L'hôtel du désert EP 07 : Départ en perspective

 L'hôtel du désert

EP 07 : Départ en perspective




Il était tôt, Brice retournait se coucher, il était rapidement rejoint par Johnny qui était encore très fatigué de la veille. Il devait être trois heures du matin quand il était rentré … la veille au soir … ou … le jour même au matin … J'hésite là ? … Enfin quant il était rentré se coucher, et en plus il avait picolé !


Il retombait dans les bras de Brice et les deux jeunes hommes s'endormaient paisiblement tendrement enlacés. 


Brice sentait comme une pression sur le lit juste à côté de lui, il ouvrait un œil et découvrait le sourire d'Alice. 


– Et bien les garçons, vous vous êtes bien amusés on dirait ! S'exclamait Alice en les trouvant ainsi. 


Brice souriait, probablement un peu bêtement à Alice qui lui donnait un baiser. Elle se glissait juste à côté de Brice. Johnny, ronchonnait et comme il ne voulait pas se réveiller il se blottissait dans un coin du lit et continuait sa nuit. 


Alice et Brice se serraient l'un contre l'autre, s'embrassaient, se caressaient et rapidement Brice bandait. Alice en profitait pour lui sucer la queue ce qui ne le calmait comme vous vous en doutiez. Il glissait sa main contre la peau de sa maîtresse, sous ses vêtements. 


Quand elle se relevait, d'un geste rapide elle enlevait son T-shirt, Brice regardait ça avec de grands yeux bien ouverts. Elle n'avait pas de soutient gorge et dévoilait ses deux seins qui se tenaient bien. C'est avec un grand sourire que Brice les lui caressait, c'est avec un plaisir non dissimulé qui appréciait la douceur de cette peau. 


Alice lui caressait la poitrine, quand elle se penchait en avant c'était pour y déposer des baisers. Quand Brice se relevait c'était pour embrasser les deux seins d'Alice. Il les lui caressait également avec douceur, il ne disait rien. Elle ne disait rien non plus.


Elle terminait de se déshabiller rapidement et s'allongeait tout contre Brice. Tout naturellement ils se prenaient dans les bras, tout simplement ils s’enlaçaient. Ils s'embrassaient, c'est Brice qui en premier couvrait de baisers tout le corps de sa compagne. Il prenait bien le temps de s'attarder sur ses épaules en passant doucement le dos de la main sur sa poitrine, puis il s'attardait sur ses seins, il les caressait et les chatouillait avec le bout de son nez … Elle frissonnait. Brice s'en réjouissait. 


Il continuait ensuite vers le nombril, le ventre et avec passion plongeait son visage entre les cuisses qu'Alice écartait pour lui laisser la plus grande liberté. C'est toujours avec sa bouche qu'il continuait à lui donner du plaisir. Elle lui caressait les cheveux, se tortillait dans tous les sens, écartait les cuisses, ne cachait pas son plaisir.


Johnny ronchonnait dans son coin !


Quand Brice relevait la tête c'était pour continuer à couvrir de baiser le corps de sa maîtresses, elle était allongée sur le dos, offerte à son plaisir ( le sien et Brice n'était là que pour cela, pour elle ). Quand leurs lèvres se retrouvaient de nouveau. Brice pénétrait Alice, doucement, avec force mais une infinie tendresse. Elle refermait fermement ses jambes dans le dos de Brice et le retenait bien serré contre elle. 


Il se laissait retomber sur Alice, se retenant juste suffisamment pour ne pas l'écraser, pour ne pas lui faire mal. Et pendant qu'il la couvrait de baisers, il exécutait un mouvement de va et vient très doux. C'est à peine s'il reculait son bassin, c'est à peine si sa queue ressortait du corps d'Alice et c'est à peine s'il semblait avoir bouger plus quand il s'appuyait de nouveau contre Alice, son ventre contre son ventre, son sexe bien à fond dans celui de d'Alice. 


Elle suivait Brice par un mouvement du bassin identique. Elle gémissait de  plaisir, elle le retenait contre elle avec force et seuls les baisers passionnés qu'ils échangeaient faisaient taire leurs gémissements.


Johnny ronchonnait de nouveau '' C' .. quoi c.. bordel ! … peut p… dormir tranquille ici '' … Personne ne faisait attention à lui !


Brice et Alice roulaient l'un sur l'autre mais se retenaient toujours avec force. Aucun des deux ne voulait lâcher l'autre, la fièvre montait les mouvements devenaient plus rapides même s'ils n'étaient pas plus amples. C'est toujours avec plus de force que les deux corps se retenaient, se serraient et pour finir, dans des gémissements bruyants ils jouissaient tous les deux, il partageaient ensemble ce plaisir et ça s'entendait.


Johnny se retournait . '' Vous faites vraiment chier là, pouvez pas faire ça ailleurs. J'aimerais bien dormir moi ''. La encore personne ne s'occupait de lui.


Alice et Brice ne voulaient pas se lâcher et continuaient à se câliner …  Quand il se décidaient enfin à se séparer, Johnny s'était rendormi, Brice ne bandait plus, Alice avait un sourire radieux. Bref tout le monde était content.


Johnny ronflait, Alice et Brice se levaient. Ils se rhabillaient en prenant toutefois le temps de se taquiner puis sortaient.


Brice était surpris par la puissance du soleil !


– Mais il est quelle heure ? S'étonnait Brice.

– Bientôt l'heure du dîner ! Lui répondait Alice.

– Déjà ?

– Mais vous avez fait la fête ou quoi hier ?

– Johnny oui mais moi j'ai été sage !

– Et bien ça ne se dirait pas !


Brice suivait Alice qui allait vers le restaurant de l'hôtel. C'est bien plus tard que Johnny arrivait à son tour.


– Mais vous faisiez quoi tout à l'heure ? Vous m'avez réveillé, j'arrivais plus à dormir moi ! Leur demandait Johnny.


Alice pouffait de rire en entendant ça.


– Tu ronflais quand on est parti ! Lui répondait Alice.

– Je ronflais ! Moi ? Alors là ça m'étonnerais j'ai pas pu me rendormir après ! Vous n'arrêtiez pas de bouger et de faire du bruit ! Continuait Johnny en râlant.


Brice aussi le regardait d'un air amusé.


– J'ai mal au crâne moi ce matin! Se plaignait Johnny.

– Mais qu'est-ce que tu as picolé hier ? Lui demandait Brice .

– Ahhh ! Gémissait Johnny, ( il portait sa main à sa tête ) Ne me parle pas de ça, je ne sais plus, tout ce que je sais, c'est qu'à la fin il y avait des bouteilles vides partout !

– C'est pas aujourd'hui que tu vas regarder ma voiture ? Disait Brice d'un air distrait .

– Si au contraire, pas de problèmes, je m'y mets dès demain … Mais au fait on n'a pas reçu les pièces. Lui répondait Johnny.

– Mais si, elles sont arrivées !

– Tu es sûr ?

– Oui , j'en suis sûr !

– Je ne savais pas ! On ne me dit jamais rien à moi ! Et qui les a réceptionnées ?

– Toi !

– Tu es sûr ?

– Bein oui, j'étais là !

– Je crois que je ferais mieux de retourner me coucher moi ! Finissait par conclure Johnny.


La journée passait lentement, Brice partait faire un grand tour en moto. Johnny retournait se coucher et Alice faisait le service au restaurant.


Les jours qui suivaient passaient lentement. Johnny avait reçu les bonnes pièces cette fois et il les installaient. C'était un gros travail et il était seul, et pas toujours rapide non plus au travail, il lui fallait trois jours pour terminer la réparation et faire une révision totale de la voiture. 


C'est vrai que la révision n'était pas prévue mais c'était aussi et surtout un moyen de retarder le départ de Brice. Ça faisait maintenant quelques semaines qu'il était là et tout le monde s'était habitué à sa présence, tout le monde s'était attaché à lui. 


Cathy, la mère de Johnny ne disait rien mais elle aussi s'était habitué à la présence de Brice et elle savait qu'il lui manquerait. Son départ était imminent !


Johnny arrivait dans la salle de bar, il regardait Brice avec un petit sourire de travers, il n'avait pas envie de le voir partir mais il fallait bien lui rendre sa voiture .


– Ta voiture est prête !

– Vrai ! Lui répondait Brice sans enthousiasme.

– Va voir elle est là juste devant la porte …


Brice sortait rapidement, sa voiture était là, elle ronronnait doucement.


– Elle a l'air de bien tourner ! S'exclamait Brice.

– J'ai tout révisé, elle tourne comme une horloge ! Lui répondait Johnny.


Brice appuyait sur l'accélérateur le moteur vrombissait sans aucun bruit anormal.


– Elle n'a jamais aussi bien marché ! Déclarait Brice avec un large sourire.

– Tu vas nous quitter maintenant. Lui demandait Johnny avec un peu de tristesse dans la voix.

– Il faut bien que je termine mon voyage. 

– On t'attend quelque part ?

– Non, pas vraiment, mais …


Malgré tout Brice n'était pas pressé de repartir. 


– Tu me prépares ta facture, je partirai dans quelques jours.


Brice était tout content, il essayait sa voiture, elle roulait à la perfection. De retour à l'hôtel …


– Johnny, tu es un génie, elle n'a jamais aussi bien roulé. Lui déclarait Brice.

– On t'avait bien dit que je pouvais tout réparer !

– Pardonne moi mais j'ai douté de toi. Je te paye un verre pour la peine.


Quelques instants plus tard Cathy arrivait, elle faisait la gueule.


– C'est la tuile ! Alice nous quitte! Déclarait Cathy avec tristesse.

– Alice nous quitte ? S'étonnait Brice.

– Alice nous quitte ! Rajoutait Johnny.

– Elle prépare ses affaires et s'en va tout à l'heure avec Nestor. Concluait Cathy.

– C'est qui Nestor ? Demandait Johnny.

– Un routier qui passe régulièrement, c'est pas son vrai nom mais tout le monde l'appelle comme ça. C'était prévu depuis un moment elle dit et sans cette grève elle aurait du partir il y a déjà près d'un mois ! Expliquait Cathy.

– Et tu vas faire comment avec le restaurant et l'hôtel ? Demandait Johnny.

– Mais tu vas me donner un petit coup de main mon trésor ! Lui répondait Cathy.

– Mais c'est que j'ai le garage à m'occuper moi.

– En plus tu casserais tout … On se débrouillera ! Lui rajoutait Cathy.

– Si vous voulez, je ne partirai pas avant quelques jours, si je peux vous être utile … Proposait Brice.


Il y avait bien quelques survivants dans le village. Enfin, survivants, il y avait quelques habitants qui s'accrochaient à cet oasis de tôle, de ruine, de sable et de poussière. Cathy savait qu'elle pourrait s'organiser mais il lui faudrait plusieurs jours. 


Alice arrivait quelques instants plus tard, elle avait une petite valise à la main. Johnny était visiblement émus et se précipitait vers elle, il voulait la prendre dans ses bras, elle ne tentait pas de se dégager. Johnny l'entraînait dehors, ils y restaient un long moment à discuter. Johnny ne voulait pas la lâcher, et restait là, presque à la toucher, son visage penché contre celui d'Alice. Puis un violent coup de klaxon les rappelait à l'ordre. 


Alice venait rapidement dire au revoir à Brice, elle l'embrassait et se sauvait ver le camion. Quelques instants plus tard elle était partie.


Le soir même Brice donnait un coup de main, il se glissait dans le rôle comme s'il avait fait ça toute sa vie !


Après le souper, Johnny restait assis devant son atelier, il regardait la route, le regard perdu dans le vide. Brice venait vers lui, il avait amené deux bières. 


– Toi aussi tu vas repartir bientôt ! Soupirait Johnny.

– Pour le moment je suis là. Le rassurait Brice.


Johnny regardait Brice, il avait du mal à cacher sa tristesse, Brice croyait voir une larme dans le coin de l’œil.


– Elle va me manquer tu sais ! Disait Johnny d'une voix émue.


Brice ne répondait pas, il se contentait de l'écouter et … d'être là. Juste d'être là.


Il était tard quand ils décidaient d'aller se coucher. En fait aucun d'entre eux n'avait envie de se retrouver seul, Brice se retrouvait sur le lit de Johnny, ils ont discuté une longue partie de la nuit. 


Ils ont parlé de leurs rêves, de leurs amours, de leurs espoirs, ils ont parlé longtemps puis se sont endormi. Sagement …


Quoi ça vous étonne ? 


Enfin, aucun des deux n'était en manque de sexe et les deux étaient tristes. Ils pouvaient parfaitement passer une soirée sage, même dans un seul lit à deux. Ils pouvaient passer une nuit blottis l'un contre l'autre et chastes. 


Non mais c'est vrai quoi vous ne pensez qu'à ça ? 


Et puis je vous rassure, ça sera pas comme ça tous les jours …


Faut pas déconner non plus !




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


31 Octobre 2020

 







28 Octobre 2020

 J 96 / 280

Reste 184

La nuit s'et bien passée ... La nuit ...


J 96 / 280 Reste 184 Parce que le matin , c'est autre chose ...



J 96 / 280 Reste 184 Et justement on est le matin.




J 96 / 280 Reste 184 Mais ça ne dure pas ...







26 Octobre 2020

 









25 Octobre 2020

J 93 / 280 Reste 187 Il y a des matins décontractés.



J 93 / 280 Reste 187 Il y a des matins pleins de zénitude ...




J 93 / 280 Reste 187 Il y a(vait) des matins tout détendus




J 93 / 280 Reste 187 Il y a des matins sans aucune tension ...




J 93 / 280 Reste 187 Oui, et bien ce ne sera pas ce matin encore !







 

24 Octobre 2020

 


J 92 / 280 Reste 188 C'est le week end j'en profite pour me détendre ...




J 92 / 280 Reste 188 C'est pas parce que je ne ne travaille plus ... Le week - end c'est pas pareil ...



J 92 / 280 Reste 188 Bon là si jamais je grossi, même un tout petit peu, l'été prochain je ne rentrerai plus dedans ...



J 92 / 280 Reste 188 Ah , le bord de la mer, même en hiver c'est toujours le bord de la me .









 





L'hôtel du désert EP 06 : Le trafic routier reprend

 L'hôtel du désert

EP 06 : Le trafic routier reprend




Il fallait encore attendre, et les grèves n'étaient toujours pas terminées donc les livraisons se faisaient au compte goûte. Johnny passait le reste de la journée au téléphone. Quand il en revenait enfin, il retrouvait à table Brice et Alice …


– Alors ? Lui demandait Alice.

– Ce sont vraiment des abrutis dans cette casse, je leur donne tous les détails sur la voiture et ils sont incapable de me trouver la bonne pièce.

– Casse ? Rajoutait Brice.

– Bein oui, je ne vais pas commander une pièce neuve, ta voiture à l'âge,  ce serait une dépense excessives. 

– Et si tu ne trouves pas la pièce …

– Je vais trouver la pièce !

– Jure moi que tu ne le fais pas exprès ! Lui demandait Alice.

– Allons Alice, tu plaisante ou quoi !

– Dommage, j'aurais su te remercier !

– Ça complote pour m'empêcher de repartir ? Rajoutait Brice.

– Mais c'est une idée ça, il va falloir que je m'en mêle ! Concluait Alice.


Le lendemain Brice était réveillé par un bruit de camion. Il sautait du lit en pensant que sa voiture serait bientôt réparée. Sur le parking il y avait quatre gros semis remorque. Ça lui faisait tout drôle, il avait toujours vu ce parking totalement vide. Un groupe d'homme était dans la salle du bar, et prenait tranquillement le petit déjeuner. 


Brice s'installait au bar après avoir salué tout le monde.


– Mais il y a un monde fou ce matin. S'étonnait Brice.

– Ils m'ont dit que la circulation ne devrait pas tarder à reprendre. Lui expliquait Cathy.

– Les affaires reprennent !

– On a soixante dix couverts de prévus pour ce midi. Lui répondait Cathy.


Plusieurs nouvelles tête apparaissaient. Une voisine que Brice n'avait jamais vu, une dame du même âge que Cathy, son mari était là aussi. Ils travaillaient au restaurant et depuis quelques semaines étaient en chaumage technique. Un bus plein de voyageurs qui auraient faim allait arriver, ils étaient partis très tôt dans la nuit et quand ils arriveraient il ne faudrait pas perdre de temps. Le trajet est long et il ne faut surtout pas retarder le bus. 


– Johnny m'avait dit que c'était le soir que les voyageurs s'arrêtaient. Faisait remarquer Brice.

– En temps normal oui, c'est le soir mais en ce moment c'est un peu la panique. On vient de me téléphoner, il y en aura autant ce soir. Pendant quelques jours il y aura plus de passage, après tout va rentrer dans l'ordre. Expliquait Cathy.

– Et au niveau main d’œuvre, vous vous en sortez ? Demandait Brice.

– On est organisé, il y deux personnes en cuisine, on prépare tout à l'avance, et quand tout le monde arrive, ça va très vite ! Lui racontait Cathy.

– Il y a aussi les routiers qui arrivent j'ai l'impression. Faisait remarquer Brice. 

– Pour le moment il y a encore des grèves, mais tout devrait entrer dans l'ordre assez vite maintenant ! Concluait Cathy.


Les jours qui suivaient, l'hôtel devenait soudainement moins calme, surtout à l'heure des repas. Brice préférait prendre ses repas avant l'arrivée de la foule. 


Ce jour là il avait laissé tout le monde, Alice donnait un coup de main à Cathy en salle. Tranquillement Brice faisait un petit tour pour digérer, il s'avançait dans le désert en prenant bien son temps. Quand il se retournait il avait parcouru plusieurs kilomètres, plusieurs autres camions étaient arrivés entre temps, on voyait toujours l'enseigne qui clignotait dans un décor qui plongeait lentement dans la pénombre. Plus loin, plus haut, le ciel à l'horizon devenait bleu marine et encore plus haut c'est dans un ciel désormais noir que les premières étoiles apparaissaient. 


Ce décor lui devenait familier et il le trouvait très beau finalement. Il pensait un moment à l'endroit d'où il venait, se demandait pourquoi il était parti. Il ne s'en souvenait plus. Il regardait vers le soleil couchant, la seule partie du ciel qui n'avait pas encore plongés dans l'obscurité totale. Il ne savait plus ni ou il allait ni pourquoi. Un cour instant il se voyait passer le reste de sa vie ici. Et, finalement ça ne lui déplaisait pas. 


Quand il se décidait à revenir vers l'hôtel, seule l'enseigne lui en indiquait clairement la direction, ce n'était pas la première fois que cette lumière chancelante l'appelait. Il passait devant l'atelier, en poussait la porte. Sa voiture était là, un peu comme si elle ne devait pas aller plus loin. Pour lui le bout de son chemin, c'était l'extrémité de la route vers l'Ouest, mais comment irait-il si loin si sa voiture avait, elle, terminé son voyage ?


Un peu perdu dans ses pensées, il avançait, il entrait dans la chambre de Johnny. Il n'y avait pas de bruit, il allumait une lampe et pouvait constater qu'il n'y avait personne. Toujours perdu dans ses pensées, il s'approchait du lit puis s'allongeait dessus et finalement s'endormait. 


Il était réveillé par des cris, en même temps il était secoué dans tous les sens. Il ouvrait les yeux, c'était Johnny qui s'amusait à le réveiller en sautant sur le lit et en criant. Voyant que Brice réagissait il se laissait tomber sur lui, le chevauchait et s'asseyait sur son ventre avant de lui faire un gros câlin.


Johnny se penchait sur Brice et l'embrassait avec passion tout en le caressant. Il lui ouvrait la chemise et le couvrait de baisers sur le torse et les épaules. Ce soir là il avait l'air très amoureux Johnny, il était ivre. 


– Il est quelle heure ? Demandait Brice.


Il était surpris et se réveillait d'un premier sommeil un peu perdu.


– Il est pas tard, j'ai picolé avec un voisin. Je t'ai cherché partout pour t'inviter. Mais je t'ai pas trouvé. Lui répondait Johnny.


En même temps qu'il parlait il s'était déshabillé. Brice le regardait, il n'était pas tout à fait réveillé, un sourire apparaissait sur ses lèvres. Johnny se laissait tomber juste à côté de Brice, il s'allongeait, passait une main et caressait doucement la joue de son camarade en lui donnant un baiser sur les lèvres.


Brice prenait Johnny dans ses bras. Lui faisait un gros câlin, tendrement enlacés il s'embrassaient, chacun serrait l'autre dans ses bras. La main de Johnny glissait sous la chemise de Brice, puis l'autre mains suivait.


La chemise tombait et les caresses étaient peau contre peau. La peau est douce, la peau est chaude brûlante même mais ne brûle pas pour autant. Les lèvres de l'un parcouraient le torse de l'autre puis c'était le contraire. Chacun laissait la place à l'autre.


Brice glissait ses mains sur les hanches de Johnny, avec son pouce il le  caressait, là, juste à la commissure du ventre et des cuisses. Sa glissaient avec forces vers le sexe de Johnny. Il bandait ferme et quand Brice se penchait pour lui sucer la queue, Johnny lui glissait les deux mains contre ses fesses, tout contre ses fesses, sous son pantalon !


Brice avalait goulûment la queue de Johnny qui lui glissait un doigt entre les fesses, un doigt qui s'attardait sur le petit trou juste au milieu, entre les deux fesses. 


Brice laissait faire, Johnny imprimait à son doigt un mouvement de rotation, il pressait de plus en plus sans toutefois essayer d'entrer. Brice laissait faire et continuait à sucer la queue de Johnny depuis sa base jusqu'à son gland. 


Johnny gémissait de plaisir tout en se tortillant pour pouvoir plus facilement atteindre les fesses de son camarade. Il glissait une mains sur le ventre de Brice et lui ouvrait son pantalon, il le faisait glisser et maintenant lui tripotait les couilles. 


Brice aussi bandait ferme.


Johnny se faisait glisser et se retournait vers la queue de Brice, sans pour autant l'empêcher de lui sucer la queue . Ils se retrouvaient en tête à queue, en position de soixante neuf et chacun s'attelait à donner à l'autre le plus de plaisir possible. 


Johnny insistait sur le cul de Brice, il lubrifiait doucement puis continuait ses mouvement de rotation avec un peu plus de force. Un phalange entrait sans résister. Brice poussait un petit cri. Oh pas bien fort, à peine un hoquet. À peine audible, il est vrai que Brice avait la bouche pleine mais il se serait fait entendre un peu plus si ça lui avait vraiment fait mal. Il continuait à sucer la queue le Johnny.


Les deux jeunes hommes continuaient, les caresses devenaient plus pressantes, plus fortes, il se serraient fermement dans les bras. Johnny insistait sur le cul de son camarade, de nouveau il glissait un doigt, un peu plus profond cette fois-ci. Brice se contractait puis se détendait de nouveau et continuait à sucer la bite de Johnny. 


Johnny se retirait et se relevait, Brice ne bougeait pas il relevait la tête et suivait le mouvement. Johnny se penchait sur le dos de Brice qui était resté à quatre-pattes sur le lit. Il le couvrait de caresses et de baisers. 


Johnny : Ne bouge pas ! Laisse moi faire !


Avec de plus en plus de douceur, il glissait un doigt dans le cul de Brice qui laissait faire. Johnny agissait avec douceur, lubrifiait longuement le cul de Brice et glissait deux doigt, lentement mais bien à fond.


C'est comme un frisson qui parcourait le dos de Brice, il se contractait mais poussait un léger gémissement de plaisir en relevant la tête.


Le sentant parfaitement bien détendu Johnny décidait de passer aux choses plus sérieuses. Il prenait position, plaçait sa queue bien en face du cul de son camarade, se la lubrifiait abondamment puis avec à la fois douceur et force la poussait contre l'anus de Brice.


Ça résistait mais il poussait un peu plus fort. Brice râlait mais laissait faire.


– Vas y doucement ! Gémissait Brice.


Brice se détendait lentement et très lentement Johnny poussait de plus en plus fort. Il a senti le muscle de détendre d'un coup, Brice à hurlé. Son anus se dilatait et laissait passer la queue de Johnny, d'abord timidement puis avec plus de violence.


Brice hurlait, Johnny le retenait. Brice respirait fort, Johnny s'enfonçait de plus en plus profond jusqu'au moment ou son ventre s'écrasait sur les fesses de son … sa … victime … 


Brice s'appuyait sur ses coudes, il gémissait '' Doucement, vas-y doucement, la tu me fais mal !''.


Johnny n'en tenait pas plus compte qu'il ne le fallait et se contentait de ne plus bouger, il retenait Brice avec force contre lui, mais ne bougeait plus. Brice tremblait, gémissait, ce n'était pas que du plaisir. Du plaisir, il devait y en avoir sinon il se serait dégagé mais il n'y avait pas que du plaisir. Ça c'est sûr !


Johnny se retirait lentement, Brice gémissait encore plus fort. Johnny se retirait presque totalement, Brice poussait des cris étouffés, comme s'il suffoquait et se laissait retombe, il tremblait. Johnny s'enfonçait de nouveau, Brice criait de nouveau plus fort peut être même. 


Brice se cramponnait au draps, et tremblait, son visage était rouge et il y affichait une grimace monstrueuse. Sans pitié maintenant Johnny se retirait et revenait. Ce mouvement était plus rapide, plus violent. Brice avait le réflexe de tenter de se retirer mais Johnny le retenait en le tirant par les hanches avec force. Son ventre claquait contre les fesses de Brice qui criait nettement plus fort maintenant.


Johnny ne voulait pas lâcher et pilonnait le cul de Brice avec de plus en plus de force. Il ne retenait plus ses coups. Brice tentait de se dégager. Johnny s'allongeait de tout son poids et immobilisait de force Brice qui râlait et implorait. 


Johnny continuait avec détermination. Il ne lâchait qu'au moment ou il jutais, qu'au moment ou il jouissait dans le cul de Brice qui suppliait. Johnny était ivre, il avait joui, il s'effondrait à côté de Brice et s'endormait.


Brice pleurait mais il jouissait lui aussi, il dégustait le pauvre, il ne l'aurait certainement jamais avoué, mais il avait aimé, il avait vraiment joui et il savait qu'il ne tarderait pas à en redemander. Il se laissait tomber sur le lit, s'approchait de Johnny, tout contre Johnny, glissait un bras sur lui et s'endormait à son tour. 


Le lendemain matin les deux amants dormaient profondément quand ils étaient réveillés par un klaxon, un coup de klaxon particulièrement fort, de ceux que seul un très gros véhicule peut produire. Johnny et Brice se réveillaient mais restaient un peu sonné. Le son semblait venir de l'intérieur de l'atelier tant il était fort. Il était suivi par deux autres coups de klaxon. 


Johnny se levait d'un geste rapide et sautait dans sa salopette. Il avait deviné. Quand Brice suivait un peu plus tard, le chauffeur et Johnny descendait du camion un colis, il n'était pas très gros mais paressait très lourd …


– Ce sont les pièces pour ta voiture, j'espère que ce sont les bonnes cette fois !


Brice devinait que son voyage allait reprendre, que cette pause prendrait fin. C'était juste au moment ou il commençait à ne plus avoir envie de repartir, juste au moment ou il avait envie de se poser, de ne plus bouger et de dormir toutes les nuits, comme la nuit dernière, avec Johnny dans ses bras. 


Il regardait Johnny avec désir, il le trouvait sexy torse nue sous sa salopette, il lui plaisait de plus en plus, il savait qu'il ne portait pas de sous vêtements et n'avait qu'une seule envie …


Le prendre dans ses bras et lui faire un câlin !




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23 Octobre 2020

 

J 91 / 280 Reste 189 Semaine 13 / 40 Et encore une semaine de faite ... Yo !




J 91 / 280 Reste 189 Je trouve que c'est bien comme tenue ce que je porte là ... C'est sombre et ça me mincit .



J 91 / 280 Reste 189 Là je m'effeuille ( va aller vite, j'ai pas grand chose sur le dos )




J 91 / 280 Reste 189 Et hop !









IL ÉTAIT UNE FOIS (26-30)

 







22 Octobre 2020

 J 90 / 280

Reste 190

Là c'était en pleine nuit, j'ai souffert, j'en ai bavé ... C'est pas facile tous les jours ...



J 90 / 280 Reste 190 Bon ensuite il a fallu que je me lève. C'était pas vraiment en pleine nuit en fait. J'en ai pas bavé tant que ça non plus ... Mais c'est tout moi, il faut que j'en rajoute .


J 90 / 280 Reste 190 Un peu plus tard, remis de mes émotions, je me prépare à me lever ...



J 90 / 280 Reste 190 Il est à peine plus de 9H, presque en plein milieu de la nuit quoi .









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                       Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'ACC...