préliminaire, direct, bien à fond.


Victor gémissait comme il le pouvait, il n'était pas en position de se faire entendre, il n'était pas en position de force et ne parvenait pas à se dégager. Quelques instants plus tard le coups violents que lui balançait Théo résonnaient fort dans la chambre.


C'est sûr, c'est pas à ce moment que mon père devait entrer dans la chambre sans prévenir … C'est pourtant à ce moment que la porte s'ouvrait violemment … Non je déconne, comme je vous disais tout à l'heure, mon père ne  viendra pas nous surprendre, nous avons des invités ...


Je suivais les mouvements de Théo, quand je tirais la tête de Victor fermement vers moi je lui balançais des coups de bassin dans la bouche sans me retenir non plus. Il gémissait, c'était des bruits bizarres, on aurait dit qu'il chialait par moment. Franchement, je ne suis pas sûr qu'il appréciait à ce moment précis, même si moi par la suite j'ai appris à beaucoup apprécier cette position, je veux dire sa position !


J'ai fini par beaucoup apprécier de me faire défoncer le cul et la bouche et je suis sûr que lui aussi, mais à ce moment il devait le sentir passer !


Je respirais fort, je ne tentais pas de faire durer le plaisir, je n'avais pas envie d'en finir. J'avais seulement envie de prendre du plaisir. Et le plaisir je peux vous assurer que j'en ai pris au moment ou, le souffle court, dans un râle de plaisir je lui jutais dans la gorge. Je tirais alors sa tête vers moi de toutes mes forces et le maintenait contre moi. Je ne le lâchais que quand je voyais qu'il paniquait. Il manquait d'air. Il toussait et reprenait son souffle pendant un moment.


Théo n'avait pas arrêté ses mouvements et continuait à le buriner de toutes ses forces et peu après c'est lui qui jutais à son tour mais dans son cul. Comme moi un peu plus tôt il tirait fermement Victor vers lui et appuyait le bassin contre ses fesses. Victor avait le visage contre la couverture, on aurait dit qu'il chialait. 


On le laissait un moment, il ne bougeait plus, il reprenait son souffle. Quand il relevait la tête il était tout rouge, et en larme, ou alors il avait bavé tellement … Il faisait peur … 


– Vous abusez là les mecs ! Râlait Victor.

– Tu n'as pas aimé ? Demandait Théo.

– J'ai pas dit ça mais vous y allez un peu fort je trouve !

– Prêt à recommencer ? Proposais-je.

– Non ! Déconnez pas ! Ça fait mal et toi tu en as une encore plus grosse !


Je rigolais de la réponse. On le laissait souffler puis on se prenait une douche, tous les trois ensemble. Chacun savonnait son voisin avec beaucoup de tendresse maintenant. Victor retrouvait des couleurs et un air présentable. Théo et moi avions toujours une grosse molle qui pendait devant nous mais le dispositif de chasteté de Victor, lui, pendait mollement entre ses cuisses. Il était calmé le petit Victor, toujours aussi mignon, j'avais envie de lui défoncer le cul mais il avait eu sa dose … 


On discutait encore un long moment, chacun sur son lit, à poil. Puis on se couchait et il devait être tard quand on s'endormait. Le lendemain on frappait à la porte avec insistance. Sans la présence de mes camarades la personne qui frappait n'aurait pas attendu aussi longtemps avant d'entrer.


Finalement la porte s'ouvrait. C'était le valet de chambre qui entrait, il glissait la tête, nous étions tous sagement endormis dans nos lits respectifs.


– Allez les jeunes, il est l'heure de se lever .Monsieur Philippe il faut se lever. Je vous laisse réveiller vos camarade. Monsieur Brosso vous attendra pour le petit déjeuner dans quinze minutes … S'il vous plaît Monsieur Philippe ! 


Je relevais la tête et lui faisait signe que je prenais les choses en mains. Il avait à peine refermé la porte que je hurlais …


– Debout ! Il faut se lever ! Il y a le feu ! Sauve qui peut ! Dépêchez vous je plaisante pas il y a vraiment le feu !


Mes trois camarades sursautaient et se retrouvaient sur leurs pieds en quelques secondes, me regardaient, j'étais toujours dans mon lit et je rigolais comme une baleine ! Ça avait marché.


Le temps de s'habiller, de se rendre présentable, et un bon quart d'heure plus tard nous descendions à la salle à manger, mon père y arrivait également.


– Bonjour les jeunes … Bien, très bien même … Dans les horaires, veste, chemise, cravate … Vous êtes tout à fait présentables les jeunes, je vois que tes camarades on une excellente influence sur toi Philippe. Bravo, je suis très favorablement impressionné !

– Bande de fayots. Disais  tout bas à l'intention de mes camarades.

– Tu as dit Philippe ? Demandait mon père.

– Nan , j'ai rien dit !

– Mais si tu as dit quelques chose !

– Bonjour papa !

– Bonjour Philippe …


On passait à table. Quelques instants plus tard mon grand père arrivait.


– Salut tout le monde … Mais qu'est ce que c'est que ça ? Non mais sérieusement vous avez vu dans quelle tenue vous êtes les enfants ? 

– Papa, enfin, je venais justement de les féliciter pour leur tenue. Ils sont en costume, ils sont comme moi, ils sont très bien !

– Oui mais enfin eux ils sont en vacances, ils devraient être en sandales, short ou bermuda et chemise à fleurs Hawaïenne ouverte …

– PAPA ! Tu sais très bien qu'on ne se présente pas à table en cette tenue !

– Encore un règlement ridicule. Heureusement que pour moi ce règlement ne s'applique pas !

– En plus tu n'as pas de cravate papa ! Mon dieu ! L'exemple que tu montres ! Bon je préfère vous laisser, mon hélicoptère m'attend sur le toit ! Ah Victor, une dernière chose, je voulais te dire que ta bourse est acceptée, tu recevras un courrier dans quelques jours. Et passez tous de très bonnes vacances !


Il quittait la table.


– Je vous préviens les jeunes, vous ne venez pas avec moi dans cette tenue, vous allez vous changer dès que le petit déjeuner est pris.


Mes camarades regardaient mon grand père avec un large sourire. C'est vrai ça, ils n'avaient même pas été présentés mais déjà ils le trouvaient sympathique !



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