Branlette au sport Ep02

 Branlette au sport 02




Nus tous les deux, chacun profitait de la peau, de la douceur de l'autre. Les caresses qu'ils s'échangeaient redevenaient plus calmes. Djimmy se tenait debout devant son coach qui lui caressait les couilles et la bite.


Toi tu ne te branles plus ! Tu as bien compris ?


Djimmy ne comprenait pas vraiment ou voulait en venir son coach mais faisait oui de la tête. Son coach le regardait droit dans les yeux.


C'est à cause de ça si tu es nul, regarde toi, tu as tous pour devenir un champion mais voilà, tu es un branleur. Tu sais ça fait un moment que je te surveille, et j'avais compris.

Oui coach mais tu sais coach en fait …

Arrête de te chercher des excuses ou des justifications, au mieux tu arriveras à t'enliser. Tu es un branleur et il faut que ça cesse.

Ok coach, je me branlerai plus !

Mais c'est que j'espère bien. Pour le moment retourne toi !


C'est totalement innocent que Djimmy se retournait, il sentait les caresses que son coach lui prodiguait. Il le tirait vers lui et lui caressait le corps, la poitrine, les muscles sur la tablette de chocolat ( d'accord c'était du chocolat blanc mais il y avait tout de même la tablette ). Puis les mains du coach descendaient sur le sexe de Djimmy et lui tripotaient joyeusement la queue, il bandait toujours. Elle n'oubliaient pas les couilles. Le coach s'attardait longuement sur les couilles de Djimmy.


Djimmy se redressait et se cambrait contre le corps de son coach. Il sentait la queue de son coach qui glissait entre ses cuisses et ressortait en soulevant légèrement ses couilles. Il s'appuyait contre le mur de la douche.


Le coach caressait les fesses de son jeune camarade, il glissait sa mains puis trois doigts, puis deux seulement, puis un et la devenait un peu plus intrusif, il lubrifiait la raie des fesses de Djimmy, il lui lubrifiait généreusement le cul.


Djimmy sursautait quand le coach lui glissait un doigt dans le cul, sa queue manifestait également et se contractait. Un doigt glissait avec douceur, et s'agitait rapidement, il s'agitait contre la prostate de Djimmy. Djimmy ne connaissait pas cette sensation, et restait comme tétanisé. Quand on se donne du plaisir, la sensation est totalement différente de celle qu'on éprouve quand on nous le donne. C'était agréable et il ne cherchait pas à se défendre.


Dis moi, coach, tu es sûr que … Ohooooooooo !


Djimmy gémissait de plaisir, il ne comprenait pas ce qui lui arrivait mais il aimait. Il ne savait pas, il n'avait jamais imaginé le plaisir que cela pouvait donner. Il s'était déjà glissé un doigt dans le cul. Il se branlait, ça oui, mais il n'aurait jamais pensé aller plus loin.


C'était son coach qui lui faisait découvrir ce plaisir et il aimait.


Il gémissait Djimmy, il gémissait de plaisir. Il gémissait des '' Ooooooh oui ! '', il gémissait des '' C'est bon, oui c'est bon !''. le coach connaissait son affaire il savait faire monter le plaisir et Djimmy se retrouvait plié en deux, accroché à un porte serviette en gémissant de plaisir.


Le coach prenait bien son temps et il ne se contentait pas masser la prostate à son camarade, il lui lubrifiait généreusement le cul, deux doigts glissaient maintenant et Djimmy continuait à gémir de plaisir des '' encore ! '' et des '' Oui c'est bon ! ''.


Le coach tentait de glisser un troisième doigts. Là ça résistait, il faisait couiner son jeune ami un peu plus fort, beaucoup plus fort même. Il en profitait pour rajouter une grosse dose de gel en plus et sans prévenir retirait ses doigts et y glissait sa queue.


Djimmy s'est alors redressé, il a hurlé mais il ne s'est pas dégagé, il n'a même pas essayé. Il donnait l'impression de pleurer, il était tendu. La queue de son coach glissait bien à fond, pourtant il était étroit le pauvre Djimmy, pour une première fois, il s'en souviendrait, ça c'était sûr.


Il semblait suffoquer le pauvre Djimmy, il était là, la bouche grande ouverte comme s'il manquait d'air, il n'arrivait même pas à crier, il ne pouvait plus parler, il restait mué.


Le coach continuait à s'enfoncer et écrasait son ventre contre les fesses de son champion. Oui je sais Djimmy était nul mais il avait tout ce qu'il fallait pour être un champion, aussi je me permet de faire preuve d'optimisme. ( note du narrateur )


Le fameux champion finissait pas crier, par hurler même au moment ou le coach ressortait. Il ne ressortait pas bien loin. Il reculait juste un peu et sa queue glissait dans le cul du petit jeune.


Djimmy ne criait plus il sanglotait, il ne cherchait même pas à se dégager, il ne tentait même pas de repousser son coach en glissant ses mains contre le ventre de son coach. Il pleurait, mais pleurait-il de plaisir, il grimaçait, mais ça pouvait aussi être des grimaces de plaisir.


Vous avez vu la tête d'un mec qui joui, pas un mec qui simule mais qui joui vraiment ? Il ne rigole pas le mec. On m'a dit que c'était valable aussi pour les filles mais là, j'ai moins d'expérience. ( Note de l'auteur )


Une chose est sûre, le petit Djimmy dégustait du haut de son mètre quatre vingt cinq. Il en bavait mais ne tentait pas vraiment de se défendre, il ne tentait pas de se dégager.


Le coach était toujours là un long moment plus tard, bien planté dans le cul de Djimmy. Il ne bougeait pas trop, il laissait Djimmy se détendre il lui laissait le temps qu'il fallait.


Djimmy était appuyé contre le mur, il avait la tête penché en avant et il semblait se détendre quand le coach décidait d'agir. Lentement il se retirait, brusquement Djimmy hurlait. Le coach ne s'en préoccupait pas et continuait. Il se retirait complètement, balançait une grosse dose de gel et sans attendre revenait bien à fond.


De nouveau Djimmy hurlait, le coach le tirait vers lui, il se relevait et se retrouvait dans les bras de son coach, sa queue bien plantée dans son cul. Il sanglotait, il pleurait mais il ne demandait pas grâce. Aimait-il déjà ? Le coach devait se le demander !


La première fois, ça peut faire mal, très mal … Je me souviens bien moi la première fois et en plus le mec n'était pas monté comme un âne … Oh pardon c'est pas de moi qu'il s'agit là. Désolé ! ( Commentaire déplacé de l'auteur ).


Bref il avait du courage le petit Djimmy.


Le coach entrait et ressortait de son cul avec douceur certes, mais il entrait et ressortait ! Djimmy tremblait, il ne disait plus rien, il poussait un gémissement, une plainte longue et triste. Quand le coach revenait, Djimmy poussait un autre petit cri et continuait cette plaint, longue et lancinante.


Les plaintes devenaient plus discrètes, Djimmy devait s'y faire. Il respirait fort, son cœur battait fort également. Le coach sentait son corps trembler sous ces caresses et sous les assauts contre son cul. Par moment un tremblement traversait tout le corps de Djimmy et un nouveau gémissement rappelait qu'il dégustait le pauvre.


Le coach n'en revenait pas, il encaissait, il encaissait et c'était la première fois pour lui. C'est pas commun, en général on arrive à une telle endurance uniquement après un certain entraînement, un long entraînement même. C'est qu'il est bien monté le coach, et il le savait.


Il n'avait jamais tenu dans ses bras un garçon aussi prometteur, lui aussi il appréciait. Il appréciait de ne pas être interrompu, il appréciait de pouvoir faire ce qu'il avait envie, il appréciait le corps parfait de son partenaire et il pouvait le caresser, l'embrasser et aussi l'enculer.


Ses mouvements devenaient plus rapide, il s'amusait par moment à donner un coup plus violent, comme ça, juste pour voir. Et un cri se faisait entendre, comme ça, juste pour se faire entendre.


Le plaisir montait dans le corps du coach, le plaisir montait et maintenant il ne le retenait plus. Il laissait faire. Puis c'est une explosion dans son corps qui se manifestait. Une explosion de sperme dans le cul de Djimmy, quelques coups de bite qui ne se contrôlaient plus.


De nouveau Djimmy criait, il gémissait mais là maintenant il implorait.


Le coach lâchait la dernière décharge de plaisir et se retirait. Djimmy tombait à genoux. Il pleurait, il ne disait rien et posait sa main sur son cul.


Ça va ? Demandait le coach.


Djimmy ne répondait pas, il se relevait et se retournait vers le coach. Il avait une tête de zombie. Sans ménagement le coach le replaçait sous la douche et peu à peu il retrouvait un visage humain.


Ça fait mal coach.

Et en plus tu as supporté !

Oui mais ça fait mal !

Tu sais avec un peu d'entraînement, ça ne fait plus mal du tout.

Oui mais là ça fait vraiment mal !

Tu veux te venger. Si tu veux tu peux m'enculer comme tu veux.


Le coach tripotait la bite du jeune homme mais celui-ci ne bandait plus. Une grosse queue se balançait entre ses jambes. Djimmy ne disait plus rien, il se laissait faire.


C'est vrai qu'il est docile ! Se disait le coach. Je vais en faire un champion.


Les deux hommes se séchaient.


Tu crois que ça va vraiment m'aider ? Demandait Djimmy.

Ce n'est que le début ! Répondait le coach.


Djimmy le regardait avec un regard plein de peur.


Tout se passera bien, mais comme je te disais, tu te branles trop, c'est ça ton problème.

La ça va j'ai plus envie !

Pour l'instant, mais tu te masturbes combien de fois par jour.

Comment tu sais coach que c'est plusieurs fois ?

Tu es un branleur ! Je ne me trompe pas ?

Non, je suis un branleur mais ça ne fait pas de mal à personne.

C'est sûr ça ne dérange pas les voisins, mais toi, ça te détourne de la bonne voie.

Je n'arriverai pas à me retenir, je me branle jusqu'à cinq fois par jour, quelquefois six même.

C'est pire que je ne le pensais !


Le coach attrapait sa veste et fouillait dans sa poche.


Tu sais Djimmy, ça fait un moment que je te surveille. Et je pense que j'ai ce qu'il faut. Si tu est d'accort bien sûr ...

Tout ce que tu veux coach !

Tu mets ça, on le referme et tu vas voir tout va changer.


Il lui tendait un dispositif de chasteté, un dispositif qui semblait à la bonne taille. C'est vrai que le coach le surveillait depuis un moment. Djimmy ne comprenait pas tout de suite. Puis il finissait par se décider. Il passait une couille dans l'anneau puis la seconde, à ce moment il ne bandait pas encore. Il glissait facilement sa queue dans l'anneau. Le coach lui tendait alors la cage, elle était plus large que la plupart des cages. Elle était adapté à la taille du membre viril de Djimmy.


C'est sans difficulté que la queue de Djimmy glissait dans la cage à bite, il ne bandait toujours pas. Ça ne durerait pas, ils le savaient tous les deux mais Djimmy obéissait.


On recommencera ? Dis moi coach.

On recommencera mais pas tout de suite. Tu as du le sentir passer, il faut que tu récupères. Il ne faut pas te blesser.


Le coach tentait alors la clé avec le cadenas à Djimmy qui d'un geste hésitant verrouillait le dispositif. Il avait compris qu'il ne garderait pas la clé et la rendait à son coach. Celui-ci était habillé et la glissait dans une petite poche qu'il refermait avec une fermeture à glissière.


Bon maintenant, fini la branlette, et tu prendras ta douche avec tes camarades !


Le sang de Djimmy se glaçait dans ses veines, non seulement il prendrait sa douche avec tout le monde mais en plus il porterait ce truc, il devrait alors l'exposer à tous les autres.


Mais coach …

Pas de mais, tu te rhabilles et tu quittes les lieux, ça fait un moment que tes camarades sont repartis. Allez hop, fermeture des portes.


Le coach était déjà habillé et attendait que Djimmy termine de s'habiller.


Par la suite Djimmy a perdu cette détestable habitude de se branler et ses performances ont augmentées, un an plus tard, il était le champion de l'équipe …



A suivre




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Branlette au sport Ep01

 Branlette au sport Ep01




Les vestiaires étaient vides, Djimmy se retrouvait tout seul, il avait un peu traîné, l'entraînement était sérieux ce jours là et il était en sueur.


Bon je ne sais pas pourquoi je lui cherche des excuses, en fait Djimmy n'est pas le plus rapide, le plus fort ou le plus assidu dans l'équipe. Pourtant il a toutes les capacités qu'il faut pour être un champion mais voilà … Il n'est pas motivé.


Il arrive toujours dans les vestiaires en dernier, c'est vrai que ça lui évite les commentaires désobligeants de la part de ses camarades. Bein oui quoi, il ne se foule pas trop alors que les autres, eux, ils se défoncent.


C'est simple il n'a jamais vu ses camarades sous la douche et pour lui c'est pareil, personne ne l'a jamais vu à poil. Il se change toujours en dernier, toujours après les autres. Pourtant il n'a pas de raison de se sentir ridicule, il a un corps de rêve, bien musclé, un torse bien large, des cuisses bien solides, une gueule bien virile, il plaît aux filles même s'il n'est pas très dégourdi sur ce point.


Il a aussi une belle queue bien longue, bien large bien ferme, en un mot … Bien ! C'est peut être un détail mais c'est un détail qui compte, surtout pour les mecs.


Il arrive toujours en dernier dans les vestiaires, il jette un petit coup d’œil pour être bien sûr d'être tranquille, en plus il sait qu'il a tout son temps, il a l'habitude, personne ne vient jamais le déranger.


Il se déshabille tranquillement, il bande !


Si, si, quand il se met à poil il bande. Ça le lui fait à chaque fois, c'est peut être pour ça qu'il préfère prendre sa douche après les autres … ? … Pas sûr.


Il passe ensuite sous la douche, il y reste longtemps. Djimmy n'aime pas être bousculé. Il aime prendre son temps et il ne s'en prive pas. Il se lave bien partout comme il faut, les cheveux, tout le corps, sans oublier derrière les oreilles. Comme il convient.


Il se lave bien la queue, les fesses, sans oublier le cul. Il aime bien glisser un ou deux doigts dans son cul, il les agite longuement et ne se gêne pas de gémir de plaisir. Il se dit que de toutes façons personne ne vient jamais ici à cette heure ci. Et que de toutes façons si quelqu'un ouvre la porte ça produit comme une onde de choc et que même sous la douche il l'entendra.


Il profite longuement de ce moment, il finit par s'asseoir et longuement, en prenant bien son temps il se masse la prostate. Le plaisir monte dans son corps, il vibre, il tremble, il gémit et laisse l'eau couler sur son corps. Il bande, enfin il continue à bander. N'oublions pas qu'il a commencé à bander au moment ou il s'est retrouvé à poil, c'est suffisant pour lui ça.


Il finit toujours par sa bite. Il l'a bien sûr laver sous la douche mais maintenant, l'eau ne coule plus. Il est impossible que quelqu'un entre sans qu'il l'entende, même avec la douche il l'entendrait alors sans, à plus forte raison.


Il se retrouve dans les vestiaires, sa serviette sur l'épaule et la bite dans la main. Et là il se masturbe. Oh il n'est pas du genre pressé, mais vous deviez vous en douter, il prend bien son temps. Il malaxe sa grosse queue, qui n'en devient que plus dure, que plus ferme. Il se caresse la queue lentement puis plus rapidement. Puis il fait une pause avant de reprendre, il crache dans sa main, et continue avec plus de conviction à se masturber.


Il se tripote les couilles aussi, le plaisir doit être total.


Ah je comprends mieux pourquoi tu traînes toujours après les autres !


Cette voix raisonnait dans la salle vide, c'était le coach. Il est sympa le coach mais Djimmy ne s'était jamais retrouvé dans cette situation avec lui. Il sursautait, mais il ne débandait pas pour autant, il était toujours à poil.


Alors c'est donc ça que tu fais après l'entraînement Djimmy !

Non coach, enfin oui coach, enfin un peu !


Djimmy ne se masturbait plus mais il ne débandait toujours pas.


C'est que tu es bien monté toi en plus. Je crois que c'est toi qui a la plus grosse de toute l'équipe.


Les autres prenaient bien sûr leur douche ensemble et ne se gênaient pas de comparer, même le coach avait du participer, c'est tout dire de la décontraction qui régnait dans cette équipe.


Par contre il ne faut pas exagérer, personne ne se masturbait. Enfin pas à ce moment là … On peut supposer sans risquer de se tromper que tous se masturbent, ils sont jeunes, presque adultes pour les plus jeunes ou jeune adultes pour les plus vieux.


Bein quoi, vous ne vous branlez jamais vous, j'ai cru entendre à l'instant un lecteur qui disait … '' Bein c'est du propre ! '' . C'est la vie, c'est comme ça. Biens sur moi je ne me masturbe jamais mais moi, je suis un cas. ( note de l'auteur )


Notre ami Djimmy lui se masturbait tous les jours, et même plusieurs fois par jours. C'est un branleur et c'est ce que constatait le coach.


Lève toi que je vois comment tu es bâti. Lui ordonnait le coach.


Djimmy s'exécutait, il se relevait, il était à poil, les bras ballants, très beau, il était très beau et son corps était magnifique et sa bite aussi. Elle ferait tourner bien des têtes se disait le coach.


Et tu bandes toujours comme ça ?

En fait je ne peux pas me contrôler quand je suis à poil ! Répondait Djimmy avec une toute petite voix.

Dans ce cas tu as raison, ils se moqueraient de toi. Lui répondait le coach.


S'ils voyaient la taille de l'engin, ils ne se moqueraient certainement pas, pensait le coach en disant cela.


Je ne me moquerai pas de toi, rajoutait le coach, je suis dans la même situation.


C'était faux mais nous ferons semblant de croire. En disant cela il se déshabillait.


Tu sais j'ai une solution, si tu veux je peux t'aider.

Oui j'aimerais bien ! Lui répondait naïvement Djimy.


Il n'était pas dégourdi pour ses dix huit ans passés. Il bandait toujours. Le coach jetais ses vêtements dans un endroit sec, un peu plus loin et se retrouvait nu, entièrement nu devant le jeune homme.


Il était bien foutu le coach, il avait des muscles un peu partout. C'était une fine musculature, fine mais solide, il avait aussi une grosse bite, pas aussi grosse que celle de Djimmy mais pas loin. Et surtout lui aussi il bandait. C'est plus la situation et l'érection Djimmy qui faisait réagir le coach.


Je vois coach, tu as le même problème que moi. Continuait Djimmy en bandant encore plus. Mais je crois que maintenant c'est toi qui me fait bander coach.

Tu crois ? Demandait le coach.

J'en suis sûr, si je me met à poil devant mes camarades à poils aussi, là je suis sûr que je ne contrôlerai plus rien.

Et là tu contrôle ?

Heu …

Laisse toi aller, laisse tomber ton contrôle.


Pendant plusieurs secondes Djimmy ne bougeait pas et quand il bougeait il rapprochait son visage du sexe du coach et sans prévenir lui caressait le gland avec la langue.


Je me doutais bien que le problème venait de là. Commentait le coach.


Par réaction, pour répondre peut être Djimmy allait reculer son visage mais le coach posait sa main sur la tête de Djimmy pour le retenir. Il n'avait pas vraiment besoin de forcer, Djimmy ne retirait plus sa tête mais au contraire l'approchait encore un peu plus et prenait rapidement la queue de son coach bien à fond dans la gorge.


Le visage de Djimmy s'écrasait contre le ventre de son coach. Il la retirait un peu et revenait. Rapidement il caressait doucement le gland de son coach avec la langue. Il avait vu un Tuto et …


C'est pas l'histoire du Tuto qui vous fait rire j'espère. Sinon moi j'arrête de raconter ! On se renseigne comme on peut et il faut bien vivre avec son temps.( commentaire interrogatif de l'auteur ! ).


Bref, passons.


Djimmy savait qu'il ne fallait pas y mettre les dents, qu'il fallait y aller tout en douceur et il mettait de la douceur. Il se concentrait le jeune Djimmy, il y mettait tout son cœur, c'était évident, il se régalait et il s'en sortait bien en plus.


Le coach se demandait si c'était bien la première fois pour Djimmy.


Il glissait avec science sa langue contre ce gland qu'on lui proposait, il avalait bien, il n'y avait pas de réaction de rejet. C'est vrai que le coach n'était pas non plus un violent qui obligeait son partenaire à avaler de force.


Le coach était toute douceur, il avançait son bassin et Djimmy encaissait. Si jamais il y avait une résistance, même très légère Le coach ne forçait pas et son jeune partenaire appréciait. Il appréciait cette bite longue et ferme.


Tu as déjà fait ça Djimmy ?


Djimmy relevait son visage et faisait non de la tête. Avant d'y retourner.


Alors là tu es un surdoué toi ! Ou alors tu me racontes des conneries.


Puis le coach se taisait, Djimmy le suçait avec tellement de douceur, il lui procurait un tel plaisir qu'il n'avait plus envie de parler, crier de plaisir, je ne dis pas mais parler pour faire un discours.


Le coach ne parvenait pas à retenir quelques mouvements de bassin, il enfonçait par à-coup bien à fond dans la gorge de Djimmy qui se cramponnait à lui en passant ses bras derrière ses cuisse et le tirait vers lui.


Djimmy découvrait ce qu'il aimait, ce qui lui manquait . Il découvrait beaucoup de chose sur lui, il comprenait mieux les réactions de son corps devant celui de ses camarades. C'était une première mais il était doué.


Le coach gémissait de plaisir, il donnait des coups de bassin par intermittence dans la gorge de Djimmy. Djimmy faisait des bruits bizarres avec la bouche et le coach ne se privait pas de bien lui remplis la bouche, de bien lui remplir la gorge.


Les mouvements était plus rapides, plus violents même si le coach se retenait, il était surpris par l'endurance de son partenaire et savait s'en réjouir.


Sa respiration accélérait, son cœur battait à tout rompre. Il retenait le visage de Djimmy avec force d'un coup. Il le lâchait et il lâchait une grosse giclée de sperme dans la bouche de Djimmy, une seconde suivait et Djimmy écartait son visage. Il y recevait plusieurs autres giclées bien crémeuses et bien épaisses.


Ils retrouvaient leur calme et décidait de passer sous la douche.


Djimmy bandait toujours et c'est avec le grand naturel qu'il recommençait à se masturber. Le coach lui tapait sur la main.


Ça c'est fini !

Bein pourquoi, je fais ça tous les jours et maintenant je ne vois pas ou ça peut être gênant que je me branle devant toi coach !

Au moins il était logique et rationnel le petit Djimmy. Si je dis ' petit ' c'est juste parce que c'est affectueux.


Pourquoi, c'est parce que tout vient de là.

Oui et bien moi j'ai bien aimé. On pourra même recommencer.


Il recommençait à se masturber et de nouveau le coach lui tapait sur la main.


Non ! C'EST FINI !


Djimmy fronçais les sourcilles de mécontentement mais finissait par obtempérer. Quelques instants plus tard ils étaient sous la douche, ils se caressaient, se frottaient l'un contre l'autre. Le coach bandait de nouveau et Djimmy lui, ne débandait toujours pas. C'est vrai qu'il était toujours nu !




A suivre



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La maison d'hôtes 11 Le retour de Hugo

 La maison d'hôtes 11 Le retour de Hugo



Nombre d'entre vous ont du se demander ce que je devenais, ça faisait longtemps je sais. Mais voilà je ne suis pas toujours à la maison, la plus grande partie du temps je suis à la fac, et là ça ne rigole pas, ça étudie, enfin ça essaye !


Sinon je vais bien et dès que j'ai des vacances je reviens. Mes parents ont installé un peut plus de chambres d'hôte. Et il faut dire que ça ne marche pas si mal cette affaire. Même en hiver il y a des gens de passage. Quelquefois des groupes, cet hiver ils ont reçu plusieurs séminaires et il y avait jusqu'à quinze personnes en même temps …


Heureusement j'étais pas là.


Il y a aussi des périodes calmes, on en profite pour continuer les travaux. Il y a maintenant les cinq chambres prévues.


J'étais de retour, je venais de passer mes examens de fin d'année et en plus j'étais reçu en classe supérieure. Ce jour là …


Oui vous avez compris, c'est là que commence l'histoire !


Donc, je disais quoi là ?


Ah oui, ce jours là …


Mes parents s'était absenté pour une partie de la journée, il faisaient des courses et avaient tout un tas de formalité à remplir, je n'ai toujours pas compris comment ça marche cette affaire.


Je ne devais en aucun cas quitter la maison, on attendait un client. Il avait demandé la chambre royale.


Oui on a une chambre royale ! Oui je sais c'est n'importe quoi ! C'est une chambre qui se trouve au premier étage tout au bout de la maison, elle a une terrasse privée et sans vis à vis, très bien orienté en plus. Je voulais en faire ma chambre mais mes parents n'ont pas voulu. J'étais colère, surtout que c'est la plus grande et qu'elle a une super salle de bain avec une baignoire …


Enfin bref, un client l'avait louée. Il devait arriver dans la journée.


Je paressais, pour ça je suis très fort, sous l'abri nord, je somnolais à moitié quand j'entendais une voiture. Je me réveillais en sursaut et je venais rapidement l'accueillir. Je ne sais pas pourquoi je m'imaginais un bourgeois d'un certain âge, bedonnant et à moitié chauve. J'ai toujours eu un certains préjugé sur les gens qui viennent dans ma maison.


Là quand je l'ai vu, je me suis pétrifié.


Il était pas du tout comme ça, il était grand avec un visage bien masculin, il avait une belle carrure, une chemise d’aventurier qui s’entrouvrait sur un torse musclé et généreusement poilu, en plus il avait tous ses cheveux.


Salut ! C'est toi Hugo ?


Je restais muet devant ce beau mâle. Un mâle alpha, je me disais que justement ce genre de personnage ça manquait dans mon quotidien.


– Tu me montres ma chambres Hugo ?


Là encore je restais sans réaction, je parcourais son corps du regard, il l'a bien remarqué vous imaginez, son visage, son torse que sa chemise ouverte ne cachait pas, sa ceinture et surtout ce qu'il y avait juste en dessous.


Il avait des cuisses bien musclées mais juste en haut et entre ses cuisses, il y avait une grosse bosse qui ressortait bien avec son pantalon juste au corps.


Comme je ne réagissais toujours pas il plaçait son visage juste devant le mien et me lançait une gros '' BOUH !'' comme pour me faire peur. Et bien ça a marché, j'ai sursauté. Je réagissais enfin. Je prenais sa valise mais il la tenait déjà et je caressais sa main.


Un frisson me parcourais toute l'épine dorsale. Lui il rigolait.


C'est donc les mains vides que je repartais, il me rappelait pour me faire remarquer qu'il y avait une autre valise. L'air un peu con, je bafouillais et repartais avec la seconde balise. Il me suivait, je l'entendais rigoler. Il avait un rire joyeux, je sentais comme une affinité. Je devinais qu'il me trouvait sympathique.


On montait donc au premier et je lui ouvrais la porte. J'entrais, il me suivait. Je posais la valise et me retournais …


Voilà … heu … Arrivais-je à dire.


Il entrait, faisait rapidement un tour de la chambre, jetais un coup deuil à la terrasse. Il se retournait vers moi et ouvrait les dernier boutons de sa chemise. Là je pouvais voir, admirer son torse, il était super bien foutu, je me demande encore si j'ai pas un peu bavé à ce moment précis.


Sa chemise tombait, je le regardais et j'avais l'air con je ne savais pas quoi dire ni quoi faire.


Bien, je vais prendre une douche ! Déclarait-il.

Heu oui ! Répondais-je.

Il y a des serviettes ?

Jé vé vou zen cherchait !


Il ouvrait son pantalon, me regardait et me disait …


Serviettes !

OUI ! Je m'en occupe ! Répondais-je et je sortais aussitôt de la chambre.


Je revenais un peu plus tard, avec une pile de serviette dans les bras. Il n'y avait personne dans la chambre, la douche coulait. Je rentrais dans la douche et je me retrouvais face à … Oh lala … Il était canon. Il était entièrement nu. Remarquez pour prendre une douche c'est la tenue habituelle.


Il était encore plus beau tout nu, j'avais déjà vu son torse, la j'avais ses jambes, douillettement poilues aussi et sa bite. Elle était énorme et magnifique. Elle se redressait fièrement, sans éprouver la moindre gêne, comme si personne ne la regardait. Oui je sais avant que j'arrive personne ne la regardait justement.


L'au coulait sur son visage, il avait relever la tête pour se laver les cheveux et ne pouvait ni me voir, ni m'entendre. Je restais là, tétanisé la bouche ouverte, pour une fois j'avais pas l'air très futé.


Il ouvrait les yeux et me voyait.


Tu veux pas me laver le dos ? Me demandait-il.

Heu oui, bien sûr ! Je sais pas !


Il se retournait et je pouvais le contempler de dos. Il était encore plus beau de dos. Il avait un magnifique fourrure, des fesses bien fermes et en plus sa fourrure semblait terriblement douce.


J'approchais et je commençais à lui caresser le dos.


Tu vas te mouiller ! Me disait-il.


Là je dois l'avouer j'ai un peu paniqué. J'ai retirer ma chemise, mon pantalon. Je n'avais pas de sous vêtement et j'en n'avais pas vraiment besoin, vu que je portais un dispositif de chasteté comme vous le saviez déjà. Au quotidien je portais seulement un pantalon légèrement ample, avec ce pantalon, on ne voit rien .


Je me retrouvais à poil, ma queue protestait comme une folle. J'en avais bien un peu l'habitude mais il faut reconnaître qu'elle protestait rarement autant. J'avais tout ce qu'il fallait sous les yeux pour me stimuler aussi.


Je rentrais sous la douche en lui caressant le dos. Je l'ai alors senti se sursauter et se contracter. Il se retournait brusquement et s'exclamait …


C'est pas vrai il l'a fait l'animal !


Il me regardait alors de haut en bas et remarquait ma cage à bite.


Et tu portes un truc comme ça en plus.

Oui c'est mon père, il veut que je porte ça parce que sinon, je ne suis pas sage.

J 'avais pas remarqué que là, tu étais sage !


Ensuite il ma passait du savon sur le torse, il y allait avec une grande douceur. Il me donnait un autre savon et je lui rendais la politesse. On s'est bien savonné, en fait on s'est surtout caressé et avec le savon la peau devenait encore plus douce, sa fourrure était agréable, pas trop dense mais tellement douce.


Il finissait par refermer ses bras sur moi et m'embrassait avec tendresse. Je sentais sa queue qui se relevait entre nous. Je sentais aussi ma queue qui protestait dans sa cage. La cage restait la dernière chose que je touchais et qui était vraiment dure chez moi.


Ma queue s'y retrouvait à l'étroit. Quand je baissais les yeux je voyais sa queue bien droite, bien dure. Je me penchais alors, je passais le bout de la langue sur le bout de son gland, il m'encourageait avec une caresse sur les cheveux.


Rapidement je prenais sa queue en entier dans la bouche. Je l'entendais gémir de plaisir alors, il appuyait sur ma tête et sa queue glissait jusqu'au fond de ma gorge, je résistais par réflexe et quand il cessait d'appuyer je relevais la tête et sa queue ressortait.


Je la caressait avec ma langue, j'insistais particulièrement sur son gland, je forçait, mais la langue n'est pas un muscle violent et une caresse de la langue, même une caresse forte ne peut faire mal, bien au contraire, je le sentais, il frémissait et il gémissait.


Je reprenais, de nouveau sa queue glissait dans ma bouche et je le suçais longuement, doucement au bout d'un moment je me relevais, il refermait ses bras autour de moi, il me caressait. Il m'embrassait, nos langues se livraient à un combat qu'elles ne pouvaient que gagner. Le genre de combat qui se termine toujours par un match nul.


Il m'embrassait le visage, ses lèvres glissaient sur ma peau, et descendaient sur mon corps, là c'est moi qui frémissait, ma queue seule ne frémissait pas, elle protestait, elle protestait avec force et s'étranglait contre les barreaux de la cage.


C'était presque douloureux, et par moment me faisait oublier les caresses qu'il me prodiguait avec avec passion. Puis de nouveau les caresses me donnaient du plaisir et j'oubliais ma bite. Finalement elle était bien ou elle était. Ça faisait un moment que c'était comme ça et ça marchait très bien. J'étais bien, mais par moment j'étais mal.


C'est lui qui était à genoux devant moi, là je ne comprenais plus vraiment mais je laissais faire. Il me tripotait les couilles, il faisait chaud, l'eau était chaude et elles pendaient lourdement bien en dessous de ma cage.


Elles avaient grossi avec le temps, elles devaient être plus lourdes, plus pleine et elles pendaient sous leur poids. Elles se balançaient, il les prenait dans son poing, par moment il les écrasait, par moment il tirait dessus. Il me faisait un peu mal mais je ne pouvais pas, je ne voulais pas réagir.


Ensuite il me les gobait dans la bouche, il ne pouvait pas me sucer la queue alors il me gobait les couilles, il tirait dessus et je ne vous cacherais que par moment il me faisait un peu peur, il me donnait des sueurs froides.


Pour finir il se relevait et m'embrassait. Il appuyait sur mon épaule en me disant juste …


Suce !


C'était clair. Je m'exécutais, il avait une queue magnifique et un corps de rêve. Je vous jure qu'il n'avait pas besoin d'insister. De nouveau je le suçais longuement. Là encore je le sentais frémir,de nouveau il appuyait sur ma tête et je prenais sa bite jusque dans ma gorge. Je me régalais, il était tellement agréable à toucher, à caresser, à sucer.


J'avais dit pour finir, je m'étais un peu avancé, il n'avait pas encore l'intention de finir. Il me relevais, je me laissais faire. D'ailleurs là je me laissais faire, il pouvait me déplacer me retourner me …


Il me retournait contre le mur et me lubrifiait le cul. Je laissais faire. Il en avait une grosse, j'avais un peu peur mais je laissais faire.


Il me glissait tout de suite deux doigts puis rapidement un troisième et les agitait. Là j'ai hurlé, c'était la surprise, il ne me faisait pas mal mais il ne m'avais pas prévenu. Il me dilatait l'anus et un certain plaisir montait depuis ma prostate. c'était génial, passé la surprise je ne criais plus mais je gémissais de plaisir.


Il retirait enfin ses doigts et se collait contre moi. Je sentais sa peau chaude et douce contre la mienne.


C'était sa queue que je sentais contre mon cul, il ne m'avait pas demander mais j'aurais dit oui, un grand oui. Il ne m'avait pas prévenu mais je devinais ou il voulait en venir. Il poussait sa queue contre mon cul.


D'abord ça résistait, je soufflais, il forçais, je respirais fort et je sentais une légère douleur au niveau de mon anus. Je le laissais faire. Il continuait à forcer, je gémissais en sentant que mon cul allait lâcher. Je respirait encore bien à fond me détendais.


Sa queue est alors entrée en force dans mon cul, il poussait fermement et sa bite s'enfonçait lentement bien à fond jusqu'au moment ou son ventre s'écrasait contre mes fesses. Là je manquais d'air, j’étais en apnée. Il me tirait alors vers lui, et je soupirais très fort.


Il s'amusait à me tâter les couilles, il voulait sans doute voir si elles pendaient toujours, c'était le cas. C'est surtout une question de température.


Il poussait alors une dernière fois contre mon cul puis se retirait avant de revenir avec encore plus de force. Puis il continuait il se retirait rapidement et revenait avec force, de plus en plus vite.


A chaque fois que sa queue s'enfonçait il donnait un dernier coup de bassin plus violent. Là j'ai dégusté, j'ai adoré mais j'ai dégusté. Il faut en vouloir et moi j'en voulais !


Ensuite je me penchais en avant et il continuait à me limer le cul avec régularité, il accélérait, il ralentissait, il faisait une pause puis reprenais. Par moment il me limait le cul avec des mouvements très lents qu'il accélérait sans prévenir. Je ne pouvais que subir.


J'oubliais ma queue derrière ses barreaux. Elle ne servirait à rien pour le moment.


Il se retirait complètement, faisait une pause puis positionnait sa queue qu'il m'enfonçait d'un coup violent sur toute sa longueur, son ventre claquait contre mes fesses.


Je n'ai pas compris ce qui se passait, enfin pas tout de suite, quand ses mouvements devenaient irréguliers,ils devenaient plus violent et c'est lui qui a crié au moment ou il a joui dans mon cul.


Moi aussi j'ai joui, je n'ai pas éjaculé mais j'ai joui et sa queue je la sentais encore le lendemain matin.


La tension s'est écroulée d'un coup, il ressortait de mon cul, il me prenait dans ses bras, on échangeait un câlin et on reprenait notre douche à zéro.


On sortait de la douche, on se séchait l'un l'autre. On s'habillait, lui aussi ne mettait qu'un pantalon, pas de sous vêtement, et je devinais sa queue qui se balançait lourdement sous l'étoffe. Au moment ou je passais mon pantalon il me regardait …


Ce truc c'est pour que tu restes sage, tu dis ? Et bien ça ne marche pas.



Fin ( de l'épisode )



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De passage Ep06

 De passage Ep06


Il y en a qui se sont bien amusés.


Le cuisinier du restaurant et son patron ne regrettaient pas notre passage. Moi, j'avais bien mangé mais pour le reste, j'étais resté sur ma faim. Thierry avait payé de sa personne. Il se massait longuement la mâchoire. Vous ne le savez peut être pas mais c'est pas facile de sucer correctement une bite, deux à plus forte raison. Et en plus c'étaient deux grosses bites.


En rentrant, ce soir là, j'avais une pression infernale dans ma cage. Le plus dur, comme je vous l'ai déjà dit, ce n'est pas de garder une cage à bite en permanence, je porte de longue date un tel dispositif. Le plus dur ce sont les stimulations, ces provocations permanentes, ces actes sexuels dont je suis témoin et dont le seul but est de me frustrer. Là c'est dur !


Je sais l'idée était de moi. Ce soir là, je ne la ramenais pas, j'étais pas fier. Ma queue me faisait presque mal, l'anneau me serrait sous les couilles. C'était pas franchement agréable.


Et de retour à la maison, devinez ce que les deux guignols nous préparaient … Ils se sont mis à poil et …


Vas y Thierry, suce moi la queue, ça va me détendre. Demandait Rocco.


Vous auriez fait quoi vous ?


Eh bien Thierry s'est mis à genoux et à sucé Rocco, je me suis assis en face et j'ai regardé. Je n'étais pas vraiment enthousiaste de ce porno en live qu'on me proposait. Une fois de plus, j'étais obligé d'assister à cette sauterie, encore une fois je devais subir cette stimulation, j'étais excité au plus haut niveau. Ma queue ne se calmait pas, elle ne s'était pas vraiment calmée depuis le restaurant et là c'était reparti.


Érection maximum dans une cage trop petite.


Oui je sais d'habitude elle est à la bonne taille, je ne sais pas ce qui se passe en ce moment … C'EST PEUT ÊTRE QUE CES DEUX ABRUTIS N'ARRÊTENT PAS DE ME PROVOQUER ET DE ME FAIRE BANDER ?


Excusez moi mais, là, je crois que je m'énerve. L'idée était de moi mais c'est pas une raison.


Thierry ne semblait pas trop s'énerver lui, il suçait, il suçait tranquillement, il était à son affaire, bien concentré. Rocco avait l'air de bien apprécier, il croisait ses mains derrière sa tête, arborait un large sourire satisfait en baissant les yeux pour regarder Thierry qui s'activait pour lui faire plaisir.


Au moins Thierry était occupé, moi je n'avais qu'à regarder, je ne pouvais rien faire d'autre que regarder et en plus je devais rester calme. J'en pouvais plus, chaque heure semblait durer plusieurs heures, le temps se distendait.


Sammy se branlait, tout le monde était occupé sauf moi. Ma queue protestait comme si elle était folle, depuis la fin du repas elle protestait et tentait de casser mon dispositif de chasteté. Là il n'y avait aucun risque ou aucune chance d'y parvenir. Vous savez ces dispositifs sont en titane, ils sont fabriqués par …


Et voilà que maintenant je vous raconte d’où viennent les cages à bite. Je vais devenir fou avant fin de la semaine moi. Je regardais la queue de Rocco qui entrait et ressortait rapidement de la bouche de Thierry. Il avait du mérite le pauvre, c'était la troisième queue qu'il suçait le pauvre. Surtout que personne ne s’inquiétait de son plaisir. Personne ne le caressait, ne l'embrassait, ne lui faisait le moindre câlin, ou mieux, personne ne l'enculait. C'était pas au programme.


C'était pas non plus au programme pour moi. Avec Thierry nous étions les seuls à avoir gardé nos vêtements. Rocco était resté debout juste devant Thierry, il regardait Thierry, satisfait du plaisir que lui donnait Thierry.


On voyait parfaitement tous les efforts que Thierry faisait. Il aspirait la queue de Rocco, il glissait sa langue qui ressortait régulièrement et caressait le gland de Rocco. Puis il avalait ensuite cette queue magnifique que je connaissais très bien, je l'avais souvent sucé moi aussi, et me l'étais souvent prise dans le cul aussi.


Mais là personne ne se la prendrait dans le cul. En tout cas, ni Thierry ni moi. Sammy peut être si ces deux fous en avaient l'envie. Ils ne se gêneraient pas même si ça nous faisait rager … Surtout si ça nous faisait rager.


Thierry m'avait bien dit qu'il aimait se faire enculer, là il y avait deux grosses queues à notre disposition mais uniquement à sucer. Et pas à notre disposition mais à la sienne.


Je me demandais pendant que la queue de Rocco glissait dans la gorge de Thierry, si le plus frustré c'était moi ou lui. Lui il pouvait toucher mais c'est tout, personne ne le touchait. Lui il pouvait donner du plaisir mais personne ne lui donnerait du plaisir. Et moi, je n'aurais que le droit de regarder. Je n'aurait pas le droit de me tripoter ni la bite, ni les couilles.


Et les deux seuls qui auraient le droit d'aller jusqu'au plaisir seraient Rocco et Sammy. Ils s'amusaient bien ces deux là. Rocco relevait la tête et respirait for, il gémissait aussi.


Sammy se masturbait, il s'était laisser aller sur le fauteuil, complètement avachi il s'astiquait le manche en poussant des gémissements de plaisir.


Viens ici ! Me criait-il.


Je me disais que j'allais enfin faire quelque chose. J' m'approchais et me mettais à genoux entre ses jambes. Je me penchais pour lui sucer la queue. Je n'y avais pas encore eu droit, je n'avais jamais sucé Sammy, c'est Rocco qui nous l'avait présenté peu avant.


C'est pas ça qui allait me calmer mais au moins ça m'occuperait.


Tu ne me touches pas me, disait Sammy sur un ton sec !


Le relevais les yeux, je ne comprenais pas vraiment ou il voulait en venir. Pourquoi m'avait-il demandé de me déplacer ?


C'est à ce moment que je recevais dans une narine un grosse giclée de sperme. Ça répondait à ma question. Une autre arrivait et atterrissait sur mon front, une autre suivait dans mes yeux et la dernière c'était juste à côté de ma bouche.


Sammy continuait à se secouer la queue puis finissait par me dire.


C'est bon tu peux retourner ou tu étais.


Ça ne m'avait pas calmé, bien au contraire, mon cœur battait très fort et ma queue se concentrait, ou alors c'est mon attention qui se reportait de nouveau sur ma nouille.


Je sentais de nouveau ma queue se faire écraser par la cage. Saucissonnée et toute boursouflée, ce n'était pas agréable. Je passais ma langue sur mes lèvres et je découvrais le goût de son sperme. Je subissais en même temps une violente attaque de ma queue qui de nouveau protestait de toutes ses forces.


Le sperme me coulait dans les yeux et me piquait, je l'essuyais avec un doigt puis ensuite je suçais mon doigt. Son sperme était bon.


Il faudra que je me le suce une jour prochain celui-là ! Me disais-je.


Il me regardait avec un regard approbatif. J'avais presque l'impression qu'il avait lu ma dernière pensée. Je savais que je le ferais grimper au rideaux le jour ou je le sucerais. C'est vrai que là, je ne pensais plus qu'à ça.


Je regardais depuis mon fauteuil, sa queue retombait doucement entre ses cuisses, il continuait à se toucher le gland, quelques gouttes de spermes continuaient à couler il les récupérait avec les doigts et se les suçait.


J'étais pris alors d'une bouffé de désir, j'avais la haine ou je devrais plutôt dire, la colère. Mais c'était contre moi. Sans cette idée de semaine frustrante, il m'aurait sûrement défoncé le cul. Avant je l'aurais sucé goulûment, et pour conclure je me sentirais bien, soulagé, j'aurais certainement joui, c'est vrai qu'il a une très belle queue. Juste comme je les aime.


Et là, à ce moment précis, je vous jure que j'étais vraiment en manque.


J'avais totalement oublié mon pote Thierry qui s'en prenait plein la bouche. Quand il avançait son visage vers Rocco, celui-ci avançait son bassin et Thierry encaissait, cette très grosse bite, celle de Rocco rentrait bien profond dans la gorge de notre pauvre Thierry.


Il ne faut pas oublier que même si on aime sucer, comme moi par exemple. Il faut bien se dire que même si on y prend un certain plaisir, comme moi par exemple … On ne peut pas jouir en suçant un mec. Et je ne savais même plus quand c'était la dernière fois que j'avais joui.


Thierry avait l'air pitoyable, il avait les yeux pleins de larme et de sueur. Il avait les cheveux mouillés par la sueur. Il bavait et sa salive coulait sur sa chemise. Il n'était pas tu tout présentable. Déjà quand on était sorti du restau on n'aurait pas eu envie de le présenter à sa famille mais là … C'était l'horreur !


Il faisait des bruits bizarres. C'est seulement à ce moment que je le remarquais vraiment. Thierry fait des bruitages tout à fait particuliers quand il suce.


Et il atteignait un sommet au moment ou Rocco éjaculait, je voyais couler un peu de sperme de sa bouche. Pourtant il aspirait, il ne voulait rien perdre. C'est un gourmand mon Thierry !


La soirée s'est terminé rapidement après ça, il était déjà tard c'est vrai et le lendemain nous laissait espérer le pire.


C'est ce qu'on a eut ! Pas le droit de se tripoter les couilles ou la queue. Pour moi ceinture, mais quand je dis ceinture, abstinence totale. Pas une caresse, pas un doigt là ou ça fait du bien. Pour Thierry une nouvelle crampe à la mâchoire en perspective.


Thierry était transformé en suceur et moi en voyeur.


Nos queues ne nous laissaient pas tranquilles, la nuit ça allait quand on dormait. Moi je rêvais que je suçais une queue et que ensuite je me la prenais dans le cul. Mais, pour ceux qui n'auraient jamais essayé, ça fait pas pareil en rêve qu'en vrai.


Quelquefois on arrive à avoir des rêves humides, on rêve qu'on joui et on arrive à jouir, on éjacule et on se sent mieux après. Bon, ça ne nous est pas arrivé de toutes façons.


Les deux lascars s'amusaient bien, c'était '' Thierry tu me suces tu seras mignon !'' , '' Tu me suce vite fait bien fait, on n'a pas que ça à faire !'', '' Tiens Thierry, tu pourrais sucer mon pote, tu sera mignon ''.


Ils nous traitaient bien, avec respect, enfin presque, mais globalement ils nous traitaient bien. Vous avez remarqué qu'on ne me demandait rien de tel à moi.


Moi je devais regarder, éventuellement je servais une boisson fraîche, et j'attendais, je regardais aussi. Ma queue me torturait et je devais faire bonne figure.


Pendant une semaine entière personne ne m'a caressé, personne ne m'a embrassé, personne ne m'a …


Je ne vous dis pas comment la semaine a été longue. Je ne sais même plus combien de fois j'ai regretté d'avoir eu cette idée stupide. Thierry et moi avions le feu au cul, à la bite, à la bouche ( enfin lui surtout ), mais tous les deux nous avions la tête en feu et heureusement Thierry était venu en train. Il n'était pas en état de conduire.


On regardait l'entre jambe de tous les mecs qu'on rencontrait, leurs cul aussi. Je me serais fait sauté par n'importe quel homme que je voyais ou que je croisais.


On conduisait Thierry à la gare, là nous avions le droit de nous faire la bise.


On se revoit une autres fois ! Me disait Thierry. Mais une semaine baise à tout va.

Un semaine baise à tout va ! Lui répondais-je.


De retour à la maison, nous revenions chez Rocco, je craquais. J'attrapais Rocco et Sammy par le col.


Alors là, tous les deux, vous avez intérêt à bien me baiser comme il faut, à me défoncer le cul bien comme il faut ou je vous casse la gueule à tous les deux.


Ils ont éclaté de rire, mais au final, c'est ce qu'ils on fait .



Fin



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De passage Ep05

 De passage Ep05




La matinée qu'on nous réservait était tranquille. On prenait le petit déjeuner Thierry et moi le préparions. Rocco ne perdait pas le nord, et il en profitait pour se faire servir.


Avec son pote Sammy ils s'installaient confortablement à la table du salon, les jambes bien allongées sous la table et la queue victorieuse. C'est peut être pour ça que Thierry et moi ne parvenions pas vraiment à garder notre calme.


Ma queue comme la sienne réagissait à les voir bouger avec tant de tranquillité, à voir leurs grosses queues se balancer. Nous avions tous les deux une érection particulièrement violente, elle était confinée et c'est peut ça qui donnait cette sensation de violence dans nos cages.


On jouait au jeu de la soumission, pas comme je l'avais prévu mais on jouait. Ils prenaient leur petit déjeuner dans le salon et nous on buvait notre café dans la cuisine. J'étais dégoûté !


Ils ont discuté longuement à table puis nos ont appelé pour les habillé. En fait c'était pour que Thierry les habille, moi j'étais toujours interdit de câlin, j'étais même interdit de contact tactile. Je ne devais pas toucher de la peau, caresser de la peau. Je vous jure qu'à ce moment, j'avais la haine. Mais c'est moi qui avait imaginé les règles, que pouvais-je dire ?


J'ai vraiment des idées à la con quand je m'y mets moi !


Le reste de la journée se passait d'une manière tout à fait normal. On faisait du tourisme, on faisait visiter la région à Thierry. Personne ne pouvait deviner l'enfer que nous vivions. Bon là je parle pour moi. D'accord je ne peut rien dire mais parce que l'idée est de moi mais j'ai quand même le droit de dire que j'ai des idées à la con … et que c'est l'enfer.


On faisait aussi du lèche vitrine, on se prélassait à la terrasse des cafés. Attention on n'était pas des soumis. Ni Thierry ni moi n'étions au service de nos deux hôtes. On n'était pas leurs esclaves.


Rocco et Sammy nous ont laissé presque toute la journée. On était en extérieur, on serait bien obligé de nous tenir correctement. Le soir on se retrouvait tous les quatre chez Rocco. Sammy nous invitait dans un restau qu'il connaissait bien.


Il avait réservé assez tard, je ne trouvais pas ça très pratique surtout que quand dix heures sonnaient, on commençait tous à avoir faim. Je me sentais soulagé quand on arrivait.


On avait attendu en prenant un petit apéro dans un bar, puis dans un autre, puis dans un autre et là je ne sais plus exactement combien de bars on avait fait ! J'avais faim et j'étais un peu ivre, mon copain Thierry était dans le même état.


Ma queue restait calme,par moment je flashais sur le cul d'un mec ou sur son entre-jambe et elle se manifestait mais ça ne durait pas. De toutes façons, rien ne paraissait, Thierry ne me cachait pas qu'il était lui aussi dans cet état mais pour lui non plus rien ne paraissait.


Sammy faisait du free-balling et ça se voyait. Il avait une grosse queue et on voyait bien sa position avec ses couilles sous le tissus de son pantalon. C'était joli à voir mais un peu stimulant, aussi je préférais éviter de trop regarder.


Rocco lui arborait simplement toujours la même bosse, bien ferme, bien visible mais comment je vous le disais, c'est pas pour rien qu'on l'avait surnommé Rocco justement.


Rapidement l'ambiance se détendait. Un petit apéro de rien du tout, et hop. Je basculais dans une légère ivresse. C'était le ver de trop.


On a bien mangé, et on commençait vraiment à avoir faim. Sammy et le patron du bar se connaissaient, il nous avait installé dans un petit salon un peu en retrait du reste de la salle. Nous ne remarquions même pas que la salle avait été nettoyée après le départ des derniers clients. En fait les derniers, c'étaient nous.


Sammy se retournait vers Thierry.


Toi qui a l'air de t'ennuyer tu vas te rendre utile.

Et je fais quoi ? Demandait Thierry.


A ce moment le cuisinier du restaurant arrivait, il s'était changé.


Et bien tu vas donner un petit plaisir à notre cuisinier, ce sera une manière de le remercier d'avoir préparé ce merveilleux repas.


Thierry restait sans réagir pendant quelques instant, il ne s'y attendait pas. Le cuisinier ouvrait lentement son pantalon et le baissait sur ses genoux. Il était lui aussi bien gaulé.


Je me demandais si en fait, ceux qui ont une grosse queue ne se concertaient pas pour former comme un club.


Le cuisinier venait se placer juste devant Thierry, et lui lançait.


Allez, montre moi ce que tu sais faire.


Thierry ne le faisait pas répéter, il se penchait sur la queue du cuisto. Il la caressait doucement et l'admirait, elle était belle et en prenant du volume elle devenait vraiment énorme. Il était encore plus gros que Rocco. Je ne vous dis pas mais ma queue protestait instantanément.


Sans rien dire, et surtout sans réclamer ( ça c'était interdit ), je regardait mes camarades qui se caressaient l'entre jambe. Le patron du restau lui aussi se caressait les couilles.


Thierry était juste à côté de moi et j'étais aux première loges pour ce qui est du spectacle. Thierry savait faire, je l'avais déjà vu à l’œuvre. C'est sans difficulté qu'il avalait la queue du cuisto. Celui-ci avait même l'air surpris, agréablement surpris mais surpris.


Tu fais ça bien toi ! Lui disait-il.


Thierry, encouragé semblait redoubler d’efforts. Le cuisinier lui appuyait sur la tête et Thierry encaissait, rapidement son visage s'écrasait sur le ventre de son client, son nez s'enfonçait bien à fond dans le ventre du cuisinier.


D'ailleurs je me demandais si c'était à cause de cela qu'il ne pouvait plus respirer, plus qu'à cause du gros truc qu'il avait dans la gorge.


Je bavais d'envie, je me serais bien pris cette bite dans le cul. Je ne devais pas réclamer, et de toutes façon je n'aurai droit à rien. C'est ce qui était prévu, c'était la règle que j'avais proposé. J'aurais mieux fait de me casser la jambe le jour ou j'avais eu cette idée stupide. Sur le coup ça m'avait paru une bonne idée. C'était censé créer un manque, une frustration et je vous jure que là, ça marchait très bien.


Thierry reculait son visage, le cuisto le laissait faire, sa queue ressortait et il respirait fort. Il ne cachait pas son plaisir. Au début il ne faisait rien ou presque puis il se lâchait. Il appuyait alors avec force sur l'arrière de la tête de Thierry, puis avec une certaine violence et en même temps il donnait des coups de bassin bien décidés.


Thierry ne résistait pas, il laissait faire, il restait seulement concentré avec une seule idée en tête. Faire plaisir au cuisinier, et à voir le visage ravis de celui-ci, ça marchait bien.


Les coups de bassin contre le visage de Thierry se répétaient avec régularité, de plus en plus vite. De temps en temps il faisait une pause, il ne bougeait plus et laissait juste son gland dans la bouche de Thierry. À d'autres moments il gardait le visage de Thierry bien écrasé contre son ventre et sa queue bien plantée dans la gorge de Thierry. Il ne lâchait alors que quand ce dernier manifestait qu'il étouffait.


C'était rassurant, au moins il ne voulait pas le tuer mais juste abuser de lui. On aurait pu imaginer de mauvaises intentions.


Pendant je ne sais combien de temps, le cuisto lui limait la bouche, le baisait littéralement par la bouche. Thierry faisait des bruits bizarres, il pleurait aussi mais ça devait être l'effort. Il n'avait aucune raison d'être triste. Depuis deux jours deux fous furieux abusait de lui sans lui donner de plaisir donc tout allait bien !


J'ai comme un doute sur la dernière phrase que je viens d'écrire là …


Enfin bref. Tout ça pour dire que moi aussi j'aurais bien aimé que quelqu'un abuse un peu moi. Car il ne faudrait pas l'oublier, j'étais toujours là quand il y en avait un qui jouissait, j'étais toujours là quand il y en avait un qui se faisait sucer, j'étais toujours là quand il y en avait un qui défonçait un cul ou se faisait défoncer le cul mais … Je n'avais pas le droit de toucher et personne ne me touchait !


Le jeu de la frustration que j'avais imaginé était devenu un piège dans lequel je m'engluais. Et franchement, je commençais à ne plus aimer du tout. Ma queue protestait encore une fois, c'est tout ce qu'elle pouvait faire. Protester sans espoir. Protester et me laisser dans une situation de frustration.


Le cuisinier s'agitait plus vite, puis plus vite encore, son ventre s'écrasait sur le nez de Thierry, s'éloignait puis revenait encore plus fort. Thierry arrivait toujours à respirer donc tout allait bien. Il faisait du bruit avec sa bouche, il faisait un bruit bizarre. Puis c'est le cuisinier qui à son tour faisait des bruits bizarres. Des gémissements de plaisir. Là au moins on pouvait identifier le bruit que c'était.


Il continuait à limer la bouche de mon pote Thierry, c'est là que je voyais couler un liquide blanc et épais de sa bouche. En même temps le cuisinier faisait un large sourire satisfait et poussait un gémissement de plaisir, un long gémissement de plaisir …


Quand il se retirait, sa queue commençait à se ramollir mais restait superbe, dégoulinant de salive et de sperme. Des gouttes de sperme coulaient toujours sur la commissure des lèvres de Thierry. Et le cuisto affichait un air heureux.


Il ne fallait que quelques secondes pour le patron du restaurant prenait la place de son chef, et quelques secondes supplémentaires pour que sa queue se retrouve dans la bouche de mon pote Thierry.


Il fatiguait le pauvre Thierry, il fatiguait mais on ne lui demandait rien, et surtout pas son avis. Le boss prenait la tête de Thierry entre ses mains, la tenait fermement et la tirait vers lui. Il bandait et sa queue entrait direct bien au fond de la gorge de Thierry.


Le pauvre pleurait, il ne tentait pas de se dégager, il m'avait dit qu'il aimait sucer et qu'il y prenait un vrai plaisir. J'avais quand même un léger doute à ce moment précis, il avait salle mine, il pleurait, on aurait dit qu'il avait un coquard, deux même peut être.


Il bavait et la queue du patron du restau glissait avec facilité dans la gorge de Thierry. Il ne semblait pas vraiment apprécier le pauvre Thierry mais il continuait sans se plaindre. Et il devait faire ça bien si on en croyait la tête du boss.


Il finissait pas s'énerver le boss et tirait la tête de Thierry avec violence, il enfonçait sa queue bien à fond, il repoussait Thierry et recommençait de plus en plus vite. De nouveau Thierry faisait des bruits bizarres et le boss gémissait de plaisir, il criait et finalement il hurlait de plaisir.


Thierry laissait couler une grosse dose de sperme de sa bouche, là, il n'avalait pas. Là il était rassasié, il n'en pouvait plus, mais il s'était engagé dans cette aventure, ce défit et il tenait le coup. Je suis sûr que si Rocco et Sammy s'étaient présentés, il les aurait sucé, même s'il lui aurait fallu se déboîter la mâchoire.


Le patron du restau se retirait et Thierry toussait et crachait. J'avais regardé la scène de près, j'étais juste à côté de Thierry mais personne ne m'avait touché. Ma queue protestait comme jamais, elle me faisait mal mais je ne laissait rien paraître.


J'étais en manque, à chaque seconde de plus j'étais en manque un peu plus. Et je prenais conscience qu'il restait encore presque toute la semaine.


Je ne vous dirais pas que Thierry à pris du plaisir, on ne peut pas jouir en suçant une queue, et encore moins deux quand ça se passe dans ces conditions. Thierry avait mal à la mâchoire, j'avais mal à la queue. Remarquez il avait peut être mal aux deux ?



A suivre




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