La ceinture 09 Du chocolat

 La ceinture 09

Du chocolat



Les jours se suivaient et se ressemblaient. L'ennui gagnait et Romain se laisser aller à des câlins avec son passagers. Au moins deux fois par jour Romain s'amusait avec Kevin et lui pétait le cul.


Kevin finissait par aimer, il finissait vraiment par aimer. Au départ il aimait bien, quand ils sont arrivé à destination il était accro.


C'est vrai qu'ils n'avaient rien d'autre à faire.


Et tu fais quoi quand tu es tout seul sur ce genre de route ? Demandait un jour Kevin après s'être fait limer le cul proprement.

Bein je me branle ! Répondait Romain. Mais c'est pas pareil !


Tous les jours Romain remettait le camion en marche, dix heures plus tard il se garait tout seul sur la voie d'arrêt. Le camion ne peut pas manœuvrer seul mais se garer sur la voie d'arrêt n'est pas vraiment manœuvrer. Sur cette route il n'y avait pas d'escale, elle n'était pas assez fréquentée.


Chaque jour qui les conduisait un peu plus dans le nord, devenait plus blanc. Le sol se couvrait de neige, au bout d'une semaine ils étaient encore loin de leur destination mais tout était blanc. Seul la route restait d'une autre couleur tel un ruban noir qui partageait le monde en deux. Il y avait des ponts, pour rejoindre les deux côtés de la ceinture, pour permettre la circulation des animaux et des hommes. Par moment le camion passait en dessous des ponts, par moment il passait par dessus.


Kevin restait souvent au poste de passager il voulait regarder le paysage et s'émerveillait de tout ce qu'il voyait. Il s'occupait aussi en regardant la télévision sur un écran portable.


Tu n'as jamais vu la neige ? Demandait Romain.

Je viens du Sud, et la bas il ne neige jamais !


Romain commandait un arrêt du camion.


Va t'habiller chaudement on va sortir. Met tes bottes grand froids …


Kevin ne comprenait pas ou Romain voulait en venir mais il s'habillait.


Pourquoi devons nous sortir. Il fait très froid dehors, j'ai regardé le thermomètre. Demandait Kevin.


Romain ne lui répondait pas et ils se retrouvaient dans la neige, chaudement couverts. Kevin ouvrait des yeux pleins de curiosité, il n'avait jamais vu, jamais touché la neige. Il était en pleine découverte au moment ou il recevait une boule de neige dans la figure.


Il relevait la tête sans comprendre et voyait Romain en train d'en préparer une autre. C'était parti, il ne fallait pas longtemps à Kevin pour comprendre comment faire et il ripostait. Suivait une bataille de neige mémorable.


Le camion s'était arrêté en hauteur, juste en dessous de la route il y avait un passage, ils étaient sur un pont de plus de deux kilomètres de long. Romain conduisait son compagnon sur la partie la plus haute, depuis cet endroit, la vue était époustouflante.


C'est beau ! Déclarait Kevin sur un ton qui ne cachait pas son émotion.


Le paysage se déployait jusqu'à perte de vue, une plaine entièrement blanche. On voyait le relief et la végétation mais tout était recouvert par une couche de neige.


Romain laissait à Kevin le temps de contempler le spectacle, puis lui lançait de nouveau une boule de neige. Kevin sortait de son rêve. Romain lui faisait signe d'arrêter et l'invitait à faire une grosse boule. Ils les ont ensuite empiler l'une sur l'autre et c'est ainsi que Kevin a fait son premier bonhomme de neige.


Il commençait à grelotter quand Romain ordonnait le repli ver le camion. Ils étaient trempés.


C'est beau la neige mais c'est froid ! Déclarait Kevin.

Et mouillé ! Rajoutait Romain.


Romain se débarrassait de tous ses vêtements, les lançait à Kevin.


Va mettre les vêtements mouillé dans le sèche linge, ne garde pas tes vêtements mouillés.


Kevin revenait un peu plus tard, il était à poil et Romain avait préparé un chocolat chaud.


Ça aussi, ça fait partie des plaisir de la neige. Disait il à Kevin en lui tendant un grand bol.


C'est en silence que Kevin dégustait son chocolat chaud. Il était ému, c'était nouveau pour lui cette manière de se faire traiter, il n'avait pas vraiment connu de foyer chaleureux.


Je savais pas que c'était aussi bon ! Déclarait-il sur un ton ému.

Tu n'avais jamais bu du chocolat chaud ? Lui demandait Romain.


Kevin faisait non de la tête.


Chez les anciens précolombien, le cacao avait plus de valeur que l'or !

Je les comprend, avec l'or on ne doit pas pouvoir préparer une boisson aussi délicieuse. On pourra en boire de temps en temps ?

On pourra !


Les corps s'étaient réchauffé, le camion était reparti il était toujours en pilotage automatique, Romain s'était allongé sur le lit, Kevin s'était réfugié dans ses bras, et rêvait de Pères Noëls peut être qui lui apportaient du chocolat chaud.


Romain avait jeté sur eux un couverture douce et légère, il caressait distraitement le corps nu et lisse de Kevin qui se laissait faire.


Ils ont passé beaucoup de temps comme ça, allongés sur le lit, Romain lisait, Kevin regardait un film ou une vidéo sur un petit écran. Kevin blotti contre Romain qui lui caressait doucement. Beaucoup de moments de tendresse partagée. Quelquefois un des deux s'endormait, bercé par les mouvements lents et apaisant du camion.


Puis sans prévenir un des deux avait brusquement des désir un peu plus, enfin un peu moins intellectuel … Kevin surtout, il arrêtait alors de regarder sa série '' Le feu amoureux quand il pleut '', je préfère même pas vous parler de la série …


Il coupait alors son écran le reposait, se retournait vers Romain qui était plus lent à réagir. C'est alors Kevin qui caressait le corps de Romain et là ce n'était pas distraitement. Romain le laissait faire, il s'en amusait. Puis il posait son livre et prenait les choses en main.


Les journées étaient longues et il fallait bien passer le temps.


Romain finissait pas réagir, il bandait, ça se voyait tout de suite puisqu'ils étaient généralement à poil toute la journée. Pourquoi s'habiller, ils n'auraient pas de visite et ne rencontreraient personne.


Kevin n'attendait que ça, il plongeait sur la queue de Romain, la caressait, la masturbait et la suçait goulûment. Romain s'installait à son aise, sur le dos, un gros coussin sous la tête. Il regardait Kevin et il appréciait.


Il voyait sa queue disparaître dans la gorge de Kevin, en même temps il avait cette sensation de plaisir chaud et humide. Chaud, très chaud brûlant même mais une chaleur qui ne blessait pas. Humide et tellement lisse. Lisse et tellement doux.


Kevin faisait des progrès tous les jours, Romain s'en félicitait. Il se félicitait de cette acquisition, son nouveau passager. Sa peau était douce, sa langue suage et ses lèvres pulpeuses. Il les promenait sur les couilles de Romain, les lui gobait, les léchait avec la langue et pour Romain c'était un régal.


Il gémissait de plaisir, il attrapait Kevin et le retournait, il l'allongeait contre lui mais dans l'autre sens. Kevin avait accès à sa queue et à ses couilles et lui avait accès aussi à ses couilles, pas à sa queue mais ça c'est normal. Il pouvait aussi lui caresser les fesses et le dos.


Romain s'amusait à appuyer sur la tête de Kevin par moment. Sinon il lui tripotait les couilles, les serrait dans sa main mais pas trop et Kevin aurait certainement couiné s'il n'avait pas eu la bouche pleine.


Romain caressait les fesses de Kevin avec douceur, puis avec insistance puis, il arrêtait son doigt juste sur le petit trou, au milieu, entre les deux fesses. Il crachait et glissait un doigt à l'intérieur, ça résistait il fallait un peu forcer. Kevin tentait de relever la tête mais Romain appuyait dessus avec son autre main.


Avec un mouvement circulaire il poussait pour glisser son doigt. Kevin n'insistait pas et continuait à sucer de Romain. Celui-ci crachait de nouveau abondamment et finissait par glisser son index bien à fond dans le cul de Kevin. Il continuait en agitant son doigt de plus en plus vite. Il trouvait rapidement cette petite zone lisse et ferme au bout de son doigt. Et frappait dessus avec régularité, oh pas trop fort, la prostate est très sensible.


Kevin avait peut être la bouche pleine mais il finissait par gémir tout de même. Romain glissait un deuxième doigt dans son cul et les agitait avec vigueur.


Kevin tremblait rapidement et serrait le cul, relâchait et resserrait son cul de nouveau. Romain agitait encore plus ses doigts, en réponse Kevin s'agitait, gigotait. Il ne pouvait pas relever la tête et ne pouvait pas dégager son cul. Dans le plaisir anal la taille n'est pas le plus important. Il faut viser juste.


Romain savait viser juste, il tambourinait la prostate de Kevin, en plein sur la prostate et c'est un point très sensible. Kevin, n'en pouvant plus finissait par crier. La queue de Romain s'enfonçait alors jusqu'au fond de sa gorge.


Kevin s'agitait comme un fou, il ne se contrôlait plus. Le massage de la prostate le submergeait de plaisir. C'était la première fois qu'on lui faisait ça et c'était génial. Romain ne bougeait plus. Kevin qui avait toujours la moitié de la queue de Romain dans la bouche se calmait et avec sa langue continuait à caresser la gland de son partenaire.


Lui aussi prenait du plaisir il le sentait monter de plus en plus. Il recommençait à agiter ses doigts très vite. Il ne prévenait pas il y allait directement très vite et fermement. Instantanément Kevin réagissait et de nouveau gigotait et s'agitait.


De nouveau la queue de Romain allait ressortir et Romain appuyait sur la tête de Kevin et continuait à agiter ses doigts, de nouveau Kevin se tortillait tant qu'il pouvait. On avait du mal à savoir s'il voulait se dégager, s'il en redemandait, si …


Il à juté à ce moment, il a joui, il s'est mis à trembler. Il ne pouvait pas relever la tête et quelques secondes plus tard c'est Romain qui lui jutait dans la bouche. Ils jouissaient ensemble presque en même temps. Romain maintenait la tête de Kevin pendant un moment, il continuait à sucer quelques seconde et il avalait. Quand Romain le relâchait il relevait la tête, la queue de Romain était propre.


Ils s'effondraient sous leur propre poids, se lâchaient, tous leurs muscles se détendaient. Ils respiraient fort.


Romain penchait la tête en arrière tout en continuant à caresser le dos et le haut des fesses de Kevin.


C'est ainsi qu'ils passaient une partie de la journée, que faire d'autre. Le camion avançait désormais dans une monde de neige. Ils étaient éloignés de la civilisation et ils commençait probablement à apprécier cette vie.



A suivre



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La ceinture 08 Dans un chemin perdu

 La ceinture 08

Dans un chemin perdu



La livraison suivante était dans le grand nord. Personne ne voulait la faire, Romain aime bien ces longs voyages, lui, il acceptait. Il feraient au mieux quatre cent à cinq cent kilomètres par jour, cette route du nord était toujours gelée, elle était entretenus mais la vitesse restait limitée.


Cinq mille kilomètres, il faudrait au moins dix jours et autant pour le retour. Le voyage n'était pas particulièrement dangereux, il fallait bien sûr être prudent mais en respectant les règles de la prudence il n'y avait pas de danger. Le nombre d'accidents d'ailleurs n'était pas plus élevé que sur d'autres routes de la ceinture.


Le nord était desservi par une autoroute plus petite, là nous n'avions qu'une double voie, de chaque côté bien sûr, alors que l'axe principal de la ceinture en faisait jusqu'à douze …


Pour Kevin, la destination ou la route qu'ils allaient prendre était sans importance, lui il s'en moquait. Son pilote semblait très sympathique et c'était le principal. Chaque jour le confortait qu'il avait fait le bon choix et son avenir était plus sûr. Il y avait toujours cette cage mais là, il ne pouvait plus revenir en arrière. On ne la lui retirerait qu'à la fin de sa condamnation. Vingt ans, c'est long ça se disait Kevin, oui vingt ans c'est long quand on en a dix sept.


Kevin rangeait bien la cabine et le petit appartement juste derrière, il retrouvait ensuite Romain au supermarché, il avait déjà rempli l'équivalent de deux caddys. Et terminait de remplis un troisième.


Ça fait pas un peu beaucoup ? S'étonnait Kevin.

Le voyage durera au moins vingt jours, je préfère rester prudent. Répondait Romain.


Il faisait ensuite livrer la marchandise au camion et laissait Kevin tout ranger. Il le retrouvait un peu plus tard.


Tu n'as besoin de rien de spécial . Demandait-il à Kevin en prenant place au commandes …


Kevin lui faisait non de la tête en s'installait au poste de passager.


C'est parti ! S'exclamait Romain.


Le camion vrombissait, tremblait de toutes part et avançait vers la sortie du parking. Quelques minutes il roulait a bonne vitesse sur la voie de droite, la sortie pour le grand nord n'était pas très loin. Une heure plus tard c'était dans un chemin que le camion roulait. Le mot chemin est un peu exagéré mais une double voie après cette route qui en avait jusqu'à douze, ça ressemble un peu à un chemin, en fait tout ça, c'est relatif.


Romain réduisait la vitesse et se conformait aux indications du pilote, il branchait enfin le pilote automatique …


Mais dis moi, demandait Kevin, pourquoi ne pouvons nous pas rouler toute la journée, le pilote automatique fonctionne très bien ?

C'est interdit, il faut toujours qu'il y ait un pilote au commande. Techniquement ça ne poserait aucun problème mais on est sous surveillance. huit heures aux commandes est un maximum, c'est comme pour la vitesse, en fait on pourrait rouler bien plus vite … Je vais programmer une périodes de pilotage de quatre heures. On fera une pause le midi, ça sera plus crédible, n'oublions pas que nous sommes sous surveillance.

Interdit ou pas Romain passait à l'arrière et laissait le camion rouler tout seul. Techniquement il n'y avait réellement aucun problème, il faisait ça très bien, le camion.


Kevin restait à son poste et regardait le paysage, sur terrain plat, il n'y avait pas grand chose à regarder. L'autoroute était protégée par une grande dune artificielle qui limitait la vue mais quand le camion arrivait en haut d'une côte, Kevin pouvait voir une plaine qui s'étendait à perte de vue, coupée par cette route qui ne semblait pas être à sa place.


Kevin, bercé par le camion finissait par s'endormir. Romain prenait les commandes pour arrêter le camion sur la piste de droite le midi.


Il est capable de faire cette manœuvre seul. Disait Romain.


Ils ont dîné, Romain a remis le camion en marche pour encore quatre heures et se sont détendu, puis ils se sont assoupi.


C'est bien plus tard dans la soirée qu'il se réveillait, il jetait un œil vers la couchette. Romain était paisiblement endormi lui aussi. Kevin avait faim, préparer le repas faisait aussi partie de son travail. Heureusement la science moderne fait des miracle à notre époque, le four micro ondes et le réhydrateur font des miracles.


Il regardait ce qu'il avait sous la main et préparait un repas très acceptable, c'est l'odeur du plat qui mijotait doucement dans le four micro ondes qui réveillait Romain.


À ce moment une alarme se faisait entendre. Kevin paniquait.


Romain, Romain, je crois qu'on a un problème !

Mais non, c'est normal, le camion a conduit pendant quatre heures et maintenant on doit faire une pause de seize heures. Il va se garer sur la bande de sécurité. Tu as préparé quoi à manger ?


Kevin servait Romain, sans oublier de se servir après. Ils mangeaient en silence.


Romain avait le sourire, il regardait Kevin faire la vaisselle et tout ranger.


Tu es un véritable homme d'intérieur.

J'ai jamais eu un intérieur !

Maintenant si. C'est petit mais le jardin n'a pas de limites.


Romain, souriait à Kevin et c'est sans même y penser que Kevin s'approchait. Romain tendait une main, Kevin s'approchait, il ne tentait pas d'éviter le contact et la main de Romain caressait avec douceur les couilles de Kevin.


Tu supportes bien ton truc. Demandait Romain.

Ça va.

Tu sais il y a des médicaments qui peuvent t'aider si ça devient trop dur.

Des médicaments, des anti douleur ?

Non, des anti libido. Avec tu ne bandes plus.

Tu n'as plus, non plus, envie de sexe alors .

Par contre on m'a dit que se faire enculer après avoir pris ce produit est très désagréable.

Plus de libido, plus envie de … Concluait Kevin qui avait tout compris.


Il s'était lentement penché vers Romain et lui caressait les cuisses, le haut des cuisses.


Câlin ? Demandait Romain avec le sourire.


Kevin se penchait un peu plus vers son pilote, il glissait ses mains sur ses cuisses. Sa queue protestait dans sa cage, mais il s'y faisait bien. Il remarquait que Romain bandait. Il lui caressait alors la queue. Elle avait pris du volume et s'allongeait contre la cuisse sur le côté.


Romain glissait une main dans le pantalon de Kevin. C'était un pantalon moulant et doux au toucher, il trait le pantalon vers le bas. Kevin se laissait faire et finissais par l'aider en baissant son pantalon, il le repoussait ensuite plus loin avec ses pieds.


Kevin retirait ensuite son T-shirt, façon strip-tease. Romain regardait ça avec satisfaction, il continuait à caresser les couilles de son passager qui se retrouvait totalement nu.


Kevin se penchait alors vers Romain lui mordillant doucement la queue à travers de son pantalon. Il ouvrait ensuite le pantalon de Romain et continuait mais sans les dents cette fois. Il lui suçait le gland avec délectation.


Romain baissait son pantalon et le rejetait plus loin. Il retirait le haut également et lui aussi se retrouvait nu, lui, il était réellement totalement nu. Kevin avait toujours ce petit truc qui lui interdirait la nudité totale pendant vingt ans.


Romain tirait son partenaire vers lui, il le tenait par les couilles en prenant soin de ne pas lui faire mal. Kevin s'approchait et se retrouvait dans les bras de son pilote. L'un était tout petit, l'autre faisait plus de trente centimètres de plus et était plus large, plus musclé et plus poilu.


Kevin n'avait plus de poil sur le corps et Romain gardait une douce fourrure bien fournie. Kevin couvrait de baiser son partenaire Romain caressait la peau vraiment douce de son passager.


Romain serrait dans ses bras le corps de Kevin, ils partageaient ensemble un moment de tendresse et roulaient l'un sur l'autre. Kevin aimais ce contact, dans les bras de son partenaire il se sentait en sécurité.


Il y avait la queue de Romain qui se faisait remarquer, et s'écrasait entre eux, contre le ventre de Romain mais aussi contre le ventre de Kevin. Kevin aimait bien ce contact mais sa queue à lui se réveillait encore plus et forçait contre les barreaux de la cage. Tout le monde sait qu'avec le temps cette réaction se calme, plus ou moins, ça dépend des gens. Mais là c'était récent tout ça et là sa queue de Kevin était loin de se calmer.


Kevin tentait d'oublier ce détail qui le préoccupait. C'était un détail qui par moment devenait douloureux, on lui avait dit que ça passerait mais pour le moment on en était loin.


Kevin se penchait sur le sexe de son partenaire et là le prenait en entier dans la bouche. Puis il la suçait doucement, Romain s'installait sur le dos, écartait les cuisses et se laissait faire.


Kevin s'installait entre les cuisses de Romain et là complètement replié en boule continuait à sucer la queue de son partenaire. Il faisait ça bien le petit gars, il prenait la queue de Romain bien à fond tout en faisant des bruits bizarres et rigolos.


Romain se contentait de lui caresser les cheveux, par moment il appuyait sur la tête du suceur, par moment il relevait le bassin et alors Kevin en prenait plein la bouche, la queue de Romain s'enfonçait jusque que dans sa gorge.


Il faisait comme il pouvait le pauvre petit Kevin. C'était pas facile pour lui mais il y mettait toute sa bonne volonté. C'était pas seulement parce que sa situation ne lui laissait plus le chois mais aussi parce qu'il aimait, et il aimait de plus en plus.


Assis toi dessus ! Demandait Romain.


Kevin relevait la tête, attrapait du gel lubrifiant. En prenant son temps il lubrifiait généreusement la bite de Romain, il se lubrifiait aussi le cul puis il prenait position.


Romain, lui ne faisait rien, il regardait. Il s'était glissé un oreiller sous son dos et c'est la tête bien relevée qu'il regardait. Kevin posait un pied de chaque côté des hanches de Romain, s'accroupissait, il se plaçait le gland de Romain contre son anus, faisait une grimace puis appuyait.


Il faisait nouvelle grimace, le gland de Romain rentrait ils gémissaient. Un parce que c'était bon, l'autre parce que ça faisait un peu mal. Puis il s'appuyait un peu plus et gémissait un peu plus fort.


Il appuyait une dernière fois et là, il sentait son anus s'ouvrir, il n'y avait plus de résistance. Romain gémissait de plaisir en rajoutant '' Oh oui vas y, c'est bon !''. Kevin s'empalait lentement sur la queue du pilote, lentement, il terminait assis sur la queue de Romain.


C'est à ce moment que Romain décidait de relever son bassin en lui donnant un mouvement de balancement, de haut en bas, d'avant en arrière. Kevin se saisissait et par moment tentait de se relever.


Romain le bloquait en tirant vers lui ses pieds. Là Kevin se retrouvait empalé sur la queue de Romain, c'était intense, il voulait se dégager mais n'ayant aucun appuis il ne faisait que s'empaler un peu plus profond.


C'était quelques sanglots que lâchait Kevin à ce moment.


Romain se relevait et repliait ses jambes en tailleur. Kevin se cramponnait à lui et tentait de replier ses jambes pour s'appuyer sur ses pieds. Romain l'en empêchait et balançait son bassin. Kevin gémissait fort, très fort à ce moment, il repliait et serrait ses jambes, il retombait lourdement de tous son poids sur la bite de Romain.


Romain accélérait le mouvement, il n'avait pas pitié de son petit camarade, il ne pensait qu'à son plaisir et il le prenait. Il finissait par jouir dans le cul de Kevin et ils se calmaient tous les deux.


Ils partageaient ensuite un moment de tendresse, la queue de Romain était toujours bien logée, bien à fond dans les entrailles de Kevin mais comme elle diminuait en volume, c'était plus facile à supporter.


Au moment ou elle ressortait, Kevin lâchait un flot de sperme qui coulait longuement de sa cage. Il ne jouissait pas à ce moment, à ce moment il ne ressentait rien. Mais il appréciait de se sentir libéré, vidé, comme il le disait plus tard …



A suivre




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La ceinture 07 A la campagne

 La ceinture 07

A la campagne



Le grand froid n'était pas encore là mais il faisait quand même un peu frais le lendemain matin. Il y avait une fine couche de neige, en tout cas ça y ressemblait, épaisse comme rien qui disparaissait si on la regardait de trop près. Romain était le premier réveillé, il dégelait les vitres du camion, augmentait le chauffage, et préparait le café.


Kevin réagissait juste après et voyant qu'il avait loupé l'heure se levait rapidement pour préparer le café.


Il faisait doux dans ce petit habitacle, Romain rigolait de voir Kevin s'inquiéter à cause du café.


Excuse moi Romain, je prépare le café.


Pour le café c'était trop tard, il préparait donc deux tasses. Quelques instant plus tard ils prenaient leur café tranquillement. Romain avait une grosse molle qui se balançait entre ses jambes, il ouvrait doucement les yeux. Kevin avait une cage à bite qui se balançait entre ses jambes, ils étaient tous les deux dans le même tenue … A poil !


On va s'habiller, ce matin un peut de sport, ça nous fera du bien.


Ils enfilaient tous les deux une tenue de sport, Kevin suivait les consignes de Romain et couverts, juste comme il faut, ils descendaient tous les deux de la cabine. Kevin pouvait admirer les passerelles en plein jour maintenant, la veille il faisait nuit. C'était une installation spectaculaire, des escalier, façon escaliers de secours comme je vous le disait permettaient de descendre sur le sol, en dehors du parking. Il y avait un chemin prévu pour faire un peu d'entraînement qui serpentait dans un bois.


C'était parti, Romain ouvrait la marche, ils partaient tous les deux en courant doucement pour s'échauffer.


Je pensais qu'il ferait plus froid ! Disait Kevin.

Tu fais souvent du sport ? Lui demandait Romain.

En fait … Oui ! Enfin si se sauver en courant pour pas se faire choper c'est du sport, oui, j'en ai fait beaucoup !


Romain rigolait à cette réponse.


Le séance de sport continuait normalement, ils faisaient des pauses, des étirements. L'endroit était magnifique. C'était un nœud autoroutier, il y avait des échangeurs énormes qui permettaient le demi-tour, un point escale et entretient du véhicule. On voyait une vallée depuis une passerelle et de loin ce qui ressemblait à un péage.


Là bas, expliquait Romain, c'est une entrée, ou une sortie de la ceinture.

Je suis rentré par un de ces trucs. Mais c'était loin d'ici.

Tu sais ils se ressemblent tous !

Tu sors souvent de la ceinture ?

Au moins une fois par an, pendant un bon mois. Je vais voir ma famille.

Ah !

Ne t'inquiète pas, je te mettrais en vacances pendant cette période.


Kevin donnait un sourire à Romain pour toute réponse.


Puis ils reprenaient. De grands espace étaient boisées entre les différentes routes et tous étaient reliés par des passerelles. Il y avait de coins ou on trouvait un peu de discrétion. Souvent des groupes, des petits groupes, des duos se formaient.


Kevin s'arrêtait en voyant ça. Un couple s'était formé, un jeune homme qu'ils avaient aperçu un peu plus tôt. Il était en face d'un homme plus âgé, ils semblaient parler.


Le plus jeune s'accroupissait devant le second, lui ouvrait la braguette en sortait sa queue, il bandait déjà et sans plus attendre, c'est vrai qu'il faisait un peu froid, la prenait dans la bouche.


Kevin s'étonnait en voyant ça.


Tu sais ici c'est pas interdit, heureusement il y a des caméras partout. Expliquait Romain.

Ils sont filmés ? S'étonnait Kevin.

Bein oui, heureusement, ce sont les règles de sécurités.

Et c'est pas interdit ?

Non ?

J'aurais pu faire ça alors avant qu'on m'arrête ?

Tu aurais gagné de l'argent, tu aurais pu te payer une chambre et à manger et tout le monde t'aurait laissé tranquille.

J'y crois pas !

Mais c'est pas une solution, dès que tu ne plaît plus on te rejette !

Et je suppose qu'on peut se faire agresser .

Pas vraiment en fait, comme on est tous filmés ici, et que la prostitution n'est pas une faute, en fait … On est protégé puisqu'on ne fait rien de mal.


Kevin ouvrait des yeux tout ronds de surprise en regardant Romain.


Un jour j'ai vu un petit jeune se plaindre parce que son client avait refusé de payer. Et bien il a gagné, le client a été condamné à payer dix fois la somme demandé et à payer une amende.

Mais comment les juges pouvaient savoir ?

Ils ont étudié très attentivement les vidéos …

Et le client il a payé ?

Sinon il était condamné à porter une cage de chasteté jusqu'à ce qu'il paye !


Ils regardaient la scène et voyaient la queue du client entrer et ressortir rapidement de la bouche du petit jeune. Il faisait ça bien, par moment il le masturbait tout en continuant à lui sucer le gland.


Puis il reprenait cette belle queue bien à fond, elle rentrait de plus en plus profond et finalement le ventre le ventre du client s'écrasait sur le visage du plus jeune. Le client prenait alors le contrôle des opération, retenait bien fermement la tête de son partenaire et lui donnait des coups de bassin bien rapides, bien violent. L'autre n'avait plus qu'à encaisser …


La scène durait comme ça pendant une bonne dizaine de minutes puis les coups devenaient très violents, plus lent, on entendait comme un gémissement qui venait du client puis il se retirait.


Rapidement il s'essuyait la queue, sortait quelques billet de sa poche, refermait son pantalon et repartait.


Le plus jeune s'essuyait le visage, crachait plusieurs fois sur le sol, ramassait l'argent et repartait dans l'autre direction. Il continuait à marcher et à se faire remarquer par d'éventuels clients.


Kevin était un peu retourné après avoir vu cette scène, c'était en plein jour, dans un endroit discret certes mais il y avait tout de même du passage, en plus il y avait des caméras vidéos un peu partout et plusieurs d'entre elles avaient forcément tout filmé.


Romain attrapait Kevin par le bras et le tirait vers lui.


Baisse ton pantalon, je vais t'enculer !


Romain avait déjà commencé à ouvrir son pantalon et il bandait déjà bien ferme. Kevin était surpris mais il se souvenait que sa mission, son boulot, son obligation était de faire plaisir à son pilote autant qu'à lui donner du plaisir. Il laissait faire.


Kevin se penchait un peu en avant en s'appuyant sur le garde fou de la passerelle. Sans attendre, c'est vrai qu'il faisait un peu frais, Romain prenait position, se lubrifiait la queue et la poussait fort contre le cul de son passager.


Kevin à crié, plusieurs passants s'arrêtaient et les regardaient. Kevin se ressaisissait, il ne criait plus mais continuait à gémir. Romain passait tout de suite aux choses sérieuses. Il limait son partenaire avec force. C'est sur que là, sans préliminaires, Kevin devait le sentir passer.


Rapidement on entendait le ventre de Romain claquer contre les fesses de Kevin. Il poussait de petits cris le pauvre Kevin, les cris et les claquements se synchronisaient. Kevin se cramponnait comme il pouvait. Il avait peut être le cul à l'air mais il ne devait pas avoir froid.


Puis Romain tirait vers lui le petit Kevin, le saisissait avec force et le relevait contre lui. La grosse queue de Romain ne ressortait pas au contraire, elle se retrouvait dans une position de force, elle n'était plus dans l'axe et exerçait une pression contre le cul de Kevin, appuyait avec force contre la prostate de Kevin qui râlait maintenant.


Romain continuait à faire jouer sa queue dans le cul de son camarade, quand il se relevait, bien droit, elle soulevait Kevin, il était plus petit que Romain et cette position n'était pas confortable. Il se redressait sur la pointe des pieds mais ce n'était pas suffisant et là il dégustait le pauvre.


Romain fléchissait les jambes sa queue ressortait et Kevin pouvait souffler. Là c'était mieux pour lui mais ça ne durait pas. Presque aussitôt Romain se redressait et de nouveau avec force sa queue se glissait dans le cul de son passager, elle rentrait de travers mais elle rentrait bien à fond. Puis Kevin se retrouvait de nouveau sur la pointe des pieds. Il manquait d'air et rapidement arrivait à peine à respirer.


Il se tordait comme il pouvait pour encaisser. Romain s'en amusait, il contrôlait la situation et s'assurait de ne pas dépasser la limite du supportable. La cage de Kevin se balançait devant lui, il avait le pantalon sur les genoux. Romain le caressait et par moment en lui glissant les deux mains entre les cuisses, le soulevait.


Là Kevin ne parvenait plus à cacher une certaine panique. Il se retrouvait empalé sur la que de son partenaire, il ne contrôlait plus rien. Pour lui, c'était intense. Pour lui c'était violent !


C'est à la limite du supportable qu'il jouissait. Un peu plus il n'aurait pas supporté, beaucoup moins aurait été plus confortable.


Il jutais, un liquide blanc coulait de sa cage, Romain s'en rendait compte continuait encore quelques instant puis le reposait sur le sol. Kevin gémissait, il sanglotait. Romain le saisissait par les hanches et terminait en lui limant le cul avec efficacité. Kevin encaissait presque sans réagir. Ce n'était rien par rapport à ce qu'il venait de supporter.


Romain jouissait dans le cul de Kevin, ses coup de bite touchaient au but. Sa queue s'enfonçait sur toute sa longueur avec force. Quand il se retirait un liquide blanc coulait du cul de Kevin. Ensuite il s'essuyait la queue.


Plusieurs passants s'étaient arrêté, ils applaudissaient le spectacle.


C'est ton passager ? Demandait un des hommes.


Romain faisait oui de la tête.


Tu nous le prête ?


Là Romain faisait non de la tête.


Je me le garde, mais ici tu trouveras tout ce qu'il te faut, il y en a plein d'autre.


Le groupe d'homme se retirait, quelques un s'approchait de Kevin pour lui tripoter les couilles, il se laissait faire, il s'essuyait le cul. Romain finissait par intervenir et avec Kevin reprenait le petite mis en forme.


Au total, ils on couru une petite quinzaine de kilomètres. Ils sont revenus au camion, ont pris une douche, se sont changé … C'était une matinée comme il y en aurait beaucoup d'autres.


Romain est parti voir ou en était la préparation de la prochaine livraison, Kevin est parti laver les vêtements, à la laverie bien sûr, il ne faut pas exagérer, il ne va pas faire ça à la main … Il a aussi remis de l'ordre dans le camion avant de retrouver son pilote au bar. Il y en a un dans chaque escale de la plus petite à la plus grande.



A suivre




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La ceinture 06 L'Entrepôt

 La ceinture 06

L'Entrepôt



Romain passait en pilotage semi automatique, c'était plus simple, et se laissait guider. Les appareils de pilotage pouvaient garder un cap, mais ne pouvaient pas effectuer les manœuvres. Il en profitait pour apprendre à mieux connaître son nouveau passager.


Kevin venait d'avoir dis sept ans, c'était le plus jeune des passagers qu'il avait eu. Il avait galéré pendant quelques années en Europe centrale, si jeune et déjà un passé tellement mouvementé. Il n'avait pas connu ses parent, et je ne vous raconterai pas la suite, ce serait trop triste.


Finalement depuis plus de deux ans il avait traîné d'un coin vers un autre et il avait grandi tout seul. Il avait traîné avec des bandes plus ou moins fréquentables. Le vol à la tire avait été pendant longtemps son principal passe temps. Il fallait être débrouillard pour survivre et il avait survécu.


Il était arrivé à l'âge avancé de dix sept ans, il avait échappé à la prison, il roulait maintenant sur une autoroute unique, La Ceinture. Oh il ne pilotait pas, il n'avait pas son permis, mais il était à la place du pilote, Romain, le pilote, lui expliquait comment ça marchait tout ça et comme il était en pilotage automatique en fait il devait surtout ne rien faire.


Le camion changeait automatiquement de voix si c'était nécessaire et irait jusqu'à la destination, jusqu'à la bonne sortie de l'autoroute. Le pilote devait alors reprendre les commandes.


En attendant c'était Kevin qui se prenait pour un pilote au long cours. Il s'imaginait visiter le monde sur cette route qui faisait plusieurs fois le tour de la planète.


Kevin était mignon, très mignon et Romain n'y était pas insensible. Au contraire, il le regardait avec une certaine tendresse tout en discutant. Il se caressait l'entre jambe.


On est souvent seul quand on est sur la route, tu sais Kevin.


Kevin devinait vite ce qu'attendait son compagnon et maître. Il se penchait vers Romain, lui ouvrait son pantalon, en sortait la queue de son pilote et sans marquer la moindre hésitation, la prenait dans la bouche. Romain le laissait faire, son petit esclave sexuel avait tout compris au rôle qui serait le sien. C'était pas bien compliqué, il était là pour le plaisir du pilote.


Romain, pouvait se détendre, il se disait qu'il ne se masturberait plus pendant une très longue période. Il avait sous la main un petit vide couilles mignon comme tout et qui en plus s'en sortait très bien.


Kevin n'était pas bien gros et il y avait la place entre les jambes du pilote pour qu'il puisse s'y glisser. Le camion glissait avec fluidité sur la route. Le camion continuait sa route sans plus personne au volant La queue de Romain, s'enfonçait facilement dans la gorge de Kevin, c'est à peine s'il fallait lui appuyer sur la tête.


Romain appréciait de plus ne plus son choix. Surtout que le petit était vraiment très mignon.


Kevin passait sa langue autour du gland de Romain. Il le caressait avec la main, il le masturbait doucement et reprenait sa queue dans la bouche, parfois il la rentrait jusque dans sa gorge. Et là, Romain appréciait, il tremblait sous la caresse, il frémissait de plaisir. Il ne cherchait pas à se retenir mais il n'était pas encore à point.


Sa queue s'enfonçait, sans qu'il ne fasse rien, dans la bouche de Kevin puis glissait facilement plus profond dans sa gorge. Kevin relevait la tête et la queue de Romain ressortait lentement, lui prodiguant une caresse tellement douce.


Romain penchait la tête en arrière et gémissait de plaisir. Il savait y faire le petit Kevin, ce n'était pas un débutant le bonhomme. Il savait s'arrêter juste à temps pour permettre à Romain de souffler et retarder l'échéance. Ils savaient tous les deux comment ça allait se terminer mais en faisant traîner ça ne serait que meilleur pour Romain.


Pour Kevin ça ne serait que plus frustrant mais ça, on s'en moquait.


Les règles de cette société étaient un rien cruelles. Pour les passagers il n'y avait aucun droit prévu. Bon il y avait bien quelques lois mais très peu. Le pilote avait presque tous les droits. Kevin ne savait pas encore comment serait son pilote. Il savait seulement qu'il n'avait pas le choix, il n'avait plus aucun choix.


Kevin tentait de garder son nouveau maître de bonne humeur. Il avait compris que tout le monde l'aimait et si même ses anciens passagers continuaient à l'apprécier après l'avoir quitté, c'est qu'il devait y avoir de bonnes raison. Il lui parlait gentiment, et en plus il était plutôt bel homme.


C'est avec douceur que Romain lui caressait les cheveux, il n'appuyait que très doucement sur sa tête. Il l'encourageait plus qu'il ne le contraignait. Le camion roulait, Kevin avait l'impression que le camion ralentissait. Romain se redressait sur son siège, et finalement sans prévenir se laissait aller. Il lâchait plusieurs giclées dans la gorge de son jeune passager.


Surpris Kevin se raidissait puis avalait. Il continuait alors à sucer pour bien laisser la queue de son maître bien propre. Il voulait laisser bonne impression. Romain refermait son pantalon et reprenait sa place derrière le volant.


On arrive disait-il.


Le camion se préparait pour entrer dans le parking. Romain reprenait les commandes avant que le camion ne s'arrête sur la piste d'urgence.


Alors tu as un nouveau passager vieille racaille ? Demandait une voix dans la radio.

Tu as l’œil toi, ça fait longtemps que tu me surveille ?

Non mais j'ai vu la tête que tu as fait.


Suivaient des rires dans la radio. Il y avait aux alentours de l'entrepôt tout un réseau de caméras vidéo et nos amis s'étaient fait piégé.


Bon tu m'indiques ma position ? Au lieu de rigoler.

Présente-toi au parking numéro douze.


Romain avançait plus loin dans le parking, il s'arrêtait devant le bâtiment, décrochait sa remorque et repartait vers au parking numéro douze. Un robot tracteur arrivait à la hauteur de la remorque, l'accrochait et repartait avec d'une manière entièrement automatique . Tout ça c'était automatique. Romain avançait et allait se garer à la position indiquée.


En aucun cas tu ne descends du camion ici. En aucun cas tu ne marches sur le sol. Il y a des véhicules automatiques et ça peut être dangereux expliquait Romain en terminant de garer son véhicule.


Kevin s'était installé à la place passager, il ne loupait rien de ce qui se passait, un véhicule robot automatique arrivait, sa partie inférieure était identique au tracteur de Romain mais il n'y avait pas de cabine. Pas de pilote , pas de cabine de pilotage, c'était logique. C'est en mode automatique que ce véhicule accrochait la remorque que Romain avait laissé et l'emmenait hors de sa vue.


Deux échelles un peu comme les escalier de secours qu'on trouve à l'extérieur des immeubles tomaient, une de chaque côté de la cabine.


C'est par là qu'on descend. Expliquait Romain.


C'était sécurisé, on pouvait descendre sans problèmes, en fait on montait et on rejoignait une passerelle à quinze mètres de haut qui passait au dessus du parking. Les installations étaient tout simplement gigantesques. C'était à la hauteur de '' La Ceinture ''.


Romain et Kevin prenait la passerelle pour se rendre au bureau du centre. Kevin ouvrait ses yeux en grand, tout était nouveau pour lui, il traînait peut être depuis un moment sur la ceinture mais il n'avait jamais vu les installations sous cet angle. Il se rendaient au bureau accueil.


Romain en profitait pour montrer à Kevin ou se trouvaient les installation sanitaire, pour faire la lessive par exemple. Eh oui ça fait aussi partie du boulot du passager, ainsi que le rangement de la cabine … C'est pas seulement un vide couille !


Romain invitait son vide couille, pardon je voulais dire …


Romain invitait son passager au restaurant puis le laissait vaquer à ses corvées pendant que lui réglait l'administratif avec le chef de l'entrepôt. Ils organisaient rapidement les prochains voyage de Romain. Tout est centralisé dans un réseau informatique.


Kevin découvrait ce que serait sa vie pour les prochaines années. Il se sentait un peu rassuré, les passagers précédents avaient tous connu une seconde vie et même une très belle carrière. Finalement Kevin se demandait si ce n'était pas mieux que cette fuite en avant qui ne le conduisait nulle part.


Romain était gentil, il ne le brutalisait pas. Avec lui il savait qu'il n'aurait plus ni froid ni faim. Il avait connu les deux, pourtant il était très jeune.


Ils se retrouvaient dans la cabine un peu plus tard. Comme je vous l'avais décrit plus tard, la cabine de pilotage et le petit appartement qu'il y avait derrière, genre petite caravane.


Ça y est les formalités sont terminées. Tu es maintenant le passager officiel de ce camion. Tu auras accès à la cabine même si je ne suis pas là. C'est automatique c'est à cause de la puce qu'on t'a injecté.


Kevin écoutait.


Je n'ai pas de clé ?

Tu n'en as pas besoin.

Ok .


Kevin ne savait pas quoi rajouter de plus, il n'avait pas le choix. Son avenir de précisait. Les prochaines décennies s'écrivaient. Il souhaitait seulement que l'avenir lui apporte beaucoup de découvertes. Qu'il apprendrait beaucoup de choses et pourrait avoir un avenir comme tous ceux qui l'avaient précédé.


La journée avait été longue, il était tard. Romain allait se coucher. Kevin restait devant la télévision pendant encore un moment. Plus tard il retrouvait son pilote.


Pendant un moment il le regardait dormir, il avait l'air paisible. Le pilote était beau, très bel homme, et Kevin s'attendrissait à le regarder pendant un moment.


Kevin n'était pas là depuis bien longtemps et hésitait un instant, il y avait une seconde couchette, juste une place. Finalement Kevin décidait de s'y installer, il ne dérangerait son pilote. Il décidait d'attendre qu'il lui demande ce qu'il voulait. En fait il ne savait pas vraiment comment se comporter.


Il allait s'endormir.


Kevin ? Tu es là ?

Oui je suis la Romain, tu as besoin de moi ?

Mais tu ne viens pas te coucher ?

Si mais je savais pas si …


Kevin se relevait, passait la tête pour l'ouverture et voyait Romain qui lui souriait.


A deux on se tient chaud, et dans cette région, tu vas voir il va faire froid, de plus en plus froid.


En disant cela, Romain soulevait la couette pour l'inviter à venir le rejoindre. Kevin se glissait alors rapidement contre Romain sous la couette. Romain refermait son bras contre Kevin, lui donnait un baiser et quelques instant plus tard ils dormaient paisiblement tous les deux.



A suivre



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Jean Marc Ep01 : Un pote de régiment

 Jean Marc Ep01

Un pote de régiment



Il m'avait invité à passer une petite semaine chez lui. J'étais en vacances, il était en vacance, il me ferait visiter la capitale. Ça faisait quelques temps que je ne l'avais par revu, on s'était rencontré au régiment et on avait sympathisé. On était resté en contact depuis plus d'un an.


Je le revoyais dans mon souvenir. Il était beau mec, plutôt attirant. Je l'avais vu sous la douche, là il n'y avait pas de quoi s'affoler, huit centimètres pas plus, et encore je pense que là je l'avantageais.


Oui on va encore me dire que je ne pense qu'à ça. Mais c'est pas vrai, il n'y a pas que le sexe dans la vie, il y a le cul aussi …


Depuis mon retour du régiment, d'ailleurs, pour moi c'était surtout le cul. On m'avait mis la queue en cage, un engagement professionnel enfin je vous passe les détails et … Bein oui, et … Il ne me restait plus que le cul !


Ça faisait un an que j'avais la bite en cage et je ne vous dis pas il ne me fallait pas grand chose pour me mettre la cervelle en feu. Sinon au quotidien, quand on parlait pas de cul, de sexe. Quand ce sujet n'était pas abordé, même de loin, tout allait bien. Mes proches n'étaient pas au courant de cette situation et je préférais ne pas en parler.


Économiquement je m'étais placé dans une situation délicate. Si je retirais mon dispositif je perdais mon boulot, et j'étais bien payé, et j'en profitais et … c'est que je suis un panier percé moi. Un bon salaire était le bienvenu, un meilleur salaire serait encore bien mieux venu …


Jean Marc m'avait dit. Oui mon pote s'appelle Jean Marc …


Jean Marc donc m'avait dit …


Comme tu sais c'est pas bien grand chez moi mais c'est pas grave, soit on dormira ensemble, soit on te trouvera une petite place dans un coin. Et puis s'il y a une fille on partagera !.


Pour la fille, je savais bien que c'était une boutade, et comme je sais me tenir le reste ne me préoccupait pas. Le dispositif est totalement invisible sous un caleçon, une caleçon blanc à moitié transparent et bien moulant, je ne dis pas mais, je ne sais pas seulement me tenir, je sais aussi m'habiller. Je porte des slips de toutes façon. Je ne sais pas pourquoi je vous parle de caleçon.


Je me préparait à faire péter la carte bleue. Oui je sais je vous disais à l'instant que ... mais bon je n'étais pas en découvert et même si ça ne faisait pas longtemps, je me préparait donc à faire péter la carte bleue.


Il est venu m'attendre à la gare, il est pas mignon mon pote Jean Marc ? On est passé chez lui, ce n'était pas plus grand que la dernière fois, le lit était grand et on aurait donc assez de place. D'habitude je dors nu mais bon pour une fois je garderais mon caleçon, enfin mon slip …


Il m'a fait visiter son quartier, on a fait un peu de tourisme puis je l'ai invité au restaurant. On a traîné un peu, on a bu un verre ici, puis là. On est entré, sur la route on a titubé, on a discuté, on était un peu ivre quand on s'est mis au lit.


Comme je l'avais prévu il a gardé son caleçon et moi j'ai gardé mon slip. Puis on a discuté un peu avant de s'endormir.


D'habitude je dors à poil ! Finissait-il par me dire. Et sans prévenir il retirait son caleçon et le jetais sur la chaise ou étaient ses vêtements.

Bon alors je fait pareil.


D'un geste je retirais mon slip et le rejetais aussi. Bon de toutes façons je sais me tenir, j'ai pas trop le choix et si lui ne sait pas se tenir, c'est certainement pas moi qui vais me plaindre. Et puis de toutes façons, une bite de huit centimètres à peine, ça fait combien quand ça bande ? Ça ne doit pas aller bien loin tout ça, ça n'a rien d'affolant.


On s'endormait.


Je dormais paisiblement quand j'entendais un cri. C'était Jean Marc, ça lui avait échappé, en dormant on avait bougé, et j'étais découvert. Lui il s'était réveillé pour aller pisser. Et là, il m'avait vu à poil …


C'est quoi ce truc que tu portes là ? Me demandait-il en montrant mon dispositif de chasteté avec le doigt.

Une cage à bite. Mais quelle heure est-il ?

Mais pourquoi tu portes un truc pareil ?

C'est pour rester sage !

La réponse ne semblait pas le convaincre, il me regardait avec un air idiot. Et en plus il bandait et il ne s'en rendait même pas compte. A force de me parler il finissait par me réveiller totalement.


Il a fini par s'allonger à côté de moi.


Regarde dans l'état ou je suis ! Me faisait-il remarquer.

Tu fais quoi quand ça t'arrive en pleine nuit pour te calmer ?


D'un geste il me faisait comprendre … '' Une branlette ''.


Et là ?

Bein là, j'ose pas me branler devant toi, avec ton machin, j'ose pas.


Remarquez là j'avais la question que je me posais. Un bite de huit centimètres au repos, ça fait plus de vingt centimètres en action. Il avait une bite énorme finalement. Je restais pensif pendant un moment en regardant sa queue.


C'est vrai que la différence entre la taille au repos et la taille en action peu varier d'une personne à une autre. La bite peut grossir un tout petit peu ou dans des proportions plus imposantes. Lui il était ce ceux-là. Sa queue rien que sur la longueur devenait presque trois plus longue. Et en largeur c'était pareil, un peu plus de deux centimètres se transformaient en bien plus.


Là j'étais bien réveillé, et j'admirais une très belle queue de plus de vingt centimètres sur plus de six. Si au repos il n'était pas affolant en action, il l'était je peut vous le dire. J'étais retourné et je n'avais plus du tout envie de me rendormir.


Toi ça ne se voit pas vraiment quand tu bandes, tu fais comment pour te calmer. Bafouillait-il.


Pour seule réponse je me penchais vers lui et prenais sa queue dans ma bouche, il a bien réagi mais sans trop savoir quoi faire il m'a semblé. Il m'a laissé faire. Quelques instants plus tard il gémissait sous l'effet du plaisir que je lui donnais.


Ma langue en premier caressait son gland, il était gros, bien gros. J'ai toujours craqué face à un gros gland gorgé de sang, et bien lisse. Le gland est d'une douceur incroyable sur la langue. Je la lui passais, et la repassais. Sa queue entrait dans ma bouche avec force, elle se faisait de la place.


Je me concentrais sur sa queue, sa douceur, sa longueur qui m'impressionnait et sa largeur. C'est vrai qu'elle était g rosse.


Au début il n'osait pas me toucher, puis j'ai senti sa main sur mes cheveux. Ce contact m'encourageait, je prenais sa queue encore plus profond, il arrivait au fond de ma bouche, sa queue repoussait ma glotte.


Je me concentrais, j'arrivais à synchroniser ma respiration, et son gland passait un peu plus profond. Il appuyait avec ses mains maintenant, il ne se contentait pas seulement de me caresser les cheveux.


Il me caressait le corps, avec une main il me caressait toujours les cheveux et appuyait de temps en temps, avec l'autre main il me caressait le cors. Elle glissait sur mon dos, glissait vers mes fesses, passait entre mes cuisses et me tripotait les couilles.


Je bandais comme un fou, c'est pas parce que rien de dépassait de ma cage que je ne réagissait pas. Ma queue poussait de toutes ses forces.


Il y a de la pression ici ! Faisait-il remarquer en s'amusant avec ma cage.


Je répondait par quelques sont gutturaux, n'oublions pas que j'avais la bouche pleine. Il attrapait ensuite mes couilles, elles formaient une grosse boule, il la saisissait et l'écrasait dans le paume de sa main.


J'ai toujours eu envie de faire ça ! S'exclamait-il.


Il écrasait puis relâchait puis recommençait. À chaque fois il écrasait un peu plus fort. Il ne s'arrêtait que quand je manifestais et me tortillais. Il passait ensuite à mon cul et glissait à sec un doigt. Là aussi j'ai réagi, là aussi j'ai résisté mais il s'amusait, à ce moment il s'amusait. Si je résistais trop, il appuyait sur ma tête et sa queue s'enfonçait dans ma gorge.


Et là c'était un peu trop pour moi.


Je continuais à le sucer même s'il devenait un peu trop encombrant. J'adore les grosse queue et je me motivais tout seul. Je le masturbais en même temps que je suçais son gland. Puis je prenais sa queue dans la bouche.


Je l'entendais gémir, il aimait. L'effet de la surprise était oublié. Il s'abandonnait à son plaisir. Je le sentais, il se laissait retomber sur son lit, il me massait la tête pour m'encourager et pour le reste, il ne faisait rien.


Ma queue continuait à protester, il ne me touchait plus mais ma queue criait au secours. Personne ne viendrait l'aider mais comment aurait-elle pu le savoir ?


Je ne sais pas combien de temps il lui a fallu, au bout d'un long, d'un très long moment je l'ai senti vibrer, ses muscles se sont contracté. Il me balançait des coups de bassin dans la bouche, sa queue allait se loger dans ma gorge.


Elle y allait avec de plus en plus de force et y restait de plus en plus longtemps. Il avait mis du temps pour réagir mais là il se lâchait,il soulevait son bassin et sa queue me rentrait dans la gorge et il appuyait sur ma tête et sa queue n'en ressortait pas.


Tu fais ça mieux qu'une fille ! Me disait-il.


Je le sentais vibrer de plus en plus, c'était le seul signe qui annonçait la suite. Il me lâchait une grosse dose de sperme, il jutait, il éjaculait généreusement dans ma gorge sans prévenir d'avantage. Il écrasait mon visage contre son ventre. Il éjaculais une seconde fois puis une troisième et me relâchait. Tous ses muscles se relâchaient.


Avale ! M'ordonnait-il.


Rapidement sa queue revenait à des proportions plus modestes, rapidement elle n'avait plus rien d'impressionnant. Je restais épaté par cette transformation.


Il était essoufflé, je sentais son cœur qui battait fort. Je relevais la tête et le regardais, il me répondait par un sourire.


C'était quelque chose. Me disait-il.

C'était pas prémédité ! Répondais-je.

J'ai bien fait de te réveiller alors ?

Tu as aimé.

Tu fais ça mieux que les filles, aucune filles ne m'a jamais fait ça.

Les filles ne savent pas faire.


Il rigolait à ma réponse. Il était détendu, il tirait la couverture sur lui, me recouvrait par la même occasion.


Il va falloir dormir maintenant. Me disait-il.


Il regardait encore un moment mon dispositif de chasteté, me tripotait une dernière fois les couilles et me donnait un baiser sur le front.


Puis il s'allongeait et rapidement il s'endormait.


Et moi je suis resté là. Je n'étais pas calmé moi. C'était même tout à fait le contraire. Ma queue continuait à protester. Mon dispositif de chasteté se relevait sous la pression. Je ne me sentais pas vraiment bien, j'étais en manque, j'avais envie de baiser pas seulement de sucer. Ça faisait un an que ça durait et cette nuit j'avais sous la main un mec avec une bite de prince, je l'avais sucé et plutôt bien même et tout s'arrêtait là.


Je me la serait bien prise dans le cul mais … On verra ça demain me disais-je. Je me laissais retomber sur le dos, j'ai bien essayé de me rendormir mais après ça, je n'avais plus du tout envie de dormir.


Il y avait juste à côté de moi un mec bien foutu avec une très grosse queue, je voulais me la prendre dans le cul mais lui, il s'était rendormi.


A suivre ( peut être )



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Le roy 15 La cour du Roi

 Le roy 15

La cour du Roi



En entrant dans le second bâtiment, pour être plus précis la seconde partie du palais, celle qui était réservée à premier et au second cercle Jaffa était orienté vers une autre direction, on lui confiait nos baluchons. Des petites mains l'accompagnaient et une petite main nous guidait, nous le suivions.


Il nous conduisait vers le cœur du bâtiment, on traversait une cour circulaire. On entrait ensuite dans un grand bâtiment, c'était luxueux, il y avait des rideaux aux murs, d'étranges pierres plates et totalement transparentes aux fenêtre. La lumières rentrait on pouvait voir le ciel comme s'il n'y avait rien mais le vent lui ne passait pas. Il y avait des tapis partout, c'est plus agréable que de marcher sur le sol en marbre qui est froid. Un peut partout il y avait des statues, le plus souvent de marbre.


C'était extraordinaire, extraordinairement beau, on avait vraiment l'impression d'être dans un palais, un vrai. C'était tellement beau que j'avais oublié que je bandais, et j'étais pas le seul.


Sommes nous vraiment présentables ? Demandait un de mes camarades.

Vous avez la chance de pouvoir bander, alors ne venez pas vous plaindre. Lui répondait sèchement le petite main.


C'est vrai que lui ne le pouvait pas. Il portait un dispositif de chasteté de petite taille. Je trouvais que le mien était microscopique, en fait il était de belle taille mais cette impression venait du fait que ma queue était dedans. Son dispositif était bien plus petit que celui que nous portions la veille.


Une lourde porte de cinq mètres de haut s'ouvrait devant nous. La salle qui s'ouvrait devant nous était devait avoir au moins dix mètre de plafond et était totalement circulaire. Un balcon faisait le tour de la salle, il était plein. Des petites mains, uniquement des petites mains et des gardes internes.


Les gardes internes étaient des gardes chastes, il appartenaient au second cercle. Seul les membres du premier cercle ne portaient pas de dispositif de chasteté. C'est à ce cercle que mes camarades et moi appartenaient.


Une haie d'honneur de gardes internes s'alignait le long du tapis rouge qui conduisait au centre de la salle. Notre guide s'écartait et nous faisait signe d'avancer. On avançait, au centre de la salle il y avait un trône, et assis dessus, ce devait être le Roi.


Nous approchions, on n'était pas fier surtout qu'on bandait. On bandait ferme même … Le Roi nous faisait signe d'avancer, nous nous présentions devant lui, on s'inclinait. Nous étions nus, il portait une cape qui semblait très légère, on pouvait en juger à la manière dont l'étoffe flottait et bougeait.


Il me montrait du doigt.


Toi approche !


Je m'approchais jusqu'en bas du trône, il y avait quatre marche pour arriver au trône. J'inclinais la tête.


Voilà donc le nouveau cercle. Ma fois, on m'a encore gâté, ils sont tous plus beaux les uns que les autres. Toi, qui es tu, d’où viens-tu, quel est ton nom ? Présente toi, parle moi de toi.


Là je ne vous dis pas j'étais tétanisé. Je bafouillais un peu au début, mais le Roy avait l'air bienveillant, je finissait par articuler correctement. Je le regardais il me souriais. Il était beau, vraiment beau. Il était jeune, il ne devait pas avoir beaucoup plus de trente ans. Son corps était musclé et harmonieux, sa peau semblait douce, il n'avait pas un poil sur le corps. Sa cape lui recouvrait les épaules et sur sa tête il y avait une couronne jaune qui brillait.


Je bandais toujours, ma queue se redressait fière à la verticale et se plaquait contre mon ventre. Il ne semblait pas en être gêné. Au contraire peut être même. Je suivais son regard et souvent il s'attardait sur ma bite. Au début j'étais gêné par cette érection que je ne parvenais toujours pas à contrôler mais je finissait par me sentir tout à fait à mon aise.


Un autre de mes camarades suivait et prenait ma place. Il était dans le même état que moi, il bandait lui aussi. Nous bandions toujours fermement tous les quatre. Il était un peu moins intimidé que moi, il avait pu voir comment ça se passait avec moi.


Nous somme passé tous les quatre, au pied du trône, à nous présenter. Le Roi semblait ravi. Nous nous placions comme on nous indiquait, côté à côté avec chacun une érection qui ne se calmait pas, toujours pas. Là je commençais à avoir une violente envie de me branler et c'est pas ça qui risquait de me calmer.


Le roi se levait, et on découvrait son dispositif de chasteté.


Je me demandais dans quel monde nous étions tombé, tout le monde ici portait un dispositif de chasteté, j'avais imaginé que c'était pour le plaisir du roi, j'avais imaginé que le premier cercle auquel j'allais appartenir était là pour le distraire mais là je ne comprenais plus.


La garde interne portait le dispositif de chasteté, les petites mains portaient un dispositif de chasteté et le Roi …


Le Roi portait lui aussi une tel dispositif.


Il descendait de son trône retirait sa cape, nous pouvions admirer son corps, il était vraiment beau. Il bougeait avec élégance, son corps était totalement dépourvu de poil et sa peau devait être vraiment douce. Je bandais encore plus.


Il tournait autour de nous, il nous touchait, nous caressait. Sa main glissait sur mes épaules et descendait le long de mon dos. Il me caressait ensuite les côtés de mon corps et sa mains continuait sur mon torse et sans montrer le moindre embarras se refermait sur ma queue.


Il me branlait, juste quelques mouvement de la main avant de ma tâter les couilles et passait à mon camarade.


C'est là que j'ai réagi.


Dans la salle nous étions les seuls à ne pas porter ce dispositif maudit. Ici le dispositif était béni. Les gardes, les petites mains, toutes les personnes qui entouraient le Roi portaient un dispositif de chasteté.


Je tournais la tête et je pouvais voir le Roi caresser le corps de mon camarade avec la même douceur que pour moi. Lui aussi bandait et ce que nous faisait le Roi ne risquait pas de nous calmer ?


Je sentais ma queue tendue comme jamais, je bandais depuis un moment déjà et je ne me calmais pas.


Je regardais vers le balcon, il y avait un premier balcon qui faisait le tour de la salle circulaire. Là il n'y avait que des petites mains, ils observaient la scène, c'était un peu comme au spectacle, surtout que ce spectacle devait être rares. Ils pouvaient se rincer l’œil et comme ils étaient en manque, ce devait être un vrai spectacle pour eux.


Plus discret il y avait un balcon au dessus, mais là les hommes qui s'y étaient regroupés étaient nus et ne portaient pas ce dispositif. Je comprenais que ce devait être le premier cercle. Je ne connaissais personne, pour être plus précis je ne connaissais encore personne. Mes idées vagabondaient ainsi jusqu'au plafond en dôme.


C'est le roi qui me ramenait sur terre, je sentais quelque chose de doux qui entourait ma queue. Je baissais les yeux, c'était le Roy qui la prenait dans sa bouche. Il savait s'y prendre le gars. Ma queue disparaissait totalement dans sa bouche, je la sentais glisser dans gorge. C'était génial.


Il prenait mes mains et les posait sur l'arrière de sa tête. Il la relevait et me disait.


Vas y lâche toi, prend moi comme une pute, ne te retiens pas.


Il reprenait ma queue dans sa bouche aussitôt.


Je n'osais pas, au début, je n'osais pas. Puis j'ai tenté un coups de bassin, il a encaissé, j'en tentais un autre, plus violent et je continuais en tirant avec force sa tête vers moi. Des coups suivaient, tous plus violents. Il faisait des bruits bizarres et amusant, je commençais à apprécier la situation moi.


Il me retenait, se retirait et se tournait vers mon camarade, juste à côté. Je suivais le mouvement, et me tournais vers le Roi, je continuais à le caresser pendant qu'il recevait des coups de bite dans la gorge de la part de mon camarade.


Le Roi avait le visage tout rouge quand il se tournait vers le troisième d'entre nous. Il le suçait lui aussi avec expertise, il prenait sa queue dans la gorge avec facilité. Celui-là n'attendait pas qu'on lui demande pour se lâcher, il saisissait tout de suite la tête du Roy et lui balançait un violent et rapide coup de bassin dans la figure, sa bite s'écrasait bien au fond de sa gorge.


Au moment ou le Roi passait au dernier d'entre nous un des petites mains me faisait comprendre par signe que je devais enculer le Roi. J'ai hésité, je me demandait s'il ne se moquait pas de moi. Se faire sucer par le Roi c'est une chose mais l'enculer …


Un autre des petites mains me faisait les mêmes signes. Pendant ce temps là mes camarades s'affairaient autour du Roi, le caressaient, un lui tripotait les couilles, l'autre appuyait bien sa tête contre lui en lui enfonçant sa bite bien à fond. Ils le caressaient aussi et le couvraient de baiser.


Finalement j'étais le moins rapide à réagir. Je me décidais, je me lubrifiait bien la queue, on m'a donné ce qu'il fallait, puis sans prévenir j'ai poussé ma queue directe dans son cul, de toutes mes forces, sans préliminaires.


Le Roi à relevé la tête et à hurlé. Son cri se terminait par un … '' Oh oui encore, vas y !''.


Face à cette réaction je me retirait rapidement et revenait avec force. Mon ventre claquait contre ses fesses, d'abord j'étais surpris qu'il ne dise plus rien mais un de mes camarades lui tenait fermement la tête et lui défonçait la bouche. C'était donc normal.


Je le limais pendant un long moment avec force et violence. Puis un de mes camarades jouait les coude et me poussait. Je me retirais pour reprendre un peu mon souffle pendant que lui bousculait le Roi, le retournait sur le dos, lui relevait les jambes et l'enculait à son tour avec force.


Cette position semblait plus efficace, le Roi gueulait de plaisir, il en redemandait. En fait c'était parce que personne ne lui avait encore rempli la bouche … Ça n'a pas duré. Quelques instants plus tard il ne disait plus rien.


Je lui tripotais les couilles et je m'amusait avec sa cage. Je remarquait qu'il n'y avait pas de serrure. Le dispositif était fermé en force. Je devinais que le roi ne le retirerait jamais.


Ça ne m'a pas arrêté. Je me suis bien essuyé la queue et je la lui enfonçait dans la bouche écartant ainsi un de mes camarades. La fièvre montait, on se bousculait pour avoir la place.


De nouveau on retournait le Roi. Les gardes surveillaient les opération avec attention. Il ne fallait pas abîmer le Roi, mais de toutes évidences on pouvait le baiser dans tous les sens, comme une pute. En temps normal c'était notre roi mais en ce moment c'était notre pute de luxe.


Le Roi se retrouvait de nouveau sur le dos mais allongé sur un de mes camarades, la queue de mon camarade bien plantée dans son cul. Un autre prenait place, relevait les cuisses du Roi et enfonçait alors sa queue dans son cul qui était déjà occupé. Le Roi hurlait, la queue du second mec s'enfonçait, on faisait taire le Roi de nouveau en lui remplissant la bouche.


Autour de nous il y avait des murmures qui venaient d'un peu partout. Les gardes montraient de la gène au niveau de leurs cages à bites mais restaient présentables.


Le Roi gémissait et continuait à gémir, moins fort certes mais il gémissait tout de même, au moment ou nous nous calmions. La fièvre retombait, un de mes camarades était allongé, totalement essoufflé. J'étais assis sur une des marches du trône. Le roi était là sur le sol, presque mort de plaisir.


Notre entrée dans le premier cercle était validé.



A suivre




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