31 Mars 2020

J 91
Semaine 13
Mois 3









ET TOUJOURS EN ÉTÉ 03 SARAH

ET TOUJOURS EN ÉTÉ 03
SARAH


On prenait notre temps, on prenait le temps de vivre, surtout le dimanche. Les hommes s'étaient réunis de leur côté de la terrasse, plus à l'ombre juste en face de la grande porte fenêtre c'était le coin des femmes.

Déborah et Sarah restaient avec leur mère, ce qui ne les empêchait pas de jeter vers nous des regards réguliers.

Bien sûr nous étions du côté des hommes, ils parlaient de la récolte, de la propriété, des prix des marchandises … Enfin de tout un tas de trucs qui ne nous intéressaient absolument pas. On faisait toutefois semblant de s'intéresser tout en tournant régulièrement les yeux vers les deux jeunes filles.

On les connaissait depuis toujours mais c'est vrai qu'on les voyait moins depuis quelques années et elles étaient devenue de belles jeunes femmes. Elles avaient deux ans d'écart, la plus âgée, Sarah, était un peu plus vieille que moi. Déborah elle, était un peu plus jeune que Samuel. Personne ne s'était concerté mais il semblait évident que j'épouserais Sarah et que mon cousin lui épouserait sa sœur … 

Nos deux familles gardaient des contactes réguliers on les retrouvait tous les dimanche après l'office, quelquefois chez eux, souvent chez nous. On était plus proche du village. La propriété de nos amis était moins importante que la notre mais restait de belle taille. En plus en amont de la rivière, les deux propriétés se touchaient ce qui en cas de rapprochement serait pratique. 

Un peu plus tard Mamata apparaissait discrètement au bout de la terrasse, elle faisait un signe à ma mère.

Ma mère : Et bien je pense qu'il va être l'heure de passer à table, si vous voulez bien entrer et prendre place. 

Un peu plus d'agitation et de bruit, les femmes en premier se dirigeaient vers la salle à manger, les hommes traînaient un peu et terminait leur verre. Il y avait autour de la table comme une agitation calme, tout le monde prenait place dans un grand mouvement de masse mais sans précipitation.

Mon cousin était à ma droite et juste en face de nous, Sarah et Deborah. On pouvait discuter entre nous, tout le monde était placé de manière à se sentir à l'aise. Nous étions en bout de table, entre jeunes.

Après le repas nous nous promenions longuement en compagnie de nos jeunes voisines dans les jardins, on leur proposait un petit tour en barque.

Tout était en retenue, même le temps semblait se retenir. La chaleur était moite, il n'y avait pas de vent, dans chacun de mes mouvement je sentais la toile de ma chemise sur mon corps, le coton est d'un contacte agréable surtout avec cette chaleur. Et je sentais aussi ma queue, moitié dure, moitié molle qui se balançait entre mes jambes, mes couilles qui roulaient contre mes cuisses. Je ne sais pas si c'était la présence de mon cousin ou des deux jeunes filles qui me donnait des envies. Mais c'était comme un appel de la part de ma queue, un désir, une manifestation discrète, sauf pour moi. Mais je contrôlais la situation.

Nous revenions pour nous rafraîchir sur la terrasse, les hommes étaient dans la bibliothèque et fumaient, les femmes étaient dans le jardin sous le kiosque, elles prenaient le thé, nos deux amies partaient retrouver leur mère.

Mon cousin s'effondrait sur une chaise et s'installait les jambes allongées. Du regard je parcourait tout son corps, depuis son sourire, celui des mauvais jours, celui qu'il fait quand il prépare un mauvais coup, jusqu'à ses pieds. Je m'attardais sur son torse, sa chemise le mettait très en valeur puis juste sous sa ceinture, un bosse visible laissait deviner qu'il ne portait pas non plus de sous vêtements. Ce n'était pas juste une bosse mais une forme allongée, discrète mais visible. 

Il suivait mon regard, et c'est à ce moment qu'il choisissait de contracter sa queue et je voyais la bosse soulever le tissus de son pantalon. Ça me faisait rire. On surveillait que personne ne nous voyait. J'avais rapidement la même réaction que lui. Je terminais ma limonade et rapidement me levais, il me suivait quelques secondes plus tard. On se retrouvait au grenier. 

Au moment ou on y arrivait on bandait ferme, je ne contrôlais plus rien mais là je ne le tentais plus. J'entrais en premier, il refermait la porte derrière lui et s'approchait de moi. Je le prenait dans mes bras, je ne sais pas si c'était sérieux avec des invités dans la maison, mais pourquoi devrait-on se priver si on a là à porté de la main ce qui nous rend heureux.

Nous nous embrassions avec passion, il refermait ses bras sur moi, je le couvrais de baiser dans le cou, sur l'épaule après avoir pris soin de lui ouvrir la chemise. Je glissais une main sur son torse, mon bassin appuyait contre le sien et je sentais qu'il bandait. Il relevait la tête en arrière et me laissait lui caresser le torse, il me laissait l'embrasser sur les tétons, j'en profitais pour les lui mordiller d'une manière à la fois ferme et tendre. Il gémissait de plaisir et me caressait les cheveux. 

Si au début nos ébats étaient timides et réservés, avec le temps nous connaissions chacun de mieux en mieux le corps de l'autre et nous nous donnions l'un à l'autre de plus en plus fort, avec de moins en moins de réserves.

Je prenais de plus en plus de plaisir à sentir ses muscles rouler sous sa peau quand je le caressais. J'aimais sentir ses vibrations, entendre ses gémissements de plaisirs quand je lui mordillais les tétons ou embrassais le reste de son corps.

Sa chemise était maintenant totalement ouverte, je promenais mon visage sur tout son torse, tout son ventre, ses épaules et avec mes lèvres, je lui donnais des caresses d'une extrême tendresse. Ma langue participait aussi et mes dents le faisaient trembler sans pour autant lui faire mal. 

Par moment avec des gestes rapides qu'il semblait ne pas vraiment contrôler, il me prenait le visage entre les mains, me retenait et m'embrassait frénétiquement. Il se serrait alors contre moi et me couvrait de baiser sur mon front, mes yeux, me suçait le lobe des oreilles, pour terminer sur mes épaules.

J'étais comme un fou qui en voulait, qui voulait son corps et je me dégageait et tombais à genoux devant lui. On aurait dit le poteau d'une tente qui se dressait devant lui tant il bandait. J'ouvrais son pantalon et pendant qu'il tombait sur ses chevilles je prenais sa queue dans ma bouche. Il voulait me retenir je ne le lui permettais pas et en un seul mouvement j'écrasais  mon visage contre son ventre. Sa queue s'écrasait, elle, au fond de ma gorge.

Il tremblait, il gémissait, c'étaient de petites plaintes qui auraient pu faire penser à un sanglot, mais je vous garantis qu'à ce moment il n'avait pas envie de pleurer. Il me caressait les cheveux avec des mouvements rapides et je le sentais retenir son bassin. 

Par moment il y avait comme un coup de bassin qui partait mais qu'il retenait. Je sentais ses cuisses se contracter, c'était le seul moyen qu'il avait trouvé pour se retenir. Ses gémissements devenaient plus bruyants. Il tremblait il voulait écarter mon visage mais c'est moi qui résistait, je voulais sa queue, je la voulait en entier et à chaque fois que j'avançais ma tête vers lui elle s'écrasait au fond de ma gorge. 

Samuel : Attends ! Vas y doucement !

Je calmais mes ardeurs mais c'était juste pour faire le durer le plaisir, je le sentais, il était sur le point de jouir.

Je glissais une main dans mon pantalon, je bandais ferme, j'ouvrais mon pantalon et me masturbais. Sa queue était toujours dans ma bouche, juste son gland, et je le caressais très doucement avec la langue maintenant. Il respirait fort mais je sentais ses cuisses se détendre. 

Le plaisir montait, ma queue se relevait maintenant et mes caresses la faisaient réagir. Après un moment de calme je reprenais des mouvements plus vifs. J'appuyais de nouveau mon visage contre son ventre et poussais mon visage contre lui. Sa queue me rentrait dans la gorge, quelques mois plus tôt j'aurais vomi mais là je me régalais.

On entendait un bruit. On restait tétanisé de peur d'être surpris, on ne bougeait plus !

Ma tante : Samuel, Jonathan … ? Vous êtes ici ?

On ne faisait plus le moindre bruit, on ne respirait plus, on ne bougeait plus.

Ma tante : Nos amis vont nous quitter, si vous êtes là vous pourriez descendre les saluer … 

J'avais sa queue dans ma gorge, je ne pouvais plus respirer, il éjaculait. Je me retenais et ne bougeais pas, j'avalais ... Ma tante s'éloignait.

Samuel : Non de dieu ! On a eu de la chance ma mère a bien failli nous surprendre. 

Il retenait avec force ma tête contre lui.

Samuel : Wouah ! C'était bon ! Je crois que ça n'a jamais été aussi bon ! 

Je relevais les yeux et n'en pouvant plus, j'étouffais, je tentais de me dégager. C'est seulement à ce moment qu'il me lâchait. Je bandais comme un fou.

Samuel : Tu t'imagines si ma mère nous avait surpris dans cette position ?

Il rigolait. Nous entendions de nouveau sa mère nous appeler elle était à un étage plus bas maintenant.

Samuel : Bon ! On ferait mieux de descendre !
Moi : Mais, mais, mais …

Il se rhabillait, j'en faisait de même mais je vous jure que ma queue elle ne voulait pas se cacher, elle protestait, je respirait fort, mon cœur battait vite. Je n'avais pas joui moi et cette affaire ne m'avait pas calmé. 

Mon cousin ne s'inquiétait pas de moi, il était présentable et se glissait vers l'échelle au fond du grenier et en quelques instants se retrouvait au rez de chaussée, sur la terrasse sans que personne ne puisse savoir d’où il venait. J'étais près de la fenêtre et je les entendais. 

Ma tante : Ah tu es là trésor, je te cherchais partout, tu n'aurais pas vu Jonathan, vous êtes toujours ensemble d'habitude ?

Moi je tremblais, j'avais refermé mes vêtements, il ne restait plus que cette bosse, ce mat qui se dressait devant moi et repoussait la toile de mon pantalon. Je me concentrais et reprenais le contrôle, ce n'était pas facile mais au bout un moment ma queue rentrait dans le rang. Elle se soumettait à ma volonté, et si elle refusait de redevenir une petite molle discrète elle se transformait en moyenne molle qui ne se faisait plus trop remarquer. 

Je m'en assurait dans un miroir avant de descendre. Je prenais le grand escalier puis le petit à partir du premier étage. J'arrivais à mon tour et personne ne pouvait deviner que je venais du même endroit que mon cousin.

C'est pas facile tous les jours ! Vous pouvez me croire !

C'était une pression effroyable et jouissive que j'éprouvais dans ma tête, ma queue n'attendait qu'une occasion, une caresse, un contacte avec un objet comme le bord de la table par exemple pour se manifester de nouveau et échapper à mon contrôle. Je me concentrais, respirait lentement et c'est la tête qui avait le dernier mot. 

Je saluais nos invités, tout particulièrement Sarah. Quand elle me faisait la bise le bout de son ombrelle appuyait que ma bite et j'ai bien cru qu'un révolte incontrôlable allait exploser à ce moment. Je gardais le sourire et parvenais à garder le contrôle. 

Tout est en retenue ici, et même si le temps semble se retenir je ne vous dis pas ce que moi à cette seconde je devais retenir … Mon cousin, ce farceur, semblait lire dans mes pensées. C'est vrai qu'on se connaît depuis tellement longtemps, il avait son sourire, celui qu'il fait quand il prépare un mauvais coup !

Nos voisins repartaient, on leur faisait de grands gestes. Puis, avec l'autre farceur je partais faire un tour dans le jardin, nous descendions vers la rivière. Au détour d'un buisson, il s'approchait de moi et d'un geste vif me prenait par le cou, me tirait vers lui et me donnait un baiser sur la bouche. Ma queue se relevait, il le remarquait et en riait.

On traînait, on discutait, je bandais, il rigolait. Ou nous étions on pouvait nous voir depuis la maison, je me retenais donc de tous gestes déplacés. Lui le farceur il était maintenant tout à fait détendu et s'amusait de me voir dans cet état.

Les ombres s'allongeaient, l'eau de la rivière prenait la couleur du ciel et devenait noire. On regardait les étoiles se lever.

Samuel : Elle te plaît bien la petite Sarah ?
Moi : J'ai trouvé que tu regardais beaucoup Déborah !
Samuel : Je vais l'épouser ! Je lui ferais douze enfants, dix garçons et deux filles.
Moi : Deux filles seulement ?
Samuel : S'il y en a trop ça fait beaucoup de bruit !
Moi : Tu abuses. Et si ça ne marche pas comme prévu. Imagine que tu lui fasses deux garçons et dix filles. 
Samuel : Ne parles pas de malheur !
Moi : Je te préviens tu ne resteras pas sous ce toit si tu me fais une famille pareille !
Samuel : Je te signale que ce toit c'est aussi le mien !
Moi : Oui mais moi je veux être tranquille, et c'est vrai que dix filles ça fait beaucoup de bruit.

On rigolait …

Samuel : Et toi, avec Sarah ?
Moi : Deux garçons, c'est l'idéal et deux filles, c'est un maximum !
Samuel : Tu crois que nos fils seront aussi proches les uns des autres que nous le sommes ?
Moi : J'espère bien que non ! C'est totalement inconvenant ! Tu imagines si ça se savait ?

J'étais enfin détendu, ma queue avait fini par se calmer, elle pendait lourdement derrière la toile de mon pantalon, mes couilles roulaient contre mes cuisses. C'était agréable mais sous contrôle. On revenait vers la maison il faisait nuit, nos serviteurs nous préparaient un repas léger pour mon cousin et moi sur la terrasse. La familles soupait toujours ensemble mais le dimanche soir on se permettais un peu de détente et on oubliait le protocole.

Plus tard dans la nuit, je me glissais dans la chambre de mon cousin en passant par notre terrasse. Ma queue se manifestait de nouveau. Il dormais déjà, je ne l'ai pas réveillé et je me suis retiré et me suis branlé dans mon coin.



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PHILIPPE EP 32 : VACANCES IMPROVISEES

PHILIPPE
EP 32 : VACANCES IMPROVISEES



J'ai mal dormi cette nuit là. J'ai même très mal dormi. Je bandais, je n'avait pas joui moi et je n'osais pas me branler. Ça m'aurait calmé mais, bon, je n'osais pas. Je me suis réveillé je ne sais pas combien de fois et à chaque fois je voyais Luidji dormir. Il était allongé sur le dos, de temps en temps il bougeait. 

Par moment son dispositif ressortait sous sa couverture, à d'autres moments c'étaient ses fesses que je pouvais admirer. Il a un joli cul mon copain Luidji et je m'étais fait une fête de l'enculer. Je rêvais en regardant son cul, je rêvais mais ça ne veut pas dire que je dormais. C'était plutôt un cauchemar.

Il y avait à quelques mètres de moi un garçon adorable qui portait un dispositif de chasteté PK. Un garçon qui était en manque et qui ne tarderait pas à exprimer à nouveau son manque d'ici peu. Un garçon qui malgré son manque d'expérience suçait assez bien, je suis sûr qu'il va devenir un véritable spécialiste avec un peu d'entraînement celui-là. Il avait en plus un cul et je me sentais débordant de romantisme moi à ce moment. 

Je bandais, j'admirais ses fesses et me voyais en train de l'enculer. Je m'y voyais bien là, surtout que je savais que j'y viendrait, je savais qu'un jour il serait encore plus en manque et que ce jour là je pourrais laisser s'exprimer mon romantisme naturel … Et pan dans l'cul  !

C'est lui qui me réveillait le matin suivant en m'attrapant les couilles et en les serrant dans sa main. C'était pas pour me faire mal, juste pour me taquiner, ça a marché je me suis réveillé tout de suite. Comme tous les matins, douche, habillage laborieux, moi c'est la bite qui ne voulait pas rentrer dans mon slip, lui c'était son dispositif qu'il ajustait avec délicatesse.

C'est ainsi que se terminait le premier trimestre. J'étais frustré, heureusement qu'il y avait Peter et ses soirées libertines. 

J'arrivais à la maison pour les vacances, les journées étaient belles, la saison chaude était terminée mais le soleil ne le savait pas encore. Mon père me tombait dessus. 

– Monsieur Brosso Philippe ! Tu pourrais m'expliquer ce qui t'arrive ? Me demandait mon père.
– C'est pas moi papa je te jure, j'ai rien fait, si ça se trouve j'étais même pas là !
– Mais qu'est ce que tu racontes ? Je viens de recevoir une note de ton directeur qui me transmet quelques félicitations pour toi et m'informe que tu n'as pas été viré d'un seul cours depuis plus d'un mois. Il rajoute aussi que pendant les deux mois précédents ton comportement s'était considérablement amélioré. Bravo Philippe ! Tu n'as plus qu'à travailler un peu mieux et tu devrais devenir un élève acceptable. 
– C'est bien alors ?
– J'aimerais juste savoir à quoi tu pensais quand tu te défendais si vite à l'instant.
– Quand ça ?
– Il y a quelques secondes quand tu me disais '' C'est pas moi papa !''.
– Ah ! Tu parles de ce moment là ? ...
– Oui !
– Bein je ne pensais à rien. 
– Tu es sûr ?
– Bein oui !
– Alors pourquoi tu …
– Au cas ou … On ne sait jamais …
– Et tu n'as donc rien fait ?
– Pour une fois …
– Philippe tu me fatigues !
– Bien papa ! Si tu veux papa !
– CE N'ETAIT PAS UNE REQUETE ! Fout moi le camp tu m'énerves !
– Je peux aller faire un tour en moto ?
– Vas ou tu veux, tant que tu ne reviens pas entre deux gendarmes et que tu ne défrayes pas les chroniques !

Il était dans de bonnes dispositions j'en ai profité. Il ne me fallait pas longtemps pour remplir un sac à dos et enfourcher ma moto. Un peu plus tard dans l'après midi je me disais qu'il valait mieux prévenir. Je téléphonais donc à mon pè … Euh ? … 

Je téléphonais donc à ma mère …

– Allo maman, papa m'a dit que je pouvais aller ou je voulais aussi comme il fait beau j'en profite pour me faire deux semaines de camping …
– Bien mon chéri ! Si ton père est d'accord je ne vois aucune raison de m'y opposer … Tu as tout ce qu'il te faut ?
– Pas de problème j'ai tout prévu.
– Bien alors amuse toi bien mon trésor.

Je ne suis pas sûr qu'elle ait tout compris mais c'est pas grave. Si mon père ne m'appelle pas dans l'heure pour m'engueuler c'est que tout va bien, c'est qu'il est d'accord ! Le soir je m'arrêtais dans un hôtel, j'avais une petite carte de crédit qui me permettait de régler mes menues dépenses.

Il ne me fallait pas une heure pour repérer un petit gars en livret de garçon d'étage, mignon comme un cœur. Le soir même le dernier service qu'il effectuait, c'était dans ma chambre, je me faisais livrer une bouteille de champagne et deux verres. Je sais je n'ai pas l'âge pour acheter de l'alcool mais dans un hôtel c'est pas comme dans un bar, et puis le champagne c'est pas vraiment de l'alcool.

– Vous avez commandé deux verre monsieur, vous attendez quelqu'un .
– Peut être est-il déjà là !

Oui je sais 'la ficelle est grosse' mais ça a marché. Moins de dix minutes plus tard il me frottais le dos sous la douche avant que je ne lui frotte le siens. En plus il portait un de ces dispositifs. C'est incroyable mais les porteurs de ce genre de truc ne sont décidément pas farouches.

On se séchait rapidement avant de nous jeter sur le lit. C'est frénétiquement que je le prenais dans mes bras et le couvrais de baisers. Il me couvrait de caresses. On roulait l'un sur l'autre, nos bras se mélangeaient. 

Je me sentais très tendrement romantique moi au moment ou j'ai vu qu'il portait un dispositif, c'était un modèle en résine mais décoré, la PK en sort régulièrement avec des inclusions, des couleurs, des reflets. 

Il était déjà vraiment mignon et avec ce dispositif sur lui il était craquant et sexy … J'ai craqué ! Ça devait bien finir par arriver tout de même …

Je me retournais pour pouvoir lui gober les couilles pendant qu'il me suçait la queue. Je lui glissais un doigt dans le cul, il en faisait de même. J'appuyais alors mon bassin contre son visage, ma queue s'écrasait au fond de sa gorge, il tenait le coup le gars, il avait l'air d'aimer. 

Je lui enfonçais un second doigt dans le cul et commençais à les agiter. Je l'entendais gémir et se tortiller de plaisir. J'y allais plus fort, plus vite, je lui caressais les couilles avec force. Il me suçait avec vigueur.

C'est alors que plein de romantisme je me relevais, le retournais, l'allongeais sur le ventre. Il se laissait faire. Pour finir je m'allongeais sur lui, prenais position, ma queue bien en face de l'ouverture de son petit cul, je lubrifiais et lui enfonçait ma queue jusqu'à la garde. Il gueulait mais c'est pas ça qui me calmait.

Je m'enfonçais dans son cul, j'en ressortais, j'y retournais … De plus en plus vite. Mes coups de bassins devenaient violents, et mon ventre claquait fort contre ses fesses. Il râlait, il gueulait, je devinais qu'il adorait, il mordait l'oreiller et tremblait dans mes bras. 

Je me retirais puis le retournais sur le dos. Je lui relevais alors les jambes et j'y retournais. Il me regardais bien droit dans les yeux, il était vraiment mignon et quand je baissais les yeux vers son dispositif l’excitation montait en moi et mes mouvements devenaient encore plus frénétiques.

J'ai vu ses yeux se retourner au moment ou il a juté, je l'ai senti alors trembler de tout son corps, il jouissait. Je ne me calmais pas, bien au contraire, je me donnais à fond, et quelques instants plus tard je jouissais dans son cul. 

Les derniers mouvements de mon bassin devenaient particulièrement violents, je poussais mon bassin contre son cul et je le tirais vers moi de toutes mes forces. Il gardait la bouche ouverte, aucun son n'en sortait. Je finissais immobile puis je me laissais tomber sur lui. 

Nos bras se refermaient sur l'autre, j'étais encore en lui et nous profitions d'un moment de tendresse et de douceur. 

Il s'est réveillé en même temps que moi, et est rapidement parti prendre son service. Je passais lui dire au revoir juste avant de partir et enfourchais ma moto. Avant de m'engager sur les routes désertes vers le soleil couchant tel un pauvre cow-boy solitaire … ( Vous imaginez la scène ? Je suis pas sûr d'être très crédible là ? ) . Enfin … Surtout qu'on était le matin !

Dans la journée suivante je m'arrêtais dans un camping très classe ou on pouvait louer des mobile-home. Les journées étaient belles mais la saison touristique était toutefois terminée et on n'avait plus besoin de réserver. Rapidement autour de la piscine couverte je faisait connaissance avec un bar-man sublime. Il était bronzé à souhaits, et j'imaginais déjà le contraste que devais faire un dispositif céramique contre sa peau. 

Je ne le lâchais pas des yeux de tout le temps que j'ai passé au bar. Il était musclé, mince, grand et il avait un sourire ravageur. J'étais fou amoureux avant l'heure du souper. Le soir il ne faisait pas encore nuit, on frappait à ma porte. C'était le bar man. Il avait une bouteille à la main.

Il était plus vieux que moi, il me regardait droit dans les yeux quand il s'est déshabillé. Il gardait ce sourire ravageur en exhibant sa musculature. J'avais le droit de toucher et je ne m'en privais pas. Moi aussi je me déshabillais. Il retirait un vêtement j'en faisais de même. Il a terminé à poil avant moi. J'étais presque déçu de ne pas trouver le dispositif céramique que j'avais imaginé mais j'étais ravi de découvrir une bite de très belle taille qui faisait envie.

C'est moi qui ai pris l'initiative et me suis retrouvé à genoux devant lui en premier. Il était taquin et appuyait sur ma tête tout en me balançant des coups de bassin. Comme il remarquais que j'encaissais sans faillir il appuyait avec force sur ma tête, j'en prenait plein la bouche. 

On inversait les positions, je ne me retenais pas non plus d'appuyer sur sa tête et je lui balançais des coups de bassins sans me retenir. Il encaissait encore mieux que moi.

Il me renversait sur le lit, me sautait dessus, on roulait l'un sur l'autre. Il me mordillait un peu partout sur le corps. Ça devenait violent, je sentais ses ongles qui me labouraient le dos, ses dents sur ma peau, il m'écartais les jambes et je me sentais envahi par son sexe, envahi jusqu'à la gorge ( même si j'exagère un peu là ). Il ne montrait aucune tendresse au moment ou il m'a pénétré, il montrait le même romantisme que le mien quand j'encule quelqu'un. Il a lubrifié sa queue pris position et  poussé de toutes ses forces. J'ai hurlé !

Un peu plus tard, c'est moi qui le retournait, il glissait du lit et atterrissait sur la tête. J'ai fait pareil, un jour je suis tombé sur le nez mais la tête c'est moins grave. On est des mec et en général dans la tête il n'y a pas grand chose … 

Vous me dites si vous pensez que je viens de dire une connerie là !

Je le réinstallait sur le ventre et, à mon tour, je me lubrifiais la queue bien comme il faut avant de lui défoncer le cul. Il hurlait, j'en faisais de même, c'est vrai quoi, il n'y a pas de raison qu'il soit le seul gueuler !

En cette saison il n'y a pas grand monde dans le camping et c'est mieux. On se serait fait remarqué autrement. Il a voulu se venger de ce que je venais de lui faire, il m'a retourné, je me suis écrasé contre le mur, il m'a enculé sans ménagement. J'ai gueulé, j'ai hurlé je me suis débattu, il ne me lâchait pas, j'ai gémi, je l'ai imploré mais quand il me lâchait c'est moi qui l'attrapait et je l'enculais sans aucune tendresse à nouveau, de la même manière. C'est lui alors qui à gueulé, hurlé et s'est débattu …   

Je ne sais pas lequel de nous deux était le plus fort, on a terminé par un match nul ! 

Il avait une bosse sur la tête, ça c'était quand il est tombé du lit.

J'avais des traces de griffures sur le dos, ça c'était quand il m'a fait un câlin viril avant de m'enculer.

Il avait des traces de dents sur le bras, ça c'était quand …  Ça je ne sais plus tiens !

J'avais un bleu sur la fesse, ça c'était au moment ou je suis tombé sur le derrière.

Il était écorché au niveau du coude, ça c'était quand il s'est retourné et que son bras à frotté contre le mur.

J'avais un œil au beurre noir, ça c'était quand il s'est retourné et que j'ai pris son coude dans l’œil. 

On avait dû nous entendre de loin là, on n'avait pas vraiment été discrets. Pfffiu … C'était quelque chose !

Le lendemain au bar on échangeait des regards complices pendant qu'il me servait un café. On ne parlait pas mais on affichait tous les deux un large sourire. 

– C'était quelque chose.
– Je trouve aussi ! Lui répondais-je.
– Tu viens de loin ?
– Deux jours de moto !
– Tu penses rester longtemps dans le coin ?

Finalement je suis resté plus d'une semaine , et il m'a fallu un mois pour m'en remettre. Non je déconne, ça s'est toujours terminé par un match nul et seulement quelques hématomes.

Les jours passaient il fallait bien penser à rentrer à l'école. En évitant de passer à la maison j'aurais préféré mais bon j'avais pas le choix. J'avais repoussé au maximum, j'arrivais à la maison la veille de mon retour à l'école. Mon père me tombait sur la couenne.

– PHILIPPE ! Quand tu décides de partir en vacances tu pourrais le demander tout simplement !
– Oui papa !
– ' Oui papa ' ! C'est tout ce que tu trouves à répondre ?
– Oui papa ! Pardon … Non papa ! Mais c'est pas moi que j'ai pas fait ! C'est toi que tu m'as dit que … 
– Philippe s'il te plaît respire quand tu parles, là tu bafouilles. 
– Oui papa !
– Ne te stresse pas comme ça et respire ! Tu sais que des fois tu me fatigues ! Tu sais que tu va bientôt avoir dix huit ans, ça ne me gêne pas que tu prennes un peu plus de liberté, d'autonomie. Alors si tu veux partir en vacances, préviens. Là tu m'as un peu mis devant le fait accompli, le gouverneur qui venait juste d'arriver et qui espérait te voir avait l'air un peu surpris que je ne sache pas quoi lui répondre …
– Oui papa !

Il m'envoyait me changer dans ma chambre, finalement ça c'était bien passé. En montant dans les escaliers je l'entendais parler avec ma mère …

– Ma chérie, tu sais il y a des jours ou je me demande si ton fils n'est pas un peu … Idiot … En tout cas c'est pas lui qui va me succéder à la tête de la PK.
– Mais enfin, tu sais qu'il est encore très jeune, il faut lui laisser le temps de grandir en maturité.
– Il va bientôt avoir dix huit ans …


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ET TOUJOURS EN ÉTÉ 02 UN JOUR D'OFFICE RELIGIEUX

ET TOUJOURS EN ÉTÉ 02
UN JOUR D'OFFICE RELIGIEUX


C'était agréable de bouger, marcher, se déplacer, monter à cheval, enfin … C'était agréable de ne pas porter de sous vêtements quand on fait tout cela. Pas uniquement à cause de la chaleur moite, mais aussi parce que j'aime bien sentir ma queue se balancer, mes couilles rouler contre mes cuisses. J'aime bien cette pression que je sens naître entre mes jambes, à tous ces moment ou ma queue est prête à se relever, ce risque de me faire remarquer, ce côté mauvais genre qui en découlerait … 


A cet instant on sent une sorte de poids, juste quand la petite bite se transforme en grosse molle et que sur le pantalon une forme se profile. J'adore ça et je me sens en éveil, car là il faut faire attention à ce que ça ne se voit pas.


Ce matin à l'église, j'étais comme à mon habitude …


Beau comme un prince !


Je portais une tenue en toile légère comme d'habitude mais avec une coupe plus travaillée. Il n'y avait pas toutes ces poches tellement utiles sur les vêtements de travail, j'avais une chemise blanche, une veste crème, une ceinture noire et un pantalon crème comme la veste. Un lacet décoré autour du cou en guise de cravate, nous étions très présentables. Par dessus tout ça un chapeau souple de la couleur de ma veste. Les vêtements étaient ajustés et je savais que si je bandais ça se verrait.


Nous arrivions à cheval mon cousin et moi, le reste de la famille était venu en calèche. Un jeune cousin et sa sœur étaient venus avec ma mère. Mais nous, presque adultes, nous préférions nous faire un peu remarquer. Nos chevaux étaient magnifiques, il faut dire que notre famille avait certainement le plus bel élevage du pays.


Quand mon cousin posait le pied à terre, je vérifiais sa tenue par réflexe. Il avait fière allure mais on devinait une forme que je trouvais élégante au niveau de son entre jambe, ça allait, c'était encore tout à fait présentable. Je savais que j'étais comme lui …


Beau comme un dieu !


Les filles qui s'approchaient par groupe ou avec leur parents nous jetaient des regards pleins de curiosité, elles nous connaissaient toutes, on était allé à la même école mais depuis quelques temps leurs regards changeaient, elles devenaient plus charmeuses et cachaient leurs yeux derrière des éventails, on entendait des rires joyeux qui se taisaient quand elles arrivaient à notre niveau.


J'ai senti une légère pression entre mes cuisses contre la toile de mon pantalon à ce moment, j'étais en éveil, je me sentais bien et je contrôlais la situation. Rien d'anormal ne devait paraître. Pendant la cérémonie c'est dans le plus grand silence que les regards se croisaient, se cherchaient et semblaient se trouver. À la sortie de l'office, ma mère discutait avec ses amies d'autres familles de la bonne société.


Les hommes se retrouvaient dans une taverne. Oh pas n'importe laquelle je vous rassure, pas celle qui avait des filles en tenues légères pour servir à boire … Non ça c'était pour les soirées, pas pour les jours d'office religieux … Mon cousin et moi y étions invités pour la première fois.


Pour la première fois nous avions le droit de goûter de la bière, le vin on en avait déjà bu depuis déjà longtemps, enfin quelques temps, un petit verre pendant le repas. Mais là c'était juste pour le plaisir de boire de l'alcool et de s'enivrer légèrement. La tête ne tardait pas à me tourner, c'était agréable mais le voyant mon oncle mettait fin au service … Pour nous !


Il faut savoir rester sage les jeunes. Nous disait mon oncle.

Mais on est sage tonton! Lui répondais-je.

Dis moi papa, pourrions nous repartir vers la maison sans attendre. J'aimerais passer par les Rochers du diable. Demandait Samuel.

Vas y fils. Tu l'accompagnes Jonathan ? J'avertirai tes parents.


Finalement c'était une bonne idée de repartir avant tout le monde, je n'y pensais plus mais quand j'enfourchais mon cheval je constatais que ce n'était plus une petite mince ni même une grosse molle qui remplissait mon pantalon mais presque une grosse dure. Et que ça commençait à se voire.


J'étais légèrement ivre, très légèrement je vous rassure et je pouvais encore conduire … Et puis de toutes façons l'animal connaît la route, il suffit de pouvoir tenir dessus sans tomber et on est sûr d'arriver à destination.


Je sentais mes couilles qui roulaient entre mes cuisses sur le cuir de la selle, la sensation était tellement géniale que là je bandais bien ferme subitement. Il était temps, j'étais bien installé et plus personne ne pouvait plus rien remarquer. Là je ne contrôlais plus rien.


Nous avions bien avancé en direction de la falaise.


Je ne sais pas si c'est la bière ou les regards des filles qui me fait ça ? Me demandait mon cousin.

Tu bandes ?

Mais comment as-tu deviné ?

Moi pareil, ça m'a pris, mais vraiment pris au moment ou je suis monté sur ce cheval. Lui répondais-je.

Je pense que ça avait commencé un peu avant. Me disait-il.

Pour toi ? Lui demandais-je.

Non ! ( il pouffait de rire ) Pour toi, ça commençait à se voir ! M'annonçait Samuel.


Il continuait en rigolant. Je le rattrapais.


Tu te moques, ça ne se voyait pas tant que ça ? Déclarais-je.

Disons que c'était encore acceptable mais limite !


Nous arrivions aux Rochers du diable, le nom faisait peur à entendre comme ça mais en fait il n'y avait pas de quoi avoir peur, c'était seulement un ensemble de gros rochers entre lesquels il y avait l'entrée d'une grotte. La grotte n'était pas bien profonde mais juste à l'ouverture les anciens habitants avaient cru voir l'entrée des enfers et avaient surnommé ce tas de cailloux comme ça !


On mettait pieds à terre.


Mais pourquoi tu voulais venir ici ? Demandais-je à Samuel.

Tu me suis ?


Sans attendre ma réponse il se mettait à grimper sur la falaise, ça ne représente pas de grandes difficultés, il y a plein de trou ça fait presque des escalier et on arrivait rapidement au sommet.


Tout en haut, on pouvait voir très loin, on apercevait la maison, de l'autre côté de l'horizon on voyait très bien le clocher de l'église et on devinait que le second office n'était pas terminé car il n'y avait aucune agitation dans les rues. Samuel me regardait avec son sourire bizarre, celui qu'il fait quand il va faire un mauvais coup …


Il m'agrippait par le col et me tirait vers lui, il m'embrassait sans prévenir, comme ça. Je me laissais faire et je lui rendais même son baiser, il se laissait tomber sur le sol, je perdais mon équilibre et me retrouvais allongé sur lui. Ma cuisse appuyait sur son sexe et il bandait, ça ne faisait aucun doute, il bandait ferme même. J'étais dans le même état.


Il n'était pas question de rentrer dans cet état, il fallait faire baisser la tension.


Suce moi ! Me demandais Samuel.


Ça ne faisait pas longtemps qu'on avait exploré ce plaisir, on ne l'avait fait qu'une seule fois mais ça avait été tellement bon que je ne le faisais pas répéter. Je lui ouvrais son pantalon et avec envie je prenais sa queue dans ma bouche, je le masturbais, je le suçais. Je parvenais rapidement à prendre sa queue en entier dans ma bouche mais je ne tenais pas bien longtemps. Son gland appuyait sur ma glotte et me donnait envie de vomir. Je relevais la tête et reprenais mon souffle avant de recommencer.


Je l'entendais gémir, il me caressait les cheveux mais sans chercher à appuyer sur ma tête, ça nous avait paru un peu violent la dernière fois. Puis sans prévenir, il me repoussait me retournait sur le dos et c'est lui qui à son tour ouvrait mon pantalon avant de me sucer la queue.


Mais qu'est-ce que c'est bon, je ne sentais pas ses dents, il s'améliorait. C'est vrai que moi aussi j'avais fait très attention à ce détail. La première fois on avait pu voir à quel point ça peut être désagréable. Mais si le mec qui te suce le fait bien , c'est vraiment agréable. Je gémissais, j'en redemandais.


Il était à genoux entre mes jambes écartées, il relevait la tête et me lançait.


Attends, j'ai une idée ! Me disait Samuel.


Il se relevait, se retournais et s'allongeait à côté de moi mais dans l'autre sens. La il pouvait prendre ma queue dans sa bouche et moi je pouvais en faire de même.


C'est avec une certaine passion que je le suçais pendant qu'il me suçait également. Je lui caressais les fesses, je glissait un doigt entre et m'attardais longuement sur le trou de son cul. Je n'osais pas aller plus loin, je n'y pensais même pas. Ça devait faire mal et je ne voulais pas lui faire mal.


Je lui suçais la queue, je le masturbais. Au moment ou je le masturbais je lui gobais les couilles. C'est lui qui avait commencé ! Et pendant que je lui suçais la queue je lui massais les couilles, l'idée venait de moi et il faisait pareil.


On faisait une pose, il se retournait et on partageait un long moment de tendresse, de câlins, de caresses … Puis on reprenait, il se retournait de nouveau et on recommençait, c'est goulûment que je prenais sa queue dans ma bouche, c'est avec passion qu'il prenait la mienne dans sa bouche. C'est avec sa langue que chacun tentait de faire plaisir à l'autre.


Je sentais sa langue qui me chatouillait le gland, j'en faisais de même. Puis sa langue s'attardait sur la petite ouverture au bout de ma queue comme pour s'y introduire, avec la langue il poussait, c'était divin.


C'est à ce moment que je jutais dans sa bouche, je gémissait c'était bon, tellement bon. C'est sans doute ma réaction qui provoquait la sienne. Il jutait à son tour dans ma bouche.


Aucun d'entre nous ne reculait sa tête et on avalait. On ne s'était pas concerté et on le faisait ensemble, en même temps. Puis on ne bougeait plus, je continuais à sucer un peu comme si je tétais, il faisait comme moi. On n'insistait pas trop longtemps car les cloches de l'église nous indiquait que l'office suivant prenait fin. Il fallait penser à reprendre la route et tant que nous étions dans cette position on ne débandrait pas.


On se relevait, on bandait autant qu'au début de cette histoire mais on se sentait mieux, décontracté, apaisés. On se rhabillait, on réajustait nos vêtements. Je ne vous dis pas mais nos vêtements du dimanche avaient changé de couleurs, ils étaient couleur terre, avec des traces suspectes de couleur vertes, il y avait un peu d'herbe grasse.


C'est dans cet état que nous arrivions à la propriété.


Mon dieu, mon dieu ! Mais dans quel état vous êtes les enfants. Monsieur Samuel, Monsieur Jonathan, c'est pas sérieux ça. Monsieur et Madame ne vont pas tarder, vous ne pouvez pas vous présenter dans cet état devant les invités. S'écriait Mamata, un peu affolée.


Elle poussait quelques cris quelques ordres et nous disait de monter dans notre salle de bain, en effet nos deux chambres se touchaient et nous partagions un grand balcon et une salle de bain. Les autres femmes de ménage sortaient de la salle de bain au moment ou nous y entrions, il ne leur avait pas fallu bien longtemps pour qu'on ait de l'eau tiède. Tiède c'est suffisant, chaude ce serait trop.


C'est ensemble qu'on se glissait dans la baignoire, nus mais je vous jure que ça ne nous dérangeait pas. Quelques instant plus tard Mamata frappait à la porte et entrait. Elle a été notre nounou et nous a vu nus tous les jours pendant notre enfance et plus même. Aujourd'hui si aux yeux de tous nous sommes des hommes, à ses yeux nous sommes toujours des enfants et elle n'aurait pas pensé à mal si on lui avait demandé de nous sécher.


Elle déposait une pile de vêtements propres, tout ce qu'il fallait pour nous deux. Un peu plus tard nous descendions dans le salon, nos parents arrivaient.


Vous êtes déjà arrivés les enfants. Demandais ma mère.

C'est parfait vous allez pourvoir vous occuper de recevoir nos invités. Rajoutait ma tante.


Je me sentais terriblement bien à ce moment, c'était la douche, c'était le câlin, ma queue était restée, non pas une grosse molle mais un moyenne molle qui se balançait sous l'étoffe de mon pantalon, mes couilles roulaient contre mes cuisses. C'était agréable, j'adore ne pas porter de sous vêtements, c'est toujours un plaisir.


Une autre famille, une grande famille de la région arrivait, Monsieur et Madame Lafeuille et leurs deux filles arrivaient devant l'entrée principale, nous les connaissions bien et de longue date. On accourait pour les accueillir. On faisait la bise à Madame Lafeuille, on serrait la main à Monsieur Lafeuille qui rajoutais une tape sur l'épaule …


Mais vous êtes des hommes maintenant, vous connaissez nos deux filles … Nous demandait Mr Lafeuille.


La question était idiote, nous étions allé à l'école ensemble mais c'était seulement une manière d'attirer notre attention vers elles. Elles arrivaient, nous saluaient par une génuflexion rapide et discrète, puis venaient nous faire la bise.


Je sentais toujours ma queue qui manifestait sa présence. Mais c'était juste pour moi, juste pour que je ne l'oublie pas. Elle ne tentait pas de se manifester et se contentait de se balancer lourdement en laissant apparaître une bosse discrète juste derrière la toile de mon pantalon.


Nous passion à la terrasse. Très discrètement Mamata s'assurait que tout le monde avait une place confortable et que les rafraîchissements était servis. En passant devant nous par réflexe elle ajustait mon col d'un geste affectueux et d'un regard elle s'assurait que Samuel … Bon lui il était bien ! Puis elle disparaissait.


La famille Lafeuille, nos voisins, faisait partie de nos habitués, des amis que nous recevions souvent, très souvent même. Le dimanche après l'office nous dînions souvent ensemble chez les uns ou chez les autres.



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast 





24 Mars 2020

J 84






PHILIPPE EP 31 : LUIDJI ABUSE

PHILIPPE
EP 31 : LUIDJI ABUSE



Vous l'avez compris, il était ronchon. Vous connaissez le proverbe …

Érection du matin … ( désolé j'ai toujours pas trouvé de suite ) !
Érection contrariée … Ronchon pour la journée !

Oui là c'est bon, ça marche et en plus ça lui va bien ! 

Luidji avait passé les deux premières semaines enthousiaste comme pas deux. Sur sa lancée il avait signé pour un an. Deux semaines encore plus tard il avait dépassé son délai de rétractation et se retrouvait obligé, engagé, encagé pour le reste de l'année scolaire. 

C'est ballot parce que là il commençait à le regretter. Il ne commençait pas seulement, il le regrettait vraiment. Il commençait à en baver. J'y suis passé, je sais ce que c'est. On peut tenir le coup quand on n'a pas le choix. Le dispositif est indestructible et si on ne peut pas le retirer on le garde. Il est parfaitement étudié et je sais de quoi je parle je connais les inventeurs ( éh, éh, éh ), donc si on enferme quelqu'un dans ce truc, il y reste. On parle même d'un dispositif qui ne pourrait pas être retiré … Jamais … Vous vous rendez compte ? … Enfermé pour toujours ! Il n'y aura jamais de volontaires pour un truc pareil ! Ça c'est clair.

En attendant Luidji il en bavait et prenait seulement maintenant l'étendu de l'engagement qu'il avait pris. Il aurait pu attendre la fin de l'année mais vous savez c'est ça la jeunesses. On ne réfléchit pas toujours à ce qu'on fait !

Oui bon c'est pas la peine de me rappeler que moi, avec Joey … Ça va, j'en suis revenu ! ( ep 19 )

Enfin ce matin, il le vivait mal, demain ça ira peut être mieux. Avec le temps il apprendra à supporter. De toutes façons il n'a pas le choix. Il faisait des grimaces le pauvre Luidji en se levant. Il partait prendre sa douche, et là, je remarquais qu'il mettait sa serviette autour de la taille. Au retour il avait toujours sa serviette autour de la taille …

C'était fini, l'enthousiasme du début était terminé !

Moi je bandais et je me vengeais de tous ces jours ou il m'avait échauffé la cervelle, tous ces matins ou il se levait avec la trique, tous ces jours ou je ne pouvais que regarder, ou je n'avais pas le droit de toucher …

Mais je dis n'importe quoi moi là. Ça ne va pas être mieux pour moi cette nouvelle situation. Pour lui je ne dis pas et je m'en moque. Mais pour moi, je n'ai toujours pas le droit de toucher, c'est certainement pas Luidji qui va me laisser l'enculer, en tout cas pas tout de suite. Et là devant moi je le voyais se tortiller en enfilant son caleçon, et moi je me voyais me tortiller pour enfiler mon slip. Il y avait un truc qui ne voulait pas rentrer dedans ! Bein oui je bandais !

D'accord j'allais me montrer à Luidji tous les matins, ça allait bien lui échauffer la cervelle entre les oreilles, il serait en manque tous les jours, toute la journée mais … C'est que lui aussi il m'échauffe la cervelle dans ma tête, et encore plus que par le passé. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point il est sexy mon petit Luidji avec son truc sur sa bite !

On était tout beau, tout propre comme tout les matins et on finissait par sortir de la chambre pour aller aux cours. 

Une fois de plus je n'ai pensé qu'à Luiji, je le voyais partout, y compris là ou il n'était pas. Je ne pensais plus qu'à sa bite que j'avais vu se relever tous les matins, je la voyais maintenant enfermée dans une cage minuscule. Enfin quand je dis que je pensais plus qu'à sa bite, j'exagère un peu tout de même, je pensais aussi à ses couilles. Ce matin elles étaient bien lâches sous la douche, elles tombaient et se balançaient mollement sous la cage.

Quand je pense qu'il y en a qui voulaient que je travaille à l'école mais ils ne se rendaient pas compte qu'il n'y avait que des garçons que la moitié de ces garçons portaient un dispositif de chasteté que moi les filles ne m'intéressent pas que ce sont les garçons qui m'attirent moi qu'il n'y a rien de plus sexy qu'un mec qui porte une cage de chasteté que tous les matins il y a mon voisin de chambre qui m'allumait la cervelle et que le reste de la journée je ne pensais plus qu'à lui alors forcément ensuite pendant tout le reste de la journée je voyais sa bite en cage ses couilles pendantes au point que tout ce qui ressemblait à un homme me faisait bander et me donnait l'envie de lui sauter dessus et de l'enculer et pas seulement parce que je suis romantique mais tout simplement : PARCE QUE !

Et tout ça sans aucune ponctuation ! C'est vous dire dans quel état j'étais. 

Je vais craquer !

Le soir c'était toujours un peu plus calme, vous l'aviez deviné je suppose mais Luidji ne se baladait plus à poil dans la chambre. Trop dur à gérer pour lui ce truc. Je connais j'y suis passé. Son regard avait changé, il faisait un peu moins son fier. Je remarquais plusieurs fois que son regard se perdait dans mon entre jambe. 

– TU FERAIS QUOI TOI A MA PLACE ? Hurlait Luidji un soir .

Je sursautais, il avait gueulé cette phrase, comme ça, sans prévenir. Je me retournais vers lui.

– Mais pourquoi tu me cris dessus ? J'ai rien fait moi !
– Excuse moi ! Mais tu sais c'est pas facile à supporter ce truc ça va bientôt faire un trimestre que je le porte et … Tu ferais quoi toi à ma place ,
– Tu veux vraiment que je te le dise.
– Oui je sais tu n'as jamais porté ce truc mais tu dois bien avoir une idée.
– Enfin jamais, c'est un bien grand mot …
– Tu as déjà porté ce truc ?
– Oui pendant plus d'un mois il n'y a pas si longtemps.
– J'y crois pas !

Il me regardait, semblait se demander si je plaisantais ou pas. Plus d'une fois j'avais répété et répété encore … JA-MÉ …

– Et tu as des conseils.

Je respirais profondément, me relevais, baissais mon pantalon, ma queue se relevait presque à la verticale …

– Suce moi la queue !

Luidji me regardait l'air incrédule. Moi dans ma tête je me disais '' Soit il m’envoie son poing dans la figure, soit il me suce la queue. J'espère que j'ai correctement estimé la situation. ''

Luidji me regardait droit dans les yeux, je ne savais plus quoi dire. Il regardait ensuite ma queue. Déjà  c'était bon signe je n'avais pas reçu son poing dans la figure !

Finalement il se mettait à genoux devant moi, il n'avait pas l'air convaincu et il hésitait. J'avais correctement estimé la situation. Il était en manque, tellement en manque qu'il aurait sucé un mec le pauvre. C'est idiot ce que je viens de dire, ' il aurait sucé un mec ', non il n'aurait pas seulement, il le faisait et le mec, c'était moi. Cool je vais pouvoir le former, lui expliquer comment il faut faire … Au moment ou ses lèvre touchaient mon gland je relevais les sourcils l'air satisfait et quand je sentais sa langue sur ma queue j'affichais un très large sourire.

Il y allait doucement, pas convaincu, hésitant, un instant j'ai cru qu'il se forçait. Il relevait la tête.

– Tu es sûr ?

Je faisait oui de la tête. Il reprenait.

– Tu as déjà essayé ?

Je confirmais. Il reprenait de nouveau.

– Tu es vraiment sûr ?

Avec un grand soupir, je hochais la tête de bas en haut.

– Tu …
– Bon tu me la suces ma queue ou merde, on ne va pas y passer la nuit !
– Ok, Ok, Ok …

Là c'était bon, il ouvrait la bouche en grand et baissait la tête sur ma queue, je la voyais rentrer lentement bien à fond. Il s'appliquait, je ne sentais pas les dents et rapidement un court instant je sentais la douceur du fond de sa gorge. Je gémissais de plaisir.

Là je dois vous avouer qu'il m'a bluffé le lascar. C'était peut être la première fois qu'il faisait ça mais il y avait déjà pensé plus d'une fois, c'est sûr !

Rapidement il semblait y prendre goût. Ma queue rentrait presque en entier, il avait tout de même du mal quand elle arrivait au niveau de la glotte. C'est normal quand on n'est pas habitué, si on y va trop fort on risque de vomir. Il gérait bien, il savait se retirer avant et rapidement il synchronisait sa respiration et s'en sortait vraiment bien.

Je lui caressait les cheveux. D'un geste rapide il repoussait ma main avec la sienne. Je recommençais, il faisait pareil.

– Mais c'est bon, tu me laisse te caresser les cheveux ?
– Tu ne m’appuies pas sur la tête parce que là je … Me répondait Luidji en relevant la tête.
– Je ne t'appuierai pas sur la tête mais tu me laisses te caresser les cheveux.
– Si je veux me relever …
– Si tu veux te relever je ne te retiendrai pas mais tu me laisse te caresser les cheveux ? T'es du genre pénible toi !

Finalement il reprenait. Je posais mes deux mains sur sa tête et appuyais doucement. A plusieurs moment je le sentais paniquer et relever la tête, je prenais le plus grand soin à ne surtout pas le retenir. Il finissait pas me faire confiance. 

Sa langue me caressait la queue sur toute sa longueur, puis il prenait mon gland dans sa bouche et avec sa langue me prodiguait des caresses digne d'un spécialiste. Je gémissais de plaisir. 

J'avais posé mes deux mains sur ses joues et je le guidais. Par réflexe mon bassin se relevait un peu comme des convulsions. Il relevait la tête à chaque fois et râlait. C'est vrai que quand on a pas l'habitude c'est pas confortable mais c'était pas ma fautes, c'était juste un réflexe.

Il restait là un long moment, ma queue à moitié enfoncée dans sa bouche, avec la langue il caressait le gland, c'était bon. Je lui caressais les joues et la gorge avec douceur. 

– Allez à fond ! Essaye !

Je le sentais prendre une longue respiration suivie de quelques  mouvement de la tête, ma queue s'enfonçait et ressortait, il recommençait plusieurs fois de suite, c'était divin. Et dire il faisait des manières pour commencer. Brusquement sans prévenir son visage s'approchait de mon ventre, je sentais ma queue qui s'enfonçait, j'ai cru qu'il n'y arriverait pas puis j'ai senti son nez qui touchait mon ventre et aussitôt il se relevait. Il était tout rouge et reprenait son souffle.

– Tu es vraiment sûr que ça va m'aider ? J'ai l'impression que c'est pire maintenant.

Je me penchais vers lui, lui donnais un baiser sur la bouche, il me rendait mon baiser. On se prenait dans les bras et on se relevait. Nous étions enlacés au milieu de la chambre. Lui tout habillé, moi le pantalon sur les pieds. Je retirait mon t-shirt et repoussais mon pantalon. J'étais nu. Il se laissait aller et me caressait le corps.

Je glissais mes mains sous sa chemise et lui la lui retirais. Il se laissait faire. Je l'avais tant de fois vu nu. Tant de fois j'avais eu envie de caresser ce corps superbe et là j'en sentais la chaleur, la douceur et je goûtais à ses baisers, il embrasse bien en plus. 

Dans le même mouvement j'ouvrais son pantalon et en m'agenouillant devant lui je le repoussais sur ses chevilles. Il relevait les pieds et son pantalon était écarté à son tour. Il était presque nu devant moi, je dis presque nu à cause de ce truc qu'il avait entre les cuisses, sur sa bite. C'était superbe à voir, c'était sexy et je bandais de plus en plus ( comme si c'était possible ).

J'admirais un long moment son dispositif, il n'y a rien de plus beau, de plus sexy qu'un dispositif céramique. Il avait encore les trace du bronzage de l'été passé et ce contraste était comme hypnotisant. Je lui caressais l'intérieur de ses cuisses et lui gobais les couilles. Ça ne semblait pas le calmer !

Remarquez, c'est normal, c'est pas comme ça qu'on calme quelqu'un. 

– Retourne toi, et penche toi en avant !

Luidji ne parvenait pas à dissimuler une certaine inquiétude.

– Je vais t'enculer, ça va te calmer. Lui disais-je  en lui donnant un baiser très doux dans le cou. 

Il avait l'air tétanisé, dans son regard j'ai cru voir un instant de panique mais il obtempérait. 

Je savais qu'il faudrait y aller doucement, je me lubrifiais donc abondamment et lui glissait un doigt dans le cul.

Il a gémi de plaisir. Il a gémi très fort. J'ai senti tout son corps se contracter, frémir, trembler. C'est à cet instant qu'il a éjaculé et c'était pas en silence !

– Tu avais raison ! 
– Euh … Répondais-je sans comprendre.
– Ah c'était bon, tu avais raison. Je me sens mieux là !

Il se relevait, se retournait, et me donnait un baiser sur la joue.

– Merci ! Tu es un amour !
– Euh … Lui répondais-je, toujours sans comprendre.

Mais qu'est ce qu'il me fait là ? J'ai dis que j'allais l'enculer … Et … Il y a un truc que j'ai pas compris là. Je pouvais voir que la pressions dans sa cage avait baissé. Maintenant son dispositif se balançait entre ses cuisses avec légèreté. Moi je bandais toujours comme un malade.

– Bon on se fait une douche et puis dodo ! Me déclarait Luidji, il était détendu.

Quelques instants plus tard je le voyais se savonner sous la douche, il avait retrouvé le sourire et semblait totalement détendu. Moi j'étais dégoûté. Je n'osais pas me branler, je savais qu'il l'aurait mal pris. Il m'avait assez souvent dit qu'il ne voulait pas voir ça. 

De retour dans la chambre il s'est couché, il était à poil, et il s'est endormi en quelques instants. 

Pas moi !

C'est quoi qui s'est passé là ( excusez le style mais là je bug ) ! Non mais c'est vrai, c'est quoi qui s'est passé là ? J'ai pas compris ! C'est lui qui porte le truc et c'est moi que je suis frustré ?

Il y a quelque chose qui ne va pas là !




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