L'HÔTEL DU DESERT EP 19 : Réserve et local électrique

 L'HÔTEL DU DESERT

EP 19 : Réserve et local électrique 



Brice ne s'était pas fait remarqué ce jour là, à peine, il ne faut pas croire … Il en a entendu parler pendant le reste de la journée. Brice avait repris son poste au bar et tout se passait bien. Il était surpris de se sentir aussi bien comme il était. Avec le groupe de hippies il était resté à poil pendant un moment mais c'était coquin, il avait le droit de bander, il avait le droit de prendre une fille dans ses bras si elle le voulait bien ou un garçon et il avait le droit de lui faire l'amour. 


Là l'ambiance devait être différente, il fallait rester convenable, ce qui voulait dire, pas d'érection, pas d'accouplement intempestifs en publique … Là il travaillait. Et finalement il était surpris de se sentir autant à l'aise, il parvenait à se contrôler sans aucune difficultés. Il faut bien se dire aussi que … Au niveau sexe, personne ne se privait, au contraire même. Quand le service était terminé ou pendant une pause, ou pendant un moment de libre, ou comme ça sans prévenir, deux personnes se rencontraient, se regardaient et se faufilaient dans un coin tranquille et surtout discret, et hop … 


Oui bon, Brice avait eu un peu de mal à contenir une violente érection au moment ou il entrait dans la réserve pour changer le fût de bière. Il y avait là son camarade de bar Alex qui faisait sa pause. Il y avait dans ses bras une nouvelle petite brune, une nouvelle cliente qui venait d'arriver la veille et s'était présentée au bar moins d'une heure plus tôt. 


Son camarade la tenait dans ses bras, il la serrait de toutes ses forces contre lui, elle ne voulait pas le lâcher non plus. Ils s'embrassaient comme des fous. Sa poitrine s'écrasait contre le torse déjà bronzé du garçon. Brice pouvait voir que son camarade bandait fermement, il était bien monté, en tout cas bien assez pour faire envie.


Brice était entré dans la réserve, il était décontracté, sa queue se balançait alors lourdement à chacun de ses mouvements. Mais voyant ça, sa queue ne se balançait plus du tout, elle se relevait avec force. Brice ne contrôlait plus rien. Il regardait.


Son camarade frottait son corps contre celui de la cliente, il y allait à la fois avec force et douceur. Les peaux glissaient, la peau ambrée du garçon et la peau encore toute blanche de la fille.


Le garçon se laissait tomber à genoux et son visage disparaissait entre les cuisse de sa compagne. Elle écartait légèrement les jambes et se caressait les seins. Ils étaient lourds, ils tenaient bien, ils étaient beaux, Brice louchait dessus.


Quand le garçon se relevait, Brice pouvait parfaitement voir son érection, il pouvait clairement voir sa queue glisser entre les cuisses de la demoiselle puis disparaître entre ces cuisse, en elle. Elle gémissait de plaisir. Les mains de chacun se promenaient rapidement sur le corps de l'autre. Elle lui agrippait fermement les fesses, il la retenait avec plus de force, il gémissait de plaisir et râlait sous l'effort. Elle s'accrochait à son cou et relevait les jambes pour les replier dans le dos du garçon. Il la soulevait et râlait encore plus fort. 


Il la limait avec force, elle le retenait contre elle de toutes ses forces. Ses  jambes étaient maintenant fermement refermées dans le dos du garçon qui la burinait tant qu'il pouvait. Elle finissait pas gueuler de plaisir. Il en faisait autant.


Elle était appuyée contre le mur, il la retenait. Les deux amants du moment étaient restés debout, en position verticale. Les mouvements devenaient plus vague, plus lents, ils avaient joui. Brice avalait sa salive et revenait au bar avec un carton de limonade dans les bras …


– Mais qu'est ce que tu fous Brice ? Il n'y a plus de bière, il ne faut pas une heure pour changer un fût ? Criait une voie au bar.


Brice réagissait qu'il y avait confusion, repartait avec sa limonades et parvenait enfin à changer la bière. Il revenait au bar mais visiblement n'était pas tout à fait à son aise. Il avait, comment dire, une grosse molle à moitié pas molle mais presque dure qui se balançait de droite à gauche devant lui.


Son camarade au bar, Rick, voyait ça et commençait à rigoler.


– Qu'est ce qui t'arrive bonhomme, qu'est ce qui t'a mis dans cet état ?


Brice lui racontait, heureusement il n'y avait pas grand monde au bar à cette heure. Son camarade rigolait. 


– C'était Alex ? Il nous fait ça tout le temps Alex, tu ne le connais pas encore mais tu vas voir il est intenable celui là. 

– Je ne sais pas comment il s'appelle.

– Par contre Brice tu devrais essayer de penser à autre chose là, parce que …


Brice baissait les yeux et ses sensations ne l'avait pas trompées, il bandait ferme maintenant, sa queue pointait vers le ciel et s'était bien plaquée contre son ventre. Brice était confus. Son camarade rigolait.


Il finissait par se calmer le pauvre Brice, l'après midi se continuait tranquillement. Un peu plus tard Alex arrivait pour reprendre son service. Au moment ou Brice l'a vu, c'était sans doute à cause du spectacle auquel il avait assisté peu avant mais Brice s'est remis à bander …


– C'est moi qui te mets dans cet état ? Remarque j'ai rien contre, il faudra qu'on fasse connaissance plus tard. Puis s'adressant à Rick. Au fait qui c'est qui est venu me déranger tout à l'heure dans la réserve ? C'est quelque chose quoi il n'y a plus moyen de s'enfiler une cliente sans être dérangé.

– C'est lui ! Répondait leur collègue en montrant Brice qui devenait tout rouge. 

– Et comment tu as trouvé ? Lui demandait Alex. 


Difficile à dire si c'était par pitié pour Brice qui perdait tout contrôle mais Alex préférait faire le service en terrasse lui même. Il laissait Brice derrière le bar, comme il était fait, les clients pouvaient difficilement voir ce qui se passait en dessous de sa ceinture … 


Brice finissait par se calmer.


Jusqu'au moment ou une paire de seins venaient se poser sur le bar. Brice restait quelques instant là, l'air idiot à les regarder.


– Tu es du genre physionomiste ! Disait la propriétaire de cette poitrine.


Brice sursautait, il relevait la tête, c'était la fille qu'il avait vu un peu plus tôt en train de se faire enfiler par Alex.


– Salut toi ! Lui disait-elle. C'est toi qui nous a dérangé tout à l'heure dans la réserve ? Alex râlait après... '' Pas moyen d'être tranquille '' … Il m'a bien fait rire. Mais c'est que tu es mignon, je ne t'avais pas bien vu …


Elle se penchait par dessus le bar et voyait Brice qui recommençait à bander. Le pauvre, c'était pas un jour facile pour lui.


– Très mignon même ! Rajoutait-elle. Je n'avais pas bien vu … Tu termines à quelle heure ?


Là Brice devenait tout rouge et bandait encore plus ferme. C'était pas un jour facile pour lui !


De son côté Johnny travaillait à poil. Ce jour là il inspectait les installations, le travaille de la journée ne demandait pas de vêtements de protections donc il faisait comme tout le monde ici dans ce camping. Il était à poil. 


Avec son compagnon Yves, il devaient inspecter le circuit électrique. Il y avait un transformateur qui alimentait la totalité de l'île. Il n'était pas question pour eux de toucher à cet appareil, il appartenait à la société d'électricité. Mais l'armoire qui était installée contre le mur du fond alimentait tout le camping.


Yves refermait la porte derrière eux, Johnny remarquait le détail mais ne disait rien.


Yves faisait signe à Johnny de le suivre, il commençait à bander. Johnny remarquait le détail mais ne disait rien.


Yves s'arrêtait devant l'armoire électrique, l'ouvrait …


– C'est un sacré matos ! Disait-il, e, regardant tous les interrupteurs, fusibles et autre voyants lumineux. Il bandait. 

– Je trouve aussi, rajoutais Johnny en regardant la queue de Yves. 


Il n'avait rien dis mais il avait remarqué le détail. 


Yves lui lançait un regard coquin mais n'avait pas le temps de réagir que Johnny était déjà à ses pieds, à genoux devant lui et lui suçait la queue. Johnny avait vu juste, Yves ne le repoussait pas. Bien au contraire il lui caressait les cheveux, le tirait vers lui, avançait le bassin et le reculais. Il faisait ça tout doucement au début puis un peu plus vite, un peu plus fort.


Un geste rapide semblait lui échapper, il appuyait brusquement sur le dos de la tête de Johnny et balançait un violent coup de bassin. Juste pour voir peut être ou bien pour taquiner son partenaire …


Johnny encaissait sans problème, et s'il l'avait senti passer, il ne l'avait pas vu venir, mais il a encaissé. Sur ce succès, Yves recommençait, puis de nouveau encore et encore ...


Là c'est Johnny qui s'énervait. Il finissait par répondre aux provocations de Yves. Johnny saisissait son partenaire derrière les cuisses avec force et tout en appuyant son visage sur son ventre le tirait vers lui. Yves ne s'y attendait pas et a bien failli tomber sur Johnny.


Johnny se relevait et les deux garçons se prenaient dans leurs bras, se caressaient, la fièvre montait. Ils bandaient fermement tous les deux 

Ils étaient restés calmes jusque là ! Mais brusquement commençaient à s'énerver. Leurs baisers devenaient passionnés, leurs caresses aussi . C'est Yves qui suçait Johnny, Yves y mettait moins de conviction, il préférait la première situation. Johnny l'a vite compris, et comme il aimait bien lui aussi, il suçait de nouveau et pour un long moment la queue de son copain. 


Puis sûr de lui, se retournait, s'appuyait sur le mur. Le message était clair …


Yves n'avait pas besoin qu'on lui fasse un dessin, il prenait Johnny dans ses bras avec force, sa queue glissait entre ses cuisses. Il sortait un tube de gel d'une petite sacoche que beaucoup d'employés portaient autour de la ceinture, se lubrifiait et sans rien demander, sans prévenir. Ça lui semblait inutile, Johnny s'était proposé, il enfonçait vigoureusement sa queue dans le cul de Johnny et appuyait ensuite son ventre de toutes ses forces contre les fesses de Johnny. 


Johnny  se cambrait et gémissait, mais il encaissait et même si ça devait faire un peu mal, il appréciait. Ça faisait peut être un peu mal, un tout petit peu, mais ça donnait surtout beaucoup de plaisir. Il laissait faire et passait même une main dans son dos pour caresser le corps de Yves.


Il penchait la tête en arrière sur l'épaule de Yves. Ils s'embrassaient et en même temps Yves s'enfonçait et se retirait, ils s'embrassaient avec passion et le mouvement arrachait des gémissements à Johnny. Il commençait maintenant à trembler.


Yves continuait à masser  l'intérieur de l'anus de son camarade avec de longs mouvements, bien amples, bien puissants. Il se retirait presque totalement et revenait bien à fond et poussait alors de toutes ses forces.


Les gémissements de Johnny se transformaient en véritables râles de plaisir. Il en redemandait, Yves répondait en accélérant, il ne poussait plus son ventre contre les fesses de Johnny quand il s'enfonçait, non, maintenant il frappait les fesses de Johnny avec force.


Les râles devenaient plus forts, ils étaient dans un bâtiment en dur, en très dur même , la salle du transfo, et ils ne risquaient pas d'être entendus. 


Ils ne cherchaient pas à être discret, ils savaient qu'ils étaient tranquilles, que personne ne viendrait les déranger. Yves était le seul à entrer dans cet endroit !


Les râles de plaisir se transformaient en cris,  puis en hurlements. Yves se lâchait, lui aussi il râlait sous l'effet de l'effort. Ils se donnait à fond, ses coups de bassin devenaient violents. Il ne les retenait plus .


Johnny aimait bien, ça ne faisait aucun doute, et encaissait toujours, il ne demandait pas à Yves de se calmer, au contraire il ne cessait pas de répéter '' Oui vas y , défonce moi le cul '' . Yves avait bien compris et y allait de toutes ses forces jusqu'au moment ou brusquement il ne bougeait plus.


Tout son corps se crispait, se bras se refermaient sur Johnny avec force. Avec son ventre il donnait des coups violents dans le cul de Johnny. Il jouissait, Johnny s'en rendait compte, il encaissait. 


Johnny se penchait en avant et retrouvait alors une position plus douce, plus confortable. Il respirait fort et lentement, il jouissait lui aussi. Il n'avait pas juté mais il jouissait. C'est au moment ou Yves s'est retiré qu'il jutait. Il n'éjaculait pas, il jutait. Sa queue retombait, c'était devenu une grosse molle, et un flot de sperme coulait en quantité. 


Dans son dos Yves retrouvait son souffle, sa queue pendait également lourdement. Les deux hommes se retrouvaient face à face, un dernier câlin. Ils s'essuyaient et faisaient disparaître les traces de leur passage. 


Un dernier sourire et ils ressortaient du local électrique …


– Eh mais on n'a rien fait là, dans le local électrique ! Faisait remarquer Johnny .

– Ah bon ! Tu trouves ? Lui répondait Yves …

– Non je voulais dire , au niveau boulot …

– Ah mais il n'y avait rien à faire là, tout va bien ! Lui répondait Yves.



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L'HÔTEL DU DESERT EP 18 : Dure dure la soirée

 L'HÔTEL DU DESERT

EP 18 : Dure dure la soirée



Brice et Johnny se racontait leur première journée. Ils étaient tous les deux très satisfaits de la situation.


Brice s'était fait dragué par une touriste, il avait rendez-vous dans la soirée. Ils avait encore du boulot après le repas, un bal, une animation, ce serait comme ça tous les soirs. Et tous les soirs ils devraient participer. 


C'était un boulot qui leur prenait beaucoup de temps mais qui restait très détendu et se passait dans une ambiance décontractée. Le parton était présent dans toutes les activités, du matin au soir, lui aussi il bossait. Il était même difficile au premier coup d’œil de savoir qui était le boss. Il faut dire aussi que à poil tout le monde se ressemble.


Le repas terminé Brice et Johnny se retrouvait à chauffer la salle, pour un bal qui se voulait joyeux. Nos deux héros n'en revenaient pas, tout le monde était à poil. Avec les effets de l'alcool, la danse, la peau qui se touchait, il y avait quelques début d'érection. Mais ça restait convenable. C'était pas pour déplaire à Brice et Johnny, qui par moment devaient faire de vrais effort pour ne pas trop se faire remarquer sur ce point.


En plein milieu de la fête, une jeune femme, une cliente, attrapait Brice par le bras et l'entraînait à l'écart et là, derrière un buisson, elle lui sautait dessus.


Elle le prenait dans ses bras, l'embrassait sur la bouche, lui écrasait sa poitrine contre son torse. Et lui, dégourdi comme il est, je vous le garantis, ne se contentait pas de la laisser faire. Il participait ! Il la caressait, la retenait contre lui et tentait de faire des câlins.


Des câlins, elle avait autre chose en tête et surtout pas de temps à perdre. Il bandait, elle le suçait. Brice était ravi, surpris mais ravi !


Ensuite sans lui laisser le temps de réagir, elle le repoussait en arrière sur le sol et sans prévenir, s'allongeait sur lui, et s'empalait sur sa queue. Brice était toujours ravi, peut être encore plus ravi même, mais toujours surpris.


Là elle prenait le contrôle de la situation, le caressait, se frottait contre lui, son seul but était de se donner du plaisir. Brice rajoutait les caresses et les baisers. Elle n'avait rien contre. C'est elle qui s'agitait, c'est elle qui glissait contre le corps de Brice, c'est elle qui s'enfonçait ou plutôt, qui enfonçait la queue de Brice bien à fond en elle ou qui en se soulevant la faisait ressortir. 


Brice voulait dire quelque chose, elle lui posait une main sur la bouche, et continuait ses mouvements de va et vient encore plus rapide, encore plus ferme, encore plus décidé. Avec un doigt, elle se masturbait en même temps. 


Brice laissait faire, il la caressait, là elle le laissait faire. S'il voulait en faire plus, elle le retenait. Il n'insistait pas. Elle l'avait transformé en jouet sexuel, pour son plaisir à elle, pour son seul plaisir. 


Il ne trouvait pas la situation désagréable mais il était dépassé, ce contact, ces caresses, ce corps lui donnait certes du plaisir mais il était dépassé. C'était mécanique, le plaisir ne montait pas, le désir un peu mais son cerveau ne comprenait pas la situation. Et si pour elle le plaisir ne cessait de monter et que déjà elle sentait  venir l'orgasme, ce n'était pas son cas à lui.


Elle jouissait, il faisait des yeux tout ronds. Elle criait, avec le bruit que faisait la sono on ne risquait pas de l'entendre. Elle se relevait, donnait un dernier baiser à Brice et repartait danser …


Il restait là encore quelques instant à se demander ce qui s'était passé. Il bandait, là par contre il était un peu embarrassé. Finalement il préférait attendre quelques minutes, mais grâce à son désarroi il parvenait à débander rapidement, ce qui le rassurait. Et c'est avec une grosse molle, bien lourde qu'il retrouvait la fête pour continuer l'animation. Personne n'avait remarqué sa disparition et tous les hommes étaient dans le même état que lui !


La soirée avançait Brice par moment se retrouvait au premier rang, sur la scène, le micro à la main, il mettait l'ambiance. Tout le monde le regardait, il s'en inquiétait un peu sur le moment, comme je vous disais il avait une grosse molle qui pendait lourdement et se balançait en fonction de ses mouvement, mais tous les hommes étaient comme lui, non, en fait si tout le monde le regardait c'est juste parce qu'il était mignon. Depuis la scène il pouvait voir toute la salle, enfin ça se passait en extérieure mais c'est une façon de parler. 


Il apercevait au loin la fille qui lui était tombé dessus un peu plus tôt, elle entraînait une homme vers la plage, il y a plein de buissons avant d'y arriver … 


Un autre animateur prenait la place, Brice pouvait souffler un peu. Il aimait bien se retrouver à  poil comme ça Brice. C'est agréable mais par moment ça peut devenir embarrassant. Bon jusque là il contrôlait son érection. 


Le nouvel animateur, qui venait de le remplacer, prononçait son nom suivi par le  nom d'une employée du camping. Brice ne la connaissait pas encore. '' Une démonstration de danse '', continuait l'animateur, et ce sera … il tirait un papier d'une urne … '' Tango ! Notre ami Brice et notre collègue Méli, elle s'appelle Mélanie mais on l'appelle Méli, vont nous faire une démonstration de tango … ''. 


Brice devenait tout rouge, '' Mais qu'est ce qu'ils me font ?'' se demandait-il , '' C'est une blague ? '' … Toute la foule criait leurs noms. Brice se retrouvait propulsé sur la piste de danse, même que le dernier à le pousser c'était son copain Johnny qui se bidonnait tant qu'il  pouvait. 


Brice se retrouvait à poil au milieu de la piste, tous les yeux étaient rivés vers lui mais là, je vous jure, il ne bandait plus du tout ! Une fille absolument sublime s'approchait de lui, elle avait des jambes qui n'en finissaient plus, des hanches fines, des fesses bien rondes, des seins voluptueux qui se tenaient bien des bras fins un visage radieux avec des lèvres pulpeuses et un sourire éclatant, des yeux bleus presque lumineux et une chevelure blonde qui formait une véritable couronne autour de son visage.


'' La je suis mal, je sens que je ne vais pas passer longtemps inaperçu ! '' se disait Brice.


Elle s'approchait de lui prenait position …


Tu sais danser le tango ? Lui demandait-elle.


Il faisait non de la tête.


Alors tu me suis . Concluait-elle .


Et la musique commençait. Les deux corps se frôlaient, se repoussaient, se retenaient, se touchaient. Brice ne comprenait plus ce qui se passait, c'est sans s'en rendre compte qu'il embrassait Méli, il la tenait alors contre lui, ses seins s'écrasaient contre son torse et lui bandait avec fierté.


Les spectateurs sifflaient, applaudissaient, criaient. Ça devenait chaud cette affaire. Dans ce camping il n'y avait que des célibataires et ce n'était pas le camping le plus prude de l'île. Brice ne faisait que commencer à le découvrir. 


Ils ont réussi à terminer la danse avant de se retirer, sous les applaudissements de la foule. Si avant il y avait beaucoup d'homme avec de grosse molles, après ça, il y avait beaucoup d'homme qui portaient une grosse dure. Ça devenait très chaud cette affaire.


Jonas, le patron de ce camping adorait ce genre d'ambiance et savait parfaitement faire monter la fièvre. Des hommes et des femmes disparaissaient, par groupe de deux ou de trois, deux femmes un homme ou le contraire, toutes les combinaisons se formaient et la musique continuait …


Brice faisait parti des animateurs, aussi on attendait de lui qu'il reste et continue, pour lui c'était son travail. Méli restait elle aussi dans le coin et quand, tard dans la nuit, la soirée se terminait, que les lumière s'éteignaient les une après les autres, c'est elle qui venait le chercher, le prenait par le bras pour un dernier bain de minuit. Minuit était pourtant déjà loin. Ils avaient tout rangé. Une grosse partie des employés étaient déjà rentré se coucher, ceux là se lèveraient en premier, ceux qui terminaient tard pouvaient se lever plus tard …


Méli courait dans l'eau, Brice la suivait, ils étaient maintenant seuls, sur la plage, peut être pas seuls mais les autres groupes qui s'y trouvaient voulaient tout comme eux être tranquilles et personne ne s'approchait. Brice courait vers Méli et l'attrapait, il la serrait dans ses bras, elle se laissait faire, se retournait vers lui et ils se retrouvaient allongés sur le sable, il bandait, elle écartait les cuisses, il la pénétrait, elle refermait les jambes dans son dos. 


Les deux corps roulaient l'un sur l'autre. Il se retrouvait dessus et la limait avec force et douceur à la fois. Quand elle décidait de retourner la situation, c'est lui qui se retrouvait allongé sur le dos et c'est elle qui faisait tout le travail. Il faisait nuit noire et c'est avec les doigts qu'ils se regardaient, ils se regardaient de très près, dans les moindres détails.


Elle se relevait, son corps se cabrait, ses cuisses se serraient, elle se soulevait avant de se laisser retomber, Brice soulevait son bassin et par moment donnait des coups violent qui arrachaient des gémissements et des cris de plaisir. 


Des ombres passaient et lançaient quelques encouragements …


– Alors , bonne bourre ?


Ils ne savaient pas qui c'étaient, il faisait nuit et la voie seule trahissait s'il s'agissait d'un homme ou d'une femme. 


Brice était maintenant assis en tailleur sur le sable, Méli était assise sur ses genoux, douillettement installé, la queue de Brice glissait confortablement au chaud, bien profond dans le ventre de Méli. Ils échangeaient des baisers, des caresses, par moment ne bougeaient pas, à d'autres moments ils s'agitaient et se caressaient avec leur propre corps. 


Quand la chaleur montait trop, que les gémissements devenaient des hurlements, ils jouissaient. Ils jouissaient puis retombaient dans les bras de l'un, de l'autre. Ils ne bougeaient plus, juste quelques baisers, quelques caresses.


Puis Méli se relevait, Brice ne bandait plus, ils se sentaient bien.


– Tu danses très bien le tango finalement tu sais !

– C'est ça moque toi de moi, je ne sais plus ou est mon pantalon …


Elle pouffait de rire .


– Mais tu as oublié ou on est ou quoi ?

– Ah ! C'est vrai, je l'ai posé quelque part en arrivant sur l'île.


Ils revenaient sans se presser vers le quartier des employés. Ils se tenaient par la main. 


– Tu es un bon coup tu sais. Lui disait Méli.

– Avec toi dans ses bras c'est pas trop difficile. 


Elle lui donnait un baiser, et rentrait se coucher dans sa cabane. Brice prenait la direction de la sienne quand il entendait une voix qui l'appelait par son nom. 


C'était la jeune femme avec qui il avait rendez-vous.


– Je ne savais pas que tu dansait si bien le tango. Lui disait-elle.

– Tu te moques, là je sens que tu te moques !

– Le final était étonnant. J'ai bien cru que tu allais la sauter là devant tout le monde. Mais tu sais, bien en forme tu es pas mal !


Elle ne laissait pas à Brice le temps de répondre et le prenait pas le bras, elle l'attirait avec force vers ce coin tranquille juste derrière les cabanes du quartier des employés. Rapidement il se retrouvait allongé sur le dos, elle allongée aussi mais sur lui. Elle le caressait, il remettait ça. La prenait dans ses bras, l'embrassait. Elle se repliait sur lui et sans prévenir lui suçait la queue, il lui caressait les cheveux et prenait ne position plus confortable pour elle. Installée à son aise, elle se suçait mieux et lui donnait plus de plaisir.


Elle s'en sortait bien la fille, il l'avait rencontrée dans la journée, elle était arrivée la veille et elle non plus n'avait pas de temps à perdre. Elle lui suçait la queue lui gobait les couilles longuement avant de se relever et de s'empaler sur la queue de Brice. 


Il relevait le torse et écartait les jambes, elle refermait les cuisses dans le dos de Brice, ses seins fermes et chauds s'écrasaient sur le torse de son bar-man préféré de la soirée.


De nouveau pour Brice son corps roulait sur le corps de sa partenaire quelques instant plus tôt. Ce n'était plus la même partenaire c'est tout. Ils roulaient l'un sur l'autre, cette partie du terrain était gazonnée et les feuilles d'herbe les chatouillaient. Il y avait quelques rire qui se mêlaient aux gémissements de plaisir. 


Brice mettait plus de temps pour sentir le plaisir monter, il bandait ferme la conclusion ne voulait pas venir. La fille ne s'en plaignait pas, son plaisir durait plus longtemps. Il la soulevait, s'agenouillait et la retenait contre lui, douillettement empalée sur sa queue. Elle s'accrochait à son cou, refermait ses cuisses autour des ses reins, il se balançait avec un mouvement régulier, elles frottait son sexe contre le bas ventre de Brice et gémissait de plaisir, elle gémissait de plus en plus fort. 


Près d'une demie heure plus tard, elle lui gémissait à l'oreille '' Oui vas y viens, viens !''


Mais Brice n'arrivait pas à venir. 


Il faisait durer, il ne le faisait pas exprès mais il faisait durer …


Elle était sur le point de se relever, en sueur, les bras et les jambes tremblantes quand il à joui. Il balançait alors des coups de bassins non voulus, non prévus.  Elle hurlait de plaisir, il en faisait de même. Puis ils ne bougeaient plus. Se serraient l'un contre l'autre puis la fille se relevait, elle reprenait son souffle, lui donnait un dernier baiser avant de le laisser.


Il faisait chaud, le gazon était douillet, Brice décidait de s'endormir sur place. En fait, au réveil, l'endroit n'était pas aussi discret qu'il l'avait supposé dans la nuit. Très tôt tous les employés qui travaillaient le matin passaient juste à côté et Brice était réveillé par les saluts qu'ils ne manquaient pas de lui envoyer, histoire de le taquiner !



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Perdu en ville

 Perdu en ville



Perdu, j'étais perdu ! Ça devait finir par arriver, c'était inévitable. Bastien m'avait demandé si j'arriverais à m'en sortir tout seul. Il aurait pu passer me chercher à la gare mais dans ce cas, il fallait que je l'attende pendant au moins une heure là bas. J'avais choisi de ne pas attendre et comme je suis  un petit malin, j'avais pris un taxi. 


Bein oui, c'est logique tout ça, j'arrive dans une ville inconnue aussi pour ne pas me perdre je prends un taxi … Mais voilà il m'avait laissé là, dans une rue très populaire. Me disant que '' On est rendu mon petit monsieur ! ''. Pourtant là, j'avais l'impression de ne pas être arrivé au bon endroit. 


Au moment ou je suis sorti de la gare, je me suis retrouvé dans un quartier moderne, il y avait la gare, classée monument historique, et un ensemble de tours modernes en verre et en béton, classées monuments hystériques … Ça ressemblait à quelque chose, on était dans une ville moderne. Ensuite, le taxi, jusque là tout allait bien.


Mais voilà, là ça ne ressemblait plus à rien. J'avais l'impression de me retrouver dans une banlieue décentrée d'une grande ville d'un pays du tiers monde. Ça ne vous dit rien ! … Genre banlieue parisienne ? C'est plus clair pour vous là ?


Je tournais en rond dans le quartier. Il n'y avait que des maisons basses ou des immeubles pas trop hauts, de nombreuses boutiques à l'ancienne. Les rues étaient larges, les trottoirs encore plus. Des bars, des restaurants rapides … Et pas des trucs américains comme Marc Bonnald … non des trucs bizarres, les noms des plats étaient totalement imprononçables … Enfin bref, j'étais perdu.


Je demandais à un passant, un touriste, il ne connaissait pas.


J'insistais, une autre personne, un couple cette fois-ci. Encore des touristes …


Je trouvais enfin un autochtone enfin c'était une autochtone. J'aurais du avoir un doute en la voyant mais comme vous l'avez deviné, je ne suis pas du coin. Elle avait des chaussures à talon, une jupe très courte, vraiment très courte, un haut qui ne descendait pas très bas et laissait exposé son nombril percé à la vue de tous, un maquillage excessif … Le tout couleur flashi et de mauvais goût. J'aurais du avoir un doute, comme je disais mais là, ce n'était plus un doute quand elle m'a répondu … '' Juste derrière la poubelle dans la ruelle, là. C'est cinquante balles la passe, avec capote et j'embrasse c'est le tarif normal ici chéri !'' 


– Non merci madame, je recherche juste …

– Si ça te tente pas, trésor, tu m'empêches pas de bosser … Dégage.


Je devais avoir l'air con ! J'étais visiblement perdu et c'est sans doute pour ça qu'un homme serviable arrivait à mon secours. 


– Vous n'êtes pas du coin j'ai l'impression.


Je faisais non de la tête.


– Et vous êtes perdu j'ai l'impression.


Je faisais oui de la tête et lui montrais le bout de papier ou j'avais noté mon adresse de destination. J'avais l'air con ! Il éclatait de rire, 


– Vous avez de la chance de tomber sur moi, c'est pas loin. De l'autre côté de ce patté de maisons. On va traverser en passant par les ruelles … Tu me suis ?


Je lui répondais par un large sourire, j'avais toujours l'air con mais j'étais sauvé. Je le suivais.


Il connaissait bien le quartier le gars, on enfilait une petite rue, il y avait de chaque côté des escaliers extérieurs, même pour ces immeubles de deux étages, le passage était réduit, presque bouché par endroit à cause des poubelles.


Il marchait devant moi, sa voix était douche, grave mais douce, il me demandait d’où je venais, ce que je faisais … Enfin il faisait la discussion !


C'est dans un endroit un peu plus large limité par une poubelle dans un coin, une autre dans l'autre coin. Un sommier en métal d'un côté et une pile de pneus de l'autre. Il y avait aussi un peu partout tout un tas de saloperies diverses. Il se retournait alors sans prévenir, il avait ouvert son pantalon et me montrait une belle grosse bite déjà en érection, et en plus il était circoncis …


– Et ça ! Ça ne te tente pas ça ? C'est autre chose que la pute de tout à l'heure ?


Vous imaginez sans doute que en voyant cela je m'exclamais '' Mon dieu, doux Jésus venez moi en aide ! '' … ?


Et bien pas du tout ! 


J'ai seulement retenu mon enthousiasme, je me suis retenu de lui sauter dessus, de me la prendre goulûment dans la bouche avant de me la prendre dans le cul, et j'ai joué les indécis. Je ne voudrais pas passer pour une grosse salope … C'est vrai qu'il en avait une belle, bien longue, bien large, bien droite, bien comme il faut. Sans être dans la catégorie géant, il faisait envie.


J'admirais donc sa queue longuement, ce qui lui laissait le temps de réagir. Il posait fermement sa mains sur mon épaule et me disais juste … '' Suce ! ''. Il y a une règle qui nous dit '' Jamais le premier soir ! '', ça tombait bien on était en plein milieu de l'après midi. Je me suis mis à genoux et je l'ai sucé.


N'allez surtout pas vous imaginer que je suis une grosse salope pour autant, d'abord je ne suis pas gros !


Et ensuite, j'aurais voulu vous voir à ma place. Il était superbe, il avait le teint mat, pas plus de vingt cinq ans, un corps mince et élégant. C'était autre chose que la fille un peu plus tôt. Et en plus, lui il avait une belle grosse bite et je me régalais. 


Remarquez, peut être que la fille un peu plus tôt en avait une aussi ? Une belle grosse bite je veux dire ! On est au vingt et unième siècle, on n'est plus au moyen âge. Enfin, franchement, j'avais pas envie de vérifier.


J'avais trouvé de quoi m'occuper pendant un moment. Je passais ma langue longuement sur toute la longueur de sa queue. Et je dirais dix huit, dix neuf … Pas plus mais c'est très suffisant pour un garçon comme moi, et puis il faut bien se dire que ce n'était pas prévu cette affaire. On ne va pas faire le difficile.


Surtout qu'elle était belle, elle était bien ferme et je la caressais avec ma main, je la suçais avec ma langue, je me la rentrais dans la bouche avant de la ressortir et de recommencer. 


Il me caressait les cheveux, il appréciait le mec, ça j'en suis sûr il appréciait. D'abord il gémissait de plaisir et quand je relevais les yeux, je le voyais il faisait un large sourire satisfait. Il me donnait de petits coup de bassin quand je prenais sa queue dans la bouche. Sa bite entrait alors en force un peu plus profond. J'aime bien mais il faut y aller doucement, il faut y aller progressivement. 


Je continuais. Voyant que ça passait, que je laissais faire il continuait. Il avait posé sa main juste derrière ma tête et il devenait un peu plus entreprenant. Il me retenait la tête quand il avançait son bassin, il appuyait sur ma tête de plus en plus fort et finalement sans prévenir il appuyait de toutes ses forces et avançait son bassin bien à  fond.


Je sentais sa queue s'écraser au fond de ma gorge, pris par surprise je me contractais. Je sais j'aurais du le voir venir, j'aurais du me douter qu'il me préparait un coup de ce genre mais bon … Ce sont là des choses qui arrivent.


Il me maintenait ainsi quelques dizaines de minutes, je ne pouvais plus respirer et je paniquais un petit peu. J'ai dit minutes ? Je voulais dire secondes, mais ça m'a paru long. Remarquez je ne plein pas. Quand il m'a lâché je me suis dégagé mais je ne suis pas parti bien loin.


J'ai un peu toussé, j'ai craché par terre et j'y suis retourné. Sa queue entrait dans ma gorge sur toute sa longueur, je passais mes mains derrière ses cuisses et je le tirais vers moi, mon nez s'écrasait contre son ventre, je retirais la tête et revenais à la charge. 


Si un peu plus tôt j'avais l'air un peu dépassé, à ce moment c'est lui qui était dépassé. Mais il ne manquait pas de ressources, il s'est vite ressaisi. Rapidement il m'avait agrippé la tête avec les deux mains, là c'était du sérieux, il ne se contentait pas de me guider il me retenait, il me tenait avec force. Quand il me balançait un coup de bassin il me tirait la tête ver lui. Mon nez, mon visage s'écrasaient contre son ventre. 


Là, c'est moi qui à nouveau était dépassé par les événements. Mais je ne lâchais pas, je parvenait à synchroniser mas respiration et accompagnait son mouvement. Quand il me tirait la tête vers lui je le tirais vers moi. C'était violent, j'en ai pris plein la gueule. Il me limait la bouche, il m'encourageait …


– Vas y, tu aimes ça toi, petite salope …


D'abord je n'aime pas plus qu'on me traite de petite salope que de grosse salope et ça ne m'excitait pas vraiment, j'aurais bien râlé mais j'avais la bouche pleine … Je me disais alors que je râlerais plus tard …


– Oui chéri, continue moi aussi j'aime bien.


En plus il m'appelle chéri, comme si on était en couple. Il faut rester calme, on n'est pas en couple. Je veux bien qu'après ça on se tutoies mais il ne faut pas exagérer. Ne brûlons pas les étapes !


Après il continuait à parler mais avec le bruit que faisait sa queue qui s'écrasait dans ma gorge je n'entendais plus ce qu'il disait. C'était pas plus mal.


Il continuait, je commençais à fatiguer, c'est pas toujours facile cette affaire, il faut bien garder la bouche ouverte, bien ouverte. Le mec qu'on suce ne doit en aucun cas sentir les dents, quand on suce, on suce bien ! C'est une question de principe et moi,  j'ai une réputation à défendre.


Il finissait par se retirer totalement. Il voulait revenir, je le bloquais …


– C'est bon, c'est bon, c'est bon. Là je peux plus ! Bafouillais-je.


Il ne se calmais pas, m'attrapait, me relevais, me retournais et baissait mon  pantalon. Il commençait à s'énerver. J'ai à peine eu le temps de réagir ! Il me poussait en avant, je m'appuyais sur la pile de pneus. Je ne pouvais pas écarter les jambes, mon pantalon sur mes chevilles m'en empêchait. 


Ça non plus, ça ne l'arrêtait pas. Il m'a enfoncé sa queue dans le cul, avec force. J'ai gueulé. J'ai pas dis que j'avais essayé de me dégager mais j'ai gueulé. Ça n'a pas vraiment résisté mais je l'ai senti passer. Surtout qu'il a poussé fort, en un mouvement, en une fraction de seconde son ventre s'écrasait contre mes fesses. Il se retirait et recommençait, une fois encore, et encore …


Je me cramponnais comme je pouvait à ce que j'avais sous le main. Il me remuait dans tous les sens. C'était bon, c'était terriblement bon. C'était un peu douloureux mais tellement jouissif. Il me limait le cul avec force et violence. Je râlais, je gueulais, je gémissais, j'en redemandais.


C'était le pied ! 


Ses coups devenaient secs et courts. Il jutais en moi, il jutais dans mon cul. Il me mordillait le cou en gémissant de plaisir. Je gémissait également. Il me tenait bien serré contre lui. C'était à nouveau, enfin, c'était finalement un moment de câlin. Je ne suis pas sûr qu'on ai eu un moment de câlin plus tôt. Enfin c'est pas grave. Quand il m'a lâché je suis tombé par terre, ça l'a fait rire.


– Bein dis donc, tu es un bon coup toi ! Tu restes longtemps dans le coin ?

– Qui ça ?


J'étais sonné je vous dis.


– Bein toi, qui y a d'autre ici ?

– Heu moi, heu, deux semaines …

– Il faudra qu'on se revoit …

– Au plaisir. Mais tu sais vraiment ou je vais, tu connais vraiment l'adresse ?

– Au bout de la ruelle, tu prends à droite et c'est deux ou trois maisons plus loin. 


Il me regardait remonter mon pantalon qui était maintenant couvert de taches de goudron ou de je ne sais quoi. L'endroit n'était pas très propre. Je me rhabillait au mieux.


– Je ressemble à quoi moi maintenant ?

– A un mec qui vient de se faire enculer !

– Ah ! Ça se voit tant que ça ?


Il éclatait de rire, je m'essuyais le visage, me rendais présentable et continuait ma route. Pour sortir de la ruelle je le suivais, il me montrait la maison ou j'allais. Une maison à deux étages comme prévu, c'était bien là.


– Moi j'habite au vingt sept, deuxième étage porte de droite … Tu passes me voir quand tu veux !


Je le saluais de la main et on se séparait. Mon pantalon était couvert de taches et de saleté. J'arrivais à l'adresse, c'était bien là, je montais au premier comme m'avait dit mon pote et je trouvais un papier accroché à la porte.


'Comme je ne te voyais pas venir je suis parti te chercher à la gare, je ne serai pas de retour avant dix huit heures, tu n'as plus qu'à m'attendre si tu arrives avant moi. Je t'avais bien dis que tu aurais mieux fait de m'attendre à la gare, tu t'es encore perdu ! '


Dans ma tête je me disais ''Bein il est pas là … C'est ballot ! J'aurais bien changé de pantalon et pris une douche moi. ''




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L'HÔTEL DU DESERT EP 17 : Le camping

 L'HÔTEL DU DESERT

EP 17 :  Le camping



Après cette séparation déchirante … Oui enfin bon, un peu triste tout de même. Mais c'est un peu normal, ils avaient passé de bons, de très bons moments ensemble …


Ils descendaient plein Sud, là ou il fait moins froid l'hiver. 


Avec ce petit boulot que Brice et Johnny avaient trouvé, les finances étaient au mieux. C'était pas prévu mais grâce à ça, ils avaient fait des économies. Ça leur permettrait de prolonger le voyage.



Ils se relayaient au volant et roulaient. Le jour il faisait plus doux et la nuit était moins froide.


Ils roulaient encore une journée complète. Le jour il faisait plus chaud et la nuit était plus douce. 


Ils roulaient, ils roulaient et descendaient plus loin vers le Sud. Les journées devenaient chaude et les nuits  devenaient torrides …


Brice et Johnny suivaient la côte, ils évitaient les grandes villes. Régulièrement ils s'arrêtaient, ils s'assuraient que la plage était tranquille et couraient vers l'eau en se déshabillant et en jetant leurs vêtements derrière eux, ils plongeaient. Ils nageaient un moment, s'amusaient comme des fous, s'arrosaient puis quand ils revenaient vers la voiture il récupéraient un à un les vêtements qu'ils avaient jeté derrière eux en rigolant. 


Une semaine avait passée, ils s'étaient retrouvés entre eux, la nuit il dormaient dans la voiture, ils s'étaient confectionné un petit nid douillet. La nuit c'est blotti l'un contre l'autre qu'ils s'endormaient. 


Il n'y avait plus de plage dans la région ou ils arrivaient, c'était joli tout de même, il y avait des falaises, des rochers et par endroit quelques petites criques  avec de toute petites plage de galets.


Un soir, ils étaient installé sur des rochers et regardaient ver le large.


– Tu crois qu'on va voir le rayon vert ?  Demandait Johnny

– Il faut que le ciel soit parfaitement pur. Répondait Brice.

– Et il n'est pas parfaitement pur l'horizon ?

– J'ai l'impression qu'il y a comme une saloperie, une cochonnerie au niveau de l'horizon.


Johnny regardait très attentivement et en effet il y avait comme un défaut. Il allait chercher la carte routière, qui était perdue quelque part au fond de la boite à gants. Il revenait vers Brice.


– Je crois que j'ai trouvé ce que c'était que cette cochonnerie dont tu parles. C'est une île !

– Une île ! Ah ouai ! Ça fait rêver ça, si on allait voir … 


Dès le lendemain matin il partaient à la recherche du moyen pour aller sur l'île. Il trouvaient rapidement mais pas question d'y aller en voiture, ils trouvaient un parking gardé, c'était plus prudent, sans voiture leur voyage se terminait et c'est donc avec un sac à dos bien plein qu'ils montaient dans le bateau. La traversée ne durait pas très longtemps, et dès leur arrivée ils se mettraient à la recherche d'un endroit pour dormir, ils vaut mieux ne pas attendre le soir.


On leur avait dit qu'il y avait plein de campings, le gars qui leur avait dit cela l'avait fait en rigolant. En effet il y en avait plein, pour être précis, il n'y avait rien d'autre d'ailleurs. 


A peine avaient-ils posé le pied sur le débarcadère qu'un mec en tenu fleurie leur tombait dessus, il portait une de ces chemises décorée de motifs fleuris, un short pareil, c'était ridicule. Il commençait par les engueuler.


– Ça fait huit jours qu'on vous attend les gars, il faudrait savoir ce que  vous voulez. Vous voulez travailler ou pas ? Il faudrait savoir !

– Mais qui tu es toi ? Lui répondait Brice.

– Bien le comité d'accueil. Vous recevez tous les touristes comme ça ici ? Rajoutait Johnny .

– Heu ! Vous n'êtes pas les deux saisonniers que j'attends depuis une semaine ?

– Ah non ! Répondait Brice. Johnny faisait non de la tête et ne cachait pas sa mauvaise humeur. Il n'avait pas apprécié cette manière d'être reçu.


Le ton baissait et l'inconnu leur présentait des excuses, il s'appelait Jonas. Il dirigeait un camping. Un truc très bien équipé et d'un certains standing et il attendait deux saisonniers qui auraient du arriver déjà depuis une semaine. Il était un peu tendu surtout que la saison allait commencer. La moitié des places étaient déjà occupées et le gros de la clientèle allaient arriver.


Jonas voyant que les saisonniers n'étaient toujours pas là proposait à Brice et à Johnny de les emmener quelque part. Eux ne savaient pas ou ils allaient, ils suivaient. 


Sur la route, ils discutaient entre eux et arrivé au camping c'était réglé, Jonas leur avait proposé un boulot, juste pour la saison, à nos deux amis. Tout le monde était d'accord. Au bureau on réglerait le problème de la voiture, Jonas connaissait très bien le patron du parking et on signerait le contrat pour deux mois. C'est cette durée qui avait convaincu Brice et Johnny, il pourraient continuer leur voyage après, deux mois au même endroit ce n'était pas trop long.


Jonas les laissait juste à l'entrée du camping, garait la voiturette et les faisait entrer, Brice et Johnny le suivaient et le voyait retirer sa chemise fleurie et dans un même mouvement son short également, il se retrouvait à poil. 


Ils se regardaient sans comprendre. Jonas se retournait vers eux.


– Et bien les gars, qu'est ce qui ne vas pas ?

– Bêêh … Répondait Johnny .

– Vous pouvez vous mettre en tenue vous aussi.


Nos deux amis restaient tétanisés, visiblement surpris.


– J'ai rien contre l'idée mais … Rajoutait Brice .

– Mais vous êtes sur une île naturiste là les gars, vous ne le saviez pas ? Rajoutait Jonas.

– Ah ouai ! C'est ça alors ! S'exclamaient Brice et Johnny en cœur.


Quelques instants plus tard, ils étaient à poil. Ils ne sont pas vraiment puritains ces deux petits jeunes, mais vous vous en doutiez déjà. Au contraire même ils aimaient bien se retrouver dans cette tenue. Jonas les orientait ensuite vers une cabane, un groupe de cabanes en fait ou logeaient les employés. 


– Deux par chambres pas plus, plus ça deviendrait scabreux. Et non mixtes, c'est une obligations juridique. Rajoutait Jonas.

– Sinon ça fait désordre ! Rajoutait Johnny.

– Oh mais je vous rassure les jeunes, très vite ça devient désordre. Mais bon tout le monde est adulte, moi je respectes les règles juridiques … Après chacun fait comme il veut !


La chambre était confortable, le mobilier était réduit au stricte minimum, on n'y faisait pas la cuisine, c'était juste un endroit pour dormir. Même la douche était à l'extérieur, douches ouvertes, très ouvertes, tellement ouvertes qu'il n'y avait même pas de murs … Au moment ou ils ressortaient de la chambre une voix féminine les interpellait.


– Ça y est Jonas, ils sont arrivés ? Huit jours de retard et tu ne les as même pas virés. On a décidément un bon patron ici !

– C'est pas eux, ces deux là passaient par là, je leur ai proposé le poste. Et voilà.


Jonas faisait les présentations, C'était Isabelle qui serait leur voisine pour les deux mois à venir. Elle avait les cheveux long, un corps très mince et élégant, une petite poitrine, petite mais ferme qui se tenait bien. C'est isabelle qui prenait la relève et leur faisait visiter les lieux. Ils auraient à servir au bar, au restaurant, assurer l'entretient des installations, accompagner et guider les nouveaux clients, participer aux animations … 


Et tout ça sans avoir à porter le moindre vêtement pendant les deux mois à venir... Ça ne leur déplaisait pas du tout cette affaire. 


Le reste de la journée on leur faisait visiter les lieux. On les présentait à l'équipe. L'ambiance avait l'air agréable, tout le monde était détendu, et partout, absolument partout des couilles qui pendaient, des bites qui se balançaient des fesses en tout genre et des seins qui dansait à chaque mouvements de leurs porteuses.


Dès la soirée Brice servait au bar, il en avait maintenant l'habitude. Johnny était sollicité pour assurer l'entretient et la maintenance des équipement, tous les clients ne regardaient que lui, pardi pour des raisons de sécurité il était habillé, un bleu de travail.


Et je ne vous dis pas mais pour se faire remarquer, dans un tel endroit, il faut s'habiller. A poil, personne ne vous remarque. Surtout qu'il est mignon le Johnny.


Isabelle l'observait avec une totale impudence le soir quand il venait se changer, quand devant sa cabane il se déshabillait avant de passer à la douche. Elle le suivait sans se poser de questions. Il laissait couler l'eau sur lui quand une voix féminine lui demandait.


– Tu veux pas me frotter le dos ? 


Il sursautait, il ne l'avait pas entendu approcher, il se retournait, il avait son savon à la main et un large sourire sur le visage. Il n'y avait personne dans le coin à ce moment. Ils étaient nus tous les deux, l'eau fraîche coulait sur eux, elle était là, elle lui tendait un savon, elle était magnifique avec un large sourire. 


Un peu comme dans un rêve il lui prenait le savon des mains, elle lui tournait le dos et sans penser à rien, sans penser, tout simplement peut être même. Il lui caressait le dos, depuis les épaules jusqu'à ses fesses. Sa main glissait avec fluidité et glissait encore. Il débordait un peu et sa main se glissait entre les fesses d'Isabelle, un énorme paquet de mousse de savon se formait.


La main remontait et de nouveau débordait, elle glissait sur le côté puis sur le sein d'Isabelle qui lui répondait en caressant cette main.


Il ne l'a pas vu venir, mais bon tout était arrivé si subitement, rien n'était prévu mais Isabelle était tombée dans les bras de Johnny, ce n'était plus le dos qu'il caressait mais son ventre, ses seins, ses épaules et rapidement sans penser à mal, un peu comme par distraction il lui caressait le sexe.


Sa queue se relevait entre les cuisse d'Isabelle, là c'est elle qui la lui caressait, il l'embrassait sur l'épaule, dans le cou, sur la joue et quand elle tournait la tête ils s'embrassaient avec passion.


Elle se retournait vers Johnny, et à son tour elle le prenait dans ses bras. Ce n'était plus que caresse câlin, échange de tendresse. La queue de Johnny se relevait avec force entre leurs deux ventres, bien ferme, bien dure, bien droite.


Johnny soulevait alors Isabelle qui s'accrochait à son cou et passait les jambes autour de ses reins. Elle prenait position et il la laissait redescendre légèrement c'était pour l'empaler sur son sexe. Elle gémissait à ce moment, elle se retenait avec force, refermait ses cuisses, refermait ses bras autour du coup de Johnny ses jambes autour de ses hanches et l'embrassait avec passion en frémissant de plaisir.


Il passait ses mains sous les fesses d'Isabelle, puis les bras sous ses cuisses et la retenait ainsi. Elle faisait un poids plume et c'était un plaisir partager. Elle écrasait ses seins contre la poitrine de Johnny et gémissait, son visage écrasé contre son corps. 


Avec des mouvements à la fois ferme, doux et parfaitement contrôler il la soulevait, la laissait retomber puis la soulevait de nouveau. Elle cambrait ses reins à chaque mouvement et à chaque mouvements recevait la queue de Johnny dans son ventre.


Les deux ventres se caressaient l'un l'autre et le sexe d'Isabelle frottait contre Johnny, surtout qu'à chaque mouvement elle refermait et resserrait les cuisses avec toute sa force.


Pendant de longues, de très longues minutes les deux corps se confondaient et se mélangeaient. Johnny n'éprouvait nullement de reposer sa conquête. Elle ne le demandait pas, elle ne cachait pas qu'elle se sentait très bien dans cette position. 


Les mouvements s'accéléraient, la fièvre montait entre eux, il gémissait également même s'il restait très concentré pour ne pas tomber. Mais Johnny est au sommet de sa forme et Isabelle n'est pas bien lourde, ce n'était pas un exploit pour lui.


Leurs respirations se synchronisaient, elles étaient fortes et rapide entrecoupées de gémissements qui étaient de plus en plus forts et ressemblaient par moment à des cris de plaisir. 


Des râles de plaisir de la part de Johnny quand il s'enfonçait dans le corps d'Isabelle, des gémissement d'un même plaisir pour Isabelle quand elle recevait Johnny en elle. Elle penchait la tête en arrière, ses cheveux flottaient sous l'eau fraîche qui coulait toujours sur eux. Tout reposait alors sur les jambes et sur les bras de Johnny.


Elle jouissait sans le cacher, elle criait presque, ne se retenait qu'à peine, au risque de se faire repérer, de se faire entendre de loin. Il la suivait et lui aussi jouissait, il éjaculait en elle. Suivait un instant de perte de contrôle de la situation puis se reprenant, Isabelle reposait ses pieds sur le sol, Johnny la retenait contre lui encore quelques instant, puis ressortait d'elle. Sa queue encore gonflé de désir retombait entre ses cuisse.


Ils échangeaient encore quelques câlins, quelques baisers puis terminaient de se laver l'un l'autre. Isabelle rigolait, elle avait un large sourire de satisfaction.


– Il va être l'heure de passer à table. Disait Isabelle.


Ils se séchaient rapidement puis Johnny suivait Isabelle. Juste derrière le restaurant il y avait le réfectoire pour les employés, ça se faisait en plusieurs services par roulement. Le restaurant était ouvert et la salle était déjà bien pleine. Presque la moitié des places du camping étaient occupées.


Brice était déjà là, il venait d'arriver, Johnny se joignait à lui, Isabelle allait rejoindre ses copines un peu plus  loin. 



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Anniversaire 03 Le temps passe

 Anniversaire 03 Le temps passe



Will m'entraînait dans une chambre. Il avait emmené un gode, il l'avait choisi de taille modeste, vous savez ce petit modèle avec lequel tout le monde a commencé. Le petit quinze centimètre sur trois et demie. A vous aussi ça vous rappelle des souvenirs … Il n’empêche que c'est efficace, ça donne de très belles sensations. 


– Je pense qu'il ont eu leur dose là les gosses ...

– Les gosses !… Non mais tu entends comment tu parles de ton frère et de son copain. Il a l'air plus vieux que toi, ils ont notre âge.

– Oui je sais bien mais. Deux ans d'écart c'est pas grand chose … Si on leur laissait un peu de temps pour réagir. Pour eux, ça commence juste. Ils ont tout le temps. 


Il se ralliait à mon point de vue. Et abandonnait cette idée. On redescendait les mains vides. On les retrouvaient, ils étaient décontractés nos cadets, ils étaient vautrés sur le canapé. On voyait clairement que la pression avait baissé, je vous garantis que ce n'était pas notre cas à Will et à moi. 


Oulala ça non ! Et je dirais même que notre situation s'aggravait. Mon dispositif se redressait devant moi. Ce n'était pas vraiment spectaculaire à voir, mais moi, je ne le voyais pas je le ressentais et je vous jure que je n'étais pas vraiment à mon aise. Il y a des jours faciles et d'autre moins. Ce jour là, c'était beaucoup moins. 


Je jetais un regard vers mon ami Will et, ça ne faisait aucun doute, il était dans le même état que moi. 


A force de reporter l'heure du repas, on commençait vraiment à avoir faim. On décidait enfin de passer à table. Le reste de la soirée Will et moi restions stoïques, les deux jeunes étaient plus détendus, eux !


Je revoyais mon frère et son copain plus jeunes, pour moi c'étaient toujours un gamin, mais il avait grandi, je ne l'avais pas vu grandir, il m'avait rattrapé. Nous étions à l'âge ou deux ans d'écart ne représentaient plus grand chose. Je me disais que dans quelques années, nous aurions le même âge. Remarquez, je dis ça mais je ne m'étais pas vu grandir non plus. 


On passait la soirée assis confortablement sur le tapis, le dos appuyé sur le canapé ou un fauteuil. On s'est endormi là, quand je me suis réveillé en plein milieu de la nuit, j'étais tout seul. Je montais dans la chambre, Will dormait dans un lit, dans l'autre chambre, mon frère et son ami dormaient, bien sages, l'un à côté de l'autre dans le même lit. Je me trouvais une petite place à côté de Will. 


Dans les semaines qui ont suivies, Mathias venait me voir de temps en temps pour parler de ce qu'il ressentait, des difficultés qu'il rencontrait. Vous savez, personne ne l'avoue jamais mais, c'est pas si facile que ça en a l'air. Et pour les plus âgés, en général ils ont oublié les difficultés qu'ils ont connues. Surtout ceux qui ont décider de le porter durablement ou après une longue période. 


La rentrée scolaire approchait, Mathias partirait en internat, nos parents ne  le reverraient que pendant les vacances. Je me préparais à partir également en internat. Nous n'étions pas dans la même classe mais seulement dans la même école et mon petit frère, je le verrais donc tous les jours. 


Dans ma classe tous les élèves portaient un dispositif de chasteté mais mon frère était dans un classe intermédiaire. Cette année largement plus de la moitié des élèves seraient équipés, l'année précédente il n'y en avait qu'une petite partie, et la classe suivante, ce serait le contraire. Ça dépendait de la période de l'année ou se situait leur anniversaire.


Mon petit frère et moi, pardon mais je ne m'y fais pas … Mon frère et moi nous voyions tous les jours. Ça rassurait nos parents, pour eux aussi il était et restait le ' petit ' dernier. Le ''plaisir à partager'' que nous lui avions fait découvrir ainsi qu'à son copain Samy leur avait donné de l'avance sur leurs camarades. Tous n'avaient pas encore osé touché leur corps de cette manière et encore moins celui de quelqu'un d'autre. 


Ils faisaient découvrir à leurs camarades ces nouveaux plaisirs. Deux clans se formaient dans cette classe, à cet âge. Celui de ceux qui portaient, c'était maintenant le cas de mon frère et celui qui ne portaient pas. Parmi ceux là il y en avaient qui n'avaient pas vraiment envie d'y passer et il y avait ceux qui n'attendait plus que cela pour ne pas rester à la traîne et être traités comme des adultes. C'était le rituel de passage.


Tous nous le passions, ensuite nous gardions le dispositif selon nos choix de vie. Rarement moins de quatre ans mais un certain nombre d'entre nous ne le retirerait jamais. La question ne se posait pas encore. 


Je me souviens de ce jour, nous avions fait une petite compétition inter classe. On avait bien rigolé quand l'animateur s'était trompé de prénom entre mon frère et moi, il faut dire qu'on se ressemble de plus en plus. A la fin plus personne ne savait qui de nous deux avait gagné. Enfin c'était pas bien grave. 


Je me souviens j'ai traîné un long moment sur le terrain pour suivre les différents participants. Et c'est quand je me décidais enfin à rejoindre les vestiaires, il n'y avait plus personne. Tout le monde avait pris sa douche et était parti. 


Je me glissait aussi sous la douche, je me croyais seul et déjà je sentais comme une crampe, là, dans ma cage à bite. Il n'y avait pourtant rien pour me stimuler. 


Soudain en ajustant mon dispositif de chasteté j'entendais comme des bruits qui venaient de la salle voisine. Je glissait un œil pour voir ce qui se passait. 


Au début je ne voyais pas grand chose, il y avait quelqu'un sous la douche, une personne je devinais la silhouette. Mais il y avait deux bras de trop … Deux personnes ? Oui c'était ça, il y avait deux personnes mais ils étaient vraiment très proches l'un de l'autre, mélangés je dirais même si j'osais. Mais je ne parvenais pas à voir qui c'étaient. Je regardais plus attentivement. 


J’apercevais un reflet, l'un des deux portait un dispositif de chasteté, c'était déjà bien. Au moins on évitait la situation scabreuse. Mais j'étais là, et si je trouvais tout ça excitant je trouvait aussi la situation embarrassante sans pour autant arriver à savoir si elle l'était pour moi ou pour eux.


Bon il ne savaient pas que j'étais là, à les regarder donc peut être que finalement elle ne l'était pas tant que ça, finalement ! Mes yeux s'habituaient à la pénombre, ils n'avaient pas allumé les lumières, je voyais plus distinctement. Ils étaient bien foutus, minces et musclés, mais je ne parvenais toujours pas à les reconnaître. 


C'était sûr, un portait un dispositif mais pas l'autre, lui il en avait une belle, et elle se redressait avec force. Il était plus grand, blond et frisé. C'était Jonas ! Je le reconnaissais c'était Jonas. Un petit branleur qui est dans la classe de mon frère. Il est mignon, mais il est plus vieux, il devrait avoir lui aussi un dispositif. '' C'est pas normal cette histoire ! '' me disais-je dans ma tête.


Je continuais à regarder. Le second lui tournait le dos, il était appuyé contre le mur, penché en avant. Jonas se penchait sur son partenaire et lui caressait tout le corps. Il l'embrassait sur à la base de son cou, dans le dos. Et je voyais le second garçon frissonner de plaisir. 


Jonas tirait son partenaire vers lui, il le recouvrait de ses bras. Le second enclenchait la douche et l'eau chaude coulait sur leurs corps. Je ne pouvais toujours pas voir qui c'était, le second, celui qui avait allumé la douche. Mais un reflet de lumière me le confirmait. Il portait un dispositif de chasteté. Tout allait bien pour lui. Il avait trouvé mieux qu'un mec avec un gode ceinture. 


J'étais juste à côté de l'interrupteur, à cet instant j'avais comme une violente envie d'allumer la lumière, de leur faire une peur bleue, et de voir enfin qui était le second garçon. Il penchait la tête en avant, je le voyais prendre position, il écartait les jambes et il respirait fort. 


Jonas se lubrifiait la queue, j'ai pensé un instant que ce n'était peut être pas sa vrai queue qu'il exhibait là. J'ai pensé un instant que c'était peut être un gode ceinture. Mais enfin, soyons sérieux ! Qui oserait emmener un gode ceinture sous la douche. On se retrouve en général à poil sous la douche et on n'a pas beaucoup de bagage quand on y vient. 


C'était sa queue, finalement vous savez, c'est encore ce qu'il y a de plus facile à transporter avec soi … Je le regardais, j'avais envie le prendre dans mes bras, il avait sa queue à l'air, et j'avais tellement envie de la sentir glisser entre mes fesses. Je le voyais, il se masturbait, il caressait sa queue avec lenteur, il la lubrifiait avec du savon, je les voyais de profil, il caressait avec insistance le cul de son partenaire. 


Je voyais parfaitement les formes de son corps, mais je ne voyais toujours pas son visage. C'était qui, mais c'était qui ?


Puis Jonas prenait position, je le voyais positionner sa bite juste contre le cul de son partenaire. Il y avait une légère lumière un peu plus loin derrière, une de ces lampes de sécurité qui indique la sortie de secours. De profil je pouvait tout voir ou tout deviner, enfin tout ce que je ne pouvais pas vraiment voir.


Ma queue protestait comme jamais dans sa cage. C'était pas seulement la scène mais c'était aussi le fait que là, sous mes yeux, Jonas bandait, Jonas n'avait pas de cage de chasteté, il était libre et il allait en profiter.


Il donnait un baiser sur l'épaule de son partenaire, qui piétinait sur place en signe d'inquiétude, d’excitation, d'impatience …


Oh il avait de bonnes raison de s'inquiéter. Jonas en avait une grosse, bien large, bien longue. Elle faisait envie mais elle faisait peur. 


Impatience, il n'y avait pas de quoi être impatient, les choses arrivaient au bon moment, au moment ou elles doivent arriver.


Il reste l'excitation, là c'est moi qui devait être le plus excité. Mais cette queue n'était pas pour moi.


J'entendais des murmures, la douche ne coulait plus, Jonas se penchait vers son partenaire qui tournait la tête vers lui. Ils échangeaient un baiser à la fois tendre et intense puis sans prévenir Jonas poussait sa queue dans le cul de son camarade. Bien lubrifiée elle glissait avec une facilité déconcertante et le ventre de Jonas s'écrasait contre les fesses de son camarade. Par réflexe il tentais de se dégager mais Jonas le retenais avec force. 


Jonas lui retenait également le visage et continuait ce baiser qui n'en finissait pas. Quand leurs lèvres se séparaient l'inconnu poussait un long, un très long gémissement, une plainte qui ne finissait pas. Il avait un geste pour se dégager mais Jonas le retenait contre lui avec force.


Jonas gardait sa queue bien à fond dans le cul de son camarade qui continuait à gémir et s'appuyait contre le mur. Sans le mur, il serait tombé. Il voulait dire quelque chose mais devait renoncer, il n'arrivait même pas à articuler le pauvre. Il faut dire qu'avec ce qu'il se prenait dans le cul, je pense que j'aurais été dans le même état. Jonas ne l'avait pas loupé, il se cambrait,il se tordait et je ne parvenait pas à deviner si c'était sous l'effet de la douleur ou du plaisir. 


Je savais seulement que moi, à sa place, je me serais placé juste entre les deux. Mais là, c'était une situation de manque pour moi. En fait j'avais envie, j'avais une terrible envie d'être à sa place. J'étais jaloux. Je n'avais jamais eu cette change, je n'avais jamais goûté à une vraie queue. J'avais toujours eu des copains sous clé. D'ailleurs avant de me mettre un dispositif de chasteté je  n'avais jamais eu l'idée de me glisser quelque chose dans le cul. 


Ce petit gars inconnu avait bien de la chance … Jonas aussi, mais il faudra qu'on m'explique pourquoi il ne porte rien celui-là.


Ma queue avait décidé de détruire de l’intérieur ma cage en la faisant exploser. Pathétique optimisme, là, elle rêvait ma queue. La cage est en titane et il n'y a aucun risque que ça n'arrive. C'était très désagréable, la frustration était à son sommet. Je sentais les barreaux de ma cage qui étranglaient ma queue. La cage était trop petite. En fait quelquefois oui, elle me semble trop petite. Dans des moments comme celui-là par exemple.


Jonas, continuait à caresser le corps de sa victime. Bein oui là je vous jure, le mot est presque juste. Puis l'inconnu hurlait, Jonas s'était retiré.  Oh pas beaucoup juste un peu mais ça avait suffi. De nouveau Jonas se penchait sur lui  et l'embrassait.  Jonas continuait à se retirer, doucement, avec lenteur. 


Son partenaire ne disait plus rien, par moment un gémissement, une plainte se faisait entendre. Puis avec une certaine douceur cette fois ci, mais je jeune à gémi de nouveau. De nouveau le ventre de Jonas s'écrasait contre les fesses du jeune homme. 


Il ne se défendait plus, il ne cherchait plus à se dégager, il avait l'air vaincu. Sa silhouette le montrait ainsi, vaincu, soumis, comme résigné. Il se laissait faire. Et la queue de Jonas s'enfonçait ressortait et s'enfonçait de nouveau. Jonas avait réussi à s'ouvrir un passage et maintenant il en profitait. Il avançait et reculait son bassin avec régularité. 


Son petit partenaire gémissait mais, on devinait que ce n'était que du plaisir. Ma queue continuait à protester, j'aurais tellement aimé prendre la  place de l'un des deux. Je n'arrivais même pas à savoir lequel. Là c'est moi qui tremblait, qui frémissait. 


Les mouvements de Jonas devenaient de plus en plus rapides, de plus en plus violents. Au bout d'un long moment on entendait claquer son ventre contre les fesses de son partenaire. Là je n'avais plus du tout envie d'être à laplace du petit jeune, je ne sais pas pourquoi je dis, petit jeune. Petit oui, il était plus petit que  Jonas mais il devait être plus vieux. Là je vous jure je n'avais plus du tout envie d'être à sa place ! Enfin si quand même, même si ça me faisait peur.


Les coups devenaient vraiment violents et quand le garçon que je ne reconnaissait toujours pas hurlait de plaisir, Jonas hurlait aussi. Entre nous, heureusement que le local était totalement vide, parce que pour ce qui est de faire du bruit, et bien ils en ont fait du bruit … Ils ont crié, gémi, hurlé, j'étais complètement retourné. 


Jonas en avait une belle, et il savait s'en servir, il n'avait pas peur de s'en servir. C'était plutôt aux autres d'avoir peur qu'il s'en serve sur eux.


Et là j'ai glissé. Je me suis rattrapé à je ne sais quoi, j'ai allumé la lumière … Le petit jeune que je ne reconnaissais pas, c'était mon frère ! Il m'a regardé de travers …


– Ça fait longtemps que tu es là toi ?


Je ne savais plus quoi dire, j'ai bafouillé deux ou trois mots. Il m'a présenté Jonas. 


Jonas ne portait pas de dispositif, il avait réussi à tricher et à se rajeunir d'un an, la direction de l'école venait de le découvrir et si le soir même il n'était pas '' couvert '' il était viré. Il voulait juste en profiter un peu avant, surtout que nul ne savait combien de temps ça allait durer dette affaire.


En tout cas, là je me disais que mon petit frère, il apprenait vite, très vite … 


FIN


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


Tou big tou cage 05 Un masseur

 Tou big tou cage 05

Un masseur




Dans les jours qui suivaient Alexandre continuait son travail. Le travail correspondait à ce à quoi il s'attendait. Pour le moment c'était un travail administratif. Il s'informait sur ses possibilités de carrière. Avec ses diplômes il pouvait espérer monter en grade au bout de quelques années, pour le moment il était payé au minimum légal mais dès la fin de son stage la situation changerait.  Toutefois la PK lui avait proposé tout un tas de carte d'abonnements qui lui offrait des réductions dans de nombreux commerces. 


C'est vers les centres de massage qu'il orientait ses recherches. Combien il y en avait dans la région, ou ils étaient, ce qu'on en disait. Un jour, il n'en avait parlé à personne, il se rendait vers un de ces lieux. Il n'avait pas pris rendez-vous mais par chance un créneau s'était libéré.


C'est tout frétillant qu'il retirait ses vêtements. Le vestiaire était confortable mais il n'y avait rien à voir avec ce salon de massage ou son camarade Malo l'avait emmené. Il prenait une douche, mais il n'y avait personne pour lui masser les épaules et un peu plus, comme la fois précédente. 


Le massage était top, par contre sur ce point il n'y avait rien à dire, le masseur était un expert mais il était également très … trop … convenable …


C'était une séance de massage ! Rien de plus. Alexandre y a pris beaucoup de plaisir, s'y est très bien détendu mais il est resté sur sa faim. Il cherchait autre chose, il ne devait pas avoir tout compris.


Quelques jours plus tard il en parlait à son collègue Malo. Malo éclatait de rire. 


– Tu es allé dans un salon de massage qui dépend de la PK, ils y ont accepté ta carte de réduction ?

– Oui ma carte à marché, mais …

– Il faut choisir un salon privé, un salon indépendant. Et là, ils n'accepteront pas ta carte de réduction … J'y vais de temps en temps. Je vais te donner l'adresse …


Alexandre restait dubitatif. Ces gens ne travaillaient pas pour la PK et pourtant c'est son boss qui avait décidé de l'initier à ce genre d'endroit. Décidément cette société était bien étrange. Elle représentait une certaine référence au niveau de la morale, avec son patriarche Jérémy Brosso, son fils Antoine qui avait la réputation d'être un véritable fanatique des dispositifs de chasteté, et son fils le jeune Philippe … Oui bon, lui c'était une autre  histoire, nos jeunes amis le connaissaient très bien ils étaient allé à l'école avec lui, ses mœurs sexuelles étaient totalement décadentes … 


Alexandre notait soigneusement l'adresse et ne pouvant plus se retenir il téléphonait le jour même. Au téléphone la voie était très courtoise, on lui proposait un rendez-vous pour le lendemain. Le tarif était en effet prohibitif … Mais Alexandre voulait remettre ça, il avait trouvé ça trop génial, et il voulait en savoir plus sur ce métier de masseur.


A l'heure prévue il était au salon de massage, on le recevait avec le sourire, tout comme la fois précédente on le conduisait à un salon douillet et confortable, c'était les vestiaires … On le laissait se déshabiller avant de l'inviter à glisser sous la douche. 


Le programme était exactement le même que quelques jours plus tôt, sous la douche on lui massait les épaules. Tout comme la première fois, son masseur lui caressait le corps, tout le corps. Tout comme la première fois il portait une tenue moulante qui laissait apparaître tous ses muscles, une belle bite et deux couilles. C'était évident, il ne portait pas de dispositif de chasteté.


Alexandre se laissait aller il se sentait bien, ces caresses le transportaint dans le plaisir, dans un autre monde que celui dans lequel il vivait. Il était dans une bulle, tous les gens qu'il rencontrait dans son monde, portaient un dispositif de chasteté. Même ses deux amis Daniel et Régis portaient de nouveau leur dispositif, pour les mêmes raisons que lui, ils avaient eux aussi un stage et acceptaient les conditions de leur monde.


Là Alexandre était dans une bulle dont il sentait maintenant les limites, dont il sentait la fragilité, dont il savait qu'elle pouvait exploser car elle n'était pas le monde. Combien d'hommes, quel pourcentage d'hommes portaient un dispositif ? Vu depuis le monde de la PK on pouvait imaginer que tous étaient concernés. Mais juste à côté d'eux, il y avait tout un petit peuple qui n'en porte pas. Il y avait plus qu'un petit peuple. Les voisins de pallier d'Alexandre portaient, ça ne faisait aucun doute, ils étaient eux aussi dans cette bulle, ils étaient étudiants donc mais, le voisin d'en face, le commerçant du coin, l'artisan qui était venu réparer la fuite d'eau … ?


Les mains douces et agiles du masseur devenaient coquines autant qu'indiscrètes. Elles étaient maintenant descendues sur les fesse d'Alexandre et ce plaisir le sortait de son rêve. Un doigt se glissait dans son cul, il était suivi par un second doigt et le massage commençait par la prostate. Les deux doigts s'agitaient doucement puis un peu plus vite mais toujours avec douceur, toujours avec une force douce. 


Alexandre se laissait faire et déjà le plaisir montait en lui. Les doigts sortaient, la main lui caressait les couilles, lui massait les couilles puis les doigts revenaient à ce massage terriblement intime.


Mais les dirigeants de la PK, se demandait Alexandre, viennent-ils souvent dans cet endroit. Tout était fait pour que les clients ne se rencontrent pas. Ça semblait tellement évident, s'ils n'en parlent pas entre eux il peuvent fréquenter le même salon de massage sans jamais se rencontrer, sans jamais savoir que c'était leur collègue de bureau qui ce soir là était passé juste avant dans cette douche et y avait lui aussi pris énormément de plaisir.


Alexandre s'était retourné, son masseur l'avait guidé dans ce sens. Alexandre ne s'en était même pas rendu compte tant le contact était doux et délicat. On le guidait on ne le poussait pas. Il regardait le visage de son masseur qui avait un large sourire. Il devait avoir son âge, comment était-il arrivé à ce travail, Alexandre n'avait jamais entendu parlé d'un tel emploi. Il n'aurait jamais pu imaginer ça, il n'aurait jamais imaginé que cela puisse être permis.


Alexandre se laissait aller et refermait ses bras sur son masseur, il l'embrassait avec passion. Ils s'embrassaient avec passion …


– Tu aimerais qu'on se voit en dehors de ton boulot ? Demandait Alexandre.

– C'est strictement interdit par le règlement ! Lui répondait le masseur.


Puis il invitait Alexandre à s'installer sur la table de massage. Comme la fois précédente, elle était spéciale, particulièrement douce et douillette, c'était un matelas fin mais très confortable.


Pendant quelques secondes plus personne ne touchait Alexandre, il jetais un regard, son masseur retirait sa tenue moulante, elle était mouillée et ne cachait plus rien, bien au contraire.


– Tu portes quel taille ? Demandait Alexandre.

– Mais vous voyez bien que je ne porte pas . Lui répondait le masseur.


Il bandait ferme, sa queue se relevait fièrement presque à la verticale. Alexandre n'essayait pas d'y toucher, il se contentait de la regarder, de l'admirer. Il tremblait de désir et sa queue protestait dans sa nouvelle cage en titane. 


Les mains du masseurs découvraient tout le corps d'Alexandre. Les caresses étaient les mêmes que dans le salon précédent, prodiguées dans le même ordre ou presque. C'était le même programme, c'était un programme parfaitement bien organisé, parfaitement codifié. 


Alexandre se détendait tellement qu'il devenait tout mou, il gémissait sans même s'en rendre compte. Il en redemandait et le masseur lui en donnait, il prenait bien son temps. 


Alexandre était retourné sur le dos, ce mouvement est toujours un peu brusque mais sans violence. Ça réveillait Alexandre qui commençait à somnoler, ça le faisait rire aussi et les caresses reprenaient.


– Tu portes combien en taille ?

– Vous voyez que je ne … Répondait le masseur … sept et demi … 

– C'est pour ça que tu ne portes pas ? Ils n'ont pas ta taille ?

– C'est parce que que j'ai trouvé autre chose à faire avec ma queue, et que je préfère. 


Alexandre lui répondait par un grand sourire et lui caressait enfin la queue.


– Passerons-nous à une suite plus intime ? Demandait le masseur.

– S'il te plaît …

– Une position préférée ?

– Je te laisse faire, je te laisse choisir.


Le masseur, repliait les jambes d'Alexandre, ses genoux se retrouvait contre ses côtes, le masseur lui cramponnait fermement les chevilles et c'est dans cette position, plié en deux et le cul bien offert qu'il recevait la grosse bite de son masseur. Elle glissait avec force mais avec une douceur infinie. 


Alexandre sentait glisser en lui chaque millimètre, il sentait son anus se dilater avec douceur mais jusqu'à des proportions importantes. Il prenait son pied.


Le masseur massait maintenant le cul d'Alexandre avec sa grosse queue maintenant, il se penchait sur lui et Alexandre lui attrapait par le cou, le tirait vers lui l'embrassait. Le masseur le laissait faire tout en continuant à masser le cul de son client avec sa queue. Le mouvement était lent, ferme, et doux mais faisait l'effet désiré.


Au bout d'un moment Alexandre tremblait tant qu'il pouvait, il ne contrôlait plus rien, il jutait et jouissait longuement. Le masseur continuait avec toujours ce mouvement qui faisait tant d'effet. Et ce n'est que quand Alexandre éjaculait dans sa cage et qu'il était pris de convulsions que le masseur commençait à retenir ses mouvements puis il ne bougeait plus.


Alexandre s'écroulait sur lui-même, tous ses muscles se détendaient et son masseur se retirait. Il faisait chaud, dans ce salon, pas trop mais juste ce qu'il faut, c'était très bien étudié. Le masseur laissait alors là son client et disparaissait. 


Il n'allait pas bien loin, il restait là, juste à côté à surveiller Alexandre. Plus tard, bien plus tard quand Alexandre réagissait enfin, il était là pour l'aider à s'habiller si c'était nécessaire, et pour l'accompagner à la sortie.


Alexandre se sentait terriblement bien après tout ça et c'est profondément heureux qu'il prenait la route de son appartement.


Il décidait d'en apprendre plus sur les techniques de massage, C'était tout un programme, c'était évident. Il y avait des méthodes, des gestes, des points de contacts dont il ignorait la sensibilité et qu'il découvrait. C'était très agréable mais il voulait aussi les connaître pour pouvoir les utiliser, par moment il s'imaginait à la place des masseurs. Alexandre se sentait tellement excité qu'il savait qu'il ne pourrait pas dormir cette nuit là tant il était enthousiaste. Il savait qu'il allait passer une nuit blanche jusqu'à environ dix heures du soir … Après il a fait de très beaux rêves.


Quelques jours plus tard, il attendait dans un bar juste devant le salon de massage. Il était arrivé là sans le vouloir, presque sans s'en rendre compte. Il était arrivé là en pensant à autre chose, en fait il ne savait pas à quoi il pensait … A rien peut être. Un moment il apercevait son masseur de l'autre jour. 


Il se relevait instantanément, courait et le rattrapait. Le jeune homme était embarrassé et ne le cachait pas.


– Vous savez Monsieur, nous n'avons pas le droit de rencontrer nos clients …

– Je n'irai plus jamais dans ce salon si tu veux. C'est tout ce qu'Alexandre trouvait à répondre.

– Je vous en prie, je vais avoir des problèmes si on nous voit ensemble.

– Tu sais, je n'ai pas de mauvaises intentions, je veux juste en savoir plus sur ton métier, sur toi, sur ta vie. Depuis que je suis né, j'ai toujours vécu dans un monde ou je devrais un jour porter un dispositif de chasteté, tu es la seule personne que je connais qui vive autre chose …


Le masseur lui donnait l'adresse d'un bar et lui donnait rendez-vous une heure plus tard.


Alexandre attendait depuis plus de trois quart d'heure et en était déjà à son cinquième café quand le masseur arrivait.


– Je n'aurais jamais du accepté de venir, si on nous voit ensemble, si on sait que tu es un client je perds mon boulot moi !

– Personne ne le saura, je ne suis pas connu dans ce quartier.

– Bon tu veux savoir quoi ?

– Tout, je veux tout savoir, comment tu fais, ou as-tu appris, comment tu vis. Ça fait quoi de vivre dans un monde ou il n'y a pas de dispositif de chasteté ?


Le père d'Alexandre portait bien sûr un tel dispositif, son jeune frère de dix neuf ans également. Dans sa famille personne ne se posait de question, c'était un mode vie, c'était le seul mode de vie. 


Ils ont discuté pendant plus de deux heures. Xavier,  c'était le non du masseur n'avait jamais mis un tel dispositif, enfin une fois avouait-il, '' Pour voir … '' mais il ne l'avait gardé que deux heures. C'était pas pour lui ça, personne dans ses relations, dans sa famille ne portait un tel dispositif. Il avait une copine, et son boulot n'était qu'un boulot. 


Alexandre ne comprenait pas tout.


– Et tu vis avec ta copine ?

– Bien sûr ! Oui je sais chez les couples de porteur, les couples n'habitent pas toujours ensemble ou en tout cas pas d'une manière permanente. 


Au moment de se séparer, Xavier conseillait un livre à Alexandre avant de lui dire.


– Tous les soirs, après le boulot, je passe ici. Personne ne sait ce que je fais comme travail, tu reste discret, je ne voudrais pas perdre mon boulot, ça paye bien …



A SUIVRE …



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