Black is beautiful

 Black is beautiful




C'était la dernière année avant le bac. J'étais jeune, je vivais dans une petite ville ou je connaissais tout le monde, mes camarades de cours m'avaient suivi depuis la maternelle, ou alors c'est moi qui les suivais, enfin, on se connaissait depuis toujours quoi. 


Il n'y avait rien de nouveau dans ce monde, dans mon monde. L'avenir était déjà prévu, trois ou quatre ans de fac puis je reprendrais l'affaire de papa, une petite entreprise qui fabriquait des pâtes artisanale, enfin pas si petite que ça. Mon père roulait quand même en Mercédes … 


Bref tout allait bien. Je n'avais pas de copine et je devais être le seul garçon de mon âge dans ce cas. Mais ça ne me manquait pas, en fait je n'y pensais même pas. Je ne me posais pas de questions, et encore moins une question de ce genre … 


C'est cette année là qu'il est arrivé dans notre ville, dans notre vie, dans notre école.


Il avait de l'allure, quand il est arrivé, quand on nous l'a présenté, je n'aurais pas aimé être à sa place. Tout le monde le regardait. Moi je crois que je serais devenu tout rouge mais lui, c'était peut être le cas remarquez mais, ça ne se voyait pas. Il était black.


Il avait de l'allure, mince et relativement grand, mince mais musclé. Il portait un jeans qui lui allait vraiment bien et une chemise crème, un peu dans le genre, chemise militaire. Il était sexy comme ça.


Son visage avait les traits fins. Un nez un peu aplati mais le front clair, enfin quand je dis clair, un peu plus clair … En tous cas c'est comme ça que je le voyais et je ne pouvais pas détourner mon regard. Il avait le regard noir, enfin il avait les yeux noir, ce qui lui donnait un air sérieux et grave. Au moment ou son regard se posait sur moi, il me lançais un sourire éclatant. Un flash, j'étais sonné et je ne pouvais pas lui répondre, j'étais tétanisé. 


Il prenait place. Là encore je ne pouvais pas détourner mon regard, il était tellement beau. Quand il bougeait, chacun de ses gestes se transformaient en un mouvement de danse. Je n'étais pas seulement sous le charme, j'étais mordu. Il me plaisait, je ne savais pas ce qui m'arrivait, c'était la première fois que je me trouvais autant intimidé par un garçon.


C'était peut être la couleur de sa peau, ou alors c'était son allure sexy. On distinguait nettement une bosse tout en haut entre ses cuisses.


Je finissais par me rendre compte que je ne parvenais pas à détourner le regard. Au bout de quelques jours, nos regards s'étaient croisés à de nombreuses reprises et je me sentais un peu gauche. Qu'allait-il penser de cette manière d'agir de ma part. Je détournais les yeux, c'était pas facile, mon regard revenait vers lui. Il était tellement beau. 


J'avais peur qu'il ne me remarque, qu'il ne remarque mon jeu de regard et qu'il ne me trouve un peu bizarre. En fait il m'avais déjà remarqué. Quand nos yeux se croisaient ce n'était pas lui qui détournait le regard ou baissait les yeux.


Puis il y avait le sport, la piscine c'était l'enfer, on se voyait tous torse nue. Jusque là ça ne m'avait jamais gêné mais … Sa peau prenait tellement bien la lumière, elle était douce ou en avait l'air, il avait un grain de peau très fin, des muscles clairement dessinés, une tablette de chocolat au niveau de son ventre. C'était une merveille et je l'aurais volontiers croquée. Mais timidement je préférais détourner le regard et ne le regardait plus de face. 


Son regard envers moi devenait plus sévère. J'avais l'impression qu'il me faisait la gueule, mais même quand il faisait la gueule il était beau. Il avait les cheveux très courts et c'était comme un tapis plein de petites boucles qu'il avait sur la tête, ça donnait envie de lui toucher la tête. Pas pour le taquiner, juste pour le plaisir. 


Vous imaginez bien que je n'osais pas.


Et c'est ainsi, en pensant à ce garçon que je me rendais compte quelques semaines après son arrivée que je ne lui avais jamais parlé. 


C'était à peine croyable, je le regardais de loin, de travers pour que ça ne se voit pas mais, je ne l'avais jamais abordé, je ne lui avais jamais adressé la parole. Il avait une voix douce et bien posée, bien masculine, bien virile mais pas sévère. 


Oh pour ce qui est d'être sexy, il n'y avait pas que sa voix. Tout était sexy en lui, et j'avais presque honte de penser une telle chose. De nouveau je détournais le regard. 


Quand on courait au sport, j'étais toujours derrière lui. Oui je sais, comme ça je pouvais le regarder, l'admirer sans qu'il ne risque de se vexer. Mais c'est uniquement parce qu'il était meilleur que moi, et si je devais le rattraper dans une course de vitesse, vous pouvez me croire là, je tirais la langue … Et là c'était sans arrière pensées.


Il avait les cuisses larges et fortes, les bras musclés et les mains … Je ne pouvais qu'imaginer mais ça ne faisait pas le moindre doute, elles devaient être douces et souvent je rêvais de les sentir sur mon corps.


Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, c'était la première fois que je ressentais un tel sentiment pour quelqu'un. J'étais mignon, on me l'avait dit et je savais que je n'avais qu'à claquer des doigts pour qu'une demie douzaine de filles ne se précipitent à mes pieds. 


Il y avait des questions à se poser sur ce point de détail.


Un jour arrivait, nous avions un devoir, une sorte d'exposer à préparer à deux. La prof me lançait.


– Charly ! Si vous voulez bien vous ferez équipe avec notre ami Ali !


Mon sang se glaçait dans mes veines. Je m'angoissais, comment allais-je réussir à me contrôler. Là je sentais que j'allais craquer, il était tellement beau, tellement élégant, sexy, sa voix était tellement douce et masculine, et envoûtante, et charmeuse et …


Là c'était sûr, j'allais craquer.


Mais là j'ai pris une douche froide !


C'est à peine s'il me regardait, on a passé un long moment à préparer le plan de travail. Il était distant, ceci dit je ne l'avais jamais approché. De près il était toujours aussi beau, et plus même. Mais il était froid. 


On se fixait un rendez-vous pour le lendemain à la bibliothèque. Je ne comprenais plus rien. Remarquez ça faisait un moment que je ne comprenais plus rien mais là. J'avais espéré qu'on se rapprocherais, mais je ne me rendais pas vraiment compte que s'il y avait un blocage, c'est moi et moi seul qui en était responsable. 


On se retrouvait, comme prévu, on s'installait mais il y avait un malaise. Il finissait par s'énerver.


– Écoute Charly, tu ne t'imagines pas que je n'ai rien remarquer, ta manière de me regarder de travers, de détourner les yeux, aucun regard directe, honnête.


Un silence suivait.


– Je demanderai à la prof de changer les groupes, je prendrai tout sous ma responsabilité. Lui répondais-je, j'étais à la limite des larmes.

– Tu ferai bien. Répondait-il sur un ton sec.

– Pardonne moi, je ne voulais pas te mettre mal à l'aise, je ne voulais pas embarrasser. Là je le regardais dans les yeux. Mais tu .. tu es tellement beau.


Là je craquais. Je voyais de la surprise dans ses yeux.


– Tu peux me répéter ça, j'ai pas bien compris ?

– Tu es beau comme un dieu, dès que je t'ai vu j'ai craqué pour toi, ton élégance, ta manière de bouger ou de parler. À l'instant que je t'ai vu j'ai eu envie de toi …


Et là je fondais en larmes. On était dans un coin un peu isolé, et personne ne voyais ni n'entendait rien. Il me regardait, il n'avait pas l'air malin à cet instant, la bouche à moitié ouverte.


– C'est parce que je te plais que tu m'évites depuis plus d'un moi ?


Je faisais oui de la tête.


– Excuse moi, je ne voulais pas te déranger, t’embarrasser. Je …

– Tu sais la première fois que je t'ai vu, je t'ai trouvé très mignon, très attirant, moi aussi je t'ai trouvé tellement attirant c'est pour ça que je t'ai lancé ce sourire mais tu ne m'as pas répondu.

– En fait j'étais sonné, aucun mec ne m'avait jamais fait cet effet.

– Et moi qui pensais que je te dégoûtais parce que je suis noir.

– Je crois que même blanc tu me plairais quand même. Répondais-je en séchant mes larmes.


Il refermait les livres, rangeait tout.


– Je pense que nous n'arriverons pas à travailler plus aujourd'hui. Tu me suis.


Je le suivais, je ne savais pas ou nous allions mais je le suivais sans poser de question. Je me sentais mieux, plus léger. Là je n'avais plus peur de le regarder et quand il tournait les yeux dans ma direction je lui souriais, je lui souriais enfin.


Il m'entraînait vers une grande maison, c'est là qu'il vivait. On entrait, il avait une chambre dans le garage, enfin un ancien garage, il était bien installé et en plus là, il était tranquille.


– Mes parents ne rentreront pas avant ce soir.


Il s'approchait de moi. 


– Si je t'embrasse alors, tu ne me repousseras pas. Me demandait-il.


Je faisais non de la tête. Il posais ses lèvres sur les miennes, et m'embrassais. Je l'ai laissé faire, j'ai même participé. Et j'ai fait comme lui, j'ai refermé mes bras sur son corps. On s'enlaçait, on se caressait et il me faisait basculer sur son lit.


On se caressait on roulait l'un sur l'autre et comme on se chatouillait, on rigolait. Il me retournait sur le dos et me chevauchait. Il se redressait et en me regardant avec un large sourire, il ouvrait ma chemise. Je le laissais faire, et là enfin  j'ai senti la douceur de ses doigts. Je le savais déjà, ses mains étaient douces.


Il me caressait le torse depuis mon cou jusqu'à mon nombril. Il s'attardait sur mes tétons, et je bandais. Je me sentais bien et totalement en confiance, je le laissais faire et quand j'intervenais de nouveau c'était juste pour vérifier si sa peau était aussi douce qu'il m'avait semblé. 


Je glissais mes mains sous sa chemise, je le chatouillais et il se tortillait en rigolant. De nouveau il se penchait vers moi et de nouveau il m'embrassait … on s'embrassait. Et je découvrais que sa peau était merveilleusement douce. 


Nous nous retrouvions torse nue. Sa peau glissait contre la mienne, j'étais dans un autre monde. Il semblait lui aussi apprécier mon contacte.


On s'embrassait, mais là on ne s'embrassait pas seulement sur les lèvres. Nos lèvres couraient sur le corps de l'autre, ses lèvres bien sûr mais aussi son cou, ses épaules, on s'attardait longuement sur les tétons, il me mordillait doucement, je faisais comme lui. 


Pour moi c'était une première mais pas pour lui, il me guidait et je le suivais. Il me montrait, comme un exemple et je reproduisais avec un immense plaisir. Tout était beau chez lui.


Je lui caressais les cuisses et en remontant la main je ne parvenait pas à savoir s'il bandait. Mais je n'osais pas insister. Il était moins timide que moi. Il m'allongeait sur le dos et ouvrait mon pantalon, ma braguette suivait ensuite. Il passait ses mains sous mes fesses me soulevais, je ne restais pas amorphe je soulevais mon dos, il en profitait pour faire glisser mon pantalon et mon caleçon. D'un mouvement des jambes je me retrouvais totalement nu, offert à ses caresses.


Il me caressait la queue, il me massait les couilles. Je lui caressais la main. Il me masturbait lentement, ma main remontait sur son bras et redescendait sur son torse jusqu'à sa ceinture. Je glissais deux doigts dans son pantalon. 


Il se redressait alors, à genoux sur son lit, juste à côté de moi.


– Vas y, continue ! Me disait-il avec un large sourire.


J'hésitais un moment, je bandais ferme et je n'étais pas le seul, je pouvais voir très distinctement sa queue sous le tissus, elle semblait très grosse et se redressait sur le côté. J'étais bouleversé j'hésitais encore quelques instants, et finalement je lui ouvrais son pantalon. Il bandait ferme et sa queue était énorme.


A cette époque je n'avais pas vraiment de référence pour faire la comparaison mais maintenant je vous le confirme, elle était énorme. Mon cœur battait à tout rompre. Je lui baissait son pantalon, il avait une belle paire de couilles qui tombaient et se balançaient dans leurs bourses. 


Il dégageait son pantalon et s'allongeait sur moi.


C'étaient alors deux corps nus qui se caressaient l'un l'autre. Il me faisait tourner dans ses bras puis il se penchait sur ma queue et sans rien demander me prenait ma queue dans la bouche.


Là c'était une surprise, c'était doux et humide. Je sentais sa langue qui passait et repassait sur mon gland. 


Je pouvais enfin lui caresser les cheveux, c'était un peu rêche mais c'était agréable, il avait de toutes petites bouclettes et ses cheveux, en fait, étaient plus longs qu'on ne l'aurait cru.


Ma queue rentrait plus profond et sa langue me caressait la bite. J'ai bien cru que j'allais jouir mais je me retenais, je devinais que ce serait mieux, bien mieux de prendre son temps.


Il se redressait et me disais juste …


– A ton tour.


Je comprenais ce qu'il voulait et je m'exécutais. À mon tour je lui léchais le gland, il était circoncis. Je refermais mes lèvres sur sa queue, elle était grosse et je vous jure que c'était pas facile. Je m'appliquais, il me donnait des conseils et je faisais au mieux.


Il me caressait les fesses, et glissait rapidement un doigt entre mes fesses, je laissais faire et continuais à lui sucer la queue du mieux que je pouvais faire. 


Il lubrifiais et me prodiguais un immense plaisir en glissant un doigt dans mon cul, de nouveau j'ai bien cru que j'allais jouir. Un deuxième doigt suivait, il les agitait. 


Au bout d'un moment je fatiguais, sa queue était grosse et je n'étais pas habitué, pas encore. Il décidait donc de passer à autre chose.


– Tu veux que je t'encule ?

Oui ! Mais … Répondais-je.

Avec une immense douceur il me retournait et me guidais en position a genoux. Je m'abandonnais à lui, ne résistais pas et prenais la position qu'il m'indiquait avec les mains.


J'en menais pas large, vous avez deviné que j'étais puceau à cette époque. Mon cœur battait fort et je ne lui aurais rien refusé, à cet instant il pouvait me demander tout ce qu'il voulait.


Sans rien dire il me lubrifiait le cul, j'allais suffoquer, il prenait position et s'appuyait sur mon dos. Il plaçait sa queue et je sentais alors une pression intense contre mon cul. Je respirait fort, il m'embrassait avec une grande douceur l'épaule puis terminais en me mordant. J'ai crié, mon cul s'est relâche en même temps et sa queue est entrée.


J'ai hurlé, c'était la panique, dans ma tête, dans mon cul, dans tout mon corps, sur toute ma peau, c'était la panique.


C'était douloureux mais c'était ce garçon que je regardais depuis des semaines et que j'avais déjà dans la peau qui m'enculait. Maintenant, je ne l'avais plus dans peau, je l'avais dans le cul, je l'avais en moi. Il me faisait mal mais je voulait le laisser terminer, j'ai serré les dents.


– Ça va ? Me demandait-il.


Je répondais ' Oui ! ' d'une mâchoire crispée. Il s'enfonçait complètement. J'ai hurlé de nouveau, j'ai gémi, j'arrivais à peine à respirer. Je sentais son visage juste au dessus de mon épaule, je sentais son souffle, je ne disais rien.


Il commençais à me limer le cul, je me suis mis à pousser des cris et à pleurer. 


– Tu es étroit, tu sais.


J'aurais bien répondu quelque chose mais je n'arrivais pas à articuler. Il s'enfonçait et ressortait, il y allait lentement et dans la douleur je ressentais aussi un plaisir. Le plaisir était aussi intense que la douleur.


Pour cette première il a décidé de ne pas faire durer et à éjaculé en moi rapidement. Il s'est alors retiré, toujours en douceur. Et c'est là que moi j'ai éjaculé.


Il m'a laissé tout le temps pour récupérer, on a discuté, il était surpris d'apprendre que pour moi, c'était la première fois.


– Tu as un sacré potentiel ! Me disait-il.


Plus tard on a pris une douche. On s'est encore fait un câlin puis …


A cette époque nous n'avions que dis huit ans, à peine. Nous en aurons bientôt le double. Nous nous sommes mariés quelques années plus tard, je n'ai pas repris l'usine de papa, j'ai fais d'autres études et maintenant je travaille dans un musée. Ali enseigne les arts plastiques … 


Si tout se passe bien nous devrions être papas bientôt … 



Fin



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Zone de recherches 05 Tous intenables

 Zone de recherches 05

Tous intenables



Comme nous étions déjà levés, nous avons préparé le petit déjeuner. Half avait récupéré et ne cachait pas qu'il se sentait bien. Vous savez ça remet les idées en place le traitement que je lui avait administré. 


C'est David qui se réveillait en premier, aussitôt il me proposait de rapporter de l'eau. L'eau du lac semblait pure mais il y avait des dépôts minéraux et plus l'eau était pure, plus les filtres sont efficaces. On prenait les bidons vides et c'est presque avec une totale innocence que je le suivais. J'étais toujours nu et David était resté nu lui aussi en voyant ça.


On arrivait dans une petite marre d'eau alimentée par une chute d'eau, c'était mieux que la douche, on s'amusait, on se trempait puis alors que je me douchais, j'étais juste sous la chute d'eau et … oh surprise, lui aussi il en voulait à ma quéquette.


J'avais la tête relevé, les yeux fermés, et je recevais l'eau sur la figure. Je sentais ses mains qui se promenaient sur ma bite. Aussitôt je me mettais au garde à vous. Ma queue se redressait avec fierté. Il me la caressait avec la plus grande douceur. Puis quand je baissais les yeux je voyais ma queue disparaître dans sa bouche.


Je posait ma main sur l'arrière de sa tête et je le tirais vers moi. Il était surpris et résistait, je forçais, il finissait pas céder. Et avalait ma queue sur toute sa longueur.


Ils veulent tous jouer avec ma queue, bien ! Je vais leur en donner moi de ma queue. Ils vont la bouffer, ils vont aussi la sentir dans le cul. Et ils ne vont pas venir se plaindre. Le premier qui se plaint je l'encule moi !


Ça ne faisait pas deux jours que j'étais arrivé et je ne savais  même plus combien de fois j'avais baisé ou combien de fois  on m'avait sucé. 


Le dernier en date était là à genoux devant moi, il avait ma queue bien garée dans la gorge, je lui retenait la tête bien appuyé contre mon ventre, je sentais son nez contre moi et … il était tout rouge, il était en train d'étouffer.


Je le relâchais.


Il était temps, il reculait la tête et reprenait son souffle. Il me regardais mais je n'arrivais pas à savoir ce qu'il pensait. Il n'avait pas l'air d'apprécier. 


Il attendait quelques minutes puis sans prévenir il y retournait, de nouveau il avalait ma queue, mon gland s'écrasait de nouveau dans sa gorge. Et bien si finalement il avait bien aimé. 


Avec les deux mains je le retenais et je lui balançait des coups de bassin et de bite dans la gorge. Il avait du mal à encaisser mais il y arrivait. C'était le manque provoqué par la cage ou bien naturellement il aimait. En fait je m'en moquais, ce qui comptait à ce moment c'est que j'en profitais, et en plus ça risquait de durer encore quelques mois.


Je continuais à lui buriner la gueule, il encaissait, je ne lui épargnait rien. Avec les deux mains j'écrasais sa tête sur mon ventre de toutes mes forces en même que je lui donnais des coups de bassin.


Au bout d'un moment il tentait de me retenir. Je me calmais et faisais une pause.


Il collait son visage contre le  haut de ma cuisse, je lui caressais les cheveux, le visage avec douceur, ça changeait un peu. Je sentais sa langue qui me caressait avec une extrême douceur à la base de mon sexe. Ça me chatouillait et réveillait mes envies.


– Retourne toi je vais t'enculer. Lui lançais sur un ton autoritaire mais courtois.


Enfin autant qu'on peut être courtois quand on dit à un mec ' Je vais t'enculer '.


Il n'avait pas l'air traumatisé que je parle comme ça. Il se retournais, se penchais sur un rocher et écartait légèrement les  jambes.


– Tu n'as pas peur de te la prendre ?

– Non vas y défonce moi le cul.


C'était clair et comme j'étais bien décidé, je lubrifiais à l'ancienne, avec la salive. Oui je sais il y a mieux mais ce jour là voyez-vous je n'avais rien dans les poches. 


Je lui appliquais le plus de salive possible et je glissais un doigt. Il avait l'air d'apprécier, un autre doigt suivait. Là encore il encaissait sans broncher, je crachais généreusement sur ma queue et au moment que je jugeais bon, quand je le sentais prêt je prenais position et doucement je poussais ma queue contre son cul.


Je n'étais pas aussi sûr que du lubrifiant aussi j'y allais doucement. J'aime bien pousser un bon coup et hop, mais ce sera pour la prochaine fois. Il résistait, il était étroit, enfin un peu, c'est vrai que moi  j'étais large. Mais en forçant ça passait. 


Ma queue glissait lentement, je la voyais disparaître, quand ça résistait je me retirais et revenais en forçant un peu plus. Il couinait, je ne parvenait pas à savoir si c'était du pur plaisir ou un peu de douleur. C'est vrai qu'à ce moment les deux se mélangent un peu. Il y avait du plaisir et c'est qui comptait, pour moi il y avait beaucoup de plaisir. 


Il était étroit et je sentait son anus se refermer autour de ma queue, il la serrait fort. Ça n'en était que meilleur, alors je forçais. Il râlait, oups, là ça ne devait pas être que du plaisir. Mais pour moi tout allait bien alors je continuais.


Il gémissait et tentais de glisser une main entre moi et ses fesse, je lui saisissait la mains et la lui bloquais. Il gémissait et faisait des bruits étranges mais il ne me criait toujours pas de tout arrêté. 


Je continuais en donnant à son cul ce que j'avais donné à sa bouche, de violents coup de bassin. Je sentais ma queue qui allait s'écraser contre je ne sais pas quoi.


Il tentait de glisser son autre main pour me retenir, je la lui agrippais également et c'est en tirant sur ses bras que je lui limais le cul. Je le tirais vers moi et j'avançais mon bassin avec force. Il était totalement penché en avant sans aucun appui, il ne pouvait que subir. 


Il gémissait, par moment j'avais l'impression qu'il pleurait, il devait déguster, il se tortillait comme il pouvait et quand ma queue s'enfonçait bien à fond dans ses entrailles je ressentais comme un massage des plus agréable. En quelques instants je sentais le plaisir monter et brusquement comme une explosion au moment ou j'éjaculais dans son cul.


Je ne sais pas ce qu'il a ressenti lui, je ne sais pas s'il a ressenti quelque chose, mais j'avais pris mon pied. Je me retirais, je le lâchais, il s'effondrait la tête dans l'eau. Il ne se relevais pas mais nageais sur quelques mètres.


Quand il s'est retourné, il avait une salle tête, on voyait qu'il avait dégusté. Mais bon il l'avait cherché. Je suis comme ça moi, il ne faut pas trop me chercher sinon.


Et bien il en réclamait encore. Oh pas tout de suite mais un autre jour. 


J'étais énervé, oh pas en colère mais énervé. Ils en veulent tous à ma quéquette, ' je vais leur en donner de ma quéquette moi ' . Surtout que quelques instant plus tard je rebandais bien ferme. Quand on arrivait au campement je bandais de nouveau, et j'étais à poil. 


Ric se réveillait. Je me dirigeais vers lui.


Retourne toi je vais t'enculer. Tu es le seul qui n'y a pas encore eu droit.


Il me regardait d'un air surpris mais il s'exécutait. Et devant tous les autre, ils s'étaient tous pris ma queue dans le cul aussi on en n'était plus à ce genre de détail, de me voir baiser  un d'entre eux. Ils était surpris mais à voir la tête qu'ils faisaient il étaient agréablement surpris, en tout cas pas choqués.


Je lubrifiais généreusement le cul de Ric, il tremblait de me vois aussi décidé. Je lui glissait un puis deux et enfin trois doigts dans le cul. Je lui dilatais bien la rondelle. Il avait l'air confortable le petit Ric. 


Bon il n'était pas petit, il faisait ma taille mais c'est affectueux. 


Il me semblait à point et devant tout le reste de l'équipe je lui enfonçais ma bite dans le cul. Je bandais ferme et j'y allais de bon cœur. Il a hurlé, un cri terrifiant qui était suivi d'un autre cri, là il hurlait ' encore, oui, vas y défonce moi le cul !'.


Au moins, lui il savait ce qu'il voulait. Sans attendre je poussait bien à fond. Je l'ai senti se crisper. Mais il ne se défendait pas, il ne tentait même pas. Mais il gémissait fort. 


Il ne me fallait que quelques secondes avant que je ne commence à prendre ma vitesse de croisière. Je ne restait en lui que quelques instants, je me retirait et revenais à la charge. Il gémissait de … douleur ou plaisir … ça c'est sûr.


Je le limais avec force et rapidité, j'enfonçais ma queue dans son cul, je terminais avec un coup de bassin bien décidé puis je poussais, j'appuyais contre son cul de tout mon poids. Je le sentais trembler, puis je me retirais avec lenteur et je revenais avec violence . 


Je recommençais avec plus ou moins de rapidité, plus ou moins de violence, je variais le plaisir. Par moment je me retirais, je ne ressortais pas totalement ma queue et marquais une pause, je ne bougeais plus et sans prévenir je le pénétrais avec une extrême violence, bien à fond je donnais encore un dernier coup. Il gueulait mais il supportait, il encaissait.


Coup après coup il encaissait. Ses camarades nous regardaient incrédules,  ils étaient peut être envieux, peut être effrayés. 


Je dois reconnaître que là j'étais énervé …


Je me défoulais sur le cul de leur camarade. Et il dégustait le pauvre. Je venais  de jouir et j'avais éjaculé quelques instants plus tôt, ça ne venait pas. Je sentais le plaisir monter en moi, je sentais l'orgasme qui venait mais il  n'arrivait pas. Je n'arrivais pas à éjaculer, j'insistais, ma victime finissait pas présenter des signes de fatigue, mais je bandais toujours et j'avais bien l'intention de limer un cul tant que je banderais.


Et je ne débandais pas.


Les minutes passaient et Ric tentait maintenant de se dégager, je le retenais, je le serrais fort contre moi, je le caressais et mes mains descendaient sur son sexe, je sentais sa cage, elle était bien pleine. Il bandait lui aussi mais ça ne se voyait pas vraiment. Je lui tripotais les couilles et c'est à ce moment qu'il a juté, je l'ai senti il éjaculait dans mes mains.


C'était ce qu'il me fallait pour déclencher mon éjaculation, je n'ai pas eu le temps de réagir j'ai éjaculé à mon tour, je lui ai balancé des coups de bite dans le cul, je ne me contrôlais plus mais c'était bon, vraiment bon.


On ne bougeait plus, j'avais l'impression que les autres ne respiraient même plus. Ils nous regardaient comme tétanisé. Je me retirais lentement mon ami Ric tombait sur les genoux. Il gémissait.


– Bien j'ai comme l'impression que vous en voulez tous à ma queue ! Alors il va falloir s'organiser.


Je regrettais cette provocation qui n'avait rien de professionnel dans notre cas mais eux non ! Ils m'ont pris au mot, je les entendais discuter.


– Tous les deux jours.

– Non moi je dis tous les trois jours c'est plus prudent …

– Pourquoi plus plus prudent, il devrais pouvoir assurer tous les deux jours.

– C'est pas une machine non plus.


Un d'entre eux se souvenant que j'étais là se retournait vers moi et me demandait …


– Tu peux remettre ça combien de fois par jour à ton avis ?


Je ne m'attendais pas à cette question. Je n'arrivais pas à y croire. Et dire qu'il était prévu qu'on passe plusieurs mois ensemble, isolé du monde … 



Fin



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Zone de recherches Ep04 : Ric, Et de trois

 Zone de recherches Ep04

Ric, Et de trois



Je ne restais pas très longtemps avec eux, on n'avait pas besoin d'être six pour attraper des papillons de nuit. Je rentrais au campement et me couchais.


Je ne dormais pas depuis deux heures que j'entendais frapper doucement à la porte. C'était Ric, je ne m'attendait pas à le voir celui-là, bein oui les autres étaient en train d'attraper des papillons de nuit ou des insectes de nuit et c'était justement sa spécialité …


– J'ai dit aux autres que je venais chercher quelque chose.

– Et tu as besoin de quoi ?

– Je voulais re voir, pour, heu te voir … oui c'est ça …


Il avait l'air un peu bizarre, je voyais bien qu'il ne savait pas quoi dire. Je me levais, sortais de ma capsule, j'étais à poil. Ma queue se balançait lourdement et je voyais les yeux de Ric qui suivaient, il louchait dessus.


– On n'a pas longtemps, ils vont se demander ou je suis passé. Me disait-il en se penchant vers moi.


Il y a des jours ou, je vous jure, je suis un quiche … Des jours ou je ne comprends pas ce qui se passe autour de moi. Je n'ai vraiment compris ce qu'il me voulait qu'au moment ou ma queue toute molle entrait dans sa bouche, il aspirait comme on fait avec une nouilles. Tant qu'elle était molle ça marchait bien mais ça n'a pas duré.


Quelques instants plus tard, j'avais une grosse dure qui ne rentrait plus. J'essayais pourtant, je retenais sa tête et donnais des coups de bassin. Je ne savais pas si il appréciait et je m'en moquait. Dans ma tête je me disais seulement. '' Ils abusent tout de même, le truc qu'ils portent est sensé les calmer et voilà le résultat. Donnez leur un beau petit gars bien mignon, bien viril et ils craquent tous en un rien de temps.


Mais je n'abusais pas, c'est vrai ça, j'étais bien mignon et bien viril mais voilà, j'étais un petit gars mignon et viril qui avait envie de dormir.


Je lui balançais des coups de bassin de plus en plus fort, j'avais presque du mal à garder les yeux ouverts mais tant que je bandais il ne remarquait rien. Aussi je fermais les yeux et le laissais faire. Je me contentais de bien retenir sa tête et lui bourrais des coups de bite dans la gorge. Et c'est qu'il encaissait bien l'animal.


Il ouvrait bien sa bouche en grand, je m'enfonçais, me retirais complètement. Un moment je lui caressais le visage, il bavait, j'ai failli dire ,'' Il mouillait ! ''. Non,non, il bavait. Remarquez c'est peut être pour ça que ça glissait bien. Ma queue s'enfonçait jusque dans sa gorge, je sentais un truc qui me chatouillait le gland, ça devait être sa glotte, ou je ne sais pas. 


J'appuyais sa tête contre mon ventre de toutes mes forces. Là il a réagi, là il a tenté de résister mais j'avais trop envie de dormir pour avoir pitié de lui et ne ne l'ai pas lâché avant que je ne sente une véritable panique de sa part.


Il s'est écarté brusquement, il toussait, il crachait, j'ai cru qu'il allait vomir mais non, il revenait. Il en voulait encore !


Alors là je me suis lâché, je l'ai limé tant que je pouvais. C'était rigolo, il faisait des bruits bizarres. C'était amusant mais ça ne me réveillait pas. Et je baillais plusieurs fois de suite. 


Lui il restait concentré, je vous jure, il faisait ça bien. Sa langue me caressait avec force la queue, il insistait sur mon gland quand ma queue ressortait. C'était génial, le plaisir montait, je ne faisais rien pour le retenir. Je ne voulais que retourner me coucher. Le plaisir montait bien et je jutais dans sa bouche avant d'avoir le temps de réagir, ceci dit je n'avais pas l'intention de réagir. 


Je ne me retenais pas, je me lâchais et je jutais abondamment. La lumière s'était éteinte mais je suppose qu'il a tout avalé. Il se relevait, me donnait un baiser sur le ventre et repartait il avait l'air content. Au moins il n'était pas difficile, normalement c'est moi qui aurait du être content. Mais j'avais vraiment envie de dormir. Les endorphines sans doute.


Je retournais me coucher.


Je ne me réveillais pas avant l'aube. J'étais en forme et je bandais, vous connaissez ça ? L'érection du matin ! A moins bien sûr que vous ne portiez un de ces dispositifs à la con.


Il y avait quelqu'un sur l'autre couchette, comme je passais à proximité il allongeait la main et me saisissait le sexe. Je laissais faire, il n'y avait plus que cela à faire dans ce genre de situation, ça ne faisait pas deux jours que j'étais arrivé mais j'avais compris que c'était pas la peine de résister, le mieux c'était de laisser faire.


En plus, il ne faut pas déconner mais c'est pas moi qui avait la plus mauvaise place. Ils voulaient tous jouer avec ma quéquette et bien j'allais les laisser jouer avec !


Il approchait son visage, je n'hésitais pas une seconde et lui enfonçait rapidement ma queue dans la gorge en appuyant de toutes mes forces sur sa tête.


Mon gland s'écrasait au fond de sa gorge, il agitait les bras dans vide, un instant j'avais l'impression qu'il nageait. J'étais pas trop bien réveillé. En fait il étouffait, quand j'ai compris je l'ai lâché. C'était aucun des trois mecs que j'avais essayé plus tôt.


Je me demandais lequel c'était. J'allumais une petite lampe, c'était Half. Vous sous souvenez de ce personnage télévisé, Half ? En fait c'était ce personnage qui avait inspiré son prénom, il avait presque la même fourrure que cet alien domestique. Remarquez, il était souvent dans la lune aussi.


Mais il suçait bien.


Ils étaient tous en manque, ça les chatouillait tous ou ça les démangeait. Et moi je pourrais en profiter pendant des mois. Finalement je ne trouvais aucune raison de me plaindre.


– Retourne toi ! Lui disais-je. Je vais t'enculer.


Il ne résistait pas. Il se levait, me tournait le dos et s'appuyait sur sa couchette. Je refermais les bras autour de lui et l'embrassais dans le cou. Il se laissait faire rapidement je lui lubrifiait le cul et pour bien commencer la journée, je lui enfonçais ma queue dans son cul.


Il n'a pas crié, je m'enfonçais lentement, il avait la bouche ouverte, grande ouverte. Il respirait fort, il inspirait fort, il fermait les yeux.


Je sentais son  cul étroit qui résistait, il avait fallu que je force pour l'ouvrir et là il fallait que je force, il était étroit. Pourtant il donnait vraiment l'impression de d'apprécier. Je continuais à m'enfoncer lentement.


Il a juste poussé un cri au moment ou mon ventre s'est écrasé sur ses fesses. Un gémissement à suivi puis une plainte, un longue plainte. Je l'embrassais de nouveau. Il tremblait, il tournais sa tête dans ma direction et nous nous embrassions avec passion.


Je l'entendais gémir dans ma gorge, et je me retirais lentement. Je lubrifiais encore une fois, puis je m'enfonçais de nouveau en lui. J'ai entendu un long gémissement une plainte d'une profonde tristesse. Il s'est tu au moment ou mon ventre s'enfonçait sur ses fesses. 


Il s'est penché en avant, il ne résistait plus, je sentais ses muscles se détendre complètement. Il appuyait ses coudes sur la couchette et me laissait faire, il gémissait quand je m'introduisais en lui, il gémissait plus fort par moment et à d'autres moments il semblait pleurer.


Il avait une salle tête, il pleurait, il faisait des grimaces mais il ne tentait pas de se dégager, j'avais vraiment l'impression qu'en fait il jouissait. Je connaissais ce plaisir, je l'avais exploré, j'y avais déjà goûté. C'était surtout à l'époque ou j'avais fait mes études, à cette époque je portais un dispositif moi aussi.


Vous savez c'est très fréquent à notre époque. Moi j'ai choisi de ne pas continuer à le porter mais la plupart des gens le garde. Et ceux là, tout comme mes camarades sont souvent très chauds du cul.


Half se tortillait dans tous les sens, il ne me demandait toujours pas de me retirer, il gémissait plus fort, il râlait à ce moment. Moi j’accélérai le mouvement, je frappait ses fesses avec mon ventre à chaque fois que je m'enfonçais, je donnais un coup plus violent et je lui faisais claquer les fesses et je lui arrachais un petit cri.


Je sentais le plaisir monter, je me retenais, je le sentais trembler plus fort, il frissonnait comme s'il avait froid et à ce moment là il gémissait enfin. Je le caressais, je lui tripotais les couilles et je le sentais juter. Il n'éjaculais pas il jutait. Le sperme coulait à flot. 


C'est sans doute ça qui m'a stimulé, en quelques secondes j'ai senti le plaisir monter et moi par contre, j'ai éjaculé avec force. À chaque éjaculation je ne pouvais retenir un coup de bassin, un coup de bite bien à fond dans le cul. Je lui arrachait quelques cris, il se crispait, il se contractait et je sentais son cul se refermer avec force sur ma queue. Il était déjà étroit, là il se refermait.


Ma queue ressortait, si j'avais voulu le pénétrer de nouveau, ce n'était plus possible, il s'était refermé. Je lui donnais un baiser et partais prendre ma douche. Il n'y avait personne dehors, je m'étais réveillé plus tôt que je ne le pensais. Le jour se levait à peine et tout le campement dormait encore. 


On passait sous la douche tous les deux.


On s'est caressé, on s'est lavé le dos, j'ai essayé de lui rentrer un doigt dans le cul mais comme je vous le disais plus tôt, il était totalement refermé.


On est resté à poil à se balader sur la plage. Le ciel était bleu mais le fond du cratère, là ou nous étions était dans l'ombre il faisait sombre, vraiment très sombre, c'est à peine si le sommet de la falaise qui nous entourait, le rebord du cratère, recevait les premiers rayons de soleil.


Les journées étaient étranges, nous étions entourés par une falaise qui nous maintenait dans la pénombre. Le soleil apparaissait tard dans la matinée et disparaissait tôt dans l'après midi.


Sous ces latitudes, le temps était doux, même la nuit. Dans la journée il pouvait faire chaud. On a discuté, là j'avais approché de très près tout le monde et je commençais à connaître intimement toute l'équipe. 


Certains étaient mariés, lui il l'était par exemple, il faisait chambre à part. C'est très fréquent dans ce milieu, comme le mari ne pas faire grand chose, sexuellement je veux dire, le couple préfère cette situation. 


C'est sa femme qui dirigeait tout, au niveau sexuel pour le couple en tout cas, il avait un gode ceinture et quand elle le décidait il devait la satisfaire. Pour le reste il ne lui en parlait pas. En théorie pour lui ce devait être une abstinence totale. Aussi même si son cul était étroit, ses désir étaient maintenant impérieux. Aussi quand il se donnait à quelqu'un il voulait se faire prendre, se faire prendre bien à fond et surtout il voulait bien le sentir.


Aucun des autres ne m'avaient fait de telles confessions. Mais chaque cas est un cas particulier. 


Après tout moi je suis bien célibataire. Bon à plusieurs reprises j'ai failli me marier mais à chaque fois la femme m'a demandé de bien vouloir porter un dispositif de chasteté. J'ai pas voulu, je ne me pas suis marié. 


Aussi, si les filles ne veulent pas de ma quéquette, il reste les hommes, dans ce monde qui avec la  PK à sa tête étaient tous plus frustrés, tous plus frustrés les uns que les autres.



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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