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          Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.    

                                     

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Coloc Ep01 Un appartement somptueux

   

    Quand on recherche un appartement et qu'on n'a pas trop les moyens, il y a quelquefois des opportunité qu'on peut saisir, enfin c'est à voir ... 

Prévu pour le 03 03 2024



BRICOLAGE
  

Do it "yourcherlfe" , comme ils disent les américains ...












IL ETAIT UNE
FOIS
Pour une fois c'est pas une fiction, c'est du vécu raconté
avec passion, émotion, rythme ... 
Et en plus il y a des images ... 



Les pages sont reliées ( à la main )
par groupe de 5


Toute la famille Brosso
Djé  -  Antoine  -  Philippe  -  David

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Bonne lecture et surtout n'hésitez pas à me retrouver sur

TWEETER

@CharlyChast







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Branlette au sport Ep08 Il faudrait que tous ...

 

Branlette au sport Ep08

Il faudrait que tous ...



Djimmy et moi avons passé les deux jours qui ont suivi ensemble. Il aimait bien se faire défoncer le cul et moi j'aimais bien lui défoncer le cul. Donc sans être d'accord, on restait complémentaire et on s'entendait très bien.


Tout allait bien, deux nouveaux candidats avaient été retenus pour se joindre à l'équipe. Il ne faudrait pas oublier qui même s'ils étaient toujours là, Kevin et Fabien quittaient l'équipe. Si on comptaient bien ça faisait donc toujours dix huit.


C'est Ross que le coach nous présentait en premier.


Il est très bon celui-là et je vous promets une petite surprise, le second, Ricky aussi est très bon mais son classement est légèrement inférieur. Mais il progresse.


C'étaient deux beau gaillards, ils étaient grand et minces, ils étaient déjà en tenue, ils étaient arrivés en premier, avant le reste de l'équipe. On passait se changer rapidement et on commençait l'entraînement.


Rapidement on faisait connaissance, ils avaient l'air sympa les nouveaux, et en effet, ils étaient très bon. On s'est bien défoncé et on terminait en sueur, comme d'habitude. On se retrouvaient donc sous la douche.


Tout le monde surveillait les réactions des nouveau, vous n'avez pas oublié que douze d'entre nous portaient une cage à bite. Un modèle discret, qui ne laissait rien paraître sous le tissus double couche de nos tenues de sport.


Un à un on entrait dans la douche avec juste une serviette qui nous servait de pagne. Tout le monde l'accrochait et les cages de chasteté se dévoilaient. Moi je bandais mais on commençait à avoir l'habitude, les trois autres qui étaient comme moi bandaient à moitié eux aussi, l'émotion de voir de nouvelles tête, pardon, je voulais dire de nouvelles queues.


Puis ce sont les nouveaux qui entraient, il laissaient tomber leurs serviettes et, oh surprise, ils portaient tous les deux une cage à bite. C'était le même modèle que le reste de l'équipe, un modèle très à la mode et, parait-il très adapté pour le sport.


Ce modèle était très bien fait, il ne laissait aucune chance à la moindre érection ou à toute tentative d'évasion.


Mais vous n'en n'avez pas tous une ! S'exclamait Ross.

J'avais cru comprendre que c'était une obligation. Rajoutait Ricky.


Le coach n'était pas loin et s'approchait.


On y réfléchit ! Déclarait-il. Pour les nouveau c'est une obligation, ça va le devenir pour tous et il ne reste plus que quatre gars à convaincre.

Je crois qu'il va falloir commencer par lui ! Rajoutais Ross en m'attrapant les couilles. C'est vrai que je bandais.


Puis il rajoutait.


Énervé comme il est, il doit perdre beaucoup d'énergie ! Commentait Ricky.

Tu en penses quoi ? Me demandait le coach.


Là il m'a pris de court. Je ne savais pas quoi répondre. Je regardais mes camarades, ceux qui n'avaient pas de cage, ils ne bandaient plus du tout et avaient le sourire.


Ils ont accepté ! M'expliquait le coach, tu peux dire non et si tu dis non, tu sera le seul …


Je pouffais de rire.


Tu veux me piéger là coach ?


Il rigolait.


Oui on avait un peu comploter mais tu sais, personne ne t'obligé. Simplement toute l'équipe devra y venir, si tu refuses il faudra penser à quitter l'équipe d'ici quelque temps.

Et les deux autres là bas, ils ne semblent pas le savoir ça ? Demandait Ricky. En regardant Kevin et Fabien.

Eux, ils quittent l'équipe ! Répondait le coach.


Ils continuaient à me regarder, tout le monde me regardait. En fait tout le monde attendait ma réponse.


Dès que je ne bande plus, c'est d'accord. Finissais-je par répondre.


Et là je baissais les yeux et je constatais que ma grosse et belle queue se ramollissait. Elle retombait lentement.


On a mis un truc dans la boisson, pas dans la tienne mais tu as du prendre la bouteille d'eau d'un de tes camarades.

Vous ne m'avez pas drogué intentionnellement au moins ? Demandais-je.

Je te jure que non, de plus c'est sans aucun danger et les effets ne durent pas très longtemps.


Je touchais la queue, elle était devenue toute molle et retombait devant moi, inerte.


Tu sais si tu refuses, je te jure que tu pourras baiser Djimmy ce soir ! Rajoutait le coach.


Là je ne savais pas quoi dire, je regardais Djimmy, il me souriait. Je ne savais plus quoi dire aussi je ne disais plus rien et passais sous la douche. Je me savonnais bien, en fait je cherchais à me faire stimuler, à me faire bander. Mes quatre autres camarades ne bandais plus du tout, eux non plus.


C'étaient les effet du truc, il agissait vite, en entrant sous la douche ils bandaient à moitié et là, plus rien. Tout comme moi, plus rien du tout.


À cet instant j'ai eu comme un désir sexuel terrible. Je me suis vu à la place de Djymmy quand je l'enculais. Je voyais ces bites qui bien que toute molles, restaient de belle taille. J'avais brusquement une envie de les sucer, de les tripoter, de me les prendre dans le cul, de …


C'était étrange et terriblement excitant. Tout mon corps vibrait de désir mais ma queue restait sans aucune réaction … Rien, je me tripotais mais rien.


Noé s'approchait de moi.


Si tu as bu dans ma bouteille, c'est pas la peine d'insister, tu n'auras rien avant au moins deux heures.

Et pourquoi tu parles de ta bouteille ? Lui demandais-je.

Parce que moi … Je crois que c'est pas dans la mienne que j'ai bu !


Il soulevait sa cage et je pouvais constater que sa queue prenait toute la place, qu'il était sous pression, un peu à l'étroit.


On terminait tous, on se séchait et on s'habillait, juste le survêtement de sport propre et sec. C'est un vêtement doux et c'était un plaisir et une excitation supplémentaire que de sentir ce tissus doux glisser sur mon corps, glisser sur tout mon corps, et pourtant il n'y avait aucune réaction, aucune érection.


J'étais encore plus excité sexuellement.


Le coach appelait.


Dominique ! Toujours, décidé ?


Dominique s'approchait et confirmait d'un mouvement de la tête.


Antoine, pareil pour toi ?


Antoine prenait position lui aussi à côté de son camarade Dominique.


Xavier, tu as bien réfléchi .


Xavier rejoignait les deux premiers.


Et toi Charly, ça y est tu ne bandes plus … Un fou-rire parcourait la salle . Est-ce que Djimmy est d'accord ?

Eh oui répondait Djimmy, il me fatigue tellement !

Mais tu ne me défends pas vraiment toi ! Lui répondais-je en me retournant vers lui.


A ce moment je sentais ma queue, elle était de belle taille et glissait sur l'étoffe, c'était une caresse douce et stimulante, mais il n'y avait toujours pas de réaction de la part de ma queue.


Dominique retirait son pantalon, les autres en faisaient autant, et moi après quelques hésitations je suivais le mouvement. Dans ma tête c'était comme une euphorie, une douce panique, une douce folie.


Ton truc qui empêche qu'on bande coach, c'est pas euphorisant au moins ?

Du tout ! Me répondait le coach. Si tu te sens bizarre c'est pas ça !


Il posait devant nous sur une table quatre dispositifs de chasteté. J'avais déjà vu la scène et je savais comment ça devait continuer. Mais là j'y participais.


C'est toujours Dominique qui menait les autres, c'est lui qui commençait. Il glissait une couille dans l'anneau, on le suivait et quand je terminais. J'ajustais bien l'anneau à la base de mon sexe en tirant sur la peau. Je me sentais bien et je n'avais toujours pas de réaction, toujours pas d'érection.


Je restais très concentré, je prenais la cage, j'y glissait ma queue et je refermais le dispositif. Le coach me tendais le cadenas, je verrouillais ma cage à bite.


Mon cœur paniquait, je ne savais pas combien de temps ça allait durer, je ne savais pas combien de temps il me faudrait pour bander de nouveau et ce que ça fait que de bander dans un truc qui confine sa queue avec autant de force.


Je rendais la clé au coach. Dominique et Antoine me regardaient, Xavier rendait à son tour la clé au coach. On se regardaient tous les quatre et on se retournait vers le reste de l'équipe.


La on est vraiment au complet ! S'exclamait Kevin.

Mais toi tu ne fais même plus partie de l'équipe ! Lui répondait Djimmy.

Moi je vais créer une nouvelle équipe de fan. L'anti groupe !


On se regardait tous sans comprendre.


Et le coach, il est membre de l'équipe lui aussi ou non ? Demandait Ross, très fort pour que tout le monde l'entende bien.


Les autres membre de l'équipe n'auraient jamais osé, mais il était nouveau et lui il ne s'embarrassait pas. Il avait attrapé un dispositif dans le tiroir ou le coach les rangeait et il le montrait à tous en le tenant bien haut dans sa main.


Tous se mettaient à scander …


Le coach, le coach, le coach …


Il finissait par se sentir un peu obliger se suivre, il avait déjà enculé la moitié de l'équipe au moins une fois. A qui allait-il demander s'il était d'accord ?


Il baissait son pantalon devant nous, le silence se faisait, il n'avait pas pris le médoc mais il se contrôlait bien, heureusement !


Tout comme chacun des membres de cette équipe il glissait une couille puis la seconde, il jetais un regard vers tout le groupe et glissait sa queue dans l'anneau et l'ajustait.


C'est avec un sourire satisfait et non dissimulé que Ross lui tendait la cage. Le coach le regardait avec une air de bon perdant puis y glissait sa queue. Puis c'était le cadenas.


Mais qui va garder la clé ? Demandait bêtement un des membre de l'équipe.

Mais les clés doivent être confiées au '' Service Des Clés '' de la PK Compagnie ! Répondaient Ricky.


Les nouveau connaissait la procédure, ils ont remplis les papiers, il fallait vérifier chaque clé, chaque cadenas. S'assurer que tout concordait, les numéraux de série. Tout ranger dans les enveloppes prévues à cet effet …


Le coach s'est un peu senti obligé d'accepter la situation. On a tous participé, on était tous concernés.


Puis le tout était glissé, devant toute l'équipe dans dans la boite au lettre de la poste voisine.


C'était une sensation étrange quand je sentais les anneaux de ma cage se refermer sur ma queue, c'était confortable et inquiétant, rassurant et affolant. Je bandais pour la première fois dans mon dispositif de chasteté !



Fin de l'épisode



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Branlette au sport Ep07 L'équipe au complet

 

Branlette au sport Ep07

L'équipe au complet




Il mettait l'ambiance. Un silence de mort tombait sur le groupe. Chacun regardait chacun pour essayer de déterminer de qui il s'agissait, combien ils étaient s'il y en avait plusieurs ?


Bon ! Si vous n'avez pas changé d'avis. Annonçait le coach. Vous pouvez approcher.


Roberto avançait.


Ta femme est d'accord ? Demandait le coach.

Elle est d'accord ! Répondait Roberto.


Le coach déposait un dispositif complet devant Roberto. Je n'avais pas remarqué qu'il s'était épilé les couilles celui-là.


Carlos s'avançait à sont tour, Hervé, Tony.


Ta copine est d'accord Tony ? Le coach ne posait cette question qu'à ceux qui avaient une copine.

Non mais je m'en fou ! Répondait Tony.


Puis c'est Noé qui s'approchait


Et pour toi Noé, est-ce que Clara, Sophie, Laurette, Alexandra et je ne sais plus qui est … Pardon, sont d'accort ?

Tu as oublié Barbara, coach !

Ah j'ai oublié Barbara ! Rajoutait le coach sur un ton amusé.

Un fou rire parcourait la salle.


Tout le monde savait comment ça se passait, ce jour là ils étaient cinq, c'est sans attendre qu'ils baissaient leurs pantalons. Ils avait tous un dispositif complet devant eux.


Ils restaient très concentré et c'est face à leurs camarades qu'ils procédaient. Ils avaient tous un petit sourire coquin et complice. Ils étaient stoïques, aucun n'a présenté la moindre érection. Je ne comprenais pas comment ils arrivaient à un tel self-control, moi je n'aurais pas réussi à rester calmes à leurs places.


C'est rapidement que chacun passait ses couilles dans l'anneau, je les regardais faire avec attention. J'avais bien vu, j'avais repéré Roberto, Tony et Noé. Sous la douche j'avais remarqué qu'ils s'étaient épilé les couilles.


Les queues suivaient dans l'anneau, ils étaient toujours parfaitement détendus, il y avait là cinq belles grosses bites, cinq grosses molles qui pendaient lourdement, qui se balançaient avec maintenant un anneau à leurs bases.


Ils étaient un peu taquin, et en profitaient pour s'amuser, se tortillaient comme s'ils dansaient ou comme si … Oui comme si ils faisaient un spectacle érotique.


Allons un peu de tenue ! Déclarait le coach.


Ils se calmaient et chacun glissait sa queue dans la cage, l'enclenchaient et se retournait vers le coach. Ils vérifiait si tout était en ordre puis donnait a chacun un cadenas sur sa clé.


C'était à chacun de verrouiller lui même son dispositif, chacun s'exécutait puis restituait la clé au coach.


Maintenant on est au complet ! S'exclamait Kevin.

Comment ça on est complet ? Demandait Jeff. On est douze à porter ce truc et il y dix huit membres dans l'équipe.

Dix huit. Répondait Kevin. L'équipe a bien douze joueurs et six remplaçants. L'équipe est au complet !

De plus. Rajoutait Fabien. Kevin et moi allons quitter l'équipe comme c'était prévu depuis un moment, il n'en reste plus que quatre à équiper. Pour les prochains on verra …


Je crois que c'est à ce moment que j'ai compris que j'étais aussi sur la liste. J'aurais du avoir peur mais je ne sais pas pourquoi, je n'éprouvais aucune inquiétude. Je bandais et je me disais même pas que c'était peut être l'une des dernière fois.


Une fois de plus les porteurs de ce dispositif ont décidé de passer la soirée à poil. Là le coach avait préparé du champagne. Nous étions donc plus que quatre à attendre le moment ou nous serions volontaires.


On a dansé toute la soirée, on a chanté, on a picolé, il y avait plus d'une bouteille chacun, et en plus c'était du bon. Il sait fêter les événements le coach.


Je savais pour l'avoir constaté sous la douche, Kevin était particulièrement bien monté. Il avait la plus grosse bite de toutes l'équipe. Il était grand et bien bâti. Il était vraiment très beau gosse. Je me disais que lui au moins ne porterait jamais la cage à bite. Ça me réconfortait un peu quelque part. J'avalais une flûte de champagne, et c'est ainsi que je commençait la soirée.


Arrivé à ce moment de l'histoire je me doute que certains d'entre vous doivent se dire que les sportifs de mon équipe passaient leur temps à picoler. Ne vous méprenez pas, c'était juste parce que l'équipe, toute l'équipe passait tout doucement à la cage de chasteté.


En temps normal on picole bien moins, et puis on n'était pas en fait en pleine saison des tournois, on était dans la saisons des entraînements.


Donc on picolait, on s'amusait à taquiner nos camarades qui étaient à poil. On les touchait, on les tripotait, on les caressait, on s'amusait avec leurs couilles. Ils se laissaient faire, ils participaient même à cette taquinerie en jouant les provocateurs, les allumeurs.


La fête était au plus fort quand je décidais de me rendre aux toilettes. Parce que j'étais un peu ivre, je me rendais dans les toilettes des sanitaires, pas celles du club house. Il y avait du monde, j'arrivais sans faire de bruit, perdu dans mes pensées, j'entendais des gémissements réguliers.


J'avançais alors sans faire de bruit, mais là c'était volontairement que je ne faisais plus de bruit, et je les ai vu.


Ils étaient deux, j'apercevais deux silhouettes, elles étaient enlacées appuyées contre le mur. C'était forcément deux de mes camarades, il n'y avait personne d'autre dans le bâtiment. Un des deux était appuyé contre le mur, l'autre remuait.


L'autre remuait et se frottait contre le premier, dans l'obscurité je ne pouvais pas tout voir mes mes yeux s'habituaient à la pénombre. L'un des deux deux était penché contre le mur, il me semblait qu'il était nu. L'autre le tenait ou s'accrochait à lui, il était nu également mais lui il bandait, je devinais mieux la scène.


Celui qui était derrière enculait avec enthousiasma le premier. Je ne parvenais pas encore à discerner qui était qui. Puis tout se précisait. C'était mon Djimmy qui était devant, j'y croyais pas.


C'est vrai qu'il aimait bien la bite Mon petit Djimmy, je l'avais remarqué.


L'image se précisait un peu plus et cette très gosse bite qui s'enfonçait et ressortait du cul de mon petit Djimmy, et bien, c'était celle de Kevin. Il était vraiment bien monté et Djimmy aimait vraiment bien la bite.


Il y avait une source de lumière très faible au fond du couloir mais je voyais désormais très bien dans cette obscurité et ils étaient de profil. L'énorme queue de Kevin se dessinait bien et je la voyais disparaître dans le cul de mon petit Djimmy, enfin de Djimmy quoi.


Le pauvre encaissait, je ne sais pas comment il faisait mais il encaissait. Kevin était bien mieux monté que moi et là j'aurais eu peur. Mais Djimmy lui semblait apprécier, il râlait de plaisir et en redemandait. Kevin s'activait, il se retirait complètement avant de revenir, et il le faisait de plus en plus vite.


Djimmy râlait plus fort et plus fort encore. Aucun des deux ne semblait s'inquiéter d'être découvert, ils s'abandonnaient à leur plaisir. Kevin ne ressortait plus et poussait son ventre contre les fesses de Djimmy, reculait un peu et revenait, il s'agitait maintenant, il s'agitait comme un fou et les gémissements de Djimmy se transformaient en véritables plaintes.


Par moment, Kevin saisissait Djimmy avec force, il le tirait contre lui et le pauvre Djimmy faisait comme il pouvait pour encaisser la queue de Kevin en se mettant sur la pointe des pieds. Kevin était plus grand, et sa grosse bite empalait le petit cul de son compagnon. Djimmy n'était plus dans l'axe, de profil je le voyais cambrer son corps, tenter de relever le cul mais sans grand résultat.


Kevin le retenait avec tellement de force qu'il le soulevait, je pouvais constater que les pieds de Djimmy ne touchaient plus le sol. Et là je ne vous dis pas comment il couinait.


Quand Kevin le reposait, le pauvre Djimmy le suppliait d'y aller plus doucement Kevin écoutait et répondait par un dernier coup violent de bassin contre les fesses du pauvre Djimmy. Puis ils se calmaient, ils ne se calmaient pas bien longtemps, juste le temps que Djimmy récupère, les coups de bassin devenaient plus lent mais toujours violent.


  • C'est qui ? Demandait Djimmy.

  • C'est Charly ! Répondait Kevin.

  • Ça fait longtemps qu'il est là ?

  • Je ne sais pas.


Puis Kevin recommençait, de nouveau il se retirait et revenait avec force dans un mouvement rapide et … violent ! Djimmy poussait un cri. Je m'approchais, je ne m'en rendais même pas compte, je m'approchais.


Je ne devais pas être à plus de deux mètres et je voyais Kevin se lâcher, il s'agitait comme un fou, il limait avec force et violence le cul de Djimmy les derniers coups étaient forts, je devinais que Kevin jouissait, il éjaculait dans le cul de notre camarade.

Ils gloussaient, maintenant il gloussaient tous les deux. L'un du plaisir de l'orgasme et l'autre du plaisir de sentir son camarade se retirer.


Kevin était du genre câlin, il venait de jouir mais il restait câlin et attentionné envers son camarade, il l'embrassait dans le cou. Il continuait à le caresser avec maintenant beaucoup de douceur.


Djimmy se retournait, il regardait Kevin avec là encore une certaine passion. Je le savais, Djimmy avait toujours ce regard amoureux après s'être fait enculer. J'aimais bien ce regard un peu bête, il me donnait toujours envie de recommencer.


Ceci-dit, j'étais en forme et j'étais prêt à le faire, je bandais comme un fou, pour ce qui est de pisser là je ne pourrais pas faire comme je voulais. Et je n'avais pas l'impression que ça allait passer avant un long moment ou avant que je me vide les couilles.


Un instant j'avais compris qu'ils m'avaient repéré mais là il m'avait sans doute oublié.


Djimmy se rapprochait de Kevin qui le prenait dans ses bras et ils s'embrassaient tendrement.


C'est sûr, ils m'avaient oublié, ils s'embrassaient, se caressaient, se câlinaient, aucun des deux ne couinaient plus, ils murmuraient.


Je ne savais plus quoi faire, nous étions trois dans un couloir, deux étaient entièrement nus et moi qui bandait comme un fou, je me demandais ce que je faisais là.


Kevin se retournait alors vers moi et me lançait.


  • Je te laisse la place si tu veux, moi je vais prendre une douche …


C'est vrai que je bandais donc je vous laisse imaginer la suite.



A suivre



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Branlette au sport Ep06 Des volontaires suivent

 

Branlette au sport Ep06

Des volontaires suivent



Personne n'avait cours le lendemain et la soirée à un peu traîné. Nous étions dis huit, les douze membre de l'équipe comme vous savez et les six remplaçants, qui jouaient à tour de rôle bien sûr comme tout le monde le sait.


Il y avait au milieu de cette bande de jeunes un peu énervés, sept mecs presque à poil, il s’exhibaient joyeusement, et tout le monde criaient, chantaient, dansaient.


Ils avaient vraiment l'air de se sentir bien dans leurs cages de chasteté.


Je regardais ça, je bandais comme un fou, là je vous jure je ne contrôlais plus rien. Je n'étais pas à poil mais la vue de ces sept corps magnifiques, musclés et fermes, de leurs culs fermes et de cette petite cage qui laissait apercevoir leurs queues comprimées.


Elles prenaient tout la place disponible. On voyait les bourrelets de peau qui dépassait. Et ces couilles toute fraîche, je veux dire par là toute lisse. Même Daniel qui était le dernier et ne semblait pas avoir prévu devait y penser depuis un moment, il avait lui aussi les couilles parfaitement épilées.


Les cages n'étaient pas si petites que ça en fait. C'est vrai que les porteurs étaient bien montés, j'avais pu le constater à plusieurs reprises. Les bites s'y étaient installées, et à voir le visage des bonhommes, ça semblait confortable.


Pour moi comme je vous le disais, ce n'était pas le grand confort, il y avait une sorte de crampe dans mon pantalon. Je finissait par relever ma bite contre mon ventre en prenant soin de ne rien laisser dépasser, ça allait mieux.


La fête s'était terminée un peu tard et le lendemain je me réveillais à côté de Djimmy.


J'étais allongé sur le dos, il était allongé sur le dos lui aussi. Je ne me souvenais pas vraiment de la fin de la soirée, puis brusquement la panique, je ne sais pas ce qui m'a pris, une grosse panique … Et si …


Je glissais ma main sur mon ventre et rapidement j'étais rassuré, je n'avais pas mis de cage à bite, ma jolie petite queue s'étalait sur mon ventre et commençait à bander. C'était sans doute un rêve qui avait provoqué ces quelques secondes de panique.


Je caressais alors tout doucement le ventre de mon camarade, en essayant de ne pas le réveiller. Il continuait à dormir et poussait toutefois un tout petit soupir, à peine perceptible, puis il soufflait avec la bouche, là encore un tout petit souffle.


Je sentais ses muscles, il en avait plus que moi, il y en avait partout sur son ventre, je m'en amusais. Toute l'équipe était comme ça, mais là, j'y faisait attention. Il avait la peau douce et ma main glissait vers le bas de son ventre. Ce n'est pas sa bite que je trouvais, elle aurait dû être là sans sa cage.


Je continuais et j'arrivais à la base de sa queue, juste sous l'anneau, j'appuyais doucement, elle était bien ferme. Il bandait et sa cage se relevait sous la pression mais pas complètement. C'est ce que je constatais rapidement. Je continuais mon exploration et arrivais à ses couilles.


Sous l'effet de la chaleur elles pendaient entre ses jambes légèrement écartées. Puis sa main se posait sur la mienne et remontait le long de mon bras. Il se réveillait, je tournais la tête vers lui, il me souriait, je lui rendait son sourire.


Sa main arrivait sur ma queue, il la caressait, il me tripotait un peu les couilles également. J'avais l'impression que ma queue bandait encore plus mais je ne pense pas que c'était possible.


Je me retournais vers lui et le prenais dans mes bras. Nous nous embrassions et nous caressions avec nos lèvres, avec nos mains, nos bras et nous jambes même. Je passais une jambe par dessus son bassin et la repliais sur ses fesses, je le tirais vers moi. Il ne résistait pas et dès que je relâchais un peu, il plongeait sous les couvertures et me prenais la queue dans la bouche.


Je le laissais faire et reprenais la position confortable que j'avais au moment ou je m'étais réveillé.


Sa main continuait à glisser sur mon torse, et sa langue glissait sur ma queue. C'était incroyablement agréable.


Vous savez tout ça, c'était nouveau pour moi, je n'était plus puceau depuis un bon moment mais … Bon, d'accord, c'était depuis l'autre jour et c'est le petit gars qui me suçait la queue, celui qui m'avait dépucelé. C'est vrai que maintenant je m'y crois un peu. Remarquez je ne m'en sortais pas si mal, j'étais dans un grand lit bien douillet qui n'était pas le mien et je me faisais sucer la queue …


Il faisait ça bien, quelques jours plus tôt seulement je ne savais à quel point c'était agréable. Cette caresse sur mon gland était d'une incroyable douceur. Il avait la langue habile, elle passait, repassait sur ma queue, et moi je bandais de plus en plus.


En réponse je lui caressais les cheveux, par moment j'appuyais sur sa tête, il avalait ma queue comme il pouvait, il faut dire que je suis bien monté, mais ça ne semblait pas le déranger, il avalait.


Son nez s'écrasait sur mon ventre, sa langue me caressait. Il se relevait pour respirer et en se relevant sa langue passait sur ma queue, sur mon gland et m'arrachait quelques gémissements de plaisir supplémentaire.


Il aimait sucer, moi je ne l'avais jamais fait. Je me prenais à imaginer comment il fallait faire, je fermais les yeux et m'imaginer à sa place. Ma queue était devenue la sienne, et c'est moi qui me penchais dessus et la prenais dans ma bouche. Je rêvais que sa queue, en fait c'était la mienne dans ce rêve, glissait dans ma bouche, sur ma langue, en fait c'était bien ma bouche, c'était bien ma langue.


Je m'imaginais que ces instants de plaisir qu'il me donnait, c'était lui qui les recevait et que c'était moi qui les lui donnais. Mes gémissements devenaient les siens et quand je frémissais, c'était lui qui frémissait.


Le plaisir montait, c'est donc ainsi qu'on peut jouir en suçant une belle queue. Je me laissais faire, ou alors je suçais, je ne savais plus, je tremblais et je finissais par crier au moment ou j'éjaculais, car c'est bien moi qui éjaculais dans la bouche de mon partenaire.


Chacun reprenait son rôle, je jutais avec force à plusieurs fois. Il ne relevais pas la tête et avalait tout, en fait il n'avait pas le choix, je lui maintenait la tête en appuyant avec force sur ses cheveux. Je ne m'en rendais même plus compte tant je m'abandonnais à mon plaisir, à mon seul plaisir.


C'était moi qui me faisait sucer et j'aimais ça. J'avais pris mon pied.


Un instant je me disais qu'il faudrait que je lui rende la politesse, puis je me souvenais qu'il portait une cage à bite. Je me disais alors qu'il pourrait recommencer, à chaque fois qu'il en aurait envie, ou peut être à chaque fois que j'en aurais envie !


Il relevait la tête avec force au moment ou je le lâchais.


  • Mais tu veux me tuer ? Je ne pouvais plus respirer ! Râlait-il.

  • Mais tu n'as pas besoin de ça ! Lui répondais-je.


En y repensant je me demande si j'avais bien compris ce qu'il me disait. Il l'a bien pris, il avait survécu donc tout allait bien !


Je me sentais tellement bien que je me moquais de tout le reste, je relevais la tête et lui donnais un baiser sur ses lèvres. Il se blottissait contre moi, en râlant un peu certes, mais il se blottissait tout de même contre moi et me câlinait.


Son corps était chaud, sa peau était douce. Tout doucement, tout comme on se caressait, tout doucement on discutait et on continuait à apprendre à se connaître. Il me racontait comment il en était arrivé à porter sa cage à bite. J'étais très surpris d'apprendre ce qui s'était passé avec le coach.


Nous avions du temps libre, plusieurs jours d'affilé aussi nous décidions de les passer ensemble. On a mangé ensemble pendant deux jours, on s'est câliné l'un l'autre, on est sorti faire du sport ensemble, on a pris nos douches ensemble, on a fait … Enfin je l'ai enculé … Mais là aussi on était ensemble.


C'était un moment de bonheur incroyable, sentir son anus résister face à mon gland. J'aimais cet instant à la fois de force et de douceur mais toujours de folie, au moment ou il lâche et s'ouvre pour me laisser le passage.


J'adorais ce gémissement ou ce gloussement, je ne sais vraiment, qu'il poussait au moment ou mon gland s'introduisait lentement, j'avais vite compris qu'il fallait y aller doucement, tout doucement.


Puis comme un murmure silencieux, comme un souffle ma queue glissait contre les parois de son anus puis plus profond dans ses entrailles. Je ne comprenais toujours pas vraiment le plaisir qu'on pouvait ressentir dans cette position, je veux dire la sienne. Il était étroit et je sentait une caresse serrée, étroite sur toute la longueur de ma bite. Une caresse qui ne cessait même pas au moment ou mon ventre s'écrasait contre ses fesses.


Là il se contractait, là il tremblait, là il gémissait avec force. Je me retirais rapidement avant de revenir avec un peu plus de force. Le but était de le faire couiner, il gémissait doucement. Je me retirais de nouveau et revenais encore plus fort. Après plusieurs mouvements de ce genre, il couinait, je vous jure qu'il couinait. Je le sentais trembler dans mes bras, on restait au chaud mais il tremblait.


C'était moi qui le faisais trembler, je ne m'étais jamais senti aussi mâle. J'étais l'homme, le mâle dominant, j'étais virile et mes mouvements devenaient rapidement aussi rapides que violents.


Là il ne couinait plus, il gueulait.


Il ne tentais pas de se dégager, il s'accrochait à ce qu'il trouvait. C'était un bout de drap, aussi inutile qu'inefficace. Au dossier d'un fauteuil, là ça devenait plus sérieux ou encore la table du salon, là ça marchait bien, elle était bien lourde.


N'oublions pas que j'avais dit ' plusieurs jours d'affilé ', ne vous étonnez pas si je parle de plusieurs endroits mais on l'a fait plusieurs fois.


Je finissais par bien connaître ses réactions, je finissait par savoir ce qu'il aimait. Jamais nous ne nous sommes demandé quand il serait libéré, je n'avais pas envie qu'il le soit même si j'avais envie, par moment, qu'il me fasse connaître le plaisir que je lui donnais.


Je ne vous cacherai pas que j'avais un peu peur de me faire défoncer le cul. La manière dont je m'y prenais devait être douloureuse, et la douleur me faisait peur, surtout que je savais maintenant qu'elle faisait aussi partie du plaisir.


Et puis, vous en conviendrez, cette situation n'avait rien de désagréable pour moi !


Deux jours plus tard, il y avait entraînement. On s'y rendait ensemble, toujours ensemble. On nous a fait courir, sauter, grimper à la corde, porter des charges … Bref, encore une fois on terminait sur les rotules.


Encore une fois on se retrouvait sous la douche. Sept mecs bien bâtis, bien viriles, avec une bite en cage et onze mecs bien bâtis eux aussi, bien viriles, peut être plus que les premiers car eux gardait une belle grosse bite qui se balançait et qui était prête à servir.


Je m'attardais sur les couilles de mes copains, les sept qui portaient un dispositif, bien sûr, exhibaient une paire de couilles bien lisses. Je remarquais aussi que plusieurs autres, je ne parvenait pas à en être sûr, mais il me semblait bien que cinq s'étaient épilé les couilles.


Je bandais comme un fou de nouveau, pourtant je commençais à m'habituer à cette situation.


On terminait, on se séchait, on se rhabillait, on discutait fort en faisant tout cela puis on se retrouvait dans le club-house.


  • Vous allez aimer ça ! Déclarait le coach. Il y a de nouveau volontaire qui m'ont demandé de porter une cage de chasteté.



A suivre



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Branlette au sport Ep05 A fond l'entraînement

 

Branlette au sport Ep05

A fond l'entraînement



Pendant les jours qui ont suivi, je ne pensais plus qu'à Djimmy, je n'étais plus puceau et j'étais content. J'avais défoncé un cul, et en plus c'était un beau cul.


Djimmy occupait mes rêves et mes pensées depuis ce soir là, et lors de la séances d'entraînement suivant je ne pouvais pas détacher mes yeux, je le fixais. Ce n'était pas le meilleur joueur de l'équipe, et de loin, mais il ne s'en sortait pas si mal. En tous cas, il y mettait du cœur, il en voulait.


On m'apprenait que quelques semaines plus tôt seulement il était le dernier, le plus nul de toute l'équipe. Il avait clairement progressé depuis qu'il portait son dispositif de chasteté.


Jeff et Bobby semblaient plus décidés, plus concentrés. Ils portaient eux aussi un dispositif de chasteté depuis deux jours.


Tout comme la première fois l'entraînement était intense, on terminait sur les rotules et en sueur. J'étais à la fois inquiet et excité au moment de la douche. J'adore voir tous ces corps nus et dégoulinants qui s'activaient, se recouvraient de savon et de shampooing. J'adore tout particulièrement ces grosse queue, bien massives, bien lourdes qui prennent un peu de volume juste sous l'effet de la chaleur et se balancent à chaque mouvements.


Il y avait aussi à chaque fois ces grosses couilles bien lourdes elles aussi, qui pendaient et bougeaient en suivant leur bite maîtresse.


Il y avait aussi ces trois paires de couilles qui n'avaient plus leur grosse bite pour les accompagner. Oh elles n'étaient pas bien loin, elles étaient bien enfermées dans une cage. Elles n'avaient pas disparues, on les voyait moins, c'est tout, vraiment moins. La cage était noire et disparaissait sous la touffe de poils.


Les porteurs étaient épilés, et gardaient une épilation parfaite mais juste sur les parties génitales. Djimmy m'expliquait qu'il s'épilait juste a partir de l'anneau et tout ce qui passait dedans devait être totalement dépourvu de poil.


Seuls les poils de la bite et des couilles étaient retirés. La touffe restait intacte, c'était plus discret sous un maillot par exemple mais là, sous la douche on ne voyait plus que ça, enfin on ne voyait plus que les couilles qui devenaient alors particulièrement visible.


Avec la cage les couilles devenaient plus fermes le plus souvent. Il fallait l'effet de la chaleur de la douche pour qu'elles pendouillent, ils étaient particulièrement sexy ces trois là. Sexuellement neutralisés mais terriblement attirants.


Et moi, comme la première fois, moi, je bandais.


Je crois qu'il faudra te mettre en cage toi aussi ! Me criait Kevin.


Il me sautait dessus et en me saisissait dans mon dos. Il en profitait pour me tripoter les couilles et la bite, il rigolait, je me défendais, on chahutait, il n'y avait pas de violence mais vous imaginez bien que c'est pas ce genre de contact qui risquait de me calmer.


Quand il me relâchait, je bandais encore plus et je n'étais plus le seul, il avait lui aussi une bite de compétition qui se relevait.


J'ai toujours du mal à rester totalement détendu quand je me met à poil, sauf si je suis seul dans ma chambre ou dans ma baignoire. Dans les douches public comme ici, je ne parvenait pas facilement à me retenir de bander, et si en plus on me taquinait, là c'était fini. Ma queue pointait vers le pommeau de douche le plus près, juste au dessus de ma tête.


C'était une belle grosse bite qui se manifestait et quand je dis ma petite bite, ce n'est qu'une façon de parler. En fait elle est bien grosse mais nous sommes tous dans la même situation dans cette équipe. On est tous bien monté.


Je me savonnais, comme il convient. Je me shampooinais, bien comme il faut le faire. Je penchais la tête en arrière et je me rinçais les cheveux.


Justement, pour moi ce n'est plus nécessaire ! Disait Kevin sur un ton agacé.

Ça ne change rien, tu devrais essayer ! Lui répondait Jeff sur un ton insistant.


Je n'ai pas entendu le reste de la discussion, Kevin ne bandait plus, il s'était calmé, moi pas, et quelques autres bandaient également.


Un bon bandard en fait bander vingt. Me lançait Fabien.


Il était juste derrière moi, il se rinçait les cheveux, il bandait lui aussi.


Tu sais avant que tu n'arrives c'était plus calme sous la douche.


Je me retournais vers lui, oui je sais je bandais mais je préférais ne plus y faire attention.


On arrivait à se tenir, mais depuis que tu es là, c'est plus pareil et puis il y a cette nouvelle coutume.

En quoi est-ce une coutume, il y a trois mecs qui portent une cage de chasteté et alors ?

Alors … Djimmy était nul à chier, il a tellement progressé qu'il à fait monté la moyenne de toute l'équipe rien qu'en s'améliorant lui même. Et ça ne fait pas beaucoup plus d'un mois.

Et alors ? Demandais-je.

Voilà, j'ai entendu le coach …

Oui.

Depuis que le champion Djé Brosso fait la promotion des cages à bite, depuis qu'on peut en constater les effets sur les performances sportives …le coach va peu à peu le proposer à toute l'équipe.

Hein !

Alors profites en pour bander tant que tu peux !


Mais comment avait-il appris ça. Et puis moi je n'avais pas vraiment envie de me mettre un truc pareil sur la bite. Bon, je ne dis pas que je ne pourrais pas me dévouer, mais les conditions, selon la fondation Brosso, étaient un peu définitives. Elles se résumaient à ' pour toujours ' .


Mais finalement, ce n'était peut être un ragot, il y en a toujours plein dans ces milieux. Milieux sportifs je veux dire … ( vous pensiez à quoi ? Note de l'auteur ).


Ça ne m'a pas fait débander toute cette histoire.


Je n'ai commencé à me calmer qu'une foi parfaitement séché et habillé. Le coach nous attendait, en fait il était passé par les douche pour tester la température. Ce gars savait tout, il voyait tout, il entendait tout et il nous connaissait tous, moi, il me découvrait, j'étais le seul qu'il ne connaissait pas encore.


Il était installé au bar, préparait des cocktails vitaminés sans alcool. Sur le mur, au fond de la salle il y avait cette affiche de la PK Compagnie. Une affiche publicitaire, il ne me semblait pas qu'elle était là l'autre jour.


Il nous servait à boire, c'était bon finalement son truc. Pas de médicament d'aucune sorte, c'était contraire à l'étique, mais par contre des produits naturels à base de fruits.


Puis on a discuté, lentement le coach emmenait la discussion sur nos amis qui étaient en cage. Il les faisait parler, se confier. Tout se passait bien pour eux, ils avouaient ressentir comme une frustration, mais une bonne frustration qui les motivait.


Et vous, Rémi, Jonathan, Philaé, vous en dites quoi ?


Les trois garçons qu'il avait nommé se tortillaient, se retournaient l'un vers l'autre. Puis Rémi prenait la parole


Ma copine m'a dit qu'elle était d'accord mais à condition de garder les clés.


J'étais vert, '' Fabien a donc raison '' me disais-je.


Et toi tu en pense quoi? Rajoutais le coach. Pour les clés, pendant la saison des match, c'est moi qui les garde, c'est comme ça. Mais le reste de l'année je veux bien les lui donner. Elle devra venir en parler avec moi !

C'est ce que je lui ai dit.


Le coach regardait tous nos visages. J'étais un peu perturbé au moment ou il me regardait, j'avais l'impression qu'il me regardait avec insistance. Mais ce n'était peut être qu'une impression.


Ma copine aussi ! Déclarait Philaé avec une toute petite voix.

Moi ma copine m'a largué ! Concluait Jonathan.

Vous êtes tous d'accord, il faut penser à l'équipe et la baise, vous aurez tout le temps pour ça ...


Les trois garçons s'approchaient du coach, il y avait encore un silence de mort. Le coach ouvrait un tiroir, on entendait un drôle de bruit de succion, tous les regards se retournaient vers Kevin, c'était lui qui avait un problème avec sa paille …


Oh pardon ! S'exclamait-il en relevant les yeux.

On reprenait.


Le coach posait sur le bar trois dispositif complet. Chacun des garçons en prenait un. Ils n'étaient pas vraiment pressés, ils inspectaient le dispositif avec attention, ils le découvraient.


Ce sont les nouveau dispositifs ? Demandait Jonathan.

Ce sont les nouveaux modèles, garantis confort. Expliquait le coach.

Ce sont les modèles mis au point par Djé Brosso en personne ! Rajoutais Rémi. Tous le monde le regardait et il rajoutait. Bein quoi, je me suis documenté …


La tout le monde éclatait de rire et le pauvre Rémi se faisait tout petit.


Finalement c'est Philaé qui baissait son pantalon, il faisait face à ses camarades, sans attendre il passait ses couilles dans l'anneau. Ses amis baissaient également leurs pantalons, ils avaient juste un mouvement de retard.


Moi aussi je suis volontaire, ça fait un moment que j'y pense et … S'exclamait Daniel.


Imperturbable le coach sortait un quatrième dispositif.


En effet il était décidé le petit Daniel ( un mètre quatre vingt douze ), c'est d'une manière presque frénétique qu'il procédait, il baissait son pantalon, glissait ses couilles et sa bite dans l'anneau puis sans attendre, comme en apnée, il glissait sa queue dans la cage et refermait le tout.


Rémi, Philaé et Jonathan en étaient toujours au même poins, toutefois personne ne bandait. C'est Jonathan qui concluait ensuite. Ses deux autres camarades le suivaient quelques instants plus tard.


Ils se retournaient tous les quatre ver le coach qui leur donnait à chacun la clé et le cadenas. Chacun glissait son cadenas dans la fente prévue, tournait la clé, ce qui la libérait du cadenas et la donnait au coach.


Il ouvrait le coffre, le grand coffre, celui qui est fermé à clé et en sortait une bière, il se retournait vers l'équipe.


Bon là chacun va se servir !

A poil tous les porteurs du dispositif ! S'exclamait Djimmy.


Je me suis brusquement retrouvé à l'étroit dans mon pantalon, je me suis mis à bander en voyant ces sept corps magnifique, encore plus beaux et plus sexy avec le dispositif de chasteté sur eux. J'avais envie de craquer, un instant j'ai pensé me porter volontaire pour un dispositif également mais ça aurait été inutile, je bandais et jamais je n'aurais réussi à y glisser ma bite, elle n'aurait jamais voulu.



A suivre



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Branlette au sport Ep04 Il n'y a pas que la branlette dans le sport

 

Branlette au sport Ep04

Il n'y a pas que la branlette dans le sport



J'ai un peu sursauté, le contact était tellement doux, tellement léger tout d'abord que je n'ai pas compris mais quand j'ai réagi je n'ai pas bronché. Je baissais les yeux et je le voyais agir, ma queue qui était pourtant de belle taille disparaissait complètement dans sa bouche. C'était une première, j'y avait souvent pensé, j'avais souvent penser faire ça avec un mec mais je n'avais jamais osé passer à l'acte.


Vous ne le répétez pas surtout, j'avais vingt ans à l'époque, mais j'étais encore puceau.


C'était comme une caresse dont je n'aurais jamais pu deviner la douceur. Ma queue se retrouvait envelopper totalement, je sentais ses lèvres qui se déposaient sur la base de ma bite, un peu comme un anneau terriblement doux, un anneau trop grand ou une caresse infinie.


Ma queue glissait lentement dans sa bouche. Oulala, je ne vous dis pas mais si vous n'avez jamais essayé, n'attendez pas plus. C'était divin, fantastique, merveilleux.


Au moment ou son visage s'écrasait contre mon ventre, je sentais mon gland s'écraser sur quelque chose d'incroyablement doux. C'était sa glotte, le fond de sa gorge ? Je ne sais pas mais j'ai vraiment beaucoup aimé, sans même m'en rendre compte je lui caressais les cheveux, il me laissait faire et par moment j'appuyais, j'appuyais fort.


Il ne pouvait plus respirer mais moi j'aimais bien ce qu'il me faisait aussi, je m'en moquais un peu. Je ne le lâchais que quand il se débattait, et sans m'en rendre compte je finissait par l'obliger à garder ma queue dans sa bouche.


Je n'avais pas vraiment envie de le lâcher, c'était trop bon. Il ne semblait pas vraiment apprécier mais on ne va pas s'arrêter à si peu. Ou alors c'est parce que je lui tripotait les couilles un peu trop fort. Ça aussi, c'était trop marrant.


La base de son pénis était dure, il bandait, à toucher ça ne faisait aucun doute mais ses couilles, elles, pendouillaient lourdement. C'était la première fois que je tripotais des couilles qui n'étaient pas les miennes, et ça aussi j'aimais bien.


Sur ma lancée je parcourais son corps, je lui caressais le dos puis je descendais sur ses fesses. Régulièrement je revenais à ses couilles, en les malaxant je pensais à nos deux camarades Jeff et Bobby, ils devait certainement être dans le même état que lui.


Pour eux c'était nouveau, pour lui, Djimmy c'était déjà une situation normale, je me demandais seulement ce que ça faisait.


Mais dis moi Djimmy, ça fait quoi de ne plus pouvoir bander, le plus dur à supporter …


Il relevait la tête et me regardait.


Tu es bien sûr de vouloir parler de ça maintenant ?

Oui OK, tu as raison …


Il continuait à me regarder.


Tu peux continuer si te plé, c'était très bon. Lui demandais-je.


Il replongeait, de nouveau il avalait ma queue avec tendresse. Je n'osais plus appuyer sur sa tête, il semblait apprécier. Au bout d'un moment il relevait la tête.


Et si on passait à autre chose maintenant ?


Je continuais à le caresser, j'insistais sur ses fesses et doucement je tentais d'y glisser un doigt. Il se raidissait tout de suite.


Pas à sec, ça fait mal !


J'arrêtais en sursautant. Il me donnait alors un peu de gel.


Vas-y avec ça, là ça glisse tout seul.


J'étais peut être encore puceau à cette époque mais pas idiot et je savais à quoi ça servait. Je lui en mettais un grosse goutte sur son petit cul et aussitôt y glissait un doigt, il gémissait de plaisir, il avait ma queue dans la bouche et un de mes doigts dans le cul, il aimait, j'y mettais un deuxième doigt, puis je les agitais vigoureusement.


Il gémissait encore plus fort, il relevait la tête et dans ses yeux je voyais le plaisir que je prodiguais. J'agitais mes doigts plus vite, je repérais sa prostate ( puceau peut être mais je me suis quand même documenté) et la tambourinais avec un doigt, puis avec les deux.


Son visage retombait sur mes genoux, il gémissait tellement qu'il ne pouvait plus me sucer.


Je continuais le traitement pendant encore un moment puis finissais par me calmer. Il relevait la tête.


Maintenant tu m'encules !


Je n'hésitais pas une seconde, je me levais, me lubrifiais la queue, il prenait position appuyé sur le fauteuil, je me plaçais juste derrière lui. Avec la queue je lui caressais la raie du cul. Sans prévenir, je m'arrêtais juste au bon endroit et je poussais.


Il a crié, ma queue est entrée, il a crié encore, ma queue s'enfonçait d'avantage et glissait lentement. Il faisait une épouvantable grimace, il ouvrait la bouche en grand mais aucun son n'en sortait plus. Il respirait fort, on sentait qu'il devait en baver, en tout cas moi j'aimais bien.


J'étais content, je n'étais plus puceau, ce n'était pas prévu mais ce n'en était que mieux. C'était improvisé mais ça n'en était que mieux ! Je le sentais trembler entre mes bras, je m'enfonçait complètement en forçant. Ça résistait, je forçais plus fort et mon ventre s'écrasait sur ses fesses.


Je le tirais vers moi, et je poussais mon bassin contre lui. Il ne respirait plus !


Non il n'était pas mort, je vous rassure, il était juste un peu saisi. Il retrouvait sa respiration peu de temps après.


C'est au moment ou je me retirais pour lui limer le cul joyeusement qu'il a réagi. Il s'est mis à gémir de nouveau à chaque fois que mon ventre s'écrasait sur ses fesses, je me laissais aller, je devais arborer un large sourire de satisfaction et je me laissais aller.


Je m'enfonçais et me retirais de plus en plus vite et plus violent. Je me retirais totalement, marquais une pose et revenait en un mouvement rapide et violent bien à fond. Mon ventre claquait sur ses fesses et il poussait un cri. Mais il encaissait, il ne tentait pas de se dégager, il encaissait. Je recommençais.


Le plaisir montait, j'avais l'impression qu'il montait plus pour lui que pour moi, je le sentais se tortiller, je sentais sa respiration qui devenait irrégulière et de plus en plus fort.


Mais c'est moi qui ai joui en premier, enfin en premier je ne sais pas, mais j'ai joui comme un fou, j'ai éjaculé, à chaque jet je lui donnais un coup de bassin violent et sec. Il était là à genoux devant moi, je me laissais tomber sur son dos.


Moi aussi je respirais fort, je n'étais plus puceau, je me sentais bien.


Je sentais son anus qui se contractait autour de ma queue, c'était bon. Là je finissais enfin par débander, ça faisait un moment que ça durais si vous avez tout bien suivi. Ma queue ressortait d'elle même, elle prenait toujours du volume, mais était devenue toute molle. J'avais une grosse molle qui pendouillait, mes couilles en faisaient autant.


Je me laissais tomber sur le côté, il s'écroulait de l'autre côté, on se retrouvait face à face sur le tapis. Il me souriait, moi j'étais aux anges et je lui souriais.


On récupérait, on ouvrait une autre bière …


Raconte ! Lui demandais-je. C'est quoi le plus dure quand on porte un truc pareil.

Le plus dur c'est de le sentir tout le temps.

C'est pas de ne pas pouvoir jouir.

Non, ça c'est pas vraiment gênant en fait.

Même quand tu passes ton temps à te branler.

Même ! Rajoutait-il en rigolant.


Je restais un peu dubitatif de sa réponse, moi je pensais toujours que le plus dur c'était de ne pas éjaculer, on se sent tellement bien après. Je terminais ma boisson et me laissais aller. Je me suis réveillé en pleine nuit, j'avais un petit coussin très confortable sous ma tête, une couette sur moi et Djimmy, il était blotti contre moi, il dormait.


Voyant que la situation n'avait rien d'inquiétant, je me rendormais.


Il faisait jour quand je me réveillais, Djimmy était dans la cuisine il préparait le petit déjeuner, c'était une cuisine ouverte et je pouvais le voir. Il était toujours entièrement nu. Il remarquait que je me réveillais.


J'aime bien me balader à poil quand je suis chez moi ! Me lançait-il. Tu viens j'ai fais des gaufres …


Je me levais, je bandais, ma queue se redressait à la verticale. Je me montrais dans cet état à mon nouvel ami.


C'est le moment le plus dur de la journée. M'expliquait-il. Au réveil on ne contrôle rien, en plus il y a eu de la pression sur la queue et toujours au même endroit. Il faut la réajuster. Là c'est pas facile.

Si tu veux je me couvre.

Non, j'adore voir un mec bander. Surtout au milieu de mon appartement.

C'est dur là ?

Ça va mieux, ça fait un moment que je suis réveillé. Il paraît que avec le temps tu finis par trouver très agréable, même ce moment de la journée.

Et tu vas garder le truc combien de temps ?

Je suis un branleur, il vaut mieux que je reste sous contrôle.

Oui mais tu vas te marier un jour.

Je lui donnerai la clé et le contrôle sur ma sexualité, un contrôle total.

Tu crois que tu vas facilement trouver une fille qui voudra de toi dans cet état ?

Mais qui te parles d'une fille.


Là il m'avait cloué le bec.


Il me faut un mec, et bien monté en plus, il me faut de la queue et de la grosse. Je pensais que tu l'avais compris.

En fait je crois que j'ai rien compris, mais rien compris depuis cette séance d'entraînement. Mais nos amis Jeff et Bobby, ils vont garder le truc combien de temps ?

Au moins six mois, la saison commence juste et ils ont prévu de le garder jusqu'à la fin de la saison sportive.

J'y crois pas.

Tu aurais vu comment ce truc m'a transformer en à peine plus d'un mois.

J'imagine, sur le terrain, tu étais un branleur maintenant tu es presque bon.

C'est ça rigole ! J'ai fait des progrès incroyable.

Et les grosses bite c'est pour ton cul ?

Tu verrais le coach à poil, il en a une belle lui aussi.

Ah parce que le coach aussi ?

En fait c'est comme ça qu'il m'a convaincu à garder le truc au début. Maintenant … je sais pas pourquoi je le garde … Sans doute parce que je sais que c'est bon pour moi !

C'est bon, comment ça, c'est bon ?

Mes performances sportives augmentent, c'est pas croyable.

C'est pour ça que Jeff et Bobby on voulu en porter un de ces truc aussi.


Que dire d'autre pour cette première journée, on s'est quitté un peu plus tard, on se reverrait, ça c'est sûr …


Ah ! Et puis aussi il sait faire des super gaufres …



A suivre



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