Avec Marc 03

 Avec Marc 03



Cette attention lui avait beaucoup plu. J'ai tourné le dos quelques instants et la clé avait disparu. Je ne l'ai pas encore revue depuis …


– Alors c'est moi qui commande ? Me demandait-il.

– Eh ! Attention je ne suis pas ton esclave, je suis pas à ton service !

– Tu me donnes juste le droit de cuissage alors ? Ça ira, c'est déjà bien … Je prends !

– On peut voir les choses comme ça.


On a déjeuné. On a discuté. 


– Tu sais, c'est rare un cul comme le tien ou je peux rentrer entièrement.

– Tu n'en avait  jamais trouvé avant ?

– Chez les fille non jamais ! Chez les mecs, j'en ai déjà trouvé plusieurs qui voulaient bien essayer mais ils avaient tous les yeux plus gros que le ventre.

– Des petites natures.

– Il y en a un en particulier qui voulait absolument de ma queue mais quand j'en suis arrivé à la partie la plus épaisse il a hurlé, il s'est dégagé et il s'est sauvé en courant.

– Des petites natures je te dis.

– Franchement tu m'as impressionné.


Moi aussi il m'avait impressionné, je l'avais senti passé et ça me faisait toujours la même sensation que je le voyais. Quand je voyais sa queue énorme je veux dire, quand je la voyais prendre du volume, plus grosse qu'une canette de caca cola, plus longue que mon bras … Enfin peut être pas par contre là.


Quand il se levait, je ne pouvais détacher mon regard de sa queue, je regardais cette grosse, très grosse molle qui se balançait lourdement. Mais c'est vrai que même au repos, il avait toujours une grosse molle. 


C'était terrifiant à voir, je n'arrivais pas à croire que c'était ce truc que je m'étais pris dans le cul la veille au soir et je la sentais encore me déchire l'anus. C'était vrai en plus, je la sentais encore. Pas me déchirer le cul bien sûr, mais dans mon cul je sentait encore ce massage, comme s'il y avait encore une petite queue qui me caressait les entrailles.


C'était une sensation douce et agréable que j'ai gardé toute la journée. Il faut dire qu'il m'avait bien stimuler l'animal. Je n'avais pas vraiment envie qu'il recommence, je me sentais bien, comblé. Mais si jamais il voulait remettre ça, je savais que je le laisserais faire. Je serais pris d'une trouille incontrôlable, je gueulerais et pas que de plaisir mais surtout de plaisir … 


Là, à ce moment, je ne voulais pas mais je l'aurais laissé faire.


Il est allé se douché, je l'ai rejoint un peu plus tard, le temps de faire un câlin sous la douche et il devait repartir. 


J'ai pas mal réfléchi sur cette nuit et surtout sur ce matin. Je m'en étais remis à lui, je lui avait laissé mes clés. C'est vrai qu'il voulait que je garde mon dispositif de chasteté tout le temps. Et puis, si je n'en avais pas un en permanence justement, je me demande si j'aurais eu assez le feu au cul pour me prendre sa grosse matraque entre les fesses. C'est pas sûr ça.


J'ai revu Marc quelques jours plus tard à notre bar habituel. On a discuté un moment, on a bu quelques verres. Je me sentais tout frétillant avec l'envie de me faire défoncer le cul, il n'est pas resté longtemps, il travaillait, il était fatigué, il a préféré rentrer, je suis resté sur ma faim. 


Pas cool, j'avais l'impression de mouiller de désir à chaque fois que je le voyais. Je vous rassure c'est une manière de parler, je ne mouille pas, je suis un mec, un vrai, un mâle … Mais je sentais déjà mes entrailles se manifester sans savoir avec précision si c'était l'envie de me faire défoncer le cul ou la peur d'y passer. 


Sa queue était tellement énorme, plus large au milieu de sa longueur, bien plus large et ses vingt quatre centimètres de long. Ce soir là, j'étais frustré, j'avais le feu au cul et la cervelle en feu. Et j'étais dans cet état à chaque fois que je le voyais.


A la veille du week-end j'étais sorti, je n'avais pas vu Marc, personne ne l'avait vu. J'étais rentré tôt en me demandant si j'allais sortir en boîte. C'était un truc de fou ça. Jusque là je gérais bien ma cage de chasteté mais depuis que j'avais rencontré Marc, enfin depuis que nous étions intimes, je ne gérais plus rien. J'étais en manque, il avait, avec sa matraque démesurée, réveillé en moi des désirs, des envies, des besoins. 


C'est simple depuis que j'y avais goûté, le feu au cul. Mais un truc de fou comme ça ne m'étais jamais arrivé. Je commençais à regarder l'entre jambe des hommes que je rencontrait, tous les hommes que je rencontrais. Une bosse même légère, un repli de tissus et j'étais en manque.


Je crois que j'étais en manque en permanence depuis ce jour là.


Nous étions donc à la veille du week-end. Je venais de me coucher et j'entendais frapper à la porte, ça frappait même fort. 


C'était Marc !


C'est tout content et tout frétillant du cul que j'ouvrais la porte, il me faisait un grand sourire.


– Je ne te dérange pas ?


Je faisais non de la tête.


– J'ai emmené de la bière.


Puis quand il avançait je découvrais juste derrière lui un autre mec, qui tenait dans ses bras un gros pack de bière.


– Je te présente Nic.


Et sans me demandé mon avis, il entrait et Nic le suivait. Il me saluait au passage. Je refermais. J'étais content de le revoir, bon il n'était pas venu seul, mais on terminerait certainement la nuit entre nous. Moi dans ses bras, lui dans mon cul.


J'arrivais dans le salon, ils étaient déjà installé et Nic ouvrait un troisième bière. Il était costaud le petit bonhomme. Je dis petit, il était plus petit de Marc mais il était aussi bien plus large. Le torse, les bras, les jambes étaient larges il avait une bonne tête, je le trouvais assez sexy, surtout qu'il avait une belle grosse bosse là ou il fallait.


– C'est lui le mec dont tu m'as parlé ? Demandait Nic à Marc.

– C'est lui !

Je les regardais l'un puis l'autre et prenait la bière que Nic me tendait.


– Et il a dit quoi sur moi ?

– Tout, je lui ai tout dit. Répondait Marc. 


Nic rigolait à cette réponse, j'avais un peu l'ai inquiet et fronçais les sourcils.


– Alors c'est toi qui à une petite bite ? Me demandait Nic avant d'avaler une grande gorgée de bière.

– J'ai pas dit qu'il avait une petite bite, en fait je sais pas comment elle est sa bite. Rajoutait Marc.

– Je voudrais bien voir …

– Vas y montre lui. Il devrait aimer et lui aussi il en a une énorme, pas comme la mienne mais énorme tout de même.


J'hésitais quelques secondes, j'avalais la moitié de ma bière, je me relevais et je baissais mon pantalon.


Nic regardait ça, il n'en revenait pas.


– C'est pas des conneries en plus !

– Si tu veux t'amuser un peu avec lui, vas y ! Ne te gène pas, je te le prête ! Déclarait Marc.


Là je tiquais.


Nic semblait amusé, il m'attrapait les couilles. Il me tirait vers lui, je suivais mais je râlais doucement … '' Éhhhh... '' . Il me tripotait généreusement les couilles et s'amusait avec ma cage, j'allais râler, pour de vrai cette fois quand il baissait son pantalon et dévoilait une bite énorme.


Décidément Marc savait choisir ses copains, et je ne râlais plus du tout, je laissais Nic faire, c'est vrai que j'avais été prêté !


Nic n'était pas constitué du tout comme Marc, il avait un gros gland, une grosse queue bien large et bien droite. Elle était bien moins longue que celle de Marc mais faisait tout de même ses vingt centimètres. Je commençais à m'habituer aux gros calibre et il n'avait pas le temps de me demander de me sucer que j'étais déjà à genoux devant lui à lui caresser le gland avec ma langue. 


Au niveau contact ce gros gland semblait plus agréable que celui de Marc mais il fallait voir si sa queue marchait aussi bien. Je sentais mon cul qui se contractait, ma queue qui protestait dans sa cage. Elle devrait être habituée depuis le temps. Je n'en tenais pas compte et prenait la queue de Nic plus profond dans bouche. Avec ma langue je caressais son membre qui glissait lentement dans ma bouche, finissait par s'écraser dans ma gorge et ressortait. 


Il appuyait sur ma tête, ça Marc ne me le faisait pas mais c'est vrai qu'avec lui c'était sans espoir. Avec Nic, ça passait. J'ai pas dit que ça passait facilement mais passait. Plus gros il n'y avait aucune chance mais là ça passait encore. Je ne pouvais plus respirer quand je l'avais à fond et il s'amusait à me retenir la tête, il ne me lâchait que quand il sentait que je paniquais. Là je trouve qu'il abusait mais bon, je ne vais tout de même pas passer mon temps à râler.


Il y en a je vous jure qui s'amusent vraiment avec pas grand chose. Là quand je retirait mon visage je râlait pour la forme. Il m'a fait le coup deux ou trois fois puis pour me faire taire il me lançait.


– Retourne toi je vais t'enculer …


Ça marche à tous les coups ! Je ne râlais plus du tout et je prenais position. Il avait une queue plus petite que Marc, mais ça restait dans les gros calibres et je savais que j'allais le sentir passer, je savais que ça passerait et là je frissonnait de désir.


Avec Nic, je me sentais tour drôle, avec Marc c'était terrible mais j'étais accro, j'avais comme l'impression qu'avec Nic ce serait pareil.


Il prenait position, l'angoisse me prenait à la gorge et pas que. Ma queue se réfugiait dans un petit recoin de la cage pour se faire oublier et mon ventre s'affolait. Il se lubrifiait généreusement et sans prévenir poussait. J'ai hurlé, j'ai voulu me dégager mais il me retenait.


Il s'enfonçait jusqu'au fond son ventre frappait mes fesses, et là je me sentais rempli, il m'avait fait mal mais j'en redemandais. Ça passait plus facilement qu'avec Marc, mais c'est vrai qu'il était moins large. Pour ce qui est de la longueur je ne sentais pas vraiment la différence. C'était énorme dans les deux cas.


Nic me retenait contre lui, il me relevait et passait un bras autour de mon cou, par dessus mon épaule. Il  m'embrassait avec tendresse et commençait à me limer le cul avec force. Je gémissais mais de plaisir à ce moment. 


C'était un plaisir intense, lui aussi il me remplissait bien, lui aussi il me dilatait bien le cul, la forme était plus régulière c'est tout. Il y allait avec force, lentement au début puis plus vite et encore plus vite. Par moment il poussait de toutes ses force contre mes fesses, il me soulevait presque. Là c'était violent. 


À d'autres moments il se retirait presque complètement, me donnait un baiser puis s'enfonçait d'un coup jusqu'à la garde, je vous jure que là aussi c'était violent, il poussait fort contre mes fesses puis recommençait. 


Je gémissait, je râlais, je faisais des grimaces. Il avait le visage juste à côté du mien, son menton appuyait sur mon épaule, il semblait apprécier. 


Puis il changeait de position, il appuyait sur mon dos et recommençait à me limer le cul. Il se donnait, je sentais les efforts qu'il faisait, il me tirait vers lui quand il s'enfonçait, il y mettait de la violence. Le plaisir me submergeait. Il était apparu au milieu de mon ventre, puis au niveau de mon anus et se répandait dans tout mon corps.


Là ce  n'était pas de simples gémissements que je poussais, c'était des cris, des râles étouffés, je manquais d'air.


Les derniers coups avant de jouir devenaient très violent. Puis il s'est détendu, il avait éjaculé, je ne disais plus rien, c'est lui qui râlait de plaisir.


– Marc avait raison. Tu encaisses bien toi.


Il se retirait, je jutais abondamment, je ne jouissais pas, ça c'était déjà fait. Il me gardait dans ses bras et on partageait alors un peu de tendresse. Puis on se dirigeait vers la salle de bain.


On n'avait oublié Marc dans cette histoire, il était à poil profondément endormi sur le canapé. Je jetais sur lui, un sorte de couverture très douce et c'est avec Nic que je me retrouvais au lit. J'ai bien dormi, je vous jure, j'ai vraiment bien dormi.


Il s'est amusé un moment à me tripoter les couilles, ça semblait l'amuser ce truc.


– Et ça te fait quoi exactement ce truc.

– Ça me donne le feu au cul, tu devrais essayer.

– Non ça c'est pas pour moi. Me répondait-il, puis il ne disait plus rien.



A suivre



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29 Avril 2022

 Jour 190








 Jour 189










Jeune adulte 04 Un appartement

 Jeune adulte 04

Un appartement


J'étais littéralement pétrifié de voir ça. Joshua lubrifiait généreusement le cul de son copain. Ils étaient tous les deux à moins d'un mètre de moi. L'un puis l'autre me jetaient un regard et me lançaient un grand sourire. Je voyais Joshua prendre position, je me rappelais la douleur que j'avais ressenti quelques instants plus tôt. Puis sans prévenir Joshua poussait sa bite bien raide contre le cul d'Alex.


Alex poussait un cri, un long gémissement qui semblait être un gémissement de plaisir. Je devinais son cul se dilater, ça me faisait presque peur, et la queue de Joshua s'enfonçait lentement mais fermement, glissait lentement mais avec force. Alex tournait le visage vers moi et je voyais une grimasse se dessiner sur son visage.


Dans mon corps, dans mon cœur et dans ma tête c'était la panique. Étonnamment dans ma cage, c'était calme. Je ne pensais plus du tout à ma bite. Elle s'était ratatinée, et à cet instant, la cage semblait bien trop grande pour elle. Je ressentais la douleur de nouveau et je me demandais comment il faisait pour supporter ça le pauvre Alex. Il n'avait fallu que quelques secondes pour que le ventre de Joshua ne s'écrase contre les fesses d'Alex. 


Joshua terminait avec un coup de bassin qui semblait particulièrement violent. J'aurais hurlé moi, je me serais sauvé, c'est d'ailleurs ce que j'avais failli faire. Ensuit Joshua poussait, il exerçait une forte pression contre les fesses d'Alex qui faisait une telle grimace que je ne pouvais pas deviner si c'était agréable ou douloureux. On s'habitue peut être à la douleur ?


Joshua faisait une pause, il ne bougeait plus son bassin, il se penchait sur le dos de son camarade qui tournait la tête en arrière, ils s'embrassaient alors. Ils échangeaient quelques mots que je n'entendais pas. Joshua embrassait et mordillait le dos de son camarade qui gémissait puis se retirait totalement. Alex à poussé un cri.


Joshua me montrait sa queue, je la trouvais encore plus grosse, et c'est ça qu'il lui avait enfoncé dans le cul. Sans prévenir Joshua recommençait ça. De nouveau avec un geste très rapide il s'enfonçait de nouveau dans le cul d'Alex, puis commençait à lui limer le cul, lui arrachant des gémissements de plus en plus forts.


Et là ça devenait fou dans ma tête, Joshua se retirait puis s'enfonçait puis recommençait. Ses mouvements étaient amples, très amples, par moment sa queue ressortait totalement, il l'enfonçait alors de nouveau avec force. Par moment il faisait claquer son ventre contre les fesses de son camarade qui râlait de plaisir, qui râlait fort.


Ma cervelle était en feu, je ne comprenais plus rien de ce que je voyais. Moi, à la place d'Alex je serais mort. Lui, il aimait ça il gueulait … '' Vas y défonce moi le cul !''. Il bandait, je pouvais voir sa queue relevée contre son ventre. Lui aussi en avait une grosse. 


Puis Joshua accélérait, son mouvement perdait en amplitude mais gagnait en vitesse. J'avais le vertige. Pendant de longues minutes, de très longues minutes Alex s'en prenait plein le cul. Son visage était rouge et exprimait une grimace, une grimace terrible, il respirait fort, il crispait les dents, et quand il ne respirait pas bruyamment il ne respirait pas. Il tenait le coup le pauvre, j'avais mal au cul de le voir ainsi.


J'avais peut être mal au cul mais je dois avouer que ça m'excitait, sauf que ma queue ne se manifestait toujours pas. Elle avait disparu, la trouille, elle avait sans doute trouvé une sortie à la cage et s'était sauvée. Enfin c'est l'impression que j'avais. J'aurais voulu être à sa place, à la place d'Alex je veux dire mais dans un même temps j'avais peur, j'avais une peur bleue de me retrouver à sa place. 


Les vas et viens de Joshua dans le cul d'Alex changeaient encore, le rythme restait soutenu, très rapide mais ils augmentaient en amplitude, de nouveau sa queue de Joshua ressortait puis revenait bien à fond mais il le faisait très rapidement maintenant. A chaque fois qu'il s'enfonçait totalement, son ventre claquait contre les fesses d'Alex, il claquait fort, sec, avec régularité et étaient accompagnés par les gémissements de la victime.


Joshua gémissait à sont tour, il gueulait et ses cris se joignaient à ceux que poussait déjà son partenaire Alex. Joshua jouissait, il éjaculait dans le cul d'Alex, ça durait son plaisir durait dans le temps. Je ne me souvenais déjà plus qu'on pouvait éprouver autant de plaisir en éjaculant.


Quand il se retirait quelques instants plus tard, un filet de liquide bland coulait du cul d'Alex qui éjaculait à son tour en poussant des cris de plaisir. Ça je ne m'y attendais pas. On peut donc jouir en ce faisant ainsi défoncer le cul. J'étais retourné.


Joshua se laissait tomber sur le fauteuil, Alex se laissait tomber sur le tapis en corde sur le sol, puis se retournait sur le dos, il ne bandait plus du tout, il venait d'éjaculer mais déjà il ne bandait plus. Ils étaient tous les deux complètement essoufflés. Ils récupéraient. 


Moi aussi je manquais d'air, je regardais ma cage avec l'impression qu'elle allait être vide … En fait non, ma queue prenait toute la place, elle s'était transformée en grosse molle, enfin quand je dis grosse c'est une manière de parler. Elle était vraiment molle par contre et n'exerçait aucune pression contre les barreaux.


J'étais retourné par ce que je venais de voir. 


Alex avait pris du plaisir et peut être plus que simplement du plaisir, il avait pris son pied. Je ne comprenait pas comment ça pouvait se faire, j'avais aussi une violente envie de connaître ce plaisir, j'avais envie de prendre sa place mais je n'y croyais pas … Je savais parfaitement que je  n'y survivrait pas.


Ils voulaient discuter et me demandaient mon avis, ce que je pensais de ce spectacle … Le problème c'est que je n'arrivais plus qu'à répondre avec des mots monosyllabiques. C'est pas ce qui se fait mieux pour discuter … 


C'est là que j'ai réagi, l'heure avait tourné, il fallait que je m'en aille. Je vous jure, arrivé à ce niveau je n'avais plus du tout envie de partie mais je n'avais pas le choix. Je me rhabillait rapidement et au moment ou j'allais sortir, Alex me demandait si ils me reverraient !


– Sûr …


C'est tout ce que je parvenait à articuler. 


Dans l'ascenseur je profitais des miroirs pour m'assurer que j'étais présentable, qu'on ne voyait, que je n'avais aucune trace de ce que je venais de vivre … Oui je sais, comme si le fait de voir deux mecs s'envoyer en l'air devait froisser mon pantalon ou mon blouson … Finalement à par ma tension artérielle, rien de devait laisser le moindre signe anormal …


Mais je pense que j'aurais certainement affolé un médecin qui m'aurait pris ma tension à ce moment …


Il fallait que je rentre chez moi, mais ça allait, je n'étais pas encore en retard. Je rentrais à la maison en marchant et c'est sans même m'en rendre compte que je me mettais à courir. Là ma queue se réveillait, là je réagissais de ce que je venais de voir. J'avais l'envie de faire demi tour et de leur demander de m'enculer, comme ça, comme des brutes, comme s'ils me violaient. Des idées stupides traversaient mon esprit, on survit bien à un viol. Alors pourquoi ne pas leur demander de m'attacher et d'abuser de moi. J'avais tellement envie de connaître ce qu'avait ressenti Alex, et comme j'avais peur et je savais que je ne le supporterais pas … Je me disais que si on m'attachait je serais bien obligé de tout encaisser, de tout subir, je n'aurais plus le choix.


Si ma queue s'était calmée un peu plus tôt, là elle se réveillait avec une grande violence. Elle ne semblait pas avoir envie de se calmer, heureusement rien ne se voyait, je pouvais le vérifier à chaque vitrine. Au moins de ce côté, tout allait bien.


J'avais faim, et j'ai mangé comme un goinfre ce soir là. Au moins mes émotions ne m'avaient pas coupé l’appétit.


Dans notre milieu, les hommes jeunes, après le passage à l'âge adulte ( quand ils portent un dispositif de chasteté ) ont pour habitude de quitter la maison de leurs parents. Pour moi ça allait faire un an, il serait bon d'y penser, il n'y avait pas d'urgence mais il fallait y penser … 


Pour mon frère c'était différent, surtout pour nos parents. En effet il avait fait le passage, il portait désormais un dispositif de chasteté mais il avait à peine plus de seize ans. Et nos parents ne voulaient en aucun cas le laisser livré à lui même, même si devant la loi il était adulte. Ils avaient donc longuement réfléchi au problème et me faisait une étonnante proposition.


Je pourrais avoir mon propre appartement mais je le partagerais avec lui, on s'entend très bien, par conséquent on pourrait donc habiter ensemble. Ils prévoyaient de nous louer une appartement de grande taille, je pourrais veiller sur lui, le guider, j'étais plus vieux, j'allais avoir dix neuf ans …


L'idée ne me déplaisait pas. C'est vrai que je m'entends bien, on s'entend bien, et vivre dans notre appartement, débarrassés de nos parents. Je savais que l'idée lui plairait. Il portait le dispositif deux ans plus tôt que prévu et me prenait comme exemple. 


On lui en parlait, il évitait de sauter au plafond en criant de joie, mais c'était pour ne pas alarmer nos parents. Il était pour, je ne m'inquiétait pas, c'est un garçon charmant qui ne se fait pas remarquer, et qui est plutôt sage pour un adolescent de son âge. 


C'était décidé on s'installerait ensemble dès qu'ils auraient trouvé un appartement.


Justement, il y en avait mais quand j'ai vu ou … J'ai failli avoir un malaise. 


– Vous savez les enfants cette ancienne friche industrielle qui a été si bien rénovée il y a quelques années ? Commençait notre père.

– Alors pas du tout ! Répondait mon frère Yohan.

– Et toi Nathan, ça ne te dit rien ?

– Non, je ne vois pas … Répondais-je.

– Mais si il y a quelques semaines je t'avais envoyé payer une facture, les animateurs qui organisaient l'anniversaire de Yohan y vivent. 


J'avais bien compris dès le début mais je ne voulais pas y croire. J'étais troublé, je revoyais les deux animateurs et je n'allais pas dire que je les connaissais bien, au sens biblique tu terme …


– Oui peut être bien … Répondais-je.

– Et bien, c'est une belle réussite au niveau réhabilitation, les appartements sont spacieux, vous pourrez recevoir un peu de monde, il y a trois chambres par appartement qui sont en duplex. Une grande cuisine, salon, enfin j'espère que vous saurez tenir un tel appartement. 


Yohan et moi nous regardions, je voyais dans ses yeux une véritable joie à l'annonce de cette proposition. J'ai bien cru qu'il allait craquer et hurler de joie. Ça n'aurait pas rassuré nos parents qui auraient peut être changé d'avis. 


On visitait les lieux quelques jours plus tard. C'était génial, un grand couloir central traversait le bâtiment sur toute sa longueur, la hauteur de plafond était de plus de six mètres. De chaque côté des portes et des petites fenêtres, un peu comme des façades. La porte ouvrait sur un appartement avec un étage, une très belle terrasse qui donnait sur la rue intérieure, puis des arbres et enfin le mur entièrement vitré. On était dans une serre. 


Depuis la terrasse je regardais en bas et de là je voyait Alex et Joshua, du deuxième étage je les reconnaissait facilement. Je les revoyais comme ils étaient la dernière fois que je les avais rencontré. Ce jour que je n'oubliais pas, ce jour auquel je pensais régulièrement. Alex penché en avant et Joshua qui l'enculait. Je revoyais sa queue entrer et ressortir du cul d'Alex et comme ce jour j'avais une envie incroyable de pouvoir prendre sa place. J'avais oublié un peu la douleur, enfin j'avais complètement oublié la douleur que j'avais éprouvé au moment ou Joshua avait tenté de m'enculer. Ma queue se réveillait, heureusement que ça ne peut pas se voir, mes parents et mon frère étaient là. L'agent immobilier aussi, enfin j'étais pas seul. Je bénissais ce dispositif qui garantissait ma discrétion. Là encore je me demandais comment les dix pour cent des hommes qui ne portent pas ce dispositif faisaient pour vivre.


Ma queue hurlait, protestait silencieusement et mon regard était naturellement attiré vers la braguette des deux agents immobiliers. Et là encore je ne sais pas si je me faisais du cinéma ou pas mais, j'étais sûr qu'ils ne portaient pas le dispositif. Là j'en était sûr, ce n'était pas un repli de tissus. Le plus petit en particulier, on pouvait parfaitement distinguer la forme de sa queue, il ne devait même pas avoir de sous vêtements. 


Cette vision m’enflammait la cervelle. Je sais ça devient une habitude. Les deux mecs en bas qui habitent en haut, les deux agents immobiliers … Mais il y a combien de mecs qui ne portent pas ce genre dispositif ? De puis quelques temps je ne rencontrait plus que des hommes comme ça. Il ne pouvait pas y avoir que des déviants dans ce monde !


Je me sentais presque mal. Une semaine plus tard mon frère et moi aménagions dans ce superbe appartement. Je pensais à nos deux voisins du toit terrasse et je me demandais combien il pouvait y avoir de  déviants dans ce lotissement.


A suivre 




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Avec Marc 02

 Avec Marc 02



J'avais étonnement bien récupéré, déjà le lendemain de cette soirée je me sentais bien. Je me sentais vidé, pendant un petit moment je m'étais senti rempli comme jamais mais les jours qui suivaient je me sentais vidé, un peu comme une volaille, comme je vous disais. Mais je me sentais bien.


Je n'ai pas revu Marc tout de suite, j'avais oublié de vous donner son nom peut être, et bien voilà qui est fait, il s'appelle Marc. Je ne le revoyais que presque deux semaines plus tard, il venait me saluer. Je le regardais m'approcher et je pensais à sa bite. Je vous jure que depuis que je l'avais vue, j'y pensais souvent. J'y pensais chaque fois que je le regardais, je me demandais si quelqu'un savait comment il était monté.


Si ça intéressait quelqu'un déjà. Je me demandais aussi comment étaient les autres hommes présents. Ouai ! Enfin ça c'était quand je voyais Marc, il me retournait la cervelle depuis l'autre jour. Ma queue ne savait pas comment réagir, je ne bandais pas vraiment mais je sentais ma queue qui bougeait dans sa cage. Mon cul aussi manifestait, et de nouveau je me sentais tout drôle un peu comme une volaille juste avant d'être vidée, juste avant cette fois.


On a discuté une bonne partie de la soirée. Je ne pensais qu'à une chose, je n'attendais qu'une chose. Avant tout je cachais mon impatience, j'avais un peu peur de passer pour un gros obsédé du cul et de sa bite. Je vous rassure, vous qui me lisez je ne suis absolument pas un gros obsédé du cul et de sa bite. Bon du cul je ne dis pas … Mais de sa bite ! Certainement pas, enfin sauf en sa présence. Sinon de la bite peut être mais particulièrement de sa bite, non …


Enfin je suis un peu obsédé quand même !


Mais enfin j'aimerais bien vous y voir vous, en présence d'un mec qui serait monté avec une véritable trompe d'éléphant. Parfaitement, surtout que quand on y a goûté on en redemande. Parfaitement … Donc nous sommes d'accord.


Quand on est sorti c'est lui qui m'a demandé …


Tu me payes un verre chez toi ?


C'est avec un large sourire que  je lui répondait, '' Avec plaisir !''.


En fait je n'attendais, je n'espérait que ça. Mais en même temps je me sentait tout drôle dans mon ventre, un peu de panique, une certaine angoisse, je savais ce qui m'attendait cette fois.


La panique montait ou alors c'était une certaine impatience … Je ne sais pas vraiment, une impatience de se faire exploser le cul ? On aurait du mal à y croire ! Une certaine panique serait plus logique .


Déjà je sentais mon cul se dilater jusqu'à des proportions anormales. Je sentais mes entrailles se faire dilater jusqu'à exploser. Je me sentais déjà tout drôle et complètement retourné.


J'allais ouvrir un canette quand sans prévenir il me saisissait et bloquait contre le mur. Je le laissais faire. Il m'embrassait puis me disait direct … '' Suce ! '' en me regardant droit dans les yeux. Et il avait l'air sérieux.


Je m’accroupissais sans attendre et sans le faire répéter, je lui ouvrais son pantalon, il me caressait les cheveux pendant ce temps. Il ne s’impatientait pas, il était ou au moins il semblait très calme. Je sentait cette grosse matraque dans son pantalon. Avec les doigts je la caressait, elle était déjà bien ferme, et n'était pas plus petite que la dernière fois.


Mon cul semblait paniquer, j'avais la trouille. Pour pouvoir sortir un truc aussi gros, il fallait ouvrir en grand le pantalon. Ouvrir la braguette ne suffisait pas, il fallait aussi baisser le pantalon. Je le faisais tomber sur ses chevilles. Sa queue se relevait, toujours à l'horizontal. Il n'avait sans doutes jamais bandé à la verticale, elle était trop grosse. Mais elle était bien ferme.


Je glissais son gland, son gland minuscule dans ma bouche. En fait son gland n'avait rien de ridicule sauf si on le comparait au reste de son membre viril. Son gland faisait bien plus de quatre centimètres de large. Mais juste après sa queue devenait plus large et encore plus large.


Au début ça rentrait tout seul mais rapidement ça coinçait. Ça devenait tellement large que plus rien ne rentrait. Ma mâchoire n'ouvrait pas assez. Sa queue était plus large au milieu de sa longueur, beaucoup  plus large. Il n'y avait aucune chance que ça rentre plus loin. 


Il le savait, il ne poussait pas, il était conscient de la situation. Personne n'avait jamais réussi à lui prendre la queue dans la bouche, personne ne lui avait jamais fait une gorge profonde. Celui qui aurait réussi à se la rentrer dans la gorge n'aurait pas survécu, il serait mort étouffé.


Je lui massais sa queue sur toute sa longueur, je suçais la première moitié, en fait un peu moins, que je parvenais à prendre dans ma bouche. Je faisais facilement le tour de son gland avec les doigt puis je ne parvenais plus à en faire le tour au milieu de sa queue et pour terminer je parvenais à faire le tour de sa queue à sa base. 


Elle n'était pas seulement large, étrangement large, elle était aussi anormalement longue. Elle faisait plus de vingt centimètres de long.


– Alors, pas trop peur de te prendre mes vingt quatre centimètres dans le cul.


Pour seule réponse j'avalais ma salive tout en continuant à le masturber. Je le sentais frémir, je le sentais trembler quand je passais la paume de la main sur son gland. Il poussait aussi quelques gémissements de plaisir.


– Tu fais ça mieux qu'une femme. Me disait-il.

– Elles n'y connaissent rien ! Enfin c'est ce qui se dit.

– Et comment tu le saurais, tu as essayé.

– Bein non mais … C'est ce qui se dit en tous cas !


Il rigolait à ma réplique et reprenait.


– Bon ! On ne va pas y passer la nuit. A poil, je vais t'enculer.


C'est en tremblant que je me relevais, il retirait rapidement ses vêtements, je le regardais se dénuder. Il avait un beau cul, ça, je ne l'avais pas remarqué la dernière fois. Son corps était mince mais il y avait cette matraque effrayante là, au milieu de sa silhouette, ça faisait tout drôle, tellement c'était disproportionné.


Il était nu, je n'avais pas bougé.


– Si tu ne réagis pas je te fais un trou dans ton pantalon avec ça ! Me disait-il en prenant sa queue dans sa main.


Je tremblais toujours et je me déshabillais, j'étais moins rapide, beaucoup moins rapide.


– J'espère que tu as toujours ton truc de l'autre  jour.


Je le regardais. Il rigolait, je devais avoir l'air bête. 


– Mon truc ?

– Ton truc, oui, c'est ça qui m'excite le plus chez toi. 

– Ah oui !


Il fronçait les sourcils en me regardant. Je baissais mon pantalon et il pouvait alors remarquer que oui, en effet, j'avais toujours mon truc.


Il me faisait alors un large sourire vicieux.


Je me retrouvais à poil, il regardait ma cage de chasteté. J'avais l'impression qu'il bandait un peu plus. Comme il bandait à l'horizontal on ne voyait pas vraiment s'il bandait plus ou moins. Sa queue était trop lourde pour pouvoir se relever totalement, ce qui ne l'empêchait pas de bander ferme.


Moi c'est sa queue que je regardais fixement. J'étais comme hypnotisé, fasciné, mais j'avais la trouille. Je me penchais contre un fauteuil, il n'avait rien dit mais il me semblait que … Comme je venais de le sucer généreusement c'est ce qu'il restait à faire. 


Au passage je jetais un œil vers lui, il souriait, toujours avec ce petit sourire malicieux. Il me caressais le ventre jusqu'à ma cage, il tripotait les couilles .


– Tu peux pas imaginer comme ça m'excite ce truc.

– Tu en veux un ?

– Non ça c'est pas pour moi.


Il n'attendait pas pour me lubrifier le cul et c'est sans ménagement qu'il me glissait un puis deux doigt dans le cul. Il les enfonçait bien et les agitait avec force. Il prenait place derrière moi et s'il prenait son temps c'était uniquement pour s'assurer que j'étais bien lubrifié.


Mon cœur et mon estomac se retournaient. J'avais la trouille.


La dernière fois il y avait l'effet surprise, autant que celui de la nouveauté.  Là il n'y avait plus de surprise mais quelques souvenirs douloureux. C'est vrai que je l'avais senti passer. 


Et là c'était son gland que je sentais glisser doucement entre mes fesses. Il glissait doucement et s'introduisait doucement dans mon cul. Là c'était très agréable, très doux, et ça glissait tout seul.


Puis j'ai senti que ça devenait plus large. Là ça résistait, là ça faisait mal, là je sentais mon anus se dilater. Il ne devait pas s'être enfoncé bien profond mais déjà je le sentais, il était très large à cet endroit. Vraiment très large. Et il continuait à pousser.


J'ai gémi, et ce n'était pas que de plaisir. Il s'est retiré, m'a laissé reprendre mon souffle et est revenu à la charge. Là il s'est enfoncé un peu plus profond. J'ai gueulé.


Il ne bougeait plus, il poussait sans forcer, mais il continuait à exercer une pression. Quand je me détendais un peu il poussait plus fort et je sentais mon cul se dilater un peu plus. J'avais l'impression que ça allait craquer, que ça allait déchirer. Là, ça commençait à me faire mal, en tous cas, je sentais que ça allait faire mal. J'avais la trouille.


Il continuait à pousser et brusquement mon cul à lâché, c'est à la fois une certaine douleur et un intense plaisir que j'ai ressenti à ce moment. Sa queue est rentrée entièrement, son bassin s'écrasait sur mes fesses, je manquais d'air et je poussais un cri.


Il me serrait contre lui. Je me sentais bien. C'était un truc de fou, je me sentais bien à ce moment. J'avais une matraque dans le cul, un truc long comme le bras, j'aurai du me sentir un peu embarrassé, mais je me sentais bien. À ce moment j'ai joui comme jamais. J'ai éjaculé abondamment.


Il s'en ai rendu compte, il est devenu un peu plus tendre, plus câlin. Ça j'aime bien ! 


Il appuyait sur mon dos pour me maintenir penché contre le dossier du fauteuil et lentement se retirait. Je râlais, il se retirait totalement, il me laissait quelques instants pour que je récupère puis sans prévenir revenait et s'enfonçait à nouveau.


Il s'enfonçait jusqu'à la garde, je le sentais passer c'était terrible mais ça passait, ça passait mieux que la première fois puis il terminait en me limant généreusement.


Je hurlais, je gueulais mais il faut bien l'avouer, c'était surtout du plaisir.


C'était un plaisir incroyable, je jouissais même si j'avais quand même la trouille. Ce que je ressentais était fort, très fort, presque trop fort. Par moment j'avais envie de lui crier d'arrêter, je me contentais de crier. J'en voulais encore. Mon cœur allait exploser, ma tête était en feu et mon cul allait déchirer d'un instant à l'autre … C'était le pied !


Je ne sais pas combien de temps ça a duré mais il l'a fait dure longtemps. J'en pouvais plus mais je ne voulais pas lui dire d'arrêter, surtout pas. J'étais content de sentir cette queue énorme en moi. Ça me faisait bien un peu mal mais j'en voulais encore, j'en voulais toujours. 


Cent fois j'ai voulu l'implorer de se retirer, mille fois je luis criais '' Encore défonce moi le cul. ''. 


Quand il s'est retiré, il m'a lâché et je suis tombé sur le sol. J'étais comblé, en vrac mais comblé. Il débandait rapidement, il retrouvait son souffle et s'asseyait juste à côté de moi.


Tu sais, tu es un bon coup !

Mois ?

Oui, tu suce bien, tu as un cul accueillant et en plus je craque de te voir avec ce truc sur la bite.

Ouai ! C'est cool ! J'étais un peu retourné.

Par contre je veux absolument que tu le gardes … Tout le temps … 


Je lui souriais, on se prenait dans les bras et on se faisait un câlin. De nouveau la trouille me prenait. Et si il avait envie de remettre ça, j'étais pas sûr de survivre, de nouveau j'avais la trouille de me prendre sa queue dans le cul, j'avais peur qu'il ne me fasse mal. 


Mais si il le voulait, je le laisserais faire.


On à pris une douche, on s'est laver l'un l'autre, je ne pouvais pas m'empêcher de m'amuser avec sa queue, il ne se retenait pas de me tripoter les couilles et de me glisser un ou deux doigts dans le cul. Ça rentrait tout seul et c'était bon. Mais j'avais encore cette trouille au fond de mon estomac.


On a dormi tendrement enlacé. 


Le lendemain, je lui préparait un petit déjeuner au lit. Et sur le plateau, juste à côté de la tasse de café j'avais laissé négligemment les clés de mon dispositif.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


25 Avril 2022

 Jour 186











24 Avril 2022

 Jour 185






Jeune adulte 03 Chez les déviants

 Jeune adulte  03

Chez les déviants



Plusieurs jours avaient passé et Yohan ne semblait toujours pas perturbé par cette cérémonie et par son nouveau statut. Par moments toutefois il me faisait des réflexions du genre …


– Pas facile tous les jours ce truc !


Puis c'était reparti, en fait il s'adaptait très bien. Il était un peu plus actif, il faisait plus de sport surtout. Comme je vous disais c'est surtout à ce niveau qu'on voit une différence au début. En plus il frimait l'animal je ne vous dis pas, il frimait. Dans sa classe il était le seul à avoir fait le passage, il était le seul à prendre sa douche dans la douche des grands. Il y avait même quelques scolaire un peu plus jeunes que lui qui l'appelait ' Monsieur ', il frimait je vous dis, il frimait. 


Enfin la vie reprenait son rythme normal, le dimanche, le jour de la prière morale il pouvait me rejoindre au balcon du temple, le quartier des célibataires. Pour y avoir droit, il fallait avoir plus de dix huit et être adulte et ne pas être marié. Mon frère n'avait pas dix huit ans mais il avait fait la cérémonie de chasteté. 


Ces marques d'honneur qui nous étaient accordées  avaient pour fonctions de nous encourager, il ne faudrait pas oublier que ce statut demande un sacrifice définitif. Enfin le plus souvent il est définitif. Il y a aussi les ' Honteux ' , ce sont ceux qui ont quitté la société et qui ont choisi les pratiques déviantes du passé. Heureusement ils sont très rares … Ils ont rejoint les dix pour cent des hommes qui vivent comme des bêtes …


Si la manière dont je parle vous choque, il n'y a pas de quoi et c'est ainsi que nous sommes éduqués … C'est notre norme et c'est la norme la plus répandue, et de très loin, comme je vous le disais.


Je passais de temps en temps vers ce quartier ou habitaient le magicien et le clown, ces anciens bâtiments industriels avaient quelque chose de magique. Quelques années plus tôt c'étaient des friches, des ruines … Puis une communauté d'artistes avait acheté ce qui restait des vieux bâtiments.


Maintenant tout avait changé, il n'avait pas seulement restauré, ils les avaient réhabilité. Tout le bâtiment avait été mis sous serre. Les immenses verrières s'étaient transformées en serres, les incroyables hauteurs de plafond hébergeaient maintenant des niveaux intermédiaire réduisant à trois mètre la hauteur du plafond dans les appartements. Ça restait spacieux … Au rez de chaussée, derrière la verrière il y avait un jardin très bien organisé, une voix de passage et un ensemble commercial et artisanal. Ici il n'y avait plus de saison, on était dans une serre. À l'extrémité du bâtiment il y avait un escalier à moitié ouvert, à moitié couvert qui permettait d'atteindre les différents niveaux. C'est par là que j'étais passé quand l'autre jour. Le dernier niveau, le toit terrasse, je l'avais vu et à chaque fois que je passais par là, je revoyais dans ma tête le corps nu du magicien de l'anniversaire de mon frère . 


Comme je vous le disais, je voyais tous les jours les corps nus de mes camarades, et de mon frère aussi maintenant. Mais aucun de ces corps n'était vraiment nu, aucun n'était totalement nu. Ça on ne l'était jamais, personne ne pouvait retirer son dispositif de chasteté, personne n'en avait les clés. Elles étaient conservées dans un coffre, je ne sais pas exactement ou. Au temple probablement, personne ne se préoccupe de ce genre de détail.


J'avais comme une sensation de vertige quand, depuis le sol, je regardait le toit terrasse de cette installation. Ce n'était pas la hauteur, ce n'était pas un vertige du à l'altitude mais c'était cette image que j'avais entrevu quand il s'approchait le jour ou j'étais allé les payer. 


Ce corps magnifique nu, cette bite longue, qui pendait lourdement et se balançait quand il marchait.


Cette image m'avait marqué, elle s'était imprimée dans mon souvenir et je la revoyais presque en permanence maintenant. Mais surtout je rêvais de la revoir, de le revoir, de les revoir … Ils était deux !


Ils m'avaient invité à revenir les voir quand je le voudrais, à plusieurs reprises je m'étais arrêté devant la porte d'entrée, l'entrée des escalier au niveau de la rue. Je n'avais jamais osé passer cette porte. Ce jour là comme plusieurs autres jours auparavant j'étais devant la porte, j'étais dans la galerie marchande, au niveau de la route. 


– Ça va Nathan ? Tu passais nous voir ?


Je sursautais en entendant cette phrase, je me retournais et je voyais l'homme qui m'avait ouvert l'autre, c'était Joshua. Je l'imaginait nu. C'était pas lui que j'avais vu nu mais j'imaginais, il devait ressembler à son ami qui était si sexy à poil. 


Enfin c'est l'idée qui me traversait la tête. C'est la seule idée qui me traversait la tête. Ensuite une image persistait, celle d'Alex. Je l'avais vu à poil et c'était la première fois que je voyais un homme à poil, en plus il avait une grosse queue, je le trouvais beau et par dessus tout j'avais envie de me retrouver dans ses bras.


– Alors tu montes ? Me demandait Joshua devant la porte ouverte de l'ascenseur.

– Ah , il y a un ascenseur ?

– Tu avais pris les escaliers l'autre jour ?

– Bein oui !


Suivaient ensuite des banalité du genre. '' J'avais pas vu l'ascenseur '' … '' Mais c'est pas haut '' … '' Six étages et nous on est sur le toit '' … Enfin je ne savais pas quoi dire et je vous jure que je me sentais vraiment mal à l'aise … 


On arrivait finalement sur le toit. L'ascenseur ouvrait directement dans leur maison. 


– Je t'offre un verre, Alex n'est pas là mais il ne devrait pas tarder.  Tu n'as pas froid aux yeux toi pour un '' prudeur '' ! 


C'est souvent comme ça que nous appelait les personne qui vivaient sans morale ou avec une tradition déviante.


– Ne m'appelez pas comme ça, seules les mœurs déviantes justifient que vous utilisiez de tels mots. 


Ma réponse était automatique et ne provenait que de mon éducation, en fait je ne savais plus vraiment ce que je disais ni ce que je faisais ici. La queue d'Alex revenait devant mes yeux et j'avais l'impression que j'allais me sentir mal.


– Ne te braque pas bonhomme. Et puis je ne suis pas un déviant, je suis juste un jouisseur. Tu sais, si nous avons un corps, c'est pour en jouir. Sinon nous serions des anges, des esprit …


Il m'invitais à le suivre sur la terrasse, je m'installais, je ne me sentais pas vraiment à l'aise mais je m'installais. Je commençais à me demander pourquoi j'étais venu, était-ce vraiment une bonne idée. 


Quelques instants plus tard il revenait avec un plateau deux bières deux verres et , il était à poil … Là je paniquais … Je sentais instantanément ma queue protester contre sa situation. Elle se réveillait et je me sentais encore plus mal d'un coup. 


Il s'asseyait en face de moi, je pouvais contempler son corps, il était entièrement nu. En théorie ça devrait pas faire une grande différence, notre dispositif de chasteté tant aimé dans mon milieu ne cache pas grand chose au final.


De dos ça ne fait aucune différence, au niveau du torse et des jambes aucune non plus. Tout se situe juste dans une petite partie du corps entre les cuisses, entre les jambes et le torse. Une toute petite zone de dix centimètres de haut sur encore moins de large. 


Mais je vous jure que ça change tout !


Je me levais, j' m'excusais en bafouillant, saluait et me dirigeait vers la sortie. L'ascenseur était occupé, le voyant l'indiquait. Il ne tentait pas de me retenir. La porte de l'ascenseur s'ouvrait … Ils avaient bloqué les sorties, c'est Alex qui en sortait.


Il était tout habillé là mais je l'ai reconnu quand même.


– Tu étais là toi ? Tu n'allais pas partir ?


Il posait sa main sur mon bras et juste avec cette douce pression, il m'avait retourné. Je revenais vers la terrasse ou son copain Joshua me versait un verre, je m'asseyais sur le fauteuil ou j'étais quelques secondes plus tôt. Je prenais le verre et commençais à boire par gorgées. J'avais l'impression d'être vaincu, de n'avoir pas su résister à une certaine tentation. Je revoyais le corps d'Alex tellement beau, tellement nu, comme je l'avais vu l'autre jour et j'avais devant les yeux le corps tellement beau et tellement nu de son ami Joshua.


Si dans ma famille on ne se montre jamais nu. Ici c'était le contraire, Alex revenait avec une bière à la main et c'est tout ce qu'il avait sur lui … 


– Tu devrais te mettre à l'aise, il fait presque chaud ici. Garde ta cage mais pour le reste c'est inutile … Me lançait Alex, Joshua faisait oui de la tête.


Ils m'avaient vaincu, j'étais écartelé entre mon éducation et mon désir que je refusait toujours de m'avouer. J'étais désormais sans défense j'ai obtempéré, je n'ai gardé que ma cage sur le dos, enfin sur le dos c'est tune façon de parler.


Ma queue protestait, je vous jure, se retrouver face à des hommes nus mais qui portent comme moi un dis positif de chasteté c'est une chose, j'y suis habitué maintenant, comme avec mon petit frère ou mes camarades de sport sous la douche. Mais se retrouver avec des hommes totalement nus, pas presque mais totalement … C'est autre chose.


C'était le cas à cet instant. Ma queue protestait comme jamais, mon dispositif se relevait par à-coup. Il suivait les battements de mon cœurs. Je ne sais pas si c'est ça qui les faisait réagir mais je voyais leurs sexe gonfler, leurs queues prendre du volume. C'était impressionnant et embarrassant, c'était aussi terriblement stimulant. 


Ils bandaient ferme tous les deux au bout de quelques instants. J'ai senti une main sur mon épaule, c'était Alex, je me suis un peu contracté mais c'était juste un réflexe. Je l'ai laissé faire. Sa main descendait le long de mon dos, c'était doux, c'était agréable, on n'avait pas l'habitude de me toucher de cette marnière. Mon cœur battait fort et je tremblais intérieurement. Joshua s'approchait de moi, un instant j'ai vu son visage se pencher sur le mien puis je sentait la douceur de ses lèvres, de sa langue sur les miennes. Puis la douceur de sa langue sur la mienne.


Je fermais les yeux. Une main me caressait la cuisse et se glissait sur mes couilles, on me tripotait les couilles avec une grande douceur. On ne m'avait jamais fait ça.


– Regarde bien ! Me disais Alex.


Il se plaçait alors devant moi, debout. Il bandait, je le voyait de  profil. Son ami Joshua se tournais alors vers lui prenait sa queue dans la bouche. Il me montrait comment il fallait procéder. La queue d'Alex entrait totalement dans la bouche de Joshua, et je voyais même sa gorge grossir quand le ventre d'Alex s'écrasait sur son visage. J'imaginais alors cette grosse queue bien enfoncée,  je ne comprenais pas vraiment comment il faisait mais ça m'excitait. 


Quand Alex retirait sa queue, quand il la ressortait, Joshua passait alors sa langue sur son gland et avec une main il le masturbait avec une grande douceur. Pendant un petit moment qui semblait ne jamais vouloir finir, ils me montraient comment procéder puis Alex se retournait vers moi.


J'avais sa queue à quelques centimètres de mon visage. J'hésitais un moment puis j'ouvrais la bouche en grand et je prenais la queue d'Alex dans la bouche. Mon cerveau était en ébullition, ma queue protestait comme jamais mais je n'y prêtais plus aucune attention. 


Je passais ma langue sur le gland d'Alex, c'était magique, ils faisaient des commentaires mais je ne comprenais rien de ce qu'ils disaient, les voix semblaient venir de loin. On me caressait les cheveux, on appuyait tout doucement sur le dos de ma tête mais je restais libre de mes mouvements.


Joshua s'était levé, et je me retrouvais avec deux queue devant mon visage. Je prenais la seconde puis revenais à la première. Puis quand j'avais une queue dans la bouche je masturbais l'autre. Leurs caresses sur l'arrière de ma tête devenait plus insistante. Ils appuyaient sur ma tête mais à la moindre résistance de ma part il n'insistait pas. Je me sentais libre de mes mouvements.


Je m'écartais et relevais la tête. Il s'embrassaient et se caressaient. Je les regardais faire pendant quelques instant puis reprenais. Une queue après l'autre, je commençais à aimer ce que je faisais. Ma queue protestait, je sentais toujours mon dispositif se balancer de haut en bas en suivant les battements de mon cœur. J'avais le vertige mais je me sentais bien, vraiment bien. Je voulais continuer. 


Peu à peu je prenais les queue un peu plus profond. Pas autant que m'avait montré Joshua au début mais ça venait. Je prenais une queue jusqu'au fond de ma bouche pas encore dans la gorge. Ça me plaisait, j'en voulais plus.


–  Je crois qu'il à un gros potentiel. Déclarait Alex. Avec un peu d'entraînement il sera très bon à ce jeux.


Ça m'encourageait et je faisais encore plus d'effort, mais par moment j'avais envie de vomir et c'est ça qui me retenais. Je comprenais que je devais synchroniser ma respiration mais j'avais atteint mes limites. Mes limites du moment.


– L'idéal serait qu'il ne retire pas son dispositif. Tu as du le remarquer Alex, je le dis toujours … Les porteurs sont toujours très doué pour sucer et se faire défoncer le cul !


Il avait dit '' défoncer le cul '' là ça me faisait peur. Ils étaient bien membrés, ça me faisait peur mais rien que l'idée me faisait bander et ma queue protestait toujours. Alex s'asseyait sur le fauteuil et Joshua me demandait de continuer de le sucer. Je m'exécutais.


Je n'ai pas compris tout de suite, j'étais pas très futé à cette époque, il me lubrifiait le cul. Je vous jure j'ai pas compris tout de suite ou il voulait en venir. Il glissait un doigt dans mon cul … C'était donc ça, de se faire défoncer le cul … ? Il n'y avait vraiment aucune raison d'avoir peur, c'était agréable. Il s'accroupissait derrière moi, me caressait le dos, se penchait sur moi, je sentais son corps chaud et doux contre mon dos puis il a poussé très fort contre mon cul.


Sa queue est entré, ça m'a fait très mal mais vraiment très mal, j'ai hurlé, j'ai joui, je me suis dégagé en criant.


– Arrête, arrête tu fait vraiment très mal !


Il n'a pas insisté, il a juste continué à me caresser pour me calmer. Ses caresses étaient douces. Il me caressait les fesses, glissait un doigt entre mes fesses mais n'essayait plus de me pénétrer, même pas un doigt. Finalement c'était ça, de se faire défoncer le cul ! Et ça faisait mal, même si je ne savais pas encore que rapidement on en redemande.


– Il faudra un peu d'entraînement et de patience.


Je m'étais redressé, j'avais encore mal mais je n'avais pas trop compris, j'avais joui aussi. J'avais ressenti à la fois une grande douleur et un grand plaisir, les deux étaient liés et … Je ne comprenais pas, sinon qu'il faudrait étudier ça et bien sûr recommencer.


Alex se relevait, se retournait et offrait son cul à son camarade. Je m'asseyais sur le fauteuil et les regardais.


A suivre 



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