Un p'tit porno

 Un p'tit porno



Ils m'en avait parlé quelques jours plus tôt, et j'avais dit oui. Ce n'était donc pas une surprise. Ils ont débarqué à quatre, avec un gros pack de bière. Bien sûr il y avait José, c'est le seul que je connaissais.


Ah oui j'oubliais de planter le décor. C'était une époque lointaine, le millénaire précédent n'était pas encore terminé. Ça donne tout de suite de l'importance à mon histoire ça, le mot ' millénaire ' et ce même si le nouveau est encore très jeune. Bref passons, on était jeune.


Le magnétoscope étaient encore un appareil rare mais déjà le vidéo porno avait un gros succès.


José en avait choisi un très '' Hot ! Hot ! '' il avait dit.


On prenait place, une bière dans la main et les autres à porté, puis je lançait la lecture.


C'était un peu une première, je n'avais pas encore l'habitude à l'époque de regarder des pornos et plus étonnant encore à l'époque, je portais déjà un dispositif de chasteté. Un modèle très proche de celui que je porte toujours aujourd'hui, quelques années plus tard, au siècle suivant.


Oui je sais vu sous cet angle ça ne nous rajeunit pas tout ça. Mais c'est vrai que ça fait quelques temps déjà les cassette VHS. Quand on parle de ça à un petit jeune il vous fait une tête et vous regarde, semblant se demander si c'est une blague, c'est vrai ça une vidéo enregistré sur une bande magnétique. Il y en a même un qui m'a dit une fois '' Après ça tu va vouloir me faire croire qu'on enregistrait aussi la musique sur une bande magnétique ? '' … Et ensuite il a pouffé de rire …


Bon passons.


Le visionnage a duré un peu plus d'une heure et demie. Il me semble bien me souvenir que ça commençait à stimuler mes hôtes, d'ailleurs ils ne sont pas resté très longtemps après. Seul José est resté après et on a continué à picoler.


On a encore la vidéo, et si on se le remettait ! Me proposait-il.

Ouai, c'est une idée.


Moi je ne vous raconte pas …


Enfin si, c'est une façon de parler, je vais vous raconter … J'avais une pression de fou dans ma cage. Plus de trois semaines enfermée dans ce truc et là après la diffusion du film, j'en pouvais plus mais je savais que rien ne pouvait se voir, que rien ne se verrait, que ça resterait mon secret, et en plus j'avais envie de revoir ce film.


José plongeait sa main dans sa sacoche et en sortait une VHS une autre VHS un autre film. Je ne me souviens plus du titre en entier mais ça commençait par ' bisex ' je crois.


Je lançais le film et on le regardait en petit comité, un peu comme une séance privée.


Tout commençait bien, une fille avec des gros nichons arrivait se mettait à poil et s'allongeait sur le canapé. Un mec arrivait à son tour, voyant cela il se mettait à poil lui aussi et c'était parti.


Je vous jure, moi qui suis cinéphile j'étais impressionné par le scénario … Je vous jure … Mais non, je déconne, dans ce genre de film il n'y a pas de scénario. Enfin ! Voyons !


Donc le mec s'envoyait tranquillement en l'air avec la fille quand un autre mec arrivait. Lui aussi retirait ses vêtements. C'était des pros, ils avaient une grosse bite et ils bandaient ferme, normal !


C'est à peu près au moment ou la fille suçait un des mec pendant que l'autre lui limait le cul que j'entendais mon camarade.


Bon là moi j'en peut plus !


Je tournais le regard vers lui, il avait ouvert son pantalon et en sortait sa bite et ses couilles. Lui aussi il bandait, un peu comme les deux mecs à la télé et lui aussi en avait une grosse. Il n'avait rien à leur envier.


Sans attendre il commençait à s'astiquer le manche. Il me regardait, me souriait et me lançait.


Tu peux faire pareil ! Heu, ça te dérange pas si je me branle ?


La phrase était montée à l'envers mais j'ai pas relevé l'erreur.


J'ai hésité un moment puis j'ai ouvert mon pantalon à mon tour. J'en ai d'abord sorti mes couilles, la cage bien plus petite suivait, on pouvait la voir, l'apercevoir plus que la voir mais bon, elle était là. Dedans il y avait ma queue, ratatiné et très à l'étroit.


Vous auriez vu la tête qu'il a fait quand il a vu ça. Ses yeux lui ressortaient de la tête, il avait jusqu'à ce moment une grosse molle qu'il s'amusait à malaxer doucement et brusquement c'est une grosse dure, bien dure même, qui se relevait fièrement en prenant encore un peu plus de place.


Là il ne regardait plus le film, il avait un large sourire béat et regardait ma cage, en même temps il se masturbait tranquillement, il ne cherchait pas à éjaculer, enfin pas tout de suite, il se masturbait juste en pensant à autre chose.


Et cet autre chose, c'était moi.


Et tu fais comment pour te branler ?

Je me branle pas.

Jamais ?

Si mais pas souvent.


On regardait le film, mais les regards passaient de la télé à ma cage, moi je regardais aussi beaucoup sa bite. Elle était énorme, il la malaxais avec douceur ou avec force ça dépendait.


Je décidais finalement de retirer tous mes vêtements, quand il m'a vu faire il a été plus rapide que moi. Et c'est avant moi qu'il retombait à poil sur le canapé, sa queue bien dressée, sans attendre il recommençait à se caresser la bite.


Je regardais mais je ne pouvais pas faire grand chose, ma queue protestait avec une certaine violence ? J'étais le seul à pouvoir le remarquer. Le dispositif remplissait parfaitement sa fonction, on ne pouvait rien voir. La peau ressortait mais les bourrelets de peau qui se formaient n'étaient pas tendus et on ne pouvait donc pas deviner l'érection. On peut seulement deviner que le dispositif est bien plein.


Par contre je vous garanti que le porteur, lui il la sent bien la cage. On sent sa queue écrasée, au début c'est pas facile à supporter mais avec un peu de temps et d'habitude ça devient agréable et confortable.


On discutait et c'est ce que je lui expliquais.


Au moment ou à la télé un des acteur se plaçait juste derrière son partenaire pour l'enculer.


Et donc tu ne peux pas te faire plaisir ?


En réponse je me penchais vers lui et lui caressait le gland avec le bout de ma langue. Là il ne bougeai plus, il se laissait faire. Du coin de l’œil je voyais la grosse queue d'un des acteur s'enfoncer avec force dans le cul de l'autre.


J'appuyais alors ma tête et sa queue disparaissait dans ma bouche. Moi aussi je le sentais passer. Il appuyait sur ma tête en poussant de petits gémissements de plaisir et son gland allait directement se loger au fond de ma gorge.


C'était un peu trop et j'ai relevé ma tête, il me retenait l'animal, il continuait à appuyer sur ma tête et sa queue restait bien en place. Il a fallu que je force pour qu'il me lâche. Ça lui plaisait, pour moi c'était un peu dur.


Maintenant on fait comme à la télé ! Déclarait-il.


Je regardait l'écran, un des deux acteurs se faisait violemment limer le cul par son partenaire.


José se relevait et en se relevant il me tirait par l'épaule. Il me retournait, je suivais sans protester ni résister. Rapidement je me retrouvais à genoux appuyé sur le canapé. Il s'en amusait.


Je n'aurais jamais imaginé que ça se terminerait comme ça ! Faisait-il remarquer. Sinon tu imagines bien qu'il a longtemps que j'aurais proposé une soirée de ce genre.


Il avait du gel, il m'a dit que c'était plus agréable de se branler avec. Il m'en enduisait le cul et s'en recouvrait la queue. Là j'ai un peu balisé, c'est vrai qu'elle était grosse et en plus il avait l'air décidé.


Mais il n'était pas question que je me dégonfle. Je m'était déjà amusé avec des petits trucs. Des cierges que j'avais ramené en souvenir de mon dernier passage à Lourdes, mais à côté de sa queue c'était de tout petit diamètres.


Lui il en avait une grosse, et là, elle me paraissait encore plus grosse.


Il ne se préoccupait pas du tout de mes craintes, il s'amusait et ne pensais qu'à son plaisir.


Une claque sur ma fesse puis il prenait position, sa queue bien en l'axe de mon cul, il me prenait avec force par les hanches et sans prévenir me tirait vers lui en poussant son bassin en avant.


J'ai poussé un cri, mon cul n'a pas résisté une seconde. Sa queue bien décidée glissait rapidement bien à fond. Mon anus se dilatait, le pauvre n'avait pas le choix. Le gars était décidé à bien me défoncer le cul et ne se retenait pas.


Je manquais d'air, je gémissais, il me faisait mal. Pour une première je m'en souviendrais. Je tentais par réflexe de le repousser, de le retenir en passant une main contre mes fesses mais il me la saisissait, l'autre main … Il me tenait fortement les deux mains dans dos, en me tordant le bras. Je ne pouvais plus que subir.


Il était plus costaud que moi, sur ce point je l'avais sous estimé.


Il ne se préoccupait pas du tout de ce que je ressentais. Il me limait le cul, s'enfonçait rapidement puis ressortait avant de recommencer. Je ne pouvais plus bouger.


Les acteurs à la télé en étaient à peut près au même point que nous. Le gel était efficace ça glissait avec facilité mais mon anus dilaté me faisait mal, c'était un mal de chien. Dans ma tête je me faisais une image mentale de ce qu'il me faisait subir. Je sentais mon anus tellement distendu que j'avais l'impression qu'il allait déchirer.


Je paniquais, il s'en moquais.


J'étais en sueur, je tremblais. Il n'y avait rien d'agréable à ce que je subissais. J'en avais souvent rêvé mais vous savez les fantasmes ne sont pas fait pour être réalisés, là on se rend compte rapidement que les fantasmes sont mieux tant qu'ils sont rêvé.


Je savais que je ne rêverais plus jamais de me faire défoncer le cul. Je pleurais, je gémissais, j'avais du mal à respirer mais c'est peut être parce que j'avais le visage écrasé sur un coussin.


Je l'entendais dans mon dos qui faisait des commentaire et qui rigolait.


Mais tu es vraiment une grosse salope toi, j'aurais jamais imaginé ça de toi.


Et il continuait à me pilonner le cul. Il m'avait replié les bras dans le dos et me les retenait avec force. Je ne pouvais que subir.


Les coups se suivaient, se répétaient, il ne faiblissait pas. Il ne débandait pas, pour moi, ma queue s'était faite oublier. Toute mon attention se concentrait sur mon cul, sur sa queue qui me le défonçait, sur la douleur, sur la panique, par moment j'avais vraiment peur de déchirer.


Là je ne sanglotais pas seulement, je pleurais vraiment en gémissant. Mais lui n'avait aucune pitié.


C'est ça que tu veux hein ? S'exclamait-il.


Moi je n'avais plus la force de lui répondre, je chialais, j'étais pas fier.


Quelques coups de bassin particulièrement violent indiquaient qu'il jouissait, quelques cris aussi, il éjaculait avec force. Il poussait son bassin très fort contre mes fesses et moi je poussais un gémissement, une plainte aiguë.


Il s'effondrait sur moi, me prenait dans ses bras, me caressait et m'embrassait. Brusquement il devenait câlin. Je sentais toujours son énorme queue dans mon cul. Comme si elle y était toujours, en fait j'étais un peu perdu. Je ne savais plus vraiment ou j'étais et ce qui se passait.


Il se relevait et retirait sa queue. C'est donc parce qu'elle y était encore que je la sentais toujours… Mais je la sentais toujours, et ça me faisait toujours mal. Mon pote José, c'était une brute finalement. C'est vrai que c'est rare qu'entre pote on se connaisse aussi intimement.


Oui là, on était vraiment intime.


J'avais mal au cul, je ne me sentais pas vraiment bien, j'avais oublié que j'avais une queue, là elle ne se faisait pas remarquer, mais vraiment pas.


José avait l'air tout content de lui, à la télé les deux acteurs en étaient au même point que nous.


On remet ça quand tu veux ! Me lançait José avant de disparaître dans la salle de bain.

Oh, non ! Ça jamais, ça fait trop mal. On ne recommencera jamais … lui répondais-je.


Mais le mot ' jamais ' n'est finalement pas plus long que ' toujours ' et vous vous doutez bien que ce n'était là qu'une promesse d'alcoolique.


Deux semaines plus tard, on remettait ça !


Fin



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Le jeune Denis Ep08 Vacances inoubliables

 Le jeune Denis Ep08 Vacances inoubliables



Oui l'amour se découvre le plus souvent dans un ordre précis. On commence par la branlette, puis le flirt, on se partage alors des câlins et des baisers avant de découvrir le corps de l'autre dans son intimité. On passe ensuite à la fellation puis à la pénétration, dans le cas qui nous préoccupe, la sodomie...


C'est dans le sens inverse à celui-ci que Denis avait découvert l'amour, et là il remettait tout ça en place dans sa tête.


Depuis deux semaines il avait connu le flirt, les câlin. Pour ce qui est de la branlette c'était déjà fini, pour toujours, c'était fini. Il acceptait la situation il ne regrettait pas d'avoir accepté, il ne serait pas revenu en arrière. Avec Emmanuel il avait découvert les câlins, les baisers pleins de tendresse et il arrivait à découvrir son corps mais voilà les vacances se terminaient un peu trop tôt.


Denis se remémorait ces deux mois passés. Les hommes des bois, les ouvriers. Ils lui avaient fait découvrir d'autres plaisirs.


Perdu dans ses pensées il ne s'en rendait pas compte qu'il approchait de la maison ou habitaient les ouvriers, les fameux hommes des bois. C'était une idée un peu étrange, vous en conviendrez, que de loger les ouvriers dans un tel endroit isolé, mais c'est vrai aussi qu'ils étaient tous des déviants. Ils ne portaient pas de dispositifs de chasteté et de fait leur valeur morale était douteuse.


Denis était perdu dans ses pensées quand il entendait.


Mais ça faisait un moment qu'on ne l'avait pas vu dans le coin celui-là !


C'était une des ouvriers que Denis avait rencontré quelques semaines plus tôt, celui qui l'avait enculé la première fois.


C'est à cet événement que Denis repensait en le voyant. Il s'approchait de lui avec une démarche décidée.


Tu sais, ça me fait plaisir de te revoir toi ! On m'a dit que tout le monde repartait demain. Ça va faire un grand vide, il n'y aura plus personne dans cette grande maison. Un autre groupe ne va pas tarder à revenir mais en attendant …


Il parlait, il parlait, et il avançait vers Denis, il lui prenait le bras et l'entraînait.


Denis ne résistait pas, il suivait, il se souvenait de toute la suite des événements depuis le début de ses vacances. C'était un jardinier et c'était avec lui que tout avait commencé.


Le jardinier passait doucement la main dans sur le cou de Denis. C'était une caresse douce, un petit câlin. Avec lui, c'était le premier que Denis recevait, d'habitude c'était plus expéditif.


Le jardinier donnait ensuite un baiser,un baiser très tendre à son partenaire Denis. Les lèvres se découvraient, se touchaient, se caressaient. C'était toujours dans une douceur totale. Denis aimait cette douceur, il se savait infidèle à son ami et amant Emmanuel qu'il venait de quitter très peu de temps plus tôt.


Mais c'est vrai que cette histoire était terminée et que cette nouvelle aventure n'aurait pas de suite. Denis ne résistait pas et rendait ce qu'il recevait, il faisait lui aussi preuve de tendresse et de douceur.


Les baisers devenaient chauds, très chauds, les caresses devenaient tendres et les câlins très doux.


En un geste rapide le jardinier retirait sa chemise, et Denis en faisait de même sans trop s'en rendre compte.


Les corps se caressaient, ils se redécouvraient, ils ne s'étaient pas totalement oublié. Denis oubliait, il préférait oublier pour le moment son ami Emmanuel.


Chacun serrait l'autre dans ses bras, la peau du jardinier était douce et ferme, Denis se souvenait de ses muscles, il les embrassait. Le jardinier était le premier surpris par cette réaction et le lui disait.


Tu as fait des progrès depuis la dernière fois !


Denis ne répondait pas et continuait à explorer le torse du jardinier en commençant par le haut. Arrivé à la ceinture, il ne s'arrêtait pas. Il lui ouvrait la ceinture, le pantalon qu'il faisait glisser sur ses chevilles. Le jardinier ne portait pas de sous vêtements et c'est maintenant sans aucune hésitation que Denis prenait dans sa bouche la très belle bite qui se relevait alors.


Le jardinier n'en revenait pas, il gémissait de plaisir, il penchait la tête en arrière et caressait les cheveux de Denis. Par moment il appuyait son visage contre lui. Sa queue disparaissait totalement dans la gorge de Denis qui faisait beaucoup d'efforts, et quelques bruits bizarres et rigolos par la même occasion.


Le jardinier s'en amusait et n'hésitait pas à retenir la tête de Denis. Il le retenait plus fermement, et ne le lâchait que quand Denis montrait une certaine panique quand il ne pouvait plus respirer.


Là le jardinier le relâchait. Denis retirait son visage et râlait un peu en reprenant son souffle mais il était tellement en manque de sexe le pauvre, depuis qu'il portait son dispositif qu'il y revenait très vite.


A peine avait-il repris son souffle qu'il y revenait et de nouveau la queue du jardinier disparaissait dans la gorge de Denis. Et le jardinier soupirait, gémissait et tremblait de plaisir.

C'est lui qui retenait Denis, il ne voulait pas jouir trop vite. Il le repoussait même par moment.


Doucement bonhomme, doucement ! J'ai créé un monstre ou quoi ? Disait-il en rigolant.


Il attrapait Denis par la ceinture et avec des gestes rapides et précis il lui ouvrait son pantalon et le laissait tomber comme Denis l'avait fait un peut plus tôt.


Ils écartait leurs pantalons, et se retrouvait alors totalement nus l'un en face de l'autre. Le jardinier caressait le corps fin de Denis, il insistait tout particulièrement sur ses parties intimes.


Il s'arrêtait un instant sur la cage, ça devait toujours lui faire de l'effet ce genre de truc, il n'en porterait jamais. Ensuite il s'amusait avec les couilles de Denis. Il les caressaient puis les tripotaient avec force. Pas uniquement avec tendresse et douceur.


La tendresse et la douceur disparaissaient lentement. Par moment très doucement un doigt caressait les couilles imberbes de Denis, par moment la main se refermait sur les couilles de Denis et les serrait fort.


Là c'est Denis qui gémissait mais il y avait un peu de douleur, juste un peu, un tout petit peu.


Puis de nouveau les deux corps s'étreignaient et se serraient l'un contre l'autre, de nouveau les baisers redevenaient passionnés et les caresses chaudes. Puis c'est sans prévenir que le jardinier retournait Denis, le repoussait doucement en avant.


Denis s'appuyait contre une branche horizontale. Il réalisait et commençait à s'inquiéter.


Ils s'était touché, embrassé, caressé, câliné, l'un avait sucé l'autre et maintenant l'autre allait l'enculer.


Cette fois ci en une heure tout se passerait dans le bon sens.


Le jardinier lubrifiait le cul du petit Denis, le préparait le cul du petit Denis. Denis ne serait pas surpris, il savait à quoi s'attendre et c'est en pleine connaissance qu'il se laissait faire, qu'il le laissait faire.


Denis sursautait quand un doigt glissait dans son cul. Ce n'était pas douloureux. Sa cage était sous pression mais c'était une pression douce, sa queue avait bien gonflé mais sans exercer une grande pression. Là il était en mode basse pression, une grosse molle bien confinée qui prenait toute la place mais s'en contentait. C'était confortable.


Un deuxième doigt glissait dans son cul, Denis la bien senti passer mais n'en a pas fait cas. Les deux doigts s'agitaient rapidement et c'est un certain plaisir qui naissait au niveau de sa prostate et montait lentement dans tout son corps.


Puis bien lubrifié, le jardinier était prévoyant il avait toujours ce qu'il fallait sur lui. Denis en concluait que les déviants étant tous complètement obsédés, préféraient ne pas être pris de court.


Il laissait faire. Les deux doigts se retiraient et Denis sentait une forte pression contre son anus. Là il a avalé sa salive, là il commençait à baliser grave. Il ne résistait pas, il sentait le corps du jardinier, sa peau douce contre la sienne et ses muscles forts qui le retenaient. Puis il sentait de plus en plus intensément la pression contre son anus.


Puis l'anus s'ouvrait. Là ça devenait douloureux mais c'était une douleur que Denis ne refusait pas. Il y avait bien sûr de la douleur mais il y avait le sentiment, juste le sentiment, la promesse d'un plaisir intense qui serait autant intense et plus même que ne le serait la douleur.


Denis avait envie de crier, de hurler de se dégager mais ne bougeait pas, il laissait le jardinier disposer de son cul, le laissait s'amuser avec son corps. Il tremblait sous la douleur, il tremblait déjà sur ce qui serait un jour un grand plaisir. Mais pour le moment il y avait plus de douleur que de plaisir.


Le jardinier ne s'en préoccupait pas, lui ne se concentrait que sur son propre plaisir. Et le plaisir il en prenait, il en prenait, il s'enfonçait jusqu'à écraser son ventre contre les fesses de Denis, puis il poussait encore plus fort quand il en était là. Ensuite il se retirait totalement, marquait un courte pose et revenait avec force.


Denis serrait les dents pour ne pas crier, il transpirait et se retenait fermement à la branche sur laquelle il était penché. Mais une étrange sensation se mêlait à cette douleur. La promesse d'un plaisir naissait, elle envahissait tout son corps. Mais il ne jouissait pas encore.


C'est le jardinier qui jouissait et éjaculait dans le cul de Denis, il ne le cachait pas. Il criait de plaisir alors que Denis continuait à serrer les dents et a ne pousser aucun cri.


Le jardinier lâchait tout et Denis retombait sur le sol. Il respirait fort, c'est à ce moment qu'il à joui, c'est uniquement à ce moment qu'il à éjaculé, une série d'éjaculations d'une force qu'il ne supposait même pas possible. Il éjaculait puis il jutait et jutait encore. Là, le plaisir envahissait tout son corps et c'est de plaisir qu'il tremblait.


Même si la douleur était toujours là.


Le jardinier n'avait pas attendu que Denis se relève.


Bon et bien, tu repars demain, on ne se reverra plus, bon voyage. Déclarait-il avant de repartir.


Denis a mis un certain temps avant de récupérer et de se relever. Il est alors rentré à la colonie de vacances, à pris une douche avant de passer à table.


Toute la soirée son cul lui a fait mal mais il a bien dormi. Sa queue ne l'a pas réveillé. Il se levait le lendemain pour préparer ses bagages, il avait mal au cul.


Il s'est retrouvé dans une calèche avec plusieurs de ses amis pour se rendre à la gare. Il y avait plusieurs calèches. Arrivé à la ville, il regardait s'il n'apercevrait pas son ami. Il avait une dernière pensée pour Emmanuel, enfin une dernière, ce ne serait certainement pas la dernière. Car bien des années plus tard ... mais ça c'est une autre histoire.


Le train le ramenait lentement vers sa maison, il voyageait avec son camarade Emmanuel Du Moulin De La Farine ( oui je sais c'est pas facile à porter comme nom de famille, Note de l'auteur ), c'était un autre Emmanuel.


Denis avait mal au cul !


Sa vie, ou en tout cas la manière de voir la vie devait rester pour toujours marquée par ce petit séjour. Mais Denis à suivi ses études, comme prévu, s'est marié, comme prévu, a fait un enfant, comme il a pu et s'est installé, il n'avait pas vingt cinq ans, comme conseillé en investissement.


Il s'est acheté une maison à la campagne, et grâce à cet étonnant appareil moderne qui venait juste d'arriver, le téléphone, il travaillait depuis chez lui tout en restant toujours en contacte avec son bureau à la ville.


Jusque au jour ou … Mais ça c'est une autre histoire qu'il faudra que je vous raconte un jour …



Fin



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Le jeune Denis Ep07 Et finalement l'amour

 Le jeune Denis Ep07 Et finalement l'amour



Denis n'était pas calmé quand il revenait à la pension de la colonie de vacances. Il bandait ! Enfin sa queue essayait d'une manière obstinée. Elle ne voulait rien savoir, elle était sous clé, en cage mais ne l'acceptait pas.


Denis regardait avec insistance l'entre cuisse de hommes et des garçons, seuls les plus jeunes ne l'intéressaient pas ( encore heureux ) mais même les plus âgés l'intéressaient ( si c'est pas malheureux ).


Denis avait besoin de rencontrer des gens mais il ne savait pas comment s'y prendre. Il aimait traîner dans le parc de la ville, c'était une petite ville. Au bout de quelques jours Denis remarquait un jeune homme qui était toujours seul. Il devait avoir le même âge, il avait les cheveux en bataille et on peut dire que sur certains point il se ressemblaient.


Ils avaient le même âge, ils avaient la même taille, la même silhouette, un visage doux et en plus cet inconnu avait une jolie bosse entre les cuisses. Elle ressortait d'autant plus que sa silhouette était mince.


C'est comme un coup au cœur que Denis recevait. Ils se sont regardé droit dans les yeux et les deux semblaient exprimer comme un trouble. Le jeune homme continuait sa route et s'asseyait sur un banc qu'il y avait devant lui, de là il pouvait voir Denis.


Denis venait s'asseoir juste en face, ils se regardaient et se souriaient.


Je m'appelle Denis.

Emmanuel ! Répondait l'inconnu.


Ils se rapprochaient s'asseyaient sur le même banc. Denis rêvait, de près le jeune homme luis était encore plus beau. Denis aimait son sourire, ses yeux …


Emmanuel avait lui aussi le même regard.


Ils ne tardaient pas à se rapprocher ces deux là. Juste derrière un buisson, caché de la vue de tous il s'embrassaient. Leurs deux cœurs battaient fort et vite et surtout parfaitement synchronisés.


L'un se perdait dans les yeux de l'autre qui lui au contraire y voyait comme une lumière qu'il ne voulait plus oublier. Ils se sont alors déplacé vers un endroit plus tranquille. Il y avait la campagne, de grands espaces ou on ne rencontrait personne.


Rapidement c'est près d'une rivière que les deux jeunes hommes se retrouvaient tous les jours. Ils s'allongeaient dans le frais cresson bleu. Puis continuaient à se rapproché, et entre deux baisers, Denis finissait par s'allonger la tête sur une pierre sur laquelle il installait une veste repliée pour plus de confort.


Emmanuel, perpendiculaire à Denis, appuyait sa tête sur le ventre de son nouvel ami. Ils se sont raconté leurs vie, Denis évitait toutefois de parler des ces aventures depuis le début des vacances. Il n'en avait pas eu beaucoup mais c'était déjà énorme et il avait peur d'effrayer son nouvel ami.


Distraitement Denis caressait le visage d'Emmanuel avec son pouce. C'était un moment de tendresse qu'ils partageaient tous les deux.


Alors tu es un puritain ?

Oui c'est comme ça qu'on nous appelle. Et toi tu es un déviant ?

Mais moi je ne dévie rien. Mes amis diraient plutôt que je suis un branleur.

Un branleur ?

Mais c'est normal à mon âge.


Ils parlaient encore, apprenaient à se connaître.


Denis décidait d'organiser un pique-nique, et les deux nouveaux amants se retrouvaient de nouveau dans un endroit calme. Ils étaient à l'ombre sous un arbre au milieu des champs, pas loin d'une rivière. Ils se laissaient aller, ils oubliaient que leurs amours étaient interdites. Ils s'en moquaient.


Ils s'enlaçaient, se caressaient et s'embrassaient.


Ils parlaient, ils roulaient l'un sur l'autre. Ils se tenaient fermement enlacés. Ils se retrouvaient torse nue, se caressaient, et s'embrassaient, chacun goûtait l'autre et y prenait du plaisir, beaucoup de plaisir.


Alors tu portes un de ces dispositifs de chasteté.


Denis faisait oui de la tête.


Je le sens là, contre ma cuisse.


Les deux jeunes hommes s'étaient serré l'un contre l'autre et chacun sentait ce que l'autre avait dans la poche, même si ce n'était pas dans la poche.


Tu fais voir ?


C'est sans faire de manières que Denis ouvrait son pantalon et en sortait son sexe en cage.


Ça ne fait pas mal ?

Non ça va mais par moment c'est pas très confortable. Si je reste tendu trop longtemps, ça peut finir par faire un peu mal oui.


Emmanuel regardait l'air un peu horrifié puis tendait la main. Denis le laissait faire.


Tu peux toucher si tu veux.

Tu laisses tout le monde y toucher ?

Mais tu n'est pas tout le monde !


Suivait un nouveau baiser, très tendre, très chaud et quand leurs lèvres se séparaient, Emmanuel tripotait, un peu comme par hasard, les couilles de Denis.


Et c'est normal si tu n'as pas de poils sur tes couilles ?

On nous les retire, c'est une méthode électrique, c'est amusant en deux ou trois séances ils disparaissent totalement et définitivement. C'est amusant, ça chatouille.


Emmanuel continuait à caresser les couilles de Denis. La pression dans la cage devenait vite énorme. Il s'en rendait compte. La cage avait tendance à se relever.


Tu bandes là on dirait .

Maintenant toi, fais voir. Lui demandait Denis.


Emmanuel hésitait un instant puis se décidait, il ouvrait à son tour son pantalon et comme Denis quelques instant plus tôt en sortait son sexe. Il bandait lui aussi mais rien n'entravait son érection. Il en avait une belle.


Denis caressait à son tour le sexe de son ami. Emmanuel, continuait à lui caresser les couilles.


C'est vraiment trop doux sans aucun poil. Faisait remarquer Emmanuel.


Au bout d'un moment Denis se retournait et se retrouvant face au sexe de son camarade décidait d'aller un peu plus loin. Il se penchait et passait doucement sa langue sur le gland de son ami.


Emmanuel à sursauté.


Laisse moi faire. Insistait Denis.


Emmanuel restait un peu crispé mais finalement laissait faire. Il penchait la tête en arrière et soupirait, c'était agréable, Denis était tellement attentif à ses réactions que ce n'était que du plaisir.


Tu l'as déjà fait ou bien ? Demandait Emmanuel.

J'y ai souvent pensé depuis quelques temps. Tu sais avec un tel dispositif, on ne pense plus qu'à ça.

Et c'est ça qu'on appelle : Puritain ?

Moque toi, je voudrais bien t'y voir ! Lui répondait Denis.


Denis continuait à sucer, il passait et repassait sa langue tout autour du gland de son amant. Il appuyait son visage et la queue d'Emmanuel disparaissait complètement dans la gorge de Denis.


Emmanuel gémissait de plaisir maintenant et caressait les cheveux de Denis. Par moment il soulevait son bassin, un mouvement qui devait échapper à son contrôle. Denis avalait sa queue qui s'enfonçait maintenant avec force.


C'était mieux, c'était plus agréable qu'avec les hommes de la forêt, enfin je veux dire les ouvriers qui travaillent pour la pension. Ils étaient beaux, sexy, attirants, mais c'était pas pareil, il y avait en Emmanuel autre chose. Il y avait quelque chose d'indéfinissable.


Ils avaient le même âge, Denis bandait comme un fou mais l'entrave n'était pas douloureuse, il aurait pourtant aimer pouvoir bander librement, il aurait tellement aimer pouvoir découvrir lui aussi les plaisirs de la fellation et il aurait aimé les découvrir avec son ami Emmanuel.


Denis ne se laissait pas distraire et continuait à sucer Emmanuel qui gémissait plus fort et frémissait maintenant.


Des voix d'hommes se faisaient entendre. Les deux jeunes ont un peu paniqué. Il ne fallait surtout pas être surpris, ce serait la honte. Emmanuel un jeune très bien sous tous rapports et connu au village et Denis un puritain …


Mon dieu, je vous laisse imaginer le scandale. Dans le village on ne parlerait plus que de ça.


Mais les deux garçons était rapides, ils ne se relevaient pas, tant qu'ils était allongés, les grandes herbes les dissimulaient. Mais il ne leur fallait pas plus de quelques secondes pour remettre leurs pantalon. Il était temps, ils étaient encore torses nues quand deux hommes passaient à proximité.


Deux garçons, torses nues, allongés dans l'herbe à un bon mètre l'un de l'autre, à côté d'une rivière, en pleine canicule … Tout était normal en fait. Il n'y avait rien à redire.


Alors ça se passe bien les jeunes. Vous parlez des filles je suppose ! Leur lançait un des deux hommes.

Emmanuel, ta mère te cherchait, tu ne devrait pas trop tarder. Lui disait le second homme.


Tout le monde se connaissait dans ce village, en effet.


Les deux jeunes n'avaient pas eu le temps de conclure mais il fallait rentrer. Ils avançaient ensemble, l'un à côté de l'autre, ils n'osaient pas se toucher, se prendre la main. On pouvait voir des passants de loin. Et de loin ça paraîtrait déplacé pour ne pas dire autre chose.


Ils ne se sont pas embrassé au moment de la séparation. Pourtant ils savaient que c'était la dernière fois qu'ils se voyaient. Denis devait repartir le lendemain, les vacances étaient terminées.


Chacun voyait dans les yeux de l'autre cette hésitation, ce désir de repousser encore ne serait-ce que de quelques secondes le moment de leur séparation.


Ils n'ont rien montré mais c'était une déchirure qu'ils vivaient l'un comme l'autre. Ils n'avaient passé que deux semaines ensemble. Pour Denis c'étaient les deux plus belles semaines de sa vie.


Denis avait passé des vacances étonnantes. Il avait découvert le flirt, le premier baiser, le pelotage, la fellation et la sodomie … Mais pas dans cet ordre. C'est pourtant dans cet ordre en général que ça se passe mais bon, tout ne se passe pas toujours comme prévu, c'est la vie.


Denis traversait la forêt pour rentrer à la colonie de vacances, il avait son panier de pique-nique et c'est sans même y penser qu'il approchait de la maison de ouvriers.


A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


Le jeune Denis Ep06 Obsession

 Le jeune Denis Ep06 Obsession



Bon, là ça l'avait calmé. Deux bites dans le cul pour une première fois, ça calme même les plus énervés. En plus c'était aussi la première fois qu'un mec le touchait. Il n'avait jamais ne serais-ce que flirté, et là brusquement il se faisait péter la rondelle deux fois de suite. Remarquez, c'est vrai que c'était pas prévu.


Enfin il l'a senti passer. Il l'a senti pendant plusieurs jours, au niveau de sa cage, il ne bandait plus pendant au moins … une journée entière …


On peut prendre son pied de cette manière là mais il faut y aller en douceur, et là il y était allé un peu fort. Il savait qu'il recommencerait, il savait qu'il pourrait y prendre un immense plaisir mais il savait aussi qu'il lui faudrait un peu de temps. Beaucoup même peut être.


Denis avait parfaitement compris qu'il ne retirerait peut être jamais son dispositif. Il l'avait accepté. Maintenant il découvrait que ne serait pas un rejet du plaisir, il pouvait connaître l'orgasme avec son cul.


Ce ne serait pas avec ces camarades puritains, mais il y avait les déviants. Jadis on lui avait appris à les mépriser mais là il commençait à s'intéresser à eux.


Dans la journée, dans le cadre protégé de la pension tout se passait calmement. La journée se passait sans qu'on ait besoin de ne penser à rien, sauf quand un érection sauvage se manifestait. Mais seule la personne concernée s'en rendait compte. Les dispositifs de chasteté sont diaboliques et même sous la douche on ne montre rien.


Parfois la queue gonfle un peu et peut prendre toute la place mais il n'y a pas forcément de la pression. La peau peut faire des bourrelets qui ressortent par les trous d'aération, ce n'est pas forcément la marque d'une grosse pression dans la cage. Le plus souvent ça reste très confortable. Seul le porteur peut savoir si c'est désagréable ou pas.


Donc même sous la douche, pour ceux qui la prennent dans la salle commune, il est impossible en voyant leurs cage de déterminer ce qu'ils ressentent. La règle était de ne pas se plaindre, sauf bien sûr si le gêne ou la douleur n'était pas normal.


Denis se comportait comme on attendait qu'il le fasse mais quand il sortait de la pension, pour une balade en forêt ou au village là, c'était différent. Il avait bien fini par comprendre que les neufs dixièmes de personne qui portaient une cage à bite était un chiffre très exagéré, c'était pourtant le chiffre annoncé par sa communauté. La proportion réelle n'était peut être même pas l'inverse.


En fait les porteurs étaient ultra minoritaires, presque une exception, mais la communauté était tellement soudée et refermée que, vu de l'intérieure on pouvait y croire. Denis y avait cru mais il se rendait compte que tout ça, c'était des conneries.


Quand il sortait de la colonie, Denis était aux aguets, il regardait, fixait même quelquefois, le cul des gens qu'il croisait. Les femmes ne l'intéressaient pas vraiment mais les hommes oui. La force et l'épaisseur de leurs cuisses. La musculature de leurs bras, la largeur de leurs épaules mais surtout la bosse qu'il avaient entre leurs cuisses.


Il tentait de deviner si l'homme qu'il rencontrait portait ou pas un dispositif de chasteté. Il tentait de deviner à leurs comportements s'ils étaient actif, c'est à dire non porteur, ou passif.


Quelquefois ça ne faisait aucun doute, surtout sous les vêtements de sport, les maillot de bain en particulier, on devinait une forme longue qui se terminait par le gland, c'était là une forme caractéristique qui ne trompait pas.


Le maillot de bain devenait un vêtement terriblement sexy. ( pas que pour lui remarquez, NDL ). Mais pour lui, voir un sexe masculin au travers d'un tel vêtements, enfin quand je dis voir, apercevoir, avoir l'impression de pouvoir deviner lui mettait la cervelle en ébullition.


Un peu comme ce jour ou on ne se souvient plus trop à quelle occasion avec plusieurs de ses camarades ils s'étaient retrouvés à la piscine municipale. Elle était bien pleine, Denis regardait toutes ces bosses, sous un maillot de bain, elle ressortaient bien. Denis devinait facilement si celui-ci portait une cage ou pas …


Aucun des gens croisés ce jour là ne portaient un tel dispositif, ça ne faisait aucun doute, sauf peut être le gros balaise. Qui faisait des longueurs de piscine. Quand il sortait de l'eau Denis ne parvenait pas à savoir. Il montrait une très belles bosse bien ronde, bien ferme, sans aucun relief.


Denis se posait des questions et ça l'agaçait. Sa queue le torturait mais il n'en montrait rien. Ce jeune homme était vraiment magnifique, il avait des muscles un peu partout mais surtout des muscles très bien proportionnés.


Le regard insistant de Denis finissait par le faire remarquer.


La piscine était extérieure, il y avait un jardin à proximité, le beau garçon bien bâti se dirigeait vers un coin discret du jardin, Denis le suivait. ( Et après ça il va encore se plaindre NDL )


Le nageur disparaissait derrière un buisson, Denis s'approchait. On le saisissait par le bras avec force, Denis sursautait, c'était le nageur que Denis suivait, il le faisait distraitement certes mais il le suivait. Le garçon était costaud et Denis n'avait de toutes façons pas la force pour résister.


Son cœur battait vite, très vite, c'était un instant de panique qui l'envahissait. Une panique qu'il recherchait, une panique qui lui plaisait. Là il ne contrôlait plus rien.


J'ai bien l'impression que c'est moi que tu suis, tu me veux quoi bonhomme ?

Heu ! Parvenait à bafouiller Denis. ( Ah il est fort Denis, il arrive à bafouiller en ne prononçant qu'une seule syllabe … NDL )


Le nageur glissait sa main dans son slip de bain, le rabaissait et en sortait son sexe.


Si c'est ça que tu veux, il suffit de demander.


Denis avait la tête en feu. De prêt il était encore plus beau que de loin, et son sexe était magnifique. Il ne portait pas de cage, il avait simplement relevé ses couilles qui formaient une grosse boule. Ça le mettait très en valeur sans pour autant laisser apparaître une forme trop explicite. Ça lui donnait une bosse ronde et de forme douce.


Denis fondait de désir en voyant la queue de ce jeune homme se développer, se détendre, elle était de belle taille, il était circoncis. Il remuait sa bite qui rapidement affichait près de vingt centimètre sur une belle longueur.


Denis avait la tête en feu, et pour ça cage, ça n'allait pas mieux. Sans rien montrer sa queue forçait contre la cage, c'était un peu douloureux mais Denis commençait à avoir l'habitude. Il se penchait et sans hésiter, c'était bien cela qu'il voulait. Il prenait la queue du jeune sportif dans la bouche, et la caressait avec sa langue.


Il me semblait bien que c'était ça que tu voulais. Commentait le nageur.


Ils étaient dans un coin discret, de gros buissons les cachaient à la vue du public. Le nageur s'installait, assis les jambes écartées et le dos appuyé contre un petit arbre. Il regardait ce jeune homme qu'il ne connaissait pas mais qui semblait vouloir lui faire plaisir.


Denis se souvenait comment on se masturbe, ce n'était pas si vieux que ça pour lui. Et puis la branlette, c'est un peu comme la bicyclette, ça ne s'oublie pas.


Il humectait généreusement le gland de ce très bel homme puis le caressait avec la main, il le caressait aussi avec la langue.


Il appuyait sa tête et tentait de tout bien avaler. C'était une première pour Denis, il sentait la queue entrer dans sa bouche, elle était large. Il sentait aussi le gland glisser dans sa gorge.


Là il ne s'y attendait pas mais ça devenait dur. Il ne pouvait plus respirer. Il devait se calmer. Il fallait qu'il marque des poses sous peine de s'étouffer. Mais quand il forçait, son nez finissait par toucher le ventre de son partenaire.


Le partenaire posait une main sur la tête de Denis et au début lui caressait les cheveux. C'est ainsi encouragé que Denis redoublait d'efforts, il inspirait bien à fond puis appuyait sa tête le plus possible. Le gland de son partenaire glissait dans sa gorge.


Denis ne parvenait même plus à déterminer à quel endroit la queue de son camarade glissait, c'était dans sa gorge, dans son cou. Il devait synchroniser parfaitement sa respiration pour ne pas vomir. Mais il en voulait le jeune Denis, il en voulait et c'était évident qu'il y prenait un vrai plaisir.


Le jeune nageur qui se faisait sucer gémissait par moment, d’où il était, il pouvait sans se faire remarquer regarder tout autour de lui. Et si quelqu'un venait à s'approcher, il le remarquerait.


Je jeune Denis appuyait la tête et la relevait en accélérant le mouvement, il glissait sa langue contre le gland du jeune sportif dès qu'il passait. Il forçait et appuyait de toutes ses forces avec sa langue, le jeune nageur tremblait par moment.


Il commençait à explorer le corps de Denis.


On dirait que tu ne bandes pas ! Faisait-il remarquer.


Il continuait, sa main arrivait sur les couilles de Denis, il semblait désorienté mais rapidement il comprenait.


Mince alors ! Tu es un puritain ! C'est la première fois que je tombe sur un puritain. On m'avait bien dit que vous aimez sucer mais là je ne m'y attendais pas.


Il laissait Denis continuer, et Denis encourager par les caresses sur ses cheveux tentait de se surpasser.


Je t'aurais bien pété le cul mais là on se ferait remarquer.


Denis ne savait pas s'il devait se réjouir ou pas. La dernière fois ça lui avait fait mal, mais vraiment très mal. Il savait que ça pouvait faire du bien aussi, il savait, il l'avait deviné, ça pouvait aussi faire jouir. Et là il avait envie de recommencer.


Il continuait à sucer, il appuyait sa tête et quand il la relevait il caressait avec force la queue du jeune nageur. Puis il recommençait de plus en plus vite. Denis bavait, il ne se retenait plus, il ne se contrôlait plus, il était pris par une frénésie quand brusquement son partenaire appuyait sur la tête pour l'empêcher de la relever.


Denis ne comprenait pas mais dans la seconde qui suivait, il recevait un jet de sperme dans la gorge, il ne s'y attendait pas et tentait de se retirer mais le jeune homme le retenait.


Ne bouge pas bonhomme, avale ! Tu ne voudrait pas qu'on en mette partout. C'est un coup à se faire remarquer.


Il continuait à éjaculer un autre puis encore un autre jet de sperme, ils devaient être important, Denis ne savais pas, ne savait plus. Il relevait la tête mais pas totalement, le garçon l'obligeait à conserver son gland dans sa bouche.


Avale je te dis, il ne faut rien perdre.


Toujours serviable ou peut être seulement obéissant, Denis faisait ce que lui disait son beau nageur. Il avalait, il avalait tant qu'il pouvait. Finalement il ne laissait rien passer.


Il suçait toujours, et il avalait toujours tout ce qu'il pouvait quand il relevait la tête. Il avait évité toutes les fuites. Le nageur était content en relevant son maillot de bain.


Là on pouvait voir une forme allongée de grosse taille.


On va attendre un peu. Disait le nageur. Alors tu viens souvent ici. La prochaine fois je t'emmène chez moi et je te pète le cul.


Denis ne disait rien et continuait à avaler sa salive, il essuyait son visage avec la main.


Tu me montres ton truc ? Demandait le beau nageur.


Toujours sans rien dire, Denis baissait son maillot de bain. Son camarade s'amusait à lui tripoter les couilles et s'amusait quelques secondes avec la cage.


Cool ce genre de truc, c'est pas pour moi mais c'est cool !


Peu après ils se sont séparé, Denis s'est glissé sous la douche. Quand il en est sorti son beau nageur avait disparu. Il traînait encore un petit moment. Il regardait avec toujours le même regard avide toutes les bosses de tous les garçons. On était dans une piscine, c'était l'endroit idéal, avec les maillots de bain, il y en avait partout.


Denis n'était pas calmé, au contraire même. Il avait un peu mal à la mâchoire mais il en voulait encore plus, ce qu'il voulait c'était un coup de bite dans le cul, même si ça devait lui faire très mal.



A suivre



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Le jeune Denis Ep05 Entre hommes

 Le jeune Denis Ep05 Entre hommes



le pauvre Denis durant les jours suivants ne pensait plus qu'à ça. C'était un plaisir douloureux. Juste un peu douloureux mais pour ce qui est du plaisir. Denis n'avait plus éjaculé depuis qu'il avait enfilé sa cage ça faisait maintenant presque de trois semaines.


Là il n'en revenait pas, c'était venu d'un coup, sans prévenir et le plaisir avait été intense. Bref mais intense. Il avait envie de recommencer mais ne savais pas comment s'y prendre. Pas encore …


Il se demandait si ce ne serait pas bien mieux avec un peu de savon. C'est à ça qu'il pensait sous la douche. Les douches se présentaient en deux salles, une avec des cabines pour le plus prudes. Ceux qui n'oseraient pas se montrer entièrement nus, certains avaient toujours cette réserves même s'ils portaient tous maintenant un dispositif de chasteté.


Les plus âgés ne faisait plus cas et se montraient nus sans gêne apparente, mais les plus jeunes élevé dans un certain puritanisme pour ne pas dire un puritanisme certain … ( Éh, éh, vous avez vu comment j'ai dis ça ? Bon OK je passe … Note de l'Auteur qui ferait mieux de ne pas trop en rajouter )


Bref les plus jeunes n'osaient pas et préféraient les cabines. Dès le début Denis avait fait comme les plus anciens, c'était pour lui une manière de montrer que l'enfance était loin derrière lui maintenant. De toutes façons s'il avait des réactions, une petite érection de passage, rien ne se voyait. Le dispositif était très efficace pour cacher toute réaction déplacée. C'était diabolique !


Et ce jour là devant tout le monde il se douchait, il se lavait bien le corps, bien partout. Mais s'il n'osait pas se glisser un doigt dans le cul, c'était uniquement à causer des autres. On l'aurait remarqué, et vous savez dans cette société, s'amuser avec son cul, c'était comme s'amuser avec sa bite … C'était très mal vu.


On le lui avait dit souvent, ' C'est dégoûtant, seuls les animaux se masturbent, c'est dégradant !' .


Oui je sais c'est un peu, comment dire, expédié comme explication. Mais vous savez dans les milieux puritains on ne va pas s'étendre sur certains problèmes qui peuvent se régler en une phrase à l'emporte pièce. Même d'ailleurs s'il n'y a pas vraiment de problèmes.


Denis faisait traîner la douche, les gars se succédaient et lui était toujours là. Il finissait par se décider et allait s'essuyer. Oui quand je dis décider, j'aurais mieux fait de dire ' renoncer '. Il passait dans la seconde salle, celle ou il y avait des cabines. La salles était vide et toutes les cabines également. Pris par une frénésie, une sorte de tentation du diable, comme il était toujours a poil il se glissait dans une cabine. Il jetait un dernier coup d’œil vers la première salle qui se vidait et, vite fait bien fait, il se savonnait le cul et y glissait un doigt.


Ce n'était pas désagréable, ça glissait bien, son doigt rentrait presque en entier, mais il ne ressentait ni cette sensation de douleur qu'il avait éprouvé la dernière fois ni le plaisir, l'orgasme qui l'avait submergé. Il remuait son doigt, c'était agréable mais rien de plus.


Une voix le ramenait à la réalité.


Y a plus personne la dedans ?

Si, si, il y a moi ! Répondait mécaniquement Denis avec son doigt dans le cul.

Excuse moi si je t'ai fait peur bonhomme, n'oublie pas on passe à table dans une demie heure.


C'était un des responsable du séjour, ils ne pouvaient pas se voir, ils ne pouvaient que s'entendre. Denis laissait tomber, terminait de se laver le cul, juste le cul maintenant et son doigt aussi … Puis se séchait,enfilait une tenue de sport sans sous vêtements et passait dans sa chambre pour se changer.


Il était toujours un peu tendu, sexuellement tendu, quand il descendait à la salle à manger. Il bandait et sa cage devenait une prison douloureuse. Il avait l'impression que la cage lui étranglait la queue. De plus ça ne passait pas, l'autre jour, quand on l'avait fait jouir, ça lui avait fait du bien mais ça ne durait pas dans le temps.


Il avait envie, besoin de sexe.


Quand il fermait les yeux il revoyait ces deux hommes, l'autre jour dans la forêt, ils savaient se donner du plaisir. C'était étrange pour Denis, c'était une découverte, et le doigt dans le cul en était une autre.


Le lendemain Denis décidait de retourner voir dans cette clairière. Il n'y avait personne, il était bien venu pendant ce qu'il supposait être la pause mais il était seul. Il s'asseyait sur une souche, un rayons de soleil venait le réchauffer, le sous bois était un peu frais.


Alors nous avons de la visite ! S’exclamait une voix dans son dos.


Denis sursautait et se retournait. C'était l'homme qu'il avait vu l'autre jour, celui qui s'était fait sucé la queue.


Oui je me promenais dans la forêt et je me suis un peu égaré. Bafouillait Denis.

Perdu, pourtant ce n'est pas la première fois que tu viens ici mon petit bonhomme.

Vous m'aviez vu ?

Ne va surtout pas t'imaginer que tu sais te cacher !

Une visite imprévue ! Le second homme de l'autre jour venait d'arriver.


Denis ne savait plus quoi faire, plus quoi dire.


Je vais vous laisser. Déclarait Denis en se relevant.

Sans prendre la peine de faire connaissance ? Lui demandait le premier homme.

Denis se retournait vers lui. L'autre homme approchait et passait son bras autour du cou de Denis, un peu comme s'il voulait l'étrangler mais sans lui faire de mal. Denis ressentait la force de cet homme, il était bien plus fort que lui et aurait facilement pu l'étrangler s'il l'avait voulu.


Denis n'essayait pas de se défendre, il ne tentait pas de se dégager. Il n'en avait de toutes façons pas la force. Avec son autre bras l'homme qui le retenait lui caressait le torse, sa main glissait sous sa chemise.


Denis se sentait défaillir, c'était tellement agréable, sa main était à la fois douce et rugueuse. Un tout petit peu rugueuse on sentait que c'était un travailleur. Denis avait un peu de mal à respirer pourtant l'homme ne l'étranglait pas, il le retenait avec force mais avec douceur également et Denis n'avais pas du tout envie de se dégager.


Il sentait les muscles forts, du bras de cet homme. Des muscles qui pouvait l'étreindre avec une grande tendresse, ou des muscles qui pouvaient l'écraser si l'homme le voulait. Il était bien plus fort que Denis, et en plus ils étaient deux.


C'est un puritain, et à ton avis il en est ou au niveau sexuel ? Demandait le premier homme à son camarade.


Le second prenait le visage de Denis par le menton et obligeait Denis à l'embrasser. Denis ne résistait pas. Il tremblait de plaisir, de bonheur. Les lèvres de cet homme étaient tellement douces. Il comprenait pourquoi son camarade avait aimé se faire sucer l'autre jour.


Il est docile en tout cas ! Rajoutait l'homme.


Il continuait à caresser le corps de Denis avec douceur et sans prévenir glissait sa main dans le pantalon de Denis. C'était un pantalon de toile légère et ample et Denis n'avais pas mis de sous-vêtements. Il a bien un peu couiner le jeune Denis mais il ne s'est pas débattu.


L'homme s'amusait à lui tripoter les couilles et Denis continuait à couiner sans se défendre.


Tu es puceau ! Demandait-il à Denis.


Denis faisait oui de la tête, il n'arrivait même pas à articuler un mot.


Alors on va faire ton initiation ! Déclarait le premier homme qui regardait la scène. Tu as déjà sucé un homme ?


Denis faisait non de la tête.


Tu t'es déjà branlé ?

Oui avant que je porte ce truc ! Déclarait Denis.

Avec des copains ?

Oh non monsieur ! Répondait Denis.


Dans son dos, l'homme qui le retenait lui retirait sa chemise presque sans le lâcher, mais il faut dire que je jeune Denis était docile. Il sentait la peau de cet homme magnifique qui le retenait toujours. Quelques instant plus tard le pantalon tombait, celui de Denis également. Et là il sentait quelque chose qui se relevait entre ses cuisses.


L'homme le retenait un peu plus fort, il le tirait vers lui toujours sans lui faire de mal, ça ne semblait pas être ses intentions. Denis avait le vertige, il ne voulait pas que ça s'arrête mais il n'osait pas réagir, il n'osait même pas glisser une main pour caresser son agresseur.


Peut on parler d'agresseur quand il n'y a pas d'agression, de même peut-on parler de viol quand le violé est volontaire. Denis était volontaire, il était également à poil et les hommes qui étaient là pouvait l'admirer. C'est vrai que Denis était plutôt mignon.


Le troisième personnage se retrouvait rapidement entièrement nu mais des trois, seuls deux bandaient. Ils bandaient bandaient fièrement et ne se demandaient pas qui allait en prendre plein le cul.


Penche toi en avant. Ordonnait le premier homme qui était maintenant à poil, l'autre avait lâché Denis.


Denis s'exécutait, il ne comprenait pas ce qui se passait mais il ne résistait pas. Sa queue prenait toute la place dans la cage mais sans toutefois trop forcer contre les barreaux. Sur ce point, au moins, Denis était à son aise.


Les deux hommes le caressaient autant avec force qu'avec douceur. Leurs mains n'oubliaient aucune partie de son corps, ni les couilles, ni le visage. Un doigt glissait entre ses fesses, s'attardait un instant, Denis sentait quelque chose de froid puis le doigt glissait dans son cul.


Denis soupirait de plaisir. C'était bien mieux que quand c'était lui qui le faisait. Puis sans prévenir un des deux homme saisissait Denis de toutes ses forces et sans que Denis ne comprenne tout ce qui se passait l'autre poussait sa bite dans le cul de Denis.


Il avait pris soin de bien lubrifier et Denis n'opposait aucune résistance. Il n'avait pas le temps de réagir. Le ventre de cet homme s'écrasait contre les fesses de Denis qui voulait hurler de douleur mais ses violeurs avaient tout prévu, et une main contre sa bouche le faisait taire. Il ne savait même pas lequel des deux le tenait, l'enculait ou le faisait taire.


La douleur était terrible et le plaisir aussi. Denis a éjaculé à ce moment, il ne bandait pas, il ne bandait plus. Sa queue s'était ratatinée au fond de sa cage qui brusquement devenait bien trop grande.


Les deux hommes n'en restaient pas là, l'un le tenait et ne voulait pas le lâcher, l'autre se déchaînait sur son cul et le limait. Denis gémissait, il voulait crier, il voulait implorer qu'on le lâche, il voulait crier des ' Encore, oui, encore '. Le pauvre Denis ne savait plus ou il en était, il avait mal au cul mais il en voulait encore. Il avait joui et il voulait que tout s'arrête. Il se cramponnait à la souche de l'arbre sur laquelle il était penché.


Les coups devenaient plus violents. Quand on imagine que quelques jours plus tôt Denis n'aurait jamais imaginé qu'on pouvait introduire un doigt dans un cul, alors une grosse bite, vous imaginez.


On le tenait, il se retenait, il gémissait, il pleurait aussi mais il ne tentait pas de se dégager.


Quelques coups violents et des cris de plaisir annonçait la fin de cette première partie. C'est dans le cul de Denis que ce premier homme jouissait et le faisait entendre. Il se retirait, Denis continuait à pleurer mais savait que c'était fini. Ce qu'il ne savait pas c'est que son camarade le remplaçait immédiatement.


Un sanglot inondait le visage de Denis. Des gémissements se faisaient entendre plus fort. Puis Denis de nouveau criait mais là on le laissait crier et c'étaient des '' Encore, encore …'' qui résonnaient dans le bois.


Le second tortionnaire de Denis ne s'inquiétait pas plus que le premier du confort du petit jeune. Il défonçait sans aucune retenue le cul de malheureux Denis. Le deuxième homme s'était reculé et regardait la scène tranquillement, il se masturbait doucement et bandait encore, il arborait un sourire satisfait.


Il était satisfait du plaisir qu'il avait pris, il était satisfait du petit jeune, il ne connaissait même pas son nom mais bon, il savait qu'on le reverrait dans le coin.


Son camarade se lâchait sur le cul de Denis, il s'enfonçait et poussait encore un peu plus quand son ventre s'écrasait en claquant contre les fesses de Denis. Il se retirait avec vigueur puis marquait une courte pause avant de recommencer.


Denis gémissait toujours au moment ou son partenaire jouissait dans son cul. C'était la fin. Denis était perdu, il ne savait même plus s'il aimait ou pas. Ça faisait mal mais ça faisait aussi du bien.


Denis savait d’instinct que le plaisir côtoyait la douleur et que la douleur pouvait aussi être du plaisir.


Il n'avait jamais embrassé personne, avant cette journée il était vierge comme un verre d'eau de source. Il avait découvert des plaisirs qui d'habitude ne sont pas les premiers qu'on découvre.


Les deux hommes l'aidaient à se rhabiller, lui essuyaient le visage et le laissaient se débrouiller pour rentrer. ( les mecs je vous jure … Note de l'auteur )


Denis rentrait en rasant les murs à la maison et se glissait dans la douche ou il restait longtemps, très longtemps. Il avait mal au cul et ne savait plus vraiment ou il était. Mais à part ça, tout allait bien.


Enfin il avait vraiment mal au cul et ça a duré plusieurs jours.



A suivre



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