Pour faire plaisir à Madame 05

 Pour faire plaisir à Madame 05




Les jours passaient et ma femme continuait à me taquiner, la nuit elle voulait que je dorme nu. Avant de me faire porter mon truc elle était contre et trouvait toujours quelque chose à redire. Maintenant c'est moi qui n'aimait que très modérément, maintenant j'avais les couilles qui se balançaient de droite à gauche, j'avais toujours peur qu'elles ne se coincent quelque part.


Elle voulait aussi que je reste nu le plus longtemps possible le matin et me montrait l'exemple. Elle ne s'habillait qu'au moment de sortir, j'en faisais de même. Ça je finissais rapidement par aimer. Mes couilles se balançaient lourdement et je trouvais ça très agréable. Ma bite par contre protestait tous les matin. Nadine me regardait avec insistance. Surtout ma cage, elle avait un petit regard vicieux que je ne lui avais jamais vu avant.


Un soir elle invitait un des ses camarades de travail. Je commençais à transpirer rien que d'y penser au moment ou elle me l'a dit. J'imaginais Adam, sa grosse bite, son énorme bite je me souvenais de ce qu'il m'avait fait subir. C'était la première fois que je me prenais une bite dans le cul et celle là était énorme.


J'avais survécu mais j'avais peur d'y rester s'il recommençait.


Je voudrais vous y voire moi ! Je vous jure que c'était vraiment un gros morceau, bien large aussi, et bien long en plus.


Sans vouloir critiquer, je l'aurais préférée un peu moins longue et un peu moins large. Sinon ça pouvait aller ! Mais là je m'égare.


Le soir prévu arrivait, on s'était habillé. Un court instant j'avais eu peur qu'elle me demande de rester nu. Je ne sais pas pourquoi j'avais eu cette idée, peut être en la voyant s'habiller, elle avait mis des dessous … Plus sexy que ça, c'est difficile à trouver, dentelles, rouges, des trous partout plus d'espace que de tissus. C'était nouveau, elle avait acheté ça quelques jours plus tôt.


On soupait, c'était bon, moi je ne savais pas quoi dire, je ne disais donc rien.


Bon là il n'y a rien à raconter donc … passons. C'était pas Adam qui était venu ce soir là, c'était Steph, il était beau gosse, moi aussi remarquez, à l'époque j'étais très beau gosse. Ma queue se manifestait, selon les pensées qui me venaient ma queue gonflait ou ne se faisait pas trop remarquer. Là je parle de ce que je ressentais. Les autres, ma femme et notre invité ne remarquaient rien.


Après le repas nous passions au salon, je m’affalais sur le canapé, Steph restait plus présentable …


Tu pourrais servir un verre à notre hôte mon amour ! Me demandait ma femme sur un ton chantant.


J'ai pas réagi tout de suite, remarquez elle avait dit ' mon amour ' et on en était plus là depuis longtemps donc, je ne bougeais pas.


Propose un apéritif à notre hôte espèce de bourrique ! Le ton et surtout les mots n'étaient plus les mêmes, là j'ai compris.


Steph rigolait, je rigolais moi aussi, il n'y avait pas d'incident. Au contraire même on commençait à discuter chacun un verre dans la main. C'est à ce moment que Nadine nous a fait un strip-tease.


On est resté là sans réagir, le verre dans la main et la bouche ouverte. Elle s'était entraîné la petite, elle ne m'avait jamais fait ça. Je me doutais à partir de ce moment que la soirée prenait une direction imprévue, enfin que moi, je n'avais pas prévu ! On pourra supposer sans trop risquer de se tromper que pour Nadine, c'était pas le cas. Elle avait prémédité son coup.


Elle se dandinait langoureusement, ses vêtements tombaient les uns après les autres, elle se retrouvait finalement en sous vêtement affriolants et là il faut bien que Steph et moi, bavions en tirant la langue.


Ma queue protestait, elle s'était fait oublier pendant un moment en sortant de table, mais là je vous jure qu'elle se réveillait, elle prenait toute la place disponible, c'est à dire pas grand chose c'est vrai, et ce n'était pas vraiment confortables.


La pression était infernale, je jetais un œil rapide vers l'entrejambe de Steph. Lui il bandait et ça se voyait, il ne portait pas de truc comme moi. Nadine s'approchait de lui, l'attrapait par la cravate, sans résister il se levait. Elle le tirait vers elle et lui donnait un baiser.


Un peut embarrassé, on l'aurait été à moins, il tournait le regard vers moi et voyant que je ne réagissait pas, il lui rendait son baiser.


Rapidement, elle lui retirait sa cravate, ouvrait sa chemise et le caressait avec tout son corps. Ma queue hurlait silencieusement dans sa cage et là je manifestais un certain inconfort. Il était bien foutu le mec, c'est vrai que Nadine à très bon goût. C'est tout de même elle qui m'avait choisi en premier.


Il se retrouvait torse nue avant d'avoir totalement réagi, il me regardait régulièrement et comme je ne réagissais toujours pas il se laissait faire et laissait Nadine lui ouvrir son pantalon.


Son ceinturon ne résistait pas bien longtemps.


Charly tu te mets à poil tout de suite et que je ne sois pas obligée de le répéter !


Ça m'était destiné, j'ai compris et rapidement je retirais tous mes vêtements, pour le sous vêtement j'ai bien failli hésiter mais j'avais oublié que je n'en avais pas. C'est Nadine qui m'avait préparé mes vêtements. Je me retrouvais donc tout nu en même temps que notre invité.


Il bandait, moi j'aurais bien aimé pouvoir en faire autant. Il me regardait et je pouvais voir ses yeux sortir des ses orbites. Ça devait l'exciter, il bandait encore plus ferme. Sa queue se plaquait contre son ventre avec force.


Nadine a terminé son spectacle, elle retirait ses sous vêtements affriolants, me les donnait un par un puis, désormais entièrement nue elle attrapait Steph et le tirait contre elle. Il jetais un nouveau regard dans ma direction ; voyant que je ne réagissait toujours pas il se sentait libre d'accepter ces avances. Et ce, même si les avances venaient d'elle.


Il refermait alors ses bras sur le corps de Nadine. Je vous rappelle que Nadine, c'est ma femme. Mais de moins en moins c'est vrai. À ce niveau ça faisait plus d'un mois qu'elle ne m'avait pas retiré le dispositif et que de fait je n'avais pas eu de rapports sexuels.


J'étais en manque et j'avalais ma salive, je ne disais rien. J'avais renoncé. Plus rien à foutre !


Tu peux déplier le canapé mon amour ? Me demandait-elle.


Elle avait dit mon amour, aussi je ne réagissais pas.


Tu vas déplier le canapé espèce d'abruti !


Là j'ai compris. Ah l'amour, les premières années c'est un feu d'artifice mais par la suite c'est … Tiens je vais me servir un verre me disais-je, et je vous jure que là j'oubliais le concept de doseur.


Nadine repoussait violemment son invité sur le canapé qui maintenant était totalement déplié, il est très confortable, je l'ai pratiqué à de nombreuses reprises.


Je me laissais tomber sur le fauteuil, Steph s'écroulait sur le canapé, j'avais mon verre d'alcool dans la main, ma femme tombait mollement sur Steph, le chevauchait, elle semblait prête à lui faire subir les derniers outrages. Il ne semblait pas vraiment contre.


Leurs corps se refermaient l'un sur l'autre, se retenaient, s'accrochaient, roulaient l'un sur l'autre. Ça me rappelait une période heureuse, mais je ne sais pas comment dire.


C'est Steph qui m'excitait le plus, l'autre partie je la connaissais. Il en avait une belle, et c'est sa queue que je regardais. Son corps glissait contre le corps de ma femme,j'admirais sa fine fourrure qui recouvrait ses cuisses et ses jambes. Il en avait aussi une douce et fine sur le torse, a ce moment je rêvais que ce soit ma main qui la caresse et non celle de Nadine.


Elle ne s'en privait pas la petite, son visage glissait sur le corps de Steph, ses lèvres y déposaient des baisers dès que l'occasion se présentait. Elle n'en loupait pas une et ça ne semblait pas déplaire à notre nouvel ami.


Lui aussi l'embrassait sur les seins, puis sur le ventre et se retrouvait le visage entre les cuisses de ma femme. Là je rêvais d'être à sa place. Enfin à la place de ma femme, mais je pense que vous aviez rectifié.


J'imaginais ma queue glissant dans la bouche de Steph, s'écraser sur sa glotte puis continuer plus profond. J'imaginais sa langue caresser mon gland et ma queue me rappelait que c'était impossible avec cette cage maudite, elle m'écrasait la queue, ne lui laissant aucune place pour gonfler en volume.


Le contact avec la cage restait doux mais tellement ferme, tellement dure et tellement froid. Seules mes couilles pouvaient se balancer librement mais de toutes façons, celle là ne pouvaient pas aller bien loin.


La poitrine de Nadine continuait à s'écraser contre la poitrine de Steph, il la retournait sur le dos, se glissait contre elle, se glissait sur elle et la pénétrait avec douceur pour commencer puis avec force, j'étais aux première loges, ils avaient les cuisses écartées et j'étais juste en face.


Je pouvais tout voir dans les détails, Nadine qui repliait les jambes dans le dos de son partenaire, les couilles de Steph, elles étaient belles aussi, parfaitement assorties à sa bite. Il entrait et ressortait de la vulve de ma femme. Je me souvenais d'un passé pas si lointain ou c'était mon privilège.


Mais maintenant j'avais la bite en cage et ce n'était qu'un souvenir. Sans ces moments de tourments que m'infligeait Nadine, je commençais a oublier commet elle était faite. C'est à peine si je me souvenais de la douceur de son intérieur. ( vous avez vu comment je dis ça moi ? ).


toute mon attention,k toutes mes pensées convergeaient vers la bite de Steph. Bien grosse sans pour autant être énorme, elle pouvait toutefois impressionner, bien droite avec un gros gland qui semblait tellement doux.


J'avais une violente envie de le sucer. En aurais-je le droit. Nadine m'accorderait-elle ce privilège. C'était elle qui maintenant avait les clés, c'était elle qui maintenant écrivait et décidait des règles que je n'avais que le choix de suivre.


Steph s'agitait, Nadine s'agitait également. Ils étaient un peu mélangés tous les deux, le bras de l'un apparaissait là ou c'était le bras de l'autre qui aurait du apparaître.


Ne vous détrompez pas, je parvenait à faire la différence entre les parties du corps de Steph et celles de ma femme, je suis observateur et le corps de Steph me semblait tellement plus beau. Il faudra bien qu'après cette aventure je me rende à l'évidence, maintenant c'était les charmes masculins qui me faisaient réagir, je ne restais pas insensible à la beauté féminine mais, c'est vrai que ce jour là, c'était bien Steph qui me faisait bander !


Ils se retournaient par moment, c'était alors ma femme qui était allongée sur Steph, mais ça ne durait pas. Les mouvements de bassin de notre étalon devenaient plus rapides et plus amples.


Ils poussaient des cris de plaisir à chaque fois que Steph s'écrasait sur l'entrejambe de ma femme qui refermais ses jambes avec encore plus de force. Ils jouissaient, ils jouissaient tous les deux en même temps.


Jamais Nadine n'avait fait cette tête quand elle jouissait dans mes bras, m'aurait-elle menti aussi dans ces moment d'abandon ? Il fallait la aussi se rendre à l'évidence.


Steph se laissait retomber sur ma femme puis se laissait glisser sur le dos, à côté d'elle. Ils m'avaient totalement oublié !


J'étais pourtant pas bien loin, à quelques mètres, je tremblais sous l'effet de la tension. En fait je ne tremblais pas vraiment mais je me sentait trembler, chaque partie de mon corps semblait trembler.


Sauf ma bite qui protestait plus fort que jamais et qui me faisait presque mal.



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

INDEX

                                 Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.     


                                     

PAGE D'ACCUEIL








NOUVEAUTÉS

Sept derniers textes publiés

 

Branlette au sport Ep02
Bad Boys Ep01
Pour faire plaisir à Madame Ep01
Pour faire plaisir à Madame Ep02
Pour faire plaisir à Madame Ep03
Bad boys Ep02


Pour faire plaisir à madame Ep04




TEXTE A VENIR


Pour faire plaisir à Madame Ep05

    On ne va pas s'arrêter là, ma femme est folle, complètement folle dingue et je me demande encore aujourd'hui pourquoi je la laissais faire. Je vous jure qu'elle s'amusait mais moi, moi remarquez j'y trouvais mon compte sinon je n'aurais pas suivi    ... 

 prévu pour le 28 09



BRICOLAGE
  

Do it "yourcherlfe" , comme ils disent les américains ...












IL ETAIT UNE
FOIS
Pour une fois c'est pas une fiction, c'est du vécu raconté
avec passion, émotion, rythme ... 
Et en plus il y a des images ... 



Les pages sont reliées ( à la main )
par groupe de 5


Toute la famille Brosso
Djé  -  Philippe  -  David

-------------------------------






Bonne lecture et surtout n'hésitez pas à me retrouver sur

TWEETER

@CharlyChast


-------------------

Pour faire plaisir à Madame 04

 Pour faire plaisir à Madame 04




Dans les jours qui suivaient on reprenait notre vie d'une manière tout à fait normale, banale. Enfin sauf pour moi, c'était pas prévu tout ça, c'était arrivé comme par accident, comme si rien n'était prévu.


Moi je me retrouvait la bite en cage sans qu'on m'ait trop demandé mon avis. D'accord c'est bien moi qui avait passé la cage, personne ne m'avait obligé, je n'avais pas dit non mais personne ne m'avait demandé ce que j'en pensais.


Ma vie devait changer, elle avait dit !


Au niveau sexuel, je n'avais pas plus de rapport sexuels. Avec une truc pareil sur la queue c'était impossible mais comme je n'en avais pas de toutes façons, sur ce point, ça ne changerait rien.


Sauf que là, je ne pouvais plus me branler tous les jours. Bein oui, c'était devenu quotidien. J'en profite pour vous faire savoir que ça ne rend pas sourd ! ( j'ai vérifié )


Avec ce dispositif très bien étudié, on ne peut pas vraiment se masturber. Enfin on peut mais c'est tellement inconfortable qu'il vaut mieux laisser tomber, ça peut même devenir douloureux et ce n'est pas jouissif du tout !


Je ne me masturbais donc plus et ça par contre ça peut rendre un peu nerveux, au bout de quelques jours j'étais à cran ! Le soir quand venait le moment d'aller se coucher, c'était le moment le plus dur, enfin pour moi. Pour Nadine c'était le meilleur moment de la journée.


Un soir je gardais un slip, d'habitude je dormais nu mais avec ce truc et mes couilles qui se baladaient de droite à gauche j'avais trouvé ça plus confortable.


J'aime bien quand tu dors nu ! Me disait alors Nadine …


C'était bien la première fois qu'elle me disait ça. Surtout que dans un même temps elle me prenait dans ses bras, elle était dans mon dos et se serrait contre moi. Elle me caressait le ventre, je sentais un baiser sur le haut de mon dos. Ses mains me caressaient le ventre, je suis musclé vous savez, je fais du sport, ça me permet d'évacuer un peu d'énergie.


Puis sa main glissait dans mon slip, je couinais, ça je ne l'avais pas vu venir, ma queue protestait de désespoir, ma cervelle prenait feu d'espoir de me voir libéré pour la nuit. Des sentiments différents et contradictoires se manifestaient.


On va retirer ça ! Me disait-elle.


J'ai brusquement senti en moi comme un sentiment de joie. Je retirais mon slip en quelques secondes, je me retrouvais sur le dos, entièrement nu, j'attendais la suite des opérations, j'attendais qu'elle me libère la queue pour pouvoir lui faire l'amour.


Mon cœur battait fort, très fort subitement. Elle se collait contre moi de nouveau, elle me caressait le torse, le ventre et s'arrêtaient sur mon dispositif de chasteté, elle s'amusait avec mes couilles en les malaxant bien, longuement. Ce n'était pas totalement agréable mais je laissais faire.


Elle allait me libérer !


Il m'a fallu un moment pour comprendre, elle n'allait pas me libérer. Elle s'amusait avec moi, c'est tout. Je ne vous dis pas la déception, c'est que j'y avais cru moi. En plus je ne débandais pas. Ma queue était ferme et aussi dure que possible, elle était aussi grosse qu'elle le pouvait, mais là c'était un peu limité, rien ne dépassait des six centimètres de la cage. Ce dispositif est impitoyable et ma femme encore plus.


Elle passait sa cuisse par dessus la mienne, glissait sa jambe entre les mienne et par un mouvement lent et doux, elle se caressait la vulve sur ma cuisse.


Au début, j'ai pas compris. '' Elle ne va pas oser ? '' me demandais-je … Et bien si, elle a osé ! Elle s'est masturbé sur ma cuisse ! Elle s'est masturbé sur ma cuisse !


Ses caresses devenaient plus intenses, plus lentes. Elle glissait sur moi, écrasait sa poitrine sur la mienne. Et m'embrassait avec passion. Je finissais par me laisser aller, je refermais mes bras sur elle, je ma caressait. Je sais ce qu'elle aime comme les caresses. Et rapidement j'étais encouragé par ses gémissements.


La fièvre montait, ma queue protestait, c'en était presque douloureux. Elle savait parfaitement ou j'en étais. Régulièrement elle me tripotait les couilles, elle n'y mettait pas beaucoup de tendresse mais ça me faisait du bien.


Son entre cuisse glissait sur ma cuisse, sa jambe gauche se repliait et me soulevait les couilles, me les écrasait un petit peu aussi. C'est pas moi qui était dans la position la plus confortable.


Moi, j'étais juste un sex-toy à ce moment !


J'ai pas vraiment aimé.


Et elle faisait durer la petite, elle faisait durer, c'est tout son corps qui glissait sur le mien. C'est pas désagréable, je ne dis pas mais voilà. Moi j'étais de plus en plus stimulé, mon désir montait, je manquais d'air. Je transpirais, si je gémissais c'était pas le plaisir mais justement le manque de plaisir qui se rajoutait au désir qu'elle faisait naître en moi.


Je n'avais pas, je n'avais plus envie d'elle. J'avais besoin de sexe, juste de sexe. J'avais besoin de me glisser en elle, elle ou autre chose, j'avais besoin de prendre du plaisir et à ce moment peut importait avec qui ou avec quoi. Je tremblais.


Elle tremblait elle aussi et ses gestes devenaient plus saccadés, son souffle devenait plus fort et moins régulier, plus rapide, plus lent, plus bruyant et quelquefois elle criait.


Je voyais le plaisir monter en elle, elle se masturbait sur ma cuisse avec encore plus de force, et encore et encore. Je sentais son souffle sur mon visage, moi aussi je respirais fort mais moi c'était pas le plaisir, c'était la frustration.


Arrivé à ce niveau vous devez imaginer que j'avais compris que pour moi ce serait ceinture, que moi je ne serait ce soir qu'un hors-d’œuvre, une gourmandise. C'est elle, et seulement elle qui se régalait, qui se délectait de moi. Elle m'embrassait, ses lèvres se promenaient sur mon corps, sur mes lèvres.


Elle glissait sur moi, je me retrouvait allongé sur le dos, les bras en croix et les jambes légèrement écartées. Je ne bougeait plus, j'étais devenu une sorte de tapis doux, chaud et confortable. Une sorte de poupée sexuelle mais sans sexe.


Un moment elle s'attardait sur mes couilles puis regardant ma cage …


Il faudra y mettre un gode, il paraît qu'ils en font qui s'adaptent parfaitement sur ce dispositif.

Tu sais il y a déjà quelque chose qui …

Tu parles, tu éjacules et ensuite c'est dodo. Il y a des fois ou j'ai même pas le temps de te sentir. Avec un gode, il n'y a pas de panne, toujours prêt, aussi longtemps que je le décide.


Puis elle continuait à se masturber sur ma cuisse encore et encore et sans fin et sans espoir pour moi. Elle était en sueur, je sentais comme une certaine crispation dans sa voix. Elle allait jouir, elle jouissait dans mes bras, et moi, je n'avais que le droit de la retenir, de la sentir vibrer puis de sentir son corps se relâcher, retomber, comblé sur moi.


Elle ne bougeait plus. Dans ma cage, c'était la révolte, ma queue n'acceptait pas cette nouvelle situation. J'ai bien cru aussi que mon cœur allait lâcher, mais je suis sportif et j'ai vingt six ans. A ce rythme là remarquez, je ne vivrai pas vieux. Mais j'en étais pas encore là.


Elle se retournait et retombait sur le dos à côté de moi. Elle avait un large sourire de satisfaction. Elle récupérait et moi je m'interrogeais. Je repensais à ces derniers événements. Adam l'autre jour, sa queue, je pensais à sa queue. Elle était énorme et avait bien glissé dans mon cul l'autre jour. Il m'avait fait mal mais maintenant, je m'en était remis et j'avais envie de recommencer.


Ça non plus je ne l'avais pas vu venir !


Je ne savais pas si c'était juste le manque qui me donnait de telles envies. C'est vrai quoi, moi je suis un petit gars hétéro qui avait juste envie de sauter sa femme. Et j'étais là, allongé sur le dos dans mon lit, à poil, ma femme à côté de moi, qui pensais et fantasmais sur la bite géante d'un mec que j'avais rencontré …


Était-ce bien naturel tout ça ?


C'est vrai que ça ne me le faisait pas avant que je mette cette cage à bite. Elle était minuscule, à peine la taille de ma queue au repos. Je vous jure il n'y avait pas beaucoup de place pour me développer, pas du tout de place en fait. Je ne pouvais absolument pas bander. Ma queue pouvait toujours devenir plus dure mais pas plus grosse.


Et le système anti pull off était tout simplement démoniaque. Il fallait ouvrir le système si on voulait ressortir la queue. Avec les dispositifs classique, normalement, enfin c'est ce qu'on m'a dit, on doit pouvoir retirer sa queue par le dessus. Quelquefois c'est vrai on a du mal à la remettre en place mais là.


Il n'y avait pas moyen, j'ai essayé.


Un conseil, ne faites pas comme moi, ne choisissez pas un dispositif équipé d'un anti pull off. C'est vrai, un instant j'avais oublié que c'est pas moi qui avait choisi.


Ma queue était et restait totalement confinée, réduite à sa teille minimum elle ne pouvait rien faire. Sinon protester mais j'étais le seul à m'en rentre conte. Ma femme allongée à côté de moi s'était allongée sur le côté et me tournait le dos.


Moi je ne savais plus quoi faire, tout ce que je savais c'est que je n'arriverais pas à dormir après tout ça.


Ma queue continuait à protester pendant toute la nuit. J'ai presque pas dormi de la nuit. Ce n'était pas le cas pour Nadine, elle dormait du sommeil du juste ou plutôt dormait du sommeil de la satisfaite, celle qui à pris son pied et se moque désormais du reste.


Elle avait joui, moi pas !



Je sursautais le lendemain. Nadine se levait sans me ménager, elle ne faisait pas attention à ne pas me réveiller.


Allez, tout le monde debout. J'ai merveilleusement bien dormi.


Je me levais en ronchonnant, mais sans faire trop de bruit, je ne voulais pas la contredire.


C'est entièrement nue qu'elle passait sous la douche, ensuite elle chantonnait en se dirigeant vers la cuisine. J'avais passé mon pantalon.


Et bien Charly ! Tu ne prends pas ta douche ?


Je n'avais plus le choix, je retirais mon pantalon et passais sous la douche puis je passais de nouveau mon pantalon …


Oh non Charly, soit mignon, j'aime bien te regarder à poil, j'aime bien te voir déambuler dans l'appartement complètement nu. Retire ton pantalon ! S'il te plaît.


Alors là, c'était bien la première fois qu'elle me la faisait celle là. J'y croyais pas. Ma queue protestait déjà, érection du matin en plus du fait que je restais à poil avaient cet effet.


Elle s'amusait de me regarder, elle me souriait avec un regard vicieux que je ne lui connaissais pas.


Tu as l'intention de me garder longtemps dans ce truc ? Lui demandais en lui montrant ma cage.

Je crois que tu vas aimer !

Non ! J'aime pas !

Laisse le temps te convaincre.


On voit bien que c'était pas elle qui devait porter ce dispositif démoniaque. Il était confortable, ça il faut le reconnaître. Ce n'était pas douloureux, ça aussi il faut le reconnaître. Mais, il y avait un mais.


En fait, je me demande si je vais te libérer. Tu devrais pouvoir prendre ton pied par le cul. L'autre jour, tu nous as montré de très bonnes dispositions.


Je la regardais incrédule.


C'est qu'il en a une grosse mon collègue Adam.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Bad boys 02

 Bad boys 02




Le gardien se relevait, il avait une salle tête. Il s'appuyait contre le grillage qui entourait le parking de l'usine. Tommy se dégourdissait les jambes en sautant sur place. Puis attrapait le gardien et sans rien demander à personne lui enfilait sa bite dans le cul.


Bref il faisait pareil que son pote Richard. Sans traîner il burinait avec violence. Avec Richard le gardien était penché en avant, maintenant il était presque debout, il se cramponnait au grillage, légèrement penché en avant. Il écartait les jambes et Tommy poussait sa bite bien à fond, il était obliger de se mettre sur la pointe des pieds.


Mais là, au moins il pouvait râler, et il ne s'en privait pas. Tommy râlait de plaisir, le gardien gueulait de plaisir également. Richard regardait la scène en se tripotant la queue et les couilles. Après tout ça, il gardait encore une grosse molle qu'il tripotait avec acharnement.


Il regardait son pote Tommy qui se lâchait sur le cul du gardien. Il se retirait complètement, glissait un doigt dans le cul du gardien, puis revenait à la charge en y glissant rapidement sa queue et ensuite en poussant très for vers le haut. Le gardien gémissait et se soulevait comme il pouvait mais toujours encaissait, les deux étaient sur la pointe des pieds.


Richard s'approchait d'eux, il s'appuyait le dos contre le grillage juste à coté du gardien, il le regardait se faire enculer et jaugeait de la violence des coups.


Ensuite, comme par distraction il glissait une main sur le sexe du gardien et s'amusait à lui tripoter sa cage à bite. Le pauvre gardien laissait faire. Il se faisait ramoner le cul avec force et dans un même temps on le titillait là ou ça devait bien le chatouiller.


Richard sentait que la pression montait dans la cage. Au début elle pendait mollement, maintenant elle avait tendance à se relever. Richard pouvait constater qu'à l'intérieur la petite nouille qui s'y trouvait devenait plus dure. Il passait alors a ses couilles.


Elles étaient elles aussi de petite taille. Gros bonhomme bien large, bien carré et petit zizi, petites couilles. Richard s'amusait de cette comparaison. Il saisissait les couilles du gardien et refermait sa main dessus avec force. Le gardien râlait mais là ça ne devait pas être que du plaisir. Avec la main le gardien essayait de se dégager mais Richard ne lâchait pas, le rebelle !


Tommy ne mollissait pas et continuait à buriner le cul du gardien avec conviction. Il se retirait presque entièrement puis il revenait avec force. Chaque coup porté était violent, rapide. A chaque fois il s'enfonçait bien, son ventre venait s'écraser contre les fesses du gardien.


A chaque fois il poussait ensuite de toutes ses forces comme s'il pouvait s'enfoncer encore un peu loin dans les entrailles du gardien. Chaque coup se voulait plus fort que le précédent. Chaque coup porté arrachait des plaintes et des gémissements surtout que Richard écrasait les couilles du gardien à chaque coup que portait Tommy. Quand Tommy se retirait, Richard relâchait également.


Ce jeu se prolongeait encore un moment dans la nuit. Le silence de la nuit était ponctué par des cris réguliers plus ou moins fort et qui semblaient plus ou moins douloureux.


Si des passants avaient entendu ces gémissements, c'est sûr, ils auraient alerté la police, heureusement le site était isolé, loin de tout et il n'y avait pas de passants.


Il y avait un homme d'âge mur,corpulent, large et musclé entièrement nu qui se cramponnait au grillage, dans son dos un autre homme plus jeune, très jeune même, qui l'enculais vigoureusement, un autre homme jeune également qui tenait le premier par le sexe.


Et les coups tombaient avec régularité et violence.


Par moments les coups devenaient plus rapides, plus violents aussi. Par moments les cris et les gémissements se faisaient entendre plus fort, plus loin. A d'autres moments tout semblait se calmer. C'est Tommy qui marquait la cadence à la manière d'un métronome.


Richard suivait toujours, il continuait à écraser les couilles du pauvre gardien qui s'était résigné. Il râlait à chaque fois que Richard lui écrasait les couilles. Avec sa main il tentait de retenir la main de Richard qui s'amusait beaucoup à ce jeux.


Le gardien faisait d'horribles grimaces, il pleurait peut être même mais ne demandait pas pitié. Il devait savoir que Richard ne l'écouterait pas, à moins que … Quelquefois, c'est vrai, le plaisir est très proche de la douleur et c'est sans doute pour cela qu'au bout d'un long moment, d'un très long moment il éjaculait. Là il n'y avait plus de doute, les cris qu'il poussait n'étaient que du plaisir. Et Richard continuait à lui écraser les couilles avec régularité en suivant le rythme imposé par Tommy.

Peut après c'est Tommy qui gémissait fort, à son tour sa respiration s'accélérait et il hurlait lui aussi au moment ou il jouissait dans le cul du gardien. Un dernière fois Richard refermais sa main très fort sur les couilles du gardien qui hurlait lui aussi, puis tout le monde se calmait.


Tommy se retirait, s'essuyait la queue qui restait encore bien grosse pendant un long moment mais redevenait malléable, une grosse molle quoi, une très grosse molle comme celle de Richard.


Il était toujours là celui-là. Il s'était décidé à lâcher les couilles du gardien qui devait se sentir soulagé. Il continuait à se tripoter et à se masturber. Il ne bandait plus vraiment, il avait lui aussi une grosse molle.


Le gardien s'essuyait puis sans rien dire se rhabillait, il se rendait très rapidement présentable devant les deux gamins qui le regardaient avec un air patibulaire. C'est vrai que ces deux là réussissaient plus facilement à avoir l'air patibulaire que l'air ''Bad-Boys''.


Il restaient là, bêtement à discuter.


Dis moi Lucien, tu ne nous en veux pas trop pour ce soir ?

Mais non, mon petit Richard, je sais bien que vous êtes deux mauvais garçons. De vrais voyous, je sais qu'il ne faut surtout pas s'attendre à mieux de votre part !


Les deux gamins se regardaient avec un sourire satisfait tout en continuant à se branler. Ils s'astiquaient le manche comme stimulé par ce compliment, chacun conservait une grosse molle bien grâce qu'on avait envie de tripoter et de malaxer, c'est ce qu'ils faisaient.


Bon ! Vous allez passer la nuit ici, les jeunes ?

On fait ce veut ! Rétorquait Richard.

Ouai ! On fait ce qu'on veut ! Rajoutait Tommy.

C'est vrai, j'avais oublié … Rajoutait le garde … Mauvais Garçons !

Parfaitement ! Concluait Richard.

Ouai ! Bad Boy ! Rajoutait Tommy.


Le gardien levait les yeux au ciel avec un large sourire.


Il n'empêche que toi tu n'as pas l'air vraiment malin avec ta cage à bite taille mini. Lançait Richard sur un ton méprisant.

Gros bonhomme mais p'tit bite et p'tit couilles, c'est pathétique! Rajoutait Tommy.

Tu aurais pas pu trouver un boulot moins humiliant ? Demandait Richard.

Il a raison n'empêche. Concluait Tommy.

Vous pouvez parler les jeunes. On m'a dit que vos parent vont vous envoyer à la PK Université à la rentrée prochaine !


Là les deux gamins ne répondaient pas. Le gardien avait fait mouche. Pour ceux qui ne connaissent pas, c'est une école très réputée, de très très haut standing et surtout très chère dans laquelle tout le monde doit porter un dispositif de chasteté pendant toute la scolarité.


Qui t'a raconté ça ? Demandait Richard.

Tout le monde sait que vos notes à l'école sont des plus mauvaises. Plus basses vous trouvez du pétrole.


Les deux gamins faisaient la gueule, ils n'aimaient pas vraiment qu'on leur rappelle cette menace qui pesait sur eux. Là ils faisaient la gueule et c'était pas pour faire Bad-Boys, pour une fois.


Tu peux parler toi ! Rajoutais Tommy qui ne savait pas quoi dire

Vous verrez les jeunes, on finit par y prendre bien du plaisir.


Les deux gamins ne répondaient rien ils étaient dégoûtés.


Ils n'auront pas notre taille ! Rétorquait Richard.

Ouai ! Il n'auront pas notre taille de toutes façons. Rajoutait Tommy.


Le gardien, Lucien maintenant qu'on connaît son nom, pouffait de rire.


Allez dire ça à mon collègue de travail. Il portait une taille sept quand il en a mis une pour la première fois, maintenant il a une taille cinq, c'est plus discret. C'est ce qui va vous arriver.


Il regardait la réaction des gosses. Là ils ne faisaient plus les malins, les deux jeunes branleurs. Puis il continuait.


La taille sept, vous la passez, c'est votre taille actuelle. Ensuite avec un peu de temps, on écrase un peu et on comprime. On vous fait passer une taille six et avant d'avoir compris ce qui vous arrive. Vous vous retrouvez avec une taille cinq.


Les deux gamins ne réagissait toujours pas. Lucien continuait.


On en a vu d'autres bien pires que vous. Certains se son retrouvé dans une cage taille quatre et là je vous jure que la branlette, c'est fini depuis longtemps.


Tommy se rhabillait. Richard faisait de même. La situation redevenait un peu moins insolite. Il y avait maintenant trois hommes qui discutaient, tous les trois dans une tenue normale, il n'y avait plus rien qui pouvait choquer les passants, et de toutes façons, il n'y avait toujours pas de passant.


Un peu plus tard, les deux jeunes montaient dans leurs voiture une Tesla blanche de fils de bobo qu'était son propriétaire.


Le téléphone du gardien sonnait.


Tu t'es pris de quoi dans le cul ce soir encore !

Tu as vu ça ! Répondait Lucien en regardant vers la caméra. Et ils sont bien monté ces deux là.

Le fils du patron tout de même ! Tu les as mouché à la fin.

Ils s'y feront à la cage, ils s'y font tous.

Mais ces deux là vont souffrir.

A cause de leur taille ? Demandait Lucien. Tu t'y es bien fait toi !

Oui mais moi, je suis passif, eux ils sont actifs !

Dans la voiture les deux lascars avaient déjà oublié la menace qui pesait sur eux et discutaient.


Elle craint ta caisse ! Déclarait Tommy.

Beuh, pourquoi ? Parce que c'est une Tesla ?

Non mais parce qu'elle est blanche !

Et le blanc ça fait pas vraiment '' Bad Boy'', tu as raison.

Mon papa va m'offrir une voiture, et elle sera noire. Rajoutais Tommy avec un air satisfait.


C'est vrai que l'air satisfait ou l'air un peu bête il y arrivent très bien !


En noir ! Oué ! Ça va le faire ! Là ça fait vraiment ''Bad Boys''. Et c'est quoi comme voiture ?

Une ''Classe A'' ! Rajoutait Tommy avec un petit sourire idiot.


Conclusion, les Bad-Boys, c'est plus ce que c'était !



Fin




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Pour faire plaisir à Madame 03

 Pour faire plaisir à Madame 03




C'était la première fois de ma vie que je suçais une queue, je n'avais jamais penser le faire un jour, je comprenais que en fait je l'avais refoulé. En fait j'avais toujours eu envie de me faire un mec, de lui faire un gros câlin et de lui sucer la queue.


Une grosse queue finalement c'est attirant, ça vous retourne la cervelle. Tout en me disant cela, je laissais le tour à ma femme, elle faisait ça mieux qu'avec moi, elle y mettait un peu plus de cœur, là j'étais sûr qu'elle faisait aussi ça mieux que moi.


Accroupi dans le dos de ma compagne, je sentais la douceur de sa peau, ma queue se relevait toujours ferme et très en forme entre ses fesses. Attention pas dans son cul, juste entre ses fesses. Pour passer par derrière je préférais attendre qu'elle m'y invite, je n'avais pas du tout envie qu'elle me tape dessus. Je passais mes bras autour d'elle et l'embrassait dans le cou pendant qu'elle suçait la queue d'Adam.


Je glissais mes mains entre ses cuisses et explorait son corps, la douceur de son corps, la douceur de sa peau.


Elle me faisait faire de ces trucs ma femme quand même. Elle me surprenait, je ne l'avais jamais vu déchaînée comme ce jour là. Elle était plutôt réservée au niveau sexuel, j'avais droit au sexe une fois par mois en temps normal.


Mais là je ne me posais pas de question. J'aimais ce qui était en train d'arriver et je me laissais aller. Quand elle s'est relevée je continuais à sucer la queue d'Adam. Il s'en amusait, il avait compris que ça, c'était pour moi ce n'était plus pour obéir à ma femme, que c'était aussi pour mon plaisir. Il me saisissait la tête et appuyait fermement pour forcer sa queue à entrer.


Nadine revenait avec des rafraîchissements. Je finissais par me relever à mon tour pour me désaltérer.


On dirait que tu aimes ça ? Me demandait Nadine.

C'était pas la première fois pour lui ? Demandait Adam.

Il semblerait que si ! Répondait Nadine.


Je faisais oui de la tête, la tête me tournait, j'étais un peu euphorique. Je bandais ferme.


Tout en rigolant Adam me saisissait, les mains sur mes hanches, et me tirait vers lui, mon dos contre lui. Il glissait alors sa queue entre mes cuisses, je la sentait qui me soulevait les couilles, comme je vous le disais elle était de belle longueur.


Il me saisissait alors la queue.


Elle est presque aussi large que la mienne. Faisait-il remarquer.

Elle est moins longue. lui répondais-je.


Il me serrait contre lui en me caressant d'une main, avec l'autre main il me tripotait les couilles et me masturbait.


Tu as pensé à … ? Demandait-il à Nadine.

C'est prévu, c'est pour ce soir. Répondait-elle.

Et de quoi vous parlez ? Demandais-je.

On avait parlé de passer par derrière ! Me répondait Nadine.

Tu n'as encore jamais essayé ? Me demandait Adam.


Il me tenait toujours bien serré contre lui, ma queue répondait à ses caresses et déjà je respirait très fort.


Non , ce sera une première. Je ne pensais pas que Nadine soit portée sur ce genre de pratiques.

Tu vas voir, tu vas aimer. Me répondait Adam.


Il continuait à m'envelopper dans ses bras, il y avait toujours une main qui me masturbait ou qui me tripotait les couilles. Je le laissais faire, j'étais aux anges. Il y avait sa queue bien ferme et bien grosse qui glissait toujours entre mes cuisses.


Passer par derrière devenait une obsession, en fait je n'y avait jamais trop pensé mais depuis que Nadine m'en avait parlé, je ne pensais plus qu'à ça. J'avais évité de réclamer et on était arrivé au grand soir. J'allais connaître ce plaisir. Je me demandais la différence que ça ferait. Si il fallait pousser fort ou pas, si c'était aussi large pour passer, si ça résistait, si …


Je m'abandonnait aux caresses d'Adam. Nadine s'approchait de moi. Au début c'était elle qui était en sandwich, à ce moment de la soirée, c'est moi qui était pris en sandwich.


J'avais le corps chaud et doux de notre invité dans mon dos et le corps doux et lisse de ma femme contre mon ventre, ses seins contre mon torse. Elle m'embrassait, il me caressait, je me laissait faire et je ne pouvais plus que gémir de plaisir. Nous étions debout, Nadine était appuyée contre un mur.


Nadine appuyait sur ma queue qui n'avait que l'idée de se redresser et s'enfilait dessus. Pénétration verticale, les mains de Adam arrivaient pour stimuler un peu plus Nadine. Elle nous saisissait tous les deux en même temps et tirait Adam vers elle, au milieu il y avait, moi.


Je participais un peu, je me penchais vers Nadine et l'embrassait partout ou je pouvais. Sur ses seins, sur ses épaules. Adam faisait glisser sa queue entre mes fesses tout en me penchant un peu en avant.


Au bout d'un long moment Nadine se dégageait et s'installait sur le fauteuil, les jambes très écartées, totalement offerte et facile d'accès. Je prenais position, Adam me lâchait et me laissait faire, rapidement je me glissait dans la vulve de Nadine.


Elle gémissait de plaisir, j'aimais bien , la position n'était pas habituelle mais c'était bien de changer un peu. Adam me caressait les fesses, il utilisait un truc froid et humide, sa main glissait bien et c'était agréable puis il s'allongeait presque sur moi.


C'est alors qu'il m'enfonçait sa queue dans le cul.


Nadine me retenait en resserrant les cuisses. Adam se cramponnait à moi, j'étais coincé, je ne pouvais plus me dégager.


J'ai hurlé !


Je vous jure ça fait un mal de chien mais il y avait le regard de Nadine. Elle tirait mon visage vers le sien.


On avait bien parlé de passer par derrière ? Me rappelait-elle. Laisse le faire.


Le ton de sa voix était autoritaire. Je n'avais pas vraiment le choix à cet instant. Je le sentais glisser en moi, il me dilatait le cul. Il était large, moi je suis tout petit à côté de lui. Nadine n'aurait pas eu aussi mal. C'était Nadine que je devais enculer pas …


J'ai bien cru qu'il allait ressortir de l'autre côté quand son ventre s'est écrasé sur mes fesses mais une queue qui ressort par la bouche de celui qui se fait enculer, je pense que ça ne s'est jamais vu. C'était l'horreur, c'est vraiment très douloureux. Je ne sais pas si vous avez essayé mais je ne vous le conseille pas.


Je ne disais rien mais j'aurais fait n'importe quoi pour que cette torture cesse. Mais il y avait le regard de Nadine qui m'observait dans les yeux, et je voyais un certain plaisir dans son regard.


Je ne sais pas comment je faisait pour supporter. Adam appuyait son ventre contre mes fesses et moi je faisait une grimace et Nadine me faisait un sourire et j'avais vraiment mal et …


Je hurlais de nouveau !


Ça va Charly demandait Adam …

Ça va ! Répondait Nadine.


D'accord je n'avais pas à donner mon avis moi. Alors là elle m'avait bien eu Nadine. Mais ce n'était que le début …


Adam appuyait fortement contre mes fesses puis se retirait. Là je pensais que c'était le pire mais en fait le pire était à venir. Il revenait avec force. De nouveau j'ai hurlé.


Calme toi, tu vas voir ça va aller mieux !

Adam revenait à la charge, il s'enfonçait de nouveau bien à fond, et de nouveau je hurlais. C'était toujours aussi douloureux. Je retenais mes cris de douleur.


C'est vrai ça, c'est pas ce qui était prévu.


Ce qui était prévu c'est que je devais défoncer le cul de ma copine, la faire couiner, la faire hurler je dis bien hurler maintenant que je sais ce que ça fait. Ce qui était prévu c'est que je devais m'amuser et là je ne m'amusais plus vraiment.


Adam me limait le cul, maintenant il entrait et ressortait lentement mais je sentais le moindre de ses mouvements. Je ne sais pas si c'était une impression mais il me semblait que ça faisait un peu moins mal, enfin peut être.


Le mouvement de va et bien continuait, Adam me prenait fermement par les hanches et m'entraînait avec lui il me tirait en avant, en arrière, il s'enfonçait, il ressortait et ma queue en faisait de même.


J'étais confortablement installé la queue dans le sexe de ma femme et pourtant je l'avais complètement oubliée celle-là. C'est l'avantage d'avoir vingt quatre ans ça, je bandais toujours et ma bite glissait en elle en suivant le mouvement que m'imposait Adam. Et je ne sais pas pourquoi mais Nadine semblait prendre son pied comme elle ne l'avait jamais fait avant.


Ça m'encourageait à continuer, à supporter. Tel que c'était parti cette histoire je ne risquait pas de jouir, et encore moins d'éjaculer. Mais ce n'était pas le cas d'Adam.


Il me limait le cul avec plus d'énergie, il accélérait, pour moi c'était l'enfer. Il finissait par jouir dans mon cul. Il me donnait un dernier coup de bassin plus violent que les autres, je fondais en larmes et m'écroulais sur ma femme. Elle jouissait à son tour, je sentais ses muscles se contracter autour de ma queue, et elle aussi poussait un cri dans mon oreille.


Ensuite tout allait vite, très vite. Adam se retirait, je me sentais tout drôle. J'éjaculais, je jouissais sans comprendre comment ça avait pu arriver. J'avais mal au cul comme jamais, j'avais pas vraiment aimé mais je ne sais pas ce qui s'était passé mais j'avais pris mon pied.


Au moment ou Adam s'était retiré, mes sensations s'étaient affolées. Nadine était aux anges et moi j'avais pris mon pied. Je ne comprenais plus rien. Mais je me sentais bien, à par que j'avais mal au cul.


On se retrouvait tous les trois allongés sur le dos, j'étais sur le tapis avec Adam, Nadine était restée sur le lit.


Elle avait raison, ta femme, elle m'avait dit que tu aimerais. Me disais Adam.

Elle ne m'avait pas présenté les choses comme ça ! Lui répondais-je.


Il rigolait.


Tu n'oublies rien Nadine ?


Elle ne répondait pas, elle avait disparu. Elle est revenue un peu plus tard, elle avait dans les mains un petit paquet qu'elle déposait sur mon ventre.


C'est pour toi ! Me disait-elle ;

C'est quoi ? Demandais-je.


Je regardais dans la boite, c'était un petit dispositif de chasteté de grande marque, un truc réputé inviolable et tout et tout.


Tu l'enfiles ! Me disait Nadine. Ensuite je te promet que ta vie va changer !


Vous savez j'étais complètement retourné, mon cerveau était en pause, c'est mécaniquement que j'enfilais ce dispositif. Je devais me dire que ça m'éviterait de passer de nouveau par derrière, ça devait être ça il me semble.


J'entendais un petit clic sans réagir. Nadine me tendait le cadenas, je le refermais et lui rendais la clé. Toujours sans réagir bien sûr. Adam rigolait à côté de moi. Je n'ai jamais revu la clé depuis ce jour là et vous savez il est repassé par derrière plus d'une fois depuis. Porter un tel dispositif ne vous protège pas.


Mais j'ai fini par apprécier, maintenant j'adore …



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Pour faire plaisir à Madame 02

 Pour faire plaisir à Madame 02



Quelques semaines passaient et je n'osais pas en reparler. Remarquez je n'osais plus, j'avais renoncé à exprimer mes désirs, nos amours battaient de l'aile. Elle était devenue plus froide qu'au début de nos relations, avant notre mariage.


Par moment je me demandais si elle n'avait pas un amant. Elle aurait facilement pu s'en trouver un, vous savez elle était encore vraiment canon pour son âge. Mais bon, vingt cinq ans c'est encore jeune, moi je me sentais toujours jeune à cette époque.


Je me sentais jeune et mes besoins sexuels n'étaient pas satisfaits. Je me masturbais tous les jours, je pense que Nadine s'en était rendu compte. Je ne sais pas trop à quel moment mais vous savez comment ça marche, on bande au moins une fois par jour, enfin un peu plus même et forcément on fini par céder à l'appel de la bête.


Et paf, on en met partout. Moi je suis organisé, j'utilise un essuie tout. Vous savez ça éponge bien. Enfin, bref, je crois que je m'écarte de mon sujet initial là. Non ?


Donc elle se servait de moi, une fois par mois, je précise que je dormais toujours nu et quand je la prenais dans mes bras je bandais. Elle ne pouvais pas ne pas s'en rendre compte. Comme je vous disais j'ai une grosse queue bien longue et large. Oui enfin bon, pas trop longue mais large, bien large.


Elle s'en amusait. Et me laissait dans ma frustration et mon désespoir et mon désarroi et … Oui bon, Ok, il semblerait que ça n'inspire aucune pitié à mes lecteurs tout ça … Pff pôs une vie  !


Un jour Nadine, Nadine c'est ma copine et accessoirement ma femme … Nadine donc arrivait vers moi.


J'ai envie de mettre un peu piment dans notre vie amoureuse !


Je la regardais, probablement l'air bête.


Ce soir j'ai invité un mec qui travaille avec moi.


Dans ma tête, je me répétais ce qu'elle venait de dire … Vie amoureuse … collègue de travail … Et je me demandais sérieusement.


Mais qu'est ce qu'elle me prépare là ? Ai-je pensé à haute voix.

Et on pourra étudier le projet de … Passer par derrière !


Là j'ouvrais deux grands yeux incrédules. Instantanément je bandais mais là je me suis bien retenu de me branler. Je me suis réservé pour la soirée.


Nadine préparait une soirée spéciale, elle mettait les petits plats dans les grands. Au sens propre, et c'était la vaisselle des grands jours. Je l'aidais à préparer la table, je m'étais bien … pardon … Elle m'avait bien habillé. Pantalon du dimanche, chemise blanche, cravate, enfin la totale je vous laisse imaginer. J'étais beau comme un prince et je me sentais sexy.


Pendant toute le début de la soirée, en attendant l'arrivée de notre hôte, je bandais … J'étais tout content et ma queue frétillait à l'idée de passer par derrière.


On sonnait à la porte, je me précipitait sans me presser, il fallait que je me contrôle, pendant que ma femme retirait son tablier et se passait un dernier coup de brosse dans les cheveux.


J'ouvrais … Je me retrouvais le nez dans un grand bouquet de fleurs. Je relevais les yeux et je voyais un homme grand, bien plus grand que moi, il avait un sourire éclatant, deux rangées de dents plus blanches que blanc. Un visage marron foncé. Il était beau comme un dieu.


Heu ! C'est pour moi, mais il ne fallait pas ! Arrivais-je à bafouiller en regardant les fleurs.


Nadine arrivait.


Adam ! Nous t'attendions. Mais entre ne reste pas devant la porte. Charly laisse entrer notre invité. HIIIIIIIIIII ! Des fleurs, mais il ne fallait pas !


Je m'écartais, elle prenais le bouquet de fleurs, en reniflait rapidement une puis me le jetais presque dans mes bras en me disant sans me regarder.


Va mettre ça dans l'eau toi !


Là elle n'en avait plus que pour notre hôte, elle était tout sourire, attentionnée.


Tu pourras faire le service Charly tu veux boire quoi Adam N'oublie pas les gâteau apéritifs Charly tu ne connais pas mon époux Charly nous nous connaissons depuis notre adolescence et nous sommes toujours ensemble Tu n'es pas marié toi il me semble mais je croyais que tu vivais en couple …


Elle parlait, elle parlait, elle ne parle jamais autant d'habitude. Mais là je ne disais plus rien. Je servais les apéritifs, les cacahuètes et j'écoutais. Que faire d'autre, je jetais régulièrement un œil vers Adam. Il était beau et je suppose que c'est le manque de sexe que m'imposait Nadine qui me faisait regarder, admirer un homme. Je le trouvais sexy, et je bandais.


Je me disais aussi que si on devait passer par derrière ce soir, Nadine le sentirait passer, une grosse bosse entre ses cuisses laissait deviner le pire, ou le meilleur.


Je n'avais jamais vu Nadine dans cet état.


Ensuite on passait à table. Elle avait cuisiné une partie de l'après midi et elle cuisine très bien. Même si elle cuisine de moins en moins, enfin pour moi.


Pendant le repas, je ne loupais un geste de notre invité, il était sexy, sa peau très foncée devait être douce et je me demandais si elle était aussi douce que celle de Nadine, elle en avait l'air.


Ensuite nous sommes revenus au salon. Adam et moi nous installions dans un fauteuil et sans prévenir, Nadine décidait de prendre le contrôle de la situation. Elle mettait de la musique, et commençait à danser au milieu de la pièce.


Peu à peu on la voyait retirer ses vêtements, je n'ai pas réagi tout de suite mais quand je l'ai vue en petite culotte, je me suis dit que … Non je déconne j'ai tout de suite vu que quelque chose de nouveau arrivait.


Mais elle a tout de même fini par se retrouver en petite culotte. Quand elle la retirée, ce n'était pas son cul que je regardais mais la masse large et allongée qui apparaissait contre la cuisse d'Adam sous son pantalon.


Sa réaction était violente, enfin spectaculaire, mais il devait y avoir une bonne raison.


Il avait une très grosse bite !


Entièrement nue, Nadine prenait la main de notre invité et le tirait vers le milieu de la salle, elle l’entraînait dans une danse langoureuse, se collait à lui, passait une jambe entre les sienne, et s'excitait en frottant sa vulve contre sa cuisse. Je regardais ça, j'étais vert.


Et en plus je bandais.


Et pour une fois, c'était pas Nadine qui me faisait bander. Je ne parvenais même pas à savoir si c'était la première fois qu'un mec me faisait bander, mais là il n'y avait pas de doute.


Elle déshabillait notre invité, qui se laissait faire en la caressant et en l'embrassant. Nadine se retournait vers moi et me disait discrètement : '' A poil ! ''. D'abord je sursautais, ensuite je m'exécutais.


On se retrouvait tous les trois à poil, j'étais impressionné par Adam, il en avait une grosse. Encore un peu plus large que la mienne et nettement plus longue. Avec Adam, nous étions face à face et entre nous il y avait le corps de Nadine qui tournait sur lui même et recevait des caresses de l'un, de l'autre, de nous deux en même temps.


Elle glissait ses mains sur nos corps, nous caressait et sans aucune retenue nous caressait la queue et nous tripotait les couilles. Elle penchait sa tête vers l'un et l'embrassait, puis changeait, c'est l'autre qu'elle embrassait.


J'étais de plus en plus impressionné par Adam, il faut dire qu'il faisait une tête de plus que moi. Son corps était musclé, ferme et sa peau captait bien la lumière, elle était marron brillante et je n'osais pas encore la caresser.


C'est lui qui a commencé, avec sa main il frôlait la mienne, puis la touchait avant de la caresser. Son corps bien serré à celui de Nadine c'est sur mon bras que sa caresse continuait. Je frémissais et décidais d'en faire autant.


Il tournait son visage vers le mien et me répondait par un large sourire. Sa main glissait sur mon épaule. Avec douceur il tirait mon visage contre le sien et m'embrassait.


Il embrassait bien et je bandais encore plus.


Nadine s'en amusait, et c'est avec ses deux bras qu'elle nous tirait contre elle. Ses bras, ceux d'Adam, ceux de Nadine, et chacun tenait fort dans ses bras le corps des deux autres.


Nadine s'accroupissait devant Adam, il bandait ferme lui aussi. Elle n'était pas impressionnée. Ma queue était moins longue mais presque aussi large, et elle la prenait facilement dans la bouche.


Je m’accroupissais dans son dos, glissait ma queue sous ses fesses. Je n'essayais pas encore de passer par derrière. Je préférais attendre qu'elle m'invite à le faire. Je posais mon menton sur son épaule et j'étais aux premières loges pour la regarder faire, elle s'en sortait bien finalement, mieux qu'avec moi. Ou alors c'était une impression, mais Adam aimait, il le faisait savoir.


Il gémissait de plaisir, il se tortillait, enfonçait sa queue bien a fond. C'est Nadine qui m'impressionnait à ce moment, elle encaissait, elle avalait sa queue avec efficacité. J'y croyais pas !


Adam retirait sa queue et je la voyais de près, elle était belle, il se retournais vers moi.


Suce ! M'ordonnait Nadine.


Je ne sais pas ce qui m'a pris mais j'ai sucé. J'ai même pas hésité une seconde. Je n'aurais jamais imaginé faire ça un jour mais, j'ai aimé.


J'ai rapidement compris que c'était pas une chose facile, c'est vrai qu'elle était grosse mais pas beaucoup plus que la mienne, elle était bien plus longue par contre et au moment ou il me l'enfonçait dans la gorge, ça m'a fait tout drôle.


J'ai été obligé de reculer ma tête, il a compris, il n'a pas insisté, il m'a laissé le temps de récupérer et ensuite est revenu à la charge. Rapidement je prenait le coup, et je m'améliorais. Je passais ma langue autour de son gland, c'était un gros gland, c'était une grosse queue, c'était appétissant. Ça faisait envie je vous jure.


Je ne comprenais plus trop ce qui se passait à ce moment, ma femme me regardait faire et quand Adam retirait sa queue de ma bouche elle la prenait dans la sienne avec délectation.


Je ne savais plus quoi dire, je regardais ma femme sucer cet inconnu, enfin pour moi c'était un inconnu. Elle le connaissait, elle avait prémédité cette soirée un peu comme on prémédite un délit. Mais tout se passait bien, il n'y avait pas de hurlement, de cris et au moment ou Adam retirait sa queue de la bouche de ma femme c'était pour la glisser dans la mienne.


Je la recevais alors avec délectation, rapidement c'était devenu un plaisir, un tout nouveau plaisir mais un plaisir.


Là je ne réfléchissais plus, là je ne pensais plus à rien je me lâchais Nadine s'en rendait compte et s'en amusait.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


INDEX

                          Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'...