Madame est partie 01 Sainte vierge

 Madame est partie 01

Sainte vierge



Avec madame c'était de plus en plus difficile. Elle me repoussait. Tout avait commencé par cette réflexion qui glace le sang de tous les maris depuis des siècles …


Pas ce soir chéri, j'ai la migraine !


Quand un époux entend ça, il sait que ce soir là, ce ne sera pas la folie des grands soirs. Je terminais la soirée par une petite branlette, ça calme mais c'est pas pareil.


Surtout que madame, ma femme je veux dire, elle est canon. Mais voilà ce commentaire, cette excuse était répétée de plus en plus souvent. Imperceptiblement, ça avait dégénéré, la situation s'était aggravée, si je voulais la prendre dans mes bras, le plus naturellement du monde, et bien c'est le plus naturellement du monde qu'elle se dégageait, doucement au début puis avec le temps elle se contentait de me repousser.


Elle ne cherchait même plus à s'expliquer, à s'excuser, à se justifier. Puis …


Mais qu'est-ce que tu veux encore ?

Enfin qu'est-ce que je veux encore ? Mais je veux te prendre dans mes bras, te faire un câlin et …

Et ! Oui … Et … Reprenait-elle en me coupant la parole. Je t'ai déjà donné cinq enfants … Et … Ça ne te suffit pas, toujours pas … Je considère que ma mission conjugale est remplie !


Un jour ça s'était terminé comme ça, je ne l'avais pas vu venir.


Un autre jour …


Tu devrais mettre un de ces dispositifs de chasteté, ça calme les ardeurs des plus pervers.


Maintenant elle me traitait de pervers ! C'était un comble. J'en pouvais plus. Sur sa lancée elle avait décidé de faire chambre à part. Au début j'ai pas aimé, finalement depuis je dormais mieux. Il vaut mieux en fait dormir seul que de dormir avec sa femme si on n'a pas le droit de la toucher, de la caresser, de l'embrasser et de … lui faire l'amour …


Entre ma femme et moi, il n'y avait plus rien. Même plus la tendresse. Le soir elle, tous les soirs elle se retirait tôt dans sa chambre, elle priait devant un tableau de la vierge Marie, vous savez, cette femme qui enfanta d'un dieu dans une quelconque mythologie. Vous l'avez deviné, je ne suis pas porté vers la religion et si notre mariage était religieux, c'était juste pour faire plaisir à ma femme.


Au début tout se passait si bien, moins d'un an après notre mariage elle me donnait notre premier enfant, un garçon.


Un soir ou j'étais seul à la maison, je me sentais mal. Je repensais à ces moments passés avec ma femme. James mon majordome venait s'assurer que je n'avais besoin de rien.


Dites moi, James ! Que pensez-vous de cette situation ?

Je ne vois pas de quoi vous voulez parler Monsieur !

Allons je vous en prie, s'il y a bien une personne qui sait parfaitement tout ce qui se passe dans cette maison c'est bien vous !

Certes Monsieur mais …

Ma femme ! Qu'est ce qui lui arrive ?

Ma foi, je ne saurais dire.


Je l'embarrassais mais j'avais besoin de parler et j'insistais.


Et vous, comment voyez vous les choses.

Moi monsieur …


Il prenait alors une cuillère qui était là à côté de ma tasse de thé et frappait avec sur son pantalon au niveau de son sexe. Il en sortait alors un bruit métallique.


Ah oui c'est vrai que vous portez un dispositif de chasteté.

La PK Titanium, complétait-il.

Et … Là je ne savais pas quoi rajouter.

C'est un choix monsieur !

Elle m'a même conseillé un jour d'en porter un.

Je ne pense pas que c'est pour Monsieur.

Ah ?

C'est un dispositif, un choix qui ne convient pas à tout le monde.

Et en plus je suppose que pour les grosse tailles … Faisais-je remarquer.

Sur ce point, que Monsieur se rassure, ils ont toutes les tailles. Je pense que dans le cas de Monsieur une taille six. Au bout de quelques années on passe à une taille qui est plus discrète.

Vous connaissez même ma taille ?

Comme Monsieur le disait, je sais tout ce qui se passe dans cette maison !


Il m'avait calmé, c'est vrai ça. On y pense pas mais le personnel domestique vous observe, s'il décidait de me trahir, je pense que c'est certainement la personne qui pouvait le plus me nuire, avec ma femme. Heureusement pour moi, il avait été formé dans l'école de la PK, on n'y connaît aucune trahison. Je serai moins sûr au sujet de ma femme.


Quelques jours plus tard. Je retrouvais ma femme au souper.


Chéri ! Commençait-elle par me dire. Je vais aller directement au but. Nous allons nous séparer.

Divorcer ? Demandais-je, j'étais presque soulagé.

Tu es fou, si tu tentes une telle chose je te promets les foudres de l'enfer. NON ! Nous allons nous séparer. J'ai tout prévu, le partage des biens, une rente pour moi, et l'héritage pour chacun de nos enfants.


J'étais sonné ! Soulagé mais sonné.


Vas y ! je t'écoute. Lui répondais je résigné.

Je vais rentrer dans un couvant, je remet le reste de ma vie à la vierge sainte mère de dieu.


Elle m'avait assommé. Je ne savais plus quoi répondre.


Il y avait une nurse de grande marque, si j'ose dire. Une nurse anglaise de Liverpool, il paraît que ce sont les meilleures, en tout cas les enfants parleraient un anglais parfait. Un majordome qui m'était totalement dévoué. Il y avait aussi sa famille qui me surveillerait et s'assurerait que je reste fidèle à ma femme.


Le lendemain elle partait. Elle avait revêtu cette tenue qui ressemblait plus à un sac de patate qu'à un vêtement, un voile sur la tête qui ne laissait apparaître que le visage.


J'étais furieux. Elle venait me saluer.


Tu sais, je te conseille sérieusement de porter un de ces dispositif de chasteté, au début ce n'est pas facile mais par la suite tu te sentiras bien mieux.


J'avais envie de la gifler à cet instant, j'ai vraiment eu l'impression qu'elle se moquait de moi.


Le repas du soir était calme, la nurse s'était occupé des enfants, ils ne semblaient pas traumatisé par ce départ. Pour eux, c'était normal.


La nurse était belle, elle était d'une incroyable douceur avec les enfants mais … Je savais que la regarder de trop près était une mauvaise idée, ça ne m'attirerait que des ennuis. Il y avait la famille de ' Madame ' et la nurse lui était totalement dévouée.


Plus tard, la nuit avançait, j'étais devant la télé, elle était éteinte. James passait, il vérifiait que tout était en ordre dans la maison.


Vous pouvez disposer James, je n'ai besoin de rien.


Il posait un verre de whisky juste à côté de moi.


Puis-je conseiller à Monsieur de le boire d'un trait.

Vous savez que je bois pas James !

En effet, je le sais mais … Puis-je conseiller à Monsieur de le boire d'un trait.


Son insistance me surprenait et je ne sais pas pourquoi mais je suivais son conseil. Je vous jure, je ne sais pas comment certains peuvent aimer ce genre de liquide. C'est du feu, ça brûle mais c'est vrai que peu après je me sentais plus détendu.


Elle est partie ! Faisais-je remarquer.

Cela vous ennuie Monsieur ?

Bein …

Quel âge avez vous Monsieur ?

Je lui répondait, trente trois. Mais pourquoi me posait-il la question, il connaissait ma date de naissance.

Depuis combien de temps êtes vous mariés Monsieur ?

Mais enfin James, vous étiez au mariage. Bientôt douze ans …

Bien ! Combien d'enfants avez-vous Monsieur ?

Mais vous en avez pour longtemps à me poser des question dont vous connaissez les réponses … Cinq enfants, trois garçons et deux filles.

Très bien. Ce sont de très beaux enfants, si je puis me permettre Monsieur. Toutes mes félicitations . Et à quand remonte vos dernières relations intimes avec Madame ?

Enfin James, là vous allez trop loin.

Je quitterai la maison demain matin si vous le demandez à ce moment mais en attendant, pourriez-vous me répondre. Insistait-il en me tendant un autre verre de whisky.

Au début de sa dernière grossesse ! Répondais-je en avalant le second verre. J'étais alors très agacé et décidé à lui dire de faire ses bagage dès le lendemain matin.

Cela fait donc plus de deux ans.

Presque trois.

Il vous faut passer à autre chose.

Et vous James ?

Moi je porte ce dispositif depuis l'âge de seize ans, fidèle à la règle de la PK compagnie. J'ai deux enfants que je vois très régulièrement, ils vivent avec leur mère, pas très loin d'ici …

Vous ne m'apprenez rien James. La question est … Comment faites-vous pour tenir …


A suivre



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Le Roy 10 : Un de moins

 Le Roy 10

Un de moins



Nous devions rester deux jours, ensuite une caravane administrative partirait vers le port des grands fonds. Pendant ce temps, on nous laissait libre de notre emploi du temps.


Je faisais du tourisme. Un chapeau sur la tête et des sandales aux pieds, je découvrais la ville. Ça ne se voyait pas mais il y avait des moulins à eau un peu partout, je n'ai jamais compris comment ça marchait ce genre de truc, c'était magique, ça devait être ça, sinon je ne comprends pas. Le vent faisait tourner les pales et de l'eau coulait, en dessous de chaque moulin il y avait une fontaine, l'eau coulait partout sous les arbres alors que la ville n'avait pas de source et se trouvait en plein milieu d'un désert.


La ville semblait agréable, il y avait le quartier des plaisirs, c'était là ou nous étions arrivés, mais il y avait aussi un quartier plus sérieux. Des gens qui travaillaient honnêtement. Des gens qui élevaient des moutons par exemple, qui filaient la laine et qui en faisaient des tissus de grande qualité. Je connaissais bien les moutons et je savais que la laine pouvait donner un tissus qui protégeait du froid mais on pouvait aussi en faire plein d'autres choses … Je ne sais pas si vous voyez la situation, ici, on avait pas vraiment besoin de vêtements qui nous protégeraient du froid …


Un peu plus tard dans la journée je revenais à l'hôtel. Je remarquais un de mes camarades de voyage qui entrait dans une maison en face de notre hôtel. Une femme d'une grande beauté qui ne portait sur elle que des colliers le recevait, elle s'écartait pour le laisser entrer et le suivait. Il y avait aussi un homme avec sur lui un chapeau qui semblait habiter ici, il les suivait à l'intérieur.


Je m'installais à une fontaine et me détendais. Il y faisait frai et l'eau qui coulait juste à côté de moi me reposait. Je somnolais un petit moment.


Tout était calme, pas un bruit, les jeunes comme les plus vieux se prélassaient à l'ombre de ces arbres étranges sous lesquels il faisait presque froid. Tiens, j'ai dit presque, je dois commencer à m'habituer. Mon lieutenant recruteur arrivait, il semblait repérer les lieux et se dirigeait ver le bâtiment ou mon camarade de voyage était rentré.


Il entrait, je le suivais. Il y avait un homme qui somnolait dans la première salle, il faisait pas attention à nous. Dans la seconde salle, une femme. Elle nous observait, elle ne bougeait pas, d'un regard elle indiquait au recruteur la salle au fond, derrière les rideaux épais. Je ne comprenais pas vraiment ce qui se passait.


Le recruteur avançais et ouvrait le rideau, je suivais toujours.


Il y avait mon camarade allongé sur le dos, l'homme que j'avais vu plus tôt lui avait soulevé les jambes et le limait généreusement. Il y allait le bougre, ça c'était un enculateur, il connaissait bien son boulot le gars. Tout était normal quoi. Mais en regardant de plus près il y avait aussi cette femme très belle.


Elle était dans une position scabreuse, les jambes écartées, bien écartées, les cuisses contre les oreilles de mon camarade elle se faisait lécher la chatte et gémissait de plaisir.


Je m'approchais pour mieux voir.


Rapidement ma queue protestait dans sa cage, elle tentait de prendre du volume et je sentais les barreaux de ma cage se resserrer sur ma nouille.


L'enculateur glissait rapidement, je me demandais comment mon camarade pouvait encaisser tout ça. L'enculateur était bien membré, particulièrement bien membré et il y allait, il ne se retenait pas et il faisait claquer son ventre sur les fesses de sa victime. Oui je dis victime, il était dans une position ou il ne pouvait qu'encaisser, et il encaissait bien.


Je n'ai pas vu tout de suite ou était sa tête, je n'ai pas vu qu'elle était coincé entre les cuisses de la femme. Je n'ai pas vu ce qu'il faisait. En m'approchant je devinais les mouvement de sa langue, qu'il passait et repassait dans cette zone mystérieuse entre les cuisses de la dame.


Il se cramponnait au lit avec ses deux mains. Il était bousculé dans un sens puis dans l'autre par l'enculateur et la dame se penchait sur lui par moment pour lui caresser le corps.


Coincé entre les cuisse de cette femme qui avait gardé ses colliers il ne pouvait rien entendre, les colliers se heurtaient et faisaient un bruit, un tintement clair. Contre ses fesses, le ventre de son partenaire claquait avec régularité autant qu'avec force.


On l'entendait gémir. On entendait des bruits étranges qu'il faisait. Mais en y prêtant plus attention, il me semblait difficile de deviner qui gémissait, lui ou son enculateur, pour la femme, la voix plus aiguë ne trompait pas. Elle aussi gémissait de plaisir.


Le lieutenant recruteur bandait, il regardait la scène sans bouger mais il bandait. Rappelez vous que nous étions tous nus, et nus en permanence. Le recruteur ne portait qu'une paire de sandale et un couvre chef qui indiquait son rang et sa fonction.


Il se retournait vers moi et avec une voix claire et ferme.


Ils m'échauffent bien tous les trois, retourne toi je vais t'enculer.


Le ton était ferme, j'étais paralysé, j'étais pétrifié, je ne trouvais pas les mots pour refuser et je m'exécutais. J'avais déjà essayé de me faire enculer une fois et vous devez le savoir, je n'avais pas aimé, c'était pas pour moi ça. Ça avait été très douloureux. Mais je ne savais pas ce qui se passait dans ma tête. Je ne parvenais pas à dire non.


Je me retournais et je m'appuyais sur un petit meuble. La dame me regardait et me faisait un sourire. Le recruteur se lubrifiait généreusement la queue, elle était de grosse taille. Elle ne devait pas être plus grosse que celui qui m'avait déjà enculé une fois. Il m'avait fait mal, très mal et je tremblais de trouille en le laissant faire. J'avais comme l'impression de voir la scène du bout de la salle, j'étais comme sorti de mon corps.


Il me lubrifiait le cul, y glissait rapidement un puis deux doigts qu'il agitait. Jusque là ça allait. C'était un peu douloureux mais ça allait. Ensuite sans attendre, il positionnait sa queue contre mon cul et poussait.


J'ai crié, l'enculateur s'est retourné et nous voyant m'a souri. La dame semblait apprécier le spectacle. Moi j'avais mal mais je tenais le coup. Rapidement le recruteur s'enfonçait en moi, je sentait sa queue qui glissait douloureusement entre mes reins et s'enfonçait de plus en plus profond. Douloureusement pour moi. Pour lui ça devait juste être étroit, il était large et j'aurais voulu pouvoir me sauver en courant mais je ne parvenais toujours pas à bouger.


Son ventre s'est finalement écrasé sur mes fesses. J'ai cru défaillir. C'était volent, terrible, intense, c'était surtout douloureux. C'était plus supportable que la première fois ou alors c'était la situation. Le recruteur, à mes yeux était comme un chef, il ordonnait et moi j'exécutais. J'étais soumis à sa volonté, j'étais sous ses ordres et j'étais obéissant.


C'était terrible, son membre entrait et sortait avec vigueur, il accélérait le mouvement et ne m'épargnait rien. Bientôt c'était son ventre qui claquait contre mes fesses et à chaque coup que je recevais la douleur brûlait en moi. Sa queue allait loin et profond dans mes entrailles et là aussi c'était douloureux. C'était l'enfer.


Il m'a limer ainsi pendant un moment. Les trois autres continuaient et c'est la femme qui contrôlait la situation, elle gémissait de plaisir, criait et vibrais. Elle était suivi quelques instants plus tard par l'enculateur. C'était son employé et rien ne prouve qu'il avait joui mais il suivait, comme on obéi à un ordre.


Les derniers coups que j'ai reçu m'ont retourné, autant au niveau de mon cul que dans le fond de mes entrailles. J'ai gémi, je ne me sentais pas très bien et je ne comprenais toujours pas pourquoi j'avais laissé faire.


Je n'y étais pas obligé et je me jurais de ne plus, de ne jamais plus recommencer.


La maîtresse des lieux, l'enculateur se retirait. Notre camarade de voyage nous regardait. Il ne nous avait pas entendu, les cuisses de la dame lui avaient totalement bouché les oreilles. Il avait l'air sonné et c'est avec un regard étonné qu'il nous regardait.


Tu t'est bien amusé ? Lui demandait le lieutenant recruteur.


Notre camarade ne répondait rien. Il récupérait, j'étais un peu sonné mais lui aussi. Son esprit, tout comme le mien, devait être un peu embrumé.


Dehors il faisait frais sous les arbres. Je me sentais tout bizarre, pas vraiment bien au niveau de mon ventre. Je sentais encore la présence de la grosse queue que je venais de me prendre dans le cul. Et j'en ressentais encore la douleur.


J'ai préféré m'asseoir juste à côté d'une fontaine. Le bruit de l'eau qui coulait avec bruit si particulier me détendait. La douleur au niveau de mon anus mais aussi dans mon ventre semblait rayonner dans tout mon corps, je me sentais toujours étrange, pas vraiment bien.


C'était décidé, ce genre de pratique n'étaient pas pour moi, bien sûr on me disait, on m'avait déjà expliqué que la première fois ça pouvait faire très mal, sur ce point c'était exacte. Mais on m'avait aussi expliqué et on m'expliquait encore que par la suite ça peut être la source d'un immense plaisir. Je ne le saurais jamais car c'était décidé. Je ne recommencerais jamais ! C'était trop horrible.


Quand je rentrais à l'hôtel, je marchais d'un pas encore hésitant. Je n'avais pas encore récupéré. Il ne faut pas oublier que pour moi, c'était la première fois. Enfin presque …


Nous étions un de moins à table le soir.


Il ne pourras dire qu'il n'était pas au courant ! S'exclamait le lieutenant recruteur.


Tout le monde le regardait.


Il a touché à une femme le bougre, et il savait que c'était interdit.


Il racontait à tout le monde, je confirmais. Le reste du repas se terminait dans le plus grand silence. Nous savions tous que nous devions être vierge, pur. Entre homme comme vous le savez, ça ne compte pas.


Notre camarade avait tout simplement été viré.


Il avait été chassé, avec sa cage à bite, il devrait rentrer chez lui comme il le pourrait. On trouvait toujours des caravanes et en travaillant on pouvait se payer le voyage. C'est chez lui, là ou il avait été recruté qu'il pourrait faire une demande de restitution de sa clé, elle lui serait restitué, ça ne faisait aucun doute mais ça pouvait prendre plusieurs mois.


Il se retrouvait donc condamné à porter ce truc pendant encore un long moment. Le recruteur nous racontait qu'il avait déjà obligé un gars de le porter pendant deux ans, le temps qu'il lui avait fallu pour rentrer et le temps nécessaire à l'administration pour remplir ses obligations de restitution.


En plus le gars était chassé avec ce qui lui appartenait, dans notre cas à tous ça se limitait à un balluchon. Nous étions, nous vivions nus.


Quand je montais dans ma chambre, depuis le balcon, je pouvais le voir traverser la place. Il retournait vers cette maison de plaisir ou il avait fauté. Les dames sont accueillantes paraît-il, surtout quand on sait leur donner du plaisir. De toutes évidences, il savait faire.


Le jour de notre départ, je l'ai revu, il avait trouvé un petit boulot d'enculer-suceur, chez cette dame. Il y resterait quelques mois puis tenterait de repartir avec une caravane. Il n'était pas ravis de devoir le garder, il commençait vraiment à regretter sa légèreté.


La caravane officielle repartait, on suivait. Le ton avait un peu changé, le départ de notre camarade avait secoué tout le monde. Seul Jaffa ne semblait pas souffrir de ce petit changement ni de son dispositif mais il est vrai que lui avait bien l'habitude, il le portait depuis quelques années.



A suivre




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Les apparences 02 sont trompeuses

 Les apparences 02

sont trompeuses



J'étais retourné, j'étais séduit.


Je n'étais pas vraiment surpris par ma réaction, je me savais plus passif qu'actif. Et là, je venait de jouer un passif d'exception. J'en avais pris plein le cul et je n'avais plus qu'une seule envie … recommencer … Enfin pas tout de suite.


Nous nous sommes endormis, il s'était blotti dans mes bras. C'est vrai que ça semblait être moi le mâle dominant. Je faisais presque une tête de plus que lui, j'étais plus large, j'avais le corps couvert de poil et lui une peau douce et dépourvu de cette fourrure.


Au premier coup d’œil ça semblait logique. Mais pour y croire il fallait avoir loupé la scène précédente. J'avais été totalement passif, enfin quand je dis totalement passif, c'est une façon de parler, j'avais réagi, j'avais agi, j'avais participé mais c'est moi qui m'était fait enculé, et j'avais aimé.


Il cachait bien son jeu le petit gars, il avait l'air totalement inoffensif mais il ne fallait pas se fier aux apparences, il était armé ! Il avait une queue énorme et dans mon sommeil c'est ce que je revoyais. Sa queue était très bien proportionnée, longue, très longue, épaisse, très épaisse.


Je prenais un plaisir presque vicieux à la tripoter, elle ne grossissait presque pas quand il bandait, elle devenait plus dure, c'est tout. Ce qui était fantastique c'est qu'en surface elle restait toujours un peu molle mais elle était largement assez ferme pour forcer son passage, même dans un cul étroit. Ce n'était pas mon cas, je vous rassure. Je ne suis pas ce genre de mec !


Je me réveillais tôt, je me glissais hors du lit en prenant soin de ne pas le réveiller. Il se retournait sur le dos, d'un mouvement de la main, il repoussait le drap et se montrait entièrement nu sous mes yeux. Son corps totalement dépourvu de fourrure me désorientait, c'est vrai quoi, moi je suis carnivore, je suis un chasseur. Il avait l'air d'une proie.


Mais sa queue qui commençait à durcir, elle se redressait et s'étalait sur son ventre. Il était incroyablement beau avec une telle parure. On aurait pu penser que c'était une fausse queue, mais je savais que rien n'était faux chez mon petit trésor. C'est déjà comme ça que je le voyais. En taille il me dépassait largement, en taille de queue je veux dire. En fait ce n'était pas une proie, c'était un appât et moi j'avais été appâté, c'était moi la proie.


Je me penchais sur lui et passais ma langue sur son frein. Je bandais, enfin c'est à ce moment que j'ai réagi que je bandais. Je ne me souvenais pas l'avoir remarqué plus tôt.


Je lui caressais la queue avec la langue puis je prenais son gland dans la bouche, il était large et rentrait à peine. Il me caressait les cheveux, j'avais fini par le réveiller. Il poussait quelques gémissements de plaisir.


  • Ça c'est un réveil comme je les aime ! Me disait-il.


Ça m'encourageait à continuer, je ne pouvais pas prendre beaucoup plus que son gland mais je faisais au mieux. Ma langue passait et repassait sur le bout de sa queue, je le sentais, il s'étirait. Il bandait ferme maintenant et une main me caressait les couilles, elle glissait ensuite vers mes fesses. Il me glissait ses doigts entre mes fesses et sans rien me demander ils s'arrêtait juste sur la petite ouverture.


Il forçait et c'est sans trop d'effort que deux doigts glissaient à l'intérieur de mon cul. Là c'est moi qui gémissait et de bon cœur en plus. Il les agitait et c'est autant avec force qu'avec régularité qu'il me tambourinait la prostate. Rapidement je poussais des cris de plaisir.


Je me relevais, je me retrouvais sur les genoux, à côté de lui sur le lit. Ma queue elle aussi se relevait mais il ne s'en occupait pas et moi non plus je ne m'en occupait pas. Sa queue était bien plus grande que la mienne, bien plus large aussi.


Je le regardais, il se masturbait, enfin au début je croyais qu'il se masturbait, en fait il se lubrifiait sa queue, puis, il me lubrifiait le cul. Là j'ai compris ce qui allait se passer. Il se relevait, s'installait dans mon dos, je le laissais faire mais brusquement mon cœur battait fort, vraiment fort. Il prenait position, je ne bougeais pas.


Je le sentais il posait son gland sur mon anus et commençait à pousser. La pression n'était pas très forte mon cul ne s'ouvrait pas encore, il me cramponnais alors les hanches, je sentais comme un mouvement de panique qui me parcourait mais je ne bronchais pas. Il commençait à pousser, je sentais la pression contre mon anus. Il poussait plus fort, je ne résistais pas et brusquement je sentais mon cul se dilater.


J'ai poussé un cri mais je n'ai pas essayer de me dégager. En quelques instant, mon anus se dilatait et il entrait. C'était un peu en force j'en conviens, il glissait lentement en moi, je le sentais me dilater les entrailles, je sentais chaque millimètres glisser contre mon cul, entre mes fesses. Je manquais d'air mais je laissais faire. Quelques instants plus tard, son ventre s'écrasait sur mes fesses et il me prenait dans ses bras.


C'était violent, ses mouvements étaient lents et calculés mais c'était violent. Je n'avais pas assez de force pour hurler, j'étais sonné, en quelques secondes il me faisait cet effet. C'était intense !


Il appuyait ensuite son bassin contre mes fesses, j'ai cru que j'allais déchirer mais c'était bon, vraiment bon. Il se retirait lentement, très lentement, le plaisir montait en moi. Puis il revenait, sans doutes plus rapidement, à peine mais un peu plus rapidement.


Quelques instants plus tard il me limait le cul avec force et régularité, il s'amusait à enfoncer sa queue bien à fond et à la retirer presque totalement. Le plaisir montait mais la panique ne disparaissait pas pour autant. Il me tirait vers lui avec force, me saisissait dans ses bras avec force aussi.


Par moment il me tripotait la bite et les couilles, je le laissais faire, je bandais mou. Mais je bandais, enfin je bandais un peu. Mais le plaisir qui envahissait tout mon corps ne venait pas de mon sexe, il se diffusait depuis mes entrailles et rayonnait dans tout mon corps. J'avais l'impression de trembler, j'avais l'impression de ne plus contrôler les mouvements de mes bras. J'étais à genoux, heureusement sinon je n'aurait certainement pas réussi à tenir debout.


Mes genoux tremblaient, ils restaient totalement immobiles mais ils tremblaient, je le sentais, je le sentais je tremblais de tout mon corps pendant qu'il me limait le cul.


Il me tirait contre lui et m'embrassait sur les épaules et dans le cou. Je retournais ma tête et je l'embrassais.


C'est à ce moment que j'ai senti son souffre, il jouissait en moi. Il me donnait un coup de bassin, violent, qui à ce moment échappait à son contrôle. Il éjaculait dans mon cul, il éjaculait juste au milieu de mon corps. Il se laissait alors tomber sur moi en me poussant en avant.


Je m'effondrais sur le lit, il s'effondrait sur moi, il était encore bien encré en moi. Il débandait, je ne parvenais pas à savoir si débandait beaucoup, je sentais toujours cette masse dans mon cul. Au repos comme en érection sa queue avait à peut près la même taille, simplement elle était moins dure et je finissais par le constater, elle glissait en dehors de moi et c'est à ce moment que j'ai vraiment joui, là j'ai éjaculé. Je ne bandais plus qu'à moitié mais j'ai joui comme un fou. Je n'ai pas vraiment éjaculé, j'ai juté. J'ai juté pendant un long moment, j'étais comblé de plaisir.


C'est vrai que j'ai toujours aimé me faire défoncer le cul. Comme on ne trouve pas toujours l'homme idéal pour vous faire ce plaisir je jouais aussi le côté actif. J'ai fait couiné plus d'un de mes partenaire, aujourd'hui pour la deuxième fois, c'est moi qui avait couiné de plaisir.


On est passé sous la douche et on pris notre petit déjeuner. Le reste de la journée on est sorti. J'avais oublié son côté tafiole mais rapidement, il revenait. Ce garçon avait du charme, il avait les traits fins mais il était maniéré.


Dans ma tête je revoyais son côté viril, sa queue dans mon cul, devant mes yeux c'était presque une fille qui gigotait. En fait je m'y suis rapidement habitué. J'en suis toujours le premier surpris mais rapidement ça ne me dérangeait plus. On se rapprochait l'un de l'autre.


Après ce week-end on s'est revu et pas seulement en fin de semaine. Moins d'un mois plus tard on se voyait au moins trois ou quatre fois par semaines. L'un venait attendre l'autre à la sortie du boulot, et j 'étais surpris de ne pas, même pas, me sentir gêné quand il me donnait un baiser sur bouche à la sortie de mon boulot.


Personne n'a réagi, c'est vrai que tout le monde était au courant et qu'il faisait vraiment féminin. Certains mon même demandé … '' Tu sors avec une fille toi maintenant ? '' . Bon c'était pas le plus futé de mon équipe de travail qui m'a posé la question, mais quand même …


En extérieur, devant les amis les rôles étaient bien définis. On me faisait souvent remarquer …


Tu dois bien tirer ton coup toi !

Mais Doudou, tu est aussi passif, là tu doit t'ennuyer, tu sais que je suis là moi.

On voit au premier coup d’œil qui est l'homme, et qui est la femme dans ton couple.


Chacun de mes amis, me faisait sa remarque. Ce n'était pas méchant remarquez, c'était seulement plein de préjugé.


C'est vrai que par moment … Comme le jour ou Mattis était tombé en panne avec sa voiture. Il était catastrophé et semblait en plus efféminé que d'habitude, et là c'est pas peu dire. C'est avec une voix suraiguë qu'il m'appelait. À l'entendre, c'était grave. Je l'imaginais dans une situation catastrophique, il s'était réfugié dans un routier … Il ne fallait pas le laisser dans cette situation.


J'arrivais un demie heure plus tard, il était tranquillement installé à une table avec un thé et une part de gâteau devant lui. Il avait déjà sympathisé avec la moitié de la salle, c'était pas plein mais il y avait du monde quand même.


Il était calme, en me voyant il venait me faire la bise et revenait à sa table. Il prenait bien son temps de déguster sont thé et son gâteau.


Mais qu'est-ce qui t'arrive ? Tu m'as fait venir pour prendre un thé ou quoi ?

Ah non mon Doudou, je te jure, je suis réellement tombé en panne. La voiture est à cinq kilomètres de là, je suis venu à pied.

Cinq kilomètres pour toi c'est pas grand chose, tu fais le marathon tous les ans ! Pourquoi tu n'as pas appelé une dépanneuse ?

A ce n'est pas à ce point là quand même.


Il était calme, il terminait son thé, je prenais un café puis on retrouvait la voiture. Il avait crevé ! Il s'était garé sur un parking puis avait marché.


Quand je me suis garé le pneu n'était pas totalement dégonflé, c'est plus le cas, il faut faire quelques chose.


Je levais les yeux au ciel, il m'avait appelé en catastrophe à cause d'un pneu crevé. Je prenais les opération en main, il s'asseyait en me regardant faire. Il ne me fallait pas bien longtemps pour redresser la situation et ranger la roue crevée dans le coffre. Il me sautait alors au cou.


Je suis sauvé, je savais que c'était une situation à ta hauteur. TU ES MON HERO !


Il en faisait trop, mais il avait aussi des bons côté. Les bons côtés c'étaient le nuit entre nous, dans notre intimité. Et c'est justement entre nous dans notre intimité.


Tu es passif ! Me disait-il un soir.

Ben oui, aussi.

Non, tu es vraiment passif. J'ai remarqué que tu ne te masturbe même pas, j'ai remarqué que tu arrives à jouir sans te toucher, sans te tripoter.

Tu crois.


Je crois qu'on peu essayer ça. Il sortait alors un petit dispositif de chasteté. J'étais pétrifié, je regardais l'objet, je n'étais pas vraiment convaincu mais j'aime bien faire des expériences.


De plus il avait raison, je suis passif, enfin je l'étais déjà je veux dire. J'ai voulu essayer. J'ai enfilé le petit truc. Je n'étais pas vraiment convaincu mais quand il m'a enculé juste après, je me suis dit que ça valait la peine de prolonger l'expérience.


Je plaisir je le recevais, je ne pouvais plus me le donner. Je pouvais en donner et en recevoir. Ma situation de mâle dominant viril prenait une claque et pas une petite.


Puis j'ai aimé !


C'était pas prévu ça mais j'ai aimé. Je ne l'ai jamais retiré depuis, maintenant ça fait quelques années.


Alors quand vous voyez un bon gros et grand nounours musclé, même s'il à une jolie bosse au pantalon. Vous pensez mâle dominant bien sûr. Quand vous voyez une petite tafiole accroché à son bras, une petite tafiole dont il prend soin, il lui ouvre la porte, il approche sa chaise au restaurant et le tient dans ses bras avec une tendresse virile.


Ne préjugez plus trop rapidement de savoir qui est le dominant. Qui se fait enculer et qui a la plus grosse …



Fin




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Le Roy 09 Ville de feu, mais ville froide

 Le Roy 09

Ville de feu, mais ville froide



La ville de feu était un poste avancé administratif. C'était une ville de terre, les maisons en argile crue s'élevaient sur cinq ou six niveau. A chaque niveau il y avait des plantes, des plantes grimpantes, des plantes tombantes, des plantes fleuries et des plantes vertes. Elle était posée sur un désert, tout autour il n'y avait aucun arbre, seulement des arbustes plus ou moins denses qui poussaient bien dans ce sable brûlant. Je me disait qu'on pourrait élever des moutons … Nos moutons sont frileux, au point qu'il préfèrent la température que le froid. C'est pas comme les chameaux, pauvres petites bêtes fragiles qui se sentent mal dès que la température monte un peu.


On n'est pas comme ça nous, heureusement. Mais dans la ville il y avait des arbres, que des arbres, c'était étrange, la ville avait été construite par dessus les arbres. Je croyais rêver en voyant ça.


On s'approchait et finalement je constatait que c'était une illusion. En fait il y avait des milliers d'arbres tout autour de la ville, mais des arbres comme je n'en avais jamais vu. Ils étaient constitués d'un tronc bien droit le plus souvent et au dessus d'un énorme buisson vert et très dense.


En dessous il y avait une hombre très sombre. Ils avaient été plantés tout autour de la ville ce qui de loin donnait l'impression que la ville était posée sur les arbres. Il n'en était rien, ils entouraient la ville, mais il y en avait aussi à l'intérieur. Il y avait de larges avenues, au milieu de l'avenue, une rangée d'arbre, de chaque coté il y en avait deux. Il y avait de l'hombre partout. C'était bien mais il y en avait trop, il faisait froid. C'est sûr que les chameaux se seraient senti à l'aise. Mais mes moutons auraient froid.


On ne les voyait pas depuis la route à cause des arbres mais il y avait des moulin à eaux un peu partout, depuis les zones dégagées on apercevait leurs ailes qui battaient au vent … Je vois que vous n'avez pas suivi ? Je m'explique ! Il s'agissait de moulin actionné par le vent et qui produisaient de l'eau, ils ne la pompaient pas, il la produisaient. Me demandez pas comment ça marche, je sais pas mais ça marche très bien. Il y avait tout un tas de fontaines alimentées par ces moulins.


C'était une ville étrange, elle était entourée d'un désert de feu ou seuls les moutons pouvaient survivre mais il y faisait froid sous les buissons aériens des arbres.


Comme je vous le disais, c'était une ville de garnison administrative il n'y avait donc beaucoup d'hommes, mais aucun n'avait fait de vœux de chasteté, aucun n'était obligé de rester chaste. C'est sans doute pour ça qu'à chaque porte de chaque maison particulière il y avait des femmes. Certaines travaillaient, filaient la laine ( je vous avais bien dit que c'était un endroit pour élever des moutons ), d'autres tissaient, d'autres encore faisait la cuisine. Il y avait des tavernes et des restaurant un peu partout, et tous étaient tenus par des femmes.


Mais il y avait aussi ces femmes très belles, elles ne portaient pas de tunique comme il convient, elles ne portaient que des bijoux, des colliers. Des colliers autour du cou qui descendaient et couvraient leurs seins, des colliers en guise de ceinture. Des pendentifs accrochés à leurs cheveux à leurs tétons percés, à leurs ceintures. Elles étaient belles, elles nous regardaient en souriant, nous faisaient des clins d’œil et d'un mouvement de la tête semblaient nous inviter à les suivre à l'intérieur.


Je n'avais jamais vu ça, que faisaient ces femmes pour vivre ?


  • On ne se laisse pas distraire ! Aboyait le lieutenant recruteur.


On le suivait mais de là à ne pas se laisser distraire. Une femme d'une incroyable beauté traversait la rue juste devant nous, le recruteur faisait jouer du fouet. Oh il ne la frappait pas, il aurait eu des ennuis, mais il l'intimidait. Elle était entièrement nue. Ses formes étaient harmonieuses et elle dansait en évitant les coups de fouets qui de toutes façons ne l'auraient pas touchée, mais un accident peut toujours arriver.


Elles avaient vu bien sur nos dispositifs de chasteté, mais elles s'en moquaient, elles s'amusaient, elles s'amusaient avec nous, de nos réactions. Nous étions tous très beau et très séduisants, nous étions épuisés et couverts de poussière. Je pense que tous, nous serions laissés aller, à une douche coquine. Je me serait bien donné à leurs caresses dans un bain frai. Je me serais bien abandonné à leurs bras.


Elles étaient tellement différentes des femmes que je connaissais. Dans mon village les femmes se couvrent dès que leurs formes féminines apparaissent. Ici c'était différent. Elles étaient nues et semblaient s'offrir aux hommes. En fait elles se faisaient payer. Nous ne le savions pas encore mais comment aurions nous pu le savoir ?


Il y avait des places par endroit, c'étaient de grands espaces dont le centre était dégagé, il n'y avait pas d'arbres. Nous avancions jusqu'au centre de la ville. Un hôtel qui présentait très bien, sa façade était couverte de végétation, c'était très beau même si ça nous perturbait.


On nous logeait dans une grande suite, il y avait six chambres, j'en partagerais une avec Jaffa. Les chambres donnaient sur une terrasse là encore on trouvait de gros pot de fleurs avec des plantes, de petits arbres et la encore de l'hombre. Il faisait froid … C'était supportable mais il faisait froid !


On nous préparait un bain. On se retrouvait tous sept dans une baignoire, chacun la sienne, pour plus de confort. Un employé des douches venait nous laver. Là encore un chacun pour plus de confort. Nous étions sept, les six recruté et Jaffa à qui on accordait le même traitement que pour nous.


Ils avait de sortes d'éponge d'une incroyable douceur sur notre peau. On nous racontait qu'elles provenait d'un animal marin. Ça nous a bien fait rire, un poisson ! Enfin ça n'y ressemblait pas, même si les poissons de la mer étaient différents des poissons de nos rivières, c'était une blague … On ne saura donc jamais comment c'était fait.


On nous laissait tremper ensuite pendant un moment et quand on venait nous sortir de l'eau nous étions détendus, et notre peau avait repris sa couleur normale, ambrée.


On nous allongeait sur une table et un masseur venait nous malaxer la couenne, c'était nouveau pour moi, et peut être pas seulement pour moi. Mais c'était très agréable. Rapidement nous gémissions tous de plaisir, tous mes muscles se détendaient et c'était un grand plaisir après un tel voyage.


On nous retournait et quand on était sur le dos, je remarquais les réaction chez mes camarades, y compris chez Jaffa. On bandait tous, nos queues se réveillaient et se révoltaient. Nos dispositifs de chasteté se relevaient sous la pression. Ils continuaient à assurer leurs fonctions mais il ne pouvaient pas dissimuler totalement les réaction naturelles.


Surtout que les masseurs ne se privaient de nous appliquer des caresses très intimes, quand la main remontait sur la cuisse, elle remontait jusqu'en haut de la cuisse et elle insistait longuement sur les couilles. En tout cas c'est ce que me faisait le mien.


Il insistait sur chaque partie de mon corps, la base de mon sexe, les couilles, pour ce qui est de ma bite, là il ne pouvait pas faire grand chose mais elle se révoltait. Ce n'était pas la première fois et certainement pas la dernière.


Au bout d'une longue séance ...


voulez vous un massage anal, une sodomie ou pratiquer une fellation ?


Demandait chaque masseur à son client. Ils étaient tous très beau, mais avaient eux aussi une cage à bite. C'étaient les petites mains de l'administration, enfin les petites bites. Avec politesse Jaffa répondait …


Oui s'il vous plaît. Avec plaisir, une grosse bite devrait me détendre.

Pareil ! Rajoutait Roël.


C'était un de nos camarades de route, un des recrutés. Je ne vous ai pas donné leurs nom à chacun, ce serait un peut trop compliqué.


Les masseurs se retiraient et deux jeunes hommes bien bâtis et surtout bien montés arrivaient quelques instants plus tard. Je me redressais pour pouvoir mieux regarder.


Ils commençaient en lubrifiant bien à fond le cul des deux demandeurs. Ils introduisaient un doigt puis un deuxième et comme ça passait ils forçaient un peu et en glissaient un troisième.


Mes deux camarades gémissaient de plaisir. C'était excitant, ça me faisait bander ferme dans ma cage, elle se relevait et cette cage maudite devenait rapidement très inconfortable.


Voulez-vous également un petit massage anal vous aussi ? Me demandait un des enculateurs.

Je déclinait la proposition. Je ne savais pas si ça m'aurait calmé mais je me souvenais de la seule expérience que j'avais faite. La fois ou je m'était pris une grosse bite dans le cul. Ça m'avait fait un mal de chien. Et les deux enculateurs étaient bien montés.


Il continuait, avec seulement deux doigts bien enfoncé dans le cul du client. Rapidement chacun de mes camarades gémissait avec un plaisir non dissimulé.


Tu aimes ? Demandais-je à Jaffa. C'est vraiment agréable.

Ooooooh oui c'est bon ! Me répondait Jaffa.


Il n'en rajoutait pas d'avantage, il n'arrivait pas à parler il ne pouvait que gémir. Notre autre camarade était dans le même état. Lui aussi il gémissait, lui aussi il râlait pour exprimer son plaisir.


L'enculateur qui s'occupait du cul de mon camarade, retirait ses doigts, lubrifiait généreusement et sans en demander plus lui enfonçait sa queue, sa très belle queue en un mouvement rapide et décidé.


Jaffa s'est mis à hurler. Oh ça n'a pas duré il a juste poussé un hurlement puis il respirait fort, très fort. Moi aussi j'étais bien monté et sans cette cage, cette cage maudite je l'aurais bien enculé le petit Jaffa. Ça n'aurait pas été la première fois, avant de partir nous dormions ensemble depuis quelques temps avant notre départ.


De toutes façons, entre hommes ça ne compte pas. Donc j'étais pur, nous étions purs tous les deux. Mais lui, il avait un dispositif de chasteté en Acier D' Extrêmasie depuis maintenant des années.


Jaffa continuer à gémir, son enculateur était maintenant allongé sur lui et lui enfonçait sa queue avec régularité et une certaine fluidité. Ça glissait bien. Jaffa gémissait il avait l'air d'aimer. Moi je bandais douloureusement, j'aurais volontiers pris la place. Je me souvenait de nos ébats avant notre départ.


L'enculateur accélérait, il limait le cul de Jaffat de plus en plus vite de plus en plus fort. Il frappait les fesses de mon camarade avec force, par moment on entendait son ventre claquer sur les fesses de Jaffa.


Il ressortait presque totalement, marquait une pause très courte, à peine le temps de déposer un baiser en haut du dos de son client et brusquement avec force et rapidité, il enfonçait sa queue bien à fond.


C'était un monde étrange que je supposais même pas. Un monde dans lequel le métier d'enculateur-masseur existait et en plus était un métier très honorable. Des notables, des personnes très en vue avaient recours à leur service.


Les coups pleuvaient il étaient deux enculateurs à s'énerver sur leur clients, les gémissements résonnaient dans la salle. Il y avait cinq spectateurs, les cinq autres recrutés pour ce travail à la cour du roi.


Tout finissait pas se calmer, plus de bruits, plus de gémissements. Les enculateurs se retiraient, ils essuyaient les fesses de leurs clients et se retiraient.


On ne parlait pas, chacun regardait les autres, on bandait enfin les cinq d'entre nous qui avaient été spectateurs bandaient. Pour moi c'était presque douloureux pourtant ces dispositifs en ivoire de dentosaures étaient confortables.


On nous laissait nous détendre, puis on nous servait un rafraîchissement sur notre terrasse. Les boissons étaient froides, je ne sais pas comment ils faisaient ça, mais bon ils arrivaient bien à produire de l'eau juste avec de l'air alors pourquoi pas ces petites pierres qui flottaient dans nos verres.


Ils appelaient ça de la glace …



A suivre




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Les apparences 01

 Les apparences 01



Vous savez, il ne faut pas toujours se fier aux apparences. Quelquefois, le plus souvent même dans un couple il y en a un qui prend le dessus sur l'autre. Attention n'imaginez pas l'esclavagiste qui commande, l’autoritarisme en action, non … C'est plus subtil. L'un des deux arrive à ses fins par la ruse, le charme ou … Le sexe …


La légende du mâle dominant garde la peau dure mais faut-il vraiment s'y fier ?


Dans le genre mâle dominant, je me tiens bien avec mon mètre quatre vingt quinze, mes cheveux courts, ma barbe naissante et ma fourrure qui me faisait ressembler à un ours. Bon, plutôt un nounours …


Je ne vous cacherai pas que j'avais du succès avec les filles, enfin j'aurais eu du succès avec les filles mais c'est surtout les filles qui n'en avaient pas avec moi.


On peut oublier aussi l'image de l'homme gay maniérée et efféminé. Non j'ai toujours eu une allure virile et précisément c'est ce que je recherche chez un homme. Je vous jure je me rencontrerais dans la rue, tout de suite je craquerais sur moi. Mais bon là, il faut que je me calme sinon je vais me faire bander …


Je sortais régulièrement et les hommes que je rencontrais étaient dans mon style, pas de tafioles ! Des mecs, bien viriles !


Aussi quand je rencontrais Mattis, c'était pas son vrais nom mais il avait trouvé que le surnom Mathilde faisait trop, comment dire … Tafiole justement.


Il ne faisait pas vraiment masculin, pour commencer il était blond, il avait les cheveux mi long avec des bouclettes qui rebiquaient. Il avait les traits de son visage terriblement fins et pas un poil qui dépassait. C'était naturel et je me disais que ça témoignait se son équilibre hormonal. Il y avait du féminin en lui.


Il avait un beau visage mais j'aurais préféré y voir un peu plus de poils, une barbe naissante ou des sourcils plus épais par exemple. Il me regardais avec insistance.


Remarquez je ne lui en voulais pas, je suis très sexy.


Parmi mes amis il y en avait qui avait une copine, enfin je m'exprime mal, qui avaient un copain très féminin. Un peu comme cette fille, heu, ce garçon qui m'observait et qui devait imaginer que je ne l'avais pas remarqué.


Là je m'embrouille. Mais c'est vrai qu'il me faisait vraiment penser à une fille. Il n'avait aucune poitrine, et son corps était mince, il portait un pantalon moulant et une chemise qui descendait jusqu'au milieu de ses cuisses et faisait à moitié penser à une robe.


Elle se déplaçait rapidement d'une table à l'autre.


Décidément je ne m'y ferais pas … IL se déplaçait …


Bon maintenant que j'ai rectifié …


Je finissais moi aussi par le regarder, et nos regards se croisaient. Étienne, un ami un peu nounours remarquait notre jeux et décidait de faire les présentations. C'est ainsi que j'étais présenté à Mattis.


Un peu plus tard je demandais à Étienne.


Ça fait longtemps que tu le connais.


Non en fait je ne le connais pas vraiment, il traîne souvent dans ce bar branché tu sais près du parc. On a fini par discuter.


Tu ne trouves pas qu'il est un peu … Demandais-je.


Il est comme il est mais ce soir tu vas tirer ton coup mon bonhomme.


Il avait raison. Mais Mattis m'appelait.


Charly tu veux encore un verre ?


En attendant de tirer un coup, c'était encore le moment de la picole.


Tout s'est passé comme prévu. Je ramenais Mattis à la maison. Vous savez avec ce genre de personnage, c'est surtout le côté féminin qu'on remarque mais quand il a retiré sa chemise tout changeait. Il avait le torse totalement imberbe, mince mais musclé. Mais surtout on pouvait alors voir son entre cuisse et là il y avait une grosse bosse, bien visible qui faisait bien moins féminin d'un coup.


Il me faisait un énorme câlin, je le prenais dans mes bras, je le caressais, il était doux, je n'avais pas souvent rencontré un homme avec la peau si douce, il n'avait pas de poil sur le corps. Je l'embrassais partout ou je pouvais, mes lèvres se promenaient sur tout son corps.


Il semblait apprécier, lui il aimait bien les nounours, finalement on allait bien ensemble malgré ses allures de tafioles.


Tu es actif ? Me demandait-il.


Oui aussi … Et toi tu es passif ?


Oui aussi … !

Je me disais, dans ma tête … '' Ça devrait marcher cette affaire !''. Je commençais à bander. Au niveau longueur ma queue est dans la moyenne, sans plus mais au niveau largeur je suis largement au dessus. Je suis trapu de la bite quoi !


J'ai déjà fait couiné plus d'un mec, c'est pas bien compliqué, il suffit d'être un peu violent. D'y aller un peu fort, on sait tout de suite à qui on à faire. Si le mec râle un peut trop je me retire et je recommence.


Il ne traînait pas et avant d'avoir retiré ma chemise il avait déjà baissé mon pantalon et me suçait la bite. Il s'y prenait bien, je doit dire que là j'ai apprécié. Il savait y faire et faisait disparaître ma queue dans sa bouche.


Il relevait la tête …


P'tit bite mais bien quand même.


Là j'étais un peu vexé.


Comment ça ' P'tit bite ' pas si petite que ça, j'en ai fait couiné plus d'un et elle est large.


Il se relevait et tranquillement baissait son pantalon.


Là c'est une queue énorme qui en sortait, la bosse que j'avais trouvé prometteuse était plus que ça. En fait sa queue était sous pression dans un pantalon moulant et quand il retirait son pantalon c'est une grosse, une très grosse molle qui apparaissait.


J'y croyais pas, la petite tafiole que j'avais ramenée était un bitozaure, un monstre. Il n'y avait pas de poil autour de son sexe. Il était entièrement nu devant moi. À part les cheveux il n'avait pas de poil sur le corps. C'était naturel à par autour de son sexe et sous ses bras.


Je ne résistais pas ben longtemps au plaisir de lui tripoter la bite et les couilles. Elle se relevait avec force, il bandait ferme, et la grosse molle se transformait rapidement en énorme dure.


On se câlinait, on se caressait, on se suçait la queue chacun son tour. Il avait raison finalement, j'avais une petite bite, une toute petite même si on comparait avec la sienne. Mais bon il ne doit pas y avoir beaucoup de mecs avec une grosse queue si on fait la comparaison avec lui.


Il m'a d'abord proposé de m'enculer.


Bein oui je lui avais dit que je me faisais aussi enculer. En fait même je suis plus passif qu'actif et avec ce petit bonhomme il y avait de quoi faire.


Il se préparait tout de suite, il se lubrifiait longuement la queue, il bandait ferme et moi j'étais impressionné par un truc qui dépassait largement les vingt centimètres. Sa queue était ferme, mais restait un peu moelleuse, quand on la prenait fermement dans la main on la sentait très légèrement molle, mais elle restait ferme tout de même.


Je vous dit pas mais j'avais les boules quand il appuyait sur mon cul avec cette matraque. J'en menais pas large, il poussait, je sentais sa queue qui m'écrasait les fesses. J'avais l'impression que ça ne rentrerait pas, mon cœur battait fort et je paniquais.


J'ai cru m'évanouir, la pression contre mon cul était folle, ça devait lâcher, çà allait lâcher, ça … ça à lâché. C'était de la folie, mon cul se dilatait sans douleur, je sentais un truc que je savais énorme et que je sentais énorme me dilater l'anus. Ça glissait en moi. Il poussait doucement, je restais là, la bouche ouverte incapable d’émettre un son sauf peut être un long souffle.


Il glissait lentement et j'avais envie de hurler. Il se penchait sur mon dos et me prenait dans ses bras. Ce n'était pas du plaisir que je ressentais, c'était autre chose, c'était peut être plus terrible ou meilleur. C'était surtout difficile à dire.


J'ai bien un gode gros comme sa bite mais je ne me le suis enfilé que rarement. Je le trouve trop gros. Mais là il y avait le bonhomme au bout, il y avait tout et ce n'était pas moi qui pilotait.


Il s'est retiré lentement, et il a commencé à me limer. C'était intense comme jamais. C'était effrayant mais j'en voulais encore. Il revenait à la charge et là je parvenais enfin à crier, pas de douleur, il ne me faisait pas mal mais juste parce que j' ne pouvais pas faire autre chose et aussi parce qu'il fallait que j'exprime mon plaisir. Pourtant ce n'était pas du plaisir. Au bout de quelques mouvements c'était mieux que ça.


Puis je me suis mis à sangloter, il m'embrassait dans le dos, en haut de mon dos, presque dans le cou. Ses baisers se posaient sur mes épaule. Il me demandait doucement à l'oreille si tout allait bien. Je faisais oui de la tête.


Il se retirait puis d'une manière plus régulière il reprenait en s'enfonçant puis en ressortant. Je finissais par récupérer mon souffle et je gueulais maintenant.


Il finissait par jouir en moi et par se retirer.


J'ai pris un pied comme jamais, oui je sais je me répète, mais au moment ou il est ressorti de mon cul je me suis senti … un peu comme … vidé. Sans doute un peu comme une dinde qu'on aurait vidé. J'ai joui, et j'ai éjaculé, c'était un plaisir intense dans le cul et un plaisir intense dans ma queue. Je jutais, j'éjaculais. C'était à la limite d'une certaine douleur mais quelquefois l'orgasme n'est pas loin de la douleur.


Je m'effondrais sur moi même, il se laissait tomber sur moi.


Je sentais son corps terriblement doux. Je me retournais et je le caressais. Il aimait, il avait la peau douce, je n'arrivais pas à m'y faire tellement c'était agréable de le toucher. Ensuite c'est sa queue que je tripotais, il s'était vidé les couilles et elle redevenue toute molle. Elle n'avait pas repris sa taille au repos, enfin, c'est vrai que je ne savais pas vraiment quelle était sa taille au repos. Je ne savais pas si elle avait une taille au repos.


Elle n'avait peut être que deux positions, deux état, détendue et en érection. Énorme dure et grosse molle … Et là il revenait au repos, grosse molle.


Il se laissait faire.


J'avais débandé et je me sentais terriblement bien à ce moment. J'avais oublié son côté fille, après ça il ne me faisait plus du tout penser à une fille.



A suivre




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Le Roy 08 : Ce sera un long voyage

 Le Roy 08

Ce sera un long voyage



Je ne gardais pas mon harnais. Le recruteur me rappelait qu'une cage à bite avec un harnais, ça fait péquenaud. Le recruteur nous équipait d'un sac à dos, il fallait transporter l'eau et des vivres …


On partait d'un pas décidé. Notre voyage devait durer un mois jusqu'au port des grands fonds. La première étape de ce voyage d'aller, consistait à rejoindre la ville de feu, c'était une ville administrative dans une région très chaudes, on disait que même les chameaux avaient du mal à y rester, il fallait leur donner à boire tous les jours … Nous, on était habitué à la chaleur, devant chez moi, j'avais toujours quelques chameaux qui suffoquaient pendant la journée. Ça ne devrait pas trop me changer. Cinq ou six jours de marche seraient nécessaires.


C'est seulement au bout du troisième jour que la nature se réveillait. Si vous avez bien suivi, vous avez remarqué que nous portions tous un dispositif de chasteté sauf le lieutenant recruteur. Je ne l'avais pas vu bander pendant ces derniers jours.


Nous étions réunis autour d'un feu de camps, on avait bien mangé et il était allongé, à la vue de tous, il ne tentait même pas de se cacher. Il bandait, nous on était tous un peu à l'étroit. Dans nos cages, je veux dire …


Le secrétaire regardait ça de loin, puis il se décidait, il s'approchait de son chef, se penchait sur lui et prenait sa queue dans la bouche.


On a tous sursauté quand on a vu ça. Le recruteur allongeait ses jambes sur le sol et les écartait, son secrétaire s'était installé entre ses jambes, il était à genoux, juste à la bonne hauteur. Avec les deux mains il caressait le corps de son boss, et en même temps il avalait sa queue bien à fond sans efforts apparents.


Comme je vous le disais, je ne suis pas attiré par les hommes mais … Je m'imaginais à la place du boss. Je me serais bien fait sucé le queue moi aussi.


Le secrétaire qui, comme on pouvait le constater était bien plus qu'un secrétaire, savait s'y prendre. Le lieutenant penchait sa tête en arrière et ne retenait pas ses gémissements, au contraire même, j'avais l'impression qu'il en rajoutait. Il abusait, il ne faisait rien, il se laissait faire. Est-ce que je me comporte comme ça moi ?


En plus il ne se privait pas de bien s'exhiber devant nous sept. Jaffa regardait ça avec intérêt, il se contrôlait bien mais les six autre, moi y compris, avions du mal à ne pas réagir. Je sentais ma queue qui protestait dans ma cage. Dans ma tête je me disais que c'était reparti, pendant trois mois j'avais porté mon dispositif, je devrais garder à nouveau ce dispositif pendant tout le voyage. Et ça durerais encore un moment.


Je me demandais si c'était une bonne idée tout ça. Bon j'étais parti pour un contrat de cinq ans, ensuite, j'épouserai Jaffa et ensuite j'épouserai une femme. Je serais alors riche et bien installé. Déjà qu'avec les moutons, ma famille était relativement à l'aise, au niveau finance je veux dire. On ne manquait de rien. On pourrait doter ma jeune sœur sans problème.


J'essayais de penser à autre chose alors que le secrétaire s'allongeait sur le lieutenant, glissait contre lui et utilisait son corps pour caresser celui de son maître. Il n'avait pas de poil et une peau qui devait être douce, il avait une musculature fine et bien dessinée. Sa cage était de belle taille ce qui prouvait qu'il devait avoir une grosse queue lui aussi.


Ça n'avait peut être plus d'importance, peut être faisait-il parti de ceux qui ne la retireraient jamais. C'était bien le cas de Jaffa. Lui remarquez ne l'avait pas choisi. J'avais envie de lui péter le cul. J'avais brusquement une violente envie de l'enculer avec force. Ma queue gonflait, elle prenait toute la place et tentait même de déborder, des bourrelets de peau se formaient à chaque trou d'aération. Ma cage se balançait en suivant les battement de mon cœur.


Le secrétaire glissait sur le corps de son boss, lui déposait des baiser un peu partout, sur les épaules sur les tétons sur les hanches avant de reprendre sa queue dans la bouche. De nouveau il le suçait, cette très belle queue de belle taille entrait facilement et devait s'écraser au fond de sa gorge quand il appuyait son visage sur le ventre du lieutenant.


Il gémissait de plus en plus fort, heureusement il n'y avait personne dans les environs. On s'était arrêté en pleine campagne, dans un endroit isolé.


Le lieutenant se relevait, il prenait bien son temps. Il avait sorti un lubrifiant, c'était un truc fait chez l’apothicaire, on devinait qu'il avait les moyens, moi souvent dans ce cas j'utilisais du beurre. Ça marche bien le beurre aussi remarquez.


Il lubrifiait bien le cul du secrétaire avant de bien se lubrifier la queue. Il était impressionnant debout éclairé par les flammes du feu on voyait toute sa force, toute sa virilité. D'habitude je n'avais rien à lui envier mais là avec cette cage en ivoire de Dentosaure, ça ne faisait pas pareil.


J'aurais été prêt à tout pour pouvoir le retirer. Mais c'était pas prévu, il ne nous avait pas dit pourquoi mais ce n'était pas prévu.


Le secrétaire se retournait, se penchait en avant et écartait bien les jambes. Sans rien dire son maître prenait position et d'un mouvement rapide et décidé, lui enfonçait la queue bien à fond. Il le prenait à froid mais le secrétaire ne bronchait pas, il encaissait, il gémissait, poussait même un petit cri mais il encaissait avec facilité.


Le boss commençait alors à lui limer le cul, il était décidé. Il avait décidé de prendre son pied, il avait décidé de faire couiner son secrétaire il lui défonçais le cul sans ménagement.


Les coups tombaient les uns après les autres, il se lâchait le boss, il se lâchait, c'est vrai qu'on ne l'avait pas vu bander depuis notre départ mais, nous non plus on n'avait pas bandé.


C'est vrai que pour nous c'était un peu différents. Nous on ne pouvait pas !


On ne pouvait pas mais à ce moment on en mourait d'envie. Nos cages à tous les sept se relevaient avec une certaine force et se balançaient de haut en bas au rythme des battements de nos cœurs.


Le recruteur s'énervait, il accélérait le mouvement et devenait violent. Son ventre claquait quand il s'écrasait sur les fesses de son partenaire. Il le tirait en arrière quand il lui donnait de violents coup de bassin. Là le secrétaire commençait à gémir, il respirait plus fort et poussait des cris à chaque coup qu'il recevait.


Autour de moi mes camarades ne tenaient plus en place. Visiblement leurs dispositifs de chasteté les travaillaient. Ils se tortillaient, bougeaient, il ne parvenaient pas à trouver une position confortable.


Avec un tel dispositif sur la queue on ne peut pas bander et si on bande ça ne se voit pas. Enfin normalement ça ne se voit pas mais là je peux vous garantir que ça se voyait. Ça se voyait même très bien. Les cages à bite étaient toutes bien pleines, et ça débordait de partout. Et on n'était pas à notre aise.


Le recruteur continuait à s'amuser pendant un moment. Ses mouvements devenaient saccadés. Il faisait des grimace, il respirait fort, quelques coups violents puis il s'effondrait sur son partenaire.


Il se retirait finalement, nous étions en apnée. J'avais l'impression de ne plus respirer. Le secrétaire se relevait et on voyait clairement couler de sa cage un liquide blanc. Sont visage était tout rouge, et cette couleur était amplifiée par la lumière chaude du feu mais il avait air ravi, il avait joui.


Nous on ne se sentait pas vraiment bien. J'espérais qu'ils ne chauffent pas comme ça tous les jours ou alors je deviendrais fou avant la fin du voyage.


Ensuite le recruteur s'allongeait, il jetait sur lui un couverture, quelquefois les nuits sont froide, son secrétaire allait se blottir contre lui et quelques minutes plus tard ils dormaient tous les deux.


Nous on restait en retrait et on discutaient.


Je n'étais pas le seul à ne pas me faire enculer. Il y en a qui aiment d'autres pas. Jaffa aimait lui, heureusement pour lui. Des cinq autres il n'y en avait qu'un qui y trouvait un certains plaisir.


Nous étions tous purs, c'est à dire que nous n'avions jamais touché à une femme. Comme je vous l'expliquais plus tôt, on vivait à poil mais c'est pas pour ça que nous avions des mœurs légères. Presque toutes les femmes arrivaient vierges au mariage.


Bon c'est vrai qu'avec mon petit frère, ça faisait baisser la moyenne, il n'avait pas seize ans et déjà lui n'était plus pur du tout. En plus je me doutais qu'il allait continuer à déshonorer d'autres pauvres filles ce petit branleur. Quoi que le qualificatif de branleur dans son cas n'était peut être pas le plus pertinent.


Enfin bref, on n'a pas vraiment bien dormi cette nuit là. Si on en avait eu la possibilité on se serait branlé et tout de suite ça aurait été plus détendu mais, on devait porter une dispositif de chasteté pendant tout le voyage. Il y en avait au moins un en plus de Jaffa qui se serait porté volontaire pour prendre la place du secrétaire avant l'arrivée.


Il était tout content de lui, et gai comme un pinçon le lieutenant le lendemain matin en se réveillant. Il venait nous réveiller en nous donnant un coup de savate et en plus il chantait.


On s'est préparé et on est reparti.


Je marchais à côté du lieutenant pour pouvoir parler avec lui.


Dites moi, lieutenant recruteur, pourquoi faut-il qu'on porte ce dispositif de chasteté ? Si entre hommes ça ne compte pas ça ne sert à rien, on est entre hommes justement.

Tu n'as donc pas remarqué les filles au dernier village ? Me répondait le lieutenant. Il y en avait tout un groupe qui se formait et nous suivaient. Tu peux me croire mon garçon, si une d'entre elle met la main sur l'un d'entre vous et qu'il n'est pas protégé, je ne donne pas cher de sa pureté.

Et c'est grave si … Je ne terminait même pas ma phrase.

C'est la loi ! Pour faire partie du cercle des proches du roi, pour pouvoir l'approcher, le servir, le toucher, il faut être pur. Lui il l'est !


Je réfléchissais à ce qu'il me disait, je n'étais pas vraiment sur de comprendre ce qu'il me racontait mais bon, si c'est la loi …


Tu prends un engagement de cinq ans et ensuite tu peut vivre ta vie comme tu l'entends.

Il faudra porter ce truc pendant cinq ans ?

Non, on vous le retirera quand vous entrerez dans le cercle des proche. A ce niveau là du palais royal, il n'y a plus que des hommes.


C'était rassurant, sinon je crois que je serais reparti, je ne m'étais pas encore engagé moi, en fait à ce niveau là, nous n'étions que des candidats.


Il y a aussi le second cercle. Rajoutait le lieutenant. Lui il est composé de petite mains, certains disent de petites bites. Eux portent un dispositif de chasteté en ivoire de dentozaure.

Comme ceux qu'on porte en ce moment ?

Voilà ! Ton camarade Jaffa, grâce à son dispositif en métal, pourra accéder au second cercle mais sera à ton service. C'est toi qui le paieras.


Je ne comprenais plus du tout de quoi il s'agissait, le travail que nous devrions faire. C'était quoi cette histoire de cercles et de petites mains ? Je me posais des questions.


Nous serions les proches du roi ? Ses serviteurs ?


J'avais hâte d'arriver et de voir de quoi il en retournait. Il n'y avait pas de femmes dans l'entourage immédiat et pour le servir il fallait ne jamais y avoir touché.


Plus j'en apprenais, plus je me posais de questions.


Quelques jours plus tard nous arrivions à la ville de feu.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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