CALENDRIER Janvier 2020


Bon là c'est facile à lire ... 31 jours pour le premier mois de l'année, 31 jours sous clé !

31 Janvier 2020

Et voilà le mois se termine dans la bonne humeur . Globalement ça s'est bien passé . 
Bon demain on continue, demain c'est le mois prochain ...







Et en Février 2019 ça donnait quoi ?
Le cadenas dépassait , mais le dispositif sur la photo était déjà fonctionnel ...



En Février 2018 par contre, c'était pas encore ça . Je n'ai jamais porté le dispositif sur la photo
il n'était pas au point


LES AVENTURES DE DJE Ep 88 : AMOUREUX

LES AVENTURES DE DJE
Ep 88 : AMOUREUX


J'ai passé un dernier trimestre particulièrement agréable. Liam participait à toutes les soirées que nous organisions, ce privilège le rendait très populaire auprès de ses camarades, pour les premières années il y avait aussi Florian qui y participait très souvent et Bob bien sûr. Pour Bob c'était un peu différent, lui en plus était externe et habitait sur place. 

Il n'était pas rare que Liam termine la nuit avec moi et le week-end, on se le réservait. Comme à une époque, dans une autre vie sans doute, on se retirait tous les deux dans un hôtel que je connaissais bien, les raisons étaient toujours les même, comme à l'époque de Léa, si je voulais être tranquille il fallait que je m'éloigne de la ville. 

J'en profitais pour retrouver la boutique ou Léa avait acheté le '' Gigoteur '', j'en achetais tout un lot. 

N'allez pas vous imaginer que c'était par gourmandise, un seul me suffit, mais j'avais compris que ça pourrait intéresser plein de monde. 

Dans l'hôtel ils ne posaient pas de questions, je pense même qu'on peut dire qu'ils ne se posaient de questions. Je prenais une suite, on était deux, bien sûr il n'y avait qu'un seul lit mais … N'étions nous pas porteurs de PK tous les deux ? Donc moralement irréprochables ! Au dessus de tous soupçons !

C'était là une bien étrange morale que j'avais largement contribué à faire apparaître. Mais finalement tout le monde semblait s’accommoder de cette nouvelle manière de voir les choses. Deux garçons ensemble … '' Ils seront forcément sages, comment pourrait-il en être autrement ? '' … Un couple homme femme non mariés, c'était pareil …

Bien sûr pour le reste, les détails qui auraient pu paraître scabreux, on préférait fermer les yeux. La morale préférait ne rien voir, ne rien savoir …

On évitait seulement de se faire des câlins en public.

C'était une période de sérénité et de paix pour moi. Liam semblait beaucoup aimer aussi. J'avais passé des périodes de grosse paniques médiatiques, d'agitations sociales ou je me trouvais dépassé tant il y avait de monde autour de moi, ou je me trouvais en manque de contactes ou en manque de tendresse. Pendant cette période, rien de tout cela !

Liam est un garçon adorable, un jour ou il m'accompagnait à une séance photo ( je pose toujours pour la mode ou pour des pub ). Le photographe qui avait carte blanche a remarqué mon doudou.

David Badmington : ( Ep 43 ) Toi là tu veux bien te mettre torse nue !

Liam ne faisait pas de manière, il n'avait pas vraiment honte de sa silhouette à la fois fine et musclée. C'était parti Badmington prenait quelques clichés et les coordonnées de Liam. 

Un peu plus tard sur la route du retour. Liam conduisait.

Liam : Tu le connais bien Badmington ?
Moi : Oui ça fait quelques années qu'on travaille ensemble.
Liam : Les photos dans la presse …
Moi : C'est lui qui a fait pratiquement toutes les photos de moi qui ont été publiées.
Liam : Et tu crois qu'il va me proposer quelque chose ?
Moi : Ça ne m'étonnerait pas.

C'était pas le premier de mes proches qui commencerait une carrière de mannequin. Au fait Bob continuait sa petite carrière de mannequina. C'était super bien payé et quelque temps plus tard on les voyait défiler ensemble. Bob qui est un garçon adorable comme vous le savez lui expliquait tout ce qu'il fallait savoir pour s'en sortir dans ce boulot. 

J'ai vraiment été heureux à cette époque. Je n'avais plus envie de retirer mon dispositif, il était vraiment devenu un partie de moi-même. Mon amant en portait un aussi et ça ne nous empêchait pas  de partager beaucoup de plaisir.

Il y avait bien sûr toujours cette frustration. Ma queue tentait toujours de se redresser, quand je touchais par exemple la peau de Liam, cette peau si douce, ces muscles si fermes. Quand je voyais ce visage souriant, ce regard si doux … Quand je touchais de mes lèvres la gorge de Liam, oh pas pour la mordre, non. Juste pour y déposer un baiser. Un baiser qui souvent était suivi par un autre baiser sur l'épaule.

Si je me serrais alors contre lui je sentais sa cage de chasteté qui tentait de se relever. Je n'étais pas le seul à être sous pression. Notre plaisir tactile se concentrait sur nos torses, et quand nos torses se touchaient, quand ils se caressaient l'un contre l'autre, ce contact nous électrisait autant l'un que l'autre. Nos mains se promenaient sur le dos de l'autre. A ce moment nos deux cœur se synchronisaient, la même vitesse, le même force et nos respirations devenaient plus fortes.

Nos ventres se serraient également, nos bras parcouraient le corps de l'autre et malgré ce petit truc en métal qui ne se laissait pas oublier, jamais … Malgré ça, on ne semblait plus faire qu'un, qu'un seul corps, celui de chacun  comme mêle à celui de l'autre. Nos cages se relevaient après s'être bien rempli sous l'effet de la pression. Par moment il y avait comme un léger désespoir qui se manifestait mais ce n'était que quand j'étais seul.

Quand Liam revenait dans mes bras, c'était le bonheur, le plaisir, le désir, un peu de frustration que la douceur de son corps ne parvenait pas à me faire totalement oublier, à moins bien sûr que ce ne soit ce qui justement entretenait cette frustration. 

Frustration qui ne nuisait pas au plaisir que nous partagions, et aux orgasmes que nous savions nous donner et peut être même, frustration qui sublimait nos plaisirs partagés. 

Combien de fois j'ai frémi de désir en voyant Liam, ces moment ou je ne pouvais que le regarder, que le caresser de mon regard, il le savait, il le sentait, il ressentait chacune de ces caresses rêvée, son regard me le disait, son sourire me répondait.

Ce soir en particulier ou il fallait se tenir. L'ambiance était décontractée, c'est une obligation chez moi ! Mais ce soir là en particulier, nous n'avions invité aucun élève, sauf Liam et Bob mais Bob était chez lui et Liam un peu aussi … Il y avait le maire de la ville chez moi ce soir, le directeur de la banque, Greg, les deux directeurs de l'école ( un des deux aurait du passer la main mais en attendant ils étaient toujours deux ), c'était une soirée … un peu politique si j'ose dire … quelques notables de la ville principalement. Il faut savoir soigner les relations, et j'en avais beaucoup. 

En tout cas ce soir là, ce n'était pas le soir ou je pourrais toucher la main de mon amant, lui caresser le bras. Il avait les bras nus, il portait juste un T shirt lycra, on pouvait voir chacun de ses muscles. Il n'avait vraiment pas à avoir honte de les montrer, dans les revues pour lesquelles il posait il ne les cachait pas, bien au contraire. Il était beau, tellement beau.

Et ce soir là, même si on dormait souvent ensemble, j'avais envie de lui sauter dessus et de lui arracher ses vêtements. Je m'étais déjà trouvé dans ce genre de situation mais à l'époque j'étais en manque, là, je l'avais pour moi tout seul trois ou quatre nuit par semaines, mais c'est vrai que les autres nuits j'étais en manque de lui.

Il l'avait deviné, de la même manière que je devinais que ses désirs étaient les même que les miens. Mes yeux caressaient ses avant bras, ses bras, ses épaules avant d'embrasser chacun de ses muscles que le lycra dessinait si bien. 

Je voyais aussi que ses yeux suivait le même chemin sur mon corps, et je sentais ses caresses autant que les baisers que ses yeux déposaient sur moi.

Mon souffle devenait presque plus fort, ça me donnait un air plus sérieux devant tout ce monde. 

Antoine avait le regard rieur, ses yeux passaient de moi à Liam, il me connaît bien Antoine et son sourire me laissait deviner qu'il entendait mes pensées. 

Bob, charmant comme toujours, avait choisi de s'installer à côté de Liam pour qu'il ne se sente pas trop mal à l'aise. Il n'y avait comme je vous le disais que des personnages importants de la ville ce soir là, et le service était assuré par deux majordomes.

Luc était très en forme et parlait boulot, il passait du reportage sur la construction de la nouvelle école à la construction des prochaines installations sportives ou d'un livre qu'il devait publier prochainement, enfin c'est surtout Luc qui animait la soirée, et ce soir là je prenais conscience qu'il devenait plus important que moi auprès des notables. Il m'avait volé la vedette !

Je n'en prenait pas ombrage, bien au contraire. Mais c'est vrai que je ne l'avais pas venu venir celle là ! Moi mon regard se perdait dans les yeux de Liam, je m'y noyais … Je n'ai rien compris de tout ce que mon frère à raconté ce soir là mais je l'ai soutenu sur tout, j'ai acquiescé à tout ce qu'il disait et au moment ou j'ai failli dire une grosse connerie parce que je n'avais rien écouté, Antoine est venu à mon secours, il m'a coupé la parole pour m'éviter de me retrouver hors sujet .

C'est bien de voir qu'on peut toujours compter sur ses amis ! 

Comme d'habitude tout était prévu pour que nos invités se sentent bien et comme d'habitude tout se passait bien. Luc avait réussi à convaincre je ne sais pas qui de je ne sais pas quoi et quand il me demandait ce que je pensais de son idée, je lui répondait …

Moi : Tu as toujours de bonnes idées là Luc, je suis tout à fait d'accord avec toi et je te soutiens totalement …

A voir la réaction du petit groupe concerné je n'avais pas dit de conneries, j'espérais seulement ne pas avoir pris d'engagement à mon insu. Par la suite j'ai préféré ne rien demander à mon frère et je n'ai jamais su de quoi ils parlaient ce soir là. 

La nuit avançait quand tout ce joli monde quittait la maison.

Il était tard et Liam choisissait de rentrer à son internat. Je ne sais pas si c'était la fatigue ou la présence des deux directeurs et qu'il ne voulait pas se faire remarquer mais j'aurais bien aimé qu'il reste. J'avais promené mes yeux sur son corps toute la soirée et ma queue protestait déjà dans sa cage, il me manquait . Il me manquait quand il n'était pas là. Mon cœur battait plus fort quand je le voyais. Je me sentais tellement bien quand on se touchait …

Ça veut dire quelques chose tout ça selon vous ?

C'est nouveau pour moi ce genre de sensation !

Pour une fois c'est peut être pas juste une histoire de cul cette histoire !

J'avais du mal à m'endormir cette nuit là. J'avais le visage de Liam devant les yeux, quand je fermais les yeux c'est son sourire qui apparaissait, quand je me blottissais dans mes couvertures c'est la douceur de sa peau que je ressentais contre la mienne …

Quand je le revoyais le lendemain j'avais le souffle court et le cœur affolé. Là j'étais heureux et ma cage se rappelait à ma conscience !

L'année scolaire allait se terminer, je proposais à Liam de passer les vacances avec moi. 

Moi : On pourrait partir en voyage, on a la voiture, on est deux chauffeurs …
Liam : C'est pas possible, tu te souviens de ces contrats que tu m'a fait avoir, on me demande pour un défilé, Bob aussi devrait y participer, ce sera pendant la deuxième semaine de vacances …

Nous étions à la maison et Charles arrivait avec le courrier.

Charles : Djé, c'est pour toi, l'agence de mannequin ! … Tient, il y en a aussi une pour Luc … Et encore une pour Antoine …

J'ouvrais le courrier. Et regardais Liam.

Moi : Et bien je crois que ça ne devrait pas gêner, on me propose aussi le même défilé que toi.

Finalement c'est toute l'équipe qui participait à ce défilé de mode. Je pouvais voir que Liam commençait à s'y faire, il s'en sortait comme un vrai professionnel.  

Pour moi c'était pas facile, pas le boulot non, ça je connais mais c'était Liam. Il fallait rester professionnel, je le croisais, je le frôlais, j'avais à chaque fois envie de le prendre dans les bras, surtout que c'était pour des vêtements d'été, des vêtements léger qui ne cachaient que très peu le corps. Je le voyais se changer et à la maison quand il s'habille je ne me gêne pas de lui glisser un baiser sur l'épaule ou dans le cou, là il fallait rester professionnel. 

Je bandais, rien ne se voyait mais je bandais dans ma cage, ma queue protestait, il me souriait à chaque fois qu'il me croisait, à chaque fois qu'il me frôlait. Et à chaque fois je bandais plus fort. Ma frustration était à son maximum. Je rêvais en regardant Liam quand je recevais une claque sur les fesses … '' Et bien alors tu rêve ma grosse ! ''

Non c'était pas Luc mais vous n'étiez pas loin, c'était Antoine ! Il avait remarqué que je n'étais pas comme d'habitude. C'est vrai je rêvais sur le corps de mon amant, je m'étais laissé allé alors qu'il fallait rester professionnel.

Mais bon je redevenais professionnel mais j'avais du mal, surtout quand on arrivait au vêtement de plage, les maillot de bains, les shorts étaient alors les seuls vêtements que nous portions, bien sûr devant les spectateurs on était en tenue convenable mais dans les coulisses il fallait bien nous changer. 

J'ai souvent vu mes camarades à poil, mais là je ne pouvais me retenir d'admirer les fesses de Liam, il a un beau cul vous savez et je voyais sa cage se relever, il bandait, enfin il essayait, j'en faisait de même, je ne contrôlais plus rien de ce côté, heureusement, même en maillot de bain rien de transparaissait. Il faut savoir rester professionnel et là le dispositif, ça aide !

Finalement je vous rassure, je suis resté très professionnel. Personne n'a rien remarqué, sauf peut être … Juste après le défilé, on avait salué, on s'était rhabillé, on avait participé à la petite sauterie qui suivait … la dégustation champagne et petit gâteaux … On allait repartir quand mon frère me rattrapait.

Luc : Ça va Jérémy ? Je t'ai trouvé bizarre aujourd'hui ! Comment dire ? Distrait !
Moi : Oh oui, ça va très bien je te rassure, tout va bien !
Luc : Alors c'est que tu es amoureux !

Luc venait de lâcher une bombe, je le regardais l'air hébété, complètement tétanisé mais lui n'y portait aucune attention il continuait son chemin vers sa voiture, tranquille … C'est tout Luc ça !

On retrouvait les voitures, Liam prenait le volant, sur la route je le regardais et je repensais aux paroles de mon frère. Finalement il avait peut être raison ... 


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

PHILIPPE EP 25 : RETOUR SUR TERRE

PHILIPPE
EP 25 : RETOUR SUR TERRE


Après ce vol mémorable, les jeunes se retrouvaient tous au restaurant, l'heure du repas était passé, le vol avait duré un peu plus de six heures et ils ne manquaient pas d'appétit. 

A la télévision, on pouvait voir une émissions diffusée depuis la Chine. Mr Brosso père ( Mon grand père ) apparaissait à l'écran, il venait de signer avec le numéro Un Chinois un contrat pour la production de fusées et de satellites ( un truc compliqué ). On était dans un centre astronautique et partenaire, il était donc logique que ce film d'actualité soit diffusée ici. 

L'événement s'était passé quelques heures plus tôt en Chine … 

– Bien ! Disait Victor. J'ai l'impression qu'il ne sera pas de retour avant notre départ.
– Bah … On nous as dit qu'on aurait droit à un avion privé … 

Il y avait toute l'équipe des astronautes en herbe dans la sale à manger … On entendait une vois !

…  C'est des conneries, c'est pas vrai vous ne le connaissez pas !
… Ouai ils racontent n'importe quoi, rencontrer Mr Jérémy Brosso, c'est aussi facile que de prendre le thé avec la reine d'Angleterre sans rendez-vous !

Plusieurs commentaires de ce genre fusaient, de toutes évidences on ne les croyait pas ! Mais brusquement plus un bruit, personne ne disait plus rien … Mr Brosso en personne (mon papy) venait d'entrer dans la salle à manger ! ( il est comme ça mon papy quand il arrive quelque part, il ne passe pas inaperçu ) 

Il se dirigeait vers mes deux amis … 

– Alors les jeunes, la surprise vous à plus ?
… C'était génial !
… Merci !
… Vraiment super ! Merci !
… On ne s'y attendait pas !
… Vraiment Merci ...
Etc
… 

– Mais on vient de vous voir à la télé, il y a deux heures vous étiez à Pékin !
– Je voulais absolument entrer avec vous pour voir comment allait mon petit fils. J'ai pris une navette spéciale, une heure de vol depuis Pekin … Moi aussi je suis allé dans l'espace !

Ouai ! Et bien mon papy il pense à moi, lui … C'est pas comme certains de mes amis !

– Une navette spéciale ? Demandait Victor.
– Une navette spatiale ? Rajoutait Théo.
– On peut aussi le dire comme ça !

Mon grand père saluait tous les jeunes qui étaient dans la salle à manger .

– Alors vous avez tous fait ce petit voyage dans les étoiles ? J'espère que vous avez apprécié. 

Puis il discutait un moment avec eux. Le groupe de jeunes astronautes en herbe prenait désormais mes amis très au sérieux. Victor commençait à se sentir tout à fait à son aise dans ce milieu. Il se sentait très motivé pour la suite de ses études. Mon père ne lui avait-il pas dit qu'il pourrait devenir ce qu'il voudrait, qu'il n'y avait pas de limites sinon celles de son propre travail.

Le repas se terminait dans une certaine effervescence due à la présence de mon grand père. Il invitait mes deux amis à aller se préparer pour le retour, ils allaient se changer et revenaient avec le costume qu'ils avaient quand ils sont arrivés. On leur remettait un disque numérique, il contenait une reportage avec photo et vidéo de leur voyage ainsi qu'une médaille avec leur nom qui témoignait de quatre révolutions autour de la terre. Ils pouvaient aussi garder les tenues de sport et uniformes qu'ils avaient porté pendant le vol parabolique. Un beau souvenir qu'ils pourraient avoir le plaisir de montrer à tous leurs proches. 

Ils étaient dans une base aéronautique, militaire certes mais équipée d'un terrain d'aviation et, nul ne sait si c'était à cause du contrat signé avec les Chinois ou autre chose mais l'avion de mon grand père était autorisé à décoller de là.  Ils ne reprenaient donc pas la limousine longue comme un camion. Deux petites heures plus tard il se posaient sur la piste de Magic-Island. Ils étaient restés étrangement silencieux pendant tout le retour, ce qui ne dérangeait pas mon grand père qui commençait à fatiguer de tous ces voyages, lui aussi avait largement fait le tour de la terre depuis la veille. 

Je sursautais en les entendant arriver, il faut dire qu'ils faisaient beaucoup de bruit, ils me racontaient tout en détails. Je commençais juste à me remettre de mes émotions et tout ce bruit me donnait brusquement envie de dormir. Ils étaient épuisants, tant ils étaient enthousiastes.

– Beuh ! C'est pô juste ! Moi aussi je voulais y aller dans le ciel !
– Hier tu n'arrivais même pas à tenir debout et tu voulais faire du vol parabolique ! Me répondait Victor.
– Ton grand père avait raison, tu n'aurais pas survécu ! Rajoutait Théo. 

On passait à table.

– Vous n'être pas trop dépaysés par le décalage horaire ? Demandait mon grand père.

Victor et Théo faisaient non de la tête.

– Je parlais aussi de toi Philippe !
– Pfff ! J'ai pas bougé moi !

Mon grand père rigolait de ma réaction. 

– Moi je dois dire que ça commence à me fatiguer cette histoire. C'est le second souper de la journée et le prochain repas sera aussi un souper dans quelques heure en Australie. Heureusement à Pékin j'ai soupé léger ! Je repars dans la nuit !
… 
– Tu seras sage mon petit Philippe ?
– Meuhhh !
– Mouais ! Tu sais Philippe ton propre argument '' Au moins là je ne pourrai pas faire de conneries comme j'en ai l'habitude … '', je l'ai utilisé avec ton père pour le convaincre de te laisser venir ici …
– Ouai ! Je sais mais c'est pas ma faute ! Il y avait une bouteille d'eau et …
– Tu avales de l'eau de vie sans te rendre compte que c'est pas de l'eau toi ? Alors ça, et bien ça ne m'est jamais arrivé !

Mes deux camarades rigolaient, ils étaient resté en costume cravate, juste pour le plaisir de porter leur médaille tellement ils étaient contents de leur voyage. Moi j'étais  en short, torse nue, les yeux violets comme si je m'étais fait boxé la figure, le nez derrière une sorte d'atèle, un pansement qui était tout sauf discret, un peu comme si j'étais tombé sur le nez … A part ça, à ce moment, ça allait bien.

Les vacances se prolongeait comme elles avaient commencées sauf pour moi. Le soir j'étais consigné, pas le droit de sortir et comme dans la journée je préférais ne pas sortir à cause de la tête que  j'avais, là, enfin je ne pouvais pas faire de conneries comme j'en avais l'habitude. Les ordres me concernant  venaient de mon grand père et les employés n'avaient pas l'habitude de discuter les ordres qui venaient du grand chef, même l'ascenseur refusait de me conduire aux portes de la maison passée l'heure du souper.

Victor et Théo continuaient à sortir et à draguer comme ils le faisaient depuis le début de leur séjour. Il n'était pas rare qu'ils ramènent un partenaire, sur ce point on ne leur faisait aucune remontrances. Ils se retrouvaient tous, le matins quand Dave venait les réveiller. Moi je faisais la gueule !

Ils partaient tous faire leur entraînement matinal quotidien, moi je m'en dispensais. Je me faisais plaindre, Alex avait renoncé à m'en demander plus. Quelques jours passaient ainsi, mon grand père était reparti. Je m'ennuyais …

Un soir je laissais mes camarades se préparer, je ne disais rien, je restais dans mon coin en les regardant et en faisant la gueule. Ils avaient à peine tourné le dos que je m'habillais également. Sur la pointe des pieds je me faufilais jusqu'au portail, je grimpais par dessus, ça ne me prenait que quelques secondes. Je traversais ensuite le petit parc privé puis je faisais le mur. 

Vous savez je fais beaucoup de sport et il ne me fallait pas longtemps pour descendre les quelques kilomètres qui me séparait du village. Je pense même que j'y arrivais avant mes camarades. Dans la partie nord de l'île il y avait des groupes de jeunes qui discutaient ici et là. Je me joignais à l'un d'entre eux, j'en choisissait un ou il n'y avait que des garçons et ou ils avaient des sac à dos, ils étaient trois. 

J'avais en effet remarqué qu'un d'entre eux venait de sortir une bouteille de bière de son sac à dos. Rapidement je sympathisais. Vous savez je ne suis pas vraiment associable ! … Rapidement on m'offrait une bière … Puis une autre … Ils étaient rigolos, ils me demandaient ce qui m'était arrivé.

– Oh c'est rien, juste avant de venir sur cette île, à la gare j'ai croisé trois mec qui s'en prenaient à une fille. Je leur ai expliqué que ça ne se faisait pas ça !
– Et ils ne t'ont pas loupé !
– Oui mais eux, ils ne sont pas encore sortis de l'hôpital !

Les gars étaient impressionnés. Vous ne vous imaginez pas que j'allais leur dire '' J'étais bourré, je suis tombé de mon lit … Sur le nez ! ''. Là ils se seraient moqué de moi, c'est sûr !

Un peu plus tard, ils décidaient de prendre un bain. A cette heure de la nuit le bain c'est toujours à poil, je commençais à bien sentir les effets de la bière aussi j'oubliais mon dispositif de chasteté, je me disais seulement qu'il ne faudrait pas que je mette la tête sous l'eau. Aucun d'eux n'avais de dispositif de chasteté. Sur cette île les touristes ne sont pas obligé d'en porter. Quand ils l'ont vu il ont éclaté de rire. 

On a rigolé un moment, on s'arrosait, je nageais, ils plongeaient depuis un rocher puis, une bouteille dans chaque main on se retrouvait derrière les rocher, bien à l’abri des rochers. Il fait toujours beau sur cette île, on ne prenait pas la peine de se rhabiller, nos vêtement dans un coin. On rigolait, on racontait des conneries, on picolait, une main se glissait sur mon dispositif et me caressait les couilles. 

Vous devinez que j'ai pas laisser les choses se passer comme ça, j'ai immédiatement réagi ... J'ai écarté les jambes !

La main est devenue plus entreprenante, une autre main arrivait, c'était pas la seconde main du même bonhomme. Je terminais rapidement la bouteille que j'avais dans la main droite puis celle que j'avais dans la main gauche et m'installait à mon aise les jambes bien écartées. Rapidement c'étaient quatre puis six mains qui me caressaient tout le corps. Elle s'attardaient sur mes couilles, passaient sur mes cuisses, sur mon torse. On me tendait une autre bière, je la buvais cul-sec !

Un des garçon se penchait sur moi et m'embrassait, il était mignon, il faisait attention à mon nez, il m'embrassait dans le cou. Je me retrouvais allongé sur le sol, la tête posée sur un paquet de vêtements, trois visages, trois bouches penchés sur moi. Six mains qui me caressaient tout le corps avec de plus en plus d'insistance. Régulièrement quelques doigts se glissaient entre mes fesses, et tentaient même un passage en force. Là encore je réagissais rapidement en soulevant le bassin.

J'avalais une autre bouteille de bière.

– Retourne toi … A genoux … Je ne sais plus qui m'a dit ça.

Je me mettais à quatre patte, on me lubrifiait le cul, déjà je gémissais à l'idée du plaisir qui venait, qui se présentait. Une forte pression contre mon anus, une petite douleur, délicieuse petite douleur, le membre viril était de taille normale, j'ai vu pire … 

Le garçon qui avait pris position ne perdait pas de temps. Il s'enfonçait bien à fond en quelques secondes, son ventre frappait mes fesses, il se retirait puis me labourait le cul sans se retenir. Quelques coups violents, des mouvements plus doux, plus lents. Il me tenait par les hanches, quand il se retirait il me tirait vers lui juste au moment ou il allait s'enfoncer de nouveau. Il revenait à la charge et poussait de toutes ses forces m'arrachant au passage quelques cris, quelques gémissements de plaisir.

Les mouvements devenaient plus rapides, plus violents. Un autre garçon me proposait sa queue, je la prenait dans la bouche. Il voulait appuyer mais là je réagissais immédiatement, mais je veux dire par là que je ne laissais pas faire. Je lui expliquait avec deux gestes que … Mon nez … Cassé … Attention … Bobo ! Il comprenait et n'insistait pas. 

Je reprenais.  J'avalais sa queue sur toute sa longueur. Je le masturbais, je le léchais, finalement je m'en sortais bien avec mon nez cassé.

Les coups de bassins que me donnait le premier devenaient violent, rapides et violents. Il jouissait dans mon cul, retombait sur mon dos, me donnait un baiser, se retirait et était immédiatement remplacé par celui que j'étais en train de sucer.

Lui était moins violent, il entrait sa queue tout doucement, il se retirait de la même manière. Ses mouvements de va et vient étaient lents, amples et doux. J'étais déjà bien stimulé et rapidement un vrai plaisir naissait dans mon cul puis plus profond dans mon anus et envahissait tout mon ventre. Je respirait fort, je soufflait, je gémissais … C'était le pied.

On me tendait une bière, le gars ne bougeait plus, j'avalais la bière en une gorgée, il reprenait ses mouvements, je hurlais de plaisir. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, il faisait durer le plaisir, doucement je sentais sa queue me pénétrer, m'envahir. Doucement je la sentais ressortir, pas complètement mais presque, puis il revenait. 

De temps en temps on avalait une bière. La tête me tournait mais je me sentais bien. Ce massage sur mon muscle anal était un régal, par moment le plaisir montait plus fort, par moment seulement. Mais c'était bon, vraiment bon … Son étreinte devenait plus serrée, plus câline, ses baisers plus pressants, sa respiration plus forte. Juste quelques convulsions au moment ou il jutais en moi, un baiser, il se retirait, une bière, le troisième garçon prenait la place qu'avait occupée les deux premiers. 

Sa queue était plus large, pas plus longue mais plus large et il me l'enfonçait avec force. Je couinais au moment ou son ventre frappait contre mes fesses. Il se retirait avec un mouvement lent et régulier et revenait d'un mouvement rapide et violent. Il frappait mes fesses avec force, ça claquait, je couinais. 

Il faisait durer le plaisir lui aussi et ne faisait une pause que pour enfiler une bière, enfin pour me laisser avaler la bière. Ça semblait les amuser de me voir boire comme ça. Il Me serrait fort contre lui, son bassin bougeait avec force, violence et vitesse.

Par moment les mouvements devenaient vraiment très rapides et très violents. Sa queue ne ressortait alors presque pas mais le mouvement provoquait sur ma prostate une véritable panique. Je jouissais par la prostate, à ce moment j'ai juté, j'ai éjaculé sans éprouver de plaisir au niveau de ma queue mais au niveau de ma prostate c'était l'extase …

Ils me proposaient une petite bière, ils avaient tous les trois pris leur plaisir, moi aussi … On se rhabillait, on se saluait et c'est en titubant que je prenais la direction de la plage …

Pendant ce temps là, Alex était au téléphone. 

– Passez moi la sécurité tout de suite, c'est urgent !

On lui répondait sur un ton sec : C'est ça on n'a que ça à faire et c'est de la part de qui ?

– La maison Brosso ! Répondait alors Alex.
– Oh ! Je vous demande de bien vouloir m'excuser je vous passe tout de suite le chef de la sécurité ! Le ton avait changé.

Alex expliquait la situation, je venais de faire le mur !

Moins de cinq minutes après mon départ la sécurité de l'île me localisait au niveau de la piste de ski, j'entrais ensuite dans la zone boisée, et là on me perdait. J'avais ensuite traversé le quartier des employés, c'est beaucoup moins surveillé, j'étais ensuite passé sur les rochers, et par moment sous les quais. Les caméras ne me repéraient plus nulle part jusqu'au moment ou je traversais le village pour aller sur la plage. Ça m'avait semblé plus court pour rentrer.

Je me retrouvais rapidement sur la plage ou on me perdait de nouveau, là c'est la maison qui surveillait et attendait mon retour … J'étais allongé sur le sable les pieds dans l'eau, les chaussures donc, pleine d'eau quand je voyais un visage se pencher sur moi …

– Qui t'es toi ? Je te connais ? Demandais-je à cette apparition.
– Et bien il est encore torché.

La personne se penchait sur moi, mais je voyais son visage à l'envers, et en plus dans le noir je n'avais pas la moindre idée de qui c'était. Mais il me semblait …

– Qui t'es toi ? J'ai l'impression que je te connais moi ! Insistais-je.
– Oui mon petit Philippe, je crois qu'on se connaît !

La je hurlais. '' Luc mon tonton Luc c'est toi ''. Je me relevais, en titubant et me retournais vers  lui … C'était mon tonton Bob, Luc lui, était à côté, il était plié de rire. Nous prenions la direction de la maison, ils me soutenaient pour avancer, j'étais complètement saoul !


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LES AVENTURES DE DJE Ep 87 : LIAM

LES AVENTURES DE DJE
Ep 87 : LIAM



Quand je me réveillais c'était l'enfer, j'avais contre moi le corps très doux de Liam, tout contre moi. Je sentais sa cage contre ma cuisse, il avait l'air détendu alors que moi … Dans sa cage ma queue protestait. J'aurais voulu vous y voir, je n'avais pas tiré mon coup depuis … Oui bon là d'accord, on ne se pose plus la question … Mais je ne m'étais rien pris dans le cul depuis … ? Bein oui là vous comprenez mieux de quoi je veux parler.

Et dans mes bras il y avait un corps d'une incroyable douceur, gabarit jeune femme mais c'était un mec, et musclé comme je les aime. Sans le grand confort de mon dispositif ce serait insupportable. Et déjà c'était pas loin. 

Je ne sais pas comment il fait Stéphane, le petit déjeuner était prêt mais lui était déjà reparti. Comme il ne savait pas combien on serait, avec les trois autres occupants de l'appartement qui pouvaient ne pas dormir ici en ce moment, il avait prévu large. Une grosse brioche avec de la confiture. On n'était que deux et on s'est gavé !

Luc téléphonait.

Luc : Tu ne m'oublies pas j'espère ?
Moi : Mais non je ne pense qu'à toi !
Luc : Ça c'est pas la réponse que j'attendais.

Ils avaient traîné tard la veille, surtout Luc qui avait finalement dormi à son bureau. Ils ont un petit coin réservé au cas ou … Le reste de mes colocataires avaient dormi à l'internat. C'était plus simple, comme ça ils restaient en équipe.

Liam avait bien sûr son permis de conduire aussi je lui confiais ma voiture. Il conduisait bien et ça me faisait plaisir de me faire conduire. Arrivé aux studio, je ne voulais pas le laisser tomber et lui proposais donc de me suivre.

Il avait l'air de se faire chier grave le pauvre, j'étais bien embêté, je ne savais pas quoi faire … C'est alors que Bob est arrivé, ils se connaissaient ces deux là, finalement Bob s'est occupé de mon nouveau doudou, il l'a emmené visiter les installations. 

Le midi Luc nous invitait à la cantine de la télé. Alors ça c'est bien lui, soit il se contente d'une cantine soit il lui faut un restaurant d'au moins trois étoiles. C'est quelque chose quand même ! Mais bon, c'est vrai qu'on ne mange pas trop mal à la télé.

Luc : ( à mon oreille ) Alors c'est ton nouveau doudou m'a dit Bob.
Moi : Ouép !
Luc : Tu m'étonne un peu là !
Moi : Ouép !
Luc : Et ça se passe bien entre vous !
Moi : Ouép ! … On va se marier !
Luc : G … N … 
Moi : Ouép !

Il faisait une tête, je ne vous dis pas. Je pouffais de rire.

Moi : Mais non, je déconne !
Luc : Dommage, on aurait fait ça à quatre !

Là c'est moi qui devait faire une drôle de tête et qui ne savait pas quoi dire. Luc pouffait de rire.

Luc : Mais non, je déconne !

Bob et Liam nous regardaient, ils n'avaient rien entendu et ne comprenaient pas pourquoi on rigolait.

Liam : Ils semblent très complices.
Bob : Ils sont frères.
Liam : Oui ça je le savais. Mais c'est grâce aux relations de Luc que Djé est entré à la fac ? 
Bob : Là moi … pas compris !
Liam : Si j'ai bien suivi, Luc est venu travailler ici et son jeune frère est venu étudier dans la même ville pour rester en famille …
Bob : Nan ! Là c'est la première fois qu'on nous la fait celle là !

Luc et moi nous regardions.

Moi : Mais qu'est-ce qu'il raconte ?
Luc : Le grand frère c'est Jérémy. Pas moi !

Il est vrai que mon frère parait plus vieux à la télé mais on a tout de même plus de quatre ans d'écart. De là à croire que je suis le plus jeune. Il faut dire aussi que la carrière de mon frère a été particulièrement rapide. Ça fait un an qu'il a commencé la télé, juste un an.

Bref, on expliquait tout ça à Liam qui n'avait pas tout surpris, il avait loupé un épisode le pauvre, il savait bien que j'étais en quatrième année mais il avait pensé que mon frère était là avant et qu'il ne commençait à devenir célèbre que maintenant.

Liam : Alors Luc est plus jeune que moi ? J'y aurais pas cru !
Bob : Luc vient juste d'avoir dix neuf ans. 
Liam : J'ai passé les vingt ans. Je croyais qu'il était plus vieux que moi !

Luc semblait amusé qu'on le trouve plus mature.

Pendant toute la compétition Liam a dormi avec moi. Ça m'a fait un bien fou. Depuis trop longtemps je dormais seul, depuis trop longtemps je n'avais pas caressé une peau aussi douce, depuis trop longtemps je m'étais privé de ce contacte. Pendant la compétition on était un peu comme en vacances.

L'internat était transformé en résidence pour sportif, les nouvelles installations n'étaient pas terminées mais on avait trouvé de la place sans problème et Liam se faisait une joie de laisser la sienne pour profiter de celle que je lui faisais dans mes bras. 

On prenait tous nos repas ensemble, on s'endormait ensemble, mais le meilleur moment c'est quand on se réveillait … Ensemble !

Si on se réveillait assez tôt on en profitait pour faire un câlin. Bein je suis câlin également, vous en doutiez sans doutes ?

Ce matin on se réveillait tôt pourtant on avait décidé de nous lever tard. Il se glissait sur moi, contre moi. J'étais allongé sur le dos, il s'allongeait sur le ventre, sur moi. Il était léger, quand je pense qu'il était capable de soulever des altères que j'avais du mal à déplacer … 

Non je déconne, mais c'est vrai qu'il était très fort aux altère ou au lancer du marteau, pourtant il était gros comme rien. Il m'avait impressionné quelques jours plus tôt en me montrant ce qu'il pouvait faire, avec son poids plume il ne nous apporterait pas de médaille mais c'était pas le plus important. 

Il me caressait les bras, m'embrassait dans le cou, sur les épaules, sur la bouche. Il se laissait aller à un moment de tendresse, je lui rendais ses baisers autant que ses caresses, on se tenait fermement. On roulait l'un sur l'autre, je n'avais pas peur de l'écraser, je sentais ses muscles, il pouvait supporter mon poids sans effort et quand  c'est lui qui était sur moi, j'étais toujours surpris de sentir toute cette force dans ce poids plume.

Il attrapait au passage le harnais et un beau gode. J'étais sur le dos, il me chevauchais, il se relevait les genoux posés de chaque côté de mon bassin. Avec un regard un peu coquin il se fixait le harnais, l'ajustais bien puis y fixait le gode. 

Je regardais dans les yeux, je lui caressais les cuisses en insistant bien sur l'intérieur de ses cuisses, un peu sur ses couilles aussi. Il me souriait.

Liam : Retourne toi !

Je m'exécutais, je m'allongeais sur le ventre, j'écartais les jambes. Il n'avait pas pris un gode trop gros, pas le tout petit non plus là il ne faut pas exagérer, un beau petit truc de dix huit centimètres.

Ah , il y en a qui trouvent ça gros parmi mes lecteurs … Bande de petites natures !

Bon je reprends, j'en était à … Ah oui, un petit gode donc … 

Il savait s'y prendre le petit Liam, et commençait par me caresser sur tout le dos, il me couvrait de baisers également, je poussais de petits gémissements pour lui faire savoir que j'appréciais.

Rapidement pendant que ses baisers devenaient plus intenses dans mon cou il me glissait une main entre les fesses et me lubrifiait abondamment. Il s'allongeait alors sur moi, je sentais la douceur de sa peau, la chaleurs de ses caresses, la tendresses de ses baisers et la force de ce truc qui appuyait contre mon anus, qui poussait. Je me détendais et le laissais passer, le gode entrait alors  doucement, je ne le laissait pas forcer je le laissais passer.

Je me sentais alors envahi avec force et douceur, mon muscle anal était massé avec douceur et me procurait aussitôt un immense plaisir. Je gémissais de plus en plus fort, son ventre s'écrasait sur mes fesses, il appuyait de tout son poids, de tout son poids plume.

Je relevais la tête, poussait une longue plainte de plaisir, je retournais la tête, il a penché la sienne vers moi et m'a embrassé longuement, tendrement, avec passion. Il continuait à faire des mouvements de bassin, d'avent en arrière, sans ressortir pour autant gode de mon cul. Il me massait la prostate autant que le muscle de mon cul. C'était bon, tellement bon …

A cet instant j'ai joui, j'ai éjaculé aussi, il a senti que je frémissais et il a accéléré le mouvement. Je suis alors retombé, le visage entre deux oreillers en râlant de plaisir. 

Il continuait ses mouvements, le gode entrait et ressortait doucement, je ne frémissais plus je tremblais. Je tremblais de plus en plus. Mes mouvements devenaient incontrôlables, c'était bon. Je jouissais, je jouissait sans fin, depuis mon anus en remontant sur tout mon dos que la douceur de sa peau caressait avec fermeté, en continuant sur mes épaules, mon torse, mon ventre et l'intérieur de ma bitte, je jouissais et j'avais l'impression d'une douce éjaculation qui n'en finissait plus.

Liam était peut être jeune mais il savait ce qu'il faisait. Il restait concentré sur mes moindres réactions, sur le moindre de mes gémissements, sur chaque tremblement qui trahissait le plaisir qui m'envahissait.

J'étais pris de convulsions, de violent et rapides mouvements de mon bassin. Suivait un coup de rein de sa part. Je râlais.

Une tentative de fuite, il me retenait. Il jugeais sans doute que c'était trop tôt pour mettre fin à cette étreinte. Je sentais sa force. Il était bien plus frêle que moi mais il était certainement aussi fort que moi et même peut être plus. 

Il me retenait de toutes ses forces alors que j'étais pris d'un mouvement que je ne contrôlait plus, toujours ce plaisir intense qui continuait à envahir mon corps, j'éjaculais de nouveau. Je gueulais de plaisir, il ne lâchait toujours pas mais il faisait une pause, il ne bougeait plus, je me calmais, je ne bougeais plus non.

Je retrouvais mon calme, mon cul me procurait toujours une sensation agréable, il ne s'était pas retiré. La chaleur de sa peau devenait brûlante. 

Nous ne bougions plus depuis des heures, des minutes seulement en fait, quand il reprenait ses caresses, son corps glissait contre le mien et le gode recommençait ses mouvements, le gode me massait de nouveau la prostate et m'arrachait un cri de plaisir. Je tremblais de nouveau, mon souffle devenait totalement incontrôlable, j'étais de nouveau pris de convulsion, je jouissais pour la troisième fois, et j'éjaculais encore.

Liam jugeais que j'avais ma dose et se retirait, je restais là amorphe, heureux, je me sentais bien tellement bien. Liam se penchais une dernière fois vers moi et déposait un baiser sur mon omoplate. Il se relevait ensuite et se débarrassait de son équipement .

Il s'allongeait à côté de moi, me regardait et c'est son sourire que je découvrais quand je tournais la tête dans sa direction. Je lui souriais à mon tour. On ne bougeait plus.

La porte de ma chambre s'ouvrait alors avec beaucoup de bruit.

Luc : Debout la marmotte ( en hurlant ).  On se lève !

Il faisait une pause rapide …

Luc : Laissez moi deviner … Je dérange ?

Il est perspicace quand il veut mon petit frère ! J'étais pris d'une crise de fou-rire, Liam également.

Luc : Bon Jérémy, tu n'as pas oublié notre directe à la télé ?

Il ressortait.

Liam : Il est toujours comme ça ?
Moi : Ça faisait longtemps, mais il a fait pire !
Liam : Pourquoi il t'a appelé Jérémy ?
Moi : Parce que c'est mon nom.
Liam : Et Djé ?
Moi : Mon surnom !
Liam : Ah ! Il va falloir se lever ?
Moi : Bein oui !

On traînait encore un peu puis finalement … Il fallait bien se lever.

Sous la douche, je me disais que finalement, ce serait un bonne idée, avec Liam, si je faisais durer cette relation. Je me disais qu'à la rentrée prochaine si on est toujours ensemble ce serait une bonne idée que d'avoir un nouveau colocataire, il ne serait pas le premier externe …

Mais pour le moment on prenait notre … dîner ? … Bein mince alors, on avait sauté le petit déjeuner ! 

Au studio, Luc faisait sa star comme d'habitude, il annonçait les résultats des compétitions, et me nommais volontaire pour la distribution des médailles. J'étais pris de cours mais j'étais aussi pris au piège, on était en directe à la télé. 

La cérémonie se voulait rapide et sans trop de protocole, la compétition prenait fin et les participants avaient surtout envie de faire la fête. Luc faisait un dernier petit discours, tout petit discours, il sait faire court quand il faut. 

La compétition était officiellement close. 

On s'attendait à ce que j'apporte quelques médailles et c'est vrai qu'on faisait un peu moins bien que l'année précédente mais on se taillait toutefois la part du lion. Trois médailles sur dix alors qu'on ne représentait que un participant sur six … Nos concurrents devenaient de plus en plus forts.

Pas mal ! 

On reprenait notre vie studieuse, Liam participait désormais à toutes les soirées que nous organisions. Il passait aussi ses week-end avec moi. On devenait très proche, inséparable.


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

21 Janvier 2020




PHILIPPE EP 24 : DANS LES ETOILES

PHILIPPE
EP 24 : DANS LES ETOILES


La soirée avançait tout doucement. Alex m'avait préparé un repas léger. Je me sentais toujours barbouillé au niveau du ventre, il valait mieux que je me lève avec douceur sinon … vertiges. J'étais déjà tombé sur le nez je n'avais pas envie de recommencer. Mais je commençais à me remettre de mes égarements.

Alex, avec une patience infinie était toujours au petits soins avec moi. Il m'avais préparé un potage léger. Il s'installait devant moi, j'étais allongé sur le transat.

– Je m'ennuie! Gémissais-je.
– On ouvre la bouche ! Me répondait Alex.

J'ouvrais la bouche, il y enfournait la cuillèrée de potage. 

– Maintenant tu refermes la bouche et tu avales !
– Et tu as l'intention de me faire manger comme ça …
– On ouvre la bouche !

Il recommençait … La réponse était  oui !

Après le repas, je recommençais à me plaindre.

– Je m'ennuie !
– Bon maintenant tu vas te coucher et dormir !
– Meuhhh ! Il y a encore du soleil!
– C'est vrai que tu n'as pas du le voir hier le soleil !
– Tu te moques, je veux un câlin !

Alex m'emmenait à mon lit, il l'avait changé, c'était un lit de malade. Ce genre de lit avec une barrière un peu comme dans les lits d'enfants, un garde fou pour éviter que je ne tombe de nouveau. Là je me suis demandé si c'était par prudence uniquement ou peut être par taquinerie … Mais bon, ça restait un grand lit de deux places, c'était pas un lit de bébé, j'ai rien dit.

– Je veux pas dormir, je veux un câlin.
– Tu me fais un caprice là !

Il s'allongeait à côté de moi, il avait retiré mes vêtements, les siens aussi remarquez. Ça devenait intéressant cette affaire ! 

Il s'allongeait juste à côté de moi, glissait son bras sous ma tête et me donnait un baiser dans le cou, là, juste au dessus de l'épaule. Ça chatouillait un peu et il me faisait frémir. 

Je sentais la douceur de sa peau contre la mienne. Il repliait son bras et me caressait le torse. Il a un léger duvet très doux sur l'avant bras et je me laissais aller à lui caresser le bras.

Dans sa cage, ma queue protestait de plus en plus, c'en était presque douloureux. Mais qu'est ce que je pouvais faire ? Subir et attendre de rentrer à la maison pour pouvoir retirer le dispositif. 

Alex me donnait des baiser sur l'épaule, avec son autre main il me caressait le corps, depuis les tétons jusqu'aux fesses, de temps en temps il glissait sa main entre mes cuisses, toujours avec une grande douceur, uniquement avec une grande douceur.

Il me tenait contre lui, il bandait et je sentais sa queue qui glissait entre mes cuisses, entre mes fesses. Il n'essayais pas de me pénétrer, enfin pas encore.  Il voulait juste me détendre, c'est ce que je faisais, je me laissais aller. J'étais en confiance, je savais qu'il n'aurait pas un geste violent ou brusque.

Je n'avais presque plus mal au cul, et si ce n'était pas Alex qui était là derrière moi, contre moi, je pense que j'aurais eu de l’appréhension. Mais je savais qu'avec lui je n'avais rien à craindre. 

Il se relevait et me couvrait de baisers sur tout le corps, partout ou il m'avait caressé avec tant de douceur il me donnait un baiser avec toujours autant de douceur.  A ce moment j'étais complètement détendu, je commençais enfin à me sentir vraiment mieux. Je m'allongeait sur le dos, il déposait un baiser sur mes lèvres, je lui souriais en fermant les yeux.

J'avais à moitié dormi pendant toute la journée, mais j'avais eu des émotion la veille, et le matin aussi j'en avais encore mal au nez. En fait j'étais épuisé, je commençais à me sentir mieux mais j'étais vraiment épuisé. J'étais en confiance, parfaitement bien détendu. Je me laissais aller et je m'endormais dans les bras d'Alex. 

Quand je me suis réveillé au milieu de la nuit, il était là endormi juste à côté de mon lit. Il avait déplié un fauteuil, il était là prêt à intervenir si je poussais un cri, faisais un bruit ou si j'avais besoin de quelque chose …


Moins d'une demie heure plus tard mes camarades étaient en tenue de vol. Une combinaison dans le genre de celle que portent les pilotes. Ils avaient l'air contents, les photos en témoignent. 

Ils avaient rejoint un groupe qui participait aussi à ce vol. Mais eux avaient dû réserver longtemps à l'avance. Pendant une heure ils se sont tous éclaté. L'avion a fait une série de vol paraboliques, à chaque fois vingt secondes d'apesanteur. 

A leur retour au sol, ils avaient sympathisé avec les autres participants  qui avait à peut près leur âge. Ils étaient aux anges et ne se posaient plus de questions. Ils revenaient dans les vestiaires et enfilaient une tenue de détende, genre tenue de sport, et se retrouvaient tous au réfectoire. Pour eux l'heure du repas était déjà passée depuis plus de deux heures et ils dévoraient comme des goinfres.

Ils avaient rejoint le groupe d'astronaute en herbe et avaient complètement oublié mon Grand Père avec qui ils étaient venus. L'officier qui les encadrait depuis le début arrivait …

L'officier : Ça c'est bien passé les jeunes ?

Ils lui répondaient par un large sourire. Ils ne cachaient pas leur joie …

– Bien Monsieur Brosso s'est absenté, il m'a chargé de m'occuper de vous. Le programme maintenant, juste après le repas c'est le décollage de la fusée qui va lancer une sonde vers Mars. Vous serez aux premières loges. Ensuite, repos à l'hôtel et demain, une petite promenade, fin du programme et retour à la maison … Expliquait l'officier
– Et il est ou Mr Brosso ? Demandait Théo.
– En Chine ! Mais ne vous inquiétez pas s'il n'est pas revenu demain, nous avons un avions qui sera mis à votre disposition.

Après le lancement de la fusée, mes deux camarades aventuriers avaient des étoiles dans les yeux et des étoiles dans la tête. Ils étaient toujours avec leurs camarades de vol. Tous ces jeunes étaient logés dans des chambres qui se touchaient, deux lits par chambres.

Deux étudiants en école d'ingénieurs retrouvaient mes camarades dans leur chambre. Ils avaient sympathisé un peu plus tôt dans la journée.

– Alors vous êtes tous les deux à la PK Scool ? Demandait John un des garçons qu'ils avaient rencontré.
– Ouai ! Répondait Théo.
– C'est bien la PK Scool ! Après vous entrez directement à la PK Université et ensuite ce sont les employeurs qui vous recrutent … Faisait remarquer Sam un autre garçon rencontré sur place.
– Ça n'a pas que des avantages !
– Vraiment ? S'inquiétait Sam. 


Ils discutaient un long moment et …


Vous n'avez jamais remarqué ? Mais quand vous vous retrouvez à plusieurs comme ça, à discuter de tout et de rien, quand on parle de la PK il y en a toujours un qui vous demande si vous portez le fameux dispositif, à moins qu'il ne vous demande directement de le lui montrer !


Ça ne vous est jamais arrivé ? 
Et bien une fois de plus c'est comme ça que ça se terminait.
( note de l'auteur )


Victor baissait son pantalon, Théo rigolait, les deux autres baissaient leur pantalon, eux ils n'en portaient pas bien sûr, Théo rigolait …

Et quand Victor lançait à Théo : '' Et bien on n’attend plus toi ! Tu ne montre pas à nos camarades ton dispositif … ? ''.

Théo baissait son pantalon, leurs deux nouveaux amis rigolaient en voyant qu'il ne portait rien. 

– Oui mais là tu triches, tu ne portes rien ! Demandait Sam.
– Je suis en vacances.  Répondait Théo.
– Mais je croyais que ? S'étonnait John.
– Non ce n'est pas obligatoire pendant les vacances. Confirmait Victor.


Sam et John bandaient et n'essayaient pas de le cacher, ils retiraient leurs vêtements sans rien demander, d'un geste tout à fait naturel. Ils se retrouvaient à poil et chacun s'asseyait sur un lit à côté de Victor et de Théo. Ces deux là les avaient vu venir. Victor se penchait sur la queue de Sam et la prenait dans sa bouche. Théo, lui, se rapprochait de John.

Soyeux sérieux, c'est pas parce qu'ils s'étaient envoyé en l'air pendant un heure en vol parabolique que … Là ils avaient les pieds sur terre. Quelques instants plus tard ils étaient à poil, cette fois-ci tous les quatre.

Théo et John se prenaient dans les bras l'un de l'autre, et commençaient à s'embrasser. Sam prenait une position plus confortable pour lui. Le torse relevé, douillettement appuyé sur les oreillers, les jambes écartées, il regardait Victor lui sucer la queue.

Théo s'installait finalement à côté de Victor, il entraînait également John avec lui et les trois garçons se retrouvaient agglutinés autour de Victor qui n'en avait pas demandé autant. Il suçais longuement Sam, les deux autres lui caressaient le corps sans oublier d'insister longuement sur ses parties intimes, ses tétons, le bas de son ventre, ses fesses, l'intérieur de ses cuisses, ses fesses. Chacun son tour un des garçons glissait un doigt dans son cul. Si Victor semblait protester c'était uniquement pour la forme. Il n'essayait pas des les retenir ou de les en empêcher. 

San laissait alors sa place à John. Théo se relevait et enlaçait John pendant que Victor lui suçait la queue avec expertise. Ils s'embrassaient avec passion, John caressait la tête de Victor et malicieusement appuyait dessus par moment en relevant le bassin. 

Sam enlaçait Victor qui était toujours les jambes repliés, le cul bien offert.  Il se penchait sur le dos de Victor, lui donnait des baisers un peu partout, sur les épaules, dans le cou. Il passait une main dur le ventre de Victor, prenait position et avec douceur et fermeté enfonçait lentement sa queue bien à fond dans le cul de Victor. 

Depuis plus d'un moi qu'il était en vacances sur l'île, Victor s'était trouvé plus d'un partenaire et il se prenait la queue de Sam sans difficultés, il commençait à avoir de l'entraînement. Il gémissait de plaisir, Sam était bien monté mais il était également très doux. Ses mouvements amples et lents affolait Victor qui gémissait de plaisir.

Théo parvenait à se faire une petite place juste à côté de John, Victor passait de l'un à l'autre maintenant Théo gémissait également de plaisir. Sam ne se laissait pas distraire et accélérait le mouvement il respirait plus fort, il se relevait, cambrait complètement son dos en retenant fermement Victor par les hanche, ses coups de bassins devenaient de plus en plus violents et son ventre claquait fort au moment ou il frappait les fesses de Victor. Il mouvements devenaient irréguliers, rapides mais désordonnés. Sam poussait quelques gémissements et on devinait qu'il jouissait dans le cul de Victor. Ses derniers coups de bassins étaient violents. Il se laissait retomber sur le dos de Victor, l'enlaçait une dernière fois avec beaucoup de tendresse puis se retirait.

Sans attendre John prenait la place. Victor semblait vouloir dire quelque chose mais Théo le faisait taire en lui enfonçant sa queue dans la gorge. Il est taquin Théo ! Victor ne se débattait pas vraiment, il laissait faire !

Rapidement John reprenait là ou Sam s'était arrêté. Victor était totalement détendu, John s'en rendait compte et passait tout de suite à des mouvements rapide et francs. Il se retirait largement, et revenait à la charge sans aucune retenue. Son ventre claquait fort d'un claquement sec quand il s'écrasait contre les fesses de Victor.

Théo devait maintenant retenir Victor qui tentait vraiment de se dégager. En fait il voulait seulement se relever pour gueuler '' Encore, oui vas y ! … ''. Et c'est ce qu'il faisait au moment ou Théo le relâchait. John se lâchait, ses coups de bassins étaient vraiment violents maintenant. Victor replongeait et avalait de nouveau la bite de Théo qui en profitait pour appuyer de nouveau sur sa tête avec un plaisir non dissimulé. Il est taquin Théo !

Cette situations amusait beaucoup Sam qui regardait depuis un coin de la chambre, il avait pris du recul et contemplait la scène.

Théo appuyait sur la tête de Victor, John entrait et sortait de son cul et concluait sans prévenir par un cris de plaisir un mouvement du bassin incontrôlé et violent  puis tout comme son camarade quelques instants plus tôt il se laissait tomber sur le dos de Victor et l'embrassait tant qu'il pouvait. Il finissait par se retirer. 

Victor se laissait retomber sur le dos, il ne s'occupait plus de Théo.

– Bein et moi alors ? Demandait Théo. 
– Tu me fatigues ! Lui répondait Victor.

Théo ne répondait rien, il laissait un peu de temps à son camarade pour récupérer puis sans prévenir lui sautait dessus, lui relevait les jambes, plaçait ses chevilles sur ses épaules, s'appuyait lourdement contre lui et le pénétrait à son tour. Victor râlait '' Te m'écrases ! '', mais laissait faire.

Théo avait été longuement stimulé, il ne retenait pas ses mouvements et ne tardait pas à jouir dans le cul de Victor. Il y avait moins de violence à ce moment, ils s'enlaçaient avec passion. Victor avait les jambes complètement repliées sur lui même mais fort heureusement pour lui, il était souple et ne souffrait pas de cette position.  

Il avait joui, je veux dire Victor avait joui. Oui c'est vrai que ses camarades ne s'en étaient pas vraiment préoccupé mais il avait joui, plusieurs fois même peut être. Sa queue prenait toute la place dans sa cage, mais il n'y avait pas de pression importante. C'était juste une grosse molle qui prenait de la place mais sans prétention, sans essayer de sortir. On pouvait voir aux traces qui restaient qu'il avait éjaculé.

Plus personne ne bougeait pendant un long moment. Quand Sam et John se relevaient c'était pour rejoindre leur chambre.

– Bon on se revoit demain … Disait John en les laissant.
– Vous participez au vol demain ? Demandait Sam.
– Le vol ? Quel Vol ?
– On n'a pas de vol de prévu !
– Dommage, on aurait bien rigolé.
– Ils n'avaient pas prévu de venir aujourd'hui, et tu sais qu'il faut réserver longtemps à l'avance … Faisait remarquer John.

De bonne heure le lendemain matin l'officier qui les encadrait frappait à la porte. 

– Alors prêts pour la petite promenade promise ?
– La petite promenade ? Demandait Victor. 
– Quatre révolutions autour de la terre, six heures de vol dans l'espace … Ça vous tente ?

Mes deux amis n'avaient jamais enfilé aussi rapidement un uniforme ! Ces enfoirés ils se sont bien amusé pendant que moi avec mon atèle sur le nez je m'ennuyait, tout seul. C'était donc ça la petite promenade, une promenade dans l'espace. A cet instant ils avaient complètement oublié Mr Brosso (Mon grand père), moi leur copain Philippe, l'île … Enfin tout quoi !

Dans la sale à manger ils retrouvaient leurs amis de la veilles qui les voyant en uniforme de vol …

– Finalement vous faites partie du vol ? S'étonnait Sam.
– Oui, c'est génial, mais on ne nous avait rien dit, c'était une surprise … Lui répondait Victor.
– J'ai du mal à y croire, il faut réserver à l'avance et j'ai du mal à croire que vous n'étiez pas au courant ! Lui faisait remarquer John.
– Qui vous a organisé cette sortie ?
– On est venu avec Mr Brosso !

Les deux garçons se regardaient incrédules.

– Mr Antoine Brosso ? Demandait John.
– Non son père … Mr Jérémy Brosso ! Répondait Théo.
– La vache !!!  Mais c'est que vous avez des relations vous ! S'exclamait Sam.
– C'est sûr qu'avec des relations comme celles là on n'a pas besoin de réserver … Rajoutait John.

Finalement le vol se passait très bien, six heures d’apesanteur dans l'espace en orbite basse, quatre coucher de soleil, quatre lever de soleil, quelques aurores boréales vues depuis l'espace, les galaxie de lumière qui éclaires les villes la nuit … Cette toute petite île perdue au milieu de l'océan, depuis l'espace on ne pouvait pas voir le pont rail. 

Ils m'ont dit que c'est uniquement à cet instant qu'ils ont pensé à moi. En apercevant la petite île ou j'étais. Il se sont dit que je devais aller mieux et me remettais de ma gueule de bois ? 


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