VITE FAIT 06

 VITE FAIT 06


J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de textes courts, différents de ce je fais d'habitude. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez … 


Un jour j'arrivais chez Pétard sans prévenir. Il faisait une tête je ne vous dis pas, pire que moi après qu'il m'ait bien défoncé. A mon avis il devait être défoncé … 


Heu !


Pardon je voulais dire fatigué, c'est vrai j'avais oublié que si on l'appelle comme ça c'est à cause de sa coupe de cheveux … Enfin bref, il était en tenue très légère, en fait il était venu m'ouvrir à poil. Il y avait une fille avec lui, elle était à poil aussi.


Il me présentait Dany, et me proposait de m'installer. Dany n'était pas du genre timide ou farouche. J'allais me chercher une bière et quand je revenais, je retrouvais Dany penchée sur Pétard, elle lui suçait la queue et il semblait apprécier.


– Et comment elle s'y prend la petite ? Lui demandais-je.

– Bien, très bien ! Répondait-il. Tu devrais essayer.

– T'es un marrant toi Pétard !

– Bouge pas je vais te montrer. Rajoutait la fille en se retournant vers moi.


Elle commençait à ouvrir le ceinturon de mon pantalon. 


– Laisse la faire ! Me disais Pétard. 


Quelques instants plus tard, Dany était pliée de rire, elle avait trouvé mon dispositif de chasteté, et je vous jure qu'elle ne s'y attendait pas. Ça l'amusait et elle me tripotait les couilles. Tous les copains et copines de Pétard me font le coup … C'est agaçant à la longue.


Il s'approchait d'elle, elle était assise devant moi, il se plaçait juste derrière elle, la prenait dans ses bras et l'embrassait. Elle se retournait et de nouveau lui suçait la queue, Pétard gémissait de plaisir, il aimait ça, je le savais mais je me demandais seulement s'il ne gémissait pas plus fort avec elle qu'avec moi. Dany tenait toujours mes couilles dans une main et les tripotait vigoureusement.


– Laisse la faire et enlève tous tes vêtements. M'ordonnait Pétard.


En ronchonnant je me déshabillait. Pétard était assis sur le sol, les jambes écartées. Dany s’asseyait sur sa queue, toujours en faisant face.  Je pouvais voir la queue de Pétard s'enfoncer dans son sexe, j'étais aux première loges, je pouvais contempler la scène. Ma queue protestait brusquement avec violence.


En une seconde ma cage était devenue trop petite, la peau de ma bite formait des boules par les ouvertures de la cage. C'était très inconfortable. 


Dany se relevait, se laissait retomber et recommençait. Je pouvais voir la queue de Pétard qui apparaissait et disparaissait. Ils m'avaient bien allumé ces deux là et c'est dans mon cul que j'aurais aimé la sentir entrer et ressortir. Je commençais à transpirer et à respirer fort.


Pétard s'allongeait sur le dos, Dany suivait le mouvement, il la caressait, elle laissait tomber sa tête en arrière et leurs joues se touchaient. L'un tournait la tête et l'embrassait sur la joue. Elle tournait la tête vers lui et ils s'échangeaient un baiser torride. 


J'étais en transe. J'en pouvais plus, mon cœur allait exploser, mon désir était à son sommet et seule ma frustration parvenait à le dépasser. J'ai remarqué à ce moment que je tremblais. 


Il refermait ses cuisses, elle écartait les siennes et leurs sexes étaient alors bien en évidence, sauf la queue de Pétard ne cessait de disparaître et de réapparaître. Dany se cambrait, se relâchait, gémissait, puis gueulait de plaisir. 


''Elle simule'', je me disais, ''elle simule moi j'y crois pas ''.


J'étais vexé, j'étais surexcité, je me sentais frustré et en manque. Surtout que j'étais venu avec l'idée de me faire défoncer le cul. Ensuite c'est Pétard qui s'énervait il soulevait son bassin, Dany se redressait, elle tremblait de plaisir. Il accélérait ses mouvements et ceux de Dany lui échappaient. Elle gesticulait, tentait de s'accrocher à quelque chose mais ne trouvais rien.


Pétard la faisait sauter sur ses genoux, sa queue bien enfoncée en elle. Elle perdait le contrôle et m'agrippait fermement les couilles, les accrochait bien et me les tirait de toutes ses forces.


J'ai hurlé de douleur. Je me suis défendu, elle résistait et ne voulait pas me lâcher. Pétard avait tout vu et rigolait, un rien l'amuse ce garçon, mais là ça ne me faisait pas rire. Je finissais par me dégager et je gueulais en m'écartant. Eux il s'en moquaient et continuaient leurs ébats. 


Ils ont terminé leurs ébats dans les cris de plaisir. Par la suite je me méfiais et je ne laissais plus la fille m'approcher de trop près … 


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


30 Mars 2021

 J 249 / 280

Reste 31
Ça fait pas loin d'un mois encore tout ça 31 jours !










Ulysse 03

 Ulysse 03




Ça faisait longtemps tout ça ! Il était là en face de moi, de quinze ans plus vieux mais toujours aussi beau, toujours aussi sexy, toujours aussi attirant ! Il avait pris soin de lui et on devinait un corps musclé sous sa chemise. Surtout qu'il savait toujours très bien choisir ses chemises. Celles qui savaient le mettre en valeur, remarquez c'était pas difficile de le mettre en valeur. On pouvait aussi lui retirer tout ce qu'il avait sur le dos, ça le mettait aussi en valeur !


Ses deux amis présentaient très bien également, il me les avait présenté comme des collègues de travail. Ils travaillaient tous à l'entretient et au fonctionnement de la Villa des Palmes, sur la route du Sud. Une somptueuse maison cachée dans la forêt, très privée, très chic …


Ah il pouvait avoir un travail chic Ulysse. Chic, il l'était ! C'était un prince, un seigneur, la gente féminine s'inclinait devant lui, la gente masculine le saluait et la gente masculine qui préférait la gente masculine était à genoux devant lui en espérant sans doute qu'il accepte de nous laisser …


Mais qu'est-ce que je raconte comme horreur moi ? Ça y est ça me reprend, je m'énerve, je m'énerve … C'est à cause d'Ulysse ça … J'ai tellement rêvé de lui sucer la queue que … 


Bon je me calme !


Les copines qu'il avait à l'époque étaient un peu vicieuses. Je me souvenais de cette soirée très particulières. 


C'était une soirée en tout petit comité, Ulysse, Richard et moi … Bon il y avait aussi six filles. Richard et moi étions un peu surpris par leur nombre, on savait qu'Ulysse avait une sacrée santé et ne manquait pas de ressources, mais enfin elles étaient six et elles savaient très bien qu'il ne fallait pas compter sur Richard ou sur moi pour leur faire des papouilles ... 


Elles avaient préparé un repas, très bien cuisiné d'ailleurs, on avait eu des frites, avec de la dinde. Comme entrée on avait mangé …


Ça n'intéresse personne ? Bon d'accord, je passe …


On s'était bâfré !


Bien sûr le repas était arrosé, discrètement les petites nous faisait picoler, je m'étais bien rendu compte de quelque chose, Richard aussi mais il s'était dit la même chose que moi … Tant que le verre est plein, vidons le !


Ulysse rigolait dans son coin. Les filles se relayaient pour lui faire un câlin. Notre tour ne venait pas. Enfin il faut dire aussi que si elles avaient essayé  de nous faire un câlin, on se serait défendu.


Enfin jusqu'à un moment seulement, parce que au moment ou on a roulé sous la table on était déjà bien moins en mesure de nous défendre et c'est là qu'elles en ont profité.


Elles nous sont tomber dessus, trois sur Richard, trois sur moi. La complicité d'Ulysse dans cette histoire ne faisait plus aucun doute. Pour commencer elles nous ont déshabiller. On rigolait en leur disant que ça ne servirait à rien, que même ivre nous ne pourrions rien pour elles, que …


Une d'entre elle s'était assise sur mon torse, je ne pouvais plus bouger, elle me faisait rire, les deux autres me retiraient mon pantalon. Je me suis un peu inquiéter quand elles ont commencé à me tripoter les couilles et la bitte. Ulysse nous rassuraient.


– Ne vous en faites pas les gars, elles font ça à tous les mecs !


Ça ne me plaisait qu'à moitié cette affaire, et je tentais de me défendre, de me dégager. Enfin c'était juste pour pouvoir prétexter que je ne m'était pas laissé faire. Je peux vous garantir que je ne bandais pas à ce moment. 


– C'est bon ! Disait une d'entre elles.


Toutes se retiraient alors. Richard était allongé à côté de moi, il me regardait en rigolant. Il passait sa main sur son sexe et je voyais l'expression de son visage changer …


– Mais qu'est-ce que c'est que ça ?


Je me relevais et je voyais sur mon sexe ainsi que sur le sien un de ces dispositif de chasteté dont on parle tant dans la presse. Un de ces truc en titane, c'est un ancien sportif universitaire qui en fait la promotion. Un de ces truc de la marque PK. Sécurisé, Confortable, Invisible et Agréable à porter ils disent.


C'est vrai que pour le moment on ne sentait aucune gêne, je le remuais tout en commençant à bander et il avait l'air en effet sécurisé. Richard éclatait de rire.


– Vous êtes vraiment pas bien les filles ! Et l'idée de cette farce est de qui ?

– Si vous êtes sages, je vous autoriserai à sucer ma queue ! Nous répondait Ulysse.


Ça changeait tout ça. Ça faisait quelques mois que nous ne rêvions plus qu'à ça. Lui sucer goulûment la queue avant de se la prendre dans le cul, alors un petit jeu comme ça d'une soirée, ça en valait la peine. 


– Et pourquoi tu n'en met pas un  toi aussi ? Lui demandait Richard.

– Nan ça c'est pas pour moi ! Moi je suis un vrai mec. Par contre je trouve que ça vous va à merveille. 


Ensuite les filles se sont agglutinées autour de lui, chacune lui retirait un vêtement, enfin rien que pour la chemise elles étaient trois. Une pour lui ouvrir la ceinture, deux pour faire tomber le pantalon. Il n'a pas fallu longtemps pour qu'il se retrouve à poil. 


Des bras arrivaient de partout pour le caresser, des bouches le couvraient de baisers, il bandait. Il bandait ferme le farceur. Nous aussi on bandait ferme et c'est à ce moment qu'on a senti l'étreinte de l'acier. C'est à ce moment que j'ai senti l'anneau qui passait sous mes couilles, C'est à ce moment que j'ai senti la pression de la cage tout autour de ma queue.


Si la pression de l'anneau n'était pas vraiment agréable, la cage elle semblait exercer une pression douce et régulière, presque douillette. Je bandais et en baissant la tête je voyait le dispositif se relever. 


– Et dire qu'il y a des mecs qui portent un truc comme ça en permanence ! Disais-je.

– Pendant des années même. Me répondait Ulysse.

– Tu n'y as jamais pensé toi ?

– Je te le dis, c'est pas pour moi ça !


Richard ne disait plus rien, il avait déplié le fauteuil, mis quelques coussins sous sa tête et c'est avec un grand sourire béat qu'il regardait la scène.


Plusieurs filles s’agglutinaient autour d'Ulysse, une lui suçait la queue, d'autres lui caressaient les jambes, les bras, des mains qui sortaient on ne savait d’où lui caressait le torse. Il avait passé ses deux bras entre les cuisses de deux filles et c'est avec la peau de ses avant-bras qu'il leur caressait la vulve tout en leur caressant les fesses avec les mains. 


Moi avec autant de mecs autour de moi, j'aurais été un peu dépassé … Pas lui ! Il caressait et embrassait tout les morceaux de peau qu'il passaient à porté de sa bouche, il caressait toutes les parties de corps qu'il pouvait atteindre. Il ne portait aucune attention à son propre sexe, deux filles s'en chargeaient et elles étaient pleine de tendresse et de douceur. 


Elles se relayaient. Il y en avait une qui venait à côté de moi et me caressait un peu partout, c'était pas si désagréable et je laissais faire, une autre faisait la même chose à Richard. Il suivait mon exemple. On bandait à mort, et bander dans un dispositif de chasteté pour la première fois, c'est une expérience que je ne regrettais pas. Vous devriez essayer !


Par moment le corps d'Ulysse disparaissait derrière toutes ces filles qui formaient un véritable grappe. Son visage se cachait entre les cuisses de l'une, le ventre de l'autre. Par moment, c'était amusant, elles ne laissaient dépasser que sa queue. C'est vrai qu'il a une belle queue et de belle taille. Je me disais alors.


– S'il faut jouer le jeu pour pouvoir m'amuser avec cette bitte, je veux bien jouer le jeu, autant qu'il le voudra !


Richard semblait dormir, c'était l'effet de l'alcool ou les caresses. Difficile à dire, sa tête était tombée en arrière, par moment j'avais l'impression qu'il ronflait. Une des fille en profitait pour devenir plus entreprenante et s'allongeait presque sur lui. Il ne réagissait pas. 


Elle le caressait avec son propre corps en laissant glisser sa poitrine contre la sienne. Je pouvais voir les tétons de la filles durcir et la respiration de Richard devenait plus intense. Pas de doute il dormait sinon il aurait hurlé et se serait sauvé en pleurant sa mère. 


Une autre, voyant le spectacle décidait de me faire subir les mêmes derniers outrages. Elle s'allongeait sur moi, avec l'alcool j'étais pas mal anesthésié aussi je décidais de laisser faire. Finalement c'est pas si désagréable une poitrine féminine qui caresse ma poitrine masculine. C'est doux, c'est chaud, je me prenais au jeu et lui caressait les hanche avec les mains. Elle m'embrassait alors le visage, et me glissait à l'oreille.


– Il t'en faudra plus pour me convaincre de te libérer.


Elle se laissait alors tomber de tout son poids sur moi. Elle se retournait alors vers ses copines et leur lançait sur un ton assez fort.


– Je crois que le mien est mur pour la suite.

– Moi j'ai un coma ! Répondait celle qui se frottait à Richard.

– Pas de réaction ? 

– Si tout de même, il gémit, il ne gémit pas fort mais il gémit entre deux ronflements.


Là j'intervenais.


– Mais Richard ne ronfle pas là !

– Si, je t'assure.

– Non, non, la il ronronne, tu ne l'as jamais entendu ronfler. Je te jure que c'est autre chose.


La fille qui était sur moi s'était éloignée et revenait avec dans ses mains un truc qui m'excitait au plus haut niveau. Un gode ceinture ! Des lanières de qualité, même de loin j'en reconnaissais la marque et déjà fixé dessus un gode de très belle taille. 


C'était donc ça la suite. Elle allait me défoncer le cul … De nouveau ma queue dans ma cage s'énervait et manifestait. Finalement c'est pas trop désagréable ce genre de dispositif. 


Elle se penchait sur moi !


– Tu pourrais soulever tes fesses ?


Le fauteuil basculait en position allongée. Sans comprendre je faisais ce qu'elle me demandait. D'un geste aussi rapide que sûr, elle me fixait le gode ceinture, refermait et ajustait fermement les lanières. Je regardais ça un peu déçu, j'avais maintenant une belle grosse bitte en plastique à la place de la mienne … La mienne, elle protestait dans une cage juste en dessous.


Bien sûr, en taille je gagnais un peu mais je n'étais pas convaincu pour autant. Quand je l'avais vu revenir vers moi avec ce truc dans les mains j'avais imaginé un tout autre usage et je me faisais une joie de me faire défoncer le cul en regardant Ulysse copuler. Mais il semblait bien qu'on ne me demandait pas mon avis.


La fille, je ne me souviendrai jamais de leurs noms à toutes, c’est pas possible. La fille donc s'allongeait sur moi, me chatouillait les téton avec sa poitrine qu'elle faisait glisser contre la mienne. Ça va cinq minutes ce genre d'histoire mais là je ne vous cacherai pas que ça commençait à m'agacer. Elle s'en moquait. Elle me chevauchait et rapidement s'empalait sur ma queue. J'ai rien senti, mais c'est vrai que c'était pas vraiment ma queue. Je me suis cramponné aux accoudoirs, et j'ai relevé mon bassin par à-coups rapides et violents. 


Je pensais qu'elle allait se dégager mais c'est exactement ce qu'elle attendait, elle en redemandait. J'ai bien failli tout arrêter mais elle aurait fait quoi ? Elle aurait continuer à m'emmerder toute la nuit ! Je me suis dit que si je donnais ce qu'elle voulait elle finirait bien par me laisser tranquille. Et puis il y avait l'alcool. Finalement cette situation m'amusait beaucoup et je voulais voir jusqu'où ça nous conduirait tout ça.


Elle était là à rebondir, je vous jure ça donnait cette impression, c'était marrant … Elle se redressait, elle se tordait, sa poitrine se balançait avec force de haut en bas, je regardais ça, c'était pas beau à voir et en plus j'étais aux premières loges.


Au moment ou elle à joui, j'ai rien vu venir mais je l'ai entendu … Et les voisins aussi … Je ne savais pas qu'un fille pouvait faire autant de bruit au moment de l'orgasme. C’est pas de conneries, je vous jure et si après ça j'ai pas des acouphènes j'aurai de la chance …


Ensuite elle s'est retirée, une autre à pris sa place, Richard ne ronronnait plus, il ronflait. Il avait de la chance lui d'échapper à tout ça. J'ai renoncé à combattre, j'ai laissé faire. Ma grosse queue en plastique ne risquait pas de débander mais la vraie, elle, au fond de sa cage se faisait oublier. Je vous garantis que là je ne bandais plus du tout. J'en menait pas large non plus. 


Je jetais un œil vers Ulysse, il était toujours en train d'enfiler une de ses copines, il a une sacrée santé le mec tout de même. C'est vrai que ce soir là je l'ai un peu aidé à donner du plaisir à ses copines mais c'était à l'insu de mon plein grès … 


Dans ma tête je me disais : '' Tu as vu ou ça te conduit de picoler ? Allez, demain j'arrête ! '' . Je vous rassure, j'ai pas arrêté de picoler pour autant … 


Il me semble qu'une troisième fille m'est passée sur le corps mais je ne suis pas sûr. D'ailleurs je ne suis sûr de rien pour ce qui est de la fin de la soirée. Mais enfin bon, c'était une expérience que je ne regrette pas surtout que les filles ne voulaient pas nous faire porter ce dispositif bien longtemps. C'était juste une taquinerie.




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28 Mars 2021

 J 247 / 280

Reste 33 ( enfin plus ou moins )








26 Mars 2021

 J 245 / 280

Reste 35
35 semaines complètes








VITE FAIT 05

 VITE FAIT 05


J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de textes courts, différents de ce je fais d'habitude. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez … 


Il me tendait une bière. J'étais nu à genoux assis sur mes talon. Je reprenais mon souffle et buvait tranquillement ma bière. Mon cœur battait fort. Dans sa cage ma queue forçait pitoyablement contre les barreaux. L'anneau cockring me faisait presque mal juste en dessous des couilles. Je le réajustais en tirant sur ma peau. Ça passais, sauf au niveau de la queue, elle protestait toujours et formait des bourrelets aux niveau des ouvertures d'aération. 


Je reposais ma bière, ça fait du bien, je m'essuyais la bouche. 


Une main appuyait sur mon épaule, c'était Joss, je l'avais presque oublié celui-là. '' Penche toi en avant, oui comme ça, tu t'appuies sur les mains, tu écartes les cuisses, ce sera plus confortable … Enfin pour toi … !''. Je faisais ce qu'il me demandait, il me guidait. 


Dans un même temps il me glissait un ou deux doigts dans le cul, trois peut être je ne sais même plus. Il en profitait pour me lubrifier généreusement. J'avais une boule dans le ventre. Je savais qu'il avait une grosse queue, je venais de la sucer et vous pouvez me croire j'avais eu du mal.


Mais c'est vrai que ça rentre toujours plus facilement dans le cul que dans la bouche …


Je le sentais prendre position, il s'appuyait sur mon dos, sa queue se glissait entre mes fesses. Je ne vous dis pas mais j'avais la trouille, je savais que c'était pas un tendre, il avait une grosse queue, j'avalais ma salive et c'est là qu'il a poussé. 


J'ai hurlé, sa queue s'enfonçait et il ne lui fallait que quelques secondes pour que son ventre écrase mes fesses. J'avais le feu au visage, je faisais une grimace qui devait faire peur, je voulais le retenir je n'était pas en position de force, je m'écroulais le visage sur le tapis, il me retenait par las hanches. Il me retenait avec force et sa queue déjà ressortait pour revenir avec toujours autant de force.


Je gueulais, je hurlais, c'était un truc de fou, il y allait fort. Il faut toujours y aller doucement au début puis faire monter le plaisir sinon … C'était terrible, j'avais l'impression qu'on me déchirais les entrailles. C'était certainement pas la première fois que je me faisais défoncer le cul mais de cette manière si, là c'était la première foi … C'était …


Le pied !


J'en ai bavé, je l'ai senti passer mais j'ai adoré. Je ne sais pas s'il l'a deviné mais il ne se retenait pas. Peut être qu'il ne pensais qu'à son propre plaisir. Peut être que son plaisir c'était aussi d'entendre gueuler sa victime … Je râlait sous l'effet de cette violence. 


– Vas y gueule, je veux t'entendre gueuler ! Me disait-il.


Jusque là je m'étais retenu, là je me lâchais. Et hurlais, je gueulais, je gémissais. J'entendais Pétard qui commentait. 


– Il n'a jamais gueulé aussi fort avec moi !

– C'est parce que tu ne sais pas t'y prendre !


Je continuais à gueuler, ça l'encourageait. Par contre là je, n'essayais plus ni de me dégager ni de le retenir. Je prenais mon pied. Je ne savais pas que je pouvais jouir à ce point de cette manière, c'était une découverte. 


Son ventre claquait contre mes fesses avec force et violence. 


Je gueulais, je gueulais de plus en plus fort jusqu'au moment ou j'ai hurlé ''Vas y défonce moi le cul !''.


Là il s'est arrêté, il ne bougeait plus …


– Mais c'est que tu aimes vraiment ça ! Il éclatait de rire. Tu en veux, je vais t'en donner …


Sans prévenir il a remis ça. Il me frappait les fesses avec son ventre, javais l'impression que ses coups devenaient plus forts, plus violent. Il s'arrêtait, me retournait sur le dos, il était en sueur. Il me soulevait alors les jambes, plaçait mes chevilles sur ses épaules et remettait ça. Un dose de gel et de nouveau sa queue pourtant de grosse taille glissait jusqu'au fond de mon cul. Il se penchait sur moi, son visage était à quelques centimètres de moi, je voyais l'effort qu'il faisait. Je ne vous parle pas de mes efforts à moi. 


C'est vrai que je n'avais qu'à supporter, encaisser, subir. Il a poussé un cri terrifiant quand il à joui en moi. Ma queue, elle se faisait oublier … 


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24 Mars 2021

 J 243 / 280

Reste 37








ULYSSE 02

 ULYSSE 02




Je ne vous dis pas mais on ne s'attendait pas à ça. Richard avait passé une partie de la soirée à matter Ulysse s'enfiler les filles une par une. Il a une sacrée santé le bonhomme en plus d'avoir un outillage de belle taille !


Moi j'avais passé une bonne partie de la soirée à montrer à une fille que je ne connaissais pas comment on fait pour sucer proprement un mec. On avait bien sûr préféré la pratique à la théorie et on s'était entraîné sur un mec que je ne connaissais pas non plus mais qui était ravi !


Moi qui pensais que ce serait une soirée un peu plus réservée, ou on se limiterait à du pelotage et du flirt ... Et bien non ! Là on est entré dans le vif du sujet ! Oh comment je dis ça moi ? '' Entrer dans le  ... '' . Ouai bon passon, j'avais la tête dans le pathé, et j'entendais pousser mes cheveux ...


Allongé sur un coussin, j'ai vérifié c'était pas quelqu'un c'était bien un coussin, j'étais terrifié de voir comment notre ami Ulysse savait organiser ce genre de soirée.Toutes les filles qui étaient venues la veille se livrait à une séance de nettoyage sommaire. Elles partaient d'un coin de l'appartement, avançaient en un front faisaient le tri de tout ce qui traînait, les vêtements se retrouvaient empilés par catégories, et les propriétaires n'avaient plus qu'à récupérer leur affaires un peu plus tard. C'était rapide mais terriblement efficace. 


Et tout ça juste pour faire plaisir à Ulysse. 


L'un après l'autre les mecs se réveillaient et s'habillaient. Je  n'ai pas réagi tout de suite, sans doute à cause du bruit que mes cheveux faisaient en poussant, mais ... Tout le monde était à poil ! J'avais du louper plusieurs épisodes moi la veille au soir. Il faut dire aussi que les derniers whisky-coca avaient été durs à avaler, sans coca. Pourtant il restait du coca !


Un peu avant midi presque tout le monde était parti, on n'avait pas encore retrouvé Richard, l'appartement avait à nouveau un aspect civilisé, il n'y avait presque plus de traces de la petite sauterie de la veille et moi je terminait ma nuit dans mon lit. Tout seul.


C'est donc vers le millieu de la matinée un  peu avant seize heures que je réagissais. Une main me caressait tout le corps, le me retournais lentement . Je voulais parler dire quelque chose du genre ... '' Richard, tu sais comment j'adore ce genre de réveil, tu es un amour ... '' mais je n'arrivais pas à articuler. 


Sa bouche se refermait sur ma queue et il me sucait avec douceur. Il me fait ça mieux d'habitude mais il devait être fatigué de la veille. Je posais ma main sur ses longs et doux cheveux, et là je me réveillait instantément. Richard à les cheveux courts !


Je relevais la tête et hurlais. 


– Mais qui t'es toi ? Et tu fais quoi dans mon lit ?


Elle relevait la tête, me souriait.


– Je m'en sorts mieux qu'hier soir ? Et c'est grâce à tes conseils.


Elle s'en sortait mieux que le veille c'est sûr. Mais le reflexe prenait le dessus, je me ratatinais en repliant les jambes, je débandais intantanément.


– Mais enfin mademoiselle ! Mais vous vous rendez-compte ?

– Bon d'accord, je vois le genre, c'est  pire que ce que  je pensais !


Elle sortait de ma chambre en se dandinant du cul, juste par provocation. Je crois qu'elle avait compris pour moi et qu'elle savait parfaitement que ça ne m'allumait pas. Je me levais un peu plus tard, passait un pantalon et me retrouvait dans le salon. 


Il y avait Ulysse, il avait passé un pantalon. Autour de lui trois filles se collaient à lui, le caressaient. Il y avait bien sûr la fille que je venais de virer de mon lit, et celle-là me regardait de travers. J'avais du la vexer. 


– Quelqu'un a vu Richard ? Demandais-je, je commence à m'inquiéter !

– Vous avez un chien ? Demandait une des filles qui était accrochée à Ulysse.

– Je vois pas le rapport avec richard ? Lui répondais-je.

– Si vous n'avez pas de chien, il y a un gros truc en train de dormir sous le lit de la chambre au fond du couloir à droite !


Sans trop comprendre, j'allais voir de quoi elle parlait.


C'était Richard ! Je l'avais retrouvé. Il s'était enroulé dans une couverture avec un coussin pour poser sa tête, il ouvrait un oeil, me regardait l'air hagar et me demandait.


– Elles sont parties ?

– Qui ça ?

– Les furies qui en voulait à ma chasteté.

– Ah parce que tu es chaste toi maintenant ?

– Ne change pas de sujet, si elles ne sont pas parties je refuse de sortir.

– Mais oui, elles sont parties. Je lui tendais la main. Tu me mords pas surtout, mais ne reste pas là, tu aimes trop ton confort, ne reste pas allongé sur le sol, tu va finir par avoir des courbatures ...


Une fois sorti de dessous son lit, Richard en a fait une jaunisse de voir que les filles n'étaient pas toutes parties mais elles lui ont promis de ne plus essayer d'abuser de lui, ça l'a  un peu calmé, même s'il restait sur la défensive. 


...


C'était il y a déjà presque quinze ans tout ça. Une époque dont je me souvenais avec nostalgie. Ulysse était le maître de cérémonie de ces soirées ou il y avait toujours des filles, il y avait aussi des mecs mais ses copains étaient ... Comment dire ... trop hétéros, même si plus d'un se laissait sucer facilement. 


Le revoir après toutes ces années me replongeait dans cette époque pleines de frustrations et de plaisirs. Sa queue par exemple on n'a jamais eu le droit de la toucher, on pouvait regarder, on pouvait le regarder baiser, s'enfiler une fille de passage. Elles n'étaient pas trop farouches en général. Mais on n'avait pas le droit de toucher ni sa bitte ni son cul.


Et il était beau son cul. On en rêvait souvent Richard et moi en le regardant, il portait toujours des pantalons qui le mettait en valeur. Et il y avait cette jolie bosse devant, elle n'était pas énorme, pourtant sa bitte, quand il la déployait, prenait beaucoup de place. Très belle taille, pas diforme, bien proportionnée, et très dure ... Enfin c'est ce qu'on concluait, on n'a jamais eu le droit de toucher.


Après cette soirée la glace était brisée, et plus personne ne se gênait de se balader à poil dans l'appartement. Ça le faisait rire quand il nous voyait bander, on bande tout naturellement en présence d'un beau mec alors que lui c'est pas les mecs qui le faisaient bander. On avait toutefois passé un accord. On ne se masturberait pas en sa présence, enfin devant lui je veux dire.


Un soir Richard et moi étions sortis au cinéma, on est rentré relativement tôt. À peine la porte franchie on entendait des gémissements, une voie féminine et une voie masculine qu'on reconnaissait rapidement. C'était Ulysse !


On le trouvait sur le canapé, les jambes allongées, les pieds sur la table basse, il était nu. Il y avait la fille à qui j'avais appris à sucer allongée sur lui, enfin allongée ... Empalée sur lui ...


– Salut les gars, il était bien le film. On pensait que vous rentreriez plus tard ! Me disait Ulysse sans même sursauter, il n'était pas non plus farouche Ulysse.

– Bonsoir Ulysse, Salut Matilde ! Ça va depuis l'autre jour ?

– Salut Charly, tu veux pas être mignon et m'apporter un jus de fruit, je suis trop bien là, j'ai pas envie de bouger et j'ai soif.


Richard restait là, bouche ouverte l'air idiot, il avait souvent cet air en présence d'Ulysse, maintenant que j'y repense ... 


– Ramène moi une bière, tu seras un amour. Moi c'est pareil, je suis trop bien et j'ai pas envie de bouger ... Rajoutait Ulysse.


Pourtant ils bougeaient, elle se penchait en avant sa poitrine généreuse s'écrasait sur celle d'Ulysse qui était douilletement musclée. J'ai eu comme une violente envie d'attraper Mathilde de la jetter et de prendre sa place au moment ou je lui tendais un grand verre de jus de pomme bien frais. Ulysse redressait également son dos. 


Elle continuait à remuer son cul, enfin sa chatte contre le bassin d'Ulysse, et je prenais le temps de regarder sa queue disparaître dans le corps de Mathilde ... Quel gachy !


Il lui caressait une cuisse, elle lui caressait le torse. Ils prenaient tout le temps de se raffraîchir, rien ne les troublait. Là j'ai préféré me servir un verre, une double dose de whisky, j'en ai préparé un aussi pour Richard, lui il avait buggé et était resté immobile, la bouche ouverte et ne pouvait pas détacher ses yeux du corps d'Ulysse en action. Je devinais qu'il aurait vendu son âme au diable pour pouvoir prendre la place de la fille. Remarquez, j'aurais fait pareil.


On s'est installé, Richard et moi sur un fauteuil, chacun le sien bien sûr et on continuait à regarder la scène. On parlait du film, par moment Ulysse faisait un commentaire, Mathilde aussi avait son mot à dire ... Mais le plus souvent ils ne disaient rien, ou alors c'étaient des gémissements du genre ''Hooooo ! OUI !'' ... '' Vas y c'est bon ... '' ... '' Encore '' ... Enfin vous voyez le genre !


Le reste du temps ils avaient la bouche pleine de la langue de l'autre.


– Mais comment il peut faire ça avec une fille ? Me demandais-je .


Il lui caressait le dos, appuyait sur ses fesses, sa queue s'enfonçait puis ressortait. Nous étions aux premières loges. Elle s'est retournée, s'est allongé sur Ulysse que ça ne semblait pas déranger puis lentement elle enfonçais la queue d'Ulysse, que ça ne semblait pas déranger, dans sa chatte. Ensuite elle se soulevait et se laissait retomber sur les genoux d'Ulysse, que ça ne semblait pas déranger ... 


Mais comment il fait pour supporter ça lui ? Je vous jure que si une fille essaye de me faire un truc pareil, je hurle '' AU VIOL ! '' et je ne vous promet pas d'avoir l'air viril en disant ça ... 


Lui il aimait, il en redemandait, il y a des mecs je vous jure ... C'est à n'y rien comprendre !


Ulysse passait ses mains sur la poitrine de Mathilde, la caressait avec autant de douceur que de force, il soulevait son bassin et la faisait sauter sur ses genoux, elle gémissait de plaisir et ses seins se balançaient de haut en bas lourdement. Ça me donnait le tourni cette histoire, je préférais regarder Richard. 


Lui il continuait à boire gorgée par gorgée son verre qui était vide depuis un moment, mais apparemment il ne s'en rendait pas compte. Je me levais, je bandais, on avait beau parler de cinéma, ça me faisait bander cette affaire. Je prenais le verre dans la main de Richard et le remplaçait par un verre bien dosé. Il continuait à boire gorgée par gorgée et je ne suis pas sûr qu'il ai remarqué quelque chose.


Il avait les yeux rivés sur la queue d'Ulysse qui s'enfonçait avec violence dans le ventre de Mathilde, par les couilles d'Ulysse qui se balançaient au même rythme que la poitrine de Mathilde. Il y avait des moments ou on en arrivait à haïr les copines d'Ulysse, des moments comme ça ou on aurait tellement voulu prendre leur place ... 


Ulysse se relevait, ses mouvements, ses coups de bassin contre les fesse de Mathilde devenaient plus violents, plus rapides. Elle se redressait également, le dos bien droit. Il la poussait en avant, elle se retrouvait à genoux penchée sur la table basse du salon et lui a genoux également derrière elle avant de relever un peu plus les jambes.


Elle s'alongeait sur la table basse, j'avais le reflexe de retirer le verre et la canette, il s'alongeait sur elle et la pilonnait de toutes ses forces. La poitrine de Mathilde s'écrasait sur la table, Ulysse s'écrasait sur Mathilde ... 


Vous savez que ça nous arrive de manger sur cette table ... Bon j'ai rien dit, avec Richard on a fait pire ...


leurs souffles étaient forts, violents et totalement irréguliers. A chaque respiration c'était un râle de plaisir ou d'effort puis un cri et pour finir un hurlement. Elle jouissait, ou alors elle simulait bien, je sais pas, c'est que je ne sais pas comment ça marche moi une fille ... Il jouissait et il hurlait avec force, lui par contre il ne simulait pas, la je sais faire la différence !


Ulysse restait immobile quelques instants, son corps allongé sur celui de Mathilde, ses bras refermés sur elle, sa queue toujours bien instalé puis reprenait doucement, lentement de  nouveau les même mouvements mais plus retenus. Il n'avait pas débandé.


Là elle hurlait, et je pense pourvoir dire que ce n'était que du plaisir. Il remettait ça, il la relevait la retournait la faisait tomber sur le dos sur le canapé, c'est que quelquefois je fais ma scièste sur ce canapé moi ! Il s'allongeait sur elle la caressait, l'embrassait partout sur le corps frénétiquement avant de la pénétrer de nouveau. 


Richard avait les yeux tout ronds, j'ai presque cru qu'un des deux allait se décrocher et rouler par terre.


Je me suis levé, j'ai attrapé Richard par la main et je l'ai entraîné avec moi. Il me suivait sans résister mais ne pouvait pas détacher les yeux de la scène. 


Arrivé dans ma chambre je le prenais dans mes bras, l'embrassait et lui arrachait ses vêtements. Il finissait par réagir et c'est lui qui me déshabillait. Brusquement on était comme des fous, je me mettais à genous et le suçait goulument. Il appuyait sur ma tête et me donnait tout de suite de violents coups de bite dans la gorge. J'encaissais, j'en voulais plus encore et toujours  plus. C'est avec les deux mains qu'il me retenait le visage.


Il me relevait me poussait sur mon lit et me sautait dessus, il me suçait à son tour. Je le laissais faire quelques instant puis changeait de position pour pouvoir le sucer en même temps. Rapidement c'était un doigt qui rentrait dans mon cul, je lui en faisait de même et lui massait la prostate avec force. 


Nous faisions des bruits étranges, on avait tous les deux la queue de l'autre dans la bouche et des bruits de succion se mêlaient à des gémissements étouffés. Sans prévenir il se relevait, m'enfonçait vigoureusement sa queue dans la gorge avant de me retourner sur le ventre et de s'allonger sur moi. Il passait un bras autour de mon cou, un peu comme s'il voulait m'étrangler mais c'était juste pour se tenir à moi, je tournais la tête vers lui, on s'embrassait, il me lubrifiait le cul et m'enfonçait sa queue bien à fond sans autre préliminaires. J'ai hurlé, j'ai gueulé, il m'a fait mal le con ... J'en ai redemandé encore plus juste après ... 


Il me limait sans ménagements, il y allait de bon coeur. Son ventre faisait un bruit sourd quand il frappait mes fesses, mes râles de plaisir, la douleur  s'était transformée en plaisir, étaient longs et étouffé, pourtant je n'avais plus rien dans la bouche. J'appuyais mes mains sur le mur pour éviter que, chaque fois qu'il s'enfonçait en moi, je ne m'écrase la tête contre le mur. 


On était comme des fous. 


Il n'avait pas éjaculé mais je me dégageais et retournais la situation. Je le prenais, il était sur le dos mais il ne résistais pas quand je lui écartais les cuisses et le relevait en plaçant ses chevilles sur mes épaules. A mon tour jelui défonçait le cul sans plus de formalité. A son tour il gueulait de plaisir mais je n'en tenais pas compte.


Je le masturbais en même temps que je le limais, il appuyait les mains contre le mur à son tour ...


Il a juté et joui en premier. Quand je l'ai vu éjaculer, j'ai tremblé et quelques secondes plus tard je jouissais également.


On ne bougeait plus, on se regardait, on était essoufflé. On reprenait notre calme et je me laissais tomber sur lui. Ma queue est ressortie de son cul à ce moment, on s'est pris dans les bras et on s'est fait un long,un très long câlin.


Un peu plus tard, en sueur et encore tremblants on s'est retrouvé sous la douche. Ulysse et Mathilde en sortaient. Ils avaient l'air heureux, un peu comme nous quand on en ressortait quelques minutes plus tard.


– Eh les gars. Ulysse nous appelait quand on sortait de la douche. Un dernier petit verre avant d'aller dormir ?


On n'a pas refusé, j'ai fait le service, on était à poil tous les quatre.


– Alors il était bien le film ? Nous demandait Ulysse ...


Non mais franchement, vous y croyez à ça ? Après ce qui venait de se passer dans l'appartement c'est tout ce qu'il trouvait à dire. Il était là assis au milieu du canapé, à poil, les jambes écartées, sa copine qui lui faisait encore quelques papouilles dans le dos, une canette de bière à la main et la queue qui pendait lourdement devant lui.


C'était un spectacle étonnant mais c'était aussi ça Ulysse.




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


22 Mars 2021

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VITE FAIT 04

 VITE FAIT 04


J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de textes courts, différents de ce je fais d'habitude. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez … 


Pétard appuyait sur ma tête, il m'obligeait à avaler sa queue, il était très en forme, il ne cachait pas qu'il aimait bien finalement voir ma queue en cage. À chaque fois que je le voyais, je portais le dispositif. En fait je l'avais sur moi en permanence …


Il m'en avait souvent parlé au début mais par la suite c'était devenu normal pour lui. Et je pense que ça l’excitait, de voir ma queue confinée comme un saucisson, par certains côté ça faisait penser à un saucisson.


Joss ne me tripotait plus les couilles, j'appréciais bien, ça me reposait un peu. Mais ma queue continuait à protester de toutes ses forces. C'est vrai que souvent quand elle proteste comme cela elle fait penser à un saucisson. 


Je relevais et appuyait ma tête et la queue de Pétard entrait et ressortait de a bouche. Je la caressait avec ma langue, je la suçais du mieux que je savais faire, et je sais faire. Les gémissements de Pétard le confirmaient.


Sans prévenir il me maintenait la tête contre lui et me balançait un violent coup de bassin. Sa queue s'écrasait contre ma glotte, et même encore un peu plus profond. Par réflexe je relevais la tête mais il m'en empêchait avec les deux mains, il y mettait de la force.


De nouveau mon visage s'écrasait contre son ventre. Sa queue s'écrasait contre le fond de ma gorge, ma glotte était dépassée, sa bite rentrait tellement profondément, qu'on pouvait la sentir en appuyant doucement sur mon cou. C'était terrible, mais je commençais à aimer ça. Au début la gorge profonde ça fait tout drôle, on a envie de vomir. 


Avec Pétard je commençais à en avoir l'habitude. Sa queue était de belle taille mais je m'y étais habitué. Plus gros, comme la queue de Joss, là oui c'est sûr, j'avais eu du mal mais je me disais que j'y travaillerai, s'il m'y autorise j'y travaillerai.


J'étais concentré sur mon ouvrage, faire plaisir à Pétard lui donner du plaisir. Depuis que je l'avais rencontré, à chaque fois qu'on se voyais il me baisait, me laissait le sucer ou me partageait avec ses copains. En sa présence il décidai. Quand j'étais seul, c'est moi qui décidait. 


Il me retenait la tête et me balançait des coups de bassin, des coups de bite de plus en plus rapides et de plus en plus violents. Je faisais des bruits bizarres qui semblaient amuser Pétard autant que son copain Joss. Qui se rappelait à mon bon souvenir en me donnant une claque sur la fesse de temps en temps. 


A chaque coup de bassin je voulais relever la tête, à chaque fois Pétard appuyait plus fort sur ma tête, il prévenait ainsi toute évasion. Je pouvais toujours me dégager si je l'avais vraiment voulu, mais de plus en plus j'aimais me prendre la queue de Pétard dans la gorge. 


Ce que j'aime par dessus tout c'est de me prendre la queue de Pétard dans le cul. Il le sait l'animal et comme il est sympa, après il me fait plaisir, surtout si je l'ai comblé. 


Quelques instants plus tard, il ne me retenait plus la tête quand il me balançait un coup de bite, il appuyait sur ma tête de toutes ses forces. Ça me faisait tout drôle, la sensation était terrible, pas agréable mais vraiment terrible, j'adore ... 


C'est le réflexe qui me faisait me rétracter quand je prenais le coup, mais entre deux coups, même violents, c'est moi qui en rajoutais, c'est moi qui y retournait et s'il tentait de se retirer je me cramponnais à lui.


Ça l'amusait toujours de me voir faire, ça l'amusait tellement que par moment, comme ce jour là, il appuyait de toutes ses forces et me balançait des coup de bassin avant de me retenir avec une main sur mon front puis l'autre sur sa queue pour m'empêcher d'y retourner. Pris par surprise je me laissais avoir à chaque fois. 


Je relevais la tête et le regardais dans les yeux. Il rigolait, j'étais en larme mais ce n'était pas par tristesse. C'était l'effort !


J'étais essoufflé, je voulais y retourner. Il m'en empêchait !


– On fait une pause ! Tiens prends une bière.


Ça faisait des mois que j'avais la queue sous clé, seul, c'est une manière de vivre mais avec un compagnon régulier, c'est tout autre chose. Chaque fois que je touche sa queue, la mienne se révolte et la frustration devient agréablement affolante .


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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                  Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'ACCUEIL ...