30 10 2021

 Jour 9








La maison d'hôtes 07 De la pédale

 La maison d'hôtes 07

De la pédale



Il faisait beau, il faisait chaud, j'avais de l'énergie à dépenser. Deux jours seulement et la frustration faisait son effet. Il fallait que je bouge. Je ne pensais plus qu'à ma cage de chasteté. Je ne sentais plus qu'elle. J'ai alors décidé de faire un peu de vélo ...


Mais pas une ballade, un truc sérieux. Je me suis mis en tenue. Une tenue bien moulante, c'est léger et avec la chaleur qu'il faisait c'était ce qu'il me fallait. Une réserve d'eau accroché dans mon dos, je sautais sur mon vélo.


Mais voilà … Le dispositif de chasteté est garanti discret, certes … mais voilà … il y a des limites. Surtout que je n'avais pas mis le bouclier. C'est un petit dispositif qui se fixe sur la cage de chasteté, il est lisse et sa surface est douce. J'en ai plusieurs. Avec, la cage est pratiquement invisible, même sous un short moulant mais sans, la cage ressemble plus à une cage. D’où son nom d'ailleurs, cage de chasteté, et là, sous un short moulant, elle est beaucoup moins discrète. On devine parfaitement la forme de ses barreaux. Le dessin qui transparaît est harmonieux et joli à voir mais il n'est pas discret, pas discret du tout. 


Dans ma précipitation je n'avais pas vérifié ce que ça donnait, aussi je ne comprenait pas tout de suite les regards que me lançaient les gens que je croisais.


Rapidement je n'y prêtais plus aucune attention et je fonçais. Comme je vous le disais, j'avais de l'énergie à dépenser. Ça fait du bien, au début on a chaud, plus tard on a chaud, plus tard encore on a très chaud. J'ai fait quelques dizaines de kilomètres, je suis passé près d'un lac que je connaissais bien et j'ai décidé de faire un petit plongeon. 


Arrivé au bord de l'eau je me suis rappelé que j'avais ma cage de chasteté, j'avais réussi à l'oublier pendant environ vingt kilomètres, je n'avais pas de maillot de bain. Ça m'a calmé ! 


De nouveau je ne comprenais pas pourquoi les gens me regardaient avec autant d'insistance. Les filles surtout, elle me faisaient des sourire charmeurs. C'est vrai que je suis mignon aussi je me disais que je devais l'être encore plus avec cette tenue moulante. 


J'ai repris mon vélo et j'ai continué mon tour. Au total j'ai fait plus de soixante dix kilomètres. J'étais sur les rotules ! Là je ne pensais plus du tout à ma cage, je me sentais bien mais liquéfié. J'avais bu ma réserve d'eau et je l'avais transpirée. Je revenais en passant par le village … 


Je ne me suis pas limité aux routes tranquilles ou il n'y a presque personne. Non ! Il a fallu que je me fasse bien remarquer, je suis passé par tous les centres-bourg de tous les villages dans un rayon de quinze kilomètre, et il y avait du  monde, et tout le monde me regardait. Et moi comme un gros abruti que je suis je leur faisais des sourires. 


J'entendais crier mon nom … C'était Julien, il était avec ses parents confortablement installé à la terrasse du café du village. Je me suis arrêté pour les saluer et ils m'ont invité à boire un verre avec eux. 


Son père me regardait avec un sourire bienveillant. Il me regardait de la tête au pieds en insistant sur mon entre jambe. Là je commençais à me sentir gêné. Je me disais à ce moment que j'aurais peut être du mettre un sous vêtement, j'avais de nouveau oublié ma cage, mais alors là complètement oublié, je ne la sentais plus. 


Je m'installais à leur table. On me proposait un grand verre de jus de fruit. 


– Tu sais Hugo, j'aime beaucoup les garçons comme toi, courageux, et volontaire …

– Oh c'est rien … Je gonflais le torse en répondant … Vous savez m'sieur, j'ai même pas fait cent kilomètres. 

– Il faut malgré tout beaucoup de courage pour faire ce que tu fais là tu sais …


Je ne comprenais pas trop ce qu'il me racontait mais bon, il me faisait des compliments, c'est toujours bon à prendre. J'en pouvais plus de gonfler le torse et de faire mon fier … C'est à ce moment que j'ai eu envie d'aller faire une pause pipi …


J'entrais dans le bar, c'est le fameux bar du village pas loin de chez moi, et le fameux bar ou j'étais déjà venu une fois … 


Donc, j'entrais dans le bar et là … Tout le monde me regardait, et  plus personne ne parlait. Il n'y avait plus un bruit on pouvait entendre une mouche voler ( et justement il y en avait deux ). Oui je sais j'ai l'air de prendre ça à la légère mais je vous jure qu'à ce moment j'en menait pas large.


'' Quel bled paumé, franchement il n'ont jamais vu un cycliste en tenu, me disais-je dans ma tête, ils n'ont jamais vu le tour de France à la télé. C'est vraiment un coin pau... ''. 


C'est là que je me suis vu dans le miroir qu'il y avait en face de l'entrée … '' Mon  dieu ! '' … C'est à ce moment que je pouvais constater que sans bouclier le dispositif de chasteté était tout sauf discret. On en distinguait tous les détails, en plus avec la transpiration il se dessinait avec une incroyable précision sur le tissus. Je pense même qu'il était encore plus visible que si j'avais été à poil …


J'ai eu un grand moment de solitude, mon torse s'est dégonflé, je ne savais plus ou me mettre, je vous jure c'est pas facile tous les jours. L'envie de pisser devenait urgente, je me précipitais donc dans les toilettes et en revenais avec une tache à cet endroit. C'était pas mieux !


C'était donc de ça que me parlait le père de Julien ! 


Je les retrouvais, mais là, je faisais moins le fier d'un coup, je vous jure … Je glissais mes mains entre mes cuisses et tentais de cacher comme je pouvais mon entre-jambe. J'allais repartir quand Julien à proposer qu'on fasse une photo et je me suis retrouvé au centre de la photo, Julien me retenait discrètement les mains dans le dos pour que je ne puisse pas les croiser devant moi. J'ai moyennement apprécié … Heureusement la dernière tache avait disparu.


Je l'ai encore la photo, maintenant elle me fait rire mais je vous jure que sur le coup, j'avais pas envie de rigoler.


Je suis donc remonté rapidement sur mon vélo et je suis reparti sans traîner … Sous les applaudissements de toute la terrasse. J'étais repéré !


C'est furieux que j'arrivais à la maison.


– Je ne retournerai jamais dans ce village de ploucs ! Je hurlais. Je ne veux pas rester un jour de plus dans cette campagne de péquenots … Etc …


Mes parents étaient là, ils me regardaient sans trop comprendre ce qui me prenait. Sans répondre je me plaçais face à eux et j'écartais légèrement des jambes et croisais les bras …


– Alors là mon chéri, je trouve très courageux de ta part de montrer à tout le monde le choix que tu as fait ! Je suis fière de toi. Me disais ma mère.

– Mais pourquoi tu n'as pas mis le bouclier ivoire. Sa forme est discrète et je te jure qu'avec sa couleur il serait totalement invisible … lui … Rajoutais mon père.


J'étais furieux, humilié et furieux. Je passais sous la douche. Ça me faisait le plus grand bien. J'étais épuisé aussi et cette histoire n'avait qu'un avantage, j'étais calmé.


Là je vous jure que je ne bandais pas, je ne bandais plus du tout. Je me séchais et me laissais tomber sur mon lit. C'est mon père qui m'a réveillé pour passer à table. Avec la fatigue je me sentais bien, je ne bandais toujours pas en descendant à la salle à manger. Tout le monde soupe à la même table, surtout quand on est en petit comité. J'étais décontracté, je sentais ma queue au fond de sa cage, tout allait bien, j'avais mis un pantalon en toile légère et pas de sous vêtements. Ma petite queue était au frais et restait très sage.


Jusqu'au moment ou j'ai vu Julien.


Les adultes discutaient entre eux, Julien était de l'autre côté de la table. Il me regardait, je le regardait. Son père félicitait mes parents pour l'éducation qu'ils m'avaient donné, le fait que je sache porter avec fierté un dispositif de chasteté. Ma queue commençait à se réveiller.


– Mais julien, votre fils, n'en porte pas lui ? Demandais-je bêtement à son père.

– Enfin Hugo, notre fils est un exemple de sérieux. Me répondait son père.


Sa mère me balançait un coup de pied dans les tibias, elle était juste à côté de moi, tout en me faisant un sourire d'excuses. Julien me regardait depuis l'autre bout de la table, il avait mis son visage d'ange, on y aurait cru. 


– Je sais bien sûr qu'il se masturbe de temps en temps, mais c'est normal, c'est impossible d'y résister à leur âge mais je suis sûr que même sur ce point il n'abuse pas. Rajoutais le père de Julien qui lui répondait par un sourire innocent.


J'allais répondre quand je sentais le pied de sa mère contre ma jambe. Je vous jure que là elle ne me draguait pas. Aussi j'ai préféré répondre … '' Oui ça c'est sûr ! '' .  Ça m'avait paru plus prudent pour mes tibias. Elle retirait son pied …


'' Mais ils sont tous fou dans cette famille ! . '' Me disais-je.


On terminait de souper, je quittais la table après avoir salué tout le monde. Je jouais au petit garçon bien élevé. Je partais faire un petit tour dans les champs. Il y avait une légère brise qui donnait un peu de fraîcheur, les étoiles étaient la seule lumière qui parvenait au sol. Ma queue se réveillait lentement mais se réveillait au moment ou je me sentais devenir poète.


Julien me rattrapait, il m'appelait. Il y avait cette obscure clarté qui tombait des étoiles … ( Wouah,vous avez vu comment que j'ai dit ça, bon d'accord j'ai plagié ! Note de L'auteur ) . Bref je distinguait sa silhouette qui s'approchait. 


On approchait d'un coin un peu dégagé, il y avait un arbre, je m'asseyais en tailleurs sur le sol. Il se plaçait juste devant moi, il ouvrait son pantalon et me tendait sa queue, elle était encore toute molle et je me disais que ça n'allait pas durer. Dans sa cage ma queue commençait à protester. 


Avec une main, je commençais à lui caresser sa queue, avec l'autre je remettais mes affaire en place. Ensuite c'est avec les deux mains que je m'occupais de Julien. Il avait vraiment une très belle queue, un peu grosse pour me la garer dans le cul mais elle était bien. Elle prenait rapidement de la force et devenait énorme et bien dure. Mais ça je m'y attendais.


Je lui léchais le gland avec délectation. J'aimais de plus en plus. Ma queue avait pris tout son volume, enfin tout le volume qu'elle pouvait prendre. C'en était désagréable et de plus en plus même, et c'était pas une impression. J'essayais de ne pas faire attention. Je suçais son gland, je le prenais dans la bouche. Julien ne faisait rien, il regardait autour ne nous, comme s'il admirait le paysage. 


Il me laissait faire, sa queue commençait à entrer, je l'humectais au mieux et peu à peu elle entrait. Je lui gobais les couilles, je le masturbais, je bandais et j'aurais tellement aimé pouvoir me donner du plaisir. J'aurais tellement aimé. Je m'imaginais que j'étais à sa place et je m'appliquais, je faisais de mon mieux. Il gémissait et me faisait savoir qu'il aimait.


Il finissait par réagir, sa queue entrait sans difficultés à moitié dans ma bouche quand il plaçait ses deux mains sur ma nuque, il y allait avec douceur, je ne me méfiais pas, il me caressait les cheveux puis brusquement sans prévenir il me tirait vers lui de toutes ses forces. J'étais coincé, je n'avais aucune prise pour le repousser et sa queue me rentrait dans la gorge.


Il me retenait avec force, quand il a vu que j'allais me dégager, il me relâchait et devenait tout câlin. J'ai écarté mon visage, j'ai toussé, j'ai craché, j'ai râlé ...il se penchait vers moi et me donnait un baiser sur le front. Je sentais son sourire charmeur, j'ai revu le visage d'ange qu'il avait porté pendant tout le repas. Je l'ai laissé faire et …


Il a recommencé. Il s'y prenait plus calmement, là il me laissait le temps de m'habituer, de m'y faire, il y allais avec plus de douceur, il me caressait la joue et de nouveau, sans prévenir, sa queue se retrouvait au fond de ma gorge. Là il me retenait plus longtemps.


Ce jeux a duré un moment, je devinais son sourire satisfait. Il s'était mis torse nue et maintenant il laissait tomber son pantalon.


Allez à poil ! Me lançait-il.


Je m'exécutais. Il me prenait dans ses bras et m'embrassait. 


Retourne toi !


Je me retournais, il me caressait tout le corps en commençant par les épaules et descendait jusqu'à mes couilles. Arrivé là il se marrait, il passait un bras contre mon ventre au niveau de ma ceinture et appuyait sur le haut de mon dos. Je comprenais ou il voulait en venir. Je me penchais en avant. 


Là je bandais à mort dans ma cage, je la sentais m'écraser ma queue, je sentais ses barreaux me confiner. C'était bien étudié ce truc, ce n'était pas douloureux, c'était à la limite. Il me lubrifiait le cul, je sentais son gland s'appuyer contre mon anus et il poussait. 


J'ai couiné ! J'ai poussé un cri étonnant que je n'avais jamais entendu. Mon anus s'est ouvert avec force, je ne cherchais pas à résister. C'était la folie dans ma tête, ça, glissait, sa queue s'enfonçait lentement et rapidement je ne savais plus, je ne savais même plus si c'était douloureux ou pas. 


Lentement il me remplissait, je tremblais, je paniquais mais surtout je me laissais faire. Son ventre s'est écrasé contre mes fesses. J'ouvrais la bouche comme pour trouver de l'air. J'avais le souffle coupé. Ensuite il poussait, et là j'ai encore couiné mais là, j'avais une toute petite voix. Puis je me suis mis à trembler. Je ne contrôlais plus mes mouvements. 


Si je tenais encore debout c'est parce qu'il me retenait. Il y avait un arbre juste à côté, je m'appuyais contre son tronc. Il se retirait avant de revenir avec force, je gémissais, je ne comprenais pas comment je pouvais me prendre sa queue comme ça. Elle est énorme. 


Il me limait le cul avec force et régularité, par moment il me balançait des coups plus violents et là on entendait son ventre claquer contre mes fesses, et on m'entendait gémir également. Sinon il donnait des coups de bite plus doux. Il me limait plus lentement et tout recommençait. 


Les derniers coups qu'il m'a donné étaient violents, il jutais dans mon cul. J'ai senti ses bras se refermer autour de moi avant de sentir ses muscles se détendre. Il m'embrassait alors avec une grande tendresse dans le cou. Puis finissait par me lâcher.


Je tombais sur le sol. 


Ils s'est rhabillé, je récupérais lentement. Je finissais par me rhabiller. J'avais juté, je ne m'en était même pas rendu compte, mais j'avais bien juté, je m'essuyais et on revenait vers la maison. Nos parents étaient toujours sur la terrasse, Julien s'est joint à eux, je suis monté me coucher. 


La j'avais mal au cul, c'est sous la douche que ma queue s'est de nouveau fait remarquer, elle s'était ratatinée dans un tout petit coin de la cage. Finalement la cage était à la bonne taille, ça ne faisait plus aucun doute, ma bite trouvait encore un petit recoin ou se réfugier en cas d'urgence.



A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


26 Octobre 2021

 Jour 5







La maison d'hôtes 06 Julien

 La maison d'hôtes 06

Julien



Avec Julien c'était pas la même chose qu'avec Baptiste. Ça m'a fait un peu plus mal !


D'abord il faut bien se dire que Julien il a une grosse queue. C'est pas que Baptiste en avait une petite, il était de la même taille  que moi et je suis loin … Enfin j'étais loin d'être ridicule … Je dis '' j'étais '' parce que maintenant que je porte une cage de chasteté, ça fait plus vraiment pareil … 


Rien que de voir la queue de Julien, j'avais mal au cul … Et bien après son passage j'avais encore plus mal au cul. Mais ça, ça ne le dérangeait pas. Il ne m'a même pas demandé ce que j'en pensais.


– Tu devrais prendre une douche et t'habiller. Il a dit. Il va être l'heure de passer à table.


J'avais une faim de loup remarquez, c'est ça la vie à la campagne, même si j'avais un peu de mal à m'asseoir. Enfin on s'y fait. On s'y fait même bien d'ailleurs.


Le lendemain je ne l'ai pas vu de la journée. J'ai vu ses parents, Julien lui était absent. Il était parti en vadrouille quelque part. Le surlendemain par contre il réapparaissait. Je le retrouvais devant ma télé, il avait allumé la console de jeu. C'était la fin de la matinée, j'avais terminé mon travail. Et quand il m'a vu arriver il a ouvert sa braguette …


– Je t'attendais. Me lançait-il.


Il sortait sa queue, déballait tout le matos, comme on dit. 


– Nos parents sont partis, ils ne reviendront pas avant une bonne heure. Je ne me suis pas branlé ce matin, je me suis dit que je pouvais te laisser ce plaisir.


Mes yeux me sont ressortis de la tête  quand j'ai vu ça, là ça faisait deux jours que je portais le dispositif de chasteté. Et je vous jure que je ne pensais plus qu'à ça. Il ne faudrait pas oublier que je suis un branleur …


Dans la seconde qui suivait je me retrouvais à genoux entre ses jambes et j'avais sa bite dans la bouche. Il continuait à jouer, il tenait la manette de jeux à deux mains posée sur ma tête, il appuyait dessus pendant que je le suçais. Enfin je me demande s'il jouait vraiment avec la console ou s'il jouait seulement avec moi. 


Il me laissait faire, le plus souvent, il me laissait faire et se contentait de guider ma tête. Par moment sans prévenir il appuyait un peu plus fort, il m'obligeait alors à avaler sa queue, à chaque fois elle pénétrait plus profond dans ma gorge. Il ne me maintenait ainsi que quelques instants, juste quelques instants mais à chaque fois plus longtemps, ou alors c'était une impression. 


Ma sensation était mitigée. J'y prenais un certain plaisir mais par moment ce n'était plus du tout agréable. Par contre pour Julien c'était bon. J'y mettais tout mon cœur. J'apprenais ! J'apprenais à faire disparaître mes dents. Il ne faut surtout pas laisser dépasser les dents, la personne qu'on suce ne doit en aucun cas ressentir les dents. En aucun cas. Ensuite il faut avaler. La queue, même si elle est de grosse taille doit glisser sur la langue, contre le palais, elle doit glisser le plus profond possible, elle entre dans la gorge en écartant la glotte et s'enfonce plus profond …


Enfin ça, c'est la théorie, dans la pratique, c'est une autre histoire. Pour chacun de ces détails c'est une autre histoire. Moi j'en étais pas là. Je devinais qu'il me faudrait encore de la pratique et beaucoup d'entraînement. Pourtant je vous jure que je m'appliquais tant que je pouvais et  je m'en sortais bien à en croire les gémissements que je lui arrachais.


Il appuyait sur ma tête avec force maintenant et je résistait. Je n'avais pas le choix sinon mon visage s'écrasait sur son ventre et sa queue entrait trop loin dans ma gorge. Trop loin pour moi, je n'étais pas encore prêt. J'y travaillais. 


Il appuyait, je résistais. Sa queue s'enfonçait dans ma gorge puis en ressortait. Pendant de longues minutes, mon visage finissait pas s'écraser par moment contre son ventre, je relevais la tête aussitôt.


Je devais avoir le visage rouge, je pleurais. C'était de plus en plus dur. C'est à ce moment que j'ai entendu une voix.


– Tu serait mignon de ne pas trop traîner mon petit Julien. Nous n'attendons plus que toi pour partir en ballade. On est sur l'autre terrasse.


C'était une voix féminine. J'ai cru que j'allais étouffer. Julien me retenait, la tête de toutes ses forces, je gardais sa queue, pas à fond mais tout de même bien enfoncée dans ma bouche. Machinalement je continuait à lui caresser le gland avec ma langue, et lui me caressait les cheveux.


– Je vais conclure rapidement maman. J'arrive ! Répondait Julien !


Là c'en était trop, je me débattait pour me dégager, il me retenait et c'est à ce moment qu'il m'a juté dans la bouche, il a éjaculé avec force. Quatre grosse giclées coulaient dans ma gorge, j'ai aimé, beaucoup aimé. J'ai tout avalé. Je ne me débattais plus, il ne me retenait plus.


Quand j'ai relevé la tête, je laissais sa queue toute propre. Il me regardait, il avait le visage penché vers moi.


– Tu fais ça bien dis donc. Tu m'excuses mais il faut que je retrouve mes parents.


Je le regardais hébété. Là il y avait quelque chose que je ne comprenais pas. En fait, je ne comprenais plus rien.


– C'était ta mère tout à l'heure ?

– Oui, elle me cherchait, on va partir.

– Mais, elle n'a rien dit ? Elle m'a vu ?

– Mais enfin tu portes un dispositif de chasteté. Qu'est ce que tu voulais qu'elle dise ?

– Alors là moi je ne comprends plus rien.

– Bienvenue dans le monde la morale PK ou tout est permis si un des partenaires sexuel sur les deux, au moins, porte un dispositif. C'est le cas !


Il partait alors rejoindre ses parents. Tranquillement il refermait son pantalon. 


– Je te retrouve plus tard bonhomme.


J'y croyais pas ! Je restais là l'air con à genoux sur le sol. J'avais encore le goût de son sperme dans la bouche. Ma cage ne me faisait pas mal mais presque. La pression y était infernale, je finissais enfin à penser à mes besoins. Sous l'effet de la surprise je ne pensais plus à moi, d'ailleurs là je dois reconnaître que je ne pensais pas à grand chose. 


J'étais resté concentré sur ce que j'avais à faire. J'avais ressenti son plaisir, je l'avais senti vibrer de plaisir, j'avais ressenti son orgasme mais moi je n'avais pas joui, je n'avais obtenu aucun plaisir, aucun orgasme. Et maintenant que je me retrouvais seul face à moi même. Seul face à ma cage c'était un enfer de frustration.


Je n'avais même pas retiré mes vêtements, lui non plus, il avait seulement ouvert son pantalon. Moi, même pas ! Je me sentais à l'étroit dans mon pantalon, enfin dans ma cage et à ce moment précis, je ne sentais plus que cela.


Je me serais damné pour pouvoir me branler, à ce moment précis, je n'éprouvait plus que de la frustration. Ce besoin impérieux qui ne serait pas satisfait. Je sentais que si jamais j'essayais de me masturber, je ne réussirait au mieux qu'à me blesser. Je savais que je ne parviendrais pas à me donner du plaisir. Pourtant j'en avais plus besoin que jamais.


Plus besoin ou plus envie que jamais ? Je restais là un long moment sans réagir, perdu dans mes pensées.


J'entendais alors la voix de ma mère qui m'appelait pour passer à table. Et il y en a qui pensent à manger dans une telle situation ! C'est pas croyable.


Javais l'impression d'avoir un truc énorme devant moi, un truc gigantesque qui prenait une place folle accroché en haut de mes cuisses. Ça devait se voir, ça ne pouvait pas passer inaperçu, à chacun de mes mouvement j'avais cette impression de ce truc énorme et lourd qui bougeait en même temps que moi ... 


J'avais mis un sous vêtement, par confort, avec ce dispositif ça m'avait semblé plus sage. Avant tout, je me passais le visage sous l'eau. J'étais tout rouge, et j'avais bavé partout. Je préférait faire un petit passage par ma chambre pour changer de chemise, et j'arrivais à la salle à manger. Nos hôtes étaient partis, ma mère leur avait préparé un repas froid. 


– Tu es tout rouge mon chéri ! Tu as pris un coup de soleil. Il ne faut pas oublier de mettre ton chapeau quand tu travaille à l'extérieur. Me disait ma mère.

– Nos clients sont tous passés, ils sont très content des paniers de légumes que tu as préparé. Rajoutais mon père. 


J'avais l'impression que mon sexe avait la taille d'un ballon de basket, mes parents ne remarquaient rien. Dans ma tête c'était la folie. En fait c'était une impression, tout était normal. Aucune partie de mon corps n'avait pris des dimensions anormales. C'était juste une impression, mais elle était intense.


J'avais encore le goût du sperme de Julien dans la bouche. 


Je mangeais mécaniquement, je n'avais pas vraiment faim, je n'avais pas vraiment ' pas faim '. En fait j'étais un peu perdu. J'avais toujours cette pression dans ma cage. On ne m'avait pas prévenu que sa taille pouvait changer, elle était plus petite que la veille, bien plus petite. Ma queue ne tenait plus dedans.


C'était peut être elle qui était en cause finalement. En fait je ne pensais pas que ma cage pouvait devenir plus petite mais je savais que ma queue pouvait devenir plus grosse, je l'avais déjà expérimenté souvent. Si vous en avez une vous aussi, vous avez du le constater, dans le cas contraire, vous êtes probablement une fille … Donc pas directement concernée par ce genre de situation, amusée peut être mais concernée, non !


Enfin bref, je m'égare ! Et je rajoute, si vous êtes une fille, '' Que ce n'est pas amusant ! '', même si ça vous amuse …


J'en profite pour vous dire que si vous voyez une publicité pour ce genre de produit ou on vous vante le confort de ces dispositif, ne le prenez pas au pied de la lettre. En fait d'habitude, ce n'est pas inconfortable mais il y a des moments comme ce midi à table ou c'est totalement insupportable. On ne pense plus qu'à une chose, retirer le truc, se branler, jeter le truc loin, le plus loin possible. 


Je mangeais donc mécaniquement, sans conviction. Mes parents discutaient entre eux. À la fin du repas je quittais la table.


– Je crois que je vais aller prendre une douche !

~ Tu as raison mon chéri, tu était tout rouge en arrivant tout à l'heure. Ça te fera du bien mais fait attention à ne pas te mettre trop au soleil et à garder ton chapeau … Insistait ma mère.


En fait je voulais surtout voir si tout allait bien. Je ressentais une telle tension dans ma cage que ça commençait à m'inquiéter. Finalement tout était normal, normal et sans espoir. 


Je pense que c'est à ce moment précis, ce jour là sous la douche que je me suis demandé pour la première fois si j'avais bien fait d'accepter de porter ce genre de dispositif … 



A suivre


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Dans les vestiaires

 Dans les vestiaires



C'est un endroit ou tout peur arriver. Enfin ça dépend aussi de l'établissement dans lequel on se trouve. Ça dépend du  jour, il vaut mieux qu'il n'y ait pas trop de monde, mais il faut aussi qu'il y ait un peu de monde sinon le plus grand risque, le pire, est de se retrouver avec de l'eau froide dans les douches. Je vous rassure tout de suite, le pire ne s'est pas produit ce jour là.


Ce  jour là il n'y avait pas grand monde, ça devait être un soir de finale de foot ou un truc de ce genre, un Roland Garros nocturne peut être, tout ça c'est pareil.


Après une longue séance d'entraînement je prenait ma douche avant de prendre la route du retour. J'en avais profité, c'est vrai que je n'ose pas encore vraiment me montrer à poil, à cause de mon dispositif de chasteté. 


C'est un choix, et surtout ne me demandez pas pourquoi je le porte, on me fait le coup à chaque fois aussi … Je le porte en permanence. J'étais tout propre, je m'étais séché et je portait ma serviette autour de la ceinture.


Au moment ou je revenais dans la salle des vestiaires, il était là. C'était un  habitué, un grand brun, il me dépassait de presque une tête, il était plus large et plus balaise que moi, il avait les yeux noir et une peau bronzée, très jolie à regarder. Il était très viril, très mâle.  


On se connaissait, on se voyait régulièrement ici. Mais on n'était pas intime, pas encore ...


– Tu étais là, je ne t'avais pas vu. Demandais-je.

– Je viens juste d'arriver. C'est calme ce soir. Ce doit être la finale du mondial de golf en Australie.


Je vous avais bien dit que c'était un truc dans ce genre, j'étais pas loin. Dans tous les cas ça se joue avec une baballe. Enfin moi et le sport, je n'en fais que pour garder la forme, sinon  je serais devenu trop gros, et encore c'est une corvée. Sinon je ne serais pas là bien sûr. 


Il se déshabillait, il était torse nue et ne portait plus que son pantalon. Il était vraiment beau, tout à fait mon genre, tout à fait à mon goût. Je sentais ma queue qui se contractait dans sa cage, elle manifestait devant ce très beau mec là, juste à côté de moi. Je sentais la chaleur de son corps et je retenais une violente envie de le toucher et de le caresser. Il avait une légère barbe très brune, la peau lisse et imberbe. Et des muscles, je ne vous dis pas … des muscles …


Il n'était pas difforme, il était seulement bien foutu, super bien foutu. Ma queue pleurait, implorait, c'est aussi pour cette frustration que je portais mon dispositif de chasteté. Et puis quand j'en ai pas je passe mon temps à me branler alors … 


Je ne sais pas ce qui s'est passé, nos regards se sont croisés, il m'a attrapé par la ceinture, enfin par la serviette au niveau de la ceinture, et m'a attiré vers lui sans rien dire. 


Avec son autre main il me caressait le torse, j'étais saisi, sous le charme mais saisi et je ne savais pas comment réagir. Je laissais faire. Il ne lui fallait que quelques secondes pour faire tomber ma serviette sur le sol. Je me retrouvais entièrement nu devant lui, entièrement nu ou presque. Il y avait toujours ce petit truc, pas bien gros qui recouvrait ma bite. Je bandais, ma queue ne se relevait pas, elle ne pouvait pas et le dispositif parvenait à cacher pratiquement toute réaction, il ne se relevait qu'à peine.


La le gars laissait échapper une '' Oh ! '' de surprise.


– Je ne m'y attendait pas. Continuait-il.


Il faisait alors un large sourire.


– Au moins c'est clair, ça définie clairement les rôles … J'adore !

 

Il me donnait alors un baiser sur le ventre et me caressait les couilles. Il gardait son sourire. Je lui caressais les épaules, il était assis devant moi, j'étais debout. Il avait la peau douce, j'avais souvent penser y toucher mais sans oser, là c'est lui qui m'y invitait. 


Il était imberbe sur le corps et c'était naturel, sa peau était vraiment douce et ma main descendait sur son dos. D'une main il me tripotait les couilles et de l'autre il me caressait le corps. Le désir devenait intense, tellement intense que ma cage se relevait avec un peu plus de force et là on devinait que j'avais une érection. Elle était contrariée cette érection mais elle était réelle, désagréable, presque douloureuse, frustrante, jouissive. 


Il se relevait, il retirait son pantalon. Je bavais devant son torse, il était tellement excitant. Il se retrouvait à poil devant moi et là je peux vous dire que ça ne me calmais pas vraiment, dans sa cage ma queue se révoltait encore plus, mon cœur battait fort, fort et vite. 


Il s’asseyait sur le petit banc au milieu de la salle, il écartait les cuisses et en me regardant droit dans les yeux.


– Suce moi la queue ! Ensuite tu te la prendras dans le cul.


Je ne lui faisais pas répéter. Dans la seconde je m'accroupissais devant lui. Il avait une queue superbe, bien droite, bien longue, bien large. Il bandait ferme, il était circoncis et déjà je me régalais à l'idée de me la prendre dans le cul. 


Pour commencer je la prenais dans la bouche. Je passais ma langue sur son gland en lui caressant le reste de la queue. Ma main fermement refermée autour de sa bite la massait depuis sa base jusqu'à son gland que je gardais dans le bouche. Il gémissait de plaisir et me caressait les cheveux.


Il ne m'en fallait pas plus pour m'encourager à continuer. Sa queue s'enfonçait de plus en plus profond. Je sentais son gland découvert qui glissait contre mon palais. Ma langue lui caressait le dessous de la queue. 


Il me tirait la tête vers lui. Par moment il me balançait des coups de bassin. Il ne se retenait pas, il ne me ménageait pas mais il n'était pas trop violent. Il avait une grosse queue et ne m'obligeait pas à la prendre en entier dans la bouche. Je n'aurais pas pu.


Par moment son gland s'enfonçait jusque dans ma gorge, mais il en ressortait aussitôt. Il revenait et s'enfonçait de nouveau mais pas toujours à fond. J'arrivais à suivre pourtant elle était grosse et longue.


Il se retirait, je relevais la tête il me regardait avec un grand sourire, il se penchait vers moi et m'embrassait. En même temps il me prenait dans ses bras, quand il se relevait, je suivais le mouvement et me relevait également. 


Je refermais mes bras autour de son corps et le caressait, il me caressait aussi tout le corps. Et toujours une main se glissait sur mes couilles, il avait vraiment l'air d'aimer mon dispositif, il me tripotait les couilles avec force mais sans chercher à me faire mal. Ma queue se révoltait et poussait de toutes son désespoir contre ma cage, de l'intérieur, elle tentait comme elle l'avait fait souvent de se libérer en cassant par l'intérieur ma cage de chasteté. Elle est en titane, la tentative était pathétique. 


Ma cage se relevait par moment, et se balançait au rythme des battements de mon cœur. Il battait fort mon cœur, il battait fort et vite. Sa queue se relevait entre mes cuisses et me soulevait les couilles. Je le couvrais de baisers, il en faisait de même. 


Il me prenait par la main et m'entraînait sous la douche, j'en revenais mais je le suivais quand même. On continuait notre échange sous la douche, on commençait par se savonner l'un l'autre, je lui lavait la bite et les couilles, il s'amusait avec ma bite, enfin la cage de ma bite. 


Sous la douche nous étions pris d'une sorte de mouvement de danse, il me lubrifiait généreusement le cul, déjà je devinais ou il voulait en venir. Dans mon corps je tremblais de désir. J'avais un peu peur. Vous savez quand  vous vous retrouvez dans les bras d'un mec superbe, vous tremblez de désir mais quand en plus il est très bien monté, vous tremblez tout simplement. Vous vous demandez s'il sera violent, ou s'il sera doux.


Il me retournait, je me retrouvais appuyé contre le mur, il était dans mon dos. Déjà il avait glissé plusieurs doigts dans mon cul et continuait à me lubrifier. C'était bon, il n'était pas violent, il était décidé mais pas violent.


Je baissais la tête en avant, l'eau ne coulait plus et je sentais la pression de sa queue contre mon anus. Je m'angoissais déjà mais je voulait qu'il continue. Je voulais sentir sa queue me pénétrer, déjà je la sentais, je l'imaginais qui poussait.


Je n'imaginais rien, il le faisait, il poussait son gland contre mon cul. Ça résistait, je me détendait, ça résistait encore un peu puis je le sentais se dilater lentement. Trop vite ça fait mal, mais mon compagnon y allait avec douceur et je sentait mon cul se dilater, s'ouvrir sans douleur pour moi. Il était à la limite, mais seulement à la limite et ne la franchissait pas.


Je sentais mon anus se refermer autour de son gland, je le sentais dilaté, tellement dilaté qu'il y avait de quoi paniquer. Je paniquais mais n'en laissait rien paraître. Il continuait à pousser et sa queue glissait plus profond dans mon cul. 


J'avais le souffle coupé et sa queue continuait à me pénétrer. Ça résistait, il poussait avec force et douceur et quand mon anus se dilatait un peu plus elle continuait à s'enfoncer. Ma queue ne protestait plus, j'avais totalement débandé et ma queue s'était réfugiée dans un petit recoin de sa cage qui brusquement semblait trop grande … C'était un comble. 


J'étais au bord de l'évanouissement au moment ou son ventre s'écrasait contre mes fesses, je couinais, je poussais des cris bizarres et rigolos. Il me prenait dans ses bras et me faisait un gros, un très gros câlin. 


Ses mains me caressaient le torse et descendaient ver ma bite et me caressaient les couilles avec force. Avec son bassin il poussait toujours sa queue dans mon cul. J'avais l'impression que j'allais exploser. 


Avec une main il appuyait sur ma  nuque pour que je me penche en avant. Je me retenait à une sorte de porte serviette, il me retenait alors par les hanches, il se retirait, je poussais un long gémissement au moment ou sa queue ressortait de mon cul. Puis il revenait, bien à fond, toujours bien à fond. 


Mon gémissement se transformait en un cri, long et triste et pourtant  plein de plaisir. Puis il revenait et après plusieurs mouvements de ce genre il accélérait. Sa queue glissait bien dans mes entrailles, je manquais d'air, il continuait. Par moment ses mouvements devenaient violents, il faut bien se dire que la seule taille de sa queue était déjà une forme de violence.


Ses mouvements devenaient rapides, il les faisait durer dans le temps, il me limait le cul avec générosité, il se faisait plaisir. 


J'ai senti qu'il jouissait quand il gémissait de plaisir et qu'il me donnait quelques violents coups de bite dans les fesses. Il m'a fait un peu mal, j'ai serré les dents, il m'a serré dans ses bras et rapidement il débandait, sa queue ressortait de mon cul. 


C'est là que j'ai joui, c'est là que j'ai juté. Je tremblais sous le plaisir qu'il me donnait. Il me lâchait,  je m'appuyais contre le mur des douches, j'étais sur le point de m'écrouler. 


De nouveau il faisait couler l'eau, et on terminait notre douche. Je récupérais, mon cœur battait toujours fort, mais je me sentais bien terriblement bien. 


On a continué à discuter, je me rhabillais, on a pris rendez-vous pour quelques jours plus tard.


– Tu garderas ton truc j'espère ?

– Je le porte tout le temps. Lui répondais-je en faisant oui de la tête.


Il me souriait et passait dans la salle de sport après avoir passé une tenue en lycra qui le rendait particulièrement sexy. 


J'étais complètement retourné en sortant de cette salle de sport, je vous jure qu'à cet instant je ne regrettais pas mon abonnement !


Fin de l'épisode


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


Le curé du village Ep 05 : Le séminaire

 Le curé du village

Ep 05 : Le séminaire



Le père Mathieu s'était remis de la soirée avec José et Pascal mais il avait toujours le feu au cul. Il avait l'habitude de se contrôler, il avait été formé pour ça.


Pendant toute sa formation il avait eu le feu au cul. Pendant les quelques années que cela avait duré il ne s'était donné aucun plaisir. La frustration qui montait sans jamais disparaître devait donner la force de continuer, et développer l'esprit de déni du plaisir physique et de la jouissance. 


Pour certains c'était une période trop difficile à supporter, mais ceux qui la surmontait en tirait une véritable satisfaction. Enfin c'est ce qu'on disait. Ceux qui ne pouvait supporter quittaient la formation, on leur remettait les clés et on leur souhaitait bonne chance dans la vie. C'était déshonorant, d'une certaine manière. 


Mais il faut se dire que l'ambiance était particulière. Il y avait une rivalité entre tous les étudiants, c'est ainsi qu'on appelait les candidats, les postulant à la clergicalité ( ça se dit ça, clergicalité ?  … Enfin bref ... ). 


Au début, on leur donnait un dispositif en résine qui était à la bonne taille, suffisamment large et longue. Privée d'érection, même sans avoir a subir un confinement intensif, leurs bites s'habituait et quelques temps plus tard elle acceptait sans difficulté une cage plus petite. Quelques temps encore plus tard venait une autre cage encore plus petite. 


Puis il y avait comme une rivalité, le but était d'enfiler la plus petite possible. A son arrivée le père Mathieu ( Mathieu quoi, le personnage de mon histoire ) avait une belle queue de vingt bons centimètres sur six. Sa cage faisait sept centimètres maintenant. À peine plus du tiers de la taille initiale de sa queue en érection, et en largeur elle faisait moins de cinq centimètre ( dimensions extérieures de la cage ). 


Comme vous le savez on se réduit plus facilement en longueur qu'en largeur, vous savez aussi qu'il ne faut pas trop exagérer, et avancer par étapes. Il ne faut surtout pas couper la circulation du sang, le but n'est pas de mutiler le porteur, surtout pas. Ce serait une faute grave de la part des responsables ! 


On arrive tout de même à un résultat impressionnant. Un tiers de la taille d'origine est considéré comme un bon résultat, mais certains vont plus loin. Il avait un camarade qui était tout aussi bien monté que lui et qui est descendu à moins de cinq centimètres. 


Ils ne portaient pas de sous vêtements pendant leur formation et prenaient des douches tous les jours. Il fallait rester propre et libre de ses mouvements. Souvent à cette époque il ne portaient qu'une soutane. En dessous rien donc, sinon les chaussettes et les chaussures. L'étoffe qui caressait le corps était la seule caresse qu'ils pourraient recevoir. Au début ça en faisait bander plus d'un, puis avec le temps, cette caresse devenait normale, elle faisait partie de le quotidien et n'était plus du tout un caresse stimulante. Le tissus était doux et le vêtement était confortable. 


Dans la cage tout se calmais et on passait à une taille plus petite. 


Les jours, les semaines passaient, la formation s'étalait sur plusieurs années. Il y avait aussi les séances de sport, là c'était chaud, surtout au début.  


Les douches était prises dans un local ouvert, pas de cabines individuelles, chacun était nu avec pour seul costume son dispositif sur lui. Le seul costume qu'il ne pouvait pas retirer. Au début, ça bandait dur dans la cage. Au début le dispositif se relevait, il faisait son rebelle. Les cage étaient bien pleines mais quand avec le temps tout rentrait dans l'ordre.


Quand dans la cage ça se calmait, on passait à une taille plus petite.


Il y avait aussi les cours de théologie, et les autres matières. Au début on aurait pu imaginer que se retrouver la queue enfermée dans une cage qui confine bien, on aurait du mal à se concentrer mais rapidement le corps s'habituait et l'esprit finissait par se retrouver libre. 


Et puis il y avait le sport. Le lycra est un tissus fantastique qui ne cache rien, on pouvait voir très distinctement le dispositif de chasteté que chacun portait. Tous en avaient un, il était impossible de le dissimuler. Ils faisaient du sport plusieurs heures par jour. Il fallait ça pour détendre le corps qui ne pouvant plus se faire plaisir et qui de fait avait de l'énergie à dépenser, beaucoup d'énergie. Et après le sport, la douche … 


Les journées étaient pleines, ils n'avaient que très peu de temps libre, et pas une seconde seuls. C'était une obligation, jamais seuls. Le premier surveillait le second qui surveillait le troisième qui surveillait le quatrième qui lui surveillait le premier. Ils étaient quatre par chambre. Même à ça on s'habituait. C'est donc par groupe de quatre qu'ils se déplaçaient dans le bâtiment. Et si par nécessité un d'entre eux avait un besoin, le groupe se ceindrait en deux et pour un moment, pour un moment seulement ils se retrouvaient à deux.


Les règles étaient particulières, même les toilettes étaient communes, comme les douches. Il n'y avait pas de cloisons entre les sièges d'aisance. Pour les séances de sport il n'y avait pas d'endroit privés ou refermés pour se changer, les vestiaires ouvraient directement sur la salle de gymnastique, et seuls la présence de quelques bancs et d'étagères indiquaient que c'était un vestiaire. Ils renonçaient à porter tout objet personnel. Ils les gardaient dans une petite armoire dans leur chambre. 


Tout ce qu'ils possédaient tenait dans une petite armoire à côté de leur lit. Ils ne renonçaient aux objet de consommation ou au biens matériels que pendant les quelques années de leurs formation. Si un d'entre eux faisait un héritage par exemple il pourrait en disposer librement plus tard. Pendant cette période de formation, une seule chose comptait, leur formation …


Et il y avait les corps, nus quand ils changeaient de vêtements, nus quand il passaient sous la douche, nus quand ils dormaient. Les lits avaient un sommier en métal, si jamais l'un d'entre eux avait l'idée de remuer le dispositif pour se faire jouir, de se donner un peu de plaisir, le sommier produirait un son qui dérangerait et réveillerait toute la chambrée. 


Ça arrivait, au début ça arrivait, le coupable était condamné à se rendre entièrement nu à la chapelle et à terminer sa nuit en prières.


Ils se voyaient nus tous les jours, plusieurs fois par jour. Le but était d'habituer le futur religieux à la nudité, avec le temps ça deviendrait pour lui tellement naturel qu'il n'y ferait plus attention et que la nudité ne serait plus une stimulation sexuelle. Enfin, ils avaient tous une cage de chasteté, qu'en serait-il le jours ou ils se retrouveraient devant un homme nu avec une belle grosse bite en érection, ou devant une femme ?


Ils prenaient aussi soin de ne jamais se toucher l'un l'autre. La frustration était poussée à l'extrême. Ils finissaient par en tirer une force incroyable, c'est ce qu'on leur disait. Depuis maintenant plusieurs siècles c'étaient là les règles et le mode de vie du clergé. Pendant ces années les seules moment ou ils pourraient éjaculer étaient les rêves humides, là on laissait faire, et tout le monde en rigolait. 


On leur racontait que c'était la règle depuis plusieurs siècles, comme je le disais. En fait ce n'était la règle que depuis quelques dizaines d'années, avant c'était un phantasme. Mais quelquefois les dogmes naissent d'un mensonge qui s'est transformé en légende.


Ils prenaient l'engagement de continuer à respecter ces règles qu'on leur avait appris quand ils quittaient le séminaire. Ils étaient tous beaux comme des dieux, musclés, élégants. Ils avaient tous une formation intellectuelle complète  et un physique de sportif. Il choisissaient leur mutation, en fonction des places disponibles et de la taille de la cage obtenue. Mathieu était à presque un tiers de sa taille initiale ce qui le plaçait dans une moyenne acceptable, et comme personne ne voulait venir dans un petit village perdu, il avait sa mutation dans le village de son choix.


Par la suite il retrouvaient bien plus de liberté. Comme ils resteraient sages, qu'ils n'avaient plus le choix de faire autrement, on leur faisait confiance.


Mathieu se retrouvait à moins de trente ans, sous le nom de Père Mathieu. Il était revenu dans son village de naissance.


Mais quand le religieux est ainsi libéré, il peut se passer bien des choses. Il ne peut toujours pas bandé, il ne pourra retirer son dispositif que s'il quitte les  ordres, c'est la règle, elle est sans pitié et ne connaît aucune exception.


Juste après sa sortie du séminaire, il avait décidé d'aller voir ses parents. Ils avait quitté le village quelques années plus tôt pour s'installer dans le sud du pays et le voyage était long. Mais dans le train qui le conduisait vers sa destination, il était seul dans la voiture. La ligne était peu, très peu fréquentée à cette heure ci. Il n'y avait que deux voitures, il s'était installé à l'arrière de la deuxième voiture. Il était un peu perdu dans ses pensées, pour la première fois depuis qu'il avait commencé ses études religieuses cinq ans plus tôt qu'il se retrouvait seul. 


Il ne savait pas s'il devait apprécier ou pas. Il ne parvenait même pas à savoir si c'était agréable ou pas. Plus de quarante minutes avant d'arriver, le train s'arrêtait à la dernière gare avant son village. Quelques minutes plus tard, une silhouette entrait dans la voiture, c'était un homme qui était monté dans la première voiture, elle était vide, il avançait pour voir s'il était seul dans le train.


Il voyait Mathieu, le saluait de la tête en lui disant : '' Mon père … '' . Mathieu lui répondait d'un mouvement de la tête. Puis l'homme venait s'installer juste en face. 


Brusquement Mathieu se sentait tout bizarre, son cœur battait plus fort, plus vite. Il le regardait avec insistance, sans pour autant s'en rendre compte. L'homme semblait fatigué, il allongeait les jambes, Mathieu remarquait la bosse bien visible entre ses cuisses. Il avait l'air musclé et la bosse était prometteuse. Mathieu savait, il en était sûr que cet  inconnu ne portait pas de dispositif de chasteté. Il était la première personne qu'il rencontrait et qui devait avoir la queue  libre. Cette pensée l'excitait beaucoup et si voir un corps nu avec sur cage à bite ne lui faisait plus rien, la seule idée d'avoir à côté de lui un homme qui n'en portait pas le faisait bander. Comme à son habitude depuis quelques années il ne portait pas de sous vêtements. Il portait un costume sobre qui tombait bien et ne cachait ni sa musculature ni son élégance naturelle. 


Il ne pouvait pas détacher ses yeux de son entre jambe, au point qu'il ne remarquait pas que l'inconnu en faisait de même. Mais lui par contre était plus dégourdi que Mathieu et avait remarqué le regard que lui jetais le religieux.


– Vous m'avez l'air bien jeune mon père.

– Je viens juste de sortir du séminaire, dans l'après midi.

– Bien, et ça s'est bien passé ? …


Tout en continuant à discuter l'inconnu se caressait son entre jambe et tout particulièrement la bosse que Mathieu regardait avec insistance.


– Il paraît que les religieux porte un dispositif, pour, comment dire … Rester sage.

– Nous faisons vœux de chasteté, en effet.

– Ah ! Et pour tenir vous n'utilisez pas un … Truc ? Demandait naïvement l'inconnu.


Mathieu devenait tout rouge, et bafouillait quelque chose du genre '' Oui en effet, c'est un dispositif de chasteté, avec on ne peut pas … ''. L'inconnu bandait, sa queue se développait le long de sa cuisse. Il en avait une belle. Mathieu avait comme la fièvre. 


– Mon père, vous me montrez et moi je vous montre aussi.


Mathieu avait le visage rouge pourpre de gêne, de honte, d’embarras. Il se décidait en hésitant longuement. Il n'avait pas de sous vêtements donc, à partir du moment ou il ouvrait son pantalon, les choses allaient très vite.


L'inconnu regardait avec des yeux pleins de curiosité. Sa queue en érection se dessinait sous son pantalon, bien plaquée contre sa cuisse. Il n'a pas prévenu l'inconnu quand il a touché Mathieu, il a juste tendu la main et il lui a tripoté les couilles. Mathieu à sursauté mais il a laissé faire. Il n'y avait personne dans le train, personne ne passerait dans les trois quarts d'heure, ils étaient tranquilles.


Mathieu bandait fort maintenant, il ne se souvenait pas avoir connu une érection aussi violente, enfin une tentative d'érection, depuis, peut être depuis le début de sa formation. Il continuait à regarder la forme de la queue de son compagnon de route. Sa queue lui faisait presque mal. Mécaniquement il caressait la queue de l'inconnu, elle était énorme et bien dure. 


Ils se relevait baissait son pantalon, sa queue se relevait avec force. Mathieu rêvait devant ça, la sienne était, enfin avait été, de belle taille mais là il avait trouvé plus grand et puis  de toutes façon la sienne, ne pouvait plus vraiment servir. Sous clé, elle était comme débranchée. 


L'homme s'approchait de Mathieu, lui mettait la queue devant son nez. Mathieu hésitait quelques instants puis la caressait et la prenait dans sa bouche. Il passait sa langue sur toute la longueur de cette très belle bite. Il insistait surtout sur le gland. La tête lui tournait, il avait une sorte de vertige et le gland de l'inconnu lui rentrait dans la bouche en entier. 


L'étranger continuait à lui tripoter les couilles et à jouer avec sa cage. Mathieu se souvenait de ses amis qui étaient restés au village. Il se souvenait des ces soirée à deux ou à trois. Il ne s'était jamais pris une bite aussi large dans le cul, et comme la dernière fois qu'il s'était pris une bite dans le cul c'était il y a déjà bien longtemps, il se demandait s'il le pourrait. 


La queue du  voyageur entrait maintenant sur la moitié de sa longueur. On pouvait deviner que Mathieu avait du mal, il avait le visage tout rouge mais ce n'était plus d’embarras. Il insistait Mathieu, il insistait il pensait que ça n'irait pas plus loin quand il a reçu un coup de bassin dans la gorge, et d'un coup c'est entré plus loin, plus profond. 


– Allez l'abbé, on se relève et on se retourne.


Mathieu s'exécutait, il tremblait, il s'inquiétait un peu. Il avait la trouille mais il en avait aussi tellement envie. Il était mort de trouille. Mais il laissait faire.


C'était violent, l'homme posait sa queue sur le cul de Mathieu, et  poussait, ça résistait, il lubrifiait et recommençait. Il ne poussait pas trop fort, ça n'aurait servi à rien mais il poussait avec une certaine force. Mathieu respirait fort, il prenait de longues inspirations jusqu'au moment il sentait son cul s'ouvrir.


Son partenaire poussait moins fort, l'anus de Mathieu se dilatait toujours, et l'énorme bite s'introduisait lentement. Mathieu hurlait, il avait soudainement peur de déchirer, dans sa tête il paniquait. L'inconnu continuait à pousser sa queue entre les fesses de Mathieu. Il la sentait glisser, et Mathieu râlait, gémissait.


Il n'est pas entré en entier. Mathieu s'est débattu, c'était trop pour lui. Alors son partenaire l'a limé longuement, avec des mouvements lents et amples sans s'introduire à fond. Il tentait d'aller un peu plus profond à chaque fois mais ça résistait et Mathieu gémissait et  pleurait.


– Les jeunes curés, j'adore les baiser mais  je peux jamais les baiser à fond. Tu n'est pas le premier tu sais.


Puis il continuait à le limer. Mathieu jutait, il n'éjaculait pas vraiment mais il jutait. Il était difficile de savoir s'il éprouvait du plaisir et quel était ce plaisir, il y avait aussi de la douleur.


Ca glissait bien maintenant mais Mathieu sentait la queue de son partenaire lui dilater les entrailles. Il avait le souffle coupé et quand il respirait c'était pour gémir plus fort. 


Quelques mouvements particulièrement violent lui arrachaient des cris de douleur au moment ou son partenaire jouissait dans son cul. Rapidement celui-ci débandait et se retirait. Mathieu respirait de nouveau.


– Tu sais que tu as du potentiel l'abbé.


Mathieu ne répondait pas.


– Tu ne vas me faire croire que c'était la première fois.

– Quand j'étais plus jeune … Je me suis … Bafouillait Mathieu.


Mathieu l'avait senti passer mais c'est vrai qu'il aimait bien ça. Il aimait bien quand ça passait en force, quand ça devait forcer pour rentrer. Il aimait particulièrement cette panique qui le prenait au moment ou il sentait son anus se dilater et qu'il se demandait s'il n'allait pas déchirer.


Ils sont arrivé au terminus un moment plus tard mais ont pris deux directions différentes. Mathieu n'a jamais su qui c'était mais ce n'était pas bien grave. Il a passé quelques jours avec ses parents avant de repartir pour le village ou il avait été muté. 


Ça c'était une semaine avant son arrivée au village ou il a retrouvé son vieux pote José.


Fin 


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