Pour le meilleur Ep03 P'tit bite

 Pour le meilleur Ep03 P'tit bite



Je restais un long moment dans la salle de bain, je laissais l'eau couler sur mon corps. Il me fallait un moment pour me détendre totalement et retrouver mon souffle. Je le sentais encore en moi. Il n'y avait plus de douleur sauf si je rigolais.


Bon, je n'avais pas envie de rigoler et je ne rigolais pas mais je suis sûr que si j'avais rigolé, ça m'aurait fait mal. C'est vrai quoi, ça fait un mal de chien. Je ne comprenais pas comment j'avais pu éprouver du plaisir également. Pourtant du plaisir j'en avais éprouvé. J'avais joui deux fois et la deuxième c'était uniquement à cause de sa queue et elle était énorme …


Je me lavais le cul mais tout doucement, je n'osais pas y toucher. Je me passais un peu d'eau fraîche puis tiède. Tout doucement je me passais du savon et encore plus doucement je me glissait un doigt dans le cul.


Un immense plaisir m'envahissait alors, il n'y avait pas de douleur à ce contact, au contraire même cette caresses particulière m'apaisait. Je finissais par me rincer abondamment.


Je me sentais mieux, je me sentais bien quand je revenais. Ma femme était allongée sur le lit, allongé à côté d'elle il y avait Jonathan. Sa queue était toute molle, elle n'était pas comme ça quand je me l'étais prise dans le cul un peu plus tôt.


Je m'approchais, je ne bandais pas, j'étais calmé pour un moment. Ma femme me tendait le petit dispositif de chasteté de marque …


… Non mais vous avez vraiment cru que j'allais le dire ?


Je vous rappelle que j'ai un engagement avec la PK Compagnie qui comme chacun sait a été crée par Jeremy Brosso, ça vous dit quelque chose maintenant ? Si je parle d'une autre marque je vais être obligé de payé un dédit pour rupture de contrat et j'ai pas envie. A l'époque je n'avais spas encore de contrat, je ne connaissais pas encore la PK Compagnie, mais ce n'est plus le cas.


Pour en revenir à nos affaire, c'était un marque qui marchait bien, très confortable et surtout très sécurisé. Mais ça je ne le savais pas encore.


Bref, je prenais le petit dispositif et l'examinait longuement.


Vas y ! M'encourageait ma femme.

Vas y ! Continuait Jonathan, qu'on en finisse ! Tu vas voir on m'a garanti que c'était très confortable et puis. Tu as une p'tit bite !


Ils m'agaçaient tous à me dire tout le temps que j'avais une petite bite.


Tu sais trésor, on ne parle jamais de p'tit ou de grosse bite à ceux qui portent un tel dispositif.


Je la regardais, puis agacé, je prenais une grande respiration. Sans montrer aucune hésitation je passais une couille puis l'autre. Je ne bandais toujours pas, sinon je n'aurais pas pu le faire, j'ai une p'tit bite mais il ne faut pas exagérer, je glissais ma queue dans l'anneau.


Il était petit, en fait il était parfaitement ajusté, il était parfaitement à ma taille. Je ne bandais toujours pas. Je prenais la cage, je la glissais sur ma queue, là encore ça passait juste, mais ça passait. J'étais étonné par ce que ça donnais. Ma femme me tendait la clé sur laquelle il y avait le cadenas. Je glissais le cadenas dans la petite fente prévue pour cela, verrouillais et lui rendait la clé.


C'était fini.


Je sentais un truc énorme sur mon sexe, il me semblait que c'était lourd alors qu'en fait ça ne faisait que quelques grammes. Il me semblait que c'était énorme mais le miroir me retournait une toute autre image. C'était en fait minuscule, ça se voyait à peine.


Mais quand on l'avait remarqué, on ne voyait plus que ça, de même que moi je ne sentais plus que ça. J'étais sonné, je n'avais pas encore récupéré depuis que j'avais pris sa grosse queue dans le cul.


Jonathan passait son bras autour du corps de ma femme, je voyais ses seins qui prenaient de la fermeté, ses tétons pointaient. Il la caressait avec ce qui semblait être une certaine force.


Elle penchait sa tête en arrière, déjà elle gémissait. C'était très différents, là elle n'en rajoutait pas. Ils étaient allongés sur leur côté gauche, elle devant, lui derrière. Elle soulevait sa jambe droite et la passait par dessus les siennes. Il la tirait vers lui.


Sa queue qui était très grosse, je venais d'en faire l'expérience et je savais de quoi il était capable, dépassait entre les cuisses de ma femme, juste en dessous de son sexe.


Elle refermait ses cuisses, il avançait et reculait. Sa queue disparaissait et revenait. Il bandait ferme, pour moi c'était fini pour le moment. Je l'entendais lui demander doucement.


Je peux passer par derrière ?

Non ! Tu es trop gros, pour ça tu peux prendre mon mari quand tu veux ! Lui il a une p'tit bite.


Elle ne me demandait pas mon avis, c'est gentil. Surtout qu'ils ne devaient plus me parler de ma petite bite. À cet instant je me suis demandé s'ils se moquaient de moi.


Ma femme tendait la mains vers moi et me faisait signe d'approcher. Je m'approchais. Dans son dos Jonathan continuait à la cajoler et à lui glisser sa queue entre les jambes. Elle apparaissait, elle ressortait. Ma femme gémissait déjà de plaisir mais c'était différent d'avec moi. Comme je vous le disais, elle n'en rajoutait pas, entre ses bras tout paraissait sincère.


C'est là que j'ai compris que juste avant, dans mes bras, elle en rajoutait, elle surjouait.


Mais comment j'aurais pu savoir, elle n'avait plus l'habitude de venir prendre du plaisir dans mes bras.


Elle bougeait son bassin d'avant en arrière. J'approchais. Elle m'attrapait les couilles et me les écrasait dans le creux de sa main. Je tentais de me dégager mais elle ne lâchait rien. Je commençais à gémir sous la douleur, elle ne me lâchait que pour laisser Jonathan me saisir les couilles à son tour.


Ça les amusait.


Mais c'est qu'il me faisait mal le con. Il y allait plus fort et plus direct que ma femme. Il me faisait vraiment mal mais plus je tentais de me dégager, plus il m'écrasait les couilles.


Occupe toi donc un peu plus de moi ! Lui demandait ma femme.


Il ne lui fallait pas une seconde pour qu'il m'oublie et ne se consacre plus qu'à ma femme. Il la serrait dans ses bras, il la caressait, il se relevait. Avec une douceur incroyable il laissait ma femme retomber et l'accompagnait pour qu'elle s'installe confortablement sur le dos.


Il la caressait un peu partout. Il la couvrait de baiser, très délicatement il commençait par ses seins et s'attardait longuement sur son sexe, il reprenait de nouveau en recommençant par ses seins.


A chaque fois qu'il arrivait à sa vulve il y glissait un doigt.


Au bout d'un moment elle était là, à se tortiller. Il lui glissait plusieurs doigt dans le vagin et doucement, étape par étape il prenait position.


Il prenait position au dessus d'elle, il s'appuyait sur ses bras pour ne pas l'écraser et je voyais son énorme queue s'approcher du sexe de ma femme. Elle écartait les cuisse s’apprêtant à le recevoir . Une dernière caresse sur le haut de ses cuisses, il en profitait pour ouvrir le passage et glissait son énorme sexe dans cette ouverture, là ou je m'étais glissé peu avant.


Elle criait de plaisir, là encore ce n'était pas encore les mêmes cris qu'avec moi. Là c'était sérieux.


Je les avais déjà vu faire mais là, j'étais aux première loges, j'étais juste à côté d'eux. Là je pouvais les toucher, et je les touchais.


Je caressais les couilles de Jonathan, il me laissait faire. Je le sentais qui s'enfonçait ou se retirait du sexe de ma femme. Là je commençais à bander de nouveau mais cette fois ci, je sentais une étreinte tout autour de ma bite, un anneau trop étroit autour de la base de mon sexe. Je ne parvenais pas à bander mais je sentais une pression incroyable autour de ma bite.


Ce n'était pas douloureux, mais c'était stimulant, excitant, je bandais encore plus. Et plus je bandais plus je sentais l'excitation monter. Là je ne me calmais plus.


Jonathan s'agitait, il entrait, ressortait et limait ma femme avec force, il y allait vite, ou lentement. Il changeait sans cesse passant de l'un à l'autre. Il la limait avec régularité, avec une grande amplitude ou des mouvements rapide et courts.


Ma femme suivait comme elle pouvait, il avait une très grosse bite.


Elle en prenait plain la chatte, elle gueulait, elle gigotait, elle ne se retenait plus. Ses grimaces étaient sérieuses, elle ne faisait pas comme avec moi, là elle dégustait .


Moi aussi je dégustais mais d'une toute autre manière. Mon entre jambe devenait douloureuse. Le dispositif de chasteté devenait diabolique. C'était terrible.


C'était horrible, ma queue hurlait, je bandais mais je désespérais.


C'est à cet instant que j'ai compris que je ne sortirais peut être jamais de ce dispositif.


Bon je veux bien reconnaître que là je dramatisais la situation, mon dispositif était en plastique et donc il ne me faudrait pas beaucoup de travail pour l'ouvrir. Mais en attendant j'étais prisonnier et je dégustais.


Ma queue était totalement étranglée par ce dispositif, mon cœur battait vite et fort.


Jonathan continuait à limer ma femme, il râlait, elle gémissait puis ils faisaient le contraire.


Les coups devenaient violents, vraiment violents. C'est sans doute à ce moment qu'il a éjaculé. Il s'est mis à hurler, elle en a fait de même.


Je caressais les fesses de Jonathan, il tremblait, je le sentais bien. Il donnait des coups de bite violents contre ma femme, elle le tirait vers elle et quelques instants plus tard, ils s'effondraient totalement l'un sur l'autre.


Puis le calme revenait, Jonathan se relevait en premier, ma femme le suivait dans la salle de bain. Ils ne s'occupaient plus de moi. Il prenaient une douche, se savonnaient l'un l'autre, je les suivais mais j'étais devenus invisible.


Quand ils en sont sortis de la douche, pendant qu'ils s'essuyaient, Jonathan me lançait.


Quand tu auras fini de mater toi, tu pourrais nous préparer à boire !


Je les regardais, je sortais de la salle de bain en reculant puis je préparais à boire.


Ils avaient l'air détendus. L'énorme queue de Jonathan pendouillait lourdement, elle était toujours lourde mais il ne bandait plus.


Moi si ! Et ma queue ne parvenait pas à se calmer. Elle restait sous pression pendant encore un long moment. Ils ont bu, ils ont discuté, ils on fini par s'endormir et moi je restais là à les regarder. Je ne parvenais pas m'endormir avant un long moment. Ils dormaient déjà quand j'ai réussi à me calmer.


Quand je me suis réveillé, il faisait grand jour, ma femme et son amant avaient disparu. J'étais seul à la maison !



A suivre




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    C'était inévitable, il fallait s'y attendre. Le moment ou on me tendait le dispositif de chasteté arrivait. Je ne m'y attendais pas vraiment mais voilà  ... 

Prévu pour le 30 12 2023



BRICOLAGE
  

Do it "yourcherlfe" , comme ils disent les américains ...












IL ETAIT UNE
FOIS
Pour une fois c'est pas une fiction, c'est du vécu raconté
avec passion, émotion, rythme ... 
Et en plus il y a des images ... 



Les pages sont reliées ( à la main )
par groupe de 5


Toute la famille Brosso
Djé  -  Antoine  -  Philippe  -  David

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Bonne lecture et surtout n'hésitez pas à me retrouver sur

TWEETER

@CharlyChast




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31 Décembre 2023

UN AN



YO !

Fête déjantée Ep03 Némo

 Fête déjantée Ep03 Némo




Je me retrouvais là comme un con, je n'avais rien compris. Je me souviens qu'il y avait une fille qui me regardait et rigolait. Je la regardais moi aussi et à la voir, je rigolais également.


Je commençais à sentir de la pression au niveau de ma queue, je baissais les yeux et voyais l'objet, mais quand je la regardais je rigolais. Je ne savais pas quoi faire, j'ai bu une bière et j'en ai offert une à la fille qui me regardait.


Je me suis assis à côté d'elle et on a discuté. En fait chacun parlait mais aucun n'entendait l'autre, la musique, toujours la musique. Je me souviens, pas très bien mais un peut, juste un peu. Je revenais avec deux nouvelles bière et je m'allongeait sur l'herbe à côté d'elle.


Elle me caressait le corps, je n'étais pas tenté par le sien, elle était belle mais, je vous l'avoue maintenant qu'on commence à se connaître, je préfère les hommes !


Ah là ça doit vous surprendre ça ! Vous n'êtes pas choqués au moins ?


Mais bon, je la laissais faire, sa main glissait sur mon corps et s'attardait sur mes couilles et ce dispositif étrange que je portais, sur ce point je n'étais pas sûr de ne pas comprendre, mais peut être. Mais ne pas être sûr de ne pas comprendre ne veut pas dire être sûr de comprendre ! Ça vous laisse une petite idée de l'état dans lequel en était ma pensée.


Elle s'allongeait à côté de moi, se blottissait contre moi, tout contre moi. Elle continuait à me caresser en s'attardant longuement sur mes couilles. Par moment j'avais l'impression qu'elle connaissait bien ce genre d'objet. Moi je ne comprenais toujours pas mais je ne m'en inquiétais pas, je me levais et revenais avec deux bières.


Elle n'avait pas bougé et là, c'est moi qui me blottissait tout contre elle. Elle recommençait à me caresser le corps et je me décidais finalement à lui rendre la politesse. Elle avait la peau incroyablement douce, mais moi je ne m'attardais pas sur son sexe, ce grand vide ne m'intéressait pas vraiment, elle l'a compris et c'est alors qu'elle s'allongeait sur moi.


Je la comprenais, comme ne ne pourrais pas et ne voulais pas non plus lui donner du plaisir, elle allait le prendre. Elle se frottait la moule contre ma cuisse, elle se masturbait avec moi. Finalement c'était amusant.


Par moment elle se laissait retomber sur moi et je sentais sa poitrine s'écraser contre la mienne, elle était douce et c'était là une caresse finalement pas désagréable. Mais c'est vrai que j'étais saoul.


Je me décidais à refermer mes bras sur elle. Je l'embrassais, il suffisait que je ferme les yeux et que je me dise que c'était un jeune homme imberbe. Si sa poitrine venait à trop se faire remarquer, là ça ne marchait pas.


Mais elle ne m'attendait pas, le chevauchait une cuisse et se frottait comme une folle excitée, avec une main elle me tripotait les couilles. Là ça allait, ça j'aimais bien.


Nous avons fait quelques pauses pendant lesquelles j'en profitais pour nous réalimenter en bière. Il me semble que je me suis endormi pendant quelques instants ou quelques heures, je commençais à avoir du mal à suivre là.


Elle avait sans doute réussi à prendre son plaisir, elle s'était confortablement endormie sur moi. Elle ne ronflait pas mais faisait une peu de musique avec son nez. Là je l'entendais car c'était juste dans mon oreille.


Au réveil, une petite bière et c'était reparti.


On a rejoint le groupe et c'est au milieu d'une foule que nous dansions l'un en face de l'autre. Tout le monde nous regardais, j'étais pas le seul mec à poil mais j'étais le seul mec avec une cage à bite sur lui.


Je prenais une petite bière, juste une toute petite, pour la route. Je dis pour la route mais je devais être à plus de cent mètres de ma tente …


La nuit arrivait, elle m'est tombée dessus, si, si, là je vous jure je l'ai pas vu venir. Je devais penser à autre chose. Les lumières se sont allumées avec une violence qui faisait mal au oreilles. Enfin aux yeux mais là j'avais du mal à voir ce qui se passait devant moi, trop de bruit sans doutes


C'était lui, il réapparaissait. Là je sentais ma queue manifester, elle voulait bander et me rappelait qu'il fallait faire quelques chose, j'avais une cage à bite. Je voyais le haut de son corps, il avait toujours son chapeau de paille, il dansait toujours en agitant les bras avec des mouvements très amples.


Je m'approchais, il avait un sourire que je devinais coquin, je m'approchais un peu plus, il était nu, il n'avait pas mis son pantalon trop grand. C'est qu'il était mince, il avait des cuisses fines mais musclées et une bite. Là j'ai failli tomber à la renverse, je ne m'attendais pas à ça. A côte de lui j'avais une petite bite. Mes dix huit centimètres ne pesaient pas lourd.


Il était plus long et plus large que moi. Il bandait et c'était une perche énorme qui se balançait devant lui. Au moins vingt trois centimètres. Les filles l'avaient remarqué, il avait un groupe de fan girl autour de lui, et ça semblait l'amuser.


Il s'approchait de moi, me prenais la main et me tirait vers lui. On se retrouvait enlacé l'un dans l'autre, presque encastré.


Sa queue continuait à grossir, la mienne se contentait d'essayer. Je crois que c'est à cet instant il me semble que j'ai commencé à comprendre que je ne pouvais plus vraiment … Mais vous vous imaginez bien que j'avais pas toute ma tête.


Je ne suis plus du tout puceau du cul, j'aime bien me faire mettre mais là, c'était du super, du géant, du gros calibre.


Sa queue se redressait, pas à la verticale elle était trop grosse, trop lourde. Je me penchais devant lui je lui prenais la queue dans la bouche et rapidement je terminais à genoux. Il semblait apprécier.


Je lui suçais la queue comme je pouvais, c'était génial de tripoter une grosse queue comme ça, j'en avais une grosse mais là c'était autre chose. Elle était vraiment énorme.


Comme je vous disais, je n'avais pas toute ma tête, j'en oubliais ma propre queue. Je suçais, il appuyait sur ma tête, mais il pouvait insister comme il voulait ça ne rentrait pas en entier. J'oubliais ma queue jusqu'au moment ou je me grattais les couilles.


Là, j'ai senti la cage. Brusquement je me rappelais que j'avais enfermé ma bite, j'ai voulu regarder comment ça se passait là mais il me retenait la tête et j'avais la moitié de sa queue dans la bouche, il appuyait sur ma tête et malgré tout je me régalais.


Il se retirait et me faisait signe de me retourner, j'étais sonné. Il sortais de je ne sais pas ou un flacon de gel lubrifiant, il m'enduisait le cul avant de s'en enduire la queue. Je commençais à réagir, je sentais ma queue qui se réveillait et commençait à protester.


C'était une étrange sensation, il y avait une pression, douce au début, tout autour de ma bite. Je bandais et la pression devenait intense. Ma queue se révoltait et rapidement ça devenait violent, très désagréable.


Il prenait position. Je commençais à m’angoisser. Je n'avais jamais pris un tel engin dans le cul mais là je voulais essayer, je voulais une bière aussi mais ça attendrait.


Je le sentais il posait ses mains sur mes hanches, je sentais son gland contre mon cul, j'étais sur le point de me sentir mal. Puis il a poussé, puis je me suis senti mal.


C'était énorme, la pression était énorme il appuyait sur mes fesses, j'avais l'impression qu'il appuyait sur toute la largeur de mes fesses. Sa queue n'était pas si large que ça mais comme je vous disait, je n'avais pas toutes mes idées claires.


J'ai brusquement senti mon petit cul fragile s'élargir et s'ouvrir avec violence. Je sentais son gland forcer le passage, mon cul se déchirait, je hurlais, il ne s'arrêtait pas, il continuait à pousser et glissait en moi. Il glissait lentement mais il glissait sûrement.


C'est là que je suis mort. Mon cœur s'est arrêté et j'ai manqué d'air.


Je retombais les bras sur le sol, ma tête dans mes bras et je continuais à hurler mais personne ne m'entendais, il y avait toujours cette musique infernal qui nous faisait exploser la tête pendant que le mec me faisait exploser le cul.


Pour ceux qui n'auraient pas tout suivi, je vous rassure, j'étais pas vraiment mort. Mais sur le moment j'en étais pas vraiment sûr. Mon cul n'a pas déchiré non plus mais ça, j'ai bien cru.


Bref je bougeais encore et je gueulais.


Tout le monde s'en foutait, sauf peut être le chanteur qui sur scène gueulait dans son micro ...

Va y mon gars fourre la lui bien à fond !


Je n'ai pas compris à ce moment mais c'était bien à mon pote, celui qui me défonçait le cul, qu'il s'adressait.


Et les encouragements ont porté. Le mec me tirait vers lui encore plus fort et sa queue est entrée, elle est entrée complètement et il écrasait son ventre sur mes fesses.


Là j'étais mort. Mais pour de vrai cette fois.


Allons bon, il y en a un qui s'est évanoui parmi mes lecteur. Mais enfin je vous dis que c'est une façon de parler, si j'étais vraiment mort, je ne serait pas là pour raconter. Voyons, je vous jure il y en a qui sont émotifs tout de même. ( Remarque du Narrateur )


J'étais mort donc ! Mais je bougeais encore. Il me donnait un violent coup de bassin dans les fesses. J'ai gueulé.


Il se retirait sans ménagement avant de m'enfoncer sa queue en entier de nouveau. À chaque millimètre je gueulais, à chaque seconde je gueulais, à chaque … je geulais.


Vous avez compris, je gueulais tout le temps. Mais il faut vous imaginer que cette bite géante glissait dans mes entrailles sans rien m'épargner. Il avançait doucement puis très vite et quand il se retirait il faisait pareil … l'animal …


Je gardais ma tête entre mes mains, mon front sur le sol. Il m'avait transformé en vide couille. Je ne sentais plus du tout ma bite, elle s'était ratatinée dans un coin de la cage qui n'était donc pas si petite que ça.


Les coups devenaient plus rapides, et brusquement très violents, il jouissait, il jutais dans mon cul, il me tirait vers lui avant de me repousser. J'ai cru entendre qu'il gueulait. Moi comme je vous le disais, j'étais mort et je m'écroulais sur le sol.


Là de nouveau je sentais ma cage, ma queue était coincée dedans et se retrouvait très à l'étroit comme quoi la cage n'était pas si grande que ça.


Je ne bougeais plus, il se penchait sur moi et me donnait un baiser tendre dans le cou.


Comment tu t'appelles ? Lui demandais-je.

Némo, appelle moi Némo ça veut dire qui n'a pas de nom !


Il était marrant le petit gars, j'avais envie de rigoler mais je me retenais, je sentais que si je riais j'aurais encore plus mal au cul. Là ça commençait à me faire mal. Je passais ma main, pour voir, il n'y avait pas de trace de sang, je n'avais pas déchiré, tout allait bien en fait.


J'avais simplement mal au cul, et j'avais aussi mal à la bite qui se retrouvais étranglée dans un dispositif minuscule.


Quand j'ai trouvé la force de me lever, il faisait nuit, Némo avait disparu. La seule trace de son passage était la douleur que je ressentais au cul, et la cage, elle ce n'était pas une impression.


J'ai pu constater plus tard que c'était un dispositif très sérieux, un dispositif en titane, indestructible et qui ne laissait à son porteur aucune chance de sortir.


Le lendemain tout se passait au ralenti, la musique prenait moins de place, et à dix sept heures tapante s'arrêtait totalement, toutes les sources de sons s'arrêtaient en même temps. Ça faisait un choc.


On se retrouvait instantanément plongé dans le silence. Certains tombaient tout simplement moi je restais hagard, j'avais toujours mal au cul, mal à la bite. Pourtant tout allait bien. Je me suis endormi dans ma tente, seul. Les distributeurs de bière se vidaient et n'étaient plus réapprovisionnés.


J'ai bien dormi, j'étais épuisé, le lendemain je me préparais à repartir. J'étais à poil et je le restais c'était ma tente sur l'épaule un mon sac sur l'autre que je me rendais à la consigne, c'est là qu'au début de la fête on pouvait mettre en sécurité les objets de valeurs.


J'arrivais au guichet totalement nu. Et j'entendais.


Némo !


Je me retournais.


Némo, c'est Némo qui t'as mis ce truc. Me lançais un mec torse nue avec un pantalon de training. Il s'approchait.

Tu es qui toi ? Lui demandais-je.

Moi aussi j'ai rencontré Némo, mais moi c'était l'an dernier ! Me disait-il.


Il s'approchait encore de moi et tirait sur son pantalon, je pouvais voir alors qu'il avait le même dispositif que moi.



Fin ( de l'épisode )




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Pour le meilleur Ep02 Jonathan

 Pour le meilleur Ep02 Jonathan




Les mois passaient, notre mariage marchait toujours, mais elle s'amusait à me faire remarquer que j'avais une petite bite. Elle ne me trompait pas vraiment, elle me présentait toujours ses amants avant. Le plus souvent je participais. Le plus souvent personne ne faisait vraiment attention à moi. Mais j'étais là.


Je pouvais regarder, et de plus en plus, je me rendais compte que c'était le mec ou les mecs qui baisaient ma femme que je regardais. Comme le plus souvent je n'avais pas le droit d'intervenir, je me branlais. Je sais ma femme n'aimait pas mais on fait ce qu'on peut.


C'est vrai quoi je ne suis pas de marbre et c'est pas parce que j'ai une petite bite. Vous savez on a autant de plaisir avec une petite bite qu'avec une grosse. Oui bien sûr ça ne fait pas le même effet au partenaire mais pour le mec c'est pareil. Enfin je suppose.


En fait on ne peut pas vraiment vérifier, soit on en a une grosse soit on en a une petite et c'est comme ça, on ne peut rien y faire. Et comme on ne peut pas changer …


En tout cas, c'est vrai que moi qui en avais une petite mais ça ne me dérangeait pas.


Avec le temps elle ne cessait de me rappeler que j'avais une petite bite. Elle en voulait une grosse me disait-elle. Elle les choisissait sur pied, ça devenait clair, je ne l'intéressait plus. C'est vrai qu'avec le temps elle ne m’intéressait plus autant. C'étaient ses amants qui m'intéressaient. Moi aussi je voulais une grosse bite et plus elle avait d'amant, plus j'en voyais et plus j'avais envie de m'en prendre une dans le cul.


Vingt trois centimètres de long sur six … Ça vous paraît raisonnable pour débuter. Je dois vous dire que ce Jonathan m'avait complètement retourné la tête. Je le voyais limer ma femme pendant des heures, des jours et plus encore, mais pas tout le même jour.


Celui-là il est resté longtemps, je le voyais régulièrement, il s'amusait de moi, mais il était sexy et virile.


C'est lui qui m'a fait ce petit cadeau.


Un soir il était passé, un soir comme de nombreux autres soirs. Il avait discuté avec ma femme, j'étais juste à côté mais personne ne faisait attention à moi, sauf quand il fallait remplir les verres ou qu'il n'y avait plus de cacahuètes.


Sa voix était douce et suave, forte mais douce, bien posée, il avait une voix bien masculine. Je ne sais pas ce qu'il racontait, j'étais trop occupé à le regarder.


Il était bien carrée, je devinais la douceur des ses mains au moment ou il caressait les seins de ma femme. Oui je sais, ce n'est pas du tout à ça que j'aurais dû penser à ce moment mais bon. On fait ce qu'on peut.


Un court instant j'ai pensé lui sauter dessus, chasser la bonne femme et l'embrasser . Mais je me suis retenu et j'ai juste servi un verre. Si j'avais fait ça, vous imaginez bien que je ne serais plus là pour le raconter et ma veuve serait certainement encore en train de gueuler après moi. Elle m'aurait dévissé la tête. Elle est comme ça.


Mais à part ça elle est très mignonne …


C'est elle qui me demandait de venir juste à côté d'elle.


Mon chéri, Jonathan t'a amené un petit cadeau.


Elle avait ce petit air vicieux, comme si elle connaissait le contenu de la petite boite.


Je m'interrogeais, c'était quoi, il n'y avait aucune raison qu'il me donne un cadeau.


Mais ouvre le ! Me disait-elle.

Mais c'est quoi et c'est à quel titre ? Demandais-je.

C'est pour te remercier parce que tu le laisses me baiser comme tu ne saurais faire !


Là c'était pas vraiment un réponse qui me faisait plaisir …


Finalement je l'ouvrais. Vous avez bien sûr deviné de quoi il s'agissait. C'était une cage à bite d'un modèle très connu mais dont je tairais le non car j'ai un contrat d'exclusivité avec la PK Compagnie comme vous savez. Sinon il faudrait que je paye un dédommagement et là, j'ai pas envie !


À cette époque je n'en avais encore jamais porté mais je reconnaissais le dispositif au premier coup d’œil. Je regardait ma femme qui répondait à mon regard par un sourire aguicheur. Je regardais Jonathan, il me répondait par un sourire et rajoutait.


Je me suis dit que comme tu as une petite bite … Puis il terminait par son sourire le plus idiot.

Oui mais … Heu … Enfin …


Ils se regardaient et Jonathan rajoutait. On pourrait lui permettre de …


Oui ! Je pense aussi ! Lui répondait ma femme, puis se retournant vers moi. On pensait te laisser me baiser. Je suis habitué à mieux mais pour une fois …


Là j'étais sonné, ma femme m'autorisait à avoir exceptionnellement des relations sexuelles avec elle avant de me faire mettre une cage à bite, de grande marque certes, mais une cage à bite tout de même.


J'étais sonné. Sans attendre plus longtemps ma femme se relevait et commençait à se déshabiller. Ce strip-tease m'était destiné, ça faisait longtemps, mais je dois dire que j'ai apprécié. Elle m'a fait la totale, elle dansait, se trémoussait, elle lançait régulièrement un regard à Jonathan que cette situation amusait au moins autant que moi.


Quand le dernier morceau de vêtement de ma femme tombait sur le sol, je remarquais que Jonathan bandait. Moi aussi remarquez mais il y avait quelques bons centimètre qui nous séparait et rendaient sa réaction plus spectaculaire que la mienne.


Ma femme se penchait alors sur moi et ouvrait ma chemise, j'avalais ma salive. Bein oui quoi, j'avais plus l'habitude. Jonathan rigolait.


Elle continuait à me déshabiller la chemise, le pantalon, je me levais pour lui rendre la chose plus facile et mon pantalon tombait rapidement sur mes chevilles.


Ma queue se redressait du haut de ses quinze centimètres.


Tu m'avais dit une fois que quinze centimètres ne te feraient pas peur dans le cul.

N'en demande pas trop ! Me répondait-elle en me caressant la queue.

Quinze ? S'étonnait Jonathan. J'aurais bien dit deux de moins.


Là j'ai pas trouvé ça flatteur du tout, était-il nécessaire de bien le faire remarquer.


Ma femme me caressait le corps, elle se penchait sur moi et m'embrassait. Je sentais ses seins s'écraser sur mon torse. Je sentais ses mains glisser sur mon dos. Je sentais une troisième main sur mes fesses.


Ma femme me tirait vers elle, je m'allongeais sur elle en prenant bien soin de ne pas l'écraser. Je la pénétrais ? Ça faisait longtemps mais ça faisait plaisir aussi. Après tout c'était bien ma femme !


Elle s'est lâchée, je ne la reconnaissais plus, elle n'avait jamais été aussi femme avec moi, j'avais une petite bite. Je n'avais pas remarqué que Jonathan s'était déshabillé lui aussi. C'est quand il m'a caressé le dos que je l'ai vu. Il bandait et c'était très spectaculaire.


Elle avait décidé de me faire jouir, elle me retenait en refermant ses jambes dans mon dos, elle me serrait contre elle et ma queue s'enfonçait totalement. Elle grimaçait, elle gémissait, elle gémissait fort même, elle se tortillait, elle en faisait trop mais je m'en moquais. Moi je prenais mon pied, ça m'arrivait si rarement.


Puis il y avait cette main sur mes fesses, ce n'était pas celle de ma femme.


Nous glissions l'un contre l'autre, nous nous caressions tous les trois. Il y avait en effet toujours cette troisième main sur mes reins ou sur mes fesses. Je finissais par la trouver très agréable finalement, cette troisième main.


Je me glissais en elle, je me retirais, je me retenais, je la retenais. Je l'embrassais. Je profitais de ma femme comme jamais elle ne m'avait laisser faire avant.


Elle se cambrait, elle en faisait toujours trop, son corps se raidissait, elle criait et j'étais sensé croire que c'était de plaisir. Mais elle en faisait trop ce n'était plus crédible. Je comprenais bien que je ne la faisait pas jouir, je comprenais bien que je ne lui faisait plus rien, j'avais une petite bite.


Mais je vous jure qu'à ce moment je m'en moquais, petite ou grosse la bite donne toujours autant de plaisir. Je me retenais, je faisais durer mais c'était plus difficile de me retenir, jusqu'au moment ou je jouissais.


Là c'est moi qui criait, je me redressais et je lui donnais des coups de bassin violents, vraiment violent. Elle hurlait, elle en faisait toujours trop. Je me noyais dans ses yeux puis …


A ce moment j'ai ressenti une intense douleur, Jonathan venait de me défoncer le cul. Son bassin appuyait contre mes fesses, j'étais comme paralysé par la douleur. Il n'avait pas prévenu l'animal. Il s'était super bien lubrifié pendant qu'on ne pensait plus à lui.


Il m'avait caressé le corps, les fesses et je ne faisais plus attention à lui jusqu'à ce moment. C'est dans un mouvement rapide qu'il s'était allongé sur nous, il avait bien visé et il avait poussé fort, très fort.


Un instant j'ai cru que j'allais déchirer. Puis après une douleur intense c'était un plaisir tout aussi intense qui suivait et se rajoutais à la douleur. C'était terrifiant et merveilleux.


Je m'écroulais sur ma femme, en gémissant, je ne pouvais presque plus parler, je ne tentais même pas de le repousser, ma femme me regardait elle avait un regard étrange, un peu vicieux, un peu sadique, un peu ravi, un peu … Je ne sais pas … Un peu victorieuse !


Je devais faire une drôle de tête, elle semblait s'en amuser. Ce plaisir, cette douleur ne faisait plus qu'un et même si j'avais peur, je voulais que ça ne cesse jamais.


Jonathan se retirait, lentement, il me faisait gueuler. Puis il revenait bien à fond, toujours lentement. Il recommençait encore et encore, je pleurais, je pleurais et je gémissait mais j'en redemandais encore et encore.


Je ne sais pas combien de temps ça a duré mais il n'a pas été trop dur avec moi, il a fait court. Il s'est retiré et j'ai joui de nouveau. De nouveau j'ai éjaculé, de nouveau le plaisir m'a envahi. Alors qu'il s'éloignait ver la salle de bain je le sentais encore en moi.


Je tremblais, je pleurais, je n'avais jamais ressenti rien de pareil. J'avais mal au cul, mais j'étais bien. Je repensais à ce qui venait de se passer et j'étais mal. Dans ma tête c'était un très gros désordre.


Je me rendais vers la de bain, en route je croisait Jonathan, il me souriait, me caressait rapidement le ventre jusqu'à mon sexe.


Alors p'tit bite, ça va ?


Je continuais ma route, je le sentais encore en moi. Je ne bandais plus du tout, là c'est vrai que j'avais une petite bite.



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast … 

Fête déjantée Ep02 Musique entêtante

 Fête déjantée Ep02

Musique entêtante




Je me sentais bien finalement, enfin je ne me sentais pas trop mal. J'avais comme des acouphènes dans les oreilles mais c'était normal, en fait c'était la musique. L'estomac un peu retourné, mais c'était normal j'avais picolé la veille jusqu'à … aucune idée de l'heure …


D'ailleurs je n'avais aucune idée de l'heure qu'il était, il y avait du monde qui bougeait, qui dansait, certains étaient à poil, c'était mon cas mais je ne m'en rendais pas vraiment compte, j'avais toujours mon collier et donc mon pass. C'est avec ça qu'on payait les bières ou les sandwichs.


Je décidais de prendre mon petit déjeuner. Un sandwich, une bière feraient très bien l'affaire. Je me sentais mieux, une deuxième bière puis quelques autres et je pétais la forme.


Des mains se promenaient sur mon corps dès que j'approchais d'un groupe, dès qu'il y avait un peu de monde à côté de moi.


Sans prévenir une fille tombait à genoux devant moi et me prenait la queue dans la bouche. Elle me la suçait avec délectation, oui, elle semblait apprécier, je préférais la laisser faire plutôt que de lui expliquer …


Et lui expliquer quoi d'abord .


Je me retrouvais là comme un parfait abruti à bouffer mon sandwich et avaler ma bière, je ne devais pas avoir l'air bien dégourdi, une fille me suçait la bite, je bandais bien mais bon déjà la veille je bandais. Et je ne savais pas vraiment quoi faire avec cette fille, donc je la laissais faire.


Ma bière était vide, sans m'occuper de la fille je me retournais et allais au distributeur, j'en demandais deux. Je revenais, la fille était toujours là, je lui donnais une des deux bière et entamais l'autre.


Elle l'avalait en une gorgée puis reprenait son activité. Elle continuait à me sucer la queue. Au bout d'un moment je remarquais que la fille avait disparu. Je me retrouvais seul, debout au milieu de rien, avec des passants, certains étaient nus d'autre pas, j'avais toujours une très belle érection, c'était cool, la musique tambourinait toujours dans mes oreilles, je commençais à danser sur place, certainement pas avec un air futé.


Je déambulais tout en remuant sur la musique, je me faisais remarquer. Ma queue se balançait lourdement devant moi de droite à gauche, je bandais. Rapidement je me prenais au jeu et je dansais plus vite, je remuais mon cul en regardant dans le vide et c'est là qu'il est réapparu.


Nous étions déjà l'après midi, le soleil commençait juste à descendre et il faisait très chaud. J'avais bu quelques bières pour me rafraîchir mais comme ça ne marchait pas je recommençait régulièrement. J'étais ivre, encore, et je me souvenais pas vraiment avoir dessaoulé depuis la veille.


Je le regardais, il avait toujours son pantalon trop grand, maintenant il avait un chapeau de paille et il dansait toujours avec de grands gestes, il faisait toujours des mouvement avec ses bras un peu comme s'il voulait faire des nœuds avec !


Je le regardais faire et me demandais s'il ne finirait pas par y arriver !


Je n'arrivais pas à réagir normalement. Je me sentais bien mais j'étais comme dans une sorte de torpeur. Je regardais le mec rencontré la veille et je le trouvais encore plus sexy, il me plaisait et je bandais encore plus. Rapidement je bandait au maximum de mes capacité, ma bite venait se coller contre mon ventre.


Il dansait devant moi, je ne voyais plus personne d'autre, il dansait pour moi. Son pantalon cachait toutes ses formes. On ne devinait rien de son sexe et un instant encore je me posais la question. ' Était-ce bien un homme ? ' . S'il avait été une femme il n'avait pas la cicatrice de l'ablation de ses seins.


Il s'approchait me prenait dans les bras et se serrait contre moi, je sentais quelque chose en haut de ses cuisses, j'étais rassuré. Il avait une bite, je l'avais sentie contre ma cuisse, et je me disais que d'ici peu je pourrais la voir.


Il devait avoir une toute petite bite mais c'était pas bien grave, moi j'en avais une grosse. Ça suffirait entre nous.


J'aime bien me faire enculer mais si c'est moi qui encule, ça ne me dérange pas vraiment et comme je bandais …


brusquement il se retournait me montrait son cul, baissait l'arrière de son pantalon et me regardait avec un regard un peu plus que coquin. Je m'approchais, il me lubrifiait la bite en faisait autant pour son cul. Il y avait une sorte de pancarte à cet endroit et c'est contre elle qu'il s'appuyait.


Je m'approchais et je l'enculais, sans faire plus de manières, là, devant tout le monde. Un groupe de spectateur se formait en cercle autour de nous. J'enfonçais ma bite dans son cul sans ménagement. Je n'étais pas vraiment dans mon état normal, ça devait être les sandwichs, pardon je voulais dire les bières.


Ou le soleil !


Ou la fatigue !


Ou la musique !


Rapidement je l'enculais en suivant la musique, il fallait encaisser et il encaissait. Je ne m'inquiétait pas de savoir si j'y allais trop fort. J'y allais, je ressortais et rentrais comme un fou. Je le tenais pas les hanches et quand j'enfonçais ma bite je le tirais vers moi et le repoussais quand je ressortais.


Je l'empoignais, passais mes mains autour de son ventre, le lui caressais et une main descendait vers son sexe. Il me repoussait avec une main.


Énervé je donnais des coups de bassin encore plus violents. Il m'énervait en m'écartant comme ça alors je me vengeais, je lui défonçait le cul aussi fort que je pouvais.


Rapidement je jouissais.


Il gardait une main dans son pantalon, comme pour m'empêcher d'y mettre les miennes, il se redressait et un filet de liquide blanc coulait de son cul. Autour tout le monde m'applaudissait.


Il s'essuyait le cul et remontait son pantalon, on ne voyait plus rien. Ni de dos, ni de face. Quand il se retournait pour m'embrasser je tendais une main mais de nouveau il l'écartait.


On touche pas ! Me disait-il. Tu n'es pas de taille !


Je ne comprenais pas ce qu'il me racontait et je continuais à danser. Un peu plus loin, il y avait des douches, un truc simple, on entrait, on se douchait, il n'y avait aucune formalité, j'y entrais, je me lavais, je ressortais.


Il avait disparu quand j'en suis ressorti.


Là c'est vrai que je bandais moins, à partir de ce moment je me suis un peu calmé.


Je me sentais bien, j'ai repris de la bière. Ensuite j'ai dansé, bouffé quelques sandwichs, puis j'ai bu quelques bières, puis j'ai dansé puis, la fatigue montait. Je me sentais bien, Je ne bandais plus.


Je suis retourné à ma tente pour dormir un peu et la nuit tombait quand je me réveillais. Il y avait toujours cette musique. Elle ne devait pas s'arrêter avant le lendemain dans l'après midi. Je me levais et la première chose que je faisais c'était d'avaler quelques bières avant d'aller danser.


Je restais à poil et finalement je me sentais bien comme ça. Je m'étais calmé, je ne bandais pas vraiment, j'avais seulement une grosse molle qui se balançait et me donnait en cela un certain plaisir.


C'est là qu'il est réapparu. Il avait changé de pantalon mais son nouveau pantalon était trop grand. Il est venu vers moi et m'a pris dans ses bras.


Si tu mets ça, je te laisse t'amuser avec ma bite.


Je ne comprenais pas ce qu'il me disait.


Tu sais, c'est pas un jouet, j'en ai une belle mais on en sort qu'une seule. La tienne ou la mienne !


Je ne comprenais toujours pas ce qu'il racontait, je le regardais l'air probablement idiot. Il l'a compris. Il s'est jeté à mes pieds et s'est mis à me sucer la queue.


Oh mon dieu, on ne m'avait jamais sucé aussi bien, et on ne m'a jamais sucé aussi bien depuis. Il avalait mes dix huit centimètre avec une incroyable facilité. Là je le laissais faire, là je ne faisais pas l'andouille. Je me retenais de bouger, je ne lui balançais aucun coup de bassin.


C'est lui qui faisait tout, les caresses de sa langue sur mon gland me donnaient envie de grimper au rideaux. Mais on était à la campagne et il n'y avait pas de rideaux.


Il me caressait les parties les plus intimes de mon corps. Il glissait ses doigt à la base de mon sexe, sous mes couilles. Il me les léchait, sa langue passait et revenait puis il aspirait avec force.


Là je me suis saisi, une couille entrait dans sa bouche. Là c'est un peu panique, un coup de dent et c'est fatal. Mais ce n'était pas son projet. Il aspirait encore un peu plus et c'est mon autre couille qui entrait dans sa bouche. Il les faisait rouler avec sa langue, c'était affolant mais c'était divin.


Je finissais par me détendre et par en profiter. Il m'a bien un peu fait peur au moment ou il écartais son visage, ça résistait, mes couilles ressortaient mais il fallait tirer, il le faisait peut être exprès pour m'affoler. Il est taquin tout de même.


Puis c'est ma queue qu'il reprenait dans sa bouche, jusque au fond de sa gorge. Sa langue me caressait et me caressait, il insistait sur mon gland en y écrasant sa langue avec force. Il ne me faisait pas mal mais la sensation devenait très vite intense.


Il me massait la base de mes couilles au moment ou mon gland s'écrasait au fond de sa gorge. C'était bon, je relevais la tête en arrière et gémissait dans le silence de la musique assourdissante.


Un groupe de spectateur nous regardait, il y avait au moins deux garçons qui se masturbaient. Les autres garçons et filles semblaient passionnés, ou absentes avec le regard dans le vide.


Je regardais un de ces garçon qui se masturbait, il était beau, nu comme moi. Il avait une belle grosse queue, remarquez je n'avais rien à lui envier. Je caressais les cheveux de mon inconnu.


Je sentais une caresse intense et douce tout autour de ma queue, il n'avait peut être pas de bite mais il n'avait pas non plus de dents. Le jeune en face de moi qui se masturbait me regardait dans les yeux, et un signe, une grimace de plaisir me faisait savoir qu'il allait jouir.


Brusquement il éjaculait avec force. J'ai ressenti comme un frisson dans mon torse et j'ai joui moi aussi. J'ai par réflexe retenu la tête de mon partenaire, il ne tentait pas de se dégage, il avalait tout goulûment.


Je le retenais encore un moment et il continuait à me sucer, je frissonnait de plaisir. Il finissait par se retirer, ma queue était toute propre, avait repris des proportions plus raisonnables. Le mec en face était reparti.


Mon inconnu me montrait de nouveau le truc dont il m'avais parlé.


Maintenant tu mets ça et tu pourras t'amuser avec ma queue. Mais je te préviens, c'est pas un jouet, c'est du sérieux, c'est un truc pour homme !


Là je regardais bien ce qu'il me montrait dans sa mans, il y avait un anneau, un petit dispositif qui pouvait faire penser à une cage. Je rigolais.


Alors tu es d'accord ?

Ouai ! C'est cool ton truc. Je veux m'amuser avec ta bite !


Il me tripotait alors le sexe, faisait passer une couille dans l'anneau puis suivait l'autre. Moi je rigolais, je le regardais faire et je rigolais. Ensuite c'est ma queue qui glissait dans l'anneau, il n'était pas trop grand, ça c'est sûr et il ne fallait pas bander, surtout pas, mais là il m'avait calmé et je me sentais bien.


Je prenait mon sexe en main, il y avait cet anneau à sa base, c'était amusant. Je le secouais et je rigolais.


Il reprenais, glissait comme il pouvait ma queue dans l'autre partie du dispositif, la cage. Puis dans un mouvement rapide enclenchait la cage sur l'anneau support. Je regardais ça, et je pouffais de rire. Ma queue était en cage. Je sentais la pression tout autour de mon sexe, c'était agréable et excitant.


Il se relevait, se reculait d'un pas et me tendait le cadenas et la clé.


Ça c'est toi qui le fait, c'est la tradition !


Pour une fois, là, j'ai tout compris. Je verrouillais le truc et lui rendais la clé.


Il me prenait alors dans ses bras, me faisait un gros câlin, m'embrassait avec passion avant de me glisser dans l'oreille un …


A bientôt !


Puis il disparaissait …



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Fête déjantée Ep01 On commence tout doucement

 Fête déjantée Ep01

On commence tout doucement




Il était gros comme un moustique, tout en longueur mais pourtant pas très grand. On avait l'impression qu'il n'avait que la peau sur les os. Pas de muscle, pas de graisse non plus. Il était mince et très actif, il remuait dans tous les sens. Il était torse nue et portait un pantalon trop large, bien trop large, on aurait pu en mettre deux comme lui dedans.


Moi j'étais plus costaud que lui, épaules larges, torse musclé et poilu, lui n'avait pas un poil sur le corps. Il avait les cheveux mi-long, moi je les avais courts. J'étais musclé, genre athlète, lui comme je vous disais il était gros comme une crevette. J'étais torse nue également mais mon pantalon me moulait un peu plus que le sien, c'était étudié, je ne voulais pas cacher mes formes et ma queue de dix huit centimètre se devinait au travers du tissus.


Mais il bougeait bien, il dansait les yeux fermés, au milieu de la foule. C'était une méga fête en extérieur, un festival. Vous connaissez peut être le 'Arde Roque à la campagne'. C'est très libre, tant qu'on ne fait de mal à personne on peut faire ce qu'on veut, c'est un peu délire.


On était aux premières heures de la fête. La musique tonnait déjà à fond et ne se tairait que quelques jours plus tard. Nous étions là devant la scène, il gigotait comme un fou, il remuait ses bras et me donnait l'impression qu'il voulait faire des nœuds avec. Il me faisait rire. Il a fini par me remarquer.


IL me regardait en dansant et en remuant comme un fou. Je me remuais bien aussi, mais pas avec autant de souplesse. Il me regardait, il me regardait dans les yeux et s'approchait de moi. Il s'approchait tout contre moi, je devinais la douceur de sa peau, je devinais la douceur de sa main …


En fait non, c'est sa main que je sentais contre moi, il me caressait avec une infinie douceur, il ne bougeait presque plus, j'écartais les bras, il l'a interprété d'une manière inattendue et se jetais dans mes bras.


Surpris mais pas embarrassé, je refermais mes bras sur lui, il m'embrassait, je lui rendais ses baiser et alors que le rock sonnait dans nos oreilles avec un rythme hystérique nous tournions l'un sur l'autre, nous partagions un slow qui lui ne résonnait que dans notre tête.


C'était amusant, sont corps était tout menu, il était musclé mais ses muscles aussi étaient menus, fermes mais menus. Sa peau était douce et ses baisers très chauds.


On est resté comme ça pendant un long moment, à se câliner, à se caresser, à s'embrasser. Il n'hésitait pas à glisser sa jambe entre mes cuisses et à m'écraser le sexe contre la sienne. Déjà je commençait à bander.


Je me disais que c'est ce qui l'avait attiré chez moi. C'est vrai que le reste n'est pas mal non plus. Mais ma queue, j'en suis très fier, dix huit centimètres vous savez ? Et vous faites combien vous ?


Je devinais que lui devait en avoir une toute petite, mais ça ne me dérangeait pas, je suis actif et je devinais bien qu'avant la fin de la journée je lui aurais pété le cul.


On dansait, on finissait par reprendre le rythme normal. Les mouvements de slow câlin alors que résonnait dans nos oreilles un rock qui déchire, c'était fini. Mais on se touchait, tout comme lui j'étais torse nue. Personne ne faisait attention à ce détail.


Même quand on se prenait dans les bras pour s'embrasser ou se faire un câlin, personne ne faisait attention. La bière coulait à flot un peu plus loin et certains semblaient pressés d'oublier la réalité.


Il m'entraînait vers un recoin, juste sous la scène, on en prenait plein les oreilles. Il me faisait face, me souriait, me tirait vers lui et sans prévenir se mettait à genoux, m'ouvrait mon pantalon, me sortait ma bite et me la suçait.


Il était rapide, j'ai à peine eu le temps de réagir. Au moins, il savait ce qu'il voulait et j'étais d'accord pour le lui donner.


Je passais une main sur sa nuque et je le tirais vers moi, je l'obligeais à avaler ma queue, et vous savez dix huit centimètres c'est pas rien. Il y parvenait sans montrer aucun effort. J'y croyais pas.


Il était bon le mec, il faisait ça bien. Ma queue glissait sur sa langue, elle s'enfonçait dans sa gorge et s'écrasait mollement sur quelque chose de très doux. Je ne sais pas comment il faisait ça mais je vous jure que là j'ai aimé. C'était vraiment le pied.


C'est au milieu d'une agitation folle que nous partagions ce moment de tendresse et de douceur. Un autre couple arrivait juste à côté de nous, à un peu plus d'un mètre. Le mec me regardait avec un grand sourire satisfait. Lui, il était avec une fille et n'a sans doute par remarqué que moi j'étais avec un mec. Il la soulevait et la déposait sur une planche à un mètre du sol. On aurait dit que c'était prévu pour. Il lui écartait les cuisses et sans attendre commençait à la pénétrer, puis à la limer sans ménagement.


Elle braillait, elle criait, elle devait gémir aussi à en voir la tête qu'elle faisait mais on n'entendait que la musique rythmée qui nous poussait à la trans.


Moi aussi je lui défonçait la bouche en suivant la musique. Il encaissait, c'était pas croyable. Puis brusquement sans prévenir il mettait fin à tout ça. Il se relevait, faisait tomber mon pantalon sur mes chevilles, en retirait mes pieds et se relevait, il gardait mon pantalon dans la main.


Il m'entraînait ver la piste extérieure. Rapidement on allait ranger mon pantalon avec le reste de mes affaires puis on revenait. J'étais à poil. Je n'avais sur moi qu'une casquette et mes basquettes. J'en rigolais, personne ne se formalisait, même si je bandais toujours.


On dansait, on buvait régulièrement une bière et l'ivresse montait. Puis on dansait et on buvait une bière, puis …


Je ne sais pas combien de temps ça a duré.


On était plus tard, bien plus tard, la nuit tombait. Il m'invitait à manger un sandwich, j'étais toujours à poil, lui avait toujours son pantalon trop large.


On continuait à se faire des câlins, à se caresser, à s'embrasser. On était ivre, la nuit était tombé, je n'avais plus aucune idée de l'heure.


On dansait, on buvait, on se faisait un câlin puis on buvait, on dansait …


Nous étions dans une sorte de bulle de lumière. Il y avait des champs, et encore des champs et une scène et une autre bulle de lumière, et des haut parleurs très puissants qui résonnait dans nos oreille.


Plus personne sur la scène, c'était les DJ qui avaient pris le relais. Sur l'autre scène plus loin un groupe de rock mettait l'ambiance dans le champ. Là ou nous étions la musique continuait à nous assommer. Nous étions tous comme hypnotisés par les rythmes entêtants.


Autour de nous, une foule de jeunes de notre âge faisait la fête, criait, dansait. Plusieurs étaient à poil. Des mecs, des filles, il y en avait pour tous les goûts. J'étais à poil et je dansais, en face de moi, il y avait mon cavalier, je ne connaissais pas son nom. Il s'agitait toujours, il ne semblait pas souffrir de la fatigue.


Avec ses bras longs et minces il brassait l'air, il faisait des mouvements tout autour de lui. Il faisait des mouvements rapides, on aurait dit comme une mante religieuse mais en séduisant.


Excusez cette comparaison mais je commençais à fatiguer, j'étais toujours à poil, je bandais comme un fou, là je ne contrôlais plus rien. L'alcool, l'ambiance, la fatigue faisaient que je bandais sans pouvoir y faire quoi que ce soit.


Il me prenait par la main et m'entraînait. Je le suivais, il s'appuyait contre un haut-parleur ou je ne sais quoi, baissait son pantalon et me faisait signe de l'enculer.


Je savais que ce ne serait pas bien long avant que je l'encule. Je me lâchait , le saisissait et l'enculait sans aucun ménagement. Autour tout le monde dansait. Certains s'approchaient de nous, quelques uns me caressaient les fesses. Une fille s'approchait et me tripotait les couilles, c'est pas ça qui me calmais, je continuais à limer vigoureusement ma victime.


Je ne connaissait toujours pas son non. C'est vrai qu'on n'avait pas beaucoup discuté. On avait dansé, on avait picolé, on avait un peu flirté ( et pas qu'un peu même ). Donc je ne connaissait pas son nom.


J'étais là devant tout le monde, les autres se mettaient en cercle autour de nous et certains se branlaient, ils criaient tous, je ne sais pas ce qu'ils disaient mais je sentais qu'ils criaient.


Je caressais je corps de mon camarade, je le saisissait bien dans mes bras et lui caressais le torse. Quand ma main arrivait en bas de son ventre il me l'écartait.


Je continuais à le limer avec force, mes dix huit centimètres passaient bien. Je faisais claquer mon ventre sur ses fesses, on n'entendait rien mais on s'en moquait. Il y avait tellement de bruit que je ne m'entendais même pas crier.


Et je sentais qu'il criait, de nouveau je tentais de lui caresser les couilles et de nouveau il m'écartait la main. J'avais droit à son cul mais pas à sa bite. On ne me l'avait jamais faite celle là !


Mais j'en profitais et c'est de toutes mes forces que je lui défonçais le cul. Il l'avait voulu, il l'aurait. Je me retirais presque entièrement puis je revenais à la charge, bien à fond dans un mouvement rapide et violent. Il gueulait, il devait forcément gueuler mais il y avait tellement de bruit que je m'entendais même pas penser, alors entendre mon partenaire gueuler …


Je ne parvenais pas à jouir, j'étais défoncé, le bruit, l'alcool, j'avais du boire plus de bière que je ne pensais. Un mec s'approchait de nous et nous tendait une bière à chacun.


Je l'avalais cul sec. J'attendais que mon camarade ait bu la sienne et je reprenais. Je le burinais de toutes mes force, les coups que je donnais étaient fort et violents. Je voulais conclure, je voulais jouir mais sans y parvenir.


Pour ce qui est de bander là je bandais. Ma queue était comme un morceau de bois, bien dur, bien ferme. Je l'enfonçais avec force et régularité, je sentais mon partenaire vibrer, je le sentais, il devenait tout mou et je tentais une nouvelle fois de lui tripoter les couilles.


De nouveau il m'écartait la main, je le tirais vers moi j'avançais mon bassin contre lui et ma queue s'enfonçait dans ses entrailles. Ça durait des heures, ça durait longtemps, ça durait peut être cinq minutes, en fait j'en sais rien.


Mais au moment ou je jouissais en lui c'est un plaisir incroyable qui m'envahissait. Je jutais, j'éjaculais et je hurlais mais personne ne m'a entendu. Je finissais par le lâcher. Une dernière tentative, ma mains allait frôler son sexe mais encore une fois il m'écartait.


Il a remonté son pantalon, quand il se retournait je n'ai pas vu son sexe. Un très court instant je me suis même demandé s'il en avait un. J'ai pensé que c'était peut être une fille, puis je n'ai plus pensé à rien.


On a mangé un sandwich, on a dansé, on a … la nuit avançait. J'en pouvais plus, on est retourné à ma tente, rien n'avait bougé, je me suis allongé, il s'est allongé à côté de moi, j'ai refermé les yeux.


Il y avait toujours autant de bruit au moment ou je les ai ouvert. J'étais dans ma tente, seul, à poil, toutes mes affaires étaient là, il y avait toujours cette musique entêtante. Je ne savais plus ou j'étais et les souvenirs de la veille me revenaient.


Je me demandais qui était ce garçon étrange que j'avais enculé la veille, je me demandais surtout ou il était. C'est que je l'aurais bien enculé de nouveau. Je bandais, je me levais, je ne remarquais pas tout de suite le détail de dis huit centimètres mais j'étais bien le seul.


Autour il y avait d'autre personnes entièrement nus. Certains garçons bandaient aussi et tout le monde s'en moquait.


A suivre



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