Ulysse 06

 Ulysse 06




Le temps était agréable et nous reprenions un verre. Les amis d'Ulysse étaient en fait des collègues de travail. Ils étaient en repos, c'était un incroyable hasard si nous nous étions retrouvés. En fait on travaillait et on vivait Ulysse et moi à moins de dix kilomètres de distances, dans les dix kilomètres, il y avait une ville et beaucoup d'habitants. On aurait pu passer le reste de notre vie sans jamais nous revoir.


On ne s'était pas quitté fâché. Bien au contraire. 


Avec Richard plus d'une fois on avait rêvé de se le faire Ulysse, moi c'était surtout sa queue que je rêvais de me prendre dans le cul. J'étais passif, je le suis toujours. Enfin à l'époque je n'étais pas que passif mais après cette farce que nous avait fait Mathilde je le suis devenu de plus en plus. Mais si, rappelez vous, elle nous avait fait porté un dispositif de chasteté. 


En tous cas, elle nous avait laissé les dispositif et de temps en temps je m'amusais avec. Je le mettais pour une semaine, quelquefois deux semaines. Ça amusait mes partenaires. Bien sûr je les choisissais actifs, et bien montés si possible. 


Avec le temps je le mettais de plus en plus longtemps. Les mois passaient lentement et le jour arrivait ou le groupe devait se dissoudre. Oh nous n'étions pas fâchés, simplement Richard trouvait un travail à l'autre bout du pays, Ulysse partait également de son côté. 


Cette journée était triste, nous nous retrouvions tous les trois au milieu de cet appartement vide. Enfin, c'était un meublé et il n'y avait que l'essentiel au départ, il n'y avait que l'essentiel à la fin. On s'embrassait, on versait une larme. Elle était sincère, on se promettait de nous revoir puis ...


Je me suis retrouvé dans un studio, c'était plus petit mais comme j'étais seul, et puis il était moderne et très confortable ... Je travaillais pas loin de mon logement, finalement j'avais gagné au change. Enfin au niveau logement, j'avais perdu deux amis. Avec Richard on est resté en contact pendant quelques temps mais Ulysse avait totalement disparu, je n'avais plus aucune nouvelle de lui, jusqu'à ce jour.


Je continuais ma vie. Métro boulot, dodo ...  Bon d'accord j'en rajoute un peu, il n'y a pas de métro dans ma ville. Je faisais de nouvelles rencontres. Il y avait aussi ce dispositif, il était dans un tiroir de ma table de nuit. Souvent je le ressortais, souvent je le manipulais et de plus en plus souvent je le mettais. 


Il était confortable à porter, c'était un dispositif très sérieux finalement, de très bonne qualité. Je le gardais deux semaines, c'était de la folie. Au bout de deux semaines on ne sent plus que ça. Dans la journée si on est concentré sur son travail, ça va. Mais dès qu'on arrête le travail le dispositif se rappelle à notre bon souvenir. On sent alors sa présence.


Ce n'est pas douloureux, c'est lourd. On a quelquefois l'impression de ressentir le poids du dispositif, pourtant le dispositif ne fait que quelques dizaines de grammes, c'est du titane, ça ne pèse rien. 


Quelquefois on a l'impression d'avoir comme une coque autour de ses testicules. Une coque qui nous enveloppe tout le sexe. D'autres fois, ça c'est surtout si on a une stimulation, si on bande, si on a envie de tirer son coup, de se branler ou de défoncer un cul qu'on a, là, juste devant nous. Là c'est surtout la cage qu'on ressent, l'anneau aussi remarquez, mais là, il gêne!


Je le portais non stop depuis un mois, quatre semaines pour être exacte quand je rencontrait Xavier. C'était dans un bar.


Je l'avait remarqué au moment ou je suis entré, il était grand et dépassait d'une demie tête par rapport aux autres personnes présentes. On le voyait de loin. Il était au bar et discutait avec les gens qui était autour de lui, je m'installais au bar moi aussi, pas bien loin, peu après on discutait tous les deux. On faisait connaissance. 


Xavier n'était pas plus farouche que moi, et c'est chez lui qu'on terminait la soirée. Il me proposait une bière qu'on n'a pas ouvert, il s'était rapproché de moi et me glissait un doigt dans l'ouverture de ma chemise. Je lui répondait par un baiser et chacun se retrouvait dans les bras de l'autre. A ce moment j'avais complètement oublié que je portais mon dispositif de chasteté.


Avec un peu d'entraînement on le supporte très bien, mais vraiment très bien. 


On se serrait l'un contre l'autre, on s'embrassait, et quand sa main passait sur ma braguette ...


– C'est quoi ce truc que je sens ? Me demandait Xavier. 

– Tu m'as bien dit que tu était actif ?

– Je ne vois pas le rapport ... 

– Moi je suis passif !


Il ne semblait pas comprendre aussi je me levait et baissais mon pantalon. Il me répondait par un large sourire et des yeux tout ronds. Il se levait à son tour et m'aidait à retirer tout le reste de mes vêtements. Je me retrouvais alors entièrement nu dans ses bras, il était encore tout habillé.


Je lui glissais mes mains sous sa chemise et doucement faisais glisser ses vêtements, il ne fallait pas très longtemps pour qu'il se retrouve entièrement nu à son tour. Je tombais à genoux devant lui et lui suçais la queue. Il était bien plus grand que la moyenne, sa queue aussi. C'était un plaisir de me la prendre dans la bouche. 


Il restait tétanisé, il se laissait faire, il me caressait les cheveux...


– Oui mais ... Ton truc ...

– Oui et bien ?

– Tu le portes tout le temps ?

– Non, je peux le retirer ...


Je continuais à lui sucer la queue, tranquillement et lui me laissait faire. Quand je relevais la tête je voyais qu'il faisait tout de même une drôle de tête. 


– Il parait que ceux qui portent un truc comme ça, ils sont chauds du cul ?

– Tu n'as qu'à vérifier. Lui répondais-je en relevant la tête.


Il me répondait par un large sourire qui ne cachait toutefois pas sa surprise.


– Tu sais, tu es le premier mec que je rencontre et qui porte ce genre de truc.

– Ça te dérange ?

– Non mais ça me fait tout drôle. Ça ne te fait pas mal ?

– Non mais ... J'ai un peu le feu au cul là !

– Je crois que je vais vérifier. Me répondait-il en rigolant.


Il devenait moins timide, là il me prenait la tête entre ses mains et me guidait. Lentement au départ puis plus rapidement il m'enfonçait sa queue dans la bouche. Il tirait ma tête contre lui et là, moi je me régalais. Il en avait une belle. Elle entrait dans ma gorge avec vigueur. Il savait être doux et câlin ce qui ne l'empêchait pas d'être viril, sa bite était bien ferme, elle était bien longue mais comme sa largeur restait raisonnable elle entrait dans ma gorge, je lui faisait une gorge profonde sans trop de difficultés. 


C'était génial, j'ai adoré. Je pense qu'il a aimé lui aussi !


Je m'amusais longuement avec sa queue,  je la branlais, je la tripotais, je la suçais. Lui, il gémissait. Il ne cachait pas son plaisir et gémissait même très fort par moment. Surtout quand mon visage s'écrasait contre son ventre et que sa queue s'enfonçait profond, vraiment profond. Il était tenté de me retenir la tête mais quand il sentait que je paniquait il me relâchait. Au bout d'un moment j'étais tout rouge et je lâchais quelques larmes. 


– Tu m'as l'air d'aimer la bite toi ! Me disait Xavier . 


Là je ne répondais pas mais continuais à lui sucer la queue.


Nos vêtements étaient éparpillés sur le sol, nous étions nus. J'étais à genoux devant lui, il était debout devant moi. J'avais sa queue dans ma bouche, il appuyait ma tête contre son ventre et quand il me relâchait c'était juste pour me permettre de reprendre mon souffle puis il appuyait de nouveau sur ma tête, la tirait vers lui et appuyait bien fort. 


Il finissait par me lâcher, je reprenais mon souffle, je toussais un peu. Lui aussi reprenait son souffle, son cœur battait très fort. Il me prenait la main et me relevais. Je me retrouvais dans ses bras, il me serrait fort contre lui, il m'embrassait et me caressait le dos. Je lui rendais chacun de ses baisers, chacunes de ses caresses. 


Puis me prenant par le bras il me retournait, il était maintenant dans mon dos. Je sentais sa queue se relever et se glisser entre mes cuisses. Je la sentais remonter entre mes fesses, elle s'arrêtait juste au niveau de mon cul. Avec douceur Xavier appuyait sur mon ventre et sur le haut de mon dos, il me guidait et je me penchais en avant. 


Je n'ai pas trop compris à quel moment il s'était lubrifié la bite, mais quand il a appuyé contre mon cul, elle est rentrée facilement, je vous garantis qu'il s'était lubrifié, et même très bien lubrifié. Ça rentrait tout seul, je l'ai senti passé mais ça rentrait vraiment tout seul. 


Sans être d'une largeur monstrueuse, sa queue restait de taille honorable et même un peu plus. Je la sentais glisser lentement dans mon anus. Il plaçait une main sur le bas de mon ventre et me tirait vers lui. Je me penchais en avant et me retenais en m'appuyant sur le dossier du fauteuil. Il me tirait vers lui et sa queue s'enfonçait de plus en plus profond. Oui de plus en plus profond car si sa queue n'était pas géante au niveau largeur, elle était longue, très longue.


Je commençait à m'inquiéter, je ne savais plus ou on en était, et je paniquais. Je sentais sa queue s'enfoncer toujours plus, et si le massage de mon anus était très agréable presque jouissif, dans mon ventre c'était la panique. Je tentais de me dégager, d'un coup elle s'enfonçait plus avec une certaine violence. Je râlais, ça ma faisait mal. C'était une sensation étrange et nouvelle, pas totalement agréable mais c'était surtout la panique, l'angoisse. 

 

Quand son ventre s'écrasait contre mes fesses je hurlais. J'avais l’impression de me prendre un violent coup de poing dans le bas ventre, un douleur profonde, interne. Il se retirait et revenait. Peu à peu la douleur disparaissait, pas totalement mais suffisamment pour que je finisse par éprouver un certain plaisir. Entre deux moment de douleur et de panique. 


Un moment il est devenu plus violent et c'est un coup de bassin vif qu'il me balançait dans le cul. Là j'ai hurlé et j'ai vraiment tenté de me dégager, je plaçais ma main contre lui et le retenais. Il comprenait qu'il y était allé un peu trop fort et se retenait, finalement il se retirait se masturbais et éjaculait sur mon dos. 


Je sentais encore cette sensation de douleur au fond de mon cul, au milieu de mon ventre, à l'intérieur. 


– Tu encaisses vraiment bien dis donc !

– Là tu y es allé un peu fort. Tu m'as fait mal!

– Tu es le premier qui se prend ma queue sur toute sa longueur la première fois ... Tu encaisses bien. Avec un peu de temps, tu vas voir, ça passera tout seul.


Je n'étais pas vraiment convaincu moi, ça me faisait encore mal. 


On terminait la soirée allongés sur le lit, on parlait de tout, de rien.  On parlait surtout de mon dispositif de chasteté. Xavier en avait bien sûr entendu parler mais c'était la première fois qu'il se faisait un mec qui en portait un. Il m'avait trouvé 'Hot' vraiment 'Hot' et me demandait de garder ce dispositif. Ou au moins de le porter la prochaine fois ...


On s'est revu régulièrement puis souvent Xavier et moi, et le dispositif je le gardais en permanence. Quelque mois plus tard, je lui confiais la clé. Là c'est vrais que je prenais un risque, Xavier me trouvait très bien comme ça et n'avait pas l'intention de me libérer.

 

Quand on en parlait il savait me répondre ...


– Le fabriquant annonce que le dispositif peut être porter en permanence et sans limite de temps !


Ça l'amusait cette histoire, ça l'amusait. Il faut dire que sa queue je me la prenait dans le cul sans difficultés à ce moment, à chaque fois qu'on se voyait ... Et on se voyait souvent.


Ma vie changeait lentement, je devenais un passif exclusif, comme tous ceux qui portent ce genre de dispositif.


Mais tout ça c'était déjà vieux. La relation avec Xavier avait durée plusieurs années. Il m'avait posé une serrure de son choix, sans doute de peur que je n'ai une autre clé de secours ... et il ne m'avait pas donné la clé quand nous nous sommes séparés.


Ça faisait maintenant six ans que je portais ce dispositif, j'aurais bien sûr pu le retirer en contactant le fabriquant, la PK Compagnie, a prévu de genre de situation. Mais en fait je le gardais.


C'est vrai qu'à ce moment là, avec Ulysse devant moi, dans le soleil de cette terrasse de café, c'est un choix que je regrettais et je me disais que si jamais on vient à se revoir je contacterais la PK Compagnie pour avoir une nouvelle clé. 


Ma queue, pourtant habituée à se retrouver sou clé protestait de toutes ses forces à voir de nouveau Ulysse. Je me souvenais de son corps, de sa queue, de son cul. Je n'avais rien oublié de ces soirées folles que nous avions vécu avec lui, Richard et moi. Je n'avais pas oublié non plus son cul que nous n'avions jamais pu toucher, sa bite à laquelle seules les filles avaient accès.


Tous ces souvenirs me revenaient en mémoire, tous ces désirs pourtant si lointains se réveillaient. Et ma bite, pourtant habituée à la captivité, protestait elle aussi comme elle ne le faisait plus depuis maintenant longtemps. 


Il faisait beau sur cette terrasse de café. Un des amis d'Ulysse, Johan je crois, proposait qu'on se retrouve tous à la Villa des Palmes.


– Il fait un temps magnifique, et on pourrait prendre un bain. La piscine est prête et tu verras Charly c'est une grande piscine. 


Dans ma situation, j'hésitais avant de répondre oui, je me rappelait que c'était Ulysse justement qui m'avait offert ce dispositif, je serais le seul à porter un tel dispositif et avec Ulysse je n'étais pas sûr de la pertinence du dispositif.


Trois quart d'heure plus tard on se retrouvait devant la grille de la Villa des Palmes.



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


Ulysse 05

 Ulysse 05



On a fini par passer sous la douche. Richard ne râlait pas vraiment, il marmonnait dans sa barbe. J'avais l'impression qu'il regrettait déjà son choix. Au moment ou on sortait de la douche on croisait Ulysse, là Richard ne disait plus rien et affichait un large sourire niais !


J'avais un mal fou à me retenir de rigoler. 


Une fois habillé on reprenait nos activités habituelles. Les copines à Ulysse sont vraiment adorables, pendant qu'on était sous la douche elle avaient fait le ménage, et je vous jure qu'elles sont efficaces, même à deux.


Pendant les deux semaines qui ont suivies, il fallait régulièrement rappeler à Richard le défi de Mathilde. Elle avait dit '' Aucun contact érotique, même pas un câlin ''. C'était un truc de fou surtout qu'on voyait Ulysse à poil tous les jours, le matin sous la douche, puis en général comme lui il se sentait bien il traînait à poil au petit déjeuner. Il n'était pas souvent seul, on a revu Mathilde plusieurs fois.


Ulysse ne bandait pas pendant ces moments, il n'était pas en manque, sexuellement pas en manque, c'était pas comme nous ! La première semaine passée, Richard et moi avions la tête en feu et les couilles au bord de l'explosion. Le matin c'était le plus dur, on voyait Ulysse se balader à poil et vous savez que le matin on bande bien plus facilement, ça devenait frustrant.


Le pire moment c'était ce dimanche matin. La veille au soir Richard et moi étions sortis boire un verre et on se retrouvait au petit déjeuner. C'était pas comme en semaine, Ulysse prenait le temps de bien traîner à poil, en semaines on ne le voyait que quelques instants, là il se baladait dans tout l'appartement, il traînait. Dès que le café était prêt Mathilde apparaissait, ça devait être une de ses préférées celle là. Elle venait nous faire la bise à Richard et à moi. 


– Alors les mâles, vous allez bien ?


Ulysse se glissait juste derrière elle, il la prenait dans ses bras, elle retournait le visage et ils s'embrassaient. Là c'est avec violence que j'ai senti ma queue protester, jusque là j'avais contrôlé mais à cet instant je ne contrôlais plus rien. C'était l'horreur. Ça ne pouvait pas être pire, en tout cas c'est ce que j'ai pensé quand j'ai vu la queue d'Ulysse se relever entre les cuisses de Mathilde. Ils s'amusaient les deux farceurs, ils jouaient avec nos nerfs.


On a fait comme un blocage. On ne disait plus rien, on servait le café à tout le monde, on mangeait, on buvait notre café et devant nous Mathilde se collait à Ulysse, l'embrassait, lui caressait la queue. Et il bandait ferme le bestiaux. Elle lui suçait la queue, avant de terminer en s’asseyant dessus. 


Là on ne bloquait plus, on buggait. C'était l'horreur, ma queue était écrasée dans sa cage, je ne montrais rien, Richard non plus. Comme, contrairement à nos camarades en rut, nous étions habillés, enfin légèrement mais habillé tout de même avec un pyjama, rien ne se voyait. Mais je vous jure que c'était l'horreur. Ma bite poussait de toutes ses forces, des bourrelets de peau sortaient par les ouvertures d'aération, c'était pas confortable. Sous la pression de ma queue l'anneau devenait trop petit et resserrait la base de mon sexe, mes couilles formaient une grosse boule bien ferme, bien grosse … bien dure !


Non c'était pas confortable. Je savais que pour Richard c'était pareil. Il avait le regard fixe, il regardait Mathilde qui, empalée sur la queue de d'Ulysse se relevait et se laissait retomber. Ulysse lui caressait le corps, le ventre, sa poitrine tout en l'embrassant dans le cou, à la base de son cou et sur son épaule. 


Mathilde et Ulysse étaient face à nous, quand Mathilde se soulevait on pouvait voir le pénis d'Ulysse sortir de sa vulve. Richard regardait ça d'une manière étrange. Il oscillait entre une certaine excitation face à la queue de notre colocataire et une certaine envie de se sauver en pleurant face au sexe de Mathilde. 


Il est comme ça Richard !


Remarquez j'ai l'air de me moquer mais … Bon, c'est vrai je ferais mieux de me taire … J'étais à deux doigts de le faire en fait. Mais il y avait Ulysse et il était beau Ulysse, je sais je l'ai déjà dit mais c'est la vérité, c'est même tellement la vérité que c'est à cause de ça que je regardait tout ce qui se passait, c'est à cause de ça que je ne pouvais pas détacher mon regard. 


Et puis Mathilde je commençais à avoir l'habitude de la voir la petite Mathilde, je ne faisais plus attention à elle. Sauf qu'à ce moment, après une semaine d’abstinence totale je me serais damné pour pouvoir prendre sa place. 


Mathilde penchait la tête en arrière, sur l'épaule d'Ulysse, il se laissait faire, il la laissait faire, ils s'embrassaient. Les mains d'Ulysse se promenaient avec force et douceur sur le corps de Mathilde, j'imaginais que j'étais à sa place. J'imaginais que c'était sur mon corps que ces mains se promenaient. Il avait de belles mains qui devaient être douces.


Mathilde se relevait un peu trop et la queue d'Ulysse apparaissait en entier, quand elle se laissait retomber la queue d'Ulysse retombait devant elle, ne la pénétrait plus, elle la masturbait alors avec conviction. Là encore mon imagination vagabondait. C'était moi qui masturbait cette queue superbe, grosse, ferme, bien droite. 


J'avais envie de plonger et de me la prendre dans la bouche, de la sucer jusqu'à la garde. J'avais envie de sentir son gland circoncis s'écraser contre ma glotte puis s'enfoncer plus profond encore, dans ma gorge. J'avais envie de manquer d'air, en fait, je manquais d'air.


Le problème c'est que dans la position ou nous étions, si j'avais plongé, je me serais retrouvé avec le nez dans le sexe de Mathilde et là, comment dire, c'était brusquement beaucoup moins excitant. 


Je bandais toujours, mais c'était  uniquement parce que j'étais en manque, mais vraiment en manque. Parce qu'on était le matin et le matin, vous savez … érection du matin ... En plus j'avais un mec superbe, sexy à poil devant moi … Bon d'accord il y avait sa copine du jour sur ses genoux mais bon, j'essayais de ne pas trop penser à ce dernier détail …


Elle était à poil la fille mais bon, j'essayais de ne pas faire attention. A côté de moi Richard n'était pas tout à fait dans son état normal, il continuait mécaniquement à boire son café par gorgées sans remarquer que sa tasse était vide. Il buggait ! Comme je vous disais, il buggait !


Les deux amants ne faisaient plus attention à nous, Mathilde continuait à frotter son cul contre le ventre d'Ulysse. Lui passait ses mains entre les cuisse de Mathilde, le haut de ses cuisses, le très haut de ses cuisses, il glissait plusieurs doigts dans son sexe et l'ouvrait avec douceur. En voyant ça, je buggais à mon tour. Mathilde se soulevait, plaçait la queue d'Ulysse contre son sexe et quand elle se laissait retomber avec douceur, la queue d'Ulysse avait repris sa place, bien au chaud, elle avait de nouveau disparu. 


Mathilde gémissait de plus en plus fort, Ulysse la suivait. 


Il a une sacrée santé le lascar, surtout qu'ils avaient baisé toute la nuit. On avait entendu quelques cris. On n'avait pas fait attention, c'était pas la première fois. Et là c'était devant nous qu'ils en rajoutait, ils jouaient les prolongations et de toutes évidences il leur fallait des spectateurs.


Ou alors ils voulaient juste nous allumer. Nous étions en manque, en cage depuis une semaine et en plus on jouait le jeux, pas un câlin, pas  un gode, pas un plug, pas une stimulation depuis une semaines entière, pas une caresse … Rien !


Je continuais à boire mon café pendant un long moment avant de me rendre compte que ma tasse était vide également.


Mathilde gémissait fort, de plus en plus fort. Les bras d'Ulysse se refermaient contre sont corps, écrasaient ses seins. Il gémissait lui aussi, puis complètement synchronisés ils étaient pris d'une sorte de convulsion. Ils poussaient quelques cris de plaisir, se raidissaient, se détendaient, tremblaient puis un liquide blanc coulait sur les couilles d'Ulysse. 


Je m’apercevais à cet instant que j'avais arrêté de respirer. Ça ne devait pas durer depuis bien longtemps je l'aurais forcément remarqué …


J'avalais encore une gorgée de café imaginaire et regardait Richard, il était dans le même état que moi.


Je décidais de me prendre une douche, mais une douche bien froide, dans mon état ça ne pouvait pas me faire de mal. Rapidement Richard venait me rejoindre. 


– Je vais craquer, me disait-il, je vais craquer !


Finalement il a craqué, mais pas ce jour là. Non il a craqué une semaine plus tard. 


Mathilde était passée nous voir, il lui a presque sauté dessus.


– Donne moi la clé, je craque, donne moi la clé !

– Et tu ne veux pas faire preuve de patience, tu sais qu'il y aura la queue d'Ulysse comme récompense. 

– Oui mais quand ?

– Encore quelques mois … Pas plus !

– MAIS TU VEUX MA MORT !


Mathilde était un peu joueuse, elle aimait bien rigoler et faisait durer le plaisir.


– D'accord mais tu me fais plaisir !

– Tout ce que tu veux Mathilde, tu veux que je fasse quoi ?

– Tu as de l'imagination toi dis donc ! Un garçon en manque et une superbe fille nymphomane … Réfléchis, fais un effort !


Richard fronçait les sourcil, il avait l'air de vraiment réfléchir, c'est pas ça qui lui donnait l'air intelligent mais bon …


– Tu parles de Charly ? S'exclamait Richard.


Mathilde se retournait vers moi … 


– Il est vraiment bouché quand il veut celui-là !

– Mais dis moi ce que tu veux . Gnnnnnnn ! Rajoutais Richard.

– Tu vas te mettre un gode ceinture, tu reviens et tu me fais jouir …


Richard regardait dans ma direction. 


– Oh oui Richard, fais moi plaisir, je veux voir ça ! Répondais je.

– Meuh … Ouin … Me répondait Richard, ça ressemblait à une sorte de couinement bizarre.


À aucun moment je n'avais imaginé qu'il allait dire oui. Il prenait un air penaud, baissait la tête devant Mathilde et lui répondait juste … '' Oui Madame !''. Mathilde pouffait de rire.


Richard disparaissait quelques instant et quand il revenait, il était à poil avec le gode ceinture solidement fixé sur lui. 


Et bien il l'a fait. 


Je ne reconnaissais pas l'animal, il s'approchait de Mathilde, déposais sur sa joue un tendre, un très tendre baiser. Puis c'était sur son cou, elle penchais la tête sur le côté et Richard déposait un baiser sur son cou.


Il descendait ensuite vers son épaule, tendait ses bras vers elle, la prenait par les hanches et avec douceur la tirait vers lui. Il l'embrassait longuement avec tendresse, elle semblait apprécier. Il faut se dire que Richard embrasse très bien. Je l'ai un peu pratiqué, un peu, beaucoup même … 


Il la  tirait doucement vers lui, elle le prenait dans ses bras, un peu surprise peut être, mais elle n'allait certainement pas louper une telle occasion. Quelques instants plus tard ils étaient allongé l'un contre l'autre sur le canapé, il peut se replier en lit en un geste. Ce n'était plus que tendresse, douceur, câlin.


Je regardais ça sans y croire, dans ma cage, je ne vous dis pas, ma queue protestait comme jamais. Deux semaines, c'était l'enfer et voir ces deux corps nus se caresser l'un contre l'autre, même si un des deux était celui d'une fille, me mettait dans un état … J'avais la tête en feu, je frissonnais, j'avais la chair de poule. Même mon cul criait au secours et je ne parvenais pas à savoir si c'était la place de Mathilde ou celle de Richard que j'avais envie de prendre.


Ça me perturbait dans ma tête cette histoire. Je regardait la scène, totalement incrédule. Richard caressait la poitrine de Mathilde. Il ne faisait pas de grimace, il ne piquait pas de crise de larmes et s’enfuyait pas en pleurant sa mère. La situation n'avait rien de normal !


– Qu'est ce qui se passe ici ? 


C'était Ulysse qui arrivait derrière moi. Il regardait la scène tout aussi incrédule que moi …


– Bein mince alors, on aura tout vu ! Rajoutait-il.


On regardait le spectacle sans trop comprendre.


– Mais qu'est ce qui lui prend ? Demandait Ulysse.

– À Richard ou à Mathilde ? 

– À Richard bien sûr. Mathilde on sait que Mathilde est nymphomane donc la question ne se pose pas pour elle. 

– Connard ! Lui répondait Mathilde sans même le regarder. 

– Mais c'était pas un reproche mon trésor ! Au contraire, j'aime bien que tu sois nymphomane moi.


Richard et Mathilde continuaient leurs ébats. Doucement il la pénétrait. Le gode qu'il s'était fixé entrait doucement dans le sexe de Mathilde, je devinais que Richard y allait avec une extrême douceur, il avançait en terre inconnue là.


Ulysse faisait la moue et relevait les sourcils, comme pour se convaincre qu'il ne rêvait pas. Il bandait, ça se voyait, je regardais ça de côté pour ne pas me faire remarquer. J'en profitais pour regarder si ça se voyait aussi pour moi. On ne voyait rien mais ça ne voulait pas dire que je ne bandais pas. Je vous jure, je bandais comme un malade mais je portais toujours le dispositif. 


Richard et Mathilde se lâchaient, il la renversait sur le dos et allongé sur elle la caressait l'embrassait, lui caressait les seins. Elle le retournait sur le dos et frottait son corps contre le sien s'empalait sur son gode. 


J'étais surpris de voir le calme d'Ulysse. Il attendait son tour en fait, il n'était pas calme il était seulement patient. Il savait qu'aujourd'hui encore il ne manquerait pas de sexe. Pour lui il se passait plus de jours avec sexe que sans.


C'était pas mon cas, depuis deux semaines c'était pas mon cas.


Mathilde gémissait de plaisir, Richard ne se laissait pas distraire, il continuait à lui donner du plaisir. Elle gémissait de plus en plus fort elle finissait par se laisser tomber sur lui, lui glissait un ou deux mots à l'oreille … Richard ne bougeait plus. Elle prenait tout son temps pour reprendre son souffle, se relevait, attrapait ses vêtements, et déposait sur le torse de Richard la fameuse clé. 


A voir le visage réjoui de Mathilde, elle devait considérer qu'il l'avait mérité. Elle se dirigeait vers la salle de bain immédiatement suivie par Ulysse.


Quelques jours plus tard, j'ai craqué à mon tour. Mathilde m'a donné ma clé sans me faire de misères. Je crois qu'en fait elle prenait un malin plaisir à taquiner Richard …


C'était il y a bien des années, je me souvenais de cette époque. Ulysse était là devant moi, il n'avait presque pas changé, ses deux amis étaient très sympathique et nous faisions connaissance.




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Anton Ep 10 De retour aux Grottes

 Anton Ep 10 De retour aux Grottes



Pour la première fois depuis le big bang, sur une idée de Junior, voici la suite des aventures de Anton ( Tooni ) . L'idée originale est de Junior, les cascades et la chorégraphie sont de Charly … ( toute similitude ou ressemblance avec des personnes existant ou ayant existe est absolument fortuite )


Bon là on va vraiment commencer à comprendre comment on fait les bébés … 


Tout le monde se préparait pour repartir aux grottes de non retour, dès le lendemain matin Tooni avait préparé une cargaison en une nuit, il était tellement heureux d'avoir un enfant. Bien sûr, Guss, ne lui avait rien dit mais c'était normal puisque c'était une surprise. Et lui n'avait rien dit à Addji. 


– Confirme moi Gus, si Maaro et Addji doivent se rendre aux grottes c'est bien pour avoir un enfant ?

– Tu n'as rien dit j'espère ? Lui répondait Guss.

– Non rassure toi Addji ne se doute de rien.

– Et notre demande à nous, tu as fait une demande pour avoir un enfant ?

– Oui j'en ai fait une et elle suit son cours.


Tooni repartait terminer les préparatif, il avait un très large sourire ravi, il avait compris que le soir même ils auraient fondé une famille. Il ne montrait rien pour ne pas décevoir Guss, il ferait semblant d'être surpris et cela ferait plaisir à son mari. 


Le matin ils prenaient la route, comme à chaque fois, il rencontrait une autre caravane qui venait d'un autre village puis encore une et c'est finalement un long convoi puis continuait jusqu'au début de l'après midi. 


L'arrivée aux grottes se passait comme d'habitude. On ouvrait une grotte, on y déposait de la nourriture, on refermait la grotte et on passait à la suivante. C'est Guss qui dirigeait les opérations, bien sûr Maaro ne restait pas la les bras ballants, il participait, il était lui aussi d'un très haut grade militaire. 


La première grotte était fermée, et on commençait à faire de la musique, c'était les couples qui s'en occupaient. Les autres passaient à la seconde grotte. Toutes les vivres avaient été réparties dans les différentes grottes, la torche dans la première puis peu après dans la seconde s'étaient éteintes. Guss rentrait alors puis appelait les couple les uns après les autres. 


Addji était venu rejoindre Tooni qui avait toujours un sourire béat. Il ne se doutait de rien et Tooni le distrayait, il pensait qu'ils seraient appelés en même temps que Addji ou qu'il serait peut être appelé un peu avant …


En effet Guss venait à appeler Maaro et Addji. Maaro regardait la réaction de Addji, lui il s'y attendait. Le visage de Addji s'illuminait soudainement, il hurlait de joie et courait dans la grotte, son époux l'attendait à l'entrée. Ils en ressortaient quelques instants plus tard, Addji tenais dans ses bras une sorte de paquet en tissus, il le tenait avec soin, c'était un paquet précieux et fragile. 


Avec une larme dans les yeux il venait présenter à Tooni le petit Maadji. Tooni était ému, ils se retrouvaient tous les quatre, Maaro, son époux Addji, le petit Maadji et Tooni. Ce dernier était tellement ému qu'il ne voyait pas le temps passer et quand il réagissait, la cérémonie du cadeau était terminée. Guss avait disparu, il était parti se branler dans la grotte, c'était la dernière partie de la cérémonie. 


Tooni paniquait, mais qu'est-ce qui s'était passé ? Il devait avoir un enfant ! Il avait bien compris les sous-entendus, les non dit. Il fonçait retrouver son époux dans la grotte. Il le retrouvait rapidement, il était en train d'éjaculer dans une coupe en verre. 


Tooni paniquait, il attrapait son époux …


– Il est ou ?

– Qui ça ? Mais de qui tu parles ?

– Il est ou ?


Tooni semblait à moitié fou, il courait partout dans la grotte, et regardait dans tous les coins. Guss le suivait.


– Ou est notre fils ? Finissait par demander Tooni.

– Mais de quoi parles tu ? Nous n'avons pas de fils, un jour mais …


Tooni regardait partout et sans prévenir s'enfuyait vers le fond de la grotte. Là c'est Guss qui paniquait, il le suivait en courant et en criant.


– Non Tooni ! Ne vas pas par là. C'est interdit et personne n'en est jamais revenu. 


Tooni avait disparu dans le noir, juste derrière lui Guss arrivait, il l'appelait mais sans crier.


– Je t'en supplie Tooni reviens vers moi, écoute ma voix, si nous allons trop loin nous ne pourrons plus revenir … Guss était profondément amoureux de Tooni et il parlait maintenant avec un sanglot dans la voix qui trahissait son inquiétude.


Gus continuait à avancer, rapidement il ne savait plus ou il était, il pensait qu'en revenant en arrière il trouverait la sortie. Il appelait de nouveau Tooni qui finissait par lui répondre. Il était juste derrière Guss. 


Ils se cherchaient de la main, ils finissaient par se toucher et se prenaient dans les bras. 


– Viens, nous allons repartir, ça doit être par là …

– Non c'est dans l'autre sens qu'il faut aller. Lui répondait Tooni.


En fait ils étaient perdus. Sur leur plus grande surface, les grottes n'étaient pas des grottes naturelles, elles étaient creusées, c'était plus des sous terrains que des grottes. Au loin ils voyaient des torches qui s'approchaient. 


– Nous sommes sauvés …


Guss faisait taire Tooni en lui mettant la main sur la bouche.


– Ce ne sont pas les nôtres. 


Étrangement la grotte n'était pas totalement obscure, nos aventuriers s'habituaient à cette très faible luminosité, les hommes qui se déplaçaient au loin avec des torches ne pouvaient pas voir loin, les torches les éblouissaient aussi Guss et Tooni restaient invisibles à leurs yeux. 


Ils étaient terrifiés, enfin surtout Guss, il était le seul des deux à être conscient de la situation ... Ils étaient prisonnier pour toujours dans des grottes d’où personne n'était jamais revenu. 


Ils essayaient de s'approcher du groupe d'hommes qu'ils avaient vu de loin, ils étaient bien plus nombreux qu'ils ne l'avaient cru au début. C'est donc avec beaucoup de prudence qu'ils essayaient de repérer la sortie en s'approchant d'eux.


Ils les ont perdu de vu, ils ont continuer errer dans les grottes, par moment ils avaient l'impression d'entendre des appels, on criait leurs noms … Puis c'est la fatigue et le désespoir qui prenait le dessus.


Tooni se blottissait contre Guss, le prenait dans ses bras.


– Pardonne moi Guss de t'avoir entraîné dans cette histoire.

– Je t'aime Tooni, nous allons nous en sortir.


Ça faisait des heures qu'ils marchaient dans un obscurité presque totale. Il y avait des pierres fluorescentes leur lumière était très faibles mais leur permettait de se diriger, même s'il quelquefois ils se heurtaient à des murs. Ils avaient faim, ils étaient épuisé. Ils décidaient de dormir un peu, ils se trouvaient un petit coin qui semblait en retrait et isolé. Et recouverts de la cape de Guss, il avait pris la plus grande c'était une chance, ils essayaient de reprendre des forces, s'installaient comme il pouvaient et se tenaient chaud l'un l'autre.


Ils parvenaient à dormir un peu, la douceur du corps de Guss réconfortait Tooni. Sa chaleur détendait Tooni et sa queue se réveillait dans son dispositif en ivoire de dentosaure ( Oui je sais j'insiste sur le truc mais vous imaginez … '' Ivoire de Dentosaure !!! ''. C'est quelque chose quand même ! ) . Bon je reprends !


La queue de Tooni forçait comme jamais, brusquement elle protestait, ce n'était pas franchement inconfortable mais Tooni était obligé de bouger pour réajuster son dispositif. Guss ne disait rien, Tooni regardait son visage, dans l'obscurité il ne distinguait que le contour de sa tête et encore, à peine, il ne pouvait pas savoir si Guss avait les yeux ouverts ou fermés. Guss ne bougeait pas mais Tooni était assez proche pour sentir que son époux bandait. Sa queue se réveillait. 


Ils ne savaient pas comment serait fait le lendemain mais l'instant était, pouvait être doux. Tooni penchait son visage en avant et avec douceur prenait la queue de son époux dans la bouche. Qu'allait-il leur arriver ? Ils n'en avait aucune idée mais il décidaient de partager un peu de réconfort.


La queue de Guss s'enfonçait avec douceur, il lui semblait que Tooni y mettait encore plus de cœur de d'habitude, un peu comme si ça pouvait être la dernière fois … Tooni prenait bien le temps de faire monter le plaisir en passant et en repassant sa langue sur le gland de Guss.


La queue bien lubrifiée il la lui caressait avec la main et le masturbait doucement, presque discrètement. Guss lui caressait la tête avec une grande douceur, Tooni avait les cheveux très courts et cette caresse sur sa tête presque nue lui réchauffait le cœur. 


La queue de Guss s'écrasait maintenant dans la gorge de Tooni. Tooni tenait la position sans difficulté, Guss retenait ses gémissements. C'était un réflexe, ils se laissaient aller mais il y avait toujours ce réflexe de protection. Il ne fallait pas se faire repérer. Mais le moral allait mieux. Ils étaient ensembles et c'était déjà à une bonne chose. '' On s'en sortira '' se disait Guss.


Tooni relevait la tête, puis la rabaissait. Guss relevait la tête en arrière et ça devenait dur de retenir ses gémissements Tooni lui donnait tellement de plaisir. Depuis leur mariage Tooni lui avait donné tellement de plaisir, et il l'aimait, il l'aimait tellement que c'est pour lui qu'il s'inquiétait. Lui c'était un soldat et il avait été formé pour se battre et résister et pour vaincre. Celui qui l'avait vaincu c'était son époux, c'était Tooni, et il se donnait à lui. 


Tooni relevait la tête et c'est le torse de son mari qu'il caressait maintenant. Il le mordillait, lui pinçait les tétons et les lui mordillait ensuite. Guss avait oublié ses problèmes, il s'était abandonné aux caresses de Tooni.


Tooni se relevait, enjambait Guss, tout se passait à tâtons. Chacun regardait le corps de l'autre du bout des doigts avec toute la douceur de ses caresses, chacun connaissait tellement bien le corps de l'autre.


Guss glissait ses mains sur les cuisses de Tooni, dans ses cuisses, il lui caressait les couilles, et s'amusait à lui tripoter sa cage. Ses mains glissait sur ses fesses et rapidement un doigt s'introduisait discrètement entre les fesses de Tooni puis dans son cul. 


Tooni s'accroupissait sur Guss, il se plaçait au dessus de sa queue et progressivement il s'appuyait et laissait cette très grosse queue le pénétrer. Il continuait à s'appuyer encore un peu et finalement se retrouvait assis sur la queue de son mari. Il refermait alors ses jambes dans son dos et se lâchait, il se donnait entièrement à Guss qui le serrait fermement dans ses bras.


Guss commençait alors à se balancer sur ses fesses d'avant en arrière. Sa queue massait alors lentement mais avec force le cul de Tooni mais aussi ses entrailles et Tooni vibrait de plaisir, par moment il avait des convulsions, il se contractait mais c'était toujours dans le silence. S'il devait soupirer c'était dans le coup de Guss, les lèvres s'étaient trouvées et les baisers étaient intenses, chauds, suaves, pleins d'amour.


Par moment les mouvements de l'un ou de l'autre devenaient plus violents, plus rapide, un peu moins contrôlé. Tooni jutais, il jutais abondamment. Tooni jouissait, sa respiration devenait plus forte et c'est la bouche de Guss qui le faisait taire, seuls quelques murmures pouvaient s'entendre mais dans le silence de la grotte le moindre bruit s'entendait de loin. 


Si quelqu'un s'approchait ils l'entendraient. Ce silence qui au début les inquiétait tellement maintenant les rassurait. 


C'est Guss qui maintenant réagissait le plus, ses mouvements s'accéléraient, ses bras se refermaient brusquement très fort sur Tooni et là, c'étaient les lèvres de Tooni qui le faisaient taire au moment ou il jouissais, au moment ou d'habitude il criait son plaisir. Il éjaculait avec force dans le cul de Tooni.


La tension retombait rapidement, plus personne ne bougeait et le silence redevenait de nouveau inquiétant. Ils se sont endormi. Ils se sont laissé aller et on pris un peu de force. La faim se faisait sentir et la soif devenait plus forte. 


Au moment ou ils se sont réveillé c'est l'inquiétude pour ne pas dire l'angoisse qui se réveillait avec eux. Ils ne savait plus du tout ou ils était et n'avaient pas la moindre idée de la direction à prendre.


On disait que ces grottes n'avaient pas de fond, qu'elles s'enfonçaient jusqu'au au centre de la terre ( Enfin, ça c'était la version des fantaisistes qui pensaient que la terre était ronde ). Nous savons qu'elle est plate, mais là on pouvait avoir peur que les grottes ne la traverse, ils arriveraient alors à un gouffre sans fond et tomberaient pour l'éternité. 


Ils se serraient l'un contre l'autre, Tooni ne parvenait plus à retenir quelques larmes de détresse, Guss ne montrait rien mais il n'en ressentait pas moins.


Ils ne savaient pas quelle heure il était et c'est poussé par la faim qu'ils décidaient de repartir. Une légère lumière leur indiquait une sortie. Ils avançaient vers cette lumière en oubliant les mesures les plus élémentaires de la prudence. Un instant ils pensaient avoir trouvé un moyen de sortir quand il se retrouvait face à un groupe d'homme différents d'eux qui avaient des torches. 


Ces hommes étaient plus petits et leurs voix était plus aiguë. Là leur sang s'est glacé dans leurs veines. Un instant Guss a pensé sortir son épée mais c'était une épée courte de parade. Ces hommes étaient plus nombreux et avaient des lances. Leur corps étaient plus menus mais ils avaient le nombre pour eux, et en plus ils connaissaient les lieux. 


Guss attrapait la main de Tooni et l’entraînait, il avait choisi la fuite. Il prenait un passage, les hommes les suivaient en criant. On pouvait entendre d'autres cris dans d'autres partie de la grotte. Guss et Tooni prenait un autre passage pui là ressentaient la douceur d'un filet d'air qui venait directement de l'extérieur. Gus entraînait son époux dans cette direction. 


Ils voyaient un groupe venir dans leur direction, ils se glissaient alors dans un recoin, ne bougeait plus et tentaient de faire le moins de bruit possible. Ils avaient l'impression que leurs battements de cœur allaient les trahir tant ils tapaient fort.


Le groupe est passé à quelques mètres d'eux sans les voir. Tooni a réussi à voir plusieurs de ces hommes. Ils étaient monstrueux, difformes. Leurs bras étaient minces, ils étaient de petite taille, enfin de taille plus petites, mais pas tous. Il n'avaient pas ou très peu de masse musculaire. Dans ce monde c'est ce que les homme regardent en premier chez les autres hommes, ce qu'ils regardent ensuite c'est leurs sexes … Et là, ils n'en avait pas. Tooni était terrifié.


Guss était resté écrasé le plus possible contre la paroi et n'avait rien vu. Dès que le groupe s'éloignait il entraînait son mari dans la direction opposée. Le léger courant d'air se précisait. Guss savait qu'ils allaient vers une sortie. La lumière se précisait, l'air aussi , maintenant ils sentaient l'air extérieur. Ils respiraient fort. La lumière devenait violente, ils étaient éblouis.


Guss et Tooni ressentait les pointes d'une demie douzaine de lances chacun, dans leur dos. Ils ne bougeaient plus.  Un de ces hommes s'approchait d'eux, ce devait être le chef. Il était terrifiant. Il avait la forme d'un homme mais ses muscles était très fin, c'était laid. En plus sa poitrine était anormalement gonflé, comme une musculature difforme et flasque. Les jambes aussi étaient fines ainsi que le ventre mais surtout … Il n'avait pas de sexe. Même pas une petite bite, rien on devinait qu'il n'y avait rien sous le kilt qu'il portait .



A SUIVRE …


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


Anton Ep 9 Altos le fiancé du gouverneur

 Anton Ep 9 Altos le fiancé du gouverneur



Pour la première fois depuis le big bang, sur une idée de Junior, voici la suite des aventures de Anton ( Tooni ) . L'idée originale est de Junior, les cascades et la chorégraphie sont de Charly … ( toute similitude ou ressemblance avec des personnes existant ou ayant existe est absolument fortuite )



C'était la vie qui continuait, un nouveau couple allait se créer, un nouveau mariage d'amour allait conduire deux amants vers le chemin du bonheur, de l'amour et du sexe … Même si sur ce dernier point, aucun n'avait attendu jusque là. 


Bon là je deviens romantique … Il va falloir que je fasse attention à ce que je raconte moi ( Note de L'Auteur ).


Bref un nouveau mariage qui obligerai une nouvelle grosse enculade … Bein oui, selon la tradition le parrain du mariage se devait d'essayer l'époux qui porterait le dispositif de chasteté … Les deux parrains avaient essayé Toony, il s'en souvenait bien le petit Tooni. Là ça serait pareil et comme son époux serait le parrain et qu'aucun des deux époux ne porteraient un dispositif de chasteté, Gus, après avoir essayé Altos allait essayer Atla … Ça ne serait certainement pas la première fois qu'il allaient s'enculer ces deux là, il ne faudrait pas oublier qu'ils avaient fait leurs classes ensemble !


C'est une pensée qui amusait Tooni, il n'avait même pas peur le petit Tooni. A ça non, il n'avait plus peur de se faire défoncer le cul maintenant. Et ça n'a pas traîne. 


Le lendemain il se réveillait tard, Guss n'était pas là, Tooni se réveillait seul dans son lit. Le soleil était déjà haut dans le ciel. Il se levait et sans prendre la peine de s'habiller partait voir ce qui se passait dans la maison. Un serviteur lui proposait le repas du matin, il était rejoint par Altos. 


– Salut Tooni tu as bien dormi ? 


Tooni répondait en hochant la tête.


– Atla n'est pas là ? Je ne comprend pas ce qui se passe ce matin, Guss n'était pas là non plus .

– Ils sont ensemble, ils sont à la caserne. Alors comment tu as trouvé hier ?

– Hier ? 

– Bein oui hier, tu t'es pris la grosse bite d'un gouverneur dans le cul. Remarque moi j'ai bien aimé Guss, il a une grosse bite aussi. Maintenant ça va être à moi de t'essayer. Pas trop peur ?

– Moi ? Même pas peur. S'exclamait Tooni.


Voilà une manière de présenter les choses qui avait au moins l'avantage d'être directe et claire ...


Ils étaient là dans la salle à manger, tout les deux entièrement nus. Tooni ne portait que le petit truc qu'il ne pouvait pas retirer, ce petit bijou en ivoire de Dentozaure, ( non mais vous vous rendez compte, en ivoire de … Ça va je l'ai déjà faite celle là ! … Note de L'Auteur ). Il n'empêche que ce truc avait un succès, il n'était pas seulement très beau, il était très luxueux . ( Ce qui explique que j'ai encore du mal à m'y faire … toujours Note de L'Auteur ). Avec, il ne pouvait plus bander, il ne pouvait plus qu'être passif, l'objet avait de la gueule mais pas seulement, il était confortable, il était toujours à la température du corps, très léger, très solide, et tout le monde le trouvait terriblement sexy. 


Il bandais dans son dispositif de chasteté le petit Tooni, il bandant en regardant Altos, surtout que précisément … Altos aussi bandait, mais là ça se voyait. Sa queue, qui déjà au repos n'était pas une petite chose, se relevait devenait plus grosse, plus dure et devenait une chose énorme. Elle était plus petite que celle de Guss, celle que Tooni se prenait dans le cul régulièrement mais ça pouvait impressionner. Enfin Tooni ne se laissait pas impressionner. 


Il admirait le spectacle, Altos était très beau, très bien musclé et le savait, il bandait ses muscles, les uns après les autres en regardant Tooni d'un coin de l’œil. Voyant cela Tooni faisait la même chose, il ne faudrait pas oublier que le petit Tooni était très bien bâti lui aussi, il avait des muscles un peu partout lui aussi, il avait seulement une petite bite mais elle était en cage. 


Altos s'allongeait sur le dos au milieu de la salle, il y avait un tapis bien épais, sa queue s'allongeait bien en long sur son ventre. Elle continuait à durcir et à ce moment elle ne touchait plus son ventre. C'est à ce moment que Tooni décidait d'intervenir. Il venait s'installer sur les genoux de Altos, il le chevauchait, ses genoux posés à l'extérieur de cuisses d'Altos il se penchait sur lui et le caressait, il couvrait son ventre de baisers. 


Altos attrapait un coussin qu'il glissait sous sa tête, ainsi il relevait la tête il avait un grand sourire ravi. Il se contentait de regarder Tooni qui lui faisait un gros câlin.


Tooni promenait son visage sur tout le corps d'Altos, il y déposait un baiser. Il était parti du torse et progressivement il descendait vers le ventre, vers le nombril d'Altos. Il arrivait enfin au niveau du sexe. Là tranquillement sans aucune hésitation, il prenait la queue de son invité dans la bouche, il pompait son partenaire avec une grande habileté et Altos se laissait aller. Il passait les mains derrière la tête et se contentait de regarder et de gémir de plaisir de temps en temps.


Tooni avait été bien formé avec Guss, il savait maintenant sucer une grosse queue avec une étonnante facilité. Il l'avait déjà montré à Atla maintenant il pouvait en faire la démonstration à son futur époux.


Quand Altos réagissait, c'était pour appuyer avec force sur la tête de Tooni et sa queue lui rentrait alors profondément dans la gorge. Tooni suffoquait, il voulait résister, relever la tête mais il manquait d'appuis et il restait coincé dans cette position, il ne pouvait même plus respirer mais Altos ne voulait pas le tuer, il ne lui voulait aucun mal et le relâchait.


Tooni relevait la tête, il était tout rouge et reprenait son souffle. 


– Tu abuses là Altos je trouve !


Tooni pouvait se permettre de parler d'égal à égal avec cet officier, il le faisait déjà avec son époux. Alto rigolait …


– Si on ne peut plus rigoler maintenant ! Alors qu'est-ce que tu vas dire quand je vais t'enculer ?


Il faisait quelques signes à Tooni, pour qu'il se mette à quatre pattes. Tooni peut parler d'égal à égal avec un officier mais quand il s'agit de sexe, quant les choses deviennent sérieuses, c'est un peu différent. Là, Tooni se penche en avant et propose son cul. 


Et en plus il adore ça !


Alto s'approchait, il caressait doucement le dos de Tooni, il lui massait les épaules, une main s'égarait sur son ventre, elle s'égarait sur sa cage, elle la tripotait et la secouait avec force.


Alto s'appuyait sur le dos de Tooni, l'embrassait dans le cou, sur l'épaule et le serrait fort dans ses bras. Il continuait à s'amuser avec son dispositif de chasteté. Tooni s'en amusait aussi et ne savait pas ou Alto voulait en venir jusqu'au moment ou il a senti sa queue énorme s'enfoncer dans son cul. 


Alto y allait avec une certaine douceur mais il y allait avec force tout de même. Bien lubrifiée, il enfonçait sa queue en poussant lentement mais fermement. Ça ne résistait pas, avec Tooni ça ne résiste plus, et cette grosse bite disparaissait entre les fesses de Tooni. Oh je vous rassure, elle ne disparaissait pas bien longtemps. Quelques instants plus tard elle réapparaissait puis disparaissait de nouveau, plus vite, encore plus vite. Alto limait vigoureusement Tooni qui ne cachait pas son plaisir et râlait et gueulait de plaisir. 


Alto se retirait totalement, c'était pour remettre un peu de lubrifiant et y retourner. D'un coup violent il enfonçait sa queue bien à fond, son ventre claquait sur les fesses Tooni qui se contractait, il encaissait mais il avait du mal par moment. 


Alto passait son bras autour du cou de Tooni et le relevait, il se retrouvait alors à genoux, le dos cambré, cette position n'est pas la plus confortable pour se prendre une grosse bite dans le cul, et Tooni avait donc encore un peu plus de mal. Alto continuait à enfoncer sa queue et à la retirer avec encore plus de force.


Il était concentré Alto, il montrait un front volontaire. Tooni lui, faisait une grimace qui lui déformait le visage. Souffrait-il ou jouissait-il ? Quelquefois ce n'est pas facile de faire la différence. Il est vrai aussi que l'orgasme n'est pas toujours très loin de la douleur, en tout cas par l'expression qu'il provoque. Ce qui était sûr c'est que Tooni la sentait passer cette grosse bite, il la sentait lui écarter les fesses et lui défoncer le cul, son visage était horrible à voir mais comme il ne tentait même pas de se dégager on pouvait supposer qu'il devait aimer, il devait jouir même.


Alto donnait des coups toujours très violent, il ne retirait que très peu, la position verticale, à genoux mais verticale, ne le lui permettait pas. Mais quand il revenait, quand sa queue s'enfonçait dans les entrailles de Tooni, il poussait son ventre contre les fesses de Tooni, il poussait de toutes ses forces. 


Tooni finissait par laisser tomber sa tête en arrière, elle s'appuyait sur l'épaule de Alto qui l'embrassait alors dans le cou, avec beaucoup de tendresse et de douceur. Ses lèvres étaient toute douceur, sa queue était totale violence …


Un serviteur entrait dans la salle, il venait sans doute faire du rangement. Tooni le regardait avec un œil vide, ne disait rien. Le serviteur voyant la situation faisait demi tour et repartait sans rien dire, sans se faire remarquer. C'est ainsi que marchaient les choses dans la maison du chef de la caserne.


Tout se passait normalement.


C'est Alto qui gémissait maintenant, Tooni le sentait trembler et son souffle s'accélérait, devenait plus fort. C'est là qu'il a crié de plaisir, plusieurs fois en éjaculant dans le cul de Tooni, les derniers coup de bassin étaient particulièrement violents et Tooni aussi à crié. Puis tout le monde se calmait. Leurs muscles se détendaient, la queue de Alto ressortait et pendait lourdement juste sous les fesses de Tooni qui se mettait à juter avec une grande abondance. Il jutait, il n'éjaculait pas, c'était un flot ininterrompu qui coulait de sa cage en ivoire de dentozaure, il avait encore quelques convulsions, quelques tremblement puis se laissait retomber sur le sol. 


En se relevant Alto lui donnait une claque sur la fesse. 


Tu es un bon coup toi ! Je comprends pourquoi Guss t'as choisi, et tel que je le connais, il a du t'essayer avant … Non ?


Tooni ne répondait pas mais rigolait à ce dernier commentaire.


Alto était en sueur, il allait se tremper dans la baignoire ou Tooni le retrouvait un peu plus tard. Quand ils en sortait tout avait été rangé, il ne restait plus aucune trace de leur petite sauterie. 


Alto partait vers la caserne, après s'être habillé je vous rassure, il avait passé un harnais en lanière de cuir cloutées, une ceinture qui portait son glaive et une cape. Il n'allait quand même pas sortir à poil. 


Tonni enfilait une tunique très courte et se rendait au champ, il fallait bien qu'il s'en occupe un peu, c'était quand même lui le patron.


La journée se passait tranquillement. Addji passait voir Tooni pour le repas du midi.


– Nos deux époux ont décidé de manger à la caserne mon pauvre Tooni, on nous oublie, on nous délaisse …

– Tu noircis la situation là Addji.

– Profitons en ! Je t'invite à la taverne du Coq Au Vin, on va manger entre nous, en célibataires.

Tooni rigolait à ce commentaire mais acceptait avec plaisir. Ils s'y rendaient, on leur proposait une table très bien placée. 


– J'ai entendu tout à l'heure à la caserne, un courrier vient d'arriver, c'était la liste des nouveau pères éligibles. 

– Intéressant. Mais tu sais ce n'est pas le moment pour faire la demande, Gus en parlait l'autre jour …

– Oui je sais mais rien que d'y penser, surtout qu'on m'a demandé d'accompagner le convois, je sais que ce n'est pas le moment mais un jour mon tour viendra.

– Je suis sûr que tu seras un très bon père le jour ou tu seras éligible. 

– Guss aussi y sera, et il voudrait que tu nous accompagne.


Dans la tête de Tooni le message était clair. Maaro et Addji étaient tous les deux éligibles et sans le savoir Addji l'informait que lui et Guss aussi. 


Il allait être père, il cachait son bonheur, il avait promis de ne rien dire à Addji, mais il était terriblement content. 


– Tu m'as l'air plus souriant Tooni. 

– C'est ce merveilleux repas ! Répondait Tooni.

– Ce ne serait pas plutôt ce merveilleux vin … Il n'est pas de la région ?


–  Vigne princière. Annonçait  avec force le serveur du restaurant qui était juste derrière eux. Je suis heureux de voir que vous savez apprécier messieurs !



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Anton Ep 8 Le gouverneur

 Anton Ep 8 Le gouverneur



Pour la première fois depuis le big bang, sur une idée de Junior, voici la suite des aventures de Anton ( Tooni ) . L'idée originale est de Junior, les cascades et la chorégraphie sont de Charly … ( toute similitude ou ressemblance avec des personnes existant ou ayant existe est absolument fortuite )



Tooni le confirmait, il souhaitait avoir un enfant. Guss n'était pas aussi convaincu.


– Nous ne sommes pas mariés depuis bien longtemps. Lui répondait Guss.

– Et tu ne peux vraiment rien faire ?

– Tu ne veux pas qu'on attende un peu, qu'on prenne le temps …

– Si c'est ce que tu souhaites … Finissait par lui répondre Tooni qui ne cachait pas sa déception.


Pourtant tout se passait bien entre Tooni et Guss depuis leur mariage. 


Guss n'en avait jamais parlé pourtant lui aussi pensait à avoir un enfant. Il aurait voulu un beau garçon, vif, fort, qui pourrait lui aussi faire une belle carrière dans l'armée … Mais s'il avait une petite bite ?


On ne choisi pas son fils ! Et un fils ne ressemble pas forcément à ses pères, parfois même à aucun des deux. Mais bon, c'était toujours un risque, une possibilité à accepter. Il finissait par se décider sans en parler de nouveau à son mari Tooni. Il faisait une demande officielle, il en faisait même deux il y avait son camarade Maaro qui souhaitait aussi avoir un enfant. 


Les deux dossiers étaient envoyés au gouverneur. Il connaissait personnellement le gouverneur, ils avaient fait leurs armes ensemble, le gouverneur était un solide gaillard ( un vingt deux, je dis ça au cas ou quelqu'un  se demande la différence entre un commandant de caserne et un gouverneur ). Mais ils étaient restés très proches. 


En moins d'une semaine le gouverneur répondait à Guss. 

'' J'ai appuyé au mieux ta demande, je ne sais pas pour le moment ce que ça va donner. Je suis encore désolé de n'avoir pas pu venir à ton mariage, mais comme tu sais des obligations professionnelles m'avait appelé dans les provinces du Sud. Je passerai te voir prochainement, j'aimerais bien être présenté à ton mari … ''.


L'affaire devait suivre son cours, plus personne ne pouvait intervenir.


Plusieurs semaines plus tard, le gouverneur écrivait à son ami Guss pour l'informer de sa visite. Il lui demandait de ne pas lui faire de réception officielle, de ne lui réserver qu'une cellule mais si possible avec un double lit. Il viendrait avec son fiancé. 


Aussitôt Guss envoyait un message à Tooni pour qu'il tienne une chambre prête, une grande chambre. On ne sait jamais quand un gouverneur vas arriver, c'est comme ça, il faut s'y faire ça peut être le jour même ou le mois suivant.  Bon d'accord le gouverneur avait dit '' pas de réception officielle ... juste une cellule … '' . Tout le monde sait qu'il y a des demandes qu'il ne faut pas écouter … Rapidement une grande chambre était prête, Toomi savait s'y prendre pour recevoir quelqu’un d'important. La chambre était luxueuse, il avait même une douche, une grande terrasse qui donnait sur le jardin et plus loin sur la ville on apercevait la caserne.


C'est dans la matinée quelques temps plus tard que le gouverneur avec ses gardes arrivait. Il y avait quatre soldats armés, qui étaient impressionnants et un officier qui les dirigeait. Les gardes de la caserne le reconnaissaient tout de suite, il demandait à voir le commandant.


Le gouverneur Atla avait les mêmes goûts vestimentaires que son ami Gus, il portait une très belle cape, un harnais en cuir et un kilt très cour. Il avait une très grosse queue, et même au repos elle pendait très visible sous le kilt. On ne voyait que ça, il en était fier, et prenait le plus grand soin d'oublier de la dissimuler. Son fiancé Altos était un beau gaillard bien large, il portait le même type de vêtement que le gouverneur, il avait une queue un peu plus modeste mais restait dans les gros calibres.


– Excellence, lui répondait Maaro, le matin notre commandant est à son domicile, c'est là qu'il reçoit et assure les affaire courantes, j'assure le commandement en son absence. 

– Et c'est loin, nous avons fait beaucoup de route …

– Je vais demander à mon mari de vous accompagner.


Addji arrivait, sautait sur un cheval et conduisait le Gouverneur. Pendant le trajet, ils faisaient connaissance. Addji se présentait.


– Je suppose que tu connais le mari de Gus alors ? Demandait le gouverneur. 

– Nous sommes très bons amis Tooni et moi, on se voit tous les jours. 


C'est donc sans prévenir que Atla arrivait avec tout son équipage à la maison de Guss. Il était en plein travail notre ami Gus. Le gouverneur ne se faisait pas annoncer, il entrait, son grade, son cran, sa situation lui donnait bien des privilèges. 


En le voyant Guss poussait un cri de joie, celui de revoir un vieil ami. Il se donnaient l'accolade. Guss déléguait à ses secrétaire le travail administratif qui restait. Et entraînait son ami dans ses appartements privés. 


Là il présentait Tooni, on présentait Altos. Et on discutait.


Tooni était avec Addji et était rapidement mis au courant de tout. C'est lui qui recevait, c'est lui qui supervisait le service … 


Guss, Atla et son fiancé Altos s'étaient mis à l'aise. Entendez par là qu'ils étaient entièrement nus. Tooni et Addji se tenaient légèrement en retrait mais sans pour autant se retirer et ils participaient même à la discussion.


Plus tard il passaient à table, le bureau de Guss fermait. Ce bureau n'est ouvert que le matin, l'après midi tout se passe à la caserne. 


– Voilà, commençait Atla ( le gouverneur ), je voudrais que tu sois le parrain de mon mariage !


Altos confirmait avec un grand sourire.


– Il me parle souvent de toi tu sais Guss. 

– Ce serait un honneur pour moi ! Répondait Guss. Les fiançailles ont-elles été proclamées.

– Pas encore, mais si tu veux … Lui répondait Atla .


Guss était très amusé de la situation. Il se retournait alors vers Altos. 


– Bien Capitaine Alto, acceptes-tu d'épouser notre gouverneur Atla ?

– Oh que oui ! Répondait Alto. 


Tout le monde rigolait, les questions suivaient mais quand il arrivait à la question …


– Acceptes-tu de porter un dispositif de chasteté ?


Tout le monde éclatait de rire.


– Mais enfin ! Rajoutait Atla en riant. Il est des nôtres et il est un beau dix-huit , ( une grosse bite pour ceux à qui les chiffres ne disent rien ). Je ne vais pas lui faire porter un tel dispositif, ce serait déplacé. Je vais lui offrir un glaive en acier de Terrafer … Pas une dispositif de chasteté !


Guss sifflait d'admiration en entendant cette réponse, et se retournant vers Alto.


– Mais c'est qu'il va te gâter !

– Il reste une petite formalité entre nous deux, rajoutait Altos.


Il se levait, il était beau, vraiment beau. Musclé comme un dieu grecque, mais avec une grosse queue. Addji et Tooni faisaient des yeux tout ronds. Ils avaient l'un comme l'autre aussi bien à la maison mais ça leur faisait toujours de l'effet de voir un mec très musclé et monté comme un âne s’exhiber, surtout qu'il était nu. 


Guss se levait et prenait dans ses bras Altos, il l'embrassait avec passion. Tooni se sentais tout drôle, ces baisers d'habitude lui sont réservés, ces caresses aussi. Altos se penchait et prenait dans sa bouche la très belle queue de Guss, il bandait mou à moment mais déjà sa queue était impressionnante. Ça n'impressionnait pas Altos, il avait mieux à la maison, enfin quand je dis mieux je veux dire plus gros. Pas beaucoup plus gros, mais plus gros tout de même.


Altos se mettait à genoux, lui il bandait ferme maintenant. La queue de Guss entrait et ressortait de la bouche de Altos. À chaque mouvement elle semblait plus grosse. Et quand elle s'enfonçait jusque dans la gorge, on voyait un renflement se marquer au niveau du cou.


Altos savait s'y prendre, il n'en était pas à son coup d'essais mais c'était toujours impressionnant à voir, et ça demandait toujours de la concentration et du sang froid pour enfiler un truc pareil en entier. Tooni en savait quelques chose, il le faisait presque tous les jours maintenant . 


Tooni était retourné, c'était son mari qui se faisait sucer la queue. Bon, c'était permis, il n'y avait pas tromperie, il était le mâle dominant et tant qu'il n'exagérait pas on ne pouvait lui faire aucun reproche. Il était comme hypnotisé en regardant la scène. 


Une main lui caressait le visage. Il relevait la tête, c'était le gouverneur Atla qui s'était rapproché. Il bandait et présentait sa queue juste sous le nez de Tooni. 


Tooni aussi bandait dans sa cage en ivoire de dentosaure, rien ne paraissait, rien ne dépassait. Tooni prenait la queue de Atla avec une certaine facilité, il voulait montrer ce qu'il savait faire et l'avalait jusqu'au fond de sa gorge en un mouvement rapide. Atla poussait un cri de surprise autant que de plaisir. Et voyant cela, lui prenait la tête fermement entre ses deux mains avant de lui limer la bouche avec force. Il appuyait sur la tête de Tooni qui regrettait déjà d'avoir été aussi rapide, car déjà il ne contrôlait plus rien.


C'est avec une certaine douceur que Guss plaçait une main derrière la tête de Altos et le guidait, l'incitait à aller toujours à fond, l'incitait à lui prendre la queue jusqu'à la gorge. Guss aussi gémissait de plaisir et faisait durer le plaisir. 


On n'entendait plus que des bruits de succion et des gémissement de plaisir. 


Guss demandait à Altos de se relever et de se retourner. Il s'exécutait. Guss lui lubrifiait généreusement le cul avant de lui enfoncer sans prévenir sa queue bien à fond. Alto a poussé un cri, surprise, douleur, c'est vrai qu'il y allait un peu fort le Guss. Sans attendre il lui limait le cul, avec force, il se retirait et revenait à fond avec vigueur, avec vitesse.


Altos râlait, il râlait fort, mais il laissait faire. Il n'avait pas un geste, pas le moindre réflexe de se dégager. Il encaissait et s'il passait sa main dans son dos, c'était pour caresser le corps de Guss.


Atla regardait ça, il était de plus en plus excité, il limait maintenant très fort la gorge de Tooni qui ne pouvait que pousser des cris rigolos ou tousser quand on lui libérait la bouche. Atla le retournait sur le dos, allongé sur un sofa, lui relevait les jambes, les lui repliait sur le ventre, et le pénétrait sans ménagement. Tooni était couché sur le côté et serrait les dents et les points. Il l'a senti passer là, mais il ne serrait pas les fesses, surtout pas, c'était pas le moment. Le ventre d'Atla frappait fort et claquait sur les fesses de Tooni qui maintenant hurlait. Il éprouvait bien du plaisir mais pas que … Pourtant il en redemandait !


Puis on avait l'impression que Guss et son copain Atla faisaient un concours, celui qui taperait le plus fort. De violents coups de butoir se faisaient entendre, ils étaient accompagnés par les râles que poussait ceux qui les donnaient et les gémissements poussés par ceux qui les recevaient .


C'étaient maintenant des cris de plainte, par moment presque des pleurs que poussaient Tooni et Altos, ils en prenaient plein le cul tous les deux. Une différence quand même, les coups que recevait Altos, il les rendrait, lui, il pourrait les rendre. C'était un couple de grosses bite qu'il allait former avec Atla, aucun des deux ne porterait de dispositif de chasteté, les deux étaient actif. Mais ça voulait dire aussi que la cérémonie de l'essayage, précisément ce qu'ils faisaient là, était double … Après avoir été essayé par Atla, Tooni serait essayé par Altos. 


Maintenant il hurlait de plaisir le courageux Tooni. Il en redemandait. Atla se retirait, Tooni semblait pleurer, il s'allongeait sur le dos et demandait à Tooni de venir s'asseoir sur lui. Tooni s'exécutait, il prenait position et commençait à s'empaler sur la queue du gouverneur. Celui-ci soulevait avec force son bassin, sa queue entrait avec violence dans le cul de Tooni qui était déjà bien dilaté. Atla lui tirait les pied et c'est de tout son poids que Tooni s'écroulait et s'empalait sur la queue de Atla. Il hurlait de nouveau. 


Guss et Altos ne bougeait plus, ils se calmaient et regardait le spectacle. Tooni semblait paniquer, Atla continuait à donner des coups de bassin de plus en plus rapide et Tooni s'agitait, il remuait les bras dans le vide, il gémissait, il pleurait, il criait, il en redemandait. Il jutait maintenant abondement sur le ventre du gouverneur qui ne se calmais pas.


Sans prévenir Guss reprenait ses mouvements, rapides et violents. Il sentait dans ses bras le corps de Altos se contracter. Alto jutait, Alto jouissait en hurlant de plaisir, son cul se contractait et Guss surpris par cette réaction éjaculait dans le cul du Capitaine Altos.


Atla aussi jouissait et jutait, puis il ne bougeait plus. Tooni était toujours empalé sur lui et ne bougeait plus, il avait l'air un peu embarrassé et ne savait plus trop comment se dégager. Il manquait d'air Tooni, il manquait d'air et sanglotait. Il ne savait même plus s'il se sentait bien ou s'il se sentait mal, il était sonné.  


Quelques minutes plus tard, Tooni était allongé sur le sol, Atla juste à côté lui caressait le torse. 


– Tu encaisses bien toi, Mon ami Guss t'a bien formé, tu es un bon coup tu sais, bravo.


Guss prenait l'air sur la terrasse, il retrouvait son souffle et se rafraîchissait. Alto récupérait, lui aussi allongé sur un tapis sur le sol. Guss prenait la parole ...


– Je confirme la validation des fiançailles. Le mariage pourra être consommé !


Tout le monde éclatait de rire. Il n'y avait que Addji qui ne bougeait pas, il était là au milieu de la salle, il était immobile, un peu sonné lui aussi, il avait chaud, il était en sueur. 



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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