Lionel Ep03 Ce soir c'est chez moi

 Lionel Ep03

Ce soir c'est chez moi


Après cette soirée nous nous retrouvions le lendemain au boulot mais quelque chose avait changé. On ne se regardait plus tout à fait de la même manière.


J'avais une érection permanente. Bien sûr ne je pouvais pas bander, et pour cause, mais ma queue à commencé à se révolter dès que je l'ai vu. Il était habillé et on pouvait pas deviner qu'il avait une bite énorme mais c'est à ça que je pensais pendant toute la journée.


On s'est retrouvé lors de la pause, on discutait, et devinez de quoi.


Tu sais moi je suis pas comme ça, c'était la première fois avec un mec. M'expliquait-il.

Moi c'est pareil !

C'est ta cage, tu m'as fait craquer.

On recommence quand tu veux. Moi c'est ta grosse bite qui m'a fait craquer.


Je l'observais, je le surveillais presque mille questions tournaient en boucle dans ma tête.


D'abord je me pausais des questions sur sa taille. Il ne me semblais pas que ma bite était aussi grosse que ça. Mais c'est vrai que ça faisait quelques années que je n'y avais plus accès.


Et puis il y avait ce rêve, celui de me la prendre dans le cul, ça devait faire mal, je risquais peut être ma vie là.


Puis je m'en moquais, mes idées continuaient à tourner en rond dans ma tête. Je revoyais sa queue, son énorme queue et je rêvais à lui. La journée se terminait péniblement. Nous nous retrouvions sous la douche à la fin de la journée. Je prenais ma douche dans une cabine, personne ne faisait attention, je faisais toujours comme ça.


Quand j'en ressortais, j'avais déjà mis mon slip, et je voyais les autres qui eux se baladaient à poil. Là je vous jure que j'ai comparé. Il fallait bien que je me rende à l'évidence, Lio était bien plus gros que les autres.


L'idée d'être le plus petit et lui le plus gros me traversait l'esprit et je m'en amusais.


Lio venait me voir pendant que je terminais de m'habiller, il était à poil, sa queue se balançait lourdement et je tremblais de le sentir nu si près de moi. J'avais presque le vertige.


On se retrouve chez toi ? Tu m'attends, et je te suis.

Chez moi ?

J'aimerais bien savoir ou tu habites. Ça ne te poses pas de problème ?

Non, je ne recevrai personne de ma communauté.


Il en voulait encore, moi je me souviens je ne me masturbais pas tous les jours. Je me donnais du plaisir moins d'une fois par mois. Mais les hommes le font tous les combien ? Pas tous les jours tout de même. Ce n'est pas bon pour la santé, c'est de la folie.


Mais voilà, c'était une folie douce et je n'osais pas lui refuser, il m'attirait tellement. J'habitais environ à la même distance que lui de l'entreprise mais pas dans la même direction.


J'habitais moi aussi à la campagne, moi aussi j'avais une maison et un jardin sans vis à vis. C'était calme. Il regardait bien la maison, comment elle était installée.


Tu n'as pas de voisins ?

Non, pour ça, c'est comme chez toi. On peut se balader à poil.

Alors ne nous en privons pas !


J'avais à peine le temps de réagir que je voyais sa grosse bite se balancer lourdement entre ses jambes, il était déjà à poil. Je me sentais tout bizarre, mon cœur battait fort soudainement. Tout mon corps tremblait, et tout particulièrement ma queue dans sa cage se manifestait. Je la sentais protester, je la sentais qui poussait contre les barreaux. C'était une situation à laquelle j'étais habitué mais rarement avec une telle intensité. J'aimais bien, c'était bon.


Il visitait la maison, il était décontracté avec sa grosse queue qui le précédait. Je ne dirais jamais assez comment elle était belle et lourde. Il ne bandait pas mais déjà elle prenait beaucoup de volume.


Je me déshabillais à mon tour, il revenait me regardait, me souriais et je voyais sa queue se relever. C'était bien ma cage qui le stimulait. C'était bien sa grosse bite qui me stimulait. Dans ma cage la pression était à son maximum, c'était à la fois agréable et désagréable.


Agréable oui, c'était une simulation intense, cette queue me donnait l'impression que mon cœur allait exploser, je sentais un malaise, un malaise très agréable. Mes sensations étaient contradictoires.


C'était désagréable, c'était frustrant avec délectation. Cette frustration était devenue une compagne qui ne me quittait pas depuis maintenant quelques années. Mais il n'y avait jamais une telle stimulation, c'était la première fois que j'approchais un homme, que j'approchais sexuellement un homme.


Tu as de la bière ?


J'allais en prendre deux dans le réfrigérateur, et je les apportait sur la terrasse, on se mettait à l'ombre et on s'installait. Sa queue se redressait avec force, c'était spectaculaire. Il s'enfilait une grande gorgée de bière, me regardait. Son regard était profond et j'y décelait un certain désir.


Je frémissais moi aussi, je tremblais, tout mon corps tremblait. J'avais envie de baisser les armes, de ne pas me défendre de le laisser s'amuser avec moi, de le laisser faire ce qu'il voulait de moi.


Je sentais sa main sur mes couilles, il ne m'avait pas ni prévenu ni demandé. Il s'amusait avec mes couilles, il me tripotait, avec ses doigts il explorait ma cage, il glissait un doigt dans les fentes d'aération et semblait trouver ça très amusant.


Tu ne peut pas retirer ton dispositif ?


Je faisais non de la tête.


Puis il me saisissait les couilles et s'amusait avec un peu plus de fermeté, il tirait légèrement dessus, il refermait sa main dessus, il me les écrasait aussi, il me faisait un peu mal mais je le laissait faire. Je m'installais plus détendu dans le siège et j'écartais les cuisses.


Je finissait par tendre ma main et lui caressait les couilles. C'était une sensation étrange, contrairement à moi, il avait de petites couilles, elle étaient bien fermes. Les miennes sont grosses et pendent mollement, sous l'effet de la chaleur elle se décontractaient, le froid les contracte mais là il faisait chaud.


Ma main finissait par lui saisir la queue et je commençais à le masturber. J'y allais avec douceur, il me lâchait et je l'entendais gémir.


Suce ! M'ordonnait-il.


Je ne faisait pas répéter et me penchais sur lui, avec la langue je lui caressais le gland, il était sec, doux et brillant, et je sentais sa queue se contracter.


Ensuite je penchais un peu plus la tête et je tentais de prendre son gland dans ma bouche. Ça passait mais ça passait juste, il était large. Je refermais les lèvres et son gland se trouvait tout à fait à son aise, bien confortablement installé. Je prenais le plus grand soin de ne pas le toucher avec mes dents et de nouveau je l'entendais gémir. Là il gémissait plus fort.


Avec la langue je le caressais partout ou je pouvais aller. Et avec la langue j'explorais son pénis, je m'imaginais dans ma tête une image de ce que ma langue caressait.


Là c'était la cicatrice de son frein, il avait été circoncis mais il me semblait qu'il restait un petit bourrelet de peau à cet endroit. Le gland me semblait énorme, encor plus sous la langue et je tentais de prendre sa queue plus profond dans ma bouche mais elle était énorme et ne rentrait pas. En tout cas pas beaucoup plus.


C'était peut être moi qui manquait d'entraînement, ou peut être plus simplement juste un problème de taille.


Il me caressait les cheveux pour m'encourager, il y allait tout doucement. Mais ça ne changeait pas grand chose, ma bouche était trop petite ou sa bite bien trop grosse.


Tu crois que …

Oui … Répondais-je.

Tu crois que tu pourrais la prendre dans ton cul.


Là je relevais la tête. J'avais l'impression de ne plus respirer, mon cœur s'était arrêté. Je ne montrais rien mais intérieurement je paniquais. Ma tête était en feu. Je savais que ça ne rentrerait jamais, je savais que je risquais de déchirer et que je risquais de mourir. J'imaginais un accouchement masculin. Je sais ça n'avait pas de sens mais j'étais comme en état second. Autour de moi, tout devenait flou.


Ma femme a toujours refusé, elle me dit que c'est trop gros … Gneu, gneu, gneu … Les femmes tu sais !


Je me levait, tous mes gestes étaient ralentis, je me mettais en position, à genoux sur un matelas de plage, je me penchais en avant et je lui offrais mon cul. Je n'était pas seulement en panique, j'étais également terrifié mais je me sacrifiait pour son plaisir.


Il se penchais alors sur moi et me caressait. Ses mains glissaient sur tout mon corps, je frémissais de plaisir. C'était la première fois et je découvrais ce plaisir, un plaisir nouveau que je n'imaginais pas.


Il me caressait les épaules, puis ses mains descendaient sur mon dos, il arrivait rapidement sur mes fesses, il me caressait les couilles. Il crachait sur mon cul et je sentais une douce intrusion. Il glissait un doigt dans mon cul, ce devait être son pouce. C'était incroyablement délicieux, il y avait toujours cette frustration de ne pouvoir bander librement mais ça c'était pas bien grave.


Avec son autre main il me caressait le torse, il était parti de ma gorge avait glissé sur mon torse puis passait mon ventre musclé, s'attardait sur chaque muscle et terminait sur mes couilles.


Pendant ce temps il avait attrapé dans sa poche un tube de gel, c'était froid et deux doigts glissaient maintenant facilement dans mon cul. Je gémissait de plaisir. Je n'avais jamais imaginé combien ça pouvait être agréable, je n'avais jamais éprouvé un tel plaisir, je relevais la tête.


Il me massait les couilles de nouveau, il y allait fort, il me faisait presque mal mais je le laissais faire, je me donnais à lui, je lui appartenais et sil voulait me faire mal, il me ferait mal !


Les deux doigts s'agitaient maintenant dans mon cul. Si sur mes couilles il me faisait un peu mal pour mon cul, c'était un moment merveilleux. Il continuait à lubrifier, et c'est trois doigts quatre peut être qui glissaient dans mon cul maintenant. En fait j'en savais rien, je ne savais même plus ce que je ressentais mais c'était bon.


Il prenait position, mon cœur battait fort, il se lubrifiait la queue, je paniquais sans rien montrer.


Puis il positionnait sa queue et poussait doucement, je résistais mais c'était bien involontairement. Il poussait plus fort, ça résistait toujours. Il poussait encore plus, j'en faisais autant et c'est là que mon cul à lâché.


Avec une violence inouïe son gland entrait en force dans mon cul. La douleur était intense, bien au delà de ce qu'on peut supporter. J'ai hurlé, je me suis débattu et je me suis dégagé.


Je me retrouvais allongé sur le sol, je me tordais de douleur mais j'éjaculais, j'avais mal au cul mais une douleur horrible et je jouissais par ma queue, elle était bien enfermée, ne pouvait pas prendre un millimètre de volume mais elle me donnait un plaisir intense.


On ne recommencera jamais ? Me demandait bêtement Lio.

Si, si on recommencera …

A ! cool ! Rajoutait-il en reprenant position …

Mais pas aujourd'hui, mais pas tout de suite …

C'est aussi ce que m'a dit ma femme ! Et depuis elle ne veut plus en entendre parler …



A suivre




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