INDEX

        Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.    

                                     

PAGE D'ACCUEIL







NOUVEAUTÉS

Sept derniers textes publiés


Gaté Ep02 Apprenti Chastisan
Gaté Ep03 Second niveau
Gaté Ep04 Pour la vie
Benoit à la plage Ep01 Le naufrage
Benoit à la plage Ep02 L'île déserte
Benoit à la plage Ep03 L'autre plage



Benoit à la plage Ep03
Des aliens maintenant


TEXTE A VENIR


Branlette au sport Ep03 La branlette c'est fini

   

    Ou les bienfaits de la chasteté dans le sport ... Petite histoires qui ne comprtait que deux épisodes, mais bon il y a des lesteurs qui ont réclamé. Voilà donc une suite ( ce qu'il ne faut pas faire tout de même ) !

Prévu pour le 08 02 2024



BRICOLAGE
  

Do it "yourcherlfe" , comme ils disent les américains ...












IL ETAIT UNE
FOIS
Pour une fois c'est pas une fiction, c'est du vécu raconté
avec passion, émotion, rythme ... 
Et en plus il y a des images ... 



Les pages sont reliées ( à la main )
par groupe de 5


Toute la famille Brosso
Djé  -  Antoine  -  Philippe  -  David

-------------------------------






Bonne lecture et surtout n'hésitez pas à me retrouver sur

TWEETER

@CharlyChast






-------------------

Benoît à la plage Ep03 L'autre plage

 

Benoît à la plage Ep03

L'autre plage



Je marchais sur le sable mouillé en regardant attentivement le sol. C'était des petites bêtes qui se mangent que je cherchais, il y avait urgence, nous étions en train de mourir de faim.


Oui bon, enfin mes deux camarades étaient en train de prendre leur petit déjeuner mais ils étaient totalement irresponsables, inconscient, notre fin était proche et ils prenaient leur petit déjeuner.


Et dans le sable il n'y avait rien. Je n'avais jamais vu une chose pareil. J'arrivais à me convaincre que même dans la mer il n'y aurait pas de poissons. Nous étions abandonnés, perdus, oublié, même la providence nous avait oublié. Il n'y avait pas le moindre petit bivalve comestible.


Je savais que c'était pas normal, c'est vrai que je n'en avais jamais trouvé par le passé mais c'était uniquement parce que je n'en avais jamais cherché. J'avais lu quelque part qu'on pouvait en ramasser facilement et la plage m'avait semblé tout à fait adapté à cette chasse. D'ailleurs doit-on dire chasse cueillette ou récolte ?


Ver l'Ouest il y avait comme une sorte de mur, à plusieurs kilomètres, qui coupait la plage en deux depuis la forêt jusqu'à la mer et se fondait avec l'horizon, à voir c'était une bien étrange concrétion minérale, ou alors juste une barrière de rochers …


Je cachais mon désarroi comme je pouvais en revenant tout penaud vers mes camarades, je les entendais, ils rigolaient. Toujours inconscients de la gravité de la situation, il faudrait les informer doucement de mon échec. Je ne voulais pas les affoler pour rien, enfin ce n'était pas rien. Combien de temps pourrions survivre sans aucune ressource alimentaire … Enfin, rien à manger quoi si vous préférez.


Le soleil montait et on approchait de la fin de la matinée, j'avais l'estomac vide et la faim me tenaillait. C'était la fin de mes aventures, je vivais mes dernière années, fauché à la fleur de la jeunesse. J'avais envie de pleurer mais il fallait rester fort pour soutenir les autres. Si je craquais, tout était fini.


Bon alors Benoît, tu viens manger ou quoi ?


Manger, Gégé avait dit manger, mon dieu il restait encore quelques miettes et il les partageait, quelle abnégation de sa part. Je tombais dans ses bras en larmes, il m'avait ému. La tête de Zaza apparaissait au niveau du pont du bateau …


Je vous ai fait mon canard à l'orange ! Déclarait-il.


Je m'effondrais en larmes. Je montais sur le bateau et c'est en larmes que je dégustais son merveilleux canard à l'orange. Il faut dire aussi que Zaza cuisine divinement. Nous n'avions plus rien depuis … depuis notre accident, les ressources étaient épuisées et lui arrivait, comme un miracle, à nous préparer une merveille.


Ils avaient l'air inquiets, il me regardaient et là je voyais la prise de conscience de la situation. Je mangeais une bouchée et un flot de larmes coulait de mes yeux, et à chaque bouchée c'était pareil.


Tu n'as pas l'air d'aller bien mon pauvre Benoît ? Me demandait Gégé.

Mais si ça va, mais si ça va. Vous allez voir on va s'en sortir.

Mais bien sûr qu'on va s'en sortir. Puis se retournant vers Zaza. Il est encore en train de se faire un film dans sa tête .

On va lui faire un câlin et tu verras tout ira bien. Répondait Zaza.

Vous êtes tellement gentils avec moi mes amis. Et puis toi Zaza, tu as, tu as tellement de générosité tu n'avais rien et tu nous a fait un repas de fête, peut être notre dernier repas mais il était merveilleux.

Enfin le congélateur est plein. Répondait Zaza, et il fonctionne très bien.


Je savais qu'il disait ça pour me rassurer, et il y parvenait, nous pourrions donc survivre encore plusieurs jours … C'est vrai, après ce repas qu'il terminait avec un sorbet, je commençais à aller mieux.


Après le repas je me suis laissé aller, je me suis allongé sur le matelas et rapidement je me suis endormi. C'était la présence de Gégé qui me réveillait.


Tu n'as pas l'air bien mon pauvre Benoît, c'est cet accident qui te tracasse ?

Heuim, heuim ! Répondais-je en me réveillant !

Il ne faut pas que tu te rendes malade bonhomme, tu n'y es pour rien, Tu sais, tu prends n'importe qui d'autre que toi … Bon la c'est vrai il n'y en a pas un qui aurait fait une connerie pareil mais, justement, tu n'est pas n'importe qui !

Tu es mignon de vouloir me réconforter Gégé. Mais c'est plus grave que ça.

Enfin tout le monde va bien, à part toi qui t'es cassé un ongle.

Mais enfin on va tous mourir.

Mais non on va pas mourir, mais non, on va s'en sortir, tu vas voir.

LA RADIO ! Nous avons une radio, pourquoi ne pas y avoir pensé plus tôt, on va appeler au secours et on sera sauvé.


Je me relevais brusquement et me précipitait sur la radio de bord. Gégé me regardait faire, j'actionnais le bouton mais rien. La radio ne réagissait pas, elle était cassée. Je m'effondrais de nouveau, en larmes.


Oui je sais c'est une histoire bien triste mais je vous jure qu'il y a des passages plus rigolos ( NDL ). Allez on reprend.


Gégé me prenais dans ses bras avec beaucoup de tendresse.


On a déjà essayé tu sais … Puis il m'embrassait.


Je lui rendais son baiser, j'étais perdu mais la douceur des ses mains me réconfortais et vous pouvez imaginez que j'avais le plus grand besoin de réconfort.


Je lui rendais son baiser, je refermais mes bras sur lui et le retenais avec fermeté.


Quelques secondes plus tard on était allongé sur un gros coussin très confortable sur le pond du bateau. Zaza était parti se promener vers la mer, on était tranquille et au pire on terminerait à trois. Ça c'était pas un problème !


Ses lèvres me réconfortaient, la douceur de ses baisers me faisaient oublier presque tous mes problèmes. Ce tout petit incident de la veille par exemple.


Je me sentais bien, son corps était douillet, sa peau sentait le soleil et la plage, nous étions sur une plage, sur une île déserte, alors … Pourquoi ne pas profiter de la vie. Après tout la situation n'avait rien d'affolant, on n'était même pas à la saison des pluies !


Je me faufilais tout contre son corps, je continuais en lui glissant quelques baisers dans le cou, il rigolait, je le chatouillait et il se tortillait dans tous les sens. Il me rendait mes baisers, et nous nous retrouvions tous les deux torse nue. J'aime bien sa peau, il a une peau très douce. Je le repoussais sur le dos et le chevauchais. J'avais retrouvé mon sourire, je me penchais sur lui et je le caressais avec mes mains, avec mes lèvres je l'embrassais.


Mes mains descendaient sur ses hanche et mes lèvres suivaient. Je l'ai senti sursauter quand j'ai glissé mes doigts dans son pantalon. Mais comme il ne se débattait pas je continuais. J'ouvrais son pantalon, lentement, bouton après bouton.


Il était en forme, il bandait, je découvrais sa queue que je connaissais déjà, je me l'étais déjà prise dans le cul plus d'une fois vous savez ?


Ah vous vous en doutiez !


Il n'avait pas mis de sous vêtement, mais ne devions nous pas nous rendre dans un hôtel naturiste de luxe, enfin d'un certain standing si on en croit la pub.


Et c'est en me disant que nous n'y parviendrions jamais que je penchais la tête vers Gégé et lui prenais la queue dans la bouche. Je dégageais son gland et passais et repassais ma langue dessus. Il frissonnait, il tremblait, son gland était chaud et tout comme lui sentait le sable et la plage, il sentait bon mon camarade naufragé, je penchais ma tête un peu plus et je prenais toute sa queue dans ma bouche.


À partir de là je le limais, j'appuyais ma tête et je prenais sa queue jusque dans ma gorge, elle était de belle taille sans pour autant être géante et glissait sur ma langue avec douceur. J'aime bien cette douceur et si j'en croyais ses gémissements qui devenaient de plus en plus forts, lui aussi il devait aimer.


Il me caressais les cheveux. Je lui caressais les cuisses, mes doigts se glissait entre puis entre ses fesses. Là je lui gobais les couilles. De nouveau je l'ai senti frémir et trembler. Il gémissait fort à ce moment.


Je lui gobais une couilles, puis j'aspirais un peu plus et l'autre suivait. Attention là il ne faut pas mordre, surtout pas, oulala. Mais je n'avais spas l'intention de le mutiler, je suis pas comme ça moi. Je ne lui voulais que du bien, je relevais la tête en tirant doucement sur ses couilles, je finissais par les relâcher en ouvrant très largement la bouche.


Il retombais sur un matelas et paraissait comme soulagé, il avait un large sourire. J'en profitais pour lui retirer tous ses vêtement, son short ! Ceci dit je n'avais rien de plus sur le dos moi non plus. Je le faisais tomber.


Gégé se relevait alors et me saisissait avec force. Il me retournait sur le dos et à son tour prenais ma queue dans sa bouche. Il suce bien vous savez, moi je le savais déjà et je le laissais faire. Sa langue me caressait le gland avec insistance, avec une force douce.


Je tremblais à mon tour, je subissais ce que je lui avais fait subir, mais là je me demande si le mot subir est bien choisi …


Une main glissait sur mes fesses, deux doigts se glissaient entre, et un doigt se frayait un passage dans le petit trou si délicat que nous avons tous à cet endroit. Il y allait à sec, mais il y allait doucement, très doucement. Je m'abandonnais à son désir qui très vite devenait mon plaisir.


Il imprimait un mouvement circulaire sur mon anus, et l'écartait, le préparait à se détendre, à s'ouvrir. Mais quand il a voulu aller plus loin il a préféré prendre un peu de gel, c'est mieux. Je le laissais faire, je sentais son doigt qui était maintenant devenu très doux et qui glissait entre mes fesses. Par moment il s'arrêtait sur mon cul et sans prévenir y glissait dans un mouvement rapide.


Je gémissait doucement, un deuxième doigt suivait puis il les agitaient. Par moment ils bougeaient ensemble et frappaient ma prostate par moment leurs mouvements étaient indépendants. Ils me frappaient la prostate plus rapidement et là je commençais bien le sentir. A bien le sentir même, je gémissais fort brusquement, sans même m'en rendre compte, je tremblais et me tortillais dans tous le sens, mais là je le sentais, là je le faisais exprès.


Il faisait une pause puis reprenais, les deux doigts ensemble, c'était bon, c'était terriblement bon. Je relevais la tête tout surpris quand il retirait ses doigts, je me demandais pourquoi il arrêtait tout et là il s'allongeait sur moi, il m'écartais les cuisses. Je le laissais faire il me les soulevais et sans prévenir, remarquez je l'avais vu arriver, il m'enculais dans un mouvement rapide et bien décidé. Il m'avait donné envie de le recevoir.


Je gueulais de plaisir et je refermais les jambes dans son dos le retenant vers moi avec force. Il se retirait, je le retenait, il revenait, je le retenais avec encore plus de force, il se retirait et sa queue commençait à bien me masser le cul, je le retenais de toutes mes forces avant de lâcher finalement.


Il se retirait presque entièrement avant de revenir avec encore plus de force puis il me limait le cul avec conviction. Il y mettait du cœur, je râlais de plaisir. Il saisissait mes jambes par les chevilles et me défonçait le cul en faisant claquer son ventre contre mes fesses. Il accélérait jusqu'au maximum qu'il pouvait faire. Il faisait une pause, puis reprenait. Il reprenait lentement et faisait durer le plaisir. Le plaisir montait, là je parle de moi, un plaisir incroyable m'envahissait il rayonnait à partir de ma prostate, continuait ensuite dans mon cul, dans mes entrailles, et explosait dans mon ventre.


Il sait comment je réagis mon pote Gégé, il sais me donner du plaisir. J'en pouvais plus et au bout d'un moment à ce traitement je jutais. Je n'éjaculais pas mais je jutais. Un flot de sperme coulait de ma queue, je bandais toujours mais personne ne l'avait sollicité. Gégé l'avait oublié, volontairement je suppose et moi je ne m'étais pas stimulé.


On peut jouir sans se branler quand on est bien stimulé par le cul comme sait si bien le faire mon copain Gégé. Voyant cela il jouissait à son tour, je l'ai entendu hurler de plaisir, j'ai senti son ventre frapper mes fesses avec une grande force à plusieurs reprises. Puis il est retombé sur moi.


On a partagé encore quelques câlins, il s'est retiré. Zaza est arrivé à ce moment.


Je suis allé jusqu'au rochers qu'on aperçoit à l'horizon. Au delà il y a une autre plage …



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Benoît à la plage Ep02 L'île déserte

 

Benoît à la plage Ep02

L'île déserte



Ah ça ils allaient me le reprocher, quelle histoire. Bon finalement tout se terminait bien, à part moi, il n'y avait pas de blessé et le bateau était en cale sèche. Bon d'accord on était quelque part, on ne savait pas ou mais ça ne devait pas être bien loin de notre route.


Et puis je me disais que de toutes façons c'était pas ma faute si le GPS à boussole m'indiquait la plage droit devant moi, moi j'avais suivi. Je finissais par m'endormir, j'ai fait des rêves un peu agités.


J'étais Robinson Crusoé, j'avais fait naufrage sur une île déserte, il y avait Mardi et Jeudi qui arrivaient à la nage pour … Je ne sais pas trop pourquoi d'ailleurs. Ils sortaient de l'eau, ils étaient nus, ils étaient beaux avec leur air sauvage, mois j'avais ma bouée canard autour du ventre. Mardi et Jeudi me faisaient bizarrement penser à mes copines Zaza et Gégé, je ne sais pas ce qu'ils faisait dans mon rêve ces deux là … Je me disais qu'il faudrait qu'ils m'expliquent quand je serai réveillé, pourquoi il sont venu rêver avec moi.


Ils me regardaient avec un air farouche et commençaient à me faire peur, ils étaient nus et quand ils m'ont vu ils ont bandé. Et moi sans défense avec ma bouée canard autour du ventre, je finissais par constater que j'étais nu, j'étais nu et confus.


Je les regardais sortir de l'eau et s'approcher de moi, plus ils s'approchaient plus ils s'approchaient vite, ils finissaient même par courir vers moi et j'ai un peu paniqué, j'ai voulu m'enfuir, mais je me suis pris les pieds dans ma bouée, surtout ne me demandez pas comment j'ai fait, j'ai pas tout compris.


Je retombais donc le nez dans le sable et eux me tombaient dessus. Désespérément je me débattais pour me dégager.


Au secours, on m'agresse, on veut me violer !


Heu … Je l'ai pas dis fort ça remarquez, vous imaginez bien ? En fait c'est pas du tout ce que je voulais dire … Ça aurait plutôt été quelque chose du genre.


ON VEUT ME VIOLER … OUI ENCORE, ENCORE …


Mais là je me sens un peu obliger d'avoir honte, ou au moins de le dire.


Ils me soulevaient et me sortaient du trou, tient, il n'y avait plus de bateau … Il avait du couler. Non c'est pas impossible, c'est pas parce qu'il était sur le sable qu'il n'aurait pas pu couler … Ça se voit tous les jours, la mer monte et quand elle redescend elle embarque le bateau avec elle, voilà .


C'est à ce moment que tout en me déplaçant, Mardi a glissé sa main sur mes couilles. Là j'ai couiné ! C'était un peu cavalier et familier. Non mais c'est vrai quoi, on ne se connaissait que depuis quelques instants et même si ça ne faisait aucun doute sur le fait que nous devrions devenir plus intimes dans les minutes qui venaient que … C'est vrai quoi, je ne suis pas une fille facile !


Ils me transportaient un peu plus haut sur la plage et pour ça me tenaient par ce qu'ils pouvaient attraper . La main de l'un m'écrasait les couilles, et en plus ça semblait l'amuser l'animal.


Il finissaient par me laisser tomber sans ménagement sur un coussin de verdure, j'étais surpris. De la verdure sur la plage, je regardais autour de moi, on n'était plus sur la plage, il y avait des arbres un peu partout autour ne nous, on voyait encore la plage, on n'était pas remonté si haut que cela.


Ma bouée canard était toute dégonflée. Ils me regardaient de haut, j'étais allongé, ils étaient debout. Ils bandaient et ils me mettaient leurs bites sous le nez.


Moi Mardi ! Disait l'un. Montre moi ce que tu sais faire.


Vous devez vous en douter, même si je ne suis plus tout à fait vierge, je ne suis pas vraiment prude non plus … J'ai avalé sa queue sur toute la longueur, il n'a pas eu le temps de réagir, je l'ai pris de vitesse.


Mon nez s'écrasait sur son ventre et je repliais mes bras derrière ses cuisses pour mieux le tirer vers moi. On ne sais jamais, des fois qu'il aurait l'idée de se sauver. J'aime pas quand les mecs se sauvent, c'est déshonorant, ça pourrait laisser croire que je m'y prends mal et vous pouvez me croire, ce n'est pas le cas !


D'ailleurs ça ne m''est jamais arrivé et c'est sans doutes pas uniquement parce que, les mecs, je les cramponne et ne les lâche pas.


Il posait ses mains sur ma tête et tentais de me guider. Je sais ce que je fais et là, je ne le laissais pas faire. Il me cramponnais alors la tête me maintenait bien et me balançais de violents cous de bite dans la gorge, il reculais la tête et revenait avec force à la charge. Je sentais sa queue glisser dans ma gorge, elle s'ouvrait un passage, écartait la glotte et s'écrasait avec force dans ma gorge, et quand je dis dans ma gorge, là je n’exagère pas, je ne pouvais même plus respirer.


Il avait finalement le dernier mot, j'ouvrais grand la bouche et ne résistais plus. Avec ma langue je caressais tout ce qui passait, et ça passait, sa queue entrait et ressortait de plus en plus vite. Quand par moment il me laissait faire, j'en profitais pour lui caresser le gland et là, je ne vous dis pas mais … Enfin si je vous le dis, il gémissait, je le sentais se contracter. Les muscles de ses jambes se raidissaient, je savais qu'il aimait.


Je poussais comme un gémissement quand il se retirait, j'avais même le réflexe d'essayer de le retenir mais c'est la queue de Jeudi que je me prenais dans le nez, il en voulait lui aussi.


Moi, vous savez du moment que j'ai une belle queue à sucer, surtout le matin au réveil, le soleil était déjà haut et je n'étais plus totalement sûr qu'on était le matin.


Mais bon, je venais de me réveiller, c'est pareil, et en plus je me prenais une deuxième queue dans la bouche. Je faisais pareil, le premier m'avait mis en appétit et j'étais maintenant bien réveillé. J'avalais sa queue, comme le premier, sans prévenir. Il a sursauté, il s'y attendait, il m'avait vu faire juste avant mais il était surpris tout de même.


Par contre lui ne cherchait pas à se dégager, il m'enfonçait sa queue bien à fond en appuyant sur l'arrière de ma tête. En même temps il me balançait de violents coups de bassin sur ma figure.


Je m'étais bien sûr redressé, j'étais sur les genoux et je suçais, je suçais. Le premier gars que j'avais sucé glissait délicatement sa main entre mes cuisses, comme si je n'allais pas m'en rendre compte Il m'attrapait les couilles et me tirait. J'étais obligé de me relever et comme je continuais à sucer mon ''client'', je me retrouvais debout, les jambes écartées et penché en avant, toujours avec le queue du gars dans la gorge.


L'autre dans mon dos n'attendais pas bien longtemps avant de me défoncer le cul, il prenait position, salivait bien, généreusement même, puis appuyait tout doucement son gland contre mon cul.


Juste après il appuyait fort, très fort. J'aurais voulu gueuler mais j'avais la bouche pleine, il y en avait déjà un qui me bâillonnait avec sa bite. Là j'ai voulu me dégager. J'ai remué, j'ai gigoté et mes mouvements aidaient la queue du second à me pénétrer. Déjà qu'il appuyait fort, là c'est rentré. C'est rentré bien à fond même. Son ventre s'est écrasé contre mes fesses.


Le premier Me retenait avec force, c'est lui qui imprégnait le mouvement. Moi je tentais de tenir debout, et dans ma situation c'était pas gagné. Si je tombais en avant, pour rigoler je suppose, celui qui était devant moi avançait son bassin et m'enfonçait sa queue bien à fond, ça me retenais et je ne pouvais pas tomber plus.


L'autre dans mon dos ne me retenais pas, je suppose qu'il devait trouver très drôle la situation dans laquelle j'étais. Je parvenait à me retenir à un tronc d'arbre, avec une main je parvenait, non sans mal, à m'appuyer et à tenir debout tout seul.


Par moment le mec dans mon dos me tirait vers lui et avançait en même temps son bassin et je sentais sa queue qui s'enfonçait douloureusement jusque dans mes entrailles. Et je ne pouvais toujours pas gueuler, j'étais obliger de subir en silence.


Les coups pleuvaient, oh ils ne me frappaient pas. Enfin ils me frappaient la figure et les fesses avec leurs ventres. Leurs queue aussi me frappaient. L'une me frappait le fond de la gorge, l'autre me donnait des coups quelque part, pas loin de mon estomac, mais en passant par derrière.


En articulant je parvenais à faire des bruits bizarres, et ça les faisait rire en plus. Leurs coups devenaient plus violents et plus violents encore. Ils me limaient, l'un me limait le cul, l'autre la bouche mais ils me limaient tous les deux à une vitesse vertigineuse, je ne contrôlais plus rien.


Par moments, moments très courts, ils faisait une vague pose pour que je puisse respirer. Ah il ne fallait pas louper son coup, j'essayais de tousser mais aucun des deux ne montrait la moindre pitié. J'en pouvais plus, j'allais suffoquer, je ne pouvais même pas crier '' Encore, encore … '' ou '' Non pitié … '' . Oui je sais mais je suis toujours comme ça .


Et c'est à ce moment que quelqu'un me secouait par le bras …


Ça va pas Benoît, on dirait que tu fais un cauchemars.


C'était Mardi ! Pardon je voulais dire c'était Zaza. J'ouvrais les yeux, j'étais ratatiné au fond d'un petit trou de sable emmitouflé dans un sac de couchage. Surtout que si vous vous souvenez, moi et le camping sauvage, ça fait deux. Bein oui, j'aime mon confort.


Bon on va prendre le petit déjeuner, tu montes sur le bateau. Me demandait Gégé.

Tu n'as pas peur qu'il ne fasse couler le bateau ? Rajoutais Zaza.

Mais non on est en cale sèche. Faisait remarquer Gégé.

Et tu crois vraiment que ça peut l'arrêter … ?

Très judicieux ça Zaza, j'avais oublié qu'on l'appelle aussi monsieur catastrophe.

Ça va je vous entends les filles … Je suis là ! Répondais-je un peu agacé.


Je me levais, j'étais débraillé, pas présentable et ça c'est pas dans mes habitudes. Je ne ressemblais à rien, j'étais effondré.


Non mais je rêve, nous sommes perdus au milieu de nulle part et vous ne pensez qu'à bouffer. Je vais aller à la pèche, pour essayer de trouver de la nourriture avant qu'il ne soit trop tard …

– Tu sais Benoît. On avait des réserves et le congélateur marche encore.

– Moquez-vous, moquez-vous … Mais nous arriveront à la famine, vous verrez vous serez content de pouvoir survivre garce à mon sang froid et à mon organisation …


Je m'éloignais alors en direction de la mer, la plage me semblait bien plus grande que la veille. C'est vrai que la mer monte et descend, je ne sais pas comment ça marche cette histoire, mais je vous jure c'est vrai, je l'avais déjà remarqué dans le passé.


J'entendais alors, des éclats de rire qui venaient du bateau, ils n'était tout de même pas en train de rire sur mon dos ? Les inconscients, les irresponsables. Ils ne comprenaient donc pas la situation dramatiques dans laquelle nous étions.


J'arpentais le sable humide et par moment je creusais, je n'avais rien, j'étais totalement démuni. C'était une question de survie et je voulais survivre, j'étais bien trop jeune pour mourir. Je le suis toujours remarquez. Mais bon vous avez devinez que nous devions survivre, sinon je serait pas là pour raconter cette terrible aventure qui m'était arrivée.


Terrible, oui, il ne faudrait pas oublier que c'était un naufrage … Et que maintenant notre survie ne tenait plus qu'à un fil, nous étions sur une île déserte …



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Benoît à la plage Ep01 Le naufrage

 

Benoît à la plage Ep01

Le naufrage



Le naufrage avait été terrible. Beaucoup de bruit, des flammes, une explosion, les vagues qui retournaient le bateau dans tous les sens. Puis il y a eu les blessés, j'ai vraiment eu très peur, je me demande même si on a pas fait plusieurs tonneaux … Gégé à trinqué, lui si mignon d'habitude se retrouvait avec la tête complètement déformée, je vous jure je n'exagère pas mais son crâne avait changé de forme.


Pareil pour Zaza, oui je sais mes copines ont des surnoms bizarres mais comme ils ne sont pas toujours futés, il ne faut pas trop compliquer les choses avec eux. Zaza donc ne tenait plus debout, il avait du se casser une jambe, les deux peut être même, il boitait en s'approchant de moi.


Benoît, tu es vraiment un abruti ! Me disait-il sur un ton très en colère.

Bein oui, bein non, c'est pas moi, j'ai rien fait. C'est le volant qui marche pas bien.

Un volant ! Tu sais que tu me fais pitié mon pauvre Benoît. C'EST PAS UN VOLANT C'EST UNE BARRE ! On est sur un bateau.

Je ne dis pas, tu es certainement un spécialiste mais ce truc a la forme d'un volant et puis on est peut être sur un bateau mais on es surtout sur le sable …

Je renonce ! S'exclamait il . Là je renonce . Gégé fait quelque chose avant que je ne le passe par dessus bord.

Calme toi Zaza, ça va passer, mais calme toi … Intervenait Gégé.

MON DIEU ! Tu t'es vu, tu as vu dans quel état tu es. M'exclamais je horrifié !

Mais qu'est ce que j'ai ?

Tu as une petite bosse sur le front. Lui répondait Zaza.

Tu appelles ça une petite bosse, mais c'est un œuf d'autruche ! M'exclamais-je.

Disons la moitié d'un œuf de pigeon, et encore en voyant large ! Un tout petit pigeon alors ! Rajoutait Zaza.


Là je ne répondais pas, je me doutais qu'ils étaient en train de s'agacer tous les deux. Et il finiraient encore par me le reprocher.


Bon, voyons ou on est. Finissait par se demander Zaza.

On est sur le sable ! Répondais-je.

Retiens moi Gégé je vais le …


Là j'ai préféré sauté sur le sable. Normalement le bateau est trop haut pour que j'atteigne la hauteur du rebord, je crois qu'on appelle ça le pont, mais le bateau était dans un trou et moi j'étais sur le bord du trou.


Ils me regardaient sans comprendre pourquoi je paraissais si grand. Ils ne sont pas très futés je vous dis. D’où j'étais j'examinais un peu mieux la situation. Le bateau avait glissé hors de l'eau et avait continué sur quelques mètres, l'eau était calme il n'y avait pas un souffle de vent, et là au milieu de la plage il y avait une sorte de grand trou et le bateau y avait trouvé naturellement sa place. C'était bien visé et même si j'avais voulu le faire, je n'aurais certainement pas réussi mais là encore je préférais ne pas me venter.


Mais dis moi Benoît … Mon petit Benoît, pourquoi tu fonçait à fond en direction de la plage. Me demandait Zaza.

Bein je suivais le GPS …

Le GPS ?

Bein oui !

Quel GPS, c'est un petit bateau et on n'a pas de GPS.

Et ce truc rond avec une aiguille au milieu c'est quoi alors.


Zaza se jetais dans les bras de Gégé.


Dis moi que je rêve, Gégé, s'il te plaît, dis moi que je rêve.

C'est pas un GPS, me répondait Gégé, c'est une boussole, et ça indique toujours la même direction, c'est tout.

Ah ! Autant pour moi ! Mais reconnaissez que c'est trompeur !

Le plus important c'est qu'il n'y a pas de blessé. Concluait Gégé.

Parle pour toi, moi je suis blessé !


Ils me regardaient un peu comme des abrutis inconscients de la gravité de la situation. J'étais blessé moi ! Je levais la main et redressais mon petit doigt.


Bein moi je me suis retourné un ongle … Puis je rajoutais … Bobo !


Zaza était en larme.


Benoît tu es un abruti, un naufrageur. Rajoutait-il …


Je le savais émotif mais là il en rajoutais, il n'y avait que ça pour expliquer son commentaire …


Après s'être lamenté pendant la moitié de la nuit je décidais donc de prendre la direction des opérations de survie. Ça faisait près d'une demie heure que nous étions là et je décidais qu'il fallait faire quelque chose, j'étais le seul qui avait le sang froid aussi je me présentais ainsi.


On va s'en sortir, vous allez voir, je prends la direction des opérations.

On est foutu ! S'exclamait Zaza.


Zaza s'était replié sur lui-même, il se couvrait d'une couverture comme s'il avait froid. C'est vrai que la température avait baissé, et la nuit tombe vite sous ces latitudes mais il faisait encore près de trente cinq degrés. Je les regardais, ils avaient l'air de vieux clodos, désespérés, et je comprenais que si je ne faisais rien dans quelques siècle peut être pas plus tôt, on nous retrouverait tous les trois, moi peut être pas, j'ai un certains goût pour l'aventure, je suis tout de même allé dans un parc a thème le mois dernier. Moi on me retrouverait probablement pas, je serais parti à la recherche d'un charitable secours, et je serais tombé dans une rivière sauvage et je me serais fait manger par des poissons rouges carnivores. Je ne sais plus comment ça s'appelle mais on m'a dit que ça existait !


Je sautais sur le bateau et en sortais une toile, une sorte de bâche avec laquelle je montais en hâte une sorte d'abris de fortune juste à côté du bateau. Je m'y installait et puisque que les autres avaient décidé de passer la nuit sur le bateau je les laissais à leur désespoir.


Nous étions isolé du monde, oubliés de tous, les recherches avaient déjà cessé. Je me sentais perdu, responsable de tout un équipage inconscient de la situation, nous n'aurions bientôt plus de ressources et c'est la faim qui nous tenaillerait l'estomac, déjà la tête me tournait, c'était l'inanition. La fin était proche …


Je m'enveloppais dans un sac de couchage et tentais, le ventre vide, de m'endormir.


Mes deux camarades avaient décidé de dormir dans le bateau, c'est vrai que son pont était à peut près droit mais la prudence m'ordonnait de rester en sécurité et de ne pas traîner sur une épave, on ne sait jamais.


Ils on cuisiné, sans s'occuper de moi, ils ont cuisiné. Ensuite ils ont soupé. Ne me voyant pas venir Gégé, plein de charité me passait une assiette. C'était irresponsable de leur part, dans notre situation. Mais je suis faible, je ne suis pas le héros sans défaut qui étonne tout le monde enfin pas toujours et … J'ai tout mangé !


Je me suis ensuite blotti dans le trou, enveloppé dans un sac de camping, je crois qu'on dit sac de couchage.


Mais c'est qu'ils faisaient du bruit les deux autres, ils avait choisi de dormir dans un couchette, le bateau était petit mais il y en avait quatre. Et ils faisaient du bruit, chahutaient.


Je regardait par une de ces fenêtres circulaires et j'étais navré de voir leur inconscience. Totalement irresponsable, c'était pas le moment tout de même, ils s'étaient déshabillé, se tenaient bien serrés l'un contre l'autre.


Je connaissais bien ces deux corps, je les avait souvent pratiqué. Tous les deux je veux dire …


Gégé refermait ses bras sur Zaza, ils se couvraient de baisers. Ils se caressaient. J'étais vert, ils m'avaient oublié.


Ils étaient câlins, je les connaissais bien. Zaza s'allongeait sur une couchette, c'est un peu étroit mais ils arrivaient à à s'allonger tous les deux et ils n'en étaient que plus proches. J'imaginais la peau brûlante de Zaza, à ce moment, la nuit était tombée mais il ne faisait guère plus de trente degrés.


Le visage de Gégé courait sur le corps de Zaza en y déposant avec une régularité un baiser puis un autre, puis encore … Je voyais, j'avais presque l'impression de ressentir la douceur de ses lèvres, la douceur de sa langue, la dureté relative de sa barbe naissante.


Son visage arrivait au niveau du sexe de Zaza qui là commençait à gémir, pourtant il ne semblait plus avoir mal aux jambes. C'était autre chose, vous l'avez compris, sa queue bien raide disparaissait instantanément dans la bouche puis dans la gorge de Gégé.


Je savais par expérience que Gégé faisait ça bien. Son nez s'écrasait sur le ventre de son partenaire, je le voyais allonger ses lèvres. Puis il relevait la tête, la queue de Zaza ressortait, la langue de Gégé continuait à la caresser. Puis il insistait longuement avec le bout de sa langue sur le bout de la queue de son camarade.


Zaza gémissait, Zaza se tortillait de plaisir sous les caresses de Gégé. Puis Gégé remettait ça et de nouveau il avalait, en un mouvement rapide, la queue de son camarade jusque à la garde.


Zaza criait de plaisir, c'est vrai que celui-là, il cri facilement. Mais il y avait pire … J'étais retourné, ils m'avaient oublié.


Aucun des deux n'avait pensé à m'inviter à cette petite partie fine. J'étais vexé. La fièvre montait il se retournaient et se retournaient encore. Ils roulaient sur le sol c'est Zaza qui prenait le dessus, et à son tour suçait avec passion la queue de Gégé. Puis suivait la position sacrée ou chacun faisait plaisir à l'autre. Ah soixante neuf, année érotique comme chantait le poète.


Puis je sentais que Gégé allait s'énerver, lui je le connais bien, il retournait sans ménagement le pauvre Zaza. Il glissait longuement sur son dos, passant les bras, les mains sur le ventre, les épaules, le torse et la bite de Zaza.


Et Zaza, cette salope, je le connais bien celui là aussi, se laissait faire. Il en redemandait même. Et on lui en donnait. Il se retournait face à Gégé qu'il retournait, et c'était lui qui glissait contre le dos de Gégé. Et chacun glissait dans les bras de l'autre, il se retournaient et se retournaient encore sans sembler se lasser.


C'est Gégé qui se décidait, il caressait doucement puis plus fermement les fesses de Zaza quand sans prévenir il enfonçait un doigt, puis deux dans le cul de son camarade. Zaza criait de plaisir autant que pour encourager Gégé à continuer.


Je voyais Gégé se préparer, il avait attrapé un tube de gel lubrifiant. Et après avoir bien lubrifié le cul de Zaza il y enfonçait d'un coup sec sa queue, il était bien monté et je voyais Zaza se cambrer, se crisper et crier de plaisir.


Gégé se lâchait, il commençait à limer le cul de Zaza. Je le connaissais bien et je sais qu'il aimait bien cette position de dominant. Moi aussi j'aime bien, enfin je veux dire, j'aime bien quand il prend cette position avec moi …


Les coups pleuvaient, Zaza en prenait plein le cul, il fallait s'y attendre. Et Gégé lui en donnait et lui en donnait encore. Je voyais Zaza se masturber . Les deux garçons se séparaient, Gégé s'allongeait sur le dos, il bandait comme un fou, Zaza n'hésitait pas une seconde et s'asseyait sur la queue de Gégé, ils semblaient se calmer, je le voyais, ils respiraient fort mais ils se calmaient, leurs gestes devenaient plus lents, plus insistants, plus fermes.


Zaza se balançait d'avant en arrière bien empalé sur la bite de son camarade, Gégé relevait et laissait retomber son bassin avec plus ou moins de régularité, plus ou moins de force.


Zaza se masturbait, par moment c'est Gégé qui le masturbait puis l'un à joui, je ne sais pas lequel à joui en premier mais le second suivait dans la seconde, ça c'était évident.


Zaza se laissait tomber sur Gégé, ils s'embrassaient et se caressait … Puis la je ne voyais plus rien.


Je collais mon visage à cette étrange fenêtre ronde qui ne s'ouvre pas.


Je sursautais quand apparaissait juste de l'autre côté de la vitre le visage de Gégé qui me gueulait …


Alors tu as aimé ?

Mais enfin vous êtes irresponsables, vous ne comprenez donc pas dans quelle situation on est tous et vous ne pensez qu'à vous envoyer en l'air. Lui répondais-je.

Mais si, grosse bourrique on sait parfaitement à cause de qui on a fait naufrage !



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Gaté Ep04 Pour la vie

 

Gaté Ep04

Pour la vie



Deux jours plus tard …


La situation continue à se dégrader ! Déclarait le Chastisan sur le ton de la colère, pour commencer la journée. En disant cela il regardait tout particulièrement Gaté et Blaimit.


Il est au courant, se disait Gaté.


Heureusement, la grande cage pour notre nouvel apprenti, est prête ! Continuait le Chastisan. Tu l'a essayé ? Demandait-il en se retournant vers Gaté.

Oui Maître ! Répondait Gaté un peu surpris. Heu, je voulais dire non !

Et bien essaye la.


Gaté avait l'impression de prendre une douche froide. Il ne s'y attendait pas, enfin si il s'y attendait mais pas comme ça. Il pensait qu'il serait prévenu à l'avance, même la veille, mais en avance …


Il était cueilli à froid là, Jismy lui tendait le dispositif qu'ils avaient réalisé tous les deux. C'était un modèle en fibre de coco, comme il se doit pour un apprenti novice.


Tout allait très vite dans la tête de Gaté mais pour lui tout se passait au ralenti. Il hésitait longuement, puis toujours avec une grande lenteur il passait une couille dans l'anneau, puis l'autre, puis enfin suivait la bite. Il respirait fort et longuement avant de passer à la suite.


Jismy lui tendait la cage, elle était grosse, elle semblait énorme mais c'était uniquement parce que personne n'avait jamais vu un modèle de cette taille. En fait, elle n'était pas si grosse que ça.


Gaté prenait bien son temps pour glisser sa queue dedans, il ajustait bien la cage, l’enclenchait, le Chastisan lui tendait le cadenas, Gaté le refermait, rendait les clés à son Maître et se retournait vers les autres qui l'applaudissaient.


Et bien tu es un rapide toi. S'exclamait le Chastisan.


En fait Gaté avait eu l'impression d'avoir fait tout cela au ralenti mais c'était tout le contraire, il était fébrile mais l'avait fait très vite, sans s'en rendre compte mais vraiment très vite, tout le monde était surpris.


C'était une belle grosse queue qui débordait par tous les trous d'aération, ça faisait penser à un saucisson mais tout semblait bien se passer pour Gaté.


N'oublions pas que demain notre camarade Jismy passe sont second niveau, tu peux nous présenter ta nouvelle cage. Continuait le Chastisan.


Jismy s'exécutait, il présentait à toute l'équipe, la cage qu'il avait préparé pour cette occasion. Elle était en Bois de Mousse, comme c'était la tradition dans cet atelier. Chaque atelier faisait comme il voulait.


Puis il passait à l'action. Pour être bien sûr que tout se passerait bien le jour de la cérémonie, il faisait un essais du dispositif. Comme prévu, il était parfait. Il le retirait et le dispositif était alors inspecté pour s'assurer que tout allait bien.


Pour la cérémonie le Chastisan avait invité deux de ses collègues. C'était une petite cérémonie qui se préparait. Une petite cérémonie régionale qui avait pour but de ressouder les liens entre ateliers de Chastisans. Tout le monde dans la profession voulait rencontrer Gaté. Vous imaginez bien qu'un cran vingt trois qui veut devenir Chastisan, ça fait jaser.

La cérémonie n'était pas trop protocolaire, c'était décontractée, les maîtres Chastisans se connaissaient, on buvait un coup, on leur présentait toute l'équipe et en particulier Gaté. Puis tout le monde se retournait vers Jismy. Il présentait le fruit de son travail, sa nouvelle cage en bois de mousse.


Il ne lui restait plus qu'à la mettre, c'était fait en quelques secondes, il la verrouillait et tout le monde applaudissait. Tous s'était bien passé, pas d'érection imprévue, pas de mauvaise surprise, ça arrive quelquefois. Aucun diplôme n'était remis, la cage seule suffisait pour attester du niveau de son porteur. Elle était marquée d'un '' CH ''.


Jismy serait mieux payé à partir de ce jour mais la règle des crans définie par la taille de la bite faisait que c'était toujours Gaté qui gagnait le plus d'argent par sa rente … Étrange coutume vous en conviendrez.


Tout rentrait dans l'ordre, le calme revenait après cette cérémonie, les Chastisans avaient eu beaucoup de plaisir à se retrouver, ils avaient tous les deux emmené un apprenti. C'était bien de garder les contact, tous s'étaient salués et étaient repartis vers leurs domiciles respectifs.


Le calme revenait dans l'atelier et l'apprentissage de Gaté pouvait enfin commencer d'une manière conventionnelle. Toutefois quelques jour plus tard Gaté signalait un problème à son Chastisan.


Maître, ça devient de plus en plus douloureux.

Fais moi voir ça.


Le Chastisan examinait en détail la queue bien confinée de son apprenti.


Retire le dispositif ! Ordonnait-il. Gaté s'exécutait.

La cage est trop petite, en effet ! Il faudra en faire une autre plus grande ! Déclarait le Maître artisan.


Le Maître Chastisan, faisait quelques mesures, prenait quelques notes et passait les consignes … '' Dans trois jours elle doit être finie ! Gaté la remettra dès que ses petites blessures seront guéries ! ''.


Le Maître Chastisan ne voulait surtout pas que le désordre revienne dans son atelier et trois jours lui semblait déjà une éternité.


Deux jours plus tard, il avait un nouveau mariage et de fait trois cages à livre, oui trois, c'était un mariage groupé … il se présentait donc avec son second ( Jismy ). Il aurait bien aimé emmener Gaté mais comme celui-ci ne portait pas de cage à ce moment, ça aurait été totalement scabreux. Blaimit y était par contre.


Il ne restait donc plus Jogea et Gaté à la boutique.


C'est toi qui a tout raconté au Maître ? Demandait Gaté à Jogea.

Raconté quoi ?

L'autre jour moi et Blaimit dans la réserve …


Jogea ne répondait pas et baissait les yeux.


Alors c'est bien toi ! Pourquoi tu as fais ça ?

Tu sais selon les règles, nous ne devons pas avoir de relations entre nous … Tu sais.


À ce moment Gaté a eu comme un coups de sang. Il fermait la porte de l'officine et saisissait Jogea par le bras en l'entraînant vers la réserve. Finalement il devait se passer bien des choses dans cette réserve, bien des choses qui ne devraient pas se passer.


Gaté était décidé, comme ça lui arrive quelquefois pendant qu'il baise, quand il défonce un cul. Souvent il se lâche, souvent il se laisse aller et avec une queue pareille je vous jure que son partenaire le sent passer. Quand il se fait défoncer le cul, c'est pas la même chose, là il crie toujours de plaisir, des '' encores '', des '' vas y défonce moi ''. Il est passif, mais vraiment passif !


Jogea n'a pas vraiment eu le temps de réagir, Gaté le tenait fermement et l'entraînait, il suivait.


Tu t'est déjà pris une bite comme la mienne ?

Non on a pas le droit !

Tu veux goûter à une queue ? Tu sais, c'est la dernière fois qu'elle servira !

  • Oui je veux ! Répondait Jogea avec une voix tremblante. Mais … on n'a pas le droit.


En avançant Gaté bandait, il bandait comme ça lui ne lui arrive pas souvent et comme ça ne lui arriverait plus jamais. Son cœur battait très fort. Il plaquait le jeune apprenti, c'était le plus jeune des trois.


Elle est trop grosse … ! Argument Jogea en bafouillant. Je me suis jamais pris une queue aussi grosse …

Et bien voilà qui est très bien, ce sera une première pour toi et une dernière pour moi !


L'argument à marché, Jogea ne disait plus rien après ça. Pas une seconde il n'avait tenté de se dégager ou de repousser Gaté.


Gaté était énervé, il s'était brusquement énervé, il se lubrifiait et sans plus de formalité, il glissait sa queue entre les fesses de son jeune partenaire. Quand elle passait au niveau de son cul, il ressentait la différence, il sentait qu'il y avait là un passage, une ouverture.


Il passait, passait de nouveau puis sans prévenir s'arrêtait et poussait fort. Le petit jeune à hurlé, la queue de Gaté tentait une entrée. Ça résistait mais Gaté en voulait et poussait plus fort. Jogea aussi en voulait, il ne tentait pas de serrer les fesses, au contraire.


Il sentait l'anus de Jogea se dilater, ça résistait toujours et c'est de force que cette énorme bite se frayait un passage. Instantanément Jogea gémissait, il ne demandait pas à Gaté de s'arrêter mais il poussait un long gémissement, presque une plainte qui ne finissait pas.


Gaté était énervé et n'en tenait pas compte. Il continuait à pousser, il sentait sa queue qui semblait s'envelopper dans une gaine. Mais la gaine était trop étroite et il fallait bien l'ouvrir. Puis sa queue rentrait lentement plus profond.


Chaque respiration de Jogea se transformait en un véritable sanglot. Pour lui c'était une première une queue pareille. C'est vrai qu'il était jeune mais avait déjà son tatouage qui lui donnait un petit cran social.


Il ne tentait pas de résister, il se mettait sur la pointe des pieds. C'était le seul moyen le seul moyen qu'il avait trouvé pour reprendre un semblant de contrôle. Gaté le tenait fermement, bien serré contre lui et quand sa queue s'est enfoncée totalement, quand elle disparaissait dans le cul de Jogea, au moment intense ou la queue de Gaté défonçait les limites jamais atteintes pour Jogea … Gaté donnait un dernier coup de bassin et son ventre s'écrasait contre les fesse du jeune apprenti.


Le pauvre Jogea poussait un cri, sans qu'on puisse savoir si c'était de douleur ou de plaisir. Certainement un mélange des deux. Une queue de ce genre ne donne pas que du plaisir à son premier passage.


Gaté le savait et commençait à le limer dans les gémissements, les cris et les allers-retours se synchronisaient.


Jogea finissait par se retrouver penché en avant, plié en deux, il se retenait à un meuble pour ne pas tomber et Gaté le retenait fermement par le bassin, le tirait vers lui avec force, puis le repoussant en avant. Le pauvre Jogea ne pouvait même pas retenir Gaté avec une main au risque de perdre l'équilibre.


Il était balancé dans tous les sens. Dans cette situation il oubliait qu'il avait une bite, elle était tout petite remarquez. Il l'oubliait totalement, toute son attention se reportait sur son cul, là il avait l'impression qu'il allait déchirer ou exploser, ce qui lui rentrait dans le cul était vraiment énorme.


Gaté ne se calmait pas quand Jogea s'est mis à chialer, il gémissait, il tremblait, par moment il criait et là encore on pouvait se demander s'il y avait vraiment que du plaisir. ( Enfin vous connaissez tous ça, les jeunes quelquefois … NDL ).


Gaté était costaud, très costaud, Jogea était plus menu, bien moins musclé, il avait un corps doux et mince, une musculature légère et entre les mains de Gaté, il ne pesait pas bien lourd. Il ne tenait plus sur ses jambes et s'il ne tombait pas c'est uniquement parce que Gaté le retenait, le tenait même.


Gaté continuait à s'amuser avec ce pantin désarticulé, c'est à ça que ressemblait le pauvre Jogea. Son visage était rouge, il était en larme et il bavait. Il n'était pas beau à voir au moment ou Gaté jouissait et lâchait plusieurs giclées de sa sève.


A chaque giclée il poussait un cri, et donnait un violent coup de bassin dans le cul de Jogea qui poussait lui aussi des cris, mais il n'y avait pas que de la douleur.


Puis Gaté le lâchait. Jogea tombait sur le sol.


Voilà, je t'ai un peu élargi là, tu verras tu passeras plus facilement à la taille supérieure.


Trouvez vous étrange que ce jeune homme n'ait pas raconté cette aventure à son Maître Chastisan. Il lui racontait tout pourtant.


Le lendemain Gaté a mis sa nouvelle cage. Elle était parfaitement ajustée. Il l'a gardée pendant près d'un an avant de revenir à la toute première qui s'avérait alors être de bonne taille.


Dans les années qui ont suivi, la taille de la bite à Gaté a fini par se réduire. Bien des années plus tard, il était alors devenu à son tour Maître Chastisan mais gardait une taille de cage supérieure à la moyenne à sa profession, très supérieure même, il était malgré tout loin de ses vingt trois centimètres même s'il en gardait les avantages sociaux, et seul son tatouage lui rappelait ce passé glorieux.


Et pour ce qui de Jogea, il n'a jamais oublié cette première fois qui était aussi la dernière fois de Gaté.



Fin



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

INDEX BRANLETTE AU SPORT

 INDEX BRANLETTE AU SPORT


Il ne devait y avoir que deux épisodes.

Puis à la demande général, j'ai décidé de faire une suite. 

Et voilà !



Branlette au sport Ep01 : Le jeune branleur 

Djimmy n'est pas le meilleur de son équipe, il est même le plus mauvais. Mais le coach en a vu d'autres, il remarquera rapidement la cause. Djimmy est un branleur ... 

Episode 01


Branlette au sport Ep02

Même si la situation est bien pire qu'il ne le pensait, le coach saura, il n e faut pas en douter remettre la situation en ordre et le médiocre branleur deviendra même peut être le meilleur de son équipe.

Episode 02


Branlette au sport Ep03 Un petit nouveau

Forcément il y a des nouveau, les plus vieux partent des plus jeunes arrivent.


Episode 03


Branlette au sport Ep04 Il n'y a pas que la branlette dans le sport

Il parrait qu'il fait d'excellente crêpes ... 

Episode 04


Branlette au sport Ep05 A fond l'entraînement 

Quelques nouveau se portent volontaires, et je commence même à y penser ...

Episode 05


Branlette au sport Ep06 Des volontaires suivent

Mais qui seront les nouveaux volontaire, sans doute ceux qui se sont épilé les couilles avant... 

Episode 06


Branlette au sport Ep07 L'équipe au complet

Le but évident est de mettre tous les joueurs sous clé !

Episode 07


Branlette au sport Ep08

Finalement ce qui était prévu au départ sans que ce ne soit dit s'est produit ... 

Episode 08






INDEX

                          Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'...