27 Février 2021

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Anton Ep 3 : Les grottes de non retour

 Anton Ep 3 : Les grottes de non retour




Pour la première fois, depuis l'invention de l'écriture, l'histoire que je vous propose aujourd'hui a été écrite en collaboration avec Junior. Le scénario est de Junior, la réalisation et la mise en scène sont de Charly Chast !


. . . . . .

 

Théo et Tooni ont dormi ensemble cette nuit là. Théo est resté chez Tooni. Son but était clair maintenant que son cran social n'était plus menacé par son copain, il voulait l'épouser, si possible le voir enfiler un de ces dispositifs de chasteté, le voir gagner un cran dont il profiterait lui aussi … Et par le jeux du mariage, et de l'attribution d'un enfant voir sa situation sociale augmenter encore. Pour dire simplement …


Théo voulait faire un bon mariage ! Et tout le monde sait qu'un bon mariage est un mariage de raison ...


Tooni ne voulait pas se marier, enfin pas encore. Pour le moment il fallait qu'il digère sa déception … Quinze-Moins, l'aurait fait entrer dans une autre classe sociale, il n'était que Quatorze-Plus, il n'y a presque pas de différence entre les deux et sans le tatouage dénonciateur il aurait pu donner le change. Il était dégoûté Tooni. Il se blottissait entre les bras de son camarade et tentait de se réconforter. 


– Il n'y a finalement pas une si grande différence entre nous. Se disait Tooni. Et lui est respecté, enfin un peu plus respecté que moi !


Il comparait leurs deux queues. C'est vrai que Théo était un peu plus gros, un peu plus long mais pas tellement en fait. Il s'approchait pour bien comparer et commençait à sucer la queue de son camarade qui rapidement prenait sa taille maximum. Il la faisait rentrer dans sa gorge, il la caressait avec sa langue en insistant sur son gland. 


Théo s'était réveillé, il avait relevé la tête et lui caressait les cheveux. Il y allait tout doucement, il appuyait sur la tête de Tooni mais en douceur, tout en retenue et le laissait faire. Il soupirait, puis soupirait de nouveau un peu plus fort. 


Tooni caressait le corps de Théo avec ses lèvres, il ressortait la langue de temps en temps pour lui faire un petit guili-guili et le faire frissonner. Il caressait tout le corps de son camarade, ses mains insistaient sur les zones les plus sensibles, et là, il faisait preuve de beaucoup de délicatesse. Il savait que Théo n'aimait pas pratiquer la sodomie, enfin la sodomie passive. Pour ce qui est de la sodomie active, il n'avait rien contre et Tooni le savait. Pour Tooni c'était plutôt le contraire, lui était passif. Remarquez c'était mieux vu la taille qu'il pouvait afficher. Personne ne le prendrait au sérieux comme actif.


Alors il câlinait son camarade, il le couvrait de baisers, il le caressait, il lui suçait la queue. Et Théo se laissait faire. Il encourageait son partenaire par des caresses, il le dirigeait puis, sans prévenir il le retournait sur le ventre, s'allongeait sur lui et se lubrifiait la queue et la lui enfonçait vigoureusement bien à fond dans le cul.


Tooni gémissait mais laissait faire, c'était tellement agréable, il aimait ce plaisir. C'est à la fois ferme et doux, c'était une caresse sur le corps, contre ses fesses et une caresse pleine de douceur que de se faire pénétrer par cette queue, la petite taille rendait la chose plus facile. Même quand Théo le pénétrait sans ménagement Tooni ne ressentait aucune douleur. Que du plaisir !


Il savait en redemander mais ce jour là il se demandait ce que ça faisait que de se faire pénétrer par un … dix-huit … ou un vingt … ou un … Plus … Mais là, il préférait penser à autre chose, brusquement cette image lui faisait peur. Théo lui limait le cul avec douceur, il gémissait de plaisir mais l'idée de se faire défoncer le cul par un mec, le mec qu'il avait vu dans les bains du bureau de la validation par exemple. Cette idée revenait dans sa tête, il était beau, il avait l'air fier, et quand il est sorti du bain il faisait peur ! 


Il faisait peut être peur mais c'est à lui que Tooni pensait en laissant son ami prendre du plaisir sur son dos !


Plus tard ils se sont endormis de nouveau. Le lendemain Théo ne manquait pas de faire un gros câlin à son partenaire et avant de le laisser partir …


– Tu es sûr que tu ne veux pas qu'on se mari ? Penses-y tu verras ça sera chouette.

– Et le dispositif de chasteté ?

– C'est ce qu'il y a de mieux, en plus tu es passif alors …


Tooni n'était pas convaincu, vraiment pas convaincu. De nouveau il revoyait passer devant ses yeux la silhouette du garçon de la veille. Il était tôt et Tooni avait encore du travail au champ avant de se rendre à son second travail. Il lui en fallait deux, son champ ne donnait pas grand chose et son statut social maintenant confirmé ne lui permettait pas d'espérer un gros salaire, juste un travail pas très bien payé. Il n'avait pas d'autre choix.


En plus c'était le jour de l'offrande. Pour lui ce serait le premier, il fallait avoir passé sa validation et précisément c'est ce qu'il avait fait la veille. Par roulement tous les hommes participaient à l'offrande. Il y avait une offrande par jour, chaque ville, chaque canton participaient à cette cérémonie, et chacun son tour par groupe tous les hommes participaient. 


Des chariots étaient remplis de nourriture, un peu de tout mais c'était pas fait au hasard, c'était très bien organisé. Puis un groupe d'homme se mettait en marche vers les grottes, ils tiraient les chariots et prenaient la route des grotte de non retour. Sur le chemin ils rencontraient ceux qui venaient de plus loin et tous les jours, c'était une caravane qui avançait vers ce lieu saint.  


Sur place toujours le même rituel. Il y avait la garde qui pour une fois mettait la main à la pâte, ils poussaient eux aussi les chariot quand ça s'avérait nécessaire, il ne fallait surtout pas être en retard. La cérémonie devait absolument être terminée avant le cadeau … Là c'étaient les couples qui intervenaient. Oui il y avait aussi les couples qui venaient pour le cadeau. Eux aussi aidaient à faire avancer la caravane.


Pour l'offrande, les hommes rentraient dans les premières salles des grottes, allumaient des torches puis déposaient toute la nourriture qu'ils avaient apportée sur les bancs et les tables de pierre. Ils ouvraient pour cela les grand portails qui gardaient l'entrée des grottes puis les refermaient soigneusement derrière eux. Une groupe restait alors  devant la grotte à faire de la musique avec des tambours et des flûtes. Les autres passaient à la grotte suivante. Personne ne devait rester à l'intérieur.


C'était la garde qui organisait tout. Elle veillait au bon déroulement. Le premier garde celui qui avait la plus grosse bite, ce jour là avait une tunique qui s'arrêtait juste en dessous de la ceinture et de fait qui ne cachait rien. On pouvait admirer sa queue se balancer alors qu'il se déplaçait de groupe en groupe pour donner ses consignes. Autour de lui les autre gardes tous très bien montés également, veillaient à ce que tout se passe bien.


Tooni était en transe, il reconnaissait le gars qu'il avait vu la veille. Il bandait le petit Tooni et là il se demandait si finalement le dispositif de chasteté ne serait pas une bonne idée. Il était tellement embarrassé. Heureusement qu'il avait une petite bite, ça ne se voyait pas trop sous la tunique un peu ample. La dernière grotte remplie, les torches de la première s'étaient éteintes. C'était le signe.


Le garde ouvrait de nouveau le portail, il entrait et commençait à appeler les couples chacun leur tour. Ils entraient et ressortaient quelques instants plus tard, ils avait un bébé dans les bras et semblaient illuminés de bonheur. 


( alors ça vous, vous y attendiez pas ! Note de l'Auteur). 


On ouvrait la seconde grotte, puis la suivante. Il n'y avait pas d'enfants dans toutes les grottes. Il y avait autant d'enfants en cadeau qu'il y avait de couples. Les hommes y entraient sans tenir compte de leur grade ( taille de la bite ) et allaient se masturber, il prenaient soin de récupérer leur semence dans des coupes en verre qui avaient été déposées sur les hôtel en pierre.


Là Tooni se faufilait à la suite du chef, il voulait le voir, il n'avait jamais vu un bite pareil en plein travail. Il se plaçait un peu en retrait mais d’où il était il pouvait voir tout ce qui se passait. Le chef de la garde n'avait pas besoin de retirer sa tunique, elle était tellement courte qu'on pouvait voir la moitié de sa bite pendre lourdement entre ses cuisses et quand il commençait  à se stimuler, quand il commençait à se la caresser avec la main, sa queue devenait rapidement plus grosse et encore plus grosse. 


Tooni n'avait jamais vu en action une bite aussi grosse, et il était impressionné. Dans sa main, il tripotait sa virgule et commençait déjà à respirer plus fort. Le chef des gardes prenait tout son temps … '' Le frimeur ! '' se disait Tooni. De sa main il se frictionnait le manche, il dégageait son gland, se le caressait, le recouvrait de nouveau et jouait un moment avec son gland. Il s'astiquait tout le corps de sa bite, en la serrant fort dans la main puis plus lentement.


Tooni bavait d'envie de se la prendre dans la bouche. Dans le cul ? Oui il y pensait aussi mais là ça lui faisait peur, il en avait envie mais il en avait aussi terriblement peur. Il se masturbait et sentais le plaisir monter. Juste à côté de lui un homme il y avait un garde, bien monté aussi mais il l'avait à peine remarqué tant il était attiré par le chef, celui qui avait la plus grosse. 


Juste à côté de lui, le garde respirait plus fort et Tooni le sentait trembler, ils étaient coude à coude et se touchaient, le garde prenait une coupe sur ma table de pierre et éjaculait dedans. Sa respiration redevenait plus lente. Ensuite c'est Tooni qui se mettait à trembler, le garde lui tendait la coupe. Tooni ne réagissait pas ou plutôt ne savait pas comment réagir. Il se masturbait fébrilement, de plus en plus vite, et arrivait à diriger le jet au dernier moment, il loupait à moitié la coupe et une grosse partie de son sperme s'étalait sur la main du garde qui avec le sourire reposait la coupe et se léchait la main en le regardant avec le sourire. Tooni tremblait de plaisir et d'excitation. Il avait la tête en feu le petit Tooni. Et continuait à regarder le chef des gardes qui n'en finissait pas de se tripoter. C'était terriblement beau à voir, une bite géante en action, c'était un spectacle que de la voir cracher toute sa charge, il ne loupait pas sa coupe lui. Il avait un peu plus l'habitude, Tooni en était à sa première cérémonie. Pour pouvoir y participer il fallait d'abord être être passé par la validation, c'est justement ce qu'avait fait Tooni la veille.


Ceux qui avaient éjaculé laissaient la place aux autres. Cette partie de la cérémonie était plus courte. Ensuite tout le monde se préparait pour repartir. Les couples avec enfant avaient pris place dans les chariots et c'est ainsi qu'ils allaient repartir. Le confort des enfants était une priorité, et les pères étaient tellement heureux de cet heureux-événement qu'ils ne s'occupaient plus de rien. Ils ne s'étaient pas branlé eux. Ils donneraient à leur prochain passage.


Tooni ne pouvait pas détourner le regard du chef des gardes, il était beau, musclé, et surtout il avait une super grosse bite. Il faut bien voir les choses comme elles sont. Tooni n'était pas ridicule, il était musclé et avait une très belle allure, il avait une petite bite c'est tout et dans ce monde c'est la principale chose que tout le monde remarquait. Il faut dire aussi que le travail manuel qui était la règle en ce moyen-âge éclairé formait les corps. Tous ces hommes avaient une très belle allure, une très belle musculature et ce qui les différenciaient socialement c'était uniquement la taille de leur bite. Mais ça, vous l'aviez compris.


Le retour était plus décontracté, les chariots étaient vides et donc bien moins lourds. Le chef des gardes venait au niveau de Tooni. 


– C'était ta première cérémonie garçon ? Demandait-il à Tooni.

– Oui, Monsieur, j'ai reçu ma validation seulement hier.

– Quatorze-Plus, hum, hum … Et tu fais quoi comme travail ?

– J'ai un petit champ et je produit des légumes, ça m'arrondit mes fin de mois et … Vous savez je propose les meilleurs légumes de la province … 


Le chef des gardes riait de bon cœur en entendant son argument commercial. Il lui passait une commande de fruits pour le lendemain, au bureau de la garde, sans faute.


Le retour se passait tranquillement et tout le monde était arrivé avant le soir. Tooni allait travailler à l'auberge, c'était ça son deuxième travail. Ils étaient le dernier village avant les grottes de non retour et ceux qui venaient de loin s'arrêtaient pour y faire escale. Surtout que maintenant il y avait des couples avec des enfants. Les deux pères se serraient l'un contre l'autre avec leur enfant entre eux, ils ne voulaient pas le lâcher . 


Le lendemain matin, Tooni préparait la commande pour le garde et se rendait chez son client avec une brouette à main pour faire la livraison. les gardes le laissaient passer sans problème, on le faisait attendre dans l'entrée du bureau, une grande salle ouverte. Le chef des garde était dans la salle d'à côté, d’où il était Tooni pouvait le voir de dos, il avait très belle allure, il portait une longue cape qui lui retombait jusqu'à ses genoux. 


Il se retournait et Tooni était saisi par sa beauté. Il était nu, enfin pas totalement, il portait une cape qui de dos l'habillait jusqu'aux genoux, pour le reste il était nu. Tooni admirait sa queue énorme qui se balançait lourdement. Le garde venait vers lui pour constater par lui même si la marchandise était aussi bonne que promis. On l'envoyait alors porter sa livraison dans les appartements privés du chef. 


Tooni traversait une cour fermée, tous les gardes étaient nus ou presque. Certains portait une cape, ou un plastron mais à part des sandales, personne ne portait rien en dessous de la ceinture. Tooni avait le vertige, il voyait ces corps magnifiques, toutes ces queues qui se balançaient librement à l'air. Il déposait sa marchandise et revenait au bureau des gardes. Le chef le recevait et prétextant vouloir parler avec lui, il faisait tirer tous les rideaux de son bureau. 


Le militaire était assis sur son fauteuil, détendu, nu, entièrement nu il regardait Tooni, qui ne cachait pas qu'il était intimidé. Au niveau carrure Tooni était très bien bâti un peu moins que le militaire mais celui-ci avait surtout une queue longue et bien large, j'ai envie de dire musclée, qui s'étalait sur sa cuisse. 


– Retire ta tunique. Ordonnait le militaire.


C'est en hésitant que Tooni s'exécutait. Il se retrouvait nu devant le garde, les jambes légèrement écartées, le garde le regardait, il le trouvait très beau.


– Tu es bien bâti mon garçon. 

– C'est mon travail, ça muscle. Par contre, j'ai … une petite … Enfin je suis classé Quatorze …

– Si tu avait seulement Dix Sept tu serait parfait. Peu de mes gardes sont aussi beau que toi. Là le militaire exagérait un peu et Tooni le savait et baissait les yeux. Le garde bandait maintenant. Suce moi la queue reprenait la militaire !


Un officier de ce grade et de ce cran social à un total droit de cuissage. Tooni se mettait à genoux entre les jambes du militaire et le suçait. Il se sentait tout chose le Tooni, il n'avait pas souvent vu une queue pareil et n'en avait jamais touché une. Il s'efforçait de ne pas décevoir son partenaire. Il s'appliquait. C'était pas facile, il avait une queue bien large, bien ' musclée ', elle était bien ferme et si Tooni pouvait en faire le tour avec ses doigts c'était juste. 


Tooni parvenait à prendre le gland du militaire dans la bouche, il passait sa langue dessus, il le caressait en passant sa langue tout autour, avec douceur, avec force, avec tendresse et rapidement avec passion. Tooni tentait d'enfoncer cette magnifique queue un peu plus profond dans sa gorge, il avait du mal. Brusquement le militaire lui appuyait sur la tête, sans prévenir et avec force. Tooni tentait de se retenir mais c'était inutile, il n'y parvenait pas, pris par la surprise la queue du militaire entrait entièrement et se calait au fond de la gorge de Tooni qui ne pouvait plus respirer.


Quand il relevait la tête il toussait et tentait de cracher pour se dégager la gorge.


– Alors c'est qui celui-là ? Demandait une voie.

– Le marchant de légumes. Répondait le chef des militaires.

– Et il s'en sort comment ?

– Plutôt bien, je suis agréablement surpris.

– Dommage qu'il ait une petite bite, il aurait fait une recrue parfaite pour notre caserne, il est bien bâti.

– Allez on reprend. Ordonnait le chef.


Tooni reprenait. Puis le chef demandait à Tooni de s'occuper de son ami. Elle était à peine plus petite que celle du chef et ce n'était pas vraiment plus facile pour Tooni. Une grosse bite, ça reste une grosse bite et dans tous les cas, il faut s'y habituer. Le chef des gardes avait disparu, il était parti sans faire de bruit. Le second militaire intervenait.


– Bon, maintenant tu te relèves, tu te retournes et tu te penches en avant !


Tooni devenait tout pâle, il avait compris. C'est cette queue énorme qu'il allait se prendre dans le cul. Il hésitait entre, se sauver en criant, en pleurant ou exprimer sa joie. Pour ce qui est de sa joie, il n'en était pas question. Un nœud se formait dans son ventre au moment ou il se penchait en avant contre une table. Sans plus de formalité le militaire prenait position, le lubrifiait. Tooni sentait la panique monter en lui. Le militaire appuyait sa queue sur le cul de Tooni et poussait. Tooni a hurlé, le militaire ne s'en inquiétait pas et continuait, son ventre s'écrasait sur les fesses de Tooni qui continuait à gémir. 


– Ferme la ! Tu vas alerter la garde ! Disait le militaire. Puis il rigolait de son bon mot !


Tooni serrait les dents. Il avait mal, très mal mais il en tirait aussi un incroyable plaisir. Dans sa tête c'était la folie, il avait la cervelle en feu. C'était à la fois horrible et génial. Il voulait demander grâce, il voulait supplier mais il serrait les dents et se laissait faire.


Le militaire enfonçait sa queue bien à fond et la ressortait, il accélérait le rythme, il avait commencé par une certaine violence il continuait par encore plus de violence. Tooni ne parvenait même plus à savoir s'il aimait ou s'il n'aimait pas. 


Le chef des gardes revenait.


– Tu ne te gênes pas dis donc toi ? Tu aurais pu demander, tu es dans mon bureau tout de même !

– Je sais mais il avait l'air partant, alors …


Les deux militaires discutaient tranquillement sans s'inquiéter des gémissements et des plaintes de Tooni.


– Et il est comment le petit ? Demandait le chef.

– Étroit, il est étroit … Mais j'aime bien. Il suffit de forcer un peu.


En disant cela il poussait plus fort et faisait claquer son ventre contre le cul de Tooni, il recommençait encore plusieurs fois de suite. Tooni se cramponnait et serrait les dents, mais malgré ça il ne pouvait pas retenir ses gémissements.


Au bout de quelques instants, C'est le militaire qui gémissait, il gémissait doucement puis plus fort, puis très fort, il finissait par hurler de plaisir au moment ou il jouissait dans le cul de Tooni. Il tremblait le pauvre Tooni, il était tout rouge et il était en larmes. Mais il ne disait rien, il ne tentait même pas de se dégager. Au début il avait pensé se sauver, là il ne comprenait plus rien mais n'avait plus du tout envie de bouger. 


Le chef de la garde avait l'air satisfait de voir ça. Il s'approchait écartait de la main son camarade et prenait sa place. Tooni paniquait, sa queue était encore beaucoup plus grosse, enfin peut être pas beaucoup plus mais elle n'était pas plus petite en tout cas et Tooni paniquait, son cœur battait très fort maintenant. Il avait de nouveau envie de se sauver en pleurant mais il ne bougeait pas.


Il sentait la queue du militaire appuyer contre son anus, il sentait les mains fortes de militaire le saisir par les hanches et le tirer vers lui. Il sentait son cul se dilater et se sentait envahir, submergé, remplir … Étrangement cette fois-ci il ne sentait pratiquement pas de douleur, ce n'était pas pour autant agréable mais là il était surpris ça ne lui faisait presque pas mal. Son souffle devenait rapide et fort et la queue du militaire s'enfonçait.


Quelques instant plus tard, le plaisir montait, c'était presque un orgasme qu'éprouvait Tooni au moment ou le ventre du militaire s'écrasait sur ses fesses. Le plaisir montait encore et maintenant c'était un orgasme un peu douloureux mais c'était un orgasme, il jouissait, un plaisir infini envahissait tout son corps. Là il n'avait plus du tout envie que ça s'arrête.


Les mouvements du militaires accéléraient, deux garçons bien musclé, bien baraqués, se mélangeaient, un des deux serrait l'autre dans ses bras très forts et lui enfonçait sa queue dans le cul sans se retenir. L'autre lui passait ses bras dans le dos pour le retenir et gueulait de plaisir. Là Tooni se lâchait, il ne comprenait pas ce qui lui arrivait mais il en redemandait, c'était toujours un peu douloureux mais c'était bon, tellement bon. 


Tooni ne comprenait plus ce qui se passait, il n'avait jamais ressenti une telle chose avec ses partenaires précédents. C'est vrai qu'il avait toujours eu des partenaires qui avaient une petite bite et là, dans son dos il avait un partenaire monté comme un géant et c'est dans son cul qu'il avait sa queue, elle était énorme et ne cessait de rentrer, de sortir, de rentrer, de …


Tooni hurlait de plaisir, il tremblait, il se tordait de plaisir dans tous les sens et se serait dégagé si le militaire ne le retenait pas avec autant de force. Ils jouissaient ensemble, le militaire lui jutait dans le cul et lui aussi jouissait mais ne jutait que quand le garde se retirait. 


À ce moment la queue du garde retombait lourdement entre les cuisses de Tooni. Le garde continuait à garder dans ses bras avec tendresse maintenant. Tooni tournait la tête et le garde en profitait pour lui donner un baiser passionné.




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


23 Février 2021

 J214 / 280

Reste 66






Anton Ep 2 : L'accident

 Anton Ep 2 : L'accident




Pour la première fois, depuis l'invention de l'écriture, l'histoire que je vous propose a été écrite en collaboration avec Junior. Le scénario est de Junior, la réalisation et la mise en scène sont de Charly Chast !


S'il y en a qui sont un peu surpris par le début de l'histoire … Je suis obligé de reconnaître que le début est un peu loufoque … En effet !


. . . . . .

 

L'accident aurait pu être évité, il fut terrible mais il aurait fallu si peu, un rien, pour que rien ne se passe. 


L'arbre était immense, il aurait été plus petit et tout se serait bien passé. Une branche, même de petite taille, aurait évité le drame. Quelques feuilles auraient suffi pour que la catastrophe ne se produise pas. Ou encore une casquette, Anton avait la tête nue, une casquette, une simple casquette l'aurait sauvé de sa terrible destinée.


C'est probablement au départ un mouvement d'air, pas une bourrasque, juste une petit mouvement d'air, un presque rien comme je l'ai dit, un trois fois rien ( remarquez trois fois rien, c'est déjà pas rien ! ) …


Oui je sais, je devrais avoir honte, c'est un drame que je vous raconte et moi, je fais des jeux de mots … (Note de l'Auteur )


Cet arbre magnifique avec ses dimensions impressionnantes laissait tomber un fruit de son sommet et rien comme je vous le disais, rien n'a freiné sa chute, rien sur sa trajectoire n'a pu le ralentir et avec la hauteur il ne cessait d'accélérer. C'est à pleine vitesse qu'il venait s'écraser sur le sommet du crane d'Anton. 


Poc !


Sur le coup Anton a ressenti une terrible douleur, puis il a perdu l'équilibre et il s'est effondré de tout son poids sur le dos, et là, la nuque baignant dans le frais cresson bleu, il était étendu dans l'herbe sous la nue, pâle dans son lit vert ou pleuvait la lumière du jour naissant …


Oui bon d'accord là j'ai plagié, mais promis je ne le referai plus ! C'était pour détendre un peu la tension du drame ! (Note de l'auteur)


Tous ses camarades se sont alors précipités. Un le touchait du bout du doigt, un autre le poussait du pied …


– Il ne bouge plus. Disait l'un.

– Bon ça c'est ballot. Répondait un autre.

– Il ne dit plus rien … 

– Par contre ça c'est bien … 

– Mais pourquoi tu dis ça ?

– Bein hier il a râlé toute la journée !

– Traînez pas les mecs, il n'y aura pas de chocolat chaud pour tout le monde. Qu'est-ce qu'il fait par terre celui là ? Intervenait un des moniteurs.


Bon après cet élan dramatique et lyrique auquel je me suis laissé aller, si on reprenait le cours normal de notre histoire ...


Anton avait encore mal à la tête, c'est une tête inconnue qui était penchée sur lui, inconnue mais il la reconnaissait au bout de quelques instant. C'était un ami, c'était Théo. Il était un peu sonné le pauvre Anton …


– Et bien Tooni qu'est-ce qui t'arrive ? Lui demandait Théo.

– C'est rien Théo, je crois que j'ai reçu un gland sur la tête. 

– Ah oui ? Il ne te faut pas grand chose à toi ! 

– Ils sont ou les autres ? Demandait Tooni .

– Quels autres ? Nous sommes seuls, et il faudrait que tu te réveilles un peu sinon on va être en retard à ta validation … Tu sais que l'ordre d'arrivée est aussi pris en compte. Les derniers seront les moins bien servis.

– Oui tu as raison mais on va ou exactement ?

– Dis donc tu as fait la fête toi hier soir ! Tu m'avais pourtant promis de ne pas exagérer.

– On n'était pas très nombreux, il y avait Bobby, il y avait Julien, il y avait aussi  … bon là je sais plus … 


Pour ceux qui auraient du mal à suivre. Anton a eu un terrible accident sur lequel je ne reviendrai pas et quand il reprend ses esprits, il est toujours au même endroit mais seul avec un ami qu'il ne reconnaît pas tout de suite. Le campement à disparu. C'est un peu comme s'il sortait d'un rêve, il ne reconnaît les choses qui l'entourent qu'avec  un petit temps de retard. 


Ah également avant que j'oublie … On l'appelle désormais Tooni. Ne m'en demandez pas plus, l'idée de cette histoire n'était pas de moi même si c'est moi qui l'ai rédigée … ( Note de l'Auteur )


Les deux garçons reprenaient la route. Tooni (C'est bien clair dans la tête de tout le monde, c'est celui qu'on appelait Anton au début de l'histoire ) voulait réajuster son pantalon et là il remarquait qu'il n'en avait pas. C'est seulement à ce moment qu'il remarquait ses vêtements. Il portait une tunique en laine écrue qui descendait jusqu'au niveau de ses genoux. Aux pieds il portait des sandales en cuir, il avait sur le dos un sac en corde. Son ami Théo était habillé de la même manière.


Tooni avait encore l'esprit embué. Il reconnaissait la clairière, et il lui semblait se souvenir de tentes, d'un campement à cet endroit. Il avait du mal à se rappeler de plus … Toutefois le visage de Jean François revenait dans sa mémoire mais il ne savait plus qui c'était !


Il suivait son ami Théo. Ils prenaient le chemin qui continuait, ils s'enfonçaient dans la partie sombre de la forêt. Ils continuaient à monter en altitude. 


– Tu sais que tu n'est pas en très bien placé, si j'étais toi je ne traînerais pas, si jamais tu arrives en retard … Faisait remarquer Théo.

– Bein oui je sais …

– Tu sais Nastaze à réussi son passage.

– Il a été classé dans les seize ? Demandait Tooni.

– Dans les Dix-Sept ! 

– La vache, il y en a qui sont vernis .

– Il rentre dans la garde armée …

– Bein moi j'espère bien me faire classer dans les seize.

– Tu es plus petit que lui … Rajoutait Théo.


A cet instant Tooni n'était pas vraiment sûr de ce dont il parlait, mais il ne s'en rendait pas vraiment compte non plus … C'était confus ! Quelques heures plus tard ils arrivaient. 


Les nouveaux arrivants étaient dirigés vers un espace bain douche. L'endroit était très bien chauffé, ils laissaient tous leurs vêtements à l'entrée. C'était un grand moment de détente, certains se masturbaient un peu, juste un petit peu. C'était surtout pas le moment de juter et de débander après, ils auraient facilement pu perdre un cran. 


Tooni se détendait, il allait chercher la petite fiole qu'il avait pris soin de mettre dans son sac en corde avant de partir de la maison. C'était un aphrodisiaque, l’apothicaire herboriste lui avait garanti qu'avec ça il aurait la '' trique '', qu'il serait au mieux de sa forme. 


Il disait à tous qu'il espérait se faire classer parmi les Seize, en fait un Quinze lui aurait déjà plaisir, il espérait seulement ne pas être classé dans les Quatorze.


Ah pardon ! On me dit qu'il y en a qui ont du mal à suivre cette histoire de  nombre … Il s'agit de la taille de la bite en érection tout simplement ! Bein  oui c'est un critère social, tout le monde sait ça voyons ! ( Note de l'Auteur)


Tooni ne le savait que trop. En dessous de quinze, les personnes concernées sont invitées à porter un dispositif de chasteté permanent. Ce n'est pas une obligation mais avec ils peuvent gagner un cran social.


Un Quinze et c'était la classe moyenne, en dessous c'était la misère. Avec un dispositif de chasteté permanent le porteur pouvait gagner un cran social. Au delà de dix sept, ce n'était plus prévu. On pouvait aussi gagner un cran ou plus si on se retrouvait père d'un enfant d'une classe supérieure. Pour cela, il fallait être marié, en faire la demande et attendre son attribution ( l'attribution de son fils quoi ! ). Bien sûr, on ne pouvait pas choisir, personne ne choisi ses enfants. 


Théo lui avait déjà passé l'épreuve et était classé Quinze plus, il en avait le tatouage sur l'épaule gauche. Il s'en satisfaisait, il pouvait encore gagner un cran, avec le dispositif de chasteté, mais n'avait pas envie d'en payer ce prix.  


On ne pourra pas dire que les responsables de l'épreuve voulaient défavoriser les candidats. Si la salle était très bien chauffée, s'ils pouvaient de détendre dans un bain chaud, c'était justement pour être au mieux de leur forme, pas question de les prendre en traître avec un bain d'eau froide. Et on ne leur faisait aucun reproche s'ils se masturbaient pour se présenter à leur avantage. C'est d'ailleurs en érection que la mesure était faite.


Pour plus d'un participant c'était une épreuve, parfois une humiliation. Pour ceux qui choisissaient le dispositif de chasteté par manque de meilleure option par exemple. Pour d'autre c'était le jour de gloire.


Justement il y en avait un là, juste en face de Tooni dans la baignoire, Tooni ne l'avait pas vu dans les détails, seul son torse ressortait de l'eau.  mais il devinait à cette allure assurée et fière. Ce devait être au moins un dix sept. Quand il était appelé, il se relevait de l'eau, sûr de lui, il prenait son temps, il laissait tout le temps aux autres de bien l'admirer sa grosse bite en érection, il se dirigeait vers la salle des mesures, il ne mettait pas sa serviette autour de sa ceinture, il avançait d'un pas assuré.


Tooni pâlissait en le voyant, lui et sa nouille n'aurait pas le même résultat, c'est sûr ! '' Pourvu que je fasse plus de Quinze ! '', ne cessait de se répéter Tooni dans sa tête. Il regardait sa nouille qui dans l'eau avait pris toute sa taille, finalement il n'est pas certain que la potion donne une grosse queue, elle donne un belle érection, ça c'est sûr mais pas d'avantage !


Quelques instants plus tard, l'homme ressortait, la marque sur son épaule annonçait la couleur Dix Huit, il se rendait au salon de tatouage … Tooni soupirait, c'était son tour. Il se relevait, sortait de l'eau. Sa queue se relevait fièrement mais elle était toute petite à côté de celle qui venait de passer. 


La mesure en elle même ne dure que quelques instants, on glisse sa queue dans un tube ouvert sur le dessus, il existe plusieurs largeurs, un piston coulisse et au moment ou il touche le gland on a la mesure. C'est rudimentaire mais c'est efficace. 


C'est surtout sans appel … Quatorze-Plus … C'est moins que Quinze-Moins ça ! En fait Tooni s'en doutait mais ne voulait pas se l'avouer, il avait préféré espérer que les mesures maison soient pessimistes. Il passait au tatouage, l'humiliation était totale et définitive. Il aurait le choix de mettre un dispositif de chasteté quand il voudrait … Pour l'instant il préférait y réfléchir. Ce choix deviendrait irréversible en cas de mariage.


De retour à la maison il faisait la gueule. Oui je sais il y en a toujours un qui fait la gueule, soit Tooni, soit Anton, mais enfin là on peut le comprendre … (NdlA)


Théo était là, il n'avait pas voulu le laisser seul. Il voyait la tristesse de son amis, il n'aurait jamais  la position sociale, le travail qu'il espérait avoir. Pourtant Tooni ne demandait pas grand chose, juste une étale au marché du village, pour y vendre ses fruits, ses légumes et ses quelques fromages qu'il produisait. Rien que cela aurait amélioré son ordinaire.


Théo le prenait dans ses bras. Tooni était triste et se réfugiait dans les bras de son ami, c'était pas la première fois qu'ils se faisaient un câlin ces deux là, ils se connaissaient depuis l'enfance, à l'école communale, ils avaient tout de même appris à lire à écrire et à compter. 


Théo l'embrassait avec tellement de douceur … C'est justement ce dont avait besoin Tooni. Ils étaient rapidement nus, juste une tunique à retirer, elle tombait vite dans un coin de la pièce. Ensuite ils s'écroulaient sur la paillasse, elle sentait bon le foin, Tooni aimait changer la paille régulièrement. Il avait un champ qu'il cultivait, enfin il avait une petit champs. Avec un cran social de plus son champ aurait été plus grand. Il se laissait tomber à genoux devant son ami Théo, les genoux sur le sol en terre battue. 


Théo le laissait faire, lui prenait la tête et rapidement le guidait avec autorité. Il ne fallait que quelques instants pour que Théo se lâche, il balançait de violents coups de bassin, de violents coups de bite dans la gorge de Tooni.


Il encaissait Tooni, il encaissait, il était d'un cran inférieur, il devait d'une certaine manière un certains respect à son camarade. Bon ce n'était pas son esclave il aurait pu refuser, surtout qu'ils n'avaient qu'un cran d'écart, mais il aimait bien se prendre une bite bien à fond dans la gorge et il faut bien se dire que Théo n'était pas un géant, il était dans la moyenne, c'est tout … 


– Gobe moi les couilles, et vas y avec douceur j'y tiens ! Ordonnait Théo.


Tooni s'exécutait, si ça surprend certains d'entre-vous rappelez vous que Théo est un Quinze-Plus alors que Tooni est un quatorze-plus.  C'est cette différence qui fait que si Théo dit '' Suce ! '' Tooni suce.


Théo s'allongeait sur la paillasse, Tooni le chevauchait pour le câliner, le caresser. Il le caressait avec son visage en déposant un baiser tous les centimètres, et des caresses sur les parties du corps qu'il n'embrassait pas. Théo le guidait, toujours avec autorité, appuyait bien sur sa tête pour lui faire gober sa bite.


– On devrait se marier !


Tooni ne répondait rien et continuait à faire gémir de plaisir son camarade. Il se branlait.


– Tu arrêtes de te branler tout de suite, occupe toi de moi plutôt ! Tu sais, si tu m'épouses, que tu acceptes de porter un dispositif de chasteté, on gagne un cran de plus. Notre couple se retrouverait équivalent Seize … Il faut y penser.


Tooni ne répondait pas, et se contentait d'embrasser son camarade, c'est vrai qu'il connaissait bien ce corps, il l'avait déjà souvent caressé. Les calculs des crans sont souvent obscurs pour plus d'un mais Théo maîtrisait bien son affaire et continuait.


– On aurait droit à un terrain plus grand, presque le triple, on pourrait avoir un enfant, et là ce serait le bonheur …


Tooni mordillait les tétons de Théo et lui arrachait des gémissements bruyants. Théo tremblait, Théo se tortillait dans tous les sens, il sentait le plaisir monter et voulait faire durer.


– Suce moi ! Prends ma queue dans ta bouche !


Tooni s'exécutait, et aussitôt Théo lui retenait la tête avec force, lui appuyait le visage contre son ventre et le bloquait totalement quand il lui jutait dans la bouche.


– Maintenant tu avales.


Tooni avalait. Il ne faisait que Quatorze-Plus ! Il avait accepté sa position sociale.




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


Anton Ep 01 : A la montagne

 Anton Ep 01 : A la montagne




Pour la première fois, depuis l'invention de l'écriture, l'histoire que je vous propose aujourd'hui a été écrite en collaboration avec Junior. Le scénario est de Junior, la réalisation et la mise en scène sont de Charly Chast !


. . . . . .

 

'' Mais qu'est ce que je suis venu faire dans cette galère ? '' se demandait le  jeune Anton. '' Si j'avais su, j'aurais pas venu comme on dit '' …


Le bus les avait laissé un peu plus bas dans la vallée et depuis maintenant plus d'une heure il marchait. Il avait son sac à dos sur les épaules et il râlait.


Il n'était pas seul le petit Anton, il y avait toute une équipe avec lui mais c'est lui qui râlait le plus fort. '' Et il reste encore combien de kilomètres avant d'arriver ? '' . On leur avait promis qu'ils seraient arrivés avant la nuit. Pour l'instant on n'était que le matin …


C'était à cause de son copain Michael qu'il s'était inscrit. Il aimait bien Michael, il le trouvait tellement beau et tellement sexy. C'est vrai qu'il était musclé Michael et toutes les filles lui tournaient autour, ça ne plaisait pas vraiment à Anton cette affaire mais bon personne ne lui demandait son avis. Il s'était dit que là pendant ce stage de survie dans la nature, comme il n'y aurait aucune fille, il serait tranquille de ce côté ... Il avait l'intention d'avancer un peu dans cette aventure. Avec Michael je veux dire, ils avaient prévu de partager la même tente, de passer du temps ensemble. Et Anton avait prévu de se rapprocher un peu plus physiquement.


Mais voilà, Anton n'avait pas vraiment compris ce qui se passait. Michael n'était pas dans le bus. Pas moyen de le joindre au téléphone, pas d'explication, du coup, Anton ne voulait plus y aller à ce stage de survie, il a voulu descendre du bus mais c'était trop tard … Il roulait déjà … 


Alors forcément depuis son arrivée … Anton râlait !


Le midi ils ont fait une pause, pour manger. Les organisateurs avaient prévu des sandwich. 


– La survie est organisée, se disaient Anton, mais bon de toutes façons les organisateurs sont responsables de nous, ils ne vont pas nous laisser mourir de faim, ou de froid, ou d'autre chose d'ailleurs. Enfin d'ennui peut être ? Le téléphone ne passe même pas ici ! Je ne savais pas qu'à notre époque il restait encore des endroits comme ça …


L'après midi était bien avancé quand ils arrivaient à destination. Une sorte de petit plateau, ils étaient maintenant en altitude, d'un côté ça montait encore, ils était aux pieds d'une falaise qu'on pouvait encore escalader mais là ça montait fort. De l'autre côté une petite forêt, elle n'était pas bien large, moins d'un kilomètres et se terminait par une autre falaise, mais là ils étaient en haut de la falaise et le panorama était à couper le souffle … Ils étaient arrivés par un chemin et le chemin continuait, il s'enfonçait dans la forêt, cette partie de la forêt était plus épaisse, plus sombre …


Anton partagerait sa tente avec Jean François, un des membre du groupe d'encadrement. En fait Jean François était un étudiant plus âgé, il avait déjà participé à ce stage de survie et comme ils manquaient de moniteurs, il s'était porté volontaire. Anton ronchonnait dans sa barbe, il était imberbe mais bon c'est une façon de parler … 


– Allez bonhomme tu sais comment monter une tente ? Lui demandait Jean François.

– C'est à la portée du premier idiot venu.

– Ça tombe bien, tu es là !

– Ah c'est malin !

– Soit mignon Anton, arrête de te plaindre. Depuis qu'on est arrivé tu n'arrêtes pas de râler !

– Depuis que le Bus est parti pour être exact !

– Raison de plus, tu n'avais qu'à pas monter dans ce bus. Maintenant que tu es là, dis toi bien que c'est pas en râlant que tu rendras le séjour plus agréable. 


Disant cela, Jean François retirait son T-shirt … Anton faisait des yeux tout rond, c'est vrai qu'il est bien musclé le Jean François. Un petit peu plus vieux, un peu plus mature, et là, devinez mais, Anton ne râlait plus du tout !


Il terminait même de monter la tente avec le sourire le petit Anton. C'était une petite tende genre canadienne, ils y seraient à l'étroit mais c'était mieux pour se tenir chaud. 


Pour ce qui est de la partie survie, c'était très bien organisé, il y avait une source d'eau, fraîche et délicieusement pure, directement filtrée par la roche, chacun devait faire ses propres réserves mais pour la nourriture c'était encore mieux organisé, quelques conserves et des produits lyophilisés … 


– Et comment qu'on fait si on est perdu dans la nature et qu'il n'y a pas de magasin à proximité, on se rabat sur les surgelés ou sur les conserves … ?  Demandait Anton à Jean François. Ce qui le faisait rire. 


Il n'avait pas voulu se faire remarqué, et il s'était rapproché de son camarade de tente pour pouvoir lui poser la question discrètement. Il ne râlait plus du tout et ne faisait plus la gueule. La soirée avançait et avait du mal à ne pas fixer des yeux les muscles de son nouvel ami. Il faisait un peu frais et tout le monde avait enfilé une sorte de doudou pour se tenir au chaud. Jean François restait toujours aussi sexy aux yeux d'Anton.


Jean François ne repoussait pas Anton, au contraire même semblait-il. 


La soirée s'avançait autour d'un feu, tout le groupe s'était attroupé en cercle et se racontait des histoires. L'ambiance était bonne. Jean François faisait signe à Anton qu'il allait se coucher. Le cœur d'Anton battait fort et vite d'un coup. Il s'imaginait déjà ce magnifique gaillard endormi à côté de lui. Sans oser se l'avouer, il se demandait en fait s'il pourrait … Si seulement il pourrait. Malgré tout il n'osait pas foncer vers la tente pour s'allonger, pour pouvoir regarder Jean François se déshabiller, il l'imaginait faire. 


Dort-il nu ? Vais-je pouvoir dormir nu ? Avec Michael j'aurais osé. Torse nue ? Il fait pas trop froid sous la tente ? Bein oui il faut bien se dire que notre ami Anton, c'est avant tout un citadin. Ses grands espaces sauvages, pour lui, ce sont les grands boulevards … Ses étendues d'eau sauvages ce sont les piscine, éventuellement la plage des Sables d'Olonne mais en été uniquement ! C'est un aventurier des clubs de vacances, et là, il faut bien se dire que ça faisait un peu sauvage pour lui. Un tente … en forêt … Mon dieu !


En se glissant dans la tente, Anton était agréablement surpris de découvris un torse musclé, deux bras musclés, et la belle gueule de Jean François qui dépassaient de son sac de couchage. Il y allait doucement, c'est pas qu'il ne voulait pas le réveiller mais il ne voulait surtout pas que ça paresse volontaire. Donc il tentait de réveiller accidentellement son camarade … C'est futé, je sais !


Ça a marché. Jean François à relevé la tête. 


– Tu devrais dormir entièrement à poil. Tu verras, tu te réchauffes bien mieux comme ça !


Là Anton ouvrait à nouveau des yeux tout rond. C'est vrai que dans le noir ça ne se voyait pas. C'est vrai aussi que ça lui simplifiait sa prise de décision … Sitôt dit, sitôt fait … C'est entièrement nu qu'il se glissait dans son sac de couchage. Rapidement il sentait la main de Jean François lui caresser l'avant bras. Jusque là il avait réussi à se contrôler mais brusquement, il ne contrôlait plus rien. Il bandait !


Il caressait la main de Jean François, comme ça l'air de rien … Presque par distraction. 


– Hmmm . Hmmm ! Murmurait Jean François.


Anton se retournait vers son voisin de tente, ses yeux ne s'étaient pas encore habitué à l'obscurité et il n'a pas vu venir le visage de Jean François, il a senti par contre ce baiser très tendre qu'on lui donnait, il n'a pas résisté. Il la rendu ce baiser. Et quelques instants plus tard, le sac de couchage bien ouvert, il n'avait pas froid, le torse de son colocataire le réchauffait, ses bras le caressaient et il en faisait de même. Les deux corps se rapprochaient, la main de l'un caressait les fesses de l'autre et Anton sentait les lèvre de son camarade sur sa queue. Il sentait la langue de Jean François lui caresser le gland puis il sentait sa queue lui rentrer dans la bouche. C'était doux, c'était chaud et Anton frémissait de plaisir. 


Anton caressait les cheveux de Jean François, par moment un mouvement de son bassin lui échappait, au début Jean François relevait la tête puis peu à peu il appuyait son visage et avalait la queue de son compagnon bien à fond. Dans un même temp il s'allongeait à côté de Anton, il se plaçait bien pour lui permettre de lui rendre la politesse.


Anton commençait alors à tripoter, à masturber son compagnon puis se décidait à son tout à lui sucer la queue. On aurait pu le croire dégourdi le petit Anton mais en fait non, il n'était pas dégourdi du tout. Pour lui c'était une première, une découverte.


C'est timidement qu'il prenait le gland de son camarade dans la bouche, il était mieux monté que lui et Anton était impressionné. Ce n'était pas un géant non plus et rapidement Anton parvenait à prendre cette queue en entier, bien à fond dans sa gorge. C'était une première pour lui mais il y prenait goût. 


Pendant un long, un très long moment les deux garçons se donnaient du plaisir. Leurs mains découvraient le corps de l'autre. Anton insistait sur les fesses de son camarade alors que son camarade, peut être plus entreprenant, avait déjà glissé une doigt entre ses fesses. Il insistait alors avec un mouvement circulaire sur la petite ouverture bien refermée, bien resserrée entre elles.


Anton couinait de plaisir, ou alors c'est parce qu'il ne pouvait pas parler ! 


Jean François se redressait et c'est face à face qu'ils se retrouvaient. Anton devinait le sourire de son partenaire. Les deux torses se caressaient l'un l'autre. Les deux sexes se trouvaient. Chacun tirait l'autre contre lui. Les jambes se mêlaient et les deux corps roulaient l'un sur l'autre. 


Jean François se retrouvaient dessus et avec son visage couvrait de baisers le corps de son partenaire. Il lui mordillait les tétons et Anton avait du mal à retenir de vrai gémissements mais les bruits à l'extérieur de la tente le rappelait à l'ordre. Il entendait le reste du groupe qui de loin continuait à discuter, et il serrait la mâchoire pour retenir ses gémissements de plaisir. Jean François lui suçait la queue un petit moment mais pour faire durer le plaisir arrêtait avant de faire jouir son camarade. Il remontait alors la tête et de nouveau l’étreignait et l'embrassait. Ils roulaient de nouveau l'un sur l'autre.


C'est Anton qui se retrouvait en position dominante. Il ne lui restait plus qu'à montrer à son guide qu'il avait bien compris ce qu'il fallait faire. A son tour , il parcourait le corps de son camarade avec ses lèvres, avec le bout de son nez. Il s'arrêtait régulièrement pour déposer un baiser ou une petite caresse de la langue en insistant bien sur les téton. Par moment il montrait les dents. Oh en douceur, rassurez vous, il mordillait son camarade avec douceur, pour les tétons par exemple, il avait compris qu'en y mettant la langue on était sûr de ne jamais mordre trop fort. On place alors ses dents du haut, le téton de son partenaire, sa langue puis les dents du bas. Si on mord trop fort on se fait mal à la langue … Là on peut y aller on ne fera pas mal à son partenaire .


Anton était bon élève. Le maître, le guide, Jean François savait apprécier. De nouveau Jean François replongeait sur la queue de Anton qui avait tout compris et suivait le mouvement. Chacun suçait l'autre. Anton n'avait plus aucune timidité, il y allait de bon cœur, il y prenait du plaisir. Il prenait du plaisir dans les deux positions, sucé ou suceur !


Jean François s'attardait de nouveau longuement, sur le petite ouverture entre les fesses d'Anton. Là Anton n'osait pas, il n'osait pas encore. Et ce contact l'inquiétait il resserrait son cul par réflexe de toutes ses forces. Jean François le devinait. Il lui lubrifiait toutefois le cul avec sa salive alors qu'il sentait le plaisir monter. Anton le suçait maintenant avec passion, il faisait ça bien en plus. Jean François ne comprenait plus. Au début il avait pensé que c'était un première pour Anton, là il en était moins sûr. Le plaisir montait et il finissait par éjaculer dans la bouche d'Anton, qui ne s'y attendait pas.


C'est à ce moment qu'il enfonçait son doigt dans le cul d'Anton qui éjaculait à son tour et Jean François recevait tout dans la bouche. Anton n'avait pas arrêté de sucer son camarade. Jean François faisait de même. Ils avalaient, ils respiraient fort, ils ne bougeaient plus. 


Plus tard ils reprenaient leur position face à face et continuaient à échanger beaucoup de douceur, beaucoup de tendresse. L'un caressait le visage de l'autre en le tenant bien dans bras. Les deux sacs de couchage étaient ouverts, et devenaient une sorte de lit étroit, la tente n'était pas large, mais douillet.


C'est ainsi qu'ils se sont endormis. Finalement Anton ne regrettait pas, ne regrettait plus que son camarade Michael ne soit pas venu … Au contraire peut être même .


C'est la lumière, le chant des oiseaux, les discussions de leurs voisins qui les réveillaient le lendemain matin. Ils avaient installé leur tente au pied d'un chêne magnifique, large, fort et haut. Anton sortait de la tente, il suivait son camarade, ils avaient un short sur eux et c'est là que le drame … C'est là que le terrible accident s'est produit … 



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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