Guni 01 Docteur Guni

 Guni 01

Docteur Guni



Il est né de l'autre côté de la montagne, son père Tooni était là le jour de sa naissance ( et il a eu du mal à s'en remettre le pauvre ), son autre père Guss ( son géniteur ) était là aussi mais n'a pas assisté à la naissance. Et selon Tooni, au moment de sa naissance, le petit était laid, mais laid ( c'en était à faire peur ). Ça n'a pas duré ! Il a grandi et plus il grandissait plus il était beau, et il a bien grandi … Sa mère l'avait confié à ses deux pères pour qu'il puisse devenir un seigneur. Auprès d'elle il serait resté un esclave.


C'est une enfance heureuse qui passait vite. Très jeune le petit Guni montrait beaucoup de force, il grandissait vite.


A l'âge de onze ans il commençait à s'amuser avec ses petits camarades et à leur faire des misères. Il avait déjà conscience qu'il serait d'un cran très élevé.


À l'approche de l'âge adulte, son père Guss voulait l'orienter vers une carrière militaire mais son second père Tooni trouvait que leur fils avait bien le temps pour choisir. Du haut de ses quatorze ans, le jeune Guni était de cet avis, et il prenait son temps. Il se lançait dans les études supérieures. Ah si, j'oubliais … il continuait à faire des misères à ses petits camarades à chaque fois qu'une occasion se présentait …


Arrivé à un âge avancé, enfin pour un célibataire, il était reçu docte-savant. Il avait étudié à peu près tout ce qui s'enseigne, depuis la médecine jusqu'à la musique en passant par la géographie ou encore la littérature … Et c'est ce qui justifiait cette petite fête que ses deux pères organisaient.


Il venait d'avoir vingt ans !


Il avait été un élève modèle, à part bien sûr quand il faisait des misère à ses petits camarades, mais bon, on lui pardonnait il arborait sur l'épaule un tatouage, un joli vingt trois, donc … C'était son cran ! Le cran est défini par rapport à la taille de la bite, c'est tout un truc …  Avec ça on se fait pardonner bien des petite taquineries, même de la part de ses camarades qui avaient du mal à s'asseoir pendant plusieurs jours après son passage … 


Enfin, il grandissait, et profitait de la vie tout en étudiant. 


C'était une bien étrange école que celle qu'il avait choisi, le cran ( la taille de la bite ) n'entrait pas en considération lors de l'examen d'entrée. Ces nouvelles idées modernes, moi vous savez, j'ai du mal à m'y faire. Et je ne suis pas le seul, personne n'y comprend plus rien …


Dans le temps c'était plus simple, tu avais une grosse queue, tu pouvais faire ce qui te plaisait. Tu avais une petite queue, tu n'avais plus qu'à porter un dispositif de chasteté et faire un bon mariage. Aujourd'hui, tout fout le camps, même si tu as une petite bite tu peux entrer dans une grande école et devenir savant. Il faut tout de même que tu portes un dispositif de chasteté dans ce cas là. Au moins sur ce point rien n'a changé. C'est déjà ça. 


Mais enfin il faut bien se dire aussi que si Guni avait choisi cette école ce n'était pas hasard. Lui il avait une grosse queue, une très grosse queue. Ses proportions étaient impressionnantes, la longueur bien sûr, mais au niveau largeur aussi. Tous ceux qui se la sont pris dans le cul s'en souviennent. Certains en redemandaient, d'autre se sauvaient en pleurant leurs pères … 


Il faut aussi bien se dire que le jeune Guni savait s'en servir, c'est vrai qu'il avait commencé jeune. Il était jeune, très jeune la première qu'il a fait couiner un de ses petits camarade de son âge. Mais bon, il avait de qui tenir. Son père et géniteur, Guss, n'était pas le dernier dans sa catégorie, lui non plus. Enfin c'est une autre histoire mais laissons leur un peu d'intimité.


La fête qui se préparait devait être réussie. Guni avait invité les quarante étudiants qui avaient réussi leur examen. Vingt cinq portaient un dispositif de chasteté. Ceux là avaient une petite bite mais étaient brillants, très brillants. Les quinze autres avaient une grosse bite. Guni avait la plus grosse !


Les étudiants qu'on appelait désormais les doctes-savants, seraient logés dans la maison de famille pendant la petite fête qui devait durer plusieurs jours. Il n'y avait pas quarante chambres mais on n'en avait pas besoin d'autant. Pour le reste la maison était vaste, il y avait la piscine, la terrasse, le patio, la salle de réception qui elle, était largement assez grande.


Tooni avait avait fait venir quelques serviteurs supplémentaires, il savait recevoir, et il aimait ça aussi il faut bien dire. Tous les invités seraient traités comme il convient, comme ce nouveau statut de docte-savant leur donnait le droit, et non comme leur cran le leur limitait. Ceux là qui en avaient une petite, seraient des maîtres tout de même. Ils porteraient bien sûr un dispositif de chasteté mais ils seraient des maîtres … Comme je vous disais, avec ces idées modernes il n'y a plus rien à y comprendre …


Ça ne semblait pas déranger le jeune Guni ces nouvelles idées. C'est vrai qu'il leur avait à tous pété le cul au moins une fois, mais c'est pas une raison … Enfin, moi je reste convaincu que cette nouvelle mode va passer !


Les invités arrivaient les uns après les autres à la maison. Guss avait repris ses fonction à la tête de la caserne et avait donc délégué tous les pouvoirs à son époux Tooni. En fait je viens de dire une bêtise, Tooni avait tous les pouvoirs dans la maison, et ça c'était pas nouveau ! 


Les invités étaient reçu par Guni puis aussitôt présentés à Tooni. Ils avaient gardé ce réflexe vestimentaire d'une élégance minimaliste. Et si, en théorie, ils s'extrayaient du classement par le cran ( la taille de leur bite ) les moins bien dotés gardaient une certaine pudeur et portaient en général une tunique qui couvrait, au moins en partie, leur dispositif de chasteté. 


Tooni s'était bien habillé pour l'occasion. Il portait une tunique légère qui ne cachait pas sa musculature et s'arrêtait juste au dessous de la ceinture … et des sandales. On voyait du premier coup d’œil son dispositif de chasteté en ivoire de Dentosaure. Petite bite peut être mais, dispositif de chasteté très haut de gamme … Qui montrait l'amour que lui portait son époux. 


Les invités se mettaient ensuite à l'aise. 


Je veux dire par là qu'il se déshabillaient … Si vous n'aviez pas compris. Même Lucius retirait sa cape. Il avait une jolie cape qu'il pouvait refermer par devant et qui se transformait alors en une jolie tunique courte qui lui arrivait juste au nombril … et des sandales. 


Lui aussi arborait un tatouage sur l'épaule, presque le même que Guni, vingt trois moins, Guni avait vingt trois plus. Les frimeurs ! C'est amusant de voir que plus les hommes ont une grosse bite, plus leurs vêtements sont petits. Les vêtements que portait Guni n'étaient que pure coquetterie, un harnais avec un petit glaive de parade, un collier décoratif en métal, une cape (comme son papa Guss ) et quand il fallait s'habiller pour une cérémonie par exemple il portait une tunique courte et ouverte qui laissait voir plus de peau qu'elle n'en cachait.


Guni les conduisaient alors dans la salle de réception au fond du patio, ils étaient à l'ombre, une table décorée de corbeilles de fruits les attendait, il y avait aussi des coupes en argent et de nombreuses carafes de vin en argent également. Plusieurs serviteurs veillaient à ce qu'il ne manque pas de vin, ni de rien d'autre, mais surtout de vin. 


L'ambiance se réchauffait vite. Il y avait des banquettes un peu partout, des fauteuils et une quarantaine de jeunes gens dont quinze seulement ne portaient pas de dispositif de chasteté, et qui laissaient leurs queues se balancer librement, ils s'en amusaient et se pavanaient devant leurs autres camarades qui eux avec leurs petites bite sous clé faisaient un peu miséreux.


A part pour ce détail, les corps étaient beaux, musclés, soignés. Il faut bien se figurer que les porteurs de cage à bite étaient aussi beaux que les autres, aussi musclés, souvent aussi élégants et souvent on aurait aimé trouvé entre leurs jambes une belle grosse bite à la place de ce dispositif de chasteté. Mais le port d'un tel dispositif était obligatoire pour entrer dans cette école, pour les petites bite bien sûr, et pour faire valider le diplôme c'est le port définitif qui était exigé.


Faut pas déconner non plus, moi je veux bien que le monde change mais pas trop et pas trop vite … 


L'ivresse montait, Tooni passait de temps en temps pour s'assurer que tout allait bien. Lucius dansait devant ses camarades. Un petit groupe de musiciens était arrivé et Guni les avait rejoint. D'autres se mettaient à danser également, Lucius prenait Jovial dans ses bras. Jovial était un de ces porteurs. Il était beau comme un dieu, grand et de très belle carrure mais il avait une petite bite, son tatouage affichait un petit douze. 


Ils étaient nus tous les deux et se serraient l'un contre l'autre, se caressaient. Leurs corps se touchaient et la peau de l'un caressait la peau de l'autre. Jovial s'accroupissait et avec une expertise incroyable prenait dans sa bouche la queue de Lucius. Elle était énorme mais il l'avalait sur presque toute sa longueur en un mouvement. 


Guni avait arrêté de jouer de la musique il regardait le spectacle et il bandait. Tooni était resté là, immobile, il regardait lui aussi la scène, il était peut être un peu moins impressionné que les jeunes, mais c'est pas sûr, mais malgré tout on voyait son dispositif en ivoire de Dentosaure se relever par a-coups au rythme des battements de son cœur. 


Un autre de ces jeunes hommes se relevait, choisissait un de ses camarades parmi les porteurs du dispositif, le prenait dans ses bras, l'embrassait, le retournait et lui enfonçais sa bite dans le cul. La victime gueulait mais ne cherchait pas à se défendre. Comme je vous le disais précédemment, tous, sans exception s'étaient fait péter le cul par Guni aussi ils n'avaient plus trop peur de se faire enculer. Tous avaient vu pire, et surtout l'avaient senti passer.


Guni arrivait à son tour, il choisissait le plus menu de ses camarades porteurs, il avait un petit cul bien ferme et une musculature mince, un petit dispositif de chasteté, il avait une toute petite bite mais il était beau. Il était de petite taille c'est à peine s'il arrivait à l'épaule de Guni. Tagui, c'était son nom, avalait sa salive et s'accroupissait devant Guni. C'était Guni le boss, c'était Guni qui avait la plus grosse. Leur titre de docte-savant devait passer au dessus de la loi de la taille de leurs queue mais ce titre ils l'avaient tous, donc. Guni avait la plus grosse queue. 


Tagui tentait de la prendre dans la bouche comme il pouvait, il avait du mal le pauvre, le gland passait et sa langue le caressait. Il la faisait tourner autour du gland de Guni qui maintenant gémissait de plaisir, tirait la tête de Tagui vers lui en poussant sa queue plus profond. Elle s'enfonçait, ça résistait mais elle s'enfonçait un peu plus profond, à chaque mouvement elle s'enfonçait encore plus.


Le pauvre Tagui faisait tout ce qu'il pouvait, il s'était déjà pris le bite de Guni dans le cul mais tout le monde sait que ça passe plus facilement dans le cul que dans la gorge. Surtout que quand on se la prend dans le cul, on arrive encore à respirer. 


Guni n'était pas un tendre dans ce genre de situation. Ce n'était pas exagéré quand je vous disais qu'il avait fait couiner plus d'un de ses camarades. 


Tagui ne cherchait plus à résister, il encaissait comme il le pouvait, il se laissait faire.


A côté d'eux des couples s'étaient formés, il restait encore un dizaine de ces beaux jeunes hommes, tous portaient un dispositif de chasteté, ils regardaient la scène. On pouvait deviner qu'ils ne restaient pas indifférents, leurs dispositifs de chasteté se relevaient et on pouvait voir qu'ils étaient bien chauds. Tous bandaient mais tous devaient faire ceinture, et tous, somme toute, n'auraient droit qu'à une certaine frustration.


Tagui pleurait, il était tout rouge au moment ou son visage s'écrasait sur le ventre de Guni, il avait fini par y arriver le barbare, là c'est de Guni que je parle. Il avait réussi à y entrer sa queue en entier. Je dis le barbare car en amour c'en était un. Sinon il était adorable mais dans les affaires de sexe, c'était un sauvage.


Guni relevait sa victime, pardon je voulais dire son camarade Tagui, le retournait, lui lubrifiait le cul. On pouvait deviner une certaine panique ou au moins une certaine inquiétude dans le regard de Tagui. Puis c'est sans ménagement, sans prévenir que Guni prenait position et  poussait sa queue dans le cul de son partenaire.


Il a hurlé le pauvre Tagui, ce n'était pas la première fois qu'il se prenait cette queue dans le cul mais ça lui faisait ça à chaque fois. Il faut dire aussi que Guni ne se prenait pas la tête, ne se posait pas de questions, il poussait, ça rentrait, c'est tout !


Son ventre s'écrasait rapidement contre les fesses de Tagui qui couinait et poussait des gémissements étranges que Guni trouvait toujours très amusants. Il retenait fermement Tagui par les hanches et le tirait vers lui avec force en même temps qu'il lui balançait des coups de bassin. Tagui semblait sangloter mais ne faisait pas un geste pour se dégager. C'était difficile de dire s'il n'osait pas parce que c'était Guni et qu'il avait la plus grosse et qu'il était le fils du chef de la caserne et que … Ou bien si c'était tout simplement parce qu'il aimait bien les sensations fortes. Il faut dire que l'invitation n'avait rien d'obligatoire, un refus n'aurait pas provoqué de problème, ils étaient tous là de leur plein grès.


Avec Guni, c'était garanti, les sensations fortes étaient très fortes.


Guni se retirait alors, il ressortait sa queue totalement du cul de Tagui, se penchait sur lui et lui donnait un baiser, un de ceux qui laisse un marque pendant plusieurs jours. Il faut bien dire que Guni, ça l'amuse toujours de rire … Et il aime bien rigoler le petit.


C'est encore sans prévenir qu'il enfonçait de nouveau sa queue bien à fond dans le cul de Tagui mais là c'était pour bien le lui limer. Il ressortait, quelquefois totalement, puis revenait avec force et violence bien à fond . Il ne retenait pas ses coups de bassin et c'est avec toute sa force qu'il tirait Tagui vers lui et lui limait le cul pendant de longues, de très longues minutes. 


Le pauvre Tagui encaissait bien. Autour d'eux, il y avait les autres couples qui s'étaient formés, les porteurs s'en prenait plein le cul, les non porteurs s'en donnaient à cœur joie. Il faut bien comprendre et bien se représenter la situation, ceux qui ne portaient pas de dispositif de chasteté avaient une grosse bite et que ceux qui portaient un dispositif s'en prenaient une dans le cul …


Et il y avait aussi une dizaine de porteurs qui eux assistaient à ce spectacle avant d'en faire partie. En attendant, en voyant leurs camarade s'en prendre plein les fesses, ils s'inquiétaient ou s'impatientaient selon qu'il avaient le cul encore étroit ou gourmand.


Un de ces porteurs se glissait dans le dos de Guni, c'était Rufius , refermait ses bras autour de lui  l'embrassait sur les épaules et dans son dos. Guni le laissait faire, il ne bougeait plus. Puis se retirait et oubliant son camarade Tagui, il se retournait et prenait dans ses bras ce nouveau partenaire. 


Guni le retournait il reprenait ou il en était avec Tagui. C'est sans aucune tendresse qu'il lui enfonçait sa queue bien à fond en un mouvement rapide et décidé. Ce nouveau partenaire parvenait juste à lui dire '' Oui vas y défonce moi le cul ! '' juste avant de hurler et de rajouter … '' Doucement pas si fort ! ''. 


Vous vous imaginez sans doute que Guni l'a écouté ? 


Fin de l'épisode


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


La maison d'hôtes 05 Un nouveau départ

 La maison d'hôtes 05

Un nouveau départ



Plus j'avançais vers la porte plus je sentais mon cœur qui se contractait dans mon thorax, j'avais l'impression de faire une énorme bêtise. J'avais la trouille, mais une trouille je ne vous dis pas. En même temps ma curiosité était à son maximum. Je voulais savoir et faire cette expérience. Bien sûr, je pouvais encore tout arrêter, il suffisait que je refuse formellement. La PK Compagnie n'accepte pas de contraindre ses clients, mais j'avais envie d'essayer et mon père l'avait fait, ça n'avait rien de définitif et rien que l'idée de porter un dispositif me mettait dans un drôle d'état. J'étais terriblement excité je sentais ma queue qui se contractait, je ne bandais pas mais bon, après la nuit que j'avais passé, c'était normal même à mon âge.


Et puis si on bande au moment ou on doit enfiler leur truc, ça se passe comment ? Il disent simplement qu'ils s'occupent de tout, que tout se passe bien, qu'ils ont l'habitude etc … 


Ouai, ça ne me rassurait qu'à moitié tout ça, surtout le '' etc '' . 


Je franchissais la porte, j'entrais dans un monde aseptisé, élégant mais aseptisé. Un jeune homme venait à mois.


– Vous êtes Hugo Verpin ?


J'avalais ma salive et je répondais par un hochement de la tête. A ce moment je sentait comme un nœud dans mon ventre. J'avais presque le vertige. Il m'invitait à le suivre dans un salon, il y avait un gros fauteuil boule, vous savez un de ces meubles rétro, ici ça faisait tout de suite cocon, et en plus c'est très confortable.


J'étais un peu en avance, mon père sans me le dire avait pris rendez-vous, mais il devait passer à la banque. Le jeune homme me demandait si en ce moment je bandais, même à moitié.


– Quelquefois ça arrive au candidat, c'est totalement hors contrôle, il ne faut pas luter, on a l'habitude de gérer vous savez jeune homme.


Je faisait non de la tête tout en me pinçant la queue à travers de mon pantalon, elle était peut être un peu dure mais de petite taille.


– Si vous voulez bien, nous allons procéder aux mesures …


Là je ne réagissais pas.


– Cela veut dire qu'il faudrait que vous baissiez votre pantalon … Rajoutait-il.


Il avait dit cette dernière phrase avec un petit sourire. Je me levais et m'exécutais, il procédait. Ma queue était bien dure mais de petite taille, je lui faisais remarquer.


– Vous vous êtes masturbé avant de venir.

– Heu ! …

– N'ayez pas honte … Vous pouvez tout me dire.

– Bein à l'idée de venir je me suis masturbé toute la nuit, au moins sept fois depuis hier soir, huit peut être ou neuf je ne sais plus …  

– Neuf fois, quelle santé ! Dans ce cas là, c'est normal. Vous pensez que vous pourrez bander maintenant ? C'est toujours pour la mesure …


Je commençais à me tripoter mais rien, ma queue ne réagissait pas du tout. Bein c'était bien la première fois que ça m'arrivait ! Il m'invitait à insister, c'est ce que je faisais. Il continuait à  me parler, m'expliquait comment ça allait se passer.


– Il vous faudra un key-holder pour le début, si vous ne pouvez pas supporter le dispositif, ça n'arrive jamais mais il faut être prudent. Ensuite … 

– Et ensuite ça ressemble à quoi, une fois qu'on l'a mis votre truc ?

– A ça ! Me répondait-il. 


Il se levait et ouvrait son pantalon le plus naturellement du monde. Il avait un superbe dispositif en titane, très aéré, par devant il y avait un bouclier en céramique ( en fait c'est du composite mais ça ressemble à de la céramique ). Il s'approchait de moi et me laissait tout le temps qu'il fallait pour que je puisse bien observer le dispositif.


Et là j'ai bandé, et pas qu'un peu je ne vous dis pas.


Il refermait son pantalon. 


– Vous pourriez vous lever ce sera plus pratique pour prendre la mesure.

– C'est une grosse taille ?

– C'est une belle taille, vous êtes au dessus de la moyenne. Mais vous savez, si vous décider de le porter pour toujours, ça n'a plus beaucoup d'importance.


A ces mots je bandais encore plus, et là je me demandais vraiment si je parviendrais à débander, c'est indispensable pour pouvoir passer le dispositif. Il prenait quelques photos avec un appareil un peu bizarre à deux objectifs.


– Bien vous pouvez remonter votre pantalon pour le moment. 


Je me réinstallais, je bandais toujours et mon cœur battait fort. Il y avait toujours ce nœud dans mon ventre et j'avais l'impression de trembler, de trembler frénétiquement très vite mais d'un tout petit tremblement. Je me sentais tout bizarre.


Il me présentait alors un catalogue, je le parcourais rapidement et retenais plusieurs modèles. Il me les apportait pour que je puisse les voir plus en détail et les manipuler. Tous ceux qu'il me proposait était à ma taille. C'est le genre de petit détail qui fait la différence. Je pouvais ainsi les essayer et voir. 


Ma queue s'était de nouveau ratatinée, je ne bandais plus du tout, pourtant pendant un moment c'était spectaculaire. Je décidais d'en essayer un. Je ne savais pas trop comment m'y prendre, il me conseillait de retirer mon pantalon tout simplement. C'est ce que je faisais.


Rapidement je prenais un modèle spécial confort.


– C'est ce qui se fait de mieux, surtout pour débuter. Me disait-il.


Je l'enfilais, il était fourni avec cinq boucliers différents, mais on pouvait le porter sans. Dans ce cas, ça faisait un peu plus cage. J'avais posé mon pantalon sur le fauteuil et je marchais de long en large devant un grand miroir. C'était top, tellement top que je sentais une érection qui arrivait, j'allais savoir ce que ça donnait quand on bande dans ce truc.


Bon, confortable ? … Là ils abusent. Mais pas vraiment désagréable c'est vrai et absolument pas douloureux. Je choisissais ce modèle, ensuite il me  proposait de choisir les boucliers, les boucliers ivoire et céramique étaient particulièrement beaux, les trois autres que je choisissais étaient plus coloré.


Je vous jure j'aurais brouté la moitié de mon parterre de plantes vertes ça ne m'aurait pas retourné d'avantage. Je  planais, j'étais sur un petit nuage, je ne réalisais pas vraiment, j'étais porteur d'un dispositif de chasteté. La veille seulement j'avais entendu parlé de ces trucs sérieusement, c'est tout et là j'en portais un pour … Pour combien de temps au fait ? Ça on n'en avait pas parlé ! Mais je m'en moquais, je vous jure qu'à ce moment là je m'en moquais.


J'avais un large sourire, je me rhabillais et me rendais présentable.


– Le cadenas est intégré, il suffi de refermer le dispositif et il est verrouillé. Nous ferons parvenir les clés à votre père, sinon il peut passer dès maintenant. 


Il me faisait signer les documents, j'avais toujours l'impression de trembler mais en fait, non, tout allait bien. C'est à ce moment que mon père arrivait.


– Monsieur Verpin, bonjour, je viens d'équiper votre fils, vous serez son key-holder pour le début, donc je vous remet les clés.


Mon père signait quelques documents puis on repartait.


J'étais retourné. 


– Bon qu'est ce que tu veux comme cadeau fils. 

– Un nouveau téléphone ! 


Je vous le dis comme je le pense, il ne faut pas perdre le nord dans ce genre de situation. Bien sûr, il a dit oui. On s'est retrouvé dans la boutique des téléphone et je suis ressorti avec le dernier modèle des smartphone, vous reconnaîtrez la marque si je vous dis que le logo c'est une poire … Hein, pas mal, j'ai bien négocié là ! Il est hors de prix !


Il avait profité que j'étais dans la PK boutique pour faire tout ce qu'il devait faire. On repartais vers la maison, on s'est arrêté en route, il m'a même payé le restau. C'était un grand jour !


De retour à la maison, ma mère me recevait avec un large sourire. J'étais pardonné de ma faute. Je passais le reste de la journée tranquille sur ma console de jeux. Et là c'était ma maman qui m'avait fait un cadeau, je trouvais à côté de ma console de jeu le pack Spécial-Gamer, c'est un pack qui regroupe les cinq jeux les plus à la mode … J'étais content !


Julien, le fils du nouveau client, venait me rejoindre et me demandait s'il pouvait jouer. Il s'est d'abord présenté, on s'était à peine aperçu en fait, la veille, il était prévu qu'il reste une semaine. 


– Et tu as fait quoi comme connerie pour mériter une PK ?

– Qué PK ? Je sursautais. Et puis comment tu sais ?

– Hier tu avais le fascicule dans la main, je connais bien le truc.

– Toi aussi tu en portes une ?


Sans répondre il se levait, baissait son pantalon, il n'en avait pas mais par contre il avait une belle bite, plus grosse et plus longue que la mienne. Je vous jure, à cet instant, rien que de voir sa queue, j'avais mal au cul !


Il me regardait fixement, je savais qu'on serait tranquille. Maintenant que j'étais sous clé, on me laisserait tranquille. Je me mettais à genoux et je lui suçais la queue. Instantanément ma queue se révoltait, ce n'était pas douloureux mais c'était nouveau pour moi. Je la sentais qui poussait contre les barreaux de la cage. 


Vous me promettez de ne pas le répéter, mais je trouvais ça jouissif. J'étais stimulé aussi, mon visage s'écrasait sur son ventre. Il avait une queue plus grosse que Baptiste et j'étais le premier surpris. Mais c'est qu'il avait raison mon papa, ça me stimulait et pas qu'un peu, et pas que pour mes études. J'arrivais à peine à me prendre la queue de Baptiste et là j'en avalais une bien plus grosse encore. 


Surtout qu'il ne m'épargnait pas le bonhomme. Il tenait fermement ma tête entre ses mains et me tirait vers lui, par moment il me balançais aussi des coups de bassin. Au début il  y allait doucement mais ça ne durait pas. Il y allait crescendo, un peu plus fort, je tenais le coup, encore plus fort, je tenais toujours et … Plus fort encore … Bon là c'était trop, là je retirais ma tête. Mais c'est qu'il me retenait l'animal, il ne voulait pas me lâcher, il finissait bien par le faire mais c'est parce que j'insistais. 


Là je crachais, je toussais, c'est pas facile tous les jours je vous jure. Je reprenais mon souffle et j'y retournais. Il me laissait faire en douceur, il appuyait à peine sur ma tête, j'arrivais à me détendre, sa queue entrait, ressortait et recommençait. Mais au bout d'un moment sans prévenir, il appuyait de toutes ses forces et poussait son bassin en avant. Il me retenait ainsi, je n'avais pas de prise pour me dégager ou le repousser.


Quand il me relâchait, je voulais gueuler mais après un court instant d'hésitation j'y retournais. J'étais mordu, en fait ça me plaisait qu'on me pousse au delà de mes limites. Surtout que mes limites n'allaient pas bien loin. C'était seulement la deuxième queue que je suçais. 


Il me prenait par la main et me relevait.


– Tu es un bon coup toi, ça se voit, je ne suis pas ton premier mec.


Je préférais ne pas entrer dans les détails. Et me contentais de remettre ma mâchoire en place. Il continuait.


– C'est souvent le cas remarque, vous les porteurs vous avez toujours le feu au cul. J'en ai connu un qui ne s'était jamais fait enculé et moins d'une demie journée après avoir mis le dispositif était déjà capable de se prendre ma queue dans le cul. Jusqu'à la garde.


Je m'imaginais sans effort à la place de ce gars, ça faisait une demie journée que je portais le dispositif et déjà la motivation me faisait avaler sa queue jusqu'à la garde. Mais de là à me prendre sa queue dans le cul … 


– Vas y mec enlève tes fringues. Me lançait-il.


En disant ça il se mettait à poil. Il était amusé de voir que je n'avais pas de sous vêtements, ça m'avait semblé inutile. On  reprenait position et sa queue se retrouvait de nouveau dans ma bouche. Il crachait longuement dans sa main et lubrifiait mon cul.


Là, je vous jure que je n'en menais pas large. Là il me faisait peur mais je voulais aller  jusqu'au bout. Mon cœur battait fort, vraiment très fort. Il appuyait sur ma tête, et de nouveau sa queue s'enfonçait dans ma gorge. Je ne pouvais plus respirer mais ça ne semblait pas le déranger. 


– Retourne-toi !


Le ton était autoritaire. Je me retournais mais si je ne disais rien, je n'en pensais pas moins remarquez mais je pense qu'il se moquait totalement de ce que je pensais. Il m'a à peine touché et déjà j'ai poussé un cri. 


– Tu es puceau du cul ou quoi ?


Je faisais oui de la tête.


– Alors on va bien rigoler.


Là j'ai vraiment paniqué. Il savait qu'il pouvait blesser et que si c'était le cas, ça ferait des histoires. Il y allait donc tout doucement. Il commençait par me préparer avec un doigt, puis rapidement deux, un troisième venait je ne sais d’où, à quatre il y mettait les deux mains. 


Il m'ouvrait bien le cul, c'était pas toujours agréable mais j'ai laissé faire. Je me souvenait que Baptiste aussi avait eu du mal par moment, je me souvenais aussi que je m'en moquais totalement et là je pense que c'était le cas de Julien. Il ne devait pas trop s'inquiéter de moi, il devait penser à son plaisir, à son seul plaisir. 


Je sentais sa queue appuyer contre mon cul. Je paniquais, je respirais fort, il poussait et je sentais une pression. Rien ne se passait jusqu'au moment ou j'ai senti mon cul se dilater. Il poussait toujours, il y allait doucement mais il continuait à pousser .


J'ai poussé un drôle de cri qui venait de la gorge et j'ai vraiment eu peur que mon cul ne déchire. Il me faisait mal mais je le laissait faire. C'était l'enfer mais c'était aussi ce que je voulais. J'ai senti sa queue glisser sur toute sa longueur et s'enfoncer dans mon cul. J'ai senti chaque millimètre de sa bite. J'ai senti mon ventre, l'intérieur de mon ventre se dilater, s'élargir pour laisser entrer cette énorme matraque. Quand son ventre s'est écrasé sur mes fesses, c'en était trop. Je l'ai repoussé et je me suis dégagé.


– Pas encore au point mais ça viendra, je suis là encore une semaine... 


Il terminait en se masturbant, je le regardais faire en reprenant mon souffle, j'avais mal au cul. J'ai jamais compris comment j'ai réussi à me la prendre dans le cul pour un premier essais. Je le regardais se branler, moi, je ne pouvais pas, moi je ne pourrais plus avant probablement longtemps. 


Au bout d'un moment il s'est levé, il s'est approché de moi et m'a éjaculé sur la figure, j'étais couvert de sperme. Mais bon je commençais à avoir l'habitude.


Ce n'était qu'une initiation, ce n'était qu'une première, il devait rester plusieurs jours, on a remis ça tous les jours, à la fin de la semaine j'étais presque soulagé de le voir partir. Je commençais vraiment à avoir du mal à m'asseoir …


A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


La maison d'hôtes 04 Le cadeau PK

 La maison d'hôtes 04

Le cadeau PK



Je me sentais bien, j'étais plus puceau !


Pour ce qui est de Baptiste, c'était pas nouveau, pour lui c'était pas une première. On est resté là, sans bouger pendant un long,  un très  long moment. Il n'y avait personne à la maison, on ne serait pas dérangé.


Bien plus tard donc, on se relevait et on se dirigeait vers la douche, on tenait notre pantalon à la main, on était nu. Et là j'ai vu la voiture de mon père, elle était devant la maison, juste à côté il y avait celle de ma mère …


On a vite fait demi tour, on s'est rhabillé avant de revenir. Mes parents étaient en train de discuter, ils étaient sur la terrasse ouverte. Ils faisaient leur tête des mauvais jours, ça avait l'air grave. Ils n'ont pas paru surpris de nous voir. On se glissait rapidement sous la douche. Enfin chacun la notre, il y en a plusieurs dans la maison. S'ils n'avaient pas été là on n'en aurait utilisé qu'une mais bon, il était inutile de se faire remarquer. 


On est redescendu plus tard, Baptiste n'avait que son jeans super sexy sur lui, je n'avais que mon pantalon. J'avais même pris le risque de ne pas mettre de sous vêtements. Il faudrait que je me contrôle, je m'en savait capable. C'était tellement agréable de sentir ma queue se balancer de droite à gauche suivie par les deux couilles qui ne la lâchaient jamais. Par moment je me demandais si  j'avais fait le bon choix. 


Surtout qu'il y avait Baptiste, plus sexy que jamais. J'avais goûté aux plaisirs de son cul et je ne rêvais plus que de recommencer. Je pensais au début que tirer mon coup m'aurait calmé, en fait ça avait l'effet inverse, c'était ballot.


Nous avons tous soupé ensemble. Les parents de Baptiste parlaient de leur départ prévu pour le lendemain matin. Là, je faisais comme mes parents, je faisais la gueule, mon visage des mauvais jours … Je ne savais pas pourquoi ils n'étaient pas content, je savais pourquoi moi je ne l'étais pas.


C'était la dernière soirée que j'allais passé avec Baptiste, et en plus on aurait nos parents sur le dos. Mauvaise soirée !


On s'est promis de s'écrire et se revoir, c'était mon premier amour et je pense toujours souvent à lui encore aujourd'hui. Pendant plusieurs jours il n'y avait pas de clients dans notre maison d'hôte, il faut dire qu'on commençait. Je prenais l'habitude de ne pas mettre de sous vêtements. C'était stimulant. Tous les matins j'avais mon boulot à faire, le poulailler, le potager et les colis pour nos clients. 


Depuis ce jour, mes parents étaient plus distants, moins chaleureux, j'avais l'impression qu'ils me faisaient la gueule. Jusqu'au jour ou c'est ma mère qui intervenait. Il y avait un nouveau couple qui devait arriver avec leur fils, un garçon de mon âge.


– Hugo ! Tu t'imagines sans doute que ton père et moi ne savons pas à quoi tu jouais avec le fils de nos anciens clients.


Elle parlait de Baptiste. Je devenais tout pâle.


– Tu penses sans doute que je ne t'avais pas vu mardi ? Tu te souviens, mardi ? Tu as entendu la voiture repartir, vous ne l'aviez pas entendu arriver et je ne sais pas comment te dire mais … Quelle honte !


Elle nous avait vu, il faut dire que ma mère est absolument adorable mais un peu puritaine tout de même. Elle avait l'air tellement embarrassée en me disant ça. Enfin embarrassée, le mot est faible. C'était en effet depuis ce jour là que son comportement avait un peu changé.


– Le lendemain c'est ton père qui vous a surpris. Vous étiez tellement occupés que vous ne l'avez même pas vu. C'est dégoûtant, que puis-je dire d'autre, c'est dégoûtant. 


Et en effet elle avait l'air dégoûtée. Elle écrasait une larme d'un doigt et déposait devant moi un fascicule publicitaire avant de se retourner  … Je regardais  le document et je ne comprenais pas vraiment ce que c'était.


En titre on pouvait lire '' La Purity Keeper Compagie vous libère de vos pulsions''


En dessous il y avait une illustration, un dessin, qui représentait tout un tas d'homme, en costume, très présentables et peut être même un peu trop, avec chemise et cravate, bien coiffés. Les plus jeunes devaient avoir mon âge, d'autres avaient l'âge de mes parents … Je feuilletais le fascicule, à la page deux je tombais sur une illustration totalement explicite.


J'ai bien failli tomber à la renverse. C'était un dispositif de chasteté. C'était un dessin pas une photo, le trait était fin et précis et il n'y avait aucun doute sur ce que cela représentait. 


Mon père arrivait, il était accompagné par nos nouveaux clients. Il venait vers moi.


– Tu devrais monter dans ta chambre ! Me disait-il. Et n'oublie pas ça. Rajoutait-il en me montrant le fascicule publicitaire que ma mère m'avais donné. Puis il rajoutait. Il faudra qu'on en parle entre homme !


Il retrouvait les nouveaux clients, faisait les présentations puis il me faisait signe que c'était le moment pour moi de disparaître.


Je montais dans ma chambre en traînant les pieds. J'avais le petit fascicule publicitaire dans la main. Arrivé dans ma chambre j'essayais de comprendre ce qui se passait. Je regardais attentivement ce fascicule et rapidement je me mettais à bander, c'était excitant ce truc. J'en avais bien entendu parler mais sans plus et à peine. Et là, paf, je me suis branlé.


C'était la première fois que je voyais un truc comme ça en photo, même si c'était un dessin. Un instant je me disais que c'était encore mieux que du porno un document pareil. Je bandais, je me suis branlé ! Oui je sais, ça fait deux fois de suite mais bon, je suis  jeune !


Mon père est venu me voir plus tard. 


– L'autre jour, je ne te dis pas mais … Je te jure que j'étais pas bien quand je vous ai vu tous les deux. 

– On a le même âge, on ne faisait pas de mal !

– C'est mal ! On t'a toujours laissé vivre tranquillement. Que tu te masturbes, c'est pas bien grave, surtout à ton âge mais là … C'est pas pareil. 


Ça à duré presque une heure, la discussion tournait en rond et ses arguments aussi. Dès que je regardais le fascicule,  je recommençais à bander. Là par contre je prenais le plus grand soin pour que mon père ne le remarque pas. Ce soir là aussi, je n'avais pas mis de sous vêtements … 


– Je te laisse réfléchir à ce que tu as fait. Tu descendras un peu plus tard pour souper. 


Il me laissait seul, dans ma chambre, qu'est ce que vous voulez que je fasse … J'ai lu le fascicule et comme je bandais, je me suis branlé. Et hop !


Je n'étais toujours pas vraiment calmé quand je descendais, je me souvenais que je n'avais pas mis de sous vêtement en arrivant dans la salle à manger, ma bite se rappelait à moi, elle se balançait lourdement devant mes cuisses et j'avais bien l'impression que ça se voyait.


Mon père à fait une tête quand il m'a vu, je ne vous dis pas mais, l'impression était confirmée. J'aurais du mettre des sous vêtements, c'est clair. Le repas se passait bien mais mon père me demandait de monter dans ma chambre aussitôt terminé. Je prenais l'air penaud et je m'exécutais


Dans ma tête, je ne pensais plus qu'à ce dispositif. Je le trouvais sexy, terriblement sexy. Je m'imaginais bien en fait avec ça sur moi. J'avais à la fois une envie incroyable de le mettre et de le garder et une peur  panique de le faire. 


Ils nous disent que c'est confortable, que c'est stimulant, que ça donne une énergie folle à son porteur, que ça recadre les délinquants de la branlette … 


– Tiens c'est pour moi ça ! Me disais-je en lisant la phrase.


Mon père venait un peu plus tard dans ma chambre, il ne frappait, il était en colère.


– Tu as vu dans l'état ou tu étais ce soir, tu bandais à table. Tu n'est qu'un branleur … 


Ça l'avait un peu énervé de me voir comme ça ce soir là. Et il se défoulait. Il m'a engueulé, je ne vous dis pas et il concluait par …


– Tu vas porter un dispositif de chasteté et c'est tout. Avant ce soir, avant de te voir comme tu étais à table, j'hésitais encore mais c'est décidé, ta mère est d'accord avec moi. Aussi pourquoi attendre ? Demain on ira dans un bureau de la PK …

– Oh non pas ça, papa s'il te plaît ! Je disais ça avec une toute petite voix.


En fait dans ma tête c'était la panique. J'avais envie d'essayer ce genre de truc, mais j'avais peur de le faire. Il prenait la décision à ma place, ça me simplifiait le choix. Par contre une chose était sûre, si j'étais partant, si j'étais d'accord, il était absolument hors de question que je l'avoue. 


Ah ça non, je dirais non mais je penserais oui, olala que oui. Non mais ! Je suis clair là ?


J'ai branché l'internet et j'ai fait des recherches. J'y croyais pas, il y en avait des infos, des tonnes … Là par contre il n'y avait pas que des dessins. J'étais excité alors, devinez, et bien je me suis branlé ! Et hop !


Il était une heure du matin, j'étais assis à poil sur mon lit et je continuait à me documenter. C'était passionnant il y avait tout un tas de modèles, certains très jolis. J'imaginais ma queue confinée avec douceur. Ils nous garantissaient que c'était sans douleur. Et comme j'étais toujours excité je me suis branlé … Et re-hop !


Il était deux heures du matin, toujours assis à poil sur mon lit. Je me documentais sur les tailles et comment faire les mesures. On nous garantissait que c'était confortable. Je croyais ressentir ce confort, ce confinement à la fois doux et confortable. Et, devinez, je bandais toujours aussi je me suis branlé … Et hop, encore hop.


Il était trois heures du matin, je regardais des photos, il y en avait des photos. Il y avait plein se sites, plein de témoignages et je continuais à me branler … Remarquez là je commençais à avoir un peu moins de conviction. Mais il faut savoir faire des efforts.


Il était six heures du matin, ça ne faisait pas longtemps que je dormais, et c'est le coq qui me réveillait. Salle bête, je vais lui faire goûter de la sauce au vin s'il continue celui-là ! Je ne vous dis pas j'ai fait un bond. J'étais toujours assis en tailleur sur mon lit, toujours à poil, j'étais seulement tombé en arrière.


J'étais fatigué, j'avais bien dormi mais pas bien longtemps et là je ne bandais pas. Mais finalement je me suis branlé quand même … 


J'entendais mon père qui m'appelait. Je lui répondais et me précipitais sous la douche. J'en ressortais quelques instants plus tard, je ne bandais toujours pas mais je m'étais branlé. Enfin il faut me comprendre, quand je dis je ne bandais pas, ça veut seulement dire que je ne bandais pas d'une manière incontrôlable, mais si je me tripotais je bandais rapidement. À mon âge, ça vient tout seul …


Je descendais les escalier quatre par quatre et arrivé en bas je me souvenais qu'il fallait que j'ai un air résigné.


– Bien tu m'accompagnes, ce matin, tu sais ou on va ?

– Oui papa !  Je gardais la tête basse.

– Tu n'as rien à rajouter pour …

– Non papa ! 

– Tu acceptes la situation ? Tu sais que si tu refuses formellement ils  n'accepteront pas de t'équiper ?

– Oui papa !

– Mais tu sais aussi que dans ce cas la ta mère et moi envisagerions … 

– Oui papa !


Vous remarquerez que ce jour là, je n'étais pas contrariant. C'était déjà ça. On prenait la voiture. Avec mon père on discutait, je lui demandais s'il en avait porté un lui. 


– Eh oui Hugo, j'en ai porté un pendant cinq ans. Tu verras c'est très stimulant pour tes études, mais pas que.


Je le regardais sans trop y croire. Il avait porté ce genre de truc. C'était pas la peine de gémir en demandant pitié, il connaissait. Mais comme  j'avais aussi envie d'y goûter il n'y avait pas de problème. Je me contentais de cacher mon enthousiasme, et lui posais plein de questions.


Arrivé à destination. 


– Bon ça ira Hugo ?

– Oui papa !

– Tu ne vas pas me faire un caprice au dernier moment ?

– Non papa !

– Tu t'es documenté tu m'as dit, tu as un modèle préféré ?

– Oui le confort ultra avec boucliers mais j'aime bien aussi le modèle céramique il est joli aussi mais n'est pas vraiment customisable c'est pour ça que je préfère le modèle confort ultra surtout que ce modèle avec un bouclier ivoire ressemble au modèle céramique il est un peu plus chère mais la qualité ça se paye …  Dis je peux choisir combien de bouclier ?


Il me regardait d'un drôle d'air.


– Alors là toi tu m'étonneras toujours !

– C'est pass queu j'é fé un truc pas bien … Aussi je me soumet à la sanction … Voilà ! 

– Tu veux que je t'accompagne ?

– Non papa, ça ira papa, ça ira papa …

– Bien alors je t'y retrouve un peu plus tard.



Je reprenais mon air résigné, sortait de la voiture et me dirigeais vers l'entrée, de dos il ne pouvais pas voir que j'avais un large sourire. En fait j'avais la trouille mais je voulais essayer ce truc. Je voulais vraiment essayer.


Quatre jours plus tôt j'étais puceau, j'avais juste flirté mais gentiment. Là j'étais toujours puceau du cul mais ce genre de truc ne gène pas pour perdre ce genre de pucelage.


A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


La maison d'hôtes 03 Bien à fond

 La maison d'hôtes 03

Bien à fond



A ce moment j'ai un peu paniqué, j'étais à poil le visage couvert de sperme, je bandais. J'ai tout de suite pensé à ma mère ou à mon père, s'il nous surprenaient dans cette position j'étais mort ! 


Je vous jure que là, avant de m'engueuler grave ils m'auraient tué. Et pour Baptiste c'était pareil, il est devenu tout pâle … Au bruit on pouvait deviner que la voiture ne s'arrêtait pas, elle démarrait, elle s'en allait.


Mon cœur s'était arrêté, je ne respirait plus. Je me glissait ver le coin du mur et je voyais en effet la voiture de ma mère qui s'éloignait et elle quittait la propriété.


Je revenais. Baptiste était tétanisé, il ne pouvait plus bouger.


– C'est rien, c'est ma mère, elle avait sans doute oublié quelque chose et elle repart.

– Elle t'a vu ?

– Non, pas de risque !

– Heureusement !

– Ah c'est vrai je suis à poil.

– Il n'y a pas que ça ! Il me montrait le miroir juste à côté de moi. 


Je ne vous dis pas, j'étais pas beau à voir. Heureusement qu'elle ne m'avait pas vu. J'avais le visage et les cheveux couverts de sperme, on l'avait échappé belle cette fois. 


On ne traînait pas on attrapait nos vêtements et on se précipitait sous la douche. On s'est frotté le dos mutuellement, on s'est shampooiné aussi mutuellement, on s'est lavé mutuellement quoi. Mais je vous jure que là, je ne bandais plus mais plus du tout malgré la douche et ses caresses. Baptiste non plus. On s'est bien rendu présentable l'un l'autre puis on s'est rhabillé. Au cas ou.


J'avais remis mon pantalon, j'avais oublié mon sous vêtement sur le coup mais c'était pas grave, je me sentais bien et je ne l'ai pas remarqué tout de suite. Baptiste lui aussi à juste remis son short. Puis on est revenu sur la terrasse couverte. 


J'ai rebranché la console.


On est resté là pendant un long moment, on ne disait plus rien. On n'a décidé de se lever pour passer à table. Mes parents nous avaient laissés mais avaient pensé à  nous, on avait un repas froid de prêt. Et puis il faut bien se dire qu'on était de grands garçons, vu les jeux que nous avions entre nous, vous vous en doutiez.


Mais je ne vous dis pas ça nous avait calmé et là je ne bandais pas, non là je ne bandais plus. J'ai pas bandé du reste de l'après midi. Et puis je me sentais bien, c'était un peu comme si j'avais joui avec intensité. Je me sentais vraiment bien.


Baptiste devait être dans le même état que moi, on retrouvait notre calme. Surtout que lui s'était vidé les couilles et pas moi. Pas moi depuis deux jours, deux jours pendant lesquels il s'était vidé les couilles à mes dépends. Bref tout ça pour dire que lui devait forcément se sentir plus détendu que moi. 


Pourtant moi, je me sentais bien, terriblement bien. 


Le reste de la journée, l'après midi, on a sorti les vélos et on a fait quelques kilomètres. Quand on est revenu on était sur les rotules. Nos parents étaient en train de discuter sur la terrasse ouverte. C'est de l'autre côté de la maison que se trouve la terrasse couverte c'est là que j'ai installé mon jeux vidéo. Quand il ne pleut pas, ou le soir, la terrasse ouverte est plus agréable. Moi je préfère la terrasse couverte, c'est plus intime …


On les a rejoint, on a discuté longuement. Ma mère semblait indisposée. Je lui ai demandé si tout allait bien, elle a éludé la question. Mais je sentais bien que quelque chose n'allait pas.


Puis on a terminé la soirée tranquillement, j'étais en demie-vacances. Il fallait que j'aide à la maison, mais ce n'était pas trop contraignant et je m'exécutais sans me plaindre. Le matin je cueillait les fruits et légumes, je préparais les colis pour nos clients, il y avait aussi le ramassage des œufs qui avait tant épaté Baptiste … 


J'y pensais le lendemain matin en nettoyant le poulailler. Baptiste était avec ses parents, ils avaient absolument voulu qu'il les suivent au village, c'était jour de marché. 


J'étais tout seul à la maison et pourtant je bandais comme un fou. J'avais une violente envie de ma branler en pensant à Baptiste. C'est vrais que ce garçon était vraiment canon. Il était pas futé mais il était canon ! Et puis si vous avez suivi, depuis deux jours je ne m'étais pas vidé les couilles pourtant on s'était bien excité l'un l'autre. Il m'avait éjaculé sur la figure, je l'avais longuement sucé, lui beaucoup moins d'ailleurs, il m'avait généreusement juté dans la bouche pendant que je le suçais … Et moi, que dalle, je ne m'étais pas vidé les couilles. 


Pourtant je me sentais bien, j'avais à la fois envie de me branler et envie de rester comme ça et d'attendre que mon nouveau copain me donne l'occasion de juter, ce sera plus agréable à deux. 


Pendant le reste de la matinée je gardais une grosse molle qui gonflait et dégonflait dans mon pantalon ample et qui se faisait remarquer à chacun de mes mouvements. Oh, ça ne se voyait pas mais moi je le sentais, je le sentais bien même. Et au moment ou j'ai vu arriver Baptiste. 


Il était encore plus craquant que quand il était parti, ses parents lui avaient acheté un pantalon en jeans, je ne vous dis pas le cul que ça lui faisait, et vue de face, j'ai senti ma queue qui hurlait de désir, ça le moulait bien, ça restait convenable mais il était sexy. Il avait aussi une nouvelle chemise et un chapeau de cow-boy … Je vous jure … J'avais soudainement une violente envie de faire du rodéo …


J'étais libre l'après midi. On décidait de se faire une balade dans la nature. Chacun son vélo et on était parti. Je le suivais, je préférais le suivre, il était trop beau et  j'en profitais pour le regarder, je regardais ses cuisses travailler quand il pédalait et en même temps je bandais comme un fou. 


Je connaissait un coin tranquille ou on pourrait se baigner et s'amuser un peu entre nous. Je me voyais déjà lui sucer la queue, surtout que la bosse que révélait son nouveau  pantalon me mettait en appétit. Il a tout de même fallu que je réajuste ma queue dans mon pantalon, je bandais et c'était pas toujours agréable pour pédaler.


On arrivait, c'était un endroit isolé, un endroit presque frais ou coulait une branche de la rivière. Je m'imaginais déjà batifolant dans l'eau, à poil avec mon Baptiste dans les bras … Mais pas de bol, il y avait foule !


J'avais découvert ce coins en dehors de la saison touristique, et c'est vrai qu'il y a quelques semaines c'était calme. Là c'est moi qui était calmé. Au moins on pouvait se baigner à poil, c'était déjà ça. Il y avait un coin ou tout le monde était à poil.


On est donc revenu beaucoup plus tôt que prévu, on s'est retrouvé avachi devant le jeu vidéo sur la terrasse couverte. Nos parents étaient absents, tous les quatre. Nous n'avions remis que nos pantalons, et je voyais cette forme allongée qui se dessinait si bien sous le nouveau pantalon de Baptiste. Moi je  portais toujours un pantalon très ample, mais le tissus était également très fin et selon la position que je prenais, soit on voyait bien ce qui se passait, soit on ne pouvait rien deviner.


Baptiste me lançait un regard que je devinais coquin. La seconde suivante il était à poil et son pantalon, avait atterri à l'autre bout de la terrasse. Je lui lançais à mon tour un regard un peu vicieux et je faisait de même.


Il ne me laissait pas le temps de m'asseoir et se retrouvait à genoux devant moi, il me prenait la queue dans la bouche. Il ne m'avais rien demandé, mais je vous jure que je n'ai pas protesté. 


Sans même m'en rendre compte je gémissais de plaisir. Il faisait ça tellement bien ce petit gars. Il avait plus d'expérience que moi et je voyais ma queue entrer et glisser dans sa bouche avec douceur, je la sentait s'écraser au fond de sa gorge. Je ne sais pas ce qu'elle rencontrait, la glotte, le fond de la gorge, je ne sais pas ce que je touchais mais c'était doux, chaud et humide. 


Il avançait son visage vers moi et l'écrasait contre mon ventre, je lui caressait les cheveux, je n'osais même pas appuyer sur sa tête. Je le laissais faire, sans résister, sans l'attirer, j'étais totalement passif. J'étais totalement offert à mon plaisir, le plaisir qu'il me donnait. Qu'il me donnait enfin.


Je lui avais pardonné de s'être amusé avec moi depuis deux jours sans se préoccuper de mon propre plaisir. J'étais aux anges. 


Puis il s'est relevé et m'a pris dans ses bras, on s'est embrassé pendant un long moment, on se serrait l'un contre l'autre, on se caressait. On se couvrait de baisers, sur les lèvres bien sûr mais pas seulement. Il m'embrassait sur tout le corps en commençant par les épaules. 


Je lui rendais chacun de ses baisers, chacune de ses caresses. Je fermais les yeux et je m'abandonnait totalement à mon plaisir. Sa  peau était douce, c'était tout nouveau pour moi ce genre de contact mais je ne vous dis pas comment on s'habitue vite. J'en redemandais et j'étais disposé à donner aussi. 


Il s'allongeait sur le sol, il y a une sorte de gros coussin qui peut se déplier. Il m'entraînait vers lui et nous roulions l'un sur l'autre. Il passait sur moi, me caressait, m'embrassait, me suçait la queue puis c'est moi qui roulait sur lui et je lui rendait alors les câlins qu'il m'avait donné.


Les baisers devenaient plus intense, il me mordait, sans me faire mal, mais il me mordait et je sentais ses dents qui me pinçait la peau. C'est très agréable si on y va tout doucement, on ne doit même pas, surtout pas laisser la moindre trace. 


Je le mordillais à mon tour. Nous gémissions de plaisir et nos deux corps se caressaient l'un l'autre. La peau est douce contre la peau.


Par moment nous faisions comme une pause et là, allongés l'un à coté de l'autre je me perdais dans ses yeux, je lui souriais et je me perdais dans son sourire. 


Nos mains parcouraient le corps de l'autre, puis on reprenait, la fièvre du plaisir nous reprenait. Il se retournait sur le ventre …


– Vas y prend moi !


Je n'ai pas compris tout de suite ce qu'il me demandait. Il répétait.


– Vas y prend moi ! Encule moi !


J'hésitais, c'était une nouvelle première pour moi. Trois jours plus tôt j'étais puceau, j'avais bien un peu flirté mais uniquement avec des filles, ça ne comptait pas vraiment. Il avait du gel, j'en avais entendu parler et je vous jure, c'est rudement efficace ce truc.


Il m'en passait sur la queue, il s'en passait sur le cul …


– Vas y maintenant. Vas y doucement au début mais vas y.


Mon cœur battait très fort à ce moment, je prenais position et je poussais. 


Ma queue glissait dans son cul, il n'y avait aucune résistance mais c'était étroit, ma queue se retrouvait très agréablement écrasée. Il a hurlé, je me suis enfoncé à fond. Il râlait, il gueulait et je ne suis pas sûr que c'était de plaisir.


– Arrête, arrête. Tu me fais mal …


Je ne bougeais plus, il faisait une grimace terrible. En fait à ce moment je pensais surtout à mon plaisir et je n'avais pas du tout envie de me retirer avant d'avoir joui. 


Sa respiration redevenait plus normale. Je me retirait légèrement, il faut dire que j'étais à fond. Mon ventre était écrasé sur ses fesses. 


– Il faut y aller doucement. 


Sa voix était crispée. Je ne bougeais plus de nouveau. Il se détendait. Lentement, je me retirait lentement, dès que je bougeais il se crispait de nouveau. Il serrait les dents et parvenait à articuler '' Doucement, vas y doucement ''. Je ne me retirais pas totalement, ça je ne voulais pas. 


Quand je l'ai senti se détendre totalement je suis revenu en force. De nouveau j'ai enfoncé ma queue bien à fond, mon ventre s'écrasait de nouveau contre ses fesses. Et de nouveau il a hurlé, il faut dire que j'y étais allé un peu fort. J'avais poussé, un coup de bassin qui m'avait échappé … 


– Excuse moi, j'ai glissé …

– Tu es un enfoiré ! Là il râlait.

– Sinon, ça va ? Demandais-je bêtement. 

– Non ça va pas, tu me fait mal.

– Toujours autant ?

– Moins mais … T'es vraiment un enfoiré !


Oui je sais au niveau discussion … Mais bon, j'avais ma queue enfoncé douillettement au fond de son cul et j'avais pas envie de sortir … Il fallait bien dire quelque chose.


– Arrête, retire toi, tu me fais vraiment trop mal !


Là j'avoue, il a fallu qu'il me le répète. C'est vrai quoi, j'étais bien moi. En plus j'étais allongé sur lui et son corps était doux, je m'en servais comme d'un coussin.


Je me suis retiré.


– Ça va ?

– Enfoiré !

– Oui mais ça va quand même ?

– Laisse moi respirer, laisse moi récupérer.


Je ne savais pas ce qu'il allait dire, je pensais que ça serait fini pour aujourd'hui, mais, quelques minutes plus tard.


– Vas y on y retourne. Tu t'enfonces en douceur et ensuite tu montes en puissance. C'est comme ça qu'il faut faire !


Alors là il n'a pas eu besoin de le répéter … Je bandais toujours autant et de nouveau je me suis glissé en lui. Ça résistait moins, bien  moins. Il gémissait toujours mais ce n'était pas pareil, il me semblait que là il appréciait. Il faisait encore des grimaces mais j'avais vraiment l'impression qu'il y prenait du plaisir.


J'ai donné un coup violent au moment ou j'arrivais au fond. Il a gueulé mais n'a pas essayé de se dégagé. Je me suis retiré puis je suis revenu, en force, toujours en force.


Quelques minutes plus tard je lui limais le cul avec force. Là je ne pensais plus à rien je me laissait aller, je me lâchais. Il encaissait, il râlait, et c'était du plaisir, ça j'en suis sûr.


Il se redressais sur les genoux, à quatre pattes. Je me retrouvais derrière lui à le limer de toutes mes forces. Je me penchais sur lui, le caressait et lui tripotais la queue il bandait toujours et il jutait. Au moment ou je caressais son gland il a éjaculé, il s'est mis à trembler, il à gémi. J'avais presque l'impression qu'il sanglotait. 


J'ai alors limé encore plus fort et quelques instants plus tard, je jouissais dans son cul. C'était le pied, je n'avais jamais senti un tel plaisir. Je me laissais tomber sur lui, il se laissait tomber sur le coussin. 


Pendant un long moment on ne bougeait plus. C'est un peu plus tard encore que ma queue sortait toute seule de son cul, je débandais.


A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


La maison d'hôtes 02 Ça c'est nouveau pour moi

 La maison d'hôtes 02

Ça c'est nouveau pour moi



Il continuait très fort …

– Bon tu me montres comment ça marche une poule ? 

Un instant j'ai cru qu'il plaisantait, mais il avait l'air sérieux, il s'était  accroupi et regardait ces bestioles qui semblaient tant l'intriquer.

– Bon tu m'expliques, tu ne leur fait pas de mal au moins ?

En fait il était sérieux. Il continuait, il insistait. 

– J'en attrape une, il y en a une qui marche mieux que les autres ?

J'y croyais pas, mais il ne me laissait pas le temps de réagir, il en saisissait une, la pauvre à eu la peur de sa vie. Oh, il ne lui a pas fait de mal mais la pauvre bête à complètement paniqué, s'est dégagée, y a laissé quelques plumes et, oh merveille … un œuf ! Il le ramassait en s'écriant.

– Ouah ! Tu as vu ça j'ai fait un œuf … Du premier coup. 

Je levais les yeux au ciel et décidais de lui expliquer comment ça marchais cette affaire. 

– C'est normal souvent quand on fait peur à une poule elle peut pondre un œuf comme ça mais il ne faut pas le faire, la pauvre bête.

– Mais il est bon à manger tout de même ?

– Oui il est bon à manger quand même !

Et c'est triomphalement qu'il partait montrer son œuf à tout le monde …

Je le regardais partir, et je me disais … Beau mec, bien foutu, beau corps, belle gueule, belle bite, beau cul mais … Pas futé !

Un peu plus tard mes parents revenaient à leur tour. J'ai décidé d'aller me promener dans la campagne, le soleil était encore très haut dans le ciel. Baptiste venait me retrouver en me voyant m'éloigner.

On parlait encore un peu des poules, je lui disais que c'était pas la bonne méthode et lui promettais de lui montrer dès le lendemain matin … 

Un peu plus tard on arrivait à la rivière, il faisait toujours très chaud.

– On peut se baigner ? Demandait Baptiste.

– On peut, c'est autorisé.

Je n'avais pas terminé ma phrase (pourtant très courte) qu'il était à poil. Sans maillot de bain on n'avait pas d'autre choix. Il plongeait, je le suivais, j'étais à poil aussi et il ne me fallait pas longtemps avant de bander de nouveau. Il faut bien se dire que moi, plus tôt, je ne m'étais pas vidé les couilles mais je m'étais bien fait chauffé la tête. 

Sous l'effet de la fraîcheur de l'eau, je finissais par me calmer. On s'amusait, on s'arrosait, on discutait aussi. Il avait toujours vécu dans une grande ville, enfant il croyait que les poissons avaient une forme rectangulaire. Et il m'a même avoué que, encore aujourd'hui, il ne savait pas dans quel arbre poussaient les tomates …

La j'ai pouffé de rire.

– Bon demain matin, on ramasse les œufs, tu verras qu'il n'est pas nécessaire de faire peur à ces pauvres bêtes pour avoir leurs œufs et ensuite je te fais visiter le potager. On a des tomates qui sont bien mures en ce moment.

Il acquiesçait de la tête en me faisant un large sourire. Il était assis à côté de moi, totalement nu et je me disait … '' Non de dieu, il est peut être un peu con mais qu'est ce qu'il est bien foutu ! '' … 

on se séchait, on s'habillait, je bandais comme un obsédé mais j'arrivais à passer mon pantalon, lui il se marrait en me regardant faire.  

Je lui aurais bien sauté dessus mais il y avait des gens, des voisins qui passaient et … Bon nous voir nus, de loin à nager dans la rivière, passe encore mais nous voir nous envoyer en l'air, ça le faisait moins là, beaucoup moins.

On revenait tranquillement à la maison, j'avais mon pantalon et des baskets, il avait son short et des espadrilles. Mes parents avaient préparé le repas. 

– Dis moi Hugo, on pourrait passer la journée ensemble demain. J'ai pas envie de suivre mes parents, je préférerais rester avec toi.

– Pas de problèmes, tu sais depuis un mois j'ai commencé à découvrir un peu les environs, on pourrait continuer à le découvrir ensemble.

Là je ne vous dis pas mais je m'imaginais surtout prendre le temps de le découvrir lui, plus que la région. Il me semblait plus intéressant que la campagne environnante. 

J'étais à cran, il était détendu l'autre nouille de Baptiste, il était bien détendu, il s'était vidé les couille puis on s'était dépensé dans la rivière mais moi, c'était pas pareil, je ne m'étais pas vidé les couilles et je vous jure qu'il ne me fallait pas grand chose pour avoir une érection incontrôlable. Un cour instant j'avais pensé ne pas mettre de sous vêtement, heureusement j'en avais mis un. Je ne vous dis pas. J'avais un pantalon ample en toile fine, c'est plus agréable avec la chaleur, et sans sous vêtements je n'aurais jamais pu rester discret.

On soupait tous ensemble, j'aidais mes parents à faire le service, nous étions les hôtes, c'est nous qui recevions. Ensuite nos hôtes, ceux que nous recevions, se détendaient sur la terrasse. Nos parents les retrouvaient un peu plus tard, en leur proposant un bon digestif. Baptiste et moi n'y avions pas droit. On avait droit au jus de fruit, c'est tout. J'aurais préféré une bière.

Nos hôtes préparaient leur programme du lendemain, comme prévu, Baptiste demandait s'il pouvait passer la journée avec moi. Et c'est tard dans la nuit que tout le monde montait se coucher. 

Il m'avait bien chauffé la tête Baptiste, je sentais encore le goût de son sperme dans ma bouche. J'avais toute la soirée dans mon lit l'image de son torse, de son visage, de sa queue, de son cul … Je vous jure c'est pas facile tous les jours. Je bandais comme un fou, là, je ne contrôlait plus rien. J'ai bien pensé à me faire un petit plaisir vite fait, j'ai même commencé puis je me suis dis que j'allais me réserver pour le lendemain. Je me disais , '' Cette fois ci, c'est lui qui va me faire juter ! ''.

J'ai passé une nuit agitée finalement. Mal dormi, je me suis réveillé plusieurs fois, et j'ai bandé toute la nuit. 

Le lendemain pour bien commencé la journée je prenais une douche froide. Ça calme, pas longtemps mais sur le coup ça calme … Je retrouvais ensuite Baptiste qui était déjà debout. Il avait fait comme moi. On prenait le petit déjeuner, puis pendant que les adultes préparaient un repas pour le midi, un pique nique, je faisais faire un tour du poulailler et du potager à Baptiste. Ses parents seraient absents toutes la journée et avaient renoncé à l'embarquer avec eux. Ils étaient trop contents de voir qu'il s'était trouvé un copain avec qui il s'entendait bien.  

Avec Baptiste on remplissait les paniers de légumes, on livre aussi des paniers de légumes à tout un tas de clients. Il me donnait un coup de main. Il était tout étonné de découvrir qu'il y avait autant de légumes différents …

A un moment sans prévenir, il s'approchait de moi, tirait son pantalon en avant et me montrait qu'il n'avait pas mis de sous-vêtements. Heureusement que moi j'en avais mis un car je ne vous dis pas, à ce moment j'ai commencé à bander comme un malade. Je ne contrôlais plus rien. Il l'a remarqué, et il a bien rigolé. 

Il n'empêche qu'avec ce coup de main inattendu, j'avais terminé mon boulot bien plus tôt. On se retrouvait alors sur la terrasse couverte comme la veille, on jouait un moment avec ma console. Mes parents avaient besoin de s'absenter, on arrivait à les convaincre de nous laisser sans trop de difficultés. On se retrouvait seul, comme la veille, la matinée n'était pas encore terminée.

– Tu bandes ? Me demandait Baptiste sur un ton directe.

– Oui.

– Fais voir.

– Non.

– Pourquoi ? Si tu me fais voir, je te fais voir.

Il n'attendait pas ma réponse et se mettait à  poil tout de suite, remarquez il n'avait pas grand chose sur le dos, c'était rapide, il bandait ferme. Je pouffais de rire et je me mettais moi aussi à poil. Moi aussi je bandais.

Je le regardais avec une véritable admiration, il était encore plus beau que la veille, surtout que maintenant je savais quel goût il avait. Et j'avais encore envie d'y goûter. La veille, ça ne m'avait pas rassasier, la veille ça m'avait mis en appétit.

Je m'accroupissais devant lui et sans prévenir d'avantage commençait à lui sucer la queue.

– Tu la prends en entier cette fois.

Je relevais les yeux vers lui. Et je faisais non de la tête. 

– Un petit effort, même si tu ne la gardes dans la gorge qu'une seconde.

De nouveau je le regardais dans les yeux, mon cœur battait très fort et je me demandais si je n'allais pas défaillir. Je respirais fort et finalement je me décidais. Je commençais à le sucer en m'appliquant. 

Je mouillais longuement son gland, le léchais avec force. Quand je le prenais dans ma bouche je tentais de glisser le bout de ma langue dans le petit trou qu'il a au bout de sa queue. Là je l'ai senti frémir. Il aimait c'était évident.

Puis sa queue pénétrait plus profond dans ma bouche. Ma langue la caressait longuement sur toute sa longueur. Régulièrement je revenais sur son gland puis reprenait à chaque fois que sa queue s'enfonçait de nouveau avant de sortir et de recommencer.

A chaque fois que sa queue s'enfonçait, elle s'enfonçait un peu plus, il guidait maintenant ma tête avec les deux mains et avec des caresses sur le dos de ma tête il m'encourageait en appuyant.

– Allez, là tu y es presque, on y retourne.

Il me caressait encore plus fermement les cheveux, avançait son bassin avec des mouvement qu'il contrôlait, des mouvements à la fois doux et fermes. Mais il n'y allait pas en force. Si je résistais, il n'insistait pas et si je voulais me retirer il me lâchait. 

Je me retirais, je toussais, je faisait une pause. J'en profitais pour me caresser la queue. Je bandais ferme et ma queue, on l'avait un peu oubliée dans l'histoire.

Je reprenais, un caresse sur la joue m'encourageait et devait arriver le moment ou bien décidé, bien détendu, bien préparé je décidais de forcer un peu plus. Je sentais son gland s'enfoncer contre ma glotte, s'écraser et repousser ma glotte. Je déglutissais, je ne respirais plus et je laissais faire.

Sa queue s'enfonçait plus profond, toujours un peu plus profond je la sentais s'écraser je ne sais trop à quel niveau mais c'était dans ma gorge. J'avais sa queue jusqu'au fond de ma gorge et mon nez s'écrasait contre son ventre.

Tout se passait bien, je ne pouvais plus respirer mais je contrôlait la situation. Je n'avais pas envie de vomir, dans ma tête c'était la folie, j'aurais aimé qu'il s'enfonce encore plus profond mais ce n'était pas possible. Puis il fallait que je respire. Je me retirais il me laissait faire. Je reprenais mon souffle, je toussais fortement, je crachais … Oui je sais mais là je vous jure que je ne pouvais pas faire autrement …

Il me regardait, il avait un large sourire.

– Alors là tu assures ! Bon on y retourne ?

Je lui répondait par un sourire et j'y retournais. 

De nouveau je prenais sa queue dans la bouche. En quelques secondes elle rentrait de nouveau bien à fond. Je relevais rapidement ma tête et sa queue ressortait. Frénétiquement je le masturbais et le léchait en même temps. Puis par moment, sans prévenir je prenais de nouveau sa queue dans la gorge. Il m'encourageait, je suivais et de nouveau pour une ou deux secondes son gland venait se loger au fond de ma gorge.

C'était doux, c'était fort, c'était intense. J'étais pris d'une véritable fièvre de plaisir et de désir. La veille, il faut s'en souvenir, je n'avais pas éjaculé, je n'avais pas joui, j'avais pris du plaisir mais c'était son plaisir pas le mien. 

Je bandais tellement que c'était presque douloureux. Ma queue était dure comme du bois et se relevait contre mon ventre. Le plaisir que j'avais pris la veille, c'était son corps qui vibrait, son cœur qui battait tellement fort au moment ou il avait joui dans ma bouche. Ce plaisir c'était son sperme quand il avait explosé dans ma bouche, c'était ses mains qui me retenaient.

Par moment il me retenait plus fermement et il fallait que j'insiste, que je force pour qu'il me relâche. Je sentais son désir de me retenir autour de sa queue, et moi j'avais le désir de le sentir en moi.

J'ai pensé lui demander de m'enculer, mais la peur me retenait. Il en avait une belle, mais j'y pensais. Je pensais aussi que c'est moi qui pourrait l'enculer. J'y aurais mis de la force, j'y serais allé sans aucune tendresse. C'est vrai quoi, il ne m'a même pas tripoté pas sucé aujourd'hui, et la veille c'est lui qui avait pris du plaisir. 

La tension montait, il se masturbait en même temps que je le masturbais en même temps je le suçais. Je voyais sa queue juste devant mon visage, je tirais la langue, je la caressait quand sans prévenir. Il est  pénible pour ça. Sans prévenir il me jutais à la figure. 

Une première et généreuse giclée de sperme s'écrasait sur mon nez et sur un œil. Une seconde sur l'autre œil, puis d'autres sur le front, sur la bouche, dans une narine ...

J'en avais partout, il gémissait fort, je restais tétanisé. C'était comme si je ne pouvais plus bouger, j'ai dégusté puis j'ai passé ma langue sur mes lèvres et là je me suis régalé.

C'est à ce moment qu'on a entendu une voiture. 

A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


INDEX

                       Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'ACC...