30 Janvier 2022

 Jour 101









La dame 05 Dans la dépendance

 La dame 05

Dans la dépendance



Teddy était installé dans sa nouvelle vie, dans sa nouvelle maison, dans sa nouvelle chambre, dans ce nouveau luxe depuis presque un an, tous les jours c'était la même folie. Les rare fois ou il n'était pas réveiller par Madame qui lui tombait dessus il en profitait pour se lever très vite, s'habiller et se sauver au bureau. Il ne prenait même pas son petit déjeuner.


Il savait que Madame passerait au bureau pour voir si tout se passait bien, qu'elle voudrait s'entretenir avec lui … Mais c'était un peu de temps gagné. Il n'en pouvait plus.


Madame pouvait exiger de lui ses faveurs sexuelles jusqu'à cinq fois dans la journée. Elle savait exiger avec tellement de gentillesse, de douceur, d'insistance. On n'avait même pas l'impression qu'elle exigeait on avait l'impression qu'elle suppliait et que céder à ses exigences c'était avoir le beau, le bon rôle.


Cinq fois par jour, si au début c'est rigolo, au bout d'un certain temps, ça devient pesant …


Au bureau il entendait souvent des réflexions du genre.


Vous n'avez pas bonne mine Monsieur Teddy. Vous devriez vous reposer.

Vous savez Monsieur Teddy, vous n'êtes pas obligé de venir si tôt au travail …


Quelque fois il parvenait à répondre … '' Oui mais … '' … Il n'allait jamais plus loin dans sa réponse et terminait sa phrase par un gros soupir. Les réveils, les matinées, les après midi, les soirées et les nuits se déroulaient toujours au même rythme, tous les jours c'était le même rituel. Il avait l'impression que c'était devenu un rituel.


Il était allongé, à moitié mort, limite intransportable … La chaleur de la peau de Madame le maintenait en vie et la douceur des ses seins écrasés sur ses tétons lui rappelait que le cauchemar n'était pas terminé, qu'il ne prendrait pas, qu'il ne prendrait jamais fin.


Nous ne pouvons continuer comme ça ! Déclarait-elle sur un ton désespérés.

Bein non !

Je t'aime beaucoup mais vraiment beaucoup tu sais …

Mais ?

Oui mais je n'en peu plus. Ne te vexe pas surtout tu n'y es pour rien c'est de ma faute je ne peut plus te suivre tu est trop exigeant en amour enfin en sexe je veux dire tu es trop demandeur et je ne peux plus te suivre j'ai des irritations partout sur la vulve c'est pas une maladie c'est trop c'est tout c'est tout simplement trop j'ai du mal à marcher maintenant le matin je t'aime terriblement plus que tout mais là il va falloir mettre fin a cette relation ne te fais aucun reproche tu es fait ainsi et je suis sûre que tu rencontreras quelqu'un qui saura t'aimer comme tu le mérites …


Sa voix ne marquait aucune pause, elle parlait sur un ton continu et monotone.


'' Je suis trop demandeur '' se répétait dans sa tête le pauvre Teddy. Mais il était trop fatigué pour réagir. Il voulait dormir, au moins pendent dix jours d'affilé, il voulait dormir seul sans que personne ne le touche. Il venait de jouir et se demandait comment il tiendrait ne serait-ce qu'une journée de plus.


Oui mais tu sais …

Tu es tellement mignon personne ne peut te résister c'est comme au bureau tout les jours c'est trop jeudi dernier nous avons fait l'amour six fois tu es une force de la nature un dieu de l'amour oh non ne vas pas t'imaginer que je compte mais j'ai des limites je n'en peux plus je ne veux plus que personne ne me touche pendant des mois je me ferai none tu m'a comblé tant de fois je t'aime mais …

On pourrait peut être se calmer un peu ! Juste un petit peu. Dis tu en penses quoi ?

Ce ne serait pas possible, comment pourrait-on résister à ta beauté à tes charmes à tous tes avantages ?


Elle disait cela en lui caressant la queue. Il bandait mou, il avait une grosse molle qui ne voulait plus durcir.


Bein oui je comprends bien, c'est ma faute mais que veux tu que je fasse, tout ce que tu voudras.


Elle se redressait alors vigoureusement.


Il y a une solution !

J’adhère ! Lui répondait-il sur un ton fatigué.

Tu ferais un tel effort ? Je ne me sens pas le courage de te l'imposer.


Là il avait peur d'un coup.


Heu ! On ne parle pas de mutilation là ?

Oh non ce serait monstrueusement criminel. Non je pensais juste à ça !


Elle déposait alors sur son ventre un dispositif de chasteté modèle PK Sécure, grande taille … Il regardait le truc sans comprendre, en louchant sans relever la tête.


C'est quoi ?


Elle allumait la télévision qui sortait de son meuble au pied du lit et lançait la vidéo explicative …


Tu me diras quand tu seras prêt !


Elle le laissait alors seul dans son lit.


Il était tellement fatigué le pauvre que son corps ne réagissait pas pendant qu'il regardait le documentaire. Il a failli s'endormir mais brusquement il réagissait. Dans sa tête il se disait que s'il voulait vraiment pouvoir dormir tranquille, c'était une solution comme une autre. Il fallait vraiment qu'il soit épuisé ...


Il passait alors ses testicules dans l'anneau, sans aucune conviction je précise, et si certains commencent à bander quand ils arrivent à ce niveau de la situation, ce n'était pas son cas. Ces dernière vingt quatre heures il avait fait l'amour à Madame et l'avait satisfaite à cinq reprises, six même peut être il ne savait plus, elle avait une sacrée santé la petite !


Lui ne réagissait plus, l'anneau était bien installé à la base de son sexe. Il glissait alors sa queue dans la cage, son cœur ne battait même pas plus vite que d'habitude. Il verrouillait alors la cage, le cadenas était inclus, un clic lui confirmait que tout était OK. Comme l'expliquait le documentaire.


Un instant il fermait les yeux et ne les ouvrait que le lendemain, il faisait jour. On l'avait laissé dormir. Il ne se souvenait plus de la fin de la soirée mais tout lui revenait quand il voulait se gratter les couilles. Là il se demandait s'il avait bien fait. Puis il se disait que quelques jours de repos n'avaient jamais fait de mal à personne. Ces dispositifs étaient connus, même s'il n'avait jamais songé à en porter un, il en avait entendu parler.


Il passait sous la douche et sentait l'érection matinale se manifester. Ce n'était pas si désagréable de sentir les barreaux de cette cage qui étranglaient sa queue avec une certaine douceur.


Au moins elle ne me sautera pas dessus ! Se disait-il !


Puis il réagissait …


Oui mais c'est elle qui a la clé, je ne l'ai pas !


Pour la première fois depuis des mois il n'avait pas à s'inquiéter de savoir s'il pourrait bander ou pas, si Madame ne le retiendrait pas pendant une heure ou plus. Quelquefois elle faisait durer. Il avait la tête vide, les couilles aussi et la queue au repos. Enfin soyons claire, quand je dis au repos, il bandait bien un peu et il sentait bien la cage mais il savait qu'il serait sage et c'est de ça qu'il avait envie pour le moment.


Un employé de maison lui préparait un petit déjeuner copieux. Il était tard mais ce n'était pas bien grave, personne ne lui ferait le moindre reproche. Madame était sortie. Il prenait sa voiture et se rendait au bureau. Là non plus personne ne lui faisait le moindre reproche, pas même un commentaire. Il venait travailler à onze heures du matin mais c'était normal. C'est vrai qu'il était directeur du service.


Madame n'est pas passée ce jour là. Elle lui a téléphoné pour s'assurer que tout allait bien.


Il était tellement repus de sexe, tellement gavé depuis des mois que cette petite pause lui convenait très bien finalement. Il ne pourrait même pas se masturber mais prenait l'idée très sereinement. Il était tellement gavé de sexe que la pression constante, forte et douce sur sa queue le satisfaisait déjà pleinement … pour le moment.


Le reste de la journée se passait normalement, je dirais même paisiblement. Madame partait en voyage pour quelques jours.


Le soir de retour à la maison, Jonaz l'informait qu'il avait transféré toutes ses affaires dans la dépendance juste à côté. Une très jolie maison, très chic à quelques centaines de mètres de la maison principale.


Je n'ai pas reçu de consignes pour les repas aussi je suppose que vous les prendrez là bas également à partir de demain. Lui Expliquait Jonaz. Vous verrez vous serez très bien, il y a même une autre piscine, c'est vraiment très confortable … Madame sait prendre soin des gens qu'elle aime.


Ce n'était pas la première fois que ça lui arrivait depuis le début de cette histoire mais une fois de plus Teddy ne comprenait plus rien. Il prenait sa voiture, c'était pas pour faire la route c'était pour l'avoir sous la main le lendemain matin.


Devant la maison il y avait un parking, une voiture décapotable magnifique blanche qui trônait au milieu du parking et un peu plus loin, il y avait aussi deux voitures de luxe. Il entrait la maison correspondait à la description, une grande salle de séjour, un escalier au premier étage il trouvait facilement sa chambre, son nom était inscrit sur la porte. L'endroit était loin d'être aussi luxueux que sa chambre initiale, plus petite elle restait tout à fait spacieuse, mais pour ce qui du confort elle n'avait rien à envier à la première.


Teddy était épuisé, il s'est effondré dans son lit et s'est endormi tout de suite. Le lendemain il était reposé, sa queue manifestait et c'est ce qui le réveillait. Il prenait sa douche, s'habillait et descendait il y avait une salle à manger et déjà plusieurs personnes s'y retrouvaient.


Jonaz ? Vous êtes là vous aussi ?

Vous verrez Teddy, on est très bien ici.

Salut toi ! Lui lançait un homme jeune et très beau.


Il portait un juste au corps très fin qui moulait les formes de ses muscles pour ne pas dire ' qui exhibait les formes de ses muscles '. Teddy faisait la comparaison avec lui dans sa tête. Le petit déjeuner était prêt, il y avait deux autres hommes très beaux eux aussi et avec un musculature parfaite. Ils travaillaient tous les deux comme personnel de maison. Teddy connaissait aussi les deux derniers, ils les avait souvent vu. Heureusement pour lui il avait toujours été très courtois et très sympa avec eux, sinon comme ils semblaient maintenant être à égalité au niveau hiérarchie ils auraient peut être eu envie de se venger ...


Alors … Tu vas vivre avec nous. Tu as déjà décidé du temps que tu vas vivre ici ?

Je … Je sais pas je viens juste d'arriver …

Teddy n'a pas encore été briefé. Déclarait un des serviteur que Teddy connaissait.


Teddy regardait ses nouveaux camarades sans trop comprendre. Il cherchait une réponse en regardant les deux employés qui rigolaient. Jonaz était parti lui.


Bon on va t'affranchir reprenait un des employé. Tu me connais moi c'est John, mon camarade que tu connais aussi c'est Rufus.


Teddy acquiesçait, il les connaissait en effet mais le ton avait changé, là maintenant on l'appelait pas son prénom et on lui disait ' TU ' mais ça ne le dérangeait pas vraiment, c'était plutôt le contraire qui l'embarrassait. John continuait.


Et notre jardinier en chef Rémi .

Salut Rémi ! Rajoutait Teddy.

Donc je te demandais si tu avait décidé de rester longtemps ici. Rajoutait Rémi

Je ne sais pas. Répétait Teddy visiblement sans comprendre.

Tu supportes bien ton dispositif de chasteté ? Demandait Rufus.


Teddy regardait ses camarades l'air inquiet et surtout sans comprendre.


Il faut lui montrer. Continuait Rufus.


Les trois hommes baissaient alors leurs pantalons et Teddy ouvrait de grands yeux. Ses trois camarades portaient eux aussi un dispositif comme le sien.


Sacha ne t'a rien dit . Demandait John.


Teddy faisait non de la tête.


Elle fait le cas à tout le monde, elle abuse je trouve. Moi non plus, elle ne m'avait rien dit. Rajoutais Rufus.

Et bien la règle est simple. Continuait John. Madame ne te libérera jamais, elle va te garder à son service aussi longtemps que tu le désireras, tu bénéficieras de ton salaire, du logement luxueux, de la voiture de service et de quelques cadeaux de temps en temps. Mais elle ne te donnera pas la clé tant que tu seras à son service.


John faisait une pause et affichait un sourire taquin. Rémi reprenait.


Elle te donnera la clé quand tu lui remettras ta démission tu perdras alors ton salaire, la voiture de fonction et le logement. Tu garderas bien sûr les cadeaux que tu auras reçu et comme il convient, tout ce que tu auras gagné …


Les trois colocataires de Teddy, c'était désormais ses colocataires, regardaient Teddy avec un regard rieur. Teddy ne comprenait pas vraiment ce qui lui arrivait …


FIN ( probable )


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 …  @CharlyChast 

26 Janvier 2022

 Jour 97









La dame 04 La nuit aussi

 La dame 04

La nuit aussi



Teddy appréciait de plus en plus le confort et le luxe que lui donnait cette nouvelle vie, cette nouvelle maîtresse. Il n'avait pas seulement une nouvelle voiture de sport haut de gamme, mais des gens qui deux jours plus tôt lui donnaient des ordres sans même le regarder le saluaient bien bas, certains jouaient même les lèches cul.


C'était tout compte fait très agréable.


Et tout ça parce qu'il s'était montré galant, et qu'il avait un corps superbe … et une grosse bite. Il se demandait bien un peu si c'était très honnête tout ça, si c'était pas une sorte de prostitution. Mais il pensait à la douceur de la peau de Madame et au confort qu'elle lui offrait contre le plaisir de lui faire plaisir.


Ça le tracassait bien un peu mais pas assez pour troubler sa digestion. 


– Qu'est-ce que tu vas prendre. Tu choisis ce que tu veux, fais toi plaisir. Lui disait Madame.

– Je ne sais pas, je ne connais pas tous ces plats, je te laisse choisir pour moi. Je suppose que tout doit être délicieux.

– Bien, nous allons commencer par un petit vin régional une pure merveille. En plus ici il n'est pas trop cher il me semble. 


Elle avait la carte sans les prix, c'est toujours au monsieur qu'on donne la carte qui porte les prix. Il vérifiait et a failli s'étrangler quand il a vu à combien était la bouteille. Au final le repas pour deux à coûté ce qu'il gagnait en deux semaines. Avant son augmentation bien sûr. Mais pour le moment il ne connaissait pas le montant de son nouveau salaire.


Au milieu du repas il s'est excusé de quitter la table mais, un besoin urgent  … Discrètement Madame le suivait. Il entrait dans une sorte de petit salon, il y en avait plusieurs, verre opaque au fenêtres, rideaux épais, moquette dans laquelle on s'enfonçait jusqu'aux genoux. Ça n'avait rien à voir avec les toilette que Teddy connaissait. 


Surpris par le décor il ne remarquait pas que Madame l'avait suivi, elle verrouillait la porte derrière elle et attendait qu'il ait fini de pisser.  Elle le regardait faire, de dos, rassurez vous c'était tout à fait convenable elle ne jouait pas les voyeuses, elle attendait c'est tout. Mais au moment ou il allait refermer sa braguette elle l'attrapait par le bras, le retournait vers elle et l'embrassait. Surpris il ne résistait même pas. Il n'avait pas le temps de réagir. 


Elle se collait contre lui, le serrait fort contre elle et glissait une main dans son pantalon. Il ne bandait pas, pas encore mais sous l'effet de la chaleur de son corps elle provoquait rapidement la réaction qu'elle attendait. Elle tombait alors à genoux devant lui. La queue de Teddy sortait déjà par sa braguette, elle ouvrait son pantalon et le faisait glisser sur ses genoux et dans un même mouvement prenait sa queue dans la bouche.


Il la regardait faire avec un large sourire satisfait. Il ne s'y attendait pas mais c'était pas bien grave, elle suçait bien et c'était très agréable, c'était une surprise. Ça faisait quoi ? Moins de trois heures qu'il n'avait pas joui, peut être un peu plus mais pas beaucoup plus. 


Rapidement sa queue disparaissait dans la bouche de sa nouvelle maîtresse et patronne. Elle lui massait également les testicules avec douceur. Il posait ses mains sur ses cheveux et la guidait sans la contraindre. 


C'était doux, chaud et humide, les caresses de la langue étaient stimulantes. Il bandait ferme.


Elle se relevait ouvrait sa robe sur toute sa longueur, elle n'avait pas de sous vêtements, et collait son corps contre le bassin de son partenaire, elle s'accrochait à son cou. 


– Prend moi ! Maintenant là.


Un court instant de panique traversait la tête de Teddy puis il oubliait ou il était. Il la pénétrait, il la serrait contre lui et la limait avec vigueur. Il semblait se dire, vite fait bien fait. Il s'y prenait comme s'il voulait en terminer rapidement. 


Elle gémissait de plaisir, elle avait le corps chaud et la chatte confortable. Il limait, il limait de toutes ses forces. Elle relevait une jambe et la passait sur la fesse de Teddy qui continuait à la limer. Il la repoussait contre le mur et continuait à la limer avec force. Sa queue entrait et sortait rapidement. Madame penchait la tête en arrière il l'embrassait dans le cou, sur les seins. Elle tremblait dans ses bras.


Il s'agitait, se crispait, il voulait en finir rapidement mais avec la journée qu'il avait passé il ne parvenait pas à jouir. Il insistait, il y allait avec force, elle faisait quelques grimaces, son visage était grave et concentré, je veux dire son visage à lui.


Il lui passait les deux mains sur les fesses et la soulevait. Elle en profitait pour passer et refermer ses deux jambes sur les fesses de Teddy. Il la soulevait et quand elle retombait elle s'empalait de tout son poids sur sa queue, il lui balançait en même temps de violents coup de bassin, de plus en plus violents. 


Elle tremblait, vibrait, se contractait. Il sentait son bras le retenir avec force. Il sentait son corps se crisper. Elle l'embrassait maintenant, c'est elle qui l'embrassait, avec les lèvres, avec les dents. Il râlait de plaisir puis gueulait de douleur. Elle le mordait, elle ne faisait plus semblant. 


Elle ne l'a pas blessé je vous rassure mais sur le coup elle lui a fait mal, il l'a senti passer.


Elle ne lâchait pas, elle était prise de convulsion, c'est tout son ventre qui réagissait, tout son ventre qui se contractait, qui le repoussait, qui le retenait. Il transpirait sous l'effet de cette fièvre sexuelle. Il faisait brusquement chaud, très chaud dans ce petit salon toilettes.


Les minutes passait, Teddy sentait le plaisir monter mais il montait lentement. A plusieurs moments il s'est même demandé s'il pourrait conclure. Ce n'était pas désagréable comme situation, il ne risquait pas de débander mais pourrait-il éjaculer dans un délai raisonnable. Avant la fermeture du restaurant par exemple …


Il sentait l'organe de Madame lui masser la queue, le gland. Elle jouissait et c'est sans prévenir que le plaisir est venu, pas comme une explosion de plaisir mais un grand plaisir tout de même. Ce n'était pas le premier orgasme de la journée et là, ça commençait à devenir moins intense … Sauf pour Madame apparemment. Pour elle c'était plus intense, c'était à chaque fois plus intense, et ce n'était pas le première fois aujourd'hui.


Les deux partenaires se calmaient brusquement. Sacha donnait à Teddy un baiser sur ses lèvres, il avait le vertige. Ils se passaient alors de l'eau sur le visage, Madame se remaquillait et ils sortaient tranquillement, l'air de rien pour retrouver leur place. Il s'était passé une bonne demie heure et les serveurs attendaient pour apporter le plat suivant. Teddy avait une belle marque rouge au niveau de son cou. 


– Tu as déjà essayé de ne pas porter de sous vêtements ? Demandait Sacha.

– Mais, heu, enfin … Répondait Teddy un peu embarrassé.

– Tu devrais moi, j'en ferai de même. 

– Et si je venais à avoir une réaction incontrôlée ?

– Je suis sûre que tu saurait réagir comme il faut, comme un homme.

– Bein. C'est précisément ça qui m'inquiète justement … 


Elle glissait son pied sur sa jambe et remontait, sur sa cuisse, elle appuyait son pied sur son sexe. Ils étaient juste à la bonne distance pour le permettre. Teddy retenait un couinement et sentait une érection qui montait sans prévenir. Pourtant il venait juste de tirer un coup.


Il était impressionné par les besoins sexuels de sa partenaire. Il aimait bien, mais il commençait à avoir un peu peur, il se demandait s'il pourrait suivre et s'il vivrait vieux à ce rythme.


Il pensait à son défunt mari, à cent ans, il ne devait certainement pas suivre la demande. Et à cent ans on ne peut pas vraiment dire qu'elle l'avait tué prématurément, de plus ce n'était pas le cœur qui avait lâché selon les médecins.


Mais le sien, son cœur à lui, combien de temps tiendrait-il. Maintenant il bandait ferme, il pensait à cette idée de ne pas porter de sous vêtements … ' Elle est folle ' se disait-il, ' si je reste avec elle je ne vivrai pas vieux '.


Madame était très en forme quand elle remontait dans la voiture. Elle était de nouveau câline, souriante également, et joyeuse … Le repas était délicieux, Teddy comprenait maintenant la réputation du restaurant. Il n'y avait pas que le cadre et le service.


Chacun montait dans sa chambre. Pour Teddy, il la découvrait, il l'avait vue quand il s'était changé avant de partir mais n'avait pas tout vu. Un écran télé aux pieds du lit, il disparaissait dans le meuble qui servait de pied de lit. La salle de bain, ça il la connaissait, il n'avait pas remarqué la baignoire, la première fois c'était une visite rapide et il s'était contenté de la douche. Le lit, là c'est simple il ne savait pas qu'un lit pouvait être aussi confortable. Il y un coin bureau. Un téléphone bien sûr, et un bouton d'appel, au cas ou. 


Les vêtements qu'il portait le matin étaient propres, repassés, bien pliés sur un porte manteau prévu à cet effet. Il était épuisé, jetait ses vêtement sur le sol, au milieu de la chambre et s'effondrait dans son lit. Il s'endormait rapidement.


C'est la douceur d'une caresse qui le réveillait, il tâtait, une mains, un bras terriblement doux, au bout de ce bras il y avait un corps totalement dépourvu de poil. Il avait reconnu Madame. 


Ce corps doux se glissait contre lui, tout contre lui. Déjà il bandait. Le réveil indiquait deux heures du matin. C'est tout doucement que ce corps chaud et doux se glissait sur le sien. Ses baisers, il les connaissait bien ces baisers, pas depuis bien longtemps mais il les connaissait bien ils était chauds et passionnés. Ses seins bien fermes s'écrasaient sur son torse et ses deux bras l'enveloppaient et le caressaient. 


C'est avec tout son corps que madame caressait le corps de Teddy. La peau glissait sur la peau, surtout que la peau n'avait pas le moindre poil et était terriblement douce. Teddy était allongé sur le dos, il se contentait d'apprécier le contact de cette peau brûlante qui pourtant ne laissait aucune brûlure, aucune trace.


C'est surprenant quelquefois à quel point on peut trouver la peau de l'autre chaude. On a l'impression de pouvoir se blesser mais ce n'est jamais le cas. Ce contact est sans risque. 


Elle lui retenait les deux bras en crois, c'est de son corps à lui qu'elle voulait recevoir des caresses. C'est à son corps, avec son corps à elle qu'elle voulait donner des caresses. Ses seins glissaient sur tout son torse, et c'est en glissant ainsi qu'elle s'empalait sur sa queue.


Elle continuait à glisser sur son partenaire et sa queue glissait en elle pour son plus grand plaisir, enfin pour leur plus grand plaisir. Elle le couvrait de baiser, n'oubliait pas un petit bout de peau, elle revenait sur son cou.


– Je crois que je t'ai marqué là, ça devrait se voir encore quelques jours.


Puis elle déposait un très tendre baiser sur le suçon qu'elle lui avait fait au restaurant. Elle caressait ses bras, lui mordillait les tétons, il tremblait, il paniquait quand il sentait ses dents mais elle ne lui faisait aucun mal, ce n'était pas son but. 


Elle le traitait comme un godemichet, un godemichet vivant . La douceur de cette peau aussi lisse que la sienne et la fermeté de ses muscles la rendait folle de désir. Elle glissait contre ce corps avec légèreté, avec force, avec douceur … Elle alternait et la queue de son gode, pardon je voulait dire la queue de son partenaire entrait et ressortait avec douceur. Le  plaisir montait, chez Madame il montait plus vite et plus fort que chez Monsieur. 


Mais quand il a senti le plaisir le submerger Teddy ne cherchait plus à contrôler ce qui se passait il se laissait aller, il a joui il a éjaculé, sans le vouloir il a donné quelques coups de bassin puis se laissait retomber sur le dos. Madame se laissait retomber sur ce corps devenu inerte après cet orgasme. 


Plus tard elle se relevait, lui donnait un tendre baiser sur les lèvres et disparaissait. Teddy ne bougeait pas il se sentait bien, heureux, comblé, vidé. Il regardait l'heure il était presque trois heures trente. 


Rapidement il se rendormait.


Il avaient encore des étoiles dans les yeux quand il se réveillait le lendemain matin. Et avant qu'il n'ait le temps de réagir, Madame lui tombait dessus. En quelques secondes elle s'était glissée contre lui sous la couette et c'était reparti … Elle le couvrait de baisers, de caresses et lui, bon bougre, bandait et tentait du mieux qu'il pouvait de satisfaire sa nouvelle maîtresse.


Le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle avait un sacré tempérament.


Les deux corps roulaient l'un sur l'autre, c'est vrai que ce contact sur cette peau totalement lisse était particulièrement agréable, c'est vrai que ces étreintes étaient intenses et chaudes. Mais c'est vrai que un mois plus tard Teddy était sur les rotules. Il n'en pouvait plus, il s'était installé à demeure chez Madame, il y avait sa chambre mais une porte seulement séparait sa chambre de celle de Madame et elle en avait la clé.


Tous les jours, le soir, dans la nuit, le matin, dans la journée si jamais ils venaient à se rencontrer … Et si jamais il devait rester au bureau, c'est elle qui passait et quand elle mettait l'écriteau '' NE PAS DÉRANGER '' personne n'aurait eu l'idée de '' DÉRANGER '' …


Teddy n'en pouvait plus ! 


Il était jeune, il était sportif, il était costaud et sans ça il n'aurait pas survécu si longtemps à ce traitement. C'est en tout cas ce qu'il se disait. Il se demandait même par moment si le regretté maris de Madame était réellement si vieux qu'on le disait. Par moment il s'imaginait qu'en fait il n'avait peut être pas plus de trente cinq ans et que quelques années de vie commune avec Madame l'avait fait vieillir prématurément. Dans sa tête il n'avait pas toujours les idées claires … 


A suivre



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Wouah le mec !

 Wouah le mec !



Une soirée en boite des plus banale. Fred, la tafiole du coin se faisait remarquer comme d'habitude, il dansait torse nue au milieu de la piste et jouait les gogo danseurs. Un couple se pelotait, ils étaient torse nue et n'avaient pas remarqué que la séquence slow était terminée … C'est beau l'amour … 


Et c'est à ce moment qu'il est entré, tous les regards se sont dirigés vers lui, sauf toujours les deux amoureux qui continuaient à danser le slow en plein milieu d'un bon vieux rock. Eux, ils n'ont rien vu.


Il était habillé tout en jeans, le pantalon bien sûr, la chemise, la veste et le chapeau, les santiags devait être en cuir, je précise parce que j'avais dit tout en jeans … Bref il avait de l'allure. 


Ou je sais, une telle tenue avait tout pour être ridicule mais lui, ça lui allait bien, il avait de l'allure, il était beau comme un cow-boy à la télé, plus beau que Montgomery clift et plus viril que John Wayne, c'est tout dire, si vous voyez de quoi je parle … 


On devinait que le monsieur n'était pas du genre gras du bide, il avait une silhouette droite, élégante et mince. Son pantalon lui moulait les fesses et lui faisait un cul, on en aurait mangé et vu de face, il ne cachait pas une belle bosse  qui faisait envie et sur laquelle toute la boite de nuit louchait. 


Son visage volontaire parcourait la salle, presque plus personne ne dansait, sauf toujours ce couple torse nue qui continuait son slow, ils était tous les deux perdus dans leur monde, c'est quand même beau l'amour. 


Je disais donc, son visage volontaire parcourait la salle et c'est sur moi que son regard se posait, j'ai vu ses yeux me regarder de haut en bas, j'étais en sueur, j'étais débraillé, j'étais pas au mieux de ma forme mais je me sentais beau sous son regard. Je devais être son genre, en tous cas je vous jure que lui pourrait facilement être le mien. Il me saluait, j'ai failli tomber par terre et tout le monde me regardait, l'air  un peu dépité pour certains.


Il s'approchait de moi, me regardait dans les yeux, je revois le sourire qu'il me lançait, il posait son chapeau sur ma tête, j'avais l'impression que quelqu'un avait appuyé sur le bouton pause puis il commençait à danser lui aussi et là tout le monde bougeait et dansait autour de moi, on avait sans doute appuyé sur le bouton marche. 


J'étais retourné, j'étais content, séduit mais retourné. Il devait y avoir deux ou trois mille personnes dans la salle, enfin peut être pas mais disons cent cinquante, et c'est sur moi qu'il avait jeté son dévolu. 


Il tendait les bras vers moi, je m'approchais, il me caressait le torse, j'avais ma chemise grande ouverte. Je m'approchais de lui, il me tirais vers lui et m'embrassait. On se retrouvait comme l'autre couple d'abrutis qui étaient toujours en plein milieu de leur slow alors que pourtant, ça faisait longtemps que les slows étaient finis. On se retrouvait enlacés tendrement, passionnément, et avec une infinie douceur on dansait lentement en se serrant fort dans nos bras, nos deux corps se caressaient, il avait son blouson ouvert et sa chemise en coton était douce.


Ses muscles étaient fermes, ses mains étaient douces et ses lèvres étaient suaves. Je sentais quelque chose de dur dans son pantalon, et je frétillais intérieurement comme une sardine qu'on fait frire. 


Nous avons fait connaissance, il s'appelait Johnny, enfin c'était le prénom qu'il m'a donné. Moi je lui ai donné mon vrai prénom, Charly. On a bu quelques verres, on est retourné danser, il y avait toujours ce couple d'amoureux dans leur slow. On ne se lâchait plus et je vous jure que si on ne s'est pas enfilé l'un l'autre comme des bêtes c'est uniquement parce qu'on nous regardait.


Il avait fini par porter son blouson et son chapeau au vestiaire, je l'avais suivi, je ne voulais pas qu'on me le pique celui-là. Je crois que j'ai bien fait, tout le monde regardait son cul et son entre-jambe. 


C'est là que j'ai vraiment pu y toucher, ma main distraitement s'égarait et se glissait entre deux boutons de sa chemise. Il ne voulait pas laisser descendre en dessous de la ceinture. Un reste de pruditude ? Ou alors c'est parce qu'il y avait du monde ? De toutes façons, je ne serait pas allé bien loin de ce côté, il y avait vraiment beaucoup de monde autour de nous. 


Une nouvelle séance de slows arrivait et le couple qui depuis un long moment continuait à danser, visiblement sans voir, toujours sans voir la différence. Ils étaient toujours aussi beaux, torse nue toujours, et chacun caressait le corps de l'autre avec passion. 


Avec mon cow-boy c'était la même tendresse, c'étaient les même câlins sauf que de nous deux, j'étais le seul torse nue. Mais c'est sa peau que je caressais maintenant, et elle était douce. 


La soirée avançait lentement et mon désir montait chaque heure, chaque minute un peu plus. La boite finissait par se vider lentement, imperceptiblement. Il n'y avait plus grand monde sur la piste de danse. Mon Cow-boy et moi quelques couples, et toujours de couple inséparable qui continuait son slow. Ils étaient dans leur tendresse dans leurs câlins. C'est ensemble qu'il prenaient la direction de la sortie, ils se couvraient. Je me couvrais et suivait mon cow-boy vers la sortie également. 


Je m'attendais à voir sa monture, une moto gros cylindré qui peut fendre la route, disperser le vent et casser les oreilles des voisins quand on se stationne …  Il était venu en Austin Mini … 


Je l'ai suivi jusque chez lui, un peu de route à cette heure si matinale c'était pas le meilleur moment de la soirée mais, bon nous étions sobres. Il arrivait un endroit isolé, en retrait d'un petit village. J'étais perdu et je ne savais plus ou j'étais, mais ça ne m'inquiétait pas du tout. 


On rentrait chez lui en passant par son jardin, et de nouveau on se prenait dans les bras, et de nouveau je le caressait mais il m'interdisait toujours en retenant ma main de le toucher en dessous de la ceinture. Là je commençais à m'inquiéter.


On entrait et on commençait à se déshabiller l'un l'autre. Ma chemise tombait, la sienne suivait. Torse nue on s'enlaçait et on prenait le temps d'apprécier de la douceur de la peau de l'autre, la douceur de la peau contre la peau. Là enfin il me laissait ouvrir son ceinturon. 


Je lui ouvrais la braguette puis prenait le temps, je ne fonçais pas sur son sexe, je glissait d'abord mes mains sur ses fesses puis les faisais glisser sur ses cuisses j'entraînais son pantalon en même temps. Mon cœur battait très fort, je sentais le sien, on continuait à s'embrasser et à se caresser avec la peau de l'autre. 


Son pantalon glissait et je m'attendais à voir se relever une belle grosse bite qui devait si on se fiait à la bosse qu'il affichait être tout à fait prometteuse. Mais rien ne se passait, je baissais les yeux et là, je constatais qu'il portait une cage de chasteté. Je n'arrivais pas à y croire aussi, pour être bien sûr, je lui tripotais les couilles, elles formaient deux belles petites boules bien fermes, et juste au dessus, un dispositif de petite taille. 


Ça m'a calmé tout de suite. 


Il y avait toujours ses baisers, sa peau chaude et douce mais …


C'est lui qui maintenant devenait entreprenant, c'est lui qui m'ouvrait mon ceinturon. J'ai pas de costume de cow-boy moi mais j'ai une ceinture tout de même. Il m'ouvrait mon ceinturon, il prenait son temps, il laissait monter le désire, surtout que maintenant il s'était mis à nu devant moi. Il évitait de me caresser directement le sexe, il ouvrait mon pantalon et le faisait glisser …


Quand il a vu que moi aussi je portais un dispositif de chasteté il est resté en arrêt. Il a buggé ! 


Bein nous voilà bien ! Et on fait quoi maintenant ? Lui demandais-je.

On ne va pas en rester là. Me répondait-il.


Il se relevait et me prenait dans ses bras, on reprenait nos câlins mais là on ne se retenait plus de nous tripoter les couilles, les pantalons restaient sur place et presque nus, oui presque à cause du petit truc qu'on portait tous les deux sur nos bites, on se retrouvait allongé sur son lit. 


Nos bras se promenaient sur tout le corps de l'autre, on s'était un peu retenu jusque là. Nos mains glissaient dans les recoins les plus privés de partenaire et quand je lui glissait un doigt dans le cul il ne tardait pas à faire de même. 


Je lui léchait les couilles, il me gobait les miennes. Ça devenait frustrant, tous les deux nous avions attendu ce moment en espérant se faire défoncer le cul. Et tous les deux nous comprenions que rien ne se passerait comme prévu. Il avait les couilles parfaitement lisses, parfaitement épilées. Je me disais que j'avais bien fait de m'épiler également. 


On se retrouvait face à face et pour reprendre cette position on ne se retenait pas d'embrasser, de lécher et de mordiller le corps du partenaire en s'attardant longuement sur ses tétons. Je tremblais de plaisir pas autant que de désir mais je tremblais.


C'est frustrant tout de même ! Disais-je.

Ne bouge pas, on ne va pas en rester là.


Il tendait le bras vers sa table de nuit, et sortait du tiroir un gadget diabolique. Vingt deux centimètre de long, plus de six centimètre de diamètre et quatre ceintures pour accrocher l'ensemble. C'était un beau gode ceinture. Il se glissait dedans, je l'aidais à ajuster les ceintures puis je l'admirais, nous étions à genoux sur le lit, lui avec une belle érection artificielle et moi avec une belle frustration qui commençait à me rendre fous de désir. 


Tu ne me suces pas là. Il faisait non de la tête.

C'est du plastic, beurk.

Je suis d'accord, on ne suce pas un gode c'est sans intérêt.


Il n'avait pas terminé sa phrase qu'il me sautait dessus, je le laissais faire et de nouveau nos deux corps se caressaient l'un l'autre mais là on avait un but. Il me retournait et me retournait dans ses bras, me caressait, je lui rendait chacune des ses caresses sans oublier de lui tripoter les couilles.


Il me tirait sur le dos, me relevait les jambes et mes chevilles sur ses épaules il prenait position. Il me lubrifiait longuement le cul en me massant la prostate. Je gémissais de plaisir, il prenait position et enfonçait sa bite, sa fausse bite dans mon cul. Là je hurlais de plaisir. 


J'étais chaud, on avait bien fait monté le désir et le plaisir venait sans attendre. Il procédait avec force et douceur. Je sentais son gode glisser dans mes entrailles, c'était bon, c'était vraiment bon, je gardais la bouche ouverte mais aucun son n'en sortait. Je respirais fort, et je voyais sur moi son visage grave et concentré. Il surveillait la moindre de mes réactions, il se concentrait sur mon plaisir. Lui ne sentait rien mais moi je vous jure.


Quand je dis qu'il ne sentait rien, c'était au niveau de sa queue uniquement. Mais sa peau semblait particulièrement sensible au contact et la mienne tout autant à son contact. Il me serrait contre lui, il se laissait tomber sur moi et nos deux corps se caressaient avec tellement de chaleur. 


Il me limait avec une certaine retenue, bien à fond, puis il ressortait. Régulièrement il lubrifiait et son gode finissait par glisser tellement que je ne contrôlais plus rien. Je me sentais bien remplis puis soudainement vidé. Son ventre s'écrasait sur mes fesses et il m'arrachait des cris de plaisir, des cris de panique, des cris d'un peu de douleur. C'est vrai que son gode était de grosse taille.


Le plaisir montait, et la panique avec. J'avais peur qu'il ne me blesse, pourtant j'avais déjà essayé des godes de cette taille mais à chaque fois c'est moi qui contrôlait. Là je subissais et je n'étais pas à l'abri d'un coup plus violent qui pourrait me blesser, je paniquais dans un plaisir infini. 


Il faisait des  pauses, il me faisait monter haut, très haut vers l'orgasme. Je tremblais de plaisir, tout mon corps tremblait, mon ventre se contractait et tentais de le repousser, de le rejeter. Il n'en tenait pas compte tout de suite, puis voyant que je ne contrôlais plus mes gestes, il se penchait sur moi, je sentais son corps chaud et lourd contre moi, il m'embrassait puis se retirait lentement. Là j'ai joui encore plus fort, j'ai éjaculé, je balançais trois giclées de sperme que je recevais sur mon visage, plusieurs autres suivaient moins importantes qui atterrissaient je ne sais pas ou. 


J'avais le souffle court. Son visage était au dessus du mien, il me souriait il était content de lui, j'étais tout mou, mes muscles n'avaient plus de force, je me sentais bien, j'étais presque mort d'asphyxie.


Il se laissait tomber sur le dos, juste à côté de moi, lui aussi était essoufflé. Son cœur aussi battait fort, très fort et quand je l'ai touché, j'ai remarqué qu'il tremblait, ou alors c'est moi qui tremblait.


Ma frustration avait disparue. Je me sentais bien, je ne regrettais plus d'avoir gardé mon dispositif, au contraire je me sentais heureux et fier de ne pas avoir conservé la clé. On ne s'était même pas concerté sur le sujet. 


Nous sommes resté là, immobiles, il tirait la couette sur nous, après avoir transpiré je commençais à avoir froid. Je me suis endormi. Oh pas bien longtemps, juste le temps de récupérer. 


Quand je me suis réveillé, il était penché sur moi, je pouvais voir sa frustration dans ses yeux. Il m'avait donné un plaisir intense, il n'avait rien reçu en échange et il me souriait. Il avait retiré son gode. Je le trouvais rapidement avec ma main et c'est avec un petit sourire qui se voulait vicieux que je le lui montrait. 


Il m'a bien sûr aidé à l'enfiler … Enfiler le gode ceinture , l'enfiler lui ensuite avec le gode ceinture … Chacun son tour . 




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


24 Janvier 2022

 Jour 95







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