DEUX BRANLEURS ET UN PRIEUR

DEUX BRANLEURS ET UN PRIEUR


C'était une école très bien, très réputée, très convenable, l'école préférée de la petite bourgeoisie de cette petite ville de province. Tous les gens qui en avaient plus ou moins les moyens y envoient leur marmots, l'uniforme étaient de rigueur, veste, gilet, chemise blanche avec cravate, pantalon noir, la même couleur que la veste et pour terminer, souliers vernis, noir également.
On ne peut pas dire que les élèves étaient malheureux dans cette école, contrairement aux apparences la discipline n'était pas si sévère. Les professeurs étaient présents pendant les heures de bureau ( comme on dit dans l'administration ), du matin dès l'ouverture de l'école avant l'arrivée des externes au soir après leur départ. 

Le personnel de nuit était lui présent le reste du temps. Enfin c'était juste une petite école privée, petit bourgeois qui prétendait à plus qu'elle n'était réellement, classique quoi ! Les résultats aux examens n'était pas meilleurs que l'école publique, celle ou la populace envoi ses enfants, mais la région étant très, genre conservateur, on disait partout que le privé c'est mieux surtout que privé, ça veut dire religieux.

L'école, bien sûr, n'était pas mixte.'' Il ne manquerait plus que cela ! ''. Il n'y avait donc pas d'internat pour les fille et d'internat pour les garçons, il y avait un internat. Ce n'était pas de grands dortoirs, mais des chambres avec deux lits, deux élèves du même âge et dans presque tous les cas dans la même classe, en tout cas pour les élèves le plus âgés, les plus jeunes étaient dans des chambres de quatre lits et très encadrés. Les plus vieux, presque de jeunes adultes, étaient encadrés mais d'un peu plus loin. On les laissait respirer.

Étienne et Robin étaient deux jeunes hommes charmants qui partageaient plein de choses en plus de partager la même chambre. Ils faisaient du sport ensemble, ils avaient presque tous les cours en commun, il étaient dans la même salle d'étude … Enfin ils passaient une grande partie de leur temps ensemble. 

C'est donc ensemble que ce soir là, comme tous les autres soirs de la semaine ils se retrouvaient dans leur chambre, après le couvre feu les élèves devaient être rentrés et n'avaient plus le droit de sortir. Enfin sortir du bâtiment, ils n'étaient pas consignés à leur chambre. 

Ils avaient l'habitude et savaient être discrets, histoire d'être tranquille. Aucun surveillant ne frappait jamais à leur porte, ils ne se faisaient pas remarquer. On les laissait tranquille. L'abbé l'Abèze, était le plus souvent le surveillant dans cette partie des dortoirs.

C'était un jeune prieur, il semblait à peine plus âgé que les élèves. Il était d'un naturel timide, et rasait les mur, ce qui lui donnait un air sournois. Les élèves l'appelait la fouine … En fait quand on le connaissait, il était très gentils.

Ce soir là, il avait une lettre à remettre à Robin, il avait frappé à la porte mais n'ayant obtenu aucune réponse. Il avait alors ouvert la porte et avait glissé la tête dans la chambre. Lui si prude, encore chaste et quand je dis chaste … Il était même encore puceau du cul (c'est tout dire). Mais oui ça existe encore des puceaux du cul a son âge ! Eh oui mon bon monsieur '' à son âge '' ! A notre époque ? Mon dieu être encore puceaux du cul à cet âge ? Et en plus il était religieux, là ça devient encore plus rare ça puceau du cul mais bon je m'égare de mon histoire.

Bref, le spectacle qu'il voyait le choquait, il devenait tout rouge et restait totalement paralysé sur place, tétanisé, bloqué autant que confus. Mais il ne pouvait pas retourné ses yeux de ce qu'il voyait. 

Robin était vautré sur le fauteuil, les jambes allongées, le pantalon baissé et son camarade de chambre avait la tête penchée sur lui, sur son entre-jambe pour être précis et il semblait à l'abbé que Etienne tenait dans sa bouche, bien enfoncée sur toute sa longueur jusqu'au fond de sa gorge la queue de son ami. 

L'abbé ne pouvait plus détourner son regard, il était fasciné, hypnotisé, pourpre du visage par sa confusion embarrassée …

Euh ça se dit ça '' confusion embarrassée '' ? Ou bien c'est un … Bof ! Et puis on s'en fout !

Surtout que Etienne ne restait pas là, bêtement sans bouger (enfin bêtement je ne dis pas … ), mais il bougeait, l'abbé remarquait ses mouvement de succion, il relevait la tête et avec la langue il léchait la bite de son camarade qui avait les yeux fermés et gémissait de plaisir. 

Un réflexe étrange poussait l'abbé à refermer la porte doucement pour que personne n'entende les gémissements dans le couloir. Mais la situation lui échappait au moment ou la porte lui échappant des mains claquait très fort. Surtout qu'il avait oublié de sortir de la chambre ...

Robin et Etienne sursautaient. Robin surtout semblait paniquer et voulait cacher ses parties intimes en appuyant sur la tête de son camarade qui se retrouvait donc un peu bloqué, la queue de Robin dans la gorge. Étienne avait sursauté mais c'était parce que Robin avait sursauté.

L'abbé qui devenait alors aussi rouge qu'un piment basque (rouge basque quoi!) …

L'abbé : Monsieur Robin … J'avais … Lettre … à vous déranger … Je revoudrais.

Etienne parvenait enfin à relever sa tête, l'abbé n'en revenait pas. Etienne avait le visage contre le ventre de son camarade et par conséquent bien enfoncé jusqu'à la gorge la queue de Robin qui ressortait alors, elle était de très belle taille, elle était de très belle largeur, elle était très belle. L'abbé était fasciné et ne semblait plus pouvoir bouger. 

Etienne : Mais tu veux me tuer, j'ai failli mourir étouffé là !

Du regard Robin montrait à Etienne qu'ils n'étaient plus seuls. Etienne n'avait rien entendu tout occupé qu'il était à son ouvrage ( vous avez vu comment c'est dit avec élégance ça, non ? ). Il tournait la tête …

Etienne : Merde là c'est la tuile ! 

Plus personne ne bougeait !

Etienne : Mais c'est qu'il bande en plus !
L'abbé : Revenir … pas déranger … lettre !

Il bafouillait le pauvre ! Et il allait alors tenter de se retourner et d'ouvrir la porte pour ressortir …

Robin : Labèze ! ( C'est pas  un gros mot, c'est le nom du jeune curé, je dis ça pour ceux qui aurait lu le paragraphe un peu trop vite )

L'abbé ne bougeait plus, il n'était plus rouge mais violet. 

Etienne : Attend il bande .

Etienne s'approchait tout en restant sur les genoux et sans aucune hésitation agrippait les couilles du curé au travers de son pantalon. 

Etienne : Il en a une belle en plus j'ai l'impression.
L'abbé : Enfin ! Messieurs ! Je vous en prie !

Le curé se retrouvait avec le pantalon sur les chevilles et Étienne le branlait avec l'air décidé. En effet il en avait une belle, le curé ! Sans qu'il  n'ose se retirer ou s'y opposer. Il n'avait pas non plus le temps de réagir au moment ou Etienne lui avalait la queue. Les yeux lui ressortaient de la tête c'est tout !

Le curé : Oh mon dieu, oh mon dieu, oh … ( Bon j'arrête là, je ne vous dis pas mais ça a duré un  moment )
Robin : Vas y, il aime ça dis, bouffes lui la queue.

Etienne aime ça on n'en doute pas, le curé devait apprécié lui aussi, il ne tentais pas de repousser Etienne, il avait simplement les deux bras relevés et à moitié repliés devant lui, l'enveloppe dans la main droite … 

Le curé : Oh mon dieu, oh mon dieu, oh … ( Bon j'arrête là, je ne vous dis pas mais ça a duré un  moment ). ( éh,éh,éh )

Je me répète là oui je sais mais c'est lui aussi, il n'arrêtait pas …

Robin se rapprochait, '' Gardes m'en un peu !''. Il se plaçait alors à côté du curé et laissait Etienne passer de l'un à l'autre. 

Etienne avalait la queue de Robin tout en masturbant et en massant la queue du curé puis il échangeait. Robin montrait au curé ce qu'il fallait faire de ses mains en appuyant sur la tête d’Étienne.

Robin : Vas y fait comme moi, quand il te suce … Au fait c'est quoi cette lettre.

Le curé n'en revenait pas, au moment ou Etienne avalait sa queue, Robin lui prenait la lettre des mains et la lisait tout en laissant son camarade Etienne le masturber.

Le curé : Oui … C'est … Haaaaaa ! … Grave … ?
Robin : Non rien de bien grave, ce n'était pas la peine de te déranger. Mais tu as quand même bien fait de venir. Alors  t'en penses quoi ? Ça doit pas être aussi bien qu'au séminaire ! Allez, c'est mon tour, tu vas me dire ce que tu en penses.
Le curé : Oh mon dieu, oh mon dieu, oh … 

Robin se mettait à genoux, Etienne en profitait pour se relever et se détendre la mâchoire. Quelques instants plus tard, le pantalon du curé était dans un coin, il était installé, vautré sur le fauteuil, Etienne le déshabillait totalement, le caressait, et l'embrassait partout ou il pouvait passer sans gêner Robin. 

Le curé semblait totalement dépassé par la tournure des événements. D'une main il appuyait sur la tête de Robin, ne sachant s'il devait appuyer fort ou y aller doucement, de l'autre main il caressait le torse d’Étienne n'osant poser la main n'importe ou. Etienne lui prenait alors la main et la posait avec fermeté sur son sexe. Le curé sursautait puis se détendait, quelques instants  plus tard il osait même la glisser dans le pantalon du jeune homme.

Un peu plus tard, il ne restait plus que Robin qui était encore habillé. Enfin il avait encore sa cravate. Au milieu de la pièce les trois corps se caressaient se frottaient l'un à l'autre, ils s'embrassaient avec passion. Pour l'abbé c'était une révélation. Il n'avait connu de la sexualité que la masturbation honteuse. Mais on lui avait dit que le reste était encore plus honteux et pas si fantastique que ça. Il se rendait compte qu'on lui avait menti !

Pour lui les peaux n'avaient jamais été aussi douces, aussi chaudes. Les  lèvres n'avaient jamais été aussi tendres. Il se décidait à se mettre à genoux et à sucer à son tour la première queue  qui passerait à porté de ses lèvres et de sa langue.

Tout comme on venait de lui montrer, il passait d'abord sa langue sur l'extrémité du membre viril, il découvrait alors que le gland, s'il est sensible, est d'une extrême douceur. Il y allait doucement, en suçait un puis passait à l'autre, il revenait. Peu à peu il tripotait également les couilles de ses deux partenaires, il finissait par se lâcher et glissait même la main entre les fesses de Robin. 

Robin : Quelque chose me dit qu'il va aimer le cul !

Etienne qui avait la plus petite ( pour une première fois les jeunes il ne faut pas être gourmand de plus elle faisait tout de même ses dix  huit centimètre ), Etienne donc prenait position derrière le curé, se lubrifiait bien la queue et doucement la positionnait contre l'anus du curé qui prenait soin de lubrifier aussi. Il en profitait pour y glisser un doigt, la réaction semblait bonne il tentait alors une entrée avec sa queue. 

Là le curé à crié, il a hurlé même au moment ou Etienne est entré. Il y allait doucement Etienne et son petit diamètre de presque cinq centimètre aurait du les aider … Mais non ! Ça résistait et il devait alors forcer. 

Alors ça c'est les jeunes, '' Ça passe pas ? … Mais si ça va passer ! ''. 

Pour finir son bassin frappait violemment les fesses du curé qui hurlait de douleur pendant que Robin continuait à le sucer. 

En règle générale, ça fait éjaculer celui qui se fait enculer ( moi en tout cas c'est ce que ça m'a fait la première fois ), mais la le curé n'a pas éjaculé. Rien n'est sorti et Robin qui s'attendait à se prendre une giclée de sperme dans la bouche est resté sur sa fin. 

Toutefois si rien n'est sorti, ce qui est rentré c'est le directeur de l'école, le père supérieur qui alerté par les cris avait jugé bon d'entrer sans frapper.

Les trois jeunes gens sont resté dans cette position totalement tétanisé. Tous les trois on eu l'impression que leurs cœurs allaient s'arrêter. Avec lui ça déconne pas !

Le père sup : Bravo jeunes gens. Monsieur Etienne, Monsieur Robin je pensais que rien ne pourrait plus m'étonner de votre part. Bravo une fois de plus vous m'avez donné tort sur ce point ! Et quand à vous Labèze, vous ne pouvez imaginer combien vous m'avez déçu. Quand vous aurez fini vos ébats, vous me retrouverez dans la salle des prières. Elle est vide à l'heure qu'il est !

Je ne vous dis pas comment ça calme ! 

Paf, il avait plombé l'ambiance, ils avaient tous les trois débandé en quelques secondes. Le père supérieur était reparti. Sa voie était restée douce, il n'avait pas crié, pas hurlé ( non, le seul qui avait crié c'était l'abbé Labèze juste un peu plus tôt mais il avait une excuse ). Sa voie était restée claire, nette et dépourvue de colère.

Il se retrouvait tous dans la salle des prières quelques instants plus tard. Le père supérieur y était déjà, à genoux sur son prie dieu ( il y en a qui sont vernis, pour prier ils ont un instrument qui s'appelle comme ça, il paraît que ça aide ) … Les entendants venir il leur faisait signe de s'agenouiller à côté de lui, sans rien dire. Et c'est sans rien dire qu'ils ont tous passé la nuit … a prier !

Et là je ne vous dis pas comment certains se sont fait chier cette nuit là !

L'aube pâle naissait quand le père supérieur se relevait. 

Le père sup : Vous irez vous habiller correctement puis vous irez prendre votre petit déjeuner avant de vous rendre dans une cellule pour novice. J'espère que ça ne vous dérangera pas si vous n'êtes pas dans la même cellule !

Ça c'était rajouté avec une certaine malice toute religieuse. Ils ne pourraient alors plus communiquer de toute la journée.


Les parents des deux jeunes étaient dans le bureau du directeur quand Etienne et Robin y entraient. Leurs mères étaient en larmes, leurs père étaient furieux et ne les regardaient même pas. Le directeur leur faisait la morale  pendant plus de deux heures. L'un se prenait une gifle par son père avant de se faire engueuler, l'autre se faisait seulement engueuler. 

La sanction proposée par le directeur de l'école était finalement acceptée par les six autres personnes concernées sans qu'on ait bien sûr demandé leur avis aux deux jeunes. C'était ça ou le renvoie immédiat !

On leur présentait à chacun un dispositif de chasteté. Ce sont des dispositifs fabriqué par la marque '' Le Château ''. C'est destiné à améliorer les jeunes garçons qui se laissent aller . Je vous fais un dessin ? Ce n'est pas nécessaire vous avez compris. 

Oh ils n'en menaient pas large les deux mômes. Bien sûr ils auraient pu refuser mais qu'auraient-ils fait alors ? Ils n'auraient pas eu leur examen, pas d'études supérieures, et bien sûr, pas de carrière pour laquelle on les avait si bien préparés. 

Ils acceptaient. 

Ils ont revu Labèze plus de quatre ans plus tard. La seule fois ou il avait osé toucher un autre être humain s'était terminé d'une manière imprévue. Lui aussi faisait carrière et se trouvait contraint de porter ce dispositif tant qu'il resterait dans les ordres, et il avait prévu d'y passer sa vie. On m'a confié par la suite qu'il aurait découvert de nouveaux plaisirs, et qu'il serait tout à fait satisfait de cette nouvelle situation ...

Deux ans plus tard encore, les deux garçon ne se voyaient plus. Robin apprenait que Etienne s'était marié et que sa femme avait reçu les clés de son mari, c'est elle qui désormais déciderait : Quand et si …  ! 

Robin lui, plus porté vers les garçons n'avait aucune nouvelle de sa clé, il parvenait à prendre du plaisir avec toujours cette frustration qui ne le lâchait plus.

Chacun d'entre eux, quand il y repense se souvient de ce soir là, aucun n'a joui, aucun n'a éjaculé et depuis … 

RENCONTRE DANS UN TRAIN

RENCONTRE DANS UN TRAIN


Vers la fin du dernier millénaire …

Vous avez vu comment ça dépote une telle entrée en matière ? Éh, éh, éh !

 Je ne voudrais pas dire mais la fin du dernier millénaire c'était il n'y a pas  vingt ans. Nous étions jeunes, nous étions beaux, nous … Bref  on avait vingt ans de moins !

Et si on remonte un peu plus loin dans le passé … Inutile d'essayer de vous rappeler les jeunes, vous  n'étiez pas nés … les futurologues de la presse imaginaient le futur ( notre présent ) d'une manière plus  ou moins fantaisiste. Les avions voleraient dans les airs, les voitures rouleraient sur des routes, et les trains rouleraient sur des rails. Il faut tout de même reconnaître qu'ils s'étaient largement trompés … Non ?

… ? … Euh ! Pardon ! C'est moi que je me suis trompé, j'ai un peu mélangé mes notes là.

Je voulais dire, les gens se déplaceraient dans les rues en regardant la télé. Ça nous faisait nous bidonner doucement … Bon la vérité est pire, c'est pas la télé qu'ils regardent c'est les réseaux sociaux ! C'est pas mieux et dans les deux cas ils n'ont pas l'air plus futé que dans l'imaginaire des futurologues fantasques du dernier millénaire …

On en voit partout, des jeunes, des moins jeunes, un peu moins de vieux pas de très vieux (Certains parmi ceux là se demande encore comment ça marche un téléphone qui n'a pas de fil) … Que je suis moqueur … j'ai honte !

Mais ça commence à représenter du monde tout ça. Le nez riveté à leur écran, l'écran presque greffé dans la main, il regardent le monde au travers d'un écran de petite taille en couleur et en haute définition qui ne donne pas d'ailleurs un très bon résultat en pleine lumière. Ces appareils sont aussi des caméras qui permettent de faire des photos, des films, et servent aussi de console de jeux. Moi qui ai connu les jeux vidéos de première génération. Mon dieu ! …

Enfin bref dans le train en face de moi, le mec depuis un moment communiquait en silence avec son téléphone dans la main. Il l'avait quand il est monté dans le train, il l'avait quand il a cherché une  place, il l'avait quand il a repéré la place en face de la mienne, il l'avait quand il s'est installé et l'a gardé depuis. Il en avait surtout grand besoin pour repérer une place libre dans la voiture ou j'étais seul avant son arrivé !

Je regardais ça l'air amusé, c'est vrai que je suis de ceux que ça amusent de rire. Il finissait par lever le regard dans ma direction. Je le saluait de la tête, il me répondait par un grand sourire. Un ange passait.

Moi : Quelle chaleur !
Lui : Oui ! Il fait chaud !
 …

On continuait sur ce ton pendant un petit moment, en général on commence comme ça quand on ne sait pas quoi dire.

Moi : Vous habitez Sartrouville En Bled ?

Je vous rassure si cette ville ne vous dis rien, c'est normal j'ai inventé le nom par souci de discrétion pour ne pas vous dire que nous nous rendions à Nantes .

Oups ! Loupé ! Bon je vais continué avec Nantes maintenant, au point ou on en est !

Lui : Non je suis en week-end.
Moi : Le prochain défilé de la troupe royal de luxe ?
Lui : Je vais faire des photos.

Il me montrait alors son téléphone.

Lui : J'en ai fait plein.

Sur sa lancée, il me montrait quelques photos qu'il avait réalisé il y a peu, c'est étonnant ces petits appareil, je regardait et d'un geste naturel, non prémédité, je touchais son téléphone, mon doigt glissait sur l'écran et c'est la photo de mon entre jambe qui apparaissait !

Moi : Oui, je vois, des photos souvenir …

Il regardait son écran, devenait tout blanc. Moi je rigolais.

Moi : Tu en as d'autres des comme ça ?
Lui : Moi ! Euh ! Non ! Euh ! Oui ! …

Il bafouillait quelques instants et voyant que je rigolais il retrouvait son calme et me montrait plein d'autres photos.

Bein quoi ? Vous vous imaginez que je suis quel genre de garçon ? A me lire depuis bientôt deux ans vous devez vous douter savoir que je ne suis pas du genre prude ? Enfin pas trop ! A peine quoi !

On se penchait alors l'un vers l'autre et on regardait les photos qu'il avait fait. Il en avait plein.

Lui : C'est pour alimenter mon blog : c'est du lard ou du cochon . Com ( Là j'ai inventé, mais si ça se trouve ça existe ou il y a un truc dans le genre … ).

Il n'y avait aucun visage sur les photos, ça me semble un minimum … Il en avait plusieurs de moi, pas mal cadrées, bien, mon pantalon léger mettait bien en valeur mes formes érotiques, la lumière jouait bien aussi.

Lui : Tu dois en avoir une belle ?
Moi : Un grosse bien droite, bien grasse, bien énorme …
Lui : C'est vrai ? ( ses yeux pétillaient de curiosité )
Moi : Non ! Mais en général les mecs ne te disent jamais, ' j'en ai une toute petite de travers ' …

Il rigolait !

Lui : T'es un marrant toi.
Moi : Je te rassure je ne suis pas ridicule mais sans pour autant être un géant.
Lui : Tu fais voir ?

En tous cas lui il n'est pas timide et il n'est pas farouche  non plus ! Il serait même pire que moi !

Moi : Mais tout cela est si subite !
Lui : Oui ! Et alors ?
Moi : Et tu prends la photo ?
Lui : Ça marche !

Je jetais un regard circulaire dans la voiture, personne ne pouvait nous  voir vu qu'il n'y avait personne. J'avais un pantalon de training, c'est un peu moulant et c'est surtout très souple et très élastique. Il prenait position, je desserrais le lacet de mon pantalon et d'un geste rapide le baissait, en sortait tout le matos, passait le lacet du pantalon sous mes couilles. ( Je n'avais pas de sous vêtements ce jour là, j'espère que ça ne vous choque pas, pour le reste je ne suis pas inquiet ).

L'air nouille il regardait mais ne faisait pas la photo.

Lui : Mais c'est … ! C'est !
Moi : Un dispositif de chasteté, avec une forme anatomique, et c'est ce qui t'aura trompé. Au travers du pantalon c'est à s'y méprendre … Non ?
Lui : Bein mince alors, çà je ne  m'y attendais pas !
Moi : Photo, photo, je ne  vais pas resté comme ça jusqu'à Brest !
Lui : Ah oui, excuse !

Il enclenchait les photos en cascades, photographiait mon truc dans tous les sens, sous tous les angles, il continuait même à photographier quand je remontais mon pantalon.

Moi : Mais tu as filmé ou quoi ?
Lui : Presque !

Après on regardait le résultat de son travail. Eh bien ça marche rudement bien ces petits appareils, en passant les photos à la suite rapidement, ça faisait presque un film, il avait pris soin de ne photographier aucun détail qui pourrait permettre de m'identifier. J'ai bien aimé le résultat et je lui ai demandé quand il pensait les mettre en ligne.

Lui : La vache c'est un truc de dingue ça.
Moi : Bein oui ! Je sais partager des photos en ligne ...
Lui : Non moi je parlais de ton truc. C'est pas un modèle commercial ça ?
Moi : Bein non !
Lui : Mais il me semble l'avoir déjà vu !
Moi : Bein ou ?
Lui : Bein sur Internet !
Moi : Bein oui suis-je bête ?
Lui : Non mais tu nous entends parler là ?
Moi : Bein c'est aussi ce que je me disais …

On était plié de rire.

Moi : Je sais … Mais j'ai un blog et je diffuse des textes érotico pornographiques cochons …
Lui : Je sais ! Je sais ! Je sais !

Je sursautais … Il sait quoi ?

Lui : Charly Chast, j'ai lu certains de tes textes et j'ai vu ton blog. Je ne t'ai pas reconnu tout de suite. Je ne te cacherai pas que j'y croyais pas ! Alors c'est vrai ?
Moi : Éh, je suis repéré. Bein oui c'est vrai, tout ce que je raconte est vrai. Enfin sauf mes  textes, c'est à quatre vingt dix sept virgule soixante douze pour cent de la fiction. Mais les challenges de chasteté, c'est vrai.
Lui : La vache, alors là Charly je suis impressionné.
Moi : Mai au fait, comment tu m'as reconnu, il n'y a jamais ma photo.
Lui : Ton dispositif, c'est un modèle unique !
Moi : C'est vrai !

Il nous restait encore une longue route avant d'arriver à  Sartrouville En Bled, pardon je voulais dire à Nantes.

Lui : Attends, je reviens.

Il se levait et se dirigeait vers les WC. Sans aucune malice je le suivais …

Ouah la tête de certains lecteurs, il m'ont cru !
Sans malice ? Moi ? Non mais franchement personne ne peut y croire … 

Il m'avait un peu allumé la tête le mec, en plus s'il photographiais l'entre jambe des mec par pur voyeurisme je vous garanti qu'il ne cachait pas non plus une jolie bosse bien prometteuse lui aussi par pur exhibitionnisme.

Oui donc, c'est sans aucune malice ( lol ) que je le suivais il entrait dans les WC, je jetais un rapide œil circulaire et me demandais comment ils pouvaient encore faire rouler des trains, il n'y avait personne. Je me glissais donc dans la cabine en le bousculant presque pas.

Il était d'abord surpris mais n'avait en aucun cas l'idée de me repousser. Ce genre de cabine est assez étroite mais je tombais accroupi, lui ouvrais sa braguette, sortais sa bite avant de me la mettre dans la bouche. Il était là encore surpris de la vitesse à laquelle j'avais démarré.

Comme il me caressait les cheveux je me disais que ça ne devait pas vraiment le déranger, en tous cas il me laissait faire. Il bandait en quelques instants. Comme on aurait pu le supposer il en avait une belle, c'était pas un géant mais elle était belle. Elle avait grossi dans ma bouche rapidement et s'enfonçait jusqu'au fond de ma gorge.

Je retirait ma tête vers l'arrière et l'avançait dans des mouvements très rapide, sa queue ne ressortait que très peu, je massais son gland avec le fond de ma bouche. Régulièrement une petite pause pour reprendre mon souffle et je reprenais. Par moment je retirait ma tête complètement, il tentait alors par réflexe de me retenir.

Je le masturbais alors fermement, sa queue était  bien lubrifiée par ma salive, puis je revenait et reprenais sa queue en entier dans ma bouche et le suçais avec vigueur. Il gémissait de plaisir. Ma queue se révoltait, elle voulait subir le même traitement, mais c'était hors de question. La frustration nourrissait mon imagination, me stimulait et me donnait un plaisir de frustration indescriptible, terrible, j'étais accro !

On devient vite accro à ce truc, au moment ou ça s'est passé je vous jure et vous pouvez me croire car comme je vous le disais mes récits sont tous totalement, rigoureusement, absolument exacts ( ? … Enfin … ) … Mais au moment ou ça s'est passé je terminais ma quinzième semaine d'abstinence totale. Quinze semaines pendant lesquelles je n'avais pas sorti ma  nouille de sa cage et pendant lesquelles je n'avais eu droit qu'à moins d'un orgasme ruiné par semaine, soit pas plus de dix !

Aussi la queue me manquait, j'étais en manque et il en profitait. Avec ma langue je  lui caressait la queue sur toute la longueur, quand je retirais la tête j'insistais longuement sur son gland, tentant même de glisser le bout de ma langue dans le petit trou qu'il avait tout au bout. Il gémissait de plaisir, il tremblait et c'est sans prévenir qu'il me giclait une bonne dose de sperme à la figure. Suivaient une seconde giclée puis encore une que je prenais dans l’œil, et quelques autres dans les cheveux, sur la joue, sur le nez. Un partie avait atterri dans ma bouche et je me régalais, son sperme était très bon.

Il se secouait la queue devant moi sans se gêner, j'avais toujours le sourire quand je levais les yeux vers lui. Il me répondait avec un large sourire, il respirait encore fort, ma queue protestait toujours très fort mais ça je ne m'en souciais pas. J'étais frustré mais heureux, je l'avais senti vibrer au moment ou il avait joui.

Lui : Bon c'est bien beau tout ça mais on n'est pas là pour rigoler. Il se retournait pour pisser, c'est ce qu'il était venu faire, moi pendant ce temps j'en profitais pour me nettoyer, il se retournais se lavait les mains et vérifiait que je m'était correctement essuyé, '' il était pas mignon ? ''.

On était de nouveau présentables, je glissait une tête hors des WC il n'y avait personne, je sortais, il me suivait quelques instants plus tard et venait me rejoindre à notre place.

Lui : Alors tu es vraiment comme ça ? J'y aurais pas cru !
Moi : Tu peux parler ! Moi j'ai rien fait !
Lui : Tu parles ! Tu m'as tout de même sucé jusqu'au jus !
Moi : Et toi tu m'as juté généreusement jusqu'au cheveux !

On se regardait, on éclatait de rire.

On a continué à discuté comme ça, moi de mes histoires, il voulait tout savoir sur mon blog, moi je je voulais tout savoir du sien. Il m'a promis de m'envoyer les photos pour que je puisse aussi les publier sur ma page Twitter. Quand le train est entré en gare on était devenus inséparables, comme deux frères. Deux frères que dis-je, deux jumeaux !

On s'est fait la bise, on a continué chacun notre chemin, lui satisfait de cette rencontre, moi frustré par cette rencontre. Mais tous les deux prêts à recommencer.

Et quand le train est parti je me souviens que dans ma tête je me suis demandé …

'' Au fait comment il s'appelle ? On n'a même pas échangé nos prénoms ! ''




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast

DRAGUÉ PAR UN HÉTÉRO

DRAGUÉ PAR UN HÉTÉRO


A cette époque je ne savais pas que je deviendrais un jour ce célèbre auteur érotico-pornographique que je … Enfin si un peu quand même … Non ?

Bon d'accord … Pfff ... C'pas une vie ! 

Donc à cette époque je ne savais pas que j'écrirais un jour ces  conneries cochonnes que vous êtes en trains de lire et qui ne me donneront certainement pas le prix Nobel de littérature ( faut pas rêver )  mais déjà j'avais le feu au cul. Et puis pourquoi je me sens obligé de donner des précisions, comme si je présentais des excuses, tout le monde s'en fout, et de toutes façon c'est une fiction alors … Il y a un petit peu, un tout petit peu de vrai dans cette histoire mais pas plus, alors … Bonne lecture.


Je connaissais tout le monde dans le bar et tout le monde me connaissait. Tout le monde savait que j'étais gay et tout le monde s'en moquait. Une fille peut être le regrettait, elle m'avait dragué au tout début, avant que je lui dise … On était restés très bonne copines !

Un soir ou je dégustais délicatement un boisson au houblon fermenté ( en d'autres termes, un soir ou je me pochetronnais la tête à la bière comme un goret ), un des habitué que je connaissais bien venait discuter avec moi. 

Tony : Dis moi Charly, tu es avec quelqu'un en ce moment ?
Moi : Non pas en ce moment, pourquoi ?
Tony : Comme ça, histoire de dire quelque chose. 

… 

Tony : Et tu fais comment toi alors ?
Moi : Euh … Je fais quoi comment moi ?
Tony : Tu vois ce que je veux dire, on est des mecs. Même si toi …
Moi : Je te remercie pour le '' Même si toi ''. Mais je ne comprends toujours pas ou tu veux en venir.

Il parlait tout bas, de toutes évidences, c'était une discussion qu'il voulait discrète, de toutes façons avec le reste de la bande de poivrots pires que moi qui braillait dans tout le bar, c'était pas difficile de ne pas se faire entendre. De plus comme je le disais, tout le monde me connaissait, et ça ne surprenait personne qu'on me parle à l'oreille. Personne n'y trouvait rien à redire.

Tony : Avec les mecs, tu fais comment toi ?
Moi : Tu veux que je te donne un cours de sexualité entre homme ?
Tony : Non c'est pas ça, tu sais, moi ça ne m’intéresse pas ( Il pouffait de rire ). Juste comment tu trouves … Un partenaire ?
Moi : Oh, c'est donc ça ! Il y a les boîtes de nuit, tu peux même consommer sur  place, mais le préservatif est obligatoire, même si tu as une bonne mutuelle ! Ensuite, il y a les lieux de drague, les bars … Et de toutes façons ou que tu ailles le préservatif est obligatoire.

Je le regardais du coin de l’œil.

Tony : Tu me charries là ! Non c'est juste pour … 
Moi : Bein non, tu me demandes je te réponds.
Tony : On peut consommer sur place ?!
Moi : Bein oui, enfin dans les endroits convenables !

Il n'avait pas l'air d'y croire.

On continuait à picoler. 

Moi : Et toi, avec les filles, tu fais comment toi ?
Tony : ( il pouffait de rire ) Tu veux que je fasse un cours sur la sexualité hétérosexuelle ?
Moi : Non ça va, ça je connais mais, même si ça ne m'intéresse pas !
Tony : Tu as déjà essayé avec une fille peut être ?
Moi : Bien sûr, quand j'étais jeune. Tu évites de le répéter s'il te plaît, j'ai une réputation !
Tony : J'y crois pas !
Moi : Mais si, mais si, j'étais jeune à l'époque et quand on a vingt ans on fait des trucs qui nous surprennent encore des années plus tard. Je me souviens bien, je pense même que je serais capable de refaire …
Tony : Toi ! Avec une fille ! Je voudrais bien voir ça !
Moi : Pas moi ! J'ai déjà donné ! Tu as vraiment des idées … d'hétéro toi !
Tony : Bein on ne se refait pas.
Moi : Je sais, je sais !

On continuait à picoler, il commandait un verre, enfin un verre chacun, on est pas des sauvage et on ne se bourrait pas la gueule tout seul, surtout si on était en train de discuter. 

Tony : Et tu trouves facilement ?
Moi : Pas toujours, tu es en manque ou quoi ?
Tony : Ouai, ça fait un moment que je n'ai pas touché une femme. Tu ne répètes  rien de ce que je raconte là, je compte sur toi.

Je jetais un regard autour de nous. 

Moi : Avec le bruit qu'ils font tous, si tu ne hurles pas personne ne sera jamais au courant.

Il jetait à son tour un regard circulaire, puis il se rapprochait de moi jusqu'à me toucher le bras et me parlait dans le creux de l'oreille. La discussion devenait vraiment intime.

Tony : Mais entre deux mecs, c'est violent ?
Moi : Pourquoi voudrait tu que ce soit violent ? Tu es violent avec une fille toi ?
Tony : Non mais … Deux mecs …
Moi : C'est pareil, c'est pas violent !
Tony : Oui mais avec une fille c'est viril !
Moi : Ça oui je sais, même si l'autre c'est aussi une fille !

Là il éclatait de rire.

Tony : Oui mais, un mec et une fille il y en a un qui est viril !
Moi : Et c'est pas toujours celui qu'on croit !

Là il rigolait de bon cœur.

Moi : Et avec un mec et un mec il y en a quelquefois un qui est viril !
Tony : Quelquefois ?
Moi : Bon je déconne, au moins un, c'est mieux … Parfois les deux.
Tony : Et toi tu fais l'homme ou la femme ?

La question con par excellence qui nous arrive souvent dans la figure.

Moi : Mais enfin, si on voulait qu'il y en ait un qui fasse la femme, on prendrait  une femme, une vraie. Ce serait plus fonctionnel et certainement plus simple et au lieu de se faire traiter de tafiole on se ferait traiter de chaud lapin.
Tony : Alors vous échangez les rôle, à chaque fois ?
Moi : Non pas à chaque fois, ça dépend. Ça dépend du feeling, ça dépend de chacun, il y en a qui préfère être passif, d'autre qui préfèrent être actif. Il y en a qui aiment alterner alors que d'autre restent toujours dans le même rôle. Il n'y a pas de règles. 

Avec les hétéros, il faut toujours tout leur expliquer, c'en est fatiguant parfois, mais bon Tony il était sympa.

Tony : C'est pas si simple que je croyais alors ?
Moi : Bein non ! Surtout qu'il y en a aussi qui sont pas décidés …
Tony : C'est comme avec les filles alors !
Moi : Il y a des mecs, je peux te le garantir qui sont pires que des filles. 
Tony : Ah ouai ?
Moi : Je te jure, une bande de mec qui parlent chiffon, même moi ça me fatigue.
Tony : Et toi tu es passif ou actif ? 

Là c'est clair, si c'était la première fois que je le rencontrais je me serais dit qu'il était en train de m'allumer. Je lui répondais toutefois avec un brin de malice, juste dans le creux de l'oreille.

Moi : Tu n'as qu'un seul moyen pour le savoir bonhomme !

Il me répondait par un sourire, baissait la tête, regardait devant lui et comme les verres étaient vides …

Moi : Tu n'essayes pas de me faire boire pour abuser de moi au moins !

Il pouffait de rire.

Tony : Non là, c'est au dessus de mes moyens !
Moi : Mais ça veut dire quoi ça ?
Tony : J'ai pas les moyens de te saouler, tu picoles trop !

Là c'est moi qui pouffait de rire.

Moi : Et c'est comme ça que tu dragues toi ?
Tony : Non je ne te drague pas … Enfin, tu crois que …
Moi : Là c'est une proposition !
Tony : Mais moi je me fais pas enculer !
Moi : Même pas un tout petit peu ?
Tony : Tu rêves !
Moi : Et tu veux faire quoi alors ?

Il réfléchissait longuement avant de répondre.

Tony : Je sais pas moi.
Moi : Câlin ?
Tony : Ouai ça, ça marche !
Moi : Caresses ?
Tony : Pareil !
Moi : Étreintes ?
Tony : Ouai si tu veux !
Moi : Étreintes folles qu'on ne contrôle plus et qui nous conduisent vers …
Tony : On se calme là ! Ok ! Ça marche !
Moi : Bon, alors je te propose un truc simple … Tu me suces et je t'encule ! 

Il fronçait les sourcils, me regardait.

Tony : Euh, non là ça marche pas !
Moi : Alors je te propose … Le contraire …

Il relevait les sourcils, me regardait l'air interrogatif.

Tony : Précise.
Moi : Je te suce et tu m'encule !
Tony : Là ça marche ! 

Suivait une bière pour se donner de l'entrain. ( je vous avais bien dit qu'à l'époque je picolais ).

Tony : Tu sais j'en ai une grosse !

Je pouffais de rire.

Moi : Tous les mecs disent la même chose … Pfff !
Tony : Non mais là je ne déconne pas !
Moi : Pas de problème, ça marche !

Il se levait pour aller pisser, quand il revenait il rapprochait sa chaise de la mienne, on était installé au bout du bar, dans un coin. Il y avait du monde partout autour de nous, mais personne ne faisait attention à nous. Il s'asseyait, appuyait sa cuisse contre la mienne. Moi, déjà à l'époque je n'étais pas farouche et je ne m'en offusquais pas.

Il prenait alors ma main et la posait sur sa cuisse. Il avait glissé sa queue contre sa cuisse dans son pantalon et il bandait. Je l'avais fait bandé, un hétéro, c'est cool non ? Bon, là je délire, mais je pouvais constater qu'il ne m'avait pas menti, il en avait une belle, et quand je dis belle … Je ne sais pas je ne l'avais pas vue mais elle était vraiment énorme, comme il venait de me le dire. C'était du lourd.

Tony : Il y a des filles qui en ont peur, et qui ne veulent pas.
Moi : Ouai, je comprend un peu, c'est du très lourd.
Tony : Toi aussi ça te fait peur de te la prendre dans le cul ?
Moi : Moi euh ! Même pas peur ! Les filles c'est des petites natures, moi je suis un mec ! Je suis ton homme !
Tony : Je préférerais une fille !
Moi : Je suis ta fille alors si tu préfères.

Il rigolait. 

Tony : Tu es un marrant toi, je ne savais pas que tu étais comme ça.
Moi : Tu devais bien t'en douter un peu, non ? Au moins un petit peu !
Tony : Par contre on est clair, tu ne m'encules pas et je ne te suce pas !
Moi : C'est d'accord mais dans ce cas il y aura une condition.
Tony : Une condition ?
Moi : Tu n'auras pas droit à ma quéquette !

Il me regardait, visiblement sans comprendre.

On terminait le verre que nous avions devant nous et on sortait. Je jetais un œil avant que son manteau ne se referme, on la voyait bien sa queue au travers de son pantalon, on voyait bien sa forme, elle était énorme, j'étais à la fois terriblement excité et un peu effrayer. Là il y avait de quoi faire du dégât.

Je n'habitais pas très loin du bar ou on était, un petit quart d'heure plus tard on arrivait. On entrait, on se mettait à l'aise, il retirait son manteau, je retirais mon blouson, j'enlevais mes chaussures il se retrouvait pieds nus. Je lui ouvrais sa chemise, il me laissait faire. Je le prenais dans mes et lui donnais un baiser dans le cou. Il semblait hésiter puis refermais ses bras sur moi, il m'embrassait à son tour.

On se caressait, nos lèvres se rencontraient, encore une hésitation puis ce sont nos langues qui se caressaient. Il se détendait, je l'avais senti un peu crispé au début mais ça semblait lui passer. Il se décidait à me retirer mon T-shirt. On était torse nue. Il avait de la fourrure sur tout le corps, comme moi. Je suis du genre nounours moi, et lui c'est pareil.

Je le caressais partout sur le corps et je le couvrais de baiser. Il m'encourageait en me rendant mes caresses et il m'embrassait également. 

Tony : Tu avais raison, c'est pas violent. J'aime bien comment tu es doux et tendre …

Je le faisais taire en l'embrassant sur la bouche, je me serrais contre lui et j'en profitais pour lui ouvrir son pantalon, il laissait tout tomber sur le sol, d'un mouvement rapide des pieds il repoussait son pantalon et le reste un peu plus loin. Il était nu devant moi, il était nu dans mes bras.

Je sentais quelque chose qui remontait entre mes cuisses, je m'écartais lentement, regardait, elle était belle et là je ne veux pas seulement dire grosse. Il en avait une belle, grosse, sa formes et ses proportions étaient parfaites, sa taille était effrayante. Il devait donner pas loin des vingt cinq centimètres sur six je dirais mais c'est à peu près. Vous imaginez bien que là j'ai pas osé mesurer !

Je m'accroupissais et sans hésiter lui suçais le gland, il était circoncis, j'adore. Je le sentais il sursautait, sans doute parce que c'était la première fois qu'un mec lui faisait ça mais rapidement il se détendait et pendant que je me déboîtais la mâchoire pour pouvoir lui sucer la queue dans les règles de l'art, il me caressait les cheveux. Il n'appuyait pas sur ma tête, c'est vrais qu'il devait être très conscient du fait que sa queue était énorme vu qu'il m'avait prévenu.

Je ne vous dis pas mais je n'ai pas réussi à me la prendre en entier dans la bouche, et c'était pas seulement à cause de la longueur. J'en faisais pas le tour avec les doigts. Bien sûr une bite pareil n'est pas aussi ferme, aussi dure qu'une plus modeste ou qu'un gode. J'en avais un qui n'était pas loin de cette taille et je vous jure que quand je me le gare dans le cul (encore aujourd'hui) je le sens passer.

C'est avec la langue que je lui suçais la queue, je lubrifiais puis je le branlais. Il avait l'air d'aimer, de toutes façons c'est ce qu'on pouvait faire de mieux avec une matraque comme celle là. Il gémissait de plaisir. Je faisais durer le plaisir un long moment, j'avais de plus en plus envie de me la prendre dans le cul, ça me faisait peur aussi un peu. Je me relevais, il avait un large sourire et me donnais un baiser sur la bouche.

Tony : Tu fais ça bien dis donc, on ne m'a jamais fait ça avant ;
Moi : Donc, tu ne veux toujours pas de ma bite ?
Tony : Euh c'est que vois-tu, non pas ce soir j'ai la migraine.

Je rigolais. J'ouvrais mon pantalon, le laissais tomber sur mes chevilles et le lançait dans un coin avec mes pieds.

Moi : Bien alors ne viens pas te plaindre, tu n'auras pas droit à ma quéquette.

Il me regardait dans les yeux, il rigolait. Nous étions nus face à face, je m'écartais pour mieux le voir, tout en le caressant. Il baissait les yeux et ne pouvait pas dissimuler sa surprise.

Tony : Mais c'est quoi ce truc ?

Il remarquait enfin mon dispositif de chasteté, C'était un truc maison fait en plastique, tout à fait fonctionnel. (si vous voulez voir la photo vous n'avez qu'à me suivre sur Twitter ) . Il était vraiment surpris.

Moi : C'est pour m'inciter à rester sage et accessoirement me faire découvrir de nouvelles sensations.
Tony : Et tu peux l'enlever au moins ?
Moi : Oui mais dans ce cas là je t'encule !
Tony : Et tu peux le garder alors ?
Moi : C'est ce qui était prévu.

Le sourire lui revenait, il regardait le truc, il était bluffé. Il me caressait les couilles avec la main, on se retrouvait allongé sur le lit. Je me penchais sur sa queue que je continuais à sucer, à tripoter. J'adore ces très grosse bite, c'est toujours rare, surtout des comme ça. 

Lui me tripotait les couilles et la cage de chasteté, il prenait le gel et je le sentais me glisser un doigt dans mon cul. Rapidement il y mettait deux doigts, puis je suppose trois, je sentais que ça forçait.

Tony : C'est délire ton truc, j'adore, au moins on connaît le rôle de chacun et mon rôle me plaît. Met toi à quatre patte je vais t'enculer.
Moi : Vas y doucement, tu sais que tu peux faire du dégât avec ton truc.

Je prenais position, j'avais un peu d'appréhension et je me détendais au mieux. J'ai un gode qui est à peu près de sa taille, je me disais que ça devais passer sans problème.

Il lubrifiait à fond, je sentais une pression de dingue contre mon anus, il poussait, il poussait doucement mais il poussait fermement, je me détendais et doucement je sentais mon anus s'ouvrir, se dilater et se remplis. Il y allait doucement et ça passait. J'avais le souffle coupé et je sentais mon intestin se remplir jusqu'au nombril. La pression contre ma prostate m'arrachait des cris de plaisir et un peu de peur. 

Avec un gode on contrôle, là je subissais, je ne contrôlais rien, je subissais. C'était bon, terriblement bon mais ça faisait peur. Il se penchais sur moi et me prenait dans ses bras, il me serrait avec force, pas avec violence mais avec force et virilité. Je serrais ses bras contre moi, sa queue continuait à s'enfoncer et son ventre s'écrasait contre mes fesses. C'était une sensation de plaisir qui faisait peur, mais il contrôlait, je ne sais pas pourquoi des filles faisaient des manières, il était tout simplement au top.

Je le savais concentré sur mes réactions au moment ou il se retirait, son visage collé sur ma joue quand il s'enfonçait de nouveau. Il faisait une pause, je reprenais mon souffle puis il reprenait. Il se retirait et accélérait ses mouvements. Je gémissais, je tremblais de plaisir autant que de peur mais c'était tellement bon.

Il n'a jamais fait de mouvements trop rapides, ça aurait été dangereux pour moi mais il a fait durer le plaisir. Il m'avait bien élargi, et mon cul bien détendu recevait sa queue sans difficulté, avec beaucoup de plaisir.

Pendant je ne sais combien de temps j'ai tremblé, j'ai vibré, j'ai râlé de plaisir, j'ai joui. Quand il faisait un pause, toujours avec sa queue bien enfoncée dans mon ventre, je reprenais mon souffle mais mon anus restait toujours élargi,  distendu. Quand il reprenait ses mouvements il m'arrachait des cris de plaisir.

Il continuait ainsi jusqu'au moment ou il jutait en moi. J'ai senti son corps se contracter, convulser. Il a eu quelques mouvements incontrôlés, c'est à ce moment seulement qu'il m'a fait un peu mal, et là j'ai eu très peur.

Ensuite il à retrouvé son calme, j'avais joui, j'avais même joui plusieurs fois mais je n'avais pas juté. C'est seulement au moment ou il ressortait totalement de moi qu'un flux de sperme s'écoulait sans fin de mon dispositif de chasteté. Là encore j'ai joui mais d'une tout autre manière. Le plaisir venait à la fois de ma queue, de mon anus, de ma prostate, du contacte de son corps, c'était difficile à dire.

Il s'écroulait à côté de moi, je m'effondrait à côté de lui, on avait le souffle fort et irrégulier. On se regardait, il avait le sourire. 

Tony : Tu veux bien devenir ma copine ?



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

TOC épisodes 1

TOC 01 C'ETAIT UN BRANLEUR



Bein oui c'était un branleur, il fallait bien faire quelque chose. 

Vous savez la vie à la campagne n'est pas aussi facile qu'on se l'imagine quand on vit à la ville. Dans nos campagnes perdues, c'est autre chose et le romantisme du grand air, des petits oiseaux, des arbres … '' Pfffffrrr '' ( si je peux me permettre ).

On a des machines très modernes pour travailler et c'est vrai que les travaux les plus difficiles sont très allégés mais … Faut-il encore entretenir ces machines, et les surveiller, et puis elles ne font pas tout !

J'ai donc des employés, et il faut bien dire que c'est pas toujours sérieux tout ça. En général ils font des efforts inimaginables pour se tourner les pouces, mais celui-là c'était un champion.

Je devais recevoir un nouveau candidat, c'était un étudiant qui devait passer trois mois à la ferme, il n'avait jamais fait ce travail. J'étais passé livrer la récolte à la gare avec les semi-remorques. C'est à chaque fois un peu la panique, il faut faire très vite alors on charge les camions, on roule alors pendant les cent kilomètres qui séparent la ferme de la gare, on décharge dans les wagons. Sauf les produits réfrigérés, là ce sont directement le conteneurs qui sont chargés sur les plates forme de l'aérotrain. Ensuite la société de transport se charge de transporter la marchandise à la vitesse de la lumière. 

Là j'exagère bien sûr. L'aérotrain ne dépasse pas les sept cent kilomètres heure, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il se retrouve donc au centre de tri. La marchandise est alors partie depuis six heures de la ferme et à partir de ce centre de tri qui est très exactement au centre stratégique du continent, la marchandise est alors triée, répartie, conditionnée et se retrouve dès le lendemain dans les centres de vente de tous le continent. 

Cool !

Mais là quand je l'ai vu pour la première fois, l'air paumé avec son sac sur l'épaule, son pantalon de jean déchiré. Il parait que c'est la mode maintenant. En plus il avait un jean bien moulant, genre moule-boules. Je me souviens m'être dit dans ma tête … '' J'espère que c'est pas lui ! '' …

Et bien si, c'était lui !

Je prenais son sac dans la cabine et le mettais tout de suite au travail. Il n'avait pas l'air dégourdi mais semblait montrer beaucoup de la bonne volonté, c'était déjà un bon début. 

Le train n'attendait pas, en théorie on avait largement le temps de tout décharger et dans la pratique aussi. Si on n'a pas terminé le train démarre quand même, c'est comme ça. 

Il était le seul passager de la petite voiture qui est conservée dans ces convois ferroviaires ( au cas ou ), il faut bien se dire que ma ferme est dans un endroit paumé, plus paumé tu n'es même plus répertorié sur Gogle-Earth, c'est tout dire !

– Alors c'est toi l'extra pour la saison ! Lui demandais-je.
– Bein oui ! Me répondait Toc.
– Ton voyage s'est bien passé ?
– Bein oui !
– Aucun problème … ?
– Bein non !
– Et c'est quoi ton nom ?
– Toc !

Et en plus j'étais tombé sur un bavard !

– Et tu n'as pas amené ton copain Tic ? Continuais en essayant de faire la discussion.
– Bein non !
– Tu es venu tout seul ? ( là je ne savais plus quoi dire )
– Bein oui !

Je n'insistais pas d'avantage, et j'allumais l'autoradio. 

Je ne vous dis pas comment la route m'a parue longue avec cette nouille à côté de moi. Il ne disait rien, il regardait le paysage, et le paysage ici, c'est un désert, trois ou quatre arbres, un déserts, trois ou quatre … Bon j'arrête ma description, elle est pire que la réalité.

– Tu as ton permis pour ce qui est de conduire les machines agricoles ?
– Bein non !
– Et pour les poids lourds et super poids lours ?
– Bein non !

S'il dit encore '' Bein '' je l'étrangle avec le volant ! 

– Par contre j'ai le permis moto …

Je le regardais incrédule !

– Petit cylindré …

'' Mais j'y crois pas, il est réellement nouille ou bien … D'accord il n'a pas dit ' bein ', ça m'arrange parce que je ne sais pas comment j'aurais fait pour l'étrangler avec le volant moi …  Ensuite qu'est-ce qu'il veut faire ici avec un permis moto ? … Petit cylindré.''

On finissait par arriver à la ferme. Je lui indiquais le quartier des ouvriers il allait faire connaissance avec ceux qui seraient ses camarades de travail. Un peu plus tard j'en voyais passer plusieurs …

– Alors les gars vous en  pensez quoi du nouveau ?
– … Bein … Me répondait le premier.
– … Oui … Rajoutait le second.
– … Non … Concluait le dernier.
– C'était pas une impression alors ? Me rassurais-je à haute voix.
– Bein non ! Me répondait un des gars.
– Arrêtez ! Le prochain qui me dit '' Bein '' … Je craque !

Ils repartaient en rigolant. 

Un peu plus tard c'est Toc qui arrivait en personne, il s'était mis torse nue, il fait assez chaud dans le coin, il avait toujours son pantalon moule-boule déchiré au dessus des genoux. En le voyant je me rassurait tout seul dans ma tête, oui je suis tout seul dans ma tête contrairement à Toc ou là je me demande si quelquefois il n'y a pas foule … 

Il avait un corps superbe, oula je vous arrête ! Non c'est pas ce que je voulais dire là, je ne suis pas de ce genre là moi ! Je me disais simplement, dans ma tête. '' Bein oui, ça il a l'air bien musclé, peut être qu'avec un peu de chance il sera à la hauteur '' . Vous savez on voit passer de tout ici, il y en a qui n'ont pas l'air futé mais face au boulot ils assurent.

Bein oui quoi !

Bein je me disais qu'il serait peut être à la hauteur quoi !

Bein j'avais tort ! …

Allons bon, ça me prend moi aussi. Bein me voilà bien !

Pour commencer cette première journée, pour lui, je le chargeais de  ranger et de nettoyer tout ce qui traînait derrière la serre au bout du potager. Il s’acquittait de ce travail avec un tel zèle que le soir on ne pouvait même pas remarquer qu'il était passé par là … Rien n'avait bougé, je retrouvais l'endroit tel que je l'avais laissé !

Bein oui quoi, s'il était musclé, c'était pas par le travail !

Bon ! Le lendemain je lui confiais de nouveau cette mission. Je commençais par l'engueuler, lui demandant ce qu'il avait foutu la veille, je le remuais, lui énumérais tout ce qu'il fallait faire. Ça, ça va là. Ça, ça va ici … Tu empiles tout ce bois dans ce coin là … Etc …

Bein … Il écoutait avec attention … Je lui gueulais dessus encore un moment et finalement je le laissais se débrouiller. Un bon moment plus tard, je jetais un œil pour voir ou il en était. La moitié du tas de bois était rangé et je me disais donc … '' Bein je crois qu'on va y arriver ''.

Je revenais une demie heure plus tard, plus rien n'avait bougé. Je ne le voyais plus. '' Bein je crois que je me suis enthousiasmé un peu vite ''. 

Très discrètement je me déplaçais pour tenter de voir ce qu'il faisait. Il avait disparu. Sans me faire remarquer je m'approchais, à la manière d'un commando je me faufilais le plus discrètement possible. Je finissais par le retrouver, il était assis, son téléphone à la main. Il glandait le con, il glandait.

Je me relevais et … Il ne glandait pas seulement le con, il se branlait. Il avait baissé son pantalon sur ses chevilles et il s'astiquait le manche avec vigueur. 

'' Et en plus il en avait une belle ! ''

Il pouvait être fier de sa queue, en cas de concours il ne redoutait personne. Je suis très bien doté mais là il me battait, pas de beaucoup mais il me battait. 

Il se levait, je le voyais de profil, il était vraiment bien foutu. Finalement les muscles c'était pas le travail, c'était la branlette (?), oui mais là il aurait du être musclé du bras droit seulement … 

Il crachait dans sa main gauche et continuait à s'astiquer le manche avec cette main. 

Finalement il était ambidextre, il se branlait avec les deux mains, et comme il devait passer sont temps à se branler il se musclait des deux bras. Bon là c'est pas sérieux pour moi, je disserte sur sa queue, sur ses muscles (?) … 

C'est vrai qu'il était rudement bien foutu le mec. Il avait un corps mince et musclé, il avait des jambes fortes et fine des bras forts et une queue … Je ne vous dis pas ! Il était bien dans son genre et je suppose qu'il ne devait pas avoir de problème pour se trouver une fille. 

Je me relevais brusquement et hurlait son nom. '' TAC là tu déconnes, tu te moques du monde, on bosse ici on n'est pas là pour se branler ! ''. 

Il sursautait, lançait son téléphone en l'air d'un geste involontaire, relevait son pantalon et détalait comme un lapin. Le téléphone retombait sur un tas de foin. Branleur peut être mais il aimait son confort, il s'était confectionné un petit coussin, histoire d'être bien à son aise. Je ramassais le téléphone. Il regardait du porno le con !

Je regardait un peu, mais c'était juste pour voir, pas pour regarder. Moi c'est pas du tout mon genre de truc … Il en avait une belle lui aussi le mec sur la vidéo ! Et comment il l'enfonçait dans le cul de sa copine ! Wouah ! C'est vrai que ça décoiffe ce genre truc. Oué elle va retourner sa copine et … ah mince, je ne m'y attendait pas à ça ! C'était deux mecs sur la vidéo !

Je rangeais le téléphone dans ma poche et regardait tout autour de moi. '' Il est passé ou ce branleur ? '' … '' Tic c'est pas la peine de te cacher, tu ne peux pas partir d'ici !'' . Il s'était sauvé en direction du verger, je partais à mon tour dans cette direction. Il n'y avait personne dans le verger. J'entrais dans la serre. Je gueulais, je l'appelais : '' Tac montre toi espèce de branleur, j'ai deux mots à te dire. ''.

Je voyais un tas de palette dans un coin. Je shootais violemment dedans en criant '' C'est bon là je te vois ! Tu es repéré alors montre toi. '' . J'entendais alors une petite voix juste derrière moi. J'avais bluffé mais ça avait marché.

– Vous allez pas me faire de mal … Hein ? Me demandait Toc avec une toute petite voix.

Plus de deux mots à la suite, il venait de battre son record. Je me retournais, il n'avait pas l'air bien futé. Il n'avait pas encore refermé son pantalon, il le tenait comme il pouvait, sa queue se balançais lourdement devant lui, ses couilles aussi ressortaient par sa braguette ouverte. Il avait réussi à faire sauter le bouton de son pantalon et ne pouvait plus le fermer, il ne portait pas de sous vêtements. 

Je restais là comme un con, la bouche ouverte, nos regards se croisaient, je parcourais des yeux son corps, il était … 

En fait je n'avais jamais remarqué comment le corps d'un homme peut être beau. Il était … 

Wouah ! C'était du genre à vous faire tomber les cheveux et moi j'avais l'impression de devenir chauve là. 

– J'ai cassé le bouton. Expliquait Toc.
– Le bouton ?
– Pantalon … 

Je me disais aussi, plus de deux mots, j'ai bien failli y croire. Il avait l'air tout malheureux, penché en avant, maladroit semblant ne pas savoir s'il devait dissimuler son sexe, son énorme sexe, son sexe magnifique qui ne débandait toujours pas complètement ou s'il devait seulement retenir son pantalon. 

– Scuse ! Bafouillait Toc.

Il voulait sans doute dire '' Excuse '' . Je ne réagissais pas, là c'est moi qui ne savais plus quoi faire. 

– J'ai récupéré ton téléphone !

Je regardais le téléphone, le film n'était pas fini, là le mec se faisait défoncer le cul, je veux dire le premier pas le même que un peu plus tôt. Je ne savais plus quoi dire, je ne savais plus quoi faire, je bandais.

Toc s'en rendait compte et au travers de mon pantalon il me tripotait la bite sans prévenir. Je ne réagissais même pas, je le laissais faire, il était juste en face de moi, la queue bien droite et le pantalon sur les chevilles.

J'étais pétrifié mais Toc par contre, pas du tout. Il abusait de moi le con. Il profitait de ma surprise pour ouvrir mon pantalon, le faisait tomber sur mes cheville et prenait ma queue dans sa bouche, je bandais, mais ce n'était qu'un réflexe. Je n'ai pas voulu tout ça, d'accord j'ai laissé faire mais je n'y suis pour rien.

Ça faisait un moment que je n'avais pas touché une femme, et sa langue était habile, il me la passait et la repassais sur mon gland. Je devine que vous devez être choqué par ce que je vous raconte là mais, je vous jure que je n'y étais pour rien. Ensuite il a pris ma queue plus profond dans sa bouche, il faisait ça bien le mec je ne sentais pas les dents. Ce n'était que douceur, caresse humide et quand son nez s'écrasait contre mon ventre et qu'il me massait les couilles, c'était le pied. 

Je sais, je sais, j'aurais du lui dire d'arrêter, j'aurais du le repousser. Je sais ça vous choque et j'ai presque honte de vous raconter tout ça mais, c'est comme ça que ça s'est passé. Et je vous jure que je n'y était pour rien. J'ai laissé faire c'est tout mais vraiment laissé faire, je n'ai pas vraiment participé. Il a abusé de moi en fait.

Je le regardais faire, ma queue entrait rapidement bien au fond de sa gorge, bien au fond et en même temps son visage s'écrasait sur mon ventre. Il passait ses mains derrière mes fesses et me tirait vers lui au moment ou il avalait ma queue. J'étais impressionné de voir ça, ma queue pourtant de belle taille entrait et ressortait avec fluidité, je sentais mon gland au fond de sa gorge.  J'appuyais alors sur sa tête doucement, puis plus fort, puis finalement de toutes mes forces je tirais sa tête vers moi en balançant mon bassin en avant. Il faisait  des petit bruits bizarres mais il encaissait bien le mec. 

Tout en me suçant la queue je remarquais qu'il se branlait. Pas de doute c'est un branleur, je me disais qu'il faudrait sévir. En attendant il était là, lâchement en train d'abuser de moi, et j'étais toujours pétrifié, obligé de me laisser faire. 

Ses mouvements devenaient plus rapide, quand il retirait sa tête il me masturbait la queue, il insistait fermement sur mon gland, je tremblais de plaisir, pardon je voulais dire, je frissonnais de honte, je me sentais mal, c'était bon, tellement bon. On ne m'avait jamais fait ça. 

Et là ça a été le sommet de la honte, il s'est levé, s'est retourné, s'est penché en avant et il m'a dit.

– Cule mois ! 

Je n'avais plus le choix, j'étais bien obligé de faire ce qu'il me disait, j'y était contraint. Il y avait ses fesses devant moi, un rayon de soleil les éclairait, il continuait à se masturber. J'étais furieux de voir ça ou je ne sais pas, je ne sais plus. 

Je l'ai enculé. Il a gueulé. J'y suis allé direct, avec force, avec virilité, je suis pas du genre efféminé moi, lui non plus remarquez. Et il a pris ma queue dans son cul avec la même facilité qu'il l'avait prise dans la gorge. Je n'avais plus le choix, j'enfonçais ma queue dans son cul puis la retirais, je l'enfonçais de nouveau, la retirais puis je ne contrôlais plus rien, il avait gagné, il m'avait contraint maintenant plus personne ne contrôlait la situation. Je me lâchais sur son cul. Je le tirais vers moi, avançais mon bassin de toutes mes forces, mon ventre claquait contre ses fesses, il gémissait. Il ne se masturbait plus. Je prenais sa queue dans ma main, il avait joui, ça me faisait tout bizarre de tripoter ainsi la queue d'un mec que je ne connaissait même pas la veille mais je ne pouvais plus me retenir de la tripoter, de la malaxer, elle était énorme. Une grosse molle énorme. 

Finalement je sentais enfin un plaisir monter en moi, un grand plaisir, intense, qui s'annonçait violent. J'éjaculais dans son cul, il avait gagné, il avait abusé de moi et il avait gagné, il avait ce qu'il voulait. Il m'avait violé !

J'étais gêné …

Je me retirais, mon souffle était fort et irrégulier. Je relevais mon pantalon, il en faisait de même, il refermait sa braguette, il ne bandait plus. Il fallait qu'il se relève bien droit pour pouvoir refermer son pantalon, moule-boules comme je vous le disais, donc très serré. Il se retournait vers moi l'air penaud, il tenait le haut de son pantalon...

– Bouton …

'' Il était à deux mots, j'espère qu'il ne va pas descendre à deux syllabes ! ''.

– Viens avec moi, on va régler ton petit problème.

Je le conduisais jusqu'à ma maison, d'habitude je ne reçois jamais mes employés chez moi mais là c'était un cas de force majeur. Il fallait absolument faire quelque chose.

Bein oui quoi, ( allons bon, ça me reprend ) il avait tout de même abusé de moi d'une manière que je jure de ne jamais raconter à personne tellement j'ai honte. Il m'avait un peu violé, contre mon grès et je dirais même à l’insu de mon plein grès !

Je refermais les rideaux.

– Allez enlève ton pantalon.
– … Poil ?
– Oui, c'est ça à poil !

Il s'exécutait sans montrer la moindre gêne. Je ne pouvais pas m'empêcher de l'admirer et déjà je sentais que ma queue reprenait du volume. Il recommençait, il tentait à nouveau d'abuser de moi. 

Son corps était tellement beau, mince, ferme, musclé et sa queue tellement épaisse, lourde avec des proportions parfaites, des fesses fermes, minces et tellement confortables, je frissonnais de désir. 

A notre époque quand on vit avec des hommes comme moi, entouré d'homme je veux dire on a, on est bien obligé d'avoir ce qu'il faut. La taille était énorme, dans le placard je prenais la plus grosse boite. PK Sécure King Size.

Je me retournais vers lui et lui tendais l'objet. 

– Vas y enfile moi ça !
– P..r moi ?
– Ouai, c'est pour toi, je crois que tu en a le plus grand besoin !

C'est en hésitant qu'il passait ses couilles dans l'anneau, une par une, la taille semblait bonne, il me regardait l'air un peu triste. Ensuite il glissait sa queue. J'attrapais son sexe avec force, je glissais un doigt dans l'anneau pour m'assurer qu'il était vraiment à la bonne taille. Plus petit on ne passait pas les couilles. C'était la taille parfaite.

Ensuite en me regardant l'air un peu triste il glissait sa queue dans la cage de chasteté, il était trop mignon avec cette tête de gamin malheureux qu'il faisait à ce moment. Je bandais à mort mais je cachait ma réaction. Il enclenchait alors tout seul la cage sur l'anneau cock-ring. 

Sans aucun ménagement j'attrapais son sexe, refermais le cadenas incorporé, tripotais pendant quelques secondes l'ensemble. Ça lui allait bien, il était terriblement sexy comme ça. Il me regardait avec un air triste. 

Je remplaçais son bouton métallique, il pouvait enfin refermer son pantalon. Je l'envoyais reprendre son travail. '' Ça devrait le motiver un peux ce truc '', c'est ce que je me disais.

Ça l'a motivé, il travaille désormais depuis un an chez moi, bien sûr il n'est pas question de lui retirer le dispositif de chasteté, c'est un branleur et je vous garanti que cette mauvaise manie lui est passée. 

On se retrouve régulièrement depuis, au moins deux fois par semaine on se retrouve chez moi, il me suce alors comme il sait si bien le faire, je l'encule ensuite comme j'aime tant le faire. Il n'est toujours pas plus bavard mais je l'aime bien comme ça. 

Et en plus maintenant il bosse bien !


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

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