Branlette au
sport Ep04
Il n'y a pas
que la branlette dans le sport
J'ai
un peu sursauté, le contact était tellement doux, tellement léger
tout d'abord que je n'ai pas compris mais quand j'ai réagi je n'ai
pas bronché. Je baissais les yeux et je le voyais agir, ma queue qui
était pourtant de belle taille disparaissait complètement dans sa
bouche. C'était une première, j'y avait souvent pensé, j'avais
souvent penser faire ça avec un mec mais je n'avais jamais osé
passer à l'acte.
Vous
ne le répétez pas surtout, j'avais vingt ans à l'époque, mais
j'étais encore puceau.
C'était
comme une caresse dont je n'aurais jamais pu deviner la douceur. Ma
queue se retrouvait envelopper totalement, je sentais ses lèvres qui
se déposaient sur la base de ma bite, un peu comme un anneau
terriblement doux, un anneau trop grand ou une caresse infinie.
Ma
queue glissait lentement dans sa bouche. Oulala, je ne vous dis pas
mais si vous n'avez jamais essayé, n'attendez pas plus. C'était
divin, fantastique, merveilleux.
Au
moment ou son visage s'écrasait contre mon ventre, je sentais mon
gland s'écraser sur quelque chose d'incroyablement doux. C'était sa
glotte, le fond de sa gorge ? Je ne sais pas mais j'ai vraiment
beaucoup aimé, sans même m'en rendre compte je lui caressais les
cheveux, il me laissait faire et par moment j'appuyais, j'appuyais
fort.
Il
ne pouvait plus respirer mais moi j'aimais bien ce qu'il me faisait
aussi, je m'en moquais un peu. Je ne le lâchais que quand il se
débattait, et sans m'en rendre compte je finissait par l'obliger à
garder ma queue dans sa bouche.
Je
n'avais pas vraiment envie de le lâcher, c'était trop bon. Il ne
semblait pas vraiment apprécier mais on ne va pas s'arrêter à si
peu. Ou alors c'est parce que je lui tripotait les couilles un peu
trop fort. Ça aussi, c'était trop marrant.
La
base de son pénis était dure, il bandait, à toucher ça ne faisait
aucun doute mais ses couilles, elles, pendouillaient lourdement.
C'était la première fois que je tripotais des couilles qui
n'étaient pas les miennes, et ça aussi j'aimais bien.
Sur
ma lancée je parcourais son corps, je lui caressais le dos puis je
descendais sur ses fesses. Régulièrement je revenais à ses
couilles, en les malaxant je pensais à nos deux camarades Jeff et
Bobby, ils devait certainement être dans le même état que lui.
Pour
eux c'était nouveau, pour lui, Djimmy c'était déjà une situation
normale, je me demandais seulement ce que ça faisait.
– Mais
dis moi Djimmy, ça fait quoi de ne plus pouvoir bander, le plus dur
à supporter …
Il
relevait la tête et me regardait.
– Tu
es bien sûr de vouloir parler de ça maintenant ?
– Oui
OK, tu as raison …
Il
continuait à me regarder.
– Tu
peux continuer si te plé, c'était très bon. Lui demandais-je.
Il
replongeait, de nouveau il avalait ma queue avec tendresse. Je
n'osais plus appuyer sur sa tête, il semblait apprécier. Au bout
d'un moment il relevait la tête.
– Et
si on passait à autre chose maintenant ?
Je
continuais à le caresser, j'insistais sur ses fesses et doucement je
tentais d'y glisser un doigt. Il se raidissait tout de suite.
– Pas
à sec, ça fait mal !
J'arrêtais
en sursautant. Il me donnait alors un peu de gel.
– Vas-y
avec ça, là ça glisse tout seul.
J'étais
peut être encore puceau à cette époque mais pas idiot et je savais
à quoi ça servait. Je lui en mettais un grosse goutte sur son petit
cul et aussitôt y glissait un doigt, il gémissait de plaisir, il
avait ma queue dans la bouche et un de mes doigts dans le cul, il
aimait, j'y mettais un deuxième doigt, puis je les agitais
vigoureusement.
Il
gémissait encore plus fort, il relevait la tête et dans ses yeux je
voyais le plaisir que je prodiguais. J'agitais mes doigts plus vite,
je repérais sa prostate ( puceau peut être mais je me suis quand
même documenté) et la tambourinais avec un doigt, puis avec les
deux.
Son
visage retombait sur mes genoux, il gémissait tellement qu'il ne
pouvait plus me sucer.
Je
continuais le traitement pendant encore un moment puis finissais par
me calmer. Il relevait la tête.
– Maintenant
tu m'encules !
Je
n'hésitais pas une seconde, je me levais, me lubrifiais la queue, il
prenait position appuyé sur le fauteuil, je me plaçais juste
derrière lui. Avec la queue je lui caressais la raie du cul. Sans
prévenir, je m'arrêtais juste au bon endroit et je poussais.
Il
a crié, ma queue est entrée, il a crié encore, ma queue
s'enfonçait d'avantage et glissait lentement. Il faisait une
épouvantable grimace, il ouvrait la bouche en grand mais aucun son
n'en sortait plus. Il respirait fort, on sentait qu'il devait en
baver, en tout cas moi j'aimais bien.
J'étais
content, je n'étais plus puceau, ce n'était pas prévu mais ce n'en
était que mieux. C'était improvisé mais ça n'en était que
mieux ! Je le sentais trembler entre mes bras, je m'enfonçait
complètement en forçant. Ça résistait, je forçais plus fort et
mon ventre s'écrasait sur ses fesses.
Je
le tirais vers moi, et je poussais mon bassin contre lui. Il ne
respirait plus !
Non
il n'était pas mort, je vous rassure, il était juste un peu saisi.
Il retrouvait sa respiration peu de temps après.
C'est
au moment ou je me retirais pour lui limer le cul joyeusement qu'il a
réagi. Il s'est mis à gémir de nouveau à chaque fois que mon
ventre s'écrasait sur ses fesses, je me laissais aller, je devais
arborer un large sourire de satisfaction et je me laissais aller.
Je
m'enfonçais et me retirais de plus en plus vite et plus violent. Je
me retirais totalement, marquais une pose et revenait en un mouvement
rapide et violent bien à fond. Mon ventre claquait sur ses fesses et
il poussait un cri. Mais il encaissait, il ne tentait pas de se
dégager, il encaissait. Je recommençais.
Le
plaisir montait, j'avais l'impression qu'il montait plus pour lui que
pour moi, je le sentais se tortiller, je sentais sa respiration qui
devenait irrégulière et de plus en plus fort.
Mais
c'est moi qui ai joui en premier, enfin en premier je ne sais pas,
mais j'ai joui comme un fou, j'ai éjaculé, à chaque jet je lui
donnais un coup de bassin violent et sec. Il était là à genoux
devant moi, je me laissais tomber sur son dos.
Moi
aussi je respirais fort, je n'étais plus puceau, je me sentais bien.
Je
sentais son anus qui se contractait autour de ma queue, c'était bon.
Là je finissais enfin par débander, ça faisait un moment que ça
durais si vous avez tout bien suivi. Ma queue ressortait d'elle même,
elle prenait toujours du volume, mais était devenue toute molle.
J'avais une grosse molle qui pendouillait, mes couilles en faisaient
autant.
Je
me laissais tomber sur le côté, il s'écroulait de l'autre côté,
on se retrouvait face à face sur le tapis. Il me souriait, moi
j'étais aux anges et je lui souriais.
On
récupérait, on ouvrait une autre bière …
– Raconte !
Lui demandais-je. C'est quoi le plus dure quand on porte un truc
pareil.
– Le
plus dur c'est de le sentir tout le temps.
– C'est
pas de ne pas pouvoir jouir.
– Non,
ça c'est pas vraiment gênant en fait.
– Même
quand tu passes ton temps à te branler.
– Même !
Rajoutait-il en rigolant.
Je
restais un peu dubitatif de sa réponse, moi je pensais toujours que
le plus dur c'était de ne pas éjaculer, on se sent tellement bien
après. Je terminais ma boisson et me laissais aller. Je me suis
réveillé en pleine nuit, j'avais un petit coussin très confortable
sous ma tête, une couette sur moi et Djimmy, il était blotti contre
moi, il dormait.
Voyant
que la situation n'avait rien d'inquiétant, je me rendormais.
Il
faisait jour quand je me réveillais, Djimmy était dans la cuisine
il préparait le petit déjeuner, c'était une cuisine ouverte et je
pouvais le voir. Il était toujours entièrement nu. Il remarquait
que je me réveillais.
– J'aime
bien me balader à poil quand je suis chez moi ! Me lançait-il.
Tu viens j'ai fais des gaufres …
Je
me levais, je bandais, ma queue se redressait à la verticale. Je me
montrais dans cet état à mon nouvel ami.
– C'est
le moment le plus dur de la journée. M'expliquait-il. Au réveil on
ne contrôle rien, en plus il y a eu de la pression sur la queue et
toujours au même endroit. Il faut la réajuster. Là c'est pas
facile.
– Si
tu veux je me couvre.
– Non,
j'adore voir un mec bander. Surtout au milieu de mon appartement.
– C'est
dur là ?
– Ça
va mieux, ça fait un moment que je suis réveillé. Il paraît que
avec le temps tu finis par trouver très agréable, même ce moment
de la journée.
– Et
tu vas garder le truc combien de temps ?
– Je
suis un branleur, il vaut mieux que je reste sous contrôle.
– Oui
mais tu vas te marier un jour.
– Je
lui donnerai la clé et le contrôle sur ma sexualité, un contrôle
total.
– Tu
crois que tu vas facilement trouver une fille qui voudra de toi dans
cet état ?
– Mais
qui te parles d'une fille.
Là
il m'avait cloué le bec.
– Il
me faut un mec, et bien monté en plus, il me faut de la queue et de
la grosse. Je pensais que tu l'avais compris.
– En
fait je crois que j'ai rien compris, mais rien compris depuis cette
séance d'entraînement. Mais nos amis Jeff et Bobby, ils vont garder
le truc combien de temps ?
– Au
moins six mois, la saison commence juste et ils ont prévu de le
garder jusqu'à la fin de la saison sportive.
– J'y
crois pas.
– Tu
aurais vu comment ce truc m'a transformer en à peine plus d'un mois.
– J'imagine,
sur le terrain, tu étais un branleur maintenant tu es presque bon.
– C'est
ça rigole ! J'ai fait des progrès incroyable.
– Et
les grosses bite c'est pour ton cul ?
– Tu
verrais le coach à poil, il en a une belle lui aussi.
– Ah
parce que le coach aussi ?
– En
fait c'est comme ça qu'il m'a convaincu à garder le truc au début.
Maintenant … je sais pas pourquoi je le garde … Sans doute parce
que je sais que c'est bon pour moi !
– C'est
bon, comment ça, c'est bon ?
– Mes
performances sportives augmentent, c'est pas croyable.
– C'est
pour ça que Jeff et Bobby on voulu en porter un de ces truc aussi.
Que
dire d'autre pour cette première journée, on s'est quitté un peu
plus tard, on se reverrait, ça c'est sûr …
Ah !
Et puis aussi il sait faire des super gaufres …
A
suivre
N'hésitez
surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur
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