Anton Ep 14 En ivoire de Dentosaure

 Anton Ep 14 En ivoire de Dentosaure



Et voilà, c'est donc le dernier épisode de cette histoire qui, il faut bien le dire, est un peu loufoque … ( toute similitude ou ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé est absolument fortuite )



C'est seulement quelque pas derrière Guss que Tooni arrivait. Il avait l'enfant dans ses bras et c'est là que le drame s'est produit ... 


Je ferais remarquer aux lecteurs que mon histoire ne manque pas de rebondissements … ( Note de l'auteur )


Avec soin, les grottes étaient nettoyées avant le départ de la caravane mais un radis avait été oublié. Un tout petit radis de rien du tout. Il était à peine plus gros que le pouce et encore un petit pouce … Et là Tooni posait son pied dessus, il arrivait à pleine vitesse et il glissait dessus.


Zip …


Le pied de Tooni est parti en avant mais le reste du corps est resté en arrière lui, Guni lui échappait des bras et s'envolait, pris de terreur de voir son enfant ainsi, il hurlait son nom. Guss qui avait des réflexes le rattrapait et le bébé qui marchait à peine retombait dans les bras de son père en rigolant. Décidément il n'aurait peur de rien ce gamin ! 


Tooni se retrouvait allongé sur le dos, sonné. Il ne bougeait plus.


Il sentait que quelqu'un le touchait du bout du pied. Il entendait parler autour de lui … 


– Il ne bouge plus. Disait l'un.

– Bon ça c'est ballot. Répondait un autre.

– Il ne dit plus rien … 

– Par contre ça c'est bien … 

– Mais pourquoi tu dis ça ?

– Bein hier il a râlé toute la journée !

–Traînez pas les mecs, il n'y aura pas de chocolat chaud pour tout le monde. Qu'est-ce qu'il fait par terre celui là ? 


Anton ouvrait les yeux, il ne reconnaissait pas tout de suite ce visage qui se penchait sur lui. 


– Ou est mon fils, il n'a rien ? Demandait Anton.

– Alors toi, tu es prêt à faire n'importe quoi pour te faire remarquer. Lui répondait le moniteur.

– Il va bien, dites moi qu'il va bien, ou es mon mari Guss ?

– Arrête de dire n'importe quoi, il n'y aura pas de chocolat pour tous le monde. Tu devrais te remuer le cul un peu au lieu de dire des conneries.


Le moniteur repartait en râlant.


Anton se relevait, retrouvait ses esprits, ses camarades était pliés de rire.


– Et qui c'est ce Guss ? Lui demandait une voix qu'il ne reconnaissait pas.


Anton avait déjà oublié cette phrase qu'il avait prononcée quelques secondes plus tôt. Voyant qu'il était réellement sonné ... ou abruti ... rapidement plus personne ne s'occupait de lui. Anton retrouvait ses esprits, il reconnaissait tout le monde et ne gardait qu'une vague impression d'avoir fait un rêve dont il avait tout oublié. Il savait seulement que le rêve avait été intense. 


Il suivait en traînant et arrivait en dernier aux tables ou on leur avait préparé le petit déjeuner. Le chocolat, il y en avait pour tout le monde, si le moniteur avait dit le contraire, c'est juste pour qu'ils se remuent tous. Jean François avait gardé une place à Anton. Jean François, vous vous souvenez de Jean François ? C'est l'étudiant avec qui Anton avait passé la nuit, il complétait l'équipe des moniteurs … Non ? … Bon reprenez au premier épisode alors !


Ensuite tout le monde s'habillait, Anton gardait son short, et rajoutait juste un T-shirt et ses chaussures. Ils partaient tous aux différentes activités qui leur avaient été préparées, une chasse au trésor dans la nature. Tout se passait bien, Anton avait récupéré de son accident … Vous vous souvenez ? Le gland qu'il avait reçu sur la tête . 


Mais ça devait forcément arriver, à un moment Anton a eu envie de faire pipi … Bein oui c'est obliger, il se trouvait donc un arbre sympathique, large et accueillant et il ouvrait son short et c'est là qu'il a découvert ce truc qui ne pouvait pas s'expliquer. 


Il y avait tout un dispositif autour de son sexe, un anneau à la base de son sexe, faisait le tour juste derrière les testicules, sur la partie supérieure il y avait comme une sorte de tube recourbé et très aéré recouvrait sa queue qu'il ne pouvait absolument pas sortir. Il n'y avait aucun dispositif d'ouverture, l'objet semblait scellé, il ne gênait pas, il ne gênait tellement pas qu'il n'avait pas remarqué à quel moment on le lui avait mis. L'objet était même plutôt confortable, doux et chaud, Anton pouvait uriner sans difficulté, il regardait le truc sous tous les angles. 


Dans sa tête ça ne percutait pas. Il a fallu un bon moment pour qu'il en arrive à se demander … '' MAIS C'EST QUOI CE TRUC ? ''  … C'est vrai que quelquefois il est un peu lent. 


Déjà il commençait à bander et ça l'inquiétait. Il ne savait comment ça allait se passer … Là je ne parle pas uniquement de ' Bander ' mais de bander avec ce truc autour de la queue. Ce truc qu'il n'avait jamais vu et qui était apparu comme ça sans prévenir. Non, pour ce qui est de bander ce n'était pas une première, ça lui était déjà arrivé plus d'une fois.


Pas plus tard que la nuit dernière par exemple, et la il n'était pas seul, il était avec Jean François et ils s'étaient bien amusés tous les deux …


''Jean François ! C'est une farce de Jean François '' se disait Anton, ''il va m'entendre râler celui-là''. Ça ne changerait pas grand chose vous allez me dire, depuis la veille tout le monde l'entendait râler, ce n'est pas par hasard d'ailleurs si plus personne n'écoutait ce qu'il disait.


Dans sa tête c'était le grand écart, il était à la fois zen, très zen et totalement paniqué. 


'' Ouai c'est cool … Il ne faut surtout pas que quelqu'un s'en rende compte.

Mais c'est que c'est confortable ce truc … Mais je ne vais pas rester comme ça c'est pas possible.

Je me demande qui est au courant … Pourvu que personne ne s'en rende compte.

Et si on me demande pourquoi je … Comme si  je le savais moi-même ! ''.


Bref, ça restait un peu confus dans sa tête. Et c'est là qu'il comprenait tout ! On l'avait drogué, Jean François l'avait drogué, ensuite il avait abusé de lui d'une manière inqualifiable, puis il lui avait installé ce truc alors qu'il était inconscient … Objet qu'il trouvait très joli d'ailleurs totalement discret et très confortable …  ''Mais c'est pas une raison ! '', se disait-'il !


Tout concordait, sauf peut être le mot '' Abusé '', il lui semblait bien se souvenir qu'il avait été très volontaire et très demandeur. Bon à part ça, peut être que Jean François n'avait pas abusé de lui, pour le reste c'était tout bon. 


Quelqu'un l'appelait, en rapport à la chasse au trésor, il se retrouvait avec Jean François mais il avait déjà oublié toutes ses réflexions. C'était pas encore tout à fait en ordre dans sa tête. 


On arrivait rapidement au repas de midi que tout le monde préparait ensemble. Dans sa tête Anton se posait des questions …


– Il me semble que j'ai oublié quelque chose ! Il avait peut être pensé tout haut.

– Tu disait quoi Anton ? Lui demandait Jean François qui était à côté de lui.

– Moi j'ai rien dit. 

– Alors tu as bien dormi ?

– Oui mais je n'arrive pas à me réveiller ce matin.

– On est l'après midi mais c'est pas grave. Ça doit être à cause de l'accident …

– Tu te moques de moi là …

– Oui mais avec tellement de tendresse.


Le soir Anton se retrouvait dans sa tente, il avait oublié plusieurs fois qu'il portait ce truc et de nouveau il ne s'en souvenait plus. En fait le truc était tellement confortable qu'il ne le sentait pas sur lui. 


Jean François arrivait et se glissait juste à côté d'Anton. Doucement il passait sa main sur son torse.


– Et si on reprenait là ou on s'était arrêté la nuit dernière.


Anton se retournait vers Jean François, le prenait dans ses bras et l'embrassait.


– C'est une très bonne idée mais il faut que je dise un truc …

– Vas y, je t'écoute.

– Je sais plus ça va me revenir.


Suivait un nouveau baiser, un nouveau câlin. Les mains de Jean François se promenait sur le corps d'Anton.


– Tu as quoi dans ta poche ? Lui demandait Jean François.

– Rien ! A ouai c'est de ce truc que je voulais parler.

– C'est quoi ? Insistait Jean François.


Anton baissait son short, Jean François lui caressait les couilles, il avait l'air très amusé de découvrir de truc, visiblement très surpris aussi. '' Et ça vient d’où ce truc, tu l'a mis quand ?''. 


– Je ne sais pas, je ne l'ai pas mis, je l'avais ce matin, c'est tout. C'est de l'ivoire de Dentosaure …

– De quoi ? Qu'est ce que tu dis ? Dentosaure, c'est quoi ça ? Tu ne le portais pas ce matin quand je t'ai laissé.


Là Anton réalisait que ce n'était pas Jean François qui le lui avait mis. L'objet venait d'ailleurs, mais il n'en savait pas plus. 


Jean François le prenait dans ses bras en s'allongeant sur lui. Il repoussait son T-shirt et son short puis l'embrassait partout sur le corps. Anton ne se posait plus de questions. La situation lui plaisait, il se sentait bien. Jean François lui relevait les jambes et les lui écartait. Il lui posait les chevilles sur ses épaules, s'appuyait de tout son poids sur Anton qui se retrouvait replié sur lui-même, les genoux au niveau de ses côtes. 


Bien en position, Jean François ouvrait son pantalon et lui enfonçait sa queue dans le cul en un mouvement rapide. Anton s'est retenu de crier de plaisir. L'action était rapide et violente mais Anton en redemandait, Avec ses mains il caressait les bras et retenait Jean François tout contre lui. 


Ils respiraient fort et ne faisait surtout pas de bruit. Ils ne voulaient pas se faire remarquer et une tente n'est pas vraiment un isolant acoustique. 


Jean François donnait des coups de bassin violents, il accélérait et augmentait encore en violence. Anton sentait le plaisir monter en lui. C'était cent fois mieux que la nuit précédente, c'était comme s'il était habitué à ce genre de traitement, c'était comme si tous les jours il se faisait défoncer le cul, c'était tellement bon. Il jutait rapidement, il jutait abondement.


Jean François se donnait et donnait à fond, il se penchait vers l'oreille d'Anton. '' Tu peux pas savoir comment ça m’excite ton truc, je sais pas ou tu l'a pris mais j'adore''. Il continuait à lui limer le cul. Anton faisait une grimace monstrueuse, il serrait les dents pour ne surtout pas faire de bruit. 


Quand Jean François lâchait enfin les chevilles d'Anton, celui-ci les refermait rapidement dans le dos de son partenaire, lui passait les bras autour du cou et le tirait fortement vers lui.


Jean François s'écroulait de tout son poids sur Anton mais continuait a lui limer le cul en bougeant son bassin. Il bougeait son bassin avec force, il appuyait de toutes ses forces contre les fesses d'Anton qui jouissait éjaculait mais ne faisait aucun bruit. 


Jean François se retirait pour faire une pause. Il écartait son pantalon qui était resté sur ses cheville. Il tirait vers lui son  jeune camarade.


– Tu m'as l'air encore plus chaud que la nuit dernière dis donc.


Pour seule réponse Anton l'embrassait avec passion et se blottissait contre lui. Suivaient des caresses, des baisers.


– Et ton truc, tu l'a mis quand alors ?

– Je ne sais pas ! Je ne me souviens de rien !

– Tu ne veux pas le dire ? C'est pas grave moi j'adore.


En disant cela il lui tripotait les couilles qui pendaient mollement, il lui tripotait la cage dans laquelle sa queue protestait avec autant de force que de confort...


– Ça ne te fait pas mal ?


Anton faisait signe que non et Jean François continuait à s'amuser avec ce qui pour lui finalement n'était qu'un  nouveau  jouet.


– Et tu le retires comment ?

– Je sais pas ! Finissait par répondre Anton. Je ne sais même pas si on peut le retirer …


Jean François rigolait.


– Bon d'accord, tu ne veux rien dire. C'est d'accord, moi j'adore et ça m'excite à mort. Garde le, moi je suis pour !


Et il était excité Jean François, sans prévenir il retournait Anton sur le ventre, les jambes jointes, s'allongeait sur lui et l'enfilait en un mouvement encore plus rapide que plus tôt. Avec les jambes jointe il était plus étroit et c'est tous les deux qu'ils trouvaient la position bien plus stimulante, bien plus jouissive. De nouveau Anton jutait puis éjaculait. De nouveau Jean François prenait son pied, le plus difficile était de ne pas se faire remarquer.


Jean François n'a jamais compris ce qui se passait, Anton pas d'avantage. Mais ce dispositif lui plaisait, il était doux et confortable et c'était tellement excitant pour lui comme pour son partenaire. 


Il l'a gardé, il le porte encore. Simplement maintenant il a inventé une histoire invraisemblable sur l'origine de son dispositif. Il raconte qu'il a fait un voyage dans un autre monde, une sorte de monde parallèle ou les hommes vivaient d'un côté de la montagne et ou les femmes vivaient sur l'autre. 


Ça excite beaucoup ses partenaires, autant que ça les amuse … Surtout que personne ne sait ce que c'est qu'un Dentosaure !


Fin



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


INDEX TOU BIG TOU

 INDEX TOU BIG TOU CAGE



    Oui je sais ! Mon accent en anglais est un peu suspecte il faudrait que je le retravaille. Mais je tenais à garder à cette histoire, traduite d'un texte anglais imaginaire, son titre original.

    Bon j'arrête de dire des conneries, promis.



Ep 1 : Un peu de liberté  

    Alexandre est un élève modèle. Dans le monde ou il vit tous ses proches et amis portent un dispositif de chasteté. Il a bien sûr fait l'école de la PK Compagnie ... Et se destine à une carrière dans cette entreprise. C'est la fin de la dernière année, ses camarades ont déjà passé leurs examens et ont retiré leurs dispositifs. Alexandre ne va pas tarder à faire de même, mais en attendant son rôle est tout trouvé

Episode 1

    

Ep 2 : L'examen de fin d'étude

    L'examen sera le vendredi mais dès le lundi il est attendu aux bureaux de la PK, un stage lui est proposé en cas de succès. Il est vrai que les notes qu'il a eu dans l'année peuvent le laisser optimiste. Mais là, par contre, ça ne lui laissera pas le temps de gouter à la liberté qu'il attendait depuis un moment.

Episode 2


Ep 3 : Le stage

    Ils sont tous charmants dans cette entreprise. Tout comme dans son école il y a des moments réservés à la pratique d'une activité sportive, ensuite c'est la douche, la hiérarchie s'efface sous les douches et Alexandre se retrouve, comme quand il était à l'école. Rapidement il prends ses marques et c'est lors d'un déplacement dans une filiale qu'il fera la découverte d'un plaisir qui va le surprendre.

Episode 3


Ep 4 : Avec ses potes

    Toujours sous clé, Alexandre est toujours un peu limité et ne peut faire que comme il faisait depuis quelques années avec ses camarades, à part que là il est le seul à porter toujours son dispositif. Ses amis on profité de la fin des cours pour se payer un peu de liberté et profiter un peu du cul d'Alexandre

Episode 4


Ep 5 : Un masseur

    Ça l'avait retourné ce salon de massage, un endroit ou les masseur ne portaient pas de dispositif de chasteté et qui en plus n'étaient pas vraiment farouches. C'était nouveau pour lui ça. Nouveau mais terriblement jouissif. Il ne pensait plus qu'à recommencer, mais tous les salons de massage ne sont pas aussi libertins ...

Episode 5


Ep 6 : De la lecture mais pas que

    Il va le revoir, c'est totalement interdit, contraire au règlement mais il va le revoir. Et pour Alexandre c'est une découverte. Il y a des gens qui ne portent pas de dispositif de chasteté et qui ne semblent pas pour autant se porter plus mal.

Episode 6


Ep 7 : Pas facile tous les jours

    La frustration peut arriver à un tel niveau et le manque peut devenir tel qu'il ne reste plus qu'une seule solution. La sensation forte mais ils connaissent tous les moyens de se les donner ... Les sensations fortes ... 

Episode 7


Ep 8 : De moins en moins facile

     Le lien entre Alexandre et Xavier se précise, les deux jeunes hommes se rapprochent. Xavier va-t-il utiliser Alexandre comme un sex toy. Ses intentions sont-elles bonnes ou cherche-t-il juste à s'amuser ? La fin de l'histoire approche nous saurons bientôt. 


Episode 8


Ep 9 : On s'améliore

    Déjà Alexandre ne se limite plus à donner de sa personne que pour son ami Xavier. Il commence à montrer son savoir faire à d'autres de ses amis. La frustration grandi mais son art s'affine. Sera-t-il prêt pour passer son examen ? Un nouvel examen qui lui ouvrirait d'autres portes ...


Episode 9


Ep 10 : Une nouvelle carrière

    Alexandre finira par passer son examen de masseur, il trouvera facilement un bon boulot, bien payé et pour ce qui est de son dispositif de chasteté ... Bonne lecture 


Episode 10

Anton Ep 13 L'enfant

 Anton Ep 13  L'enfant



Nous y voilà, nous allons arriver à la fin de cette histoire.  Sur une idée originale de Junior très librement adaptée par Charly.  ( toute similitude ou ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé est absolument fortuite )



C'était vraiment une horreur pour nos deux héros. Les jambes de cette pauvre gardienne avait grossies, et si au départ Gus et Tooni étaient horrifié par ce corps féminin qu'ils ne connaissaient pas, c'était là un corps féminin déformés par ils ne savaient quoi, un mal qui devait la ronger. Et pour eux c'était encore pire. 


Elle avait l'air heureuse, nos deux amis ne comprenaient plus rien. Elle avait l'air heureuse, de son visage bien que bouffi il émanait comme une expression de bonheur, d'une certaine manière elle rayonnait.


Guss et Tooni ne comprenaient décidément plus rien à ce monde étrange et à ses habitantes.


C'était la fin de la séance de torture quotidienne. Chacun était ravis, à commencer par les victimes … Mais qu'est-ce que je raconte moi ? Il n'y avait pas de torture, mais bon, vous avez compris ce que  je veux dire … C'était donc la fin de la séance, Guss était libéré et prenait tout son temps pour se relever, il s'étirait longuement, cinq gardiennes lui étaient passée sur le corps et désormais  ne s'occupaient plus de lui, elles lui laissaient prendre son temps. Il sortait alors de la salle, de toutes façons il ne pouvait en aucun cas s'échapper de la vallée donc personne ne s'inquiétait. 


Un groupe de femmes s'était approché de notre gardienne en chef, vous savez celle qui était difforme …


On libérait les victimes de la machine, Tooni poussait un grand soupir et se détendait à son tour. Et c'est à ce moment que l'Horreur s'est produit. Cette femme qui était mal en point poussait un cri et tombait sur le sol. Aussitôt ses camarades la rattrapaient et l'allongeait sur une couverture très épaisse. Suivait ce qui ressemblait fort à un moment de panique. 


En fait c'est surtout Tooni qui paniquait. Il se demandait ce qu'il se passait. Surtout que cette femme se mettait à hurler très fort. Ses cris duraient un moment et les dialogues devenaient incohérents.


– Écarte les jambes je crois que c'est pour maintenant. Disait une voie.

– Je crois qu'elle a perdu les eaux ! Disait une autre voie. 

– C'est merveilleux elle va donner la vie …


Mais qu'est ce qu'elles racontent ? Se disait Tooni ( il avait enfin compris qu'il fallait utiliser le féminin et c'est ce qu'il faisait dans sa tête ) … '' Les os, Donner la vie ? ''.


Il s'approchait sur la pointe des pieds et pouvait voir le visage de la parturiente … ( là je vous rassure c'est pas le mot que Tooni avait  dans sa tête, il ne savait même pas ce que ça veut dire ) … La femme était en sueur, elle transpirait, elle ouvrait la bouche et hurlait, criait, gueulait … Elle n'avait pas l'air en forme à ce moment mais ce n'était même pas le pire.


Il pouvait voir son entre jambe, déjà il ne trouvait pas vraiment sexy ce grand vide qui lui faisait peur, mais voir cette fente s'ouvrir se distendre, un truc tout sanguinolent semblait vouloir sortir. Tooni était pétrifié, il avait là, la peur de sa vie, il devenait tout pâle mais ne pouvait pas détourner le regard. C'était une tête qui sortait du corps de cette pauvre femme, les autres femmes tout autour l'encourageaient. A les entendre tout semblait normal. Suivaient des épaules et un corps tout petit couvert de sang également. 


Des félicitations accompagnaient maintenant les encouragements. Tout se passait bien sauf que dans sa tête Tooni se demandait … '' C'est pas normal tout  ça, il y a un bébé dans le corps de cette femme, comment il a fait pour y entrer ? ''. Puis pour Tooni c'était le trou noir !


Tooni se réveillait un peu plus tard, il était dans les bras de Guss. Ils étaient revenus dans leur cellule.


– Mais qu'est-ce qui t'a pris ? Demandait Guss.

– Tu n'as pas vu ce qui s'est passé ?

– J'ai entendu des cris, je t'ai vu de loin tu étais tout pâle, ensuite on m'a appelé parce tu étais tombé. 

– Tu aurais vu ça mon pauvre Gus, c'était horrible, la pauvre elle avait cassé tous ses os et il y avait un bébé dans son corps qui voulait sortie … 


Des éclats de rire se faisaient entendre dans la cellule d'à côté.


– Tu n'as rien compris à ce je t'explique depuis des mois Espèce de grosse bourrique ! Elle a accouché, et le bébé …


Il expliquait à Tooni comment ça marchait tout ça et finissait en concluant …


– Quand ton mari Guss t'a embarqué sur son épaule, j'étais encore sur place et l'enfant, c'est un garçon et c'est le fils de ton mari, c'est le fils de Guss .


Là dans la cellule de Guss et de Tooni il n'y avait plus un bruit, ils se regardaient sans rien dire. Guss avait compris depuis un bon moment comment ça se passait tout ça mais c'est seulement à ce moment que Tooni comprenait et réalisait vraiment …


Dans la tête de Guss c'était comme une folie, c'était de la joie et de la fierté. Il avait un fils !


Dans la tête de Tooni c'était la catastrophe. Son époux avait un enfant. '' Heureusement qu'il ne l'a pas vu se disait Tooni, il est difforme, il est laid. Moi je préféré quand on va chercher les enfants dans les grottes. Les enfants qui viennent comme ça, c'est pas pareil … ''


Bon je reprends ce que je disais, Tooni finalement ne réalisait pas vraiment ce qu'il se passait ! Et peut être que le surnom '' Espèce de grosse bourrique ''  que lui donnait désormais leur voisin de cellule lui correspondait très bien. 


Puis est arrivé le mois saint !


Selon la tradition plus personne ne devait avoir de relations sexuelles ou d’inséminations. Les prisonniers étaient plus libres, le matin il devait toujours assurer le déchargement des vivres livrées quotidiennement mais on ne les torturait plus … Pardon je voulais dire, on arrêtais de les traire. C'était bon pour leur moral aussi, ils pouvaient se déplacer en dehors de leurs cellules pendant une partie de la journée. En temps normal les sorties étaient très limitées. Ils n'avait bien sûr pas le droit de s'approcher de la zone de la grotte. Mais ils appréciaient. 


Guss regardait cet énorme trou dans la montagnes, toutes les grottes qui traversaient la montagne se rejoignaient ici dans cette grotte géante et surtout, c'était la seule sortie, le seul moyen de rentrer à la maison. Plus d'un an s'était passé depuis leur arrivée et il ne pensait plus qu'à ça.


Bien sûr cette règle de chasteté du mois saint ne concernait pas les prisonniers. Les hommes ne comptaient pas dans cette société. Ils étaient natif de cette vallée de femmes, mais ils étaient très peu, vraiment très peu nombreux. Ceux qui comme Gus étaient particulièrement bien dotés étaient tout comme lui utilisés comme étalon pour le plaisir de ces dames. Les autres comme Tooni portaient comme dans l'autre monde un dispositif de chasteté.


Les enfants mâles disparaissaient dans la grotte, dès qu'ils était sevrer après la réception de la nourriture lors d'une cérémonie qui était strictement interdite au hommes. Passé un certain âge les enfants n'étaient donc que des filles. Quelques garçons toutefois restaient avec leur mère, grandissaient, c'étaient eux les hommes natif de cette vallée.


Ils avaient le statut de semi esclave. Ils pouvaient loger dans des maisons et non dans une cellule. Ils étaient très libres de leurs mouvements, même si leurs déplacement restaient toutefois limités. 


Le nombre d'hommes dans cette société était ridiculement bas, deux hommes pour cent femmes, peut être même moins. Au bout d'un an, Guss et Tooni se voyaient attribué le statut de semi esclaves. C'était un progrès, ils gagnaient en liberté, le soir il ne seraient plus enfermés dans leur cellule et pourraient sortir librement. Ils n'auraient pas le droit de sortir de la vallée ni de s'approcher de la grotte. 


Ils pourraient également vivre ensemble. Le jour ou ils s'installaient dans leur nouvelle maison, on leur attribuait une grande chambre qui fermait mais dont ils auraient la clé. Ils venaient s'installer et étaient reçus par un salut très particulier …


– Salut Guss, Salut grosse bourrique ! Alors là moi je suis content de voir qu'on sera voisin maintenant. 


Oui vous avez compris, c'était leur ancien voisin de cellule qui était également semi esclave. Tooni râlait. C'était un natif mais il avait été condamné à une peine de prison pour on ne sait quelle bêtise, il revenait habiter chez lui au moment ou nos héros y étaient logés.


– On va l'avoir tout le temps sur le dos celui-la, et en plus il m'appelle toujours ' grosse bourrique ' , il m'énerve !

– Il est très gentil, il te taquine ! Lui répondait Guss.


Ce soir là c'est avec les voisins qu'ils ont soupé. Il n'y avait qu'une seule cuisine. Puis Tooni agacé est monté se coucher, peu après Guss le retrouvait. 


– Nous ne retournerons jamais chez nous, n'est-ce pas ? Demandait Tooni à son mari.

– Il ne faut pas désespérer. 

– Tu as vu, ce matin sur le gros sac de légumes ?

– Oui j'ai vu ! C'était marqué : '' nous pensons toujours à vous ''

– Et c'était signé Addji ! Concluait Tooni.


Puis Tooni se laissait aller à une certaine nostalgie.


Guss le prenait dans ses bras, lui faisait un gros câlin. Tooni lui rendait son câlin, ils se serraient fortement dans les bras. Sexuellement ils étaient repus. Tooni était resté un très long moment sur la machine à traire. Guss avait vu passé quatre femmes sur lui, et si Tooni avait juté pendant des heures, Guss lui avait joui en elle, en chacune d'elle. Il le savait maintenant, il y aurait peut être d'autre petit Guss qui bientôt allaient gambader dans ce village de femmes. Il y aurait des femmes et elles seraient chez elles mais il y aurait aussi des garçons et eux, que seraient-ils ?


Les deux époux se laissaient aller à un peu de tendresse. Guss bandait avec moins de conviction, il avait donné. Tooni était moins demandeur, il en avait pleins le cul. Mais ils leur restait la tendresse, le douceur de la peau de celui qu'on aime, la chaleur de sa peau.


C'est enlacés, qu'il passaient la soirée à se cajoler à se rassurer. Tous les préliminaires y sont passés. Tooni embrassait tout le corps de Guss. Guss lui rendait tous ses baisers.


Mais ce soir là, il n'y a pas eu de pénétration. Il n'y a eu que de la douceur, que de la tendresse, que de l'amour …


Ils se sont endormis ensemble, ils se sont réveillé ensemble et le quotidien  a repris dès le lendemain. 


Les mois ont passé, presque tous les jours Guss et Tooni voyait passer la chef des gardes avec son enfant dans ses bras, puis dans un panier équipé de deux roues, puis qui faisait son premier pas à ses côtés. Tooni était en admiration devant ce gamin. Guss le regardait avec une tendresse qui le surprenait lui même. Surtout que le gamin lui ressemblait. Tooni avait fini par se rassurer la gamin était beau comme un cœur, et Tooni trouvait que finalement ça se terminait bien surtout quand on savait de quelle manière il était arrivé celui-là.


Chétine, la mère, leur laissait souvent l'enfant le jour ou ils étaient de repos jusqu'au jour ou … 


La livraison de vivres se passait comme d'habitude Guss et Tooni savaient ce qu'ils avaient à faire on leur faisait confiance maintenant. Le dernier chariot venait de traverser les grottes. Chétine venait voir Tooni, Guss était juste à côté.


– Vous prendrez la voix de gauche, toujours à gauche, ne déviez surtout pas. Les chariots ne peuvent pratiquement pas tourner. Au milieu du chemin une torche a été oubliée, prenez la elle vous guidera. Il y a ensuite la partie creusée dans la roche et maçonnée. Là il y a de nombreux panneaux qui empêchent la lumière de traverser. En fait cette grotte est très facile à traverser, gardez cela secret. Guss, Tooni … C'est tout droit, toujours tout droit … Mon fils s'appelle Guni, s'il reste ici il sera un semi esclave, dans votre monde ce sera un seigneur. Prenez soin de lui je vous le confie à toi et à son père ! Je vais créer une diversion.


Elle laissait Guni s'amuser à côté de Guss et de Tooni qui rangeaient les sac, et cordages utilisés pour le transport, lui donnait un dernier baiser. Les minutes qui suivaient étaient longue et chaque seconde durait des heures … Puis un cri à l'autre bout de la grotte.


Guss réagissait au quart de tour il assommait les deux gardiennes qui sonnées ne pouvait réagir à temps. Tooni attrapait l'enfant qui était tout content et qui l'embrassait prenant cela pour un  jeux. Guss et Tooni fonçaient vers le fond de la grotte. 


Ils n'avait que peu d'avance quand ils entendait des cris, ils étaient repérés. La voie de Chétine résonnait dans la grotte. '' Ils ont pris mon enfant, il faut les arrêter '' … Puis cette voie résonnait de nouveau … '' Ils sont  passé par là !'' , et les cris suivaient ces appels. 


Les cris suivaient les appels vers une autre direction.


Ils couraient dans l'obscurité, le sol était plat, un peu plus loin une  torche  montrait la direction. Au passage Guss la décrochait du mur. Tooni tenait fermement contre lui cet enfant qui rigolait toujours. Guss ouvrait le passage.


C'est grâce à la torche qu'ils pouvaient éviter de s'écraser sur les panneaux qui fermaient le passage à la lumière, ils traversaient la zone maçonnée. Ils couraient toujours à fond, ne se retournaient pas pour voir ce qui se passait dans leur dos. 


Ils entendaient de nouveau les cris des gardiennes, elles ne devaient pas être bien loin. Leurs cœurs battaient très vite et déjà au loin ils apercevaient la lumière du jour. C'était la sortie, ils arrivaient de l'autre côté de la montagne. 


Ça leur avait paru long, très long mais maintenant ça leur semblait tellement court. Les femmes étaient sur leurs talons, elles allaient les rattraper quand, brusquement elles s'arrêtaient, il n'y avait plus un bruit mais ça ne rassurait pas Guss et Tooni qui, à bout de souffle donnaient leurs dernières forces dans cette fuite.


Il ne leur fallait qu'une seconde pour traverser la dernière salle, là ou les offrandes et les vivres, étaient déposés, à ce moment elle était vide. La palissade en bambou était refermée mais Guss ne ralentissait pas. Guss est une force de la nature et c'est de tout son élan et de tout son poids qu'il s'écrasait contre cette dernière barrière qui volait en éclats. 


Ils avaient traversé.


Cette arrivée fracassante ne passait pas inaperçue, déjà la caravane repartait. Une silhouette courait vers eux c'était Addji. 




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Anton Ep 12 Le quotidien des prisonniers

 Anton Ep 12 Le quotidien des prisonniers



Nous y voilà, nous arrivons à la dernière partie de cette histoire.  Pour la première fois depuis la chute du mur de Planck ( oui je sais ça fait l'âge ), sur une idée originale de Junior, j'ai imaginé très librement ces aventure d'Anton ( Tooni ). ( toute similitude ou ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé est absolument fortuite )



Comme Guss s'y attendait, Tooni à bougé, il a parlé aussi … Non pas pendant son sommeil, il ne parle pas pendant son sommeil, simplement il ne dormait pas . Il commentait, il questionnait. En fait il ne réalisait pas vraiment ce qu'il venait d'apprendre... Gus a préféré ne pas répondre et Tooni a fini par s'endormir.


Le lendemain, tout comme la veille ils devaient tout d'abord recevoir la nourriture qui était livrée par les grottes. Guss observait tout ce qui se passait, ils voulait savoir comment ça se passait en détail. Combien il y aurait de garde, d’où venait les chariots . Ils pouvait les observer un peu mieux que la veille, les deux roues à l'avant pouvait tourner de droite ou à gauche mais très peu. On ne pouvait pas vraiment changer de direction contrairement aux chariots qu'il connaissaient. Il en concluait que le passage vers l'autre côté de la montagne devait être relativement droit, avec des courbes uniquement. Sinon le chariot ne pourrait pas passer … 


Les repas étaient toujours aussi riches. C'est vrai que les femmes demandait aux hommes d'être en forme, la veille il y en avait eu cinq qui étaient passée sur le corps de Guss. Et ceux qui n'auraient pas leur préférence devait fournir une certaine quantité de leur semence, elles semblaient y tenir, elle devaient préparer quelque chose avec. 


Peu après le repas, les hommes étaient pris d'une érection importante. Pour Guss ça devenait spectaculaire, pour Tooni beaucoup moins. Par contre il râlait, mais on y est habitué. Les autres hommes prisonniers portaient presque tous un dispositif de chasteté eux aussi.


On leur laissait un peut de temps pour se détendre après le repas. Ils étaient ensuite conduit vers la salle de torture. Par moment il fallait presque retenir  Tooni. Il marchait devant, ce qui amusait beaucoup les gardiennes. De toutes évidences, elles le trouvaient amusant. Il les faisait rire, Guss profitait du fait qu'elles se méfiaient moins en sa présence pour regarder les choses de plus prêt. Il n'avait pas perdu l'espoir de retourner à la maison.


Ils arrivaient à l'appareil qui avait procuré des heures de plaisir à Tooni la veille. Toonie s'arrêtait comme émerveillé devant cette machine, il la regardait de prêt. Il comprenait facilement le fonctionnement, il y avait une roue dans le sol qui était actionnée par l'eau, c'était un moulin à eau miniature. En tournant la roue faisait vibrer le pal qui était introduit dans le cul de victimes. Les gardiennes faisaient varier la puissance de l'eau et les vibrations variaient en conséquence. 


Les victimes de ce traitement, pardon je voulais dire de cette traite, gémissaient et râlaient de plaisir avant de hurler … de plaisir toujours. Tooni n'attendait pas qu'on lui demande quoi que ce soit et prenait position. Les gardiennes étaient très amusées. Guss restait en retrait au fond de la salle en essayant de ne pas se faire remarquer, il examinait un dessin sur le mur. Ça semblait être un plan de la grotte. Mais ça devait être un plan simplifié, schématisé, il y avait de longue lignes droites … 


Tooni avait pris position et laissait les gardienne lui glisser le pal dans le derrière. Déjà il respirait fort et sentait en lui comme un tremblement , un frémissement qui lui parcourait toute l'épine dorsale, du haut vers le bas.


Il se relevait et sentait la base de son pal s'introduire dans le sol. C'était à la fois une grosse envie de continuer et une panique complète de le faire qui le faisait trembler. Il prenait une large respiration, le dispositif était actionné et Tooni poussait un cri de plaisir. 


Guss avait bien compris lui aussi, et lui aussi trouvait la situation jouissive. Contrairement à son époux qui trouvait toujours que le corps des femmes était d'une grande laideur, Guss commençait à leur trouver du charme.


Bien sûr ces nouveaux corps qu'il découvraient étaient moins harmonieux, moins fermes. Mais ils étaient un peu plus doux. Tooni lui, par reflex se rétractait si une d'entre elle essayait de le toucher. Ça les amusait beaucoup ça aussi et plus d'une le faisait exprès. N'osant gueuler face à ses geôlières Tooni ronchonnait dans sa barbe et elles riaient à l'entendre et à le voir faire.


Mais pour ce qui est de la traite, il était le premier.


Tous les jours le cérémonial était le même. Les hommes se prêtaient de bonne grâce à leur séance de torture, ils ne résistaient pas, ils se laissaient faire puis ensuite pendant plusieurs heures on les entendait râler de plaisir et gémir.


Au bout de plusieurs semaines, ça ne faisait aucun doute, Tooni était leur petit chouchou. Elles avaient compris que face à elles il était totalement inoffensif. En plus il était marrant, il les faisait rire, il avait obtenu le droit de sortir de sa cellule et de se promener librement dans le quartier. Guss l'employait à faire du repérage, au début il n'avait pas vraiment compris en quoi ça consistait et revenait en décrivant le coin jardin de la Major Missthérese, c'est la chef du quartier … Ou encore le bouquet de fleur qu'il venait de cueillir avec Mlle Josépha … Mais il avait fini par comprendre. 


Il remontait jusqu'à la grotte, s'asseyait à l'entrée de la grotte et sous prétexte d'admirer le paysage comptait le nombre de personnes qui étaient présente à différents moment de la journée.


Un jour il arrivait dans sa cellule, il y retrouvait Guss qui remarquait que quelque chose n'allait pas. 


– Qu'est ce qui t'arrive Tooni ? Tooni avait les yeux baissés et faisait une mauvaise tête.

– Rien !

– Il y a quelque chose qui ne va pas Tooni !

– Nan !


Guss insistait et Tooni finissait par craquer, il s'effondrait en larme dans les bras de Guss. 


– C'est Salina tu sais la fille avec son arc elle m'a elle m'a elles est venue s'asseoir à côté de moi quand je comptais les personnes présentes dans la grotte elle m'a caressé mon bras avec le sien je ne savais plus quoi faire et ensuite quand elle m'a demander de rentrer elle, elle, elle, m'a embrassé … Là !


Il montrait alors sa joue avec son doigt.


Guss avait bien envie de rigoler mais il préférait se retenir, il prenait alors son époux dans ses bras pour le réconforter et l'embrassait. Il l'embrassait tout d'abord sur la joue … '' C'est là qu'elle t'a embrassée la vilaine  gardienne ?''. lui demandait Gus …


– Plus bas !


Guss embrassait Tooni un peu plus bas puis encore un peu plus bas. Les hommes avaient une certaine valeur, au point que les geôlières leur accordait une journée de repos sexuel. Elle étaient mignonnes tout de même, mais c'est vrai que Tooni était leur chou-chou aussi elles accordaient à Guss le même jour que Tooni. 


Au bout de quelques mois, elles accordaient même un peu plus de liberté à nos héros et pour faire plaisir à Tooni elle autorisait Guss à sortir plusieurs heures ce jour là, mais à condition qu'ils n'aillent pas vers la grotte. Tooni pouvait mais elles se méfiaient de Guss.


Tooni en profitait, il profitait de cette journée pour se blottir un long moment dans les bras de son amant. Il ne faut pas perdre de vue qu'ils étaient nus en permanence. Et ce contact doux et amoureux provoquait forcément une réaction chez Guss, surtout que, ça ne faisait plus aucun doute mais, il y avait quelque chose dans la nourriture … 


Guss bandait et Tooni prenait un long moment de plaisir intense à caresser son époux. C'était la seule fois dans la semaine ou il le pouvait, les autres jours ils étaient trop fatigués. Les autres jours ils étaient littéralement vidés. Mais ce jour là dans la semaine ils étaient reposés, ils étaient détendus. Un jour Tooni avait fait des manières en posant ses mains sur ses épaules en grelottant et les filles avaient rajouté deux couvertures … C'est leur chou-chou je vous dis.


Ils étaient donc confortablement installés pour se faire un câlin. Tooni aimait ces moments ou il retrouvait la douceur musclée et forte de son époux et sa virilité. Le pal, c'est bien mais la queue de Guss, c'est mieux. Il n'avait pas perdu en dextérité le petit Tooni et suçait toujours aussi bien. Guss le lui confirmait en lui caressant les cheveux. Il s'amusait toujours à lui appuyer sur la tête, comme ça pour rigoler, Guss aimait bien taquiner son amant, ça lui manquait et un jours par semaine un seul jour il pouvait se laisser aller.


Il y avait aussi une grande tendresse, cette journée était réservée à la tendresse. Les deux amants passaient la soirée, toute la soirée dans les bras de l'autre. 


Ils prenaient le temps de se caresser longuement, de s'embrasser sur tout le corps. Puis Guss prenait l'initiative, il retournait Tooni sur le ventre, il écartait les jambes, Guss le guidait, il lui caressait l'intérieur des cuisses avec douceur.


La machinerie moderne, c'est bien mais ça manque de tendresse se disait Tooni. Les mains de son époux elles, étaient pleine de tendresse. Suivaient les baisers que Guss lui dispensait dans tout le dos. Il mordillait aussi Tooni, pas pour lui faire mal et ce n'est certainement pas de douleur que Tooni gémissait. Il sentait la douceur des dents de son amant qui se refermaient sur ses fesses. Puis c'était un doigt qui se clissait dans son anus. 


Avec la machinerie les filles lui glissaient un gros truc dans le cul, c'était pas désagréable mais en y allant en douceur, progressivement, c'est mieux. C'est toute la différence avec la machinerie moderne. C'est beau la technique mais rien ne vaut la douceur du câlin.


Puis c'était la force virile. Guss s'allongeait sur le dos de Tooni et c'est sa queue qui tentait une entrée en force. Il n'avait pas besoin de forcer beaucoup. Ça rentrait tout seul, Tooni était maintenant tellement habitué à se faire défoncer le cul que c'était du plaisir, rien que du plaisir. Bien lubrifié avec une bonne dose de salive la queue de Guss glissait sur toute sa longueur sans rencontrer aucune résistance. 


Guss appuyait alors son ventre contre les fesses de Tooni, ça aussi c'était une sensation que ne donnait pas la technologie. Mais quand Guss commençait à s'agiter, à ressortir avant de revenir, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Si le plaisir restait toujours plus intense qu'avec la technique c'est  uniquement à cause des caresses, de la chaleur du corps de Guss, de son poids, de sa masse.


Avec la machine le plaisir n'est concentré que sur un seul point, avec Guss le plaisir pouvait venir de tout le corps. Ses mains qui passaient sur tout le corps, son visage qui lui aussi se promenait sur tout le corps de Tooni et qui s'arrête pour déposer un baiser, ou pour mordiller Tooni dans un recoin sensible.


Tooni ne tremblait pas que du  plaisir anal, il tremblait de tout son corps. Il aimait sentir le souffle de son amant, il tournait alors le visage vers le sien et ils s'embrassaient alors avec passion. Guss burinait alors avec encore plus de force le cul de Tooni qui ne pouvait même pas gémir, les lèvres de Guss devenant alors un  bâillon très efficace. 


Guss prenait toujours son temps pour jouir, et quand il en arrivait là Tooni était déjà aux anges, et sous l'effet de l'orgasme il ne contrôlait plus ses gestes.


Les deux amants se retrouvaient alors entre eux, ils avait l'impression d'être seuls et même les applaudissements de leurs camarades de captivité ne parvenaient pas, ne parvenaient plus à les distraire.


Chacun se noyait dans les yeux de l'autre et c'est blottis l'un contre l'autre, confortablement enveloppés de leur double épaisseur de couvertures qu'ils finissaient par s'endormir.


Le lendemain le programme habituel reprenait. Levé tôt, petit déjeuner copieux puis la grotte, c'est tous les jours que de l'autre côté de la montagne, dans l'autre monde, dans le monde de Guss et de Tooni, on nous livrait des vivres. Tous les jours … 


Tooni pensait à ses amis qui devaient être de l'autre côté et qui avaient préparé ces colis, ces vivres sans savoir à qui ils étaient destinés. Certains pensaient que ce devaient être des divinités, des dieux qui bourgeonnaient et les bourgeons c'était les enfants. Ils bourgeonnaient sur la cuisse, sur le ventre, sur le bras, enfin on racontait bien des choses, on disait surtout n'importe quoi !


Quelquefois ils trouvaient parmi les sacs et caisses des objets personnel, Tooni aurait aimé pouvoir en garder quelques uns, mais ça c'était formellement interdit et comment aurait-il pu le cacher quelque par, il ne faudrait pas oublier qu'aucun des prisonniers ne portait le moindre vêtement, sauf pour un grand nombre d'entre eux, leur dispositif de chasteté.


Les quelques uns qui n'en portaient pas étaient comme Guss, très bien montés, et tout comme Guss on leur réservait un traitement spécial.


Les deux hommes n'étaient pas au bout de leurs surprises. La première femme qui avait pris du plaisir sur le dos de Guss. Enfin quand je dis le dos, c'est une façon de parler, ce n'est pas vraiment sur son dos qu'elle s'était allongée. Elle s'appelait Chétine, mais revenons à ce que je disais, elle était de toutes évidences un des chefs du village, et elle avait  une taille particulièrement fine quand nos deux héros l'avaient vu pour la première fois. Elle revenait les voir. Son corps avait changé, il devenait difforme. Son ventre était devenu énorme au cour des semaines. Elle avait des difficultés pour marcher et se penchait en arrière,quelquefois assistée par une autre femme, quand elle voulait s'asseoir par exemple. 


Tooni et Guss l'avait trouvée laide la première fois mais là, c'était une horreur, sa poitrine était devenue énorme, elle avait le visage gonflé. Là pour Tooni c'était vraiment à faire peur, au point que quand il l'a revu pour la première fois, il était confortablement installé sur la machinerie de plaisir, ça lui a coupé tous les moyens, pendant au moins une heure il ne jutait plus, ne bandait plus dans sa cage en ivoire de Dentosaure et Guss lui non plus ne bandait plus, pourtant pour le faire débander celui-là, il en fallait … 



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INDEX TOC

 INDEX TOC


Au départ il ne devait y avoir qu'un seul texte. Je n'avais pas prévu de faire une suite. Puis il y a eu un second texte et pour finir un autre, il n'était toujours pas prévu, et encore un autre.


Je ne sais pas combien il y en aura, ce n'est pas vraiment une série, les épisodes ne se suivent pas vraiment. 


Ce sont juste les aventures de Toc ... 



     Les épisodes un et deux ont été compilés en un seul texte ...

    Dans ces deux premiers épisodes on rencontre le petit Toc quand il arrive pour ce qui n'est au départ qu'une saison. Il se trouve à l'aise et il finira pas s'installer durablement... 

TOC 01 C'ETAIT UN BRANLEUR

Toc 1


TOC 02 MON GARCON FERMIER

Toc 2


TOC 03 LA FERME

    La Toc se déplace et vient attendre le nouveau contingent pour la nouvelle saison. Evidemment avec Toc dans le coin ça va dégénérer ... 


Toc 3


TOC 04 TELEPHONE ( maison ? )

    Toc accompagne son patron, qui a décidé de le sortir un peu, il en profite pour s'acheter un nouveau téléphone. Il en profite aussi pour faire connaissance avec un mec qui passait par là. Et c'est donc avec un nouveau chapeau sur la tête qu'il reviendra de cette expédition ... 


Toc 4


TOC 05 : Toc contremaître

    Tout se passait bien jusqu'au jour ou Mr Durand est tombé malade. Mr Durand est une force de la nature et c'est un tout petit virus qui finalement avait raison de lui. Comme quoi, la petite bête peut manger la grosse. Pour mettre fin aux débats c'est finalement Toc qui sera nommé pour remplacer le boss pendant sa convalescence. Le choix peut paraître improbable mais sait-on jamais, Toc ne manque pas de ressources il pourrait nous surprendre.

Toc 5






TOC 4 : Téléphone ( maison ? )

TOC 4 : Téléphone ( maison ? )



Je suppose que vous vous souvenez de ce petit gars. Pantalon moule boule, T-shirt juste au corps, il a pris du muscle le p'tit gars en plus, Chapeau de paille ridicule sur la tête, chaussure de travail aux pieds et au niveau du pantalon la forme d'une téléphone cellulaire, dont il ne se sépare jamais ( pour qu'il le lâche il faudrait lui couper une main ) et devant, entre le haut des cuisses la forme parfaitement visible et très évidente d'une cage de chasteté … 

Non ça ne vous dit rien …

Et si je vous dis que les phrases les plus longues qu'il prononcent vont jusqu'à quatre mots, cinq même mais uniquement quand il devient bavard.

C'est sûr que sur ce dernier point, il ne saoule pas ses collègues de travail. Ah oui j'oubliais, il a toujours l'air aussi nouille qu'au début de sa première histoire, plus peut être même, il faut dire que le chapeau de paille ne lui donne pas un air futé.

Mais il a une bonne tête. 

En plus c'est ce garçon bavard qui est chargé de synchroniser le travail avec les ouvriers étrangers, il parle plusieurs langues … Enfin, quand il parle … 

Bref, tout ça pour dire qu'il n'a pas changé le p'tit gars, il est peut être un peu plus dégourdi qu'au tout début, mais il faut bien dire que pire ce n'était pas possible de toutes façons, et puis malgré l'impression qu'il donne de marcher à côté de ses pompes, il est très bien organisé en fait …

Mr Durant, son boss, l'avait emmené avec lui, il avait des courses à faire en ville. 

– Tu devrais sortir un peu de temps en temps mon petit Toc...
– Bein oui … Répondait Toc.
– Ça va faire combien de temps que tu n'est pas sorti de la ferme ?
Heu … 

Durant laissait à Toc tout le temps qu'il fallait pour terminer sa phrase. Mais en fait Toc avait terminé …

– Deux ans, trois ans ?
– …
– C'est vrai que tu trouves tout ce que tu veux par correspondance …
– …
– Mais de temps en temps ça fait du bien de changer d'air …
– …
– Je te trouve rudement bavard aujourd'hui toi !
– Moi ?
– Bon je crois que j'arriverai jamais à m'y faire moi ! Là Durant avait pensé à haute voix. Mais ça ne semblait pas déranger Toc.

Finalement il laissait Toc dans le quartier commercial, il fallait qu'il passe voir son banquier et régler quelques affaires. Toc avait toujours l'air un peu perdu mais en fait ce n'était qu'une impression. Il savait parfaitement ou il était, il n'avait besoin de personne pour s'orienter. C'est donc d'un pas décidé, mais pas très rapide, qu'il entrait dans la galerie marchande.

Il en faisait le tour avec une certaine curiosité. Il repérait le rayon vêtement, il s'achetait une tenue complète. Il se permettait une petite fantaisie et prenait des pantalons non percés. Eh oui, les modes passent et les trous au dessus des genoux, c'est démodé. T-shirt, toujours bien moulants également, il faut dire aussi qu'il était de plus en plus beau le petit Toc, il s'était musclé, et ce genre de vêtement en tissus légèrement élastique le mettait très en valeur. 

Il ne faisait pas attention aux filles qui passaient tout autour de lui, elles étaient nombreuses à se retourner sur son passage. C'était sa carrure, bien carrée, musclée avec une tablette de chocolat qui se moulait bien dans son T-shirt. Il avait aussi le tain bronzé à force de travailler en extérieur torse nue. Il était devenu très beau.

Et puis, il y avait aussi cette bosse dans son pantalon, c'était tout sauf discret. On devinait parfaitement et sans faire preuve d'imagination le dispositif de chasteté. C'est vrai que Toc chaussait large,si j'ose dire … 

Les filles lui souriaient, il n'y prêtait aucune attention. Les filles c'est pas son truc, même si lui serait facilement le leur. Il arrivait ensuite, il avait déjà un gros colis sous le bras, au rayon téléphonie. Ses yeux s'illuminaient, son sourire s'élargissait. Il regardait rapidement la première partie du rayon ou on trouvait tous les modèles les plus vendus. 

Rapidement il se rendait vers le fond du rayon, un gros présentoir qu'on pouvait voir depuis l'entré trônait. C'était le dernier modèle. L'appareil au premier coup d'œil avait une taille standard mais l'écran pouvait se dérouler et il était plus grand que le téléphone lui même.

Il était aux anges.

Avec un sourire ébahi il appelait d'un geste un vendeur …

– Ça ! Lui disait-il en montrant l'appareil du doigt …
– Ah c'est un très bon choix monsieur … Puis le vendeur lui faisait tout son discours commercial …

Toc soupirait longuement en le regardant d'un air blasé et rajoutait.

– A emporter … En même temps il lui tendait sa carte de crédit.

L'appareil était à un prix prohibitif mais Toc ne dépense jamais rien ou si peu, il ne sort jamais de la ferme et en plus il est très bien payé … 

Le vendeur encaissait et voulait continuer à prodiguer des conseils mais Toc lui prenait le colis des mains, récupérait sa carte de crédit, le ticket de caisse  et repartait sans plus de formalité …

– R'voir … Rajoutait-il simplement.

Il retrouvait alors Mr Durant dans un bar en retrait du centre commercial. Juste à côté de la gare.

– Tu as trouvé ton bonheur bonhomme ?
– Oh ça oui M'sieu Durant … j'ai acheté un nouveau téléphone, il y a deux écrans dont un qui se rétracte … 

Suivait alors un descriptif détaillé de l'appareil, Mr Durant écoutait ça avec des yeux tout rond. 

– En tout cas ça t'a fait de l'effet de sortir un peu …
– Bein oui … Toc avait dit tout ce qu'il avait à dire, et reprenait ses habitudes.

Ils s'installaient à la terrasse, Mr Durant avait acheté un chapeau, un super chapeau de cow-boy, il le posait alors sur la tête de Toc.

– Là tu aura meilleure allure comme ça …
– Merci … Lui disait alors Toc en relevant la tête avec un grand sourire.

Ils étaient très en avance, le train n'était pas annoncé avant un long moment. Toc s'occupait avec son nouveau jouet. Mr Durant remarquait que Toc lisait le mode d'emploi en allemand mais préférait ne pas relever le détail, de peur sans doutes de se retrouver dans une longue discussion avec son employé ( et amant ) et de n'avoir pour seule réponse … ' Bein oui ! ' … 

Toc se relevait sans prévenir pour aller aux toilettes. Plongé dans son écran géant il n'avait pas remarqué la présence de ce voyageur, genre cow boy, qui était installé au bar et qui le regardait avec insistance depuis un moment. Un bel homme, d'allure virile qui avait remarqué la bosse que Toc avait dans son pantalon et certainement aussi la présence de son dispositif de chasteté. 

Un peu distrait Toc se retrouvait dans la cour juste derrière le bâtiment. Une voix lui disait … '' C'est à droite … ''. Toc prenait alors la première porte à droite, l'homme le suivait et refermait la porte derrière eux.

Toc se retournait et l'homme lui caressait sans prévenir le torse, sa main descendait jusqu'à son dispositif de chasteté, s'attardait et lui massait les couilles.

Toc lui rendait la politesse en lui caressant le bras et en glissant sa main sous la chemise du fameux cow-boy. Lui aussi était musclé.

– Il me semblait bien que tu portais ce genre de truc !
– Bein oui … ( et là je vous laisse deviner lequel des deux à donner cette réponse … NDL )
– J'ai toujours trouvé terriblement sexy les mes qui portent ce genre de chose !
– Bein oui !
– Surtout quand il sont foutu comme toi !
– Bein …
– Il paraît qu'en plus ils sont tous chauds du cul ! Tu es chaud du cul ?
– …

Là Toc préférait approcher ses lèvres de celles de cet inconnu et l'embrassait.
Vous aviez deviné que Toc n'est pas vraiment du genre farouche. Le mec ouvrait son pantalon et continuait à tripoter les couilles de Toc au travers de son pantalon. 

Les deux hommes se serraient dans les bras, s'embrassaient et rapidement cette étreinte devenait passionnée. Toc s'accroupissait rapidement et prenait la queue de l'inconnue dans la bouche. Elle était de belle taille sans être géante, trop petite pour Toc c'est pas ça mais là elle était bien. Ça lui suffisait, ça  lui suffirait.

Le cow-boy appuyait avec force sur la tête de Toc, il était surpris, il n'y avait aucune résistance, Toc prenait cette belle bite avec une grande facilité, son visage s'écrasait sur le ventre de l'inconnu qui rapidement gémissait de plaisir.

Toc lui caressait les couilles avec douceur et l'homme sentait le plaisir monter en lui. Rapidement il se sentait obliger de repousser Toc qui y allait trop fort et qui risquait de le faire jouir plus vite que prévu. 

Toc ne disait jamais rien mais il comprenait tout. Il s'écartait, relevait les yeux et continuait à caressait le corps de cet homme inconnu mais bien foutu. Maintenant il avait le pantalon sur les chevilles.

En quelques instant l'homme retirait tous ses vêtements, c'est à ce moment que Toc réalisait qu'ils était dans une salle de bain, il y avait une douche. Lui aussi retirait ses vêtements, c'était plus rapide, il n'a jamais grand chose sur le dos le petit toc. 

L'homme se mettait à genoux et contemplait de près, le dispositif de Toc. Sa queue était confinée, surtout qu'il bandait à ce moment, elle prenait toute la place, des bulles de peau ressortaient par les trous d'aération. Ses deux couilles formaient une grosse boule et le cow-boy prenait un plaisir non dissimulé à les malaxer, à les caresser, à les tripoter et à les lécher.

Dans un même temps il glissait un doigt puis deux dans le cul de Toc qui en réponse écartait les jambes pour lui ouvrir le passage. Toc gémissait de plaisir, il aime bien ce genre de situation ou rien n'est prévu. Il aurait bien aimé aussi pouvoir l'enculer, lui défoncer le cul mais depuis maintenant quelques années il ne pouvait plus faire grand chose de ce côté. Il ne se masturbait même plus. 

Toc n'avait pas vraiment de remords peut être quelques regrets mais quelques regrets qui disparaissaient vite, il s'adaptait à la situation. Il ne pouvait plus se branler, il ne se branlait plus. Il ne pouvait plus enculer son partenaire, il le laissait l'enculer …

Quand l'inconnu se relevait il prenait Toc par les épaules et doucement poussait sur ses épaules pour qu'il se retourne. Toc se penchait ensuite en avant, écartait les cuisses et le cow-boy inconnu se lubrifiait généreusement la queue avant de la glisser en un seul mouvement rapide et fluide dans le cul de Toc. Il l'enfonçait bien à fond, marquait un pause rapide puis se retirait complètement.

Voyant que ça passait tout seul, il recommençait mais cette fois ci avec force, vitesse, violence et son ventre claquait contre les fesses de Toc. Toc relevait la tête en arrière et ne tentait même pas de retenir un gémissement de plaisir. 

L'inconnu recommençait avec un peu plus de force puis encore plus et finalement limait le cul de Toc de toutes ses force. Il le tirait vers lui au moment ou il enfonçait sa queue dans son cul. Il le tirait avec force au moment ou il lui donnait un violent coup de bassin. 

Au bout de quelques minutes il faisait une pause, les deux hommes se calmaient puis ça repartait, avec plus de violence mais aussi par moment avec plus de passion. Le Cow-boy serrait bien fort contre lui le corps de Toc et le caressait depuis les tétons jusqu'à son dispositif de chasteté.

Toc passait une main, comme pour retenir son partenaire. L'inconnu appuyait Toc contre le mur, ça l'obligeait à se redresser à se cambrer et cette position rendait la pénétration plus laborieuse. Toc aime bien quand ça résiste un peu, les sensations son plus fortes mais Toc aime bien. 

L'homme semblait vouloir conclure et accélérait ses mouvements. Toc prenait son pied, il jutait dans sa cage et un liquide blanc coulait par l'ouverture frontale de sa cage. Il gémissait, il tremblait de plaisir. 

Dans son dos, Le cow-boy s'énervait dans le dos de Toc, il ne parvenait pas à jouir, il bandait ferme, il continuait à limer le cul de Toc de toute ses force, avec toute la violence qu'il pouvait donner. 

Chaque coup de bassin claquait fort contre les fesses de Toc. Lui par contre il jouissait, il jutait toujours et il jouissait toujours. Il n'était pas pressé que ça se termine. Il prenait son pied.

Puis sans prévenir le cow-boy poussait un cri de plaisir, il ne ressortait pas tout de suite sa queue mais continuait à appuyer son bassin avec force contre les fesses de Toc. 

Quelques minutes plus tard les deux hommes s'étaient calmés. Ils étaient dans une douche, ils en profitaient pour prendre une douche. Vous savez Toc ne se pose pas beaucoup de questions dans sa tête et fait preuve d'une logique très simple.

Ils se rendaient présentables, s'échangeaient un dernier baiser …

– Tu es un sacré coup toi …
– Bein …
– D'accord, tu dis rien. Tu préfère passer aux actes !

Toc lui répondait par un sourire. Chacun de leur côté il retournaient dans la salle du bar. Mr Durant commandait un repas et voyant Toc arriver.

– Tu veux manger quoi, dis moi Toc.

Toc réfléchissait longuement et …

– Fritte, hamburger, soda.

Avec Toc trois mots sont suffisants pour commander un repas. Le cow-boy sortait du bar et faisait un petit signe de salut à l'intention de Toc qui lui répondait par un sourire et un mouvement de la tête.

Quelque chose avait changé sur Toc quand il montait dans le train. Un T-shirt moulant, un pantalon moule boule, avec une cage de chasteté parfaitement visible sous le pantalon, la forme d'un téléphone dans la poche … Les colis … Non c'était pas ça .

Ah oui, il n'avait plus le même chapeau. C'est vrai que maintenant il avait plus d'allure le petit Toc !


A suivre … (enfin peut être)


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Anton Ep 11 Au dela des grottes

 Anton Ep 11 Au dela des grottes



Nous y voilà, nous arrivons à la dernière partie de cette histoire.  Pour la première fois depuis la chute du mur de Planck ( oui je sais ça fait l'âge ), sur une idée originale de Junior, j'ai imaginé très librement ces aventures d'Anton ( Tooni ). ( toute similitude ou ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé est absolument fortuite )



Guss et Tooni restaient là pétrifiés par la peur. C'était le chef qu'ils avaient devant eux, ça ne faisait aucun doute. Son énorme coiffure en forme de crinière de lion le rendait effrayant mais ce n'était pas ça le pire. Le pire c'était sa morphologie.


Ces muscles difformes qu'il avait au niveau de son torse, et qui au passage étaient particulièrement laids devait l’handicaper. Il était obligé de les envelopper en partie dans un large ruban qui faisait plusieurs fois le tour de son corps. Mais la non plus ce n'était pas le pire.


Le pire c'était ce vide terrifiant, qu'il y avait au niveau de son entre-jambe. Il n'y avait rien !


Ce chef faisait signe à Guss de retirer son glaive, il avait une épée de parade, on peut se battre avec, ça marche très bien mais elle n'est pas longue c'est tout, et elle est aussi joliment décorée.


Guss décrochait son kilt auquel l'épée était accrochée et le faisait tomber au pieds du chef. Ensuite le chef s'approchait et récupérait la cape de Guss. Tooni voulait réagir pour secourir son mari mais quelques piqûres dans son dos le calmaient. On lui prenait également sa tunique. Les deux hommes se retrouvaient entièrement nus devant ce groupe de soldats étranges.


On les regardait de haut en bas avec beaucoup d'attention. Certains regards s'arrêtaient sur le dispositif en ivoire de Dentosaure que portait Tooni, ils étaient accompagnés de sourires amusés. Mais c'est surtout Gus que ces soldats regardaient longuement, et tout particulièrement son sexe.


Guss n'était pas au mieux de sa forme mais toutefois sa queue pendait lourdement entre ses cuisses.


Plusieurs de ces gardes armés prenaient l'initiative d'attacher les mains de Guss et de Tooni dans leur dos. Avec un pointe de lance sur la gorge, les deux hommes préféraient se laisser faire. Puis on les emmenait vers une destination inconnue.


A ce moment ils n'étaient pas totalement sortis de la grotte. Elle était immense à cet endroit et devait bien faire trente mètre de haut, c'était un immense trou dans la montagne. En avançant ils découvraient une vallée pleine de verdure, de plantes, de couleurs. 


Des maisons étaient construites sur les flans de la montagne, des terrasses étaient aménagées, des arbres partout ou c'était possible, des escaliers couraient entre les arbres, entre le maisons. Il y avait aussi des fontaines, l'irrigation était parfaitement contrôlée, et partout des buissons, des fleurs … c'était magnifique Guss et Tooni n'avaient jamais rien vu de pareil.


On les entraînait au travers de ce labyrinthe de ruelles creusées dans la roche. Puis ils arrivaient à une sorte de maison qui semblait minuscule de façade, mais elle était profonde et creusée dans la montagne. On les jetait dans une cellule, chacun la leur. Ils étaient séparés par de barreaux de bambous.


Ils étaient effondrés, Tooni pleurait longuement, Guss tentait de le réconforter. La nuit avait été longue, ils étaient épuisés, ils ont fini par s'endormir sur un tas de foin. Il était propre c'était déjà ça.


Le lendemain matin on leur donnait un repas, oh pour ça au moins ils n'allaient pas se plaindre, ils étaient bien nourris. On les conduisait ensuite à la grotte, il y avait une arrivée de vivres, ils reconnaissaient l'origine de la nourriture, et quelquefois devinaient même qui avait préparé tel ou tel colis .


Tooni terminait en larmes, il était si loin de chez lui et pourtant si prêt. Il allait probablement manger des fruits et des légumes qui proviendraient de son propre terrain et pourtant ce terrain était et serait pour toujours inaccessible. 


Guss gardait le moral, il était plus combattant. Il observait tout, les chariots qui ressortaient de la grotte, le nombre de gardes, les allées et venues, il remarquait que les chariots utilisés ne pouvaient que difficilement tourner, ils étaient fait ainsi.


Un deuxième repas leur était proposé, au milieu de la journée. Ils étaient surpris d'être aussi bien traités mais ne s'en plaignaient pas. Pendant toute cette partie de la journée ils pouvaient se voir, mais ne pouvaient pas se parler. Il y avait aussi d'autres hommes, je veux dire par là, normaux, comme eux. Qui semblaient bien traités également. 


Plus tard dans la journée après le second repas, la marchandise, les vivres qui arrivaient tous les jours ici sans que personne ne se préoccupe de les produire avaient été reçus et étaient maintenant réparties. 


On entraînait les prisonnier dans une salle étrangement équipée. Il y avait un hôtel qui de toutes évidences devait servir pour faire des sacrifices,il y avait des chaînes qui servaient à immobiliser les victimes. Tooni tremblait de peur, il paniquait et finissait par pleurer de nouveau. Il imaginait les tortures qui devaient être infligées aux prisonniers, et justement, il en faisait partie.


Un des gardes attrapait Guss par bras et le tirait vers cet hôtel. Tooni craquait, il était mort de trouille mais il craquait.


– Toi là, laisse mon mari tranquille, prend moi moi. J'ai même pas peur ! Attaque toi à quelqu'un qui peut se défendre si tu es un homme .


En réponse il sentait comme une piqûre sur la gorge, et plusieurs sur le torse, c'étaient des lances … Il se calmait …


– Tooni je t'en supplie ne fait pas n'importe quoi. Il vaut mieux obtempérer.

– Ils vont te mutiler Guss et moi je ne veux pas !

– Mais non, je te jure, tout se passera bien.


Sa voix ne parvenait pas à dissimuler son inquiétude. 


Les gardes attachaient Guss sur l'hôtel destiné aux sacrifices et Tooni ne pouvait plus voir son époux. Là il s'est mis à brailler, à gueuler. Plus personne ne pouvait le faire taire. Trois gardes lui tombait dessus mais il était costaud le petit Tooni et il vendait cher sa peau. En fait personne ne voulait lui faire de mal.


Penché en avant, presque plié en deux il sentait qu'on lui lubrifiait le cul. Là il ne disait plus rien et restait attentif à ce qui se passait autour de lui. Il sentait un objet s'enfoncer dans son cul. L'objet avait de toutes évidences des formes douces et arrondies, c'était agréable et Tooni ne cherchait plus à se dégager. Il commençait même à apprécier. L'objet n'était pas non plus trop gros et rapidement c'était même très agréable. Il gémissait de plaisir.


Il entendait la voie de son mari qui criait à son tour.


– Tooni, ça va ? Dis moi que ça va Tooni, dis moi que ça va !

– Ça va, ca va ! Répondait Tooni.

– Tu as une drôle de voix, dis moi qu'est ce qu'il te font. Ils ne te font pas de mal ?

– Non ça va, c'est cool !


Les gardes rigolaient à les entendre. 


Puis on redressait Tooni, le bâton qu'il avait dans le cul bougeait et au passage lui procurait un grand plaisir. Il gémissait. Le bâton était alors enfoncé dans un trou dans le sol, Tooni était redressé et attaché, les mains dans le dos à un poteau. Ses pieds étaient légèrement écartés et attachés au sol ... Tooni s'inquiétait toujours un peu mais les sensations devenaient tellement agréable qu'il gémissait de nouveau. 


On plaçait juste à la sortie de son dispositif de chasteté un petit flacon en verre. Tooni ne comprenait plus du tout ce qui sa passait mais il aimait bien, il ne cherchait plus à se dégager. 


Il entendait son mari gémir et là de nouveau c'était la panique...


– Tiens le coup Guss, je viens te sauver ! Qu'est-ce qu'ils te font ? Dis moi ce qu'ils te font, dis moi que ça va … 


Guss poussait un cri et continuait à gémir, Tooni paniquait et tentait de se dégager en gigotant ce qui lui procurait encore plus de plaisir dans son cul. Il était empalé à un pieux aux formes arrondies qui ne remontait pas trop haut, en fait c'était très agréable. Mais il entendait Guss qui semblait se plaindre et devait gémir sous l'effet de la torture qu'il subissait. Tooni hurlait tant qu'il pouvait.


– Mais vas tu te taire espèce de grosse bourrique ! Lui gueulait alors Guss. Ouah, c'est bon, c'est vraiment bon.

– Mais qu'est ce qu'il te font Guss ? Tu ne dis pas ça pour me rassurer ?


A ce moment le bâton, ce serait excessif de parler de pal, le bâton donc se mettait à vibrer. En quelques secondes Tooni se mettait à trembler de plaisir et à gémir, il poussait un long cri de plaisir. 


Les gardes avaient installé un autre prisonnier à côté de Tooni, empalé lui aussi avec les mains attachées à un poteau. Il n'avait pas protesté lui. Il savait ce qu'on allait lui faire et déjà gémissait de plaisir, rien qu'à l'idée de ce qu'on lui réservait. 


Un autre prisonnier les retrouvait. Il y avait plusieurs places dans l'appareillage et au final c'est une demie douzaines de mec ( normaux, à qui il ne manquait rien, pas comme les gardes ) qui se retrouvaient attachés contre un gros poteau avec un pal aux formes arrondies et douce qui vibrait dans leurs culs. Ils gémissaient tous très fort de plaisir et dans le petit flacon de verre fixé à leur queues il y avait un liquide plus ou moins laiteux, plus moins translucide, ils mouillaient, ils jutaient dans ce flacon. Et ils jouissaient aussi. Il jouissaient très fort par moment … 


La séance devait durer jusqu'au repas du soir. Pendant le reste de l'après midi, il râlaient, il gémissaient.


– Non assez j'en peu plus. Oh oui, oh oui, oh oui encore … Non pitié … Etc.


Là on avait oublié Guss. Lui aussi il gémissait de plaisir sous les caresses d'un des garde, puis le suivant, puis le suivant puis … Il n'en pouvait plus Guss. Au début il avait eu très peur, ensuite le garde lui avait montré cette fente verticale qu'il avait à l'endroit ou lui avait une grosse queue et deux couille, son garde y faisait glisser la queue de Gusse avant de s'allonger sur lui, de l'embrasser, de le caresser, de glisser contre lui. Cet étrange torse, était à la fois doux et chaut, le caressait. Au bout il y avait des tétons, comme pour lui, mais un peu plus large.


Au bout d'un long moment de plaisir Guss jouissait dans le corps de son garde. Il se retirait, on respectait un petit moment de pause puis un autre venait,  caressait longuement Guss, le massait et faisait comme le précédent, il s'empalait sur la queue de Guss.


Tous les prisonniers étaient épuisés à la fin de la séance. On récupérait soigneusement les flacons de verre. On les laissait récupérer avant de les conduire dans un autre cellule qui serait désormais la leur. Ils arrivaient à peine à marcher les pauvres mais ils ne s'en plaignaient pas, ils affichaient un visage heureux, ils avaient l'air comblés. Gus et Tooni étaient autorisés à se retrouver dans la même cellule. Les gardes avaient compris que ce serait plus simple de les laisser ensemble ces deux là s'ils voulaient avoir la paix.


Ils trouvaient un repas copieux dans leur cellule. Il y avait d'autre cellules et d'autres prisonniers. Tous étaient au même régime. Dans un coin une couche en paille propre, au dessus plusieurs couverture. Tooni versait encore une larme, il avait reconnu les couvertures, c'est  un artisan qui habitait pas loin de chez lui qui les fabriquait. 


C'était encore un souvenir qui lui rappellerait qu'il était désormais prisonnier sans pouvoir espérer revoir ses amis un jour, sans espoir. C'est en larmes qu'il s'écroulait dans les bras de Guss, c'était à cause de lui si son époux était lui même étaient prisonnier de ce pays ou les hommes étaient tellement étranges.


– Qu'est ce qu'ils t'ont fait subir mon pauvre Guss ? Et tout ça c'est à cause de moi. Demandait Tooni.

– Ils ne m'ont pas fait de mal, mais c'était bizarre. C'était agréable mais vraiment bizarre. Je ne pense pas que ces hommes veillent nous faire du mal.


Une voie dans la cellule voisine se faisait entendre...


– De quels hommes parlez-vous ? Vous les nouveaux.

– Nos gardes ! Répondait Guss.


C'étaient des éclats de rire qui répondaient à ce commentaire.


– J'ai dit quelque chose de drôle ?

– Mais ce ne sont pas des hommes.

– C'est quoi alors ? Demandait Tooni.


  De nouveaux éclats de rire répondaient.


– Ce sont des femmes, grosse bourrique, ce sont des femmes.

– Ne m'appelle pas grosse bourrique sinon tu vas voir ! Répondait Tooni ;

– Excuse moi, je croyais que c'était ton nom.

– Ça ne me dit pas ce que c'est qu'UN femme … Rajoutait Tooni.

– Pas UN femme mais UNE femme.

– Ça ne répond pas à ma question .

– Bon, toi qui m'a l'air plus futé que la moyenne tu devrais comprendre. Dans ton pays, tu as des coq et des poules ?

– Continue. Rajoutait Tooni. 

– Tu as le chat et la chatte, le chien et la chienne … le cheval et …

– Oui des chevals on en a plein même mais je ne vois pas ou tu en venir. Continuait Tooni.

– Des chevaux, on dit des chevaux … Rectifiait Guss.

– Et bien pour les hommes, c'est pareil … Reprenait l'inconnu.

– NON ! Tooni ouvrait de grands yeux, il s'était redressé brusquement.

– Je sens qu'on est pas près de dormir. Murmurait Guss sur un ton blasé.

– Et les enfants alors, les enfants ? S'exclamait Tooni.  

– Ça y est il commence à comprendre. Disait la voie dans l'autre cellule. 

– Il est pas toujours rapide. Rajoutait Guss.



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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